#ceci est si pur
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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Quand je repense à nous, à notre parcours, je ne pense qu'à l'amour.
Parce qu'après 1 an de relation, nous nous chérissons malgré les tempêtes et les disputes, la peur et les doutes.
Au cours de cette année, j'ai appris chaque jour à découvrir peu à peu l'homme que j'aime.
Bien sur, je suis passionnée, autant et toujours par tout ce que tu accomplis. Ta discipline est exemplaire, ta foi, tes valeurs et ta conviction aussi. Même avec de la fatigue, tu veux apprendre, comprendre et réaliser tes rêves les plus fous. Tu es non seulement impressionnant, mais aussi un exemple.
Tu es un personnage haut en couleur, riche en sensibilité qui se cache derrière l'humour.
Quoi de mieux que de rire de cette vie qui peut être belle et cruelle ?
Nous avons grandi ensemble, nous avons réalisé des dates les moins communs, et qu'est ce que j'aime ça !
De la folie, de la passion, de l'amitié..
On trébuche, on se plante parfois, mais surtout on se soutient et on se fait confiance. En tous cas, moi je te fais confiance. (T'en fais pas j'essaie désespérément d'appliquer ta formule 80/20. Mais bon, c'est pas trop ça).
Dans nos folies :
- nous avons regardé notre premier film ensemble au bout de 9 mois,
- nous n'avons toujours pas été au cinéma,
- nous avons mangé notre première glace alors qu'il faisait 10 degrés,
- nous aimons nous creuser la tête sur des énigmes,
- nous aimons parler des heures de tout, et à la fois de la complexité de ce monde,
- nous nous sommes mutuellement présentés à nos familles.
Bref, on a notre relation.
Ce que j'apprécie aussi, c'est toutes les petites attentions quotidiennes comme la fois où j'étais épuisée et tu m'as ramené des macarons. Des petits gestes qui veulent dire tellement.
Tellement comme notre premier "je t'aime" au bout de 9 mois. Ces mots veulent dire bien plus, parce qu ils sont choisis avec minuties à chaque fois qu'ils sont prononces. Alors, je sais que quand tu le dis, c'est pour exprimer un amour profond et pur.
Tu l'auras compris, je pourrais parler des heures de notre relation et de mon ressenti.
Attends, ce n'est fini, je n'ai pas tout dit ;
Aussi, par cette lettre, je tiens aussi à te remercier pour tes encouragements, tes gestes les plus tendres et ton soutien inestimable.
Tu sais, au contact de ton corps, je me sens femme, je me sens moi et je me sens respectée. Et pour tout ce que tu m'apportes merci.
Quand tu liras, tu me diras peut être que j'en fais trop, pourtant c'est ce que j'eprouve.
Bien que tu es aussi ton caractère et tes secrets, je sais que je veux rester à tes côtés. Quoi qu'il advienne.
Et surtout, si un jour, je devais avoir des enfants, j'aimerais qu'ils aient un père comme toi.
Je finis juste par ceci : je t'aime et joyeux anniversaire à nous.
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Un seul Dieu tu adoreras…
Le 5 mars, j'avais écrit, dans un édito, la phrase suivante, qui a choqué quelques lecteurs et en a apparemment surpris plus d'un : “ 99 % de nos contemporains sont incapables de voir [dans l'islam] autre chose qu'un ’‘christianisme autrement’' et ils sont donc capables de proférer des énormités telles que : ’'L'islam, une religion d'amour et de paix ”... ou “Le carême ? Un ramadan chrétien”... voire, plus énorme encore, “Eux et nous croyons en un seul Dieu, donc c'est le même…” (…)“. Des lecteurs m'ont écrit, juste avant le dernier ’'haut fait” dans l'horreur de ces fous de haine : ’'Sur quoi vous basez-vous pour dire que ce ne serait pas le même dieu ?“. Le demandent-ils encore après ’l'attentat de Moscou’', avant-hier ?
Une remarque préalable : il faut admettre que, à un niveau élémentaire, la définition de l'ancien ’'Catéchisme” de l'Eglise préconciliaire ouvrait la porte à une confusion possible : “Q. : ’'Qu'est-ce que Dieu ?’’ –R. : ’'Dieu est un pur esprit, infiniment bon, infiniment aimable, infiniment puissant, créateur et souverain Maître de toute chose” … ce qui pourrait aussi “définir” Allah… à ceci près que l'équivalent du “Credo” pour les musulmans, la “Chahada”, affirme : “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh..”. (= Non, il n'y a pas d'autre Dieu qu'Allah– seule “définition” connue qui s'ouvre par une négation : “Non, il n'y a pas de Dieu …. autre que Allah)– et précise, pour interdire tout ’'amalgame”, que “Muḥammadan rasûlu-llâh” (Mahomet est son Prophète), ce qui sonne la fin du rêve-cauchemar simpliste des “syncrétistes relativistes”.
Pour être sérieux, il faut partir de l'affirmation initiale, apportée au monde par le christianisme, et qu'aucune autre religion n'égalera jamais, dans l'immensité de ses conséquences. Elle est stupéfiante, et repose sur des bases jamais vues les relations entre l’Homme, le Divin, et le Sacré : “Un Dieu unique, en trois personnes” (on appelle trines, comme “Trinité”, ces trois “unités” résumées en une par Tertullien. Il y a deux mille ans plus encore qu'aujourd'hui, cet énoncé des attributs de la Divinité n'a pas été “facile à avaler”, d'autant plus que l'expression “en trois Personnes”, qui est la plus souvent utilisée traduit très mal ’‘en trois Hypostases’’, ce qui ajoute de la difficulté à la complexité.
Et parmi nous, qui brandissons plus qu'ils ne le méritent notre rationalisme et notre science de plus en plus souvent sans conscience, cette complexité en a effrayé plus d'un, les rejetant dans un obscurantisme encore plus grand : nombreux sont ceux qui se soumettent à de superstitions plus irrationnelles encore que l’existence éventuelle d’un Dieu (du Vendredi 13 qui porte chance ou guigne -on ne sait pas trop !- aux tarots, des horoscopes, aux tables tournantes, ou autres mœurs et pratiques qui rendent “soumis” (= islam) des adeptes d'une néo-religion dénaturée qui en font, chez nous, une démonstration qui est trop souvent sanglante, hélas !).
Pourtant, l'équation (1 = 3), est une expérience que nous vivons à chaque instant : le nombre des choses uniques mais qui se comptent “trois” est immense, depuis la plus modeste pièce de monnaie, qui a une face, un revers et une tranche mais est “une”, indivisible et (si on me permet !) consubstantielle (même si je sais que l’homo-ousia chrétienne est une tout autre chose !) ou une jolie feuille de trèfle qui est une mais trois (si rarement quatre !) et jusqu'à n'importe laquelle de nos journées qui est matin, midi et soir… parmi tant d'autres exemples possibles (cf. n/ billet n° 31-- 23 déc. 2013. NB : c'est un ’'dada” qui, en moi, ne date pas d'hier !).
Mais une autre révélation a été plus traumatisante encore : jusqu’à l’apparition du Christ dans l'Histoire, la notion de dieu était une référence locale et tribale, fermée sur elle-même, et même les monothéismes antérieurs n’avaient pas dérogé à ce critère : Adonaï, le Dieu d’Abraham est “le Dieu d’Israël”, sans ambiguïté (ex. : “Seigneur, sauve Israël, ton peuple”-Ps 28-9, ou : “Le Seigneur dit : je suis un père pour Israël ’’-Jr 31, 7-9), tout comme Amon-Rè ou Aton appartenaient à la seule l'Egypte, Ahura Mazda aux aryens, Tangata Manu aux seuls pascuans (ce qui limitait sa ’'toute puissance” aux 160 km² de Rapa-Nui !) ou Yo aux phéniciens et Baal aux cananéens… Zeus, sur son Olympe, était aux grecs, Jupiter au monde romain, Manitou aux seuls algonquins (et non aux “peaux-rouges”, comme on le croit souvent), Quetzalcóatl aux aztèques et Mango-Capàc aux incas –et cetera…
Exception amusante, Rome avait empilé dans son Panthéon la totalité des dieux adorés par les peuples conquis et intégrés à l’Imperium romanum… et ce, jusqu'à l'absurde : vers la fin du temps où l’Urbs et l’Orbis ne faisaient qu'un, on “adorait” à Rome 30 000 ‘’dieux’’ de toute sorte, de toute forme et de toute origine. (NDLR - Certains ont d’ailleurs vu dans cette “foultitude” l'origine de la célèbre apostrophe d'Obélix : “Ils sont fous, ces romains !“. Je n'ai pas vérifié). On peut se demander quel rôle a joué cette dilution extrême de l'identité romaine dans l'effondrement d’un Empire géant et surpuissant, mais qui s'est trouvé désarmé devant la simple apparition d'une majuscule à “Dieu”... idée, qui –que je sache--n'a jamais été explorée.
Car tout à coup éclate à la face de l’Humanité cette grande nouvelle : Dieu est un, et Il est universel ! Dieu n’appartient plus à un seul peuple, pas même à ses seuls adorateurs, mais Il est pour le monde et au monde : comme il est dit qu’Il “s’est fait Homme”, Il devient l’un des nôtres. Dieu oui, sans aucun doute, mais à jamais solidaire de l’humanité, de toute l’Humanité passée, présente et à venir, quelles que soient ses religions, ses croyances, ses refus de croire, ses choix philosophiques : un homme-Dieu et un Dieu-homme, tout en un, et en trois personnes, en plus ! Deux mille ans plus tard, l’humanité ne s’est pas encore vraiment remise du choc de la révélation que ”Il n'y a plus ni juif ni grec, il n'y a plus ni esclave ni homme libre, il n'y a plus ni homme ni femme,“ (Gal 3-28), malgré tant de tentatives ratées, souvent en ”–isme’’, pour s'approprier cette idée “géniale” ! (Remarque : quel point commun avec Allah ? Pas un seul !).
Parmi tant d'autres apports méconnus ignorés ou mal identifiés du message christique, cette première “mondialisation” qu'a été l'idée d'un Dieu unique pour la terre tout entière a certainement été la plus bouleversante dans ses conséquences, et jusqu'à ce jour, c'est la seule “mondialisation” positive réussie ! Cette idée a été reprise ensuite, sous des formes variées… dont l'Islam est à la fois un bel exemple et un superbe contre-exemple : Allah, Dieu unique s'il en est, exige la conversion des hommes, et il est donc à la fois universel et spécifique. Ne serait-ce que sur ce seul point, toute confusion entre “Dieu” et “Allah” est impossible. D'autres copies de mauvaise qualité ont pris des formes plus avariées que variées, comme le communisme et les socialismes, et plus récemment l'écologisme, l'égalitarisme, le “wokisme”… mais ces spéculations à prétentions internationalistes voulaient imposer une “vérité” qui n'est que leur mensonge… Toutes ont très vite trouvé et prouvé les limites catastrophiques de leur projet sans issue possible.
Quoi qu'il en soit, voilà soudain le monde pourvu d'un Dieu unique, universel, indépendant de l'identité de ses adorateurs, le même pour tous… et qui va proclamer l'égalité “devant sa face” de tous les hommes, femmes, “juifs ou gentils”, pécheurs ou saints… qu'il va aimer aussi fort qu'il aurait voulu qu'ils s'aiment les uns les autres ! Une séparation du type “je t'aime… moi non plus”, entre ceux qui croient et ceux qui refusent de croire, va trouver là un sujet de querelle à vocation d'éternité. Après la réhabilitation en cours, par la science, des contenus de la Bible, très (trop) longtemps moqués et rejetés, la suite de l'histoire de l'Homme sur la Terre va être marquée à jamais par la révélation christique.
Comme nous sommes loin d'un Dieu exigeant, autoritaire et normatif, qui veut commander, conquérir, contrôler, et diriger jusque dans le moindre petit détail… “Aimez-vous comme je vous aime ”, dit l'un. “Lâ ʾillâha ʾillâ -llâh” (= Il n'est de Dieu que Dieu)... et “ s'il le faut, il conquiert les âmes par l'épée” (= “Bès Sif”)“, dit l'autre. Un seul Dieu, c'est évident. Mais Le même ? Sûrement pas, même un peu… Dès qu'on va au fond des choses, c'est chacun le sien ! Et c'est très bien, comme ça !
H-Cl.
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Mother Nature is Team J2 !!!
C'est la fin des vacances. Et pour se remonter un peu le moral, étant donné que J2 ne semblent pas décidés à le faire, on laisse notre imagination s'emporter avec les informations de la journée.
Comme le titre le mentionne, nous avons la preuve que Dame Nature est autant sensible au conte de fées J2 que nous...
Le 16 février 2016 déjà, elle nous l'avait montré sur la photo IG postée par JA.
Vous le voyez, le nuage en forme de cœur entre les deux ?
Et en ce début août 2023, à peine une semaine après avoir appris que JA semblait avoir abandonné Austin pour s'installer en Nouvelle Angleterre, voilà qu'une tempête meurtrière balaie la Côte Est des Etats-Unis, faisant 2 morts et laissant des centaines de milliers de personnes sans électricité.
Coïncidence ? Ou signal clair que tant de kilomètres entre JA et JP ne convient pas dans les hautes sphères ? Surtout que le Texas doit gérer une situation extrême lui-aussi...
On est bien d'accord que ceci est un pur délire d'une âme romantique cherchant un peu d'émotion, n'est-ce pas ? Ainsi qu'une preuve qu'on peut toujours trouver une signification à un phénomène si on le veut vraiment !
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~ Hunger Games ~ Finnick Odair X F!Reader
Synopsis : Être la fille de Snow n'est pas toujours facile. En fait, ça ne l'est jamais. Encore plus lorsque le chéri du Capitol vous plaît. Et si ce n’était que ça…
Point de vue Reader :
Je suis allongée de tout mon long sur mon lit king size, bouquinant un vieux livre d’histoire qui raconte la chute de l’ancienne politique. Mais je ne reste pas tranquille bien longtemps, l’un des serviteurs de mon père venant toquer à la porte de ma chambre.
-Entrez !
Le serviteur entre après mon ordre. Il se courbe en avant alors que je me redresse en une position assise.
-Jameson, je vous ai déjà dit que vous n’aviez pas à vous courber devant moi sans la présence de mon père. Redressez vous.
-Excusez moi mademoiselle. Votre père vous demande dans son bureau.
-N’est-il pas en réunion avec les vainqueurs du 4 ?
-Il demande votre présence. Je n’ai pas plus d'informations.
Je me lève de mon lit et mets mes chaussures à talons transparents, ajustant ma robe courte faites de grandes plumes synthétiques blanches.
-Comment suis-je, Jameson ? Et sois honnête.
-Magnifique, comme à votre habitude. Mais si je peux me permettre…
Il entre complètement dans ma chambre et se dirige vers mes bijoux. Je l’observe faire, lui souriant gentiment. Il récupère un joli collier d’épaule fait de diamant sublime. Ceci est un cadeau de Cina et César pour mon 19ème anniversaire. Il m’aide à le mettre avant de reculer de deux grands pas.
-Très bien, allons-y maintenant ou mon père risque de s’impatienter.
-Je suis convaincu qu’il l’est déjà.
Je ricane avant de mettre une main devant ma bouche. Je me tourne vers Jameson, c’est un vieux monsieur bien conservé qui est au service de mon père depuis des années maintenant. Il m’a vu grandir et a essuyé d’un revers de main tous mes chagrins. Il me connait surement mieux que mon père.
-Jameson, nous ne mettons pas dans l’embarras. Les murs ont des oreilles vous savez.
-Bien sûr, mademoiselle.
Nous marchons à la hâte jusqu’au bureau de mon père, parlant tranquillement de plusieurs sujets sans importance avant de discuter des futurs Hunger Games, ce jeu ne va pas tarder à faire son grand retour.
-Quel district allez-vous parrainés cette année ?
-Je ne sais pas encore. J’aimerai aller à la rencontre des districts un par un, être en contact avec eux pour savoir quoi mettre en place pour les aider.
-Votre demande sera refusée, mademoiselle. Les habitants de ces districts essaieront sans aucun doute de vous tuer pour se venger du président.
-Au risque de se faire incendier par mon père ? Je ne les crois pas aussi stupide, Jameson.
-Je ne veux que votre sécurité.
-Et mon père fera toujours en sorte que je le sois. Ne vous en faites pas, faites moi confiance.
Après la fin de ma phrase nous entrons sans même avoir toqué dans le bureau. Je marche jusqu’à mon père qui est assis face aux vainqueurs du district 4. Je lui embrasse la joue tendrement en m’excusant de l’attente.
-Tu es très jolie aujourd’hui. Me complimente-t-il.
-Merci, papa. Jameson m’a aidé à choisir.
Il regarde le serviteur qui a fermé les portes et reste planté devant elle, droit comme un piqué. Il lui adresse un mouvement de tête avant de me présenter d’un mouvement de main les vainqueurs.
-Tu dois sûrement les connaître.
-Oui bien sûr, j’ai beaucoup entendu parler de vous.
-En bien j’espère. Me sourit le seul tribut mâle.
Finnick Odair, le chouchou du Capitol entier. Enfin il est aussi connu pour les expériences incroyables qu’il offre au lit.
-Cela dépend des domaines.
Il me sourit, ses dents blanches bien alignées scintillantes alors que Mags pose une main sur le bras d’une petite rousse, Annie. Elle a gagné ses jeux sur un pur coup de chance. Mais je suis heureuse qu'elle ait pu survivre à l’arène.
-Pourquoi ma présence ?
-Je voulais que tu les rencontres. J'aimerais te laisser la gestion des Hunger Games, d’ici quelques années. Il est temps que tu apprennes.
Mon visage devient livide alors que je me tourne vers lui, complètement démunie.
-Je ne suis pas une grande fan de la violence, tu le sais bien, papa. Je ne suis pas convaincue que je sois la meilleure personne pour superviser un jeu de mort imminent.
Ma réponse n’a pas l’air de lui plaire, je le vois à la contraction de sa mâchoire et ses yeux vicieux qui se posent sur moi. Je prends une inspiration avant d’essayer de m’expliquer.
-Ecoute-moi pour une fois, s’il te plaît. Les Hunger Games sous mon commandement seront une catastrophe, je ne peux pas faire ça aussi bien que toi. Je n’ai pas ton expérience.
-C’est pour cela que tu apprendras à mes côtés. Je serai ton formateur. Ton apprentissage commence dès cette année.
Je jette un regard à Jameson qui me fait signe d’accepter. Je me retiens de soupirer et souris à mon père, comme si j’étais heureuse de la responsabilité qu’il me donne.
-Je ne te décevrai pas, papa.
-Je le sais. Finnick s’occupera de ton introduction aux dessous des Hunger Games. Tout est déjà vu avec lui.
-Oh. Très bien. Pourquoi pas les vainqueurs du 1 ou du 2 ?
-Je m’occuperai de toi comme une princesse. Les autres sont un peu brutes.
-Mais il faut l’être pour gagner les jeux, n’est-ce pas ?
-Bien sûr, mais il faut savoir être pleins d’autres choses pour gagner.
-J’ai hâte que vous m’en appreniez plus, monsieur Odair.
Je lui souris sincèrement, ce qui semble le perturbé un peu. Mon père toussote faiblement, me ramenant à lui.
-Finnick restera au petit palais avec toi, ta sœur et les domestiques.
-Bien.
-Peux-tu l’accompagner avec Jameson ?
-Avec plaisir.
Je me tourne pour faire face à Finnick qui est déjà debout, disant au revoir aux deux femmes. Je l’observe silencieusement et patiemment, il tient à elle, cela se voit par ses gestes. Il est tendre et protecteur avec elles. Il finit par se tourner vers moi avec un fin sourire mais qui ne reflète rien de particulier. Je l’invite à me suivre alors que Jameson nous ouvre les portes.
-Jameson, demandez aux domestiques de préparer notre voyage au petit palais. Qu’ils fassent les valises, je pense que nous allons y rester un long moment.
-Très bien mademoiselle.
-Merci. Suivez-moi, je pense pouvoir vous emmener à un endroit qui devrait vous plaire.
-Ah oui ? Quel est cet endroit, mademoiselle Snow ?
- T/P T/N.
Il me regarde en fronçant les sourcils, ne comprenant pas vraiment alors que je ricane de son état. Mais je ne compte pas lui expliquer quoi que ce soit, s’il veut savoir il devra demander.
-Par ici.
Il me suit jusqu’à l’extérieur dans les jardins avant qu’on n’entre dans une serre. On suit un petit chemin avant d’arriver sur une piscine ressemblant plus à un lac à l’eau bleu turquoise magnifique.
Je me tourne vers le vainqueur et vois sa mâchoire se décrocher. Je ricane légèrement attirant son attention alors je mets une main sur ma bouche, étouffant mon rire. Il attrape doucement mon poignet et le tire doucement vers le bas, me souriant comme s’il voulait me charmer.
-Je n’ai jamais entendu quelque chose de si mignon.
Je n’ai le temps de rétorquer que Marlo débarque comme un bourrin.
-Ne la touchez pas, vous n’en êtes ni digne ni autorisé.
-Marlo. Ai-je coupé alors que mon agent de sécurité s'approchait de Finnick, l'éloignant de moi.
-Et vous, mademoiselle, il va falloir que l’on revoit les règles de sécurité. Me dit-il durement alors que je le regarde suppliante. Et ne me faites pas votre regard de chaton en détresse. Cela ne marche pas.
Il prend ma main et me fait prendre une distance absolument exagérée du vainqueur du 4. Ce dernier sourit, amusé de la situation, pour autant je ne trouve rien de drôle.
-Visiblement s’il faut que je révise les règles de sécurité il faut que tu révises tes bonnes manières, Marlo.
-Mademoiselle n’est pas en mesure de me réprimander.
-Et pourquoi ?
-Parce que vous vous mettez en danger telle la petite fille naïve que vous êtes !
Je fronce les sourcils, nous sommes repartis pour une longue dispute pleine de cris et d'insultes.
-Hé, n’hausse pas le ton sur elle. Elle n’a fait que me montrer cet endroit.
-Où il y a de l’eau. Et tu es un tueur hors pairs au sol autant que dans l’eau.
-Il ne me fera pas de mal, Marlo. Ce n’est pas un monstre !
-C’est un tueur, mademoiselle. C’est du pareil au même.
-Vous avez fait de lui un tueur de ce que je sache alors cessez votre hypocrisie !
-Mais…
-Dehors ! Immédiatement !
-Votre père… !
-Je viens de te donner un ordre, exécute le ou tu le seras.
Le grand homme en smoking noir dévisage longuement Finnick avant de me regarder froidement mais je tiens son regard.
-Je ne serai pas loin.
-Parfait, faites en sorte que je ne vois pas votre tête d’ici notre arrivée au petit palais.
Il acquiesce avant de se poser je ne sais trop où en dehors de la serre.
-Tout va bien ? Me demande le blond, le visage penché en avant.
-Ce n’est pas moi qui a été insulté. Allez-vous bien, vous ?
Il semble surpris mais chasse le sentiment en quelques secondes seulement. Cette capacité à passer d’une émotion à une autre est inquiétante. Il arbore maintenant un sourire suffisant.
-Je n’ai pas pour habitude qu’on me pose cette question. Mais ça va, j’ai vécu pire.
-J’imagine.
-Vous n’avez pas l’air de vraiment savoir mon parcours. Suivez-vous les Hunger Games, mademoiselle ?
-Pas vraiment, je n’aime pas ce jeu. Il est stupide. Je préfère lire des livres contant l’histoire. Mais récemment j’ai dû m’y intéresser. Pour vous.
-Pour moi ? Interroge-t-il, presque au bord de l’hilarité.
Je fronce les sourcils, ne trouvant pas le sujet drôle.
-Riez-vous des tributs morts dans l’arène monsieur ? Ou encore de la pauvreté dans laquelle vit les populations des 5 à 12 ? Parce que je ne trouve pas cela amusant.
-Non, pardon.
-Vous êtes quelqu’un de bizarre. Est-ce que Marlo a raison, êtes-vous fou ?
-Je suppose qu’il faut être un peu fou pour survivre au jeu. Qu’est-ce que vous en pensez ?
-Je pense qu’il faut être courageux et fort. Dans plein de domaines.
-Vous n’avez pas totalement tort.
-Bien sur.
Un blanc s’ensuit alors que je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Les tributs choisis ne peuvent décidément pas tous être un peu fous. Comment mon père aurait su que ces tribus étaient fou avant même que les jeux commencent ? Soudain j’entends le bruit d’un plongeon avant que de le ne m’éclabousse sur la joue. Je laisse échapper un cri de surprise avant de regarder le lac, Finnick est dedans, torse nu, seulement avec son pantalon ample. Son tee-shirt est par terre, à quelques pieds de moi. Il ressort de l’eau plus loin, secouant la tête en reprenant sa respiration.
-L’eau est-elle à votre convenance, monsieur Odair ?
-Aussi parfaite que vous, mademoiselle.
Son compliment raisonne dans la serre alors que je ne peux m’empêcher de rire à sa bêtise. Je m’installe sur un transate alors qu’une domestique arrive pour me demander les collations que je souhaite, je lui demande simplement deux limonades fraîches. Entre-temps, Jameson revient vers moi, apportant deux trois livres pour m’occuper. Il observe longuement Finnick faire des longueurs avant que je ne lui donne un coup de coude léger sur son côté, il me regarde à présent.
-Jameson, ne le regardez pas comme s’il venait d’une autre planète. C’est impoli.
-Se mettre à moitié nu devant vous est impolie, mademoiselle.
-Je l’aurai trouvé stupide s’il se baignait tout habillé.
-Il est vrai.
-Le trouvez-vous stupide Jameson ?
-Finnick Odair est quelqu’un de très malin, mademoiselle. C’est pour cela que vous devez redoubler de méfiance.
-Vous, vous avez parlé avec Marlo, je me trompe ?
-C’est possible.
Je souris à leurs comportements surprotecteurs mais dans tous les cas Finnick va m’accompagner de partout pendant un certain temps alors autant le mettre à l’aise dès maintenant.
-Nous partirons ce soir.
-Superbe. Merci, Jameson. Vous pouvez disposer.
Il semble hésitant avant de se courber en avant et de quitter la serre. C’est alors que Finnick nage vers moi avant de sortir de l’eau. L’eau ruisselle sur sa peau bronzée, venant finir leur course sur son vêtement.
-La vue vous plaît mademoiselle T/N ?
Je le regarde droit dans les yeux, les joues chauffantes alors que la honte grimpe en flèche dans mon corps. Je bafouille des excuses avant de porter mon attention sur mon livre d’histoire. Il s’amuse de la situation, ricanant joliment, mais encore une fois quelque chose me dérange de sa manière de faire. On dirait que toutes ses réactions sont faussées par je ne sais trop quoi.
Il s’assoit à côté de moi, sur le transate parallèle au mien. Je ferme mon bouquin et le fixe dans les yeux, il fait de même me souriant.
-Puis-je poser une question ?
-Vous devrez payer.
-Comment payer ?
-Oh vous voulez vraiment poser votre question…
-Dites moi.
-Un secret. Et vous aurez ma réponse.
Je fronce les sourcils, il veut un secret ? Pourquoi faire ? Je trouve ça totalement déplacé.
-Les secrets sont personnels.
-C’est ce qui est intéressant.
-Et les gens vous disent leurs secrets ?
-Bien sûr.
-Qu’ont-ils en échange ?
Son visage se ferme quelques secondes avant qu’il ne détourne le regard, se massant le menton, comme s’il réfléchissait à la meilleure réponse.
-Qu’est-ce que vous connaissez sur moi ?
-Que vous êtes le vainqueur mâle du district 4, tout le monde vous idolâtre au capitol mais je ne comprends pas pourquoi. Vous êtes certes beau garçon et charmant je ne trouve pas que vous avez une âme exceptionnelle.
Il me regarde comme si j’étais un extraterrestre et je ne comprends pas. L’ai-je vexé ?
-Vous ne me voulez pas alors ?
-Vous vouloir pour quoi faire ?
-Mon corps.
Là, c'est moi qui le regarde comme s’il venait d’une autre planète. Je prends enfin conscience de ce qu’il m’avance et je lui envoie mon livre dans la figure, le surprenant. Il se l’est pris dans le nez.
-Hé !
-Non mais qu’est-ce que vous avez dans la tête ?
-C’était une simple question.
-Nous devons nous préparer pour le voyage ! Magdalen, donnez lui de quoi se sécher et dites à Jameson de s’occuper de lui.
-Oui, mademoiselle.
Je me tourne vers Finnick toujours aussi rougeoyante. Je ne sais pas quoi lui dire alors je le dépasse en récupérant mon second livre. Je lui laisse cependant celui qu’il a dans les mains. Je me tourne de nouveau vers lui et le lui montre de l’index.
-En espérant qu’il vous serve un minimum à vous instruire.
Puis je quitte la serre, retrouvant directement Marlo.
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CE QUE L'ON VOUS A TOUJOURS CACHÉ SUR LE CÔTÉ OBSCUR DE MOHAMED ALI
Racisme, islam, manipulations...
Dire de Mohamed Ali qu’il est le plus grand sportif du 20ème siècle n’a rien d’exagéré.
Roi de la boxe anglaise à l’époque où le noble art était le sport le plus populaire de la planète, le Greatest fut le premier poids lourd à être couronné trois fois champion du monde, et ce, alors qu’il n’existait qu’une seule et unique ceinture.
Ayant défendu son titre à 19 reprises, il a défié et vaincu absolument tous ses rivaux (Sonny Liston, George Foreman, Joe Frazier…) lors d’affrontements dantesques où les pronostics le donnaient bien souvent largement perdant (le Rumble in the Jungle en 1974, le Thrilla à Manilla en 1975…).
S’il n’est évidemment pas le seul à avoir excellé dans sa discipline, ce qui le distingue de tous les Pelé, Jordan, Bolt, Woods, Brady & Co., c’est de ne s’être jamais cantonné à son seul sujet.
Mohamed Ali, c’était plus que de la boxe. Mohamed Ali, c’était plus que du sport. Mohamed Ali, c’était une personnalité et des engagements qui ont fait trembler le monde.
Immensément populaire tout autour du globe hier comme aujourd’hui, l’admiration légitime qu’il suscite ne doit cependant pas être confondue avec de l’idolâtrie. Ali n’était ni un prophète, ni un sauveur, mais un homme avec ses (immenses) qualités et ses (gros) défauts.
Qu’importe le storytelling en vigueur depuis trente ans qui tend à occulter ses zones d’ombre, revenons sans complaisance sur certains passages de la biographie de celui qui « refusait d’être celui que l’on voulait qu’il soit ».
Mohamed Ali était-il vraiment musulman ?
La question peut paraître saugrenue de prime abord, tant Mohamed Ali a œuvré sa vie entière pour promouvoir l’islam.
En réalité, il existe ici deux Mohamed Ali : celui qui s’est converti au sunnisme à 33 ans, et celui qui auparavant a milité plus de dix ans au sein de la très controversée Nation of Islam (de février 1962, date à laquelle il a rendu son engagement public, à 1975, date de son départ).
Dirigé de 1934 à 1975 par le tout aussi controversé Elijah Muhammad, la N.O.I. n’appliquait absolument pas les préceptes coraniques au pied de la lettre, mais s’autorisait au contraire à les amender très librement.
Ainsi, le fondateur de la Nation of Islam, Wali Fard Muhammad (disparu mystérieusement en 1934 à 41 ans), était à la fois désigné comme le « mahdi » (le dernier des prophètes envoyé par Allah, annonciateur de la fin des temps), mais aussi comme « Dieu en chair et en os sur terre » – pas une incarnation, pas une manifestation de Dieu, mais bel et bien Dieu lui-même (?!).
Considérés comme hérétique aux yeux des musulmans orthodoxes, les Black Muslims comme ils se surnommaient se confondaient aux yeux des autorités avec une secte tant que le culte de la personnalité y était prononcé.
Et encore, on vous passe les délires sur les soucoupes volantes pour expliquer certains passages de la Bible et du Coran ou la création de la Terre et des Cieux… D’ailleurs, si vous cherchez Elijah Muhammad, il ne repose pas au Paradis, mais en rotation autour de notre planète.
Mohamed Ali était-il raciste ?
La question peut de nouveau surprendre, à ceci près que, là encore, les faits sont troublants.
Les Black Muslims prônaient en effet un ségrégationnisme pur et dur au motif que Noirs et Blancs ne pouvaient pas cohabiter sur un même territoire.
Assimilée au plus premier des degrés à « la race des diables », la race blanche serait, selon leurs sources, née des expérimentations menées par le sorcier Yakub 6 600 ans plus tôt et œuvrerait depuis pour asservir l’homme noir originel.
Au sommet de sa gloire, Mohamed Ali embrassait sans ambage ces thèses, clamant notamment « n’avoir aucun ami blanc », que « tous les hommes blancs américains étaient des diables », ou « qu’un homme noir devrait être tué s’il fricotait avec une femme banche. »
Alliant la parole aux actes, tout comme Malcolm X, Ali est allé jusqu’à se rendre à un meeting du Ku Klux Klan pour prononcer le discours suivant : « Les Noirs devraient se marier entre eux. Les merlebleus avec les merlebleus, les pigeons avec les pigeons, les aigles avec les aigles. Dieu ne se trompe jamais. »
Le genre de déclarations qui fait franchement tâche sur le CV d’un champion des droits civiques…
À sa décharge, après avoir pris ses distances avec les Blacks Muslims, Ali reconnaîtra avoir été victime de l’influence néfaste d’Elijah Muhammad et confiera même après sa mort qu’il « aurait souhaité quitter la Nation plus tôt s’il n’avait pas craint de se faire descendre comme Malcolm ».
[Les trois assassins de Malcolm X étaient tous membres de la N.O.I.]
Mohamed Ali, l’homme à femmes
Au sein d’une Nation of Islam qui prônait « la pratique d’une moralité élevée » en matière de relations hommes/femmes (séparation rigoureuse des sexes lors de ses manifestations, interdiction des mariages interraciaux, monogamie stricte, injonction faite aux « sœurs » de porter « des robes qui touchent le sol » par souci de discrétion…), Mohamed Ali vivait sur ce point sa vie comme il l’entendait
Marié à quatre reprises (et absolument pas avec des femmes membres la N.O.I. comme préconisé), père de neuf enfants, il multipliait les liaisons extraconjugales.
En 2017, dans sa biographie Ali: A life, le journaliste américain Jonathan Eig consacre des passages entiers au « phénoménal appétit sexuel » du Greatest.
« Noires, blanches, jeunes, mûres, actrices, femmes de ménage… il ne faisait aucune discrimination. Tout son entourage était au courant. C’était un sujet de plaisanterie récurrent chez ses amis. »
Sa deuxième femme, Khalilah, mère de quatre de ses enfants, reconnaissait d’ailleurs volontiers « son côté sombre et diabolique », elle à qui il arrivait d’arranger des chambres d’hôtels pour les maîtresses de monsieur (!).
Humiliation suprême, quand son mari s’en est allé combattre Joe Frazier aux Philippines en 1975, le président Ferdinand Marcos a cru bon de le complimenter en public sur la beauté de son épouse… alors qu’Ali était ce jour-là accompagné de l’une de ses conquêtes – sa future troisième femme, Veronica Porche, 19 ans.
Ali estimait néanmoins tout à fait normal ses infidélités, comme il s’en était expliqué dans le New York Times.
« J’ai trois ou quatre copines que je loge, et alors ? Si elles étaient blanches, je comprendrais que cela pose problème, mais elles ne le sont pas. Qu’on me critique sur le Vietnam, qu’on me critique sur ma religion, ou tout un tas d’autres trucs, mais pas là-dessus. »
Notez qu’au sein de la Nation of Islam, il n’était pas le seul Tartuffe de la chambre à coucher, « l’honorable » Elijah Muhammad s’étant fait griller pour avoir eu sept enfants hors mariage.
Mohamed Ali frappait parfois en dessous de la ceinture
Roi du trashtalk, à chacun de ses combats, celui qui volait comme le papillon et piquait comme l’abeille s’engageait dans une guerre des mots sans merci, tant par souci d’assurer un maximum de publicité à l’évènement, que par volonté de déstabiliser psychologiquement son adversaire.
Pas adepte pour un sou du fair-play (il moquait énormément le physique), bien qu’Ali fut plus clair de peau et souvent mieux né que ses adversaires (il était un enfant de la classe moyenne, pas du ghetto), il n’hésitait jamais à dégainer la carte de la race en traitant à tire-larigot ces derniers « d’Oncle Tom » ou de « champions des Blancs ».
C’est ce pauvre Floyd Patterson qui avait eu la mauvaise idée de confier que « la Nation of Islam déshonorait les Noirs » et qui s’est fait mettre KO en deux temps, trois mouvements. C’est le malheureux Ernie Terrell qui en conférence de presse avait eu l’outrecuidance de l’appeler Cassius Clay et qui s’est pris une correction douze rounds durant face à un Ali qui à chaque bordée de coups de poing le défiait de répéter son nom. C’est George Foreman qu’il détestait ouvertement pour avoir accepté de porter le drapeau américain lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de 1968 à Mexico.
C’est aussi et peut-être surtout Joe Frazier qu’il a harcelé jusqu’à plus soif – « C’est cet autre genre de Noir. Je ne suis pas comme lui. Un jour, il se sera peut-être comme moi. Là, il travaille pour l’ennemi. C’est pour ça qu’il est un Oncle Tom. »
Non content de le comparer à longueur d’interviews à un gorille (l’insulte préférée des racistes), Ali a poussé l’affront jusqu’à agiter un singe en plastique devant lui. Smokin’ Joe, qui des années plus tôt lui avait pourtant prêté de l’argent quand il était au plus bas, ne lui a jamais pardonné.
Son engagement plutôt trouble contre la guerre du Vietnam
Très probablement son plus haut fait de gloire en dehors des rings, quand, l’après-midi du 28 avril 1967, sur la base militaire 61 de Houston, il demeure immobile à l’appel de son nom.
Signifiant là son refus de rejoindre les troupes américaines envoyées combattre l’offensive communiste dans le sud Vietnam, Mohamed Ali justifie sa décision au nom de ses convictions religieuses.
Immédiatement privé de sa licence de boxe et dépossédé de ses titres mondiaux, il est ensuite condamné par les tribunaux à 10 000 dollars d’amende et cinq ans de prison ferme.
Un bras de fer judiciaire s’engage alors avec le gouvernement US.
Inflexible, Ali oppose une fin de non-recevoir à tous les compromis qui lui sont proposés (ne pas porter les armes, participer à des combats exhibition pour divertir les troupes…). Et tant pis si, à 25 ans, il met en péril ses meilleures années sur le plan sportif.
Célébré comme un héros de la liberté et de la contre-culture par l’Amérique protestataire, il incarne ainsi aux yeux du monde un David qui ne transige en aucun cas avec ses principes devant Goliath.
Trois ans et demi plus tard, la Cour suprême statue en sa faveur en cassant la décision de justice initiale pour des raisons de formes.
Canonisée depuis, la séquence mérite toutefois d’être nuancée.
Tout sauf un hippie ou un pacifiste, Ali avait en effet fièrement déclaré dans une interview reprise aux quatre coins du pays « qu’en tant que musulman, il ne participait qu’aux seules guerres voulues par Allah » et qu’il n’avait « personnellement aucun problème avec les Vietnamiens ».
[La punchline « Aucun Viêt-Cong ne m’a jamais traité de nègre » est en revanche une invention.]
Partisan de la loi divine contre la loi de la cité dans un pays où l’islam était ultra minoritaire, Ali faisait donc non seulement acte de sédition, mais il balayait d’un revers de main les 46 soldats américains qui perdaient chaque jour la vie en Asie (16 899 tués en 1968).
Très loin de créer l’unanimité, sa position était vivement critiquée par de nombreux afro-américains envoyés au front, l’accusant d’égoïsme et de lâcheté.
Comble de l’ironie pour un représentant de l’individualisme et de la libre pensée, la grande majorité des témoignages concordent aujourd’hui pour affirmer qu’Ali n’a absolument pas agi par droiture morale, mais par soumission à Elijah Muhammad qui interdisait à tous membres la N.O.I. de prendre part à cette « white man’s war ».
[Muhammad avait lui-même fait de la prison lors de la Seconde guerre mondiale pour avoir refusé de servir.]
Sa fin de carrière en pointillés
Lorsqu’en 1975, Mohamed Ali défait contre toute-attente George Foreman, le plus gros puncheur de sa génération, c’est au prix fort.
Auparavant habitué à danser autour de ses adversaires en s’appuyant sur son agilité et sa vitesse d’exécution, il avait ici opté pour une stratégie diamétralement inverse : encaisser les coups de Foreman blotti dans les cordes, attendre qu’il s’épuise, puis lui porter l’estocade.
Convaincu d’avoir trouvé la marginale, à partir de ce combat, Ali embrasse ce nouveau style, ce qui lui vaut de multiplier les coups reçus au visage. Pour ne rien arranger, à l’entraînement, il encourage ses sparring partners à le frapper à la tête autant qu’ils le peuvent afin de « gagner en résistance ».
Très vite, les conséquences se font ressentir sur sa santé
« Ses réflexes étaient moins vifs de 25 à 30%. Il ne s’en apercevait pas, il pensait que son cerveau était vierge de la moindre lésion alors qu’il commençait à bégayer, à se montrer hésitant… » observe son soignant Ferdie Pachecho.
Deux ans plus tard, en 1977, Pachecho lui conseille d’ailleurs fortement de raccrocher les gants avant qu’il ne soit trop tard. Ali fait la sourde oreille. Plutôt que d’avoir à cautionner le drame à venir, Pachecho démissionne.
Cette condition physique déclinante n’empêche pas Ali à trente ans bien sonnés d’enchaîner quatorze combats en sept ans.
Si ses performances se font de moins en moins convaincantes, son statut de légende vivante lui permet de bénéficier d’une mansuétude de plus en plus accrue de la part des juges – face à Jimmy Young et Ken Norton en 1976, la majorité des experts estiment qu’il aurait dû s’incliner aux points.
Par la suite, cette indulgence ne suffit cependant plus. Ali perd trois de ses quatre derniers combats, dont l’avant-dernier, à 38 ans, face à son ancien sparring partner Larry Holmes qui lui colle une telle raclée que son entraîneur Angelo Dundee a dû jeter la serviette à la fin du dixième round.
Souvent mise sous le tapis, cette fin de parcours fait tâche, d’autant plus que si Ali avait su arrêter à temps, peut-être aurait-il été épargné par la maladie de Parkinson.
12 CITATIONS DE MOHAMMED ALI
Publié sur Booska-p.com le 6 janvier 2023.
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- Shabbat Shalom au Peuple d’Israël et aux qehilot de la Diaspora -
Que votre Shabbat soit doux et lumineux au travers de Yahshua Ha Mashia'h
Que le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob vous bénisse et vous protège au nom de l’Adon Yahshua.
********
(Reprise d’une phrase de la parachah)
“Chaque individu est une pierre précieuse, harmonieuse, qui trouve sa place prévue d’avance pour élaborer le Temple de Son Corps.”
Les pierres précieuses
« Les fondements de la ville étaient ornés de pierres précieuses. » (Apocalypse 21:19)
Les pierres précieuses occupent une place importante dans la Bible. Assez curieusement, la première fois où le mot pierre est utilisé, dans la Genèse, c’est pour citer une pierre précieuse : « la pierre d’onyx »
“ L'or de ce pays est pur ; on y trouve aussi le bdellium et la pierre d'onyx. “ (Genèse 2.12)
Et la dernière fois où l’on retrouve ce mot, c’est dans les derniers chapitres de l’Apocalypse comme nous le voyons dans le verset du jour.
Dans un monde où tous les êtres vivants vieillissent et meurent, où les plus belles fleurs se fanent et disparaissent, seules les pierres précieuses restent immuables.
Le temps n’a pas d’effet sur leur éclat et leur permanence. Elles touchent au sublime, à l’éternel, à l’immuable. Voilà pourquoi elles sont mentionnées comme étant dans le jardin d’Eden et qu’on les retrouve dans la nouvelle Jérusalem. Elles sont liées à la dimension d’éternité et de sainteté.
C’est comme si ces pierres voulaient nous rappeler que nous sommes appelés à partager la gloire et l’éternité d’Elohim.
Ces deux textes sont comme des parenthèses, elles enferment tout le contenu du livre, de la Genèse à l’Apocalypse, comme pour nous dire que la Bible est une mine de trésors extrêmement précieux. D’ailleurs le but de la Bible n’est-il pas de nous révéler Yahshua, la perle de grand prix !
Ceci dit, les pierres précieuses ont bien d’autres choses à nous dire. Le premier des messages qu’elles nous disent, c’est : « Notre éclat, notre permanence, notre beauté, est le résultat d’une formation dans les entrailles de la terre, là où la chaleur et la pression sont insoutenables ».
Elles ajouteraient pour nous encourager : « Considérez les diverses épreuves que vous traversez, comme une opportunité d’être transformés en pierres précieuses qui brilleront pour l’éternité ».
Les épreuves n’ont aucun pouvoir rédempteur (ce ne sont pas nos épreuves qui nous sauvent), mais Elohim peut s’en servir comme un moyen pour nous transformer à la ressemblance de Yahshua.
L’apôtre Pierre nous le rappelle en ces termes :
« Mes bien-aimés, ne trouvez pas étrange d’être dans la fournaise de l’épreuve… » (1 Pierre 4:12-13).
« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés, pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus-Christ d'entre les morts, pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux, vous qui, par la puissance de Dieu, êtes gardés par la foi pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps ! C'est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu'il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves, afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable qui cependant est éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra... » (1 Pierre 1:6-7).
Lorsque nous considérons les épreuves par lesquelles sont passés certains hommes de la Bible comme Joseph, Job, Jérémie, Daniel, Paul… nous comprenons pourquoi il est dit :
« Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel » (Daniel 12:3).
Ces pierres nous disent : « Le feu de l’épreuve est sur toi, la pression que tu subis est énorme, mais garde confiance car Elohim est en train de faire de toi une pierre précieuse qui brillera pour l’éternité dans son royaume. »
Ma prière en ce jour : Père Céleste, Merci car tu contrôles toutes les situations difficiles que je traverse. Je te loue car elles contribuent à me façonner, afin que le caractère de Yahshua soit vu en moi. Amen !
Source : Lueurs du matin
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La fin de ce billet sera consacré aux événements prophétiques en cours ou à venir pour s’informer et peut-être ajuster sa préparation car tout s’accélère (liste non-exhaustive)
[A télécharger gratuitement : L'encyclopédie “ Tout faire soi-même ” (608 pages) - Format PDF pour impression et à garder chez soi]
Faire le lien entre les informations ainsi on a une “idée” de la bête qui est en train d’émerger.
Finances, monnaie numérique, fin des espèces, argent
Lors des manifestations, des agences bancaires sont vandalisées, les distributeurs brûlés. Si cela perdure, il sera difficile de faire des retraits tout en sachant que la stratégie du “pourrissement” est utilisée pour mettre en place la répression et donc le déroulement du Plan.
Europe : la réglementation qui va vous interdire de transférer votre argent
BNP Paribas, Société générale… “nos banques sont dans l’œil du cyclone, gare aux surprises” Ces grandes banques, soupçonnées de fraude, verraient leur image et leur crédibilité entachées. Fusions et acquisitions dans le secteur à venir.
Crédit Suisse racheté par UBS: entre 20 et 30% des emplois pourraient être supprimés (Entre 25.000 à 36.000 postes dans le monde)
La Chine et le Brésil concluent un accord pour abandonner le dollar américain Pour commercer dans leurs propres devises, abandonnant complètement le dollar américain en tant qu’intermédiaire.
56 pays dont Israël et le Japon cherchent à se dédollariser Le Japon se débarrasse du dollar américain, conséquence directe des confinements et des sanctions qui ont été des échecs hautement destructeurs.
Les BRICS ont officiellement dépassé le G7 en part du PIB mondial Le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud (BRICS) représentent désormais 31,5 % du PIB mondial et vont continuer à croître. Le Mexique vient de demander officiellement à rejoindre l'alliance
La banque australienne ANZ met fin aux retraits d’espèces de nombreuses succursales Cette décision intervient alors qu’il y a une réduction de l’utilisation des espèces.
« Pire que lors de la grande crise financière » selon Morgan Stanley Inflation + Taux en très forte hausse + prix de l’énergie élevés = Gros problèmes économiques à l’horizon. Il ne peut pas ne pas y avoir de crise.
Eau (Filtrez la !)
Nestlé Waters privatise l'eau des sous-sols, ici cet éleveur Vosgien a interdiction de puiser l'eau de son terrain pour abreuver ses bêtes, les puits ont été condamnés. Extrait de “Pièce à conviction” avril 2020 - France 3 (durée 2,20 mn)
L’eau potable en France contaminée à vaste échelle par les métabolites du chlorothalonil, un pesticide interdit depuis 2019 Soudainement, l'eau potable devient contaminée, afin de justifier de la vendre plus chère car "l'eau pure est rare et pour la décontaminer, c'est coûteux".
Grèce: protestations contre «la privatisation» des services de l’eau
La Tunisie coupera l'approvisionnement en eau des citoyens de 21h à 4h du matin, en réponse à la pire sécheresse de l'histoire du pays, a annoncé la société publique de distribution d'eau SONEDE.
Québec veut augmenter de 900 % ses revenus de la redevance sur l’eau
Danemark : Le lithium dans l’eau potable identifié comme facteur de risque potentiel d’autisme
Fin de vie, avortement
Fin de vie : la Convention citoyenne se prononce en faveur du suicide assisté et de l'euthanasie active
Humza Yousaf s’engage à introduire l’avortement jusqu’à la naissance et l’avortement sélectif en fonction du sexe en Écosse S’est engagé à retirer l’avortement du droit pénal : avortement à la demande, pour quelque raison que ce soit, jusqu’à la naissance – ainsi qu’à légaliser l’avortement sélectif en fonction du sexe.
Eglise, LGBT, Wokisme
Liberté religieuse en Ukraine Le Père abbé du monastère de la Laure de Pechersk à Kiev, Vladyka Pavel, doit maintenant porter un bracelet électronique.
Prédication de la Fin des Temps dans les assemblées : Dieu est gay, Dieu est lesbienne, Dieu est transgenre
Un nouveau projet de loi au Canada poursuivrait quiconque s'est trompé, a critiqué ou protesté contre le transgenre. Toute personne jugée "transphobe, homophobe ou offensante" s'exposerait à des poursuites et à une amende de 25 000 $.
Armement, défense...
Armées : la limite d’âge pour être réserviste rehaussée à 70 ans On pourra être réserviste dans les armées françaises jusqu’à 70 ans et jusqu’à 72 ans pour certaines fonctions de spécialiste. Une limite d’âge actuellement comprise entre 62 et 65 ans selon les cas.
L'Ukraine commande la production de 100 blindés à la Pologne Après avoir obtenu les chars Leopard 2 et les avions de combat qu’elle réclamait, Kiev a cette fois passé commande auprès de la Pologne. Varsovie va produire et livrer 100 véhicules de transport blindés KTO Rosomak à l’Ukraine.
Défense: la Loi de programmation militaire 2024-2030 prévoit d’augmenter fortement son budget cette année (268 milliards d'euros pour les équipements)
La Russie va renforcer ses capacités militaires près de la Finlande après son entrée dans l'Otan
La Lettonie rétablit le service militaire obligatoire en réponse à «la nouvelle menace géopolitique» (service militaire obligatoire pour les hommes de 18 à 27 ans à partir de 2024)
Villes sans voiture, tout électrique, fin du pétrole
Entrée payante à Paris : un péage urbain mis en place pour les véhicules motorisés dès le 1er juillet Bientôt, entre 5 et 10 euros pour entrer dans la capitale en voiture et entre 2 et 6 euros lorsqu'on est à deux-roues.
Les voitures sans motif d’arrêt seront bien interdites de circulation dans le centre de Paris début 2024
L��OPEP baisse sa production d’1 million de barils par jour
Pétrole: les prix s’envolent après l’annonce d’importantes coupes dans la production
Biométrie
Numérisation biométrique des enfants dès le plus jeune âge en Chine Formatage à la matrice du système dès la naissance
Après ses ratés informatiques, la SAAQ se lance dans la reconnaissance faciale Afin d’assurer l’intégrité des détenteurs de permis de conduire.
Le parti Pheu Thai promet de donner 10 000 bahts à tous les Thaïlandais âgés de 16 ans et plus via des portefeuilles numériques le 1er janvier 2024 s’il forme le prochain gouvernement.
Propriété privée
Von der Leyen et l’UE veulent tuer la propriété privée au nom de l’écologie
Limiter les mètres carrés par personne pour réduire l’empreinte carbone des logements Vous voyez arriver les ghettos ? Si vous habitez seul dans une maison ou appartement avec des chambres libres, ou si vous avez une résidence secondaire, ces pièces / biens pourraient être réquisitionnés pour accueillir les personnes réfugiées ou celles qui éloignées géographiquement n’ont plus accès à la distribution de l’eau, de l’énergie, nourriture et seront obligés de se rapprocher des villes.
Rappel de ce que disait la Ministre du Logement Emmanuelle Wargon en 2021 : La fin des maisons individuelles pour sauver la planète ? « On doit changer de modèle »
Divers
« Donald Trump pourra continuer la course à la présidentielle, même s'il écope d'une peine de prison. Aucune loi n'empêche un criminel d'être candidat, même depuis sa cellule » Stratégie du retour organisé. Méfiance !
L'Afrique, nouvel eldorado du lithium ? Des réserves de lithium ont été découvertes sur tout le continent africain : le Zimbabwe, la Namibie, le Ghana, la République Démocratique du Congo et le Mali ayant tous des approvisionnements notables. La demande de lithium augmente car composant essentiel nécessaire dans les batteries de véhicules électriques.
Prix de l'énergie : 116 boulangers ont fait faillite en janvier 2023 A mettre en lien avec : Un géant de l'alimentation spécialisé dans la viennoiserie et la boulangerie s'implante à Chalon-sur-Saône avec plus d'une centaine d'emplois à la clé L’entreprise vise le marché européen avec une distribution à grande échelle... (pain à la farine aux insectes et autres vers ?) Bientôt suppression des commerces de proximité.
Soupçons de trafic d’êtres humains dans le secteur de la transformation de la viande Sujet tabou qui pourtant est d’actualité depuis plusieurs années. Attention à la viande “de boeuf”. Se rappeler du film “Soleil Vert”.
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Jérusalem - Western Wall live camera (Mur des Lamentations - Kotel en direct)
Et pour un Sabbat en musique, voici plusieurs web radios pour louer et adorer Elohim en Yahshua :
RadioYeshua
MessianicRadio
Hleradio
Agape.fm
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Le domaine d'Arnheim
Ceci est l’histoire d’un petit oiseau qui vécut dans les montagnes. Un Tichodrome échelette, comme les humains en viendraient savamment à l’appeler. Notre oisillon est né au milieu d’une portée de trois œufs blancs comme la neige, dans un nid de fortune construit sur le col d’une montagne, à quelques centaines de mètres d’altitude. Ça vous met tout de suite dans l’ambiance, de sortir la tête de sous cette chaude coquille après de longues minutes à batailler, pour découvrir un tel paysage lorsqu’on réussit enfin à ouvrir les yeux. Et ce n’est pas tâche facile que de décoller ces minuscules paupières, encore moins lorsque le monde alentour est éblouissant de blancheur, d’une lumière du soleil aveuglante se reflétant sur la neige reposant le long des façades de ces géants de roche. Mais notre petit oiseau a du caractère, et son arrivée dans notre monde se réalisa avec brio. Avec une certaine grâce, même, pourrait-on dire. Il fut le premier, devant ses deux frères, à sentir la froideur du vent glacial des hauteurs sur son plumage naissant. Si ses premières heures dans cette vie se sont plutôt bien déroulées, accueilli rapidement par une mère aimante et protectrice, bien que peu présente, le sort allait rapidement lui jouer un vilain tour. Voyez, ce petit oisillon, qui avait tout pour s’épanouir et éclore aux yeux du monde, est né avec une malformation. Ses jolies ailes rouge-carmin, oh aussi majestueuses fussent-elles, n’allaient tenir qu’un rôle se limitant à l’esthétisme, n’ayant bien malheureusement aucune utilité fonctionnelle. Il ne pouvait pas voler, et se retrouva ainsi incapable de satisfaire l’instinct primaire de son espèce. Mais rassurez-vous, ce n’est pas ce qui allait l’arrêter, et sûrement pas ce qui allait l’empêcher d’atteindre l’objectif qu’il s’était fixé. Alors que ses frères focalisaient toute leur attention sur la maigre nourriture que pouvait dénicher leur mère, dérapant parfois jusqu’au combat de becs, la sienne était tournée vers tout autre horizon. Dès qu’il fut en capacité d’apprécier pleinement le paysage qui l’entourait, notre oiseau fut distrait par une petite lumière brillante, hypnotisé par un point chatouillant, l’appelant depuis les hauteurs, tel un trésor inaccessible. Dès lors, il fut obnubilé par cette idée, aussi fantasque qu’insensée, de partir à la découverte de ce joyau. Alors quand les petits furent jugés assez débrouillards, et évincés sans préavis de leur cocon natal, et que les frangins n’eurent pas le choix que de réussir à s’envoler, il se retrouva seul au pied de la montagne, avec une idée fixe en tête. Pas le temps de faire le deuil de son doux nid, ni celui de sa famille, il fallait dès à présent débuter le périple d’une vie, qui le mènerait à son trésor. Il ne savait alors pas que ce qu’il considérait comme un joyau étincelant, n’était en fait que le reflet d’un rayon de soleil sur une pointe givrée du sommet de la montagne. Et il ne le saurait sans doute jamais. Il commença pour autant à grimper, et à grimper encore. Une petite patte s’enfonçant dans la neige devant l’autre. Vent, tempête de neige, froid, faim, soif, rien ne l’arrêterait, il continua, centimètre exténuant après centimètre exténuant. Et malgré la tristesse que l’on pourrait logiquement ressentir pour ce petit oiseau combattant les forces de la nature, il y a également énormément de poésie qui se dégage de ce brave acte. Une leçon de vie, pourrait-on même concéder. Il y a de la beauté dans cette abnégation vers un seul et unique but, celui d’une vie. Un désir pur et incorruptible. Refuser toute satisfaction annexe et temporaire, rester focalisé sur ce qui compte, sur qui donne du sens à notre existence. Les êtres vivants sont si souvent distraits, attirés par la facilité, par la récompense immédiate. Les humains veulent tout posséder et finissent par n’en tirer aucun plaisir réel, par ne même plus savoir ce qu’ils veulent. Objectif après objectif, tout évolue beaucoup trop vite, tout est interchangeable. À peine l’un est atteint, qu’on a déjà le suivant en tête. Les désirs sont fugaces, et de fait perdent de leur intensité. Plus rien ne fait vibrer le fond des tripes, plus rien ne fait battre le cœur à des rythmes effrénés, ou ne provoquent l’ébullition du cerveau, noyé sous une seule et unique pensée, multipliée en milliers d’exemplaires différents. Mais notre petit oiseau, qui continuait à avancer envers et contre tout, lui, montrait l’exemple. Les rafales de vent soufflaient fort dans ces ailes, les faisant se dresser vers l’arrière, donnant l’impression qu’elles fonctionnaient, qu’il les utilisait réellement. Il baissait la tête pour pousser et pousser vers l’avant, toujours. Mais l’inéluctable dénouement de ce périple commençait bien malheureusement à se dessiner. Il n’avançait guère plus beaucoup, la fatigue envahissant tout son corps, de ses petits yeux jusqu’à ses petites pattes. La faim, même s’il ne la sentait plus au milieu de tous ces stimuli négatifs, le paralysait désormais. Il ralentissait à vue d’œil, jusqu’à ce qu’il soit finalement quasiment à l’arrêt total, stoppé par un mur glacial et impardonnable. On dit souvent qu’il vaut mieux avoir eu et avoir perdu, que de ne jamais avoir eu. Mais si ce courageux petit oiseau avait pu parler, il aurait dit que l’important ce n’est pas d’avoir eu ou d’avoir perdu, non, le cœur des choses, le grand secret de la vie, c’est d’avoir voulu. De tout son cœur, de toute son âme, à en perdre toute raison, à y dédier sa vie. C’est d’avoir désiré quelque chose à en mourir. Et alors qu’il se recroquevillait sur lui-même et qu’il ne pouvait empêcher ses yeux de se fermer, accablé par la faim et la fatigue, recouvert d’une couche de neige qui s’épaississait et pesait lourdement sur tout son plumage et l’entièreté de son petit corps fragile ; on l’aurait presque vu afficher un léger sourire, satisfait.
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TOUT N’EST QUE GRÂCE ! 🥰
C’est par la foi en La Croix que Jésus-Christ te justifie. Quand Dieu te voit, Il te voit parfait au travers de l’œuvre de la Croix. Sa justice te donne de faire face par le Saint-Esprit à l’adversité. Ton sauveur Jésus intercède encore en ta faveur. Le sang de Jésus versé à la Croix est le sang pur du fils de Dieu fait homme. Ce sang si pur, a effacé ta transgression et tous tes péchés ! Le sang de Jésus a coulé une fois pour toute gratuitement. Tu peux saisir la pleine assurance de ton salut en obéissant et en acceptant la Parole de Dieu. Oui la grâce de Dieu seule te justifie et te sauve. Seigneur, merci pour ta grâce infinie ! 🥰✝️🔥🕊
AMEN 🙏🔥🕊 GLOIRE À DIEU 🙏🔥🕊
« Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » 1 Jean 1 : 9 « Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. » 1 Jean 1 : 7 « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. » Éph 2 : 8-9 « Or, la loi est intervenue pour que l’offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé, » Ro 5 : 20 « Car le péché n’aura point de pouvoir sur vous, puisque vous êtes, non sous la loi, mais sous la grâce. » Ro 6 : 14 « car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce fruit de la vigne, jusqu’au jour où j’en boirai du nouveau avec vous dans le royaume de mon Père. » Mat 26 : 28-29 « Or, si c’est par grâce, ce n’est plus par les œuvres ; autrement la grâce n’est plus une grâce. Et si c’est par les œuvres, ce n’est plus une grâce; autrement l’œuvre n’est plus une œuvre. » Ro 11 : 6
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Ton cœur est-il pur?
À quoi penses-tu lorsque tu entends le mot "pur"?
Est-ce que tu visualises un grand verre d'eau cristalline? Des draps blancs fraîchement lavés? Ou peut-être quelqu'un qui est moralement sain et bon?
Dans la sixième béatitude, une série de promesses que Jésus a faites au sujet du royaume de Dieu, Jésus a dit ceci :
"Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu!"
Matthieu 5:8 LSG
Le mot "pur" signifie sain ou irréprochable, exempt de corruption ou de contamination, purifié par le feu ou non souillé par la culpabilité. Aucun d'entre nous ne peut vraiment être pur par lui-même, malgré tous nos efforts.
Avant que Jésus n’apparaisse, les prêtres lévitiques, les plus élevés dans la hiérarchie religieuse, étaient chargés du culte et de la médiation dans le saint des saints (à l'intérieur du tabernacle, dans le désert et, plus tard, dans le temple de Jérusalem), où la présence de Dieu résidait sur terre. Pourtant, même eux devaient régulièrement être purifiés.
Aujourd'hui, grâce à son sacrifice ultime sur la croix, Jésus a ouvert la voie pour nous. Son sang a couvert nos péchés et, lorsque nous acceptons son sacrifice, lui nous rend purs. Maintenant et pour toujours, nous pouvons "nous approcher avec assurance du trône de la grâce", où nous pouvons trouver la miséricorde et la grâce de notre Dieu lorsque nous en avons le plus besoin (Hébreux 4:16 LSG). À présent, nos corps sont les temples actuels où l'Esprit de Dieu a choisi de résider.
Avoir un cœur pur ne veut pas dire d'être parfait, mais de faire confiance à Jésus pour purifier nos âmes.
Comme Ésaïe l'a prophétisé:
"Venez et plaidons! dit l'Éternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; S'ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Ésaïe 1:18 LSG
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Yves Montand - Mais qu'est ce que j'ai ?
Paroles : Mais qu'est-c'que j'ai à tant l'aimer Que ça me donne envie d'crier Sur tous les toits, elle est à moi J'aurais l'air fin si j'faisais ça C'est pas normal me direz-vous D'aimer comm' ça faut être fou ! Je le sais bien oui mais voilà Je n'y peux rien c'est malgré moi
Et quand ça m'prend y a rien à faire Je l'aime tant c'est merveilleux Je ne vis plus sur cette terre Lorsque je rêve à ses yeux A ses yeux bleus Comme l'azur A ses cheveux
D'un blond si pur Mais qu'est-c'que j'ai à tant l'aimer, Mais qu'est-c'que j'ai ! Mais qu'est-c'que j'ai !
Mais qu'est-c'que j'ai à tant l'aimer Que ça me donne envie d'crier Sur tous les toits, elle est à moi J'aurais l'air fin si j'faisais ça C'est merveilleux un grand amour Quand c'est basé sur du toujours Pour un rien, je suis malheureux Pour encor moins je suis heureux
Mais qu'est-c'que j'ai à tant l'aimer Que ça me donne envie d'crier Et de chanter sur tous les toits Qu'il est à moi rien que pour moi
C'est merveilleux un grand amour Quand c'est basé sur du toujours D'un rien mon coeur est malheureux Pour encor moins il est heureux
Et quand ça m'prend y a rien à faire Je l'aime tant c'est merveilleux Je ne vis plus sur cette terre Lorsque je rêve à ses yeux A ses yeux bleus Comme l'azur A ses cheveux D'un blond si pur Mais qu'est-c'que j'ai à tant l'aimer, Mais qu'est-c'que j'ai ! Mais qu'est-c'que j'ai !
L'amour c'est vraiment extraordinaire
Je n'ai plus du tout les pieds sur la terre Tous mes copains (Tout's mes amies) maint'nant se moqu'nt de moi Car au plus loin que je les aperçois Allez ça y est, me v'la r'parti ! (Allez ça y est, me v'la r'partie !) Elle a cela, elle a ceci, (Il a cela, il a ceci,) Oui, oui qu'i dis'nt on voit très bien (Oui, oui qu'ell's dis'nt on voit très bien) Ces idiots n'y comprennent rien ! Mais qu'est-c'que j'ai ! Mais qu'est-c'que j'ai !
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Honorability Of the devil
song (rap) (en cours de finalisation) Inspirée par Sympathy For the devil de michaël jagger avec ses rolling stones, elle-même inspirée par Le Maitre et marguerite… etc. spéciale dédicace à patrick eudeline qui lors d’une longue rencontre au sommet, me donnait, sans le savoir, l’idée du dialogue qu’est le livre trans/temps évoqué ici attention il s’agit d’un [[[Extrait de l’œuvre dramatique encore inédite, pièce de théâtre uchronique en cours de finalisation : Le Procés de jésus 2019 ………;;;;; pilate -des pauvres débiles ah ah ah ! // tu le sais, je ne me place pas toujours sous l’égide de Jupiter, et on me met trop souvent le masque de la cruauté sur le visage, mais, + aimablement, on aurait à me considérer comme un assez bon chanteur / je suis + gnostique moi-même que tu ne le penses, je m’amuse de temps en temps à faire du gnosticisme / je me suis amusé à faire une chanson, ou un rap, en m’inspirant de la chanson des stones, Sympathy For the devil, un song assez gnostique dans mon rap à moi en tout cas, puisque, là, le diable est de bonne compagnie, ou du moins demande à l’être Kaïphe -eh bien, tu m’intrigues !, qu’est-ce que cela donne donc ? pilate -cela donnerait ceci, mais je te demande toute ta bienveillance, c’est pas encore au point, c’est en working progress, imagine un lascar, un rappeur poussif, qui déclame, je vais devoir convoquer tout mon talent pour le camper, ce lascar :]]]]]]]]]]
mes chers amis, voyez-moi bien, qui suis devant vous se présente là : un homme du monde, civil et policé je suis aussi celui qui est le + diffamé, le + mal envisagé mais ça n’est pas de ma faute, si je me retrouve par pur hasard, je le jure sur ma mère là où on déplore les plus grands crimes de l’histoire
ok, quand le président des’stas unis dans sa limo a été, à mort flingué ce vendredi de novembre-là, 63, je trainais bien à dallas, texas mais le promets : croyez-moi, je suis un homme du monde, civil et policé j’attendais, désœuvré, le cortège, derrière les barrières, moi non du tout armé cela n’est pas moi qui ait tué jack kenn’ edy, j’ai même croisé un jour son père joe, une belle personne le type qui allait filmer tout, abraham zapruder, je patientais,déjà impressionné, atone silencieux, non loin de ce monsieur drôlement bien equipé si encore vivant il aurait tout à fait pu vous en témoigner, oui il s’était, le con, amusé, moi ! déjà, à me viser, à me filmer deux secondes, pour se moquer, moi qui n’était rien pour lui et pour toute l’humanité se disait-il là j’avais juste à avoir mes deux demies secondes d’éternité, c’est ça et puis c’était pour vérifier, que ça allait bien tourner on voit ma bille au tout début du film le + cher du monde, mais ça a été coupé, censuré, j’ai été spolié, vous auriez vu mais oui une personne de qualité, pas du tout immonde je veux qu’on me montre, étant ce jour-là, aussi désarmé que l’enfant né et je veux des droits de représentation, d’importantes royautés je ne suis pas du tout celui que vous vous représentez veillez à ce que je rentre dans tous mes droits, et en 1er voyez s’il vous plait, quelqu’un avec le droit de recevoir votre entier respect, ses royalties et même toute votre sympathie
s’agissant de son frère, robert, trop peu d’années après, hein !, voilà ce qui s’est passé, à L. é., c’est bien attristant, à pleurer non, cette fois personne même n’oserait : cette fois même une seule seconde ! m’incriminer /quand c’est arrivé, à l’hôtel ambassador, salle des receptions, eh bien !, dingue !, je me trouvais à son côté, certes oui, pas d’objection je sens encore sa virile et de plus en plus douce main, de bobby tentant de se retenir à mon épaule puis à mon veston, en tombant c’est fou ce que ça déplace comme air, un sénateur en train de tomber oui j’étais armé moi aussi ce soir-là, mais moi, là je faisais partie des services de sécurité… le nommé sirhan sirhan connu de moi ni d’ève ni d’adam, il s’était approché, approché je l’avais vu se rapprocher derrière le frère de john lui aussi, c’est sûr, voulait un autographe j’ai pensé, un peu bêtement il voulait congratuler certainement tu sais, un jordanien pro palestinien, bobby ne pouvait pas lutter par derrière le man a tiré, je n’avais pu tenter, rien, moi pourtant un auxiliaire de sécurité j’étais en train de rêver, rêver à je ne sais quoi d’ailleurs, sans doute à la célébrité c’était chouette la notoriété je pensais presque tout haut j’aurais tellement pu m’interposer !, j’en conçois un grand regret ce kennedy a rendu son dernier souffle, en me voyant, moi, devant lui voyant devant lui une personne bonne et attentionnée, de tout à fait bonne moralité je ne suis pas celui que vous croyez comme au clan kennedy vous me devez respect, popularité et même la sympathie
oh… s’agissant de l’assassinat du révérend king, à memphis, tennessee je m’en souviens, oh, comme si c’était hier !, eh oui j’y étais aussi, j’-é-tais-là-aus-si ! je me trouvais, par chance, quelque part dans cet état, je ne sais plus quand on a annoncé, à la radio, sa venue c’était tentant de faire quelques heures de route pour aller voir à quoi ressemblait une telle star de la vertu et c’est vrai, oui, incroyable, je connaissais un peu, oh si peu… ce blanc qui dans la petite foule, sortait un fusil de son manteau et a bientôt visé martin luther king, c’était à 6, 7 heures du soir, oui un soir un peu frais d’avril 68, les soirées en avril dans le tennessee, sont vite fraiches, ça n’est pas le Mexique hein le tennessee king se tenait sur un balcon du lorraine motel de sinistre mémoire, bien en vue et en honneur saluant le groupe de supporters enthousiastes qui l’attendaient, c’était informel, et rien que des noirs, hein ! , et je voyais, je croyais : là, je serais le seul blanc c’était un peu embêtant alors je me tenais un peu à distance, sinon j’aurais bien aimé l’aller admirer au + près, moi aussi ! eh oui !, une telle star de la bonté moi aussi je milite contre la ségrégation, m’en croyez ! et puis j’étais donc parti asse vite, je ne m’étais pas imposé, tact et efficacité et oui, je venais juste de boire, en ville, un whisky avec un type un peu non identifié il faut que vous sachiez aussi, en ville, quelqu’un d’une espèce de morne normalité il voulait pas trop parler, on a surtout bu, pas à la haine !, à l’amour !, dans le monde à la paix & oui, et à l’étonnante sortie de prison de ce type qui avait nom james earl ray Il n’en revenait pas, n’avait pas d’explication Il avait voulu fêter ça avec moi, le 1er quidam un peu cool qui avait retenu son attention et on s’était quittés, à la mort à la vie, or quelle stupéfaction, quelle déploration le tueur, je le saurais c’était lui oui ,seulement le lendemain, par les journaux, avec sa photo en grand, ce type tout en normalité avait, lui, ses 5 minutes de no-to-ri-é-té je dois avouer, ça m’arrive souvent qu’un inconnu m’offre un coup, qu’on voit en moi quelqu’un qui peut avoir un peu d’amitié pour son prochain mais je vous dis il ne m’avait pas entretenu du tout ! de son funeste destin de son criminel projet sinon, sinon ! je serais allé aussitôt, aussitôt !,directo !, le dénoncer aux autorités vouloir assassiner une telle personnalité, de la charité ! et on m’aurait cru vous savez, les policiers se seraient précipités, me croyant voyant en moi un être de probité, d’honnêteté, et bonne moralité car aussi je suis intègre et bien éduqué, quelqu’un plein de félicité vous avez à me connaitre en tant, qu’une personne d’une grande bonté et modestie j’y compte bien que vous me gratifiez et de toute votre sympathie ne donnez pas tout aux kennedys
le 11 septembre, je dois le confirmer, je me trouvais à la nouvelle-york pas dans le ciel ! / enfin, si, un peu, au trade !, 32ème étage tour sud des twins s’il vous plait, costumé de frais, à mes bureaux, mes bureaux !, j’avais progressé, oui ! eh oui !, tour sud ou tour nord je ne veux plus savoir je suis encore tellement traumatisé j’ai été de ceux bien sûr qui ont pu descendre, descendre à n’en plus finir sinon je ne serais pas là pour vous le dire m’en croyez : la vie n’a plus grande allure quand elle ne depend plus que d’une descente d’escaliers j’ai été de ceux qui enfin dans york, enfer de cris, ont pu fuir enfer de fumées et de tant de prières, j’en ai bavé, moi aussi, moi aussi, mes sires ! quelques jours + tôt vous ne l’imagineriez pas, j’avais respiré le même air, dis donc, que les terroristes, c’était aux cours de pilotage de la 3eme avenue ah tu parles, encore, d’une veine ! , le lancement de la 3ème guerre mondiale ils n’étaient pas très causant on n’avait même pas échangé quelques banalités c’est vous dire le degré de complicité ! des jeunes gens quand même un peu intrigants, un peu, n’est-ce-pas, je dirais même, réfrigérants mais, moi, non, c’était pas pour cela, pas du tout !, je n’étais, donc, en rien concerné par ce qu’il allait arriver / réussite américaine je venais de me payer mon 1er jet privé, alors…moi, je voulais vraiment savoir piloter, car j’ai tout de l’homme du monde, un homme d’action, quelqu’un de civil et policé veillez bien à m’adresser votre entier respect et toute votre sympathie
[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[k -tu ne ferais pas un couplet sur le massacre du ba-ta-clan ! ?, ça manque un peu, non, et un autre coupler ne serait pas de trop pilate -mais si tu veux / il faut que je me remette dans le mood alors / voyons ! ça pourrait donner…. / écoute, il faut que je me remette dans le flow : )]]]]]]]]]]]]]]]]
accordez-moi votre attention bolosses et bouffons votre attention à moi qui me tient devant vous je suis celui qui est le plus calomnié, des hommes le + diffamé aidez-moi à rentrer dans mon honorabilité beaucoup ont dit, « oui, on l’a vu au ba-ta-clan ! cette nuit-là, 11ème arrondissement » oui, le 11eme,mais j’habite là moi aussi, maintenant, tout simplement, où habiter ailleurs en ce moment pour essayer d’exister un peu ?, eh oui, tout comme lou doillon, je l’aperçois souvent ! lou est si lancée !, si joliment allurée, elle qui passe sans me voir, si indifféremment oui, je me tenais à nouveau au 1er rang, décidément moi, c’est toujours : front row et cette fois qu’est ce qui aurait pu se passer, god only know ! cette fois devant les mauvais eagles of métal hurlant eh eh !, on fait avec ce qu’on a, malheureusement je ne suis pas jésus, sinon ça se saurait jésus qui les aurait aussitôt transformés en les eagles d’Hôtel california une chanson vraiment sympa oui j’aurais préféré les aigles de don henley !, je prenais à peine mon pied mais pourquoi je restais là ? possible il y avait là quelques rock lolitas à empriser
je ne faisais pas le malin quand ils sont arrivés, sur armés je me demande encore pourquoi, sur moi ils n’ont pas tenu à, aussitôt, tirer, et pourquoi ?, mais je n’en sais rien, ne me tourmentez ! non, mais pas du tout, cela n’est pas du tout une preuve de culpabilité, de complicité juste, eux aussi, ils ont vu… là : un homme du monde, cultivé, un être sans acrimonie une personne de félicité j’ai droit à toute votre admiration et à votre entière sympathie comme celle dont vous gratifiez si volontiers la famille kenn’edy
[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[kaïphe –ok !, bravo, à toi pilate rappeur ! toute notre honorification aussi à toi ! / entendons cette adaptation comme une exorcisation et non pas comme une adulation ! / c’est bon ! alors que tant de gens, là, sont en agonie, c’est fou ! comme on peut aussi s’identifier, là, & au devil en l’occurrence, et toujours sur la corde raide pour fourbir une rime ! pilate -c’est peu connu / alors que les rolling stones enregistraient Sympathy f. t d. dans les fameux studios olympics de londres, le créateur d’art contemporain jean-luc godard faisait filmer cette session exceptionnelle, + ou - établie pour lui, pour un film ! où à nouveau il y aurait tout sur l’ennui, un film de + à considérer comme un ready made, un urinoir, mais donc avec les rolling stones s’il vous plait ! -qu’il allait contaminer !, car en effet, l’ennui serait généré aussi par eux k -or il a fallu bientôt, à tous, en toute précipitation, lever le camp, un projecteur……………….. xxxxxxxxxx]]]]]]]]]]]
TOUTE INTERPRETATION, enregistrement, performance publique, autorisé par le créateur de ces lyrics / permission à demander déjà à mick jagger
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Les avantages de posséder un véhicule électrique (VE)
Compte tenu de la prévalence du changement climatique et du réchauffement de la planète, la création d'un environnement plus vert et la promotion de la durabilité sont devenues une responsabilité sociale plutôt qu'un objectif souhaitable.
Singapour a joué son rôle par le biais du SG Green Plan, un mouvement national qui fait progresser l'agenda national de Singapour en matière de développement durable. Dans le même sujet « Quels sont les avantages d’une voiture électrique ? ».
L'un des principaux objectifs du plan vert de Singapour consiste à éliminer progressivement les véhicules à moteur à combustion interne (ICE) et à faire en sorte que tous les véhicules fonctionnent avec des énergies plus propres d'ici 2040.
Actuellement, les véhicules électriques représentent 1,3 % des immatriculations de voitures, de taxis et de bus entre janvier et juin de cette année, soit une augmentation d'un point de pourcentage par rapport à la même période de l'année dernière.
Cette progression devrait se poursuivre. Outre le plan vert du gouvernement singapourien et les incitations gouvernementales qui encouragent le passage aux VE, de plus en plus de Singapouriens utilisent des VE en raison des avantages qu'ils procurent.
Meilleur pour l'environnement
Il est indéniable que les VE sont plus respectueux de l'environnement et plus éco-efficaces que les véhicules à moteur à combustion interne.
Si l'on tient compte de leur production et de la production d'électricité qui les fait fonctionner, les VE émettent toujours moins de gaz à effet de serre - 17 % à 30 % d'émissions de carbone en moins par rapport à la conduite d'un véhicule à moteur à combustion interne.
En outre, l'absence de gaz d'échappement dans les VE purs réduit la pollution atmosphérique locale, en particulier dans les villes encombrées.
Comme les VE ne nécessitent pas de moteur à combustion, ils sont beaucoup plus silencieux que les véhicules à moteur à combustion interne, ce qui réduit la pollution sonore. En fait, les VE sont si silencieux qu'ils doivent être équipés d'un système d'alerte acoustique pour les véhicules (AVAS) afin d'avertir les piétons de leur présence.
Moins d'entretien
Comme les VE sont équipés de moteurs électriques, il n'est pas nécessaire de les lubrifier ou d'effectuer d'autres tâches d'entretien associées aux moteurs à essence. De plus, les VE ont généralement moins de pièces mobiles et moins de fluides à changer, ce qui réduit les efforts d'entretien.
En ce qui concerne les freins, les VE tirent parti du freinage par récupération, qui ralentit le véhicule en convertissant son énergie cinétique en une forme qui peut être utilisée immédiatement ou stockée jusqu'à ce qu'on en ait besoin. Cela signifie que les freins exercent moins d'énergie et peuvent donc durer jusqu'à cinq fois plus longtemps qu'un véhicule à moteur à combustion interne.
En ce qui concerne les batteries, celles des VE sont généralement conçues pour durer toute la durée de vie prévue du véhicule.
Comme les moteurs des véhicules conventionnels, les batteries avancées des véhicules électriques rechargeables (PEV) sont conçues pour une durée de vie prolongée. En fin de compte, la batterie, le moteur et les composants électroniques associés ne nécessitent que peu ou pas d'entretien régulier.
Ceci étant dit, les propriétaires de VE peuvent avoir tendance à négliger l'importance d'un bon plan d'assurance. Un bon plan d'assurance automobile est essentiel, quel que soit le niveau d'entretien. Si vous possédez une Tesla, Liberty Insurance propose une excellente assurance auto Tesla à Singapour.
Un meilleur rapport coût-efficacité
Les VE sont généralement plus rentables et peuvent générer des économies plus importantes à long terme. Tout d'abord, comme mentionné ci-dessus, les VE ont moins de pièces mobiles que les véhicules à moteur à combustion interne conventionnels. L'entretien est donc plus facile, moins fréquent et, en général, moins coûteux.
Deuxièmement, les VE éliminent la nécessité de dépenser de l'argent pour l'essence, qui peut être très coûteuse.
Le coût de l'électricité pour recharger un VE est inférieur d'environ 40 % au coût de l'essence pour la même distance parcourue avec un véhicule de même taille. Enfin, l'achat d'un véhicule électrique à Singapour s'accompagne d'incitations et de remises qui peuvent vous aider à économiser de l'argent.
Par exemple, le programme EV Early Adopter Incentive (EEVI) prévoit un rabais ARF de 45 % pour l'achat d'une voiture entièrement électrique entre le 1er janvier 2021 et le 31 décembre 2023, plafonné à un rabais de 20 000 dollars.
Chargement pratique
Voitures électriques qui se rechargent
Par rapport aux véhicules à moteur à combustion interne, la recharge des VE est simple, rentable et pratique, en particulier lorsque vous êtes branché à la maison et que vous rechargez votre voiture même pendant votre sommeil. Plusieurs heures de charge vous permettront de vous réveiller avec une batterie pleine et votre VE sera prêt à rouler sans délai.
En outre, la charge rapide permet de recharger votre VE en quelques minutes au lieu de plusieurs heures. Les chargeurs rapides rechargent les VE jusqu'à 80 % en 15 à 45 minutes, ce qui est nettement plus rapide que les stations de recharge à courant alternatif.
À Singapour, la recharge est particulièrement pratique puisque plus de 600 chargeurs de VE seront installés dans quelque 200 parkings publics dans les lotissements HDB, les zones industrielles et le quartier central des affaires au cours des 12 prochains mois.
Ce ne sont là que quelques-uns des nombreux avantages que procure la possession d'un véhicule électrique. Qu'il s'agisse de réaliser des économies à long terme ou, plus important encore, de contribuer à la construction d'un paysage plus vert, il est essentiel que nous nous adaptions, que nous évoluions et que nous passions aux VE.
Liberty Insurance Singapore est une unité commerciale stratégique détenue à 100 % par Liberty Mutual Insurance Group. En tant que partenaire d'assurance privilégié de Tesla, souscrivez votre assurance auto Tesla avec nous dès aujourd'hui !
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Bright darkness - 5 - Le bien du mal.
Pour tous les élèves, les vacances d'été étaient une source de joie, une promesse de liberté. Pendant deux mois, ils allaient se déconnecter de la réalité scolaire, oublier les cours et les devoirs, et profiter du beau temps pour faire ce qu'ils voulaient. Beaucoup avaient prévu de voir leurs amis pendant l'été, et la plupart partaient à l'étranger. Cassandra, elle, ne savait pas trop ce qu’elle allait faire. C’était seulement le deuxième été qu’elle passait au manoir avec son frère depuis le procès de leurs parents. Elle aimerait voir Shel et Camélia, mais elle ignorait si c’était socialement acceptable.
Presque une heure avant l'arrivée du train à King's Cross, alors que la nuit venait de tomber, Shel quitta un instant le compartiment pour aller aux toilettes. Un silence s'installa entre Camélia et Cassandra. La Poufsouffle s'étonna de constater que la Gryffondor avait perdu l'entrain qu'elle affichait en compagnie de leurs deux autres amis. Elle regardait à présent les étoiles avec un air sombre, semblable à celui de la jeune Selwyn. Cassandra ignora un instant sa morale, et glissa son esprit dans celui de Camélia. Ce qu'elle découvrit la surprit autant que cela la rassura : la Gryffondor n'avait pas l'air enchantée non plus par la perspective des vacances. Cassandra s'empêcha de lire ses pensées secondaires, et préféra lui demander à haute voix :
- Cam ? T'as l'air triste...
- Quoi ? Non, pourquoi tu dis ça ? s'empressa de répondre la Gryffondor.
- Tu ne peux pas me mentir, Camélia.
- Tu as lu mon esprit ? se scandalisa-t-elle.
- Euh... Pas beaucoup !
Cassandra redouta une des colères magistrales de son amie, mais Camélia se contenta de soupirer et de confier du bout des lèvres :
- Je n'aime pas trop les vacances.
- Tu es restés à Poudlard pendant celles de Noël et de Pâques, comme moi, se souvint la petite Poufsouffle. Tu reçois très peu de lettres de tes parents, pas une seule en fait, depuis la Beuglante de ton père qui se reprochait de ne pas être à Serpentard. Tu m'as juste parlé de ton petit frère. Tu ne partages pas les convictions pro-Sang-Pur. Tu ne t’entends pas avec ta famille c'est ça ?
La perspicacité de Cassandra ne cessait d'étonner son amie. Camélia ne savait que penser de la Poufsouffle. Elle avait l'air si innocente, si douce, que l'imaginer commettant les crimes dont elle était accusée semblait inconcevable. Loin d'être naïve, la Gryffondor était encore loin de lui faire pleinement confiance, mais Cassandra la comprenait à tant d'égards, et savait toujours trouver les mots pour panser ses blessures secrètes. Camélia se demandait si elle pourrait l'amener à faire la différence entre le Bien et le Mal, à long terme. Elle était prête à tenter l'expérience, car une chose était sûre, elle n'était pas prête à abandonner Cassandra.
- O-oui, bredouilla la petite Abraxas, c'est... exactement ça. T'as tout compris.
Cassandra ne comprenait pas pourquoi elle appréciait autant ses amis : Lizzy était une traîtresse à son sang, Shel descendait d'une grande lignée du côté de sa mère mais son père n'était qu'un vulgaire Moldu, quant à Camélia, elle était elle-même une traîtresse à son sang. Pourquoi n'était-ce pas ce qu'elle voyait chez eux en premier ? La Poufsouffle en avait honte, mais se sentait libre, ces deux sentiments se mêlant curieusement.
Camélia aurait dû être sa pire ennemie. Comment pouvait-elle cracher sur des convictions si nobles qu'étaient celles des Abraxas et des Selwyn ? Qu'est-ce-qui clochait chez la Gryffondor ? Cassandra se demandait plutôt ce qui clochait chez elle-même, qui était aussi attachée à ceux que ses parents appelaient les Indignes.
Elle se demandait toujours ce qu'Adonis et Gaïa penseraient de ceci ou de cela, de telle parole, fréquentation. Des insécurités et une certaine honte ne la quittaient jamais. Ses lettres à Erwan étaient truffées de "est-ce-que c'est bien ?" et aux yeux de la petite fille, une réponse positive était quasi vitale. Mais elle n'avait pas encore avoué à son frère les "tares" de ses amis. Il ne les avait pas demandées.
- Comment tu fais, Camélia ?
- Hein ? Comment je fais quoi ? questionna la Gryffondor.
- Pour savoir... comme ça...
Cassandra hésita. Elle ne savait comment formuler sa phrase.
- Pour juger ce qui est bien ou pas. Tu dis que les Moldus et les Nés-Moldus sont normaux, enfin, comme nous quoi, que le statut de sang ne compte pas, mais comment tu sais ? Qu'est-ce-qui te fait dire ça ? Pourquoi tu crois pas tes parents, ils ont raison ! commença-t-elle à paniquer, les larmes lui montant aux yeux.
- Non, c'est faux, Cass. Je le sais parce que des études de scientificomagie l'ont prouvé. Les Nés-Moldus ne deviennent pas sorciers parce qu'ils ont volé de la magie, mais parce qu'ils avaient un ancêtre sorcier. Enfin... Je sais pas tout, contrairement à Shel qui peut sans doute t'expliquer toutes ces études. Tu lui demanderas et tu comprendras.
- Mais... D'accord.
Cela lui semblait une bonne idée. Mais si ces études avaient été menées par des Indignes, n'étaient-elles pas faussées ? N'était-ce pas une manipulation pour endormir la confiance des vrais sorciers et ensuite prendre le contrôle du monde ?
- Mais c'est pas que ça, je sais pas... ce qui est mal ou bien.
Elle baissa les yeux. La phrase suivante s'arracha difficilement à sa gorge.
- Moi je pensais qu'on était des héros. Avec mes parents et mon frère. Qu'on sauvait le monde, qu'on le purifiait, en tuant les méchants, les Indignes. Les Sang-de-Bourbe. Et qu'on combattait leurs alliés, les méchants aussi. J'étais super fière. Et là, j'arrive ici, et tout le monde a peur de moi, me hait, et pense qu'on est tous des monstres, j'ai pas compris, je comprends toujours pas... Cam...
Touchée par la confidence maladroite de Cassandra, Camélia avança une main timide et tapota l'épaule de son amie.
- Je t'aiderais, Cass. Je te dirais ce qui est mal ou bien. Tu peux me faire confiance.
Vraiment ? songea une voix qui mêlait les tons d'Adonis et Gaïa. C'est une traîtresse à son sang, elle veut peut-être te manipuler. Parce qu'elle a peur de toi, parce que tu es puissante.
Tourmentée, la petite Poufsouffle sursauta en entendant la porte du compartiment s'ouvrir sur Shel, qui avait profité de son trajet pour ramener des friandises.
- Oui, glissa-t-elle rapidement, d'accord.
- D'accord quoi ? demanda la Serdaigle, curieuse.
- D'accord pour... venir chez moi un jour. Je l'ai invitée. Bon, peut-être pas cet été, Cass, mais un jour !
- L'année prochaine ? proposa la Poufsouffle, ignorant si Camélia était sérieuse ou si cette invitation faisait partie du mensonge.
- Oui, pourquoi pas !
Le trio mangea les bonbons jusqu'à la fin du trajet. Lorsque le train entra en gare, ils prirent leurs bagages, se serrèrent dans leurs bras (même Shel et Cassandra, peu à l'aise avec les contacts physiques), et se promirent de s'écrire régulièrement - ils avaient échangé leurs adresses plus tôt dans la soirée.
Quand elle descendit sur le quai, un vent chaud fit voler les cheveux de Cassandra. Elle agita sa main vers ses amis, qui lui répondirent avant de partir chacun dans une direction. La petite fille hissa son bagage, ignorant les tiraillements de ses muscles sollicités, et courut dans les bras d’Erwan qui l’attendait un peu plus loin, écrasant rapidement une cigarette sous son pied avant de câliner sa sœur.
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Le conflit entre les frères dieux, Salem et Ozma (The conflict between the brother gods, Salem and Ozma)
Dans le volume 4, Qrow a raconté l'histoire des deux dieux frères, le dieu de la lumière trouvant son plaisir en créant la vie tandis que le dieu des ténèbres créa des forces de destruction. Ils avaient des idées opposés sur comment les choses devaient se dérouler. Le dieu des ténèbres créa la sécheresse, la famine, les incendies pour se débarrasser de la vie de Remnant. C'est alors que le cadet créa les grimms, innés de son désir destruction. L'aîné a eu assez sachant que leur querelle ne pouvait pas durer éternellement. Ils créent quatre artefacts, celui de la connaissance, création, destruction et choix. C'est pourquoi les académies de chasseurs ont été crées pour protéger ces artefacts. Ainsi que former les chasseurs pour protéger l'humanité contre Salem et ses sbires. Mais dans le volume 6, le conte oublié, on apprend que Salem était prisonnière de son château à cause de son père, elle ne désirait qu'une chose : la liberté !
Ozma était venu ici non pas pour le coeur de la jeune femme. Mais il voulait se battre pour ce qui est juste ainsi que par son âme courageuse et son coeur pur. Ils se sont échappés ensemble de ce château, les deux sont tombés amoureux l'un de l'autre voyageant à travers le monde. Ils auraient pu avoir leur fin heureuse. Et je suis un peu curieuse des leurs voyages, qu'est ce qu'ils ont vu ? Quelles genres de personnes ont-ils rencontrés pendant leurs voyages ? J'avoue que j'aimerai bien avoir un spin off à ce sujet.
Malheureusement Ozma a succombé à la maladie laissant Salem en larmes. Elle se rend à l'autel du dieu de la lumière suppliant de le ramener mais il refusa car la vie et la mort est un équilibre fragile. Salem trouve ceci injuste alors qu'il lui dit de le laisser se reposer mais elle refuse. Dans un sens, le dieu de la lumière a raison, l'un des thèmes principaux de RWBY est d'aller de l'avant et accepter le deuil. Ozma était tout pour elle, elle voyait sa liberté à travers les yeux d'Ozma. Mais Salem a refusé d'aller de l'avant et de faire son deuil.
Donc elle se rend dans l'autel du dieu des ténèbres priant de ramener son bien aimé en omettant le fait qu'elle est allée voir son aîné. Et il le ramène mais le dieu de la lumière arrive et ne l'entend pas de cette oreille. Le cadet a une certaine rancoeur sur leurs règles car ses règles semblent plus le favoriser que lui. Mais l'aîné révèle que Salem est venu le voir à ce sujet donc le cadet rectifie son erreur en tuant Ozma encore. Ces dieux ont ramené Ozma à la vie et l'ont tué comme si c'était un jouet montrant que c'était une bataille d'ego et qu'ils se fichaient un peu de l'état dans lequel cette dernière se retrouve. Les deux dieux rendent Salem immortel comme punition de son arrogance et de son égoïsme. Elle pourra reposer en paix, une fois qu'elle a apprit l'importance de la vie et de la mort. Elle a essayé de se suicider en vain c'est alors que Salem décida d'allier l'humanité contre les dieux en les manipulant et en leur mentant qu'elle a volé l'immortalité à ces dieux. Tout ça pour les faire souffrir et se débarrasser de sa malédiction. Mais cette confrontation est de courte durée quand le cadet fait disparaître l'humanité tout entière, c'est alors que l'aîné dit quelque chose d'intéressant, il dit que cette planète était une belle expérience et qu'ils apprendront de cette erreur. Est ce que ça va dire qu'il y a d'autres planètes habitables que le monde de Remnant ? J'ai besoin de réponses ! Salem a maudit tout le monde à part elle même, elle est persuadée d'être celle qui avait raison, refusant de comprendre son erreur. Bon après l'immortalité est une punition assez extrême quand même
Le dieu de la lumière parle à Ozma lui expliquant la tragédie qui est arrivé dans ce monde, causé par son cadet. Ajoutant que l'humanité est revenue peupler ce monde. Laissant les quatre artefacts derrière lui si ils sont réunis ensemble, ça les ramènera et jugera l'humanité. Si l'humanité a apprit à vivre ensemble tout en laissant leur différence de côté alors ils reviendront vivre parmi eux. Dans le cas contraire, ils détruiront le monde de toute existence. Vous l'avez déjà fait une fois et ils le referont une deuxième fois si ça leur plaît pas, on dirait Thanatos ! Mais pour ramener Ozma, il va lui donner une réincarnation pour qu'il ne soit jamais seul. Ozma refuse au début car il ne veut pas vivre dans ce monde sans Salem mais le dieu de la lumière lui dit qu'elle est toujours vivante mais qu'elle n'est plus celle qu'il connaissait avant. Quand ces deux là se retrouvent, Salem le convaincs de devenir des dieux modelant ce monde à leurs images. Crée un paradis que les dieux n'ont pas fait. Il est troublé mais il accepte sa proposition laissant la phrase de Jinn "Les coeurs des hommes peuvent facilement influencés". Ils deviennent des dieux créant un royaume prospère mais Ozma commence à questionner sur ce qu'ils font. Il révèle alors la vérité de son retour mais pour Salem tout ça n'a pas d'importance, pourquoi racheter les humains quand ils peuvent les remplacer. Pour Ozma c'était le signe de s'enfuir en emmenant ses filles avec lui. Mais Salem le découvre le prenant comme une trahison se battant l'un contre l'autre. Et lors de cette bataille, leurs enfants ont perdu la vie. Furieuse contre lui, Salem lui dit qu'ils avaient enfin leur liberté, elle le laisse même pas répliquer qu'elle le brûle.
Dans le volume 8, Oscar se fait kidnapper par The Hound, Salem l'accueille et voit que ce n'est pas Ozpin qui lui parle mais Oscar. Elle lui pose des questions sur la relique mais Oscar ne le sait pas. Elle demande Oscar le mot de passe de la lampe, il lui répond que Jinn ne peut plus répondre aux questions. A ce moment là, Salem le torture voyant les mensonges de ce dernier et regardant Hazel s'en prendre à lui. Tout dans ces interactions sont creepy, Salem parle d'Ozma comme si il lui appartenait et qu'ils étaient amants elle pose sa main sur la joue d'Oscar comme "un geste affectueux." Vu à quel point Salem est horrible envers eux, pourquoi Ozpin retournerait auprès d'elle ? Lors du sauvetage d'Oscar, Salem ne comprend pas pourquoi il prendrait la défense de ses enfants pour ce monde ruiné. Lui demandant pourquoi il revient c'est alors que Yang lui retourne la question, toutes ces morts parce quelque chose de mauvais lui est arrivé. Personne n'a une fin heureuse, toutes les personnes que Yang a perdu, Salem lui a prit sa mère, Summer Rose. J'étais tombée sur certains qui reprochaient cette scène mais même si Raven est sa mère biologique, elle n'était pas là pour elle. C'était Summer qui a élevé Yang comme si elle était sa propre fille. Donc c'est pas étonnant que Yang lui parle d'elle. Surtout que vu le destin de The Hound, Ruby et Yang se doutent de comment leur mère est morte.
Les dieux sont hypocrites et des connards mais perso je les trouve intéressant avec la tragédie d'Ozma et Salem et tout ce qui s'est passé. Ils sont assez complexe quand on se penche suffisamment sur eux. De ce que j'ai entendu dire le crwby s'est inspirée des dieux Grecs pour crée les deux frères Dieux et ouais vu la mythologie grecque, je peux comprendre l'inspiration. Ce que j'aime c'est comment leur relation est montré malgré le peu d'infos qu'on avait avant le volume 9. Je veux dire ok c'était des connards mais le dieu de la lumière n'avait pas tort pour sur une chose au sujet de la vie et de la mort. L'un des thèmes de RWBY est d'aller de l'avant malgré les épreuves qu'on peut traverser et que même si le monde peut être sombre, l'espoir subsiste encore. Donc rendre les habitants de Remnant immortels ou bien se réincarner iraient à l'encontre de ces thèmes. Bien que ça n'empêche pas les deux dieux d'être hypocrite en punissant de manière excessive Salem et en faisant réincarner Ozma pour qu'il s'occupe de Salem. Les deux dieux n'ont jamais pu s'entendre car ils sont incapable d'accepter leurs propres erreurs et du coup incapable d'aller de l'avant, ce qui donne un côté presque humain les concernant, ce qui est ironique vu que ce sont des dieux.
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In Volume 4, Qrow told the story of the two brother gods, the god of light finding pleasure in creating life while the god of darkness created forces of destruction. They had opposing ideas of how things should be. The dark god created drought, famine and fire to get rid of Remnant's life. Then the younger created grimms, innate to his desire for destruction. The elder had enough, knowing their feud couldn't last forever. They created four artifacts: knowledge, creation, destruction and choice. That's why hunter academies were created to protect these artifacts. And to train hunters to protect humanity from Salem and his henchmen. But in volume 6, The Forgotten Tale, we learn that Salem was imprisoned in her castle because of her father, and wanted only one thing: freedom!
Ozma had come here not for the young woman's heart. But he wanted to fight for what was right and for her courageous soul and pure heart. They escaped this castle together, both falling in love with each other traveling the world. They could have had their happy ending. And I'm a bit curious about their travels, what did they see? What kind of people did they meet on their travels? I admit I'd love to have a spin-off on this.
Sadly, Ozma has succumbed to illness, leaving Salem in tears. She goes to the altar of the god of light begging him to bring her back, but he refuses because life and death are a delicate balance. Salem finds this unjust, so he tells her to let him rest, but she refuses. In a way, the god of light is right; one of the main themes of RWBY is moving on and accepting grief. Ozma was everything to her, she saw her freedom through Ozma's eyes. But Salem refused to move on and grieve.
So she goes to the altar of the dark god, praying to bring back her beloved, forgetting the fact that she's gone to see her eldest son. And he does bring him back, but the god of light arrives and doesn't see it that way. The youngest is somewhat resentful of their rules, as her rules seem to favor him more than they do him. But the elder reveals that Salem came to see him about it so the younger rectifies his mistake by killing Ozma again. These gods brought Ozma back to life and killed him as if he were a toy, showing that this was a battle of egos and that they couldn't care less about the state she finds herself in. The two gods make Salem immortal as punishment for her arrogance and selfishness. She'll be able to rest in peace, once she's learned the importance of life and death. She tried in vain to commit suicide, but then Salem decided to ally humanity against the gods, manipulating them and lying to them that she had stolen immortality from them. All this to make them suffer and get rid of her curse. But this confrontation is short-lived when the youngest makes the whole of humanity disappear, at which point the eldest says something interesting: he says that this planet was a beautiful experiment and that they will learn from this mistake. Does this mean there are habitable planets other than Remnant? I need answers! Salem has cursed everyone but herself, convinced she's the one who was right, refusing to understand her mistake. Well, immortality is a pretty extreme punishment after all!
The god of light speaks to Ozma, explaining the tragedy that has befallen this world, caused by his youngest son. Adding that humanity has returned to populate this world. Leaving the four artifacts behind, if they are reunited, it will bring them back and judge mankind. If mankind has learned to live together, leaving aside their differences, then they will return to live among them. If not, they'll destroy the world out of existence. You've already done it once and they'll do it a second time if they don't like it, it's like Thanatos! But to bring Ozma back, he'll give him a reincarnation so he'll never be alone. Ozma refuses at first, because he doesn't want to live in this world without Salem, but the god of light tells him that she's still alive, but she's not the same person he knew before. When the two meet again, Salem convinces him to become gods, shaping the world in their own image. Create a paradise the gods didn't make. He's troubled, but accepts her proposal, leaving Jinn's phrase "The hearts of men can easily be swayed". They become gods, creating a prosperous kingdom, but Ozma begins to question what they are doing. He then reveals the truth of his return, but for Salem it doesn't matter, why redeem humans when they can replace them. For Ozma, it was a sign to run away, taking his daughters with him. But Salem finds out, taking it as a betrayal and fighting each other. And in that battle, their children lost their lives. Furious with him, Salem tells him they finally have their freedom, and she doesn't even let him retort before burning him.
In volume 8, Oscar is kidnapped by The Hound, Salem takes him in and sees that it's not Ozpin talking to him but Oscar. She asks him about the relic, but Oscar doesn't know. She asks Oscar for the password to the lamp, and he tells her that Jinn can no longer answer questions. At this point, Salem tortures him, seeing his lies and watching Hazel take it out on him. Everything about these interactions is creepy, Salem talking about Ozma as if he belonged to her and they were lovers she puts her hand on Oscar's cheek as "an affectionate gesture." Given how horrible Salem is to them, why would Ozpin go back to her? When Oscar is rescued, Salem doesn't understand why he would stand up for his children in this ruined world. Asking him why he's coming back, Yang returns the question, all these deaths because something bad happened to him. Nobody has a happy ending, all the people Yang lost, Salem took his mother, Summer Rose. I'd come across some people criticizing this scene, but even if Raven is her biological mother, she wasn't there for her. It was Summer who raised Yang as if she were her own daughter. So it's no wonder Yang talks about her. Especially given the fate of The Hound, Ruby and Yang suspect how their mother died.
The gods are hypocrites and assholes but personally I find them interesting with the tragedy of Ozma and Salem and all that happened. They're pretty complex when you get down to it. From what I've heard, crwby drew inspiration from the Greek gods to create the two god brothers, and yeah, given Greek mythology, I can understand the inspiration. What I like is how their relationship is shown despite the little info we had before volume 9. I mean, sure, they were assholes, but the god of light had a point about life and death. One of the themes of RWBY is about moving forward despite the hardships you may go through and that even though the world can be dark, there's still hope. So making Remnant's inhabitants immortal or reincarnating would run counter to these themes. Although that doesn't stop both gods from being hypocritical by over-punishing Salem and having Ozma reincarnated to look after Salem. The two gods have never been able to get along because they are unable to accept their own mistakes and therefore unable to move forward, which gives them an almost human side, which is ironic given that they are gods.
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QUEL MIROIR UTILISEZ-VOUS
Les miroirs existent depuis des milliers d'années et ont subi quelques améliorations pour une réflexion meilleure et fidèle. Les premiers miroirs étaient faits de pièces de bronze bien polies. Mais les miroirs modernes sont généralement recouverts d'une couche extrêmement fine d'argent ou d'aluminium. Les miroirs sont des outils très importants. Alors qu'en science, ils sont utilisés dans de nombreux appareils, dans la vie de tous les jours, nous utilisons le miroir chaque fois que nous voulons voir notre propre visage ou le reflet de tout notre corps. Pour cette dernière raison, les miroirs peuvent être trouvés dans presque tous les foyers du monde aujourd'hui. Car il est dans la nature de l'homme de prendre soin de son apparence. Avant de sortir chaque matin, il se regarde dans un miroir. Certaines personnes, notamment les femmes, passent une grande partie de leur temps devant un miroir, pour se maquiller.
Il n'y a rien de mal à prendre soin de son apparence. Mais le message que je veux porter ici, c'est que, s'il est dans notre nature d'hommes déchus de focaliser notre attention sur le physique, d’inspecter notre apparence dans un miroir, ceci n'est pas vrai quand il s'agit de notre cœur. Pour l'homme naturel, un diagnostic sincère de l'état de son cœur n'est jamais un sujet de préoccupation. Il pense que tout va bien pour son âme, parce qu’à ses propres yeux il est quelqu’un de bon. Car selon les normes établies par les humaines, une personne est fondamentalement bonne tant que ses actes ne tombent pas dans la catégorie de ce que les gens en général considèrent comme odieux. De plus, une caractéristique commune à tous les hommes naturels c’est la tendance qu’ils ont à justifier leur propre méchanceté en considérant ceux dont les actes dénotent un niveau de culpabilité plus élevé. Par conséquent, les méchants, selon les principes établis par les humains, sont ceux dont les actes sont les plus odieux. Et parce que le cœur de l'homme est tortueux, il n'est pas dans sa nature de reconnaître qu'il y a quelque chose qui ne va pas avec son cœur, quelque chose qui doit être ajusté ou éliminé pour qu'il soit pur aux yeux de son Créateur. Après tout, l’homme naturel ne désire pas plaire à Dieu, son Créateur, mais à lui-même ou aux hommes. C'est pourquoi il s’évalue suivant les normes établies par les humains, c'est-à-dire en considérant les actes de son pire voisin.
Quelqu'un peut poser la question suivante: Quel problème y a-t-il si nous nous examinons en regardant dans le cœur de notre prochain? Je vais y répondre par ces questions: Un vase de terre souillé et endommagé peut-il obtenir un diagnostic exact de sa faille et de sa turpitude en observant un autre tout aussi sale et brisé? Quelle image pouvez-vous obtenir si ce n'est un reflet difforme si vous vous regardez dans un miroir fissuré? Car «Selon qu’il est écrit: Il n’y a point de juste, pas même un seul.» (Romains 3:10). V. 23 dit: «Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.» Alors, nous ne pouvons pas nous utiliser l'un l'autre comme un miroir. Une personne dépravée ne peut évaluer l'état de sa propre âme en regardant son prochain qui est tout aussi impur. Nous sommes tous des vases de terre souillés et brisés; nous sommes tous des pécheurs. Regarder dans le cœur d'un autre homme pécheur pour évaluer votre propre cœur ne peut que vous renvoyer une image déformée de qui vous êtes réellement à l'intérieur. Cela ne vous donne pas le reflet exact de tout votre être ou une image fidèle de votre propre cœur. De plus, comme déjà mentionné, afin de justifier notre propre méchanceté, en tant qu'hommes naturels, nous choisissons souvent ceux qui sont coupables des actes les plus odieux comme notre miroir, et nous nous évaluons comme il plaît à notre propre cœur.
Jamais nous ne pourrons obtenir une image fidèle de notre propre cœur en regardant dans celui de notre prochain. Car non seulement nous sommes tous pécheurs, mais aussi notre propre cœur nous trompe. Comme le dit Jérémie 17:9, «Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant: qui peut le connaître?» Un vase souillé et ruiné ne peut prendre conscience de sa souillure et de son abjection qu'en regardant ce qui est saint et intact. Marc 10:18 dit, «Il n’y a de bon que Dieu seul.» «Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l’Eternel. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées.» (Ésaïe 55:8-9).
Dieu seul est saint, et Il est le miroir que nous devons utiliser pour évaluer correctement l'état de nos cœurs. Et Lui qui nous a tous créés a dit: «Soyez saints, car Je suis saint.» (1 Pierre 1:16). Dieu a établi la norme de moralité à laquelle nous devrions tous nous conformer, une norme de sainteté parfaite. Et parce qu'il est saint, Dieu Lui-même est notre modèle. L'homme ne définit pas et n’a pas le droit de définir la norme de moralité – Dieu seul détient cette prérogative. «En effet, c’est en Lui que tout a été créé dans le ciel et sur la terre, le visible et l’invisible, trônes, souverainetés, dominations, autorités. Tout a été créé par Lui et pour Lui. Il existe avant toutes choses et tout subsiste en Lui.» (Colossiens 1:16-17).
Dieu définit la norme à laquelle tout le monde doit se conformer. Et cette norme exige que toutes nos pensées, toutes nos paroles et toutes nos actions soient irréprochables, qu’elles soient pures et saintes. Ainsi parle l’Eternel dans Matthieu 12:36-37, «Je vous le dis: le jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole inutile qu'ils auront prononcée. En effet, d'après tes paroles tu seras déclaré juste et d'après tes paroles tu seras condamné.» Proverbes 15:26, «Les pensées mauvaises sont en horreur à l’Eternel, mais les paroles agréables sont pures à ses yeux.» Ecclésiaste 12:14, «En effet, Dieu amènera toute œuvre en jugement, et ce jugement portera sur tout ce qui est caché, que ce soit bon ou mauvais.»
Au vu de tout ce qui vient d'être dit, il est important de répondre à la question: Qui donc est bon? Seul celui qui respecte la norme de sainteté parfaite que Dieu a établie et à laquelle tout le monde doit se conformer. Cependant, personne n'est capable de respecter parfaitement toutes les exigences de la loi de Dieu. «Comme cela est écrit: Il n'y a pas de juste, pas même un seul; aucun n'est intelligent, aucun ne cherche Dieu; tous se sont détournés, ensemble ils se sont pervertis; il n'y en a aucun qui fasse le bien, pas même un seul; leur gosier est une tombe ouverte, ils se servent de leur langue pour tromper. Ils ont sur les lèvres un venin de vipère; leur bouche est pleine de malédiction et d'amertume. Leurs pieds courent pour verser le sang, la destruction et le malheur marquent leur passage, ils ne connaissent pas le chemin de la paix. Il n’y a aucune crainte de Dieu devant leurs yeux.» (Romains 3:10-18). Par nature, nous sommes intrinsèquement méchants; nos pensées, nos paroles et nos œuvres sont mauvaises. C'est pourquoi le Seigneur ordonne «au méchant d'abandonner sa voie, et à l'homme injuste ses pensées.» (Ésaïe 55:7a).
Dieu est la norme, le miroir, que nous devons tous utiliser pour nous examiner. Tout comme Dieu est parfait de nature, nous devons aussi être parfaits – parfaits en pensées, en actes et en paroles. Malheureusement, la vérité, comme nous l'avons déjà dit, c’est que: «Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.» (Romains 3:23). Nous avons tous dérogé à la norme que Dieu a établie. L’Eternel a dit: «Soyez saints, car Je suis saint.» Mais nos pensées ne sont pas pures, pas plus que nos actes et les mots qui sortent de nos bouches. Et toute mauvaise pensée, toute mauvaise action, et toute mauvaise parole est un péché contre Dieu, une violation de sa loi. Et «Le salaire du péché, c'est la mort» (Romains 6:23), c'est-à-dire l'éternité en enfer. Par conséquent, parce que nous avons tous péché contre le Seigneur en transgressant sa loi, nous méritons tous de passer l'éternité en enfer.
Mais voici la bonne nouvelle: l’Eternel est un Dieu miséricordieux, plein d’amour et de grâce; Il ne désire pas la mort des méchants. Car ainsi déclare l’Eternel par l'intermédiaire de son prophète dans Ésaïe 55:7b, «Que [le méchant] retourne à l'Eternel: Il aura compassion de lui. Qu'il retourne à notre Dieu, car Il pardonne abondamment.» Ceux qui abandonnent leurs mauvaises voies et se tournent vers le Seigneur voient leurs péchés pardonnés. «Si [leurs] péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine», dit l’Eternel dans Ésaïe 1:18. Car ils seront purifiés par le sang précieux du propre Fils de Dieu, le Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Quiconque se repent de ses péchés est racheté par la justice du Christ qui lui est imputée. Cependant, les tendres miséricordes du Seigneur n'entravent pas sa justice. Car «la ruine atteindra tous les rebelles et les pécheurs, et ceux qui abandonnent l’Eternel périront.» (V. 28).
Il y a de l'espoir pour quiconque contemple la gloire de notre grand Dieu, et reconnaît sa propre faille et son indignité, et s'accroche à la croix de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui seul peut accorder aux pécheurs l'accès au Trône de grâce, où les vases brisés et souillés sont régénérés et purifiés, où le soulagement est accordé à ceux qui sont accablés par le péché, où le pardon et la paix éternelle avec Dieu peuvent être trouvés, où une joie inexplicable est gracieusement accordée à ceux qui ont le cœur brisé, et la vie éternelle donnée à ceux qui sont spirituellement morts. «Car Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle.» (Jean 3:16). «Celui qui n’a point connu le péché, [Dieu] L’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu.» (2 Corinthiens 5:21). Éphésiens 1:7, «En [Christ] nous avons la rédemption par son sang, le pardon de nos offenses, selon la richesse de sa grâce.»
Les pécheurs trouvent le pardon, la paix, la joie, l'espérance et la vie en Christ. Car Il a vécu la vie parfaite que ne pouvions pas vivre et est mort pour nos péchés. Il «a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.» (Romains 4:25). Et Il impute sa propre justice à quiconque se repent de ses péchés et se confie exclusivement en Christ pour le salut. Le Christ est notre espérance, l'Espérance de la gloire. Le propre Fils de Dieu qui est mort sur la croix pour des péchés qu'il n'a pas commis, mais dont vous et moi sommes coupables, est le seul espoir des pécheurs. Car «Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.» (Actes 4:12). Toute personne qui ne compte pas uniquement et entièrement sur le propre Fils de Dieu, le Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, pour le pardon, demeure sous la malédiction divine et fera face à la colère de Dieu Tout-Puissant, le Juge de tous, qui ne laissera en aucun cas le coupable impuni.
Si vous passez votre temps à regarder dans le cœur de votre prochain pour évaluer l'état de votre propre cœur, je vous supplie d'arrêter de vous faire des illusions. Je vous exhorte aujourd'hui à contempler la gloire de Dieu qui brille sur le visage de son Fils Jésus-Christ, l'Homme-Dieu, le seul juste qui ait jamais marché sur cette terre. «Il est l'image du Dieu invisible.» (Colossiens 1:15a). «Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité.» (Colossiens 2:9). «Il n’a commis aucun péché, ses lèvres n’avaient produit la tromperie. Injurié, Il ne ripostait pas par l’injure. Quand on Le faisait souffrir, Il ne formulait aucune menace, mais remettait sa cause entre les mains du juste Juge. Il a pris nos péchés sur Lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu’étant morts pour le péché, nous menions une vie juste.» (1 Pierre 2:22-24a).
Ne soyez donc pas endurci par la séduction du péché. Reconnaissez que vous n'êtes pas une bonne personne mais un pécheur; que vous êtes incapable de vivre selon la norme de sainteté parfaite que Dieu a établie pour tous. Reconnaissez devant le Dieu saint que vous êtes coupable et que vous ne pouvez pas vous sauver; que le Christ Seigneur est votre seul espoir de salut. «Mais si vous n’agissez pas ainsi (pour reprendre les mots de Moïse dans Nombres 32:23), vous péchez contre l’Eternel. Sachez alors que les conséquences de votre péché retomberont sur vous!» Car «La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui par leur injustice tiennent la vérité prisonnière, car ce qu'on peut connaître de Dieu est évident pour eux, puisque Dieu le leur a fait connaître.» (Romains 1:18-19). Psaumes 37:38, «Les rebelles sont tous détruits, l’avenir des méchants est réduit à néant.» Psaumes 1:5, «Les méchants ne résistent pas lors du jugement, ni les pécheurs dans l’assemblée des justes.» Matthieu 13:41, «Le Fils de l'homme enverra ses anges; ils arracheront de son Royaume tous les pièges et ceux qui commettent le mal.» Psaumes 145:20, «L'Éternel garde tous ceux qui L'aiment, mais Il détruira tous les méchants.»
Le salut c’est uniquement par la grâce de Dieu, par le moyen de la foi en Christ. Confessez vos péchés à Dieu maintenant et mettez votre confiance en Christ. Car Il est mort afin qu'en croyant en Lui vous puissiez recevoir le pardon de vos péchés passés, présents et futurs, aussi odieux soient-ils. Car ainsi déclare l’Eternel: «Je ne suis pas venu appeler à la repentance des justes, mais des pécheurs.» (Luc 5:32). Le Seigneur se tient à votre porte aujourd'hui, sa main de miséricorde tendue, pour vous accueillir et vous soulager de votre fardeau, du poids de vos péchés, si vous voulez bien Lui faire confiance. Tournez-vous vers Lui maintenant pendant que sa miséricorde est encore disponible, sinon c’est sa colère s’abattra sur vous. «Car il y a un jour pour l’Eternel des armées contre tout homme orgueilleux et hautain, contre quiconque s’élève, afin qu’il soit abaissé.» (Ésaïe 2:12). «Cherchez l’Eternel pendant qu’Il se trouve; invoquez-Le, tandis qu’Il est près.» (Ésaïe 55:6). Car le Jour de l’Eternel, le jour de sa colère, s’approche avec hâte. «L’homme orgueilleux sera humilié, et le hautain sera abaissé: L’Eternel seul sera élevé ce jour-là. Toutes les idoles disparaîtront. On entrera dans les cavernes des rochers et dans les profondeurs de la poussière, pour éviter la terreur de l’Eternel et l’éclat de sa majesté, quand Il se lèvera pour effrayer la terre.» (Ésaïe 2:17-19).
Par conséquent, confiez-vous maintenant à la grâce du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. Confiez-Lui votre fardeau; car Il est miséricordieux et plein de grâce. Car ainsi déclare le Seigneur dans Matthieu 11:28-30, «Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car Je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez le repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger.» Esaïe 55:1-3a, «Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, même celui qui n’a pas d’argent! Venez, achetez et mangez, venez, achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer! Pourquoi dépensez-vous de l'argent pour ce qui ne nourrit pas? Pourquoi travaillez-vous pour ce qui ne rassasie pas? Ecoutez-Moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, et votre âme se délectera de mets succulents. Prêtez l’oreille, et venez à Moi, écoutez, et votre âme vivra.»
Je vous implore. Ne tournez pas le dos à la grâce de Dieu. Soyez réconcilié avec Lui. Tournez-vous vers le Seigneur et Sauveur Jésus-Christ aujourd'hui dans la repentance et la foi, et Il vous revêtira gracieusement de sa propre justice – une justice que vous ne possédez pas – et donnera le repos à votre âme. En Lui, vous trouverez la paix, le pardon, l'espérance et la vie éternelle; et Il établira votre cœur dans toute bonne œuvre et parole, à la louange de sa gloire et pour votre plus grande joie. Vous serez scellé par son Esprit, l'Esprit de grâce, dans l'amour de Dieu pour toujours, et fait héritier du Royaume de Dieu. Accrochez-vous au Fils bien-aimé de Dieu. Car déclare l’Eternel: «Celui qui croit en Lui n'est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.» (Jean 3:18). Romains 10:11, «Celui qui croit en Lui ne sera pas couvert de honte.»
Selon sa miséricorde et sa grâce, l’Eternel accorde le pardon et la vie éternelle à ceux qui s’humilient et cherchent refuge sous ses ailes, et selon sa justice Il condamne ceux qui refusent d'abandonner leurs mauvaises voies. Comme il est écrit: «Dieu s’oppose aux orgueilleux, mais Il fait grâce aux humbles.» (Jacques 4:6). Par conséquent, ne vous y trompez pas. Humiliez-vous sous la main puissante de Dieu aujourd'hui et Il vous relèvera. Si vous êtes disposé et obéissant, vous trouverez la paix avec Dieu; mais si vous vous rebellez contre le Seigneur et refusez de vous détourner de vos mauvaises voies, Il déchaînera sa colère contre vous. Car ainsi parle l'Éternel des armées: «Je prendrai ma revanche sur mes adversaires, Je me vengerai de mes ennemis.» (Ésaïe 1:24b). Invoquez donc le nom de Jésus aujourd'hui afin de pouvoir échapper à la colère à venir, la colère du Dieu Tout-Puissant.
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