#bon-aventure
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randomnameless · 7 months ago
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Tiens, on est le 21 avril aujourd'hui?
Ca va faire l'anniversaire des 22 ans de Jean-Marie au second tour et oĂč pas mal de personnes censĂ©es se sont rendues compte qu'il y avait toute une frange de cons en France : "moi pas content moi mettre coup de pied dans fourmiliĂšre alors moi voter pour vieux monsieur qui a formĂ© son parti avec des anciens Waffen-SS et qui a torturĂ© en AlgĂ©rie et compare les homosexuels au "sel dans la soupe" parce que moi vraiment pas content "
Et depuis on a de plus en plus de cons à tous les niveaux - mais bon, je reste un blog fandom donc parler trop de politique ça va me transformer en bloc de sel géant.
Par contre, avec le fandom actuel sur Fodlan, ben je vois que c'est une tendance de fond apparemment, et ça dépasse nos frontiÚres (ouais on est pas les seuls cons au monde! Youpi!) et c'est toujours aussi inquiétant - je ne parle pas des délurés dans leur caniveau dans un certain serveur de Discord(e) - mais juste un commentaire banal genre :
"J'ai vraiment aimé ta fic du coup j'ai écris la mienne!"
Je me sens un peu flattée qu'un des trucs randoms que j'avais posté ai pu rendre des gens contents ?
"Du coup j'ai aussi repris l'idée de Lycaon l'hybride Nabatéen"
Cool, enfin c'est pas juste moi, les demi dragons, c'est un peu une tradition dans FE et les mondes de fantasy, et puis Fodlan le sous-entend avec certains persos et dialogues et...
"Alors dans mon idée, les hybrides tombent tout le temps malade, jusqu'à que leur descendance ait moins de sang de Nabatéen parce que c'est ça qui les rend fragiles"
... Attends, quoi ??
(gros gros sel sous la coupure)
Moi dans mes délires c'est l'histoire clichée du "il a du sang de créature magique donc ça les rends plus forts/demi-dieux etc etc" avec l'analogie traditionnelle du "ben s'ils peuvent faire des bébés c'est qu'ils ont pas si différents et les deux peuples peuvent s'entendre au lieu de se foutre sur la gueule tout le temps" - il n'a jamais été question de "oui ben l'hybride est mal foutu génétiquement parce que le sang d'une des races n'est pas bon et il survit que s'il se débarrasse de sa partie "autre" " !
Et puis merde, je sais qu'on est dans une fanfic et une oeuvre de fiction, mais c'est super inconfortable de lire ce genre de trucs! Sans rentrer dans les "théories" à la con, ce genre de saloperies a été utilisé dans la vraie vie pour justifier de la merde!
Enfin quoi, on est sur de la fiction, mais on explique que "il est malade parce qu'il n'est pas de sang pur ??" Et ça c'est censĂ© ĂȘtre, genre, normal, et pas un twist oĂč en fait c'est un super raciste qui a "crĂ©Ă©" cette maladie pour garder des gens "purs"? C'est juste, euh, "naturel"????
oui bon j'ai relu bleach récemment
Comment un de mes posts a pu inspirer ça?
Tiens, ça me fait penser à cette autre fic qui m'intéressait bien aussi :
Guerre des HĂ©ros? Check
Willy ? Check
Lycaon est un hybride? Triple check
Et puis dans les notes de l'auteur "ah oui c'était compliqué pour l'élever en tant que bébé, mais une fois qu'il avait passé sa phase de nabatéen* ça passait"
*Ok, c'est de l'anglais et j'ai peut-ĂȘtre mal compris le "grew out of his nabatean traits" ???
Bordel ça commençait tellement bien, et ça finit comme les épinards de la cantine.
Encore une fois, on est sur de la fanfic alors bon, si quelqu'un écrit sur quelque chose ça ne veut pas forcément dire qu'il est d'accord avec tout ce qu'il écrit ou veut les promouvoir, j'entends bien.
Mais tout de mĂȘme, je trouve que parler de ça, dans un fandom qui comporte des latrines comme ce fameux sous-serveur, et dont l'oeuvre principale est centrĂ©e autour d'une "waifu qui est en fait mĂ©chant mais trop kawaii alors tu te sens tristoune de la dĂ©gommer mais comme elle trop kawaii personne va lui dire de la boucler ou tout ceux qui le font sont dĂ©peints comme des vilains pas beaux mĂ©chants qui Ă  la fin trouvent qu'elle avait pas tort" dont le leitmotiv reste tout de mĂȘme la volontĂ© de dĂ©barrasser le monde du "sang de dragon" (Et personne dans le jeu ne tique ou ne remarque ça pour sortir - Ă  l'Ă©poque ce que j'aurais appelĂ© une tarte Ă  la crĂšme mais vu le fandom et les temps actuels ce n'est en fait pas si commun??? - "le racisme ce n'est pas bien" et que tous les persos mettent Ă  leur sauce des "oui mais c'est vrai que le sang de dragon ce n'est pas bien"!) franchement c'est trĂšs trĂšs bof.
Est-ce que ces "thĂ©ories racialistes" sur les "hybrides NabatĂ©ens" c'est juste de la libertĂ© littĂ©raire dans le genre de la "darkfic" ou du "dead dove do not eat", ou est-ce que ce sont des effluves nausĂ©abondes qui Ă©manent des toilettes, ou des personnes qui ont jouĂ© au jeu et ne se rendant pas compte des Ă©normitĂ©s de Dedel - qui sont malgrĂ© tout passĂ©es sous silence par les dĂ©veloppeurs et scĂ©naristes eux-mĂȘmes parce qu'il faut vendre des goodies ?
Ça me gonfle parce que normalement, je me dis toujours qu'il faut consommer des choses auxquelles on est pas forcĂ©ment attirĂ©s dĂšs le dĂ©part pour Ă©largir ses horizons et peut-ĂȘtre apprĂ©cier d'une autre maniĂšre quelque chose - mais avec cet univers, avec un fandom (et des jeux) qui nous bassinent en long, en large et en travers "ouin ouin tout ce qui ne va pas dans le monde c'est Ă  cause du sang de NabatĂ©ens" et chie sur, ben, les persos NabatĂ©ens eux-mĂȘmes, une fic qui a part sur un postulat "les hybrides NabatĂ©ens existent, mais ne sont pas viables/en bonne santĂ©/gĂ©rables s'ils ont trop de sang NabatĂ©en", je ne peux/veux plus les lire/voir/Ă©couter.
Comme pour l'utilisateur de Tumblr que j'avais bloquĂ©, sans avoir jamais interagit avec cette personne, mais parce que j'avais lu un billet en mode "oulala rien que de penser Ă  Dedel qui aurait du sang de NabatĂ©en [encore dans un contexte de demi-nabatĂ©ens] ça me rend physiquement malade!" parce que, non seulement, ben ça veut dire que cette personne n'a visiblement pas compris ce qu'est un EmblĂšme dans le jeu, et surtout, parce que ce genre de trucs avec le fandom de FE16, avant mĂȘme que je ne dĂ©couvre le trou Ă  fange qu'est le sous-serveur de la Discorde, c'est un gros gros signe que cette vision qu'Ă  cet utilisateur du jeu et la mienne sont tellement incompatibles qu'on ne pourra jamais discuter sereinement dessus, donc blocage automatique.
Je vois le "fandom" comme quelque chose de relaxant oĂč j'ai envie d'ĂȘtre chill et de juste, apprĂ©cier des trucs plutĂŽt que de rĂąler (j'ai dĂ©jĂ  la vraie vie pour ça), mais lĂ  c'est juste, je pense, de la dĂ©ception (une origo gentis sur les Hresvelg! Un des trucs sur lesquels j'avais dĂ©blatĂ©rĂ© il y a longtemps! C'est tellement gĂ©nial de voir que quelqu'un d'autre a eu l'idĂ©e d'en faire une! Si seulement il n'y avait pas eu ce foutu commentaire "et en fait les mĂ©tisses sont malades parce qu'ils ne sont pas viables Ă  cause du sang de l'un de leurs parents mais si ce sang se dilue ils vont mieux"...) et la simple coincidence qu'aujourd'hui on est le 21 avril qui vaut ce bloc de sel.
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fidjiefidjie · 1 year ago
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Bon soir đŸ†•ïž đŸ˜ŠđŸ“œ 💙
JJAX đŸŽ¶ Capitaine Hard Rock (version papa)
Cover Richard Gotainer "Chants Zazous"
Images :les aventures de Tintin de Hergé
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yoannblogging · 10 months ago
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090224
Dans la soirĂ©e du 08 fĂ©vrier 2024, Yoann et une partie de ses collĂšgues ont passĂ© un bon moment dans un mini-golf avant de rentrer Ă  la maison des secrets oĂč ils se sont vaillamment efforcĂ©s de finir l’alcool restant de la veille (la modĂ©ration des uns entraĂźne les excĂšs des autres #çafaitrĂ©flĂ©chir). Notre envoyĂ© spĂ©cial, E.R., Ă©tait sur place pour suivre l’évĂ©nement.
AprĂšs n’avoir pas brillĂ© de tous ses feux au mini-golf (mĂȘme Yoann ne peut pas avoir tous les talents), Yoann, pourtant toujours bon joueur, perdant magnanime et gagnant Ă©lĂ©gant, a Ă©tĂ© pris d’un Ă©lan de rage et de dĂ©sespoir en arrivant seulement deuxiĂšme Ă  Mario Kart, qui contrairement au mini golf est une de ses spĂ©cialitĂ©s. Des tĂ©moins parlent de cris Ă  glacer le sang. Il est possible que sa dĂ©cennie d’expĂ©rience en tant que joueur de League of Legends soit en cause dans ces rĂ©actions vocales et passionnĂ©es lors de la pratique du jeu vidĂ©o.
Plus tard dans la soirĂ©e cependant Yoann s’était beaucoup radouci, et a exprimĂ© sa reconnaissance Ă  ses collĂšgues pour leur positionnement pro-Yoann et non anti-Yoann. Nous saluons bien Ă©videmment cette opinion frappĂ©e au coin et nous rĂ©jouissons que Yoann soit apprĂ©ciĂ© Ă  sa juste valeur.
Il semblerait Ă©galement que Yoann ait, sans surprise, fait preuve d’une grande gĂ©nĂ©rositĂ© et de beaucoup de bontĂ© en attribuant un prĂ©cieux kudos (terme technique et singulier sur le document d’évaluation annuel) Ă  l’humble reporter derriĂšre yoannblogging lors de son entretien annuel avec le CTO, ce qui nous va droit au cƓur.
Par ailleurs, il apparaĂźt que Yoann ait Ă©tĂ© victime de quolibets lors de la semaine de sĂ©minaire car il fait trop d’heures supplĂ©mentaires pour lesquelles on n’est pas payĂ©s et vas-y c’est bon les clients ils peuvent attendre 12h pour un mail surtout si ils sont pas sympas ou commettent des crimes orthographiques contre Yoann. Ici Ă  la rĂ©daction de yoannblogging nous pensons qu’il faut parfois dĂ©noncer ce type de mauvaise habitude en place publique, et que qui aime bien chĂątie bien. Cela vaut aussi pour les membres de l’équipe de Yoann qui vivent Ă  Bourgoin-Jallieu ou encore les gens qui ont une thĂšse et font de la recherche.
Enfin, il semble que Yoann ait mis un frein Ă  ses ambitions d’absorber tout le monde dans son Ă©quipe et ait acceptĂ© de laisser quelques collĂšgues aux autres, ce qui est bien aimable Yoann est si noble et bon.
Un admirable passage de relais journalistique a eu lieu aux alentours de minuit lorsque notre envoyĂ© spĂ©cial est rentrĂ© chez lui, une dĂ©marche pleine de sagesse puisque les festivitĂ©s / consommation d’alcool et de chips / jeux vidĂ©os / discussions Ă  visĂ©e rĂ©volutionnaire ont durĂ© ensuite bien tard dans la nuit. Yoann a fait une dĂ©monstration diabĂšte aiguilles science mĂ©decine pour l’édification gĂ©nĂ©rale, n’était pas le moins concentrĂ© de tous quand une tentative de jeu de sociĂ©tĂ© a Ă©tĂ© lancĂ©e, et Ă©tait trĂšs volontaire ainsi que proactif pour porter une dĂ©marche de jamais se coucher aller jusqu’au bout de la nuit, mais la soirĂ©e a pris fin aux alentours de 4h. Aucun regret mĂȘme si les heures de sommeil manquantes se font ressentir.
Yoann est maintenant en train de tenter de s’assoupir dans le Ouigo inconfortable alors qu’il devrait ĂȘtre dans un vrai train pas low cost en premiĂšre classe puisqu’il est cadre, mais hĂ©las la SNCF n’a sans doute pas rĂ©alisĂ© qui elle avait Ă  bord sinon il aurait sans aucun doute bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un surclassement.
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helshades · 1 year ago
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OĂč Arnaud joue avec son gros flingue rien que pour embĂȘter Nunu... euh, Usul mais avance aussi quelques arguments fort pertinents au sujet de cette triste histoire. Morale : faut pas faire chier Astronogeek quand il nettoie sa kalache*.
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coovieilledentelle · 16 days ago
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« Le samedi est fait pour les aventures, le dimanche pour le repos de l'esprit » ; « Laisser vagabonder son esprit et trouver la sérénité pendant le week-end, c'est s'assurer de redémarrer la semaine du bon pied ».
Heureux samedi chers amis
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littleragondin · 1 year ago
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LOL tout s'explique effectivement 😂😂 ma mĂšre est champenoise et elle aussi quand j'Ă©tais mĂŽme parlait de Troyes comme le sud ptdr
@littleragondin mon mec est du Chemin des Dames et il Ă©tait jamais descendu plus bas que Troyes avant ses 21 ans (quand on s'est connus quoi).
Le Nord pour lui c'est un département. Et le sud ben c'est tout ce qu'il y a "en bas"
😂
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crimson-veil-rpg · 6 months ago
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C R I M S O N . V E I L forum rpg urban fantasy de type crĂ©atures et gangs avec concept de doubles identitĂ©s secrĂštes (tw : violence, sang, chasse) š:·. .·:š š:·. ☟ .·:š š:·. .·:š š:·. .·:š š:·. ☟ .·:š š:·. .·:š Scarborough. Il y a quelque chose dans ce nom qui Ă©corche la langue en y laissant sa marque, raclant la gargue pour s'extirper presque douloureusement des lĂšvres. Ici, les apparences sont trompeuses, se fardant d'un monticule de faux semblants au cƓur de la station balnĂ©aire britanique. Les jours d'Ă©tĂ© sont doucereux, idĂ©aux pour flĂąner naĂŻvement le temps d'un aprĂšs-midi Ă  sombrer dans l'oisivetĂ©. Puis, il y a la sorgue qui tombe, ne laisse qu'un empire des lueurs artificielles devenues floues sous une brume dominante, sertie d'une Ăącre fragrance d'iode.
Alors les ombres sortent, sournoises chimĂšres aux babines avides dĂ©gueulant de crocs affutĂ©s qui entament leur ballet nocturne. Les masques tombent jusqu'Ă  l'aube naissante et plus rien ne paraĂźt alors rassurant. Les bĂȘtes grouillent, se dĂ©voilent, se croisent Ă  l’abri des mires aveugles d’ĂȘtres humains pour qui elles ne sont que des histoires fantaisistes que l'on conte aux bambins. Les griffes se ferment sur les chairs et les disparitions vont bon train. Enfin jusqu'Ă -ce que les projectiles filent, tentant de protĂ©ger les pauvres Ă©garĂ©.es de leurs funestes Ă©treintes. Parce qu'il y a toujours eu les proies, toujours eu les traqueurs en un jeu sempiternel. Si bien qu'on ne sait plus vraiment qui sont les prĂ©dateurs et qui sont les proies.
Peut-ĂȘtre que dans tout ça votre charmante voisine vous offrant d'allĂ©chantes pĂątisseries n'est autre qu'une chasseuse de monstres aguerrie une fois le crĂ©puscule tombĂ©, que votre collĂšgue de bureau se rĂ©vĂšle ĂȘtre un bestiau assassin faisant bonne figure afin de mieux se fondre dans la masse, que cet aimable facteur fait partie d'un organisme secret mettant Ă  mal l'humanitĂ© lorsqu'il ne livre pas le courrier.
Et vous, au fond, qui ĂȘtes-vous rĂ©ellement ? š:·. .·:š š:·. ☟ .·:š š:·. .·:š š:·. .·:š š:·. ☟ .·:š š:·. .·:š
Encore un Ă©niĂšme univers portĂ© sur les bestioles et pourtant, Crimson Veil vous proposera quelque chose en plus pour pimenter le jeu. Le forum possĂšdera un concept d’identitĂ©s secrĂštes, oĂč seul le staff connaĂźtra la vĂ©ritable espĂšce ou rĂŽle au sein des organisations de chaque personnage. Le but sera Ă©videmment de jouer le jeu, d’en dĂ©voiler le moins possible, laisser des indices s’échapper de temps Ă  autre et dissimuler les crasses sous quelques balises hide bien placĂ©es. Les membres d’une mĂȘme organisation ou d’une mĂȘme espĂšce, pourront se reconnaĂźtre entre eux bien entendu, Ă  comploter paisiblement Ă  l’abri des regards dans des zones secrĂštes. Bien sĂ»r, le forum demande pas mal d’amĂ©nagements pratiques afin que les mystĂšres soient viables au maximum, les rĂ©ponses quant Ă  l’organisation des choses arriveront en temps voulu.
Et ça ne risque pas de vriller city tout ça ? Et bien mon petit Philibert, le jeu sera agrĂ©mentĂ© de plusieurs espĂšces non jouables sous forme de PNJ capables de semer le trouble et donner du rebondissement entre les diverses intrigues. MĂȘme les crĂ©atures les plus hostiles pourront se faire croquer par plus gros qu’elles.
Le nom de Scarborough, petite ville cĂŽtiĂšre du Yorkshire, en Angleterre, vous est peut-ĂȘtre familier. En effet, une partie de l’univers reprendra le lore et quelques petites choses Ă  son forum grand frĂšre, Noctivagus, ouvert en septembre 2020 et qui a fermĂ© ses portes en 2023. De nombreuses choses seront cependant intĂ©gralement revues et adaptĂ©es (nombre et types de crĂ©atures, gangs, systĂšme de jeu, codage et design, etc.). Reprendre cette base et rĂ©habiliter ce forum sous une toute nouvelle forme permettra Ă©galement de gagner en temps et en Ă©nergie durant la construction (big brain mouve). À bientĂŽt donc pour une toute nouvelle aventure.
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lerefugedeluza · 7 months ago
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Pour moi, lire et voyager sont synonymes, on plonge dans un livre comme on plonge dans l'inconnu, comme on visite un nouvel endroit : plein d'apprĂ©hension mais surtout dĂ©bordant de joie. Dans mon coeur, les voyages et la littĂ©rature sont liĂ©s et j'aimerais, Ă  travers cette vidĂ©o, vous donner envie de lire. J'espĂšre qu'aprĂšs avoir vu mes images et Ă©coutĂ© mes mots, vous aurez envie de faire, comme moi, un tour du monde littĂ©raire ♡ Bon voyage & Ă  trĂšs bientĂŽt pour de nouvelles aventures !
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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Le Pari RisquĂ© des Canards VaccinĂ©s Ă  l’ARNm le 1er octobre 2024, 62 millions de canards se font piquer avec des vaccins dernier cri Ă  dans quelque 2500 Ă©levages français. L’objectif affichĂ© est de lutter contre la grippe aviaire qui dĂ©cime les Ă©levages depuis des annĂ©es. Cette campagne vaccinale va coĂ»ter la bagatelle de 100 millions d’euros, dont 70% seront pris en charge par l’État, c’est-Ă -dire par nous, jusqu’à fin 2024. Tout ça pour sauver le foie gras de NoĂ«l et les exportations de volaille. Car oui, la France est le seul pays au monde Ă  se lancer dans cette folle aventure. Mais attention, on ne parle pas ici de vaccins classiques Ă  virus inactivĂ©. Non, nos chers canards vont avoir droit Ă  la totale : des vaccins Ă  ARN messager. Une premiĂšre mondiale dans l’élevage aviaire. Le principe est simple, on injecte aux canards un ARN messager synthĂ©tique codant une protĂ©ine du virus de la grippe. Les cellules des volatiles vont alors produire cette fameuse protĂ©ine, dĂ©clenchant une rĂ©ponse immunitaire. Malin, non ? Pas vraiment oh oh il a Ă©tĂ© tester sur nous 
 On ne connaĂźt pas encore tous les effets Ă  long terme de cette technologie, surtout quand elle est utilisĂ©e Ă  grande Ă©chelle. Vu les drames crĂ©Ă©s par l’ARN messager avec le vaccin du covid19, imaginez la suite. Car c’est bien lĂ  que le bĂąt blesse. En se lançant dans cette expĂ©rimentation grandeur nature, la France joue aux apprentis sorciers avec notre alimentation. Personne ne peut prĂ©dire quelles seront les consĂ©quences de la consommation rĂ©guliĂšre de viande et d’Ɠufs issus d’animaux vaccinĂ©s Ă  l’ARNm. Certes, les autoritĂ©s nous assurent que tout est sous contrĂŽle, que les vaccins sont sĂ»rs et sans danger pour le consommateur. Mais avouez que ça fait quand mĂȘme trĂšs peur de se dire qu’on va manger du canard OGM au prochain repas de famille. Ne faudrait-il pas appliquer un principe de prĂ©caution et attendre d’en savoir plus sur les effets de ces vaccins rĂ©volutionnaires avant de les administrer Ă  toute une filiĂšre ? C’est en tout cas ce que demandent de nombreux experts et associations de consommateurs. Mais le gouvernement semble bien dĂ©cidĂ© Ă  foncer tĂȘte baissĂ©e dans cette direction, quitte Ă  nous faire avaler de force ces canards nouvelle gĂ©nĂ©ration. Alors, la prochaine fois que vous croquerez dans un magret, pensez-y : ce n’est peut-ĂȘtre pas seulement du gras que vous ingĂ©rez, mais aussi une bonne dose d’ARN messager aux effets dĂ©lĂ©tĂšres. Bon appĂ©tit, bien sĂ»r ! 

mostraak.com/le-pari-risque

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randomnameless · 9 months ago
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Grr, ça m'emmerde les transports en commun -
Soit je prends 11h dans la face de transports en commun en une journée pour un aller-retour d'un point A à B pour environ 200 euros - somme à laquelle il faut rajouter une nuit d'hÎtel et un repas sur place parce que le premier TGV ne me permet pas d'arriver à l'heure - ce qui me bousille en réalité deux jours -
Soit je prends seulement 5 heures, dont 3 heures d'avion AR, mais pour 500 euros et j'ai juste un seul jour de "bousillé".
Si j'utilisais mes fonds propres, je ragerais mais je prendrais quand mĂȘme le TGV (ce qui impliquerait de travailler le week-end pour rĂ©cupĂ©rer une des deux journĂ©es bousillĂ©es) - mais vu que j'ai la possibilitĂ© de prendre l'avion (avec la carte du boulot lol), ben pour "seulement" 300 euros de plus je peux tout caser en une journĂ©e...
Je sais que c'est déjà une ligne grande vitesse, mais bordel, 4 foutues heures et 40 minutes pour faire un Paris-Toulouse (donc plus de 9h AR) c'est pas jouable.
Je sais qu'on met en avant l'argument Ă©cologique pour supprimer les lignes intĂ©rieures (ou pour les surtaxer?) mais franchement, presque 5 heures pour traverser la France c'est censĂ© ĂȘtre acceptable?
Et ce qui me gonfle encore plus, c'est de payer 500 balles pour faire le trajet Ă©quivalent en avion : soit tu ne voyages pas, soit tu es riche (mĂȘme si 200 balles c'est pas non plus donnĂ©). V'lĂ  la France et le dĂ©veloppement du territoire en 2024.
Merde.
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au-jardin-de-mon-coeur · 8 months ago
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C...comme caresse !
Ceci est une caresse. Pourquoi est-ce si bon de parcourir la peau des gens qu'on aime ? De caresser les joues de son bébé ? De se blottir dans le cou d'un ami ? De sentir une main sur la nÎtre, puissante et chaude ? De pleurer dans les bras d'un inconnu ? De masser les pieds de quelqu'un de malade ?
Le point commun de cela, c'est bien le toucher et sa force infinie. L'Ă©tymologie indique que le terme vient de "toccare", qui signifie frapper Ă  la porte. C'est une aventure particuliĂšre de toucher l'autre, cela suppose de trouver le juste milieu entre la spontanĂ©itĂ© et l'autorisation, cela impose d'ĂȘtre pleinement attentif Ă  celui qu'on touche, d'avoir la dĂ©licatesse de la demande. L'autre jour, je lisais ceci : "toucher, c'est investir le seuil de l'autre et lui signifier sa prĂ©sence". C'est parler sans dire, c'est raconter. C'est faire de cette communication muette une fusion, une absolue concentration, qui ne demande qu'Ă  se poursuivre, qu'Ă  s'Ă©tirer vers ce qu'il nous reste d'infini. Toucher, n'est pas possĂ©der. Toucher, c'est aussi ĂȘtre touchĂ©. C'est faire de cette rĂ©ciprocitĂ© le plus grand des enjeux relationnels, la double expĂ©rience simultanĂ©e d'un ĂȘtre objet et sujet. Car l'acte de toucher n'est pas neutre, il implique la personne dans sa globalitĂ© physique, dans ses capacitĂ©s sensorielles et perceptives et dans sa prĂ©sence humaine. Ainsi, l'expĂ©rience de toucher est une expĂ©rience de l'humain ; le toucher est un toucher de l'autre, la rencontre avec une personne, mais aussi la rencontre avec l'humain, l'humain de soi et l'humain de l'autre. Le toucher renvoie Ă  l'haptique, qui dĂ©signe la dimension tactile du monde, mais qui contrairement Ă  l'optique ou l'acoustique, ce mot n'est presque jamais utilisĂ©. Claire Richard, dans un livre, ivre de sensibilitĂ©, Ă©crit ces mots : "on se touche de moins en moins dans la civilisation des Ă©crans. Au point qu'au Japon, des bars Ă  caresses ont ouvert oĂč l'on peut commander un cĂąlin en mĂȘme temps qu'un moka".
#philosophie de vie
J'aimerais qu'en cet instant, le flux du monde s'arrĂȘte et qu'on puisse se donner la main.
Je vous souhaite toute la douceur du monde pour aujourd'hui comme pour demain !
#au-jardin-de-mon-coeur
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anticbrvtalist · 1 year ago
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La mort de John Balance
« Le pouvoir occulte et magnĂ©tique de l’Angleterre » ! OĂč donc ai-je lu ces mots ? » (LĂ©on Bloy)[1]
Nous ne croyons pas Ă  la mort accidentelle de John Balance ; nous pensons seulement qu’il sut prendre congĂ© Ă  temps. Sans doute Ă©tait-il fatiguĂ© de tituber dans un monde qui meurt. DĂšs la fin du siĂšcle dernier, Londres n’était plus la capitale du Royaume-Uni, mais un cratĂšre forĂ© par l’économie monde, plongeant Ă  pic dans le tiĂšde enfer du non-lieu global. MĂȘme Ian Sinclair se lassera – certes, quinze ans plus tard – de longer la M25, le London Overground, d’invoquer les esprits de son occulte psycho gĂ©ographie, d’exposer aux non-initiĂ©s ses cartes imaginaires dont la topographie n’évoquera bientĂŽt plus rien Ă  personne. Nous fĂ»mes victimes d’une illusion d’optique : le capitalisme ne sĂ©vit pas Ă  l’état liquide mais gazeux : tout ce dont il a Ă©puisĂ© la valeur d’échange s’évapore, disparaĂźt. MĂȘme les ruines.
            John Balance le savait : ce Londres occulte, dont il partageait la fascination avec quelques grand initiĂ©s, Allan Moore par exemple, le Londres de Jacques l’éventreur, d’Austin Osman Spare, de William Blake, d’Arthur Machen, de la Golden Dawn, de Thomas de Quincey et sa chĂšre Ann, ce Londres s’était tout entier Ă©vanoui ; et bientĂŽt, ferait dĂ©faut jusqu’à l’humanitĂ© encore accessible Ă  de tels souvenirs. Il aura vu le dĂŽme du « Millenium » émerger, les quais de la Tamise se border de buildings en verre, leur enfilade de docks, de hangars dĂ©saffectĂ©s, se muer en malls, en galeries polaires, en lofts pour yuppies. Sans doute s’effrayait-il d’y voir son avenir, d’imaginer Coil diffusĂ© dans une quelconque annexe de la Tate Gallery, distraitement Ă©coutĂ© par des hordes de touristes asiatiques ou de jeunes cadres apatrides de la City, sujets au burn-out, rompus au binge drinking, tous d’une dĂ©sespĂ©rante tolĂ©rance. Il le devinait : jamais plus Londres ne serait « la citĂ© des rĂ©surrections »[2]. Cette ville lui Ă©tait Ă  ce point devenue Ă©trangĂšre qu’il ne pouvait plus suivre Ă  l’instinct les affluents de la Tamise, ces mĂ©andres aux propriĂ©tĂ©s magiques jadis cartographiĂ©es par John Dee : la Fleet, la Tyburn, les riviĂšres de Stamford brook et de Walbrook. DĂ©sormais incapable de soulever les strates de l’histoire immĂ©diate, mais toujours possĂ©dĂ© par son Londres mythique et souterrain, John Balance se sera, Ă  quarante ans, enterrĂ© vivant. 
L’un des derniers albums de Coil, Times machines, fut la premiĂšre tentative musicale de dissoudre le cours du temps. Peut-ĂȘtre Balance avait-il le pressentiment d’une prochaine catastrophe dont il dĂ©sirait, de toutes ses forces, diffĂ©rer l’avĂšnement. Peut-ĂȘtre devinait-il que Londres, puis l’Angleterre tout entiĂšre, allait devenir telle qu’elle figure dans la sĂ©rie Black mirror : le cadre d’un nouveau cauchemar dystopique sur le point d’envahir le globe. D’instinct, en bon britannique, et donc un peu chauvin, il savait que l’Angleterre, depuis le XVIIĂš, Ă©nonce l’ordre du monde, Rule the world. La mission historique d’Albion s’achĂšve, mais reste son imagination, suffisamment fertile pour nourrir les cauchemars du monde entier : « England has a black earth ».[3]
             « Les poĂštes sont toujours les premiers Ă  s’en aller » remarquait Ian Sinclair. John Balance fut un prĂ©curseur : aujourd’hui, c’est le peuple britannique tout entier qui tĂątonne vers la sortie, cherche machinalement son Ăąme comme on s’assure de la prĂ©sence d’un membre fantĂŽme. Le Brexit, bien sĂ»r, ne rĂ©soudra rien. Le Royaume-Uni, hier galion corsaire cinglant Ă  l’avant-garde, aujourd’hui vieux rafiot Ă  la remorque des États-Unis, tournĂ© vers l’ailleurs, le grand large, l’OcĂ©an Pacifique peut-ĂȘtre, pour une derniĂšre aventure.   
NO SOCIETY 
             John Balance, c’est avant tout l’homme en marge. Il n’eut pas assez de sa courte vie pour apprendre Ă  se dĂ©faire du monde. TrĂšs jeune, il comprit qu’il est vain de pester contre le « systĂšme », de fantasmer un grand soir, aussi n’ayons pas le ridicule d’en faire un nouveau « suicidĂ© de la sociĂ©té » : cette derniĂšre, il sut la tenir Ă  distance, cultivant l’art de la clandestinitĂ©, luttant constamment contre toute forme imposĂ©e ; et cette lutte lui fut source de bonheur – « Disobediance is the key of joy ». Dans la lignĂ©e d’un Pasolini ou d’un Genet, Balance vĂ©cut son homosexualitĂ© comme une malĂ©diction, un dĂ©fi, trop orgueilleux qu’il Ă©tait pour quĂ©mander la reconnaissance des foules, de l’État. Pourquoi briguer une impossible normalisation, source certaine d’un supplĂ©ment de souffrances ? Inutile de se rassembler, d’exiger de nouveaux droits : aujourd’hui comme hier, toute singularitĂ© draine la vindicte. Le seul acte militant de Coil, la reprise de Tainted Love assortie d’un clip horrifique, suffit, dĂšs 1984, Ă  Ă©carter tout malentendu : les niais partisans de la cause arc-en-ciel, glacĂ©s, passĂšrent leur chemin.
                  Bien plus qu’un simple pas de cĂŽtĂ©, la vie de John Balance fut esquive, dĂ©robade radicale. De la sociĂ©tĂ©, il se retrancha, mais de biais, faisant sien l’enseignement d’Austin Osman Spare : le monde ne se comprend qu’apprĂ©hendĂ© latĂ©ralement, surtout les ĂȘtres humains, dont on ne peut saisir quelques parcelles d’ñme que lorsqu’ils ne vous voient plus, vous ont oubliĂ©. Cette approche oblique strictement observĂ©e, la politique et le social ne survivent qu’à l’état de souvenir, de vague rumeur ; une rumeur, c’est-Ă -dire un bruit, un son, que l’on peut prĂ©lever, domestiquer, puis torturer Ă  loisir avant de le restituer, mĂ©connaissable, Ă  la sociĂ©tĂ© Ă©pouvantĂ©e.
À force de pratiquer « l’usage agressif de la fantaisie »[4], Coil avait acquis dans certains milieux londoniens une Ă©trange rĂ©putation qu’ils cultivaient avec malice. Christopherson, alias « Sleazy », faisait parade d’un sadisme bonhomme et discret, Ă©voquant Ă  mots couverts auprĂšs d’un auditoire choisi certaines chambres de sa maison de Chipswick, une notamment, entiĂšrement peinte en noir, les murs tapissĂ©s d’images des 120 jours de Sodome, une autre encore, oĂč il enfermait de jeunes hommes pour les piquer d’aiguilles. Ces Ă©tranges inclinations vinrent aux oreilles du cinĂ©aste Clive Barker qui leur offrit de composer la bande-son de son film Hellraiser avant de se rĂ©tracter, effrayĂ©. Pourtant, Ă  les voir, rien ne laissait deviner de telles dispositions : quelques photos nous les prĂ©sentent de noir vĂȘtus, cheveux ras, encapuchonnĂ©s dans d’informes sweat shirts, soit la dĂ©froque ordinaire de la tourbe des « teufeurs » de l’époque. C’est qu’ils Ă©taient passĂ©s maĂźtres dans l’art de l’infiltration, pour preuve, dĂšs 1991, ils avaient dĂ©jĂ , par les albums Love is a secret domain et The snow, corrompu la techno. Le dancefloor, par eux investi, devint expĂ©rience claustrophobique, se changea en caisse Ă  stridences psychiatriques, infernale chambre d’échos balayĂ©e de part en part d’un souffle d’outre-tombe.
Un dĂ©puté tory, bien sous tous rapports, les traita de « naufrageurs de la civilisation ». « Les gens comme il faut » sont tels car inaptes Ă  l’introspection ; n’examinant jamais leurs pensĂ©es, ils sont bien incapables d’identifier la racine d’une dĂ©-civilisation dont ils dĂ©plorent incessamment les effets : cette passion maniaque de l’homogĂ©nĂ©itĂ© qu’ils possĂšdent tous en propre. Les membres du Temple of the psychic youth, en dĂ©pit d’un mode de vie suicidaire, jalonnĂ© d’expĂ©rimentations sordides et dangereuses, eurent d’emblĂ©e le pressentiment de l’avĂšnement d’un monde unidimensionnel, hostile Ă  toute intĂ©rioritĂ©. « Nos ennemis sont plats » scandait P-Orridge, faisant inconsciemment Ă©cho aux paroles d’un BarrĂšs, qui, Ă  l’apogĂ©e de son « culte du moi », au dĂ©but du XXÚ  siĂšcle, dĂ©clarait : « Les barbares veulent nous fondre en sĂ©rie ».
MAGICK
          Coil, en anglais, signifie rouleau, spirale, nom Ă  la fois banal et le plus occulte qui soit : la spirale est lieu de rĂ©version, premier point d’attache des cycles qui se fondent un instant pour nier le temps ; son centre est aussi point d’infini qui abolit l’espace. Coil fut la quĂȘte de ce vide qui est puissance absolue mais aussi sens premier, originel. Effet du hasard ? le symbole de la spirale ornait dĂ©jĂ  les couvertures de la revue Le Grand jeu, soixante-dix ans plus tĂŽt. L’histoire rĂ©vĂšle Ă  pĂ©riodes rĂ©guliĂšres quelques jeunes gens suffisamment mĂ©contents pour oser, par leurs propres moyens, forcer le monde invisible Ă  rendre son secret. John Balance s’identifiait Ă  RenĂ© Crevel mais ce serait plutĂŽt Ă  Roger Gilbert Lecomte qu’il faudrait le comparer, Gilbert Lecomte, comme lui poĂšte Ă©garĂ© dans son inlassable quĂȘte d’« états de stupeur fixe ». (...)
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floslunar-eccoh · 5 months ago
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⇝BE YOURSELF ⁠
forum city, Ă©poque actuelle
Quand on est jeune on entend souvent nos parents, nos grands-parents nous dire : Profites de la vie p'tit, t'es jeune ! - Et puis en grandissant on entend la plupart du temps : La vie est courte, faut en profiter avant qu'il soit trop tard. - Et puis on vieillit... C'est Ă  ce moment-lĂ  que souvent on se dit : Si j'avais su, j'aurais profitĂ© un peu plus... - La vie n'est faite que de choix, des bons ou des mauvais peu importe. Chaque choix que nous faisons impacte un peu plus l'avenir dans lequel nous allons Ă©voluer en vieillissant. Que l'on est 1 an ou 99 ans, il n'y a pas d'Ăąge. La vie est faite de petits plaisirs, Ă  nous de savoir les saisir au bon moment. A nous de crĂ©er notre avenir selon l'envie, la passion, l'excitation... Rien n’est actĂ© dans la vie. Nous avons le choix de nos dĂ©cisions selon si elles s'avĂšrent plus compliquĂ©es ou trop nĂ©gatives pour notre avenir. Tout se module dans la vie. Nous sommes libres, libre de crĂ©er, de modifier, d'inventer les choses ! Il nous suffit de croire, de vouloir et surtout d'essayer. Il faut ĂȘtre soi-mĂȘme, quoi que l'on dĂ©cide ne changeons rien. Restons qui nous sommes et faisons de notre mieux. Alors peu importe qui tu es, Chicago t'ouvre ses portes et ici tout est possible. Ville historique, ville remplit d'art, et surtout de personnes dynamiques qui n'ont tout simplement pas peur de changer les choses, pas peur de vivre tout simplement
 Ici tout est possible, Ă  toi de crĂ©er ta vie, de faire tes choix et surtout de VIVRE !
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C'est avec une immense excitation qu'on vous prĂ©sente notre petit projet sur lequel nous travaillons, .DELENA, aerie, ajin et moi-mĂȘme.♡
Ce qui est important à savoir:  nous désirons une safe place pour tout le monde, un forum avec de bonne vibes et une ambiance bonne enfant. il n'y aura aucun minimum de ligne. l'action se déroulement à Chicago, à notre époque.
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Le forum est déjà fondé et est bien avancé à ce jour. Il nous reste à fignoler quelques détails mais une ouverture est envisageable trÚs prochainement.
❀ Un serveur discord a Ă©tĂ© ouvert par nos soins, afin de permettre aux futurs membres de rĂ©server leur avatars, mais aussi de nouer des liens entre eux. Tout se passe par ce lien, n'hĂ©sitez pas Ă  nous rejoindre. ♡
On espÚre vous voir à trÚs vite pour partager cette aventure. ჊
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soletear · 11 months ago
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✹ BIENVENUE ✹
2024, faut changer de tĂȘte & autres infos requĂȘtes.
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COMMANDES/REQÛETES FERMÉES
avatars; mon ask (ça s'appelle comme ça ?) est ouvert aux propositions, autres suggestions ou commandes pour des lots de 4. je ne garantis pas de les faire, ça dépend de mon inspiration. si vous pouvez fournir une galerie c'est l'idéal, et si, en prime, vous me donnez la vibe de votre personnage, un moodboard ou tout autre élément pour faire en sorte que les avatars collent à celui-ci, je serais aux anges. je suis plus à l'aise avec le noir et blanc, mais si vous ne souhaitez que des couleurs, n'hésitez pas à me le faire savoir; sortir de ma zone de confort est un exercice périlleux, mais je l'apprécie !
crackships; je ne m'Ă©tends pas trop dessus, parce que je fais les crackships lorsque je suis sur des forums, inspirĂ©e par les personnages que je vois. mais Ă©tant en pause rpgique, c'est tout de suite plus compliquĂ© de s'immerger dans les univers. ne voulant pas manquer de rendre justice Ă  vos personnages, je prĂ©fĂšre Ă©viter. nĂ©anmoins, si on se connaĂźt ou si on s'est connu, n'hĂ©sitez pas Ă  venir me poker, on pourrait toujours s'arranger ! đŸ’«
n'oubliez pas la politesse (mĂȘme si sincĂšrement, j'ai rarement vu d'abus de ce cĂŽtĂ©, sauf quand j'ai eu des anglophones dans mes dms) et faites preuve de patience si jamais je ne rĂ©ponds pas de suite. surtout, merci d'avance pour votre confiance 💜
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ET AUSSI...
quoi de mieux pour commencer l'année que de commencer en remettant un jour un theme tumblr qui n'avait plus rien de viable à cause de cette histoire du javascript que tumblr n'accepte plus...
ça faisait des mois et des mois que je ne pouvais plus le mettre Ă  jour, et ça me rendait dingue. maintenant, c'est chose faite. bon, ne prĂȘtez pas trop attention au cĂŽtĂ© sommaire de mes tag pages parce que ça a Ă©tĂ© fait avec les moyens du bord (aka mon cerveau qui en connaĂźt peu sur le code et chat gpt mdr)
en allant sur la side bar du cĂŽtĂ©, et en cliquant sur "more", vous pouvez retrouver trois pages qui recensent mes avatars, mes crackships et mes gifs. et aussi, un "about me" que j'ai rempli pour le fun. prĂ©cision pour les crackships, ça ne se voit pas au premier coup d'oeil (grĂące Ă  ma nullitĂ© mon gĂ©nie du codage) mais en passant la souris sur un nom, un menu dĂ©roulant s'affiche pour dĂ©voiler tous les featurings faits en crackship avec ce faceclaim 🌝
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enjoy la vibe lilas, et merci d'ĂȘtre aussi nombreux Ă  me suivre dans mes aventures rpgiques graphiques 💜
direction 2025 et, peut-ĂȘtre, un apprentissage du code (non)
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a-room-of-my-own · 8 months ago
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La rumeur sur Brigitte Macron ça ne peut venir que de gens qui ont toujours vĂ©cu en ville. J’ai grandi Ă  la campagne Ă  cĂŽtĂ© d’une petite ville, et je connaissais tout rien qu’en allant acheter une baguette des aventures extra conjugales du maire, des problĂšmes de comportement du fils du dentiste, des histoires d’hĂ©ritage de la famille Trucmuche

(mais si vous savez, les Trucmuche ceux qui tenaient le magasin de jouets, oui enfin maintenant c’est un opticien mais anciennement Trucmuche, ah ça du temps du pĂšre Trucmuche ils Ă©taient aisĂ©s mais alors le fils Trucmuche
 Non pas GĂ©rard, il est trĂšs bien lui mais l’autre, le bon Ă  rien? Oui celui-lĂ  et bien vous savez qu’il aurait vendu les meubles de la grand-mĂšre sans le dire
 La grand mĂšre c’était une Machinchose, de l’usine Machinchose oui. Ça n’existe plus bien sĂ»r mais je vous parle de ça, y’a 40 ans tout le monde avait quelqu’un dans sa famille qui travaillait chez Machinchose. Alors imaginez les meubles ! Et sa pauvre femme ! Et madame ce sera quoi ? Une tradition ? Je vous jure les gens n’ont plus aucune patience de nos jours. 1 euros vingt merci ce sera tout ? Merci au revoir! Oui et donc sa pauvre femme, elle serait mĂȘme allĂ©e chez le bijoutier du centre vendre sa gourmette. Ils en sont lĂ  ! Non je l’ai su par - enfin ne le rĂ©pĂ©tez pas - la petite apprentie de Mireille, du salon de coiffure Ă  cĂŽtĂ©. Tous les jours elle vient chercher son croissant. D’ailleurs elle s’est fiancĂ©e avec vous savez qui?  »
Du coup j’imagine que si dans mon coin un fils de famille de notable Ă©tait devenu une femme et enseignait dans une Ă©cole catholique toute la ville serait au courant et il suffirait de faire un micro trottoir pour avoir absolument toute l’histoire avec les dates, les dĂ©tails et une bonne dose de mythologie.
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sh0esuke · 6 months ago
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" Journalist "
𝗠đ—Č𝘁 đ—Čđ—» 𝘀𝗰đ—ČÌ€đ—»đ—Č : Vinsmoke Sanji
đ—„đ—ČÌđ˜€đ˜‚đ—șđ—Č́ : Tandis que Sanji concocte le dĂźner des chapeau de paille, sa petite amie lui tient compagnie. Lui aux fourneaux, elle sur la table Ă  manger, les deux amants discutent, passent du bon temps ensemble, tout en profitant du calme que leur apporte leur voyage maritime, sans nouveau dĂ©fi Ă  relever ni ennemi Ă  vaincre. À s'y mĂ©prendre, l'instant est d'une perfection sans pareil.
𝗔𝘃đ—Čđ—żđ˜đ—¶đ˜€đ˜€đ—Čđ—șđ—Čđ—»đ˜ : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
đ™œđš˜đš–đš‹đš›đšŽ 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟓𝟐𝟏.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Sanji arrive prĂšs de moi, contournant la table et dĂ©posant dessus une assiette ainsi qu'une tasse fumante. Je relĂšve la tĂȘte, abandonnant mon article.
« Et voilà pour toi ma douce, un chocolat chaud et une part de tarte à la pomme. Bon appétit. » il déclare dans un sourire.
Sa phrase me fait arquer un sourcil, je le questionne du regard. Je dĂ©pose mon stylo Ă  plume prĂšs de mon papier et tĂąche de me souvenir si je lui ai demandĂ© de me servir quoi que ce soit, cependant, rien ne me vient Ă  l'esprit. Enfin, Ă  vrai dire, j'ai Ă©tĂ© tellement occupĂ©e Ă  travailler aujourd'hui, mĂȘme me souvenir de ce que j'ai mangĂ© Ă  midi serait complexe. Il est vrai que j'ai un lĂ©ger petit creux, par contre, il doit ĂȘtre assez tard dans l'aprĂšs-midi, peut-ĂȘtre bientĂŽt l'heure de dĂźner, voilĂ  pourquoi mon estomac s'est soudain mis Ă  grogner, et la vue allĂ©chante de la dite tarde ainsi que l'odeur de ma boisson n'aident pas. Le sourire flamboyant de Sanji me fait face. Je lui souris en retour, qu'il est beau... Puis, sur un ton pensif je lui rĂ©ponds :
« Je ne me souviens pas de t'avoir demandé de me faire quoi que ce soit. »
Sanji essuie ses mains humides sur son tablier, il attrape sa cigarette entre ses doigts.
« Je me suis dis que tu devais avoir faim à force de travailler. » explique-t-il en expirant de la fumée.
« Je vois, merci beaucoup alors. »
Ma réponse semble lui plaire, puisque je vois son sourire s'agrandir et ses yeux se plisser. Sanji se penche au dessus de moi et embrasse mon front, puis il se redresse et prend une taffe de sa cigarette.
« Tu me diras ce que tu en penses ? »
« Bien sûr. Laisse moi finir ma phrase et je suis toute à toi. »
Je rattrape mon stylo Ă  plume et tire mon article au bord de la table. Pendant que Sanji retourne dans sa cuisine, moi, je conclue mon travail. Cela fait depuis hier que je suis dessus. Sur cette feuille de papier, j'y conte mes aventures avec Luffy et l'Ă©quipage, les gens que nous avons rencontrĂ©s Ă  Wano, les ennemis que nous avons vaincus Ă  Dressrosa et Punk Hazard. Ces derniĂšres semaines ont Ă©tĂ© particuliĂšrement agitĂ©es, je n'ai pas eu une seule minute Ă  moi, pas une seule minute Ă  Ă©crire. Ça n'est pas vraiment une passion. J'ai le don de l'Ă©criture, je m'en sers, mais ça n'est pas par plaisir, plutĂŽt pour satisfaire la curiositĂ© de mon pĂšre. Peut-ĂȘtre aussi mettre sur papier ces choses folles que j'ai vĂ©cu depuis mon arrivĂ©e sur le Sunny. Et qui sait... Peut-ĂȘtre que cet article finira publiĂ©.
En guise de bruit de fond, j'ai Sanji et le dßner qu'il nous prépare. C'est plaisant. Je l'entends trancher de la viande, mélanger des ingrédients, marmonner dans sa barbe et sortir des restes de son immense frigo fermé à double tour. Parfois, je l'entends goûter sa propre nourriture et faire des commentaires, affirmant qu'il manque ceci, que cela est parfait, ainsi de suite. J'aime cette atmosphÚre.
Sur le Sunny, je ne trouve rien de mieux que de me rĂ©fugier dans la cuisine lorsque Sanji y confectionne des plats. Le bruit des vagues et les mouvements du navire qui tangue est tout autant agrĂ©able, sachant que, puisque nous sommes en intĂ©rieur, le tout est attĂ©nuĂ©. Et puis, savoir Sanji proche de moi a quelque chose de rĂ©confortant. Je me sais en sĂ©curitĂ©. J'aurais pu rester avec Robin, elle lit souvent au calme, ou mĂȘme Nami, pendant qu'elle est chargĂ©e d'observer les directions que le navire prends. Ou Zoro, lui qui a cette fĂącheuse tendance Ă  s'entraĂźner dans la tour de pie sans jamais vraiment dire ou faire quoi que ce soit. Mais, il n'y a pas Ă  dire, je ne me sens bien qu'ici. La table, tous ces bruits autour de moi et l'idĂ©e que, dans quelques heures, je serai encore assise ici, cette fois mon travail terminĂ©e et auprĂšs de mes amis Ă  dĂźner. Nous serons tous prĂ©sents, Ă  nous chamailler, rire et boire, jusqu'Ă  ce que la fatigue nous emporte.
Alors je reste lĂ . Je reste lĂ  et je continue d'Ă©crire mon article.
Les lignes et phrases s'enchaĂźnent, je conte mes aventures sur Wano en attendant que Luffy nous revienne, je conte mes combats contre les hommes de Kaido aux Cents BĂȘtes et les rĂ©vĂ©lations sur le pays de Wano que nous avons faites au cours de la bataille. Mon pĂšre en sera ravi, j'en suis persuadĂ©e, aprĂšs tout, ça n'est pas tous les jours que les secrets de cette terre fermĂ©e au publique sont dĂ©voilĂ©s.
Lorsque j'ai fini, quelques secondes plus tard, je dépose ma feuille dans une pochette rouge et mon stylo à plume dedans. Je repousse le tout et me saisis ensuite de mon assiette et tasse. La boisson est encore chaude, parfait.
« Alors dis moi, ton pÚre, ce Morgans, pourquoi il s'intéresse autant à nous ? »
Sanji cuisine dos Ă  moi, de sa poĂȘle, il fait revenir du riz. J'esquisse un rictus tout en apportant mon chocolat chaud Ă  mes lĂšvres.
« Je ne sais pas vraiment, je t'avouerai.. Il m'a juste demandé de le tenir au courant des décisions de Luffy et de citer le nom de tous nos ennemis. »
Mes mains sont un peu froides, elles commencent à se réchauffer.
« Je crois qu'il l'aime bien, c'est tout. »
« Je me souviens l'avoir vu sur le territoire de Big Mom. » affirme-t-il en attrapant sa cigarette de sa main libre. « Il n'a pas cherchĂ© Ă  nous arrĂȘter. Il me semble qu'il nous encourageait, Ă  vrai dire.. »
Ma réponse s'accompagne d'un léger rire.
« Ça lui ressemble bien. »
Mon pĂšre est un personnage haut en couleur, toujours Ă  la recherche du dernier scoop et Ă  fouiner lĂ  oĂč il ne devrait pas. D'aussi loin que je me souvienne, We News âžșle ballon gonflable dans lequel il Ă©crit, poste et imprime ses articlesâžș a toujours Ă©tĂ© ma maison. Mon terrain de jeu aussi. J'y ai Ă©cris mes premiĂšres histoires, j'en ai imaginĂ© des centaines, et combien de fois me suis-je imaginĂ©e grande journaliste.. prenant le siĂšge de mon pĂšre et tenant le monde dans la paume de ma main, reine des informations, cheffe de la vĂ©ritĂ©. Puis, un jour, Monkey D. Luffy est arrivĂ© avec son Ă©quipage, et j'ai Ă©tĂ© forcĂ©e de prĂ©venir mon pĂšre que non, je ne rentrerai pas Ă  la maison, que j'Ă©tais Ă  prĂ©sent une ennemie du gouvernement. Je me souviens encore parfaitement de sa rĂ©action, il avait ri et m'avait dit de m'amuser. Ce morceau du passĂ© me met du baume au coeur. J'ai Ă©coutĂ© son conseil, je n'ai jamais Ă©tĂ© aussi Ă©panouie..
Pendant quelques semaines aprÚs mon départ, nous n'avons pas pu nous parler. Les communications entre pirates sont souvent détournées par la marine, c'est un fait, mon pÚre était persuadé que ça aurait aussi été le cas avec nous. Il m'a affirmé que notre équipage détient des vérités et secrets que le gouvernement mondial convoite dans le but de les faire taire. Nous avec. Nous nous sommes donc résolus à nous envoyer des lettres via ses Martins Facteurs, une fois, deux fois tous les trois mois. Et cela me suffit amplement.
« Je lui ai parlé de Kinémon. »
DĂ©posant ma tasse sur la table, je m'attaque Ă  ma tarte aux pommes.
« Kinémon ? » s'étonne Sanji.
Il est toujours dos à moi, coupant quelque chose. Je le vois remuer sa lame et déplacer des morceaux de nourriture d'un bol jusqu'à sa planche en bois, pour cela, je me suis penchée en avant. Je me rassois ensuite.
« De lui et sa femme. » je prĂ©cise. « Tu te rends compte qu'elle l'a attendu pendant vingt ans ? Elle n'Ă©tait mĂȘme pas sĂ»re qu'il reviendrait un jour ! »
« Oh, ma douce.. Que tu es romantique ! »
Sanji fait volte-face dans ma direction, les yeux brillants. Je lui offre un clin d'oeil et lui fait mine d'ĂȘtre touchĂ© en plein coeur, poussant une plainte au passage. Nous Ă©changeons un rire complice. Mon coeur s'est lĂ©gĂšrement emballĂ©, quant Ă  ma main elle a raffermi sa prise sur la petite assiette. Je me pince mes lĂšvres. Ce jeu entre lui et moi ne me laisse pas indemne... Depuis que je le connais, je n'ai jamais pu vraiment rĂ©sister aux charmes de Sanji.
Celui-ci reprend d'ailleurs la parole. Il est retourné à sa précédente tùche.
« Mais, tu es sûre que c'est le genre d'informations que ton pÚre veut entendre ? »
« Je ne vais pas non plus lui dire que nous avons trouvĂ© un ponĂ©glyphe ou lui donner les coordonnĂ©es de la tombe de Kaido. » je me justifie. « Je le connais, il a beau dire qu'il ne postera rien, il voudra quand mĂȘme titiller le commandant en chef de la marine. »
« Il a déjà fait fort avec nos affiches de recherche.. » il acquiesce.
« Exactement ! Tu sais qu'il m'a dit que celle de Luffy les terrifie ? Ils lui ont demandé de la retirer, mais c'était trop tard quand il a reçu l'appel. Je doute d'ailleurs qu'il aurait accepté de le faire. »
« L'affiche de Luffy ? » s'exclame Sanji. « Pourquoi ça ? »
J'hausse les épaules. J'apporte ensuite une partie de ma tarte entre mes lÚvres et la goûte, je reprends donc une fois ma bouchée finie :
« Peut-ĂȘtre que c'est l'Ă©veil de son fruit qui a fait paniquer la marine ? AprĂšs tout, ça doit ĂȘtre spectaculaire si c'est grĂące Ă  ça qu'il a vaincu Kaido. »
« Peut-ĂȘtre, ça me paraĂźt pas faux. »
Sanji m'a l'air surpris par mon hypothÚse, pendant ce temps là, je finis de trancher ma troisiÚme part et l'enfourne dans ma bouche. Sa tarte est succulente, finement fraßche, sucrée à souhait, elle fond sur la langue. Je suis à deux doigts de pousser une plainte liée à l'extase. Sanji a vraiment des doigts d'or..
« Quoi qu'il en soit, mon pÚre n'en saura rien. C'est un secret ! Je garde nos informations les plus importantes dans un coffre fort, je le lui donnerai lorsque Luffy sera devenu le roi des pirates; et qui sait, il me laissera enfin une place en tant que journaliste indépendante. »
« Qu'elle merveilleuse idée ! »
Sanji fait volte-face, une carotte Ă  la main qu'il Ă©pluche.
« Je t'imagine déjà écrire des articles sur nous et notre mariage ! Tu serais si mignonne avec un clapet et un trench-coat ! La plus belle des journalistes ! »
Son enthousiasme me m'arrache un gloussement. Je me cache derriĂšre mon poing, l'expression hilare avec mes yeux plissĂ©s. Sanji continue son monologue et, l'espace d'une seconde, je crois mĂȘme apercevoir des coeurs Ă  la place de ses yeux, de gros coeurs palpitant et d'un rose pĂ©tillant. Mes doigts se retrouvent et, nerveusement, je me mets Ă  les triturer. Sanji abandonne sa carotte Ă©pluchĂ©e, il s'en saisit d'une autre sans pour autant arrĂȘter de me sourire.
« Je n'en suis pas encore à là, mais un jour, oui, sûrement... » je murmure.
Sanji me sourit grandement.
« Tu es si talentueuse, ça ne fait aucun doute, ma douce ! »
Je termine de boire le fond de mon chocolat chaud et dĂ©pose la tasse au coeur de mon assiette vide. Mon goĂ»ter conclut, je me dĂ©pĂȘche donc de rendre la vaisselle Ă  Sanji. L'assiette et la tasse assemblĂ©es en cette jolie sculpture, je me lĂšve de la table Ă  manger du Sunny et marche en direction de la cuisine pour les lui rendre.
« Merci beaucoup Sanji, c'était délicieux. »
Il me regarde d'un Ɠil curieux.
Sanji se dĂ©pĂȘche de poser la pomme de terre qu'il Ă©pluche et de me vider les mains. Surprise, je le laisse faire.
« Laisse moi m'occuper de ça, c'est mon travail. »
« Ohâžș mais je peux m'en charger, tu sais ? Ça ne me dĂ©range pas. »
« Je sais. » il répond, un petit rictus au coin des lÚvres. « Mais c'est mon plaisir. »
« Mhh, d'accord alors. »
Me voyant approcher, Sanji se penche sur moi, il tourne lĂ©gĂšrement la tĂȘte sur le cĂŽtĂ© et accueillit mon baiser Ă  bras ouvert. Ce sont les mains dans le dos, posĂ©e sur la pointe de mes pieds que j'embrasse sa joue. Toutefois, cela ne me suffit pas. C'est soudain; j'en dĂ©sire plus. Un simple baiser me paraĂźt bien trop maigre pour remercier Sanji de tout ce qu'il fait au sein du Sunny, pas seulement auprĂšs de moi, lorsque mes aprĂšs-midis s'Ă©coulent Ă  ses cĂŽtĂ©s et qu'il prend le temps de discuter avec moi et de me donner Ă  manger, non, il y a tout le reste. Sa position sur le navire, sa dĂ©termination et force. Alors qu'il se tient devant moi, aussi aimant, aussi attentif, je ne peux m'empĂȘcher de l'aimer davantage. Pire encore, j'ai l'impression de retomber amoureuse de lui. J'attrape donc son visage en coupe, et embrasse ses lĂšvres.
Nos bouches se rencontrent dans un délicat baiser. Il est bref, ne voit le jour que pendant à peine deux petites secondes, c'est apparemment le temps qu'il faut à Sanji pour commencer à trembler. La vaisselle entre ses mains se met à frétiller bruyamment. Depuis la paume de mes mains, je sentais sa peau chauffer.
Je me recule une fois satisfaite.
Mes lÚvres pincées en une fine ligne, je rejoins mes mains devant mon corps et m'incline légÚrement en avant.
« Encore merci, Sanji. Ça m'a fait plaisir. »
Soudain, il m'apparaĂźt en 2D. Sanji tombe en arriĂšre telle une feuille de papier, balancĂ©e de droite Ă  gauche guidĂ©e par le vent âžșalors que nous sommes en intĂ©rieur ?âžș, avant d'atterrir au sol. J'arque un sourcil. Ses yeux palpitent, tels de cƓurs enragĂ©s et un sourire bĂ©at frĂŽlant l'idiotie s'est incrustĂ© sur ses lĂšvres. Je le regarde faire, tenant toujours ma vaisselle dans ses mains, il me paraĂźt ailleurs, dans un autre monde. Je l'entends murmurer mon prĂ©nom, Ă  l'instar d'une incantation, suivit de "ma jolie", "ma douce" et mon propre cƓur s'emballe. Il ne bouge vraiment pas. Sanji est figĂ© sur place.
« Euh, tout va bien..? »
Je me risque Ă  le questionner, ne sachant pas si ce sont ses sottises habituelles, ou si il est temps que j'aille chercher Chopper. C'est une premiĂšre toutefois : il ne saigne pas du nez. Mais ça, c'est peut-ĂȘtre parce que je ne lui avais pas montrĂ© mon dĂ©colletĂ©..
Tout de mĂȘme prĂ©occupĂ©e, je refuse de l'abandonner, je me rapproche donc de lui. Cela se dĂ©roule en silence. Je contourne sa silhouette Ă©lancĂ©e pour m'accroupir Ă  cĂŽtĂ© de son visage et le toucher, Sanji ne rĂ©pond toujours pas. Le dĂ©barrassant de l'assiette de tasse, que je dĂ©pose au sol, je me mets Ă  titiller sa joue. Plantant le bout de mon ongle dans l'onctuositĂ© de cette derniĂšre, je rĂ©pĂšte l'opĂ©ration, murmurant son prĂ©nom au passage, jusqu'Ă  le voir finalement cligner des yeux.
« Tu as besoin que j'appelle Chopper ? »
Sanji a l'air hébété. Un sourire presque immédiat prend place sur son visage lorsque son regard encontre le mien.
« Pourquoi donc ? Je ne me suis jamais sentis aussi bien de ma vie. »
Peu satisfaite de sa réponse, je fais la moue. Pendant ce temps, il apporte ses doigts à ses lÚvres. Il semble pensif, il est plongé dans ses pensées.
« Tu n'es vraiment pas croyable quand tu t'y mets... »
« Tu t'es inquiĂ©tĂ©e pour moi, ma douce ? Comme c'est gentil ! Jeâžș »
« Pas croyable, j'ai dit. » je peste.
Je lui donne un petit coup de pied aux cĂŽtes, plutĂŽt une bousculade, de maniĂšre Ă  le faire taire. Sanji cligne des yeux, cela fait fait son effet.
« Je t'embrasse tout le temps, tu devrais t'y habituer... »
« Quoi ? Jamais ! » il s'offusque.
Sa main se saisit brusquement de la mienne, cela m'arrache un hoquet de surprise.
« Tes lĂšvres sont le nectar le plus dĂ©licieux qu'il m'ait Ă©tĂ© donnĂ© de goĂ»ter. Si il m'arrive un jour de m'en lasser, alors je suis devenu fou, j'ai perdu ma raison de vivre. Car pour rien au monde je ne voudrais m'en sĂ©parer, si ça ne tenait qu'Ă  moi jeâžș »
Furieusement gĂȘnĂ©e, je m'Ă©loigne.
« J'ai compris ! »
Je cache ensuite mon visage derriĂšre mes mains, espĂ©rant qu'en faisant ceci, il comprenne mon embarras et cesse son numĂ©ro. Qu'est-ce qu'il peut ĂȘtre charmeur quand il s'y met, je peine Ă  y croire ! Mon corps se redresse de lui-mĂȘme, j'entends Sanji m'imiter. La vaisselle et le dĂźner sont depuis longtemps abandonnĂ©s.
« Ne sois pas embarrassée, je t'en prie, ma douce. Je ne fais que dire la vérité. »
Il se saisit de mes avants-bras et les abaisse de maniĂšre Ă  faire tomber mon masque. Face au sĂ©rieux de son expression, je suis incapable de tourner la tĂȘte, c'est Ă  mon tour de me retrouver figĂ©e sur place. Sanji me sourit timidement et se rapproche de moi.
« Puis-je en avoir un autre ? »
« Unâžș Un quoi ? »
Il pointe ses lĂšvres de son index.
« Ohâžș »
Mon cƓur bat si vite dĂ©sormais... J'ai l'impression que des tambours palpitent en mon sein. RythmĂ©s et puissants, ils s'en vont jusqu'Ă  faire trembler mes tympans, et faire tressaillir ma jugulaire.
« Jeâžș Je suppose. »
« Tu pourras travailler sereinement aprÚs, je te laisserai tranquille. »
« D'accord... »
Je me pose sur la pointe des pieds, et tandis que abaisse son visage dans ma direction.
Sanji m'embrasse.
Mes yeux se ferment et nos lĂšvres se touchent de nouveau, encore une fois dans un baiser si tendre et amoureux... Il s'est approchĂ© de moi, consciencieux, puis s'est emparĂ© de ma bouche, sans avoir cessĂ© de me contempler. Ça n'a rien Ă  voir avec un baiser sensuel, plein de vie voire empestants la luxure. Ici, non, c'est totalement diffĂ©rent. La maniĂšre dont Sanji tient mes poignets entre ses mains, celle dont il se colle Ă  moi, sans pour autant se frotter. Il est entiĂšrement focalisĂ© sur notre Ă©change. SĂ»rement a-t-il lui aussi fermĂ© les yeux. Mes doigts se referment jusqu'Ă  former des poings et mes sourcils se froncent. MalgrĂ© moi, je gĂ©mis contre lui, Sanji me rĂ©pond dans un grognement et, Ă  cela, nos langues se frĂŽlent.
Il m'emporte ailleurs. Des portes s'ouvrent sur une toute autre dimension. Je sens le vent me caresser les cheveux, une chaleur me dévorer l'estomac et mes pieds se faire léger. Ce... C'est indescriptible. Je m'accroche à ce sentiment jusqu'à en redemander plus.
Sanji m'a fiĂ©vreusement embrassĂ©e. Lorsque je le force Ă  se sĂ©parer de moi, il me laisse bouche bĂ©e. Je suis sans mot; haletante, le visage couvert de gĂȘne.
J'ai les yeux grands ouverts.
« Je croisâžș »
« Je vaisâžș »
Nos regards se croisent, puis, Ă  l'unisson nous parlons :
« Toi d'abord ! »
Nous rions.
« Je.. je t'en prie ma douce. » dĂ©clare Sanji en relĂąchant mes poignets. « À toi l'honneur. »
« Jeâžș Je disais... Je vaisâžș Je vais retourner travailler ? » je balbutie, tant bien que mal.v« Enfinâžș Poster ma lettre ? Mon pĂšre doit attendre. Enfin non ! Le Martin facteur, je.. je veux dire. »
« Oui et, quant Ă  moi jeâžș j'ai le dĂźner Ă  finir de prĂ©parer. Alorsâžș »
« Oui ! »
« Oui, oui ! »
Sanji et moi Ă©changeons un coup d'Ɠil. Un petit rire s'Ă©chappe de mes lĂšvres, il m'imite et cela me fait sourire, malgrĂ© le fait qu'il a l'air totalement paniquĂ©. Sanji est tout rouge. Ses joues sont rosies au possible, c'en est stupĂ©fiant. Plus je le regarde, et plus j'ai envie deâžș
Un grand fracas nous arrĂȘte.
Surpris, nous faisons volte-face en direction de l'entrĂ©e de la cuisine, lĂ  oĂč la porte a violemment Ă©tĂ© ouverte. Celle-ci claque contre le mur. Une seconde plus tard, les silhouettes de notre capitaine et du canonnier y font leur apparition.
« Sanji ! » se lamente Luffy. « J'ai faim ! »
C'est mon signal. Jetant un dernier coup d'Ɠil Ă  Sanji, je presse le pas jusqu'Ă  atteindre ma pochette sur la table. Il est Ă  prĂ©sent bien trop occupĂ© pour me remarquer, c'est dommage... Ma pochette n'a pas bougĂ© depuis que je l'ai refermĂ©e. Elle y est abandonnĂ©e. Je la visse donc contre ma poitrine, Ă©vitant le regard lourd de suspicions de Usopp au passage et profite des plaintes poussĂ©es par notre capitaine pour prendre la poudre d'escampette. J'entends Sanji Ă©lever la voix et Luffy s'Ă©crier âžșplutĂŽt le supplierâžș, les deux ne tardent pas Ă  se chamailler. Apprendre que Luffy s'est jetĂ© sur le frigo ne me surprendrait pas, il a toujours Ă©tĂ© un Ă©nergumĂšne sacrĂ©ment gourmand..
Je referme la porte de la cuisine derriĂšre moi et me dĂ©pĂȘche de descendre les escaliers menant au pont principal du Sunny. Ensuite, je fuis jusqu'Ă  rejoindre ma chambre Ă  coucher. C'est le cƓur battant Ă  mille Ă  l'heure et l'esprit embrumĂ© que je marche. La sensation des lĂšvres du joli blond imprimĂ©e dans ma tĂȘte, et la chaleur de ses doigts enroulĂ©s autour de mes poignets hantant mes souvenirs, je commencĂ© Ă  sourire.
Il me tarde d'Ă©crire mon prochain article. Qui sait.. Peut-ĂȘtre que celui-ci lui sera dĂ©diĂ©..?
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