#barbelés
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carbone14 · 8 months ago
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Deux jeunes anglaises – Côte sud de l'Angleterre – 1940's
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matyere · 1 year ago
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rechab · 5 months ago
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Un silence assourdissant - ( RC )
photo Nick Brandt – de sa série animaux pétrifiés par le sel Aux fosses creusées de l’ombre,aux vents acides en tourbillons,aux tenailles implacables de glace,nous verrons les animaux figés sur place,la tête de cendre d’un chevalle torse enchevêtré de barbelés,le spectre debout du flamant immobilele soldat crucifié dans les ronces,la solitude silencieuse des champs de mortoù le sel fossilise les…
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werewolf240moon · 4 months ago
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+ Zodiac + The Taurus by VanRah @poizongirl
Barbelé from NeverenD
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baheuldey · 1 year ago
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Piqué, 2023, stylo à bille sur papier, 29,7 x 21 cm
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333mots · 10 months ago
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laulo821 · 1 year ago
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being too far in the selfship is making a choker with (safe) barbed-wire, the thing that inspired his last name, so it's like he has a hold of my neck at all times
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dixvinsblog · 2 years ago
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Printemps des poètes - " Frontières " - Brigitte Parraud - " Tout seul contre le monde. "
En tous cas, dans cet instant, il n’était pasà côté de sa vie.En plein dedans, jusqu’au cou.L’image finale de sa déchéance, il l’avait fuie.Au bout du monde s’il le fallait.A vrai dire il acceptait l’idée de sa fin,mais pas sa fin en tant qu’être humain.Une souffrance de chaque instant l’avait tenuéveillé et pantelant,songeant à tout ce qu’il aurait dû faire,et qu’il n’avait pas fait.Voilà ce qui…
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transparentgentlemenmarker · 3 months ago
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Nous n'avons pas pour vocation d'accueillir toute la misère du monde. Nous avons pour vocation de vivre séparés du monde par des murs. Nous avons pour vocation de vivre entourés de barbelés de militaires de douaniers. Nous avons pour vocation de bouffer du sucre, par tonnes, nous avons pour vocation de détruire des forêts entières pour produire des milliards de rouleaux de papier hygiénique, nous avons pour vocation de déambuler dans des rayonnages saturés et de chérir des objets manufacturés. Nous avons pour vocation de couler des bateaux de migrants avant qu'ils ne gênent le tourisme. Nous avons pour vocation la rigidité le refus de l'accident de nous enduire de protection solaire avant de bouffer des glaces de nous empêtrer dans la Toile en gobant toujours les mêmes idioties, nous avons vocation à compter les espèces disparues, nous avons vocation à dépouiller les vulnérables, nous avons vocation à ingérer des hectolitres de soda. Nous avons vocation au mépris, mépris de tout ce qui est gratuit, de tout ce qui est donné, de la beauté, du sacré, mépris du travail d'autrui, du consentement d'autrui, de la vie d'autrui... Vernon Subutex, Tome 3 2017 de Virginie Despentes
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howi99 · 3 months ago
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Le légionnaire 3
Jean: *looking as the grimms are approaching* Today would be a fucking day to die. *Turning to Nicholas, seeing him smoking in a pipe* Where did you find zat?
Nicholas: *coughing* Well, i wanted to try it once, at least... *Trying again* Ark! Schmeckt wie scheiße!
Jean: *laughing*
Nicholas: *looking at Jean* Hey, what's so funny? Looking at you, you probably don't even know what a woman's touch feels like!
Jean: *perplexed* Vell, yes? I'm 16.
Nicholas: ... Vhen did you-
Jean: *shrug* Since i'm 14. But i mostly was patching people up.
Nicholas: *looking at the other members of Jean's platoon* When i look at all of you, i think your friend Wilfried might be the oldest.
Jean: *nodding* He's zhe only one over 25. Since everyone else decided to kill themselves or go die against your bayonets.
Frédéric: *screaming* Caporal! The grimms are beginning to climb la colline! Les barbelés do slow them down, and we are ready to fire.
Jean: *nod* Then let's give them some vacuen hospitality. *Firing his revolver on the grimms* FIRE!
*Everyone began firing the grimm hord*
Jean: *screaming to be heard* DO NOT LET A SINGLE ONE ALIVE! FOR BOTH LE ROI AND ZHE KEISER WOULD SPIT ON OUR GRAVE IF WE FAILED TO VORK TOGETHER AGAINST HUMANITY GREATEST ENEMY! *Cutting down a beowolf with the officer's sword he took from the lieutenant cadaver* WHILE ZHEY TURN TO DUST AS ZHEY DIE, WE ALL BLEED THE SAME! FOR TODAY, WE ARE NO LONGER ENEMIES FROM DIFFERENT NATIONS! FOR TODAY, WE SHALL GIVE. THEM. HELL!!!
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ekman · 1 month ago
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– “Prends-moi la main, Martial. Je sens qu’elle arrive... Elle est déjà là.” Émile était devenu pâle comme un enfant fiévreux, le teint cireux et le regard de moins en moins mobile. Martial l’avait soulagé de son bardas, puis défait les boutons de sa gabardine. Derrière le tissu percé, son gilet et sa chemise étaient rendus poisseux d’un sang épais. Il respirait très mal, mais ça ne s’épanchait plus.
– “Ça va aller mon Émile, n’aies pas peur.” À genoux dans ce trou de mortier, hors de vue des tireurs allemands, Martial était perdu. Une minute plus tôt, Émile, qui cheminait devant lui, s’était effondré comme un sac de linge, pile quand la détonation d’un Mauser avait claqué sèchement au loin, là-bas vers l’Est, du côté des barbelés fridolins. Plaqué au sol, il avait tout juste eu le temps de le prendre par les brêlages pour le tirer dans un trou d’obus. Que faire si loin des lignes ? Pas la peine de gueuler au secours. À un mètre de profondeur, derrière la terre retournée, personne n’entendrait. Et pas de fusée dans la musette. “Pas la peine, y se passe plus rien ici”, lui avait asséné l’adjudant Bollard avant le départ vers l’avant-poste du Lieutenant Dutray, avec des instructions écrites et un sac de ravitaillement. Mais pourquoi un de ces crétins de Boche avait fait feu ? Des jours que la pétarade avait cessé ! Merde, pourquoi ?! Merde, merde et re-merde !
– “Martial, t’es toujours là hein ?” Martial savait que sa voix allait flancher. Sa vue était entrain de se troubler. C’est que dans sa grosse pogne si froide de boue et de pluie, il sentait la fine main d’Émile plus froide encore. Il se racla la gorge. “T’inquiète, j’ai envoyé une fusée, les secours vont arriver. Ça va aller vite, ils ne tirent plus en face.” La tête d’Émile glissait doucement sur le côté. Martial la redressa et se pencha sur son jeune copain de tranchée. “Merde, Émile, tu vas pas lâcher maintenant. Six mois qu’on traine ensemble ici à déjouer tous les mauvais sorts. Partout on raconte que ça va se terminer, tout ce tintouin, ce merdier. Si c’est pas aujourd’hui, ce sera demain, ou la semaine prochaine, mais guère plus je te dis...” Émile esquissa un sourire. “C’est bête ça, alors. On devait rentrer ensemble pour que je te présente ma sœur.” Il y eut un temps. “Elle est jolie, tu sais, la petite Charlotte.” Martial sentait les larmes creuser leur chemin le long de ses joues, inondant chaque contour de sa barbe sale. ”Oui, elle est gironde ta frangine, mon Émile.” Sa respiration s’arrêta d’un coup. Martial eut le réflexe de secouer le tirailleur de seconde classe Émile Gandin, mortellement blessé d’une balle au poumon.
– “Tu dois pas partir, Émile ! J’entends les gars de la Santé qui arrivent, dis donc ! Respire, bon sang !” Émile eut une inspiration brève et un peu de lumière revint dans son regard. “... et mes parents, Martial. Je suis sûr que tu plairas à mon père,. C’est un dur à cuire, comme toi…”
– “Arrête de causer. Repose-toi, là. Fais pas d’effort, respire bien.” Martial plongea son regard dans celui d’Émile, 22 ans. Il s’imprégna de l’image de son jeune visage, si affreusement pâle. 
Il vit assez nettement l’instant où le dernier souffle de vie passa entre les lèvres du mourant, faisant gonfler quelques petites bulles de salive rosâtres. Un très léger voile apparut à la surface des yeux d’Émile, quelque chose de ténu mais de définitif pourtant. Le signe qu’il venait de partir, de quitter ce trou de terre molle qui mêlait la chair des soldats, l’acier des obus et toutes les larmes de toutes les douleurs. C’était le 10 novembre 1918, quelque part dans le Nord de la France.
J.-M. M.
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mbc47 · 21 days ago
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Sauvez un éléphant coincé sur un câble barbelé.
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iranondeaira · 3 months ago
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« Et de fait, rien ne rend peut-être plus palpable l’énorme régression dans laquelle est entrée l’humanité depuis la première guerre mondiale que les restrictions apportées à la liberté de mouvement des hommes et à leurs libertés. Avant 1914, la terre appartenait à tous ses habitants. Chacun allait où il voulait et y restait aussi longtemps qu’il voulait. Il n’y avait pas de permissions, pas d’autorisations, et cela m’amuse toujours de voir l’étonnement des jeunes lorsque je leur raconte qu’avant 1914, je voyageais en Inde et en Amérique sans avoir de passeport et même n’en avais jamais vu aucun. On montait dans le train et on en descendait sans rien demander, sans qu’on vous demandât rien, on n’avait pas à remplir un seul de ces centaines de papiers qu’on réclame aujourd’hui. Il n’y avait ni permis, ni visas, ni tracasseries ; ces mêmes frontières qui, avec leurs douaniers, leur police, leurs postes de gendarmerie, sont aujourd’hui transformées en réseau de barbelés en raison de la méfiance pathologique de tous envers tous, n’étaient rien d’autre que des lignes symboliques qu’on traversait avec autant d’insouciance que le méridien de Greenwich. C’est seulement après la guerre que le monde se vit bouleversé par le national-socialisme, et le premier phénomène qu’engendra cette épidémie spirituelle de notre siècle fut la xénophobie : la haine ou du moins la peur de l’autre. On se défendait partout contre l’étranger, partout on l’excluait. Toutes les humiliations qu’autrefois on avait inventées exclusivement contre les criminels, on les infligeait maintenant à tous les voyageurs avant et pendant le voyage. Il fallait se faire photographier de droite et de gauche, de profil et de face, les cheveux coupés assez court pour que l’oreille fût visible, il fallait donner ses empreintes digitales, d’abord le pouce seul, puis les dix doigts, il fallait en plus présenter des certificats : de santé, de vaccination, de police, de bonne vie et mœurs, des recommandations, il fallait pouvoir présenter des invitations et des adresses de parents, il fallait fournir des garanties morales et financières, remplir des formulaires et les signer en trois, quatre exemplaires, et s’il manquait ne fût-ce qu’une feuille de ce tas de paperasses, on était perdu. »
- Stefan Zweig, Le monde d'hier, souvenir d'un européen
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kvetchlandia · 1 year ago
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Robert Doisneau Amour et barbelés (Love and Barbed Wire), Occupied Paris 1944
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baheuldey · 1 year ago
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52 (Éros et Tétanos IV), 2023, stylo à bille sur papier, 29,7 x 21 cm
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bulles-de-bd · 8 months ago
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Lucky Luke - T29 - Des Barbelés sur la Prairie
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