#c'est pour me flinguer
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superiorkenshi · 10 months ago
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Le karma d'avoir commencer doctor who pour David Tennant mais maintenant ce retrouver à ça saison et juste 9 ME MANQUE OK?!? Pour l'instant je ressent r pour ten du coup je suis la à attendre river song (j'ai aussi très hâte de voir 12)
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resident-sean-expert · 23 days ago
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e642 · 8 months ago
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La fac, les études m'ont toujours rendue folle mais alors les périodes de révisions c'est sur le podium. Mais ce qui m'énerve le plus c'est quand il fait beau, bon et que je me retrouve devant des cahiers. Il n'y a pas pire torture. Je vois déjà pas l'intérêt d'apprendre 150 pages/matière mais alors quand en plus le temps est incroyable, je le vois encore moins. En plus je suis allée chez mes parents pour réviser et le jardin est en fleurs, ya les chats, la piscine, des abeilles... Jcrois j'me mets des challenges toute seule. C'est un calvaire. Encore 3 ans de fac ? Non ya un moment où jvais écouter mes phobies d'impulsion et flinguer un 2005 dans l'amphi ou hurler. Jvais déraper un jour je le sais. Je sais juste pas quand. C'est encore un autre challenge.
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anaalnathrakhs · 3 years ago
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j’ai envie de me flinguer c’est dingue
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chifourmi · 2 years ago
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Jpourrais me flinguer juste parce que j'ai aucune reconnaissance de la part de mon frère. Je suis tout le temps là pour l'aider pour son avenir. Je passe mes soirées à le soutenir, à le conseiller, à l'écouter se plaindre, j'ai une patience dingue face à toute sa négativité. On passe en revue des listes de métiers et je note tous ceux qui l'intéressent pour qu'il se renseigne plus après, ma mère et moi on lui envoie des liens qui pourraient l'aider dans ses recherches, on n'arrête pas de proposer des solutions et je le défends quand mon père l'attaque. Je m'inquiète de dingue pour lui, c'est inimaginable. Ça me stresse tellement qu'il ne soit pas heureux dans sa vie... Et après il ose dire qu'on le déteste, qu'on est pas là pour lui parce qu'on le "lâche dans la nature d'un coup comme ça" ou alors il dit que nos propositions sont merdiques.
Ça me troue le coeur parce que j'aurais tué pour qu'on prenne autant soin de moi?! De son côté, il ne ferait jamais ça parce qu'il n'a pas pris l'habitude de le faire. Après tout, c'est moi la grande sœur et lui le petit frère, c'est ça?
(23/09/2022)
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crabinouchet · 3 years ago
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Je déteste les écharpes et puis les vêtements qui serrent. Je déteste les gens qui s'asseyent à côté de toi quand y'a de la place partout. Je déteste les gens qui mentent sur des choses importantes. Je déteste les gens qui commentent ce que je mange, comme si toi t'étais healthy 100% du temps, connard. Je déteste les gens qui font genre qu'ils ont des insomnies pour poser l'heure sur snap à 2h du mat'. Je déteste l'odeur dans les cantines. Je déteste les gens qui pissent sur la cuvette des chiottes. Je déteste les mecs qui pensent draguer en disant "non mais toi t'es pas comme les autres filles", toi t'es comme les autres mec en tout cas. Je déteste ceux qui disent que porter le masque est un devoir de citoyen alors qu'ils ont le même depuis six mois, ça se voit putain, il devient translucide ton truc.  Je déteste les meufs qui pensent que se teindre les cheveux en bleu ou se raser le crâne c'est être féministe alors qu'elles sont potes avec des violeurs. Je déteste les gens qui se sentent plus pisser parce qu'ils ont un sac de luxe alors qu'ils ont 3 balles cinquante sur leur compte en banque. Je déteste les instagrammeurs qui essaient de te faire croire que tu peux maigrir en mangeant McDonald's tous les jours sans faire de sport si tu avales ces gélules à SEULEMENT 59,99€! Je déteste les vieux qui te disent que eh! t'inquiète tu comprendras plus tard alors qu'ils ont toujours rien capté. Je déteste les antivaxs, les antispecistes, les antifascistes, et les mots dans lesquels y'a anti de manière générale, parce qu'on est toujours obligé de se définir en étant contre quelque chose. Je déteste les gens qui te rabaissent pour se sentir exister. Je déteste aussi les gens qui me sucent la bite, qui m'aiment trop pour ce que je suis pour essayer d'obtenir je-sais-pas-quoi, peut être que tu les vantes aussi en vrai, mec, comme si j'allais le faire quoi. Je déteste ceux qui essaient de me faire croire que je vais me sortir de mes envies suicidaires en lisant des bouquins de développement personnel, les gens qui pensent que dire qu'ils sont des "zèbres " ça fait juste d'eux des surdoués spéciaux : non.
(2/2)
 T'es sûrement un putain d'autiste dépressif et c'est pas de ta faute et ça pue la merde mais putain regarde la réalité en face. Je déteste les gens qui m'disent que je suis bien comme ça, tu veux savoir combien de fois j'ai enfoncé mes doigts dans ma gorge cette semaine? Je déteste les gens qui me klaxonnent parce que je cale en voiture. Je déteste les gens qui disent qu'une main au cul c'est pas si grave alors qu'ils s'en sont jamais pris une, qu'on les a jamais touché ou violé. Je déteste les gens qui transpirent des mains et qui te touchent. Je déteste les gens qui essaient de te faire croire que tu réussiras jamais ta vie aussi bien qu'eux alors qu'ils rêvent tous les jours de flinguer leur patron et de foutre leurs mômes par la fenêtre. Je déteste les gens qui disent qu'il FAUT faire des enfants. Et aussi ceux qui disent qu'il FAUT PLUSJAMAIS en faire. Je déteste le journal télévisé avec ces gens en costume qui se balancent des insultes qu'on comprend même pas. Je déteste les gens qui essaient de te faire culpabiliser quand tu fumes une clope alors qu'ils commandent sur shein trois fois par mois. Je déteste Netflix qui essaie de nous faire croire qu'il est inclusif alors que toutes les séries ont les putains de même personnages pas plus profond que leur sexualité ou leur couleur de peau, et je regarde quand même t'sais. Je déteste les gens qui font genre qu'on était pote à l'école alors qu'ils se foutaient de moi à l'école. Je déteste les mecs qui insistent pour retirer le préservatif parce qu'ils arrivent pas à bander comme si la chlamydia c'était en bonus à leur baise claquée au sol.
Putaiiiiiin
Je me déteste moi quand je me plainds de tout comme si j'étais meilleure que tout le monde.
Je déteste tout. Tout au monde.
Mais toi...
Non, pas toi.
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somethingintheabyss · 4 years ago
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𝘌𝘗𝘏𝘌𝘔𝘌𝘙𝘈𝘓 𝘌𝘜𝘗𝘏𝘖𝘙𝘐𝘈 🌫
- Samedi 19 Décembre 2020.
C'est effroyable de réaliser combien je peux être faible la plus part du temps. Combien il est si facile pour 𝙡𝙚𝙨 𝙖𝙣𝙜𝙤𝙞𝙨𝙨𝙚𝙨, 𝙡𝙚𝙨 𝙧𝙚𝙢𝙞𝙨𝙚𝙨 𝙚𝙣 𝙦𝙪𝙚𝙨𝙩𝙞𝙤𝙣, 𝙡𝙖 𝙙𝙤𝙪𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙤𝙪 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙚𝙣𝙘𝙧𝙚 𝙡𝙚 "𝙘𝙝𝙞𝙚𝙣 𝙣𝙤𝙞𝙧" de prendre à nouveau place dans mon cerveau. Horrible de voir que pour un simple oui ou un simple non ils sont - je suis - capable de foutre en l'air le début d'une journée à première vue parfaite pour en faire une journée détestable, morne, triste et pleine de souffrance. La chose entre mes deux oreilles, installée bien confortablement et entrain de me flinguer à petit feu. Et le pire c'est que même en essayant de reprendre le dessus, ce truc reste le maître des lieux. Il décide, assouvi, domine, désintégre la moindre idée novatrice ou guérisseuse qui vient s'immiscer là.
𝙈𝙤𝙣 𝙘𝙚𝙧𝙫𝙚𝙖𝙪 𝙚𝙨𝙩 𝙪𝙣 𝙨𝙖𝙡𝙖𝙪𝙙.
Je le déteste. Simplement. Sans fioritures. Je voudrais juste qu'il l'a ferme. Qui apprenne à la mettre en veilleuse. Qui apprenne la politesse et qu'il demande au reste de mon corps avant de s'exprimer... Mais il n'en fait rien. Il est sournois et manipulateur. Et quant j'essaye de le forcer à parler. De le forcer à cracher ce qu'il garde enfermé, il refuse, il se braque, il ne souhaite pas négocier.
𝙅𝙚 𝙥𝙚𝙣𝙨𝙚 𝙦𝙪'𝙞𝙡 𝙖𝙞𝙢𝙚 𝙢𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙧𝙖𝙢𝙚𝙧.
C'est épuisant. De se sentir sans cesse fautive. D'avoir le sentiment permanent d'être la mauvais fille. De se sentir coupable de tous. Épuisant de devoir cohabiter avec le monstre que je suis devenue. Épuisant de vivre cette vie. Épuisant. Épuisant. Épuisant.
𝙅'𝙖𝙞𝙢𝙚𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙟𝙪𝙨𝙩𝙚 𝙚𝙩𝙧𝙚 𝙪𝙣𝙚 𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚. 𝙅'𝙖𝙞𝙢𝙚𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙚𝙩𝙧𝙚 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙚𝙧𝙚𝙣𝙩𝙚 𝙙𝙚 𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙟𝙚 𝙨𝙪𝙞𝙨 𝙢𝙖𝙞𝙣𝙩𝙚𝙣𝙖𝙣𝙩. 𝙅𝙚 𝙣'𝙖𝙞𝙢𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙚𝙩 𝙣'𝙖𝙞𝙢𝙚𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙘𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙟𝙚 𝙨𝙪𝙞𝙨. 𝙅𝙚 𝙣𝙚 𝙫𝙚𝙪𝙭 𝙥𝙖𝙨 𝙖𝙥𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙𝙧𝙚 𝙖 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 𝙖𝙫𝙚𝙘 "𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙘𝙝𝙤𝙨𝙚".
Photographie : @somethingintheabyss
-SOMETHINGINTHEABYSS
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hotel-du-lait-neutre · 4 years ago
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15/01/21
J'ai essayé de me développer un hobby inhabituel (j'estime que n'importe qui sur Terre a ça), et c'est la dactylographie. Je connaissais le site TypeRacer depuis un moment, c'est un site au design très bas de gamme qui propose d'écrire un texte le plus vite possible, sous la forme d'une course où des petites voitures atteignent une ligne d'arrivée. Par la suite, j'ai découvert d'autres sites.
Monkeytype sert à calculer votre vitesse d'écriture (avec un webdesign que je trouve impeccable)
Keybr génère des mots inexistants qui vous aident juste à bien enchaîner les touches du clavier, vous entraînant à savoir écrire les mots les plus compliqués.
10fastfingers est un autre site pour tester sa vitesse d'écriture. Le web design est ignoble, mais étrangement, j'arrive à faire d'excellents scores sur ce site.
Z-Type est un jeu où on tire sur des vaisseaux spatiaux en écrivant des mots.
Et à propos de jeu, je me souviens de la première fois où je me suis plongé dans la dactylo, c'était en jouant à Typing of The Dead: Overkill. C'était durant une phase où je jouais à n'importe quel jeu où on peut tirer sur des zombies. Sauf que là il fallait taper des mots pour flinguer les zombies, donc j'avais droit à l'expérience vidéo-ludique la plus éducative depuis un bon bout de temps.
Je ne sais pourquoi je m'y mets. C'est peut-être dû à mon expérience avec les claviers. Après plus de 16 ans à scruter le net, il fallait bien que je gagne de l'expérience. Il y a aussi un avantage cérébral à faire de la dactylo donc tant mieux. Et avec un intérêt pour la dactylo vient aussi l'envie de collectionner les claviers. Mais finalement, il n'y a pas de clavier miracle pour taper efficacement. Tout dépend de la disposition des touches (J'ai grandi avec AZERTY et je mourrai certainement avec AZERTY).
C'est en me mettant sérieusement à ça que j'ai eu envie de créer une fiction liée à ça. Et quand j'ai lu le manga Ping Pong (un manga qui arrive à rendre passionant un sport que je trouve pas passionant), j'ai eu encore plus envie. J'imagine différents personnages avec différents profils, différents claviers qu'ils utilisent, etc. Et je me suis rapidement rendu compte du nombre microscopique de fictions abordant la dactylo. Le seul exemple marquant me venant en tête est Populaire, un film dont je garde de bons souvenirs quand je l'ai vu au cinéma (j'aurai peut-être du mal à le revoir étant donné que Nicolas Bedos fait partie du casting)
Mais maintenant je me fais souvent des crampes de main. Heureusement, c'est toujours la main gauche et pas celle avec laquelle je dessine. Et malgré la crampe d'aujourd'hui (qui est plus forte que d'habitude), j'ai quand même écrit ce texte sur mon Logitech K380.
P. S. Mon ratio de mots par minute varie entre 75 et 100, ça varie selon l'humeur.
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latanieredelasorciere · 5 years ago
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Règlements de comptes à OK Corral
Veille de reprise, passablement stressée et angoissée parce que je ne sais toujours pas comment je vais m'y prendre pour réviser cette année (et en plus je suis en plein syndrome de sevrage tabagique, youpidou), discussion avec ma mère sur le concours fina / le choix de la ville et de la spécialisation.
Discussion qui s'est terminée sur une pluie de reproches et d'incompréhension mutuelle.
Je résume : ma mère est institutrice depuis ses 18 ans, n'a pas eu le choix de son métier, ne sait pas gérer sa vie et son compte en banque, et passe son temps à se plaindre de manquer d'argent et d'être à découvert pour ensuite aller claquer de la thune dans des fringues etc.
Moi, tout ce que je veux, c'est ne pas avoir envie de me foutre en l'air quand je vais bosser le matin. C'est à dire que depuis 3 ans, depuis le début de l'externat, a chaque fois que je dois aller en stage j'ai envie de me flinguer. De plus, je me connais un peu maintenant (merci les deux passages en HP et les 3 ans de thérapie), je sais très bien que je ne tolérerai pas une année version rambo avec 15h de révisions / jour pour finir dans les 2000 premiers. J'ai aucune envie d'etre hospitalisée une troisième fois, deux ça m'a suffit merci bien. Et combo final, aucune envie de vivre l'enfer pendant l'internat, j'ai assez morflé je veux que ça s'arrête. Tout ce que je veux au final, c'est avoir un travail correct et pas trop nul avec des horaires corrects.
Donc ma mère passe son temps à me bassiner sur le fait qu'il faut que je choisisse une spé qui va rapporter gros (au choix ophtalmo / chir, au pire médecine générale (bah oui quand tu fais 8h - 21h au cabinet ça rapporte !!!!!!!)), qu'on a besoin d'argent pour vivre, que je dois penser à l'argent. Bref c'est un discours qui tourne en boucle, elle ne veut pas se mettre deux minutes à ma place.
Donc j'ai fini par hurler : J'EN AI RIEN À FOUTRE DE FAIRE 10 000€/MOIS, ARRÊTE DE ME DIRE CA PUTAIN TOUT CE QUE JE VEUX C'EST NE PAS AVOIR ENVIE DE ME FOUTRE UNE BALLE LE MATIN QUAND JE DOIS BOSSER.
Ça a comme qui dirait jeté un froid.
Elle se rend juste pas compte de la pression que nous 6e années en général subissons, et la pression personnelle que je subis parce que je me sais très fragile avec un équilibre précaire. Et elle vient me parler de fric, toujours de fric.
Tout ce que je veux c'est un travail décent, un salaire décent, avec des conditions de vie décentes. Je ne veux pas "faire de la thune" ça ne m'intéresse pas, ma priorité dans la vie c'est de survivre.
J'étais déjà complètement paumée, surtout que j'envisage un changement de région, mais là j'ai juste envie d'aller pleurer de frustration et de tristesse parce que je me sens vraiment incomprise, on n'a pas du tout les mêmes valeurs ni le même idéal de vie (tant mieux quelque part mais on n'arrive pas à se comprendre...).
Je ne me sens pas soutenue le moins du monde. Pour ma famille, passer l'ecn c'est comme si j'allais passer un examen lambda, mais ils se rendent pas compte et surtout (ça fait bien 15 fois que j'explique en détail) ils ne veulent pas comprendre.
J'en ai marre, je suis perdue, je suis fatiguée, j'ai les boules, et je suis triste.
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hereornotwhynot · 2 years ago
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.014 (TOO SOON TO GET it, TOO LATE TO ACT upon it?)
merde je me perds, je voulais utiliser ce tumblr pour poster sans penser, et j'ai remarqué que je m'étais censurée, en me disant "merde je raconte vraiment des mauvaises choses".
j'essaie de creuser, d'atteindre les trucs que je ne me dis pas.
ces choses là, n'ont rien de choquant ou d'interessant pour quiconque me regarde de l'extérieur. mais pour moi, petit individu, ce sont parfois des murs. surtout depuis que j'ai développé de la parano.
ça devient trop long d'expliquer les choses. quand on a 18 ans on est surdoué, quand on en a 25 on est "efficace et intelligent" quand on en a 30 on est "perdu" et de toutes façons personne ne vous calcule. je ne crois pas que ça s'arrange avec l'âge. j'ai 30 ans je touche à peine à une nouvelle chose en tant qu'artiste qui m'excite et je lis partout que de toutes façons 30 ans c'est trop tard.
R me disait que c'était ok, mais il voulait qu'on ait des enfants. il voulait qu'on vive ensemble, que j'apprenne à la fermer et que je lui ponde des enfants qu'il pourrait amener au skatepark. je le vois d'ici, comme j'aurais détesté cette vie. rien que d'y penser j'ai envie de me flinguer. pareil, le couteau sous la gorge me dit "après ce sera trop tard". mais est ce une raison suffisante. et surtout avec le mauvais partenaire.
il y a des choses que je crois ignorer, mais que je sais pourtant. comme par exemple que je ne fais pas partie de "ma" famille. que quand j'étais en danger ou dans la merde ils m'ont ignorée. Je sais que H me dit qu'elle est mon amie mais qu'elle ne veut plus me voir. J'ai su que je devais rompre avec R. mon corps l'a su avant mon cerveau. ma bouche a parlé. J'ai su que je devais partir quand mon frère s'est mis à me menacer, quand personne ne m'a défendue.
résultat, je reste à la maison à peindre pendant que "ma" famille se retrouve dans le XV ème, et je n'y penserais pas si on ne me demandait pas "et toi qu'est ce que tu fais pour noël? t'es seule? ça va c'est pas trop triste?", ou alors je m'entends dire "I think I want to break up". Je n'essaie plus trop de me contredire quand ces choses se passent. oui voila. parfois les choses se font, je ne peux pas tout contrôler, je ne peux pas identifier tous les tenants et aboutissants. oui, je perds surement quelque chose. c'est comme ça, je ne peux pas tout garder en main.
je fais des choix, mais je ne peux pas mentir, souvent je suis malheureuse. j'ai encore peur d'être seule. même si je ne sais pas bien ce que cela signifie quand je vois comment je me sens entourée des mauvaises personnes. souvent je crois encore ce qu'on m'a répété, je me réveille en panique en pensant qu'en effet je ne sers à rien et que je ne vais nulle part.
mais je crois que c'est le temps de trouver ma liberté. la prison du couple m'a bien ruinée, celle des rôle familiaux aussi. je préfère aussi couper court à certaines amitiés ou du moins leur donner moins d'importance. tout simplement je ne veux plus fréquenter des personnes qui me font me sentir si seule.
l'autre jour j'écrivais dans un bar, l'étincelle dans le onzième. j'ai parlé à deux personnes, qui m'ont invitée à me joindre à leur table. j'y suis restée jusque 22h et quelques, eux ont enchainé les bouteilles de proseco. c'était sympa et étrange. en 3 heures, j'avais des conversations avec eux comme si nous nous voyions au moins 2 fois par semaine. je suis entrée dans leur micro-cosme et j'en suis sortie. et c'était aussi interessant, qu'inintéressant.
ça fait un peu ça quand on est serveur ou tatoueur ou vendeur - trois postes que j'ai occupés - et qu'on voit passer pleins de personnes différentes. dont ces gens, qui dans notre vie d'avant ces jobs, nous auraient éblouis juste de par leur allure, maintenant on leur tape la discut' et on passe à autre chose. on est de passage on le sait.
quand est ce que se tisse les vrais liens? j'en ai un peu peur. j'ai du mal à croire qu'on puisse ne pas vouloir profiter de moi.
je revois R qui me rit au nez quand je me sentais blessée et qui appuyait encore là où ça fait mal. je me demande ce que je vaux. il m'appelle, je raccroche. pour ne pas me tuer, quand ça me coute le plus, parce que je ne veux plus me laisser tomber. je raccroche quitte à être seule.
il me faut du temps, et de l'espoir. mais tout me dit que je n'ai ni de l'un ni de l'autre. je me raccroche à la peinture, aux lectures. je n'arrive pas à croire que la vie sera mieux, je me dis qu'il faut attendre. que ça passe. je ne veux plus dépendre des mains, de l'humeur ou des accès de violence d'un autre. je veux surmonter ma solitude, et supporter ma liberté. arriver à un moment, où je serais bien, juste bien, et libre d'être moi.
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aufildemeslectures · 3 years ago
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La magie Disney
— Tu vois, ce n'est pas pour critiquer, hein, tu me connais, mais franchement, Camel n'est pas au niveau pour Mickey. Il a été trop vite dans son ascension, c'est louche... Moi, j'ai commencé par le commencement, j'ai franchi les grades étape par étape... C'est que j'aurai quinze ans de « paco » dans trois mois, moi... J'ai commencé en 78, en Floride, j'étais cuistot, serveur, j'ai tout fait, et puis un jour j'ai dû remplacer un Portoricain qui avait eu des problèmes avec la mafia locale et qui s'est fait flinguer, alors j'ai pris la relève dans Jiminy Cricket, douze heures par jour à l'époque, mal payé, sans couverture sociale parce que je n'avais pas la nationalité américaine... Cinq ans de Jiminy Criquet! Cinq ans! Au milieu des mioches amerloques, les pires mioches de la terre... C'était Diên Biên Phu, là-bas, un véritable cauchemar! Alors tu vois, hein, c'est pas pour me la jouer, moi je m'en fous au fond, mais franchement, quand je vois que Camel n'a fait que six mois de Baloo et qu'on lui a refilé Mickey, je dis : c'est pas logique... Mickey, c'est quelque chose que tu ne peux normalement obtenir qu'en fin de carrière...
— Il m'a dit qu'il n'avait jamais demandé Mickey, qu'au départ il voulait absolument incarner Peter Pan, l'idole de sa jeunesse...
— Peter Pan! coupa violemment Raupert, Peter Pan ! Mais tu rigoles ou quoi ! Camel est arabe ! Tu vois les pauvres mômes, toi, si on leur montre un Peter Pan algérien ! Ils vont chialer, les parents vont se plaindre ! Il y a de quoi traumatiser un gamin pour le restant de ses jours ! Pourquoi, pendant qu'on y est, ne pas mettre un nain dans Elliot le Dragon ?
Anissa Corto
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incorrect-vdf-quotes · 7 years ago
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(Je me permets de poster un fan art que j'ai fait cette nuit de deux de mes personnages préférés de cette série, Raul et Dario. Je sais que c'est un blog d'incorrect quotes mais yolo cousin) J'aime bien l'idée que Dario puisse avoir un côté frère protecteur envers Raul (même s'il se ferait flinguer en deux secondes s'il tentait quoi que ce soit, le connaissant), et leur design de la saison 4 est très cool. Pour le contexte, je sais pas… escapade de prison nécrophile ?
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florinalirlandaise · 5 years ago
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Petite explication sur un avis que j'ai reçu aujourd'hui. J'aurai préféré que cette personne vienne me voir en privé, car l'on voyait bien que effectivement il y avait un souci sur le résumé. Mon pc a lancé la traduction... Du français au français. Du coup, cela n'avait plus aucun sens. C'est rectifié, mais j'en profite pour vous rappeler que je suis un être humain, avec ses imperfections et ses sentiments. Comme beaucoup d'auteurs, j'ai une sensibilité à fleur de peau, donc mieux vaut envoyer un message privé si vous découvrez des erreurs voir des fautes. Plutôt que ce genre d'avis qui peut flinguer une carrière, mais aussi la personne qu'il le reçoit 🤷 Je précise j'accepte les avis négatifs sans problème bien au contraire, on ne peut pas plaire à tout le monde et j'en suis consciente. Je prends en compte ce que l'on me dit pour avancer, voir modifier le tir si je m'aperçois qu'il y a matière à le faire. #avislecture #avislecteurs #explications #discussions (à Tollevast, Basse-Normandie, France) https://www.instagram.com/p/CAIOgQJKG5L/?igshid=vrimyctjdusd
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sloubs · 3 years ago
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et par contre aa qui joue arthur à la tour au piano suivi du défilé de photos de lui en argentique c'est pour me flinguer la gueule ou ??? croyez que j'ai pas assez pleuré comme ça pour aujourd'hui c'est ÇA ???
malgré cette fin de journée TRÈS déceptive j'peux finalement quand même regarder le making-of de kv1 (merci encore @yumeka-chan tu sauves ma vie) et damn...elle est mignonne la mère astier avec ses barrettes dans les veuchs
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blogapart3bis · 5 years ago
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En 2013, David Graeber, anthropologue anarchiste américain et auteur de l’excellent Debt, avait publié un essai qui a fait le tour du monde, On the Phenomenon of Bullshit Jobs – dont j’avais parlé à l’époque. Bullshit Jobs est l’occasion pour lui de revenir sur cette notion de façon plus structurée.
Première bonne nouvelle: il est moins gros que Debt: 280 pages, plus une cinquantaine de pages de notes souvent très intéressantes (ce n’est pas juste de la bibliographie). On regrettera que ces notes soient en fin d’ouvrage, ça casse la lecture.
De plus, il est souvent très amusant. Déjà parce que l’auteur commence par définir ce qu’est un bullshit job. Le terme est traduit en français par « boulot à la con », même si ce n’est pas tout à fait pareil; raison pour laquelle je garde le terme anglais. La définition implique pas mal d’exemples, souvent cocasses. Pas toujours: il y en a quelques-uns qui sont vraiment flippants.
La définition habituelle est: « une forme d'emploi rémunéré qui est si totalement inutile, superflue ou néfaste que même le salarié ne parvient pas à justifier son existence, bien qu'il se sente obligé, pour honorer les termes de son contrat, de faire croire qu'il n'en est rien » (traduction de Wikipédia). Car, oui, il y a des bullshit jobs réellement néfastes.
Ceci pour le premier chapitre; dans le deuxième, Graeber définit une typologie des bullshit jobs. Il en identifie cinq types: les faire-valoir (flunkies), les gros bras (goons), les rustineurs (duct-tapers), les cochers de case (box-tickers) et les chefaillons (taskmasters). Il y a bien évidemment des multi-classés.
Deux chapitres sont consacrés à l’impact des bullshit jobs sur ceux qui les ont. Sans surprise, ce n’est pas beau à voir. On pourrait croire qu’être payé à ne rien foutre est un job de rêve, mais l’employé·e doit souvent maintenir une façade et se retrouve imbriqué·e dans des structures administratives qui oscillent entre le byzantin et le kafkaïen.
Il y a aussi le fait que notre société survalorise le travail, au point de considérer les chômeurs presque comme des criminels. C’est surtout le cas des « cols blancs » et c’est une notion qui est tellement intériorisée que l’idée même d’être payé à ne pas travailler nous choque.
Et c’est là la grande contradiction des bullshit jobs: ils ne servent à rien, ils sont mauvais pour la santé mentale de ceux qui y sont employés, ils coûtent cher à la société – et, de ce point de vue, les entreprises privées sont encore pire que les services publics (qui opèrent souvent selon des principes venus tout droit des méthodes de management privé, d’ailleurs) – et il semble impossible de s’en débarrasser. Au contraire, même: ils prolifèrent.
À un moment, Graeber ose même une comparaison entre la situation des personnes coincées dans un bullshit job et les pratiquants de BDSM, en disant « vous ne pouvez pas dire "orange" à votre patron » – "orange" étant donc un safeword. Une des pistes qu'il trouve pour expliquer cette prolifération, c'est qu'il y a des notions de pouvoir et de domination en jeu.
Ce ne sont pas les seules. David Graeber se plonge également dans l’histoire sociale du travail pour tenter d’expliquer tous ces paradoxes. Le moindre n’étant pas qu’il semble bien que le phénomène, s’il a connu une première heure de gloire au temps de l’Union soviétique, semble aujourd’hui indissociable du néolibéralisme. Oui, ce même néolibéralisme qui prétend que le marché – ou plutôt le Marché – est toujours efficace.
Car, au final, ce que je retire surtout de ce Bullshit Jobs, c’est une fois encore à quel point la notion de productivité issue du néolibéralisme est une escroquerie mondiale. Un dogme, en fait. Comme le socialisme soviétique qui prétendait que si ça ne fonctionnait pas comme prévu, c’est parce qu’il n’y avait pas encore assez de socialisme.
L’auteur est assez pessimiste, d’ailleurs, face à ce qu'il appelle du féodalisme managérial. La seule solution qu’il voit à ce problème, c’est de dissocier la notion de travail de celle de salaire – via un revenu de base universel inconditionnel.
Ce n’est pas que je sois contre, mais j’ai l’impression que c’est une idée qu’il va falloir pousser encore un bon bout de temps avant qu’elle ne se concrétise. En espérant qu’elle ne soit pas pervertie en cours de route. Il ne faut pas sous-estimer la capacité du capitalisme néolibéral à tout récupérer, même ses opposants avoués.
Même s'il faut garder à l'idée que Bullshit Jobs est plus un essai à charge qu'une thèse académique et équilibrée, j'ai trouvé le bouquin plutôt convaincant. Tout au long de sa lecture, je n'ai pas pu m'empêcher de de me demander si mon propre boulot était un bullshit job (à mon avis non, même s'il a des éléments qui sentent un peu le caca de taureau).
Je recommande sa lecture à toute personne qui a envie d'avoir des arguments supplémentaires pour flinguer le plus vite possible le système néolibéral que nos élites semblent tellement enthousiaste à nous enfoncer dans la gorge. Pour un peu, je pardonnerais presque à David Graeber d'avoir dit du mal de Douglas Adams.
L’article <span class='p-name'>« Bullshit Jobs », de David Graeber</span> est apparu en premier sur Blog à part.
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mamusiq · 5 years ago
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MACRON = PÈRE NOËL DES + RICHES ?? Réponse...
Amis riches, chantons ensemble la gloire d'EMMANUEL qui a tant fait pour nous... PAROLES ci-dessous
C’est la belle année d’Emmanuel Nous les plus riches on est contents Et les yeux levé vers le ciel Remercions le gouvernement Avant de partir en croisière Faisons une dernière prière
Petit Emmanuel Tu es descendu du ciel Avec ton projet financier J’oublierai pas tes grands souliers
Mais avant de partir Il faudra bien te couvrir Dehors il y a la France d’en bas Tous ces gueux ne voudront plus de toi
Il me tarde tant que ce jour vienne Quand le facteur va m’apporter L’avis d’imposition que je vois en baisse Et que je t’ai commandée
Petit Emmanuel Tu es descendu du ciel Avec ton projet financier J’oublierai pas tes grands souliers
Les grèves, les manifs sont passées Les gueux retournent à leurs boulots Toi tu as déjà commencé A flinguer leurs acquis sociaux Aux patrons des grandes entreprises Tu réserves bien des surprises
Et quand on sera sur nos nouveaux yachts Entièrement défiscalisés On chantera ta gloire d’une voix très haute Pour ce que tu nous as octroyé
Petit Emmanuel Tu es descendu du ciel Avec ton projet financier J’oublierai pas tes grands souliers Petit Emmanueeeeeeeel (là tu peux gueuler comme un dératé, c'est marrant)                                             ©Jean-Manu 2017
Paroles, Chant, Montage etc. Moi. http://www.jeanmanu.fr
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