#chambre jaune
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blingblingmcintosh24 · 11 days ago
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philoursmars · 9 months ago
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A Marseille, il y a (déjà) quinze jours, j'ai pu voir à Arenc, aux Docks des Suds, une expo immersive sur Van Gogh, souvent trÚs touchante...
Ici, entre autres, une reconstitution en 3 D de sa Chambre jaune Ă  Arles...
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marlindotzip · 10 months ago
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A lot of mystery in this yellow room
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whengarfielddiets · 1 year ago
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Eclectic Kids - Kids Room Illustration of a large eclectic girl's medium tone wood floor children's room with pink walls.
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urween · 9 months ago
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"Quatre secondes"
Wolverine x
M/FTMreader
note : mutant!reader
résumé : Logan entend malgré lui des bruits assez dérangeants dans une chambre voisine, il sera surpris de découvrir de qui ils proviennent
⚠ warnings : forme de voyeurisme, violence, langage vulgaire/cru, Ă©vocation de sexualitĂ© et de guerre, alcool, jalousie
3 805 mots - Description Ă  la troisiĂšme personne
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Il avait une ouĂŻe surdĂ©veloppĂ©e, tout le monde le savait. Les Ă©lĂšves qui se disputaient, il les entendait. Les vitres cassĂ©es par un ballon, il les entendait. Les rires Ă  deux heures du matin, ça putain ouais il les entendait aussi. En bref, il entendait tout ce qu’il se passait dans le manoir, du moins au deuxiĂšme Ă©tage. D’habitude, aucun problĂšme Ă  s’endormir avec ces bruits, il avait dĂ©jĂ  dormi sous des tirs de fusils alors des gosses n’allaient pas l’empĂȘcher de se reposer. Enfin, c'est ce qu’il pensait. Les rires, les insultes, les chuchotements, d’accord, mais les gĂ©missements c'Ă©taient autre chose encore.
Au deuxiĂšme Ă©tage il n’y avait que les Ă©tudiants ayant dĂ©passĂ© la majoritĂ©, pour ceux que l’on pouvait dater, et quelquefois il arrivait que ce genre de choses se produisent mais rien de terrible, c'Ă©tait lĂ©ger et rapide, tout l’inverse de ces derniĂšres fois. Parce que oui, “ces” derniĂšres fois. Pas juste une fois, un vendredi soir pour fĂȘter le weekend, non, tous les putains de soirs depuis une semaine. Alors Logan commençait Ă  regretter son ouĂŻe surdĂ©veloppĂ©e.
Il n’avait jamais bien dormi, c'Ă©tait pas son genre, mais ne pas dormir n'Ă©tait pas son genre non plus. Il avait besoin de sommeil. Son corps avait beau se rĂ©gĂ©nĂ©rer, il devait se reposer, pour Ă©viter d'ĂȘtre de mauvaise humeur, encore plus que d’habitude je veux dire.
Mais aller toquer Ă  la porte de cette chambre et demander poliment d'arrĂȘter de baiser tous les soirs n'Ă©tait pas non plus dans ses options. MalgrĂ© son caractĂšre, assez explosif, Logan n’aimait pas ces situations, elles le mettaient toujours trĂšs mal Ă  l’aise. Et puis, il devait avouer aussi qu’admettre que depuis une semaine il Ă©coutait sans le vouloir ces bruits Ă©tait un peu gĂȘnant, voire mĂȘme beaucoup.
Lors de ces nuits blanches, Logan Ă©tait parvenu Ă  localiser la chambre d’oĂč prĂ©venait tout ce boucan. C'Ă©tait la derniĂšre, tout au fond du couloir, Ă  environ cinq chambres de la sienne. Si sa mĂ©moire Ă©tait bonne, Oscar dormait lĂ -dedans. Un mec assez banal et gentillet, le genre Ă  se faire recaler par toutes ses conquĂȘtes amoureuses. Et pourtant il en faisait du bordel. Bien entendu il n'Ă©tait pas tout seul dans l’histoire, mais Logan ne voyait pas qui pourrait ĂȘtre la deuxiĂšme personne. Oscar avait des ami.e.s mais rien de fantastique, pas de petit.e ami.e non plus et en aucun cas une mutation permettant de faire ce genre de choses tout seul. En fait, il pouvait juste manipuler les couleurs, mais pas Ă  un trĂšs haut niveau, seulement inverser le jaune d’une banane avec le rouge d’une fraise par exemple. Alors Logan sĂ©chait, il ne voyait pas qui ça pouvait bien ĂȘtre. Et mĂȘme la voix ne l’aidait pas, il entendait davantage Oscar que l’autre. MĂȘme si quelquefois il parvenait Ă  capter une voix, trĂšs douce, trĂšs tremblante, et il devait l'avouer, assez agrĂ©able Ă  entendre. Mais ce n'Ă©tait pas sa faute, il ne pouvait pas ne pas Ă©couter, ses oreilles entendaient pour lui. Et mĂȘme avec des bouchons il entendait tout, puis de toute maniĂšre il ne supportait pas ces trucs en plastique fluorescent.
Au bout de la cinquiĂšme fois, il avait eu espoir que ça s’arrĂȘte, qu’ils arrĂȘtent. Mais ce n'Ă©tait pas arrivĂ©.
HonnĂȘtement, il Ă©tait un peu Ă  cran. Les Ă©lĂšves le remarquaient trĂšs clairement, dĂšs le dĂ©but de la semaine ils avaient vu que Wolverine Ă©tait d’humeur cinglante, ils se tenaient encore plus Ă  carreaux. Leur soulagement Ă©tait qu’au moins il n'Ă©tait pas professeur, parce qu’ils se voyaient mal avoir Ă  endurer ce regard enflammĂ© pendant une voire deux heures de cours. Logan Ă©tait simplement “invitĂ©â€, ou peut-ĂȘtre “habitant”, ou “babysitter” aussi parfois. Charles lui avait proposĂ© un poste en tant que professeur d’histoire, mais il avait vite refusĂ©, ne voulant pas avoir Ă  se coltiner des Ă©valuations Ă  corriger et une cravate Ă  porter. Quelquefois il donnait des sortes de cours, ou plutĂŽt des entraĂźnements, dans le combat bien entendu. Et puis un ou deux, ou une petite dizaine d’élĂšves peut-ĂȘtre, lui demandait frĂ©quemment de les aider Ă  la salle de sport, pour des conseils ou juste un soutien physique. Avec tout ça il avait fini par connaĂźtre tout le monde, mĂȘme s’il n’en avait pas l’air, il aimait plutĂŽt bien ces gosses.
Et puisque officiellement il n’avait rien à faire, il pouvait observer Oscar, ou plutît avec qui il traünait.
AppuyĂ© contre un encadrement de porte, Logan ne dĂ©tacha pas son regard du jeune homme. Malicia Ă©tait passĂ©e parler Ă  Oscar, et des sueurs froides avaient parcouru le dos de Logan en imaginant cette possibilitĂ©, mais heureusement elle Ă©tait avec Bobby dans une chambre Ă  l'autre bout du couloir. Katt Ă©tait aussi passĂ©e pour lui donner des livres, mais Logan savait qu’elle avait dĂ©jĂ  quelqu’un d’autre dans le viseur, ça ne pouvait donc pas ĂȘtre elle. Quentin, Mark, Sophie et Sasha aussi. En fait, Oscar parlait Ă  beaucoup de monde et n’avait pourtant pas d’amis fixes.
Dix-sept heures et Logan commençait à rùler. Pour un samedi, Oscar en voyait du monde, il faisait courir Logan un peu partout. Et dans tout ça, personne ne pouvait correspondre.
« Salut, tu as pu le récupérer ? »
Devant lui, à une quinzaine de mùtres, Oscar discutait avec une nouvelle personne encore. Logan leva les yeux au ciel derriùre ses lunettes de soleil et s’appuya davantage sur l’arbre dans son dos.
« Mh mh, Tornade a Ă©tĂ© comprĂ©hensive, elle m'a mĂȘme aidĂ© Ă  le rĂ©parer »
Le garçon souriait faiblement, il n'Ă©tait pas timide, Logan le savait puisqu’il connaissait assez bien ce jeune homme, c'Ă©tait mĂȘme lui qui l’avait ramenĂ©.
Il y a quatre mois, Logan est parti, sans vraiment savoir pourquoi, pour ĂȘtre honnĂȘte, il voulait juste aller prĂšs d’un lac et regarder la forĂȘt vivre en face. Mais il a entendu un couinement, humain, ou du moins pas animal. En fait, il a failli couper la tĂȘte Ă  ce garçon lors de leur premiĂšre rencontre, il s'Ă©tait cachĂ© dans un buisson derriĂšre lui. Logan l’a Ă©coutĂ© lui expliquer qu’il avait fuit sa maison pour Ă©chapper Ă  des personnes qui ne l’apprĂ©ciaient pas, il disait que sa famille lui manquait beaucoup mais qu’il ne pouvait pas revenir avec eux car c'Ă©tait dangereux. Puis, sorti de nul part, il lui a dit qu’il Ă©tait dĂ©solĂ© pour tout ce qu’il avait vĂ©cu. Logan l’a fixĂ©, pendant un long moment avant de demander : “tu lis dans les pensĂ©es ?”. Ce Ă  quoi le garçon a rĂ©pondu : “j’interprĂšte les signes invisibles”. Il a fallu dix bonnes minutes pour que Logan comprenne, et qu'il se dĂ©tende un peu par la mĂȘme occasion. Le garçon lui a demandĂ© pardon, il a dit ne pas avoir voulu ĂȘtre trop brusque mais qu’il n’avait pas pu s'empĂȘcher de le dire, parce qu’il voyait la souffrance sur les traits de Logan. La discussion s'Ă©tait arrĂȘtĂ©e lĂ , Logan s'Ă©tait levĂ© et avait lentement soufflĂ©, il n'aimait pas parler de sa vie alors savoir que quelqu'un pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert l'avait dĂ©rangĂ©. Le garçon s'Ă©tait encore une fois excusĂ©, les larmes aux yeux, et Logan l'avait regardĂ© pendant quatre secondes, quatre longues secondes qui lui avaient fait ressentir plus que quatre annĂ©es. Il avait pris le garçon dans ses bras, il n’avait pas contrĂŽlĂ© son geste, il voulait juste le prendre dans ses bras pour quelques instants. AprĂšs, Logan l'avait emmenĂ© au Manoir, et ils s’étaient vite perdus de vue dans la masse de mutants. Mais il le regardait, il ne pouvait pas s'empĂȘcher de le regarder lorsqu'il passait devant une salle de classe et qu’il le voyait en train de prendre des notes, ou lorsqu’il Ă©coutait de la musique dans le jardin. Logan se sentait un peu attachĂ© Ă  ce garçon, enfin, ce jeune homme, puisqu’il avait vingt-trois ans.
« Génial, Oscar sourit gentiment, et..tu peux venir ce soir ? »
Logan ouvrit grand les yeux. Oscar fixait le garçon avec un sourire, un peu trop grand pour n'ĂȘtre qu’une invitation Ă  jouer aux cartes.
« Je sais pas trop, tu sais ça va beaucoup mieux là donc..je veux pas forcer de trop, répondit l'autre avec un regard neutre, contrastant avec la situation »
Bordel, il ne s’attendait pas Ă  ce que ça soit lui. Mais en y repensant, ça semblait presque logique maintenant. La voix faible et tremblante Ă©tait aussi calme et douce que la sienne, et puis il parlait beaucoup avec Oscar depuis quelque temps.
Logan lñcha son arbre, il retira ses lunettes et passa sa main contre ses yeux. Bordel de merde, il ne s'attendait pas à ça. Il avait besoin d’un peu de calme, et d’une biùre accessoirement, alors il alla s’enfermer dans sa chambre.
Dans le jardin, Oscar et le garçon continuaient de parler, mais Logan n'était plus là pour les entendre, malheureusement.
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« Aah putain ouais »
Deux jours, ils avaient tenu deux jours avant de recommencer. Et Logan n’allait plus tenir, surtout maintenant qu’il savait à qui parlait Oscar.
Bordel, il n’aimait pas ça, non il n'aimait pas ça du tout. Cette contraction dans sa mĂąchoire, ses muscles tendus, son cerveau en Ă©bullition. Bordel, ça faisait des annĂ©es qu'il n'avait pas Ă©tĂ© jaloux, et il fallait que ça tombe sur ce mec.
SincĂšrement, il devrait avoir une mĂ©daille pour ne pas dĂ©jĂ  avoir lacĂ©rĂ© cette foutue porte de chambre, et peut-ĂȘtre au passage un des hommes Ă  l’intĂ©rieur. Mais c’était quelque chose de compliquĂ© Ă  contrĂŽler, la colĂšre elle Ă©tait faite pour sa mutation, elle Ă©tait compatible. Alors oui, putain oui il avait envie de sortir ses griffes et de dĂ©foncer cette porte. Mais il se retenait, parce que concrĂštement il n’y avait rien, rien que deux types en train de coucher ensemble. Il n’avait aucun droit sur ce garçon, il lui avait Ă  peine parler, et pourtant un truc au fond de lui, au plus profond de sa cage thoracique, lui disait qu’il Ă©tait sien. Foutu Wolverine, foutu instinct.
Il se leva, arrĂȘtant de massacrer son oreiller avec ses dents. Il ouvrit sa porte de chambre et descendit le plus vite possible au rez-de-chaussĂ©e, assez vite pour se retenir de sortir ses griffes. Bien sĂ»r il n’y avait personne, tout le monde Ă©tait dans sa chambre et dormait, enfin sauf certains. Logan ouvrit le rĂ©frigĂ©rateur et y prit un soda, puisque l'alcool Ă©tait interdit dans l’établissement. Il but la moitiĂ© de la bouteille, manquant d’en faire couler sur son menton. Il essaya de se persuader que c'Ă©tait de la biĂšre, mais le sucre gĂąchait tout.
Un bĂąillement le fit sursauter. Par rĂ©flexe ses griffes sortirent, prĂȘtes Ă  embrocher.
« Wow range tes couteaux je veux juste de l’eau ! »
Le garçon se tenait devant lui, dans un large t-shirt beaucoup trop grand pour lui. Logan rentra immĂ©diatement ses griffes, posant Ă  l’aveugle son soda sur le comptoir de la cuisine.
« Qu’est-ce que tu fous ici ? »
Sa voix granuleuse, rauque, presque incomprĂ©hensible lorsqu’il parlait trop bas. Le garçon dĂ©glutit faiblement, il avança et passa derriĂšre l’ülot central pour attraper un verre dans le placard. Logan semblait bouleversĂ©, ok non peut-ĂȘtre pas autant, juste un peu dĂ©boussolĂ© alors. Ses yeux Ă©taient plus ouverts que la normale, ses pupilles larges, rondes, et ce n'Ă©tait pas pour l’obscuritĂ©, il y avait au moins deux millimĂštres en trop pour que ce soit le cas. Et puis sa mĂąchoire Ă©tait tendue, pas contractĂ©e mais elle l’avait Ă©tĂ© trĂšs rĂ©cemment ça se voyait, il y avait encore les micros tremblements musculaires sur le massĂ©ter. Et sa peau Ă©tait pigmentĂ©e, par du rouge amarante, posĂ© par points s’étirant petit Ă  petit le long de l’os principal.
« Je viens juste chercher de l’eau, pas besoin d'ĂȘtre aussi agressif »
Logan essaya de respirer, vraiment, mais il avait un peu de mal. Est-ce qu’il venait boire pour compenser toute la sueur Ă©puisĂ©e, est-ce que ce t-shirt Ă©tait Ă  Oscar, est-ce que cette odeur Ă©tait la sienne.
« Cale-toi sur le battement de tes cils, dit le garçon en s’appuyant sur le lavabo, la respiration devient meilleure et rĂ©gulĂ©e lorsque les clignements sont plus lents et contrĂŽlĂ©s »
Logan lui lança un regard, entre l’interrogation et la dĂ©sorientation. Le garçon lui sourit, il but une gorgĂ©e de son eau avant de reprendre la parole.
« Les signes invisibles, expliqua-t-il, tu es stressĂ©, Ă©nervĂ© et frustrĂ©, je dirais que c’est en rapport avec quelqu'un et je pourrais mĂȘme dire que c’est moi mais j’aime pas ĂȘtre narcissique alors je le dirais pas »
Le jeune Ă©mit une courte pause, juste le temps d'interprĂ©ter les rĂ©actions de l’homme en face de lui.
« J’ai raison, et en plus de tout ça je dirais que tu es totalement paumĂ©, il se rapprocha, regarde moi, dans les yeux, fixe moi et seulement moi, il posa sa main sur la joue droite de Logan, ne crois pas que j’essaie de te draguer, je te calme juste, parce que ça m’embĂȘterait que le Wolverine fasse une crise d’angoisse Ă  cause de moi »
Les spasmes oculaires se calmĂšrent, Logan l'Ă©coutait et le fixait comme il lui avait dit. Son cƓur ralentissait, tout doucement, pas d’un coup sec et c'Ă©tait bon signe. Sa gorge Ă©tait toujours serrĂ©e, il retenait quelque chose, son air ou sa voix peut-ĂȘtre, ou alors une rĂ©action, oui une rĂ©action.
« Tu peux sourire si tu veux, je vais pas te croquer tu sais, il sourit doucement Ă  Logan pour appuyer ses mots, et puis je sais trĂšs bien que c’est toujours amusant comme situation, il retira doucement la main du visage de Logan, je veux dire, que quelqu’un sache exactement ce que tu penses et fais sans qu'il lise dans tes pensĂ©es, ça fait flipper, ou rire, ça dĂ©pend des personnes »
Sa gorge se desserra trĂšs lĂ©gĂšrement, et un souffle amusĂ© passa ses lĂšvres. Le garçon s'Ă©carta de quelques pas, pour avoir une vue d’ensemble, et tout sembla Ă  peu prĂšs stable.
« Comment tu peux faire ça »
Il sourit de nouveau Ă  Logan et rĂ©pondit en montrant de la tĂȘte les mains de ce dernier.
« Et toi, comment tu peux faire ça »
Logan reprit sa bouteille dans un sourire amusĂ©, il la finit en quelques gorgĂ©es. En face, le garçon fixait la pomme d’Adam monter et descendre dans une lenteur hypnotisante. Il devait l'avouer, Logan lui plaisait beaucoup.
« Je- je vais remonter du coup, dit-il en se redressant »
La bouteille de soda vide fit un bruit aigu en se posant contre le plan de travail. Logan croisa les bras et prit deux secondes pour observer le jeune homme qui le regardait toujours.
« Tu t’entends bien avec Oscar ? »
Ce micro tremblement dans sa voix grave, il soulignait une retenue. Le garçon fronça les sourcils et pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, rĂ©flĂ©chissant Ă  ce signe plutĂŽt qu'Ă  la question. La voix de Logan Ă©tait plus forte, d’environ trois dĂ©cibels, plus puissante surtout, oui puissante. Son visage Ă©tait fermĂ©, comme la plupart du temps, mais les muscles de ses joues n'Ă©taient pas contractĂ©s contrairement Ă  d’habitude, il Ă©tait plus dĂ©tendu Ă  certains endroits de son corps. La bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Ok, on touchait au personnel, la question avait un rapport avec son personnel.
« Il est gentil oui, pourquoi ? Tu le connais ? »
Léger mouvement du sourcil droit, ça l'agaçait.
« Non, rĂ©pondit Logan, pas plus que n’importe quel mec »
Son regard un peu fuyant, qui contournait la silhouette du garçon. Ok, il avait sa réponse.
« Tu es jaloux Logan, expliqua le jeune homme avec un grand sourire, t’es tellement jaloux que le simple fait de parler d’Oscar fait bouger tes griffes »
Il se rapprocha de l’homme, assez pour laisser un mùtre entre eux deux. Logan planta son regard dans celui de l’autre, et le garçon su qu'il avait raison.
« Il est à qui ce t-shirt »
Son sourire ne fit que de s’agrandir.
« À un homme, rĂ©pondit le plus jeune »
« Qui »
Des frissons se mirent à courir contre la peau du garçon, la voix de Logan était encore plus forte, plus grave encore.
« Tu irais dĂ©chiquetĂ© l’intestin d’Oscar si je te disais son prĂ©nom ? »
Le point de Logan se resserra, non il lui mettrait un coup de poing, et Dieu sait comme de l’adamantium pur dans la mĂąchoire peut faire des dĂ©gĂąts. Le garçon se rapprocha encore un peu.
« Je pense que Charles ne sera pas trÚs content si tu mets dans le coma un de ses élÚves, mh ? »
Doucement, lentement surtout, il posa sa main sur les phalanges de Logan. Ses doigts se refermĂšrent sur les os solides de l’homme, crĂ©ant une chaleur diffuse Ă  ce niveau.
« Range ces armes, arrĂȘte de serrer des dents, tu vas finir par te les casser et surtout, il caressa de son pouce la peau de Logan, continue de me regarder comme ça si tu veux que je t’embrasse »
Quatre secondes, quatre longues secondes. Logan y vit toute la tendresse du monde, remuant dans les iris du jeune homme en face de lui. Toute la fraĂźcheur du matin, pigmentant sa peau. Il y vit un courant puissant circuler derriĂšre ces yeux, un courant d’eau et d'Ă©lectricitĂ©, quelque chose de grand et dangereux, tout au fond derriĂšre ces beaux yeux. La mutation de ce garçon Ă©tait puissante, grande et dangereuse si elle Ă©tait mal contrĂŽlĂ©e, il pouvait tuer en un regard, un souffle ou un toucher. Ces beaux yeux avaient accĂšs aux corps de n’importe quel ĂȘtre vivant, des poumons aux paupiĂšres, il pouvait tout voir avec ces beaux yeux. Il pouvait ressentir le clignement ayant qu’il n’arrive juste en un regard dans les iris de quelqu’un, il pouvait l’intercepter ou le supprimer. Un regard sur le cƓur humain et il y voyait le rythme, rapide pour Logan, il pouvait le stopper, il pouvait le contrĂŽler. Il pouvait stopper le Wolverine comme le contrĂŽler, comme s’il ne s’agissait que d’un simple ĂȘtre humain, comme s’il n’avait pas ce poison sur les os et que sa peau vieillissait au rythme des annĂ©es. Il pouvait tuer Logan, comme n’importe quel autre mutant ou humain, il pouvait s’il le voulait le rendre mortel, il avait ce pouvoir. Il le rendait mortel, parce que d’un regard, d’un souffle ou d’un toucher, il pouvait lui ĂŽter la vie. Logan ressentait ça, il voyait ce courant puissant danser dans ces beaux yeux. Et putain, il adorait ça.
Et aussi peut-ĂȘtre que dans ces beaux yeux, dans ce courant chargĂ© d’électricitĂ© humide, il pouvait imaginer tout son futur, se gravant Ă  l’encre rouge sur ses lĂšvres entrouvertes. Parce qu’il avait quelqu’un de dangereux en face de lui, des lĂšvres dangereuses qui pouvaient lui ĂŽter la vie, comme personne n’en avait jamais eu le pouvoir.
Pour la premiĂšre fois depuis des annĂ©es, il pouvait lĂ©gitimement Ă©prouver de la peur, la peur de la mort qui se cachait sur ces lĂšvres, ces lĂšvres qu’il embrassa Ă  pleine bouche.
Le jeune homme ne put s’empĂȘcher de gĂ©mir en sentant les lĂšvres de Logan contre les siennes. Il aurait pensĂ© devoir se battre avec le temps pour pouvoir suivre le rythme d'un baiser avec Wolverine, mais c'Ă©tait tout l’inverse. Il Ă©tait doux, ses mouvements lents et contrĂŽlĂ©s, sa main tendre contre la joue du garçon. Il prenait son temps, tout son temps. Il caressait de son pouce la peau laiteuse du jeune homme, il souriait faiblement entre deux rencontres buccales, semblant mĂȘme murmurer des mots que seul lui entendait, mais que le garçon interprĂ©tait.
Logan poussa l'autre contre le réfrigérateur, faisant tomber quelques cartes postales et aimants. Il prit le visage du garçon entre ses deux mains et le regarda pendant encore quatre secondes, quatre secondes pour voir tout le courage dont il avait besoin.
« Alors, il est à qui ce t-shirt ? »
Un rire traversa les lÚvres rougies du plus jeune, Logan remercia les dieux de lui avoir donné une ouïe surdéveloppée pour entendre mille fois mieux ce joli son.
« À mon frĂšre, il me l'a donnĂ© avant que je ne parte et depuis je le porte les soirs oĂč ma famille me manque »
La relaxation musculaire de Logan fut presque impressionnante.
« Donc il est pas à Oscar ? »
« Non, il est pas à Oscar, répondit-il avec un sourire »
La main du plus jeune se posa sur la nuque de Logan, il lui sourit encore une fois, parce qu'il avait un peu toujours envie de sourire en le regardant.
« Tu nous a entendu c’est ça ? En fait je pensais pas qu’il pouvait ĂȘtre aussi bruyant pour ĂȘtre honnĂȘte »
« C'était toi ? C'était vraiment toi ? »
Ses muscles se contractĂšrent de nouveau et le garçon roula des yeux, plus amusĂ© qu'autre chose. Dans sa paume de main il pouvait sentir le trapĂšze supĂ©rieur de Logan se resserrer, ou si l’on voulait traduire, il pouvait sentir les muscles de Logan se contracter sous sa paume de main.
« Oui c'était moi mais de ce que je sache j'ai le droit de coucher avec qui je veux, non ? Demanda-t-il de sa douce voix »
Logan baissa pendant quelques instants ses yeux, le garçon lui pinça faiblement la peau pour les faire remonter vers lui.
« Ma mutation est complexe Logan, et parfois j'ai besoin d’une grande source de relaxation pour calmer tous mes sens, il continua en souriant, tu sais quelle activitĂ© produit le plus d’endorphines le plus rapidement ? Le sexe, et Oscar m’a aidĂ© parce que c'Ă©tait le seul en qui j’avais assez confiance pour faire ça »
Il fit glisser ses mains le long du torse de Logan.
« Du moins, le seul Ă©tudiant, il encercla la taille de l’homme au dessus de lui, parce que crois-moi j’aurais adorĂ© te demander, mais tu es..Wolverine tu vois et- je me voyais mal demander Ă  Wolverine de coucher avec moi, parce que t'es un X-Men et moi je suis juste un mutant qui vit dans le mĂȘme manoir que toi »
Logan posa ses lùvres contre une des pommettes du jeune homme, il embrassa faiblement la peau à cet endroit avant de murmurer dans l’oreille du garçon.
« La prochaine fois, saute moi dessus et arrĂȘte d’autant rĂ©flĂ©chir »
Cette fois, ce fut Logan qui remarqua des signes sur le corps du jeune homme. Des rougeurs, un sourire un peu retenu, des yeux brillants et une respiration accĂ©lĂ©rĂ©e. En clair, tout ce qu’il aimait voir chez quelqu’un qui lui plaisait.
« Le consentement c'est important alors, le garçon émit une pause, je peux te sauter dessus là maintenant ? »
Le sourire qui Ă©claira les lĂšvres du plus ĂągĂ© fit pulser le cƓur du plus jeune.
« Putain ouais »
° x-men masterlist
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banniĂšres par @/saradika-graphics
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les-portes-du-sud · 11 months ago
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Le bleu ne fait pas de bruit...
(extrait)
Le bleu ne fait pas de bruit.
C'est une couleur timide, sans arriÚre-pensée, présage, ni projet, qui ne se jette pas brusquement sur le regard comme le jaune ou le rouge, mais qui l'attire à soi, l'apprivoise peu à peu, le laisse venir sans le presser, de sorte qu'en elle il s'enfonce et se noie sans se rendre compte de rien.
Le bleu est une couleur propice Ă  la disparition.
Une couleur oĂč mourir, une couleur qui dĂ©livre, la couleur mĂȘme  de l'Ăąme aprĂšs qu'elle s'est dĂ©shabillĂ©e du corps,  aprĂšs qu'a giclĂ© tout le sang et que se sont vidĂ©es les viscĂšres, les poches de toutes sortes, dĂ©mĂ©nageant une fois pour toutes le mobilier de ses pensĂ©es.
Indéfiniment, le bleu s'évade.
Ce n'est pas, Ă  vrai dire, une couleur. PlutĂŽt une tonalitĂ©, un climat, une rĂ©sonance spĂ©ciale de l'air. Un empilement de clartĂ©, une teinte qui naĂźt du vide ajoutĂ© au vide, aussi changeante et transparente dans la tĂȘte de l'homme que dans les cieux.
L'air que nous respirons, l'apparence de vide sur laquelle remuent nos figures, l'espace que nous traversons n'est rien d'autre que ce bleu terrestre, invisible tant il est proche et fait corps avec nous, habillant nos gestes et nos voix. PrĂ©sent jusque dans la chambre, tous volets tirĂ©s et toutes lampes Ă©teintes, insensible vĂȘtement de notre vie.
Jean-Michel Maulpoix
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opera-ghosts · 1 month ago
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By Troy Lennon /Daily Telegraph; May 5, 2018
Gaston Leroux was inspired to write Phantom of the Opera after Palais Garnier accident
WHEN a counterweight crashed through the roof of a Paris opera house, Gaston Leroux stored the story away to help create the Phantom of the Opera.
THERE had long been rumours that a ghost walked the halls of the opera house in Paris, known as the Palais Garnier. Some dismissed it as superstition, but many believe that confirmation came on May 20, 1896, during a performance of the opera Helle, by Étienne-Joseph Floquet. Act one had just finished and the audience had called for an encore from soprano Madame Rose Caron. As she finished her aria a loud noise was heard through the auditorium, followed by a crash and a cloud of dust.
A fire in the roof of the opera house had melted through a wire holding a counterweight for the chandelier. The weight had crashed through the ceiling injuring several people and killing Madame Chomette, the concierge of a boarding house, who was watching her first opera.
Some newspapers reported that the chandelier itself had crashed to the stage. Gaston Leroux, a journalist working for the newspaper Le Matin, read about the accident and used it, and the rumours of a ghost, as inspiration for a story about a disfigured man who menaces the cast and stage crew of an opera company at the Palais Garnier. Titled Le FantĂŽme de l’OpĂ©ra, it was first serialised in the periodical Le Gaulois in 1909 and as a novel in 1910. It was published in English as The Phantom of the Opera.
Leroux, who was born 157 years ago, was mostly known for his detective fiction, which inspired writers such as Agatha Christie. Yet outside France he is really only known for the Phantom, a story that has inspired plays, films and a hit Andrew Lloyd Webber musical.
Gaston Louis Alfred Leroux was born on May 6, 1868. His parents were travelling in a coach from Le Mans to Normandy when they had to stop so his mother could be taken to a nearby house to deliver the baby.
His father was a wealthy shipbuilder and Leroux lived a comfortable childhood, with a love of sailing, fishing and swimming. Straight out of school he went to work as a clerk in lawyer’s office, but spent his spare time writing stories and poetry. He was then sent to university to study law, winning awards and prizes and giving every indication that he was headed for a glittering law career.
But when his father died in 1889, leaving him a million francs, Leroux sank into a life of self-indulgence, gambling, going to the theatre and partying so hard he ended up broke after six months.
Faced with the need to work and frustrated by the legal system, Leroux pursued writing, taking jobs as a theatre critic and court reporter. By 1890 he had become a full-time journalist, impressing his editors by using forged credentials to score an interview with a high-profile prisoner awaiting trial.
His expertise in law also saw him reporting on the Dreyfus Affair, when anti-semitic elements in the French army conspired to accuse Jewish officer Alfred Dreyfus of espionage, seeing him drummed out of the army and sentenced to life in prison in 1894. Leroux described Dreyfus’s trial as a farce and was one of the many journalists who campaigned to free Dreyfus.
Leroux also became a foreign correspondent travelling the world, including to Africa and Antarctica. He even reported on the 1905 revolution in Russia, although at times using his flair for creative writing to embellish his copy. At the time he could be relied on to boost circulation with his colourful stories.
But Leroux tired of being at the beck and call of editors, decided to concentrate purely on his forays into fiction. He had been publishing short stories in newspapers for years, so in 1907 he published his first novel, Le mystùre de la chambre jaune (The Mystery of the Yellow Room), introducing amateur sleuth journalist Joseph Rouletabille. Inspired partly by his own experiences as a court reporter and Arthur Conan Doyle’s “consulting detective” Sherlock Holmes, it was light on action but struck the right balance of mystery and intellect to appeal to French readers.
He followed this with many other mystery novels featuring Rouletabille but, in between, he wrote other novels, including The Phantom of the Opera.
After several of his works were adapted to film he realised the cinematic potential of his fiction and in 1919 formed a film company with another writer, Arthur Bernede, to make films of his own novels and plays.
In 1922 Leroux gave a copy of Phantom to the head of Universal Pictures, Carl Laemmle, while Laemmle was visiting Paris. It resulted in the 1925 Lon Chaney adaptation, which made Leroux’s name famous outside France and helped him pay off gambling debts.
Some of his other works were also adapted to film in the US, but his detective works, despite winning fans like Christie, were not as popular in the English-speaking world.
Leroux died in Nice in 1927.
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b-satela-star · 4 months ago
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Mes premiers rituels
I Le sort d'amour et d'attraction
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(from : pinterest)
Pour ce rituel, il est conseillé de le faire un vendredi de pleine lune ou de lune ascendante.
Vous aurez besoin :
Stylo rouge-rose
Papier vierge de type parchemin
Quelques plantes relatives au désir (rose, jasmin, cannelle, basilic)/des encens naturels
Des bougies rouges ou roses
Un chaudron (ou récipient pour une combustion)
Charbon Ă  encens
Une divinité à honorer (relative à l'amour, la sexualité, le désir, le succÚs, ...)
Une formule* (exemple ci dessous)
D'espoir :)
Pour ma part j'honorerai ici Lilith en guise d'exemple, mais vous pouvez adapter la divinité à vos croyances, l'important est la sincérité de vos actes.
Comment procéder :
Allumer la bougie et inscrire le nom et prénom de la personne aimée sur la feuille. Puis inscrire son propre nom et prénom et entourer les tout 3 fois.
Plier le papier 3 fois puis inscrire un symbole lié à l'amour dessus.
Une fois le charbon allumé, faire brûler les plantes/encens et réciter la formule*, papier en mains et faire brûler intégralement. Il vous est possible de faire tomber quelques gouttes de cire de bougie pour sceller le sort.
AprÚs que les cendres aient refroidi, vous devez les déposer au pied d'une rosier.
Pour ce qui est de la formule voici un exemple :
"Je vous invoque Lilith, Î déesse de la passion, de la liberté et du courage, faßte que ma labeur et mes efforts permettent à {ses noms} de venir à moi. Ouvrez pour moi le chemin de son coeur, de l'amour et du bonheur. TrÚs sincÚrement, prochainement et pour toujours, merci."
Gardez en tĂȘte que la dĂ©marche doit ĂȘtre personnelle et sincĂšre :)
II Le sort pour appeler la chance
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(from : pinterest)
Pour ce rituel, il est conseillé de le faire un jeudi de pleine lune ou de lune ascendante.
Vous aurez besoin :
1 pochon en tissu naturel
2 bougies vertes (ou une verte et l'autre liée à l'aspect (rouge-amour, jaune-famille, ...))
1 encens fait maison (pissenlit ou trĂšfle)
Du sel (de mĂȘme, la couleur/variĂ©tĂ© reprĂ©sente un aspect)
Une feuille de laurier oĂč il faudra inscrire d'un cĂŽtĂ© ses nom et prĂ©nom et de l'autre ses initiales (+Ă©ventuellement un chiffre liĂ© Ă  ce qu'on recherche (7 pour en gĂ©nĂ©ral, 9 pour la famille)
Une pierre précieuse pour mettre dans le pochon (pyrite, ambre, agate, émeraude, béryl)
1 objet marquant (une piĂšce, un trĂšfle Ă  4 feuilles, un bijou)
1 papier avec un sigil/symbole/sceau de chance
Une ou plusieurs runes ou symboles de chance Ă  inscrire sur ses mains avant le rituel.
Une formule* (+éventuellement une divinité à honorer)
Exemple de formule : "Uolo felicitatem in uita habere"
Pour ma part j'honore Fortuna, déesse de la chance et du destin.
Procédé :
Installation : Jambes non croisées dans une piÚce suffisamment sombre.
Allumez les bougies et brûler les plantes/encens en récitant la formule (jusqu'à la fin du rituel).
Mettre dans le pochon dans l'ordre : sel puis laurier puis plantes (au moins 3 différentes) et enfin le minerais.
Ajoutez l'objet et le papier en mĂȘme temps dans le pochon et le nouer 3 fois avec une corde naturelle.
Garder le pochon en mains et se concentrer (rien ne doit rester, seules les intentions et l'incantation) charger d'énergie grùce aux mains et déposer sur un symbole de géométrie sacrée (pentagramme, Métatron, Merkaba ... ).
Laisser charger 3 jours et 3 nuits puis vous pouvez garder le pochon sur vous ou dans un endroit comme votre chambre.
Bonne chance ;)
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feelkindadizzy · 1 year ago
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[Description d'image en français: 1. Un dessin numĂ©rique de la femme de chambre de Stella Spotlight dans Starmania. Les couleurs sont violacĂ©es et claires. Elle a la peau lĂ©gĂšrement foncĂ©e, les cheveux courts bouclĂ©s et noirs. Elle porte sa robe grise avec un col blanc, et un serre-tĂȘte jaune. Elle est assise en haut de l'escalier de chez Stella dans la version 2022 de Starmania. Elle a les jambes Ă©cartĂ©es et ses mains sont entre ses jambes, elle tient le bouquet d'orchidĂ©es dorĂ©es et noires offert par ZĂ©ro Janvier. 2. La mĂȘme image sans le bouquet d'orchidĂ©es. Fin de la description]
[English ID: 1. A digital drawing of Stella Spotlight's maid from Starmania. The colors are purple and pale. She has light brown skin, short and dark curly hair. She is wearing her gray dress with a white collar and a yellow hairband. She is sitting at the top of Stella's staircase from the 2022 version of Starmania. She is holding Zero Janvier's golden and black orchid bouquet. 2. The same drawing without the orchid bouquet. END ID]
Her silly goofy vibe and five minutes of stage time have bewitched us body and soul
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mnetn · 1 year ago
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philippe🗞
l'herbier king il fait des dingueries Ă  chaque fois (slay forfaiture, le mystĂšre de la chambre jaune, l'argent et tant d'autres)
si tout les anarchistes Ă©taient comme lui đŸ€­
quand j'ai entendu c h a k a l j'Ă©tais morte de rire (je m'amuse d'un rien)
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blingblingmcintosh24 · 11 days ago
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Je veux une chambre jaaaaune!!!
I want a yellow rooooom!!!
đŸ„ș☀
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philoursmars · 8 days ago
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Marseille mi-janvier.
Au Musée Regards de Provence, une expo sur un artiste trÚs éclectique, Jean-Jacques Surian.
"La Chambre Jaune"
"Ministres chantant la Marseillaise"
"Canadairs au dessus du Supermarché de la Valentine"
"Les Prétendants"
"Le Grand Combat"
"Trois TĂȘtes"
"Police"
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recapqsmp · 1 year ago
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Lundi 11/09 - Mettre la cage dans une cage
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Philza est de retour de ses vacances. Il est allé directement dans la chambre de ses enfants, et a découvert qu'ils ne sont plus là. Tubbo et Fit lui ont fait un point global sur tout ce qui s'est passé : les oeufs, les waystones, le vote, les meubles, Forever
 Ils ont décidé de passer un message à la fédération en recouvrant le bùtiment fédéral du président de cobblestone grùce à de la lave. Philza a laissé un message au dessus de la structure, disant qu'il avait "mit la cage dans une cage", et qu'il leur laissait une semaine pour leur rendre leurs oeufs, sinon de plus grosse destructions arriveront sur les bùtiments fédéraux.
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https://clips.twitch.tv/ConsiderateFitKathyNotATK-ugcWGxyOXnq-wHnA
Pac a reçu une shulkerbox chez lui avec des informations sur WalterBob, dont la position de sa maison. En y allant, il a pu découvrir des souvenirs de la vie passé de Walter, dont ses enfants et ses amis.
Pac a raconté ses découvertes à Fit. Celui-ci en regardant les images s'est rendu compte qu'il connaissait une des personnes sans visage sur une photo, mais d'avant sa vie sur Quesadilla Island. Il n'arrive pas a remettre le nom sur ce visage, ses souvenirs sont flous.
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https://clips.twitch.tv/MistyPrettiestSeahorsePunchTrees-rAICRI135ZBVFqKD
Philza et Tubbo ont dĂ©cidĂ© d'enquĂȘter sur le laboratoire de la fĂ©dĂ©ration oĂč les nouveaux joueurs ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s. LĂ  bas, ils ont remarquĂ© qu'un gros cube de glace avait fait son apparition. Ils ont analysĂ© tous les Ă©tages du labo, sans rien trouver de particulier. Tubbo a les coordonnĂ©es de la prison, et pense qu'il faudrait aller lĂ  bas, mais elle se trouve a plus de 100.000 blocs, et Etoiles n'a pas de waystone a proximitĂ©.
Aypierre a enfilé un gilet jaune, et a démarré une grÚve à l'aide des autres joueurs. Ils ont placé des explosifs sur la route du spawn, et ont testé un nouveau systÚme de mines. Aypierre a aussi fait écouter à Cucurucho la nouvelle musique de Faster : "Fuck the federation".
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https://www.twitch.tv/aypierre/clip/StrangeSmokyPeachBudBlast-ya3GiM4UTn4EKtOt
Pour aider Cellbit et les autres joueurs dans leur enquĂȘte sur les mĂ©dicaments que procure Cucurucho Ă  Forever, Pac a acceptĂ© de jouer au cobaye. Il a expliquĂ© Ă  Forever ĂȘtre triste en ce moment et avoir besoin d'un bon remontant. Forever a transmis l'information Ă  Cucurucho et celui-ci a invitĂ© Pac a rejoindre la salle d'opĂ©ration. Pac, aprĂšs avoir laissĂ© un livre Ă  Cellbit lui expliquant tout ce qu'il compte faire, est allĂ© dans la base de la fĂ©dĂ©ration, s'est allongĂ© sur le lit, et Cucurucho lui a administrĂ© un calment. Son live s'est coupĂ© sur cette image.
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https://clips.twitch.tv/ColorfulTriumphantRutabagaUWot-QQ79C6XPZ_E9FMFe
Forever a souhaitĂ© prouver Ă  Philza que Richarlyson va bien. Il l'a donc emmenĂ© dans sa base et lui a montrĂ© la maison qu'il a construit pour son fils. Philza a pu dĂ©couvrir la roche dans le lit de Richarlyson et en tentant de lui expliquer qu'il y a un problĂšme, Forever a sorti son pistolet, lui demandant d'arrĂȘter ce bruit d'horloge. Il a pris ses mĂ©dicaments et sa joie de vivre est revenue. Fit Ă©coutait toute la conversation, cachĂ© en minant dans la base de Forever. Lui et Philza se sont entretenus aprĂšs l'explication de Forever sur les votes. Ils en ont conclu que Forever avait totalement disjonctĂ©, et qu'il fallait s'occuper de ce problĂšme rapidement.
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https://clips.twitch.tv/ViscousTriumphantSwanNerfBlueBlaster-sOJ6frga2Cf_sHUy
Alors qu'il se baladait paisiblement accompagné d'Ironmouse, Tina et Jaiden, le code a attaqué Etoiles. Ils se sont défendus (les autres joueurs ayant pu rejoindre le combat via une sharestone), et le code s'est enfuit sans laisser de message.
Forever, ayant rejoint tout le groupe pour le combat contre le code, a pris BadBoy à part et l'a demandé en mariage ! BadBoy a évidement refusé, lui disant qu'il n'est pas dans son état normal. Forever lui a donc dit vouloir tester quelque chose sur lui et l'a attaqué avec des mines, perdant au passage plusieurs totems. DÚs qu'il a vu Etoiles s'approcher, Forever s'est enfuit dans sa base. BadBoy et Etoiles ont conclu qu'il était temps de tuer le président pour lui prendre ses médicaments. Etoiles, qui ne voulait pas attaquer tant qu'il n'en avait pas reçu l'ordre, a accepté la mission.
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https://clips.twitch.tv/CrunchyTenuousGuanacoYouWHY-DOk47Rw2yuTkLTZm
Jaiden s'est mise dans l'idĂ©e de profiter de son lien spĂ©cial avec Cucurucho pour lui demander des explications sur tout ce qui se passe sur l'Ăźle actuellement. RĂ©fugiĂ©e dans son havre de paix, elle a attendu Cucurucho pendant plusieurs jours, et a mĂȘme menacĂ© d'enfreindre la loi du nombre de coeurs maximum, avant de se raviser, se disant qu'elle ne devait pas gĂącher tout le travail de confiance que Cucurucho lui a apportĂ©. Cucurucho l'a finalement rejoint, et Jaiden lui a demandĂ© si tout allait bien. Cucurucho a expliquĂ© qu'il est trĂšs occupĂ© en ce moment a rendre les gens de l'Ăźle heureux, et a s'occuper de l'intĂ©gration des nouveaux rĂ©sidents. Tubbo est un problĂšme pour l'instant, mais il finira par rentrer dans le rang, il va s'en assurer. Jaiden lui a demandĂ© des nouvelles du deuxiĂšme Cucurucho : son entrainement continu, mais le temps passĂ© avec Jaiden a clairement aidĂ©. Jaiden lui a montrĂ© comment faire du thĂ©, mais n'a pas voulu lui poser de question sur les oeufs ou les mĂ©dicaments, se disant qu'elle n'aurait aucune rĂ©ponse de toute maniĂšre et qu'il valait mieux faire attention Ă  Cucurucho.
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https://clips.twitch.tv/HonorableGrossNoodleStrawBeary-UTByolwiCjDAbEo_
Pendant que BadBoy et les autres discutaient, ils ont remarqué que le président était mort d'une chute fatale. Ils se sont précipités à sa base pour voir s'ils pouvaient en profiter. Là bas, ils ont remarqué que son cadavre était quasiment vide, il ne portait qu'une armure en dark metal, ainsi qu'une télécommande et un livre se traduisant par "Help, I can't take it all the time going back to that hate". BadBoy en a conclu que le président était somnambule et que son inconscient avait probablement tenté d'en finir. Ils se sont ensuite infiltré dans sa base, voyant que Forever était dedans, pour voir ce que la télécommande ouvrait. Ils ont réussi a ouvrir le passage vers la chambre de Richarlyson, et ont remarqué le président en train de dormir à ses cÎtés. Une fois que Foolish ai posé aux cÎtés du président dans son lit, les joueurs ont discuté sur ce qu'il pouvait bien se passer avec Forever pour qu'il agisse comme ça.
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https://clips.twitch.tv/SlipperySillyJackalNomNom-CbsNFArlqx5pJaav
Foolish a continué la construction de la nouvelle route : il a profité du carnage provoqué par les joueurs pour détruire l'ancienne route, au profit d'une en pierre. Avec l'aide de BadBoy, il l'a aussi décoré avec des lampes sur le cÎté.
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https://clips.twitch.tv/SpotlessZanyReindeerJKanStyle-8dYNk5J56zlBQ4xZ
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alexar60 · 2 years ago
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Le cheval doré
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Nous n’étions pas destinĂ©s Ă  nous rencontrer
Mais tu te lassais de ces pathétiques soirées.
Et comme je m’ennuyais aussi
De ces futilitĂ©s, je t’ai suivie.


Tu voulais voir une fĂȘte foraine
Pour oublier les soirées mondaines.
Nous sommes montés sur un carrousel.
Je t’ai soudain trouvĂ© belle,
ÉlĂ©gamment assise en amazone
Sur un cheval de bois peint en jaune.


L’escapade nous amena à Chantilly.
Car tu voulais voir des chevaux Ă  tout prix.
Mais l’hippodrome Ă©tant fermĂ©, fatiguĂ©s,
Nous sommes entrĂ©s dans l’auberge du cheval dorĂ©.


Pendant que tu fumais une cigarette,
Je repensais Ă  notre nuit de fĂȘte
Et Ă  toi, assise en amazone
Sur ce vieux cheval de bois jaune.
Nos regards ont partagé un sourire
Puis, tu as glissé ta bretelle dans un soupir.


Alors dans la chambre, nous sommes rentrés
Parce que nous étions destinés
A dormir jusqu’au lendemain, enlacĂ©s
Dans l’auberge du cheval dorĂ©.
Alex@r60 – aoĂ»t 2023
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swedesinstockholm · 2 months ago
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2 novembre
rĂȘve ultra tendre collĂ©e contre r. sur un canapĂ©, on rigolait beaucoup, j'Ă©tais plus dĂ©tendue que je l'ai jamais Ă©tĂ© dans la vraie vie. j'ai pas fait d'efforts pour m'en rappeler en me rĂ©veillant, c'Ă©tait trop douloureux. hier soir je me suis lavĂ© les dents Ă  cĂŽtĂ© de j. dans la salle de bain et ça m'a rappelĂ© sa visite Ă  la maison. je voulais lui en parler mais je sais pas pourquoi j'ai rien dit. il me montrait des photos de garçons musclĂ©s dĂ©gueus et je disais ew ew ew en feuilletant son calendrier d'hommes musclĂ©s dans sa chambre sous le grand drapeau arc-en-ciel accrochĂ© au dessus de son lit. il m'a dit qu'il avait achetĂ© le calendrier par pur plaisir de pouvoir le faire, pour faire plaisir Ă  bb jonas dans le placard. j'ai dit i think 98% of men don't look good to me et il a dit who looks good then? et j'avais envie de dire r. mais j'ai dit i don't know. j'aurais pu dire girls aussi. je suis tellement dure Ă  m'ouvrir. et pourtant je lui ai parlĂ© de mon soupçon d'hypothĂ©tique abus sexuel refoulĂ©. j'ai dit maybe something happened to me as a child. je sais pas ce que les gens s'imaginent quand je dis ça. je lui disais que si j'arrivais Ă  savoir ce qui s'Ă©tait passĂ©, si j'arrivais Ă  rĂ©gler mon trauma, j'arriverais peut ĂȘtre enfin Ă  lĂącher prise, mais juste aprĂšs l'avoir dit je me suis rendu compte que je me fourrais probablement le doigt dans l'oeil. peut ĂȘtre que j'ai juste inventĂ© cette histoire de toutes piĂšces pour trouver une justification Ă  ma peur panique de la vie. mais plein de gens ont une peur panique de la vie et ils ont pas tous Ă©tĂ© violĂ©s dans leur enfance. on parlait de drogues et j. m'a dit you know you could take drugs if you wanted parce que je fais que dire i can't take drugs comme si j'Ă©tais la personne la plus traumatisĂ©e de la terre et que prendre des drogues allait complĂštement me dĂ©truire/dĂ©truire l'ordre de l'univers, mais c'est moi qui ai dĂ©cidĂ© que je pouvais pas prendre de drogues.
j'entends des cloches qui sonnent midi, j'ai la fenĂȘtre grande ouverte mais je vois pas le ciel. je crois que c'est trĂšs nĂ©faste pour la santĂ© mentale de pas voir le ciel. je crois que ça contribue en grande partie Ă  mon dĂ©sespoir d'ĂȘtre ici. j'entends les grues aussi. les oiseaux pas les machines. j'ai passĂ© toute la semaine sans sortir sauf pour aller faire les courses mercredi. je suis aussi sortie me promener avec j. hier soir Ă  dix heures parce que je me sentais mieux et que je commençais Ă  me sentir trop enfermĂ©e. on a marchĂ© jusqu'au canal et on est revenus. en mangeant mon porridge je me disais que c'Ă©tait la deuxiĂšme fois en cinq mois que je me brossais les dents Ă  cĂŽtĂ© d'un garçon trĂšs grand aprĂšs lui avoir dit qu'il m'Ă©tait "peut ĂȘtre arrivĂ© quelque chose" quand j'Ă©tais petite.
je suis sortie aujourd'hui. comme je fais pas les choses Ă  moitiĂ© j'ai marchĂ© sept kilomĂštres. j'avais froid aux oreilles mais je voulais pas rentrer. j'ai traversĂ© toutes les parties de kreuzberg que j'aime pas pour aller voir une Ă©glise brutaliste mais on pouvait pas rentrer, y avait aussi un cafĂ© de hipsters en bĂ©ton et un lampadaire jaune fluo ondulĂ©. j'essayais de voir de la beautĂ© dans ma promenade moche, de me dire toute promenade est une promenade digne d'intĂ©rĂȘt, mais bof. les amis suĂ©dois de j. sont en train de parler fort dans le couloir comme si j'existais pas ou qu'il Ă©tait pas deux heures du matin.
m. m'a demandĂ© si j'avais pas un petit pincement au coeur quand mĂȘme de partir. ce qui me pince le coeur: partir avant d'avoir rĂ©ussi Ă  rentrer dans un bar lesbien (sauf la fois avec la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ© lesbienne mais c'Ă©tait nul) , avant d'avoir rĂ©ussi Ă  oublier r., avant d'avoir fait un open mic, avant d'ĂȘtre allĂ©e dans une rave les seins Ă  l'air les bras musclĂ©s, avant d'avoir rĂ©ussi Ă  lĂącher lĂącher lĂącher ok j'entends le chien d'alex marcher dans le couloir et de la techno de merde ces gens ne dorment donc jamais? j'arrĂȘte pas de faire osciller ma date de dĂ©part entre le 19 et le 25 novembre, quand je discute avec j. et que je fais la liste de mes pincements au coeur ça penche vers le 25 mais la plupart du temps c'est le 19 qui gagne. comme quand un client des massages tantriques est en train de faire pipi dans la salle de bain alors que je dois moi aussi faire pipi et que je fais un thĂ© dans la cuisine qui est Ă  cĂŽtĂ© de la salle de massage avec le sentiment que je devrais pas ĂȘtre lĂ . je me demande qui c'est qui va faire des massages tantriques.
cet appart est trĂšs imprĂ©gnĂ© par le sexe. par rapport Ă  la maison oĂč le sexe n'existe pas je veux dire. hier matin pendant que je prĂ©parais mon porridge j. me racontait qu'il avait couchĂ© avec un mec de grindr non stop pendant deux heures avant d'aller Ă  une fĂȘte d'halloween, il m'a demandĂ© si j'avais rien entendu mais dieu merci je l'ai juste entendu mettre le bordel dans la cuisine en rentrant de la fĂȘte, ça m'a bien Ă©nervĂ©e mais c'est moins traumatique. je lui ai demandĂ© s'il avait pris des drogues avant et il a dit oui parce que le mec Ă©tait bizarre, il avait de l'anxiĂ©tĂ© sociale et il parlait pas, he just wanted to fuck. parfois je me demande comment j'arrive si bien Ă  vivre sans ce truc qui semble si vital pour les autres. je me demande si c'est liĂ© Ă  ma fondamentale anesthĂ©sie vitale (artaud). est-ce que j'ai anesthĂ©siĂ© cette partie-lĂ  de moi aussi? ça m'arrive d'avoir envie de quelqu'un, mais je fais pas tout ce qui est en mon pouvoir pour que ça arrive. comme m'inscrire sur des applis de rencontre par exemple. j. m'a aussi parlĂ© de son ami tony qui Ă©tait dĂ©guisĂ© en rat sexy Ă  la fĂȘte d'halloween, avant tony travaillait dans une banque Ă  lyon et puis il a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  berlin pour devenir une star du porno. il m'a expliquĂ© que son but Ă©tait de devenir assez connu pour avoir assez de fans sur onlyfans et qu'il puisse ainsi se contenter de coucher avec son copain pour gagner de l'argent. il m'a dit qu'Ă  un moment il avait considĂ©rĂ© l'idĂ©e de devenir acteur porno lui aussi mais que d. l'en avait dissuadĂ©.
bon à bruxelles je veux aller habiter dans un immeuble avec une moyenne d'ùge de minimum 55 ans parce que c'est pas possible là le manque de respect c'est le milieu de la nuit putain pourquoi tout le monde se comporte comme si on était en plein jour? ??? je déteste le rire de d. il caquette. je l'entends caqueter. il caquette il claque les portes et il fait trainer ses claquettes en marchant dans le couloir. et en plus il renifle. j'ai pas envie de vivre avec d. mais ça arrive souvent de pas aimer ses colocs. et alors on fait des concessions, parce que c'est comme ça, pas le choix, il faut bien faire sa vie, c'est toujours mieux que de retourner chez ses parents. qu'est-ce qui tourne pas rond chez moi?
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camisoledadparis · 3 months ago
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Années 1940 Pot de chambre / Vase de nuit TÎle émaillée Jaune à liseré vert
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