#bruno masure
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nextposition1 · 2 years ago
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Seconde partie de l’entretien avec Maurice où il est plus particulièrement question des extra terrestres et de théologie mais aussi, entre autres, de Bruno Masure et de Jung!
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yespat49 · 16 days ago
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Masure injurie ses confrères : l’étau médiatique craque, il ne le supporte pas
Capture d’écran Mes premiers souvenirs de Bruno Masure ? Quelques images sur le poste de télévision familiale, il y a très longtemps, quand François Mitterrand était président : le dîner est terminé, je trainaille à côté de mes parents sur le canapé, reculant le moment de finir mes devoirs. Avec sa face ronde, on dirait un placide nounours en cravate. Il lit son prompteur sans ciller, dévidant…
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fidjiefidjie · 4 years ago
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"Après avoir fait une grosse connerie, le chat grimpe dans l’arbre. Et le fonctionnaire, dans la hiérarchie." 🐈‍⬛
Bruno Masure
Source: Gifmaniacos
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lalignedujour · 3 years ago
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Certains lieux me suivent. Quand j'entends une histoire, les pièces, les rues, les points cardinaux se composent devant moi. Sans le vouloir, sans le savoir. C'est comme les rêves : il y en a qui reviennent, et d'autres inédits.
Ils sont en moi et apparaissent en aléatoire.
Il y a le salon de quand j'étais petit. Immense. Plein de cabanes potentielles, la voix de Bruno Masure qui résonne dans les tubes cathodiques de la télé, le tapis noir aux carrés de couleurs vives qui marque mes tibias tendres, et l'interdiction de jouer avec le téléphone à cadran. C'est là qu'habite Philippe Delerm, il y reçoit ses amis, il tire un rideau pour surveiller son rosier, parfois il monte dans la chambre de mes parents pour tenter de faire une sieste mais le bruit du gravier sous les pneus de la voiture le réveille.
Un appartement loué à la mer avec mon ancienne amoureuse. Un weekend de kiff à deux. Très peu de meubles, pas de linge de maison. Beaucoup de nourriture, beaucoup de sexe. On riait d'autant de gourmandises. C'est là que se passent pour moi toutes les anecdotes de ma sœur. Sauf pour la cuisine parce qu'elle était toute petite. Si elle me parle de cuisine, c'est celle d'un appartement que j'ai visité Boulevard Rochechouart il y a 12 ans. Il y avait pas mal de vaisselle sale et il faisait sombre, mais elle était assez grande pour accueillir une scène. Si elle me donne un autre élément (l'heure, par exemple), ce sera peut-être la cuisine du dernier appartement avec mes parents qui viendra.
Un autre appartement loué à la mer avec mes parents. On commandait à emporter et on mangeait à l'intérieur. Je pense qu'il avait fait moche cette semaine. En fait, je ne suis pas sûr que ce soit à la mer. C'est là que se passent la plupart des scènes de sexe des personnages de Houellebecq.
Une maison dans laquelle on a été deux étés de suite en vacances quand j'étais petit. Une table dans le jardin. La nuit tombait, ça sentait l'herbe encore chaude et la citronnelle. C'est à cette table que la fille de la chanson remonte sa jambe et montre ses Piqûres d'araignées à Vincent Delerm. "Elle dit regarde là, et là". "Elle dit tu vois, je ne mens pas".
Cet appartement dans lequel j'ai passé 15 minutes. J'avais 2 fêtes ce soir-là, mais au lieu de passer d'une fête à l'autre au milieu de la soirée (et de ne profiter vraiment d'aucune des deux), j'ai préféré aller à la première fête avant la fête et profiter de mon pote (qui était la seule personne que je voulais vraiment voir), puis aller à la deuxième fête du début à la fin. Il venait d'emménager, il avait installé un sapin et avait fait imprimer sa tête d'ahuri sur les boules, ça m'a fait rire. C'est là qu'habite aussi Momo de La vie devant soi.
Mon premier appartement de couple est le premier appartement de tous les couples.
Mais la chambre de tous les enfants est en fait la chambre d'un copain chez qui j'ai dormi une seule fois vers 11 ans.
Toutes les scènes sur les aires d'autoroutes se déroulent pour moi sur la même aire d'autoroute.
Le discours de Fabrice Caro se passe chez ma sœur. En attendant Bojangles aussi, mais dans un ancien appartement à elle.
Quand Tesson nous raconte son amour impossible entre les pins des Landes, je les vois entre les pins oui mais près de mon lac en Suède.
Dans la chanson de Volo 17 ans, il se voit ado juger l'adulte qu'il est devenu, qui fait du vélo qui a des enfants. Ça se passe dans l'impasse du lôtissement péri-urbain où j'ai grandi. Alors que je n'y ai pas été ni ado, ni adulte. Je crois que ça symbolise l'âge adulte et le fameux combo maison, couple, voiture, enfants. Je n'avais pas de chien. S'il y a un chien, ça change la donne :
Dans Un soupçon légitime, Zweig décrit deux pavillons Anglais, côte à côte. Derrière, passe une rivière où joue le chien, et où se baladent les jeunes parents. Eh bien, pour moi c'est la Sèvre Nantaise. Les premières pages disent bien que c'est dans la campagne, non loin de Bath. J'aurais beau le relire, ça n'y changera rien : je vois la Sèvre Nantaise, en un point précis des quartiers sud de Nantes.
Si c'est dans la rue, c'est souvent à Berlin (je n'y ai vécu que de l'hiver à l'été). Mais dans L'étranger, c'est une rue de Tanger. Le dimanche qu'il passe à observer les allers et venues en fumant à sa fenêtre, c'est une rue qui descend vers le Détroit. La pente est douce, il y a une marche tous les trois mètres, mais entre les marches, les pavés sont aussi en pente. Ça donne une démarche sur la retenue, bassin en arrière, sauf chez les enfants (qui n'ont pas peur de tomber, et qui ont bien raison). Ce ne sont pas vraiment des pavés, c'est plutôt du béton quadrillé en relief. Le bord des marches est rouge et le reste est gris. En haut, il y a un arrêt de bus, c'est pour ça que les gens descendent la rue par flux discontinus. (Dans le livre, c'est parce qu'ils sortent d'une séance de cinéma.)
La scène de la laverie à Berlin dans Lève-toi et charme de Clément Bénech se passe en revanche dans une laverie à Utrecht. La fille qui lui donne son numéro en cornant les pages de son livre reste néanmoins Allemande.
Dans Par les routes, Sylvain Prudhomme a été vague, ça se passe dans une petite ville du sud-est de la France. C'est probablement Arles, mais je l'ai compris trop tard dans le bouquin. Pour moi, son appartement se trouve à Nice, la maison de son ami est en fait un Airbnb à Allassac, et les rues entre les deux sont à Montpellier.
Et les nouvelles de Marie Causse dans L'odeur de la ville mouillée sont toutes dans ma rue à Paris. La rue Mouton-Duvernet, celle de l'appartement de l'ami chez qui j'allais quand je n'habitais plus Paris. Il a lui même changé plusieurs fois d'appartement depuis. Parquet point de Hongrie parfaitement ciré. Un vieux meuble dans lequel il y avait des objets de guerre de 14 de son arrière-(arrière-?)grand-père. Des lettres, des photos et des médailles. Du coup, c'est aussi depuis cet appartement que parlent les vieux et vieilles quand la radio diffuse des témoignages de la rafle du Vel d'Hiv.
Dans ma dernière maison, j'accueille seulement Lila des Cerfs-Volants. Elle sèche ses vêtements près du poêle et attend que je rentre.
J'ai quitté certains lieux, ils ne m'ont plus quitté.
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pulpsandcomics2 · 5 years ago
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“Manhunt”  March1953
The Sleeper Caper by Richard S. Prather
Dead Men Don’t Dream by Evan Hunter
Stop Him! by Bruno Fischer
The Loaded Tourist by Leslie Charteris
Payoff by Frank Kane
The Mourning After by Harold Q. Masur
Everybody’s Watching Me  [Part 3 of 4] by Mickey Spillane
Teaser by William Lindsay Gresham
Triple-Cross by Robert Patrick Wilmot
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gauchedecombat · 7 years ago
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#balancetonporc : la grande classe de @BrunoMasure
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rollingstonemag · 8 years ago
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/bruno-masure-sans-filtre/
Bruno Masure sans filtre
Nous avons rencontré Bruno Masure à l’occasion de la sortie de son livre, Elysée Academy. L’ancien présentateur de JT nous a parlé sans langue de bois des sujets qui l’interpellent
Le sexisme en politique
Tout a été dit sur le sujet. Cela existe, c’est clair. Je reste prudent là-dessus sinon je vais encore en prendre plein la gueule. Oui, il y a des machos et des harceleurs mais aussi il y a également quelques femmes journalistes qui savent très bien utiliser leurs charmes pour démarrer dans le métier, et qui ont usé et abusé de leurs relations avec les hommes politiques pour avoir le scoop que les autres n’ont pas. Ce n’est pas noir-blanc.
Il y a des machos et des harceleurs mais il y a également quelques femmes journalistes qui savent très bien utiliser leurs charmes pour démarrer dans le métier
Le retour de la morale chrétienne dans cette élection
Je suis athée, voire même bouffeur de curés donc je ne suis pas totalement objectif. Je trouve que c’est une vraie dérive quand Fillon dit : « Je suis chrétien donc… ». Vous imaginez quel tôlé cela ferait si un candidat disait : « Je suis juif donc… », ou « Je suis musulman donc… », ou encore « Je suis bouddhiste donc…. » ?
Je parle dans le livre d’une chose qui me travaille beaucoup au sujet de Marion Maréchal Le Pen. Elle est catho, plus que catho, voire bigote et elle veut rejeter les réfugiés à la mer. Elle n’a jamais lu l’évangile cette fille, c’est incroyable ! L’évangile dit : « Ouvrez votre cœur, vos maisons, bienvenue aux pauvres ». J’ai été élevé dans une école chrétienne, j’ai eu un prix de religion, donc je sais un peu de quoi je parle. Elle est à l’antithèse de l’évangile ! Elle est totalement incohérente. L’évangile, c’est un manuel gauchiste. Fillon met sa foi chrétienne en avant mais si on est chrétien, on triple l’ISF ! Je trouve que les journalistes ne font pas leur boulot car jamais on ne les emmerde là-dessus. Autre exemple : j’ai lu le livre de Patrick Buisson et il y explique que Sarko a dit « Chirac est l’homme le plus corrompu que j’ai jamais rencontré ». Il donne des détails. Il a vu des choses. Sarko était matin, midi et soir en TV et en radio et aucun journaliste ne lui a demandé s’il avait vraiment dit cela ou pas. Cela fait partie de mon côté aigri et râleur de les critiquer car cela fait chier que les journalistes ne fassent pas leur boulot, ne lisent pas les livres et ne posent pas les bonnes questions !
Marion Maréchal Le Pen. Elle est catho, plus que catho, voire bigote et elle veut rejeter les réfugiés à la mer. Elle n’a jamais lu l’évangile cette fille, c’est incroyable !
L’élimination de Sarkozy aux primaires de la droite
Je pensais qu’il irait au 2ème tour. Quand on analyse les votes, même dans les Hauts de Seine, il a fait un score dérisoire. C’est ça qui est génial, on ne peut jamais prévoir.
L’élection de Donald Trump
J’ai suivi cette élection de près. Michael Moore en a fait une analyse formidable. Trump a balayé tous les pontes républicains, les uns après les autres. A chaque fois, tout le monde disait que ce n’était pas un problème mais au final il a gagné. Je suis d’un naturel pessimiste et je pense que Marine Le Pen peut faire un score plus important que ce qu’on dit. Après Trump, le vote en Autriche, le Brexit, pour peu qu’il y ait un attentat juste avant… on ne sait jamais…
Le soutien de Poutine et de Assad à Fillon
Oui c’est gênant. Assad est très tordu car il met Fillon en position délicate. Il ne lui rend pas service. Filon est sympa avec lui et l’autre lui cisaille les jarrets. Poutine ce n’est pas la même chose. Je ne pense pas que les considérations de politique étrangère aient une véritable influence sur des élections. Cela influence ceux qui lisent le Monde Diplomatique, genre 500 000 personnes maximum. Pas l’ensemble des votants.
Un jour, il y aura peut être une téléréalité qui remplacera la présidentielle au point où on en est.
L’émission de Karine Lemarchand
Je n’avais jamais regardé « L’amour est dans le pré ». J’ai découvert ce concept avec son émission avec les politiques et j’étais consterné. Elle minaude. Elle en fait des tonnes. « Ah bon, Jean-Luc Mélenchon vous avez été communiste ? Ah bon ? » Et Fillon prend 10 points après être passé chez elle ! On revient à ce qu’on disait au début. On est que dans la com’. Il y a aussi un problème de cohérence. Fillon était le premier à dire qu’il n’irait jamais chez Ruquier. Il est ridicule car chez Ruquier, il y a une vraie interview sérieuse pendant une heure.
Le pire, c’est Mélenchon. Il n’arrête pas de dire que la télé, c’est de la merde, que ce sont « tous des zozos qui trainent les gens dans la boue et qu’ils n’y connaissent rien ». Et ensuite, il est le premier à se précipiter chez Lemarchand pour faire le joli cœur. Il se fait filmer chez lui, dans sa cuisine, et après il va dire que la politique spectacle est une honte. Il faut qu’ils soient un peu cohérents tous ces braves gens ! En même temps, cela fonctionne car on est dans la com’. Les candidats ont besoin de montrer qu’ils sont sympas, souriants, décontractés, rigolos…Cette émission est venue totalement en appui de ma thèse de mon livre. Un jour, il y aura peut être une téléréalité qui remplacera la présidentielle au point où on en est.
Le départ d’Elkabbach d’Europe 1
Beaucoup de bien (rires). Il était là depuis 30 ans quand même ! Je trouve que c’est bien qu’on renouvelle un peu. Si tous les journalistes restaient en poste jusqu’à leur mort, on n’embaucherait personne ! Je n’ai pas de contentieux avec lui. Il a été mon patron à France Télé et ce n’est pas personnel du tout. Il m’a foutu une paix royale. Ce n’est pas moi qu’il a viré mais Paul Amar alors qu’ils étaient très potes. Je pense que c’est un très mauvais interviewer contrairement à ce qu’il dit. Il coupe la parole au bout de 12 secondes. Il ne laisse jamais une pensée se développer un minimum. Il fait les questions et les réponses et à la fin ça devenait pathétique. C’est très bien qu’il disparaisse des ondes.
Depuis l’écriture de votre livre, 2 événements se sont passés : Hollande ne se représente pas et Louis Sarkozy a quitté Capucine, une réaction ?
Les deux sont très embêtants, dramatiques, surtout le second. (Rires)
Alma ROTA
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furioussaladparadise · 2 years ago
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« Théorème du pistonné :
“Tout protégé de la Direction plongé dans une entreprise subit une poussée de bas en haut au moins égale au volume d’incompétence déplacé.” » (Bruno Masure)
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goodcebadce-blog · 7 years ago
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Thierry Ardisson : Mr. antipathy
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One day Ardisson criticizes Alessandra Sublet, the other day, Frederic Beigbeder, then more recently the comedian and former columnist of his show, Stéphane Guillon. Who is this TV man who hates everyone and does he have good reasons for that ?
Thierry Ardisson is a very famous TV host and producer. He is now 69 years old. during his long career he has animated, among other things, the famous programs "double jeu", "tout le monde en parle" and today "Salut les terriens" and "Les terriens du dimanche".
I will be clear with you, I hate Thierry Ardisson and I don't need to push the investigation too far to understand it. I will still present, as an oral presentation at school, a few points that show that Thierry Ardisson is a bad celebrity :
1) As I mentioned in the introduction, Ardisson criticizes everyone on television and often violently as evidenced by the photo above.
Here is a non exhaustive list of the many targets of this man: Alessandra Sublet, TV host Stephane Guillon, Humorist, TV columnist Frederic Beigbeder, Writer Jean Michel Apathie, Political journalist Robert Menard, a bastard, mayor of Beziers (actually he can clash him !) Bruno Masure, journalist And many others …
At this level we hold the record of hate on television. It should be noted that Ardisson criticizes people from very different backgrounds.
2) In addition, Thierry Ardisson speaks a lot about him, loves himself a lot, surely like a lot of people on television but in this case it's really extreme. I invite you to watch any interview of him, it's amazing
3) For having conducted a most thorough investigation internally, Thierry Ardisson would be hateful with his teams, contemptuous, insulting, even going as far as threats of dismissal his employees
4) A little like Yann Moix but much worse, Ardisson has a total misunderstanding of youth and what works for young people. Often his interviews of rappers or youtubeurs are strongly criticized as for example this one of the famous French youtubeur Squeezie :
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5) Finally, it's enough to watch a program of this person to see that he has no empathy, that he is contemptuous, unpleasant and deeply bad.
Yes Ardisson is a bad celebrity and nothing will change my mind.
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In the next investigation, I will examine a french actress, director, singer (…), rather egocentric this time : Melanie Laurent. So Good Ce or Bad Ce?
Guillaume L.
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tsukiyomifactory-blog · 5 years ago
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- “ Il paraît que Bruno Masure présentait parfois le journal en caleçon” - @le.declin immobilier. - - - Proud member: - @abandonedmadness 🐺 @fadedbeautyindecay 🍃 @world_wide_urbex 🌿 @urbex_kings 👑 @decay_explorers 🦋 @made_in_decay 🏚 @urbexchampions 🏆 @etikurbex @jj_urbex_ 💀 @grime_scene_investigators 🔍 - - Mod: @etikurbex - Adm: @urbexqg - #jj_urbex #abandoned_excellence #abandoned_addiction #ig_urbex #urbex_supreme #made_in_decay #sombrexplore #urbex_kings #urbex_europe_ #team_urbex #raw_abandoned #kings_abandoned #godsofbando #bandorebelz #etoe_2 #urbex_utopia #g_s_i #urbexchampions #grime_reapers #renegade_abandoned #savethedecay #anonymousbando #abandonedafterdark #rustlord #batpixs_lostplaces #rsa_preciousjunk #welcometwoneverland #abandon_seekers_ #grime_lords #discarded_butnot_forgotten (à Lost Places - Hidden Places - urbex) https://www.instagram.com/p/B5nVhd8osI-/?igshid=t97jnew7dpdl
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rollingstonemag · 8 years ago
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/bruno-masure-linterview-politique/
Bruno Masure : l'interview Politique
Son visage familier a disparu des écrans depuis plus d’une décennie. En revanche, son ton gouailleur et politiquement incorrect est toujours présent. Bruno Masure écrit pour nous faire part de ses coups de coeur et ses coups de gueule. En témoigne son dernier ouvrage, Elysée Academy, sorti en janvier 2017. Il revient avec nous sur la sortie de son livre, sa vision de la politique, la présidentielle et des journalistes politiques.
par Alma ROTA
Votre dernier ouvrage, Elysée Academy, est une fiction politique qui transforme l’élection présidentielle en émission de TV réalité, style Loft Story. Qu’est-ce qui vous en a donné l’idée ?
Je crois beaucoup à la politique. La politique est une proposition de programmes et de choses sérieuses. Mais, j’observe que cela devient de plus en plus, hélas, un show, un concours de com’. Quand j’ai commencé à écrire ce livre, l’émission de Karine Lemarchand n’existait pas encore. Elle n’a fait que me conforter sur ce genre de dérapages et sur le fait qu’on suit un peu les dérives américaines. On a tendance à voter pour le mec le plus sympa, le plus joli, celui qui a la femme la plus sympa ou le chien le plus drôle ou l’inverse. Cela me navre un peu alors j’ai voulu aller au bout du raisonnement en imaginant qu’on transforme tout cela en émission de TV réalité.
Vos colères et coups de gueules ressemblent à ceux d’un idéaliste déçu. Pourquoi ne vous êtes-vous alors jamais engagé en politique?
C’est une bonne question. On me l’a déjà plus ou moins proposé. Mais, je ne me vois pas du tout faire la rue de mon quartier pour aller voir tous les charcutiers et leur dire « Votez pour moi je suis le meilleur ». J’en suis totalement incapable. L’idée même de faire campagne me gonfle. Et par ailleurs, il y a tellement de gens que ça intéresse. Si j’avais habité une petite ville, être dans un conseil municipal m’aurait intéressé. Dans une grande ville c’est un métier à temps plein.
Est-ce que quand on se présente à la « magistrature suprême », comme on dit, on est là pour expliquer aux gens ce qu’on compte faire en matière de sécurité sociale ou avec Assad ou on est là pour montrer à quel point on est sympa, dynamique, drôle et qu’on a un joli sourire ?
Vous avez sorti ce livre juste avant la primaire socialiste, est-ce volontaire de votre part ? Avez-vous un message à faire passer ou est-ce seulement pour le buzz ?
Non, c’est surtout parce que j’ai un côté un peu fainéant. L’idéal aurait été que le bouquin sorte en octobre avant la primaire de la droite. Ce n’est pas pour le buzz. Moi, je m’amuse en écrivant donc j’espère que les gens vont rigoler en le lisant. Il n’y a pas non plus de message, il pose un peu le problème de la connexion entre une TV un peu folle, la com et les hommes politiques. Est-ce que quand on se présente à la « magistrature suprême », comme on dit, on est là pour expliquer aux gens ce qu’on compte faire en matière de sécurité sociale ou avec Assad ou on est là pour montrer à quel point on est sympa, dynamique, drôle et qu’on a un joli sourire ? C’est ce mélange des deux qui est de plus en plus compliqué.
Vous dressez un portrait très critique des hommes politiques. Vous les réunissez dans une sorte de « grand diner de cons », où ils n’ont pas grand’chose d’intéressant à raconter et passent leur temps à lancer des petites phrases assassine. C’est votre vision des hommes politiques ou certains trouvent encore grâce à vos yeux ?
Le but de mon bouquin n’est pas de faire une synthèse du programme de Macron, de Montebourg ou de Fillon. Il existe déjà pleins de bouquins sérieux pour cela. J’ai donc effectivement évacué les choses sérieuses du livre. Et sinon, non, ils ne sont pas tous pourris. Comme disait Sarko : « J’adore la politique ». J’ai été journaliste politique pendant longtemps et cela continue de me passionner. Je pense que le débat politique est important. Il y a des dérapages. Certains disent un peu n’importe quoi. D’autres sont un peu trop ambitieux. Mais, globalement j’ai plutôt du respect pour eux. Ce sont des gens dévoués. Ils ont une vie de chiens. J’ai suivi Mitterrand pendant des années avant qu’il ne soit président et je ne ferai pas ce métier pour un empire ! A l’époque il se levait à 6 heures du matin pour aller prendre un train à Austerlitz pour aller à Château Chinon. Il a sacrifié beaucoup de choses, tous ses week-ends pour des Fêtes de la rose �� la con dans des bleds improbables. Il faut vraiment en vouloir. Ils ont du mérite. Des gens comme Sarko et Hollande sont devenus présidents mais ils ont ramé pendant 10 ans, 15 ans…donc respect ! En même temps, ils veulent nos voix donc on attend qu’ils soient à la hauteur. On les attend au tournant.
Je les connais par cœur. Je connais leurs faiblesses et la difficulté du métier. Ils promettent toujours plus qu’ils ne donnent en réalité. C’est le problème des campagnes électorales. J’ai applaudit des trois mains le discours du Bourget et c’est vrai qu’à l’arrivée, on en est un peu loin.
Vous pensez qu’ils peuvent encore faire quelque chose ?
Oui ! C’est vrai qu’il y a l’Europe, les multinationales… C’est vrai que la marge de manœuvre est faible. Hollande est arrivé en disant qu’il allait renégocier le traité européen et il n’a rien renégocié du tout. J’attends avec grand intérêt Mélenchon et les autres car ils promettent mais ils ne renégocieront rien du tout, comme les autres. On ne peut pas imposer à 26 pays de renégocier un traité. C’est infaisable ! J’ai des gens autour de moi qui ne votent pas. Hélas, c’est un mal français. Mais pourtant, les politiques ont beaucoup à dire sur les impôts, l’enseignement, l’urbanisme, l’écologie. Cela touche les gens dans leur vie quotidienne. Alors, avoir un maire de gauche ou de droite ce n’est pas la même chose. Une assemblée de gauche ou de droite ce n’est pas la même politique, même si les marges de manoeuvre ne sont pas énormes.
Je suis actif sur Twitter et j’insulte les gens qui disent qu’ils vont s’abstenir. Cela m’insupporte d’entendre des gens dire que cela ne sert à rien d’aller voter. Les gens qui racontent que nous n’avons pas le choix se foutent du monde !
Vous votez toujours ?
Oui. Je suis actif sur Twitter et j’insulte les gens qui disent qu’ils vont s’abstenir. Cela m’insupporte d’entendre des gens dire que cela ne sert à rien d’aller voter. Cela prend 15 minutes d’aller voter un dimanche. Il y a des millions de gens qui se sont battus pour pouvoir voter. Il y a des gens qui sont morts pour ce droit. Mais, il est vrai que cela pose la question du bulletin blanc. Ce n’est pas normal qu’il ne soit pas pris en compte. Les gens gueulent mais l’offre politique en France est très importante. Aux USA, ils ont eu le choix entre 2 voire 3 candidats. Ici, l’offre va de Nathalie Arthaud à Le Pen en passant par Mélenchon, le vrai centre, le faux centre… et même Dupont-Aignan. Les gens qui racontent que nous n’avons pas le choix se foutent du monde ! Au premier tour, on choisit et au 2ème tour, on élimine car il en reste 2. On garde celui qu’on déteste le moins. Mais c’est comme cela depuis toujours !
A la fin de votre livre, il y a une bibliographie très étendue de livres politiques, c’est pour frimer ou vous les avez tous lus ?
J’ai tout lu parce que je suis un garçon sérieux ! J’ai passé mon été à lire la biographie de Mélenchon et franchement il y a plus rigolo, plus festif. (Rires). Mais, cela m’intéresse. J’ai appris plein de trucs sur son existence. Mon bouquin est une fiction mais toutes ces perfidies qu’ils disent les uns sur les autres, ils les ont vraiment dites. Cela ne serait pas drôle et n’aurait pas grand intérêt si c’était du pur fantasme, un pur délire de ma part. Les politiques sont de petits animaux attachants. J’ai beaucoup travaillé sur le cas Juppé et je pense que c’est un personnage intéressant sur plan psychologique. Il doit être tellement dévasté depuis novembre car il est intimement et sincèrement persuadé d’être le meilleur. Le fait d’être balayé comme doit le rendre totalement malade. Sarkozy aussi pense qu’il est au-dessus des autres et il se fait battre au premier tour. Hollande est persuadé d’être le meilleur et il ne peut même pas se présenter.
Ne pensez-vous pas que les gens veulent un renouvellement de la classe politique et voir partir ceux qu’on se traîne depuis plus de 40 ans ?
Oui, on va voir. Ce qui est intéressant dans la politique c’est que le scénario n’est jamais écrit à l’avance. Rien ne se passe jamais comme prévu. Balladur était donné vainqueur les doigts dans le nez et il s’est fait ratatiner sans même passer le premier tour. Jospin pareil. C’est passionnant. J’attends avec intérêt le parcours de Macron.
Pour moi il y a deux options : Il peut totalement exploser en vol ou sortir vainqueur. Une campagne c’est une machine à laver, une essoreuse. Ce n’est pas simple d’en ressortir indemne. Macron, il est tendre, très très tendre… Il n’a pas l’expérience de tout ça et il dit beaucoup de conneries. Mais il peut passer. C’est ça qui est génial ! Qui aurait dit il y a 6 mois que Juppé allait être éliminé, que Sarko aussi (avec seulement 20% à Neuilly) et qu’Hollande allait laisser tomber ? Dans toute la presse, on donnait Juppé-Hollande au 2ème tour ou Juppé-Le Pen. Si quelqu’un avait dit le contraire, on l’aurait pris pour un fou ! J’ai suivi de près les élections aux USA et à chaque primaire on a dit que Trump allait être éliminé et pourtant il est bien là !
C’est vrai que j’y vais parfois un peu fort sur Twitter en critiquant Pujadas, Elkabbach ou Apathie. On me dit que je suis jaloux car je ne suis plus dans le circuit. C’est bizarre comme raisonnement. On peut critiquer quelqu’un sans vouloir prendre sa place !
Dans le livre, vous vous décrivez comme un ‘pisse-vinaigre aigri et jaloux’, c’est ça que vous êtes devenu ?
Non ! C’est pour cela que j’en parle. J’ai la langue un peu acérée et j’accepte tout à fait d’être critiqué. Mais, le seul reproche qui me blesse vraiment, car c’est faux, c’est qu’on dise que je suis aigri. Il y a des mecs sur Twitter qui prétendent que je critique Pujadas car je rêve d’avoir sa place. C’est tout le contraire ! Et, je peux le prouver. En l’an 2000, Michèle Cotta, patronne de France 2 de l’époque, m’avait proposé de revenir au 13 heures et j’ai dit non sans même discuter. Donc, si le but de ma vie était de montrer ma gueule à la TV, j’aurais sauté sur le contrat en signant sans même le lire ! C’est vrai que j’y vais parfois un peu fort sur Twitter en critiquant Pujadas, Elkabbach ou Apathie. On me dit que je suis jaloux car je ne suis plus dans le circuit. C’est bizarre comme raisonnement. Nous les journalistes, on est là pour montrer les dysfonctionnements. C’est comme si tu critiques Valls car tu veux être Premier ministre. On peut critiquer quelqu’un sans vouloir prendre sa place ! Et par ailleurs, j’aime beaucoup de gens à la télé, comme Gilles Bouleau ou Elise Lucet.
Si on vous appelait pour vous proposer de créer une émission politique en totale liberté, quel média et quel format choisiriez-vous ?
Je n’en sais rien mais si j’avais à choisir, j’opterais pour la radio car c’est bien plus souple et excitant que la télé. Mais la question ne se pose pas. Il y a beaucoup de jeunes gens qui se bousculent au portillon. Sur internet, je pourrais faire un blog ou une chaine You tube, mais j’ai un côté feignasse, et c’est extrêmement vaniteux de penser que son avis intéresse tout le monde. En ce qui concerne mes tweets, ne les lisent que ceux que ça intéresse. Et pareillement pour mes bouquins. Je me défoule dedans. C’est la soupape qui me permet de ne pas exploser et ça me suffit amplement.
Que reprochiez-vous aux JT à l’époque où vous- même en étiez l’une des grandes stars ?
Je suis arrivé à la télé en 1975, sous Giscard. A l’époque, j’étais sur TF1 et la TV était estampillée giscardienne. Ensuite, j’ai vécu de près l’après 81. J’ai failli être chef du service politique mais j’ai refusé. J’étais au cœur du cyclone. Il y a eu une tentative claire de reprise en main par les socialistes. Ils disaient « on nous a pissé dessus pendant 20 ans donc maintenant on va pisser sur les autres. » Ce fut un peu compliqué. Il y a eu beaucoup de revanchards, une chasse aux sorcières et une mauvaise ambiance générale, un peu comme la Libération en 44 à Paris. On n’a fusillé personne mais ce n’était pas une bonne période. Maintenant, il y 26 chaines sur la TNT. L’offre est très éclatée et même si une chaine était ostensiblement UMP ou Socialo, cela ne pourrait pas fonctionner. Les chaines ont besoin d’un maximum d’audience pour vivre. Une chaine estampillée partisane serait un problème même si parfois on sent bien que quelques coups de fils ont été passés ou autre… Chez Europe 1, il y a eu des changements comme par hasard après la défaite de Sarko. Il est clair qu’il y avait des connexions entre Sarko et Lagardère. Tout est loin d’être parfait aujourd’hui mais on n’est pas en Union Soviétique.
La TV ne vous manque pas ?
Non vraiment pas. On m’a proposé de revenir mais j’ai refusé.
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maxmollon · 7 years ago
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(CHECK THE WEBSITE : lancement chaire arts et sciences)
Chèr.e.s ami.e.s,
Venez débattre vendredi !Je​ ​vous invite à un​ ​“forum des controverses” sur les enjeux éthiques des maladies neuro-dégénératives (les ‘forums des controverses’ sont des​ débat-fictions​ ​participatif) avec le projet Éphéméride.
•​ 19h-21h ce vendredi • 17h-19h pour voir les conférences qui précèdent. • ​Cité Internationale des arts: 18 rue de l’hôtel de ville - 75004 • ​Débat dans l'Atelier 8220, noté numéro 9 sur le plan ci-joint
“NOUS NE SOMMES PAS LE NOMBRE QUE NOUS CROYONS ÊTRE” est le nom de l​’événement​ ​art-science dans lequel s'inscrit un atelier thématique de 36h sur les savoirs médicaux, auquel je participe en organisant ce débat​​.
Le fil conducteur de ce foisonnant programme est l’univers d’un recueil de nouvelles de l’auteure américaine de science-fiction Ursula K. Le Guin, The Compass Rose (1982). J'interviendrai au sein de l’atelier qui reprend le titre d’une de ces nouvelles « L’eau est vaste ». Celle-ci attire notre attention sur les rapports que nous entretenons avec les savoirs scientifiques et médicaux qui ne nous encouragent pas toujours à oser explorer d’autres formes de relations de nos corps et de nos êtres à la multiplicité des mondes, visibles et invisibles, qui pourtant nous constituent.L'atelier est porté par Valérie Pihet du collectif Dingdingdong – Institut de coproduction de savoir sur la maladie de Huntington, co-fondé par 17 chercheurs, artistes et professionnels. Dans cet atelier, il s’agira de s’intéresser au « soin des possibles », pour suivre la philosophe Isabelle Stengers quand elle nous invite à penser les possibles contre les probables. Étant toutes et tous concerné.e.s dans une vie par la maladie, que l’on soit soi-même malade, proche d’un.e malade ou professionnel soignant, nous tâcherons d’explorer les manières de prendre soin des différentes formes de savoirs constituées à partir de nos expériences, et non en dehors d’elles. Pour ce faire, nous proposerons des espaces de partage de pratiques d’artistes et de chercheurs qui mettent leurs savoir-faire à l’épreuve de ces expériences, avec les personnes concernées. Nous explorerons également, par des expériences sensorielles – parfois virtuelles -, chorégraphiques et narratives, la question du soin à prendre des sens et des histoires qui nous fabriquent. Ces expériences inviteront les publics à s’éprouver comme faisceaux de relations, espace d’accueil, d’étreintes et de partage.
​Programme ​spécifique ​de cet atelier :
De 15h à 18h le vendredi 2 février, rencontre avec des chercheurs, artistes et professionnels qui mettent leurs compétences et leurs savoir-faire à l’épreuve d’expériences partagées par des personnes concernées.
De 18h à 19h puis de 21h à 22h le vendredi 2 février, et enfin de 10h à 16h le samedi 3 février, retrouvez-nous pour explorer les possibilités narratives de la réalité virtuelle. Au programme, dans l’ordre, introduction/discussion, démonstrations et atelier de création proposés et animés par  Fabien Siouffi (Dingdingdong, Fabbula), Ferdinand Dervieux (Parallèles Editions/Sharpsense) et Sarah Garcin (designer graphique et designer d’interaction). Plus d’info dans le document joint. ATTENTION : pour participer à l’atelier de création, je vous invite à vous inscrire, nombre de places limité : [email protected]
De 19h à 21h le vendredi 2 février, participez au débat conduit par Max Mollon, designer, enseignant et chercheur dédié au design fiction depuis 2010 (Design Fiction Club, Politique-Fiction, What if ? - bureau d’études du débat public). Il portera sur le temps de la maladie tant du point de vue des patients que des aidants. Cette concertation débutera par la présentation d’images fortes – conçues pour l’occasion, afin de stimuler le débat – qui mettent en perspective des scènes de vie de patients, et du même geste, des questionnements éthiques propres à ces sujets complexes.
De 22h à 10h la nuit du 2 au 3 février, venez nous rejoindre pour vivre une expérience sensorielle qui vous invitera à percevoir et ressentir les corps et les lieux comme des espaces de tâtonnement, d’étrangeté et de partage! Cette expérience est proposée par la chorégraphe Anne Collod (Cie … & alters, Dingdingdong).
De 18h à 19h30 le samedi 3 février, assistez à l’atelier « Tâla Médical » proposé par Luc Perera (chercheur en design sonore médical/programme doctoral SACRe), en présence de deux musiciens. Comment le design sonore médical et la musique classique de l’Inde du sud peuvent faire alliance pour tenter d’explorer une préoccupation politique et sociale majeure qui est le vieillissement de la population ? Quelle pratique pour quelle forme de soin ?
En permanence : exposition Dingdingdong – Institut de co-production de savoir sur la maladie de Huntington comprenant vidéos (deux capsules vidéo du docteur Marboeuf à propos de l’unité spéciale Alice Rivières et une vidéo intitulée Journal du futur d’Alice Rivières produites par le département «Narration spéculative» de L’Institut Dingdindong) et documents (posters et centre de ressources)
Je vous encourage vivement à regarder le programme de tout l'évènement. À consulter en ligne, ici.
Cet événement est proposé par la Fondation Daniel et Nina Carasso, en partenariat avec la Chaire “arts & sciences” (portée par l’École polytechnique / l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL / la Fondation Daniel et Nina Carasso) et la Cité internationale des arts. Il rassemblera des centaines d’artistes, chercheurs et groupes de travail d’horizons géographiques et disciplinaires très variés autour d’une expérience inédite, en continu pendant 36h. Ils vous invitent à réfléchir sur le présent et à esquisser ensemble des voies d’avenir.Le programme est très riche et réuni Toutes les infos ici : http://chaire-arts-sciences.org/nous/
Avec la participation de (Warning, name dropping!) :
​Bruno Latour, Pierre-Damien Huyghe, Christophe Leclercq , Giovanna Di Chiro, Laurent Jeanpierre, Kristin Ross, Emmanuel Mahé, Samuel Bianchini, Lucile Haute, Max Mollon, Ferdinand Dervieux, Sarah Garcin, Benoit Verjat, Nicolas Couturier, G.U.I., Julie Blanc, David Bihanic, Anthony Masure , Robin de Mourat , Vincent Piccolo , Annick Rivoire, Nolwenn Tréhondart, Valérie Pihet, Julia Morandeira, Arrizabalaga, Thierry Mouillé, David Zerbib, Naïm Aît-Sidhoum, Armand Béhar, Stéphane Bérard, Grégoire Bergeret, Filippo Broggini, Marie-Haude Caraès, Nicole MarchandZanartu, Matthieu Clainchard, Alexandre Costanzo, Anna Dezeuze, Elie During, Bastien Gallet, Gianni Gastaldi, Laurent Jeanpierre, Charlie Jeffery, Farah Khelil, Julia Kremer, Mauro Lanza, Frédérique Loutz, Sophie Mendelsohn, David Rabouin, Gaëtan Robillard, Didier Tallagrand, Christian Ruby, Linda Sanchez, Nicolas Tixier, Ewen Chardronnet, Aliens in Green , (groupe d’artistes composé, de Bureau d’études, Ewen Chardronnet, Mary Maggic, Julien Paris, Spela Petric), Xavier Bailly, Julien Bellanger, Benjamin Cadon, Nathalie Blanc, Lauranne Germond, Annick Bureaud, Isabelle Carlier, Erik Noulette, Chloé Desmoineaux, Nicolas Floc’h, Amanda Crabtree, Valérie Gentilhomme, Fabrice Lizon, Jeff Guess, Léa Le Bricomte, Robertina Sebjanic, Annie Sprinkle, Beth Stephens, Carole Thibaud, Miha Tursic, La Paillasse (Paris), Garance Malivel, Jamie Allen, Merle Ibach, Jennifer Crouch,, Nicholas Shapiro, Christophe Guérin , etc.
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Les salons de coiffure sont bien les seuls endroits où l'on casque pour écouter quelqu'un qui vous défrise ! (Bruno Masure).
Champagnole, Jura.
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utopiedujour · 7 years ago
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Charles n°25, Vis ma vie de député
DOSSIER VIS MA VIE DE DÉPUTÉ :
«Député, c’est violent », grand entretien avec le mathématicien Cédric Villani, parlementaire fatigué mais heureux.
« Génération corporate au Palais-Bourbon », qui sont les managers de La République en marche ?
« Le Banc des Corses à l’Assemblée », portraits des trois élus nationalistes de l’Île de Beauté.
Adrien Quatennens : « La politique me suivra toute ma vie», rencontre avec la star montante de La France insoumise.
« France – Syrie, un certain sens de l’amitié », enquête sur une camaraderie parlementaire pas comme les autres.
François de Rugy : «Je suis un chef  d’orchestre », interview fleuve du président de l’Assemblée.
« Les Piliers des Quatre colonnes », reportage consacré au XV Parlementaire.
MAIS AUSSI : le portrait de Marlène Schiappa par Elsa Faucillon • Sacha Houlié & Pierre Person, les colocs de la Macronie •  Bruno Masure : « Il y a une forme de caste, quoi qu’on en dise » • Raquel Garrido : « Les insoumis détestent France inter » • L’interview d’un Charles : Charles de Courson • «  Après la révolution #1 », par Zarca, premier épisode d’une nouvelle série littéraire •  «  Dessine-moi un CRS – L’histoire des affiches de Mai 68 »
SORTIE EN LIBRAIRIE ET EN KIOSQUE LE MERCREDI 4 AVRIL 2018.
Disponible en prévente sur le site de l’éditeur : La Tengo  
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potdecitations · 7 years ago
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'Pour l'homme, la femme frigide est à l'image d'une piscine trop fraîche : on met du temps à y entrer. Pour en ressortir très vite !' -Bruno Masure | Pot de Citations
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bondamanjak · 8 years ago
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Le tweet du jour 17/06/17 Bruno Masure https://t.co/dOWlBhTByN https://t.co/qdiPmzey3t
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