#bataille de moscou
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carbone14 · 1 year ago
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Des unitĂ©s allemandes de la 11e Division de Panzer (Division fantĂŽme) avancent au travers de Volokolamsk en direction de Moscou Ă  environ 100 km – Bataille de Moscou – OpĂ©ration Barbarossa – DĂ©cembre 1941
Photographe : Arthur Grimm
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lepartidelamort · 4 months ago
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Les terroristes polonais menacent de frapper Saint-PĂ©tersbourg si la dĂ©mocratie multiraciale ne l’emporte pas en Ukraine.
Personne ne sait exactement pourquoi la Pologne est un Ă©tat.
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Rajmund Andrzejczak
Les Polonais veulent apparemment disparaĂźtre de la surface du globe.
Russia Today :
Rajmund Andrzejczak, gĂ©nĂ©ral de l’armĂ©e polonaise et ex-chef d’état-major de l’armĂ©e polonaise de 2018 Ă  2023, a dĂ©clarĂ© que son pays attaquerait Saint-PĂ©tersbourg si la Russie envahissait un État balte, lors de la confĂ©rence sur la dĂ©fense des pays baltes intitulĂ©e Defending Baltics. La Pologne et ses alliĂ©s lanceront immĂ©diatement une frappe à longue portĂ©e sur Saint-PĂ©tersbourg si la Russie attaque un pays frontalier de l’OTAN, a dĂ©clarĂ© Rajmund Andrzejczak, un gĂ©nĂ©ral polonais qui a dirigĂ© les forces armĂ©es de son pays de 2018 Ă  2023. Lors de la confĂ©rence sur la dĂ©fense des pays baltes (Defending Baltics) Ă  Vilnius, en Lituanie, l’ex-chef d’état-major de l’armĂ©e polonaise a Ă©voquĂ© des scĂ©narios de sĂ©curitĂ© concernant une Ă©ventuelle victoire russe en Ukraine et ses implications pour le bloc militaire dirigĂ© par les États-Unis, notamment pour les pays limitrophes de la Russie. «AprĂšs une victoire russe en Ukraine, nous pourrions voir une division russe Ă  Lviv, une Ă  Brest et une Ă  Grodno», a-t-il ainsi dĂ©clarĂ©, faisant rĂ©fĂ©rence aux villes les plus Ă  ouest de l’Ukraine et de la BiĂ©lorussie. Rajmund Andrzejczak a ajoutĂ© que dans ce scĂ©nario, la Pologne et la Lituanie seraient de fait encerclĂ©es par les forces russes. Face Ă  cette Ă©ventualitĂ©, Rajmund Andrzejczak a soulignĂ© la nĂ©cessitĂ© de dissuader la Russie de toute offensive potentielle. «Si la Russie attaque ne serait-ce qu’un pouce de territoire lituanien, la riposte sera immĂ©diate. Non pas le premier jour, mais dĂšs la premiĂšre minute. Nous frapperons tous les objectifs stratĂ©giques dans un rayon de 300 kilomĂštres. Nous attaquerons directement Saint-PĂ©tersbourg», a-t-il menacĂ©.
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Selon lui, la Pologne doit prendre l’initiative dans la dissuasion Ă  l’encontre de Moscou. «La Russie doit comprendre qu’une attaque contre la Pologne ou les pays baltes signifierait Ă©galement sa fin
 C’est la seule maniĂšre de dissuader le Kremlin de telles agressions. Dans cette optique, la Pologne achĂšte actuellement 800 missiles d’une portĂ©e de 900 kilomĂštres», a-t-il dĂ©clarĂ©. Vladimir Poutine a, Ă  plusieurs reprises, rejetĂ© l’idĂ©e que Moscou ait l’intention d’attaquer l’OTAN, qualifiant ces spĂ©culations de «non-sens» et estimant qu’elles Ă©taient destinĂ©es Ă  effrayer et endoctriner le public occidental.
Ces Polonais ne s’expriment de la sorte que parce que leur maĂźtre judĂ©o-amĂ©ricain le leur ordonne.
Pas plus qu’il n’existe une armĂ©e ukrainienne, il n’existe d’armĂ©e polonaise. Si la viande est ukrainienne ou polonaise, le matĂ©riel, les munitions, la structure du commandement, le systĂšme satellitaire, tout est sous contrĂŽle amĂ©ricain.
Nous nous retrouvons dans la configuration de 2014 en Ukraine lorsque le rĂ©gime pro-OTAN a commencĂ© ses provocations armĂ©es contre la Russie. Ce que prĂ©tend faire la Pologne en menaçant Saint-PĂ©tersbourg n’est pas diffĂ©rent de ce que Zelensky veut faire en mendiant des missiles pour cibler Moscou et embraser toute l’Europe.
Historiquement, le roquet polonais n’a jamais fait illusion sur les champs de bataille modernes et cette fois-ci ne serait pas diffĂ©rente. HĂ©las, il a tendance Ă  surestimer ses capacitĂ©s militaires. La derniĂšre fois qu’il a empruntĂ© ce chemin, c’était en 1939, et les Polonais ont dĂ» attendre 50 ans avant de disposer d’un Ă©tat en propre.
Les Russes n’ont aucune raison de s’intĂ©resser Ă  un pays aussi sinistrĂ© que la Pologne. En revanche, si les provocateurs de Varsovie se dĂ©cidaient Ă  remplacer le golem ukrainien, l’équation serait diffĂ©rente. Envahir prĂ©ventivement cet Ă©tat serait une mesure dĂ©fensive rendue inĂ©vitable par les circonstances nouvelles.
Les Russes devraient rĂ©flĂ©chir Ă  cette situation et bĂątir un grand plan de paix en Europe de l’Est. Le dĂ©mantĂšlement de la Pologne actuelle paraĂźt souhaitable. Cela offrirait l’avantage de rĂ©tablir Nord Stream 2 et de sauver l’économie continentale. La Russie pourrait Ă  cette occasion rĂ©trocĂ©der les territoires volĂ©s par les Polonais Ă  l’Allemagne de l’Est. Comme elle est dĂ©jĂ  partiellement dirigĂ©e par l’AfD, ce serait un solide point de dĂ©part pour un partenariat stratĂ©gique. Et puis les Polonais n’ont pas besoin de la SilĂ©sie, ni de la PomĂ©ranie. Sans parler de Dantzig, une ville allemande.
En somme, les Russes doivent leur mettre sous le nez la carte de leur futur Ă©tat si d’aventure les Polonais dĂ©cident de faire quelque chose de stupide pour le compte des juifs.
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DĂ©mocratie Participative
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aurevoirmonty · 11 months ago
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« L’Ukraine a perdu
 nous avons une armĂ©e de majorettes Ă  cĂŽtĂ© des Russes » indique un rapport secret de l’armĂ©e française.
L’armĂ©e française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piquĂ© le prĂ©sident au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels dĂ©fense expliquent « l’affolement » de l’ÉlysĂ©e, oĂč les chefs de partis sont invitĂ©s ce jeudi 7 mars Ă  Ă©voquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face Ă  Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoquĂ© un tollĂ© en Europe et Ă©copĂ© d’un dĂ©saveu amĂ©ricain. Plusieurs militaires français, interrogĂ©s par Marianne, disent, eux, ĂȘtre « tombĂ©s de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armĂ©e de majorettes ! », raille un haut gradĂ©, persuadĂ© que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’ÉlysĂ©e, on assume la position : « Le prĂ©sident voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimĂ©trĂ©s et calibrĂ©s ».
Au ministĂšre des ArmĂ©es, dans l’entourage de SĂ©bastien Lecornu, on dĂ©fend la parole prĂ©sidentielle : « L’état des forces en Ukraine est trĂšs prĂ©occupant. Les propos du prĂ©sident appellent Ă  un sursaut et montrent qu’on est Ă  un tournant. » Comment en est-on arrivĂ©s lĂ  ? Plusieurs rapports confidentiels dĂ©fense, que Marianne a pu consulter, Ă©voquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble dĂ©sormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries europĂ©ennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyĂ©e par du matĂ©riel occidental, allait renvoyer l’armĂ©e russe Ă  Moscou. RĂ©digĂ©s cet automne, les « retex » (retours d’expĂ©rience) de l’opĂ©ration sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisĂ©e dans la boue et le sang et ne s’est soldĂ©e par aucun gain stratĂ©gique », Ă©crit un rapport confidentiel dĂ©fense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accĂšs. En amont, la planification, imaginĂ©e Ă  Kiev et dans les Ă©tats-majors occidentaux, s’est rĂ©vĂ©lĂ©e « dĂ©sastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dĂšs que les premiĂšres lignes de dĂ©fense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait [
] Ces phases prĂ©liminaires fondamentales ont Ă©tĂ© faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en dĂ©fensif : c’est-Ă -dire la volontĂ© du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport Ă©voquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituĂ©es l’ont essentiellement Ă©tĂ© sur le plan administratif » et les formations n’ont pas durĂ© plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vĂ©tĂ©rans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont Ă©tĂ© lancĂ©s Ă  l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avĂ©rĂ©e inexpugnable ». Sans aucun appui aĂ©rien, avec du matĂ©riel occidental disparate et moins performant que l’ancien matĂ©riel soviĂ©tique (« vĂ©tuste, facile d’entretien, et apte Ă  ĂȘtre utilisĂ© en mode dĂ©gradĂ© », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bĂ©nĂ©fices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage Ă©lectronique pĂ©nalisant, cĂŽtĂ© ukrainien, l’utilisation de drones et les systĂšmes de commandement ». « L’armĂ©e russe est aujourd’hui la rĂ©fĂ©rence “tactique et technique” pour penser et mettre en Ɠuvre le mode dĂ©fensif », Ă©crit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du gĂ©nie lui ayant permis de construire des ouvrages dĂ©fensifs (« absence presque totale de ce matĂ©riel cĂŽtĂ© ukrainien, et impossibilitĂ© des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un gĂ©nĂ©ral russe), ont Ă©tĂ© minĂ©s dans des proportions Ă©normes (7 000 km de mines).
Les gĂ©nĂ©raux occidentaux, tout particuliĂšrement amĂ©ricains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel dĂ©sastre, mais leur arrogance a Ă©tĂ© plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de dĂ©fense russe malgrĂ© plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont Ă©tĂ© envoyĂ©s Ă  la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est dĂ©terminĂ©e Ă  en faire tuer beaucoup plus pour le mĂȘme rĂ©sultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gĂ©rer leur troupe de rĂ©serve, pour garantir l’endurance opĂ©rationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unitĂ©s avant leur usure complĂšte, mĂ©lange les recrues Ă  des troupes aguerries, mĂ©nage des pĂ©riodes de repos Ă  l’arriĂšre rĂ©guliĂšres
 et « a toujours eu un rĂ©servoir de force cohĂ©rent pour gĂ©rer les imprĂ©vus ». On est bien loin de l’idĂ©e rĂ©pandue Ă  l’ouest d’une armĂ©e russe envoyant ses troupes Ă  la boucherie sans compter  « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes Ă  la manƓuvre interarmĂ©es Ă  l’échelon du corps d’armĂ©e capables de dĂ©fier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne dĂ©fensive », conclut ce rapport confidentiel dĂ©fense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer Ă  rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrĂȘter les hostilitĂ©s ».
Un gradĂ© français rĂ©sume : « Il est clair, au vu des forces en prĂ©sence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
DeuxiĂšme constat : le conflit est entrĂ© dans une phase critique en dĂ©cembre. Selon nos sources militaires Ă  Paris, l’armĂ©e ukrainienne est passĂ©e, contrainte et forcĂ©e, en mode dĂ©fensif. « La combativitĂ© des soldats ukrainiens est profondĂ©ment affectĂ©e », mentionne un rapport prospectif sur l’annĂ©e 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitiĂ©, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentrĂ© de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes dĂ©truisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accĂ©lĂ©rer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armĂ©e ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 Ă  800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici Ă  l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront prĂšs de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire Ă  l’étĂ©.
La rupture du front Ă  Avdivka est symptomatique. Cette place forte Ă©tait censĂ©e ĂȘtre imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombĂ©e, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne dĂ©fensive et ils doivent en crĂ©er une Ă  la hĂąte, ce qui les pousse Ă  jeter dans la brĂšche leurs maigres rĂ©serves. Ces unitĂ©s, engagĂ©es Ă  terrain dĂ©couvert pour ralentir les Russes, sont rapidement dĂ©truites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arriĂšre du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unitĂ©s dans cette opĂ©ration et cela se ressentira lors de l’inĂ©vitable offensive russe du printemps ou de l’étĂ©.
En matiĂšre de matĂ©riel, la balance est tout aussi dĂ©sĂ©quilibrĂ©e : l’offensive ratĂ©e de 2023 aurait « tactiquement dĂ©truit » la moitiĂ© des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais Ă©tĂ© aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra ĂȘtre mise sur pied cette annĂ©e. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rĂŽdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu ĂȘtre envisagĂ© de renforcer l’armĂ©e ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, Ă  l’arriĂšre, permettant de libĂ©rer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradĂ©, confirmant une « montĂ©e en puissance » de militaires occidentaux en civil. MĂȘme si deux wagons amĂ©ricains, vraisemblablement utilisĂ©s par la CIA, sont accrochĂ©s au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitiĂ© la prĂ©sence de forces spĂ©ciales en Ukraine. « Outre les AmĂ©ricains, qui ont autorisĂ© le New York Times Ă  visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dĂ©ment pas la prĂ©sence de forces spĂ©ciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation
 TroisiĂšme constat : le risque de rupture russe est rĂ©el. C’est la derniĂšre leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armĂ©e française. Le 17 fĂ©vrier, Kiev a dĂ» abandonner la ville d’AvdiĂŻvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-lĂ  de bastion fortifiĂ©. « C’était Ă  la fois le cƓur et le symbole de la rĂ©sistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­AvdiĂŻvka », tirant une sĂ©rie de leçons accablantes. « Les Russes ont changĂ© leur mode opĂ©ratoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la premiĂšre fois Ă  grande Ă©chelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bĂ©tonnĂ©s de plus de 2 m. Un enfer pour les dĂ©fenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des rĂ©ducteurs de son sur les armes lĂ©gĂšres d’infanterie afin de dĂ©jouer les systĂšmes de dĂ©tection acoustique sur le terrain. « La dĂ©cision de repli des forces armĂ©es ukrainiennes a Ă©té une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudainetĂ© et son imprĂ©paration », faisant craindre que ce choix ait Ă©tĂ© « plus subi que dĂ©cidĂ© par le commandement ukrainien », Ă©voquant un possible dĂ©but de « dĂ©bandade ». « Les forces armĂ©es ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possĂšdent pas les capacitĂ©s humaines et matĂ©rielles [
] pour tenir un secteur du front qui est soumis Ă  l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien Ă  AvdiĂŻvka montre que, malgrĂ© l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rĂ©tablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste Ă  savoir ce que les Russes feront de ce succĂšs tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un Ă©branlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils Ă  « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derriĂšre AvdiĂŻvka le permet », signale ce document rĂ©cent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mĂȘmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant Ă  paraĂźtre faible quand on est fort ». Selon cette analyse, aprĂšs deux ans de guerre, les forces russes ont donc montrĂ© leur capacitĂ© Ă  « dĂ©velopper une endurance opĂ©rationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensitĂ© basĂ©e sur l’attrition continue de l’armĂ©e ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratĂ©gique nouvelle, oĂč l’armĂ©e russe semble en position de force face Ă  une armĂ©e ukrainienne Ă  bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissĂ©, Ă  envisager des renforts de troupes ? Une perspective rĂ©aliste face Ă  la situation opĂ©rationnelle du moment, qualifiĂ©e de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraĂźtre rĂ©aliste d’un strict point de vue tactique peut se rĂ©vĂ©ler irrĂ©aliste d’un point de vue stratĂ©gique et diplomatique », soupire un gradĂ© français.
Macron va nous entraĂźner dans ce dĂ©sastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN dĂ©ploiera ses unitĂ©s Ă  l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un dĂ©sastre irrĂ©parable stratĂ©giquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accĂšs Ă  la mer. C’est sĂ»rement sur cet axe que Macron dĂ©ploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thùme de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisĂ© une grossiĂšre opĂ©ration d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 — pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dĂ» suivre la juiverie occidentale, Ă  prĂ©sent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir Ă  leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut dĂ©clencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
DĂ©mocratie Participative
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jloisse · 2 years ago
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«Zelensky se dirige vers une mort prématurée. C'est la réalité.»
L’ancien officier de la CIA Larry Johnson a qualifiĂ© d’«acte de dĂ©sespoir» les rĂ©centes attaques de drones ukrainiens contre des gratte-ciels Ă  Moscou. Elles prouvent que Kiev est incapable de gagner sur le champ de bataille et par cette raison prĂ©fĂšre terroriser des civils.
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carreimperial · 1 year ago
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Les chevaux en Russie (1812) Partie 1
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Sans trop aller dans la sociologie, il y a des similitudes entre le comportement des suiveurs de matchs sportifs et les suiveurs de documentaires napoléoniens agréés par la papauté tulardienne.
En effet, il est commun d’aimer le "spectacle", et on retiendra facilement la finale, les actions offensives, les "buts" et les marqueurs. Il n’y a qu’à voir, par exemple, à quel poste "jouent" les derniers vainqueurs du "ballon d’or".
Dans les campagnes militaires, on retient aussi tout ce qui est spectaculaire, on se focalise sur les batailles, les charges de cavalerie, car ce sont elles qui captivent, culbutent les dĂ©fenses adverses et annoncent la victoire finale. Voici donc les visiteurs venus contempler les hĂ©ros placĂ©s au centre des immenses tableaux, mais aucun ne s’interrogera sur les moyens techniques utilisĂ©s par l’artiste.
Loin d’ĂȘtre sous les feux des "projecteurs", des milliers de cavaliers eurent des missions vitales comme, par exemple, transmettre les courriers sur la ligne opĂ©rationnelle
 Également, la logistique et son grand nombre de chevaux de trait indispensables pour tracter les centaines de canons, les milliers de caissons contenant trĂ©sors, imprimeries, armes, munitions, matĂ©riels divers, vivres, habits, et bagages.
Chevaux en juin 1812
L’organisation de l'ArmĂ©e sous le commandement de NapolĂ©on est bien faite. Il y a des rapports, matin et soir, des effectifs prĂ©sents et absents. Le nombre prĂ©cis de cavaliers dans chaque corps de cavalerie avant chaque "dĂ©part" est donc consultable au Service Historique de la DĂ©fense (SHD), Ă  moins que
 ["Les rapports ont Ă©trangement disparu, Monsieur" (Vous ĂȘtes trop curieux, Monsieur)].
En revanche, il est difficile d’évaluer le nombre de chevaux de selle Ă  un instant t, car les officiers pouvaient avoir entre 1 Ă  18 chevaux chacun, suivant leur grade ou leur fonction. Le SHD indique environ 107 000 chevaux de selle en juin 1812. La proportion approximĂ©e cheval/homme est d’un cheval pour quatre hommes.
Le nombre de chevaux de trait est Ă©galement difficile Ă  Ă©valuer, cela varie entre 1, 2, 4 et 6 chevaux pour chaque caisson, canon, et voiture, suivant leur poids. Le SHD indique 49 816 chevaux de trait en juin 1812.
On remarque que, durant les campagnes, rien n’est laissĂ© au hasard sur le nombre des effectifs. Il y a un Ă©quilibre des forces et une rĂšgle des pourcentages ou proportionnalitĂ©. Par exemple, les chevaux de trait reprĂ©sentent un peu moins de la moitiĂ© des chevaux de selle (45%), et il faut un peu plus de la moitiĂ© (55%) de ces chevaux de trait pour l’artillerie, 27 300 chevaux.
Chevaux Ă  Moscou
Le 29e bulletin de la Grande ArmĂ©e du 3 dĂ©cembre 1812 indique une perte de plus de 30 000 chevaux en peu de jours, avec un pic entre le 14 et le 16 novembre. Cependant, cela n’a pas empĂȘchĂ© d’avancer, de faire un combat et une bataille quelques jours aprĂšs, puis de semer les armĂ©es russes Ă  la BĂ©rĂ©zina, ce qui veut dire qu’il restait un nombre suffisant de chevaux – sans, toute l’armĂ©e française aurait Ă©tĂ© prisonniĂšre.
Essayons de trouver un nombre approximatif de chevaux durant le dĂ©but du repli Moscou-Smolensk. À Moscou, au 18 octobre 1812, l’addition des effectifs des cavaliers des corps de cavalerie et de la Garde impĂ©riale correspond Ă  10 300 hommes. L’effectif de l’armĂ©e combattante correspond Ă  105 000 hommes, mais si on ajoute la gendarmerie, le quartier gĂ©nĂ©ral, les grands parcs d’artillerie et du gĂ©nie, les Ă©quipages, les ambulances, on atteint au total 116 000 hommes.
Si on respecte la rùgle du pourcentage 1/4, on peut estimer au minimum 29 000 chevaux, ce qui correspondrait à 20 000 chevaux de selle + 9 000 chevaux de trait, dont 5 000 pour l’artillerie.
Cependant, l’addition des bouches Ă  feu (569) et des caissons d’artillerie (2070), dĂ©but octobre, est de 2639, un nombre qui semble trop important pour l’équilibre du mouvement des forces. Admettons que l’on puisse les tracter par la moyenne de 3 chevaux, cela ferait 7 917. Ces 7 917 d’artillerie par 100/55 donneraient un total de 14 394 chevaux de trait. AdditionnĂ©s aux 20 000 chevaux de selle, cela donne au maximum 35 000, un nombre plausible, compte tenu de la perte annoncĂ©e.
À Moscou, il y avait aussi 4 000 cavaliers dĂ©montĂ©s, non pas du manque de chevaux, nous l’avons constatĂ© prĂ©cĂ©demment, mais du fait que leurs chevaux pouvaient ĂȘtre plus utiles ailleurs, par exemple, pour tracter les caissons civils supplĂ©mentaires ou comme rĂ©serve en cas de pertes imprĂ©vues.
Cause des pertes
La cavalerie des corps d’armĂ©e revenant de Moscou Ă©tait encore trĂšs belle au 6 novembre 1812. Le temps passa du soleil aux nuages gris avec vent du nord, les premiers flocons commencĂšrent Ă  recouvrir les chemins, puis la tempĂ©rature chuta un peu jusqu’à -10 degrĂ©s la nuit. Rien de dramatique, mais pour atteindre la garnison de Smolensk, il restait encore deux Ă  trois jours de marche pour l’avant-garde (Ve et VIIIe corps d’armĂ©e), quatre Ă  cinq jours pour l’arriĂšre-garde (Ier et IIIe corps d’armĂ©e), 7 jours pour le IVe corps d’armĂ©e du vice-roi EugĂšne

Le verglas ralentissait l’allure, fatiguait, blessait et plusieurs centaines de chevaux mourraient chaque nuit au bivouac. Il semble que des cavaliers inexpĂ©rimentĂ©s avaient persistĂ© dans leur indiscipline et avaient nĂ©gligĂ© de ferrer Ă  glace les sabots de leurs chevaux, ce qui est la base dans cette situation.
Aussi, la logistique manquait de traĂźneaux pour tirer les canons et les caissons de munitions, de vivres et d’effets personnels. La perte gĂ©nĂ©rale des chevaux n’était pas due au froid, contrairement Ă  ce que colportent les bavards des salons parisiens, mais aux marches successives et au peu de fourrage et d’avoine Ă  certains endroits. Le cheval rĂ©siste trĂšs bien au bivouac et au froid glacial Ă  condition qu’il soit bien nourri.
Constatons, aussi, que durant un repli, les pertes Ă  un endroit de la marche ne sont pas des pertes dĂ©finitives. À l’arrivĂ©e dans une garnison, il y a un dĂ©pĂŽt de cavalerie qui recomplĂ©te les unitĂ©s. Il y a Ă©galement quelques combats et escarmouches qui permettent de rĂ©cupĂ©rer des chevaux et des caissons

Smolensk
Le sĂ©jour Ă  Smolensk du 8 au 16 novembre Ă©tait salutaire pour tous, l’essentiel Ă©tait de reposer les chevaux, de recomplĂ©ter la cavalerie grĂące aux dĂ©pĂŽts, et d’approvisionner en fourrage.
Aussi, NapolĂ©on en profita pour rĂ©organiser les troupes, en particulier la cavalerie : ordre de crĂ©er un corps actif de 6000 cavaliers en rĂ©unissant la cavalerie des cinq corps d’armĂ©e prĂ©sents Ă  Smolensk, et qui serait chargĂ© de la protection des cantonnements d’hiver - Et oui, Ă  ce moment-lĂ , il Ă©tait encore possible d’installer les quartiers d’hiver en BiĂ©lorussie, entre Vitebsk et Mohilof.
En plus, 5000 chevaux de Pologne étaient en partance pour Smolensk, et 30000 chevaux avaient été commandés au ministre des Relations extérieures Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano.
Étranges imprĂ©vus
Malheureusement, des imprĂ©vus « Ă©tranges » arrivĂšrent au mĂȘme moment :
Le ministre Maret, Ă  Vilna, avait tardĂ© Ă  faire les commandes de chevaux – 1 mois – irrĂ©parable.
Échecs des VIe, IIe et IXe corps d’armĂ©e (marĂ©chaux Gouvion Saint-Cyr, Oudinot et Victor), chargĂ©s de protĂ©ger le nord de la ligne opĂ©rationnelle, perte des villes de Polotsk et de Vitebsk avec dĂ©pĂŽts et combat perdu Ă  Czasniki
 La victoire française Ă©tait pourtant indubitable, au moins de rejeter l’armĂ©e russe de Wittgenstein au delĂ  du fleuve Dvina.
La ville de Minsk – avec dĂ©pĂŽts et 2 millions de rations – Ă©tait menacĂ©e. Les VIIe et XIIe corps d’armĂ©e (gĂ©nĂ©raux Reynier et Schwarzenberg) chargĂ©s de protĂ©ger le sud de la ligne opĂ©rationnelle, Ă©taient comme par hasard absents Ă  plusieurs jours de marche.
Perte du dépÎt de cavalerie de Gorki.
Ă  suivre...
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almanach-international · 25 days ago
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12 janvier : le deuil interdit des TurkmÚnes, la mémoire effacée de la colonisation russe
Au TukmĂ©nistan, on se remĂ©more une bataille perdue face aux Russes qui fut un vĂ©ritable dĂ©sastre et permit la colonisation du pays par la Russie. Il s’agit de la chute de la ville fortifiĂ©e de Geok-TĂ©pĂ© le 12 janvier 1881 aprĂšs 23 jours de siĂšge. Mais sa commĂ©moration est aujourd’hui interdite.
Les Russes avaient tentĂ© une premiĂšre fois, en 1879, de prendre la ville de Geok-TĂ©pĂ© (Gökdepe). Laquelle avait rĂ©sistĂ© face aux 4000 soldats du Tsar. La seconde tentative, avec 7000 hommes mieux prĂ©parĂ©s, sera la bonne mais aprĂšs un long siĂšge. L’évĂ©nement dĂ©cisif a eu lieu le 12 janvier 1881 lorsque les Russes ont creusĂ© un tunnel sous le mur de la forteresse pour y placer des explosifs qui ont fait exploser une Ă©norme partie de la structure dĂ©fensive. Les troupes russes se sont prĂ©cipitĂ©es Ă  traverser la brĂšche, tuant quelque 6 500 personnes dans la ville, puis pourchassant et tuant environ 8 000 autres pendant leur fuite. Ce qui reprĂ©sente au total 14 500 victimes sur 40 000 habitants.
Hormis l’horreur du massacre, la perte de cette ville-forteresse turkmĂšne fut une vĂ©ritable catastrophe pour les TurkmĂšnes car elle a ouvert la route aux Russes, leur permettant la prise de la ville d’Achgabat quelques jours plus tard. La Russie achevait ainsi la conquĂȘte coloniale de l’Asie centrale. Leur prĂ©sence durera plus d’un siĂšcle : jusqu’à la disparition de l’URSS en dĂ©cembre 1991.
La premiĂšre commĂ©moration a eu lieu maniĂšre spontanĂ©e en janvier 1990. Selon un rapport secret du KGB, quelque 10 000 personnes avaient rĂ©pondu Ă  l’appel des organisateurs. L'imam Ishan, petit-fils de Gurbanmyrat Ishan, l'un des dirigeants turkmĂšnes de la guerre de Geokdepe Ă©tait prĂ©sent. Sous la pression populaire, les autoritĂ©s turkmĂšnes ont ensuite fait du 12 janvier un Jour de mĂ©moire officiel (Ăœatlama gĂŒni), cĂ©lĂ©brĂ© par un jour fĂ©riĂ© au titre du deuil national permettant de dĂ©noncer un siĂšcle d’occupation russe. La derniĂšre commĂ©moration a eu lieu le 12 janvier 2014.
Cette mise en cause du colonialisme russe Ă©tait intolĂ©rable pour Poutine lequel a fait pression sur le TurkmĂ©nistan pour que la date ne soit plus commĂ©morĂ©e. En effet, en 2014, la JournĂ©e de deuil national a Ă©tĂ© dĂ©placĂ©e au 6 octobre, une date qui fait rĂ©fĂ©rence Ă  une catastrophe naturelle. Ainsi, en mĂȘlant victimes de sĂ©isme, de guerre et de massacres, on efface la mĂ©moire. Pour ne pas dĂ©plaire Ă  Moscou, le 12 janvier n’est plus un jour fĂ©riĂ© au TurkmĂ©nistan depuis 8 ans. Les TurkmĂšnes sont privĂ©s de leur mĂ©moire, comme le sont aujourd’hui les Russes sous le rĂ©gime autoritaire de Poutine. RĂ©Ă©crire l’histoire dans un sens plus avantageux pour la Russie Ă©ternelle est le chantier actuel du Kremlin qui vient justement de dissoudre l’association MĂ©morial. La Russie est, par ailleurs, en pleine reconquĂȘte de son ex-empire colonial, en tĂ©moigne son intervention au Kazakhstan, ces derniers jours, dans la droite ligne de sa politique Ă  l’égard de la CrimĂ©e, de l’Ukraine orientale ou du Caucase

La prise de la ville est datĂ©e du 24 janvier 1881 selon le calendrier julien en vigueur Ă  l’époque en Russie, soit le 12 janvier dans le calendrier grĂ©gorien. C’est la date qui avait Ă©tĂ© retenue entre 1990 et 2014 pour commĂ©morer cette bataille. Aujourd’hui, il n’y a plus de cĂ©rĂ©monie officielle mais une priĂšre est dite dans la mosquĂ©e construite sur le lieu mĂȘme de la bataille.
Un article de l'Almanach international des Ă©ditions BiblioMonde, 11 janvier 2022
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valentin10 · 3 months ago
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L’Europe peut-elle se passer du gaz que la Russie lui livre par l’Ukraine ?
C’est l’exemple mĂȘme de la « realpolitik » : pendant que la Russie et l’Ukraine s’entretuent sur le champ de bataille, Moscou paye Kiev pour acheminer en Europe un gaz qui finance le Kremlin. Mais ce contrat arrive Ă  extinction le 31 dĂ©cembre. Sera-t-il interrompu, afin que les EuropĂ©ens rĂ©duisent encore leurs flux financiers vers Moscou ? Ou remplacĂ© par un autre contrat, passant par

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gerardt10 · 4 months ago
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âšĄïž Il est impossible de vaincre la Russie sur le champ de bataille, a dĂ©clarĂ© Poutine
La Russie est prĂȘte Ă  poursuivre la lutte. " La victoire sera Ă  nous ", conclut le PrĂ©sident russe lors de la rĂ©union avec les reprĂ©sentants des mĂ©dias des BRICS Ă  Moscou.
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yespat49 · 4 months ago
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« Si vous voulez la paix, préparez-vous à la guerre » : Le nouveau commissaire européen à la défense et ex-Premier ministre lituanien estime que l'UE doit « se préparer à la guerre » avec la Russie
L’UE et la Russie pourraient s’affronter sur le champ de bataille dans moins d’une dĂ©cennie, a dĂ©clarĂ© cette semaine l’eurodĂ©putĂ© Andrius Kubilius, nouvellement nommĂ© commissaire europĂ©en Ă  la dĂ©fense et Ă  l’espace. L’ancien premier ministre lituanie, connu pour sa position intransigeante sur les relations avec Moscou, affirme que l’UE doit « se prĂ©parer Ă  la guerre », augmenter la production de

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memitodu29 · 6 months ago
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Si l'Occident veut combattre sur le champ de bataille en Ukraine, Moscou...
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carbone14 · 1 year ago
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Char lourd soviĂ©tique KV-1 de la 32e Brigade blindĂ©e dĂ©truit par le 35e RĂ©giment de panzer le 24 novembre 1941 lors de la prise de Veniov – Bataille de Moscou – OpĂ©ration Barbarossa – Novembre 1941
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lepartidelamort · 11 months ago
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« L’Ukraine a perdu
 nous avons une armĂ©e de majorettes Ă  cĂŽtĂ© des Russes » indique un rapport secret de l’armĂ©e française
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Mourir sous les ordres d’une fiotte, ça donne le vertige
L’armĂ©e française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piquĂ© le prĂ©sident au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels dĂ©fense expliquent « l’affolement » de l’ÉlysĂ©e, oĂč les chefs de partis sont invitĂ©s ce jeudi 7 mars Ă  Ă©voquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face Ă  Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoquĂ© un tollĂ© en Europe et Ă©copĂ© d’un dĂ©saveu amĂ©ricain. Plusieurs militaires français, interrogĂ©s par Marianne, disent, eux, ĂȘtre « tombĂ©s de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armĂ©e de majorettes ! », raille un haut gradĂ©, persuadĂ© que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’ÉlysĂ©e, on assume la position : « Le prĂ©sident voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimĂ©trĂ©s et calibrĂ©s ».
Au ministĂšre des ArmĂ©es, dans l’entourage de SĂ©bastien Lecornu, on dĂ©fend la parole prĂ©sidentielle : « L’état des forces en Ukraine est trĂšs prĂ©occupant. Les propos du prĂ©sident appellent Ă  un sursaut et montrent qu’on est Ă  un tournant. » Comment en est-on arrivĂ©s lĂ  ? Plusieurs rapports confidentiels dĂ©fense, que Marianne a pu consulter, Ă©voquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble dĂ©sormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries europĂ©ennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyĂ©e par du matĂ©riel occidental, allait renvoyer l’armĂ©e russe Ă  Moscou. RĂ©digĂ©s cet automne, les « retex » (retours d’expĂ©rience) de l’opĂ©ration sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisĂ©e dans la boue et le sang et ne s’est soldĂ©e par aucun gain stratĂ©gique », Ă©crit un rapport confidentiel dĂ©fense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accĂšs. En amont, la planification, imaginĂ©e Ă  Kiev et dans les Ă©tats-majors occidentaux, s’est rĂ©vĂ©lĂ©e « dĂ©sastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dĂšs que les premiĂšres lignes de dĂ©fense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait [
] Ces phases prĂ©liminaires fondamentales ont Ă©tĂ© faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en dĂ©fensif : c’est-Ă -dire la volontĂ© du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport Ă©voquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituĂ©es l’ont essentiellement Ă©tĂ© sur le plan administratif » et les formations n’ont pas durĂ© plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vĂ©tĂ©rans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont Ă©tĂ© lancĂ©s Ă  l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avĂ©rĂ©e inexpugnable ». Sans aucun appui aĂ©rien, avec du matĂ©riel occidental disparate et moins performant que l’ancien matĂ©riel soviĂ©tique (« vĂ©tuste, facile d’entretien, et apte Ă  ĂȘtre utilisĂ© en mode dĂ©gradĂ© », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bĂ©nĂ©fices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage Ă©lectronique pĂ©nalisant, cĂŽtĂ© ukrainien, l’utilisation de drones et les systĂšmes de commandement ». « L’armĂ©e russe est aujourd’hui la rĂ©fĂ©rence “tactique et technique” pour penser et mettre en Ɠuvre le mode dĂ©fensif », Ă©crit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du gĂ©nie lui ayant permis de construire des ouvrages dĂ©fensifs (« absence presque totale de ce matĂ©riel cĂŽtĂ© ukrainien, et impossibilitĂ© des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un gĂ©nĂ©ral russe), ont Ă©tĂ© minĂ©s dans des proportions Ă©normes (7 000 km de mines).
Les gĂ©nĂ©raux occidentaux, tout particuliĂšrement amĂ©ricains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel dĂ©sastre, mais leur arrogance a Ă©tĂ© plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de dĂ©fense russe malgrĂ© plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont Ă©tĂ© envoyĂ©s Ă  la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est dĂ©terminĂ©e Ă  en faire tuer beaucoup plus pour le mĂȘme rĂ©sultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gĂ©rer leur troupe de rĂ©serve, pour garantir l’endurance opĂ©rationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unitĂ©s avant leur usure complĂšte, mĂ©lange les recrues Ă  des troupes aguerries, mĂ©nage des pĂ©riodes de repos Ă  l’arriĂšre rĂ©guliĂšres
 et « a toujours eu un rĂ©servoir de force cohĂ©rent pour gĂ©rer les imprĂ©vus ». On est bien loin de l’idĂ©e rĂ©pandue Ă  l’ouest d’une armĂ©e russe envoyant ses troupes Ă  la boucherie sans compter  « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes Ă  la manƓuvre interarmĂ©es Ă  l’échelon du corps d’armĂ©e capables de dĂ©fier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne dĂ©fensive », conclut ce rapport confidentiel dĂ©fense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer Ă  rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrĂȘter les hostilitĂ©s ».
Un gradĂ© français rĂ©sume : « Il est clair, au vu des forces en prĂ©sence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
DeuxiĂšme constat : le conflit est entrĂ© dans une phase critique en dĂ©cembre. Selon nos sources militaires Ă  Paris, l’armĂ©e ukrainienne est passĂ©e, contrainte et forcĂ©e, en mode dĂ©fensif. « La combativitĂ© des soldats ukrainiens est profondĂ©ment affectĂ©e », mentionne un rapport prospectif sur l’annĂ©e 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitiĂ©, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentrĂ© de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes dĂ©truisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accĂ©lĂ©rer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armĂ©e ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 Ă  800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici Ă  l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront prĂšs de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire Ă  l’étĂ©.
La rupture du front Ă  Avdivka est symptomatique. Cette place forte Ă©tait censĂ©e ĂȘtre imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombĂ©e, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne dĂ©fensive et ils doivent en crĂ©er une Ă  la hĂąte, ce qui les pousse Ă  jeter dans la brĂšche leurs maigres rĂ©serves. Ces unitĂ©s, engagĂ©es Ă  terrain dĂ©couvert pour ralentir les Russes, sont rapidement dĂ©truites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arriĂšre du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unitĂ©s dans cette opĂ©ration et cela se ressentira lors de l’inĂ©vitable offensive russe du printemps ou de l’étĂ©.
En matiĂšre de matĂ©riel, la balance est tout aussi dĂ©sĂ©quilibrĂ©e : l’offensive ratĂ©e de 2023 aurait « tactiquement dĂ©truit » la moitiĂ© des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais Ă©tĂ© aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra ĂȘtre mise sur pied cette annĂ©e. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rĂŽdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu ĂȘtre envisagĂ© de renforcer l’armĂ©e ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, Ă  l’arriĂšre, permettant de libĂ©rer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradĂ©, confirmant une « montĂ©e en puissance » de militaires occidentaux en civil. MĂȘme si deux wagons amĂ©ricains, vraisemblablement utilisĂ©s par la CIA, sont accrochĂ©s au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitiĂ© la prĂ©sence de forces spĂ©ciales en Ukraine. « Outre les AmĂ©ricains, qui ont autorisĂ© le New York Times Ă  visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dĂ©ment pas la prĂ©sence de forces spĂ©ciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation
 TroisiĂšme constat : le risque de rupture russe est rĂ©el. C’est la derniĂšre leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armĂ©e française. Le 17 fĂ©vrier, Kiev a dĂ» abandonner la ville d’AvdiĂŻvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-lĂ  de bastion fortifiĂ©. « C’était Ă  la fois le cƓur et le symbole de la rĂ©sistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­AvdiĂŻvka », tirant une sĂ©rie de leçons accablantes. « Les Russes ont changĂ© leur mode opĂ©ratoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la premiĂšre fois Ă  grande Ă©chelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bĂ©tonnĂ©s de plus de 2 m. Un enfer pour les dĂ©fenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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Stupides goyim !
De plus, les Russes utilisent des rĂ©ducteurs de son sur les armes lĂ©gĂšres d’infanterie afin de dĂ©jouer les systĂšmes de dĂ©tection acoustique sur le terrain. « La dĂ©cision de repli des forces armĂ©es ukrainiennes a Ă©té une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudainetĂ© et son imprĂ©paration », faisant craindre que ce choix ait Ă©tĂ© « plus subi que dĂ©cidĂ© par le commandement ukrainien », Ă©voquant un possible dĂ©but de « dĂ©bandade ». « Les forces armĂ©es ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possĂšdent pas les capacitĂ©s humaines et matĂ©rielles [
] pour tenir un secteur du front qui est soumis Ă  l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien Ă  AvdiĂŻvka montre que, malgrĂ© l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rĂ©tablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste Ă  savoir ce que les Russes feront de ce succĂšs tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un Ă©branlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils Ă  « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derriĂšre AvdiĂŻvka le permet », signale ce document rĂ©cent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mĂȘmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant Ă  paraĂźtre faible quand on est fort ». Selon cette analyse, aprĂšs deux ans de guerre, les forces russes ont donc montrĂ© leur capacitĂ© Ă  « dĂ©velopper une endurance opĂ©rationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensitĂ© basĂ©e sur l’attrition continue de l’armĂ©e ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratĂ©gique nouvelle, oĂč l’armĂ©e russe semble en position de force face Ă  une armĂ©e ukrainienne Ă  bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissĂ©, Ă  envisager des renforts de troupes ? Une perspective rĂ©aliste face Ă  la situation opĂ©rationnelle du moment, qualifiĂ©e de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraĂźtre rĂ©aliste d’un strict point de vue tactique peut se rĂ©vĂ©ler irrĂ©aliste d’un point de vue stratĂ©gique et diplomatique », soupire un gradĂ© français.
Macron va nous entraĂźner dans ce dĂ©sastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN dĂ©ploiera ses unitĂ©s Ă  l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un dĂ©sastre irrĂ©parable stratĂ©giquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accĂšs Ă  la mer. C’est sĂ»rement sur cet axe que Macron dĂ©ploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thùme de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisĂ© une grossiĂšre opĂ©ration d’intoxication.
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Les Ukrainiens n’auraient jamais dĂ» suivre la juiverie occidentale, Ă  prĂ©sent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir Ă  leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut dĂ©clencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
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aurevoirmonty · 10 months ago
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Zelensky annonce une nouvelle contre-offensive, Moscou prévient: «trÚs bientÎt, le seul sujet sera la capitulation inconditionnelle»
«Je vous conseille à tous de vous y préparer à l'avance», a lancé à l'ONU Vassili Nebenzia à l'adresse des sponsors occidentaux du régime.
Le rĂ©gime entrera dans l'histoire comme un rĂ©gime terroriste, nazi, inhumain et misanthrope qui a trahi les intĂ©rĂȘts de son peuple et les a sacrifiĂ©s pour l'argent et les cadeaux occidentaux destinĂ©s Ă  Zelensky et Ă  son cercle restreint
Mis en échec sur le champ de bataille, privé (https://t.me/kompromatmedia/4557) d'aide américaine et qui ne doit sa survie qu'aux perfusions (https://t.me/kompromatmedia/4876) européennes, le régime de Kiev vient d'annoncer que l'Ukraine avait un nouveau «plan de contre-offensive».
Une maniĂšre - comme toujours - de demander davantage d'armes et de milliards Ă  ses bailleurs de fonds occidentaux.
Pour retarder au prix de quelques milliers de morts supplémentaires (https://t.me/kompromatmedia/5315) son inéluctable défaite.
«il ne fait aucun doute que la mise en Ɠuvre du nouveau plan de contre-offensive de Zelensky se soldera par un dĂ©sastre total pour l'Ukraine, la dĂ©faite finale des forces armĂ©es ukrainiennes et le dĂ©but du chemin vers la paix aux conditions russes», a commentĂ© le ministĂšre russe de la DĂ©fense.
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christophe76460 · 6 months ago
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L’Éternel m’adressa la parole en ces termes : Fils d’homme, tourne tes regards vers Gog au pays de Magog, prince suprĂȘme de MĂ©chek et de Toubal ! ProphĂ©tise contre lui et dis : Voici ce que dĂ©clare le Seigneur, l’Éternel : Je m’en prends Ă  toi, Gog, prince suprĂȘme de MĂ©chek ainsi que de Toubal (EzĂ©kiel 38:1-3).
Le mot hĂ©breu Rosch traduit par prince suprĂȘme pourrait aussi dĂ©signer un peuple, mais dans ce cas, ÉzĂ©chiel serait le seul auteur biblique Ă  le mentionner. Certains commentateurs assimilent Rosch Ă  la Russie, MĂ©chek Ă  Moscou et Toubal Ă  Tobolsk, une ville de SibĂ©rie Ă  cause d’une similaritĂ© de consonance. Ce qui est sĂ»r est que la Russie et plusieurs anciens satellites de l’URSS comme la BiĂ©lorussie, l’Ukraine, le Kazakhstan, l’AzerbaĂŻdjan ou encore l’ArmĂ©nie, l’Iran et la Turquie feront partie de cette confĂ©dĂ©ration nordique. Quand on regarde une carte du monde, on s’aperçoit que l’armĂ©e venant du grand nord devra traverser le territoire d’environ 500 km de large qui sĂ©pare les mers Noire et Caspienne et qui appartient Ă  la RĂ©publique de GĂ©orgie.
Les peuples mentionnĂ©s par ÉzĂ©chiel se trouvent dans la liste des noms de la lignĂ©e de NoĂ© que nous donne le livre de la GenĂšse. Ainsi, son fils Japhet eut pour descendants Gomer, Magog, MadeĂŻ, YavĂąn, Toubal, MĂ©chek et Tiras (GenĂšse 10:2). Parmi eux, ÉzĂ©chiel en mentionne quatre : Magog ici, et plus loin, Gomer, Toubal et MĂ©chek. L’historien juif JosĂšphe identifie Magog aux Scythes (AntiquitĂ©s juives, 1.6.1) et JĂ©rome, un PĂšre de l’Église, Ă©crit qu’ils habitaient le Caucase et les rĂ©gions proches des mers Noire et Caspienne.
Au 7e siĂšcle avant notre Ăšre, les Scythes se sont mĂȘme permis d’attaquer les Assyriens qui ont eu un mal fou Ă  les refouler. Bien plus tard, ils freinĂšrent aussi l’expansion de l’Empire perse (513-512). Ils finirent par disparaĂźtre au second siĂšcle avant notre Ăšre, mais leur ancien territoire est aujourd’hui occupĂ© par les Russes.
MĂ©chek et Toubal sont les deux peuples que les Assyriens appelaient Muschki et Tubali et qui habitaient l’est de l’Asie Mineure sur les bords de la mer Noire. ÉzĂ©chiel cite Ă©galement comme fils de Japhet, MadeĂŻ, le pĂšre des MĂšdes qui habitaient au sud de la mer Caspienne, la plus grande mer intĂ©rieure du monde et qui se trouve au nord de l’Iran. Quant Ă  Gomer, c’est de lui que sont issus les CimmĂ©riens. D’abord installĂ©s au nord du Caucase, ils en furent chassĂ©s par les Scythes et Ă  l’époque d’ÉzĂ©chiel ils avaient immigrĂ© au centre de l’Asie Mineure, la Turquie actuelle oĂč ils menaient une vie de nomades pilleurs.
Quand tous les Juifs de la diaspora seront rentrĂ©s dans leur pays (EzĂ©kiel 38:8, 12), Gog prendra la tĂȘte d’une vaste confĂ©dĂ©ration situĂ©e, littĂ©ralement, Ă  l’extrĂ©mitĂ© du septentrion, c’est-Ă -dire dans le grand nord par rapport Ă  la Palestine (EzĂ©kiel 38:6, 15; 39:2), et attaquera IsraĂ«l dans l’intention folle de le piller et de l’anĂ©antir (EzĂ©kiel 38:10-13).
Mais Gog et ses alliĂ©s ne se doutent pas que c’est Dieu lui-mĂȘme (EzĂ©kiel 38:16, 17; 39:1-2) qui les amĂšne au lieu d’un grand rĂšglement de compte, dont la deuxiĂšme Ă©tape et le dĂ©nouement final sont appelĂ©s HarmaguĂ©don. Ce mot dĂ©signe le champ de bataille prophĂ©tique oĂč les nations du monde entier se rassembleront Ă  la fin des sept annĂ©es de tribulation pour se faire la guerre et s’autodĂ©truire. Les dĂ©tails nous sont donnĂ©s dans les livres de Daniel et de l’Apocalypse.
HarmaguĂ©don se trouve dans une plaine Ă  cĂŽtĂ© de la ville antique de Meguiddo (aujourd’hui Tell el Mutsellim) situĂ©e Ă  environ 40 km au sud-est du port de HaĂŻfa en IsraĂ«l. Au dĂ©but du 20e siĂšcle, on y a retrouvĂ© une vingtaine de villes superposĂ©es qui formaient une colline (un tell) de 23 m de haut et couvrait une superficie de 6 hectares.
Dans les Écritures et par extension, le terme Meguiddo s’applique souvent Ă  toute la Palestine. Il faut dire que cette rĂ©gion est d’une importance stratĂ©gique facile Ă  comprendre puisqu’elle est, d’une part, la plaque tournante des continents : Asie, Afrique, Europe, et d’autre part, en sandwich entre la MĂ©diterranĂ©e et le Canal de Suez au sud. De plus, la Palestine est situĂ©e Ă  proximitĂ© des immenses rĂ©serves de pĂ©trole du Moyen-Orient et comprend la mer Morte qui paraĂźt-il contient de vastes quantitĂ©s de toutes sortes de minĂ©raux.
L’invasion de la grande confĂ©dĂ©ration venue de l’extrĂ©mitĂ© du septentrion se fera juste avant le milieu des sept annĂ©es de tribulation. Et dans les prophĂ©ties de Daniel, nous lisons que l’Antichrist (sera) alarmĂ© par des nouvelles venues de l’Orient et du Nord (du septentrion) (Daniel 11:44), c’est-Ă -dire qu’il sera Ă©branlĂ© par cette attaque-surprise de Gog. Mais ce dernier et toutes ses armĂ©es seront dĂ©truits par l’Éternel lui-mĂȘme. Ce sera, comme je l’ai dĂ©jĂ  dit, la phase initiale d’HarmaguĂ©don qui embrasera la Palestine et qui aura lieu Ă  la fin de ces sept annĂ©es. Cette grande bataille prĂ©cĂ©dera (comparez EzĂ©kiel 39:25-29) la dĂ©livrance finale d’IsraĂ«l et surtout sa conversion Ă  JĂ©sus-Christ, son Messie (comparez Zacharie 12:9-10).
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ouyander · 9 months ago
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DĂ©cĂšs du prĂ©sident iranien Ebrahim RaĂŻssi dans un accident d’hĂ©licoptĂšre. Quinze heures aprĂšs son “atterrissage brutal” dans une rĂ©gion isolĂ©e du nord-ouest de l’Iran, l’hĂ©licoptĂšre qui transportait le prĂ©sident iranien Ebrahim RaĂŻssi a Ă©tĂ© retrouvĂ© lundi matin par les Ă©quipes de secours, qui n’y ont trouvĂ© “aucun signe de vie”, rapporte CNN, citant les agences officielles iraniennes. TĂŽt lundi matin, son dĂ©cĂšs, ainsi que celui du ministre iranien des Affaires Ă©trangĂšres et de sept autres personnes, a Ă©tĂ© annoncĂ© sur la tĂ©lĂ©vision d’Etat, Ă©crit Iran International dans un live. DĂ©cĂšs du prĂ©sident iranien Ebrahim RaĂŻssi dans un accident d’hĂ©licoptĂšre Mort Du PrĂ©sident Iranien Ebrahim RaĂŻssi Les FunĂ©railles Doivent DĂ©buter Mardi 1 Selon une source citĂ©e par l’agence Reuters, l’appareil serait “complĂštement calcinĂ©â€. Les informations Ă©taient rares depuis la disparition de l’hĂ©licoptĂšre, qui ramenait le prĂ©sident de la cĂ©rĂ©monie d’inauguration d’un barrage dans la province iranienne de l’AzerbaĂŻdjan orientale, dans le nord-ouest du pays. Des dizaines d’équipes de secours avaient Ă©tĂ© dĂ©pĂȘchĂ©es sur le terrain, oĂč les recherches se poursuivaient sans relĂąche, compliquĂ©es par des conditions mĂ©tĂ©orologiques difficiles, “sous la pluie et dans le brouillard”, raconte El PaĂ­s. Mohammad Mokhber, le premier vice-prĂ©sident qui va remplacer Ebrahim RaĂŻssi →A lire aussi DĂ©marrage Du DĂ©bat D’Orientation BudgĂ©taire de l’annĂ©e 2022 Lundi matin tĂŽt, l’agence officielle iranienne Irna avait assurĂ© que “les coordonnĂ©es gĂ©ographiques prĂ©cises” de l’emplacement de l’hĂ©licoptĂšre avaient Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©es, grĂące notamment aux donnĂ©es d’un drone turc, et que “les Ă©quipes de secours se dirigeaient vers le lieu potentiel de l’accident”. Recherches difficiles Mohammad Mokhber, le premier vice-prĂ©sident qui va remplacer Ebrahim RaĂŻssi 1 “La tĂ©lĂ©vision d’État a diffusĂ© [dimanche] en continu des images de fidĂšles priant au sanctuaire de l’Imam Reza dans la ville de Mashhad, la ville natale de RaĂŻssi, ainsi qu’à Qom et dans d’autres endroits”, relĂšve Il Corriere della Sera. De nombreux pays, de la Turquie Ă  Moscou, en passant par la plupart des pays du Golfe, ont envoyĂ© des messages de soutien Ă  TĂ©hĂ©ran et ont offert leur aide, comme l’Union europĂ©enne (UE), qui avait activĂ© son service de cartographie CopernicusEMS. Washington avait prĂ©cisĂ© pour sa part “suivre de prĂšs les informations”. “Bataille fĂ©roce pour le pouvoir” DĂ©cĂšs du prĂ©sident iranien Ebrahim RaĂŻssi dans un accident d’hĂ©licoptĂšre Mais avant mĂȘme que l’épave de l’hĂ©licoptĂšre ne soit retrouvĂ©e, la presse internationale, Ă  l’instar The Economist, envisageait la mort “de plus en plus probable” du dirigeant ultraconservateur et rivalisait d’analyses sur un potentiel “aprĂšs-RaĂŻssi”. Sur le mĂȘme sujet : Entre Iraniens et Saoudiens, c’est toujours une “profonde suspicion” qui domine Les lĂ©gislatives en Iran marquĂ©es par une abstention record, “un acte de protestation”
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almanach-international · 3 months ago
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19 novembre : la Russie célÚbre son artillerie
L’artillerie russe a fonctionnĂ© Ă  plein rĂ©gime ces derniers jours pour piloter l’Ukraine. Mais, c’est un hasard du calendrier si cette journĂ©e officielle coĂŻncide avec le 1000e jour de la violente offensive de Moscou contre Kiev. C’est sans doute aussi un hasard du calendrier si le prĂ©sident amĂ©ricain vient finalement de cĂ©der Ă  une demande faite par Kiev depuis des mois : pouvoir utiliser les missiles ATACMS, qui peuvent atteindre une cible Ă  prĂšs de 300 kilomĂštres. L’objectif est de repousser la contre-attaque russe, appuyĂ©e par des soldats nord-corĂ©ens, dans la rĂ©gion russe de Koursk, conquise en aoĂ»t. Missiles et artillerie jouent toujours un rĂŽle dĂ©terminant dans les conflits anachroniques tels que celui que Moscou a engagĂ© contre Kiev en 2022.
Cette JournĂ©e des forces de missiles et de l'artillerie (Đ”Đ”ĐœŃŒ раĐșĐ”Ń‚ĐœŃ‹Ń… ĐČĐŸĐčсĐș Đž артОллДрОО) a Ă©tĂ© hĂ©ritĂ©e de l’URSS dont la Russie a rĂ©cupĂ©rĂ© tous les symboles. La date de cette fĂȘte trĂšs martiale a Ă©tĂ© choisie en rĂ©fĂ©rence au 19 novembre 1942, jour oĂč l'ArmĂ©e rouge avait lancĂ© sa contre-attaque (l’opĂ©ration Uranus) lors de la bataille de Stalingrad contre les Allemands. L'artillerie de soviĂ©tique avait Ă©tĂ© dĂ©cisive dans sa rĂ©ussite. Cette fĂȘte instaurĂ©e en 1944, porte son nom actuel depuis 1964.
Chaque annĂ©e, le 19 novembre, Ă  Moscou, se dĂ©roule une cĂ©rĂ©monie solennelle de dĂ©pĂŽt de fleurs et de couronnes sur la Tombe du Soldat inconnu. La veille de la fĂȘte, il est Ă©galement de coutume que les vĂ©tĂ©rans et les chefs militaires des forces de missiles et de l'artillerie viennent dĂ©poser des fleurs et des couronnes devant les urnes funĂ©raires des marĂ©chaux en chef de l'artillerie NikolaĂŻ Voronov et Mitrofan Nedelin prĂšs du mur du Kremlin. 
La BiĂ©lorussie, le Kirghizistan et l’OuzbĂ©kistan ont conservĂ© la date du 19 novembre. En revanche le Kazakhstan, pour marquer sa distance avec Moscou, l’a dĂ©placĂ© au 4 octobre et l’Ukraine au 4 dĂ©cembre.
Un article de l'Almanach international des Ă©ditions BiblioMonde, 18 novembre 2024
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