#blague-a-retardement
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On vole de surprise en surpr... Ah en fait non, tout se déroule comme prévu, i.e. de plus en plus mal et les nigauds de journaleux prennent ça avec décontraction, notamment le bobard lamentable sur les "investissements publics" de mon cul sur la commode.
La startup-nation est en train de mourir de ces investissements à la con, multipliés par trouzaines depuis des lustres, par des ronds-de-cuir trop heureux de se faire beurrer la tartine dans les réunions petit-four qu'ils organisent lors de levées de fonds (publics évidemment) et autres âneries visant à financer la prochaine débilité écocompatible qui va de préférence saboter ce qui marche - le nucléaire en premier, ou engloutir des fortunes dans les farines d'insectes dégueulasses ou autres cloud souverains lunaires qui terminent en gabegie lamentables.
Ces "investissements" sont tellement nombreux que les routes, les ponts français sont en décrépitude, la justice est une blague presque aussi sordide que ses prisons, l'enseignement est devenue une course d'obstacles woke où le "référentiel apprenant" de 12 ans doit épeler correctement fellation mais est infoutu de faire une dictée de 5 lignes sans fautes obscènes ou une règle de trois sans aboutir à du n'importe quoi chimiquement pur.
La France du numérique, en avance il y a 20 ans, accuse maintenant un retard croissant. Le pays qui pondait Ariane, le TGV ou le minitel a depuis pondu le Code Fiscal le plus obèse du monde et enfile les records de tabassage fiscal comme jamais, sous les applaudissements des abrutis gauchistes qui croient encore qu'ainsi, on "fait payer les riches" (qui se sont tous barrés et mis à l'abri).
Un État en faillite, géré par des bras cassés et des minables pareils n'a absolument *rien à faire* dans des dépenses d'investissements, surtout quand il affiche des déficits à faire pâlir Madoff. Vu leur track-record de prostituées sous coke, on devrait interdire à tous ces peigne-culs de seulement s'approcher d'une ligne budgétaire.
Même géré en affaires courantes, avec 0 changement, l'État s'en sortirait mieux qu'avec leurs gesticulations grotesques. Ce ne sont pas des recettes exceptionnelles dont la France a besoin, ce sont de sanctions exceptionnelles contre ces fossoyeurs du pays, et des coupes exceptionnelles dans les dépenses positivement honteuses qu'ils nous ont empilées depuis un demi-siècle.
Source X-H16
Et voilà encore une fois, H16 a raison… c’est malheureux tout de même qu’on soit devenu un pays de demeurés. Les plus malins sont partis ou sur le point de partir. Il restera des zombies surfant sur la vie sans jamais rien se demander, gobant tout ce que le dieu média leur dit.
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Du coup maintenant que j'ai un peu de temps, c'est parti pour faire un petit récapitulatif de ces 3 dernières semaines!
Il s'est passé énooormément de choses pendant ma semaine au camp pour enfants avec handicap. Je vais faire des chapitres carrément.
1. L'enfant que je suivais
Il a la maladie de Duchenne. En gros des tissus adipeux se mettent autour de ses muscles. Il a du mal à se déplacer, il doit marcher lentement sinon il tombe facilement. Il peut se déplacer en chaise roulante. C'est une maladie chronique. Il a aussi un léger retard mental. Il a 11 ans.
Je me suis trop bien entendue avec lui. J'ai vu la vie complètement autrement parce que j'ai compris ce qu'était un monde pas adapté à toi. Les jeux où on devait courir c'était mort, les jeux de parcours c'était mort, le château gonflable c'était ultra difficile, rien que traverser le terrain c'était une épreuve,... Bon sinon tout le monde disait qu'il était amoureux de moi, trop chou. Il m'appelait tout le temps en criant avec sa voix aiguë. Tout le monde s'y était habitué. C'était un enfant roi, il piquait facilement des crises. Mais j'arrivais à le calmer. Sauf une fois où j'ai perdu patience et j'ai juste laisser les autres m'aider. D'ailleurs les accompagnants s'entraidaient souvent c'était trop chouette. L'année prochaine, il ne reviendra pas. Il passe au camp des plus grands. Ça va faire bizarre d'avoir un autre enfant que lui. J'imagine pas trop l'expérience avec un autre. Ça me fait un pincement au cœur rien que d'y penser.
2. Les accompagnants
Beaucoup venaient pour la première fois donc il n'y avait pas déjà des groupes partout. C'était tellement plus facile de s'intégrer du coup. C'était génial, je me suis trop bien entendue avec tous les gens. Surtout Cam, le feeling est direct passé avec elle. On se racontait tous les ragots, on restait souvent ensemble. Je me suis trop bien entendue avec son pote Pi aussi. Il est trop bonne ambi en soirée. Il est iconique, c'est un peu une chipie mais dans le sens positif. Je sais pas comment expliquer mais J'ADORE. À la fin ils m'ont dit de revenir l'année prochaine pour être le trio de pestes MDR. Puis y a Alby aussi, j'avais du mal avec elle au début parce qu'elle était toute blasée et j'avais envie de la secouer ahah mais après j'ai appris à la connaître et énorme coup de cœur. Elle est du genre à te poser une question philosophique à un moment hyper random. Elle est super spontanée et vraie. Puis un de mes coups de cœur c'était aussi PW. C'est très bizarre pcq à la base c'est le genre de gars qui m'in-su-pporte pcq il fait des blagues beaufs. Mais on est passés de ennemies to friends et au final c'est peut-être lui qui m'a le plus marqué positivement. En fait je crois qu'au début il me voyait juste comme une belle cruche et moi je le voyais juste comme un beau crétin. Au début il me taquinait, faisait des blagues sexistes, etc. Puis quand on a vraiment parlé j'ai capté que c'était juste un gars pas très fort pour montrer ses émotions, un peu maladroit avec les filles. Je lui ai dit que je détestais son côté beauf et après je ne l'ai plus jamais entendu faire de blagues sexistes. Je me suis trop attachée à lui. Nos moments à deux étaient tellement touchants. Mais ce qui m'a fait trop mal au cœur c'est que c'était son tout dernier camp. Il ne reviendra pas les prochaines années. Ça va être tellement différent sans lui.
Sinon y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec physiquement et qui m'a perturbé. Je ne l'ai pas calcul�� le premier jour parce que je voulais me tenir loin de lui mais il est venu vers moi de lui-même le deuxième jour. On a parlé petit à petit durant la journée. Et en fait chaque soir, une fois que les enfants dorment, on fait un débrief entre tous les accompagnants puis on fait une soirée. Et on est restés ensemble toute la soirée. Il était tellement intéressant, il voyage en solo depuis qu'il a 14 ans et ça se voit qu'il en a appris des choses. Puis j'adore son caractère. C'est la définition de la force tranquille. Mais après cette soirée, quand on s'est retrouvés à deux, il m'a embrassé sur la joue. Je m'y attendais pas, c'est arrivé d'un coup. Je ne comprends pas comment les mecs peuvent se permettre d'envahir l'espace personnel de quelqu'un comme si c'était rien. Ça m'a énervée et je l'ai stoppé direct en disant que j'étais en train de construire quelque chose avec le musicien et que du coup je n'étais pas intéressée. Il a compris et a réagit normalement. Après ça, on s'est posés au coin du feu et on a continué à parler. Heureusement, y avait pas de gêne. Il m'a dit qu'il serait content qu'on reste amis maiiiis après il m'a quand-même précisé que si jamais je n'avais plus rien avec qui que ce soit, il était là. MDR. Amis mais pas trop? Par contre cette nuit était trop belle, les étoiles se voyaient parfaitement, y avait des étoiles filantes et même des lucioles. Ce que j'aimais trop aussi avec lui c'est qu'en soirée il était toujours partant pour tout, il était trop bonne ambi. C'était un peu mon pote de soirée quoi. Mais je ne l'ai vu que 3 soirs parce qu'il est parti plus tôt que tout le monde. Mais revenons un peu en arrière. Après le soir où il m'a fait un bisou sur la joue, la grosse gaffe que j'ai faite pcq je suis TROP CONNE, c'est qu'avec encore de l'alcool dans le sang j'ai envoyé un message au musicien pour lui dire que y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec et que ça me perturbait et qu'il m'a embrassé sur la joue et blablabla. Je lui ai tout expliqué de la pire manière possible comme si c'était juste un pote et que ça n'allait pas avoir de conséquences. Le lendemain, le musicien était trop saoulé mais on s'est appelés et on a tout mis au clair et il m'a demandé de ne plus parler à ce gars. Ce que j'ai donc voulu faire. SAUF QU'IL ME COLLAIT TOUT LE TEMPS. Du coup on a quand-même continué à parler et je l'ai dit après au musicien. J'aime trop qu'on puisse tout se dire et qu'on puisse tout résoudre en communiquant calmement. Ça me met tellement en confiance. Je me sens vraiment en sécurité dans notre relation. Je suis trop heureuse de l'avoir rencontré purée.
Bon je vais m'arrêter là pour le récap du camp en tout cas.
(23/07/2024)
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20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
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La Lionne
Texte de Pauline Laroche-Vachaud
« La Lionne », à Trept, c’est un nom qui sonne comme une véritable institution, un haut lieu, un cœur encore vivant, au fond, même si ce qu’avaient été ses murs accueille désormais bien d’autres gestes et des mondes tout autres... Entre « La Lionne » où, souvent, 10 heures par jour et 6 jours par semaine quelques 80 ouvrières pouvaient suer à produire 1500 voire 2000 chemises quotidiennes et, désormais, « la Salle des Roches », ouverte aux divers loisirs que nous avons le temps de nous offrir aujourd’hui, rien à faire, la parenté est difficile à trouver. L’usine n’est plus ; elle a fermé à la fin des années 80, après un demi-siècle d’évolution, de modernisation, d’extension et d’honnête pain lourdement gagné.
On aimerait qu’existe un livre qui fasse revivre la vie de ces murs quand tant de femmes s’échinaient aux poignets, aux cols, aux manches, aux boutonnières et aux ourlets, assembler, rabattre, fermer, monter, pointer, finir, plier… On voudrait entendre des anecdotes, rendre un peu de voix, de chair…
On pense pour commencer aux guimpières car, avant l’ouverture de « La Lionne » elle-même, c’étaient elles les tenantes du lieu, elles dont les tâches visaient à enrouler, en bobines éblouissantes, la magie et la splendeur de la tréfilerie, ces fameux fils de faux-or lamés, à un fil de coton ou de soie.
Dans quel but? pour que dans d’autres ateliers, par d’autres ouvrières - une étape, puis une autre -, finissent par s’enluminer les costumes d’apparat, les beaux vêtements de mode, les habits des grands jours. Et que ça brille ! On voudrait aussi, évidemment, entendre ces fameuses chemisières qui, plus discrètes que les tailleurs, moins immédiatement symboles de la vie du village, de son essor, de son savoir-faire, n’ont pourtant rien à envier aux fiers et nombreux carriers. Les chemises conçues par ces femmes étaient bien vendues, pour certaines, à Pierre Cardin, Paco Rabanne, Charles Jourdan… Le prestige est-il moins grand que celui des pierres treptoises composant le Pont Alexandre III, à Paris, ou les piliers d’entrée du Parc de la tête d’or ? Autres usages, autres gloires, mais une excellence qui circule, et loin. Ce n’est pas rien.
On voudrait écouter leurs histoires, les relayer. Tant de petites mains talentueuses, sans tambours ni trompettes, scrupuleuses, précises, tenues à des réalisations impeccables - parfaitement symétriques ou rien, parfaitement régulières ou rien, parfaitement fidèles au modèle ou rien ! La moindre erreur, aussi infime fût-elle, et il n’y avait plus qu’à reprendre l’ouvrage. On voudrait entendre les rires, les blagues, les soupirs, les ragots les espoirs, les lassitudes, les fatigues immenses, les fiertés et les douleurs…
« La Lionne », rien que ce nom, comme trempé d’or et d’acier, semble le signe d’une élégance intraitable…. Le travail, lui, était-il féroce, vorace ? Les jeunes femmes ne faisaient-elle que passer, le temps de trouver un mari et de voler vers d’autres horizons ? Souvent, semble-t-il, mais pas toujours. Certaines dames s’y engagèrent à vie… Quels bruits, associés à quels gestes, quelles machines habitaient ce lieu comme un orchestre perpétuel, horloge suisse aux rendez-vous inébranlables : 7h30-12h/12h45-16h15. (Horaires extensibles à volonté, bien sûr, puisque le paiement à la pièce poussait à rester.) Un jour de neige, une employée, venant de Passins à vélo, eut 15 minutes de retard. Vertement tancée. La production n’attend pas, ne pardonne pas. « Exemple réussi de complète décentralisation », trouve-t-on dans la presse des années 60. Il semble que les ouvriers du textile lyonnais étaient trop chers, trop réactifs sans doute aussi. Alors l’idée de la campagne avait gagné. Hommes et femmes portant différemment la colère et la pénibilité du travail, peut-être, ouvriers et ouvrières moins chers payés, mais pas moins doués. Les archives de l’usine ont toutes disparu à la mort des époux Besse, qui menèrent le lieu comme leur deuxième maison, durant presque 30 ans. Les photos qui restaient ont pris l’eau dans une cave. Il ne reste plus d’écrits, plus d’images, ou très peu. Il vit cependant, encore, quelques souvenirs. Et ils mériteraient bien un livre.
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Mardi 19/09 - Le passé de Bagi
Les joueurs ont trouvé les "cadeaux" donné par la "fédération". Fit et Tina ont théorisé qui est le coupable de cette blague : un mauvais garçon un peu triste en ce moment de la disparition des œufs.
Fit a trouvé de nouveaux panneaux de Ramon caché dans le musée aux œufs. Le message complet est "Toutes les choses finissent par arriver avec le temps, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Les choses ne sont pas toujours ce à quoi elles ressemblent, elles changent en fonction du temps. Comme un arbre, nous grandissons, mais personne ne peut nous voir de l'intérieur. Comment a t-elle grandit ? A t-elle pourri, ou a t-elle changé ?"
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https://clips.twitch.tv/AstuteSarcasticChickenOpieOP-7yqmpE6xl46q9Y-r
Fred a répondu à Tubbo. Il a corrigé la citation de Technoblade que Tubbo lui avait donné, et a trouvé ça très inspirant. Il ne comprends pas pourquoi cette correspondance tient tant à cœur à Tubbo que ça, car selon lui, il y a des choses plus importantes, comme les toasts à l'avocat. Il espère tout de même que Tubbo garde ces lettres précieusement, comme lui les garde dans un coffre. Tubbo l'a remercié de l'avoir corrigé. Il l'a ensuite invité à participer à un piquenique s'il trouve le temps, car il a construit une machine qui est capable de produire autant de toast à l'avocat qu'ils peuvent en manger.
Tubbo a montré la salle centrale du labyrinthe à Fit, lui qui ne l'avait pas encore vu. Ils ont ensuite trouvé une nouvelle porte fermée. Tubbo a remarqué que l'intersection ressemble à celle décrite sur un des dessins, et que les œufs en vie pourraient être derrière cette porte. Ils ont réussi a la traverser en glitchant à travers le mur mais ont cependant décidé de ne pas aller plus loin pour l'instant. Néanmoins, en voulant reproduire la même opération sur une autre porte, des éclairs sont apparus sur eux, les poussant à la fuite.
Fit a expliqué à Baghera la soirée d'arrivée de Bagi. Baghera a émis l'hypothèse que la roue pourrait ramener des gens sur l'île, et le numéro indiqué correspondrait à des lieux.
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Le président Forever a eu son rendez-vous hebdomadaire avec Cucurucho. Cucurucho lui a d'abord proposé ses médicaments à nouveau, mais Forever a expliqué qu'il allait bien, qu'il n'avait plus envie de faire exploser l'île, ou de faire quoi que ce soit de dégradant envers la fédération. Il a tout de même accepté la prescription de médicament de Cucurucho. Forever a demandé où en était la construction de la prison. Cucurucho a répondu que c'était en cours, mais qu'il y a eu du retard à cause de la nécessité de nettoyer les dégradations causés au spawn. Forever est ensuite allé cacher les médicaments dans sa base, au cas où il y aurait encore besoin de créer des remèdes.
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https://clips.twitch.tv/GiftedFriendlyTrayHoneyBadger-bNB0N6fymwu6HuGA
Foolish a interrogé Bad au sujet de ses tâches bleues. BadBoy a fin l'incompréhension, et a commencé à s'installer dans le dragon de Foolish, suite à son pari sur le temps que mettront les oeufs à revenir. Foolish s'est énervé contre lui car Badboy a modifié la chambre de Leo malgré ses interdictions répétées, et lui a dit de faire ce qu'il veut vu où ils en sont. Foolish est ensuite allé cacher une waystone chez Bad. Foolish a ensuite expliqué à Baghera comment il était devenu le roi des capybaras, et lui a demandé où elle était passé pendant tout ce temps. Baghera lui a dit qu'elle était tombé malade, et qu'elle avait reçu de l'aide de la fédération. Les 3 joueurs ont ensuite discuté du voleur de meubles, et des travailleurs de la fédération. Bad a expliqué faire une enquête sur eux, et vu le ton de sa phrase, Baghera le suspecte de leur faire du mal.
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https://clips.twitch.tv/ClumsyCulturedPepperMcaT-6WoSqgMQuWbXBa0z
Bagi a reçu un livre contenant des coordonnées. A son lieu de rendez-vous, elle a trouvé des affaires liés à son passé. Elle a notamment pu découvrir qu'elle passait ses anniversaires seuls, accompagné de son chat nommé Zeno. Elle se sentait mal à l'aise et incomprise à l'époque malgré sa grande famille et a perdu son chat. Elle espérait le retrouver.
BadBoy s'est dit qu'ils pouvaient abîmer le spawn pour faire revenir les travailleurs de la fédération. Cucurucho les a surpris en pleine action, et Foolish a balancé BadBoy. Foolish a donc eu le droit d'enfin arrêter Bad. Badboy s'est défendu en accusant Baghera a son tour, mais Cucurucho ne l'a pas cru. BadBoy devait initialement se faire enfermer 10 minutes dans le musée, mais Foolish l'a convaincu de réellement l'emprisonner. Les 3 ont été emmené dans les bureaux de la fédération, et Bad s'est fait enfermer pendant 15mn dans le débarras. Forever et Bagi les ont rejoint en invisible et Bagi a finalement pu faire la connaissance de Cucurucho.. avant de se faire tuer par celui-ci. Baghera a trouvé les toilettes dans le bâtiment de la fédération et a pu récupérer une waystone dedans.
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https://www.twitch.tv/bagherajones/clip/OilySaltyMarjoramArsonNoSexy-wS3TwzkCTS2X-n4F
Bagi a ensuite fait un tour des lieux de sa maison à Baghera et BadBoy et leur a demandé si ils n'avaient pas vu son chat Zeno. BadBoy s'est demandé s'il ne s'agissait pas du chat que Cellbit a recueilli dans son château. Après avoir laissé un message chez Badboy disant qu'il est son plus grand ennemi, Bagi est allé vérifier chez Cellbit si son chat y était. En voyant qu'il était effectivement là bas, Bagi lui a laissé un message en binaire disant "Rend moi mon chat, je ne sais pas comment tu l'as eu, mais il est à moi depuis toute petite". Elle lui a laissé des coordonnées et a posé là bas un livre disant "celui qui lit ça est un con" ainsi qu'un œuf renommé "Richarlyson".
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https://clips.twitch.tv/ZealousWanderingElephantWTRuck-ld_u4wkUHjCkm00M
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Woaaaah you are frenche.... so cool of you.........
Blague à part, ça fait de nombreuses fois que tes comics me sont recommandés, et c'est à chaque fois un plaisir de les voir ! Du coup cette fois j'ai craqué je me suis abonné haha
Hello et désolée pour le retard !!
Haha merci beaucoup, ça fait plaisir en retour^^ Je vais continuer à faire de mon mieux ! <3
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Coucou tout le monde !
Après 12h de vol Auckland-Los Angeles, 7h de vol Los Angels-Bogota, 1h jusqu'à Quito (et mon empreinte carbone détruite pour les douze prochaines années), me voici arrivée en Équateur !
J'ai failli avoir une petite blague au moment de monter dans le dernier avion : au comptoir de la même compagnie, ils m'avaient imprimé mes deux billets pour le vol précédent, me disant qu'il n'y avait pas de souci si je n'avais pas de vol de continuation (quelque chose pour confirmer que je ne veux pas rester advitae aeternam dans le pays, en gros). Je monte donc tranquille dans l'avion, qui a vingt minutes de retard, j'arrive complètement à l'arrache pour prendre ma correspondance, et mon billet bloque, pas le droit de monter dans l'avion \o/ fort heureusement pour moi, le fait que je sois LITTÉRALEMENT la dernière à monter a fait que l'hôtesse de l'air m'a regardée, elle a regardé mon billet, elle m'a reregardée, elle a regardé sa collègue, elle m'a rereregardée... A soupiré, haussé les épaules, et m'a sorti l'équivalent de "Demerden sie sich à la douane à l'arrivée mademoiselle !" avant de me laisser passer \o/ (douane qui m'a laissée passer sans aucun problème d'ailleurs)
Bref, me voici donc en Équateur !! Mon premier repas n'a pas été particulièrement convaincant, mais ça fait plaisir de retrouver des bus à 25cents après la Nouvelle Zélande... A noter que Quito (la capitale) étant coincée entre la cordillère des Andes et des volcans (si j'ai bien compris), elle est en fait super étroite, mais s'étend par contre du Nord au Sud de façon assez hallucinante !
Par contre je suis assez déçue par le prix du matériel de randonnée : c'est a minima la même chose qu'en France, et les paires de baskets vont de 100$ à genre 250$ 😅on verra demain si j'arrive à trouver un petit marché plutôt ...
Sinon, ils ont des trucs rigolos dans les grands centres commerciaux... Je vous présente : le bar à céréales de petit déjeuner 🤣
Note : mon second repas, des empañadas, était nettement plus satisfaisant que le premier 🥰
Sinon, dans les trucs marrants, j'ai donc pris le bus. J'étais pas prête. La photo suivante est donc un bus de ville, ils ont tous strictement la même tronche (à part le bandeau bleu et orange sur celui là, qui change : c'est la société de bus), bleu, un numéro sur le côté de la porte qui ne correspond absolument pas au numéro de sa route (ce serait pas drôle).
Le bus de ville fonctionne ici sur un concept assez simple : quand il approche d'un arrêt (ou d'un tas de gens, visiblement ça compte aussi), la personne qui assiste le conducteur hurle le nom des grands arrêts de la ligne, soit en passant la tête par la fenêtre, soit la moitié du corps par la porte qui reste de toute façon toujours ouverte. Si tu as de la chance, le bus s'arrête, sinon tu dois te démerder pour le prendre en courant.
Ah, et puis du coup, pour savoir lequel prendre, soit tu as de la chance, tu as un vrai abris bus et tes anti sèches (c'est à dire le numéro de la route que t'indique Google maps, et le "nom" de la route, c'est à dire son point d'arrivée et de départ, que tu peux ensuite essayer de lire sur le bus), soit tu as aussi de la chance et ton futur arrêt est suffisamment gros pour faire partie des trois qui sont indiqués sur son espèce de pancarte en carton en bas à gauche du pare brise, ... Soit tu prends au pif ! A noter que toutes ces options nécessitent de pouvoir lire à 100m le panneau d'un bus qui zig zague, ou à comprendre l'espagnol hurlé à perpète au milieu des bruits de klaxon. Heureusement que j'ai de bons yeux 🤣
Voilà, sur ce, je vais rattraper mes deux dernières nuits, bizoux tout le monde :')
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Un mardi normal finalement
Ce matin ma cheffe m'a engueulé (gentiment) parce que je suis arrivée à 9h10 au lieu de 9h. Je sais, en tant que millenials on trouve ça complètement con mais bon je travaille pour une boîte de vieux et apparemment c'est important pour eux. Mais la réflexion est que, quand elle me faisait la morale (toujours gentiment), je me suis refais le chemin dans ma tête du pourquoi ce matin j'étais en retard. Je ne lui ai pas dit parce que le but n'est pas de se trouver des excuses, on a tous nos problèmes. Je ne lui ai pas dit, surtout, parce que sinon elle aurait eu tellement pitié de moi.
La raison était la suivante : après avoir passé 15 jours (ce n'est pas une blague, du 24 avril au 6 mai) avec un mal de crâne à m'éclater la tête par terre, j'ai voulu tester un nouveau médicament contre le douleur. Je l'ai testé le week end (de 3 jours en plus) parce que je sais qu'à ce niveau de médicament on ne connait jamais les effets secondaires sur son corps. Et comme je dis souvent : un week end de douleur est un week end gâché mais une semaine de travail de douleur est une semaine en enfer. Bref je le teste, je passe un samedi et un dimanche horrible entre dormir et regarder des séries pour faire passer le temps fasse aux effets secondaires. Le lundi ça va mieux mais mon corps est encore traumatisé par les deux dernières jours, je sens qui se passe encore des choses au niveau de ma tête. Cependant, je ne sais pas si c'est encore l'effet du médicament ou si c'est mon mal de tête qui revient alors je suis en stress permanent (parce que ma vie c'est ça, c'est la peur d'être coincé dans mon état de douleur pour toujours en appréhendant la prochaine crise, les douleureux.ses chronique on est là). Le problème avec les douleurs chronique c'est que tu ne peux pas te rationaliser parce que c'est ton corps et ton esprit qui sont en alerte et en boucle constante sur le même sujet. Donc lundi, impossible de me calmer de toute la journée, j'ai même été incapable de ranger ma chambre. Je décide de sortir me promener dehors, parce que l'activité ça permet de détourner l'attention de ton cerveau et de relâcher les tensions du corps (à moindre mesure mais c'est mieux que rien). Évidemment, durant cette promenade, j'ai croisé un collègue alors que j'étais dans un état déplorable. Encore heureux, je m'étais lavé quand même. Puis, évidemment, même si la promenade m'a un peu calmé, j'étais toujours très tendu alors j'ai fait une insomnie jusqu'à 4h du mat. Ce matin, après tant d'émotion je me suis levée en retard et comme c'est un mardi après un jour férié c'était bouchonné à cause des camions qui rattrapent le lundi non travaillé.
Voilà alors je trouve que pour toute cette épopée, 10 minutes de retard c'est plutôt un très bon ratio.
Amusé de cette disproportion entre la raison de mon retard et la durée de mon retard je le prend à la légère (également parce qu'il est le matin et que je n'ai pas bu mon café). A ce moment là, commence une discussion de sourd où je lui raconte qu'à mon ancien travail on prenait à 9h30 ; elle me répond que quand elle était cheffe d'usine c'etait 5h du matin au travail. Je lui rétorque que c'est pour ça que j'ai fait un bac+5. Elle me répond que ces gens ont bien fait un bac+5 mais doivent se lever tôt quand même.
C'est là où nos deux générations s'entrechoquent. Je n'ai pas fait un bac+5 pour faire une carrière mais pour maximiser mes profits en minimisant mes efforts. Ce qui signifie que le but n'est pas d'être cheffe mais d'avoir un salaire descend avec le moins de responsabilité possible tout en sachant que je peux me casser et changer d'entreprise à tout moment. Je ne lui ai pas dit que le réveil à 5h du mat était rédhibitoire pour mon choix de travail mais je le pensais très fort.
M'enfin bref. Je suis surtout fière de moi parce que depuis un petit moment quand on me fait des critiques qui sont balayages par des infos solides de mon cerveau je m'en fiche au plus haut point alors que j'ai longtemps pensé que la moindre critique serait un problème pour moi en entreprise. Ça me fait extrêmement plaisir.
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Preuves qu’on était dans jeu vidéo ce week-end:
- le train qui part 30min en retard a cause d’un malaise et Robin qui répond à l’appel de “est-ce qu’il y a un médecin dans le train?”
- on croise une camarade de Solidaires en arrivant à Paris
- on attends 1H dehors devant l’hôtel avant d’avoir les clefs
- l’ascenseur qui marche pas donc on monte les 5 étages à pieds mais une fois arrivés la porte ds l’étage est fermé donc on doit redescendre
- on se réveil à 5h45 mais on attend encore 1H sur place avant que le congrès commence
- Anaelle trempée de la pluie qui dort au pieds des sièges de l’amphi
- y a aucune option végane mais y a trois options de viande
- le ship love entre Raphaël Arnaud et Marine Tondelier
- Rayyân avec son carnet de chants militants comme s’il était à la messe
- Marine Tondelier qui fait une blague sur Roussel et les merguez
- Un amphithéâtre plein qui chante l’internationale, le poing levé au moins 4 fois
- on fait un détour pour voir l’opéra mais y a que des échafaudages
- Anaelle qui se fait appeler pour danser devant l’opéra
- le pot républicain d’une organisation de gauche dans un immense bar de bourgeois avec des coupes de Prosecco
- le traiteur avec encore aucune option vegan et un seul petit four vege
- un fervent soutien d’un agresseur invité à la soirée par le syndicat + le mec qui fait des #blocus et le NPA wtf
- Anais qui gronde Melanchon
- Melanchon qui répond avec mépris “d’accord”
- l’AES et le SET qui quittent la soirée de l’enfer
- on retourne à l’opéra pour s’assoie sur les marches et c’est bloqué par des barrières donc on fini assis par terre à côté d’une bouche de métro
- le seul mec avec qui je m’entends bien, je découvre que sa copine est amie avec Emma
- Anaelle dans une soirée bretonne dans le 14e
- Les meufs du natio qui nous disent de pas faire de scandal et qu’elle ont mis trop d’énergie dans l’organisation pour expliquer la présence du M-word
- l’AES qui fait un discours en mode on se lève et on se casse et qui part du congrès
- l’IUT de Bobigny qui ressemble à un terrain d’Urbex
- le café post scandale dans le cafe du stade avec une clientèle exclusivement masculine
- le repas dans un resto indien avec des blancs qui supportent pas les épices
… et on est pas encore parti.e.s
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Lettre 34
Vendredi 10 Mars 2023
Cher Hugo,
Aujourd'hui c'était LE jour des révisions. Pour cela j'ai loupé tous les cours que ce soit ceux du matin ou ceux de l'après-midi. En plus j'ai appris que le prof de l'après-midi avait 1h40 de retard alors bon, autant dire que je n'ai pas loupé grand chose.
Après avoir commencé à réviser la matinée et avoir appris de la bouche de Layz que le prof était super en retard, j'ai proposé à qui le voulait d'être mon invité spécial revision. Au final Layz a sauté sur l'occasion et Lucas l'a suivi, ils ont sauté dans une voiture et sont venus littéralement hurler dans mon interphone alors que j'étais encore en pyjama.
Résultat : nous avons révisé de 16h à 21h30 non stop. Le cours a été revu lentement point par point, chacun a durement participé. Il n'a pas toujours été simple de rester concentrée et parfois partiente. Layz a tendance à parler avant de réfléchir ce qui fait qu'elle dit rapidement n'importe quoi. Et à la longue j'avoue que ça peut etre très pénible parce qu'elle ne cherche pas à faire attention et à se doter de tous les moyens dont elle dispose. Lucas quant à lui était super fatigué, sûrement dû à la soirée de la veille. Alors nous nous sommes tous les 3 motivés avec des gateaux, des blagues, des grands gestes et mots idiots pour pallier au côté pénible du cours. Finalement, nous avons tout repris ensemble, le cours dans sa totalité a été ingurgité et même les pages que je n'avais pas encore appris. C'était enfin fini !
Quand Lucas et Layz sont rentrés chez eux, je me suis fais une soupe et j'ai remis Dr House en oubliant que je devais chercher des citations et des actualités pour mon introduction. Bah oui Maelle, le galop d'essai c'est demain. Finalement, aux alentours d'une heure du matin j'ai arrêté la série fait des recherches et appris quelques tips pour le lendemain. C'est ainsi que je me suis endormi tranquillement et sans aucun stress.
J'espère que ta journée était bonne. A la lecture de la mienne tu m'aurais sûrement dit que ma manière d'apprendre aussi facilement te fait délirer et que tu te sens fasciné. Je t'entends répéter inlassablement "tu vas y arriver tu vas voir, t'es la meilleure". Tu m'manques Hugo, je t'aime. Passes une bonne nuit.
M.
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ecg 1
Le passif
sujet + auxiliaire BE (au temps que vous voulez) + verbe au participe passé
to be seen, he is seen, he was seen, he will be seen, he has been seen, he would be seen, he may be seen, etc...
1. Est-ce que la chambre de Tom est nettoyée tous les jours ? Je ne le pense pas. Une fois par mois, c'est assez, dit-il. (a clean freak, dirt, dust, to make one's bed, to sweep, to clean from top to bottom, pristine, passer l'aspirateur, balayer, un balai, une éponge, un chiffon, bleach, ranger sa chambre, ranger un livre)
Axel et Baptiste ont été réveillés par un bruit très fort à trois heures du matin. La police et les pompiers ont été immédiatement appelés et l'immeuble évacué. J'ignorais qu'ils vivaient sous le même toit. (firefighters ; the police station, to call 999 / 911 ; a trouble-maker, a racket)
Marie-Lou m'a dit que la situation était grave et qu'on doit faire quelque chose. Ne t'inquiète pas, le gouvernement va prendre des mesures (to take action) pour améliorer le pouvoir d'achat des étudiants (an economic slump, the GDP, the economic growth, a sluggish economy, a growth rate, an stimulus package, a recovery, a booming economy, the cost of living crisis)
La nouvelle maison de Pierre-Louis est en construction. C'est une villa au bord de la mer sur la Côte atlantique. C'est une blague, non ? (a summer residence, a cottage, a sea-side resort, a mountain resort, the coastline, lavish, there's no place like home, a gentleman's home is his castle, a home truth, there's nothing to write home about, to bring home the bacon, a homebody)
Anissa déteste qu'on la fasse attendre (to keep someone waiting). Pourtant, elle est souvent en retard et elle ne s'excuse jamais. Arrête de la critiquer, s'il te plait ! (to do something on purpose, sécher un cours, faire l'école buissonnière, to run errands, a shopper, un commerçant, un client fidèle)
Léna m'a dit que la plupart de vols pour les Etats-Unis ont été annulés en 2020 à cause de la crise sanitaire. Ce fut une catastrophe pour le secteur (industry) du tourisme.(a domestic flight, a stopover, a budget airline, a long-haul flight, to take off, to board a plane, two aircraft, the runway, atterrir)
J'ai été averti par Sacha de ne pas sortir le jeudi soir. Il m'a dit : « tu seras crevé vendredi matin si tu le fais ! » (a venue, to go clubbing, a sleepless night, to party, binge drinking, un fêtard)
Le voisin de Lisa n'a pas été vu depuis octobre dernier. Je me demande où il est. Il a peut-être été enlevé (abducted) ou même pire, il a peut-être été assassiné.(un assassin, to be stabbed, Jack l'Eventreur, a private eye, un violeur, être condamné, violer la loi)
Olivier pense que davantage d'argent devrait être dépensé pour '(on) l'éducation. La vraie question est « Es-tu prêt à payer plus d'impôts ? » (a tax-payer, to foot the bill, a budget deficit, the Chancellor of the Exchequer, tuition fees, the Treasury, des subventions, to go through the roof)
Colyne a dit au réceptionniste qu'elle voulait être réveillée à 6 heures car elle ne veut pas rater son train. Ce dernier a répondu qu'il n'était pas payé pour ça. Colyne ne sera pas revue dans cet hôtel. (réserver une chambre, a maid, the concierge, a deluxe hotel, a noshow, annuler une réservation)
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Donc là gros retards pour tous les trains mais un contrôleur passe dans celui dans lequel je suis et commence à sympathiser avec les passagers, il fait des petites blagues, il demande à 2 dames quels sont leur métiers. Elles sont toutes les 2 profs. Y en a une qui dit qu'elle est prof de philo donc il sort "j'ai un sujet pour vous : pourquoi la SNCB?" l'air désespéré. Bonne question. Bref, des gros retards mais des contrôleurs sympathiques. Il m'a mis le sourire.
(28/11/2023)
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Julien (partie 1)
C’est une nuit d’août. Je scroll sur Instagram, je suis partie pour une nuit d’insomnie, clairement pas aidée avec l’écran pleine luminosité à deux pouces de ma face. « Faudrait que je m’achète de la mélatonine », me dis-je.
J’ouvre Hinge. Un gars a répondu à l’une de mes photos. Il a écrit quelque chose à propos d’une photo de mon chat et moi. Je porte une tuque et mon chat se tient à côté de moi.
Le gars m’a répondu: « As-tu pensé à mettre une tuque à ton chat? »
Hmm. On verra s’il va m’endormir.
Il s’appelle Julien. Il a les cheveux denses, foncés, les yeux d’un bleu pétant qu’on voit rarement. Les sourcils bien fournis, il a l’air d’avoir une forte pilosité. Ses photos sont assez intrigantes: il y en a une où il tient un bouquet de fleurs tout sourire dans le Mile-End, puis celle plus bas, il est en chest avec un café à la main. Il est musclé. Pas inintéressant.
Il fait de l’escalade. Ah, pour ça qu’il est baraqué. Ça, ça me… Meh. Ça ne me fait ni chaud ni froid quelqu’un qui s’accroche après une roche. On dirait l’évolution Pokémon du roi de la montagne.
Tant que tu t’accroches après moi, mon loup, tu peux grimper où tu veux.
On se met à jaser. Il est drôle. Il me répond tellement rapidement, je sens un vif intérêt de sa part. Ça me réveille.
- « T’es donc ben belle », m’écrit Julien.
- « C’est toi qui es belle », lui réponds-je, aussitôt.
- « Merchiiiiiii bébé 😍🥰❣️»
Ah, j’aime ça quand un gars se sent à l’aise et m’appelle bébé ou babe ou peu importe. Ça me turn on. J’aime les petits noms.
C’est le genre de gars qui ne te déçoit pas dans ses réponses. Il a de la répartie, il répond exactement ce à quoi je m’attends. Il dépasse même les attentes.
J: « Tu fais quoi en ce moment »
G: « Je suis en pleine course de Formule 1 à Monaco, brb »
J: « Oh shit désolé Monsieur Verstappen »
G: « Joke je suis dans mon lit préparation dodo »
J: « C’était une joke??? J’te croyais »
G: « Bon j’ai perdu ta confiance »
J: « Tu peux la retrouver en me frenchant »
G: « Ah c’est comme ça que ça marche avec toi »
J: « J’suis un gars simple »
Vous voyez le genre? Ça, c’est du bon textage, mes ami·es. Du flirt, du tease, des blagues, tout y est. Je suis nouvellement fan de quelqu’un. Il est 1h du matin et je sens qu’il pourrait être 15h. Je suis pleinement réveillée, énergisée.
On sexte légèrement, on ne fait que se teaser. C’est l’fun, découvrir ce qui plaît à l’autre comme ça, un lundi soir, avec un parfait inconnu. Je dépose mon cellulaire sur ma poitrine. J’attends qu’il vibre encore une fois. Je me donne de petites pauses d’écran comme ça. Faut doser.
Je sens mon téléphone vibrer longtemps. Un appel? Est-ce que Julien est en train de m’appeler? Il me semble qu’il n’y a pas l’option sur l’application. Et je trouverais ça un peu intense.
Appel: Marc-André. Mon beau-frère. Chum de Sophie, ma grande sœur enceinte. Mauvaise nouvelle.
Je réponds.
- « Marc-André? Qu'est-ce qui se passe? »
- « Allô Gege, j’ai pas des bonnes nouvelles, Sophie a fait une hémorragie et on s’en va à l’hôpital. Appelle ta mère, je ne suis pas capable de la rejoindre. »
Fin de l’appel.
What. The. Fuck.
Y’a trois secondes et demi j’étais en train de light sext un escaladeur du Mile-End et là je suis en énorme panique, en train d’appeler ma mère à répétition, direction l’hôpital.
La vie, des fois.
Je réussis à rejoindre ma mère, qui était clairement dans une phase de sommeil profond. J’ai dû l’appeler 27 fois. On s’en va à l’hôpital. God knows ce qui peut se passer.
Marc-André me text que ma sœur doit accoucher d’urgence. Elle est à 32 semaines. Shit. Fuck. Shit.
Je réponds au dernier texto kinky de Julien avec un peu de retard.
« Hey ça va sonner très weird, mais là je m’en vais à l’hôpital parce que ma sœur enceinte a fait une hémorragie et là elle accouche…??? »
« QUOI, me réplique Julien, immédiatement. Ben là, tu seras pas toute seule là-dedans. Je vais te tenir compagnie en te textant. »
En plus, il est gentil? Ah non, je suis en train de tomber en amour. Il doit être 1h30 du matin, je suis en sweatpants, j’ai un long t-shirt pas de brassière et je suis prête à me la jouer Max Verstappen jusqu’à l’hôpital Charles-Lemoyne.
J’aurais pas dû faire de joke de Formule 1.
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Whumptober 24 : Radiation Poisoning
Irradiation, MCU : Avengers
« Le capitaine Rogers vous appelle, patron. »
Tony Stark, dont les deux mains gantées manipulaient des manettes pour insérer des microcircuits sur ce qui se révélerait un jour être la paire de lunettes la plus chère de la planète, mais qui n’était actuellement que des bésicles tout juste propres à vous donner la migraine de votre vie, se redressa lentement et fit craquer son dos plié en deux depuis… trop longtemps, apparemment.
« Passe-le-moi, Friday.
– Tony ? Tu m’entends ? Tony ?
– Parfaitement, Cappy King, je t’entends comme sur grandes ondes.
– Okay. On a besoin de ton aide.
– Mmmhum ?
– La base d’Hydra dans laquelle on se trouve contient un laboratoire qui expérimente sur du palladium. D’après le scientifique que Sam a capturé, ils ont irradié le métal pour en faire une bombe à retardement, mais quand nous les avons pris par surprise ils ont fait exploser leurs recherches.
– Merde. Vous êtes blessés ?
– Vision a absorbé le choc pour nous, mais depuis il est sans connaissance. Nat, Sam et Wanda manifestent des symptômes d’irradiation. Ils vomissent et… ils ont des lignes noires qui se développent sur le corps, comme des veines toxiques. Nat m’a dit que tu saurais quoi faire.
– J’apprécie sa confiance, parce que c’est elle qui m’avait fourni l’antidote, à l’époque.
– Est-ce que tu sais ce qu’il faut faire, ou est-ce qu’il faut que j’appelle quelqu’un d’autre ?
– Bien sûr. Pas la peine d’exploser ton forfait. Deux minutes. »
Friday avait déjà déployé des hologrammes qui détaillaient l’intérieur de la base grâce à la mémoire du téléphone de Captain America, qu’elle avait piraté dès le début de l’appel. La liste des composants et des appareils identifiables dans le laboratoire où se tenait Rogers s’afficha en lettres bleues à la droite du patron, tandis que la composition de l’antidote que le Shield avait jadis concocté apparaissait à gauche.
Friday avait pris grand soin des archives qu’elle avait hérité de son prédécesseur Jarvis et, parmi les leçons essentielles que celles-ci contenaient, elle avait retenu que le palladium représente un danger mortel pour les êtres humains et que sa menace doit être endiguée au plus vite. (Aussi, que l’on ne peut pas faire confiance au patron pour prendre soin de sa santé. Malheureusement, avoir identifié cette vérité ne lui permet pas nécessairement d’inciter Mr Stark à une meilleure hygiène de vie. Voir ci-dessus : les quinze dernières heures passées sur le projet de rétrovision augmentée binairement.)
« Et toi ?
– Moi, quoi ?
– Tu m’as décliné les symptômes des onze d’Ocean, mais tu ne m’as pas parlé de Danny. Comment tu vas ?
– Je suis en état de poursuivre la mission.
– Ouais, alors, venant de toi, ça ne veut vraiment pas dire grand-chose. Est-ce qu’on peut résoudre des mots croisés sur tes biceps aussi ? Tu as régurgité tes barres protéinés ?
– Concentre-toi sur l’antidote, Tony.
– Oh, mais c’est ce que je fais, mon ex-capitaine. J’ai besoin de toutes les infos pour cela. Si le sérum modifie tes réactions par rapport à celles des autres, ça peut nous en apprendre beaucoup. »
Le soupir de Captain America se répercuta dans toute la pièce, pendant que le patron continuait à travailler sur les formules chimiques.
« J’ai des traces noires, mais pas autant que Sam et Nat. Plus que Wanda, je crois : elle ne paraît pas très affectée de l’extérieur, mais elle n’arrête pas de vomir. Je suis le seul à ne pas avoir de nausée. J’ai mal au crâne, mais c’est peut-être juste Hydra… »
À son sourire, Friday soupçonnait que le patron s’apprêtait à rebondir sur la blague, mais il se reconcentra sur ses données.
« J’ai une recette qui devrait marcher. Voilà ce que tu vas faire... »
Alors que le patron dictait ses instructions au capitaine, Friday nota, une fois de plus, ce curieux vice de conception qui rend les humains plus capables de sauver leurs amis que de s’aider eux-mêmes. Sans ce bug procédural, qui sait où serait parvenue leur espèce ?
#whumptober 2024#no.24#radiation poisoning#mcu fandom#the avengers#fanfiction#fanfic#tw vomit#tony stark#iron man#steve rogers#captain america#mcu friday
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1. Comment appelle-t-on un chat qui est tombé dans un pot de peinture le jour de Noël ? Un chat-peint de Noël (sapin de Noël). 2. Que dit un sapin de Noël qui arrive en retard le soir du réveillon ? Je vais encore me faire enguirlander. 3. Qu’est-ce qui a 34 jambes, 9 têtes et 2 bras ? Le père Noël et ses rennes. 4. Quel est le gâteau le plus dur au monde ? La bûche de Noël. 5. Savez-vous pourquoi le père Noël rit tout le temps ? Parce que ce n’est pas lui qui achète les cadeaux. 6. Comment fait-on entrer deux pères Noël dans un réfrigérateur ? Ce n’est pas possible, il n’existe qu’un seul père Noël. 7. Le papa de Jérôme lui demande ce qu’il a demandé au père Noël. Jérôme lui répond : "Je lui ai demandé qu’il vienne plus souvent." 8. Quel spectacle les écureuils vont-ils voir à Noël ? Casse-Noisette. 9. Que dit un hibou à sa femme le jour de l’An ? Je te chouette (souhaite) une bonne année ! 10. Pourquoi le père Noël porte-t-il des bretelles rouges ? Pour tenir son pantalon. 11. Un sapin dit à un autre sapin : "Moi, Noël, ça me fout les boules !" 12. Certains Français sont chauvins. Moi, je suis plutôt vin chaud. 13. Cher père Noël, J'ai été sage toute l'année. Euh, la plupart du temps... Oui, bon, juste de temps en temps... OK, laisse tomber ! Je vais m'acheter moi-même mes cadeaux ! 14. Le jour de Noël, le père Noël descend par la cheminée de la maison de la famille Dupont et se retrouve devant la famille réunie. Le père Noël demande : "Alors, qui d'entre vous a bien obéi à maman ?" Tous les enfants répondent en cœur : "PAPA !" 15. Comment appelle-t-on un vieux bonhomme de neige ? Une flaque 16. Qu'est-ce que ressent Santa Claus lorsqu'il reste coincé dans la cheminée ? De la claus-trophobie. 17. Cher père Noël, cette année, je voudrais un compte en banque bien dodu et un corps très svelte. PS : Merci de ne pas confondre les deux comme l'An passé. 18. Dans la cour d’école, deux amis discutent : ‑ Que donnes-tu à tes parents pour Noël ? ‑ Une liste de tout ce que je veux ! 19. À la cour, le juge demande à l’accusé : ‑ Quels sont les faits qui vous sont reprochés ? ‑ D’avoir fait mes achats de Noël trop tôt. ‑ Mais ce n’est pas un crime ! Et comment ça, trop tôt ? ‑ Bien, avant l’ouverture des magasins... 20. Deux fous s’en vont dans le bois pour chercher un sapin de Noël. Après deux heures de recherche, l’un des deux dit : - C’est assez ! Le prochain sapin qu’on voit, qu’il ait des boules ou pas, on le prend ! 21. Le soir du réveillon, c’est la fête à la fromagerie. L’animateur se lève et crie : - Allez les amis, faites du "brie" ! 22. Une petite fantôme raconte à ses parents qu’elle a déjà envoyé sa lettre au père Noël. - Ah bon ! Et que lui as-tu demandé ? - Une maison de poupée hantée. 23. Tu connais la blague de Noël ? Elle sent le sapin. 24. Tu connais la blague de Noël ? C’est une histoire de dinde. 25. Tu connais la blague de Noël qui fait peur ? Attention tu vas avoir les boules. 26. Quelle est la ville préférée des animaux du Père Noël ? Rennes. 27. Avec qui il est interdit de passer Noël ? Avec ta classe. Car Noël, c’est Santa classe. 28. Quelle est la différence entre un sapin et toi ? Le sapin c’est un conifère et toi t’es con mais on peut rien y faire. 29. Monsieur et Madame Rlande ont un fils, comment s'appelle t-il ? Gui. 30. Monsieur et Monsieur D'hiver, qui s'en va sifflant soufflant dans les grands sapins verts ont deux fils, comment s'appellent-ils ? Yves et Ivan.
Découvrez l'astuce ici : https://www.comment-economiser.fr/blagues-de-noel.html
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3ème édition !
Du lundi 18 au 30 samedi novembre 2024 Un événement tout public
11 lieux insolites et 15 flippers à découvrir tous les jours. Une manière ludique de faire la fête et explorer d'autres facettes de la ville.
Le prix spécial Le dernier jour du Rallye à 21h, les feuilles de participation cumulant les tampons des 12 étapes seront récoltées pour le prix spécial: un resto complet pour deux personnes.
L'attribution du prix sera déterminée par un tirage au sort (parce que la compétition et la performance ça va un moment...).
Parties gratuites Les flippers sont tous en partie gratuite, exceptés dans deux établissements. Les personnes qui participent au rallye pourront demander des jetons gratuits pour ces 3 flippers. Le nombre de parties offertes est au gré des établissements.
Plusieurs étapes, plusieurs cadeaux. Certaines étapes proposent un ou des cadeaux de leur cru selon les critères de leur choix (meilleur score, score au hasard, meilleure blague, etc). Cette organisation est facultative et donc interne aux établissements.
Attention aux heures d'ouverture des étapes:
- Ludothèque de la Jonction, av. Sainte-Clothilde 1 (Ma 15h30-18h, Me-Je 09h-11h30 et 15h30-18h00, Sa 09h-12h)
- Ernest, rue des deux ponts 29 (Ma-Me 17h-00h, Jeu 17h-01h, Ve-Sa 17h-02h)
- La Turbine, rue de la Coulouvrenière 26 (Lun 17h-22h, Mer 17h-00h, Jeu 17h-01h, Ve-Sa 17h-02h)
- Le Grand Bain, rue des Bains 33 (Ma-Me 16h-22h, Jeu 16h-01h, Ve-Sa 16h-02h)
- Floky La Loutre, rue de Carouge 44 (Ma-Me 15h-00h, Je-Ve 15h-01h, Sam 17h-01h)
- La Citadelle, rue des Sources 22 (Lun à Jeu 17h-02h et Ven-Sam 17h-04h! Dim 17h-02h)
- Le Palais Cosmique Square Orange (Jeudis 14h-19h et Samedis 10h-18h)
- La Guinguette de La Vieille école, av. de Thônex 65 (Chaque vendredi 17h-22h)
- L'Arcadem, rue du Diorama 16 (Lun-Ma-Je-Ve 09h-18h)
- La Brasserie du Mât, av. de Châtelaine 43 (Mer à Ven 15h30-17h30)
- Finale à L'amicale du Flipper*, Bvd Carl-Vogt 7 (Samedi 30 novembre, 18h à 21h) *tirage au sort à 21h!
Imprévus Il peut arriver des surprises. Un établissement qui ouvre en retard à cause des bouchons. Un flipper qui tombe momentanément en panne (les personnes qui ont connu l'âge d'or des flippers le savent). Le cas échéant la panne sera réparée rapidement. Dans l'attente, il y en a d'autres pas loin dans le secteur pour patienter :)
Inscription Tout au long de la semaine, au comptoir de chaque étape, excepté: - La Ludothèque de la jonction - L'Arcadem
Les feuilles de participation sont individuelles. Elles peuvent être transmissibles en cas d'incompatibilité horaires avec une étape. Une personne ne peut pas faire tamponner deux feuilles !
Participation: 20 francs. Participation de soutien: plus que 20.- selon votre engouement pour ce projet.
Votre participation soutiendra les activités gratuites de L'amicale du flipper (Les différents flippers de la ville en accès libre hors-rallye, les animations-tuto flipper, le loyer du Salon-Lavoir du Local et les laves-linges en accès libre ainsi que les activités s'y déroulant, etc.).
En espérant que vous prendrez du plaisir à jouer.
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Ce rallye est proposé par L'amicale du flipper
"Association pour la sauvegarde, la réhabilitation et la réintroduction des flippers dans le paysage contemporain"
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