#canapé bleu vert
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Living Room Library Example of a mid-sized trendy open concept light wood floor and brown floor living room library design with gray walls, a corner fireplace and a stone fireplace
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Family Room Home Bar in Paris Example of a mid-sized eclectic open concept family room with a bar, green walls, a gray floor, no fireplace, and no television.
#table basse vintage#lustre ancien#mur bleu#boiseries murales#canapé velours#mur vert#fauteuils vintage
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Les pulls de Noël
Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Fluffcember 2024 pour le prompt : pull de Noël.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sasuke retira sa cape, se déchaussa et se dirigea vers le salon. Sakura et Sarada étaient assises par terre. Sarada babillait joyeusement en jouant avec ses peluches. Sakura tourna la tête vers lui lorsqu'elle sentit son chakra. Un immense sourire illumina son visage. Elle se leva et s'approcha de lui. Sasuke fronça les sourcils.
« Qu'est-ce que tu portes ? Demanda-t-il. »
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
@fluff-cember
AO3 / FF.NET
Sasuke ouvrit la porte de la maison et entra à l'intérieur. Il soupira de contentement lorsqu'il sentit la chaleur. Il avait passé la journée dans les rues enneigées de Konoha avec Naruto. Ce jour-ci, le travail de Naruto consistait à faire des inaugurations et des visites sur les chantiers du village. Il ne se plaignait pas. Il avait l'habitude aux journées froides lors de son voyage de rédemption. Cela ne l'avait jamais dérangé. Mais il était heureux de pouvoir rentrer chez lui.
Il retira sa cape, se déchaussa et se dirigea vers le salon. Sakura et Sarada étaient assises par terre. Sarada babillait joyeusement en jouant avec ses peluches. Sakura tourna la tête vers lui lorsqu'elle sentit son chakra. Un immense sourire illumina son visage. Elle se leva et s'approcha de lui. Sasuke fronça les sourcils.
« Qu'est-ce que tu portes ? Demanda-t-il. »
Elle portait un pull en laine rouge. Un sapin de Noël était tricoté dessus et des pompons de toutes les couleurs représentaient les boules. Les couleurs étaient criardes et le sapin ridicule. Où est-ce qu'elle avait pu trouver cette horreur, se demanda Sasuke. Sakura tourna sur elle-même, montrant fièrement son pull.
« Tu aimes ? Demanda-t-elle. »
Sasuke se retint de toutes ses forces pour ne pas grimacer. Tout ce qu'il arrivait à faire était un sourire crispé. Sakura ne put s'empêcher de rire devant son expression.
« J'ai fait du shopping avec Hinata cette après-midi, expliqua-t-elle. Et il y avait cette boutique qui vendait des pulls de Noël. On s'est dit que se serait amusant d'en acheter. Il y en avait aussi pour les enfants. »
Elle prit Sarada dans ses bras et il vit qu'elle portait un pull vert avec un bonhomme de neige tricoté dessus. Les pulls de Noël pour adultes étaient peut-être ridicules, pensa Sasuke, mais sur Sarada, c'était adorable.
« Tu aurais vu Sarada et Boruto dans leur petit pull de Noël. Ils étaient tellement mignons. »
Sarada rit, comme pour approuver les dires de Sakura. Il sourit en les voyant aussi heureuses. Sakura approcha Sarada de Sasuke, qui la prit contre lui, et elle attrapa un sac qui était posé sur le canapé. Elle en sortit un pull et le montra fièrement à Sasuke.
« Je t'en ai pris un aussi. »
Sasuke perdit son sourire. Le pull était de couleur bleu foncé et un chien portant un chapeau de Noël était tricoté dessus.
« Hinata en a acheté un pour Naruto. Comme ça on en portera tous un demain soir quand on dînera ensemble.
-Pas question. »
Sakura fit une moue boudeuse.
« Allez Sasuke-kun.
-Je ne porterais jamais ça.
-Comme tu veux. »
Sasuke fronça les sourcils. Elle avait cédé bien trop facilement. Mais peu importe, il ne portera pas ce pull. Elle le rangea dans le sac et sourit.
« Je vais préparer le dîner. »
Elle partit vers la cuisine, le regard triste. Il savait qu'elle essayait de le manipuler. La voir ainsi le faisait beaucoup plus culpabiliser que lorsqu'elle explosait de colère. Mais lui non plus ne céderait pas.
« Il est hors de question que je porte cette horreur, dit-il à Sarada. »
Pourtant, il avait fini par céder. Tous les trois se trouvaient devant la porte des Uzumaki et portaient leur pull de Noël.
« Tu es très beau, dit Sakura en l’embrassant. »
Sasuke grogna de mécontentement et Sakura rit légèrement en sonnant à la porte. Naruto ouvrit, portant fièrement un pull orange avec une grosse tête de père Noël. Il éclata de rire en regardant Sasuke.
« Je savais que Sakura-chan trouverait un moyen de te faire porter ce pull.
-La ferme, répondit sèchement Sasuke. »
Il entra dans la maison, faisant exprès de bousculer Naruto qui continuait de rire. Si cela rendait Sakura heureuse, il était prêt à être ridicule dans ce pull.
Fin
#fluffcember#fluffcember 2024#naruto#sasusaku#sasuke x sakura#sasuke uchiha#sakura haruno#my writing
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La Mode illustrée, no. 28, 12 juillet 1891, Paris. Bande large de la têtière de canapé. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Explication des signes:
Vert très foncé. Vert foncé. Vert moyen. Vert clair (soie). Jaune d'or. Rouge foncé. Rouge clair. Rose (soie). Lilas foncé. Lilas moyen. Lilas clair (soie). Brun bronze. Crème (soie). Bleu clair (soie). Fond.
Very dark green. Dark green. Medium green. Light green (silk). Yellow gold. Dark red. Light red. Pink (silk). Dark lilac. Medium lilac. Light lilac (silk). Bronze brown. Cream (silk). Light blue (silk). Base color.
#La Mode illustrée#19th century#1890s#1891#on this day#Juy 12#periodical#fashion#pattern#description#Forney#embroidery#decoration#flowers
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5 octobre
ce soir pendant que je regardais mum dans mon lit n. a toqué à ma porte pour faire visiter ma chambre à son ami samir qui va peut être la prendre, il avait l'air tellement emballé que ça m'a presque donné envie de la garder. il m'a demandé si ça m'avait pas fait un trop grand choc de me retrouver à neukölln après le luxembourg, il a dit même moi qui suis arabe je trouve qu'y a trop d'arabes et je savais pas quoi dire. il habite chez ses parents à spandau. je lui ai dit well i'm going back to my mum's, mais c'est pas vrai je retourne pas chez maman, je retourne chez moi. quand je l'ai dit à d. ce soir il m'a dit so you're going back to your parents comme si c'était un déclassement, un échec honteux, une tare, mais non je rentre juste chez moi ok? bon mais c'est aussi chez maman donc ça ne peut qu'être temporaire.
je suis suis enfin sortie me promener aujourd'hui, il faisait gris et je suis allée voir tous les endroits que j'avais notés sur mon téléphone pour les prendre photo: une cité des années 30 dessinée par bruno taut, une piscine bleu ciel contre une barre d'immeubles vert menthe au lait, une vieille devanture de théâtre, etc. j'avais déjà tout vu en photo mais je voulais faire mes propres photos, ça me donnait une mission et les missions c'est bien. j'en ai plein d'autres qui m'attendent dans ma liste. une pour chaque jour. à la maison je peux passer plusieurs jours d'affilée sans sortir mais à la maison c'est normal. j'ai pas l'impression de commettre un crime. de succomber au péché. de faire un truc malsain. ici oui. ça me rappelle paris et paris me rappelle la oberärtztin de la clinique qui voulait pas me laisser repartir sans antidépresseurs parce qu'elle disait qu'à paris je souffrais quand même d'une dépression sévère.
hier soir je suis allée à un concert qui commençait à dix heures, je suis sortie de mon lit pour aller prendre le bus à neuf heures et oh c'était dur mais je l'ai fait. c'était le même bus que celui que je prenais cet été pour aller au cimetière de stralau sauf que là il faisait nuit et je portais ma grosse doudoune. en traversant le pont j'ai vu un petit bateau avec une petite loupiote naviguer sur la spree plongée dans l'obscurité. l'autre jour j. m'a demandé what's on your berlin bucket list before you leave? et j'ai dit je sais pas (c'était faire un open mic avec mon synthé mais je dois me rendre à l'évidence je vais pas acheter de synthé avant de partir je suis déjà trop chargée j'arriverai jamais à tout porter) mais hier soir dans le bus je me suis dit que je voulais absolument faire du bateau sur la spree plongée dans le noir, je mettrais ça sur ma bucket list. et sur ma bucket list de la vie en général je mettrais crier sur scène comme la chanteuse de dame area hier soir. plus que toute autre chose j'étais fascinée par son énergie, son ardeur, sa violence. j'avais envie d'être elle. c'était bien mais pas aussi bien que le concert surprise de cet été dans la même salle avec le garçon qui hurlait en tournant des boutons. ils ont pas réussi à me faire sortir de mon anesthésie générale comme lui. je me disais pourquoi moi je suis figée et pas elle? c'était terriblement fort, heureusement que j'avais pris mes boules quiès mais même avec les boules quiès j'avais peur que ça me rende sourde. je portais mon tshirt warrior records (ils sont signés sur le label) mais j'ai pas l'habitude des raves moi, je croyais que j'allais perdre mon corps, que j'allais me dissoudre dans l'atmosphère ou alors exploser. je me suis appuyée contre le mur en touchant la matière douce et pelucheuse de l'insonorisation et le relief d'une cloison en bois pour me donner une prise. ils ont joué mon morceau préféré mais c'était pas aussi bien que sur la piste d'atterrissage de tempelhof avec ma capuche sur la tête sous les gros nuages gris jeudi soir.
6 octobre
je sens que ce mois d'octobre va passer comme l'éclair. au bout y a quoi, y a le nouveau canapé du salon et mes journées immobiles qui vont reprendre comme si j'étais jamais partie, mes journées rythmées par la radio, les infos à midi avec maman et la télé le soir, tout ce que je voulais fuir il y a à peine trois mois est devenu mon graal à atteindre, la libération au bout du tunnel sombre, la félicité absolue ultime et désirable.
7 octobre
j'ai écrit jusqu'à une heure du matin hier, je pouvais plus m'arrêter. c'est toujours la nuit que ça marche le mieux. mieux que la journée. je me force toujours à aller me coucher parce que j'ai peur de la nuit, déjà que je mange n'importe comment, je veux pas en plus dormir n'importe comment, mais je dors déjà n'importe comment. peut être que je devrais juste me laisser écrire toute la nuit, on s'en fout des horaires, je sors pas en club je peux au moins me laisser écrire, je suis à berlin tout de même.
j'ai de nouveau passé la journée au lit. j'ai pas la moindre envie de sortir. j'ai même plus envie d'aller à la piscine. j'arrive à me motiver pour rien. je reste enfermée dans ma chambre comme si y avait pas toute une ville à découvrir à l'extérieur. quand je suis dans ma chambre berlin n'existe plus. j'oublie qu'elle est là. tout ce qui existe c'est la façade d'en face et les deux fenêtres des voisins dans le petit bâtiment en contrebas dans l'arrière-cour. ou l'arrière-arrière-cour. quand je suis dans mon lit même le ciel n'existe plus. si je sortais vraiment plus du tout mon horloge biologique se désynchroniserait du reste du monde comme celle du spéléologue des années soixante qui s'est enfermé dans une grotte pour voir si son corps changerait de rythme.
mais hier c'était le premier dimanche du mois donc je suis sortie pour aller au musée. je suis allée au musée des arts décoratifs un peu par hasard, c'était un très beau bâtiment brutaliste rempli d'objets disposés dans des vitrines à l'intérieur de grandes salles feutrées avec de la moquette et des rideaux en voile. mes objets préférés c'était les trucs du moyen-âge en bas dans les salles obscures, des calices et des objets religieux en forme de château avec des tours. j'ai tout pris en photo pour les montrer à m. qui était en voyage d'affaires à antibes en train de construire sa carrière et d'aimer ça par dessus le marché donc maintenant elle a deux copains et deux carrières pendant que moi je dois me contenter d'une semi carrière qui traine et de ma solitude éternelle.
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Décoration d’intérieur : et si on osait le monochrome
Petites touches de couleur, teintes neutres… la décoration d’intérieur se veut souvent mesurée. Mais aujourd’hui, on ose le monochrome ! Après tout, quand on aime (une couleur), on ne compte pas. Choisir ses meubles, ses murs, ses tapis d’une seule couleur, cela peut faire peur. On se dit que cela fera too much, qu’on va vite se lasser ou tout simplement que cette cacophonie d’une couleur unique sera ridicule. Pourtant, le monochrome peut apporter une réelle identité et du caractère à votre intérieur. Afin que votre décoration soit réussie, il existe quelques astuces. Alors inspirez-vous et laissez-vous transporter par le monochrome. Le bleu : une couleur froide entre fraîcheur et profondeur Le Bleu est partout dans notre vie. Cette teinte symbolise une certaine stabilité et fiabilité. Présent à l’infini dans la nature, entre la mer et le ciel, le bleu nous parle. Si vous optez pour un bleu foncé sur vos murs, choisissez un mur orienté Sud. Cette teinte peut avoir tendance à assombrir une pièce et ce n’est pas l’effet recherché ! Un intérieur bleu monochrome réussi ©déco idées Le conseil monochrome : la variation des nuances Un conseil s’appliquant à chaque monochrome : la variation des nuances. Déterminez votre teinte de base, nuancez la couleur de vos objets selon cette couleur et apportez de la diversité avec un élément d’une teinte plus éloignée. Et pourquoi du métallique ? Le vert, symbole de la nature et du calme C’est la couleur du végétal, de l’espoir et de la chance. Nous apprécions tous une belle plante verte dans notre salon. Alors pourquoi ne pas oser une pièce en monochrome de vert ? Une décoration verte et boisée est idéale si vous aimez le Zen et la fraîcheur. Un monochrome parfait pour les amoureux des espaces naturels et apaisants ! Par ailleurs, cette couleur favoriserait la concentration : une bonne idée pour un bureau. Le vert et le bois : une combinaison parfaite ©Pinterest Le conseil monochrome : la matière C’est une base à connaître avant de se lancer. La diversité des matières, accordée aux nuances de la couleur choisie, donnera du relief et une bonne lisibilité à votre décoration. Du cuir, du bois, du métal ou encore du velours. Une décoration solaire avec le jaune La joie, le soleil, les vacances… forcément, le jaune est associé au rayonnement ! Le plus de cette couleur, c’est son intensité plutôt douce aux yeux : on ne va pas mettre du jaune poussin partout dans notre salon. Moutarde, miel et mimosa, le monochrome de jaune est parfait si vous voulez un environnement joyeux et solaire. Un salon solaire ©Pinterest Le conseil monochrome : les imprimés Pour jouer avec le monochrome, adoptez des imprimés ! Un tableau graphique, un vase fleuri ou encore un tabouret rayé, l’imprimé permettra de jouer avec la couleur. Et si vous ne voulez pas vous engager avec un canapé à pois (ce que l’on peut comprendre), les petits objets à motifs sont idéals afin d’éviter le côté linéaire et lisse du monochrome. Casser le préjugé du rose Trop girly, trop « nian-nian »... Le rose n’est pourtant pas réservé qu’aux chambres de petite fille. Chez vous, privilégiez le rose clair, poudré tout en y ajoutant des éléments d’un rose plus intense. Une touche de tendresse, un côté désirable et un brin d’optimisme, voyez la vie en rose jusqu’à votre intérieur. Le conseil monochrome : pastel vs intense C’est souvent la peur de se lasser très rapidement qui nous écarte du monochrome. Cependant, choisir des teintes pastel vous permettra de vivre dans un environnement coloré, mais dans une certaine mesure. Le pastel, au même titre que le blanc, accrochera la lumière : pas de risque de réduire les volumes de votre pièce. De plus, avec des murs et des meubles couleur pastel, vous pourrez choisir des objets d’une nuance plus intense. Il sera possible de changer plus facilement sa décoration tout en ayant un intérieur pétillant. Beige, gris… Des monochromes intemporels Ce sont des valeurs sûres. Le tout cette fois-ci est de miser sur l’intensité. Le gris et le beige peuvent rapidement faire terne. Pour plus de modernité, associez le beige à une table dorée et le gris à des chaises argentées par exemple. Le conseil monochrome : les touches d’autres couleurs Un décor monochrome apporte du peps à votre intérieur. Mais rajoutez une touche d’autre couleur ! Le cercle chromatique vous aidera à trouver la tonalité opposée à votre teinte utilisée en monochrome. Par exemple, un tapis orange dans un intérieur bleu amènera de la profondeur. Vous pouvez aussi utiliser une couleur proche, comme le rouge avec le rose ou le vert avec le jaune. Ce conseil s’applique au blanc. Une teinte blanche sur un meuble rafraîchira et illuminera votre décor monochrome. Pourquoi ne pas oser le monochrome de noir ? C’est le monochrome le plus difficile à réaliser. Et oui, le noir ne convient pas à tous les habitats. Il faut de grands volumes, peu de meubles imposants mais surtout, des fenêtres laissant passer un grand flux de lumière. Cette couleur peut vite devenir austère et désagréable dans des pièces de vie si elle est mal utilisée. Difficile de jouer avec les nuances, alors privilégiez les matières. Élégance et sobriété assurées. Une cuisine totalement noire et design ©Pinterest Le conseil monochrome : la forme des meubles et objets Pour un intérieur moderne et design, le choix de la forme des éléments composant la pièce est primordial. Variez les styles, les graphismes, les tailles. Il y a une multitude de choix possibles afin d’apporter du relief. Une table ronde, des luminaires en suspension, un objet design de votre style ou encore un fauteuil molletonné. Un intérieur monochrome et linéaire n’est pas l’idéal, à moins d’avoir de grand volume. Un espace lumineux avec le blanc Neutre et pure, le monochrome de blanc est très moderne. Il agrandit les pièces, rend un intérieur lumineux mais peut vite tourner au drame avec l’effet hôpital. Alors jouez avec les matières, les formes, le beige ou le gris. Un salon lumineux et neutre ©Côté maison Si vous avez une couleur préférée que vous portez partout, pourquoi ne pas tenter la décoration monochrome ? Avec ces conseils, vous avez toutes les clés en main pour réussir votre intérieur d’une seule couleur. Découvrez les tendances déco de 2020 qui vous inspireront dans votre élan monochrome ! À lire également : Feng shui : l'art du bien-être à la maison Read the full article
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TUMEURS URBAINES
Épisode 16
Quelques jours plus tard Ava travaille sur un rapport qu'elle doit bientôt présenter à sa prof.
Ava tape son rapport à l'ordinateur, sur le côté la porte fenêtre donne sur un jardin en contrebas qui appartient à la propriété.
Elle fait une pause en buvant un café tout en observant ces quatre femmes assises sur les bancs , elles sortent les enfants en bas âge parfois quand le temps le permet. Ava les regarde s'occuper des enfants et discuter le reste du temps en berçant doucement les poussettes. Ce sont des femmes de l'immeuble, elle les reconnaît.
Elle se contorsionne un peu et aperçoit un groupe de filles et de garçons plus grands qui joue à la marelle en poussant des cris stridents.
Ainsi coule cette fin d'après-midi d'automne où l'été n'a pas encore disparu, où le temps est encore clément , le soleil d'automne éclaire d'une manière particulière l'appartement mais aussi le visage d'Ava à travers la vitre.
Elle se sent à l'aise, rassurée par cette atmosphère, ces cris d'enfants qui en tendant l'oreille traversent la vitre. Ava soupire et se remet au boulot.
Dans un peu plus d'une heure elle sait que son amie Anna , avec qui elle partage l'appartement rentrera de ses cours.
Anna lui raconte son cours d'histoire avec passion en ponctuant sa discussion de grands gestes assez charmants.
En soirée, elles s'installèrent dans la cuisine devant un plat de coquillette avec une cuisse de poulet. Anna remplit les verre d'un vin rouge bon marché
Assises sur le canapé, elles regardaient sur le choix d'Anna, un vieux film de Beinex, Diva , Anna avait fait une explication pointue pour convaincre Ava de le regarder.
Elle expliqua que ce film est l'explosion totale des personnages et pour les scènes de nuit des chromatiques bleus, verts rouges alors que pour le cinéma Américain la nuit est synonyme de crimes, d'angoisses de violence et qu'il y a toujours une référence au cinéma noir , New-York ville noire , ville de nuit, ville du mal , avec des clichés esthetisants. Alors que le cinéma Français c'était autre chose.
Les deux amies regardaient Diva avec attention .
De temps à autre Ava regardait son amie en souriant, après l'exposé d'Anna , Ava regardait le film autrement.
- Tu veux une vodka ? demanda Anna
- Oui !
Anna posa deux verres et les remplit généreusement, elles continuaient à visionner le film tout en sirotant leur verre.
- je vais me coucher ! dit Anna
- bonsoir ! moi je fini de taper mon rapport
Ava alluma don ordinateur, son regard fut captivé, envoûté par la lueur bleutée de l'écran qui inondant la pénombre du salon . Elle pensa à ce moment qu'elle avait vécu en regardant le jardin , elle avait apprécié ces instants . Le souvenir des cris d' enfants résonnaient agréablement encore dans ses oreilles , elle revoyait les mamans et les enfants qui venaient dans ce jardin.
Cette fin d'après-midi où le soleil lui avait caressé le visage , elle revivait tous ces moments précieux. A cette heure tardive le jardin était éclairé par de petits lampadaires. La végétation était encore luxuriante malgré l'automne qui pointait son nez timidement mais sûrement. Ava aimait les transitions de saison. Elle se laissait volontiers envahir par ces digressions qu'elle trouvaient agréables. Elle se sentait bien à cette endroit, à côté de cette porte fenêtre donnant sur le jardin qu'elle que soit l'heure , le jour .
Parfois les soirs de grandes chaleurs les mamans descendaient prendre le frais , les plus grands profitant de cette autorisation pour se coucher un peu plus tard .
Sa pensée vagabonda jusqu'au petit immeuble de l'autre côté où au printemps Ava pouvait admirer quelques tranches de vie , de sa place elle voyait des femmes souvent seule parfois avec un bébé boirent un café en feuilletant un magazine, de la musique s'échappait des fenêtres. Le parfum du café lui chatouillait les narines quand le vent le voulait bien .
Ava accueillait ces éffluves avec bonheur.
De pensées en digressions débordantes surgit dans son esprit les visages des parents de Michel et des deux autres .
Toutes les personnes qu'elle avait exécuté sans procès sans regret. Elle ferma l'ordinateur et jeta un dernier regard sur le jardin et alla se coucher.
Elle s'endormit rapidement.
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#Designitalieninnovant#DestinationuniqueauxÉmiratsArabesUnis#gastronomie#Hôtelécologique#OberoiBeachResortAlZorah#Retraitespirituelle
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toujours et encore dimitri
#dimitri#oc#original character#rose#pink#bleu#vert#jaune#canapé défoncé#canapé#fauteil dégoncé#abimé#sigh#soupir#grr#démon#demoniaque#dessin#dessin informatique#paint#bradypus#artists on tumblr#my art#mspaint#mspaintart
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#30jourspourécrire #jour10 #centansdesolitude
Cent ans de solitude, cent temps de solitude.
Un temps pour moi, sous le lilas, les pieds nus dans l'herbe fraîche et le soleil dans le décolleté, la jupe remontée sur les cuisses, un chat ronronnant à mes côtés.
Un temps pour mes pensées au sortir de mes nuits hâchées, le matin, nue à la fenêtre donnant sur le jardin. Un thé blanc brûlant entre mes mains, un chat (encore) se frottant contre mes chevilles, mes yeux posés sur le laurier et l'eucalyptus attendant que le ciel flamboie sur les toits.
Un temps du perron après l'école, le béton tiède, la bière glacée, mes jambes allongées, croisées sur les marches, les bruits de la rue au loin, les rires des collégiens qui traînent un peu en rentrant, les saluts amicaux des voisins, un chat, voire deux, se chauffant au soleil au bas de l'escalier.
Un temps de nuit, haletante, indécente, cambrée sous le drap, le plaisir au bout des doigts, cheveux emmêlés, lèvres mordues et toi sous mes paupières.
Un temps d'écriture, carnets raturés, griffonnés, noircis, encre bleue, pages bistres. Le texte qui émerge, parfois dans la douleur, que je nourris et qui me nourrit.
Un temps de lecture, fauteuil crapaud rouge, thé vert aux agrumes, les lunettes sur la tête, carrés de chocolat, un chat sur le dossier (toujours), dormant dans mon cou. Cet ailleurs fait de mots palpables, ce voyage intérieur, cette impression de vivre quelque chose de tellement plus grand que soi.
Un temps de déambulations, à Paris, prendre n'importe quelle ligne de métro, descendre à n'importe quelle station, se perdre volontairement, marcher à pas lent, lever le nez, voir...savourer un café crème en terrasse en feuilletant, futilité assumée, un magazine de filles acheté dans un kiosque.
Un temps grand bleu, enchaîner les longueurs, ne sortir la tête que le strict minimum, pour garder le bruit feutré et l'écho lointain de la vie, sous l'eau. Se recroqueviller contre le mur puis y appuyer la plante de ses pieds de toutes ses forces pour fendre l'eau comme une lame.
Un temps chagrin, pour s'assécher du lac de larmes qui déborde, les écouteurs dans les oreilles et la play liste écluse.
Un temps chaussures qui volent, table basse repoussée pour tourner, virer, danser, comme une folle, et s'écrouler épuisée sur le canapé.
"Au fond, c'est ça la solitude : s'envelopper dans le cocon de son âme, se faire chrysalide et attendre la métamorphose, car elle arrive toujours." August Strindberg
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Six exercices malins d’autohypnose
Stress, mélancolie, fatigue… l’autohypnose peut nous aider au quotidien. Et si vous testiez ces exercices malins mis au point par un spécialiste ?
L’hypnose ? Un état entre veille et sommeil qu’on expérimente tous spontanément dans notre quotidien, par exemple lorsqu’on laisse son imaginaire vagabonder. Avant de pratiquer les exercices ci-dessous, élaborés avec Jean-Michel Jakobowicz, hypnothérapeute et auteur de « L’Autohypnose pour soigner les angoisses » (éd. Leduc.S), enregistrez-les (ou sollicitez un proche dont la voix vous plaît) sur votre Smartphone, et prenez soin de laisser des silences entre les phrases. Placez-vous ensuite en état d’hypnose. Asseyez-vous confortablement dans un fauteuil. Fixez un point au-dessus de votre ligne d’horizon (objet haut placé, point lumineux…). Vos paupières deviennent lourdes, vous résistez quelques secondes, vous fermez les yeux. Puis vous effectuez la visualisation qui répond à votre problématique.
EXERCICE 1 : SE CALMER APRÈS UNE DISPUTE D'AMOUREUX
La nuit a été orageuse. Des pluies abondantes se sont déversées sur le jardin aux fleurs multicolores. Ce matin, il reste quelques gouttes d’eau qui se sont accrochées aux pétales des fleurs. Dans le ciel, il y a encore quelques nuages. Mais, lorsque le soleil apparaît, ils se dissipent pour laisser place à un ciel bleu. Les rayons se reflètent dans les gouttes de pluie. Puis elles disparaissent, laissant les fleurs exhaler tout leur parfum. Une sérénité envahit votre corps. Tout est si simple. Il suffit pour cela d’apprécier la beauté des fleurs. Vous respirez profondément. Vous êtes paisible. Vous vous sentez parfaitement bien.
EXERCICE 2 : DORMIR COMME UN BÉBÉ
Imaginez-vous allongée sur un canapé, dans un chalet de montagne. Vous avez une sensation de sécurité. À l’extérieur, la neige vous protège de tout ce qui pourrait ternir votre sérénité. Vous êtes bien. Vous regardez danser les flammes du feu de bois dans la cheminée. Elles sont de toutes les couleurs. Vos yeux se ferment peu à peu. Vous vous sentez apaisée dans ce lieu. Comptez maintenant à rebours de 51 à 22. Chaque fois que vous égrenez un chiffre, vous descendez plus profondément vers l’état de sommeil. Vous êtes apaisée.
EXERCICE 3 : ASSURER LORS D'UN RENDEZ-VOUS PRO
Vous êtes assise dans un fauteuil derrière un imposant bureau en bois massif. Vous recevez une personne qui postule un emploi. Vous êtes confortablement installée et sûre de vous. Votre visiteur est tout petit. Il s’approche timidement de vous. Vous vous sentez en position de force et c’est une sensation agréable. Pourtant, vous éprouvez une empathie vis-à-vis de lui. Vous sentez qu’il est inquiet d’être à cette place. Vous lui souriez et lui tendez la main pour serrer la sienne. Vous lui posez des questions faciles auxquelles il répond de manière satisfaisante. Au fil de l’entretien, la taille de votre interlocuteur grandit. À la fin, vous lui serrez la main. Le courant passe bien entre vous. Vous êtes confiante.
EXERCICE 4 : APAISER SON VAGUE À L'ÂME
Imaginez que vous êtes dans un couloir gris sombre avec des portes. Vous ignorez ce qu’il y a derrière. Ouvrez la première porte de gauche. Un flot de lumière vous assaille. Il y a un grand lit. Il fait bon. Vous vous sentez protégée. Par la fenêtre, vous découvrez un jardin exotique avec des fleurs, des oiseaux… Au loin, vous voyez la mer et la plage. Retournez dans le couloir. Il est un peu plus lumineux. Ouvrez la première porte à droite. Imaginez le décor et l’atmosphère agréable de ce lieu. Soyez attentive aux couleurs, aux odeurs, aux sensations… Ouvrez les portes les unes après les autres. Plus vous avancez, plus le couloir est lumineux. Lorsque vous arrivez dans la pièce qui vous convient le mieux, restez-y quelques instants. Vous ressentez une paix intérieure et une sensation de bien-être.
EXERCICE 5 : VAINCRE LA PEUR DE LA CONTAGION
Vous êtes dans un lieu où vous vous sentez en sécurité, qui vous protège de tout et de tous. Un lieu où vous pouvez enfin respirer librement. Peut-être s’agit-il d’une grande coupole transparente ou bien même d’une autre planète très chaleureuse. Peu importe, l’air y est pur, transparent et léger. Vous pouvez respirer à pleins poumons, courir, danser, chanter, profiter du soleil. Détendre votre corps, le laisser flotter dans cette atmosphère saine et accueillante. Sentez comme c’est agréable de pouvoir enfin vous laisser aller en toute confiance, en toute immunité. Profitez de cette liberté pour détendre votre corps et votre esprit.
EXERCICE 6 : RECHARGER SES BATTERIES
Imaginez un petit ruisseau qui coule doucement entre les herbes vertes et les pierres noires et blanches. Les arbres lui font de l’ombre et, par endroits, malgré tout, le soleil se reflète dans ses eaux. Tout est calme. Peu à peu, ce petit ruisseau gagne en volume. De ruisseau, il devient rivière, qui se transforme rapidement en torrent tumultueux. Regardez bien ce torrent dont la puissance, la force et l’énergie se diffusent peu à peu dans tout votre corps. Cette énergie vient de l’univers, du soleil, de l’eau et de la terre. Vous pouvez sentir comment elle s’accumule dans les milliards de cellules de votre corps et comment elle redonne cet élan vital plein de joie et de dynamisme. Vous vous sentez bien, forte et pleine d’allant.
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Emission du 13/01/2021
Sophie Ferjani
Savonnerie Marseillaise
Mobilier et décoration
Cloison blanche – Ref 3663602101727
https://www.castorama.fr/cloison-3-en-1-geom-axioma-blanche/3663602101727_CAFR.prd
Meuble sous vasque – Ref 8003964549105
https://www.castorama.fr/meuble-sous-vasque-a-suspendre-focus-blanc/8003964549105_CAFR.prd
Robinet vasque – Ref 3663602663287
https://www.castorama.fr/mitigeur-pour-vasque-a-manette-unique-carre-goodhome-pazar/3663602663287_CAFR.prd
Rail porte coulissante- Ref 3663602776093
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Vasque - Ref 3663602954682
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Evier cuisine – Ref 3663602901211
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Porte coulissante cuisine – Ref 3663602125129
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Robinet cuisine - Ref 3663602930983
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Hotte à encastrer – Ref 3663602842712
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Petit mobilier, luminaires, vaisselle et décoration:
Véritable référence de l’art de vivre à la française, Côté Table apporte style et élégance à la décoration d’intérieur en alliant tradition et modernité. Son association subtile de matières nobles sur des collections raffinées qui subliment le style français : art de la table, objets déco, textile, luminaires, meubles… En ville, à la campagne ou en bord de mer, l’esprit Côté Table à la douceur chic est au rendez-vous.
Facebook : https://www.facebook.com/cotetableofficiel
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Moule à cake Ingrid (réf 34765) – grès – 22 x 11,5 x H7cm – 22,95
Plat à four Ingrid (réf 34766) – grès – 33,5 x 22,5 x H5,5cm – 32,50€
Vase Ormea (réf 35029) – verre – D19 x H30cm – 52,50€
Vase Ormea (réf 35039) – fer – D38 x H27cm – 105€
Vase Ormea (réf 35057) – verre et laiton – 25 x 7 x H18cm – 47,50€
Depuis plus de 50 ans, SEMA Design s’impose comme un acteur incontournable du marché de la décoration. Forte de son bureau de création intégré, la marque anticipe et créé les styles de ses collections en proposant sans cesse des nouveautés dans l’air du temps. Ambiances, couleurs et matières sont travaillées par ses équipes pour offrir des créations uniques, ludiques aux motifs toujours plus originaux. La marque continue d’affirmer ses ambitions en proposant une déco urbaine et tendance. Vaisselle, luminaire, textile, meuble et autres accessoires sont autant d’objets qui égayent le quotidien
Bols Ekume (réf 71224) – grès – 30cl – 8,30€ l’un
Tasses Ekume (réf 71228) – grès – 30cl – 7,50€ l’une
Assiette Ekume (réf 71335) – grès – D27cm – 21,40€
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Lampe d’ambiance Champart (réf 73198) – fer - D35 x H41cm – 90€
Housse de coussin Velvet doré (réf 73345) – velours polyester et coton – 45 x 45cm – 22,90€
Housse de coussin Velvet doré (réf 73350) – velours polyester et coton – 45 x 45cm – 22,90€
Set de table Boho (réf 73502) – jonc de mer – D35cm – 7,95€
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PENNSY Ref 5258
Suspension conique bi-matière en coton et cannage. Dimensions : H.22cm - Ø44cm - E27 / 100W. Couleur : pétrole. Prix Public : 49,90€
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Applique tablette en métal peint. Tête pivotante. Equipée d’un port USB pour recharge smartphone. Tirette et câble textile constrasté. Idéale en chevet de lit.
Dimensions : H.26cm - L.30cm - P25cm - E14 / 40W.
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Plafonnier 1L avec abat-jour forme coupole en rotin tressé. Equipé d’un pavillon en métal peint adaptable DCL. Dimensions : Ø50cm - H.11cm - E27 / 60W.
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MENORCA Ref 91868
Applique bi-matière, coton et raphia naturel. Deux positions possibles pour l’abat-jour. Dimensions : H.20cm - L.20,5cm - P.10cm - E14 / 40W.
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SWANN Ref S0027
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Objet lumineux LED en verre. Base ronde décoration ampoule. Dimensions : H.21cm - D.10cm.
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Fabricant indépendant français de peintures bâtiment depuis 1936.
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Dimanche 29 mars 2020
Entre deux migraines, je relis mon œuvre d’hier, et je le dis en toute humilité : j’ai du mal à me remettre d’être parvenue à tisser une prose aussi époustouflante.
Je commence à recevoir un certain nombre de messages d’encouragement. Des gens du commun m’apportent leur témoignage d’un peu partout en France.
Il y a Robert, qui a lancé un blog il y a une quinzaine de jours, “comme vous, Madame de Saint Léger”. Comme il est touchant. Depuis son deux-pièces au premier étage dans un immeuble de Clichy qui en compte vingt-trois, tous les midis, ce sympathique père de famille tend le bras par la fenêtre, son téléphone en main, pour prendre une photo du ciel et “voir le temps qu’il fait”. Puis il poste la photo en ligne, carré de ciel bleu, gris, ou nuageux, encadré par le haut des immeubles qui délimitent la cour intérieure sur laquelle donnent ses fenêtres. Il y aurait toute une réflexion artistique à formuler autour de ce passe-temps gentillet. C’est d’autant plus beau qu’il ne le sait pas, comme une femme est d’autant plus belle lorsqu’elle l’est sans le savoir.
Il y a Gaëlle, confinée avec son époux et ses deux enfants, qui rêve depuis des années de prendre un congé sabbatique pour écrire des thrillers. L’entreprise pour laquelle elle et son mari travaillent a mis tout son personnel au chômage technique. La journée, Gaëlle s’occupe des enfants, des repas, de l’entretien de la maison, et du jardin. Le soir, alors que son rêve de congé sabbatique s’est pourtant réalisé, elle se retrouve coincée devant une page blanche, comme hébétée. “C’est comme si j’étais vidée”. Son époux, lui, s’est lancé dans la conception d’une bande dessinée, et son projet avance à vive allure. Sans doute que lui a su lâcher prise sur certaines choses. “Pendant que je m’occupe de l’intendance, il passe toutes ses journées, du matin au soir, avec ses crayons, son aquarelle et son papier Canson,” m’écrit-elle. La fierté qu’elle éprouve à l’égard de son petit mari me réchauffe le cœur.
Je reçois beaucoup de messages de personnes aspirant à devenir écrivain. Kevin, ouvrier d’une usine elle aussi au chômage technique, constate que le roman qu’il a dans la tête depuis trois ans au moindre détail près ne s’écrit pas aussi facilement qu’il l’aurait cru. À la lecture de sa prose naïve, je constate avec attendrissement qu’elle ne comporte pas la moindre faute de français. Les correcteurs automatiques sont aujourd’hui d’une efficacité terrifiante. Kevin me raconte qu’il ne parvient à griffonner sur son brouillon que des scènes ratées et des sentiments confus.
Eh bien oui.
C’est un métier.
Mais c’est avant tout un don.
Une certaine Lola m’a demandé de façon très laconique: “C’est du second degré ?!” – sans Bonjour, ni Merci, ni Au revoir. Je ne sais pas à quel passage précis elle fait référence, mais oui, bien sûr qu’il m’arrive de faire du second degré. Je me love et m’épanouis dans tous les registres et dans tous les styles possibles. Je suis un animal littéraire ! Et même si je goûte généralement peu le sarcasme – trop d’agressivité passive – je sais parfaitement être dans l’auto-dérision.
J’accueille tous ces messages de sympathie et d’admiration avec beaucoup de gratitude et d’humilité, alors qu’au dehors, le vent souffle de toutes ses forces. En haut de la colline de Trouville, le vieux manoir tremble et les courants d’air remuent la poussière. Confinée dans ma chambre au second étage, avec pour seule distraction quelques rares visites de Dolores, il m’arrive d’aller contempler par la fenêtre la vue sur le jardin et sur la mer. Comme Robert avec son smartphone brandi au bout de son bras tendu au milieu des édifices, je cherche parmi les nuages gris un petit coin de ciel bleu.
Un coup de fatigue. Je vais m’allonger quelques minutes. Coup de fil à Dolores : je veux qu’elle me passe Édouard.
– Mais il est en plein cours de chinois sur Skype avec son professeur ! me répond-elle dans un parler indistinct.
– Le chinois attendra.
Je l’entends qui explique à mon fils que sa maman veut lui parler. Il râle un instant parce qu’il aime bien faire le grand.
– Oui, Maman ?
– Ça va mon chaton ? Je voulais simplement entendre le son de ta voix.
– Oui oui, ça va. Tu t’ennuies ?
– Non, tu sais. J’apprécie beaucoup ma propre compagnie.
– J’ai cours avec Qiang, là. Tu veux que je te passe Henri ?
– Non non, repasse le portable à Dolores, mon grand. Bon cours.
Je raccroche, un sourire serein sur les lèvres. Henri est trop petit pour parler au téléphone, ça prend toujours des heures. Je l’entends qui pleure en bas. J’espère qu’il ne s’est pas fait mal.
Je reprends mon téléphone et je vais me promener un instant dans le ventre de la bête immonde de notre époque, grande moissonneuse-batteuse des intellects, grande messe bruyante de la pensée unique, à laquelle je participe à mon corps défendant, par pure nécessité. Effleurement de l’icône bleue et blanche, et la vie, les visages et les lectures de mes amis s’étalent sous mes yeux.
Facebook.
Tout cela me met très mal à l’aise. J’ai du mal à comprendre que l’on puisse exposer ainsi sa vie privée.
Tiens, la publication que j’ai postée hier pour annoncer que j’étais atteinte du Covid-19 compte trente-six nouveaux likes, et douze nouveaux commentaires. Je ne peux m’empêcher de remarquer que Claire, avec la video de son fils qui joue à l’aventurier sur le canapé de leur salon, n’a fait que six likes.
Je suis rassurée de voir que les gens préfèrent encore les mots vrais aux vidéos anesthésiantes.
Je like à mon tour les commentaires qui m’ont été laissés, mais je n’y réponds pas. Je posterai un merci général si jamais je m’en sors.
Je continue de descendre. Mon ami Pierre-Henri a posté une video de son chat qui a dépassé les trois mille vues. Comme les gens doivent s’ennuyer ! Cela me dépasse. Cette période de confinement, c’est l’occasion rêvée de faire tout ce que l’on persiste à remettre au lendemain, ou, comme Kevin et Gaëlle, de s’essayer à un nouveau hobby !
Quelle idée bizarre, tout de même, de perdre ce temps si précieux, ce bien insaisissable dont nous ne disposons qu’en quantité finie, pour regarder un chat donner des petits coups de patte dans une araignée de jardin. Et puis cette video est mal filmée, tout y est flou, et il ne se passe rien d’incroyable à la fin.
À l’idée que tant de personnes puissent préférer cela à n’importe quelle saine lecture, je suis envahie d’un pessimisme glaçant.
Je pose mon téléphone, étourdie d’angoisse.
Je bois une gorgée d’eau.
Je respire.
Pourquoi mes contemporains courent-ils en permanence derrière le divertissement le plus criard et le plus bruyant possible ? Pour ma part, je suis plutôt d’un naturel contemplatif. Paresseuse contrariée qui trouve somme toute une certaine satisfaction à ce confinement. S’il n’était pas une telle source d’anxiété, je crois bien que je pourrais m’y faire, à cette dolce vita, cette douce vie où l’on peut se laisser aller à regarder les journées passer. À observer les variations infimes de la lumière sur le vert mouvant des feuilles, tout en entendant au loin les rires des enfants.
Temps propices à la création.
Et si cette crise nous amenait à repenser le monde différemment ? À repenser nos vies pour les ramener à l’essentiel ?
Je pense à tout ce qu’il y a de vraiment indispensable dans mon existence, en dehors de l’écriture.
Respirer.
Lire les grands classiques littéraires, et quelques écrivains contemporains.
Manger correctement.
Passer des moments privilégiés avec mes enfants, sans avoir à me soucier des basses questions logistiques.
Le violon.
Victor.
Je me rends compte que mis à part le violon, pauvre ami fidèle resté à Paris pour garder la maison, j’ai là tout ce qu’il me faut vraiment, et même plus – j’ai également un jardin, la présence rassurante de mes parents, et mille et une autres petites choses.
Mais à bien y réfléchir, en faisant un petit effort, nous pourrions, tous, nous contenter de peu.
Je rappelle Dolores au téléphone pour qu’elle nous prépare pour le dîner des bouchées de lotte au pamplemousse et au safran et une pavlova à la poire et aux amandes.
Des aliments sains et bons.
Des choses simples. Surtout ne jamais passer à côté.
—Ludivine de Saint Léger
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Décoration d’intérieur : et si on osait le monochrome
Petites touches de couleur, teintes neutres… la décoration d’intérieur se veut souvent mesurée. Mais aujourd’hui, on ose le monochrome ! Après tout, quand on aime (une couleur), on ne compte pas. Choisir ses meubles, ses murs, ses tapis d’une seule couleur, cela peut faire peur. On se dit que cela fera too much, qu’on va vite se lasser ou tout simplement que cette cacophonie d’une couleur unique sera ridicule. Pourtant, le monochrome peut apporter une réelle identité et du caractère à votre intérieur. Afin que votre décoration soit réussie, il existe quelques astuces. Alors inspirez-vous et laissez-vous transporter par le monochrome. Le bleu : une couleur froide entre fraîcheur et profondeur Le Bleu est partout dans notre vie. Cette teinte symbolise une certaine stabilité et fiabilité. Présent à l’infini dans la nature, entre la mer et le ciel, le bleu nous parle. Si vous optez pour un bleu foncé sur vos murs, choisissez un mur orienté Sud. Cette teinte peut avoir tendance à assombrir une pièce et ce n’est pas l’effet recherché ! Un intérieur bleu monochrome réussi ©déco idées Le conseil monochrome : la variation des nuances Un conseil s’appliquant à chaque monochrome : la variation des nuances. Déterminez votre teinte de base, nuancez la couleur de vos objets selon cette couleur et apportez de la diversité avec un élément d’une teinte plus éloignée. Et pourquoi du métallique ? Le vert, symbole de la nature et du calme C’est la couleur du végétal, de l’espoir et de la chance. Nous apprécions tous une belle plante verte dans notre salon. Alors pourquoi ne pas oser une pièce en monochrome de vert ? Une décoration verte et boisée est idéale si vous aimez le Zen et la fraîcheur. Un monochrome parfait pour les amoureux des espaces naturels et apaisants ! Par ailleurs, cette couleur favoriserait la concentration : une bonne idée pour un bureau. Le vert et le bois : une combinaison parfaite ©Pinterest Le conseil monochrome : la matière C’est une base à connaître avant de se lancer. La diversité des matières, accordée aux nuances de la couleur choisie, donnera du relief et une bonne lisibilité à votre décoration. Du cuir, du bois, du métal ou encore du velours. Une décoration solaire avec le jaune La joie, le soleil, les vacances… forcément, le jaune est associé au rayonnement ! Le plus de cette couleur, c’est son intensité plutôt douce aux yeux : on ne va pas mettre du jaune poussin partout dans notre salon. Moutarde, miel et mimosa, le monochrome de jaune est parfait si vous voulez un environnement joyeux et solaire. Un salon solaire ©Pinterest Le conseil monochrome : les imprimés Pour jouer avec le monochrome, adoptez des imprimés ! Un tableau graphique, un vase fleuri ou encore un tabouret rayé, l’imprimé permettra de jouer avec la couleur. Et si vous ne voulez pas vous engager avec un canapé à pois (ce que l’on peut comprendre), les petits objets à motifs sont idéals afin d’éviter le côté linéaire et lisse du monochrome. Casser le préjugé du rose Trop girly, trop « nian-nian »... Le rose n’est pourtant pas réservé qu’aux chambres de petite fille. Chez vous, privilégiez le rose clair, poudré tout en y ajoutant des éléments d’un rose plus intense. Une touche de tendresse, un côté désirable et un brin d’optimisme, voyez la vie en rose jusqu’à votre intérieur. Le conseil monochrome : pastel vs intense C’est souvent la peur de se lasser très rapidement qui nous écarte du monochrome. Cependant, choisir des teintes pastel vous permettra de vivre dans un environnement coloré, mais dans une certaine mesure. Le pastel, au même titre que le blanc, accrochera la lumière : pas de risque de réduire les volumes de votre pièce. De plus, avec des murs et des meubles couleur pastel, vous pourrez choisir des objets d’une nuance plus intense. Il sera possible de changer plus facilement sa décoration tout en ayant un intérieur pétillant. Beige, gris… Des monochromes intemporels Ce sont des valeurs sûres. Le tout cette fois-ci est de miser sur l’intensité. Le gris et le beige peuvent rapidement faire terne. Pour plus de modernité, associez le beige à une table dorée et le gris à des chaises argentées par exemple. Le conseil monochrome : les touches d’autres couleurs Un décor monochrome apporte du peps à votre intérieur. Mais rajoutez une touche d’autre couleur ! Le cercle chromatique vous aidera à trouver la tonalité opposée à votre teinte utilisée en monochrome. Par exemple, un tapis orange dans un intérieur bleu amènera de la profondeur. Vous pouvez aussi utiliser une couleur proche, comme le rouge avec le rose ou le vert avec le jaune. Ce conseil s’applique au blanc. Une teinte blanche sur un meuble rafraîchira et illuminera votre décor monochrome. Pourquoi ne pas oser le monochrome de noir ? C’est le monochrome le plus difficile à réaliser. Et oui, le noir ne convient pas à tous les habitats. Il faut de grands volumes, peu de meubles imposants mais surtout, des fenêtres laissant passer un grand flux de lumière. Cette couleur peut vite devenir austère et désagréable dans des pièces de vie si elle est mal utilisée. Difficile de jouer avec les nuances, alors privilégiez les matières. Élégance et sobriété assurées. Une cuisine totalement noire et design ©Pinterest Le conseil monochrome : la forme des meubles et objets Pour un intérieur moderne et design, le choix de la forme des éléments composant la pièce est primordial. Variez les styles, les graphismes, les tailles. Il y a une multitude de choix possibles afin d’apporter du relief. Une table ronde, des luminaires en suspension, un objet design de votre style ou encore un fauteuil molletonné. Un intérieur monochrome et linéaire n’est pas l’idéal, à moins d’avoir de grand volume. Un espace lumineux avec le blanc Neutre et pure, le monochrome de blanc est très moderne. Il agrandit les pièces, rend un intérieur lumineux mais peut vite tourner au drame avec l’effet hôpital. Alors jouez avec les matières, les formes, le beige ou le gris. Un salon lumineux et neutre ©Côté maison Si vous avez une couleur préférée que vous portez partout, pourquoi ne pas tenter la décoration monochrome ? Avec ces conseils, vous avez toutes les clés en main pour réussir votre intérieur d’une seule couleur. Découvrez les tendances déco de 2020 qui vous inspireront dans votre élan monochrome ! À lire également : Feng shui : l'art du bien-être à la maison Read the full article
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Adaptation
Défi : 10 000 pas par jour. Tel serait l’objectif à atteindre pour se maintenir en forme, parait-il. 10 000 pas, dans nos vies modernes trop sédentaires, ce n’est pas facile à atteindre au quotidien. Aujourd’hui, en ce temps suspendu, réduit à rester chez soi, est-il possible de le relever ? Normalement, par un si beau dimanche de début de printemps, il serait inconcevable de rester à la maison. Cela aurait pu être une escapade en amoureux, un week-end à la montagne ou au moins une balade dans les sentiers de la campagne environnante.
Rien de tout ça. Il faut inventer d’autres solutions, sans franchir le portail. Même si je vivais dans un petit appartement, même s’il fallait me contenter de tourner en rond autour de la table du salon ou de faire de aller-retours dans le couloir, je continuerais de marcher. J’ai de la chance, j’habite dans une maison, entouré d’un jardin. Depuis quelques jours, il se transforme quasiment à vue d’œil, pour se remplir de fleurs et de feuilles vert tendre. Faisons donc le tour du jardin. Que de merveilles à ma porte ! J’ai de la chance. Merci la vie de me permettre d’en profiter.
Un tour du jardin, en faisant des zigzagues, ça fait entre 400 et 500 pas. Donc, si je le fais 20 fois, je devrais réussir mon défi. Je descends d’un côté, je remonte de l’autre, je tourne d’un côté, je retourne de l’autre, je contourne et je détourne. Tant de variétés de contacts sous mes pieds dans un espace limité : des graviers, de la terre, de l’herbe, du bois, de la pierre, du béton… Mes pieds sont heureux. Et moi aussi, puisque je marche !
Ami lecteur ou lectrice, prépare-toi pour un long, très long paragraphe. Si tu manques de courage, tu peux sauter directement à celui d’après. Sinon, accompagne-moi dans le tour de mon monde en 400 pas. C’est parti !
Je passe devant le grand portail qui prend la rouille, mais que je trouve beau comme ça. Je descends à gauche la rampe sur le côté de la maison, entre le grand cyprès et la haie de vieux buis décimée par la pyrale, mais reverdie par toutes les plantes grimpantes qui se servent des branches dégarnies comme de tuteurs. Sur ma gauche, le côté de la maison et ses 4 fenêtres. Sur l’appui de la fenêtre en bas à gauche, il y a toujours 3 fers à cheval rouillés. Depuis quand sont-ils là ? 5 ans ? 7 ans ? Sur ma droite, au pied de la haie, le bébé cyprès qui peut-être deviendra grand. Juste après, je passe devant la tonnelle recouverte par la glycine qui se prépare secrètement à fleurir bientôt. Je contourne le gros laurier taillé en boule, sans prendre à gauche la pente vers la cabane et le noyer. Je descends plutôt l’escalier étroit aux marches faites de tronçons de vieilles traverses de chemin de fer. En bas des marches, je tourne à gauche pour traverser la terrasse intermédiaire et rejoindre l’escalier large qui descend jusqu’à la piscine. Je contourne par la droite le grand bassin encore protégé par la bâche d’hivernage. Sera-t-il découvert le mois prochain ? Je longe la terrasse en bois jusqu’à l’olivier au feuillage argenté, puis je tourne à droite, dans l’herbe, en enjambant les taupinières et en évitant d’écraser les innombrables pâquerettes. Les taupes s’y connaissent en matière de confinement. Quels conseils donneraient-elles ? Je descends en diagonale vers l’angle inférieur droit du jardin, là où se trouve le passage pour rejoindre le jardin de mon voisin. Je contourne le portique de la balançoire, qui ne sert plus depuis longtemps. Je descends encore, jusqu’en bas du talus qui forme la limite du terrain. Impossible de descendre davantage. Je tourne à gauche, dans l’étroit passage entre le bas du talus et la haie sauvage, là où l’on entasse les déchets verts. Le terrain est accidenté, je dois regarder où je pose mes pieds. Combien faudra-t-il de passages pour que commence à se dessiner le début d’un sentier ? Je manque de justesse d’écraser une belle tige verte, bien droite, qui me fait penser à un poireau fin, ou peut-être à un oignon sauvage. Il faudra que j’interroge ma voisine qui connaît bien les plantes. Je pourrais lui téléphoner ou lui envoyer une photo, puisque je ne peux pas aller la voir. Je contourne par la droite le bouquet de noisetiers et je me faufile en remontant à gauche l’escalier étroit le long du local technique de la piscine, dont j’entends le bourdonnement discret. Me voilà de nouveau au pied de l’olivier. Mes pieds retrouvent avec plaisir le contact du bois de la terrasse. Je longe toute la longueur de la piscine, sur l’étroite bande bordée par le talus. J’avance nettement plus vite que si je nageais dans l’eau. Au bout, je tourne à gauche, à la hauteur du lilas qui se prépare à fleurir de sa belle couleur violet intense. Je passe à proximité du figuier et du massif de bambous, en marchant toujours sur la terrasse, en bois d’ipéca. Pourquoi le nom de ce bois me revient-il en tête maintenant, alors que je le cherchais sans réussir à le retrouver tout à l’heure ? Dans cette partie, beaucoup de planches ne sont plus fixées que d’un côté : elles bougent sous mes pieds, un peu comme si je marchais sur les lames d’un kalimba géant. Je tourne à gauche encore pour la longueur retour, dans la partie la plus large de la terrasse, celle qui sert de solarium, de zone d’élan pour faire des ploufs dans la piscine, d’espace pour installer mon tapis de yoga, de zone de dépôt pour le matériel d’entretien et aussi parfois, l’été, d’abri pour des essaims de guêpes. Avant la fin de la terrasse en bois, je tourne à droite pour remonter l’escalier large, puis encore à droite vers la terrasse en béton, devant la vieille cabane à l’abandon, sous le vieux noyer. Puis, c’est la pente qui remonte en travers, jusqu’à la hauteur de la maison. Sous mes pieds, le sol en béton est recouvert de lierre sur la gauche, recouvert de mousse sur la droite. Au centre, une bande grise marque l’endroit le plus emprunté. Le long de la pente, sur la droite, le long mur en béton, fissuré par endroit, est entièrement recouvert de lierre toujours vert et de vigne vierge qui s’apprête à reverdir. En haut de la pente, sur la droite, le cerisier du Japon, au sommet de sa floraison, explose de fleurs rose intense. À son pied, je tourne à droite, pour passer devant la maison. Sur la terrasse dallée de pierres, mon scooter est sagement stationné. Juste en face, au milieu du massif touffu, le magnolia déploie ses branches encore dénudées, qui ne portent pour le moment que ses grandes fleurs aux pétales soigneusement peints en dégradé du violet au rose pâle. Un peu à l’écart, au-dessus de tout cela, installé juste derrière le mur de clôture, se dresse l’immense cèdre aux reflets vert bleuté. À cet angle de la maison, je rejoins l’autre cerisier, éblouissant de fleurs blanches, qui donnera dans quelque temps des cerises qu’il faudra disputer aux oiseaux. Je prends à gauche sous le cerisier puis descends dans le grand sous-sol sous le bâtiment attenant à la maison. Au fond, la table de ping-pong est repliée, elle n’a plus servi depuis des années. Peut-être serait-il temps qu’elle reprenne du service ? Pour lui tenir compagnie dans ce vaste espace vide, une table et des chaises de jardin, un banc, un vieux canapé, une roue de voiture, une grande poubelle vide, un vieux tas de bois… Au fond, à gauche, la porte me donne accès au passage où se trouve l’escalier métallique qui remonte derrière la maison. 6 marches droites, 6 marches qui tournent, bordées par une grille en forme de soleil, 4 marches droites, demi-tour sur le petit pont, métallique lui aussi, qui rejoint la large dalle à l’arrière de la maison. Je passe entre les voitures stationnées et le mur de clôture le long de la rue. L’espace est dominé par l’immense cèdre, bien vert celui-là, tellement grand au-dessus de ma tête que j’en oublie presque sa présence. Je passe devant la petite terrasse qui précède la porte d’entrée de la maison. Encore quelques pas et me revoilà à la hauteur du portail.
Voilà, ça fait un tour. Plus que 19. Pour faire un compte-rendu fidèle de mon défi, je pourrais copier-coller le paragraphe précédent 19 fois. Cela serait long et monotone. Pourtant, en marchant, je ne me suis jamais ennuyé. Bravo si tu as pris le temps de tout lire jusque là. Et encore, ma description est sommaire, j’ai omis des tas de précisions, qui te permettraient de vraiment imaginer mon jardin, même si tu n’y as jamais mis les pieds.
Par exemple, j’ai parlé de beaucoup de fleurs, mais pas des violettes qui finissent de fleurir, des iris qui commencent, des tulipes qui ne vont pas tarder, des pissenlits, moins nombreux que les pâquerettes, mais qui se transforment en gracieuses boules de graines que le courant d’air emporte.
Par exemple, j’ai omis de raconter que le bébé cyprès n’a pas poussé là tout seul. Au début, il a germé au pied des marches de la terrasse devant la porte d’entrée, à un endroit improbable, où il n’aurait pas pu grandir correctement. Alors, je lui ai choisi un emplacement plus confortable. Mais résistera-t-il à la transplantation ? Chaque fois que je passe devant lui, je lui adresse en silence mes encouragements, je l’imagine en train de plonger ses racines sous la terre, pour prendre des forces et mieux s’élancer vers le ciel.
Par exemple, j’ai peu parlé du lierre, pourtant omniprésent, qui sans vergogne, envahit tout support immobile. Il recouvre les piquets de la rampe et les piliers du portail. Il gagne contre la vigne vierge la course à recouvrir les murs. Il s’attaque même aux troncs des arbres les plus vigoureux. À certains endroits, son manteau vert est utile et agréable. À d’autres, il faut sans relâche tenter de le contenir pour qu’il n’étouffe pas les plus faibles que lui.
Par exemple, je n’ai pas évoqué la douceur de l’air, le bleu limpide du ciel, exempt de tout nuage, déserté de toute trace d’avion. J’ai tu aussi le paysage au-delà des limites de mon jardin, le petit bois sur l’autre versant du vallon, dont les arbres sont en train de passer progressivement du gris au vert, plus loin, les entrepôts de la grande usine d’avions et les constructions denses de la Ville Rose, plus loin encore, invisibles aujourd’hui, mais que je sais être là, tout au bout de l’horizon, les montagnes des Pyrénées, où je rêve d’aller marcher bientôt.
Par exemple, j’ai détaillé ce que mes yeux voient, mais passé sous silence ce que mes oreilles entendent. Et pourtant, c’est le printemps chez les oiseaux qui s’en donnent à cœur joie, en trilles et roucoulades. Ils occupent l’espace sonore laissé libre par les bruits de moteurs. Plus de ronron des voitures qui ne circulent plus sur la route en bas du vallon. Un véhicule à moteur qui passe dans la rue ne peut passer sans qu’on le remarque. Un bruit de tondeuse dans le lointain me rappelle que, faute de pouvoir faire la même chose, mon jardin va bientôt devenir un joyeux fouillis d’herbes folles. D’autres bruits prennent la place : le bourdonnement incessant des insectes, particulièrement intense quand je passe sous le cerisier rose et sous le cerisier blanc, le glissement furtif des lézards que je fais fuir et dont je n’aperçois qu’à peine le bout de la queue, le froissement des feuilles et le craquement des brindilles sous mes pas…
Je n’ai pas raconté non plus qu’au bout de 3 tours, je me suis demandé comment j’allais faire pour ne pas perdre le compte. Et qu’au 5e tour, j’ai fait une courte pause pour boire de l’eau et pour prendre de quoi tenir à jour un compteur de tours. J’ai posé un petit verre sur l’appui de la fenêtre devant laquelle je passe à chaque tour avant de descendre l’escalier étroit en dessous de la glycine. À chaque tour, j’ai cueilli une pâquerette et je l’ai déposée dans le petit verre. J’ai maintenant un joli petit bouquet de 20 pâquerettes.
Quel intérêt à raconter tout cela ? Aucun. C’est la réponse à l’inspiration du moment, le plaisir de trouver les mots, d’enchaîner les phrases, de construire un texte, de raconter une expérience. C’est un défi d’écriture, que je relève après celui des 10 000 pas. Et l’envie, au fond de moi, de transmettre à celle ou celui qui me lira, de façon aussi contagieuse qu’un virus, l’envie de marcher.
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