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camisoledadparis · 21 days ago
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saga: Soumission & Domination 370
Novembre en France-2
Blockhaus Jour 2
Pendant le déjeuner j'essaye d'en savoir plus sur notre nouveau voisin mais PH et Ludovic me disent qu'ils ne savent pas qui il est.
Du coup je les charge de voir à qui appartient l'immeuble de droite qui est du même type avec mission de le racheter si c'est possible.
Dans la soirée je fais visiter le second étage (celui dédié à ma société) à Dane.
Il mate la frise de mon bureau. Il ne pensait pas que ma " petite affaire " représentait autant de mecs. Je le vois fixer son intérêt sur notre petit Maxou !
Pour le remercier de s'être occupé de moi pour mon retour en catastrophe, j'appelle mon escort et lui demande de venir nous rejoindre illico. Quand je raccroche, Dane se rend compte que je le fais venir pour lui. Pour avoir discuté avec Tyler et lui de ma société et des tarifs que je pratiquais, il me demande combien il va me devoir.
Evidemment rien bien sûr !! Je ne fais pas payer mes amis même si moi, je rétribuerais Maxou, mais ça je ne lui dis pas.
Maxou arrive après ses cours et nous rejoint en salle de sport. Il y a déjà une 10aine de mes escorts à s'entrainer avec nous.
Comme je m'étonne de l'absence de Jona et de François, PH me glisse qu'ils ont été rappelés au " service ". Du coup le coaching muscu et combat a échu à nos deux gymnastes fraichement intégrés avec surveillance de Ludovic pour la partie fighting. Le tout sous la gestion de notre Maitre-nageur. Pour les prestations d'Escorting, PH a pris l'affaire en main. Je ne peux qu'admettre que cette organisation est la plus efficiente.
Le temps que je me mette à jour, Maxou s'est attaqué à Dane en le provoquant à un combat sur le tatami de la serre. Arrêt de quasiment tous les entrainements pour voir le défi.
Si au départ Dane avec sa carrure d'adulte n'y allait pas trop fort au regard du format toujours crevette de son adversaire, quand il a gouté pour la deuxième fois le tapis, il s'est aperçu que le niveau de son adversaire valait bien le sien. Après quelques 15 minutes, profitant de son allonge et de son poids supérieur, il réussit à coincer Maxou sur le tapis. Jusqu'à ce que déloyalement, ce dernier ne lui roule un patin ! Fin d'entrainement pour tous, douche et évidement c'est parti en touze !! Dane, nouveau pour beaucoup, s'est retrouvé très sollicité et après avoir profité de Maxou, s'est laissé entrainer par mes autres escorts.
Une bonne heure et demi plus tard, il me rejoint et épuisé me dit que mes mecs sont trop bon. Il a particulièrement apprécié le fait qu'ils utilisent leurs potentiels physiques comme des pros. Puis il se rend compte que c'est évidement à des pros qu'il avait eu à faire !
Je garde Maxou alors que les autres nous quittent. Dane et un peu gêné et il lui demande si cela ne l'embête pas trop de rester pour lui.
Réponse de l'intéressé : " quand il bosse, il ne prend pas en compte ses avis personnels, mais là en plus il n'a aucunement à se forcer pour me faire plaisir " (à moi Sasha). Il ponctue sa déclaration d'un bisou sur ses lèvres.
Pendant le diner la conversation passe des évènements Parisiens à notre vie à San Francisco. Maxou est super intéressé et quand il apprend que le petit frère de Dane viendra en France pour la fin d'année, il n'a de cesse d'en savoir plus sur ce dernier.
Pour faire cesser le harcèlement de question, je lui dis de s'adresser à Enguerrand ou à Max, car je suis sûr que ces deux-là l'ont pris en photo au minimum. Pas garanti qu'ils n'aient pas réalisé en plus une sextape !!
Dane, qui depuis le passage de la triplette, s'est rapproché de son frère notamment sur le sujet du sexe et de son utilisation, confirme que ces derniers en ont même fait plusieurs lors de leur passage en Californie.
 La soirée se passe calmement, enfin à recouvrer des forces !
La nuit nous restons de part et d'autre. Moi je retrouve mes deux amours et nous faisons l'amour. Comme cela fait longtemps que nous ne nous étions retrouvés tous les trois seuls, cela prend un parfum de tendresse rarement présent quand nous sommes plus nombreux.
A côté je suis sûr que Maxou donne à notre yankee un aperçu des petits Français qu'il ne sera pas près d'oublier.
Retour
Les quelques jours passent rapidement et quand nous remontons à Paris pour prendre notre avion, nous trouvons Kev chez Henri (pas question qu'il reste seul dans son duplex). Un infirmier beau comme un dieu s'occupe de lui dans la journée quand Henri est au travail.
Que voulez-vous ? On ne se refait pas et nous ne quittons l'appartement qu'après que j'ai sodomisé le corps médical.
Déjà en blouse et pantalon blanc relativement large, il paraissait canon mais à poil (enfin nu) il l'est vraiment ! Une bouche bien profonde idéale pour abriter les 21x5,5 de Kev, et une musculature lui permettant de s'occuper de tout lors des sodos. Il m'en fait une démonstration alors que, couché sur le dos, il se plante sur mes 20x5 et me les pompe avec sa rondelle sans que j'aie à faire de mouvement.
Pour les plus curieux, il fait dans les 1m80 et porte au moins 70Kg de muscles secs. Une belle bite de 18/19 épaisse et surtout un petit cul bien rond cachant une rondelle souple mais nerveuse.
Alors que nous quittons l'appart d'Henri pour l'atelier d'Alban, Kev me demande comment j'avais trouvé son " garde malade ". Réponse " avec lui tu ne vas pas être en manque de tes potes " !! Il me dit que pendant que je m'amusais avec son " garde malade ", il avait profité de mon américain. Un simple 69 mais qui avait tenu toutes ses promesses.
Quant à ses copains habituels de baises, Kev me réponds que certains passeront quand même le voir pour éviter la routine. Je le reconnais bien là, aussi chaud que moi !
Passage chez Alban. Il héberge encore Ric que son père est venu voir quelques jours plus tôt. Avec juste un bandage autour du biceps, Ric est tout content de nous voir. Il nous dit s'être inscrit pour un mois à la salle de gym de Kev, puisqu'ils ont décidé qu'il ferait sa convalescence à Paris. Déjà la semaine et demi d'arrêt lui pèse et il va vite reprendre au moins le cardio et tout ce qu'il peut travailler. Les cuisses, les abdos et tout le haut avec son bras droit avant de reprendre doucement avec le gauche en fonction de l'autorisation de la faculté.
Le taxi nous dépose à Roissy juste à temps pour l'enregistrement. Pas de bagages de soute, cela rend l'enregistrement plus rapide. Mais du coup le passage de la douane est plus fouillé. Si Dane passe rapidement, c'est limite si les douaniers ne m'auraient pas mis à poil. Bon j'aurais bien aimé car un des mecs qui me palpait était tout à fait baisable. J'ai eu le plaisir de le voir rougir alors qu'il s'apercevait avec sa mains tout le bien que je pensais de lui (bandant comme un âne, il aurait eu du mal de ne pas capter !).
J'ai eu l'espoir un moment que la barre dure qui déformait mes jeans allait l'amener à me faire une fouille au corps, mais non, dommage !!
Attente dans le salon des premières, puis embarquement. Compagnie américaine, personnel de bord charmant, à nos petits soins mais loin d'être de première jeunesse !!
A l'arrivée Tyler nous attend. On se raconte notre petite semaine en France. Dan est le plus disert. Je m'aperçois que notre passage à Paris l'avait fortement impressionné (surtout mes amis Henri, Kev et la musculature hors norme de Ric). Il lui décrit aussi le blockhaus comme un endroit de folie et les mecs qui y passent.
Du coup Tyler est pressé que l'on soit un mois plus tard !!
Quand il apprend que Duke a fait des sextapes avec mes " petits frères ", il est surpris tout en étant pas plus étonné que ça venant de 4 obsédés de la bite !!
Duke nous attendait chez Tyler. Lui aussi voulait des nouvelles et surtout de ses nouveaux copains Frenchies. Dan répète pour lui. C'est à son tour de devenir impatient d'arriver à Noël !!
Le mois passe vite et les nouvelles de France qui me parviennent régulièrement sont bonnes. Tellement que mes deux amis blessés le 13 novembre pourront être des nôtres en fin d'année.
Coté immobilier, PH me prévient qu'il a pu acquérir l'immeuble qui nous jouxte pour une bouchée de pain et me propose de transformer le rez-de-chaussée en garage d'entretien pour nos motos dont Cyril prendrait la charge et l'étage pour faire un grand appartement pour Samir et Ammed. Même s'ils restent à notre service, ils auront ainsi un peu plus d'intimité.
 Quant à la cour, il comptait, si j'étais d'accord, la raccorder à la nôtre en y organisant un jardin toute saison avec quelques fruitiers.
J'accepte toutes ses propositions et le questionne sur ce qu'il se passe de l'autre côté du blockhaus chez notre nouveau voisin.
Là, les travaux seraient finis avec en copie une verrière comme la nôtre mais 2 étages plus basse.
Ça m'intrigue que l'on ne réussisse pas à savoir qui est le propriétaire !!
Coté sexe, j'ai repris mes apartés qui ne le sont plus trop vu le nombre de mecs qui participent à ceux-ci. Depuis nos virées " touristiques ", je suis le point focal des deux groupes de sportifs (arts martiaux et natation) du moins pour les plus Pd d'entre eux ! Heureusement que quelques-uns sont originaires de cet état, ça nous permet de nous retrouver en dehors de l'université. Même si nous avons trouvés des coins où nous pouvons baiser sans trop de risque de nous faire surprendre !
Les installations sportives sont nos préférées. Ce sont les vestiaires, les douches, certaines salles un peu isolées qui abritent nos turpitudes.
Ça me rappelle un peu les touzes que je faisais en France après nos séances de sport au Blockhaus. La seule différence c'est que j'entends plus " Fuck me " que " vas-y défonce moi ".
Je me fais plaisir aussi bien à défoncer les rondelles américaines qu'à me faire prendre.
Sans qu'ils soient prudes, mes partenaires étaient plutôt à baiser par deux parfois trois qu'à touzer comme des bêtes en rut ! Maintenant ce n'est plus le cas et j'ai l'impression qu'ils aiment ça.
Il n'est pas rare que je me prenne deux ou trois bites dans le cul (pas toutes en même temps !!) et que je fasse subir à autant de cul mes coups de rein. J'aime particulièrement à m'accrocher aux épaules hypertrophiées des nageurs alors que je les encule en levrette. Épaules larges associées à des tailles fines bien cambrées et de beaux fessiers ronds, que demander de plus pour bander comme un âne ?  Avec les " combattants ", c'est plus hard. On ne peut s'empêcher inconsciemment de voir qui sera le " dominant " de la relation. Les embrassades sont plus rudes et les préliminaires plus musclés jusqu'à ce que l'un d'entre nous cède ou décide d'être cette fois-là le passif du moment.
Je ne suis pas le dernier à me mesurer aux autres et grâce à l'entrainement de Don j'ai le dessus quand je veux. Ce qui ne m'interdit pas de laisser couler quand je suis en manque de saillie !!
Hé, on ne se refait pas, je suis recto/verso et je prends mon pied dans toutes les relations sexuelles possibles (entre mecs).
Au tout début de mon séjour, quelques filles m'ont dragué. Je pense dans l'idée de se faire un petit français. Mais de ce côté-là je suis fidèle à Emma !! Elles ont dû se rendre à l'évidence que pour moi c'était mecs uniquement.
Un des derniers plans a eu lieu dans une des salles de sport du campus. Un des fighters nous a emmenés dans une salle de boxe et nous avons pu baiser sur le ring. Les cordes et les 4 coins ont bien servis à soutenir les corps en train de se faire défoncer. Je pense que ces installations n'avaient encore jamais vu ça depuis leurs installations.
Je me souviens m'être fait défoncer par un nageur alors que je me tenais, les jambes écartées et les bras accrochés autour d'un sac de sable, alors qu'un autre des mecs me pompait la bite. Chaque coup de rein qui enfonçait la belle queue de mon assaillant au fond de mon trou, faisait progresser mon gland derrière la glotte de mon pompeur. A nos côtés, les couples, trio ou plus ne se retenaient pas de bruits significatifs.
Nous avons été tellement discrets qu'à un moment j'ai vu la tête de l'entraineur principal des sports de combats passer la tête par une des portes. Trop emporté par mon plaisir je n'ai pas réagi ni prévenu mes potes. Mais il n'est pas entré nous faire cesser. Il nous a matés quelques instants puis s'est retiré sans bruit.
Le lendemain matin je séchais un de mes cours pour aller le trouver. Avant même que je n'essaye de le convaincre de ne pas divulguer notre touze, il me dit comprendre le besoin des étudiants de se détendre et de faire tomber la pression que les études peuvent produire. Il ajoute que nous devrions les prochaines fois prendre soin de bloquer les issues, tous les encadrants n'ayant pas la même tolérance envers nos pratiques, même si nous étions en Californie.
Jardinier
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ernestinee · 2 months ago
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C'est difficile le boulot en ce moment. Pour l'instant, beaucoup de situations dépassent la simple rééducation du langage.
Grande demoiselle de 12 ans qui arrive épuisée un mercredi soir. La raison : on fête Saint Nicolas dans son école, et tout le monde sera obligé de s'asseoir sur ses genoux pour la photo. Elle trigger de devoir s'asseoir sur les genoux de ce gars costumé, elle n'en dort pas depuis le début de la semaine. Au lieu de faire de la compréhension à la lecture, on s'est entraînées à dire des phrases avec la voix franche et déterminée, pour refuser qu'on lui impose ce contact physique.
Je trouve ça dingue que des adultes en charge d'enfants et de jeunes adolescents soient si peu attentifs à leur consentement. A la fin de l'heure, elle était en mode warrior et comptait bien défendre sa position et celle des autres.
Petit bonhomme de 8 ans, très très sensible, très très tdah, subit du harcèlement depuis des semaines, refuse d'aller à l'école, notes en chute libre. Réponse de son instit : c'est des enfants, ils s'amusent. Du coup j'étais énervée. Soutenue par la directrice de l'école, du coup j'étais surénervée. Elles refusent également une partie des aménagements demandés parce que "c'est dans le programme". Du coup j'étais à un niveau d'énervement vreuuumeeeent
Bon du coup j'ai profité de cet énervement assez high level pour dire ma façon de penser et préciser aux gamins que si j'apprends encore qu'ils ennuient mon petit poulet, c'est moi qui viendrai décider de la sanction. On verra si ça change quelque chose mais cet enfant a besoin d'avoir des adultes de son côté.
Petite maman de deux enfants tdah de 4 et 8 ans. Le papa vient de faire un AVC, il a une hémiplégie et est hospitalisé depuis qqs semaines. Les beaux-parents donnent un coup de main et se mêlent de tout. Son boulot est difficile et a des horaires instables puisqu'elle est garde d'enfants malades. Le quotidien est un cauchemar à gérer. Le petit réagit très mal à ce changement de vie, le grand gère pas trop mal mais les difficultés scolaires s'intensifient notamment parce que les devoirs sont faits avec les grands parents, c'est moins cadrant. L'instit s'inquiète, appelle le psycho-medico-social lié à l'école, c'est une ergo qui vient voir au lieu de l'assistante sociale. Elle décide en l'ayant vu 30 minutes que le gamin serait mieux sur tablette et sans concertation avec l'équipe, elle lance les démarches. La maman se retrouve avec une vague supplémentaire de démarches administratives à faire pour officialiser l'utilisation d'une tablette à l'école, obtenir une aide financière et avancer les 1000 euros nécessaires. Elle se retrouve aussi avec l'obligation d'apprendre à son gamin l'utilisation de la tablette et donc mettre en route une prise en charge chez une ergothérapeute parce que quand c'est dans le cadre scolaire, tout doit être officialisé vu que ça entrera en compte dans la passation des épreuves certificatives. Le tout en moins d'une semaine parce que l'école insiste sur l'urgence de tout ça.
Coup de fil bien énervé au directeur de l'école pour lui demander des comptes et lui dire que prendre des décisions pour mon patient sans m'en parler, c'est non et ajouter une telle charge mentale sur cette maman, c'est non aussi. L'école n'est pas l'urgence en ce moment. L'école n'est jamais l'urgence, il faut dédramatiser les résultats scolaires et prioriser le bien-être, si la maman lâche maintenant c'est tout le bateau qui coule.
Petit loulou de 11 ans, famille séparée. La copine du papa est psy et dit que le gamin est autiste. Il n'est pas autiste, il a subi le décès de son papy, qui était une personne très importante pour lui, alors qu'il était en pleine émergence du langage, vers ses 2/3 ans. Je le sais bien, j'y étais. Il a développé un mutisme sélectif, on a réglé ça petit à petit et c'est devenu un moulin à paroles mais son non-langage de quelques années l'a rendu plutôt contemplatif, très attentif aux details et très capable de lire dans le non-verbal des gens. C'est suffisant pour que madame neuneu le prenne pour un autiste (d'autant qu'il a décidé de ne pas lui adresser la parole) et mette ses copines sur le coup pour affirmer son diagnostic qui ne tient à rien. En plus d'être dangereux pour sa santé mentale, c'est totalement anti-déontologique. Il n'est pas autiste, il n'a même pas un début de symptôme d'autisme. Du coup on est 8 ans plus tard et je vais faire passer un testing à mon petit poussin devenu grand pour prouver au monde entier et surtout à lui-même qu'il n'y a rien qui cloche chez lui.
Petite choupinette de 6 ans avec une agénésie du corps calleux, elle est passée par toutes les hypothèses depuis ses 3 ans. TSA d'abord, vite mis de côté grâce à la courbe de progression qu'elle a montrée lors des séances (elle est passée de jargonophasie à un langage normal en moins de 2 ans), tdah ensuite, mais je n'y crois pas une seule seconde. Puis dysphasie pragmatique. La pragmatique c'est cette branche du langage qui est suffisamment floue pour que beaucoup de professionnels lui tombent dessus. Ça fait 3 ans que je travaille avec, en collaboration avec sa psy. Elle a un profil HP et une angoisse liée à ce profil, c'est ce qui induit les comportements parfois bizarres qu'elle peut avoir, dans sa gestion propre de sa sensibilité et de ce qu'elle comprend du monde et des gens du haut de ses 6 ans. Mais des personnes qui la voient 20 minutes ont administrativement + de poids sur son diagnostic que sa psy et moi, qui la voyons depuis 3 ans.
Du coup on entame le parcours du combattant qui dit "Désolée madame la neuropediatre hyper reconnue, mais votre diagnostic n'est pas le bon"
Voilà voilà. Sinon ça va hein. Faut juste bien s'accrocher.
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ironfistred · 17 days ago
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Bonjour, je vais commencer par publier ma première histoire sur la croissance. Je tiens à préciser que je suis débutant en matière d'histoire donc elle risque d'être assez courte et peut-être pas aussi excitante que mes prédécesseur.
Alan était un jeune homme très fin, sans charisme et peu viril. Il aimait les hommes et les femmes mais personne le remarquait. Il passait inaperçu et avait peu d'ami. Il se sentait faible et manquait d'assurance. Il décida de prendre de se prendre en main. Alors, Alan s'inscrit à la salle de sport à côté de chez lui pour devenir plus fort et plus musclé.
Alan était trop timide et peureux pour partir à la salle de sport. Il avait peur du regard des autres et il était agoraphobe. Alan se mit en tête de partir à la salle de sport 1h avant la fermeture. Il se dit qu'il aurait le temps de faire sa séance et qu'il y'aurait peu de personne à cette heure-ci.
Le premier jour à la salle, il était perdu. Il ne savait pas quel exercices il devait faire. Il y avait quasiment personne. Les quelques personnes présentes était concentrées sur leurs exercices. Donc personne ne pouvait l'aider et le conseiller. Il essaya les différentes machines de musculation mais les charges étaient trop lourde pour lui. Il n'arrivait à rien. Il se sentait frustré de ne pas réussir à soulever des poids. Il commença à rassembler ces affaires pour rentrer chez lui. Mais juste avant de partir, il vit un bel homme musclé, viril et transpirant rentrer dans les vestiaires. Il devait avoir finis sa séance de musculation. Alan décida finalement de suivre ce bel homme dans les vestiaires. Il fit semblant d'avoir oublié quelque chose dans les vestiaires. Il voulait absolument se rincer l'œil discrètement sur ce bel étalon. Dès qu'Alan rentra dans les vestiaires il sentit une forte de transpiration et de pieds. Il reconnu l'odeur de ce mâle. Malheureusement pour lui, il n'y avait personne dans les vestiaires, aucun bruit. Alan était persuadé avoir vu cet homme rentrer dans les vestiaires mais il n'y avait rien en dehors d'un short blanc posé sur le banc. Ce short blanc n'avait rien de spécial mais Alan était étrangement attirer par ce short. L'odeur était de plus en plus forte près du banc. Alan se rendait compte que l'odeur émanait du short blanc. Il se rapprocha du short, puis de manière inexpliqué il le prenait dans ces mains. Il était hypnotisé par le short. Il sentit le short blanc. L'odeur était incroyable pour Alan. Le short sentait la transpiration, le musc et étonnamment les pieds. L'odeur était tellement enivrante qu'il commença à bander. Alan voulait absolument porter ce short, il était obnubilé par le short et ces odeurs. Son rêve était de garder ces odeurs sur lui, toute la journée. Il s'enferma dans les douches, il s'est mit tous nu. Il commença à enfiler le short au niveau de ces jambes. Ces jambes grandirent. Il senta ces pieds grandirent et grossirent. Ces pieds sentait le musc et la transpiration. Alan n'était pas horrifié, il aimait cette sensation de chaleur et cette odeur le parcourir.
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Il commença à l'enfiler sur sa queue. Au bout de quelque secondes, il se sentit sa queue croître. Il ressenti un plaisir immense traverser sa queue. Il se mit à gémir. Le plaisir remonta vers ces abdominaux. Ils commençaient à devenir aussi dur que du béton
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Le plaisir monta jusqu'à ces pecs. Ces pecs devenaient proéminent et volumineux. Ces aisselles devenaient poilus et puante. Alan aimait cette odeur sous ces aisselles. Le plaisir monta jusqu'à sa tête. Une barbe commença à pousser sur son visage. Alan était imberbe jusqu'à présent. Son visage se remedola. Alan se mit à se branler. Il toucha sa longue queue sensible. Le plaisir devenait si intense qu'il se mit à éjaculer des flots de sperme sur le sol. Puis Alan s'est évanoui dans la cabine de douche.
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Lorsqu'il se réveilla, il oublia tous ces anciens souvenirs à propos d'Alan. Il s'appelait maintenant Aiden. De nouveau souvenirs commença à émerger. Il se rappelais qu'il était un pratiquant de muscu et un ancien capitaine de l'équipe de lutte au lycée. Il était adulé par tous les garçons de sa classe. Il s'est tapé beaucoup de fille et beaucoup de mecs dans sa vie. La chose qu'il aimait le plus en dehors du sport c'était le sexe. Il aimait qu'on s'occupe de sa queue mais aussi de ces pieds transpirant. Aiden aimait cette odeur après la muscu. Aiden s'est habillé. Il ne voulait pas se doucher après sa séance de musculation car un petit minet l'attendait chez lui. Ce petit minet devait lui décrasser ces pieds de taille 46 et lui pomper tous son jus.
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clubvideotapes · 1 month ago
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Johnny Mnemonic, 1995
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En 2021, la société est marquée par un Internet virtuel, qui a engendré un effet dégénératif appelé « syndrome d'atténuation nerveuse » ou NAS. Les mégacorporations contrôlent une grande partie du monde, intensifiant l'hostilité de classe déjà suscitée par le NAS.
Johnny est un « coursier mnémotechnique » qui transporte discrètement des données sensibles pour des entreprises dans un dispositif de stockage implanté dans son cerveau, au prix de ses souvenirs d'enfance. Son travail actuel est pour un groupe de scientifiques à Pékin. Johnny rechigne d'abord en apprenant que les données dépassent sa capacité de mémoire, même avec compression, mais il accepte, étant donné que les frais élevés couvriront le coût de l'opération pour retirer le dispositif. Johnny garde secret le fait qu'il est surchargé ; il doit extraire les données dans les prochains jours, sous peine de subir des lésions cérébrales mortelles et de corrompre les données. Les scientifiques cryptent les données avec trois images aléatoires provenant d'un flux télévisé. Alors qu'ils transmettent ces images au récepteur à Newark, dans le New Jersey, ils sont attaqués et tués par des yakuzas dirigés par Shinji, qui manie un fouet laser. Johnny combat les yakuzas, s'empare d'un fragment des images de la clé de cryptage et s'échappe. Shinji rapporte son échec à son supérieur, Takahashi. Leur conversation révèle que les yakuzas travaillent pour le compte de Pharmakom, une mégacorporation. Johnny est témoin de brèves projections d'une intelligence artificielle féminine qui tente de l'aider, mais il la repousse.
À Newark, Johnny rencontre son agent Ralfi, qui le trahit. Johnny est sauvé des yakuzas par Jane, une garde du corps cybernétiquement améliorée, ainsi que par des membres des Lo-Teks, un groupe anti-establishment, et le chef des Lo-Teks, J-Bone. Ralfi est découpé en morceaux lorsqu'il se met en travers du chemin de Shinji. Jane emmène Johnny chez Spider, le médecin qui a installé les implants de Jane. Dans une clinique, Spider révèle que son association caritative médicale était destinée à recevoir les données des scientifiques de Pékin, qui ont mis au point un remède volé contre le NAS. Spider affirme que Pharmakom refuse de divulguer le remède parce qu'elle profite des traitements d'atténuation. La partie des images cryptées que Johnny a prises, ainsi que le morceau que Spider a reçu, ne sont pas suffisantes pour décrypter l'esprit de Johnny. Ainsi, Spider suggère qu'ils aillent voir Jones à la base des Lo-Teks. Soudain, un assassin engagé par Takahashi, connu sous le nom de 'The Street Preacher', les attaque, tuant Spider alors que Johnny et Jane parviennent à s'échapper.
Les deux hommes atteignent la base Lo-Tek et apprennent de J-Bone que Jones est un dauphin autrefois utilisé par la Marine, qui peut les aider à décrypter la charge utile de Johnny. Alors qu'ils commencent la procédure, Shinji et les yakuza attaquent la base. Takahashi apparaît et affronte Johnny, le tenant sous la menace d'une arme, avant que Shinji, dans un retournement de situation inattendu, ne tire sur Takahashi. Johnny et Shinji se battent, culminant avec Johnny tuant Shinji. Avant de mourir, Takahashi change d'avis et remet une partie de la clé de cryptage à Johnny. Cela ne suffit cependant pas à décrypter complètement les données. J-Bone dit à Johnny qu'il devra pirater son propre esprit avec l'aide de Jones. Johnny, Jane, J-Bone et les Lo-Teks vainquent les forces restantes envoyées à leur poursuite. Le prédicateur de rue arrive et, après un combat, est électrocuté à mort par Johnny et Jane.
La deuxième tentative commence et, aidé par l'IA féminine, Johnny décrypte les données tout en récupérant simultanément ses souvenirs d'enfance. L'IA se révèle être une version virtuelle de la mère de Johnny, qui a fondé Pharmakom et a été irritée par les actions de l'entreprise. Alors que J-Bone transmet les informations sur le traitement NAS sur Internet via des diffusions pirates, Johnny et Jane regardent de loin le siège de Pharmakom partir en flammes sous le tollé général. Pour célébrer l'événement, J-Bone se débarrasse du cadavre carbonisé du prédicateur de rue en le jetant dans les eaux de Newark.
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thebusylilbee · 4 days ago
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Le ministre de l’Intérieur s’est dit mardi 21 janvier «très proche» du «combat» de ces «féministes identitaires», proches de toutes les sphères d’extrême droite possibles et imaginables.
C’est leur «combat», et c’est aussi le sien. Mardi 21 janvier, Bruno Retailleau a affiché son soutien admiratif au collectif Némésis, ces «féministes identitaires» (même si elles ne revendiquent plus ce terme qu’elles chérissaient initialement) qui dénoncent les violences faites aux femmes uniquement sous un prisme raciste et sont proches d’à peu près toutes les sphères d’extrême droite – des plus institutionnelles comme le RN aux plus radicales, royalistes et nazifiantes, comme l’a largement documenté Libé. Interrogé par leur porte-parole Alice Cordier (un pseudo) sur une possible dissolution du groupe antifasciste la Jeune Garde (dont était membre Raphaël Arnault avant d’être élu député LFI, avec qui Cordier est en guerre ouverte), le ministre de l’Intérieur a donc validé cette possible «solution» et, surtout, «félicité» le groupuscule pour son action , s’en disant solidaire : «Némésis […], bravo pour votre combat, vous savez que j’en suis très proche.»
Cette déclaration d’amour était faite en tant qu’invité d’honneur du centre de réflexion sur la sécurité intérieure , un think tank cofondé par l’avocat Thibault de Montbrial, ex-conseiller sécurité de Valérie Pécresse à la présidentielle 2022 avant de rejoindre le «comité stratégique» du média zemmouriste Livre noir (devenu Frontières) en 2023. «Pour la première fois depuis notre création, nous avons l’impression d’être entendues par les pouvoirs publics. Nous ne lâcherons rien», s’est gargarisé sur X le collectif Némésis , qui fait régulièrement la fête et prépare ses actions dans le manoir de Jean-Marie Le Pen mis à leur disposition – elles étaient aussi présentes à la messe d’hommage au fondateur du FN.
«Immense fierté»
Extatique après les louanges tressées et ce brevet en normalisation décerné par le ministre d’Etat, Alice Cordier a quant à elle exulté : «Après des années d’humiliations, de comptes bancaires qui sautent, de réseaux sociaux censurés, de violences par des militants d’extrême gauche, d’articles à charge… Après tout ça, j’ai été félicitée par notre ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Immense fierté.» Enfin la consécration pour celle qui a débuté avec les royalistes de l’Action française et a été proche de la bande néonazie des Zouaves Paris qui, après leur interdiction par les autorités, ont réactivé le GUD et poursuivi dans la violence.
Peu nombreuses avec 200 militantes revendiquées, ces spécialistes d’une agit-prop xénophobe s’assurent régulièrement une belle visibilité médiatique. La réponse de Retailleau à leur interpellation sur la Jeune Garde a d’ailleurs été relayée par les médias traditionnels mais aussi, goulûment, par ceux de la fachosphère : Valeurs Actuelles, Frontières, Fdesouche… La directrice de la publication de Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel, a ainsi salué sur X le premier flic de France, «bien plus courageux» que son prédécesseur Gérald Darmanin, qui n’aurait jamais félicité ainsi le collectif, selon elle. En réponse, Alice Cordier s’est esclaffée : «Darmanin nous aurait dissous s’il avait pu.» C’est dire.
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kibbits · 1 month ago
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Oh my gooodd braced myself for a month to call the government medical insurance line because my pharmacy charged them instead of my workplace insurance for like a year, i was expecting a 8h+ on the line with them and then the same with my own insurance
Instead it was a whole entire 1 minute of wait and a 5 min phone call, and then they're just gonna send an état de compte that i'll follow through to the work insurance and theyll do all the work, thank god
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les-epees · 1 month ago
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« Oui, Saint Michel, apprenez-nous à être de bons soldats qui ne connaissent que leur Patron, leur Chef. Ainsi notre obéissance amoureuse fera dire que nous ne connaissons que lui, Dieu, le Chef à travers tous les autres, intermédiaires entre lui et nous. Chez les paras, il faut obéir, strictement, c'est capi- tal. Quand on saute, il faut obéir à la sonnette, au largueur, à la voilure au vent. Partout ce sera la même discipline et puis au jour de la mort elle-même, apprendre à sauter à pieds joints dans le monde de Dieu. En nous habituant à la mentalité de ce monde des esprits, à nous dépouiller, à nous dépasser dans un amour vrai des autres, à égalité avec soi-même. Oh! Je sais bien que, jetant un coup d'œil sur toute mon existence au mi- lieu de ces hommes, sur tous ces bataillons et ces régiments, je me rends compte que les paras sont plutôt terre-à-terre, matérialisés pour le moins. Mais que de belles âmes, que d'élites on y trouve à tous les échelons et les efforts pour se spiritualiser sont plus réels qu'on ne pense. Chacun, chaque jour, comme il le sait, comme il l'entend, comme il le peut, avec ses élans et ses retombées, se spiritualise parfois acculé par celui qui se charge, souvent, de le forcer, Dieu, le maître des Anges et des hommes. Alors ça grince un peu, puis le paquet et Dieu premier servi. »
Richard Kalka, Père Jego, Un Prêtre un Para une légende
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rizwans · 2 years ago
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bientôt(-ish) sur vos écrans : la banque administrative des rpgistes, ou BAR, par la communauté pour la communauté, un service open source permettant d’alléger la charge de travail dans le cadre de construction administrative d’un forum et ainsi de se concentrer sur l’aspect créatif. parce que c’est plus possible de se tirer constamment dans les pattes et qu’on va pas réinventer la roue à chaque fois qu’on ouvre un forum, et que cette commu mérite mieux que la méfiance généralisée !  en cours: pour le moment, j’ai créé un espace sur gdrive où je suis en train de répertorier les textes administratifs nécessaires :  - réglement - formulaires (avatars, double-compte, points, absences) - vos idées (drop a comment ou hit me up par mp - les suggestions seront toutes étudiées)
next steps: - définir le processus de validation d’une contribution (sur quels critères on se base histoire de garantir une cohérence et une qualité communes à tous les textes) - définir la gouvernance sur le long terme (qui valide, qui vérifie, comment) - ouvrir le projet en alpha pour obtenir du feedback sur le bon fonctionnement afin d’affiner les processus pour ensuite ouvrir le BAR à tous.tes :) stay tuned! 
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almanach-international · 16 days ago
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13 janvier : le nouvel an berbère des Marocains
Au Maroc, les Berbères (Amazigh) entrent aujourd’hui dans l’an 2975 de leur calendrier. C’est Yennayer (ⵢⴻⵏⴰⵢⴻⵔ), le nouvel an berbère.
Quelques années après l’Algérie, Yennayer est désormais férié (chômé et payé) au Maroc, officiellement depuis 2024. Mais, les deux pays ne le fêtent pas le même jour, ce qui a bien l’air d’arranger les uns et les autres. L’Algérie l’a fêté hier, 12 janvier, au jourd’hui c’est au tour du Maroc où on a tenu compte du décalage de 13 jours entre le calendrier berbère et le calendrier grégorien (celui qui a cours aujourd’hui à l’international). D’ailleurs, il existe au Maroc dans certaines régions des célébrations qui en sont héritières, comme Hagouza, ou Hwadez, fêtées le 13 janvier. Ce sont des traditions agricoles communes aux Arabes et aux Amazighs, dont l’origine pourrait remonter à l’époque de l’Empire romain qui avait étendu son influence au Maghreb. Le calendrier berbère est d’ailleurs calqué sur le calendrier julien, celui des Romains de l’Antiquité.
« C’est une fête liée à la terre issue d’une tradition ancestrale et porteuse d’une forte charge identitaire pour le peuple marocain et pour tous les peuples du nord d’Afrique », explique l’anthropologue Houcine Bouyaâkoubi. Ce qui n’a pas empêché quelques prédicateurs islamistes, comme Abdelatif Al Maghrebi ou Cheikh Hassan Kettani de décréter cette fête haram car d’origine païenne. Yennayer est avant tout lié à un moment de répit des agriculteurs après le dur labour et avant l’éclosion des premières semences. Cette fête antérieure à l’arabisation et à l’islamisation du pays connaît aujourd’hui un net regain d’intérêt dans tout le Maghreb berbère comme dans la diaspora européenne.
« Assougass mbarki », « Bonne année », « sana amazighia saïda » ! Yennayer se fête en famille autour d’un grand repas comprenant couscous aux sept légumes, poulets rôtis et dinde, blé concassé au lait et au miel, tchicha, œufs et fruits secs... Il s’agit de commencer l’année dans la bonne humeur !
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 13 janvier 2025
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sabinerondissime · 7 months ago
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Depuis que je publie des selfies sur Threads, mon compte est envahie de faux profils et d'hommes en recherche d'une femme, peu importe son apparence, du moment qu'elle veut ! Vous allez me dire, c'est le jeu ma pauvre Lucette (Non, je ne m'appelle pas Lucette!) et je l'accepte. Je ne réponds ni à leur messages, ni à leur commentaires débiles, cela va de soi. Au début, je les bloquais systématiquement mais si mon compte a doublé son nombre de followers en quelques jours, c'est aussi parce qu'ils se sont abonnés. Je devrais peut être leur dire merci ? Non, quand même pas. Vu la vitesse avec laquelle ils créés des profils, les signaler, les bloquer ça ne sert à rien. Il faudrait passer mon profil en mode privé pour m'en protéger mais ce n'est pas le but. En fait, ça m'amuse autant que ça m'agace (Oui, je suis une femme, je peux ressentir ces 2 émotions en même temps !) Donc je laisse en l'état, de toute façon, ils n'insistent pas, ils tentent avec 20 femmes en même temps (c'est si facilement vérifiable sur Threads en plus !) mais quand on les ignores ils ne reviennent pas à la charge. C'est au moins ça.
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camisoledadparis · 19 days ago
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saga: Soumission & Domination 372
Noël 2015-2, l'annexe 1
24 au soir.
Nous sommes tous invités chez Emma. Pablo (frère d'Ernesto et son cuisinier) a demandé l'aide de Nathan. Comme ce dernier a commencé sa journée chez Julien afin d'honorer toutes les commandes de la boutique, il est un peu fatigué quand nous arrivons vers les 18h.
Pour faire plaisir à Emma nous sommes tous " habillés " c'est-à-dire costume cravate. Pour nos trois invités, j'ai tapé dans les placards de mes escorts pour trouver leurs tailles adéquates.
Duke est un peu troublé, pour lui c'est la première fois qu'il porte ce type de vêtement, plus habitué au style décontracté de la côte Ouest. Quand il s'aperçoit qu'il peut quand même bouger et que le tissu suit ses mouvements, ça va mieux.
Emma est ravie de parler Anglais. Mes amis s'étaient fait une tout autre idée de ma " mère " même si je leur avais dit qu'elle faisait encore très jeune !!
Diner délicieux bien sûr, Pablo et Nathan s'étant surpassés comme toujours. Nous aidons tous au service afin qu'ils ne passent pas tout leur temps en cuisine mais puissent être avec nous tous.
Au moment de partir, je reste avec Ernesto, PH et Ludovic sur place. Nathan rentre au Blockhaus fêter Noël avec ses deux amis
Nous passons les 3 heures qui suivent à faire l'amour à Emma. L'intensité est d'autant plus forte que notre séparation a été longue (je compte par notre passage rapide de mi-novembre). Nous investissons sa chambre avant de faire de même avec son corps. Elle est bouillante ! Nous n'avons pas fini de la déshabiller que ses tétons sont durs comme de la pierre. Le premier je pose ma main sur son sexe et je sens son clitoris dans le même état. J'arrache sa culotte en dentelle et plonge ma tête sous sa jupe. Mes trois comparses se charge de lui faire garder l'équilibre que l'aspiration dans ma bouche de ce petit appendice compromet.
Le sol se jonche de nos différents vêtements jusqu'à ce que, nus, nous nous pressions contre elle. Sa bouche, sa chatte et son oignon reçoivent la visite de nos sexes turgescents. Bien que glissant avec facilité dans ses trois trous, nos bites se trouvent bien serrées par ses muscles internes hypertoniques. Aux doubles pipes s'enchainent les prises de chatte par deux queues tout comme les doubles sodo. L'optimum est atteint alors que je la sodomise avec Ernesto (tous les deux couchés sur le dos, elle nous chevauche en se couchant dos sur mon torse pour dégager sa chatte. PH s'agenouille au-dessus du nombril d'Ernesto pour enfiler le vagin Emma. Il ne reste plus à Ludovic devenir se faire pomper pour que chacun trouve sa place.
Les mains sur les haches d'Emma je donne le tempo de cet enchevêtrement de corps. Ses cris de plaisir doivent traverser les murs. Les nôtres ne sont pas moins retenus. Heureusement que Pablo loge au-dessus des garages sinon il n'aurait pu tenir de nous entendre baiser pareillement.
Je suis le premier à venir. J'englue le gland d'Ernesto mais bientôt ses spermatozoïdes rejoignent les miens. Puis c'ets au tour d'Emma de partir en vrille. PH jouit de se faire serrer la queue par ses muscles vaginaux alors que Ludovic, à nous entendre tous, part à l'autre extrémité du corps supplicié de plaisir.
Désemboitage lent, nos queues encore excitées ne débandent pas rapidement. Sur le dos, deux de ses hommes de chaque côté, Emma nous remercie. C'est à ce moment-là que je remarque un nouvel aménagement : le plafond tapissé de glaces, réfléchissant son corps alanguis.
C'est Ernesto qui lui demande si esthétiquement notre dernière position sortait du lot des positions " classiques ". Réponse : " je n'ai pas vu grand-chose avec Ludovic qui me tenais la tête pour me défoncer la gorge ". Excuses de ce dernier, vite acceptées.
25 décembre :
Réveil difficile quelques heures plus tard. Douche glacée pour achever de retrouver nos esprits, petit déjeuner léger en prévision du repas de Noël au Blockhaus. On dévalise ma garde-robe locale puisque le dresscode est " casual ".
On arrive à la maison en même temps que Côme avec ses parents. C'est la première fois qu'ils viennent. Ils sont impressionnés par l'extérieur. Cette façade aveugle, juste percée d'étroites " meurtrières " verticales explique le surnom de la maison. Le fait qu'à droite mon acquisition reprenne le même type d'ouverture ainsi que le bâtiment de notre voisin de gauche (ce que je n'apprécie pas particulièrement même si elles sont disposées horizontalement !), renforce encore l'effet.
Nous entrons. J'explique l'usage des différents niveaux sans épiloguer sur celui de ma société. Ce n'est qu'en ouvrant la porte du monte-charge à l'étage de vie que je pense aux projections des " déjeuner sur l'herbe " joués par mes amis. Trop tard !
Alors qu'Enguerrand embrasse ses parents, je m'avance et m'aperçois que quelqu'un y avait pensé aussi et le mur ne reflète qu'une vue du golden gate de San Francisco depuis Télégraph Hill.
Il ne reste pas moins les deux cariatides aux hanches pudiquement recouvert de serviettes très étroites pour une fois. Heureusement la lumière en provenance de la piscine surplombant la cuisine attire leurs premiers regards.
Comme je m'étonne de ne pas voir de grande table, Samir exceptionnellement vêtus pour l'occasion (tout comme Ammed) m'explique que tout est installé sur la terrasse. Nous restons donc à ce niveau le temps que les derniers invités arrivent. Ils font connaissance avec les autres habitants de la maison. Côme leur avait déjà expliqué qu'ils n'y auraient qu'Emma et la mère de Max comme éléments féminin en sus de sa mère et, j'ai su plus tard, qu'il leur avait aussi demandé de ne pas trop poser de question sur qui était avec qui, ce qui leur éviterait de se faire des idées déplacées !
Les parents de Max arrivent enfin. Leur fils va les accueillir au rez-de-chaussée. Le père, qui était déjà venu pour suivre ma convalescence s'était chargé d'avertir sa femme. Malgré ça, je l'ai vue tourner la tête dans tous les sens dès sa sortie du monte-charge.
Les bouchons de champagne sautent et les verres se remplissent comme les petits fours arrivent. Les jeunes aident mes Hommes de service le tout dans une ambiance assez bruyante.
Pour les cadeaux nous sommes priés d'accéder à la terrasse, enfin !!
Pas de sapin décoré, ils m'ont bien eu ! Par contre je découvre que le mur mitoyen avec notre nouveau voisin a été abattu et que l'espace des deux cours a été redistribué. Le grand tatami et les agrès de gymnastique ont migré de l'autre côté, laissant de nouveau un espace plus conséquent à la végétation.
Là, mes amours (Marc, PH, Ludovic et même Ernesto) me souhaitent un joyeux Noël et m'expliquent qu'ils avaient fait l'acquisition du bâtiment voisin pour y installer un parking + au premier étage une salle d'art martial plus conséquente que le petit espace du Blockhaus et au second un appartement communautaire destiné à remplacer la colocation que je louais et permettre à plus de mes escorts d'y loger.
Les fous !!
Emma sort du sac qu'elle avait amené avec elle, 13 boites étroites recouverte d'un papier glacé noir. Pablo fait la distribution. Les américains sont ravis mais un peu gênés d'avoir le leur. On ouvre pour y trouver une grosse montre Suisse. Le même modèle pour tous juste gravé d'un " 2015 ". Elles rejoignent toutes les poignets et chacun d'admirer l'effet qu'elle fait sur le sien.
Moi je distribue aux deux couples (parents de Max et ceux de la fratrie) des enveloppes. Dedans j'ai mis un bon pour un séjour à San Francisco voyage compris évidement. Pour les autres, mes amours un nouveau jonc en or, gris cette fois qui rejoignent aussitôt ceux précédemment offerts à leur bras droit. Mes deux escorts de maison (Joao et Romain) reçoivent un I-phone 6 tout comme Pablo. Pour les invités d'outre atlantique, j'avais demandé à PH d'aller chercher chez mon joailler de Paris trois anneaux en or, plats gravé du 25-12-15. En plus pour Duke qui avait dit à la triplette combien il kiffait trop le fait que j'ose porter des bracelets en plus des différents anneaux, chevalière et pendant d'oreille, un beau saphir à accrocher à son percing d'oreille. Dane me dit que j'ai fait une folie et que son garnement de frère ne valait pas ça. Quand je le lui accroche, sa couleur rehausse celle de ses yeux. Il me saute au cou et me dit qu'il y avait pensé mais n'avait pas osé faire le pas.
Mes trois " petits frères " sont ravis de sa surprise vu qu'ils étaient à l'origine de ce cadeau. Ils l'entourent et Côme doit aller leur dire de mettre un peu de discrétion à leurs effusions rapports aux parents. Leurs bisous avec la langue ça finirait par choquer.
Emma reçois de ma part des boucles d'oreilles de chez Tiffany.
Je reçois des parents de Max et des 3 frères une caisse de 6 bouteilles de Romanée-Conti. Une folie pour eux ! Je les engueule gentiment.
Je prends un peu de temps avec eux, heureusement qu'Emma les avait " coachés " à leurs arrivées. Après m'avoir remercié une nouvelle fois, surtout quand je leur ai dit qu'à San Francisco ils auraient un véhicule pour se promener, ils admirent ce que nous avons fait de cet ensemble d'entrepôts industriels. Pour les sculptures d'Alban, ils sont moins fans mais trouvent amusant que j'ai repris l'utilisation de cariatides pour le soutien de la piscine à l'étage en dessous.
Le déjeuner est merveilleux et je suspecte Pablo d'y avoir mis son grain de sel. C'est confirmé par l'intéressé quelques minutes plus tard.
 Dès le café avalé, avant la visite de mon " voisin ", j'ai juste le temps de sodomiser Enguerrand venu me retrouver alors que je faisais mes ablutions de sortie de table.
Ce petit obsédé m'avait collé aux basques et alors que je me lavais les mains, il m'a descendu pantalon et slip avant d'emboucher ma bite qui déjà se remplissait de sang. Raide en moins d'une minute, je le retourne et l'enfile coincé contre le lavabo. Il tend sa tête en arrière pour qu'on se roule un patin pendant l'action. Mes vas et vient sont rapide mais profond et il ne peut retenir, à chacun de mes coups de rein, un gémissement significatif. On va se faire griller si nous restons trop longtemps absents. J'accélère le rythme, ses gémissements suivent jusqu'à ne plus être entrecoupés de silence. Quand il jute dans le lavabo, sa rondelle me bloque et me fait éjaculer. Trop bon ce petit coup en douce !! Je pilonne encore deux trois fois son cul pour bien propulser mon sperme tout au fond et je ressors brutalement. Ça tire un dernier gémissement d'Enguerrand qui me dit que ça lui fait tout d'un coup froid. On se nettoie un brin, se réajuste l'un l'autre pour effacer les traces de nos turpitudes puis on rejoint le monde.
Je me fais direct grillé par PH et Ludovic qui voient dans mes yeux comme un reflet de satiété !! Tout bas ils me traitent d'obsédés et quand Enguerrand nous rejoint, ils savent qui en a bénéficié.
La nouvelle Annexe 2:
L'entrepôt fait 30m de façade sur 15 de profondeur. Le rez-de-chaussée est organisé en parking. Ici aussi le monte-charge existant a été rénové mais pas transformé en ascenseur comme au Blockhaus.
Le premier étage : un sas d'entrée pour isoler la salle de sport. Un seul plateau organisé en trois grands tatamis et au fond contre le mur mitoyen les sanitaires séparés de la grande salle par une paroi en verre juste sablée au niveau des hanches. On voit quand même 2 portes pleines cachant des WC et une série de douches (pommes zénithales) sans séparation couvrant le reste du mur soit pas loin de 11m avec devant un lavabo circulaire à 4 robinets.
Le mur côté rue est recouvert de glaces et celui de la cour est percé de grandes fenêtres du plafond à 50cm du sol, la partie basse servant de banc. Quelques barres d'assouplissement, sont réunies en faisceau à chacun des trois tatamis.
Le 2ème étage : on sort du monte-charge sur un palier occupé de grands placards pour mettre manteaux et chaussures. On entre directement dans un grand séjour avec cuisine ouverte sur la gauche. Toute équipée avec 3 blocs de cuisson et 4 frigos américains. La salle doit faire dans les 200m². Elle est séparées en  plusieurs coins salon/détente avec chacun leur grand écran plat (avec chacun 4 séries d'écouteurs) et une énorme table haute du côté de la cuisine pouvant accueillir une 15aine de convives.
Un sas contenant 4 WC sépare le côté jour du côté nuit. Puis viennent 8 chambres d'environ 25m² et au fond une salle d'eau commune sur le modèle de l'étage inférieur.
L'installation est encore vide, mes amours me laissant le choix des futurs " locataires/bénéficiaires ".
Alors que la triplette se verrait bien être les premiers occupants, levée de bouclier chez les parents. Déjà que quand ils sont chez eux (semaine chez Max et WE chez Enguerrand) ils se plaignent de ne pas les voir beaucoup, ici ils ne les verraient plus du tout.
Partie remise pour les jeunes !!
La cour, qui est couverte comme la nôtre, a récupérée toute la partie Gymnastique et les postes de musculations.
La soirée s'avance et c'est avec impatience que certains attendent le départ des invités (Emma et les parents).
Jardinier
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justforbooks · 2 months ago
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La France au bord du gouffre : Comment éviter le scénario grec ?
Alors que la dette française atteint des sommets vertigineux, les experts tirent la sonnette d'alarme. La crainte d'une crise à la grecque se fait de plus en plus pressante. Découvrez pourquoi l'Hexagone pourrait bientôt faire face à un séisme économique sans précédent et quelles solutions s'offrent à nos dirigeants pour éviter le pire.
Le compte à rebours de la dette : La France en zone rouge
L’économie française montre des signes de faiblesse inquiétants. La croissance est en berne, le chômage repart à la hausse, et l’inflation, bien que relativement maîtrisée, continue de ronger le pouvoir d’achat des Français. Le déficit public a atteint le chiffre de 154 milliards d’euros en 2023, creusant encore davantage le gouffre de la dette.
La dette française a franchi un nouveau cap alarmant, atteignant 3159 milliards d’euros. Ce chiffre, déjà astronomique, ne tient pas compte des engagements hors bilan qui dépassent les 4000 milliards d’euros. Cette situation rappelle dangereusement celle de la Grèce avant sa descente aux enfers économique. La charge de cette dette devient de plus en plus lourde : les intérêts devraient passer de 52 milliards d’euros en 2023 à 90 milliards en 2027. Un fardeau qui pèse lourdement sur les finances publiques et menace l’équilibre budgétaire du pays.
Les agences de notation financière ont déjà sanctionné la France pour sa gestion économique hasardeuse. Après avoir perdu son prestigieux triple A en 2012, l’Hexagone a de nouveau vu sa note dégradée en mai dernier. Cette perte de confiance des marchés se traduit par une hausse des taux d’intérêt auxquels la France emprunte. Actuellement, le pays doit payer environ 3,30% d’intérêts sur 10 ans, soit près de 1% de plus que l’Allemagne. Cette situation place la France dans une position délicate, l’obligeant à emprunter au même taux que le Portugal, un pays considéré comme bien moins stable économiquement.
Quand la dette française menace l’Europe
Si la France venait à connaître une crise de la dette similaire à celle de la Grèce, les conséquences pour l’économie nationale seraient désastreuses. Les experts prévoient une récession sévère, avec un recul du PIB estimé entre 15 et 20%. Une telle chute aurait des répercussions dramatiques sur l’emploi, la consommation et l’investissement. Le spectre du chômage de masse, de la pauvreté généralisée et de la détérioration des services publics, comme ce fut le cas en Grèce, plane sur l’Hexagone.
La France n’est pas la Grèce. Son poids économique et politique au sein de l’Union Européenne est bien plus important. Une crise de la dette française aurait des répercussions bien au-delà de ses frontières, menaçant la stabilité de toute la zone euro. L’UE, déjà fragilisée par les crises successives, pourrait se trouver face à un défi sans précédent. La question se pose : l’Europe aurait-elle les moyens de sauver la France comme elle l’a fait pour la Grèce ?
Une crise majeure de la dette française remettrait en question le statut de la France en tant que puissance économique mondiale. La perte de crédibilité sur les marchés internationaux pourrait affecter sa capacité à peser dans les négociations commerciales et diplomatiques. Le « soft power » français, déjà mis à mal ces dernières années, pourrait subir un coup fatal.
Entre paralysie politique et urgence économique
La France traverse une période d’instabilité politique qui ne fait qu’aggraver sa situation économique. L’absence de majorité claire à l’Assemblée Nationale paralyse les réformes nécessaires. Cette paralysie politique survient au pire moment, alors que des décisions cruciales doivent être prises pour redresser les finances publiques.
Les différentes forces politiques proposent des programmes qui semblent déconnectés de la réalité économique du pays. Alors qu’il faudrait réduire les dépenses de 40 à 50 milliards d’euros par an, la plupart des partis promettent des dépenses supplémentaires. Cette surenchère électorale risque d’aggraver encore la situation si elle venait à se concrétiser.
Face à la dérive des finances publiques françaises, l’Union Européenne brandit la menace d’une mise sous tutelle. Cette perspective, humiliante pour la France, impliquerait une perte de souveraineté sur sa politique économique. L’UE exige déjà une réduction du déficit de 15 à 20 milliards d’euros par an, un objectif qui semble difficile à atteindre dans le contexte politique actuel.
Le syndrome grec : La France peut-elle éviter le même destin ?
La crise grecque de 2009 offre un miroir inquiétant à la situation française actuelle. Après des années de croissance artificielle alimentée par la dette, la Grèce s’est retrouvée au bord du gouffre. Le pays a dû faire appel à l’aide internationale, recevant 326 milliards d’euros en échange de plans d’austérité draconiens. Les conséquences pour la population ont été désastreuses : chômage massif, pauvreté généralisée, effondrement des services publics.
Bien que la situation française présente des similitudes troublantes avec celle de la Grèce pré-crise (dette élevée, déficits chroniques, réformes repoussées), il existe des différences notables. La France bénéficie d’une économie plus diversifiée et d’une meilleure réputation sur les marchés financiers. De plus, son poids au sein de l’UE lui confère un pouvoir de négociation plus important.
L’expérience grecque pose la question de l’efficacité des mesures d’austérité. Si elles ont permis de réduire le déficit, elles ont aussi plongé le pays dans une récession profonde dont il peine encore à sortir. La France doit-elle suivre cette voie au risque de sacrifier sa cohésion sociale et son potentiel de croissance ?
Les pistes de solutions pour redresser l’économie française
Pour sortir de l’ornière, la France devra engager des réformes courageuses. Une refonte du système fiscal visant à le rendre plus efficace et équitable pourrait stimuler l’activité économique. Parallèlement, une flexibilisation du marché du travail, si elle est menée de manière équilibrée, pourrait favoriser la création d’emplois et améliorer la compétitivité des entreprises françaises.
La réduction des dépenses publiques est inévitable, mais elle doit être menée de manière intelligente. Plutôt que des coupes aveugles, il s’agit d’identifier les sources d’inefficacité et de gaspillage. La digitalisation de l’administration, la lutte contre la fraude fiscale ou encore la renégociation de certains contrats publics pourraient générer des économies substantielles sans affecter la qualité des services publics.
Malgré la crise, la France ne doit pas renoncer à investir dans son avenir. L’innovation et la réindustrialisation sont des leviers essentiels pour relancer une croissance durable. Des secteurs comme les énergies propres, l’intelligence artificielle ou les semi-conducteurs offrent des opportunités de développement à saisir. Ces investissements stratégiques pourraient permettre à la France de se positionner favorablement dans l’économie de demain.
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anathemawitch · 7 days ago
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Adieu, Nous deux
Nous étions inséparables, c'était à la vie à la mort. Étant la moins extravertie, j'étais dépendante de sa présence et lui se sentait obligé de prendre soin de moi, son fardeau. Il ne s'en rend peut-être pas compte, mais moi je sais. Je suis l'obstacle, celle qui l'empêche de profiter de la vie. En raison de l'ambiguïté de nos rapports, chacune de ses relations échoue systématiquement. Je deviens la rivale malgré moi.
Il était celui sur qui je pouvais co upmpter en toute circonstance, celui qui comprenait mes silences et mes humeurs changeantes. Mais lui, il ne voyait pas le malaise qu'il créait sans le vouloir. J'étais devenue un fardeau pour lui, une obligation qu'il devait prendre en charge. Chaque fois qu'il tentait d'avancer dans sa vie amoureuse, je devenais malgré moi la rivale, celle qui suscitait la jalousie et la méfiance de ses conquêtes.
Malgré l'amour et la complicité qui nous liaient, je savais que notre relation était toxique pour lui. J'étais un frein à son épanouissement, un obstacle à son bonheur. Et pourtant, je ne pouvais me résoudre à le laisser partir. Nous étions inséparables, c'était à la vie à la mort. Mais à quel prix ? À quel prix devions-nous payer notre codependance destructrice ?
Je devais prendre une décision, pour son bien-être et le mien. Il était temps de laisser partir celui qui avait été mon roc, mon tout. Il était temps de le libérer de l'emprise que j'avais sur lui, de lui permettre enfin de vivre sa vie sans entraves. Nous étions inséparables, c'était à la vie à la mort. Mais parfois, l'amour vrai nécessite de laisser partir ceux qu'on aime le plus au monde. Et ce jour-là, j'ai compris que c'était le prix à payer pour vraiment les aimer.
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leblogdemarinaetjm · 13 days ago
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MARDI 14 JANVIER 2025 (Billet 2 / 3)
En lisant l’article ci-dessous, nous avons été scandalisés. Certes, le mot est un peu fort… mais, comme on le disait à une certaine époque : « il nous a interpelés » et nous avons eu envie de le partager avec vous.
C’est sûr, il y a des choses bien plus graves qui se passent en France mais rien n’est anodin et cette génération de jeunes danseurs de l’Opéra de Paris a des points communs avec beaucoup de Français qui râlent tout le temps et qui ne se rendent pas toujours compte de certains privilèges dont ils bénéficient…
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Ils ne veulent plus du concours, se mettent en grève à la moindre occasion : les jeunes nantis du ballet de l’Opéra de Paris
La jeune génération des danseurs de l’Opéra de Paris est frondeuse et revendicative. Elle se rebiffe car elle ne veut plus d’un concours créé en… 1860. Qui lui octroie pourtant de nombreux privilèges.
Il y a du rififi à l’Opéra de Paris ! Les danseurs de l’opéra chantent la carmagnole au son de la contestation. Et tout y passe ! La hiérarchie, les usages, et jusqu’aux règles ancestrales qui régissent l’auguste maison, dont la plus vénérable, celle du fameux concours annuel qui permet aux danseurs de monter en échelon. Autrement dit en grade et en salaire. On commence tout en bas comme « quadrille », on grimpe « coryphée », on passe « sujet » pour enfin, un jour peut-être, devenir « premier danseur(se) », ou, suprême et rare promotion, « étoile ».
C’est la célèbre Marie Taglioni nommée professeur de la classe de perfectionnement, et son collègue Bernard Sciot, professeur à l’École de danse, qui eurent l’idée d’un concours pour assurer la promotion des danseurs. Ils cherchaient, à juste titre, à éviter le fait du prince, et à évincer les mécènes trop influents. Tous ces amateurs de ballerines qu’on voit se presser dans les tableaux de Degas, et qui ne manquaient pas d’intervenir pour leurs favorites. Ces deux réformateurs avaient estimé qu’il serait plus juste que les promotions soient décidées par un jury indépendant.
Ils voyaient deux avantages à la chose : mater les intrigues d’alcôves, et professionnaliser le métier. Le premier concours, baptisé « Examen de la danse » eut lieu le 13 avril 1860. Dans le jury initial, on retrouvait Alphonse Royer, directeur de l’Opéra, Marie Taglioni, Amalia Ferraris, Emma Livry, Lucien Petipa et Louis Mérante. Tous faisaient autorité.
C’est tout cela que les jeunes danseurs d’aujourd’hui, gavés aux réseaux sociaux et aux réputations virtuelles, veulent voir disparaître. « Réfléchissons, leur a calmement proposé Alexander Neef, le directeur, pour tenter de dépassionner le d��bat. Il y a certes des inconvénients à un concours, mais aussi bien des avantages. » Il n’a pas été entendu. La fronde a redoublé avant les fêtes, aggravée par une grève aux lourdes conséquences. Plusieurs spectacles ont dû être annulés et parmi eux, le plus attendu peut-être, « Paquita » , le grand spectacle classique de fin d’année.
Les revendications pleuvent. Ainsi, les danseurs exigent que leur temps de maquillage et d’échauffement à la barre soient considérés comme partie prenante du spectacle, et payé en conséquence. Cette idée ne serait jamais venue à l’esprit d’aucun danseur de cette planète tant le maquillage et l’échauffement sont des préparations logiques et naturelles du spectacle. Sauf pour ceux de l’Opéra de Paris, qui sont les mieux payés au monde.
Pour mémoire, les danseurs des plus grandes compagnies américaines comme le New York City Ballet ou l’American Ballet Theater ne sont payés chaque année que dix mois sur douze. À charge pour eux de trouver des jobs d’été. De plus, les danseurs de l’Opéra de Paris sont les seuls sur cette terre à pouvoir prendre leur retraite pleine et entière à 42 ans. Curieusement, cette règle toute à leur avantage et instituée par Louis XIV, ils ne la contestent pas…
Leur mot d’ordre : du passé faisons table rase, à condition de garder les morceaux les plus savoureux. Et qu’a-t-on fait de la passion dans cette affaire ? De la grandeur de cette vocation ? On n’embrasse pas la danse comme une carrière de rond-de-cuir. Il faut, pour exceller dans un métier aussi difficile et contraignant, une formidable flamme intérieure. Il faut s’entraîner comme un sportif de haut niveau, suivre un régime alimentaire rigoureux, accepter les répétitions quand elles s’éternisent, et les desiderata pointilleux de certains chorégraphes.
Si danser n’est pas une sinécure, c’est une joie. Et entrer en scène, une apothéose. La carrière est courte. Et n’en déplaise à la CGT, les danseurs ne sont pas des bureaucrates, mais des demi-dieux qui nous font rêver, et que seule la passion porte au firmament. Celui des étoiles.
(Source : « Le Figaro du 3 janvier 2025 »)
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equipe · 1 year ago
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thebusylilbee · 8 months ago
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Mais ce gouvernement de GRANDS MALADES AU SECOURS !!!! Article complet copié collé en entier car réservé aux abonnés sous le "read more", parce qu'il est un peu long :
"Ce ne sont plus des « tours de vis » mais des coups de marteau que l’exécutif assène sur les droits des chômeuses et des chômeurs. Après avoir réduit, entre 2019 et 2023, les conditions d’accès, les montants et la durée des allocations, le gouvernement en remet trois couches, et sans lésiner.
Le premier ministre l’annonce dans La Tribune Dimanche : de nouvelles règles entreront en vigueur le 1er décembre prochain. Huit mois de travail, au lieu de six, seront nécessaires pour ouvrir des droits ; la durée d’indemnisation sera abaissée à quinze mois contre dix-huit et les règles plus favorables pour les séniors de moins de 57 ans seront supprimées.
La charge est violente. Pour la CGT, c’est même « la réforme la plus violente de tous les temps ».
Le décret sera publié le 1er juillet prochain et contiendra les arbitrages de l’exécutif, après un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux, reçus tout au long de la semaine par la ministre du travail, Catherine Vautrin. Cette dernière n’a même pas les honneurs d’annoncer les décisions – ses services ont, semble-t-il, été pris de court par Gabriel Attal. Après avoir annoncé en mars dernier la mise en chantier de cette nouvelle réforme, le premier ministre s’est réservé la primeur de ce coup de massue.
Travailler huit mois sur vingt pour ouvrir des droits
À compter du 1er décembre 2024, il faudra avoir travaillé huit mois pour bénéficier d’une allocation-chômage. Huit mois, contre six actuellement. Huit mois, contre quatre en 2019, avant l’entrée en vigueur de la première réforme. En cinq ans, l’exécutif aura donc fait doubler cette durée nécessaire tout en rétrécissant la période dite « de référence » au cours de laquelle des périodes d’emploi sont recherchées. En décembre prochain, les vingt derniers mois seront pris en compte, au lieu de vingt-quatre actuellement (trente-six pour les plus de 53 ans) et de vingt-huit mois jusqu’en 2019.
Tirer autant sur l’élastique permet de restreindre, toujours plus, le nombre de bénéficiaires d’allocations. Le nombre d’ouvertures de droit a ainsi baissé de 14 % entre 2019 et 2023, selon un premier bilan intermédiaire de la réforme, rendu public en février 2024. Cela correspond à30 000 ouvertures de moins par mois.
Si les conséquences du nouveau durcissement à venir ne sont pas encore chiffrées, on sait qu’il percutera en premier lieu les jeunes et les plus précaires, selon une étude d’impact de l’Unédic, gestionnaire de l’assurance-chômage, dévoilée par Le Monde mi-mai. Elle établit que les allocataires de moins de 25 ans et celles et ceux qui ouvrent un droit après une fin de CDD ou de mission d’intérim seront « surreprésentés » parmi les personnes les plus touchées par ce nouveau paramètre.
Interrogé sur cette étude par La Tribune Dimanche, le premier ministre botte en touche et affirme que le passage de quatre à six mois en 2019 « a marché et accéléré le retour à l’emploi ». Gabriel Attal cite là une étude de la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, le service statistique du ministère du travail) figurant dans le rapport intermédiaire de la réforme, mais n’en garde que ce qui l’arrange.
Certes, ce durcissement a eu « un effet positif et significatif » sur « la probabilité de retrouver un emploi dans les deux mois suivant la fin d’un contrat de plus de trois mois », mais il ne s’agit pas d’emploi stable, loin de là. Le rapport le souligne clairement : pour les plus de 25 ans, l’effet de la réforme est « exclusivement porté par une augmentation du retour en emploi peu durable : CDD de durée inférieure à deux mois ou mission d’intérim ».
Mais qu’importe. L’exécutif ne fait même plus semblant, comme en 2018, de vouloir lutter contre l’emploi précaire. Son mantra, c’est la baisse du chômage et l’incitation à la reprise d’activité alors que rien ne démontre que durcir les règles soit efficace. « Si nous ne réformons pas l’assurance-chômage aujourd’hui, nous risquons de caler sur la route du plein emploi », prévient Gabriel Attal. Emmanuel Macron disait peu ou prou la même chose le 22 mai, dans L’Express : « Cette réforme va renforcer l’efficacité de notre système d’indemnisation et les incitations au travail. »
Quinze mois d’indemnisation puis douze ?
Un mauvais coup en entraîne un autre. Réduire la période de référence à vingt mois au lieu de vingt-quatre va mécaniquement diminuer la durée maximum d’indemnisation. Elle passera de dix-huit mois à quinze mois en décembre.
En février 2023, cette durée avait déjà été rabotée de 25 % (de vingt-quatre à dix-huit mois) en vertu du principe de « contracyclicité », c’est-à-dire de modulation de la durée de versement des allocations en fonction de la conjoncture économique. Tant que le chômage est sous les 9 % (il est actuellement de 7,5 %), un coefficient réducteur est appliqué et il va l’être également sur la nouvelle période de référence.
La CFDT a alerté, jeudi 23 mai dans un communiqué, sur cet effet de bord faisant encore chuter la durée d’indemnisation, mais l’exécutif a sciemment maintenu le cap. Gabriel Attal ne s’en cache pas : « Oui, comme nous réduisons la période de référence d’affiliation, il y aura un impact sur la durée d’indemnisation. J’assume de dire que, dans les conditions actuelles, cette durée d’indemnisation passera donc de dix-huit mois à quinze mois. »
Et ce n’est peut-être pas fini… Le premier ministre annonce qu’une nouvelle baisse de la durée est dans le viseur du gouvernement. Si le taux de chômage atteint 6,5 %, les demandeuses et demandeurs d’emploi auront encore moins de droits car un nouveau coefficient réducteur sera appliqué. Matignon précise ce dimanche que la baisse sera de 40 %, soit une durée maximum d’indemnisation portée à douze mois pour les moins de 57 ans. Et à dix-huit mois pour les séniors. 
Fin de l’exception pour les 53-57 ans
Si la filière sénior n’est pas totalement supprimée – c’était le souhait de Bruno Le Maire –, elle va ressortir bien amochée de cette énième réforme de l’assurance-chômage. Actuellement, les 53-54 ans ont droit à une durée d’indemnisation plus longue (vingt-deux mois et demi), quand les 55 ans et plus peuvent percevoir des allocations durant vingt-sept mois maximum. À partir du 1er décembre, seul·es les 57 ans et plus continueront à bénéficier de ce régime d’exception. Ils perdront tout de même des droits, passant à vingt-deux mois et demi de durée de versements. Les autres perdront entre quatre et neuf mois de droits.
Pour inciter les entreprises à embaucher des séniors, le premier ministre dégaine le « bonus emploi » permettant de cumuler salaire et allocations-chômage. « Un sénior au chômage qui reprendra un emploi moins bien rémunéré que son emploi précédent pourra cumuler son nouveau salaire avec son allocation [...] pour atteindre le même salaire qu'il avait avant de tomber au chômage », précise Gabriel Attal.
Rien de coercitif, donc, pour les entreprises qui jettent des salarié·es jugé·es trop âgé·es. Mais tout pour les patrons qui cherchent de la main-d’œuvre, qualifiée et expérimentée, pour pas trop cher. « Je suis une entreprise, je balance tout le monde à 55 ans, et après deux ans de chômage je les récupère à moitié prix », commente dans Libération le président de la CFE-CGC, François Hommeril.
Affreuse réforme, belles économies
Bizarrement, Gabriel Attal n’assume pas les moindres dépenses que va engendrer cette nouvelle réforme. Questionné sur le sujet, il ose même affirmer que « ce n’est pas une réforme d’économie, mais de prospérité et d’activité ».Quelques jours plus tôt, le ministère du travail, pensant encore avoir la main sur le dossier, avait avancé un chiffre : 3,6 milliards d’euros d’économies.
Les deux premières réformes rapportent déjà plusieurs milliards d’euros par an. Selon l’Unédic, l’organisme qui gère les caisses de l’assurance-chômage, elles permettront d’économiser 6,7 milliards par an, une fois qu’elles auront atteint leur plein régime en 2027. Bien utile pour un gouvernement en quête d’économies budgétaires. Tout comme il est bien commode, pour l’exécutif, de taper sur les plus précaires pour faire oublier que ses choix ne favorisent pas les salarié·es ou les classes moyennes.
Le groupe Liot à la rescousse ?
Pour contrecarrer les projets du gouvernement, le groupe Liot à l’Assemblée (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) va profiter, le 13 juin prochain, de sa niche parlementaire pour présenter une proposition de loi visant à « protéger le modèle d’assurance-chômage et soutenir l’emploi des séniors ».
Le groupe, qui avait tenté en 2023 d’abroger la réforme des retraites, est soutenu par les cinq principales organisations syndicales. Le texte entend supprimer le principe de contracyclicité, empêcher le durcissement de l’accès au droit et mettre fin au principe du « document de cadrage » désormais imposé aux partenaires sociaux avant toute négociation des règles de l’assurance-chômage.
Supprimer ce procédé reviendrait à détruire le cœur du réacteur permettant à l’exécutif de décider seul des règles. En 2018, la loi « avenir professionnel » a en effet introduit le concept de « lettre de cadrage » adressée aux partenaires sociaux. Le gouvernement leur précise désormais ce qu’il attend des négociations, en termes de règles et d’économies, et se réserve le droit de reprendre la main si les consignes ne sont pas respectées ou si syndicats et patronat ne trouvent pas d’accord.
Interrogé en début d’année sur « le risque de réveiller la colère sociale », Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? »
Incapables de s’entendre sur des cadrages aussi stricts, ces derniers ont été contraints de reconnaître l’échec de leurs négociations en 2019 et l’État a décidé tout seul de la première, et brutale, réforme de l’assurance-chômage. Trois ans plus tard, il n’a même pas pris la peine d’envoyer une lettre de cadrage, car le Medef avait enterré toute idée de négociation quelques mois plus tôt. L’exécutif a donc à nouveau pris la main et fait inscrire dans la loi le principe de modulation des allocations en fonction de la conjoncture économique puis organisé un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux.
En 2024, le scénario est encore différent mais l’issue, toujours la même. Cette fois, les partenaires sociaux ont trouvé un accord sur la lettre de cadrage mais le gouvernement l’a mis de côté, dans l’attente des négociations sur l’emploi des séniors. Ces dernières n’ont pas abouti et l’exécutif a pour la troisième fois repris les choses en main, jurant n’avoir pas d’autre choix et surjouant la déception. « C’est un crève-cœur » pour Catherine Vautrin, ont osé commenter ses services, dans leurs éléments de langage distribués à la presse.
Comme si tout n’était pas déjà écrit d’avance. Comme si le durcissement des règles pour les séniors n’était pas déjà chiffré. Comme si une nouvelle réduction de la durée d’indemnisation n’était pas une volonté du président. Mediapart l’a récemment révélé, les services du ministère du travail ont rédigé, en octobre 2023, une note dans laquelle « le scénario privilégié » d’Emmanuel Macron est évoqué : il s’agissait de baisser à quatorze mois la durée de versement des allocations.
Dans cette note, les propres services du ministère du travail jugeaient par ailleurs « peu opportun » de durcir à nouveau les règles. Précisant que toutes les enquêtes de conjoncture « tablent sur une stagnation du taux de chômage en 2023 puis une augmentation à l’horizon 2024-2025 », les auteurs du document insistaient sur la complexité « de justifier un tel durcissement », mettant en garde sur la « faible acceptabilité politique et sociale » d’une nouvelle réforme.
Mais l’exécutif n’en a que faire. Interrogé en début d’année par le JDD sur « le risque de réveiller la colère sociale » avec de nouvelles baisses de droits, Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? » 
Le jeu de massacre dure depuis cinq ans et c’est un saccage, quoi qu’en disent les services de la ministre du travail qui avaient reproché à Mediapart l’emploi de ce terme, après un article sur les scénarios de la réforme."
Cécile Hautefeuille
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