#car port terrasse bois
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Contemporary Deck Lyon An illustration of a sizable, modern, second-story glass railing deck without a cover.
#garde corps verre#extension ossature bois#claustra étagère entrée#cuisine moderne#car port terrasse bois
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Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
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Maximiser l'élégance avec le Prix Porte Vitrée, Garde Corps Vitré Inox
Prix porte vitrée
Les portes vitrées sont de plus en plus populaires dans les maisons et les appartements. Elles offrent une luminosité et une transparence incomparables, tout en apportant une touche de modernité. Cependant, le Prix porte vitrée peut varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, notamment le type de verre, la taille de la porte, le type de vitrage et la qualité des matériaux utilisés.
Les différents types de verre
Le verre le plus couramment utilisé pour les portes vitrées est le verre trempé. Ce verre est plus résistant que le verre ordinaire et résiste mieux aux chocs. Il est également plus sûr en cas de bris, car il se fragmente en petits morceaux non coupants.
Le verre feuilleté est un autre type de verre couramment utilisé pour les portes vitrées. Ce verre est composé de deux ou plusieurs couches de verre collées ensemble. Il est plus résistant que le verre trempé et offre une meilleure isolation phonique et thermique.
La taille de la porte
La taille de la porte est un facteur important qui influence le prix. Une porte plus grande sera plus coûteuse qu'une porte plus petite.
Le type de vitrage
Le type de vitrage utilisé peut également avoir un impact sur le prix. Le verre clair est le plus courant, mais il existe également des verres colorés, dépolis ou imprimés. Les verres décoratifs sont généralement plus chers que le verre clair.
La qualité des matériaux utilisés
La qualité des matériaux utilisés pour la fabrication de la porte vitrée a également un impact sur le prix. Une porte vitrée en aluminium sera moins chère qu'une porte vitrée en acier ou en bois.
Garde corps vitré inox
Les Garde corps vitré inox sont une solution élégante et moderne pour sécuriser vos escaliers, balcons ou terrasses. Ils offrent une grande transparence et une excellente résistance aux intempéries.
Le prix d'un garde-corps vitré en inox varie en fonction de plusieurs facteurs, notamment la taille du garde-corps, la hauteur de la main courante, le type de vitrage et la qualité des matériaux utilisés.
Les différents types de vitrage
Le verre le plus couramment utilisé pour les garde-corps vitrés est le verre trempé. Ce verre est plus résistant que le verre ordinaire et résiste mieux aux chocs. Il est également plus sûr en cas de bris, car il se fragmente en petits morceaux non coupants.
Le verre feuilleté est un autre type de verre couramment utilisé pour les garde-corps vitrés. Ce verre est composé de deux ou plusieurs couches de verre collées ensemble. Il est plus résistant que le verre trempé et offre une meilleure isolation phonique et thermique.
La taille du garde-corps
La taille du garde-corps est un facteur important qui influence le prix. Un garde-corps plus grand sera plus coûteux qu'un garde-corps plus petit.
La hauteur de la main courante
La hauteur de la main courante est également un facteur important qui influence le prix. Une main courante plus haute sera plus coûteuse qu'une main courante plus basse.
La qualité des matériaux utilisés
La qualité des matériaux utilisés pour la fabrication du garde-corps a également un impact sur le prix. Un garde-corps en inox de qualité supérieure sera plus cher qu'un garde-corps en inox de qualité standard.
Conclusion
Les portes vitrées, les garde-corps vitrés en inox et les Escalier métallique paris des éléments de décoration et de sécurité qui peuvent ajouter de la valeur à votre maison ou votre appartement. En faisant quelques recherches, vous pouvez trouver une solution qui correspond à votre budget et à votre style.
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Transformation de la maison Vitalba-Crevoisier
Habiter dans une grange Ă Berlincourt
Située au centre du hameau de Berlincourt (zone centre ancien), cette maison possède les caractéristiques des maisons villageoises du début du19e siècle. Elle est composée d'une partie habitation et d'une partie rurale de tailles identiques. Devant l'habitation se situe un petit jardin potager entouré de murets alors qu’un accès à la grange se trouve côté rural. Un grand verger est aménagé au nord et à l'est du bâtiment.
Le maître d'ouvrage a choisi d'acquérir ce bâtiment car il n'avait subi que très peu de transformations. L'ancienne propriétaire, née dans la maison, y a passé toute sa vie dans des conditions modestes. Les seuls aménagements entrepris ont été la réalisation d'un wc dans l'appartement et l'amenée d'eau courante (froide) dans la cuisine.
Le projet a été conçu entre l'architecte mandataire (luc Bron) et le propriétaire (Massimo Vitalba), également architecte de profession. Après recherche de diverses solutions, il a été décidé d'aménager le logement du propriétaire dans la partie rurale et de transformer l'appartement existant ultérieurement.
La partie rurale offre de nombreux avantages par rapport à l'habitation existante. D'une part, cela permet de profiter de vues intéressantes sur le verger. D'autre part, la structure ponctuelle en bois facilite l'ouverture de grandes baies vitrées. En outre, les planchers des fenils situés à différents niveaux offrent une grande richesse spatiale et la possibilité d'amener de la lumière naturelle jusqu'au centre du bâtiment.
La charpente et la structure en bois étant en bon état, elles ont été entièrement conservées. Seules certaines pièces ont été complétées ou renforcées. Par exemple, la bibliothèque du salon est dimensionnée pour permettre de soulager une poutre existante. Afin de maintenir la charpente apparente, l’isolation a été posée sur les chevrons et une attention particulière a été portée aux détails pour que les avant-toits gardent leur finesse d'antan.
Afin de conserver l'identité du bâtiment, il était également important de préserver la façade donnant sr la rue avec son ancienne porte de grange. A cette fin, il a été décidé de reculer la façade isolée, ce qui a déterminé un espace non chauffé à l'intérieur du volume. Celui-ci abrite l'entrée, un local de rangement et une terrasse. Pour pallier l'absence de fenêtres en façade sud, une partie du lambrissage de façade est ajouré et des tuiles de verres sont posées en toiture.
Les grands volumes existants et le choix de matériaux bruts (chape, tôle noire, bois) permettent de garder l'ambiance « grange », tout en offrant un confort maximal aux occupants.
Afin d'arriver à un résultat d'une apparente simplicité, il a été nécessaire d'apporter un grand soin à l'étude des détails. Par ailleurs, l'adaptation des parties nouvelles à la structure existante a été rendue possible grâce au travail exceptionnel du charpentier.
Cet exemple de rénovation à Berlincourt montre, que les parties rurales des anciens bâtiments offrent une grande liberté de transformation, moyennant le respect de l'essence des bâtiments anciens. Cette démarche demande toutefois des réflexions architecturales approfondies afin de concilier les besoins des futurs habitants et le maintien des caractéristiques de ces anciens ruraux. Elle nécessite également de s’entourer d’artisans experts dans leur domaine et sensibles au respect de ce patrimoine.
Luc Bron
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#Designitalieninnovant#DestinationuniqueauxÉmiratsArabesUnis#gastronomie#Hôtelécologique#OberoiBeachResortAlZorah#Retraitespirituelle
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Les rooftops incontournables de Paris
Le soleil et les chaleurs estivales marquent le grand retour des rooftops. Ces temples instagrammables, qui sentent bon l’été, font la part belle aux végétaux, aux décors soignés et aux ambiances légères. La ville lumière voit fleurir chaque année de nouveaux concepts à l’arrivée des beaux jours. Alors comment s’y retrouver dans cette jungle urbaine à toits ouverts ? Voici une sélection des rooftops incontournables, un voyage éclair au travers des différents concepts de la capitale. LE PERCHOIR, les terrasses qui prennent de la hauteur La crise sanitaire n’a pas abattu Le Perchoir, spécialiste des terrasses à ciel ouvert. Le groupe parisien propose désormais quatre spots à découvrir dans le tout Paris, de la Gare de l’Est au Marais, en passant par Ménilmontant et la Porte de Versailles. Chaque rooftop dispose de son propre ADN : quand le Perchoir de l’Est offre une ambiance industrielle et romantique, le Marais propose un univers plutôt champêtre sur fond de Tour Eiffel. Ménilmontant voit les choses en grand avec son monde végétal et sa vue sur le Sacré-Coeur, tandis que l’adresse à Porte de Versailles mise sur un concept unique : une ferme urbaine en toiture. Et la plus grande du monde, de surcroît ! Enfin du côté des cartes, le choix est vaste avec de nombreux menus complets, cocktails, ou assiettes à partager. PERRUCHE, le rooftop qui donne des ailes Niché au 9ème étage du Printemps de l’homme, Perruche est probablement le rooftop du chic à la Parisienne : nappes blanches, mobilier en fer et en bois, végétation exotique… L'ensemble donnant sur une vue à couper le souffle : le tout Paris rien que pour vous ! Une véritable oasis végétale dont la carte du restaurant est signée par deux duos qui ont le vent en poupe. Alexandre Giesbert et Julien Ross associés à Laurent de Gourcuff et Gilles Malafosse. Ce sont des plats aux saveurs méditerranéennes qui sont proposés. Par exemple : Pizzeta à la truffe, burrata des Pouilles, entrecôte de veau Milanaise, ou encore crémeux d’artichaut… C’est à Nicolas de Soto, bartender influent, que l’on doit la carte des cocktails. Des créations qui s’articulent autour de l’exotisme et qui proposent des revisites contemporaines de grands incontournables comme le Piña Colada ou encore le Rhum. A lire aussi : aluminium fascia CRÉATURE, l’atypique végétal Ce rooftop, impulsé par le Chef en vogue Julien Sebbag, est le résultat d’une synergie entre ambiance, expérience et saveurs…. Atmosphère californienne, objets chinés, vinyles, toiles de jute, végétation luxuriante… Au-delà d’une aura à l’énergie singulière et d’une vue sur toute la capitale, il faut se pencher du côté de la carte pour comprendre pourquoi Créature est incontournable. Des plats 100% végétariens, qui subliment le végétal avec des saveurs aussi goûteuses que gourmandes. Ainsi, ce sont des assiettes colorées et estivales qui se déclinent de l’entrée au dessert. Vous trouverez, entre autres, des aubergines rôties au four ou des foccacias de courgette ! Par ailleurs les amateurs de cocktails se régaleront avec des créations où les herbes et les saveurs fruitées sont à l’honneur ! Donc que vous soyez plutôt ambiance industrielle, bucolique ou rétro, et que vous souhaitez prendre de la hauteur, assurez-vous de réserver avant de pouvoir profiter de ces lieux convoités et dans le respect des règles sanitaires. Car une chose est sûre, cette année encore les rooftops seront les destinations branchées des urbains qui souhaitent profiter d’un vent de liberté bien mérité. À lire également : Déconfinement : où est Paris ? Read the full article
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L’hôtel particulier (35)
Chapitres précédents
Chapitre 35 : Mais où vas-tu ?
Dehors, la pluie tombait en grosses gouttes cognant fortement contre la terrasse. J’entendais ce bruit assourdissant sans interrompre ma lecture. De temps en temps j’observais d’un œil désintéressé la télévision allumée sur une vidéo à la demande. Tatiana regardait un vieux classique du romantisme version Hollywood. Affalée dans le nouveau canapé, elle passait ses doigts sur le chat noir agglutiné contre ses cuisses. Son ronronnement faisait plus de bruit que la pluie.
L’heure se faisant tard et sentant la fatigue venir, je fermai le roman et me levai afin d’embrasser ma compagne. Ses lèvres avaient un goût de caramel comme le thé qu’elle venait de boire. Elle me regarda contourner le sofa. Le chat continuait de ronronner me dévisageant momentanément avec un sourire moqueur.
-         Tu vas où cette nuit ? demanda-t-elle
Etonné par la question, je répondis immédiatement tout en affichant de gros yeux de surprise.
-         Nulle part ! Je vais dormir !
-         Non, parce que… depuis que je suis rentrée, tu n’es jamais dans le lit quand je me réveille en sursaut, dit-elle d’une voix douce et assurée.
-         Je ne crois pas ! Au contraire, c’est toi qui quitte la chambre en pleine nuit sans prévenir.
Elle releva la tête, montrant à son tour de l’incompréhension dans son regard. Un long silence passa nous laissant réaliser que la pluie venait de cesser si nous n’étions déconcertés par nos propos. Pendant ce temps, le félin s’éloigna et surveilla la scène après être monté sur la table. Il lécha une patte, s’arrêta net et voyant que je le fusillai des yeux, il descendit immédiatement en roulant des R.
-         Je jure que tu n’es jamais dans le lit quand je me réveille, ajoutai-je.
Ma compagne ne répondit pas. Le film montrait une scène où un homme viril embrassait l’héroïne sous une pluie battante. Tous deux portaient un imperméable et un chapeau de gangster comme on en voit régulièrement dans les films noirs américains. Tatiana se concentra sur la télévision et me laissa partir.
Depuis son retour, la semaine ne se passa pas comme je le pensais. J’espérai l’aider à retrouver ce bonheur perdu, prendre le temps de reconstruire et lui offrir tout ce qu’elle désirait. Cependant, elle se contentait de se promener dans le jardin, de visiter les couloirs, lire, parfois regarder la télévision et surtout, elle passait plus de temps avec le chat qu’avec moi. De même, chaque nuit, je me réveillai seul dans le lit. Dès lors, je passai le reste de la nuit à la chercher sans jamais la trouver car à mon retour dans la chambre, elle dormait paisiblement comme si elle ne l’avait jamais quitté.
Durant mon sommeil, j’entendis la porte s’ouvrir. Une forme entra essayant de ne pas faire de bruit. Toutefois, je suivais son déplacement grâce aux froissements de sa robe. Par précaution, je demandai si elle était bien Tatiana. Elle se déshabilla, s’allongea à sa place après avoir relevé les draps et chuchoté « Rendors-toi ! »
Une heure plus tard, je réalisai soudain être seul dans la chambre. Dès lors, je pris quelques instants à réfléchir sur ce qu’elle pouvait faire. Puis, je décidai de la rejoindre. Il n’y avait aucune lumière dans les étages ni dans le hall. Alors, je descendis pour me diriger vers la cuisine ou peut-être était-elle encore dans la grande salle. Elle était dans aucune des pièces. Je rentrai dans la cuisine, pris un verre d’eau et pendant que je buvais, j’observai avec inquiétude la porte de la cave. Elle était fermée mais l’idée qu’elle put s’y rendre pénétra mon esprit.
Après avoir posé mon verre dans l’évier, j’avançai la main tendue et tremblante afin d’ouvrir cette satanée porte. Je m’étais souvent dit de condamner définitivement cette entrée en l’emmurant. Seulement, j’oubliai toujours de le faire et cette fois-ci, j’avais enfin mon prétexte pour me débarrasser de cette maudite cave. Je posai la main sur la poignée, tournai le verrou et au moment d’ouvrir, un vacarme de piano et de trompettes me fit tressaillir.
La grande salle venait de s’animer sur des musiques de jazz. Je me précipitai dans la fête où des couples dansaient comme des disloqués. Je ne reconnus pas de suite ces fantômes de femmes élégantes et de mutilés cachant leurs blessures sous des masques de carnaval. Ils gesticulaient d’une façon si ahurissante que je sentis des vertiges à trop les contempler. Autour du bar, Diane sirotait un cocktail à base de gin. Elle montra un merveilleux sourire m’invitant à approcher. Je m’éclipsai entre les danseurs dont les jambes et les bras frôlèrent mon corps. Chaque touché me frigorifia.
Ses yeux de velours et d’un éclat gris apportaient un charme fou à la belle. Elle sourit en montrant ses dents blanches et alignées, puis elle me proposa de lui offrir un verre ce que je fis de suite en appelant le barman. C’était toujours le même homme qui préparait boissons sur boissons. Elle attrapa la coupe afin de trinquer. Je remarquai la disparition du précédent cocktail sans être gêné. Dès lors, elle recommença à poser les mêmes questions mais cette fois-ci, je surpris Diane en la devançant.
-         N’auriez-vous pas vu une jeune femme brune aux cheveux longs ?
Son sourire s’effaça laissant place à une douce grimace. Elle pinça les lèvres et hocha la tête pour montrer la piste de danse avant de déclarer :
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Il y en a plein!
-         Non, elle n’est pas…
En regardant le visage de Diane, je fus pris d’une étrange sensation. Je ressentis une énorme tristesse, une mélancolie dont je n’arrivais pas à comprendre l’origine. Puis, tout devint lucide bien que je ne susse comment l’expliquer. Le visage de Diane s’effaça laissant place à celui de Marion. J’avais en face de moi la femme que j’avais aimée. Elle avait ses yeux, ses traits, son nez, ses petites lèvres et la même fragilité dans ce regard perdu. Dès lors, j’oubliai Tatiana et repris la classique discussion entretenue avec ce charmant esprit.
Après quelques phrases échangées, nous dansâmes. Elle rit à toutes mes blagues, s’amusa follement puis me proposa de l’accompagner dans sa chambre. Je ne ressentais plus cette froideur au contact de sa peau. Je ressentis même une certaine chaleur à l’écouter et la regarder. Alors, je suivis la chimère pour une énième nuit avec elle.
Arrivés à l’étage, rien ne ressemblait à la maison. D’ailleurs, Diane sembla aussi perdue. Les couloirs soudainement vieillis, le sol recouvert de bois là où il y avait du carrelage, les murs devenus brutalement blancs et froids, apportèrent à l’atmosphère glaciale un aspect terrifiant. La prostituée n’osa plus avancer. Je compris qu’il se passait quelque-chose d’anormal puis, je vis Tatiana.
Dans sa longue chemise de nuit, elle marchait pieds nus sur le sol crasseux. Elle portait à la main une rose bleue qui parut étrangement devenir rouge. Je ne l’appelai pas l’observant en train de marcher dans le couloir devenu un dédale de pièces. Tout à coup, elle entra dans une des salles et disparut avant même que je puisse prononcer un mot.
Le temps de me tourner et Diane n’était plus derrière moi. De même, le couloir reprit sa décoration des années trente. Elle m’attendait devant la porte de sa chambre. J’avançai vers elle. Je l’enlaçai et sans attendre, j’embrassai son cou intensément. Ses mains toujours froides caressèrent mes cheveux, sa jambe se colla contre moi m’invitant à la saisir et la prendre tout en la portant. Elle soupira, m’embrassa avant de se glisser le long du mur. Dès lors, elle baissa mon short et sa bouche étonnamment chaude  profita de ma vigueur.
Lorsque je me réveillai dans son lit, Diane était partie. La musique ne résonnait plus. J’étais bien seul dans la maison. Je rejoignis ma chambre, le jour commençait à pointer son nez. Tatiana dormait, tournant le dos. Sans faire exprès, je la réveillai mais elle ne bougea pas.
-         Tu vois que tu pars la nuit ! grommela-t-elle.
-         Toi aussi. Tu n’étais plus là quand je me suis réveillé et je t’ai vu aller dans une autre chambre !
-         Pff, n’importe quoi ! Je n’ai pas bougé.
Je préférai me taire et m’endormir. Ma compagne se retourna. Elle colla sa tête contre mon torse. Je sentis ses cheveux noirs. Elle caressa mon ventre avant de murmurer :
-         Tu as changé de parfum ? Il ne sent pas comme d’habitude.
-         Toi aussi ! dis-je. Le tien est plus musqué et plus masculin.
En fait, Tatiana sentait le souffre.
Alex@r60 – mars 2021
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LE MONDE MAGIQUE RUSSE - MOSCOU MAGIQUE
ALLIANCE MOLDUE RÉVOLUE avant la destruction du monde magique par les moldu.e.s en 1917, les sorcier.e.s et raspoutine étaient proches du tsar. leur alliance permettait l'entente du monde magique et du monde moldu, qui cohabitaient en paix. les mariages entre moldu.e.s et sorcier.e.s restaient peu fréquents, ceci dit ils n'étaient pas interdits. les non-mages se rapprochaient notamment des sorcier.e.s pour leurs services, qu'il s'agisse par exemple de potions, prédictions, malédictions, mais aussi de divertissement (tours de magie, cirques magiques), etc. DESTRUCTION DU MONDE MAGIQUE à la mort du tsar et de raspoutine, les moldu.e.s se sont retourné.e.s contre les sorciers, brûlant le monde magique. les sorcier.e.s ayant survécu à la révolution moldue ont migré à moscou, l'ouest de la russie, où iels se cachent. petrograd (l'actuel st péterbsourg) était autrefois le coeur de l'empire russe et il existait des villages sorciers. tout a été calciné par les non-mages en 1917, y compris l'école de magie koldovstoretz, la banque sorcière russe, le palais souverain magique, etc. EFFETS DE LA SAUGE BRÛLÉE une fois brûlée, la sauge annule la magie à un rayon de 50 mètres. cette dernière a été utilisée par les moldu.e.s dans le terrassement de la sorcellerie et est redoutée par bien des sorcier.e.s. LA PROHIBITION le peuple moldu et l'église orthodoxe ayant pointé les sorcier.e.s du doigt comme les allié.e.s du tsar ou du diable, la destruction des établissements sorciers veut qu'il n'existe plus de monde magique à proprement parler en russie. depuis la prohibition, les êtres magiques se font passer pour un moldu et font profil bas. les sorcier.e.s tiennent un emploi moldu à moscou afin de survivre financièrement. des miroirs magiques posés dans des établissements fréquentés par ces derniers, conduisent à des lieux ensorcelés où ils se rencontrent et font affaire entre gens du monde magique. la pègre magique permet de continuer des activités souterraines, ceci dit on rêve de retrouver sa liberté. SE FAIRE PASSER POUR UN.E MOLDU.E avec la chute de l'empire et la destruction des établissements magiques, les moldu.e.s sont devenu.e.s une menace permanente. si la plupart sont persuadé.e.s d'avoir éteint la sorcellerie, la prohibition sorcière demeure la préoccupation des sorcier.e.s. on se fait passer pour un moldu, mime leurs coutumes et adopte un emploi moldu pour subsister, ne fait plus usage de la magie en public de peur de trouver la mort. la vengeance est sur plusieurs lèvres et il n'est pas rare qu'on retrouve des moldu.e.s ou cracmol.e.s mystérieusement mort.e.s. tou.te.s savent pourtant qu'il s'agit d'un jeu dangereux car un repère sorcier dévoilé annonce la fin de tout un groupe de survivants.
LES PASSE-MIROIRS ces derniers sont des miroirs sorciers. les franchir conduit à des lieux parallèles ensorcelés. contrairement à un réseau de cheminée, les endroits sont créés via son passe-miroir. il faut être accompagné.e d'un être magique pour en franchir un. seul.e, un.e cracmol.e ou un.e moldu.e ne touchera qu'une surface dure, tandis qu'un.e sorcier.e ou créature pourra le traverser et emmener le ou la sans magie s'iel le désire. le lieu parallèle est aussi grand ou petit que l'architecte magique qui l'a conçu le désire, ainsi on peut avoir des forêts entières ou un petit fumoir. il ne comporte, généralement, que le miroir comme porte de sortie une fois rejoint. BAGUETTES MAGIQUES si qu'autrefois les baguettes étaient arborées fièrement face aux moldus, en source d'un pouvoir presque divin, la prohibition sorcière en a fait un objet périlleux à porter en public. montrer le bois à un.e sans magie est souvent suivi d'une exécution, ainsi on s'efforce de les dissimuler pour survivre. de longues poches trompeuses ont été cousues aux vestes et jupes, tandis que d'autres ont recours à des moyens plus drastiques. bien que leurs effets soit moins prévisibles et faciles à manier, on trafique des objets banals pour y placer des coeurs de baguettes, comme entre autres, des cannes, des bijoux, des stylos ou des armes. certain.e.s apprennent aussi la magie sans baguette de sorcier.e.s étranger.e.s. voir ces bois au besoin et la liste de créatures slaves non-exhaustive ci-dessous pour les principaux coeurs de baguettes trafiquées russes. LES DOMOVOÏ sont de petites créatures poilues qui peuvent se rendre invisibles. sans baguettes, elles sont pourtant capables de magies et servent les sorcier.e.s dans leurs basses besognes quotidiennes. on dit qu'ils reflètent les passions humaines que sont l’amour, la sécurité et le respect des anciens. il s'agit de l'équivalent russe des elfes de maison.
LES AUTRES CRÉATURES FANTASTIQUES il existe d'autres créatures russes que vous pouvez ajouter en pnj, cachées des sans magie: kot baioun, chat parlant assassin oiseau de feu, phénix russe polkan, homme et moitié cheval oupyr, mort vivant chichiga, goblin slave kaptar, yéti russe krampus cornu, mi-chèvre, mi-monstre kikimora, esprit malveillant simargl mi lion-mi oiseau polévoï, lutins russes likho, sinistros russe zmeï, dragon russe
les créatures jouables sont (voir le bottin des particularités pour les détails): lycanthropes, loup-garous slaves liéchi, esprit des forêts roussalka, naïade russe gamaïoun, personne-oiseau immortelle
#french rpg#rpg français#hp#fantastic beasts#russie#gang#sorciers#projet#annexe#monde magique#moscou
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Partie I. H-8
Warning/s: peur, sang, mort
Word count: ~4500 mots
« - C’est fou ça !
- De quoi tu parles, Aurora ?
- Je viens de recevoir un message de mon cousin. Un mec vient de le contacter sur Twitter, car ils étaient ensemble en maternelle. Il lui a même envoyé des photos ! C’est trop marrant ce genre d’histoire. J’aimerai tellement que ça m’arrive. T’imagines, toi, peut-être que quelque part… »
La fille aux cheveux d’or continua de parler, sans remarquer que son amie ne prêtait plus aucune attention à ce qu’elle lui disait. Les pensées de Nora ne cessaient de divaguer. Elle se sentait incapable de se concentrer sur quoi que ce soit. Bien qu’elle ne voulait plus y faire attention, son cerveau tournait en boucle sur ce rêve.
Et si cet Adrian existait réellement ?, se surprit-elle à penser. Quelle idiote. C’était inconcevable. Mais tout de même… La question n’arrêtait pas de faire un bout de chemin dans sa tête. Il paraît qu’il est impossible d’inventer des visages dans ses rêves. Mais ce n’est pas un visage que voyait la jeune fille, juste une silhouette.
Les silhouettes ont forcément des visages
Elle fut sortie de ces pensées par Aurora qui bondit. Nora perçut un léger bruit strident. Sûrement la sonnette, pensa-t-elle. À cet instant précis, Nora se mit à haïr son ouïe qui lui faisait défaut. Depuis ses 5 ans, la jeune fille était atteinte d'hypoacousie de l'oreille droite. Autrement dit, son oreille droite n'entendait plus aussi bien qu’avant - n’entendait plus en réalité. La jeune fille loupait les sons trop faibles ou trop aigus ou trop graves, et son oreille lui faisait parfois entendre des sons qui n'existaient pas, comme des légers sifflotements.
Aurora se dirigea vers la porte. Elle sautillait. Si elle était bien attachée à quelque chose, c’était bien à ces soirées d’été avec sa bande. Nora devait bien avouer qu’elle n’échangerait pour rien au monde ces moments. Sa maison, à la peinture rouge, était au bord de la rivière d’Akerselva. Siroter une bière sur sa terrasse, avec ses copains, tout en profitant des dernières lueurs, quelque peu glaciales, du soleil laisserait une trace indélébile dans la mémoire de la petite rousse. Oslo n’était pas Hawaï, mais c’était déjà bien suffisant.
« - Nora ?, hurla la blonde pour que son amie l'entende. Viens voir. Ça a sonné, j’en suis certaine. Pourtant, il n'y a personne.
La porte était effectivement grande ouverte, mais personne n’était à son embrasure. Une légère inquiétude picota Nora. Le vent frais souleva légèrement ses cheveux. Le quartier était calme. Valma, le labrador des voisins d’en face, était sagement allongée sur le porche. Elle n’aboyait pas, mais remuait la queue.
- Ce n’est rien, sûrement juste les petits Olsen qui font une blague », tenta de se rassurer Nora.
Aurora commença à fermer la porte. Sans crier gare, un homme surgit devant la porte en hurlant. Son visage était recouvert d’une cagoule. Le cœur de Nora fit un bond dans sa poitrine, et l’angoisse qu’elle ressentait depuis ce matin-là s’amplifia. Aurora hurla, et tenta de claquer la porte. Un pied l’en empêcha. Ilan sortit de sa cachette. Il ne pouvait pas s’arrêter de rire. Son visage était rouge, aucun son ne sortait de sa bouche. Comme à chaque fou rire qu’il avait, il se tenait fermement le ventre.
L’inconnu retira son masque, dans un éclat enfantin.
« Bordel, Elias, je vais te tuer ! », cria Aurora.
Amusé par l’air mécontent d’Aurora, Elias se mit à l’imiter. « Maman, j’ai eu peur ! ». Ilan, qui avait commencé à se calmer, se remit à rire de plus belle, tenant toujours fermement son ventre.
Aurora grommela quelque chose comme « Vous êtes des gros crétins » et s’engouffra dans la maison lumineuse. Elias la suivit de très près.
Ilan essuya une larme provoquée par son fou rire. Il renifla bruyamment, un sourire amusé plaqué sur son visage, et ramassa le sac qu’il avait posé à terre. Les bières s’entrechoquèrent quand il prit Nora dans ses bras.
« - Comment ça va ? Tu m’as raccroché au nez ce matin. Déjà qu'on ne se voit plus beaucoup...
Ilan était parti à Bergen, étudier le sport dans une Høgskolen - haute école. Bergen était à environ 7h de route d'Oslo. Mais le jeune homme ne manquait pas de rentrer à chaques vacances. Sa famille et lui habitaient dans une petite maison jaune, dans le même quartier que Nora. Inséparables depuis l'enfance, cela faisait trois ans qu'ils s'appelaient régulièrement en FaceTime et dès que le grand châtain rentrait, ils se retrouvaient toujours fourrés ensemble.
Nora esquissa un léger sourire.
- Ça va. Juste un peu… Fatiguée.
Le grand gaillard toisa son hĂ´te.
- Fatiguée ? C’est ce rêve encore ?
- Oui… ». Nora soupira. Ses yeux regardaient la route. Cherchait-elle Adrian du regard ? Rien n’était moins sûr. Son regard se replanta rapidement dans celui de son ami. « J’ai l’impression que c’est… Réel. Vraiment réel. Cette silhouette, cet Adrian… c’est comme si ça m’était familier. »
Le vent fit bouger légèrement les feuilles des arbres plantés dans la rue dans un petit crissement que Nora sentit à travers la caresse glaciale du souffle.
Ilan ne répondit rien. Il fit cette mimique avec son visage qui signifiait qu’il ne savait pas quoi dire. Ils rentrèrent rejoindre Aurora et Elias.
Nora prit soin de fermer la porte à clé. Réflexe assez étrange, elle qui disait toujours que le quartier était sûr et que rien ne pourrait arriver. Elle avait, au contraire, pour habitude de ne jamais fermer la porte - ce qui pouvait agacer son père et son petit frère, mais elle n’y prêtait jamais attention. Ce soir-là , elle laissa même les clés enfoncées dans la porte. Ne sait-on jamais, songea-t-elle. Comme si un danger imminent pouvait pénétrer dans la maison. Personne n’avait remarqué ce geste, mais si quelqu’un l’avait vu, il aurait compris à quel point Nora était angoissée. D’une nature très sereine, si elle montrait des signes de stress, c’est que la situation n’augurait rien de bon. Mais personne n’y fit attention, et personne ne pouvait se douter du danger qui flottait dans l’air.
La petite troupe s’installa sur la terrasse en bois au bord de la rivière. Elias décapsula quatre bières. Chacun entrechoqua la sienne avec celle des autres. Ils prirent tous une gorgée.
« Ça vous dit une soirée film d’horreur ce soir ? Je suis d’humeur. Il y a un nouveau court métrage terrifiant, à ce qu’il paraît, qui vient de sortir », demanda soudainement Elias.
Aurora protesta. Nous étions en plein mois de juillet, ce n’était pas Halloween, il était donc hors de question de regarder des films qui font peur. Après un débat acharné de quelques minutes, elle céda. Mais un seul film, avait-elle tout de suite ajouté.
Nora se leva et mit deux pizzas au four. Elle sortit des chips du placard de la cuisine et retourna les poser sur la petite table dehors. Ilan se jeta dessus. Les chips aux oignons, c’était son pêché mignon.
Tous les quatre restèrent dehors un moment, oscillant entre discussions et jeux de cartes. Les deux pizzas avaient été englouties, et il ne restait que des miettes des chips. Quelques cadavres de bière jonchaient la table. Elias n’en n’avait bu qu’une. Il détestait boire, car il ne savait jamais quand il comptait reprendre le volant de sa voiture bleue de sport. Et il voulait toujours être prêt à le faire. C'était sans compter les fois où il buvait à s'en brûler la gorge et se retrouvait à appeler un taxi pour rentrer.
Le vent finit par se lever, et les adolescents rentrèrent à l’intérieur. Ils se préparaient pour leur soirée d’horreur. Les deux filles s’étaient enroulées dans des plaids, prêtes à se cacher les yeux si le film devenait trop gore. Aurora s’était collée à Elias. Elle espérait que le garçon la prendrait dans ses bras si elle avait trop peur - elle ne se doutait pas que cela le ferait mourir de rire. Nora, elle, avait collé sa tête contre l’épaule d’Ilan, mais comptait bien ne regarder le film qu’un minimum - suivre suffisamment pour comprendre, mais ne pas regarder les scènes trop choquantes pour éviter d’être traumatisée. Pour mener cette technique à bien, elle avait sorti son téléphone et scrollait continuellement Twitter.
Aurora, emmitouflée dans deux plaids, sortit le bout de son nez lorsque le générique se mit à défiler.
« - C’était terrifiant.
- Ce ne sont que des lapins tueurs, Aurora, rien de bien méchant ». L’audace de la voix d’Elias déplut à Aurora qui se jeta sur lui. Le grand brun ne mit pas longtemps avant de l’immobiliser et de la chatouiller. Tous deux avaient fini au sol. Aurora riait tellement fort que ce fut le seul son qui raisonna dans la maison pendant quelques instants.
Nora s’était redressée et lâcha son téléphone pour la première fois depuis le début du film. Elle rejeta les plaids par terre et but un verre d’eau d’une seule traite. La peur donnait soif à la jeune fille, c’était étrange, mais elle s’était habituée à cette sensation depuis sa plus tendre enfance.
Un bruit sourd retentit. Ilan distingua chez Nora une vague de panique, qui ne parvient pas à identifier l’origine de cette nuisance. Il mit sa main sur son épaule, et tenta de la rassurer.
« Hé, ne t’inquiète pas Nora. C’est sûrement de l’orage. » Celle-ci fronça les sourcils, en signe d’interrogation. De l’orage ? Cela faisait bien des années qu’il n’y avait pas eu à Oslo. Certes, le temps n’y avait jamais été très joyeux, mais l’orage était un événement largement exceptionnel.
L’inquiétude de Nora grandit à l’intérieur de son corps. Un frisson parcourut le sommet de son crâne jusqu’à ses orteils. L’angoisse lui prit à la gorge. Elle se sentait coincée. Et elle ne savait pas pourquoi. Ilan ressentit son trouble.
« Tu es certaine que tout va bien ? », murmura-t-il, espérant ne pas trop attirer l’attention des deux autres. Elias et Aurora étaient adorables, mais jamais très compatissants. Surtout Elias. Et surtout s’il s’agissait de Nora.
La petite rousse se contenta de hocher la tête. Elle n’avait pas la force d’entamer cette conversation. Mais Ilan en décida autrement. « C’est le rêve, c’est ça ? ».
Les yeux dans le vide, Nora revit encore la scène. Cette silhouette, cette voix… Adrian. Adrian. ADRIAN ! Elle déglutit. Les larmes lui montèrent aux yeux.
Avant qu’elle n’ait pu dire quoi que ce soit, la maison fut plongée dans le noir. Elle sursauta violemment, et entendit Aurora crier. Elias éclata d’un rire assez hystérique. « C’est le courant qui a sauté, mon pote ! ».
Nora soupira. L’orage, le courant qui saute… tout ça ne disait rien de bon à la jeune femme. Machinalement, elle activa la lampe torche de son téléphone. Très vite suivie pas tout le monde. Elle se leva et sortit du salon. Elle voulait se diriger vers la cuisine, pour attraper des lampes torches - qui étaient rangées dans les tiroirs, à côté du frigo. Mais pour rejoindre cette pièce, il fallait traverser le couloir.
Le couloir semblait long, infiniment long. Il était glacial et sombre. La lumière de son téléphone ne permettait pas de distinguer la porte de la cuisine. Elle hésita un long moment puis fit un pas. Quelque chose l’attendait à la fin du couloir, mais cette dernière ne savait pas quoi - ou plutôt qui. L’ambiance était devenue pesante, et Nora avait l’impression de suffoquer. Un éclair illumina le couloir. Derrière la baie vitrée de la cuisine, celle-ci jura voir une silhouette.
Une silhouette.
Elle poussa un cri étouffé et se cogna dans quelque chose. « Ilan, bordel, tu m’as fait peur ! ». Le jeune homme parut surpris que la jeune fille s’adresse à lui de cette manière.
« - Désolé, ce n’était pas mon intention. - Viens avec moi dans la cuisine, s’il te plaît », supplia Nora. Le ton de cette dernière inquiéta un peu plus Ilan. De quoi pouvait-elle bien avoir peur ?, se demanda le garçon. Mais il se dit que c’était sûrement l’orage.
Ilan passa devant Nora, et s’avança vers la cuisine. La jeune fille resta sur place quelques instants, persuadée de le voir disparaître dans un cri d’effroi, engloutit par la silhouette. Mais rien de tel ne se produisit. Le garçon arriva tranquillement à la cuisine, et sortit une des lampes torches. Il éclaira la pièce, laissant entrevoir une cuisine déserte. Il se retourna vers la jeune fille, en se demandant pourquoi elle ne le suivait pas. Il en était certain maintenant, quelque chose n’allait pas. Nora se décida finalement à le rejoindre, la boule au ventre. Elle se dépêcha d’attraper des lampes torches à son tour et retourna aussi vite que possible au salon, tout en surveillant qu’Ilan suivait ses traces.
Chacun des adolescents prit une lampe torche. Nora, prévoyante, en déposa deux autres sur la petite table basse beige. Elle se rassit sur le canapé, vite rejointe par Ilan. Ce dernier la fixait avec de grands yeux, essayant de décrypter son visage. Qu’est-ce qui pouvait lui faire aussi peur ? Ce n’était pas l’orage qu’elle craignait, c’était quelque chose d’autre. Mais il ne parvint pas à déterminer cette autre chose. La voir dans cet état ne le rassurait pas. Nora n’est pas du genre à flipper pour rien, ne cessait de lui répéter son esprit. Mais il faisait de son mieux pour chasser cette pensée négative et profiter de la soirée.
Elias et Aurora étaient assis par terre, l’une en tailleur et l’autre affalé contre le meuble télé. Ils discutaient tranquillement. Puis Aurora reçut un message, et se désintéressa de ce que racontait Elias. Ce dernier eut une idée.
« - Je peux vous raconter un truc ?, son ton n’annonçait rien de bon.
- Un truc ?, questionna Ilan. Ce dernier savait reconnaître quand son meilleur ami allait faire une connerie, et il en était persuadé, c’était ce qui allait arriver. Elias se contenta de hocher la tête, un sourire étrange plaqué sur le visage.
- Une petite légende qui court en ce moment sur le complexe de Cecile Bombeek. »
Cecile Bombeek était un endroit situé à quelques kilomètres d’Oslo. Il regroupait plusieurs bâtiments : une ancienne école pour garçons, et un asile psychiatrique aux méthodes douteuses. Nora avait toujours trouvé stupide d'avoir deux lieux aussi différents aussi proches l'un de l'autre. Une dernière bâtisse, assez imposante, était également présente sur le site, mais il était impossible de dire à quoi elle servait exactement.
Elias prit sa lampe torche et la faisait vaciller autour de son visage. Les ombres formées mirent en valeur ses traits durs. Son allure prit une tournure terrifiante.
Ilan fixait Nora. Elle regardait Elias avec un air étrange. Il ne sut le décrire. Il se décida à tapoter l’épaule de la jeune fille, perdue dans ses pensées, qui sursauta. « Partante pour la légende ? ». Elle hocha lentement la tête, sans détourner ses yeux de la silhouette, inquiétante, de celui qui s’apprêtait à bouleverser l’existence des trois autres.
« - C’est l’histoire de ce gars, Jonas. C'est mon cousin qui m'en a parlé. ». Elias prit une voix rauque terrifiante. Instinctivement, Nora se rapprocha d’Ilan, cherchant du réconfort face à son angoisse grandissante. Angoisse qui n’allait sûrement pas s’arranger avec cette foutue légende. « C'était un garçon solitaire et très renfermé sur lui-même. Sa situation familiale était terrible. Son père frappait sa mère comme si c’était un punching-ball. Un soir, son vieux était complètement saoul. Il avait frappé sa mère tellement fort qu’elle gisait au sol, incapable de se relever. Jonas est devenu fou de voir sa mère dans cet état. Il a attendu que son père s’endorme devant la télé, des tâches de bières sur le marcel, une odeur dégoutante de cigarette dans l’air. Jonas s’est muni d’un grand couteau de cuisine et l’a poignardé de 70 coups de couteau. Plus rien ne l’arrêtait. Il avait 20 ans. »
Elias fit une petite pause, laissant le suspens flâner dans l’air. Nora était captivée par les paroles du jeune garçon. Elle était terrifiée. L’histoire lui semblait tellement familière. Elle voulait en savoir plus.
« - Il a tout de suite été interné à l’asile Cecile Bombeek. Pendant cinq ans, il n’a pas fait parler de lui. Sage comme une image. Mais, durant toute cette période, il était traité comme un moins que rien. Les médecins de l’époque avaient des pratiques plus que douteuses. Ils se servaient du pauvre Jonas comme d’un cobaye : choc électrique, opérations diverses et j’en passe. Jonas répertoriait tout dans un carnet. Le soir du massacre, il a caché ce carnet dans un des casiers de l’école Cecile Bombeek. Il ne voulait que personne ne puisse mettre la main dessus. »
Nora prit une grande respiration. Elle sentait son cœur lourd. C’était comme si ce dernier était écrasé par un camion. L’angoisse continuait de prendre le dessus sur le reste de ces sentiments. Et elle n’aimait pas cette sensation.
« - Un soir, en juillet, il a donc pété un plomb. Une méchante remarque de trop, un coup de ciseaux de trop. Il a réussi à s’échapper de l’asile, non sans faire de victimes. Plusieurs infirmières ont succombé à des coups de poings. Un médecin a fait une crise cardiaque en le voyant tabasser l’une de ses employées. En sortant, il s’est muni d’une hache. À l’époque, il y avait d’énorme hache près des extincteurs pour pouvoir en briser la vitre en cas d’incendie. Sans réfléchir, il se dirige vers l’école juste à côté. D’ailleurs, si vous voulez mon avis, il faut être stupide pour avoir construit une école près d’un asile mais bon. Le gardien de nuit, Tobias, tente de stopper la course folle du garçon. Mais ce dernier lui défonce le crâne avec la hache. Le veilleur décède sur le coup. Jonas monte les étages et rentre dans différentes chambres. Poussé dans son délire, il tue douze d’entre eux. Heureusement, c’était un soir d’été. La plupart des enfants était rentrée chez eux. Seuls restaient ceux qui ne pouvaient pas rentrer ou ceux qui n’avaient pas de famille. Certaines enfants ont tenté de fuir en voyant leur camarade tomber comme des mouches. Mais Jonas ne leur en a pas laissé la chance. Le jeune garçon s’est ensuite dirigé vers l’infirmerie. La pauvre infirmière de garde ne se doutait pas le moins du monde de ce qu’il se passait. Elle était occupée à changer de disques. Elle n’a même pas entendu Jonas arriver derrière elle. Il l’a abattu d’un simple coup de hache dans le crâne. Certaines racontent qu’elle a été coupée en deux. Le jeune fou s’enferme ensuite dans la salle de bain commune. Ses mains pleines de sang, il réalise ce qu’il vient de faire. Il réalisé qu’il vient d’ôter la vie à douze enfants, sept infirmières, un homme et un médecin indirectement. Il réalise qu’il est un monstre et se tranche la gorge. Son fantôme est coincé dans l’enceinte de Cecile Bombeek. Condamné à vivre avec ceux qui l’ont torturé et ceux qu’il a lui-même tué. Au fil des années, son fantôme serait devenu assoiffé de revanche. Il serait rempli de rancœur et de haine. Et pour évacuer tous ces sentiments, il tuerait et torturait tous ceux qui oseraient pénétrer dans l’enceinte de Cecile Bombeek. »
Cette histoire terrorisait Nora. Ce n’est qu’une histoire, juste une histoire, tentait-elle de se convaincre. Son corps entier tremblait comme une feuille.
Elias reprit le fil de son monologue. Sa voix était plus terrifiante que jamais, et les ombres vacillaient dangereusement autour de son visage. « Mais, pour déclencher cet amas de haine, il faut jouer au jeu maudit. Rien de plus simple : il faut aller dans la salle de bain commune. Trouver le miroir devant lequel Jonas s’est tranché la gorge. Ensuite, en fixant ton reflet, il faut prononcer trois fois le nom de Jonas. »
Le jeune brun fit, à nouveau, une pause dans son récit. Le temps semblait interminable. « Jonas, Jonas, Jonas…. », fit-il d’une voix à glacer le sang.
Jonas, Jonas, Jonas
« - Tu me fous la trouille, Elias, arrête…, supplia Aurora.
- Ce n’est pas fini, ma belle. Après avoir susurré son nom, il faut fermer les yeux pendant 10 secondes. Vous imaginez comme 10 secondes doivent sembler durer une éternité dans ce moment-là … Et là , sans un bruit, Jonas apparaît derrière toi. Si ton regard croise le sien, tu es foutu. Puis, la silhouette disparaît lentement. Tu te dis qu’il te reste un dernier espoir de t’enfuir. Alors, tu cours, cherchant une sortie. En vain. Tu es prisonnier de l’école. Et quand tu t’y attendra le moins, Jonas viendra et te tuera dans d’atroces souffrances. Du moins, c’est le destin de ceux qui ont joué. Et les poules mouillées qui se dégonflent au dernier moment et ne jouent pas, ils sont condamnés à errer dans Cecile Bombeek. Prisonniers de Jonas et de toutes ces folies. »
Aurora frissonna. Elle sentit la peur la gagner. Se doutait-elle que son amie Ă©tait dans le mĂŞme Ă©tat - voir pire ?
« Sympa. Enfin, c’est qu’une légende stupide », soupira Ilan.
Le regard d’Elias s’assombrit. Ses yeux noirs lancèrent presque des éclairs.
« C’est parce que tu n’as pas entendu la suite. » Elias se tut quelques instants, voulant laisser un peu de suspens. « Depuis quelques mois, de nombreuses personnes se sont rendus à l’école. Aucune n’est revenue. Pas plus tard qu’il y a une semaine, un gars s’y est rendu avec ses potes. Personne ne les a revu depuis. C’est passé aux infos. Je crois qu’il s’appelait Adrian ou un truc dans le genre ».
Nora écarquilla les yeux. Sa tête se mit à tourner et elle dût se contrôler pour ne pas vomir dans le salon.
Adrian. C’était le nom de la silhouette. Ça n’a sûrement rien à voir, pensa Nora. Mais cette dernière sentit le regard appuyé d’Ilan sur elle. Lui aussi avait tilté. Lui aussi avait reconnu le nom de la silhouette. Et il ressentit le besoin d’aller vérifier par lui-même. D’aller voir si cette légende est réelle, si cet Adrian est le même Adrian qui hante les rêves de son amie.
« - C’est des conneries. Je ne suis pas sûr d’y croire, il faudrait vérifier par nous-même.
Elias afficha un petit sourire presque pervers.
- Genre aller à l’école et faire le jeu ou un truc comme ça ?
- L'orage s'est calmé, il fait de nouveau beau…Pourquoi ne pas y aller…
- C’est HORS DE QUESTION ! ». Le cri d’Aurora retentit dans toute la maison, et même peut-être dans tout le quartier. Le salon devint, d’un coup, silencieux. Elias et Ilan échangèrent un regard. Sans un mot, les deux garçons comprirent qu’ils étaient sur la même longueur d’onde : il fallait aller à Cecile Bombeek. Tous les deux se sentaient attirés par l’endroit, comme appelés par une force inexplicable. - par une silhouette.
Elias posa sa main sur celle d’Aurora dans un geste tendre et rassurant. Le jeune homme était bien décidé à aller mettre son nez à Cecile Bombeek, et d’une manière ou d’une autre, Aurora serait de la partie. Il voulait quelque chose, il l’avait. Et c’était tout.
« Ne t’en fais pas, Aurora. Ce n’est qu’une légende débile. On ne risque rien, je te le promets. » Elias se mit à chuchoter dans son oreille. Finalement, elle hocha la tête doucement, et le brun afficha un sourire satisfait.
« - Tu es d’accord, Nora ? », demanda Ilan. La jeune fille hésita un moment avant de répondre. Ses amis avaient les yeux braqués sur elle. Tous attendaient qu’elle dise oui. Allait-elle seulement accepter ? Une partie d’elle cirait oui. La vie est faite de coïncidences, ce n’est rien, disait-elle. L’autre partie était angoissée, en alerte et refusait de quitter son salon si chaleureux. Une dernière voix se mêlait au chaos qui régnait à l’intérieur de son crâne. Elle semblait lui dire de venir, qu’on l’attendait. La silhouette, Adrian ?
Ils t’attendent, ils t’attendent
D’un mouvement impulsif, Nora accepta de se rendre à Cecile Bombeek. Idiote ! lui hurla une voix dans sa tête. Elle choisit de l’ignorer, elle et les autres voix, et de suivre ses ami.e.s. Après tout, que pouvait-il lui arriver de si terrible en compagnie de deux ceintures noires de karaté ? Rien.
« Enfin, si quelque chose tourne mal, Elias, ce sera entièrement de ta faute ! », ajouta Nora, sur un ton taquin - elle savait pourtant que c’était bien la vérité. Cela va mal tourner, mais Elias ne sera sûrement pas le seul responsable, pensa Nora. Il avait été assez débile pour parler de l’histoire, mais Ilan s’était montré tout aussi con, et les deux jeunes filles n’étaient pas totalement innocentes, non plus. Elles pouvaient toujours refuser. Ce n’était pas un flingue collé sur leur tempe qui leur avait fait accepter. Mais c’était toujours plus simple de rejeter la faute sur les autres quand les choses virent au noir.
Elias émit un léger rire. « Ne t’en fais pas, Nora. C’est vrai, quoi, à part notre temps, on ne perd rien à jouer au jeu maudit. Ce n’est pas comme si on allait mourir ! ». Après avoir prononcé ces quelques mots, il partit en fou rire. Il se leva, et se dirigea vers le garage.
Mourir dans d’atroces souffrances
Nora mit sa peur de côté. Elle tentait de se rationaliser. Elle décida d’envoyer un sms à son père. Elle ne voulait pas qu’il s’inquiète s’il rentrait et trouvait la maison sans courant et sans sa fille. Celle-ci prit soin de prendre les lampes torches et vérifia que la batterie de son téléphone était chargée. 80 %. Elle décida que ce n’était pas assez, et fila chercher une batterie externe, qu'elle glissa dans la poche de son jean. En passant devant le miroir, elle réalisa qu’elle ne portait qu’un simple tee-shirt à manches longues. Elle remonta les escaliers et enfila un sweat. Elle en prit un autre pour Aurora - elle n’était pas sûre que son amie avait pensé à en prendre un en venant. La jeune fille décida de prendre, également, une bouteille d’eau. J’aurais sûrement soif, pensa-t-elle, se préparant à vivre les heures les plus terribles de sa vie. Nora avait l’impression de partir en expédition funeste.
Elle enfila son sweat et en profita pour y glisser les lampes torches et sa batterie externe, laissant sa bouteille d'eau trônant devant le miroir. Elle sourit à l'allure de kangourou que cela lui donnait. Sourire qui s'effaça rapidement.
D’un pas qui se voulait assuré, mais l’on voyait à des kilomètres qu’il tremblait, Nora rejoignit à son tour le garage où se trouvait la voiture d’Elias. Il mettait toujours son bolide - comme il appelait - à l’intérieur pour ne pas que quelqu’un puisse l’abîmer dehors.
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One cloudy day..
Une main sur la hanche, l'autre dans la sienne et le plongée en arrière. Voilà une heure que Berwald servait de mannequin à Miyuki et Elisa, il servait de mannequin avec Lily qui avait très gentiment accepter se se joindre eux pour cette petite séance de peinture dans l'une de salle de danse au fond nuages de la SM un de ces salles mythiques mais oubliées. Il pencha Lily en arrière et la française lui offrit un grand sourire. Miyuki termina son dessin et se leva très heureux du rendu, Elisa posa son pinceau et c'est ce moment que choisit Sören pour entrer, Lucie à son bras, Ten à l'autre. Lily sourit et relâcha doucement Berwald et s'inclina devant sa sœur et fixa Sören puis Ten. Sören s'écarta de son compagnon et tendit la main a Lily.
« Shall we ? » demanda-t-il calmement
« Do not force yourself » dit Lily en riant
« Won't happen. » dit Sören avec un semblant de sourire
Lily l'emmena alors dans une petite danse de simple, une valse qui jurait avec leurs tenues, car Lily portait un simple Jeans, un débardeur noir et des talons multicolore, et Sören lui portait un vieux t-shirt gris chiné avec l'inscription ' Royal Stockholm High School Hockey Team' et dans son dos 'S. Ekstrøm ' ainsi qu'un vieux jeans déchiré et des simple tennis blanches. La danse était légère et quand la jolie blonde, s'arrêta posant une main sur l'épaule de Sören, Ten serra les dents.
« Hands off he's mine. » grogna-t-il
Lily se recula légèrement surprise et leva la tête vers Sören, qui lui cachait très très mal sa satisfaction. Lily roula des yeux et Lucie secoua la tête en prenant la main de Ten.
« Ecoute, mon chéri... » fit Lucie en douceur « Sören est gay. Très gay. Lily est hétéro. Enfin aux dernières nouvelles.. » Elle fixa sa sœur qui confirma
« Je ne suis pas une menace. » dit Lily en souriant « Sören est juste mon ami. »
« Et c'est mon meilleur ami. » fit une voix velouté.
Elle entra dans la salle, portant une chemise blanche d'homme pas grande, des bas retenus par des porte jarretelles clairement visible sous la chemise et concrètement on voyait tout à travers sa chemise. Elle était petite, pourtant trônait sur des escarpins terriblement haut, ses longues mèches noires tombant de manière naturelle sur ses épaules et on pouvait aisément voire la fatigue dans ses yeux vert intense. Elle avança et soupira en se reposant contre l'épaule de Sören.
« It freaking hurts ... » soupira-t-elle
« I know. » dit-il
« I'm not only fucking meat for fucks sake. I'm not like... » Elle s'arrêta quand NCT entra par l'autre porte et la fixaient  « Holy fuck. »  Sören enleva son pull et le donna a Morganna qui l'enfila rapidement et fixa Lily qui enleva sa ceinture et la lui tendait. En deux secondes Morganna c'était faite une robe d'un pull beaucoup trop grand pour elle. Grâce à Sören et Lily. Ten l'observa et arqua un sourcil.
« Je vous ai déjà vu quelque part non ? » demanda-t-il
« Je suis Mona. » dit-elle doucement en souriant à Ten
« Holy shit. » couina MarkÂ
« Dude ?! » s'étonna Johnny
« I... oh waw... she's.. really... » Mark était rouge.
Morganna secoua un peu la tĂŞte quand Elrick entra, la mine noire, les yeux sombres. Il prit la main de Morganna qui secoua la tĂŞte.
« No please no.. » murmura-t-elle
« She's gone... Jolene and Malia said I had to get you. » dit-il
« I.. yes.. » Morganna s'éloigna et sortit en courant chercher quelqu'un.
« She's not Ian. » dit-il a Sören qui se massa les tempes.
« Qu'est-ce qu'il y a Sören ? » Ten prit doucement sa main
« Une amie de Morganna est malheureusement décédé dans l'exercice de ses fonctions. » dit Elrick
« Elle disait qu'elle avait de l'espoir la dernière fois d'arriver au bout de son service... ... » murmura Lily
« Malheureusement tout le monde n'est pas Ian... » soupira Lucie Â
-
VoilĂ quelques jours bien sombres mais la vie continuait... enfin pas tout Ă fait. Morganna regardait l'homme assis sur la terrasse une cigarette entre les doigts, le regard dans le vide. Elle soupira et vint prendre la cigarette pour l'Ă©craser.
« ça va pas? » grogna-t-il
« J'ai déjà perdue une amie. Tu ne seras pas le suivant sur la liste. » Elle était assez froide et soupira « Que va-t-il advenir de son fils ? » demanda-t-elle
« Je vais devoir ... m'en occuper. » nota-t-il « C'est moi son père. » il prit sa tête entre les mains
« Je sais. En attendant il vit avec Jolene. » nota Morganna en se levant « c'est sa Marraine après tout. » -
Jolene portait le petit garçon, puis s'installa dans le canapé. Le petit garçon aux yeux typé coréen mais d'une jolie couleur verte sombre. Il avait 3 ans et comprenait ce qu'il c'était passer et quand Jolene dessina un avion pour lui... il posa ses mains sur le papier.
« Mama... » dit-il doucement
« Yes Mama.. » Jolene caressa ses cheveux. « She won't comeback you know that right my love ? »
« I know. Uncle Ian... said... she .. » il chercha ses mots « Uncle Ian said... elle est ... partie dans les nuages. »
« C'est ça... » dit Jolene en passant en coréen caressant ses petites joues humide de larmes
« I miss mama... » dit-il en se lovant dans les bras de Jolene
« I miss her too. » dit-elle en le serrant contre elle.
Jaehyun entra dans le salon, cachant très mal un grand ourson en peluche dans son dos et Jolene leva la tête du petit garçon qui offrit un petit sourire fatigué a Jaehyun avant de descendre du canapé et de tendre les bras. Jaehyun posa l'ourse en peluche et souleva le petit dans ses bras.
« Hey big boy. » dit-il en souriant
« Hey uncle Jaee » Il souriait un peu fatigué
« Ohh someone wants a nap. » dit Jaehyun en souriant
« Nappy ! » il souriait un peu plus en se frottant les yeux
« Want Jaejae to put you in bed love ? » demanda Jolene
« want both... want my song... » murmura-t-il fatigué
« All right. » Jolene se leva et ramassa le gros ourse en peluche.
Le couple emmena le petit garçon dans la chambre ou résidait Jolene et le mirent au lit. C'est avec une douce chanson Jolene chantant et Jaehyun à la guitare, un peu hésitant. Une version country de 'Baby Mine' emmena le petit bout dans un sommeil profond et le couple éteignit la lumière et sortit de la chambre. Jaehyun rit un peu et Jolene l'embrassa tendrement avant de rejoindre le reste du groupe dans la salle à manger.
« He's so precious. » nota Johnny
« He is. » Jolene sourit
« Are you... like... gonna adopt him ? » demanda Mark
« He has a father you know. » dit Jolene « I'm just waiting for him to get better. » dit-elle
« we're gonna miss the little guy... » dit Mark
« Is his father gonna be okay ? » demanda JohnnyÂ
« I'm counting on Morganna to not let him down. » dit Jolene
Puis on sonna à la porte et Jolene se leva pour aller ouvrir. Dans l'entrée se trouvait Morganna, avec à son bras un homme un peu morne.
« Hey... » dit Jolene doucement en emmenant le jeune homme avec elle
« Comment va-t-il ? » demanda-t-il la voix brisé
« C'est un grand garçon. Il comprends... » Jolene frotta doucement son dos « Et il attend son papa. Mais il dort là ... » dit-elle doucement
« Je peux le voir ? » demanda-t-il doucement
« Viens. » Elle prit sa main et l'emmena doucement vers la chambre ou le petit dormait à poing fermé.
« Si seulement je pouvais dormir aussi insouciant que lui. » dit-il
« Une chanson et une guitare c'est tout ce qu'il demande. » Jolene rit en refermant la porte « Essaie une infusion de camomille et de valériane. Ça peut aider avec du miel. »
« Merci Jolene. Merci pour tout ce que tu fais... » Il soupira
« De rien Kyungsoo... Hilary aurait voulut qu'on se serre les coudes. » Elle l'emmena dans la salle commune et lui servit un thé
« Il lui restait que deux semaines... » soupira-t-il « Deux semaines et elle avait finit avec l'armée. »
« Le sort à été une pute. » grogna Morganna
« Langage. » soupira Jolene
« Tout le monde n'a pas la chance d'Ian. » dit Kyungsoo fatigué
« Appa ? » couina une petite voix endormie
« Douglas... » Il se tourna et s'accroupit « Viens-là  »
Le petit bonhomme décida de piquer un sprint un peu bancale mais déterminé vers son père qui le prit dans ses bras. Jolene posa sa tête sur l'épaule de Jaehyun et sourit en voyant le père et le fils réuni.
« Tu as les yeux de ta maman tu sais ? » dit Kyungsoo en souriant
« Tata Jojo dis ça aussi... »  le petit regarda Jolene « ça veut dire... i can go with papa now ? »
« You're going home with papa yes love. » Jolene sourit
« But Uncle Ian and Uncle Jae and you, you have to come to my birthday hein oui papa ils doivent venir ? » le petit Douglas sourit
« Oui on organisera une fête. » dit Kyungsoo un peu dépassé mais souriant
« Bon courage. » dit Jaehyun doucement
« Merci. » Kyungsoo caressa les cheveux de Douglas « On va prendre tes affaires. Ton oncle Ian nous attend. » dit-il en regardant son téléphone.
« Quoi le vieux est là  ?! » dit Morganna en souriant
« Respecte ton père. » dit Jolene blasé
« Je l'appelle pour qu'il monte ! » fit Morganna Â
« ça doit être un vieux monsieur ... » s'étonna Mark doucement
« Ahah. » Kyungsoo rit un peu posant son fils au sol pour qu'il embarque contre son gré, oncle Jaehyun l'aider a faire sa valise « Ian vieux. »
« Ian vieux... » Jolene secoua la tête en riant et alla ouvrir la porte.
Une homme assez grand entra. Il était battit comme un dieu ce qui se voyait à travers sa tenue, une chemise blanche serrant ses muscles, un veston noir et un pantalon de costume noir collant à ses jambes, lui offrant un galbe des fesses pour le moins sexy. A son cou pendait une cravate défaite et sa chemise déboutonné laissa entrevoir le haut d'une pièce d'échec tatoué sur sa clavicule, ses cheveux noirs tombaient brillant et d'une façon élégante autour de son visage, il avait ce genre de visage de jeune premier, et des yeux d'un vert intense. Il aurait pu clouer n'importe qui sur place avec un seul regard. Il glissa ses mains dans ses poches avant des les sortir pour soulever le petit Douglas lui fonçant dessus.
« Hi ye wee lad » fit-il avec un très gros accent irlandais
« Uncle Ian !!! » Douglas le serrait très fort dans ses bras
« Hi dad ! » fit Morganna en embrassant sa joue, alors qu'il se penchait
« Dad ?! » s'étrangla Johnny « But he's like 20 or so. »
« 40. But thanks wee lad. S'fine knowin am' still handsome. » fit l'homme aux yeux verts.
« Holy shit. » Mark avala de travers
« Dude really ? » Johnny fixa Ian qui haussa un sourcil
« J'ai 40 ans oui. » dit-il en posant Douglas à terre « on va à la maison ? » demanda-t-il à Kyungsoo
« La mienne ou la tienne ? » demanda Kyungsoo
« La mienne. Je suis équipé pour des bambins. » dit-il
« Comment va mon petit frère ? Et ma petite sœur ? » demanda Morganna
« Leur père me rend dingue mais sinon, ils vont bien. » dit Ian en soupirant « Ton beau-père est casse couille. »
« Tu l'as épousé pour ça Papa. » nota Morganna amusée
« Ouais. » il souleva les 3 grosses valises du petit sans problèmes « Tu diras a Sören que son frère est chez moi, et qu'il va falloir son expertise et celle de Berwald chez Kyungsoo ? »
« Oui papa. » Morganna sourit « Tino est là aussi ? »
« Tino arrive demain. » dit Ian en sortant « Oublie pas Berwald et Sören. »
« J'oublierais pas. » elle sourit un peu
« Au revoir tout le mooonde !!! » fit Douglas en prenant la main de Kyungsoo « Viens appa ! »
« J'arrive... » Kyungsoo salua tout le monde avant de sortir.
Puis tout NCT fixa Morganna qui ferma la porte. Elle se tourna vers eux et haussa un sourcil.
« Quoi ? » elle arqua un sourcil
« Il a 40ans et à l'air plus jeune que moi... » marmonna Johnny
« Ian à la malédiction de l’éternel babyface. » dit Jolene en s'asseyant
« Mais il a dit son mari. » Mark fixa Morganna
« Oh oui, ma mère à disparue quand je suis née y a 24 ans laissant mon pauvre papa seul a 16 ans se démerder avec moi. » expliquait Morganna
« Il a élever Morganna à l'armée, plus tard Hillary a jointe l'alliance élevons Mona ... » Jolene sourit tristement
« Elle va me manquer. » soupira Morganna « Woody est partie trop tôt... »
« C'était son patronyme à l'armée, elle était pilote de chasse. Et c'était la très rousse maman de Douglas. » expliqua Mona « Elle a voler 8 ans avec mon père, et c'est grâce à lui qu'elle avait rencontrer Kyungsoo »
« Son mari était déjà son compagnon il y a 8 ans. » dit Jolene
« Ils sont ensemble depuis plus de v 10 ans. » nota Morganna en riant. « Et ils sont très bien ensemble. »
« Mais c'est qui ? » s'étonna Mark
-
Arrivé à la maison, Ian installa Kyungsoo et Douglas dans l'appartement au dessus du garage. C'était un trois pièces simple mais tout à fait adapter pour un bambin de 3 ans. Dans l'entrée se trouvait Yoona un peu amusée en voyant Ian poser les valises et montrer la chambre à Douglas. Elle se revoyait, elle à la place de Kyungsoo, sauf qu'elle avait son mari avec elle. Elle souriait quand Kyungsoo s'assit en soupirant.
« Le coeur d'Ian explosera un jour avec sa bonté. » dit Kyungsoo
« C'est certain. » dit Yoona en s'asseyant sur le canapé « Mais Douglas aura des copains de son âge ici. »
« J'arrive pas à croire que ton fils à déjà 7 ans. » dit Kyungsoo amusé
« Moi non plus et ma fille qui a déjà 5 ans.. » Yoona secoua la tête
« Yoona-noona ? » fit une petite fille
« Oh Yuni ? » s'étonna Yoona en se redressant
« Y a votre fils qui est tombé dans le jardin. » dit-elle un peu gêné
« Il a encore voulut faire une prise de judo a ton frère ? » demanda-t-elle
« Oui Noona » dit-elle en baissant la tête
« Et ou est Sunhee ? » demanda-t-elle
« Elle prend le thé avec Tata Joy ! » dit-elle doucement
« Yuni ? » Ian s'avança
« Papa ! » La petite sauta dans ses bras.
« On va voir ce que Yunshi à fait comme bêtise ? » dit-il en la prenant dans ses bras
« Mais Yunshi a rien fait de mal c'est juste... Suncheol.. qui a essayer de le bloquer. » dit Yuni
« Un jour il apprendra. » Yoona se leva et sortit de l'appartement
« Vous avez pas réveiller Hyoji ? » soupira Ian
« Non elle fait toujours dodo ! » Yuni sourit
« Et appa ? » il descendit dans le grand salon trouvant son mari, bras croisé, et Sveinn, le mari de Yoona dans la même posture, fixant deux petits garçons.
« Je ne suis pas fier de toi. » souffla le mari de Yoona « Combien de fois devrais-je te dire que le Judo se fait au Dojo et pas à la maison dans le jardin ou c'est dangereux ? » sa voix atteignait un zéro absolu rappelant sa suède natale.
« Désolé... papa.. ; » couina le petit Suncheol.
« Tu as de la chance que Yunshi t'as soutenu tu aurais pu te faire très mal en tombant. » Dit Sveinn « Yunho vous a déjà puni pour ça. »
« Oui papa... » Suncheol baissa la tête
« Je ne suis pas content non plus Yunshi. » souffla Yunho exaspéré. « Je vais devoir le répété aussi ? Que jouer sur les dalles de l'étang est dangereux ? Ou dois-je laisser Papa mettre un requin dans l'étang pour que tu comprennes que c'est dangereux ? »
« C'est un plan ça. » dit Ian en posant Yuni au sol
« Ian... » soupira Yunho, Ian glissa sa main dans le dos de Yunho et fixa les deux « Je vais être gentil cette fois. Vous êtes tous les deux privé de tv pendant une semaine et vous allez aider votre oncle Matthias a ranger le jardin quand il sera là demain. Ai-je été compris ? » sa voix était froide et sévère.
« Yes sir. » firent les deux petits bonhommes
« Maintenant filer dans votre chambre » soupira Sveinn
« Yes sir. » et les deux petits bouts s'en allaient
Yuni alla rejoindre la petite Sunhee dans sa chambre pour prendre le thé avec Tata Joy. Yunho sourit un peu en embrassant la joue d'Ian. L'ancien militaire sourit et fixa Yoona enlacer Sveinn, puis Kyungsoo descendit de l'appartement, tous se séparaient. Kyungsoo secoua la tête amusé.
« On dirait Junmyeon et Lola. » il soupira amusé « ça va.. c'est pas parce qu'Hillary n'est plus là que vous devez faire ça. » il s'assit calmement « Je dirais même, profitez-en plus. »
« Peut-être que cela te changera les idées... » commença Sveinn « Mais Matthias arrive demain avec Tino. Il va s'occuper du jardin. »
« Matthias. » Kyungsoo hocha la tête « Il m'a manqué oui... je pense que je pourrais l'aider et Douglas adore le jardinage. »
« Et Matt est géniale avec les petits. » nota Yoona amusée
« C'est son métier Yoona. » Sveinn rit un peu « Il est professeur de maternel. »
« J'aurais pas imaginé un hockeyeur pro retraité, prof de maternel. » dit Yunho amusé
« C'est Donghae qui va être heureux aussi. » dit Joy en entrant « Parce que Tino a dit ... que Matthias à convaincu Thor de venir avec. »
« En effet Donghae va sauter au plafond. Il sait pas fermer sa gueule sur son pivot préféré... Le pauvre Berwald a été forcé de lui traduire tous les matchs... » dit Yoona en souriant « Il a du succès d'ailleurs Berwi... »
« Apparemment Jaemin et Jeno en ont après lui. » dit Kyungsoo calmement
« Aaah il est pas sortit de l'auberge mon pauvre frangin. » dit Sveinn amusé
« J'ai hâte de récupéré mon Tino.. » soupira Joy
« ça se comprend. » dit Yoona
« Oh... pardon Kyungsoo » Joy baissa la tête
« Y a pas besoin d'être désolé. » Il haussa les épaules.. « Elle me manque oui, mais elle n'est plus là . Ma vie continue malgré tout. »
Ian hocha la tĂŞte et servit un verre a Kyungsoo.
La vie continuait.
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L'homme est occupé à creuser pour faire un béton sous son car-port et je me suis mis en tête de faire une terrasse en bois.
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Tourisme Ă Tokyo, Jour 1
Ce samedi 21 novembre on entame nos 3 jours de tourisme en douceur. Réveil 9h30, petit déjeuner à l’hôtel (on ouvre spécialement pour moi le restaurant de l’hôtel car je suis arrivé avec 1h de retard…oups) et départ à 11h le temps de se préparer, d’attendre Florian qui revient de sa fin de quarantaine et également le temps de se faire un petit planning. Au programme de ces trois jours on a décidé de diviser la carte de la ville en 3 regroupements de quartiers :
- Jour 1 : encadré en bleu, quartiers de Shibuya et Shinjuku
- Jour 2 : encadré en rouge, quartiers de Asakusa , Ueno et Akihabara
- Jour 3 : encadré en noir, quartiers de Marunouchi, Ginza et Roppongi
On part donc en métro en direction de la station de Shibuya, au sud ouest de la carte. Déjà beaucoup de choses à voir en arrivant avec le célèbre carrefour de Shibuya qui est très célèbre à cause de ses passages piétons qui traversent la route en diagonale. C’est l’une des intersections les plus traversées au monde avec des milliers de personnes qui peuvent se jeter d’un coup une fois que toutes les voitures sont arrêtées. Après l’avoir traversé nous même, on s’est posés dans un building avec un café pour regarder le spectacle d’en haut. La bonne organisation des japonais et leur respect des feu piétons rendent finalement ce spectacle très naturel !
Pour midi, une expérience que j’attendais depuis longtemps et que j’aime beaucoup faire à l’étranger : tester le Macdo! Bon en réalité je ne pense aps avoir fait le meilleur des choix en demandant osusume kudasai (vos suggestions svp) : la vendeuse m’a proposé ce qui s’est avéré être un double cheese assez classique auquel s’additionne le Big Mac. J’y retournerai car Théo est lui tombé sur un burger aux crevettes qui avait l’air bien plus intéressant !
A noter d’ailleurs qu’au Japon, cela ne dérange personne de voir quelqu’un faire dépasser son portefeuille de sa poche arrière!
Sur la place de la gare de Shibuya trône une station d’un petit Akita Inu (race de chien pour ceux qui ne connaissent pas. D’ailleurs inu veut dire “chien” en Japonais). Ce chien s’appelle Hachiko et est une figure populaire de Tokyo. Dans les années 30, ce chien attendait tous les soirs sont maitre, un professeur de l’Université de Tokyo, à la gare de Shibuya. Un jour ce dernier mourut sur son lieu de travail, et Hachiko continua à attendre son maitre tous les soirs au même endroit pendant 10 ans jusqu’à sa propre mort. Une très belle histoire qui tient très à coeur aux Tokyoïtes.
On se ballade ensuite dans des rues commerçantes pour nous diriger vers le nord au Yoyogi Koen, un grand parc très frĂ©quentĂ© par les japonais. On en a vu jouer au badminton, faire de l’éducation canine, picniquer (tous avec des nappes et mĂŞme certains avec de petites tables)... Ce parc est très apprĂ©ciĂ© Ă©galement lors de la floraison des cerisiers car le parc en est rempli!Â
A l’intérieur du parc se trouve également le plus majestueux sanctuaire shintoïste du Japon, le Meiji Jingu dédié à l’empereur Meiji (1868-1912) qui a transformé le Japon isolationniste en une nation moderne et ouverte sur le monde. L’entrée est annoncé par un énorme torii en bois de 12m de haut qui ouvre la voie à une large allée, mais que les Japonais évitent au profit d’un cortège de personnes bien rangées marchant les unes derrières les autres et de chaque côté de l’allée en fonction du sens de circulation.
Un petit peu plus loin on voit des jarres de saké et des rangées de tonneaux de vin de Bourgogne, signe de l’ouverture sur le monde du Japon à cette époque
Une petite exposition sur le centenaire du temple m’apprend que l’impérialisme au Japon était représenté au travers de chrysanthèmes : ces fleurs sont gravées en or un peu partout et l’exposition en regorge. Une fois arrivé au temple, les Japonais se lavent les mains avant de pénétrer dans l’enceinte à ciel ouvert.
A l’intérieur, plusieurs bâtisses dont la principale qui est très remarquable et typique de l’idée que je me faisait du Japon. Une photo vaut mieux que des mots :
Devant la porte principale, les Japonais s’inclinent Ă 90° Ă deux reprises, puis claquent des mains deux fois avant de s’incliner une dernière fois et repartir. n a au passage assistĂ© Ă ce qui semblait ĂŞtre une fin (ou un dĂ©but?) de cĂ©rĂ©monie de mariage Japonais vu les kimonos traditionnelsÂ
On sort ensuite du temple pour aller dans les quartiers de Harajuku et Omotesando, les “champs ElysĂ©es de Tokyo”. Bon, on en est pas lĂ , c’est globalement une grande avenue avec des arbres dans le prolongement du temple. Certains immeubles sont remarquables et architecturalement cĂ©lèbres.Â
On monte en haut de l’un d’entre eux pour arriver sur une terrasse rooftop en bois pour admirer le coucher de soleil sur la ville. Et là grosse surprise : on pense apercevoir le mont Fuji, la montagne la plus célèbre du Japon qu’on aperçoit rarement depuis la ville en raison des brumes de chaleur fréquentes. L’occasion de faire de superbes photos :
On s’approche donc du dĂ©but de la soirĂ©e Ă 17h et nous baladons dans ce quartier très animĂ©, rempli de boutique assez chocs par moment ou bien très très kawaii (mignonnes). Â
Pour la soirĂ©e, les jambes dĂ©jĂ bien lourdes on marchent encore plus vers le nord pour aller Ă Shinjuku, le quartier de la fĂŞte. Ca ressemble Ă Times Square vu toutes les lumières et l’effervescence du lieu. Mais tout ça Ă la Japonaise en ajoutant des hauts parleurs dans tous les sens et en faisant un melting pot de couleur parfois Ă la limite du pensable ! LĂ bas, beaucoup de bars et de boites de nuits mais aussi de boites de strip teases ou de maid cafĂ©s (bar oĂą on se fait servir par de charmantes japonaises, je ne vous fais pas de dessin). Bon, après une journĂ©e passĂ©e Ă visiter difficile de trouver la force de sortir, d’autant que les coins les plus visitĂ©s sont assez calmes finalement certainement Ă cause du covid. On a quand mĂŞme Ă©tĂ© alpaguĂ©s par de nombreux rabatteurs dans le quartier. Vous remarquerez d’ailleurs dans les photos du quariters : l’un des immeubles est très cĂ©lèbre pour sa statue de tĂŞte de Godzilla qui dĂ©passe d’un immeuble. Il crache mĂŞme de la fumĂ©e toutes les heures (on ne l’a malheureusement pas vu de nos propres yeux, mais on fait confiance).Â
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“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 54]
[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53] Jour 54 : Rodolphe ou l’avenir. Rodolphe, l’ancien camarade du Pôle Emploi que dépannait à l’occasion Gustave, reconverti depuis dans le conseil immobilier de standingue, Rodolphe demeurait toujours en son coquet domaine des environs de Paris. Arbres luxuriants, oiseaux frénétiques. Il fallait aimer la campagne. Il l’aimait. Elle était belle, elle était riche, elle était parcourue de petites routes sympas, d’environnements calmes et verdoyants, de situations privilégiées, d’écrins de verdure, de vues exceptionnelles, d’attractivité économique, de piscines sécurisées, de portails automatiques, de murets authentiques, de pierres du pays, de terrains arborés, de spacieuses dépendances, parsemée de biens immobiliers qui devaient rapporter un prestige facile et pas mal de thune. Cependant toute cette beauté n’était pas son terrain, ça le rendait maussade, l’herbe était verte, ok, mais pas tellement pour sa pomme. Les quelques sorties pour effectuer des achats de première nécessité n’étaient guère folichonnes et les établissements autorisés pas bien affriolants non plus ; la liste sur Gouvernement.fr ne connaissait pas d’évolution notable. Toutes les adresses un peu intéressantes qu’il avait dégottées restaient fermées. Le « donjon » de Maîtresse Léa par exemple, installé sous les toits d’ardoise au cœur de la vieille ville de T… Ou le club « Cupidon » que renfermait très librement un ancien moulin du XVIIIe dans la périphérie boisée de S… Sur la terrasse, le vieux Flaubert en poche était ouvert sur un tabouret près du transat, entre un double pastis bien frigorifié et un paquet de Tuc au romarin. Parce qu’il n’avait rien à penser d’important, et parce qu’il se voyait beau dans cette pose, Rodolphe en lisait des pages au hasard, les doigts pleins de sel, l’œil un peu vague derrière les sunglasses. La Luxure. Pourquoi donc, comme un autre homme, ne prendrais-tu pas une compagne ? L’Avarice. Une matrone soigneuse, qui ménagerait ton bien, qui rendrait propre ta maison ; l’argenterie serait claire, les buffets luisants. La Gourmandise. Dans des plats creux qu’on tient par des anneaux elle t’apporterait des tranches de viandes fumant au milieu d’une sauce épaisse. La Luxure. Elle serait à toi, à toi seul ; toujours vêtue pour les autres, elle se déshabillerait pour toi seul, vous ne craindriez personne... et tous les jours comme ça... dans votre petit lit. … L’Avarice. Oh ! Quelles insomnies ! Quels rêves ! Je ne mange pas, je ne bois pas, je ne dors plus, je trafique, je dérobe, j’assassine, et si quelqu’un veut de mon sang, qu’il l’achète ! J’ai retiré du trou mon argent, je l’ai caché dans mon matelas ; comme j’avais peur, je l’ai mis dans ma poche ; comme ma poche n’était pas sûre, je l’ai placé dans mon linge, je le sens là qui me touche la peau ; je voudrais l’y coudre, le faire entrer dans ma chair, l’encoffrer dans mon cœur, être argent moi-même ! Multiple comme l’action, je voudrais vivre en tout pour rapporter de chaque chose quelque chose. Que n’ai-je des facultés aspiratoires, afin de pomper à moi la substance et d’extraire de l’absolu même une valeur numérique ! Et ainsi de suite. Rodolphe n’y comprenait pas grand-chose, mais ça l’impressionnait quand même. Et puis ça remontait le moral de voir que lui, comparé à ça, il ne s’en sortait pas si mal côté placements et plans d’épargne. Il n’avait pas repris ses voyages à Paris pour les négo immobilières, mais, passé les deux dernières ventes du mois de mars, le patron de l’agence avait commencé à s’impatienter et mis à disposition de chacun de ses gagneurs de formidables joujoux pouvant transformer n’importe quel espace en un jumeau digital stupéfiant et immersif ; rien de tel pour de superbes visites virtuelles à 360°. Bien sûr, ce n’était plus comme en janvier ou février, quand 2020 s’annonçait comme l’année de tous les records : des appartements qui se bazardaient en une heure ! des fous furieux qui prenaient d’assaut le standard dès la mise en ligne d’une annonce ! des notaires à genoux de fatigue tellement les gens achetaient, vendaient, hypothéquaient, levaient des clauses suspensives !... Là , c’était plutôt le calme plat, mais Rodolphe ne craignait pas trop « l’après-11 mai », comme on disait désormais. Le credo restait exactement le même qu’avant : Paris était toujours une des villes les plus chères du monde, mais présentait encore de belles marges de progression sur le plan international. C’était jouissif… Au Panthéon, on se logeait à peine pour des vingt mille euros le mètre carré ! et la patronne de Paris, sainte Geneviève, depuis sa montagne, ferait le nécessaire pour que d’autres arrondissements suivent l’exemple – les grands hommes lui en seraient reconnaissants. En tout cas les plus gros d’entre eux… Il y avait bien sûr un risque de casse pour les petites agences de quartier et les indépendants. Tant mieux ! Car pour Rodolphe et son immobilier de classe américaine, pas de crainte à avoir ! et on récupérerait les dossiers dans le moyenne gamme pour se remettre vraiment en selle. D’ailleurs, les internationaux finiraient par revenir, et puis il y avait encore assez de Français pour se jeter sur les valeurs refuges, des qui payaient comptant ou qui empruntaient à des banques volant aux pauvres pour prêter aux riches… Ce qui chagrinait plus Rodolphe, c’était le manque de proximité avec la clientèle. Evelyne s’était cantonnée en Irlande. Il avait reçu aussi un mot de la femme du chirurgien de province qui venait régulièrement acheter des studios et des chambres de bonne de rapport : elle monterait à Paris dès la mi-mai, mais son message dénotait une froideur nouvelle : elle voulait s’assurer qu’on avait « élaboré un protocole rigoureux ». Du reste, c’était le cas ; le boss avait dit : le client ne fout pas un arpion à l’agence ! Rendez-vous à l’adresse. Visite avec masque, gants, tout le bastringue  ! En fin de visite, vous me récurez les poignées de portes à la javel , et vous serrez pas les paluches. – Ah ! les oaristys ! les premières maîtresses ! Ah les culbutes avec des femmes du monde ou de riches héritières dans un placard à balai, c’était à l’eau tout ça, à l’eau… Rodolphe en reversa justement de la plus fraîche dans son pastis. Il porta le glass à son front, puis à ses lèvres, claquant de la langue, il ouvrit un peu mieux le col de sa liquette Ralph Lauren, allongea les guiboles, repartit dans Flaubert. Elle serait à toi, à toi seul ; toujours vêtue pour les autres, elle se déshabillerait pour toi seul, vous ne craindriez personne... et tous les jours comme ça... dans votre petit lit… Tous les jours ? petit lit ? Il se dit que ce n’était pas à cette sauce que lui envisagerait de sitôt les choses. (À suivre).
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Les rooftops incontournables de Paris
Le soleil et les chaleurs estivales marquent le grand retour des rooftops. Ces temples instagrammables, qui sentent bon l’été, font la part belle aux végétaux, aux décors soignés et aux ambiances légères. La ville lumière voit fleurir chaque année de nouveaux concepts à l’arrivée des beaux jours. Alors comment s’y retrouver dans cette jungle urbaine à toits ouverts ? Voici une sélection des rooftops incontournables, un voyage éclair au travers des différents concepts de la capitale. LE PERCHOIR, les terrasses qui prennent de la hauteur La crise sanitaire n’a pas abattu Le Perchoir, spécialiste des terrasses à ciel ouvert. Le groupe parisien propose désormais quatre spots à découvrir dans le tout Paris, de la Gare de l’Est au Marais, en passant par Ménilmontant et la Porte de Versailles. Chaque rooftop dispose de son propre ADN : quand le Perchoir de l’Est offre une ambiance industrielle et romantique, le Marais propose un univers plutôt champêtre sur fond de Tour Eiffel. Ménilmontant voit les choses en grand avec son monde végétal et sa vue sur le Sacré-Coeur, tandis que l’adresse à Porte de Versailles mise sur un concept unique : une ferme urbaine en toiture. Et la plus grande du monde, de surcroît ! Enfin du côté des cartes, le choix est vaste avec de nombreux menus complets, cocktails, ou assiettes à partager. PERRUCHE, le rooftop qui donne des ailes Niché au 9ème étage du Printemps de l’homme, Perruche est probablement le rooftop du chic à la Parisienne : nappes blanches, mobilier en fer et en bois, végétation exotique… L'ensemble donnant sur une vue à couper le souffle : le tout Paris rien que pour vous ! Une véritable oasis végétale dont la carte du restaurant est signée par deux duos qui ont le vent en poupe. Alexandre Giesbert et Julien Ross associés à Laurent de Gourcuff et Gilles Malafosse. Ce sont des plats aux saveurs méditerranéennes qui sont proposés. Par exemple : Pizzeta à la truffe, burrata des Pouilles, entrecôte de veau Milanaise, ou encore crémeux d’artichaut… C’est à Nicolas de Soto, bartender influent, que l’on doit la carte des cocktails. Des créations qui s’articulent autour de l’exotisme et qui proposent des revisites contemporaines de grands incontournables comme le Piña Colada ou encore le Rhum. A lire aussi : aluminium fascia CRÉATURE, l’atypique végétal Ce rooftop, impulsé par le Chef en vogue Julien Sebbag, est le résultat d’une synergie entre ambiance, expérience et saveurs…. Atmosphère californienne, objets chinés, vinyles, toiles de jute, végétation luxuriante… Au-delà d’une aura à l’énergie singulière et d’une vue sur toute la capitale, il faut se pencher du côté de la carte pour comprendre pourquoi Créature est incontournable. Des plats 100% végétariens, qui subliment le végétal avec des saveurs aussi goûteuses que gourmandes. Ainsi, ce sont des assiettes colorées et estivales qui se déclinent de l’entrée au dessert. Vous trouverez, entre autres, des aubergines rôties au four ou des foccacias de courgette ! Par ailleurs les amateurs de cocktails se régaleront avec des créations où les herbes et les saveurs fruitées sont à l’honneur ! Donc que vous soyez plutôt ambiance industrielle, bucolique ou rétro, et que vous souhaitez prendre de la hauteur, assurez-vous de réserver avant de pouvoir profiter de ces lieux convoités et dans le respect des règles sanitaires. Car une chose est sûre, cette année encore les rooftops seront les destinations branchées des urbains qui souhaitent profiter d’un vent de liberté bien mérité. À lire également : Déconfinement : où est Paris ? Read the full article
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Presque toutes les maisons sont moisies. Nous allons vous montrer comment le reconnaître et le supprimer. La moisissure est un désagrément majeur. Il noircit les lignes de coulis dans votre douche, ternit les cloisons sèches, apparaît sous forme de taches noires sur les parements, assombrit les terrasses, pousse et décompose le bois humide partout. Pire encore, cela peut être mauvais pour votre santé.
Nous verrons comment se débarrasser de la moisissure, comment éliminer la moisissure noire, comment tuer la moisissure sur le bois et ce qui élimine la moisissure en quelques actions.
Certaines personnes pourraient être tentées d'ignorer la présence de moisissures qui poussent derrière les murs parce que ce qui manque de vue est hors de l'esprit. Cela est très dangereux en raison du fait que la moisissure cachée dans vos murs est aussi risquée et encore plus risquée que celle que vous pouvez voir à la surface.
La moisissure et la moisissure, en particulier la moisissure noire, sont très dangereuses pour votre santé. La moisissure est la principale raison de la majorité des réactions allergiques et de certaines affections respiratoires comme l'asthme. Lorsqu'ils sont exposés à la moisissure, les voies respiratoires réagissent en produisant extrêmement plus de mucus qui affecte la respiration correcte chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli.
Le Plus Important Principe de Réfléchir Au Problème De La Moisissure Dans Les Murs
Cela vous coûte tellement d'argent inutile pour le traitement et les médicaments. La moisissure qui pousse derrière les murs endommage les murs, le bois et les poutres en raison de la décomposition. Lorsque le moule passe inaperçu pendant un certain temps, il commence à se nourrir du bois en le faisant pourrir, et à la fin, la structure s'effondre.
Cela vous coûte de l'argent inutile car vous devrez continuer à réparer et à peindre les murs. Parce que la croissance des moisissures est le résultat de l'existence d'humidité, cela pourrait servir de terrain de reproduction idéal pour les microbes qui mangent également le bois, ce qui nuit à toute la structure. La moisissure ne peut exister sans humidité et chaleur.
Cela signifie que la chaleur de la maison est perdue à un rythme accéléré. Vous constatez que vous utilisez votre système de chauffage plus souvent que vous. L'unité de chauffage est également conçue pour chauffer si fort pour obtenir les niveaux de température nécessaires dans la maison. Au final, cela équivaut à une augmentation inhabituelle des dépenses énergétiques.
Puisqu'il n'a aucun endroit où aller ou s'installer, il reste dans la cloison sèche, provoquant des cloques et des bulles qui finissent par faire tomber la peinture. De même, le moule provoque des taches sur les murs, les rendant indésirables. Pour ce facteur, vous constatez que vous continuez à repeindre les murs régulièrement.
Ce Qui Est Fascinant Pour Employer Un Expert De La Moisissure Dans Les Murs
La croissance de moisissure derrière vos murs suggère que vous avez tendance à dépenser plus d'argent en raison des dépenses d'entretien fréquentes. Cela se produit lorsque la moisissure et les microbes consomment sur le bois et les cloisons sèches à travers la pourriture, de sorte que vous continuez à fixer ou à changer la structure ou à tirer en raison d'un emplacement particulier. Dans certains cas, l'entretien peut être dû à une mauvaise configuration, mais en raison du fait que ces erreurs ne se produisent presque jamais, vous souhaitez vérifier derrière les murs les problèmes de moisissure sous-jacents.
La croissance de moisissure derrière vos murs contribue à faire baisser la valeur de votre maison ainsi que votre niveau de vie. Peu importe l'élégance et l'apparence de votre maison, mais s'il y a un problème de moisissure derrière les murs, un acheteur en prospection peut sembler que vous avez tenté de le leur cacher.
Même s'ils le font, ils utiliseront cela comme un pouvoir de négociation pour vous offrir moins d'argent que votre taux demandé. Cela est dû au fait que personne ne souhaiterait acheter une propriété qui lui poserait des problèmes structurels dans le futur. La première étape pour gérer les problèmes de moisissure derrière vos murs consiste à identifier la source d'humidité, qui est la principale cause de croissance de moisissure.
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Après avoir fait cela, corrigez toutes ces sources d'humidité, puis utilisez un service professionnel de démoulage pour résoudre le problème, car les zones derrière les murs sont complexes.
  A propos de Trier Parmi Un Choix D'experts De La Moisissure Dans Les Murs
Le Guide Definitif Pour Contacter Un Expert Contre La Moisissure Dans Les Murs
C'est un problème trop courant dans toutes les zones de la maison où les niveaux d'humidité ont tendance à être élevés: des taches de moisissure poussant sur les murs ou le plafond. Bien que la moisissure puisse se développer n'importe où le long d'un mur, elle est le plus souvent découverte soit haut près du plafond, soit bas près du plancher, soit se faufilant le long des bords des moulures ou des plinthes.
Si les conditions transpirent, que la ventilation est mauvaise et que les températures sont élevées, les spores de moisissures en suspension dans l'air, imperceptibles, découvertes essentiellement toutes s'installent et se développent. Le type de moisissure le plus redouté est Stachybotrys chartarum, généralement appelé moisissure noire, qui peut provoquer une irritation respiratoire persistante, des maux de tête et une fatigue incessante (Moisissure dans les murs). Selon les Centers for Disease Control and Evitement, la moisissure noire nécessite une humidité continue pour la croissance, pas simplement une humidité intermittente de la douche, il est donc plus probable que votre problème soit causé par une autre gamme de moisissures moins nocives.
Si la moisissure se développe dans un endroit qui reste humide, il est préférable de parler à un spécialiste de l'élimination des moisissures pour des services de nettoyage professionnels. Le bon côté est que vous devriez être en mesure d'éliminer vous-même la plupart des problèmes de moisissure quotidiens. Continuez à vérifier pour apprendre des méthodes pour guérir le moule commun.
Ouvrez une fenêtre et / ou laissez tourner un ventilateur pendant que vous travaillez; les vapeurs d'eau de Javel sont indésirables et peuvent être gênantes pour les poumons. Laissez l'eau de Javel pénétrer dans le moule sur les murs pendant quelques minutes, puis utilisez une brosse à récurer pour enlever les taches. Si les taches sont complètes ou profondes, vous devrez peut-être répéter le processus pour éliminer toute décoloration.
8 Techniques Simples Pour Trier Parmi Un Choix D'experts De La Moisissure Dans Les Murs
Cela suggère que le problème est le plus susceptible de se répéter, dans certains cas en quelques jours. Pour éliminer la moisissure sous la surface, vaporisez simplement du vinaigre blanc pur sur l'emplacement affecté et laissez-le sécher. Ne vous inquiétez pas de l'odeur; l'odeur se dissipera lorsque le vinaigre sera complètement sec. Dès que vous vous êtes débarrassé de toutes les moisissures sur les murs, gardez ces surfaces en excellent état grâce à quelques mesures préventives: essuyez immédiatement les flaques d'eau ou les déversements - Moisissure dans les murs.
Faites attention aux fuites de plomberie. Réparez-les au mieux, la plupart des types de moisissures n'ont besoin que d'environ 24 à 2 jours d'humidité avant que les spores ne commencent à se multiplier, et la moisissure noire devient plus probable, plus les fuites d'eau sont laissées sans surveillance. Étalez les serviettes humides pour qu'elles sèchent rapidement.
Placez un contenant de déshydratant absorbant l'humidité, qui contient généralement du gel de silice ou du sel dans un coin de votre salle de bain, ou utilisez un déshumidificateur si vous résidez dans un climat particulièrement humide. Raclette des parois de douche et des portes en verre après chaque utilisation pour aider à éliminer l'humidité qui motive le développement de moisissures sur vos murs et éviter également l'accumulation désagréable d'eau dure et d'écume de savon.
Le Point Sur DĂ©couvrir La Moisissure Dans Les Murs
Nettoyez la salle de bain chaque semaine avec votre produit désinfectant préféré, que ce soit de l'eau de Javel, du vinaigre ou un nettoyant professionnel, et n'oubliez pas de frotter sous les bouteilles de shampoing et autres articles de douche où les spores de moisissure ont tendance à rester. Moisissure dans les murs.
La Meilleure Strategie A Utiliser Pour S'informer Des Normes De La Moisissure Dans Les Murs
La moisissure est le visiteur indésirable de chaque propriétaire. Et dans certains cas, malgré tous vos efforts pour garder votre maison propre et sèche, vous serez peut-être étonné de voir de la moisissure noire sur les murs, les plafonds et d'autres surfaces de votre maison. Le seul terme «moisissure noire» suffit à vous faire grincer des dents. Eh bien, vous devez le faire, car il s'agit de l'un des types de moisissures les plus dangereux à l'intérieur des murs, qui sont trop courants dans de nombreux ménages.
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L’hôtel particulier (4)
Chapitre 4Â : La chambre verte
-         Tu es certain de ne pas avoir la clé ?
-         Non, on ne me l’a pas donné, répondis-je.
-         C’est peut-être fermé depuis trop longtemps, affirma Léo.
-         A ma première visite, c’était ouvert. Je suis même rentré.
-         Et ils n’auraient pas gardé la clé ?
-         Le clerc de notaire m’a précisé avoir bien tout donné.
-         C’est peut-être coincé finalement, pensa Léo.
Léopold approcha la tête et vérifia que le pêne était enfoncé dans la gâche. Il appuya de nouveau sur la poignée qui n’ouvrit rien.
-         C’est quand même bizarre. Quelqu’un a forcément fermé à clé.
Soudain, des bruits de pas nous firent sursauter. La veille, Léopold avait à son tour entendu des enfants courir. Mais cette fois-ci, il s’agissait de Tatiana. Son short serré mettant en valeur son sublime cul fit rougir mon pote. Toutefois, il haussa les épaules en signe d’impuissance face à la porte du troisième étage.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Il ne reste plus que le pied de biche, affirma-t-il.
Je m’apprêtais à descendre lorsqu’il nous apostropha. Une étrange clé reposait sur le sol. Elle se cachait sous une couche de poussière, preuve qu’elle n’a pas été utilisée depuis des décennies. Léo récupéra donc la clé et après l’avoir essuyée avec un mouchoir en papier, il l’enfonça dans la serrure avant d’ouvrir la porte tout en affichant un large sourire.
Le grenier ne semblait pas avoir changé depuis ma visite. Il s’agissait d’une énorme pièce faisant tout le bâtiment et séparée par quelques fragiles cloisons. Nous admirâmes les poutres apparentes sous la toiture. Un nid abandonné reposait juste en dessous de quelques tuiles espacées par le vent. Mes amis furent surpris de constater son état magnifique. D’habitude, les toits non entretenus tombent en ruine.
Eclairés par la lumière qui traversait la toiture, nous marchâmes dans un dédale de couloir en se demandant pourquoi on trouvait autant de séparations. Des fils de toiles d’araignée se collaient sur notre passage, nous obligeant souvent à s’arrêter afin de les retirer tellement leur présence sur notre visage et nos cheveux irritait nos sens.
Soudain Tatiana eut un haut de cœur. Je tournai la tête pour en connaitre la raison. Une corneille momifiée reposait sur un tas de fientes. Dégouté par cette sombre vision, nous continuâmes d’explorer le grenier. Il n’y avait rien d’intéressant, ni meuble ni malle oubliée. C’était juste une salle immense avec des pans de mur.
-         C’est quoi cette porte ?
Face à nous, se dressait une porte que je n’avais pas remarquée la première fois. En fait, elle était trop éloignée de l’entrée pour être visible. Je tournai la poignée et surprise ! La porte n’était pas fermée, elle s’ouvrit difficilement dans un grincement lugubre. Lorsque je passai la tête pour voir l’intérieur, je restai stupéfait ; c’était une chambre.
Nous pénétrâmes dans la pièce, surpris de ne pas découvrir de poussière ni sur les murs au papier-peint vert ni sur le parquet en bois. D’ailleurs, Léo signala sentir la cire tellement il brillait. Il y avait suffisamment de place pour loger deux personnes. Je scrutai du regard cette chambre étrange à l’apparence de maison de poupée. Une porte-fenêtre donnait sur un balcon, seulement, je n’avais jamais remarqué de balcon autour de la maison. Nous fouillâmes dans les meubles. L’armoire, la commode contenait du linge, quelques vêtements en très bon état mais très ancien. On pouvait dire qu’on avait affaire à des costumes de spectacle ou d’un film des années trente.
-         Le vieux qui habitait ici connaissait cette chambre ? demanda Léo.
Je ne répondis pas continuant de fouiller.
-Â Â Â Â Â Â Â Â Â Donc, il y a dix-sept chambres dans ta petite maison, affirma Tatiana.
Son expression sans équivoque indiquait qu’elle était tentée de toutes les essayer en y faisant quelques galipettes crapuleuses. Je relevai les sourcils, histoire de lui dire qu’on avait de quoi s’amuser.
Tatiana s’approcha du lit recouvert d’une élégante couverture. Elle appuya les mains sur le matelas avant d’annoncer qu’il était encore ferme et presque neuf. Tout à coup, un cri nous fit tressaillir. Ma copine recula en hurlant, Léo s’apprêta à fuir ; en même temps, mon cœur s’emballa subitement. Le lit venait de bouger !
Nous surveillâmes la bosse qui glissait sous la couverture. La chose apparue en quelques secondes, s’avança doucement vers les oreillers dont la taie semblait neuve. Je retins ma respiration me demandant quoi faire. De quel monstre s’agissait-il ? Le bord du couvre-lit se releva laissant sortir un chat noir ; l’animal aux yeux jaunes nous regarda avant de cracher et de courir en direction de la sortie.
Tatiana montra un visage de stupéfaction. En effet, elle se demanda comment ce chat pouvait être entré et comment avait-il survécu sans boire ni manger car il n’y avait rien qui signalait la présence d’un animal domestique dans la chambre ; Il n’avait pas de litière encore moins de bol ou de soucoupe. Je voulus le rattraper, seulement, la bête était déjà partie.
Dès lors, j’approchai de la porte-fenêtre. Un brouillard anormalement épais dominait le paysage si bien que je ne pusse voir au-delà . Cependant, je remarquai qu’il s’agissait bien d’un grand balcon et non une terrasse. J’essayai d’ouvrir la porte-fenêtre, en vain. Celle-ci bloquait pour je ne sais quelle raison. Je repris donc ma fouille dans cette chambre à l’apparence magnifique.
Une étrange magie régnait dans l’atmosphère. Petit-à -petit, je me sentis comme émerveillé par la décoration florale. Pourtant, il n’y avait de fleurs que sur le papier-peint vert. C’était quelques roses rouges et blanches. Des dessins d’oiseaux donnèrent l’illusion d’être dans un jardin. Je marchai vers le lit afin de m’assoir quelques secondes car je me sentis brusquement troublé au point de tituber légèrement. Tatiana était allongée sur le lit tandis que Léo récitait un poème long et lent. Il dansait langoureusement comme s’il cherchait à draguer ma copine. Ce n’était pas son habitude d’autant qu’ils se connaissent bien et ont toujours été de très proches amis.
Je ne réagis pas de suite aux avances de Léo. Il retira son T-shirt exposant un torse bien fait. Tatiana le regardait avec un air malicieux. Sa langue humecta sa lèvre supérieure, de même, elle commença à laisser glisser ses doigts dans le sillon entre ses seins. Pendant ce temps, j’observai, attendri par cette scène en me disant qu’ils feraient un joli couple.
Soudain Tatiana se releva, elle sortit de la chambre précipitamment et s’arrêta une fois la porte franchie. Nous la regardâmes un peu effaré par sa course spontanée puis, nous la rejoignîmes. De retour dans le grenier, je n’avais plus dans les narines cet étrange parfum de fleurs. Je retrouvai une meilleure santé. Nous restâmes un peu tout en observant la porte ouverte avant de commencer à se poser des questions. Léo suspecta un gaz certainement provoqué avec le contact de l’air lorsqu’on avait ouvert la porte.
-         Mais et le chat ? interrogea Tatiana. D’ailleurs, il est passé ou ?
Nous ne trouvâmes pas l’animal dans le grenier, nous devinâmes qu’il était descendu, peut-être sorti dans le parc car j’avais laissé les fenêtres ouvertes afin de créer un courant d’air et d’atténuer l’odeur de peinture dans mes quartiers habitables. Durant le retour entre les cloisons, nous découvrîmes un second oiseau mort. Celui-ci était mort récemment.
Une fois au ré-de chaussé, je sortis de suite pour faire le tour de la maison. Je cherchai le balcon. Je fis le tour deux fois sans rien trouver pouvant indiquer où situer la chambre. De même, je réalisai qu’il y avait un soleil magnifique dans le ciel…. pas un nuage…alors où était passé le brouillard que je vis par la porte-fenêtre ?
Alex@r60 – janvier 2021
Photo: attic room par Henry Davis Sleeper (antiquaire américain, 1878-1934)
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