#canapé en cuir
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tundereforce · 1 year ago
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Contemporary Family Room - Family Room Example of a large trendy open concept light wood floor family room library design with white walls and no tv
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brainfatigue · 1 year ago
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Industrial Family Room - Music Room Family room: mid-sized industrial open concept room with light wood floor and a music area but no fireplace.
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cricxuss · 1 month ago
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♥ LE DÉSIR DE L'ÉROS OBSERVÉ
" Guetter les moindres signes et signaux, même les plus infinitésimaux, visuels et sensoriels, qui attestent d'un désir mais que l'on tâche de contrôler, de ne pas montrer ou de museler... "
... Elle, elle affûtait mes sens pire qu'un couteau à la pointe toujours effilée. Elle me phagocytait et pour n'enfiler que des métaphores, elle me filait la trique, la gaule et tout ce que vous voudrez comme nulle autre avant elle et plus qu'aucune autre après elle...
... J'avais toujours le dard en feu, j'en aurai presque explosé : rien qu'à la regarder
.
Ce jour là, alors même que je l'observais sans la lâcher des yeux, et qu'elle posait délica-te-ment la veste que je venais de lui donner, je venais juste d'arriver, j'ai soudain vu la pointe de son sein gauche soudain s'ériger et mettre sous tension le caraco qu'elle portait à même sa peau, voluptueuse et nue...
.
Ce qui a motivé, dîtes-vous, cette réaction-réflexe animale et biologique et cet afflux sanguin dans cette partie de son corps ?
- Ô, elle n'a eu, et presque au ralenti, je m'en souviens, elle en a même soupiré, elle n'a eu qu'à simplement lisser de la paume de sa main, le col de ma veste en lin, en la posant sur le bel à-côté de cuir ce si beau canapé...
.
Toucher de main, veste de lin, téton...
Moi, je n'y étais pour rien...
Mais l'image, la représentation qu'elle ne manqua pas d'avoir, de ce qui allait s'ensuivre et qui allait droit à son corps et s'y communiquait, cette seule image qui n'appartenait qu'à sa chimie, qu'à sa magie, avait suffi à l'enflammer....
Elle était vibratoire. Vibratoire et sans cuirasse... Tout s'engouffrait, se faufilait en elle...
Un rien ou une chose, un regard dérobé, une main qui se pose, un soupir, un sourire à peine esquissé et elle pulsait.
I
nsurpassable en la matière, son corps, jusque dans les fibres les plus absconses de son âme, pulsait l'amour et irradiait, irradiait le Désir....
------- . -------
@ DB / Divya Bis ©
* Éveilleuse de Sensorialité
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l-works · 9 months ago
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Séjour et Cuisine - T3 [Partie 3 / 3]
Mobilier utilisé : - Fauteuil en Cuir "California", par Kare Design - Canapé "Beryl", par Zago - Meuble TV "Wayne", chez Maison du Monde - Tapis "Hania", chez Maison du Monde - Lampadaire Industriel "Nilo", chez Maison du Monde - Lampadaire "Misuto", chez AM PM - Tables Basses Gigognes "Avril", chez Maison du Monde - Bout de Canapé "Walford", chez la Redoute Intérieurs - Coffre en Rotin "Clare", chez Made.com [RIP] - Etagères en Métal Noir "Maxine", chez Made.com [RIP] - Petit Meuble Noir "Ashton", chez Maison du Monde - Petite Lampe "Olney", chez Made.com [RIP] - Peinture Asiatique, chez Etsy - Suspension Bambou Fogo, chez Vraiment Beau - Table Ronde "Irina", par Artecosy - Chaises "Mava", par Puntmobles - Bibliothèque en Epicéa, par Interior's - Suspension en Cuisine "Lincoln Globe Lantern", par Vaughan - Papier Peint "Temple Grey", par Graham Brown
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sh0esuke · 1 year ago
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" Couldn't Move On And Forget About You "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Cela faisait bientôt un an que Jason avait disparu. Il était mort. Il était mort depuis bientôt un an et j'avais enfin réussi à aller de l'avant, j'avais tourné la page, il n'était plus que le cauchemar qui hantait mes nuits lorsque je fermais mes yeux. Et cette journée était supposée être parfaite. Mais je ne comprenais pas, je n'arrivais pas à comprendre pourquoi je le revoyais. Cette fois-ci, il était bel et bien réel.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : exes to lovers, arme à feu présente, hurt/comfort
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟖𝟒𝟎
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Une fraîcheur mortelle régnait dans l'appartement. Elle en était glaciale. L'obscurité dans laquelle étaient plongées toutes les pièces du lieu n'aidait pas. Le tout était peu accueillant, presque menaçant. Tout ce noir installé dans les quatre recoins du lieu se traduisait par un mauvais présage, tel un danger imminent incapable à repousser, implanté ici et là, prêt à tout détruire sur son passage et à tout entraîner dans sa chute. Seules les lumières de la ville parvenaient un tant soit peu à éclairer le tout, que ce soit par des hélicoptères, des panneaux publicitaires sur d'immenses buildings ou les phares de voitures. Elles étaient projetées sur les murs du gigantesque salon ᅳles baies vitrées non couvertes par les épais et lourds rideaux, laissant donc tout type de lumière y pénétrerᅳ ainsi que sur le côté de plusieurs meubles. Ce ne fut alors, qu'avec ces maigres lueurs, que la jeune femme put se repérer dans le lieu, et éviter de percuter, et briser, ses précieux biens.
Elle passait entre le canapé d'un cuir de couleur ensanglanté et les tabourets rangés devant le plan de travail de la cuisine ᅳouverte, d'un style américainᅳ. Elle manquait de heurter un vase Chinois, à cause des imposants bords de sa robe, malgré le fait qu'elle en tenait déjà une épaisse quantité dans ses pauvres mains tremblantes. Le vase tremblait, tournait sur lui-même, et au moment même où il manqua de s'effondrer au sol, il fut saisi par la jolie paire de mains de la demoiselle. Celles-ci recouvertes d'une époustouflante paire de gants blanc en dentelle.
« Merde, désolée. » elle articula difficilement, entre deux sanglots et avec le nez bouché.
Elle reposait l'objet à sa place, et continuait sa marche en direction du centre du salon. Elle forçait sa traîne à suivre le pas, sur ses immenses talons aiguilles ouverts sur ses orteils et la vue troublée par son voile rabattu sur les traits tiraillés de son sublime visage, ainsi que par ses larmes. Elle avait les lèvres qui tremblaient, les joues tachées par deux lignes noirâtre, partant de ses cils jusqu'à sa mâchoire. Son mascaras avait été incapable de survivre à cette journée, tout comme elle. Et un mal de crâne lui martelait le cerveau, d'une violence criminelle.
La jeune femme déposait sa pochette d'un cuir blanchâtre sur une commode boisée proche de la grande baie vitrée dans le salon. Rapidement, elle y plongea ses doigts et en extirpait son cellulaire. De ses fins doigts habillés, elle débloqua l'écran de verrouillage et sélectionna l'icône "message" parmi toutes ses applications. Elle était celle qui contenait le plus de notifications, une bonne centaine de messages avaient été reçu dans le petit objet, provenant non seulement de sa famille, mais aussi de ses amis les plus proches, jusqu'à des collègues et vielles connaissances. La demoiselle remarquait immédiatement le numéro d'un contact en particulier, qui attirait son attention. Dick Grayson. La conversation entre elle et le jeune homme se trouvait en première place, signe qu'il était le dernier à avoir pris le temps de lui écrire. Dick lui avait envoyé un message il y avait une demie-heure, depuis le début de soirée; il en avait envoyé une vingtaine.
La jeune femme soupira. Elle faisait rapidement passer son voile en dentelle au dessus de sa tête, dévoilant ainsi les traits somptueux de son visage tachés par un maquillage ruiné par ses larmes. Elle cliqua sur sa conversation avec le noiraud de son pouce, poussant au même moment un soupir hésitant. Son cœur s'emballait légèrement alors qu'elle sentait soudainement un poids s'accrochant à ses épaules. Les remords s'emparaient enfin d'elle.
« Je vais passer à ton appartement. » était-il écrit. « J'ai juste besoin de savoir que tu vas bien. Tout le monde est inquiet pour toi. »
La jeune femme essuyait grossièrement une flopée de grosses larmes à l'aide de sa paume de main. Elle avait les yeux ronds comme des billes, trempés exagérément et la bouche tordue en une moue poignante.
« J'ai tout gâché. Je suis désolée. » répondit-elle au garçon.
Du tac au tac, Grayson lui avait envoyé un message. Le petit bruit signalant l'arrivée d'une notification prenait de surprise la jeune femme, elle en hoquetait et en sursautait bêtement.
« Tu as fait ce que tu jugeais le mieux pour toi, tu n'as pas à te sentir mal pour ça. »
« Je n'arrive pas à l'oublier. » elle écrivait en retour. « Je ne peux pas en épouser un autre que lui. Je ne peux pas en aimer un autre que lui. »
Dick ne répondait pas. Il restait muet, incapable de taper une quelconque réponse ; la demoiselle le compris immédiatement, voilà pourquoi elle quittait brusquement la conversation et fermait les yeux. Elle serra son cellulaire entre ses doigts, elle le fit violemment, le corps secoué par des sanglots douloureux.
Lorsqu'elle rouvrit finalement les yeux, ce fut à cause du bruit d'une nouvelle notification. Elle avait attiré son attention. La jeune femme passa alors de nouveau la paume de sa main sur son visage ᅳle gant était désormais noirᅳ et retira le reste des larmes ayant perlé sur les traits torturés de son faciès. Ensuite, elle regarda le nom du contact qui lui avait écrit ᅳcar ce n'était pas Grayson. Wayne. C'était Bruce Wayne. Il lui avait envoyé plusieurs messages, chose étrange venant du milliardaire qui avait pourtant la réputation d'être aussi froid que la glace, aussi bavard qu'un mur de briques et méprisant qu'une brute. Ses larmes noirâtres retombaient sur le décolleté de sa robe de mariée et la tachait sans merci. Elle ne pouvait plus s'arrêter de pleurer, peu importait la conviction qu'elle y mettait, la force qu'elle insufflait en elle. Toutefois, elle rassembla la dernière once de courage présente dans ses veines, et cliqua sur le message du milliardaire.
« Passe au manoir dès que tu as besoin de quoi que ce soit. Tu seras toujours la bienvenue. »
La jeune femme émit un violent gémissement. Elle sentait sa gorge être prise de tremblements et, en réponse, elle plaqua violemment l'écran de son téléphone portable contre la surface boisée de la commode. Incapable de quitter la conversation ᅳde peur de s'attirer les foudres de Bruceᅳ et tout autant de lui répondre ᅳelle avait bien trop honte, et était bien trop énervée contre luiᅳ elle avait alors préféré fuir.
Elle se reculait, imposait une certaine distance entre son cellulaire et elle puis, soudainement, arracha son voile ainsi que le collier de perles laissé à choir proche de sa gorge. Les boules blanchâtre giclaient dans tous les sens, percutant le sol, allant se réfugier en dessous du canapé, de la commode, auprès de la baie vitrée, voire d'une lampe éteinte à quelques mètres de là. Tandis que le voile, lui, s'affaissait majestueusement au sol, sur la traîne de sa robe de mariée. Toutefois, elle ne lui laissa pas le temps de se reposer, car elle le dégageait d'un coup sec de son pied, préférant le voir au sol, contre la surface du tapis, plutôt que sur son vêtement traditionnel. Elle le toisa avec colère et menaça de le piétiner tant sa vue l'importunait. Lorsqu'elle relevait son visage en direction de l'immense salon, observant la porte menant à sa chambre à coucher, la salle de bain, son bureau, et la cuisine, elle sentit soudainement l'atmosphère se faire plus lourde. Quelque chose flottait dans l'air, enfoui dans l'obscurité qui l'avait entourée depuis le début, mais à laquelle elle n'avait pas su donner assez d'importance. Elle étouffait, haletait, transpirait à grosse gouttes, cela la rendit davantage nerveuse.
Après un instant, là où elle s'était raclée la gorge, la jeune femme déposa la paume de sa main contre sa poitrine et parla d'une voix terriblement hésitante. Elle papillonnait des yeux, avec la désagréable sensation d'être observée de tous les côtés, sous tous les angles.
« Il y a quelqu'un ? »
Un sentiment de peur se frayait en elle, mêlé à la peur et la tristesse. Elle en avait les tripes retournées et le cœur battant à vive allure. Il tambourinait fort contre sa poitrine, le bruit allant même jusqu'à se répercuter dans ses tympans. De ses pupilles tremblantes et de son regard troublé par ses pleurs, la jeune femme jetait un coup d'œil curieux au salon. Cette fois-ci, elle l'observa avec grande attention. En commençant par la cuisine, la porte d'entrée, ses côtés, et finissant par le coin bibliothèque sur sa gauche, complètement plongé dans le noir.
La jeune femme plissait les yeux. Elle avait la désagréable impression de voir une forme y voir le jour dans tout ce noir si compact, et, le temps que ses yeux s'habituent finalement à l'obscurité, elle avait déjà avancé de plusieurs pas.
Sa traîne glissait sur le tapis, elle ne prenait même pas la peine de relever les bords épais de sa robe afin d'alléger sa marche. Elle écrasait les quelques perles de son collier au sol, manquant de chuter à répétition. Elle les forçait alors à rouler, se percuter entre elles et rouler bruyamment jusqu'à rencontrer une nouvelle surface contre laquelle elles allaient de nouveau y ricocher. La jeune femme parvenait rapidement au coin bibliothèque de son appartement, habituellement composé d'une petite table ronde décorée d'une lampe verdâtre, de deux immenses bibliothèque collées contre le mur, et d'un gros fauteuil de cuir. Elle peinait à observer le tout, le noir brouillant sa vision.
Lorsqu'elle tendit la main afin d'allumer la petite lampe et d'enfin mettre le jour sur cette situation torturante, elle sursautait au contact d'un objet dur. Il était frigorifié, semblable à du métal. Au même moment, la lumière l'éclaira et ses yeux s'écarquillaient à la vue d'un parfait inconnu dans son salon. L'espace d'un instant, son coeur arrêta de battre.
« Oh mon Dieu. » elle hurla.
La demoiselle n'eut besoin que d'une chose : croiser son regard envoûtant, pour reconnaître Jason. Peu importait si les traits de son visage étaient torturés par la fatigue et sûrement la colère, peu importait si il était mutilé par une immonde lettre J sur le côté droit de sa joue, juste en dessous de son œil. C'était lui. C'était Jason. Elle ne rêvait pas, il était bel et bien là. A cette. simple constatation, elle en sentit ses tripes se tordre et son mal de crâne s'accentuer.
« Jason, c'est toi ? » balbutia-t-elle. « Je... Je rêve ? »
Pour accentuer ses propos, la demoiselle allait jusqu'à se pincer l'avant-bras. Lorsqu'elle vit Jason cligner des yeux et écarter davantage les jambes, elle manquait de s'en évanouir. Jason était étrangement vêtu, une épaisse armure sur les épaules. Il avait relevé son masque, son front lui restait tout de même invisible. Mais c'était bel et bien lui. Elle aurait pu le reconnaître entre mille.
« Je pensais pas que tu allais rentrer ce soir. » parla le noiraud.
« Jason. » elle le coupa brusquement. « Jason, tu es en vie ? Bruce m'avait pourtant dit que... Oh mon Dieu. J'ai cru que tu étais mort, depuis tout ce temps.. »
« Il t'a menti. Bruce m'a remplacé, je n'ai jamais compté pour lui. »
La jeune femme jetait un coup d'œil à la main de Jason, celle dont il s'était servi pour allumer la petite lampe sur la table. Juste au dessous de son avant-bras, reposait une arme à feu. Contrainte, la demoiselle fit mine de rien, et replaçait son attention en direction du noiraud. Lorsque son regard croisa le sien, elle en sentit son cœur se briser et ses tripes finir torturées dans tous les sens. Il avait l'air pitoyable, il avait l'air d'un homme brisé.
« Qu'est-ce qui t'est arrivé, Jason ? Qui t'a fait ça ? »
« Il ne t'a rien dit ? » s'étonna-t-il. « Évidemment qu'il n'a rien dit, pourquoi faire ? » il rit. « C'est le Joker. »
« Le Joker ? » elle répéta. « Le Joker ? »
Jason pointa sa joue droite de son doigt recouvert de son armure. La jeune femme n'eut pas besoin d'y jeter un coup d'œil, le J était tellement imposant et grossier, marqué dans sa chair, qu'elle n'avait pas pu le manquer. Néanmoins, elle ne put résister à la tentation de le dévisager de nouveau et cela manquait de la faire de nouveau pleurer.
« Tout ça, c'est la faute de Bruce. » articula Jason. « Si je suis mort, si j'ai tout perdu, si j'ai été remplacé, si j'ai été oublié, par toi, par lui, par vous tous, c'est par sa faute. »
Une sécheresse douloureuse voyait le jour dans la gorge de la jeune femme, embarrassée et apeurée, elle ne sut trouver les mots afin d'apaiser la rage bouillant au cœur de la poitrine Jason. À la place, elle se contentait de laisser ses larmes rouler à grosses gouttes sur ses joues et ses mains trembler vigoureusement. Elle apportait ses doigts à ses lèvres et couvrait sa bouche avec, les yeux écarquillés avec horreur et la poitrine écrasée par ses poumons, alors qu'elle respirait avec panique.
« Jolie robe, au passage. » balança Jason. « Qui est l'heureux élu ? » demanda-t-il d'une voix tranchante en la toisant.
« Jason. » elle l'avertissait.
« Ouais, c'est mon prénom. »
La demoiselle tendait une main dans sa direction, dans un geste désespéré ᅳavec pour but de s'assurer qu'il était devant elle, que ce n'était pas encore une de ces visions la hantant par pur désir de vengeance provenant de sa propre cervelleᅳ toutefois, elle se pétrifia avec horreur lorsqu'elle vit Jason sursauter. Ce fut léger, à peine visible à l'œil nu, mais elle le remarqua immédiatement. Elle remarqua la façon dont ses yeux s'étaient mis à luire avec terreur, dont ses mains avaient reculé d'un millimètres afin de protéger son visage et celle dont sa lèvre inférieure s'était mise à trembler. La jeune femme s'était arrêtée brusquement, la respiration coupée et peinant à cligner des yeux tant elle était surprise. La pensée qu'il n'était plus le même, qu'il n'était plus le garçon dont elle avait autrefois été éprise, lui brisa le cœur. Il s'arracha de sa propre poitrine, s'effrita et manquait de la tuer.
« Toi aussi, tu m'as oublié. » l'accusa Jason. « Tu m'as remplacé avec cet avocat à la noix pendant que je pensais mourir. Je pensais ne plus jamais te revoir, mais je me suis accroché. Et pourquoi, au final, pour te voir en épouser un autre ? »
Jason serrait le poing. Le cuir de son gant grinçait, il donnait l'impression d'être à deux doigts de céder sous sa force. La jeune femme en déglutit avec embarras. Elle le contemplait, les sourcils froncés et la bouche entrouverte. Tandis que lui, la foudroyait du regard.
« Je ne l'ai pas épousé. » elle se défendait. « Je n'ai pas pu le faire. »
« Félicitation, je suppose. »
« Jason. »
Elle l'observait, le visage mutilé ébloui par la petite lampe posée à une cinquantaine de centimètres de son visage, les reflets orangés peignant joliment son faciès et faisant ainsi s'enflammer l'éclat accusateur dans sa paire de pupilles. Elle dévisageait sa position; son coude déposé sur la petite table, les jambes écartés et son autre bras déposé sur l'accoudoir du fauteuil de cuir. Son poing serré se trouvait juste en dessous de la lampe, ébloui de manière splendide, telle une torche enflammée, prête à crier sa rage et à mettre la lumière sur ce monde injuste et terrifiant.
« Tu es revenu, ne pars plus. Je t'en prie. Ne me quitte plus jamais. » elle murmurait, la voix secouée par des sanglots. « Reste auprès de moi. »
Jason la contempla. Il clignait des yeux et en profitait pour faire glisser son regard sur son entière personne. Quant à la jeune femme, elle restait stoïque, réduite à l'état d'objet sous le regard perçant de cet intrus. Le dit intrus, commençait par détailler la traîne de sa robe de mariée du regard, puis, il remontait sur son corset dévoilant sa sublime taille décorée de dentelle et d'un décolleté en forme de cœur, mettant en valeur la naissance de sa poitrine. Ses mains avaient l'air terriblement douce et élégantes, recouvertes d'une paire de gants en dentelle quelque peu tachées de noir. Sa nuque était dévêtue, et son maquillage, lui, ruiné. Pourtant, Jason ne l'avait jamais autant trouvé aussi sublime. Elle se trouvait face à lui, dans une robe de mariée ruinée, après avoir fui son fiancé, tout ça, parce qu'elle n'arrivait pas à le sortir de sa tête. Et ce, même présumé mort. Tout comme lui : elle n'avait jamais pu tourner la page.
La demoiselle retirait soigneusement ses gants, elle les laissait tomber sur la petite table et avançait de trois pas jusqu'à Jason. Pris par surprise, le noiraud la laissait faire. Il se crispait légèrement, le corps secoué par un sentiment de terreur, apeuré à l'idée d'être heurté, d'attiser sa méprise, son dégoût, sa colère. Il savait qu'elle en aurait été incapable, mais Jason n'était plus le même. Il n'était désormais que l'esclave de ses cauchemars. Il se perdit alors dans ses pensées, déglutissant bruyamment, tandis que la demoiselle arrivait à faire parvenir la paume de sa main sur la joue du garçon.
« Le Joker est mort. Il ne pourra plus jamais te faire de mal. »
Elle camouflait la cicatrice présente sur sa joue dans un geste tendre. Elle caressait sa peau étrangement douce de la sienne légèrement froide. L'espace d'un instant, elle retrouvait le Jason d'autrefois. La peau vierge, cet éclat familier dans le regard et cette atmosphère apaisante présente dans la pièce. Il n'était plus le même, elle en était consciente, malgré tout, le simple fait de le retrouver, ainsi, suffisait à la troubler avec force.
« Est-ce que Bruce sait que tu es ici ? » se risqua-t-elle à demander.
« Bruce n'en a jamais eu rien à faire de moi, peu importe. »
« Oh, Jason, non. Ne dis pas ça, je t'en prie. » elle le coupa. « Bruce était tant bouleversé quand Alfred m'a appris la nouvelle de ta disparition, il en est presque tombé malade. »
Ses traits de visage se durcissaient soudainement. Pris par un sentiment de rage, Jason frappait du poing sur la table en se redressant furieusement sur le fauteuil. La jeune femme en sursautait, terrifiée.
« Ne parle pas de lui comme si tu le connaissais ! Tu ne sais rien. » beugla Jason avec colère. « Tu ne sais pas quel genre de monstre il est en réalité. Tout ça, c'est de sa faute ! De sa faute... »
Jason en avait les larmes aux yeux, la fatigue l'emportait sur lui. Il avait été réduit à néant l'espace d'une année entière, complètement brisé, abandonné à son triste sort face à une créature tout droit sortie des enfers, puis il avait été abandonné par son père, ses frères, amis, et, à la recherche d'une dernière once d'espoir, il avait vu la seule fille qu'il avait jamais aimé, ᅳpresqueᅳ se marier avec un autre que lui, sous ses propres yeux, alors que tout semblait bien aller pour eux, comme si il n'avait jamais existé. Comme si il n'était plus rien. Comme si il n'avait jamais rien été. Jason avait le cœur réduit en miette, le corps recouvert de blessures, à peine apte à tenir debout sans sentir ses tendons gémir de douleur, ses os grincer et sa cervelle tirer des signaux d'alerte. Mais, alors qu'il se tenait devant elle, après tout ce temps à prier, à espérer, à tenir, il se sentait soudainement mieux. Alors, il se calma, regrettant immédiatement d'avoir élever la voix sur elle.
« Tu l'aimais ? »
Jason se raclait la gorge, embarrassé.
« Cet avocat à la noix, » il répétait. « tu l'aimais ? »
La jeune femme essuyait ses larmes et esquissait un petit sourire timide. Elle regardait Jason dans les yeux incapable de détourner le regard alors que le garçon de ses rêves se tenait devant elle. Il était là, assis tranquillement après avoir fait effraction chez elle, à la regarder comme si elle était le plus beau trésor de ce monde, ignorant les saletés sur son visage, son décolleté, ses gants noircis, son collier arraché, son voile abandonné et ses yeux bouffis par le nombre de larmes qui avait tristement parcouru les traits somptueux de son visage. La façon dont il la regardait la laissait bouche bée. C'en était d'une tendresse inouïe.
« Pas une seule seconde. » avoua-t-elle. « Je n'ai jamais pu te sortir de ma tête. »
Et c'était vrai. La triste vérité.
« J'étais persuadée que tu étais mort, la nouvelle venait de ta famille après tout. Mais, contrairement à eux, je n'ai jamais réussi à faire mon deuil. »
Jason sentit son cœur se gonfler de joie. Il en rougissait, comblé de bonheur.
« Cole est gentil, je me suis dis que c'était peut-être ce dont j'avais besoin pour convaincre Bruce que j'allais mieux, pour me convaincre. Mais, une fois devant l'autel, je.. Je sais pas ce qui s'est passé. Je sais juste que ce n'est pas lui que j'aime, c'est toi, Jason. C'est toi dont je suis amoureuse. »
Jason l'écoutait attentivement, apaisé par le son de sa voix. Elle parlait doucement, une pointe de timidité par ici et là tandis qu'elle faisait se noyer son regard dans le sien, incapable de cesser de le contempler.
« Est-ce que... Désolée. Est-ce que je peux te toucher ? »
Jason se contentait de fermer les yeux. Il laissait alors la demoiselle poser son front contre le sien et le serrer doucement dans ses bras. Elle enlaçait sa nuque de son épiderme nu, aidait ses doigts dévêtus à se fondre sur le dos de son crâne recouvert de son armure tandis qu'elle laissait s'échapper un souffle saccadé entre ses lèvres. Elle collait son décolleté à son torse, fléchissait les genoux sur ses haut talons aiguilles. Le contact physique engagé la rendit faible, elle manquait de s'en évanouir. L'odeur de Jason restait quelque peu similaire à celle qu'il avait toujours eu, néanmoins, celle-ci avait un côté un peu plus métallique, un peu moins artificielle. Ses yeux la brûlait à force de pleurer, et pourtant, elle continuait de sentir des larmes lui tremper les joues. Les mains de Jason trouvaient rapidement sa taille, il s'y agrippait, plantant ses doigts sur le tissu reposant sur ses hanches. Sa mâchoire se contractait durement, il grinçait des dents.
« Jason, tu m'as tellement manqué. »
La jeune femme embrassait la pointe de son nez, sa joue gauche puis celle de droite. Elle sentait Jason se raidir, cependant il restait muet, alors elle poursuivit jusqu'à déposer un tendre baiser sur sa paire de lèvres. Ensuite, elle se reculait et croisait son regard.
« Plus rien ne nous séparera maintenant, hein ? » demanda-t-elle.
Jason attrapait sa main, il entremêlait leurs doigts ensemble et lui sourit. Elle n'avait pas hésité, à sa grande surprise : elle voulait encore de lui, elle acceptait sa présence. Elle avait jeté la seule chance qu'elle avait eu de tourner la page ᅳse marier avec un autreᅳ pour le ramasser à la petite cuillère, sans hésiter l'espace d'un seul instant. Il en restait bouche bée.
« Je te le promets. » il répondait.
Jason serrait fermement sa main dans la sienne, le cœur gonflé d'amour et la tête dans les nuages.
« J'ai juste besoin d'un peu de temps avant. »
« Hein ? Pourquoi ça ? »
Jason grimaçait.
« Bruce et moi avons un compte à régler, je dois me préparer. Ça ne prendra que quelques semaines, mais ne t'en fais pas, je serai de retour. Je te le jure. »
« Quoi. »
Tandis que son sourire se fanait, la jeune femme le foudroyait du regard.
« Jason, tu repars ? »
« Le temps de régler cette histoire. » acquiesçait le garçon. « Après ça, je pourrai enfin tourner la page. »
C'était faux, mais Jason en était malheureusement persuadé. Il pensait que si Bruce Wayne disparaissait, si Batman échouait, alors cela lui rendrait justice, cela effacerait les horreurs que le Joker lui avait fait subir pendant cette monstrueuse année. Comme si ces cauchemars disparaîtraient, ces cicatrices se fondraient dans sa chair, jusqu'à en devenir invisibles, comme si plus rien ne s'était passé. Jason voulait le punir car, à ses yeux, Bruce était le seul et unique responsable de ce qui lui était arrivé. Il était celui qui n'avait pas été capable de le protéger, celui qui l'avait abandonné et remplacé. Celui qui lui avait tout offert, pour tout lui reprendre, et lui voler ce qui faisait de lui Jason Todd. Pour l'instant, il était incapable de vivre et ce, même avec elle, même à ses côtés. Peu importait combien elle le rassurait, l'apaisait, Jason était désormais un homme de vengeance, et il ne s'arrêterait pas avant d'avoir rendu justice.
« Je reviendrai te chercher. »
Jason se relevait, il surplombait la demoiselle et relâchait sa main.
« Maintenant que je sais que tu ne m'as pas oublié, que toi aussi tu as été manipulée par Bruce, je vais m'assurer que plus rien ne pourra nous séparer. » affirma-t-il.
La jeune femme fronçait les sourcils.
« Jason, je ne comprends pas. » elle avouait.
« Tu n'as pas besoin de comprendre. » il répliquait. « Contente toi de me faire confiance. »
« Je te fais confiance. C'est juste que... la façon dont tu parles m'inquiète. »
« Je sais. Je suis désolé »
Jason inspirait profondément puis, il expirait doucement. De son regard fatigué et troublé, il contemplait la jeune femme, il attrapait ensuite son visage en coupe, de ses deux mains, approchait son visage du sien, jusqu'à ce que leur nez se touche et finalement il lui offrait un petit sourire timide. Elle en sentit ses oreilles se réchauffer tandis qu'il imprégnait les traits de son visage dans son esprit et humait délicatement son odeur, déjà rendu ivre par celle-ci. Quelques minutes plus tard, Jason se sépara d'elle et détourna le regard.
« Je dois y aller. »
La demoiselle suivait son regard, il était rivé en direction de l'horloge, signe qu'il était sûrement déjà attendu quelque part. Jason semblait soudainement nerveux.
« Déjà ? » s'étonna la jeune femme. « Mais, je viens à peine de te retrouver ! Et puis, quand est-ce que tu comptes revenir ? Je ne veux pas attendre. J"ai tellement eu peur de te perdre, je veux rester avec toi, pour toujours etᅳ »
D'un geste rapide, net et précis, Jason avait attrapé le menton de la demoiselle entre ses fins doigts habillés. Puis, il l'avait coupé en déposant ses lèvres sur les siennes. Il lui avait volé un baiser tout en passant son bras autour de sa taille afin de la plaquer contre son torse. La demoiselle n'avait pas tardé à sentir ses yeux s'écarquiller avant de finalement se laisser aller et de répondre au baiser du garçon. Elle l'embrassait en retour, glissant ses paumes de mains sur ses joues et souriant grandement, le cœur battant à vive allure et la tête noyée dans les nuages. Les deux jeunes adultes vinrent partager un baiser amoureux. Il était d'une délicatesse et tendresse sans nom. L'un recouvert de métal, mutilé et épuisé par le temps, et l'autre vêtue de blanc, l'air tout droit sortie d'un compte de fée, si l'on en oubliait son maquillage ruiné, son nez bouché et ses yeux bouffis. Ils étaient là, enlacés l'un contre l'autre, le cœur battant à vive allure et leur âme finalement apaisées.
Le baiser aurait pu durer encore plus longtemps, il aurait pu s'éterniser jusqu'à se conclure dans un échange charnel, peau contre peau, larmes de joie échangées et bues à travers des baisers enflammés, langoureux, baveux, et finalement dans les bras de Morphée. Toutefois, le tout fut brusquement coupé lorsqu'on toqua à la porte d'entrée. Quelqu'un venait d'y donner quelques coups, attirant immédiatement l'attention de Jason et de sa bien-aimée. Le silence retombait soudainement dans la pièce principale de l'appartement.
« Qui est là ? » cria la demoiselle, tirée de son état d'euphorie.
« C'est moi, Dick. » déclara Grayson à travers la porte d'entrée. « J'ai fait un détour pour nous prendre de quoi manger, tu m'ouvres ? »
« Oh, euh, oui. C'est vrai, mince. »
La demoiselle glissait une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Elle faisait nerveusement parcourir son regard sur la pièce, tout sauf sur Jason alors qu'elle se demandait comment elle pourrait le faire sortir d'ici sans attirer l'attention.
« Ça te dérange de me donner deux petites secondes ? »
Sans lui laisser le temps de répondre, la jeune femme se tournait en direction du noiraud. Déjà prête à lui hurler de se cacher dans sa chambre, elle ne sut quoi dire lorsque, à la place de Jason, ne se trouva que le néant. Rien, ni personne. Il n'était plus là. Bouche bée, la demoiselle observait les alentours, persuadée qu'il n'avait pas pu se volatiliser comme ça, en un clin d'œil. Et pourtant c'était le cas. C'était à se demander si il avait vraiment été présent, si elle ne l'avait pas de nouveau inventé dans le seul but de se rassurer, de trouver réconfort auprès d'une agréable illusion, d'un séduisant mirage. Son odeur persistait dans la pièce, mais elle aurait tout aussi bien pu l'imaginer. Finalement, tandis que Dick commençait à s'impatienter derrière la porte, terriblement inquiet par tout ce silence, la jeune femme se contentait de sourire. Elle se frottait les yeux, épuisées et ses paupières la démangeant terriblement.
Et alors qu'elle se tournait en direction de sa porte d'entrée ᅳquelque peu agacée par l'insistance dont faisait preuve son amiᅳ, à une trentaine de mètres de là, elle saisissait la jolie rose abandonnée sur la table proche de la bibliothèque, juste en dessous de sa paire de gants, et finissait par aller rejoindre Grayson. Elle y trottinait, le cœur gonflé d'amour et les pensées divaguant vers un seul et même garçon. Le seul et l'unique : Jason Todd.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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La recette de chocolat chaud
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Anya & Loid & Yor
Je me suis inspirée d’un prompt de @youneedsomeprompts : Inventer une nouvelle recette de chocolat chaud.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Yor avait décidé de faire une surprise à Loid et Anya. Lorsqu’ils rentreront, ils seront accueillis par une tasse de chocolat chaud qu’elle aura préparé. C’était leur premier Noël en tant que famille, elle espérait leur faire plaisir et donner à leur foyer une atmosphère chaleureuse pour les fêtes.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
AO3 / FF.NET
Yor déposa les différents ingrédients et la recette de Camilla sur la table de la cuisine. Elle regarda l’heure. Loid était à l’hôpital et Anya à l’école. Elle avait pris son après-midi pour pouvoir tout préparer.
Yor avait décidé de faire une surprise à Loid et Anya. Lorsqu’ils rentreront, ils seront accueillis par une tasse de chocolat chaud qu’elle aura préparé. C’était leur premier Noël en tant que famille, elle espérait leur faire plaisir et donner à leur foyer une atmosphère chaleureuse pour les fêtes.
Elle avait eu cette idée lorsqu’elle avait entendu Camilla parler de cette nouvelle recette de chocolat chaud qu’elle avait préparé pour son petit-ami. Yor lui avait demandé quelle était cette recette et après l’avoir supplié pour qu’elle la lui apprendre, yor se sentait enfin prête pour préparer ce chocolat chaud seule.
Elle prit les ingrédients, les mélangea et les fit cuire. Mais pourtant, elle avait l’impression que quelque chose manquait. La recette de Camilla était délicieuse, mais Yor voulait qu’elle soit exceptionnelle pour Loid et Anya. Elle regarda ce qu’il lui restait. Peut-être qu’elle pourrait improviser quelque chose. Elle hésitait. Elle avait réussi à maîtriser la recette et c’était risqué d’improviser quelque chose. Surtout pour Loid et Anya. Elle ne voulait pas les rendre malade.
Pourtant, elle avait cette idée de recette en tête et elle était sûre de pouvoir y arriver. Il lui restait suffisamment d’ingrédients pour essayer. Elle releva ses manches et se mit à l’ouvrage. De la crème, du lait, de la vanille, du chocolat, elle se sentait inspirée et la recette était claire dans sa tête. Ce n’était pas la première fois qu’elle improvisait en cuisine. Elle le faisait souvent quand Yuri et elle étaient enfants. Yuri avait toujours aimé ses inventions culinaires et elle espérait que Loid et Anya aimeraient cela aussi.
Elle entendit la bruit de la serrure. Elle regarda la pendule qui était accrochée au mur de la cuisine et sourit. Ils étaient pile à l’heure. La porte s’ouvrit et Anya entra en courant.
« Haha ! On est rentré ! S’exclama-t-elle joyeusement. »
Elle jeta son cartable par terre et courut vers Bond pour le prendre dans ses bras. L’animal lui lécha le visage et Anya éclata de rire. Loid entra à son tour et ferma la porte derrière lui. Il ramassa le cartable d’Anya et le posa sur une des chaises de la salle à manger. Yor sortit de la cuisine et les accueillit avec un immense sourire.
« Loid, Anya, j’ai une surprise pour vous. »
Loid écarquilla les yeux et Anya la regarda avec excitation.
« Une surprise ! Dit-elle. Qu’est-ce que c’est ?
-Allez vous installer dans le salon et je vous l’apporte. »
Tous deux s’assirent dans le canapé. Anya balançait ses jambes et fredonna :
« Une surprise, une surprise. »
Yor retourna dans la cuisine. Elle versa le chocolat dans trois tasses et ajouta les marshmallows. Elle sourit, fière du résultat. Elle posa les tasses sur un plateau et se dirigea vers le salon. Elle posa le plateau sur la table et donnèrent les tasses à Loid et Anya. Tous deux les regardèrent avec suspicion.
« Est-ce que c’est toi qui a préparé ce chocolat ? Demanda Loid. »
Yor acquiesça, gênée. Elle ne leur en voulait pas de réagir ainsi. Après tout, ce n’était pas la première fois qu’ils étaient malades à cause de sa cuisine malgré tous les efforts qu’elle faisait. Même Bond se méfiait de ce qu’elle lui préparait.
« C’est une recette que j’ai inventé.
-J’ai des devoirs à faire, dit Anya. »
Elle se leva pour aller dans sa chambre, mais Loid la retint en lui attrapant le bras et la fit se rasseoir. Il sourit à Yor pour la rassurer.
« Je suis sûr que c’est très bon. »
Anya renifla sa tasse et elle et Loid burent une gorgé. Ils écarquillèrent les yeux, surpris.
« C’est trop bon ! S’exclama Anya.
-C’est délicieux Yor, dit Loid. »
Anya avala sa tasse d’une traite, tandis que Loid dégusta la sienne. Yor sourit tendrement et se retint de pleurer de joie. Elle avait réussi, pensa-t-elle. En inventant ce chocolat chaud, c’était ce qu’elle voulait. Faire plaisir à sa famille et les rendre heureux.
Fin
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philoursmars · 1 year ago
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Marseille. Au musée Borély, musée des Arts Décoratifs, de la Faïence et de la Mode, il y a actuellement une expo très intéressante : "L'Asie Fantasmée", montrant comment , au XVIIIe et au XIXe s. , la France (et l'Europe), voyaient et surtout imaginaient les empires d'Orient, Chine, Japon et Empire Ottoman entre autres, avec parfois une réciprocité étonnante (comme ici, en 2).
Peintures sous verre de Sarhaboji II et d'une danseuse - Thanjavur, Tamil Nadu, 1860
Peinture sous verre "L'Agréable Leçon" d'après François Boucher - Canton, Chine, 1790
fauteuil anglo-indien, palissandre et cuir - Bombay, 1850-1890
id.
de haut en bas : petit canapé à oreilles - Provence, mi XVIIIe ; veilleuse à la Turque, Marseille 1750; ottomane, XVIIIe s.
"Singe se regardant dans un miroir" - Alexandre Gabriel Decamp, v.1830
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lesoreillesouvertes · 8 months ago
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Haaaa le Kentucky 💙💙💙
Une sacrée journée aux pays des poneys ! Je suis sortie de mon hibernation dans mon hôtel semi-miteux en gardant un souvenir : une douce odeur de cigarette froide sur une partie de mes vêtements. J’avais oublié que ça existait, l’odeur de clope et les chambres fumeur.
Et je suis allée me vautrer dans un gros canapé en cuir dans un bar super pour faire de l’ordinateur en buvant du café.
Puis je suis allée faire une visite de la maison d’Henry Clay, un mec qui a presque été président des États-Unis au 19e siècle. La visite était chouette et je perfectionne ma compréhension de l’anglais dans ces moments là ;-)
Je suis revenue faire un tour dans le centre ville malgré un vent glacial (vraiment glacial !), oui avec passion maisons il y a passion street art !
J’ai filé vers le sud à quelques miles de Lexington pour rencontrer mon hôte couchsurfeuse Teresa qui habite à Richmond,KY. Et nous voilà à aller voir des poneys au Kentucky Horse Park. Et là, alignement des planètes, coucher de soleil derrière ce splendide énorme cheval mais timide apparemment d’une race anglaise avec des magnifique chaussettes de poils blancs ! Teresa a des photos de nous avec le cheval, je vais bientôt avoir des photos à l’américaine à vous partager.
Nous sommes passées voir un ami peintre de Teresa qui s’appelle Enrique. Il est d’origine vénézuélienne avec un accent … ouhaaa je ne sais pas comment j’ai réussi à comprendre tant de choses ! C’est lui avec un de ses derniers tableaux, déjà vendu. On n’aurait pu parler toute la nuit avec Teresa mais elle se lève pour travailler alors le burger barbecue, penne, épinard nous a achevé.
Vraiment le couchsurfing aux USA, c’est génial😁
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moon-girls-stories · 2 years ago
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~ The Vampires Diaries ~ Mikaelson’s Brother X Sis!Reader
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Synopsis : Tu es la soeur adoptive des Mikaelson. Lors de leur fuite il y a mille ans, tentant d’échapper à Mikael, ils t’ont abandonnés à lui.  A présent tu les retrouves à Mystic Falls, le coeur rempli de colère, l’envie de vengeance coulant dans ton sang depuis mille ans. Les rumeurs sur le nouvelle doppelgänger sont aussi revenu à tes oreilles et tu comptes bien faire tout ce qui est en ton pouvoir pour mettre des bâtons dans les roues de ton chère bâtard de frère.
Point de vue omniscient :
-Klaus, calme toi, rappelle toi que nous devons trouver un arrangement sans bain de sang. Rappel Elijah alors qu’il force son jeune frère à se rassoir sur le canapé en cuir marron.
L'hybride émet un sifflement d’agacement avant de se laisser faire. Damon tient fermement le bras de Elena dans sa main, la gardant proche de lui au cas où Klaus décide de rompre leur contrat. Stefan est installé en face de Klaus, un air sérieux plaqué au visage.
Tout d’un coup les portes de la maison Salvatore s’ouvre en grand, laissant apparaître une jeune femme brune tenant fermement la gorge de Matt, prête à lui briser la nuque à tout moment. Stefan se lève rapidement, ne comprenant absolument pas ce qu’il se passe. Damon emmène Elena à vitesse vampirique en dehors de la maison, partant aussi loin qu’il le peut. Il ne sait pas qui elle est mais il ne veut prendre aucun risque avec les originels dans les parages.
La jeune femme relâche le jeune homme et l’hypnotise avant de le faire repartir chez lui. Elle entre sans aucun problème dans la maison avec un grand sourire.
-Asteria. Murmure Klaus entre ses dents alors qu’il se relève à son tour. 
-Je t’en prie Eli, toi comme moi savons que cet accoutrement de gentleman n’est qu’un déguisement. Tu es ridicule.
-Cela faisait bien longtemps. Gronde Elijah, ignorant la remarque de sa soeur adoptive.
-Mille ans pour être exact. C’est marrant le destin… Je vous retrouve tous les deux là où vous m’avez abandonné lâchement à Mikael.
-Cela ne s’est pas passé comme ça. Se défend Klaus en avançant d’un pas, visiblement touché par la présence de la jeune femme ainsi que par ses paroles.
Asteria s’approche de Stefan qui plisse les yeux. Elle lui tend sa main qu’il serre, incertain, ne sachant pas comment réagir face à cette femme qu’il ne connaît absolument pas.
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swedesinstockholm · 1 year ago
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18 novembre
pire anniversaire de l'histoire de mes anniversaires celui-là il aura une place spéciale dans les lettres à kristen stewart tome 2. l'anniversaire covid de l'année dernière c'était une promenade de santé à côté. ce matin quand je me suis levée maman revenait de chez le fleuriste avec un bouquet de roses roses à la main et j'ai été prise de mélancolie qui m'a plombée toute la matinée, jusqu'à ce qu'elle me demande ça va pas? pendant que j'écrivais sur le canapé, alors je lui ai parlé de la coloc à bruxelles et de la psy qui a reporté notre rdv au mois de décembre mais évidemment elle comprenait pas pourquoi ça me plombait autant et j'ai commencé à pleurer sans plus pouvoir m'arrêter jusqu'à ce que m. rentre de chez son amie a. avec un bouquet de fleurs de leur jardin avec de la bourrache comestible elle m'a dit tu peux la manger ça a goût à huître, mais j'arrivais pas à me réjouir, j'arrivais même pas à faire semblant. elle a commencé à parler de leur petit-déjeuner avec le pain au levain que son père venait de faire cuire dans le four à bois et du concert d'archive de hier soir etc alors que moi hier soir je regardais une série tordue de nathan fielder enfermée dans ma chambre en mangeant du chou kale qui pue parce que maman faisait l'apéro avec le voisin en bas. ils voulaient qu'elle reste manger à midi mais elle a dit non je dois rentrer c'est l'anniversaire de ma soeur et pour la remercier de son sacrifice je suis partie pleurer dans le salon avec le visage enfoui dans le coussin du canapé. quand j'ai senti que les sanglots devenaient trop intenses je suis montée pleurer dans ma chambre sous ma couette pour étouffer le bruit et j'ai pleuré pendant ce qui m'a semblé être des heures. sans interludes dansants comme pendant ma crise du mois de février. c'était une crise uniforme et monopolaire. parfois ça se calmait et j'en profitais pour me moucher et reprendre mon souffle, et puis ça reprenait. parfois je pleurais comme kate winslet au début de the holiday quand elle se morfond sur son crush qui l'aime pas et qu'elle veut se tuer avec sa gazinière dans son cottage, et je me demandais comment la situation pouvait être aussi tragique et comique à la fois. j'étais une tragi-comédie à moi toute seule. mais ça me faisait pas rire. aucune envie de rigoler. trop sérieux, trop tragique. je pleurais tellement que ça me faisait trembler et dans le noir sous la couette j'avais l'impression d'être une petite créature fragile, j'avais l'impression d'être dobby de harry potter.
quand maman est entrée dans ma chambre en m'appelant parce qu'elle voyait pas qu'y avait un gros tas qui tressautait sous la couette et qu'elle en a brutalement retourné un coin en aboyant ça sert à rien de se cacher sous la couette cherche une autre psy si celle-là peut pas te prendre, j'ai commencé à trembler encore plus parce que maman est une SAUVAGE. elle m'a demandé ce que j'avais et j'ai dit j'ai envie de mourir mais comme je parlais depuis sous la couette elle a compris j'ai envie de vomir et j'ai répété non j'ai envie de mourir et c'était de nouveau la tragi-comédie. elle est ressortie de la chambre sans fermer la porte et dix minutes plus tard elle est revenue vérifier si le chauffage marchait en jurant comme une charretière parce qu'il marchait pas de nouveau (la sibylle ouvre ses bouches, elle dit: si votre chauffage ne marche pas, c'est que vous manquez d'amour) alors elle l'a purgé pendant que mon corps possédé se purgeait tout seul sous la couette, on se vidait simultanément de nos liquides superflus, le chauffage et moi, tous les deux dysfonctionnels et froids. peut être qu'en s'occupant du chauffage c'est de moi qu'elle s'occupait, à sa manière. elle est ressortie sans refermer la porte, après m'avoir demandé si je voulais qu'elle me ramène quelque chose de chez delhaize, mais j'ai pas répondu parce que je pleurais trop.
pour me calmer j'ai commencé à me répéter it's gonna be fine you're gonna be fine it's gonna be okay you're gonna be okay I GOT YOU en me caressant doucement la main et en serrant la couette autour de moi pour simuler une présence humaine. j'essayais de m'imaginer que quelqu'un me serrait das ses bras derrière moi, dans mon dos, quelqu'un que je voyais pas, une présence. j'avais tellement envie que quelqu'un s'allonge sur moi et m'écrase de sa présence tout en me faisant rigoler pour dédramatiser la situation avec moi. je sais pas pourquoi je me parlais en anglais. peut être parce que tous les exemples de réconfort que j'ai dans la tête sont issus de films et de séries et non de la vraie vie. alors je copie. ça a marché parce que j'ai fini par me calmer et j'ai sorti ma tête de sous la couette, mis mes lunettes, pris mon ordi et regardé des trucs chiants sur netflix parce que je savais pas quoi regarder. quand elles sont revenues de chez delhaize je suis descendue comme une convalescente et on a regardé le film avec la nageuse qui nage de cuba à la floride parce que j'avais envie de revoir jodie foster totalement mon genre en coach sportive lesbienne no bullshit de 58 ans aux bras bien dessinés. si seulement j'avais une jodie foster coach sportive amoureuse de moi pour me sortir de ma soupe.
j'ai mangé un paquet entier de chips de légumes en répondant à mes messages d'anniversaire, j'ai dit à n. que j'avais fait une crise, pour pas "rester seule dans mon trou," puis je l'ai dit à f., et puis c. a appelé et je l'ai mise sur haut-parleur pour que ce soit maman qui fasse la conversation et pas moi et je les entendais qui trinquaient et discutaient de je sais pas quel champagne dans le fond et j'ai tout de même réussi à ressentir un certain soulagement de pas être à narbonne avec eux. rien que d'entendre la voix aigue de la copine de t. me souhaiter un bon anniversaire m'a émotionnellement épuisée. comme j'ai pas pu faire ma banana cream pie, vu que j'étais trop occupée à pleurer, je leur ai demandé de me faire un gâteau au chocolat parce que je tenais quand même à manger un gâteau et maman m'a offert un bandeau chauffe-oreilles moche et un calendrier de l'avent de lotto parce qu'elle "trouvait ça drôle" et j'ai dit que moi je trouvais ça déprimant, ungrateful bitch. et puis j'ai regardé party girl avec parker posey en me demandant si je devais me lancer dans un master de bibliothécaire, même si ça me donne zéro envie, à faire un master je préfèrerais faire le master de création littéraire de la cambre ou celui de paris 8, pas un master de bibliothécaire, ce que je veux c'est travailler dans une bibliothèque pour pouvoir financer ma vie d'écrivaine, c'est tout.
dans tous les cas, chose positive au milieu du désastre: maman a soutenu mon envie de déménager à bruxelles, elle m'a pas dit de rester ici, même si elle m'a dit qu'elle pourrait pas m'aider financièrement parce qu'elle aide déjà m. et qu'elle peut pas nous aider toutes les deux, ce que je trouve incroyablement injuste, étant donné que m. a déjà un copain qui l'aime, un corps de rêve et un visage tumeur free et qu'elle arrive à gagner de l'argent avec son art, contrairement à moi, parce que plus de gens veulent voir ses jolies fesses que lire mes poèmes qui parlent tous de la mort et de masturbation.
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norki234 · 13 days ago
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Adoptez un style intemporel avec un canapé vintage
Un canapé vintage apporte une élégance intemporelle et une touche d'histoire à une maison, mêlant nostalgie et confort pratique. Ces canapés sont souvent fabriqués à partir de matériaux de haute qualité, tels que des cadres en bois massif, des détails touffetés à la main et des tissus luxueux ou des revêtements en cuir, tous conçus pour durer des générations. Avec leurs détails complexes, leurs courbes gracieuses et leurs silhouettes uniques, les canapés vintage ajoutent du caractère et de la chaleur à n'importe quel espace. Qu'il soit placé dans un salon, une bibliothèque ou un bureau, un canapé vintage sert de point focal fonctionnel et élégant, créant un sentiment de charme et de sophistication dans les intérieurs modernes et traditionnels.
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fullnft-fr · 3 months ago
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Salon moderne et futuriste avec vue urbaine et ambiance lumineuse
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Salon moderne et futuriste avec vue urbaine et ambiance lumineuse
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Ce salon moderne et sophistiqué propose une décoration minimaliste avec des touches futuristes, rehaussées par des éclairages LED aux tons bleutés. Les canapés en cuir gris foncé s’accordent parfaitement avec les éléments technologiques présents, notamment les écrans muraux diffusant des formes géométriques lumineuses. La grande baie vitrée offre une vue spectaculaire sur une ville contemporaine en pleine effervescence, renforçant l’atmosphère à la fois calme et high-tech de cet espace. L’équilibre entre confort et technologie en fait un lieu idéal pour se détendre dans un cadre urbain chic.
Acheter sur Opensea
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l-works · 9 months ago
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Séjour et Cuisine - T3 [Partie 1 / 3]
Mobilier utilisé : - Fauteuil en Cuir "California", par Kare Design - Canapé "Beryl", par Zago - Meuble TV "Wayne", chez Maison du Monde - Tapis "Hania", chez Maison du Monde - Lampadaire Industriel "Nilo", chez Maison du Monde - Lampadaire "Misuto", chez AM PM - Tables Basses Gigognes "Avril", chez Maison du Monde - Bout de Canapé "Walford", chez la Redoute Intérieurs - Coffre en Rotin "Clare", chez Made.com [RIP] - Etagères en métal Noir "Maxine", chez Made.com [RIP] - Petit Meuble Noir "Ashton", chez Maison du Monde - Petite Lampe "Olney", chez Made.com [RIP] - Peinture Asiatique, chez Etsy - Suspension Bambou Fogo, chez Vraiment Beau - Table Ronde "Irina", par Artecosy - Chaises "Mava", par Puntmobles - Bibliothèque en Epicéa, par Interior's - Suspension en Cuisine "Lincoln Globe Lantern", par Vaughan - Papier Peint "Temple Grey", par Graham Brown
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sh0esuke · 1 year ago
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" Witch's Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Kamo Choso
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Choso est perdu dans ses pensées. Une bonne chose que sa petite amie n'est jamais très loin afin de lui remonter le moral.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : rien, sauf du spoil
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟓𝐤.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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« Tu t'en fais pour Yuji. »
Choso releva un regard surpris en direction de la silhouette qui le surplombait. Le fléau était assis sur un canapé, loin de toute l'agitation qui régnait depuis le retour de Gojo Satoru, et le début de l'entraînement de Yuji Itadori, son petit frère. Choso se tenait à l'écart, peu familier et mal à l'aise face à toutes ces nouvelles têtes.
« Où est-ce que tu étais partie ? » il demanda gentiment.
La demoiselle posa le poing sur sa hanche, elle accompagna son geste d'un petit clin d'œil. Choso sourit.
« Si je te le disais maintenant, ça serait pas drôle. » elle le taquina.
Choso tendit les paumes de sa main dans sa direction et, malgré son chapeau pointu cachant le reste de son visage et son immense robe, la jeune demoiselle n'eut aucun mal à s'avancer. Avec une confiance déconcertante, elle extirpa ses mains de ses très longues manches, pour ensuite, glisser la pulpe de ses doigts sur ses paumes. La sorcière sourit, charmée par la rugosité de son épiderme. Choso avait les mains dures et abîmées, une fierté selon lui : la preuve qu'il n'avait pas chômé en protégeant ses frères bien-aimés. Choso l'attira à lui. Elle marchait sur ses longues bottines remontant jusqu'à ses cuisses. Sa robe était longue au niveau des manches, mais très courte, elle s'arrêtait à quelques centimètres au dessus de ses chaussures, dévoilant ainsi une partie de son épiderme. Choso admira la manière dont le tissu se mouvait, ses manches fondirent sur leurs mains. Et la pointe de son chapeau retombait de manière presque comique sur le côté, il était froissé et grand, noir aussi, tout comme sa robe et le corset de cuir qui emprisonnait sa taille.
« Mei Mei s'occupe de lui. »
« Tu penses que j'ai bien fait de le laisser avec elle ? Elle a beau être une prof' de son école, jeᅳ »
En voyant l'état de panique dans lequel se trouvait le fléau, la jolie sorcière se mit à rire. Elle battit des cils, emprisonnant fermement ses mains dans les siennes, elle entremêla même leurs doigts ensemble et puis, finalement, elle s'assit à califourchon sur lui. Choso la regarda faire. Elle prit place sur ses cuisses, écrasant son gros pantalon blanc et frottant son nez contre le sien.
« Je t'accorde qu'elle est bizarre. » murmura-t-elle sur un ton doux. « Mais tu as vu à quel point ton frère est bien entouré, je ne doute pas que si il s'en est sorti jusque-là, c'est grâce à eux. Il est entre de bonnes mains, Choso. Relax. »
« Tu as raison. Désolé. »
C'était vrai, elle n'avait pas tort. Si Yuji avait survécu, ça n'était pas que grâce à lui, Gojo Satoru y était pour beaucoup, de même pour ce Megumi et cette mystérieuse Nobara. Yuji était assez protégé comme ça. Il n'était plus le frêle garçon qu'il avait rencontré autrefois. Choso noya brusquement son visage dans le décolleté en V de la demoiselle. Il poussa un gros soupir, secouant ainsi son torse de haut en bas et fermant ses yeux. La sorcière prit appuis sur leurs mains. Malgré son désir de caresser son visage, elle préféra garder leurs mains enlacées.
« Je m'en fais tellement pour lui, c'est tout. »
Dans un sourire charmeur, la demoiselle frotta sa joue à son crâne.
« Oui, je sais, mon amour. Tu es un bon grand frère, tu le sais ça, n'est-ce pas ? Le meilleur des meilleurs. »
Choso huma. Il était proche de ronronner, flatté par les avances de sa bien-aimée.
« Yuji a de la chance de t'avoir. » affirma-t-elle.
Il releva ses yeux dans sa direction.
« Tu le penses ? »
« Oh, bien évidemment. Qu'est-ce que tu penses ? »
La sorcière pencha la tête sur le côté, un sourire éclatant dispersé sur ses lèvres et un regard envoûteur dirigé droit sur lui. Elle était si heureuse de se tenir à ses côtés, son cœur battait bien vite. Elle n'était même plus capable de se séparer de lui. Choso l'apaisait. Il calmait les voix dans sa tête, il faisait éclore quelque chose de merveilleux au creux de son cœur. Il la contemplait avec tant de douceur et d'admiration, cela contrastait avec les regards dédaigneux et cruels qu'elle avait reçu tout au cours de son existence. Alors elle ne pouvait pas se retenir : elle se collait à lui, le touchait, elle le respirait et elle l'écoutait, quitte à tout oublier, jusqu'à sa propre identité.
« Je suis sûre que Yuji pense pareil. » reprit-elle rapidement. « Regarde le, il te connaît depuis peu, mais il a déjà tant de fois placé sa vie entre tes mains. Je le jalouse même un peu, je t'avoue. »
« Non, non. Il ne faut pas. »
Choso s'était empressé de parler, les yeux pétillant d'amour.
« Tu sais comment je suis... »
« Oui, j'en suis consciente. Je vous aime tous, toi et tes frères. »
Pour certains, cette déclaration aurait été la goutte de trop, frôlant le malsain. Pour Choso, c'était la déclaration ultime. Le Fœtus des Neuf phases sentit son cœur exploser dans sa poitrine, son cerveau palpiter et son bas ventre chauffer. C'était un zoo qui voyait le jour dans son corps, une panoplie de réactions sur différentes échelles. Choso n'avait vécu que pour ses frères, depuis le jour où il avait été créé, il aimait sa famille plus que tout au monde, ainsi, savoir que la fille dont il s'était épris les aimait tout autant le guidait au summum de l'extase. C'était magnifique.
Choso s'accrocha à ses mains.
« Je dois devenir plus fort. »
La sorcière se pinça les lèvres.
« Pour le protéger. Tous. »
« Devenons forts ensemble, toi et moi. » elle rajouta. « Par alliance, Yuji est mon petit frère et je refuse moi aussi qu'il lui arrive quoi que ce soit. Je ne me le pardonnerais jamais. »
Choso sourit.
Elle le regardait de haut, toujours confortablement installée sur ses cuisses, son menton baissé dans sa direction ᅳde cette manière elle pouvait mieux le regarder, et ses yeux plissés en une adorable moue. Jamais l'on avait posé un tel regard sur lui, jamais, on ne l'avait à ce point aimé. Tout cela lui était encore inconnu, et pourtant si délicieux. Choso n'arrivait pas à s'en lasser. Il en voulait plus. Il avait besoin de plus. La sorcière gloussa brusquement, amusée par l'expression hébétée installée sur le visage de son bien-aimé, et Choso rougit.
Ses joues rosirent de manière tout à fait maladroite, lui dévoilant ainsi son plus grand secret. Son plus terrible et humiliant secret. Un secret si terrible, qu'il aurait préféré l'emporter dans la tombe. C'était l'amour. L'amour qu'il lui portait. L'amour adolescent, passionné et inconditionnel qu'il lui vouait.
« Tu devrais aller le voir, tu sais. »
La sorcière embrassa sa joue.
« Je suis persuadée que Yuji sera heureux de voir son frère. Va le soutenir, ça lui donnera l'envie de se surpasser. »
« Tu penses ? »
« Mhh, pourquoi pas ? »
Choso détourna le regard.
« J'ai beau le consacrer comme mon frère, je ne pense pas queᅳ »
« Non. »
Un silence plein de surprise s'installa. Ce fut avec grand d'étonnement que le Fœtus des Neuf phases toisa la demoiselle, le ton de sa voix s'était fait sec, elle l'avait coupé et le regardait à présent avec colère.
« Yuji ne comprend pas, mais ça ne veut pas dire qu'il te rejette. » expliqua-t-elle. « Au fond de lui, il le sent. Vous êtes pareils. »
« Tu le crois sincèrement ? »
« Sur ma propre vie. »
Soudainement apaisé, Choso sentit les traits de son visage se détendre.
« C'est vrai, tu as raison. »
Il sépara doucement leurs mains entrelacées, dans de délicats mouvements, le fléau attrapa le visage de la sorcière en coupe. De ses jolies mains rugueuses, abîmées par le temps, il l'avait cueillie. Choso l'admira. Il la contempla avec amour. Passion même. Un éclat embrasé dansait dans ses beaux yeux fatigués, elle fondit dedans, comme brûlée vive sur un bûcher. Elle en sentit des papillons voltiger dans sa cage thoracique et son pauvre cœur s'emballer. Choso guida son front au sien, il les colla l'un contre l'autre avec tendresse.
« Tu es merveilleuse, ma douce. »
« Pas autant que toi, mon amour. » elle répondit en accrochant ses mains autour de ses poignets.
La tête du fléau se pencha sur sa gauche, de manière efficace, cela lui permit de l'embrasser. Leur bouche venaient de se rencontrer. Les jolies lèvres de velours de la sorcière entraient en contact avec celles rugueuses et sèches de Choso.
Elle frémit violemment. Plus que délicieux, ce contact réveilla d'une main de fer tous ses sens. Ses doigts pointus raffermirent leur prise sur ses poignets, ses narines inspirèrent d'un grand coup ce qui, en conséquence la forçait à expirer dans sa bouche. Choso grogna en guise de réponse. Il l'embrassa avec toute la passion et sensualité du monde. Il caressa son visage du bout de ses doigts, ses lèvres se mouvant contre les siennes et sa salive entrant en contact avec la sienne, donnant ainsi naissance à une mixture putride, repoussante et inhumaine. La sorcière s'en réjouit. Choso n'était pas particulièrement chaud, puisque cadavre, mais sa peau rebondissait de justesse et la force qu'il mettait à la maintenir en place suffit à la séduire.
Jamais l'on ne l'avait embrassée ainsi, aucun homme, aucune créature, ne l'avait faite se sentir aussi désirée et aimée. Choso était le seul.
À chaque fois qu'il la touchait, un sentiment d'extase explosait au sein de son cœur. Et, lorsqu'il l'embrassait, c'était comme si le sort de leur amour avait rayé de la carte la trentaine de kilomètres qui les entourait. Il n'y avait plus rien pour les empêcher de s'étreindre. Il n'y avait plus personne pour les ramener sur Terre. Choso et la sorcière flottaient sur un nuage, d'eux, émanait une aura, une sensation si forte, que quiconque aurait osé les interrompre, se serait vu détruit.
Choso l'embrassa à en perdre son souffle. Il s'accrocha à son divin visage, envoûté par le somptueux goût de sa salive mélangée à la sienne, affamé par l'idée de toucher davantage son petit muscle rose sensible. Sa langue taquinait la sienne à répétition. La jolie demoiselle n'osa pas. Elle savait qu'une fois leur langue entrées en contact, ils en perdraient la raison.
« Seigneur... »
Sans surprise, la sorcière s'était séparée de lui. Elle haletait. Elle força Choso à abaisser ses mains, incapable de contrôler la forme écarquillée de ses yeux et l'ouverture ainsi que fermeture de sa bouche. Ses poumons lui faisaient mal, ils étaient irrités, demandeurs de toujours plus d'air, comme si les grandes inspirations qu'elle était en train de prendre n'étaient pas suffisantes.
« Tu te sens bien ? »
La sorcière rit gentiment, son visage tomba brusquement contre l'épaule de Choso.
« Oui, ça va. Donne moi juste deux secondes, après je suis toute à toi. »
Leurs mains se séparèrent, la jeune femme relâcha ses poignets, permettant ainsi à Choso de venir cueillir son visage. Il recommençait, de ses deux mains. Il ne se lassait pas de cette vue, de cette position, de toutes ces sensations que cela provoquait en lui. Choso la contempla : la poitrine secouée, ses yeux grands ouverts, injectés de sang, ses pupilles dilatées et les petites plaintes qui s'échappaient à répétition de sa bouche. Il lui fallut peu de temps avant de récupérer, Choso ne s'était cependant pas ennuyé un seul instant de cette vue. Qu'elle était merveilleuse, et sienne.
« Allons voir Yuji. » proposa-t-elle finalement, après un instant passé dans le silence. « Allons-y. »
Elle se leva gentiment, ayant prit soin d'attraper une de ses mains au préalable, elle l'emmena ainsi avec elle. Choso se laissait faire. Il se leva et la suivit gentiment. Choso l'aurait suivie jusqu'au bout du monde, à vrai dire. La sorcière trottina avec hâte, elle sortit de la pièce, descendit, monta quelques escaliers, avant d'arriver dans la salle d'entraînement où s'était réfugié Yuji Itadori avec quelques autres exorcistes. Kusakabe, Mei Mei et Ui Ui étaient présents, s'assurant ainsi du bon déroulement de cet instant crucial.
Kusakabe était accroupi au sol, sérieusement blessé tandis que, devant lui, se dressait le corps de Yuji. Immédiatement, Choso le sentit. Jusque dans ses tripes, il sut que le Yuji devant lui n'était pas son petit frère. Son âme avait bougé. Choso n'eut pas le temps d'y songer bien longtemps car, une fois cette constatation vérifiée par ses pensées, un sentiment furieux s'empara de lui. L'on avait osé toucher à la chair de sa chair ? C'était inadmissible. Ils méritaient tous la mort. La vilane femme, son curieux frère et ce fichu Kusakabe. Tous. Tous allaient payer.
« Attends. »
Choso s'arrêta, forcé par la pression exercée sur son poignet. La sorcière sourit.
« Regarde les. » elle murmura, accompagnant le tout d'un signe de la tête. « Regarde les attentivement. »
« Ça m'a l'air d'être un bon échauffement. » parla le corps de Yuji. « C'est une question de temps avant que tu le maîtrises, Itadori. »
Kusakabe, toujours au sol, s'essuya le dessous de sa lèvre inférieure. Choso vit un éclat familier passer dans son regard, le faisant puissamment frissonner.
« Oui, m'sieur ! » répondit-il.
« On reprend, relève toi. »
« Oui, m'sieur ! »
Le corps de Kusakabe obéit, il se redressa, se mit en garde, caché derrière ses poings et, juste avant de s'avancer, jeta un regard par dessus son épaule. Il les avait senti. Il l'avait senti. Choso sentit son cœur rater un battement. Yuji le regardait, son petit frère le regardait. Ce fut avec émotion que le Fœtus des Neuf phases vit le regard de Kusakabe s'illuminer. Il leva la main, dans le but de les saluer tandis que leur prénom s'échappèrent de ses lèvres. Le corps de Kusakabe ne l'avait pas remarqué. Trop occupé à fixer les nouveaux arrivés, il ne sentit pas la main qui s'était approchée de lui.
« Reste concentré, abruti ! En garde ! »
« AaaAAAh ! »
Le corps de Kusakabe tomba dramatiquement au sol, faisant ricaner Meimei et pouffer la sorcière.
« Vous aussi, vous êtes venus observer ? » demanda l'exorciste indépendante.
La sorcière se pinça les lèvres, elle tira gentiment Choso avec elle, le forçant à contourner le tatami afin de rejoindre Meimei et Ui Ui alors que le fléau, lui, était bien trop occupé à dévisager son petit frère ᅳmais lequel, le corps ou l'âme ?ᅳ. Elle força Choso à s'assoir à côté d'elle. Tous les trois se trouvaient à présent sur le même banc.
« On est venus encourager Yuji. » déclara la demoiselle. « Il s'en sort ? »
Meimei esquissa un sourire mesquin.
« C'est un garçon plein de surprise. » murmura-t-elle. « N'est-ce pas Ui Ui ? »
Choso observait son petit frère se battre.
Les yeux plissés et broyant la main de sa bien-aimée entre ses doigts, il ne quitta pas les deux jeunes hommes du regard. Choso était absorbé. Il ne répondait plus. La sorcière posée à ses côtés sourit. Son cœur rata un battement. Qu'il était joli ainsi, plongé dans ses pensées, ne songeant qu'à sa famille... Elle en sentit ses joues chauffer. Son cœur pulsait dans sa poitrine, en conséquence, son corps entier commença à brûler. Elle admira Choso sans pouvoir se retenir de poser sa main libre sur la sienne. Ainsi, elle sandwicha sa main entre les siennes. Et elle s'en alla déposer sa tête contre son épaule, elle aussi désireuse de tomber dans cet état de concentration extrême à la vue de leur petit frère combattant. Car, à ses yeux, il n'y avait pas d'expérience plus enrichissante et réconfortante.
Ce fut ainsi donc sous les regards protecteurs et rêveurs de Choso et de sa petite amie que Yuji Itadori, ancien réceptacle de Sukuna, s'entraîna à se surpasser.
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blog-maison-cuisine · 4 months ago
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Comment se débarrasser des poux dans la maison : Guide Complet
Les poux sont un véritable fléau, surtout lorsqu'ils envahissent notre maison. Ces parasites, bien que minuscules, peuvent rapidement transformer notre quotidien en cauchemar si on ne prend pas les mesures adéquates pour s'en débarrasser. Cet article vous guide pour éliminer efficacement ces intrus.
Les causes de l’infestation
Les poux, notamment les poux de tête, se propagent principalement par contact direct avec une personne infestée. Cependant, ils peuvent aussi se retrouver dans notre maison via des objets contaminés comme les peignes, les serviettes, ou encore la literie. L’hygiène n'est pas un facteur déterminant dans leur apparition, mais elle joue un rôle crucial dans leur élimination.
Les meilleurs produits de grande surface
Pour se débarrasser des poux, les produits chimiques restent une solution couramment utilisée. En grande surface, on retrouve plusieurs produits efficaces :
Shampoings anti-poux : Ils contiennent des substances actives comme la perméthrine ou le malathion, qui paralysent et tuent les poux. Parmi les plus populaires, on trouve les marques Pouxit et Paranix.
Sprays et lotions : Ces produits, faciles à appliquer sur les textiles et les meubles, éliminent les poux en quelques heures. La marque Apaisyl propose des solutions reconnues pour leur efficacité.
Les alternatives naturelles et faites maison
Pour ceux qui préfèrent des solutions plus naturelles, plusieurs options s’offrent à vous :
Le vinaigre blanc : Diluez-le avec de l'eau tiède, puis utilisez-le pour rincer les cheveux après le shampoing. Le vinaigre aide à détacher les lentes, facilitant leur élimination.
Les huiles essentielles : Certaines huiles comme la lavande ou l'arbre à thé sont reconnues pour leurs propriétés répulsives. Mélangez quelques gouttes avec de l'huile de coco et appliquez ce mélange sur le cuir chevelu.
La terre de diatomée : Ce produit naturel est redoutable contre les parasites. Saupoudrez-en sur les matelas et les tapis, laissez agir quelques heures, puis passez l’aspirateur.
L’importance de traiter l’environnement
Il ne suffit pas de traiter uniquement les cheveux ; il est essentiel de désinfecter toute la maison pour éviter une ré-infestation. Voici quelques étapes à suivre :
Lavez la literie et les vêtements à 60°C pour tuer les poux et les lentes.
Passez l’aspirateur sur les matelas, les tapis, et les canapés, en insistant sur les coins et recoins.
Isolez les objets contaminés : Placez les peluches et autres objets difficiles à laver dans un sac hermétique pendant au moins 48 heures.
Conclusion
Se débarrasser des poux dans la maison demande de la rigueur et de la patience, mais avec les bons produits et méthodes, il est tout à fait possible de retrouver un environnement sain. Que vous optiez pour des solutions de grande surface ou des remèdes naturels, l’important est d’agir rapidement et de traiter l’ensemble de la maison pour éviter toute nouvelle invasion.
En suivant ces conseils, vous pourrez dire adieu aux poux et retrouver la sérénité chez vous. N’hésitez pas à revenir à ces méthodes dès que vous suspectez une nouvelle infestation.
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grand-mechant-loup · 1 year ago
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La Punition
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Nous sommes sur le canapé. Nous nous embrassons depuis quelques minutes. Mes mains se sont maintenant glissées sous ton haut. Je voudrais caresser tes seins mais je n'en fais rien. Je me retiens malgré nos baisers qui s'intensifient. Je m'éloigne alors un peu et je te regarde dans les yeux.
- Tu vas te lever, aller dans la chambre et retirer tous tes vêtements. Ta culotte aussi. Je veux que tu sois complètement nue. Puis tu t'assois sur le lit et tu m'attends sans bouger. Je n'en ai pas pour longtemps.
Tu souris. Tu sais que ça commence maintenant et tu quittes la pièce.
Pendant ton absence j'ouvre le sac dans lequel nous rangeons nos accessoires. Pour l'occasion j'ai totalement dégagé le comptoir. Je dispose dessus, bien alignés, les accessoires qui serviront à ta punition : le fouet (type martinet à longues franges), la cravache, les pinces à seins et le plug. J'ajoute un tube de lubrifiant.
Alors, calmement, je me dirige dans la chambre, le sac à la main. Tes vêtements sont bien pliés sur le fauteuil et toi, tu es assise sur le lit, nue, les mains posées sur les genoux. Je pose le sac parterre tandis que tu lèves les yeux vers moi. D'un doigt sous le menton, je t'invite à te lever. Tu obéis et je t'embrasse. Ta bouche est délicieuse et si je n'avais pas un plan précis de ce qui doit se dérouler, je continuerais probablement à goûter tes lèvres et ta langue de longues minutes.
Pourtant je m'arrête.
- J'ai des choses pour toi.
Je plonge une main dans le sac et en sors une paire de menottes en cuir. C'est la première fois que tu les vois en vrai. Je les passe à tes poignets mais je ne les attache pas entre elles. Tu fais tourner tes poignets sous tes yeux pour mieux les contempler et tu souris. Je t'embrasse à nouveau. Je ne résiste pas à ton sourire... à ces lèvres...
- J'ai encore autre chose.
A nouveau ma main disparait dans le sac et en sort une petite boite dans un papier cadeau. Je te la tends.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Ouvre !
Tu déchires alors le papier, ouvre la boîte en carton et en sors un collier en cuir assorti aux menottes. Tu souris encore. Nous en avons parlé. Le collier est un marqueur du contexte de domination/soumission dans lequel nous sommes sur le point d'entrer.
Je prends le collier et je le passe autour de ton cou. Je fais glisser le cuir dans la boucle de métal jusqu'à ce que le collier enserre ton cou. Mes gestes sont sec et bien que je veille à ne pas t'étrangler, je veux que tu sentes une forme de brutalité.
Le collier est fourni avec une chaîne reliée à un mousqueton que je viens accrocher à une boucle prévue à cet effet.
Quelques instant je laisse la chaine pendre le long de ton corps, entre tes seins. Le spectacle est magnifique et je ne peux m'empêcher de sucer des tétons l'un après l'autre. Tu soupires.
Je prends ensuite la chaîne dans ma main.
- Suis-moi.
Je te guide alors à travers l'appartement et nous nous retrouvons face au comptoir. Tu regardes les objets qui t'attendent.
- Pose tes mains sur le comptoir et ne les bouge plus. Recule un peu tes pieds et écarte les à la largeur de tes épaules. Voilà comme ça. Tu n'as plus le droit de bouger désormais.
La posture que je te fais prendre te pousse à te cambrer légèrement. Ton cul est tellement beau. Je pose ma main sur tes fesses. Je les palpe un peu. Ta beauté évidente me trouble profondément. Ton corps fin et élancé pourrait paraitre fragile mais il ne l'est pas. Je devine les muscles sous ta peau. Je sais qu'il vont bientôt se tendre sous l'effet de la brûlure des coups.
Je m'approche de ton oreille :
- A partir de maintenant, tu as interdiction de bouger sans mon accord. Nous allons y aller progressivement. Je vais commencer par le fouet pour chauffer ta peau. Ton dos, tes fesses et tes cuisses. Quand j'estimerai que cela suffit, nous passerons à l'étape suivante.
Tu hoches la tête même si tu sais que tu n'as pas besoin d'approuver puisque c'est moi désormais qui décide. Seul un "stop" de ta part mettra fin à ce que tu t'apprêtes à endurer.
Je prends alors le fouet, je me positionne derrière toi, à ta gauche et je commence à lancer quelques coups légers pour appréhender le mouvement de l'outil. Je fais en sorte que les lanières viennent s'étaler sur ta peau. Je commence par ton dos puis tes fesses, puis tes cuisses, puis je reviens sur tes fesses. Parfois, d'un petit coup sec je fais légèrement claquer les lanières contre ta vulve en les faisant remonter entre tes cuisses. Tu sursautes, plus de surprise que de réelle douleur.
Les lanières en daim sont assez douce et il faudrait vraiment s'acharner pour causer une vive douleur. Cependant, ta peau a joliment rougi et tu commences à te tortiller.
- Ne bouge pas !
Je continue encore mes coups pendants quelques minutes, alternant les zones de ton corps... Je me dis d'ailleurs qu'une autre fois je fouetterai volontiers ton ventre et tes seins. Mais ce soir ce n'est pas au programme.
Je repose le fouet sur le comptoir.
- C'est bien.
Je pose une main sur ton cul et et je t'embrasse dans le cou. Ma main glisse le long de tes fesses jusqu'à ton sexe. Je glisse un doigt entre tes lèvres pour mesurer ton excitation.
Tu gémis. Ton sexe est bien mouillé et je fais aller et venir mon doigt. Quelques instants seulement, le temps de t'arracher quelques gémissements supplémentaires, et je m'arrête brutalement.
- N'oublie pas que tu es punie.
Je suis derrière toi et je pose mes mains sur tes menottes.
- Redresse-toi.
Tu obéis tandis que je guide tes mains dans ton dos. Elles se croisent au dessus de tes fesses et je les fixe en attachant les menottes entre elles. Les épaules en arrière, le dos cambré, cette nouvelle posture fait ressortir ses seins dont je m’occuperai bientôt.
- Ne bouge toujours pas.
D’une légère torsion des chevilles tu sembles t’ancrer un peu mieux dans le sol, sans doute parce que tu sais ce qui t’attend.
Je prends cette fois la cravache.De l'extrémité en cuir, je commence à caresser tes fesses puis ton sexe. Je le tapote à répétition, de plus en plus fort. Tu retiens une sorte de protestation mais tu ne cherches pas à fuir.
Je m’écarte un peu. Je pose la tête de la cravache sur ta fesse droite comme pour mieux mesurer la distance… puis le premier coup part. Il est sec et claque fermement ton cul. Tu encaisses quasiment comme si de rien n’était. Le deuxième claque à son tour. Tu gardes la même position, la tête haute et fière. Les coups se mettent alors à pleuvoir, zébrant à chaque fois un peu plus la peau déjà rougie de ton cul. J’entends quelques gémissements étouffés. Je ne te ménage pas et pourtant tu résistes. De temps en temps une de tes jambes semble flancher pour permettre à ton buste et ton cul de pivoter et ainsi échapper au prochain coup. Mais c’est une vaine entreprise, je te rappelle aussitôt à l’ordre en fouettant la jambe incriminée. Tu te redresses alors aussitôt, de nouveaux prête à recevoir ta punition avec dignité.
Ce châtiment dure plusieurs minutes. Parfois tu lâches un cri aussitôt étouffé. Un ricanement aussi qui semble dire que ce dernier coup était spécialement douloureux mais spécialement délicieux.
Quand j’arrête enfin de faire claquer le cuir, tu reprends ton souffle. Je me rapproche de toi et je fais glisser une main entre tes fesses jusqu’à ta chatte. J’enfonce deux doigts en toi. Ta mouille est épaisse. Tu gémis et je me fais violence pour ne pas continuer cette caresse délicieuse. Ce n’est pas le projet pour l’instant.
Je prends cette fois les pinces à seins. Tu les connais bien. Elle t’ont déjà torturée plusieurs fois. Me tenant toujours derrière toi, mes mains rejoignent ta poitrine, pressent une pince pour l’ouvrir et la referme doucement sur ton téton. Ton corps ne se débat pas mais je sens que ton esprit est en lutte. En lutte contre la douleur que tu refuses de laisser te submerger.
Mon autre main inflige la même douleur à ton autre sein. Je laisse alors retomber la chaîne qui relie les pinces. Son poids t’arrache un sursaut doublé d’un léger râle de douleur.
- Plus tu bougeras, plus tu auras mal.
Et pour mieux illustrer mes paroles je t’assène un violent coup de cravache. Tu tressautes. Ton corps ainsi secoué fait bouger tes seins et la chaîne qui amplifie alors la douleurs au niveau de tes tétons.
Et mes coups de se répéter encore et encore. À ce stade tu ne peux plus retenir tes cris et je garde une oreille attentive à un éventuel "stop" qui pourrait surgir entre tes cris. Mais il n’en est rien.
Quand j’arrête enfin les coups de cravache, ton cul arbore des zébrure violacées et profondes. Je te murmure que je vais libérer tes seins. Tu frémis car tu sais la douleur que cela va engendrer.
Lentement, je desserre la morsure exercée sur un sein. Un râle s’échappe de ta gorge. Il exprime tout à la fois le soulagement qu’une vive douleur.
Je libère ton autre téton et de nouveau tu sembles abandonner toute retenue. Ton ventre se crispe, tu te contorsionnes sur toi-même jusqu’à ce que la douleur semble un peu plus supportable.
Je ne te laisse pas le temps de reprendre tes esprits. Je t’invite à te rapprocher du comptoir et d’une pression entre tes omoplates tu comprends que tu dois te pencher en avant. Tes tétons endoloris rejoignent le plan de travail. Tu gémis doucement.
De mon pieds je t’oblige à écarter plus largement les jambes. Ton cul s’ouvre. Je prends cette fois le tube de lubrifiant et en fais couler entre tes fesses. Sans ménagement, mon index profite de l’épais liquide pour s’enfoncer dans ton cul. De toute sa longueur, assez brutalement. Tu parais surprise et pousse un petit cri quand le deuxième doigt te pénètre. Tu es si étroite qu’ils on peine à se mouvoir. Je les fais pourtant aller et venir quelques temps jusqu’à ce que le passage s’assouplisse.
Je m’empare alors du plug. Tu le suis du regard comme pour confirmer encore une fois, que tu le trouves bien gros (et il l’est). De mes doigts couverts de lubrifiant, je le badigeonne de haut en bas. J’en fais le tour. Plus pour faciliter ma tâche que pour t’épargner une douleur. Il est large et de toute façon, il vas te bousculer.
Je le pointe en l’entrée de ton cul et je le pousse délicatement par petites pression. Je veux bien te faire mal mais pas te blesser.
La progression est lente et tu serres régulièrement les fesses ce qui a pour effet de rejeter le plug. Je reprends inlassablement mes gestes, autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que la partie la plus large du plug ait fini d’écarter ton cul. Quand il se refermera, tu éprouveras d’abord une vive douleur qui lorsqu’elle s’estompera laissera place à un soulagement. Mais pour l’instant tu résistes encore et ton cul refuse d’avaler ce que je lui impose.
Une dernière poussée achève mon travail et tu pousses un cris puissant. Bien qu’il ne change pas vraiment de position, tout ton corps semble se tendre. Tu gémis profondément. Je te laisse alors reprendre ton souffle. Quand je te sens apaisée, je t’invite à te redresser. À ce moment là, le plug est toujours fermement ancré dans ton cul. Les mouvements de ton corps semblent s’articuler autour de lui. Tes jambes tremblent un peu. Je te prends dans mes bras, je t’embrasse tendrement comme pour te ramener à un état de conscience qui t’as un peu échappé. Tes paupières papillonnent, tu me regarde furtivement. Je détache alors tes menottes l’une de l’autre, puis je les retire de tes poignets. Je t’embrasse encore puis enfin, je retire ton collier. La séance punitive est terminée.
Tu tombes alors dans mes bras. Tu approches ton visage de mon oreille que tu sembles vouloir lécher mais au lieu de ça je t’entends me murmurer :
- Maintenant, je veux que tu m’encules.
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