#avis Juste une mauvaise action
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Partageons mon rendez-vous lectures #4-2024 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. Relire Linley et Havers avec Juste une mauvaise action d’Elizabeth George Juste une mauvaise action d’Elizabeth George – Editions Pocket En lecture, une Masse Critique de Babelio, L’égorgeur des bas-fonds d’Emmanuel Dufour L’égorgeur des bas-fonds Emmanuel Dufour tous les livres sur Babelio.com Présentation de l’éditeur : Joseph Philippe…
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Le juste veille au bien-être de ses bêtes, mais le cœur des méchants est cruel envers elles (Proverbes 12:10).
Plusieurs commandements de la loi de Moïse montrent que Dieu se soucie des animaux (Exode 20:10; 23:12; Deutéronome 22:6-7; 25:4). Le juste manifeste de la compassion non seulement pour les gens, mais aussi pour les bêtes.
Quand enfant, j’allais chez mes grands-parents qui vivaient en milieu rural, je voyais parfois des cultivateurs frapper violemment leurs vaches ou chevaux. Je me souviens que je me méfiais d’eux et m’écartais de leur route. Ceux qui sont cruels envers les animaux le sont également envers les autres ; les deux vont de pair.
Certains chiens sont capables de sentir si quelqu’un a peur. Eh bien, ils discernent aussi le caractère des gens. Ils vous reniflent et savent instinctivement si entre vos mains ils seraient bien traités ou pas.
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Celui qui travaille sa terre aura du pain en abondance, mais celui qui s’engage dans une course frénétique après des chimères est dépourvu de sens (Proverbes 12:11).
(Proverbes 28:19 ; comparez Proverbes 14:23; 27:18)
Pendant des millénaires, l’agriculture et l’élevage ont été les moyens les plus sûrs de subvenir à ses besoins. Avec l’ère industrielle, les sphères d’activité ont évolué, mais c’est le même principe : il faut travailler et ne pas dilapider son temps.
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Le méchant convoite le coup de filet des hommes mauvais, mais la racine des justes donne du fruit (Proverbes 12:12).
La justice est la seule valeur qui permette de donner du fruit qui soit agréé par Dieu. Les malfrats sont des parasites qui au lieu de créer des richesses, pillent celles des autres. Comme une tare en appelle une autre, ils se jalousent entre eux et de temps en temps, ils s’entre-tuent.
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Le péché des lèvres est un piège pernicieux, mais le juste échappe à ces difficultés. Par ses paroles, on peut recueillir du bien en abondance, et l’on reçoit le salaire de ses œuvres (Proverbes 12:13-14).
La langue exerce un pouvoir qui peut être bénéfique ou malfaisant et les paroles produisent le même effet qu’une action bonne ou mauvaise. La langue utilisée à mauvais escient est un piège parce que tôt ou tard, le coupable sera découvert.
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L’insensé pense toujours qu’il fait bien, mais le sage écoute les avis des autres. L’insensé manifeste immédiatement son irritation, mais l’homme avisé sait ravaler un affront (Proverbes 12:15-16).
Celui qui est stupide croit qu’il a toujours raison et s’il est contredit, il part au quart de tour sans songer que son emportement aura des conséquences : il va se couvrir de ridicule, produire une joie maligne chez l’offenseur ou même déclencher une rixe. Un sage fait preuve de maîtrise de soi. Même s’il n’est pas d’accord, il tourne sa langue 7 fois dans sa bouche avant de parler. Pendant ce temps, il écoute et réfléchit.
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Test : Anomaly Agent
Je vous donne mon avis après avoir terminé Anomaly Agent, un titre action-plateforme développé par Phew Phew Games et Naisu. Le soft est disponible sur PC, consoles Xbox et Nintendo Switch.
« Test réalisé sur nihotaku.fr »
« Test réalisé avec une version presse Xbox mise à disposition par l’éditeur »
Un agent pas comme les autres
Dans ce titre vous incarnez l’agent 70 avec sa belle cravate et son costard blanc, un homme au style 70’s qui travaille pour l’organisation « TDAY » qui traque les anomalies spatio-temporelles.
Notre homme a beau être sapé dans un style retro, le titre dépeint un univers cyberpunk avec des voitures volantes et de la synthwave à gogo. L’agent est sur sa dernière mission avant de recevoir une promotion mais va tomber dans une boucle temporelle dont il va devoir se sortir.
Retro style
On est en face d’une production 2D tout en pixel art avec de jolis artworks présentant les personnages. Les animations de notre héros sont propres et ça se manie comme un charme.
Les joutes sont intenses et demanderont au joueur de maîtriser un gameplay plutôt pointu qui va s’enrichir progressivement. Le gameplay du titre mêle donc plateforme et phase de combat façon beat’em up classe. Le souci vient d’un gameplay trop riche arrivé en milieu de jeu, si tant est qu’on en oublie certains combos de début de jeu. Il est possible d’upgrader notre agent via récupération d’argent et l’exhaustivité est de mise.
En effet, notre personnage maîtrise aussi bien le corps à corps que les armes à feu et on se retrouve donc avec pléthore d’armes. Améliorer l’agent 70 vous permettra de sortir des mouvements classes dignes des films du genre. Des coffres sont aussi disséminés sur votre chemin renfermant argent et booster de santé.
Cependant, il est vrai que les développeurs ont proposé beaucoup de combos et que les joueurs peu accoutumé au genre s’y perdront.
Des choix et des fins
Le titre propose aussi de nombreux dialogues et l’humour est bien présent, à commencer par notre agent un-peu déboussolé par la situation et qui nous sort des punchlines bien trouvé.
D’ailleurs, l’histoire part dans tout les sens mais se tient au final et nous immerge dans cette ambiance particulière. Nous aurons donc des choix à effectuer qui nous rapporterons des humeurs, bonne ou mauvaise permettant là encore d’être échangé dans le magasin d’upgrade. Plusieurs fins également et aussi plusieurs modes de difficultés.
Sans oublier un mode « rogue-lite » bien pensé et qui permet d’allonger le tout une fois la trame terminée. J’ai personnellement mis cinq heures à en voir le bout, en commençant en normal puis passant en facile comme je commençais à bloquer. D’ailleurs un new game plus est aussi de la partie pour récupérer toutes vos améliorations de votre partie précédente.
Un excellent rythme
Le level design est soigné alternant entre baston et galipette. Les décors changent avec métro, gratte-ciels et boite de nuit. Les situations varient toujours permettant de ne jamais s’ennuyer.
J’ai adoré les phases où il fallait sauter dans des cerceaux qui nous propulsent pour progresser. Sans oublier cette énorme main qui m’a coursé dans le métro. Les bosses sont assez nombreux et exigeant d’ailleurs. La difficulté est au rendez-vous et va de paire avec ce gameplay parfois trop complexe pour les non initiés au genre.
Malgré des défauts j’ai vraiment passé un super moment avec cette synthwave de qualité.
Conclusion : 8/10
Pour un premier titre Phew Phew Games s’en sort avec les honneurs, c’est beau, marrant, original et l'expéience de jeu est solide. Toutefois il ne faudrait pas oublier qu’un gameplay trop complexe couplé à une difficulté exigeante pourra en rebuter certains voulant juste profiter de l’ambiance et de l’histoire.
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Merci beaucoup pour la réponse !
Ah mais oui ! Où avais-je la tête ? C'est vrai qu'elle existe ! Enfin, on se souviendrait plus d'elle si elle ne mourrait pas au bout de deux minutes en se résumant à la pompom girl d'El qui lui sert d'alibi "Vous pouvez monter dans la société ! On a besoin de vous ! (comme chair à canon et seulement si vous m'idolâtrer mais chut, c'est un secret de polichinelle)"
Plus sérieusement aussi, aucune idée si la rédemption de Miklan vient de l'un ou l'autre. Avec toute la bonne foi du monde, j'ai envie de dire que l'auteur voulait sincèrement dire que même sans emblème, les gens peuvent obtenir des postes élevés MAIS, avec l'histoire de Matthias et le fait qu'une intervention d'Ingrid précise qu'elle voyait souvent Sylvain avec des bleus et blessé quand il était petit pile après le recrutement de Miklan - ce qui confirme ses abus en-dehors des tentatives de meurtre -, la méfiance est de mise aussi à mon avis.
Je veux dire... la seule justification qu'on nous sort pour dire pourquoi Matthias laissait faire Miklan sans tenter de l'arrêter, c'est qu'il est le fils de son premier amour morte dans le frigo et donc, qu'il ne voulait rien dire à son fils préféré et que Sylvain est juste né parce qu'il avait besoin d'un héritier (ce qui donne raison au moment où il se pose des questions sur le fait que c'est de sa faute si son frère a mal tourné vu que littéralement, Miklan aurait eu un emblème et hériter, Matthias ne se serait pas remarier, Sylvain ne se serait pas né et Miklan aurait eu tout ce qu'il voulait), le tout en lui crachant dessus sur ses objectifs d'avoir une paix durable avec Sreng comme on le voie dans leur paralogue (Matthias a ses raisons compréhensibles dans le scénario mais bon, c'est tout de même Rodrigue qui doit aller lui dire de parler correctement à son fils et de l'écouter)... pas la meilleure justification du monde quoi... c'est quand même dans le fond une histoire d'une victime d'abus (Sylvain) qui doit pardonner à son bourreau (Miklan) et celui qui a fermé les yeux pendant des années (Matthias), le tout sans rien montrer à l'écran du pourquoi il leur pardonne et alors que Sylvain a déjà un passif d'accuser son emblème et lui-même d'être responsable des travers de son frère... ce jeu à un problème pour dire que la personne qui fait des mauvaises actions est responsable de ses mauvaises actions et que les autres vont lui en tenir rigueur...
En plus, comme vous dites, ça renvoie une image assez sale du Royaume vu que bon, soit c'est vraiment la dèche et qu'on prend tout le monde pour combattre, tant pis pour le passif, soit...
Honnêtement, si on avait laissé Sylvain être en colère et souligner à Dimitri que son idée pue même en-dehors de lui, que Miklan a fait beaucoup de victimes et que d'autres personnes sont en désaccord avec son intégration dans l'armée à une place aussi importante (genre Ashe qui pourrait dire que même s'il a fait des choses illégales dans le passé, il ne s'est jamais abaissé à faire souffrir les gens gratuitement et ne comprend pas comment Miklan a pu oser faire des choses pareils, ou un PNJ qui se demande si Matthias est intervenu pour obtenir cette place pour Miklan car, c'est connu qu'il est son fils préféré), ça aurait pu mieux passer. L'idée de faire une rédemption à Miklan resterait toujours aussi puante mais au moins, on n'efface pas ce qu'il a fait �� Sylvain et aux autres, Sylvain (qui pourrait être la voix de ses victimes invisibles) arrive à se rendre compte que son frère est le seul responsable de ses mauvaises actions, et tout le monde pourrait remettre cette action en question (là où il n'y a que Félix qui fait ouvertement remarqué à Dimitri que ça pue, et un peu Ingrid qui le dit sur le côté). Bref, qu'on n'oublie pas l'histoire des Gautier et de Miklan alors qu'elle était assez marquante et le principal fondement du personnage de Sylvain.
Et ça pourrait être une bonne idée de dire que c'est tout un groupe de criminel qui serait dans ce bataillon ! Evidemment, il serait tous bien encadré par des officiers qui sont connus pour être inflexible avec les criminels, et ça reste tout de même assez limite l'idée de mettre tous les pires bandits du Royaume au même endroit vu qu'en nombre, il risque d'être plus incontrôlables que des bataillons bien organisés et disciplinés et de reproduire leurs mauvais comportements, mais dans ce qu'on montrait de l'histoire, cela pourrait rendre la rédemption de Miklan plus digeste si on le montrait évoluer petit à petit et rester un simple soldat et que personne n'oublie ce qu'il a fait. Il pourrait toujours mourir à Arianrhod mais, ça pourrait mieux passer si on a vu son évolution plutôt que dire "Bonjour ! Miklan est général maintenant parce que raison, Sylvain le pardonne car il se pense surement toujours responsable de la chute de son frère, et on a oublié tout ce qu'il a fait, et il meurt en héros ! Pourquoi ? Parce qu'on a un sérieux problème pour excuser les agresseurs et ceux qui les laissent faire dans ce jeu ! Bisous !" Et ce serait bien que Gilbert aussi donne son avis là-dessus vu que comme Miklan, il n'a pas d'emblème mais, n'est pas devenu une ordure comme lui et a pu grimper dans la hiérarchie jusqu'à être le maître d'arme de la famille royale sur deux générations.
Comme tu dis, il aurait fallu mettre en avant que c'est un quidam qui veut se racheter mais, quitte à le faire, il aurait mieux fallu que ce soit vraiment un quidam anonyme (genre, un ancien membre de la troupe de Chaise qu'on aurait vu au début, aurait survécu à Byleth, puis mal tourné quand la troupe est morte, serait devenu brigand pour survivre pendant l'ellipse mais, il voudrait se racheter de son passé de crime vu qu'il a l'occasion de sortir de la criminalité en vivant honnêtement ?), pas Miklan vu qu'il est trop rattaché à toute l'histoire de Sylvain et de Gautier alors, tout le monde fait forcément le lien avec ce qu'il a fait, surtout avec l'histoire de Matthias en prime qui n'arrange rien.
@lilias42 replied to your post “@dimiclaudeblaigan replied to your post “About...”:
1 Même AG se tire une balle dans le pied avec Miklan vu que bon, Dimitri préfère faire devenir général Miklan qui est un ancien noble malgré le fait qu'il soit un brigand sadique qui pille et tue pour le fun, ravisseur de femme et fratricide et persécuteur d'enfant avéré tout ��a parce qu'il n'a pas hérité de Matthias (alors que Matthias le préfère à Sylvain parce que femme dans le frigo et ne fait rien pour protéger son cadet)
2 plutôt qu'un roturier x s'étant illustré au combat dans son armée (il aurait aussi pu choisir un ancien brigand mais en disant qu'il l'était pour manger, pas pour tout brûler par caprice) Pour quelqu’un qui veut donner une meilleure place aux roturiers, ça la fiche assez mal
Mais non, l'histoire du roturier qui transcende sa condition tellement il est badass c'est la route de Dedel ça! Et apparemment, c'est la backstory de Ladislava, mais elle meurt avant qu'on puisse dire ouf!
Plus sérieusement, je ne sais pas si l'axe voulu c'était le "même sans emblème un quidam (oui il est noble et donc à eu au minimum une bonne éducation dans ces domaines alors ce n'est pas vraiment in quidam) peut devenir général" ou le "seconde chance pour tous : même si vous avez poutré des randoms, essayé de tuer des bébés et fait des bisous non consentis à des femmes, vous pouvez vous racheter!".
Parce que bon, le coup du "mais Sylvain a dit qu'il était ok avec ça" c'est certes gentil pour lui, mais perso, ça renvoie un image plutôt moche du Royaume, si on offre des portes de sortie à des criminels comme ça parce qu'on est en temps de guerre et qu'on a besoin de bras/têtes. Dimitri a aussi demandé aux paysans abusés et aux femmes séduites si elles étaient d'accord avec son plan? C'est quoi ce message, la peine de Miklan est commuée en "il devient général" même s'il est censé être surveillé et peut être exécuté à la moindre incartade (comme n'importe quel autre général qui voudrait faire des "incartades" similaires à ce qu'il avait fait en tant que bandit)?
Encore à la limite si on nous disait qu'il n'y avait pas que Miklan qui a bénéficié de cette "opportunité" mais tout son gang de losers, pourquoi pas - il n'y aurait pas que lui qui bénéficierait de cette "seconde chance" mais aussi les bandits quelconques qui l'accompagnaient pour effacer ce doute et dire à tout le monde, ancien noble ou bandit quelconque, qu'ils peuvent se racheter en défendant le pays, et pas seulement offrir cette opportunité à Miklan parce qu'il est le frère de Sylvain et le fils de Matthias...
Au final, il meurt en héros (pauvre Ladislava, tout le monde s'en fout de sa mort!) donc Dimitri avait fait le bon choix et Miklan a bien saisi l'opportunité pour essayer de se racheter, même si j'aurais quand même préféré voir Dimiri organiser une escouade de gens quelconques, dont aurait fait partie Miklan en tant que soldat (et pas en tant que général) comme "punition" au lieu d'être exécuté, avec, je ne sais pas, entre plusieurs chapitres l'escouade des gens quelconques qui félicite Miklan pour ses actions/rôles et d'autres personnes qui se lamentent sur ses choix passés, préférant mettre ses talents à l'usage de vendetta personnelle contre, euh, le monde? au lieu de faire quelque chose d'utile et de devenir chevalier ou seigneur de son frère - à la limite qu'il soit promu au rang de chef d'escouade si le premier meurt à cause d'une bête démoniaque - pour qu'il finisse comme il le fait dans le jeu, à tenter de défendre Arianrhod.
Peut-être avec une oraison de la part de Gilbert (certes c'est son grand frère qui a un emblème!) - rappelant que si la possession d'emblème est accordée par la Déesse, c'est à chacun que revient de faire le choix d'être une personne qui fait quelque chose de bien de sa vie, ou pas.
En gros, de faire en sorte que l'accent soit moins mis sur Miklan frère de Sylvain et ancien membre de la maison Gautier, mais plus sur Miklan, un quidam qui veut se racheter.
#dame randomnameless#les billets des autres#on est d'accord sur le fait que cette pirouette autour de “Sylvain est ok” sonne très faux et pue#ça fait juste “victime qui pardonne son bourreau sans que le bourreau ne fasse quoi que ce soit pour se faire pardonner !”#et c'est cruel mais bon à la guerre comme à la guerre donc- au pire- autant avoir la Suicide Squad version Faerghus#c'est surement à cause de mes propres biais mais bon ça aurait pu être tout de même mieux gérer#ça vient surement de ma propre interprétation où Sylvain arrive à se remettre de sa famille toxique en comprenant que non#ce n'est pas de sa faute si son frère est un connard- son père aussi et qu'il a le droit d'être en colère contre eux#et qu'il a le droit d'avoir ses propres objectifs notamment avec Sreng et les emblèmes#le tout en arrivant à grandir en les virant de Gautier pour devenir un seigneur libéré de leurs influences toxiques#(et sa relation avec sa mère qu'elle va plus loin que juste les disputes fréquentes avec Matthias- tu m'étonnes vu ce qu'il fait... pas...)#Je demande pas à ce qu'il soit à moitié sreng- mais au moins qu'on le laisse en colère contre son frère et son père...#et qu'on n'efface pas le passif de Miklan d'un coup de baguette magique.#Bref que les actions passées des persos aient des conséquences sur le présent.
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C'est quoi qui t'as déplu (dans la meute) ???
(moi aussi y'a des trucs qui m'ont déplu)
j'ai tendance a prendre les trucs trop au sérieux (ou trop littéralement) et a trop aimer le drama alors faut prendre ça avec des pincettes
(attention ça va spoiler) (et c'est plus long que prévu alors je met un cut )
Le fait que henry utilise son casque pour regarder dans la tête de renard, et que ce dernier soit juste cool avec ça, ce moment du livre ma semblé un peu rushed ou maladroit? C'est quand même une sacrée violation de son intimités, et même si plus tard ils font un moment marrant ou le visiteur apprend qu'Henry a vu sa première fois, c'est rien comparé à ce a quoi je m'attendais, mais c'est aussi pile le moment ou ils commencent un nouvel arc, ils vont enfin rentrer en action et battre leurs ennemis, alors vu le format du livre ça aurait fait trainer le tout en longueur si il y avait eu une autre dispute entre Henry et le Visiteur?
Au final je me dis que la dispute du début aurait pu être mise a ce moment là plutôt, vu que cette première dispute était sur un malentendu et un manque de communication, moins nécessaire a mes yeux. (BUT WHAT DO I KNOW)
Mais en meme temps c'est bien montré depuis le debut que Renard est un gros menteur et qu'il a zero comunication skills, et lui et Henry sont trop débiles pour réellement régler leurs problèmes comme il faut.
au final je suis très mitigée parce que je suis pas sur d'avoir une bonne réflexion, et si j'ai juste trop l’habitude que des histoires se déroulent autrement, au point ou ça me perturbe (mais genre ça me perturbe vraiment, genre force instoppable vs objet unbougable (mon esprit VS le canon) quand les evenements arrivent d'une manière créative et inattendue??
Et si je considère que ce soucis viens juste de moi qui suis trop littéral, alors je pense que je peux voir l'histoire autrement, et me dire que c'est logique que renard réagisse comme ça,(aussi frustrant que ça puisse être pour moi qui serait absolument révoltée qu'on s'infiltre dans ma tête)) et que c'est quand même une série qui est un peu légère (même si elle a des sujet lourd et des scènes très émotionnelles en vrai (qu'elle gère super bien d'ailleurs)) alors aborder ce sujet la avec serieusité ce serait mal placé dans le contexte?
Je ne sais pas!!!!! au final j'ai juste envie de cogner le visiteur de pas être capable de communiquer et de jouer sur les mots et la mauvaise fois constamment (imagine having a blorbo with healthy coping mechanism)
je suis curieuse de lire d'autres avis, j'ai peut être juste mal compris quelque chose et ça fausse mon résonnement complétement! lol
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🔮 THE STORY 🔮
Sci-fi is like dream, aside from stories in this classification utilize logical arrangement to explain the universe that it requires place in. It for the most part incorporates or is focused on the assumed impacts or repercussions of PCs or machines; travel through space, time or imaginary worlds; outsider living things; hereditary designing; or other such things. The science or innovation utilized may or probably won’t be completely explained on; stories whose logical components are sensibly point by point, well-informed and viewed as generally conceivable given current information and innovation are regularly known as hard sci-fi. Writing that objectives posses, criminal associations that give a degree of association, and assets that help a lot bigger and more specialized criminal exchanges than an individual criminal could accomplish. Criminals will be the subject of a few motion pictures, especially from the period somewhere in the range of 1930 and 1960. A restoration of criminal sort films happened since the 1990s with the blast of hip-jump culture. Dissimilar to the sooner hoodlum films, the more current movies share comparative components to the more established movies yet is more in a hip-bounce metropolitan setting. An experience story is around a hero who excursions to epic or removed spots to perform something. It could have a considerable number of other classification factors included inside it, since it is an open type. The hero incorporates a mission and faces hindrances to get to their objective. Additionally, experience stories as a rule incorporate obscure settings and characters with valued properties or highlights.
At first proposed as a classification by the makers of the pretending game Children of daylight, dieselpunk alludes to fiction propelled by mid-century mash stories, predicated on the style of the interbellum period through World War II (c. 1920–45). Like steampunk however especially observed as a the ascent of oil power and technocratic discernment, fusing neo-noir factors and sharing subjects more clearly with cyberpunk than steampunk. Despite the fact that the striking quality of dieselpunk as a classification isn’t totally uncontested, portions which range from the retro-advanced film Sky Captain and the World of Tomorrow to the 2001 Activision computer game Return to Castle Wolfenstein have been recommended as quintessential dieselpunk works of fiction. A style when an entertainer acts before a live crowd, talking straightforwardly to them. The entertainer is generally alluded to as a comic, professional comedian, professional comic or simply a hold up. In stand-up parody the entertainer ordinarily discusses a relentless progression of amusing stories, short jokes called “pieces”, and jokes, which comprise what’s regularly called a discourse, routine or act. Some professional comics use props, music or sorcery stunts to improve their demonstrations. Stand-up satire is regularly acted in parody clubs, bars, neo-vaudevilles, schools, and theaters. Outside of live execution, stand-up is typically circulated monetarily by means of TV, DVD, and the web. like customary activity; instead of utilizing hand drawn pictures, stop movement films are made with little puppets or different articles which have their image taken regularly over a grouping of little developments to make liveliness outlines. Models are The Nightmare Before Christmas, Coraline, and Corpse Bride.
🔮 COPYRIGHT CONTENT 🔮
Copyright is a type of intellectual property that gives its owner the exclusive right to make copies of a creative work, usually for a limited time.[1][2][3][4][5] The creative work may be in a literary, artistic, educational, or musical form. Copyright is intended to protect the original expression of an idea in the form of a creative work, but not the idea itsDemon Slayer the Movie: Mugen Train.[6][7][8] A copyright is subject to limitations based on public interest considerations, such as the fair use doctrine in the United States.
Some jurisdictions require “fixing” copyrighted works in a tangible form. It is often shared among multiple authors, each of whom holds a set of rights to use or license the work, and who are commonly referred to as rights holders.[citation needed][9][10][11][12] These rights frequently include reproduction, control over derivative works, distribution, public performance, and moral rights such as attribution.[13]
Copyrights can be granted by public law and are in that case considered “territorial rights”. This means that copyrights granted by the law of a certain state, do not extend beyond the territory of that specific jurisdiction. Copyrights of this type vary by country; many countries, and sometimes a large group of countries, have made agreements with other countries on procedures applicable when works “cross” national borders or national rights are inconsistent.[14]
Typically, the public law duration of a copyright expires 50 to 100 years after the creator dies, depending on the jurisdiction. Some countries require certain copyright formalities[5] to establishing copyright, others recognize copyright in any completed work, without a formal registration.
It is widely believed that copyrights are a must to foster cultural diversity and creativity. However, Parc argues that contrary to prevailing beliefs, imitation and copying do not restrict cultural creativity or diversity but in fact support them further. This argument has been supported by many examples such as Millet and Van Gogh, Picasso, Manet, and Monet, etc.[15]
🔮 ADAPTATION 🔮
Sarah Paulson is my top choice, yet this film isn’t her best. I trusted that months for this will come out and I’m left asking why I was so energized. The trailer parted with everything. You knew the entire story before it even began. There was practically zero character improvement and everything just felt like it was 0–100 with no pacing at all. Likewise, the cosmetics office for Sarah’s last look-the hellfire would you say you were folks on when you thought of this? I really snickered when I saw her. It was an alright film. One that you’d be pissed on the off chance that you burned through cash on. Nothing new, normal, worn out acting. Additionally, no one realizes the proper behavior an asthma assault. This film had so many plot openings that it seemed like a parody. The mother can simply take an infant from the clinic? She harms her little girl for quite a long time and no specialist actually sees this during her regular visits? How did she manage the postal carrier’s vehicle? No one minded the postal carrier was absent? For what reason did the girl never get one of the numerous sharp or gruff articles around her and hit her mother? The mother leaves all her significant reports in a container sitting out and marked? For what reason would she tie up her girl’s wheel seat and not her girl? This is the means by which the entire film goes. The main redeemable nature of the film was Sarah Paulson’s very frightening acting. Likewise, this story has been done so often. I would not burn through my time watching this. Run is unsurprising and not extraordinary. The acting is phenomenal, while the story is fair. The story makes a magnificent showing of being exciting, yet it chiefly doesn’t go anyplace. I knew all that planned to happen despite the fact that I knew nothing. Nonetheless, There was one scene I appreciated where Clare says, “you need me.” The acting was only exceptional in that particular scene. In general, it’s a one time watch that you’ll most likely fail to remember. This is another film on Hulu by Aneesh Chaganty (and co-composed by Sev Ohanian), following up their realistic presentation Searching (2018) with a spine chiller including a mother and her 17-year-old little girl brought into the world with a few confusions (arrhythmia, hemochromatosis, asthma, diabetes, and most effectively loss of motion).
I will say that it’s conceivable this film is superior to I preferred it, yet in the event that so it would be for its coordinating and acting, and less so about the composition. I felt like there were openings all over the place, and maybe an excess of is tossed at us too early for us to appropriately think about the characters and their circumstance. This sort of film has been done previously, absent a lot of new added to the table short the wheelchair perspective. There were a ton of components set up for what might have given a more grounded finishing conveyance and punch, yet the greater part of those beats were one-note and spent prior in the film as opposed to associating a solid inward weaving as Searching had the option to do. I went in visually impaired, and it’s possible better that I did given that the trailer is fairly uncovering. I don’t think it had a sufficiently high roof in any case to overshadow any wild absence of desires I previously had. My solitary desire was in the possession of the makers, and the most saving grace this film will probably have on crowds is I expectation they become mindful of Searching and see it sooner or later… which is the thing that I expectation the greater part of all of you can detract from this. That was my #1 film of 2018, and Run will tumble to the wayside as fairly convincing yet totally forgettable. The story and pre-assembled relationship just needed more squeeze once the credits rolled. This film was average, best case scenario. Try not to accept individuals giving it 8 or 9. The plot has been seen ordinarily, it was excessively unreasonable, and the closure failed. They attempted to showcase it as a loathsomeness/spine chiller however nothing about it is exciting. It’s a dramatization completely. I will say however, the entertainers did astounding with what they were given. Sarah Paulson was her standard sDemon Slayer the Movie: Mugen Train, great, not honor commendable. Be that as it may, Kiera Allen truly captured everyone’s attention. She made the film (which delayed for what seemed like 2 hours) watchable. In the event that you appreciated The Act or have nothing else to watch, give it a go. What’s the point of messing with this poop. It resembles a low lease endeavor at a spine chiller yet you definitely know the closure. The faltering endeavors at tension are more irritating than anything. It’s a terrible lifetime film to be straightforward. Furthermore, I like lifetime motion pictures! It’s additionally excessively coordinated, the music is exhausted and the acting isn’t incredible.
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Les 13 leçons retenues de Libérez votre cerveau, d’Idriss Aberkane
Après lecture de ce livre, voici les 13 leçons que j’aimerais partager :
1 - Duolingo est une super application d'apprentissage de langue
... que j'utilise désormais tous les jours.
2 - « Tout ce qui vous entoure et que vous appelez la vie a été fabriqué par des gens qui ne sont pas plus intelligents que vous, et vous pouvez le changer, vous pouvez l’influencer, vous pouvez construire vos propres objets que d’autres personnes utiliseront »
Cette citation de Steeve Jobs a été une véritable révélation pour moi.
Beaucoup de pression que je me mettais auparavant dans mon travail, pour satisfaire mes collègues et mes employeurs, dans ma vie familiale pour satisfaire mes parents et grands-parents, dans ma vie amicale, pour me conformer et être acceptée... tout cela a volé en éclat.
Tout à coup je me suis libérée d'un tas de croyances limitantes, que j'avais déjà repérées mais pas réussi à évacuer : avoir un bon salaire, tomber amoureuse, construire une famille, ne pas faire de vague, ne pas briller, plaire c'est mal, aimer la mode c’est irresponsable...
A un débat de famille qui commençait par "Mais l'Etat devrait..." ça m'a soudain frappé, il n'y a pas de personnalité "Etat", plus de roi, ni de "l'Etat c'est moi" personne à accuser ou à décapiter, juste une masse de personnes qui attendent un sauveur providentiel qui ne vient pas. Il n'y a que vous, nous, nos rêves et les choix que nous faisons.
Alors je me suis sentie forte et pleine de pouvoir, je me suis sentie capable de créer la vie de mes rêves. Mes envies, mes besoins et mes dégouts me sont apparus très clairement. Et une question : pourquoi attendre qu'on m'apporte ce que je veux quand je peux le créer ?
3 - A quiconque voudrait exceller, voilà mon conseil : ne JAMAIS rester à sa place
Pour moi qui déteste rester en place, la monotonie et le quotidien, c'est également une grande révélation. Enfin je m’y autorise : je refuse de rester à ma place.
J'ai décidé de partir à la découverte de mes envies, d'explorer de nouvelles cultures, de nouveaux hobbies... J'ai décidé de partir à l'assaut de mes rêves, de faire confiance à mon instinct.
4 - L'expérience réussie est collective
Face à une difficulté, je sollicite désormais les personnes autour de moi, non pas pour leur avis, mais pour leur expérience : qu'ont-elles fait ? qu'ont-elles décidé ? quelles ont été les conséquences bonnes et mauvaises ?
Apprendre des expériences des autres, c'est avancer plus vite car on ne reproduit pas les mêmes erreurs, ça pousse à l'inventivité, à essayer de faire autrement... partager c'est pousser au génie.
5 - Nous percevons que ce que notre cerveau décide que nous pouvons percevoir
Cette leçon est aussi une façon d'amener d'autres personnes à donner leur avis.
Même si l'on sait que seul son propre avis compte et pour rappel je ne demande pas aux autres de décider pour moi.
Mais sur le coup d'une forte émotion, d’un grand plaisir par exemple quand j'ai trouvé un nouvel appartement, j'ai demandé une contre visite avec une personne neutre, je lui ai demandé un avis objectif, sans que je lui dise quoi que ce soit.
Mon imagination m'emballe, elle me protège, mais elle m’a déjà joué des tours. Accepter la parole de l’autre c’est reconnaitre qu’il faut faire preuve d'humilité : nous savons, certes, mais nous ne savons pas tout et partager le savoir de l'expérience (et pas celui de la peur), c'est construire une échelle pour soi et pour les autres.
6 - Protégez vos nerfs, vous êtes les seuls à avoir des droits sur eux
J'ai beaucoup entendu "protège ton temps", «protège-toi», "tu donnes trop aux autres". Surtout qu'en temps qu'empathe, j'ai besoin d'un temps très important de récupération après un contact.
Cet élément a surtout été un rappel pour moi, mais entendre, ou lire en l'occurrence, que nous sommes seuls maîtres de nous-même et que nous ne devons rien à personne est toujours un rappel extrêmement important et positif.
Et en ces temps de Covid, je suis reconnaissante d'être aidée par le couvre-feu.
7 - Apprendre impliquer d'aimer
Faire ce que l'on aime vous fait avancer à pas de géant. Je le savais, mais je ne pensais pas que je pouvais influer sur cet élément. C'est désormais le cas, je prends le temps d'écouter mon cœur avant de faire quelque chose, de me demander "de quoi ai-je envie".
Cela vaut dans ma vie personnelle mais aussi dans mon travail. Car même si la plupart des gens retiennent que le mot travail vient de "torture", le plaisir n'est pas anti-professionnel. J'ai mis cette tactique en place presque immédiatement après l'avoir lue.
Devinez qui est trois fois plus efficace qu'avant ? Devinez qui va apprendre l'aquarelle ce soir ? Devinez qui est plus énergique quand elle rentre à la maison ?
8 - L'impuissance apprise
Saviez-vous que la petite voix qui vous dit que vous n'êtes pas capable ou que vous ne pouvez pas n'est pas née avec vous ?
L'impuissance nous est apprise par nos pairs, par l'école et par la société. Le regard des autres et leur jugement peuvent vous amener à renoncer à quelque chose sur une simple croyance. Une croyance qui va être nourrie par des échecs provoqués, des pièges que l'on vous tend dès le début de l'apprentissage.
J'ai donc réappris deux éléments :
N'écoutez personne, seulement vos envies;
Trouvez des méthodes qui vous parlent et qui vous donnent envie, même (surtout) si elles ne sont pas conventionnelles.
9 - Préserve-moi de juger quiconque avant d'avoir parcouru une lieue dans ses mocassins
Ceux qui ont essayé la pratique de la parole impeccable et la méthode PENSE le savent, casser le jugement automatique que l'on porte sur autrui nécessite beaucoup d'énergie : pour en prendre conscience d’abord, pour arrêter de le faire ensuite.
Mais cette petite phrase fait vibrer mes valeurs d'empathie et de force. Elle frappe par sa simplicité et son efficacité. Elle est devenue une de mes réponses préférées.
10 - Tiers temps
Voici un conseil datant de la Renaissance qui est en train de me sauver la vie :
1/3 de votre temps éveillé doit être passé avec vous-même
1/3 avec quelqu'un qui peut vous enseigner quelque chose
1/3 avec quelqu'un à qui vous pouvez enseigner à votre tour.
11 - L'économie est basée sur la frustration
J'aime bien les pubs. Petite, je ne voulais jamais qu'on zappe... et j'ai toujours trouvé qu'une publicité en disait plus sur la société qu'un débat politique.
La plupart des publicités m'ont aidé à nourrir mon imagination, à me sensibiliser à des musiques, à des styles, à des esthétiques. Elles m'aident à faire le tri dans ce qui me plait et ne me plait pas, dans ce qui me fait vibrer ou pas.
Quand une pub de voiture montre un surfeur, je me dis "ça fait longtemps que je n'ai pas surfé, j'ai envie de m'y remettre" mais je n'accorde aucun intérêt à la voiture.
Et bien il semblerait que ce n'est pas le cas de tout le monde, quand les gens voient la pub ils achètent la voiture pour "acheter" ce que représente le surfeur dans leur tête. Cela, évidement, ne satisfait pas du tout le véritable besoin, résultat : ils sont frustrés.
Or, une économie de la frustration, mène à de la violence, la violence mène à la catastrophe sociale. Oui, c’est le livre qui le dit, mais repensez donc à la fois où vous vous êtes refusé un muffin parce que vous étiez au régime et au fait que vous étiez irritable toute la journée après.
Imaginez que votre vie soit une succession de muffins refusés et d'achat de galettes de riz. Voilà. Il faut réaliser vos rêves maintenant.
12 - Faites preuve de (neuro) sagesse
Quand on vous demande votre avis sur une situation, un évènement ou une action et que vous ne savez pas quoi répondre, voici trois questions qui vous permettront de bien appréhender les choses :
Qui sert qui ?
Qui contraint qui ?
Qui meurt pour qui ?
Nous manquons souvent de recul, de concepts, d'idées, de rêves ou de raison d'être, alors apportez votre conscience. N'importe quelle machine peut manipuler des données, mais nous, nous sommes ce qui leur donnent un sens.
13 - 8 questions pour vous aider à prendre conscience de votre cerveau
Quelles sont les limites de ma cognition ?
Que peut-elle appréhender en une fois ou séquentiellement ?
Quelles séquences sont les plus efficaces ?
Quels angles de ma pensée sont douloureux ou pénibles ?
Quels sont les angles pénibles pour mon interlocuteur ?
Quelles positions sont le plus à même d’exaspérer son égo, son conditionnement et ses biais ?
A quel point ma pensée est ossifiée, pourquoi suis-je incapable de tel mouvement ?
Aurais-je pu avoir ces mouvements dans d’autres circonstances ou sont-ils intrinsèquement inaccessibles à mon esprit ?
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CHAPITRE TROIS
La violence est venue progressivement. Il me l’a fait crescendo : des menaces ; les objets ; ses objets ; mes objets ; ses mains ; mes mains ; mon corps, mon visage, ma dignité, puis mon humanité.
D’abord les menaces,
En premier il ne me menaçait pas directement, il me menaçait en me parlant de son passé. Pendant nos disputes, ou après il me parlait des violences qu’il avait pu avoir durant ses relations précédentes, ou envers ses proches. Il m’a avoué avoir giflé son ex, à cette confession j’avais bêtement répondu que je n’étais pas elle, qu’il n’allait jamais me faire une telle chose. Il me l’avait pourtant dit clairement qu’un jour il allait me le faire, que je le pousserai à bout, et que par ma faute, il me giflerait sûrement. En prévention à ce destin, il m’a quitté plusieurs fois, je n’aurai jamais dû revenir, il a eu raison finalement. Mais toutes les fois où il m’a quitté pour éviter qu’un jour il ne me frappe, je revenais, le suppliant même parfois de me reprendre. J’étais convaincue qu’avec moi les choses allaient être différentes, je pensais être celle qui lui fallait, et j’ai même rejeté la faute sur les autres. Si il avait été violent, c’était à cause d’elle, ou des autres, mais jamais à cause de lui, jamais.
Puis il a commencé à menacer mes proches, pas à eux directement, à moi. Quand je faisais quelques choses qu’il n’appréciait pas, il s’imaginait que c’était à cause de l’influence d’une personne de mon entourage. Son rituel était simple; premièrement me dire des compliments d’un de mes proches puis de le rabaisser malgré tous ses bons côtés. En second il m’expliquait en quoi cette personne était mauvaise pour moi. Il arrivait à me convaincre que certaines de mes actions était influencées par celle-ci, et bien sûr que c’était contre lui, donc contre nous, contre mon bien être. Et enfin pour s’assurer que je ne recommence plus et que je m’éloigne de mes proches. Il me disait qu’il n’aimerait pas avoir à régler ses comptes avec un de mes proches. Car il était impulsif, et colérique malgré lui. Comme je vous l’ai dit plus tôt, il suggérait toujours, il n’a jamais menacé directement mes proches, sauf une fois, une semaine après l’avoir quitté, il a menacé un de mes amis directement.
Pour vous donner un exemple, sa cible préférée était un de mes meilleurs amis, qui est gay. Oui, mon ex est homophobe, mais en privé, publiquement il ne l’avouera jamais, et ne ferait rien d’homophobe. J’ai toujours été admirative du travail d’Alexander McQueen, il fait partie des artistes qui ont influencés mes choix professionnels. L’année où je me suis mise avec lui, Alexander McQueen a habillé Lady Gaga pour son clip Bad Romance. Vous le savez tous Lady Gaga est une figure du mouvement LGBT, j’ai toujours aimé ce qu’elle faisait. Alors McQueen et Gaga ensemble j’étais aux anges! Suite à ça, et booster par mon meilleur ami. J’ai osé acheter une paire de chaussure de Jeffrey Campbell, le modèle Nightwalk, les chaussures à talons sans talons ! Merveilleux ! J’ai décidé de les porter au lycée, c’était assez drôle. Avec les conseils de mon ami, j’ai porté ça de façon décontracté: un jean déchiré, un peu loose, un petit pull simple et mes Nightwalk à paillettes. J’étais à l’aise, jusqu’au soir où j’ai dû rendre des comptes. J’avais osé m’habiller de cette façon. Pas de fleurs, pas de baskets, j’avais commis une atrocité. Il m’a rabaissé, il a rabaissé mon ami, et les homosexuels en général. Il a rabaissé les artistes qui m’inspiraient. Puis m’a menacée d’aller rabaisser directement mon ami, et de le ridiculiser. À l’époque, cet ami la n’assumait pas entièrement son homosexualité. Je devais le protéger, la noirceur de l’homme que j’avais choisi ne devait pas atteindre mes proches. Je me devais d’être le mur entre lui et mes proches. Pour ça j’ai dû m’éloigner d’eux et l’écouter lui. J’étais incapable de le quitter, il m’avait eue, mais il ne les aura pas.
Un jour il m’a menacée de me faire dormir dehors si je fêtais Halloween avec mes amis. Je ne l’ai pas cru mais il l’a fait. Je me suis retrouvée à deux heures du matin, dehors. J’avais seize ans, ou dix-sept ans peut être. Je n’avais pas de permis, pas de moyen de transport en commun pour rentrer chez moi la nuit. Uber n’existait pas et je n’avais pas d’argent non plus, et il était impossible d’appeler mes proches pour leur demander de l’aide. Ils ne savaient pas ce qui se passait dans ma vie. J’ai donc dormi dehors, avec mon sac d’affaires qu’il m’avait jeté à la figure. Je n’ai pas vraiment dormi, j’ai passé la nuit adossée contre un mur dans son quartier, à réfléchir pourquoi j’étais dans cette situation et comment j’allais faire pour m’excuser. Oui, je pensais sincèrement que je méritais ça, que j’avais dépassé les limites et que je lui devais des excuses.
Le lendemain, j’ai attendu qu’il sorte de chez lui, il ne répondait pas à mes messages. Quand enfin je l’ai vu, il était normal, comme si il ne m’avait pas mis à la porte en pleine nuit. Il semblait calme, mais il y avait toujours la noirceur dans ses yeux. Il m’a juste dit en rigolant que j’étais minable, et pitoyable. Puis il partit faire sa vie, après des heures à pleurer et sans réponse de sa part, je décidais de retourner enfin chez moi.
Ensuite les objets,
Les premiers objets qu’il a cassé, étaient des objets sans importance. Il donnait un coup de pied dans une poubelle, jetait violemment un truc trouvé au sol. Il faisait ça juste pour appuyer sa colère, je ne pensais pas que cela devait m’alarmer. Je ne savais pas qu’il s’agissait d’un signal, signifiant qu’il allait devenir violent. Je ne peux pas vous citer d’exemple précis, ces actes étaient tellement banales pour moi à l’époque. Ce n’est qu’avec du recul que j’ai pu me rendre compte de leurs importances.
Puis ses objets,
Après les objets, il s’en est pris à ses objets. Le premier qu’il a cassé sous mes yeux par excès de colère envers moi, c’était son téléphone.
Pour vous remettre dans le contexte, il venait de me prendre en photo avec sa chemise bleue, pendant que j’étais en train de mettre ma petite culotte. Puis il a ajouté cette photo à un album. J’ai demandé à la voir, je ne voulais pas de photo de moi dénudée dans son téléphone, et en me la montrant je vis juste à côté de ma photo, son ex. Elle était dans la même situation que moi, elle portait elle aussi sa chemise, et elle aussi n’avait rien en dessous.
En vous racontant cette histoire je me rends compte à quel point cela est tordu, photographier deux filles différentes, dans la même situation, avec la même chemise. De plus que c’est lui qui m’avait demandé de la mettre et de me placer à cet endroit. Mais ce n’est pas cet évènement tordu qui m’a fait m’énerver. C’est le fait qu’il garde des photographies dénudées de son ex. Je ne comprenais pas pourquoi, et je me sentais trahie. Le pire est au moment où j’ai arraché son téléphone de ses mains, j’ai vu une autre photo de cette ex, encore nue, se prenant en selfie dans le reflet du miroir. Le détail qui m’a choqué est qu’elle portait des extensions de cheveux. Les extensions ! Ces fameuses extensions qu’elle avait mises il y a une semaine. Elle lui avait envoyé une photo d’elle nue il y a une semaine. En réponse à mes accusations, il m’expliqua, qu’elle n’avait pas confiance en elle. Elle voulait un avis sur sa nouvelle coiffure, et elle sortait de la douche quand elle lui en a parlé. Ceci devait m'expliquer le nude de son ex, et j’y ai cru. J’ai culpabilisé d’avoir insulté cette fille. Je me suis dit que si elle était mal dans sa peau et que de faire ça avec mon mec lui donnait confiance en elle, alors qu’elle le fasse. Je savais que peu importe les photos, il était amoureux de moi. Je lui ai donc présenté mes excuses pour avoir fouillé dans son téléphone. Mais c’était trop tard, la noirceur dans ses yeux était là. Et pour que je ne recommence plus, il a donné plusieurs coups de poings dans son téléphone. Il disait que comme ça il n’y aurait plus de photos, plus de conversations avec son ex, et plus de contact avec moi une fois que je partirai de chez lui.
Après cette dispute, c’est devenu régulier. À chaque dispute il cassait quelque chose qui lui appartenait en m’accusant. Il me disait que je le poussais à bout et qu’il fallait bien qu’il passe sa colère sur quelque chose.
*
Je me rends bien compte de la stupidité avec laquelle je pensais. Je vous explique les choses comme je les ai pensé sur le moment, j’aimerais que vous vous rendiez compte à quel point mon cerveau était formaté à aller dans son sens. Il arrivait toujours à inverser les situations, et à la fin je me sentais coupable. Dans ce cas, je me suis excusée d’avoir mal pris le fait que son ex lui envoie des nudes. C’est aberrant mais c’est la vérité !
*
Enfin mes objets,
Il a commencé à casser mes objets quand on a emménagé ensemble. En même temps j’avais tout acheté, tout meublé donc tout était à moi, mais il a volontairement cassé des objets de valeurs sentimentales. Tous mes cadres, mes étagères sont mortes durant ce combat. Je vais juste vous parler des deux choses qui m’ont le plus marquées. Le soir de la Saint-Valentin, j’avais espoir qu’il m’invite au restaurant. Comme il ne l’a pas fait, c’est moi qui lui proposa. Je n’aurai pas dû, ma proposition créa un débat sur cette fête commerciale qui, selon lui, salissait l’image de l’amour. À la fin, étant à bout car finalement mon point de vue n’avait pas changé. Il m’insulta, s’énerva, frappa dans le mur, m’insulta encore, frappa ailleurs, et continua ainsi un moment. J’ai fini par en pleurer, le suppliant d’arrêter de tout casser. Pour échapper à ma Saint-Valentin atroce, j’ai mis mon casque Marshall, qu’il m’avait offert, et j’ai écouté la musique dans mon lit. Lui était au salon, en train de se calmer. Puis il vint me chercher, et on retourna ensemble au salon pour parler. Je voyais bien que sa discussion n’avait pas pour but d’apaiser les tensions. Je sanglotais en tenant mon casque. Et dans un excès de colère il le cassa, en me disant qu’il détruirait tout ce qui nous lie. Il brisa aussi mes deux énormes verres à vin que j’avais acheté pour nos soirées, il détruisit mes tableaux avec mes peintures que je lui avais offertes. C’était un portrait de nous deux, et un tableau sur ma vision de l’amour. Puis il partit dormir, fier de ses actes, et moi j’ai dû tout nettoyer et dormir sur le canapé. Il avait pris soin de fermer la chambre à clé.
Je me souviens du jour où il a cassé une étagère. La base de la dispute c’était mon repas. J’avais fait des pâtes mais il voulait du riz. Je sais, cela semble ridicule mais je devais faire attention à tout, tous les jours. On avait un planning de repas, et je devais le respecter. Je ne l’ai pas fait donc il s’est énervé et m’a bousculé. Il m’a menacé, puis il s’en est pris à la table que j’avais dressée. Cette fois là j’ai crié après lui, j’en avais marre qu’il casse tout, pour des raisons stupides. Ma rébellion l’a juste incité à en casser davantage. Il donna un coup de poings dans mon étagère blanche. Elle éclata parterre, puis il continua à lui donner des coups à terre en me menaçant de me faire subir le même sort. Cette fois là me marqua car il y avait tellement de violences dans ses yeux, je ne le reconnaissais plus. J’ai vraiment cru qu’il n’arrêterait jamais de frapper. Et je crois que c’est une des premières fois où il me menaça directement.
*
Vous allez remarquer que je vais souvent vous parler de noirceur dans ses yeux. Je m’explique quand on se disputait, je sais que j’avais atteint la limite quand son regard changeait. Je ne sais comment expliquer, mais quand il devenait violent, il avait ce regard noir, sans émotion, juste de la noirceur. Et je redoutais ce regard, avec le temps, j’ai appris à accepter la signification de ce regard noir.
*
Et puis les objets ne suffisaient plus,
Ses mains,
Ses mains, il a commencé à les utiliser « gentiment » contre moi au bout de quelques mois. Je dis « gentiment » car ce stade de violence n’était rien en comparaison au reste. Bien que toute violence est inacceptable, je suis restée. Je l’ai quitté deux fois uniquement, jamais avant ces deux fois là j’ai songé à le quitter. Il avait fait tout un travail mental sur moi. Je me sentais incapable de rien, seule je n’étais rien à mes yeux. Je ne savais plus ce que j’aimais, ce que j’allais faire, j’avais l’impression que lui seul pouvait me faire vivre.
Le premier geste de violence c’était une bousculade, au début il me poussait doucement, puis il m’a poussé de plus en plus fort. Jusqu’à ce que j’en perde l’équilibre, et que j’en tombe, pour qu’il puisse en rire. Il a fini par me pousser tellement fort que j’avais mal à l’endroit où sa main avait appuyé pour me déséquilibrer.
Après il a augmenté d’un niveau, il m’a giflé. Il me disait que c’était des « gifles éducatives », car je ne comprenais rien. C’était pour mon bien, selon lui. Il comparait son acte à l’éducation d’un enfant à qui on donne la fessée. Il ne me giflait pas fort, je ne sais pas si je me voile la face. Si mon cerveau me déconnectait de la douleur, ou si j’ai perdu la mémoire de la sensation. Mais j’ai l’impression que je n’avais pas mal après ses gifles, elles étaient beaucoup plus douloureuses par leurs significations qu’à leurs impacts sur ma joue.
*
C’est à ce moment là que j’ai commencé à avoir honte. Je n’ai plus jamais parlé de ma relation, jusqu’à aujourd’hui. J’ai gardé tout ce qu’il s’est passé secret. Je n’ai jamais eu le courage de me confier à quelqu’un durant ma relation. Je ne voulais pas qu’on accable l’homme que j’aimais. Je ne voulais pas passer pour une victime, car je ne me sentais pas comme tel. Bien sûr que je ne voulais pas qu’il m’arrive tout ça, mais je ne savais quoi faire d’autre, sauf rester. Je croyais en lui, en ses paroles quand il était pris de remords. Il avait l’air sincère quand il s’excusait, et m’assurait qu’il allait changer. Il me semblait si vulnérable après, que j’y croyais et je restais malgré moi. Je finissais toujours par m’excuser aussi, j’avais un sentiment de culpabilité énorme en moi. Pour moi c’était de ma faute, c’était ma personne qui faisait ressortir ce qu’il avait de plus mauvais en lui, le problème venait de moi. Dans ma tête j’étais l’échec de notre relation, le maillon faible c’était moi. J’avais l’impression que c’était lui la victime, victime de mon incapacité à être une bonne femme.
*
Mes mains,
C’est la première partie de mon corps à avoir reçu un coup de poing de sa part. Assis tous les deux sur son lit, il a donné un coup de poing de nerf dans son matelas. Sauf qu’entre le matelas et sa main, il y avait la mienne. Je sais qu’il a visé ma main, mais sur le moment je me suis dit qu’il ne l’avait pas vu. Ce premier coup m’a valu un hématome qui m’a empêché d’utiliser correctement ma main pendant une semaine au moins.
Puis ma main est devenue son souffre-douleur, à chaque dispute, il me l’a serré fort. Je vous parle d’une force à en avoir des bleus. Sinon il s’amusait à me tordre les doigts, ou le poignet. Il faisait ça jusqu’à ce que je me soumette, je lui tenais tête parfois. Mais je me suis toujours soumise avant qu’il me fracture quelque chose. Je ne voulais pas devoir aller chez le médecin me soigner, je ne voulais pas devoir le dénoncer si le médecin ne croyait pas mon explication. Je me pliais à ses règles et en plus de ça mon envie de le protéger et de protéger ses actes du reste du monde ne faisait que grandir.
Mon corps,
Il a commencé à m’étrangler je ne sais même plus comment. Mais c’est devenu un jeu pour lui. Avec ou sans dispute il m’étranglait. Il voulait savoir pourquoi je paniquais, et pourquoi je pleurais comme ça quand il le faisait. Il prenait ça pour une expérience. Je devais avoir confiance, il n’arrêtait pas de me le répéter quand il était au-dessus de moi, avec ses mains autour de mon cou. Dans ses yeux je crois que c’est de l’excitation que je percevais.
Quand il refermait ses mains sur mon cou, je vidais mon esprit, je me forçais à ne pas faire couler mes larmes, car ce sont ces larmes qui le poussait à aller plus loin. Mais elles venaient tout le temps, elles coulaient le long de mon visage, pour son plus grand plaisir. Je cherchais de l’humanité dans ses yeux, mais je n’ai rien trouver d’autres que du plaisir. J’étais réduite à un jouet pour lui, peu à peu je perdais mon humanité.
*
Je ne me souviens pas de tout, je ne sais pas si c’est mon cerveau qui supprime certains souvenirs pour me protéger. Je ne sais pas si c’est parce que je me suis déjà évanouie sous son emprise. Je ne pourrais vous l’affirmer, la seule chose que je sais c’est que j’avais accepté le danger qu’il était pour moi à partir de là. Je savais que si je restais, je pouvais en mourir. J’en avais conscience, mais je suis restée, je n’avais toujours pas eu ce déclic.
Depuis lui, je ne porte plus de collier, je ne les supporte plus. Mon cou est devenu hypersensible, j’ai du mal à garder un col roulé aussi. Quand j’en mets un, je vais tirer dessus plusieurs fois dans la journée parce que je me sens étouffée. Je me force à en mettre, je trouve ça beau, et j’ai envie que ces séquelles partent. Quand je parle à une personne en qui je n’ai pas confiance, je me protège le cou maintenant, instinctivement. Ma main n’est jamais bien loin de mon cou dénudé, je n’arrête pas de le toucher, ça me rassure de voir qu’il n’y a rien dessus.
*
Désormais mon quotidien était rythmé par tout ce dont je vous parle depuis le début : l’isolement ; les violences mentales ; les insultes ; la manipulation ; les objets cassés ; les gifles ; les étranglements ; nos disputes ; sa colère ; ses excuses ; mes excuses ; et son regard noir.
Vous savez maintenant ce que j’ai accepté de supporter pendant plusieurs années, malgré moi. Sachez que j’ai peur du jugement des autres, les personnes ont tendance à jeter la pierre sur la victime, en insinuant que si on ne veut pas tout ça, on a juste à partir. Et que comme on reste ça veut dire qu’on le veut.
J’aimerais vraiment que vous compreniez qu’on ne veut pas de cette vie, que c’est pas la vie que notre conjoint nous avez promis. Et que si on reste ce n’est pas parce qu’on aime se faire maltraiter, non si on reste au début c’est parce qu’on a un sentiment de culpabilité énorme. Après cette culpabilité, il y a la honte et la peur qui se rajoutent. Puis forcément il y a l’amour qu’on pense ressentir. Certaines personnes se permettent de juger alors que peu de personnes ont le courage de quitter leur conjoint après plusieurs années. Parce que prendre cette décision c’est changer de vie radicalement. En partant on dit au revoir à tout ce qu’on connait, tout ce qui nous rassure, tout ce qui fait de nous ce que nous sommes, on dit adieu à nos espoirs et nos projets qu’on avait le jour où on est tombé amoureux de cette personne. Alors oui on reste, malgré les violences, mais simplement parce qu’on espère qu’elles vont disparaitre un jour. Et puis de toute façon pour avoir le cran de partir il faut avoir confiance en soi, et croyez-moi quand on subit cela, l’estime et la confiance qu’on a de soi est inexistante. Même le néant est beaucoup plus rempli que notre amour-propre.
Si vous vous reconnaissez dans ce que vous lisez, soyez attentif à ce qui va suivre. Moi aussi j’ai lu des témoignages où je me suis vue en ces inconnues. La plupart d’entre elles vivaient pire que moi, elles avaient été hospitalisées d’urgence ou certaines avaient même frôlé la mort. Sachez que même si la seule violence que vous ayez subi est une gifle, cela n’est pas normal. Peu importe le degré de violences, cela reste de la violence. La seule chose qui vous attend si vous restez, c’est la mort. Et si vous en êtes au début, partez. Prenez conscience que cela va juste empirer, qu’une personne violente ne change pas. Pas d’elle-même en tout cas, des excuses ou des beaux discours ne soignent pas leur comportement.
Puis j’aimerais juste ajouter que vous êtes belles. Je pense que ce qui a fait que j’ai mis du temps à partir c’est que je n’avais plus confiance en moi. J’aurai aimé qu’une bonne fée vienne et me redonne un peu confiance en moi, juste assez pour avoir la force de me dire que je mérite mieux. Alors j’ai envie d’être votre bonne fée, il est important de savoir que vous êtes belle, que vous ne devez pas culpabiliser, vous n’avez pas à avoir peur. Je sais que c’est facile à dire, mais moi aussi j’avais peur, peur d’être seule, peur de ne plus jamais être aimé, peur de ne plus jamais me trouver belle. Je ne savais même plus qui j’étais, ce que j’aimais vraiment. Et aujourd’hui tout cela est derrière moi, j’ai confiance en moi, je me trouve belle, je suis pleine de vie et je me suis rendue compte que le secret du bonheur c’est d’apprendre à s’aimer et s’épanouir par soi-même. Vous pensez sûrement être incapable de penser tout cela de vous-même, commencez petit à petit. Brisez le silence et la solitude qui vous entoure, et admirez-vous.
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keto tone avis
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Ex-VoxMakers VS Thomas Cyrix : next / Ex-VoxMakers VS Thomas Cyrix : suite
Thomas Cyrix published his answer on the night of May 24-25. They put forward arguments against VoxMakers ex-members accusing them of creating false evidence and inciting hatred, posing as a victim. Some of his remarks are defensible and verifiable, but others have no valid evidence, which is problematic. After losing more than 20k subscribers, he decided to file a complaint against former VoxMakers members. Having no knowledge of entrepreneurship, computer law and accounting, I let those who know the most verified his words. My knowledge of his subjects is too bad for me to give my opinion. I can still say that I think he insists a lot on the financial side. Indeed, he speaks about more than half of the video while it’s only a quarter of the video of former members of VoxMakers. Nevertheless, on a human level, I can say that there is no evidence that VoxMakers' claims and their evidence are false. Be careful, I'm not saying that he's lying, just that it's difficult to verify. It should take the testimony of many people in the entourage of the said victims as well as that of their doctor (for those who had a depression at this time). He also says he is being harassed, which is highly possible. He accuses VoxMakers of having conducted a campaign of hate, to have even encouraged suicide (The soapy board ???), but they have not clearly expressed at the end of their video, in their claims: (Translation)
"Tai - Today, we need to finally express to the world what has happened and we want justice done. Our demands, because it's all well and good to make this video but what do we hope for in this video? We told you, it’s to be listened to. Modern Hermit - We don’t want his excuses. It's over, that. Tai - Anyway, we don’t believe them. Ermite Moderne - We don’t believe them. We can’t believe it. He has already apologized to us many times and every time he rolled us, so it's over. MJ - And then, to apologize it didn’t work for ??? Tai - What we want is for everyone to know how he behaves, that he doesn’t fall into his trap anymore. That everyone knows that we didn’t stop for management issues but because it was really a bully, someone horrible, as we have just described in this video. That's why we left. Modern Hermit - We want everyone to know the true nature of their actions and that there are no other people who, in a professional relationship, rot themselves. Tai - We want support because we want to make up for the disastrous communication and how we had to leave VoxMakers as s**t, because we had no choice. We should have been able to flee VoxMakers without being able to communicate. Today, we know that there are many people who aren’t aware that we have continued the videos for more than two years and that we have done a lot of things since then. We would like you to help all of us know, well, what happened in VoxMakers and now, if you want to keep up, we have our own channels and we needs support, that we need you to help us out there, that you subscribe to all the creators you've enjoyed in VoxMakers' time, so we can continue what we do. We would like the VoxMakers channel to finally be fully demonetized. It includes his own videos, which is at least a justice somewhere. We can not ask him to pay back the 100 000 € he stole from us during his 6 years, although we are entitled. On the other hand, we can ask him not to win any more on our backs. MJ - More delirium with ??? or that kind of thing ... Tai - And to verify that, we want Ermite to regain access to the channel to be able to verify that the videos have been demonetized. Ermite Moderne - This is non-negotiable. I must have access to the channel otherwise it doesn’t mean anything. Tai - Note that he’s able to completely remove the string since he did it with Facebook. Ermite Moderne - There were all the memories, the pictures of conventions, the articles, everything was there. He deleted them. Chain… Sasha - There are also the things he said ... Ermite Moderne - Of course. There were also private Facebook, discussions, he has them ... Tai - We must suppress the evidence. Ermite Moderne - You must remove all evidence. Tai - And if I don‘t have them, no one will have them. It has always been that. And precisely, the fact is, we doubt that he will respond to this video. We doubt that there will be an answer. So we can not convince you more than in this video that he that, in any case, his excuses are false, that they manipulate you, that he is lying. Here we are, we know it amply with all that we have just said. Sasha - All we said here is stuff with evidence, with several witnesses ... Tai - All we can say is that here we are more than fifteen VoxMakers and members revolving around to corroborate its facts, to validate independently of each other, without consulting each other at the base ... Ermite Moderne - To have the same experience. Tai - And have the same experience with Thomas Cyrix and I'm sure there are plenty of others. We invite them to testify as soon as possible on the #Voxmentor on Facebook or in the comments to help us spread this message and validate what we say is true. Ermite Moderne - We can also expect that soon there is a group of ??? with other members next door, who will add more their version of the story, on what they lived. We will group a maximum. Because we speak on our behalf with us four of them Lunatic, Antoine, Seia and Mad Dog but we also want them to express themselves from their own point of view, which tells their personal version of the facts as well as that Voxplumes and that sort of thing. Maybe we'll do that and we're off to ... " P.S : I wanted to rewrite the words of the ex-members of VoxMakers, which I apologize for spelling, grammar and conjugation mistakes, as well as the absence of certain words that I could not transcribe. I searched for a legal definition of incitement to hate but I didn’t find (or looked for) a definition. I will therefore base myself on the legal definition of incitement to racial hatred, which is very close. It would have been pushing a third party to show hatred, violence or discrimination against certain people. For the term defamation, I had fewer difficulties. Defamation is an allegation or imputation of an act that offends the honor and consideration of a person. The word "honor" seems vague to me so I inquired. Honor is a moral principle of action that leads a person to behave in accordance with a social norm (as to probity, virtue, courage) and to enjoy the esteem of others. to keep the right to his moral dignity. I don’t know you but I never see them asking to hate or harass Thomas Cyrix. The hatred suffered by Thomas Cyrix is only due to the hatred of the viewers who want to protect their favorite Youtubeurs. Without wanting to make a reductive metaphor (so don’t feel insulted, it's just an image), it's as if you're accusing a dog of protecting his master, while the latter never orders him to make. I admit that one thing irritated me a little. His ironic and mocking tone didn’t help me take it seriously, just like the multiple appearance of messages between two paragraphs argumentative to convince us of the horror he seems to live (Call for Mercy ?? ?). Nevertheless, since it seems to have initiated a legal procedure, I will wait for the conclusion of justice to give me a final opinion. I hope that this story goes quickly and well to end.
Finally, my friends, one last message for you. Faced with incredible information, strange, sulphurous, don’t forget to remain skeptical because there are things we can’t doubt in our world. We can’t doubt that people are lying to us. There can be no doubt that people are trying to attract attention to get noticed. We can’t doubt that some people can create fake news just to hurt, to take revenge …
Thomas Cyrix a publié sa réponse dans la nuit du 24 au 25 mai. Ils posent ses arguments pour contrer les propos des ex-membres de VoxMakers en les accusant d’avoir créé de fausses preuves et d’incitation à la haine, se posant en victime. Certains de ses propos sont défendables et vérifiables mais d’autres n’ont aucunes preuves valident, ce qui posent problème. Après qu’il est perdu plus de 20k d’abonnés, il a donc décidé de porter plainte contre les ex-membres de VoxMakers. N’ayant aucune connaissance en manière d’entreprenariat, de droit informatique et de comptabilité, je laisse ceux qui en savent le plus vérifié ses propos. Mes connaissances sur ses sujets sont trop mauvaises pour que je donne mon avis. Je peux tout de même dire que je trouve qu’il insiste beaucoup sur la partie financière. En effet, il en parle sur plus de la moitié de la vidéo alors que ce n’est qu’un quart de la vidéo des ex-membres de VoxMakers. Néanmoins, sur le plan humain, je peux dire qu’il n’y a aucune preuve que les propos de VoxMakers ainsi que leurs preuves soient fausses. Attention, je ne dis pas qu’il ment, juste que c’est difficilement vérifiable. Il faudrait prendre les témoignages de nombreuses personnes dans l’entourage des dites victimes ainsi que celle de leur médecin (en ce qui concerne ceux qui ont eut une dépression à cette période). Il dit aussi subir du harcèlement, ce qui est fortement possible. Il accuse VoxMakers d’avoir mené une campagne de haine, de l’avoir même incité au suicide (La planche savonneuse???), mais ils n’ont pas clairement exprimé à la fin de leur vidéo, dans leurs revendications :
« Tai - Aujourd’hui, on a besoin d’exprimer enfin, au monde, ce qui s’est passé et on veut que justice soit fait. Nos revendications, parce que c’est bien beau de faire cette vidéo mais qu’est-ce qu’on espère dans cette vidéo ? On vous l’a dit, c’est d’être écouté. Ermite Moderne – On veut pas ses excuses. C’est finit, ça. Tai – De toutes façons, on ne les croit pas. Ermite Moderne – On les croit pas. On ne peut pas y croire. Il nous a déjà fait des excuses plein de fois et à chaque fois, il nous a roulé, donc c’est finit, ça. MJ – Et puis, demander des excuses ça a pas marché pour ???… Tai – Ce qu’on veut, c’est que tout le monde sache comment il se comporte, qu’on ne tombe plus dans son piège. Que tout le monde sache qu’on n'a pas arrêté pour des questions de gestion mais parce que c’était vraiment un tyran, quelqu’un d’horrible, comme on vient de vous le décrire dans cette vidéo. C’est pour ça qu’on est parti. Ermite Moderne – On veut que tout le monde sache la véritable nature de ses agissements et que y’est pas d’autres personnes qui, à titre professionnel, relationnel, se fassent pourrir à leur tour. Tai – On veut du soutien parce qu’on souhaite rattraper la communication désastreuse et comment on a dû partir de VoxMakers comme des m****es, parce qu’on n'avait pas le choix. On aurait dû pouvoir fuir VoxMakers sans pouvoir faire de communications. Aujourd’hui, on sait qu'y’a beaucoup de gens qui ne sont pas au courant qu’on a continué les vidéos depuis plus de deux ans et qu’on a fait plein de choses depuis. On aimerait que vous nous aidiez à que toutes ses personnes sache, enfin, qu’est-ce qui s’est passé dans VoxMakers et que, désormais, si vous voulez continuez de nous suivre, nous avons nos chaînes perso’ et qu’on a besoin de soutien, qu’on a besoin que vous nous aidiez sur ce coup là, que vous vous abonniez à tous les créateurs que vous avez appréciez du temps de VoxMakers, pour qu’on puisse continuer ce qu’on fait. On aimerait que la chaîne VoxMakers soit enfin démonétisée totalement. Ca comprend ses propres vidéos, qui est au moins une justice quelque part. On ne peut pas lui demander de rembourser les 100 000 euros qu’il nous a volé pendant ses 6 ans, bien qu’on soit en droit. Par contre, on peut lui demander de ne plus en gagner sur notre dos. MJ – Plus de délire avec ??? ou ce genre de choses… Tai – Et pour vérifier ça, on veut qu’Ermite retrouve l’accès à la chaîne pour pouvoir vérifier que les vidéos ont bien été démonétisées.
Ermite Moderne – C’est non négociable. Je dois avoir l’accès à la chaîne sinon ça ne veut plus rien dire. Tai – Notez qu’il est capable de supprimer totalement la chaîne puisqu’il l’a fait avec le Facebook. Ermite Moderne – Il y avait tous les souvenirs, les photos de conventions, les articles, y avait tout. Il les a supprimés. La chaîne… Sasha – Il y a aussi les trucs qu’il a dits… Ermite Moderne – Bien sûr. Y avait aussi les Facebook privés, les discussions, il les a… Tai – Il faut supprimer les preuves. Ermite Moderne – Il faut supprimer toutes les preuves. Tai – Et si je ne les ai pas, personne ne les aura. Ca a toujours été ça. Et justement, le fait est que, on se doute qu’il va répondre à cette vidéo. On se doute qu’il va y avoir une réponse. Alors nous, on ne peut pas vous convaincre plus que dans cette vidéo qu’il ment, que, de toutes façons, ses excuses, c’est faux, qu’ils vous manipulent, qu’il ment. Voilà, nous on le sait amplement avec tout ce que l’on vient de dire. Sasha – Tout ce qu’on a dit là, c’est des trucs avec des preuves, avec plusieurs témoins… Tai – Tout ce qu’on peut vous dire, c’est que voilà, on est plus de quinze VoxMakers et membres gravitant autour à corroborer ses faits, à valider indépendamment des uns des autres, sans se consulter à la base… Ermite Moderne – À avoir le même vécu. Tai – Et avoir le même vécu envers Thomas Cyrix et je suis sûr que y en a plein d’autres. On les invite à témoigner dés que possible sur le #Voxmenteur sur Facebook ou dans les commentaires pour nous aider à répandre ce message et à valider ce qu’on dit est vrai. Ermite Moderne – On peut s’attendre aussi que, bientôt, il y est un groupe de ??? avec d’autres membres en à côté, qui viendront rajouter en plus leur version de l’histoire, sur ce qu’ils ont vécu. On va regrouper un maximum. Parce que l’a, on parle en notre nom à nous quatre et eux de Lunatic, Antoine, Seia et Mad Dog mais on voudrait aussi qu’ils s’expriment de leur propre point de vu, qui dise leur version personnelle des faits ainsi que les Voxplumes et ce genre de choses là. On fera peut-être ça et on est parti pour… » P.S : J’ai voulu réécrire au plus proche des paroles des ex-membres de VoxMakers dont veillez m’excuser des fautes orthographiques, grammaticales et de conjugaison ainsi que l’absence de certains mots que je n’ai pus retranscrire.
J’ai cherché une définition légale de l’incitation à la haine mais je n’ai pas trouvé (ou j’ai mal cherché) une définition. Je vais donc me baser sur la définition légale de l’incitation à la haine raciale qui est très proche. Se serait le fait de pousser un tiers à manifester de la haine, de la violence ou de la discrimination à l’encontre de certaines personnes. Pour le terme de diffamation, j’ai eu moins de difficultés. La diffamation est une allégation ou l'imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur et à la considération d'une personne. Le mot « honneur » me paraît vague donc je me suis renseigné. L’honneur est un principe moral d'action qui porte une personne à avoir une conduite conforme (quant à la probité, à la vertu, au courage) à une norme sociale et qui lui permette de jouir de l'estime d'autrui et de garder le droit à sa dignité morale. Je ne sais pas vous mais jamais je ne les vois demander de haïr ou de harceler Thomas Cyrix. La haine que subit Thomas Cyrix n’est dû qu’à la haine des viewers qui veulent protéger leurs Youtubeurs favoris. Sans vouloir faire de métaphore réductrice (donc ne vous sentez pas insulter, ce n’est qu’une image), c’est comme si vous accusiez un chien d’avoir protéger son maître alors que ce dernier ne lui à jamais ordonner de le faire. J’avoue qu’une chose m’a un peu énervé. Son ton ironique et moqueur ne m’a pas aidé à le prendre au sérieux, tout comme l’apparition de multiples fois de messages entre deux paragraphes argumentatif pour nous convaincre de l’horreur qu’il semble vivre (Appel à la pitié???). Néanmoins, vu qu’il semble avoir lancé une procédure légale, je vais attendre la conclusion de la justice pour me faire un avis définitif. J’espère tout de même que cette histoire va vite et bien se finir.
Enfin, mes amis, un dernier message pour vous. Face à une information incroyable, étrange, sulfureuse, n’oubliez pas de rester sceptique car il y a des choses dont on ne peut pas douter dans notre monde. On ne peut pas douter sur le fait que des gens nous mentent. On ne peut pas douter sur le fait que des personnes essayent d’attirer l’attention pour se faire remarquer. On ne peut pas douter sur le fait que certaines personnes peuvent créer des fake news juste pour causer du tort, pour se venger…
Source :
- https://www.youtube.com/watch?v=RzxzFWRwVug&feature=share
- https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/N31126
- https://www.cnrtl.fr/lexicographie/honneur
News of the day (video edited on May 24, afternoon) / Nouvelles du jour (vidéo monté le 24 mai, l’après-midi)
Mad Dog, a former member of VoxMakers, made a video of less than an hour to testify in turn individually, as we have already done two of his comrades live. He began positively by asking not to lynch against Thomas Cyrix, whom he named as manager, and said he enjoyed his years in this group. He also talks about the financial hardships they suffered and the sadness he felt that he was forced to leave the group. He explains that the pressure put on them by this "manager" seemed normal to them because it’s like that in many companies. He said that they felt put away from people and looked to everything to have at least a minimum wage to live. He said that they thought the money was going into all the equipment and services that were needed. He also said he received positive but negative testimonials from their former manager. He calls for mistrust but not for total cut or lynching. He explains that their manager took the big head a few months before he was fired. It was the beginning of the end of Mad Dog's participation in VoxMakers. He explains that the group was not taken seriously because of the lack of work in the shows in which the manager participated. There is also the project Putaclic, a kind of parody of the many tops that can be found on the net. The texts of presentations he had then made for their manager were given by him to Lunatic because he was the one who presented the best. Finally, the project was canceled by the manager but Mad Dog and Lunatic managed to convince him to continue, even if he could feel a bit of bitterness at his manager. Then there was also the story of Lunatic's relationship with a girl Mad Dog knew. The couple kept the secret of their bond for fear of reflections. Mad Dog advises them to reveal the truth, their love life being private and not to influence the work of Lunatic. Later, he learns that the couple is being disputed by the rest of the group following the revelation of their secret. He got upset with the VoxMakers, coming out of things that were not happening at times. The Modern Hermit says that the VoxMakers didn’t think badly and apologize. Mad Dog accepts their excuse for attachment to the group and apologizes in turn publicly. He’s then dismissed from the group. He talks about it to the modern Hermit who has totally changed his mind. He was totally isolated from the rest of the group. We feel that his memories are hard for the Youtubeur who gives the impression of being about to cry. He explains that he was disconnected from the net, disgusted by Youtube and monitoring on Facebook. He also accuses of being dismissed from the group in the wrong way because he explains that it isn’t by a vote that one can send a person back to an SAS company. This marks me against the old VoxMakers and Thomas Cyrix. He explains the situation as neutral as possible with only a few points to explain his sadness and his distress and the difficulties he has suffered. He never refers to Thomas Cyrix's person directly, only his role in VoxMakers. He doesn’t treat him as manipulators, liars, crooks ... He explains the facts and where that led him. I didn’t notice an attempt at manipulation in his words, whether on the emotional level or logic. I add here a remark that I made myself in the video of Thomas Cyrix. Indeed, I observed that he used the same arguments as his accusers when it concerned the human aspect. In the video of Mad Dog, I find very few of his arguments. I also want to remind one thing : the #Voxmenteur is used for testimonials. If you want to encourage former VoxMaker members, just leave a message, no need for a hashtag. Neither do you need to insult the accuser, you only complicate things.
Mad Dog, ancien membre de VoxMakers, a fait une vidéo de moins d’une heure pour témoigner à son tour individuellement, comme l’on déjà fait deux de ses camarades en live. Il commence positivement en demandant de ne pas faire de lynchage contre Thomas Cyrix, qu’il nomme sous le nom de gérant, et dit avoir beaucoup apprécié ses années dans ce groupe. Il parle aussi des galères financières qu’ils ont subi et de la tristesse qu’il a ressentit d’avoir été obligé de quitter le groupe. Il explique que la pression que leur poser ce « gérant » leur paraissait normal car c’est comme ça dans beaucoup d’entreprises. Il dit qu’ils se sont sentis mis à l’écart des gens et chercher à tout prit à avoir au moins un SMIC pour vivre. Il dit qu’ils pensaient que l’argent passait dans tout ce qui concerne le matériel et les services nécessaires. Il dit aussi avoir reçu des témoignages positifs mais aussi négatifs de leur ancien gérant. Il appelle à la méfiance mais pas à la coupure totale ou au lynchage. Il explique que leur gérant a pris la grosse tête quelques mois avant qu’il ne soit viré. C’était le début de la fin de la participation de Mad Dog à VoxMakers. Il explique que le groupe n’était pas pris au sérieux à cause du manque de travail dans les spectacles auxquels le gérant participait. Il y a aussi le projet Putaclic, une sorte de parodie des nombreux tops à l’arrache que l’on trouve sur le net. Les textes de présentations qu’il avait alors faits pour leur gérant ont été donnés, par lui, à Lunatic car il était celui qui présentait le mieux. Finalement, le projet fut annulé par le gérant mais Mad Dog et Lunatic ont réussit à le convaincre de continuer, même s’il pouvait sentir une pointe d’amertume chez son gérant. Puis, il y avait aussi l’histoire de couple entre Lunatic et une fille que Mad Dog connaissait. Le couple gardait le secret de leur lien par peur des réflexions. Mad Dog les conseille à révéler la vérité, leur vie amoureuse étant privée et ne devant pas influencer le travail de Lunatic. Plus tard, il apprend que le couple se fait disputer par le reste du groupe suite à la révélation de leur secret. Il s’est énervé contre les VoxMakers, ressortant ce qui n’était pas passer à certains moments. L’Ermite Moderne dit que les VoxMakers ne pensaient pas à mal et s’excuse. Mad Dog accepte leur excuse par attachement au groupe et s’excuse à son tour publiquement. Il est alors renvoyé du groupe. Il en parle à l’Ermite Moderne qui a totalement changé d’appréciation. Il a été totalement isolé du reste du groupe. On sent que ses souvenirs sont durs pour le Youtubeur qui donne l’impression d’être sur le point de pleurer. Il explique avoir était déconnecté du net, dégoûté par Youtube et en surveillance sur Facebook. Il accuse aussi d’avoir était renvoyé du groupe de la mauvaise manière car il explique que ce n’est pas par un vote que l’on peut renvoyer une personne dans une entreprise SAS. Ce qui me marque par rapport aux anciens VoxMakers et à Thomas Cyrix. Il explique la situation de la plus neutre possible avec seulement quelques points pour expliquer sa tristesse et son désarroi ainsi que les difficultés qu’il a subi. Il désigne jamais la personne de Thomas Cyrix directement, seulement son rôle dans VoxMakers. Il ne le traite pas de manipulateurs, de menteurs, d’escrocs… Il explique les faits et où cela l’a conduit. Je n’ai pas repéré de tentative de manipulation dans ses dires, que se soit au niveau émotionnel ou de la logique. J’ajoute ici une remarque que je m’étais faite dans la vidéo de Thomas Cyrix. En effet, j’avais observé qu’il utilisait les mêmes arguments que ses accusateurs quand cela concernait l’aspect humain. Dans la vidéo de Mad Dog, je retrouve très peu ses arguments. Je tiens aussi à rappeler une chose : le #Voxmenteur sert aux témoignages. Si vous voulez encourager les anciens membres de VoxMaker, laisser juste un message, pas besoin de hashtag. Pas besoin non plus d'insulte envers l'accusateur, vous ne faites que compliquer les choses.
youtube
Source :
- https://www.youtube.com/watch?v=AG8pdMFtFrk&feature=share
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Antispécisme : comment sait-on si ce qu’on fait est moral ?
Dans un billet précédent, je partais du principe que la plupart d’entre nous avons une fibre morale et l’envie d’être éthique, et que pour que ça ait du sens il faut l’appliquer. Dans la pratique ça peut prêter à confusion, alors j’aimerais bien revenir sur ce point : comment sait-on que ce qu’on fait est moral ?
Un peu comme Socrate et ses trois tamis, on passe notre action au crible :
Est-ce que je fais du mal (physique, émotionnel) ?
L’éthique étant la discipline de la philosophie qui s’intéresse au Bien et au Mal, ça me semblait pas mal comme première question. Prenons donc le mot littéralement, faire mal à autrui.
Si la réponse est non, si vraiment on ne dispense aucune souffrance, physique ou émotionnelle, ça règle 100% de la question, c’est moral ou neutre moralement !
Si la réponse est oui, en revanche, ce n’est pas un excellent début, on rentre dans la zone de moralité grise ou d’immoralité, alors la question suivante à se poser est :
Est-ce justifié ? Ou une autre façon de poser cette question : est-ce que mon intérêt à faire du mal est supérieur à l’intérêt d’autrui à ne pas souffrir/mourir ?
Si c’est survie contre survie, on peut considérer que ça se balance équitablement ; si j’y gagne un plaisir et une certaine commodité le temps de quelques repas contre une vie de souffrance abrégée par un meurtre pour quelques animaux… on sent un déséquilibre dans le poids accordé à nos intérêts : cela ressemble à de l’abus.
Ce n’est pas par hasard que les mots de « balance » et d’équilibre arrivent sur le tapis : on arrive bien à une question de justice : comment je peux justifier le mal que je fais ? est-ce que ce que je fais est juste ?
Dans la justice, il y a une notion de conséquence (dans un accident de voiture, la différence entre un constat et un homicide involontaire), et il y a une notion d’intention et de circonstance (les différences entre un homicide par autodéfense, un homicide involontaire et un meurtre) :
si je fais mal, est-ce que c’est parce que je suis attaqué·e ou pour défendre quelqu’un d’autre ? la notion d’auto-défense peut aussi être cette interprétation : est-ce que je tue (cet animal) parce que je dois survivre, est-ce que c’est lui ou moi ?
est-ce que c’est par accident dans la poursuite de ma survie ou de celle de quelqu’un d’autre ? (je moissonne mon champ pour me nourrir ainsi que mes congénères et il y a probablement un mulot et plein d’insectes qui ont été fauchés dans l’appareil, sans que ce soit fait exprès ; ou, oh non j’ai écrasé un escargot en marchant !)
est-ce que c’est par choix (je tue un animal pour me nourrir mais je pourrais m’alimenter d’autre chose) ? Si nous avons du temps, de l’argent, des rayons bien achalandés ou même un accès direct aux producteurs… bref, si nous pouvons ne pas tuer d’animaux ET ne pas mourir de faim, alors tuer un animal devient un choix « gratuit ».
En termes d’homicides humains, je suis allée dans l’ordre du plus moral au moins moral. En termes de notre approche des animaux, la vérité est qu’on se trouve beaucoup plus entre le premier et le dernier point. Beaucoup sont au premier (”l’option la moins chère que je peux m’offrir, chaude et nourrissante, contient des produits animaux”) mais beaucoup d’autres croient y être (« on doit manger de la viande et des laitages et des oeufs pour vivre ») et sont en fait au dernier (« j’ai fait soirée raclette, hum, c’est trop bon » ou encore « oui mon budget mensuel de nourriture dépasse 200€ par personne et j’ai accès à tous les fruits et légumes et légumineuses et céréales et oléagineux et épices possibles et je sors au restau au moins une fois par semaine, pourquoi ? » Ou « moi je ne pourrais pas me passer de ma viande »).
Il est vrai que dans la plupart de nos sociétés il reste assez difficile d’éviter les produits animaux, surtout lorsqu’on n’est pas seul·e.
Alors, si je crois sincèrement que c’est mieux pour moi et que je n’ai pas le choix, je me retrouve dans le cas 1 de ma propre défense, et tout va bien ?
Ce serait trop facile.
Quand nos actions ont des conséquences sur les autres, on ne peut pas se justifier en disant qu’on n’a pas de mauvaises intentions et qu’on fait juste ce qui est le mieux pour nous. On a une responsabilité, celle de prendre en compte la position de l’autre.
Et ça tombe bien, car c’est la question suivante :
Est-ce que je serais d’accord de me retrouver de l’autre côté ?
Par exemple - à tout hasard !, est-ce que j’accepterais volontiers qu’une autre créature qui se trouve de son seul avis plus intelligente ou tout simplement plus précieuse que moi m’enlève de ma famille, m’insémine artificiellement, m’enlève mes petits pour les tuer et extraire mon lait, me laisse vivre quelques années en captivité en pouvant très peu bouger, encore moins faire les choses qui me font du bien (profiter de la nature, du compagnonnage de mes congénères selon mes propres termes, des intérêts propres à mon espèce et à mon individualité, etc.), puis m’envoie à l’abattoir, parce qu’elle préfère les protéines humaines, a une nostalgie de la raclette et que les hamburgers c’est bon et pas cher ?
Quelqu’un de mauvaise foi et qui ne se croit pas beaucoup à risque que ça lui arrive pourrait me dire « bien sûr, pas de problème », mais est-ce qu’on trouverait vraiment ça juste ?
Pour avoir la réponse la plus sincère et la plus globale sur le sujet, il n’y a qu’à se pencher sur notre très riche industrie du divertissement : livres, films, et séries de science fiction, fantasy, dystopies, reflètent que non seulement nous avons très peur d’être dominés par des robots, réduits en esclavage par des aliens, massacrés par des monstres et des zombies, mais nous considérons que ce sont eux les méchants.
Je ne suis sûrement pas la première à le penser, mais les comportements que nous leur attribuons sont probablement des projections de ce que nous ferions à leur place - de ce que nous faisons déjà en tant que société, dans de si nombreux cas.
Et quand notre comportement ressemble à celui des méchants de nos histoires ? Oui, c’est plutôt mauvais signe pour notre bonne moralité.
Et si on le fait « gentiment » ? Faire du mal gentiment est une antinomie. On peut faire du mal avec ignorance et inconscience et sans réelle mauvaise intention, mais dans les notions explorées plus haut il y a aussi celle de conséquence. Faire souffrir un être vivant, tuer un être qui ne veut pas mourir, ne peut pas être fait avec gentillesse, car il ne s’agit pas de nous. Voir aussi l’expression « c’est pour ton bien ».
Il y a une autre objection que certaines personnes voudraient faire, c’est que toutes les souffrances ne se valent pas. Que la mort de cet animal ne vaut pas ma mort, que la captivité de cet animal n’est pas comme de la vraie captivité…
Qui suis-je pour juger de la souffrance d’autrui ?
Nous savons que les animaux souffrent, moralement et physiquement ; cela a été démontré de multiples fois pour de multiples individus de multiples espèces par de multiples scientifiques de multiples pays depuis de multiples années. Point.
Même si une créature nous semble bête, laide, inconnue, incompréhensible, pas intéressante ni sympathique — et par ailleurs inutile à notre mode de vie, si elle est capable de ressentir de la souffrance, alors la faire souffrir sans nécessité est immoral*. C’est la même chose qu’il s’agisse de souffrance morale ou physique.
*Reprendre le billet depuis « est-ce que je fais du mal ? » si besoin.
Tout ce que quelqu’un pourrait penser de nous-même n’enlève rien à notre dignité et à notre besoin de vivre, d’autonomie, d’auto-réalisation, de compagnonnage, de ne pas souffrir, etc. Dans un système de valeurs, cela signifie qu’on accorde cette même vérité à autrui.
Mais si j’ai envie de considérer que mes intérêts sont quand même plus importants… Nous avons tou·te·s des pulsions égoïstes ; c’est plus facile de vivre sa vie sans se demander si on fait du mal aux autres et si on doit en changer. « Si je prends quelque chose à autrui (son temps, sa vie, sa santé…), c’est que mon intérêt doit valoir au moins ça. »
On cherche en fait à justifier notre sens de la justice, la fameuse balance qui équilibre les torts et le bienfaits.
Mais si l’on veut agir de façon morale, il faut prendre un peu de recul et chercher l’objectivité. Une façon de reposer la question pourrait être celle-ci :
Est-ce que l’intérêt de cette action dépasse l’intérêt de ne pas agir pour toutes les parties ?
Pour commencer, l’on croit faussement qu’il n’y a que deux options :
Si je fais du mal, j’y gagne quelque chose (quelques repas, de l’argent, du plaisir…), mais l’autre partie a seulement la souffrance. C’est injuste pour l’autre partie.
Si je ne fais pas de mal, l’autre partie ne souffre pas mais je n’ai pas ce que je recherche. Je n’aime pas cette option car elle n’est pas satisfaisante, mais elle n’est pas injuste car nous n’avons pas « droit » à la souffrance de l’autre pour quelque chose qui ne soit pas d’égal poids moral.
L’action qui nous conviendra le mieux sera de rechercher l’option éthique - sans souffrance animale - qui nous apporte la satisfaction attendue. Il existe déjà de nombreuses initiatives et solutions véganes et nous pouvons contribuer à ce qu’il y en ait plus.
Mais moralement ? Est-ce que ma déception devant un dessert moins bon, ma frustration devant ma salade au restaurant à burger, sont à mettre sur le même plan que la vie de souffrances et la mort d’un animal ?
Est-ce que mon action changera autant ma vie qu’elle change la vie de l’autre partie ?
La plupart du temps, non : si j’ai des options en général dans ma vie, alors un repas, une soirée, ne changeront pas ma vie. Pour ces animaux, c’est bien leur vie qui est en jeu.
Alors une dernière question :
Qui suis-je pour décider ou non d’octroyer cette souffrance ?
Je veux que nous prenions la responsabilité de nos actions.
Nous sommes parti·e·s d’un postulat : nous avons envie d’être éthiques, mais nous avons aussi envie de certaines choses, qui peuvent causer du tort à d’autres. Alors nous cherchons à positionner et justifier nos actions. Mais dans ces actions, nous représentons à la fois juge et partie. Et une partie n’a pas réellement la parole. Les animaux sont nos victimes muettes et impuissantes.
Nous avons déjà fait un choix de société, traiter les animaux comme une marchandise, un produit, un bien. Nous partons d’une situation qui est déjà en leur défaveur. Leur parole ne compte pas, et si nous ne sommes pas convaincu·e·s par certains arguments, nous continueront à les faire souffrir - sans qu’eux n’aient rien demandé.
Qui sommes-nous pour juger que nous pouvons ou pas faire souffrir, unilatéralement ?
Car rappelons-le, si les animaux sont aussi capables de cruauté, d’agressivité, même de meurtre et d’infanticide, ce que nous leur faisons subir n’a aucune espèce de comparaison dans le monde animal.
Nos victimes n’ont pas le poids moral que nous portons.
Nous avons tou·te·s nos responsabilités, individuelles et collectives, dans ce à quoi nous acceptons de participer.
Finalement, comment savoir si nos actions sont éthiques ?
En tant que société, nous avons déjà des valeurs partagées. En tant que créatures terrestres sentientes, comme beaucoup d’animaux, nous avons des sentiments innés d’indignation face à l’injustice ou de compassion face à la souffrance.
Nous avons des billes pour peaufiner notre système de valeurs propres, mais nous avons aussi déjà les bases d’un système éthique partagé.
En particulier, nous avons déjà quelques recommandations très répandues :
Ne fais pas aux autres ce que tu n’as pas envie qu’on te fasse
Ne fais pas de mal juste pour le plaisir - en particulier aux animaux, l’un des rares commandements moraux où ils sont cités lorsqu’on éduque un petit être humain
…
Les principes de base, nous les avons déjà. Nous avons juste quelques angles morts dans leur mise en pratique cohérente.
Alors face à nos choix quotidiens, posons-nous ces questions : est-ce que nous faisons du mal ? Est-ce que c’est juste, est-ce que nous accepterions de nous retrouver de l’autre côté ? Alors quelles alternatives pouvons-nous trouver ?
Et pour continuer à nous améliorer : Est-ce que nous nous pouvons comprendre le point de vue de l’autre ? sinon, que pouvons-nous apprendre sur cet enjeu et ses conséquences sur d’autres que nous ?
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Thanks you very much for the post and this words. It’s a wise words for describe the situation (and I don’t save if it’s a good expression in english because, english isn’t my mother tongue and, for my post, I write in french)
Merci pour ces mots, et je pense que vous mettez le doigt sur un élément important. Personnellement, j’ai découvert Fire Emblem avec FE3H, puis j’ai essayé Awakenings. Mon point de vue est donc celui d’une néophyte.
Le mélange des genre tragédie/humour est très personnel mais, je pense que 3H respecte bien un certain équilibre (si la traduction française elle-même traduite de l’anglais n’a pas trop dénaturé le jeu). Il y a des moments tragiques, mais aussi des moments de réconforts, et des supports tout simplement adorables, notamment dans les conversations de soutien. J’ai surtout joué pour toutes les lire honnêtement tellement elles sont touchantes pour la plupart (à quelques exceptions près comme celles d’Edelgard dans son ensemble). Les supports de Sylvain et Mercedes touchent au cœur, ceux de Lysithea et Léonie sont amusants, ceux de Claude et Hilda se sentent comme deux amis qui se comprennent très bien (à mon avis). Et ce ne sont que quelques exemples parmi une myriade que contient ce jeu, surtout avec ces petits moments de tranches de vie à Garreg Mach, et les conversations de bataille qui sont vraiment déchirantes (je ne peux pas commenter l’heure du thé car, je n’aimais pas cette partie du jeu).
Les itinéraires ne sont pas en reste non plus. Personnellement, j’aurais aimé que VW et AM (abréviation des noms anglais car, ne parlons pas des noms français (”vert verdoyant” pour “Verdant Wind” ? Vous êtes sérieux ?!)) soient fusionnés, car je trouve cela logique qu’ils s’allient tous les deux. Mais dans le jeu en lui-même, canon, l’un contrebalance bien l’autre : l’itinéraire des Cerfs d’Or est une bouffée d’air frais bien plus léger à suivre, où on veut se mêler à cette classe d’excentrique et retourner tout Fodlan pour découvrir le moindre de ses mystères. A contrario, celui des Lions de Saphir commencent comme une tragédie très dur à suivre (je pensais pendant une bonne partie : “les enfants, tirez-vous ! Y a Claude juste à côté !”) mais, ensuite, la remontée à la surface n’est que plus satisfaisante avec une fin douce-amère superbe qui correspond aux personnages. Le tout servi par un gameplay très efficace et satisfaisant. Le seul moment où l’histoire peine à suivre, c’est quand on essaye de séduire le joueur en jouant sur ses bas instincts et sans rien assumer de ses mauvaises actions (Edelgard... kof ! Kof !CF... kof ! Kof ! ... Byleth qui aurait dû mourir à la fin de cet itinéraire - Kof ! Kof ! Excusez-moi... petite toux d’automne)
Par contre, je pense que cet “amour” pour les tragédies tout en méprisant l’humour et la légèreté, voir les côtés enfantins d’une histoire, vient d’une manière dont on considère ces deux choses : la légèreté, c’est pour les enfants, alors que la tragédie, c’est pour les grands. Je reprends beaucoup d’élément de réflexion d’un critique, MJ de la chaine “Fermez-là”, dans cette vidéo sur les remakes Disney (allez la voir, c’est très bien fait mais, en français par contre), qui souffre également de ce syndrome “c’est plus sombre et logique donc, c’est mieux”. Selon lui, cette tendance à vouloir être plus sombre et mature vient d’un mépris pour tout ce qui est enfantin et du fait que "c'est cool de croire en rien". Personnellement, je suis plutôt d’accord avec cela, et cela marche en France, même si je ne sais pas comment la dichotomie “enfantin et léger” Vs “mature et sombre” marche ou si seulement elle existe dans d’autres pays (je ne pense pas pour le Japon mais, je suis un âne à ce sujet, et ne parlons pas du reste du monde et des Etats-Unis en particulier).
C’est surement une analyse simpliste mais, peut-être que le mépris / l’ignorance volontaire des éléments plus léger et de l’humour dans les FE vient justement de cette idée que, si c’est pour les adultes, cela doit être dénué d’humour. Mais ce n’est pas une vision adulte, c’est une vision d’adolescent (pour paraphraser MJ). Un adulte, ça va assumer qu’il aime autant l’humour que les aspects tragiques d’une histoire, et il ne va pas vouloir à tout prix vouloir cocher toutes les cases de la liste des gouts socialement considérer comme étant “matures”. Peut-être que les personnes qui rejettent ont tout simplement peur de paraitre immature en aimant ces éléments ; ou peut-être que cela leur permet d’avoir un sentiment de supériorité sur les autres joueurs qui, eux, assument d'aimer les aspects les plus légers, enfantins, ou réconfortant ; ou encore, ils sont simplement pas touché ces éléments, et pensent que personne ne devrait être touché par ces mêmes éléments. Mais le fait de nier les choses enfantines n'est qu'une manière d'être immature comme une autre.
Personnellement, pour en revenir à FE3H, je pense que Félix est un personnage assez immature car, il n'assume pas ses émotions qu'il gère mal, quand il ne les rejette pas. Il est très immature avec Dimitri (il voie bien qu'il a un problème et essaye de prévenir les autres à sa manière mais, c'est tellement mal dit que personne l'écoute, surtout avec le reste de son comportement + il est bien trop cruel avec lui en le déshumanisant à ce point) et avec Rodrigue, ainsi qu'envers les autres en règle générale. Personnellement, en me basant sur la version française, je pense que c'est surtout une question de :
1 - il est immature à cause de son âge au début du jeu. Ne pas être totalement mature à 17 ans, c'est normal à mon avis, même dans le contexte du jeu. Même si le jeu à l'apparence d'un monde médiéval où l'enfance et l'adolescence n'existait pas vraiment (au sens de ne pas être pris en compte ou compris de notre manière, on était presque d'emblée des adultes mais, en miniature), les mentalités sont relativement modernes donc, 17 ans = adolescence / sortie d'adolescence.
2 - le choc de Duscur où on a glorifié la mort de son frère, ce qui a surement été empiré par son incompréhension de la manière qu'avait Rodrigue de la gérer cette mort. Rodrigue avait de bonnes raisons de voir la mort de Glenn ainsi, mais un Félix de 12-13 ans avait de bonnes raisons de ne pas comprendre son point de vue, et perdre toute confiance en lui. Par contre, il aurait pu prendre en considération les tentatives de Rodrigue de renouer avec lui, notamment dans son paralogue, ce qui est une preuve de son immaturité. Il reste bloqué sur un élément du passé, alors que son père a comprit qu'il avait fait une erreur avec lui et tente de se rattraper. C'est d'ailleurs une des tragédies de leur histoire, ils ne renouent pas avant la mort de Rodrigue, ce qui les laisse sur une blessure ouverte (surtout Félix je pense et Rodrigue ne doit pas être en reste à mon avis).
3 - la mort de Glenn : il a peur de perdre quelqu'un d'autre qu'il aimait autant que son frère, ce qui le pousse à repousser les autres de peur de s'attacher.
4 - le changement chez Dimitri. Je n'aime pas du tout sa déshumanisation de Dimitri, c'est une démonstration de son immaturité et très honnêtement, même si ça vient de l'inquiétude, ça devrait dégager après l'ellipse, ou prendre une autre forme. Par contre, je comprends que ça l'est choqué (il devait avoir 14-15 ans à ce moment-là), et qu'il ait pris ça comme une trahison / la "mort" d'une certaine manière de son ami. Voir son meilleur ami (le jeu appuie bien dessus) changer à ce point et être aussi violent (et ma propre interprétation, c'est qu'il le lie aussi à la manière dont Glenn a été tué) lui a fait voir que même vivant, les gens peuvent tellement changé qu'on peut les perdre ainsi. Donc, il essaye de dire "Dimitri a un problème" de la mauvaise manière, tout en le rejetant pour ne plus approcher celui qu'il croit avoir remplacer son meilleur ami.
Donc, avec tout ceci, c'est compréhensible qu'il soit immature et se détache de tout pour se concentrer sur son objectif de devenir plus fort MAIS, d'un autre côté, il grandit pendant le jeu en AM. D'abord, il est plus compréhensif / moins piquant avec son père et montre plus facilement qu'il s'inquiète pour lui (chapitre à Ailell et dialogue d'exploration du mois suivant + dialogue d'exploration de VW d'avant Gronder où il s'inquiète de ne plus avoir de nouvelles de lui). Il va même jusqu'à admettre qu'il pense que son père serait fier de Dimitri à la fin (même s'il refuse que les autres le savent - il a encore des progrès à faire en maturité), et ne voie plus la voie de le combat comme une fin en soit ou ce qui peut tout régler (dialogue d'exploration lors du chapitre 21 d'AM). Et c'est sans parler de ses soutiens, où il finit par admettre (du bout des lèvres) qu'il tient à ses camarades dans une bonne partie (notamment les lions de saphir). Et lorsqu'il a obtenu son dernier soutien avec Dimitri, il peut plaisanter avec lui sans problème (enfin pas trop, ils ont encore des choses à régler [où diable est passé leur soutien A+ pour finir de régler tous leurs problèmes ?!]).
BREF. Le personnage grandit. Il sort de son immaturité taciturne et dure pour accepter ses émotions et ses inquiétudes pour ses amis. Il reste piquant et il gère encore mal ses sentiments en général mais, on a toutes les raisons de penser qu'il continuera à s'améliorer en AM après la fin du jeu.
Ce billet est déjà trop long MAIS, ce que je veux dire avec cet exemple, c'est que les personnes qui rejettent l'humour et la légèreté sont des sortes de Félix à 17 ans mais, qui ne grandissent pas eux. Ils restent bloquer à l'étape "maturité de façade" et n'arrive pas à accepter que c'est normal d'aimer des choses codifiées comme étant enfantine. Je ne doute pas que pour une partie, c'est une question de gout, et on se doit de les respecter si tel est le cas (s'ils respectent aussi les gouts de leurs interlocuteurs) MAIS, pour une autre partie, il s'agit d'une opinion selon laquelle "ce qui sombre et tragique est adulte et donc respectable, alors que ce qui est léger et amusant, c'est pour les enfants et, en bons adultes très adultes et matures, nous n'aimons pas / rejetons notre amour pour cela et nous tournons en dérision les personnes qui assument de les aimer, enfants comme adulte". Et là, il y a matière à débat pour dire "ce qui est vraiment mature ou pas", débat que je ne trancherais pas, je n'en ai pas la prétention, mais je pense que c'est un début de réponse à cette situation.
Veuillez m'excuser pour ce pavé surement bourré de faute d'orthographe, et merci à ceux qui le liront pour leur attention.
Lowkey starting to hold a bit of resentment (or maybe just bemusement or exasperation) for an aspect of the FE community, but it’s hard to know what for.
It’s like… there’s this almost not-so-subtle disdain for humor or lightheartedness that some people have when it comes to Fire Emblem games. And I feel it’s almost exclusively because “Political Drama and Tragedy” is just… preferred.
And it’s not just for Fates, but it happened with Awakening as well, and probably with other games.
My gut tells me “People are holding stories like Jugdral on such a high pedestal, that most instances of story telling that aren’t consistently melancholy, political and tragic get treated as terrible writing”. And I love the Jugdral games’ stories, don’t get me wrong, but games don’t have to fulfill a checklist to have good writing,
Not every game needs to have robust politicking. Not every game needs to have excessive and brutal tragedy. Not every game needs to have a constant cloud of “This is war, and war is hell, don’t you understand” over it’s head. Fire Emblem isn’t popular just because of its war stories, its popular for many other different things.
And I get it, people don’t want the tone to be mangled up, but there’s a difference between “I just killed Seteth and his daughter and caused Rhea a bigger mental breakdown, oh well time for a tea party with my cute students~” and “These characters are having wacky contained adventures in a support conversation”.
These games are colorful and fun and full of charm. Let the devs make things other than what you personally want. Try to play and accept games for what they are, not for what they never tried to be. This mindset applies to more than just FE, too.
#fe3h#juste mon avis de curieuse#j'aime ce jeu#analyse de Félix ? Peut-être... au moins sur son immaturité et son traitement#l'équilibre crée par le jeu entre la route des Cerfs et celle des Lions est très bon à mon avis#une route unifiée s'il vous plait#avec la présence des aigles pour parler de la manière dont on se décide à combattre son propre pays + la partie avec Seteth Flayn et Rhéa#j'aime beaucoup cette famille de dragon si humains#CF par contre... n'en parlons pas. Juste ne parlons pas de ce gâchis total qu'est CF alors que cela aurait été une bonne route de méchant#mais comme route romantique et héroïque... hierck...#personne ne lira jamais ça - surtout que j'écris ça en français...#mais j'aime bien noter mes pensées quand même#ça me fait ma boite à réflexion à réutiliser plus tard pour mes écrits
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L1-C2-03 Quelques valeurs intéressantes
L'acceptation : accepter l'autre tel qu'il est avec ses qualités et ses défaut pour la personne qu'il est ; par opposition à l'ignorance, le fait de ne pas considérer autrui comme une personne existante.
Le respect : accepter les décisions et les choix d'autrui autant que sa manière d'agir, qui n'est pas forcément en respect de nos propres valeurs. En outre, le respect permet de considérer, reconnaître, valoriser et apprécier les droits autant que l'existence des autres individus. Par opposition au rejet qui refuse le droit à autrui d'être tel qu'il est.
La considération : accepter l'avis et l'opinion d'autrui sur un sujet autant que sur le travail qu'il accomplit. Par opposition à la dépréciation qui consiste à critiquer de manière négative toute entreprise d'autrui.
Appréciation : action de considérer les actions d'une personne, sa manière d'être ou simplement sa présence et le lui faire ressentir. Par opposition au déni qui dénigre et refuse toute valeur apportée par une personne qu'elle soit matériel ou présence physique ou avis sur un sujet.
L'écoute : être à l'écoute de l'autre sur ses problèmes ou réussites sans pour autant juger ou critiquer ; être une oreille attentive et un confident. Par opposition à l'indisponibilité qui refuse toute attention à l'autre quel qu'en soit le sujet.
La bien veillance : savoir conseiller ou orienter l'autre pour qu'il se dirige vers un mieux-être. Par opposition à l'insensibilité qui se refuse à toute écoute et conseils.
L'empathie : l'art de pouvoir se mettre à la place d'autrui et de comprendre ses sentiments et émotions. Par opposition à la froidure qui consiste à ne pas considérer qu'un acte ou une parole puisse être blessante pour la personne visée.
Savoir prendre soins : autant de soi que de l'autre en étant à l'écoute, en apportant un soutien moral, physique ou financier sous forme d'aide sans en attendre de retour. Par opposition à l'ignorance qui consiste à ne s'occuper que de soi voir à utiliser les autres à son propre avantage.
Le partage : consistant à savoir partager ce que l'on possède (en savoir ou en bien matériel) autant que nos limites, nos questionnements et dilemmes éthique avec autrui (les limites étant le moment ou ce qui est agréable devient oppressant ou gênant). Par opposition avec l'égoïsme qui consiste à tout garder pour soi et ce quel que soit le type de sujet.
La transmission : le fait de pouvoir enseigner à d'autre, que ce soit nos valeurs ou savoir sous forme d'éducation ; ce qui inclus de pouvoir « comparer » des cultures et accepter le dialogue. Par opposition au non dialogue et au refus de l'autre.
Privilégier la réconciliation : incluant le fait d'admettre que l'on peut avoir tort sur un sujet, savoir présenter ses excuses et offrir son pardon. Par opposition avec le conflit permanent refusant le dialogue, le respect et les excuses.
Contribuer au climat de paix : en agissant pour le mieux du groupe dans lequel nous nous trouvons en donnant des attentions aux autres, de l'écoute, de l'aide ou de la chaleur humaine. Par opposition à la colère perpétuelle, qu'il s'agisse de la nôtre ou celle d'autrui voir penser que nous sommes impuissant face à des réflexes violents.
La sincérité : qui permet de s'exprimer avec vérité (ou au moins sa vérité sur un sujet) sans avoir à cacher ses intentions réelles. Il s'agit de dire ce que l'on pense et d'agir en conséquence. Par opposition au mensonge, qu'il soit volontaire ou par omission, la tromperie ou la trahison.
Le pardon : qui consiste à savoir tirer un trait sur le passé et de donner une nouvelle chance à une personne suite à une mauvaise action reconnue et repentie. Par opposition à la vengeance envers celui qui nous a blessés.
Être responsable : la conséquence de joindre l'obligation, le devoir et l'engagement, la responsabilité garantit que nous respectons les engagements pris. Par opposition à l'irresponsabilité qui consiste à n'agir qu'à sa guise et en ne finalisant pas nos actes annoncés.
La critique constructive : fait de pouvoir accepter les actes d'autrui et de l'aider à évoluer en soulignant autant ce qui est juste que ce qui est faux sans pour autant dévaloriser cette personne. Par opposition à la critique négative qui consiste à ne souligner et mettre en avant que les échecs sans aider à les transformer en réussite.
La ponctualité : le fait d'arriver à l'heure à un rendez-vous donné, voir un peu en avance par respect pour son interlocuteur ou de terminer un travail à un moment précis, voir réaliser une action à un moment donné; la ponctualité génère la confiance entre les personnes. Elle est à la fois considérée comme une vertu et comme une valeur. Par opposition au retard qui consiste à ne jamais tenir compte d'un délai fixé sans raison valable.
L'optimisme : la capacité de faire face à des situations difficiles sans diminuer son humeur tout en étant constant et persévérant ; c'est la capacité de voir les choses d'une manière positive en faisant confiance à nos propres capacités ou celles de ceux qui nous entourent. Par opposition au pessimisme qui consiste à ne voir que les côtés négatifs de chaque action entreprise.
La gratitude : est à la fois une valeur et une vertu consistant à savoir remercier ceux qui nous ont aidés de quelque manière que ce soit. Par opposition à l'ingratitude qui consiste à ne pas reconnaitre l'aide reçue et donc à ne pas savoir remercier autrui.
La patience : est la capacité de comprendre, soutenir et tolérer les problèmes de toutes sortes ; autant les siens que de la personne à qui nous apportons notre aide. C'est aussi savoir attendre le bon moment pour agir ou demander de l'aide. Par opposition avec l'impatience qui nous fait vouloir tout immédiatement sans aucunes tolérances sur les disponibilités ou agréments des autres.
L'humilité : consiste à être conscient de ses propres limites (intellectuelles, physiques, matérielles ou encore en compétences sur un sujet donné) autant que de nos faiblesses. L'humilité est à la fois une vertu et une valeur permettant d'agir sur nos limites et nos faiblesses par l'apprentissage et la pratique. Par opposition à la vantardise qui consiste à se croire supérieur non seulement aux autres mais à ses propres compétences ou savoir.
La maitrise de soi : la capacité à gérer ses émotions qui sont dérivées et influencées par notre caractère ; cela permet d'agir sereinement face à un événement donné. Par opposition à la précipitation qui consiste à agir sur le coup des émotions autant que par pulsion au lieu de la réflexion et la sagesse.
La docilité : la capacité à accepter les conseils et l'orientation d'une autre personne souhaitant aider en faisant preuve de plus de compétences ou de connaissances. Par opposition à être entêté, agir selon ses propres idées et concept en refusant toute aide extérieur y compris de ceux maîtrisant l'action entreprise.
Je me limite à ces valeurs pour la simple raison qu'il s'agit là de toutes celles qui seront nécessaire autant pour se faire des amis que de créer une relation amoureuse... et en continuant de lire mes écrits, il s'agit également de celles requise pour pratiquer les jeux de couples ou de se lancer dans le bdsm. N'ayez crainte de chacun de ces termes, nous en verrons le sens et la portée dans les prochains livres. Croyez-moi sur parole à ce stade, vous êtes certainement loin de savoir exactement ce qu'est le bdsm et, admettons-le, l'image qui en est donné sur internet n'aide pas à en faire une pratique accessible à tous dans le cadre d'un mode de vie ou de jeu de couple... et pourtant, il s'agit là du jeu érotique et sexuel (ou non) le plus intense dont je puisse vous parler. Mais pour y parvenir il faut d'abord en dresser les contours ; le premier abord étant d'être une personne stable, agréable et mesurée. Dit autrement, être une personne responsable.
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Eldarya épisode 11
Originellement posté ici le 28 août 2016.
Bonjour !! o/ J’ai pu finir l’épisode jeudi dernier, c’est donc l’heure du traditionnel avis. Je ne sais pas si j’ai été affreusement chanceuse ou quoi (chérie, m’as-tu trompée ??), mais je n’ai dépensé que 2 700 maanas, et ce, en comptant l’achat complet de la tenue Maid of Phoenix. Le préambule étant fini, attaquons-nous au fond de l’affaire. Accrochez-vous à vos chaussettes, ça va être long. Mais j’ai mis des gifs, parce que je trouve ça rigolo.
Alors… J’avais à disposition une page bloc notes où j’ai noté tout plein de trucs qui me sont passés par la tête en jouant l’épisode. Je vais essayer de remettre tout ça en ordre, mais je ne promets rien.
UN DÉBUT CHAOTIQUE
On commence donc avec de la dragouille mignonne et embarrassée entre Erika et, pour moi, Valkyon. Et puis Erika se flagelle en se traitant inlassablement d’idiote. Meuf, tu sais, ce n’est pas grave, ça arrive d’agir sous l’impulsion. C’était pas des plus malins, mais bon, au moins, je t’en veux moins que si j’avais joué avec Ezarel, qui nous a clairement dit qu’il n’aimait pas être touché.
Puis arrive le premier objectif de l’épisode, qui s’avère être un objectif « trouve un tas de personnages, » ce qui a ravi tout le monde.
Donnons le ton.
Blabliblou, coucou Karenn, oui pardon j’attends que tu aies fini d’organiser une réunion tupperware avec tes copines hihihi <3, non j’ai pas envie de rentrer dans tes combines, ça m’intéresse pas d’espionner avec toi. Comment ? Je n’ai pas le choix ? Oh, merci, scénario. Comme ça, je saurai un peu en avance des infos que j’aurai dans quelques scènes. Les illuminatis et les templiers font leur retour. Moi qui croyais que c’était une mauvaise blague des premiers épisodes… Ah bah non. On apprend que des gens importants arrivent, et que du coup, va falloir augmenter la sécurité, mais attention, « sans être aussi extrême que la dernière fois. » Extrême ? Y’a juste eu un couvre-feu et trois gardes qui se sont souvenu qu’on était en guerre. Et on enquêtait sur des disparitions d’enfants et d’adultes. On ne doit pas avoir la même notion d’extrémité. Ça ressemblait plus à un pensionnat qu’à un poste de défense, si vous me le permettez. Et bien sûr, Nevra nous a grillées, et Erika se fait enguirlander alors qu’elle n’a pas vraiment eu le choix. Mais ! On a quand même l’occasion de s’expliquer avec Karenn, et on finira par apprendre que ce fameux « je sais tout » qui a fait couler tant d’encre n’était dû qu’à son ouïe fine et à sa curiosité (mal placée). Bon, y’avait pas de quoi fouetter un Maülix, et cette réplique n’était peut-être pas des plus nécessaires, de base. Et puis on a aussi la possibilité de lui dire le fond de notre pensée sur son comportement… J’ai choisi de lui dire que j’étais quand même moyen d’accord, qu’il fallait pas qu’elle s’étonne d’avoir des problèmes et que j’avais pas envie que ça me retombe sur le coin du nez. QUAND SOUDAIN, on se fait réprimander à coups de « t’avais qu’à pas venir avec moi ! » Pardon ?? Tu me rappelles à quel moment j’ai eu le choix ?? « Ah bah t’as pas d’opinion à toi ? » qu’elle me dit ? Mais c’est qu’elle commence à me faciliter le transit intestinal, celle-là !! Bon dieu, ce que je déteste quand les gens essaient de nous faire culpabiliser d’une action qu’ils nous ont forcé-e-s à faire… Oh, tiens, ça me rappelle quand même un peu le message d’Hikaru qui nous disait que si on maltraitait Alajéa faudrait assumer derrière, alors que bon, c’est pas comme si le jeu et le scénario nous avait poussé-e-s à le faire, notamment si on voulait augmenter le LoM avec les chefs de garde... Heureusement, Erika ne s’est pas démontée. Nan mais ho. Par contre, qu’elle qualifie ça de « dispute de collégiennes, » je ne suis pas entièrement d’accord. Je suppose que c’est de l’autodérision à propos des millions de commentaires sur l’idiotie de la gardienne (du moins, j’espère), mais franchement, c’est surtout Karenn qui s’est comportée comme une collégienne. Quand soudain, alors que je découvre avec stupeur que la chambre d’Erika est la seule à ne pas avoir de décorations sur le haut de sa porte (non, en effet, ça n’a rien à voir avec la critique de l’épisode), toute tentative d’intelligence de notre gardienne favorite s’évapore à la scène suivante, quand elle s’interroge sur le lien qui unit Karenn et Nevra. Forte de son esprit de déduction et de son sens de l’observation à toute épreuve, Erika se dit qu’ils doivent être frère et sœur, car ils s’entendent bien, sont tous les deux des vampires et ont tous les deux des cheveux noirs (oui, « des » pas « les, » grâce à la perruque volée à Mélanie Martinez par Karenn). Je me dis alors que c’est stupide : deux membres d’une même fratrie ne s’entendent pas automatiquement bien (ça se saurait, sinon), et euh… Je suis pas sûre d’avoir besoin de m’expliquer sur le reste. Et c’est là qu’intervient un ascenseur émotionnel : Karenn a une parfaite répartie, mais elle s’ouvre sur ces trois choix de réponse… « Si je te dis "regarde Eweleïn, ses cheveux sont blancs presque bleus et c'est unE elfe," penseras-tu que c'est la sœur d'Ezarel ? » - Pourquoi pas, je ne connais pas grand-chose d'Ezarel, après tout. - Ils n'ont pas l'air d'être très proches, cela m'étonnerait. (gngngngngngngngn) - Je n'en sais rien, tu me poses une colle… J’ai choisi la 3, parce que, Jean-Michel Sarcasme étant un ami proche, je me suis dit qu’Erika aurait peut-être l’idée de l’invoquer. Après tout, cela lui est déjà arrivé. Karenn : « Tu me diras quand tu seras sûre de toi, alors. » Erika : (Elle est partie en me laissant sans réponse. Se pourrait-il qu'ils soient frère et sœur ?)
Le facepalm est total.
Erika, viens par là, faut que je te présente mon pote Jean-Michel Sarcasme. Et aussi Jean-Michel CaptainObvious. Ils s’entendent bien. Ils sont sûrement frères. Bon, après ça, Erika décide bravement d’aller demander des nouvelles de nos valeureux hommes, parce que le boulot pour la garde, ça peut bien attendre sa prochaine session d’ennui. Tout se passe bien avec Ezarel et Valkyon, puis arrive Nevra, tout en délicatesse avec son histoire de fessée. Comme j’ai un minimum d’estime de moi-même, je lui ai dit qu’il était lourd, et là, il m’a bien gentiment répondu qu’il allait m’appeler « la râleuse. » Bon, vous me direz, j’ai l’habitude. Et puis ça fait longtemps que j’ai compris que, lorsqu’on ne rigole pas à une blague que l’on trouve de mauvais goût, c’est forcément qu’on a pas d’humour. Puis ça continue en discussion sur Karenn, où je me vois obligée de répondre à Nevra qu’elle ne m’a rien dit de particulier alors qu’elle a été d’une mauvaise foi incroyable (est-ce qu’on pourrait avoir des choix avec au moins une réponse intelligente dans le lot merci bsx), et quand Erika pose la question fatidique du lien entre Nevra et Karenn, voici que le vampire nous gratifie de cette merveilleuse réponse : Erika : Allez, réponds-moi ! Nevra : Non, ce sera ta punition pour nous avoir espionnés. Erika : (Je l'ai bien méritée, celle-ci.)
Moi devant cette scène.
J’ai pas les mots pour décrire à quel point les gens qui refusent de répondre à une question juste parce que ça les fait marrer de voir leur interlocuteur/trice chercher (coucou Eweleïn) méritent le bûcher. Un peu après, quelqu’un (j’ai oublié de noter qui) nous parle des portails, mais ça ne m’a pas avancée, au contraire. Apparemment, certain-e-s humain-e-s connaissent l’existence des portails/cercles de champignon et les empruntent régulièrement. Faudra me dire à quel moment le reste de l’humanité ne s’en est pas aperçu, parce que perso, je ne crois pas une seule seconde qu’une telle chose n’ait pas fait plus de bruit, surtout si une mini-armée s’est barrée par un portail pour taper du fenghuang. Et puis d’un coup, comme ça, on apprend qu’Eldarya, « ce n'est pas un monde en guerre… Mais il n'est pas non plus en temps de paix, je sens bien les tensions qui règnent. » … Pardon ?
A quel moment j’ai changé de jeu ?
Alors certes, on vous a reproché de ne pas nous montrer assez à quel point Eldarya va mal, mais là vous ne pouvez pas vous en tirer en faisant passer encore une fois la gardienne pour une débile et vous asseoir sur tout ce que vous avez dit dans les premiers épisodes ! Vous nous avez parlé de famine, de rationnements, d’enlèvements, de créatures maléfiques qui se baladent partout, de conflits (y’en a même dans cet épisode), le but premier de la garde d’Eel est d’être un poste de défense, il y a même un refuge pour tous les gens victimes de la fragmentation du cristal, et maintenant, parce que vous arrivez pas à rattraper l’ambiance de guerre, vous décidez que, pouf ! Y’en a plus ? Non, c’est pas possible. Vous avez sérieusement besoin de quelqu’un qui sait faire des scénarios corrects, vraiment. Que vous ayez du mal à rattraper certaines erreurs, ça passe déjà moyennement, mais qu’en plus vous essayiez de les corriger de façon aussi grossière, c’est vraiment pousser mémé dans les orties. De même un peu après, où la gardienne trouve Karenn en train de se faire gronder par Karuto pour les rations. Ah oui, tiens, c’est vrai, on avait parlé de rationnement mais les joueurs/euses nous ont fait la remarque pour le pique-nique, du coup la gardienne réalise qu’elle « n’a pas participé aux rations » (quelle que soit la signification de cette phrase). Si l’engueulade de Karenn était prévue depuis la scène du pique-nique, bon, ok, j’ai rien dit, mais je vois quand même pas à quoi ça sert de faire encoooore passer Erika pour une décérébrée, ni pourquoi Karenn n’est pas plus lourdement sanctionnée (de même qu’Alajéa et nous-mêmes, vu qu’on a participé au pique-nique), et si c’est, comme je le soupçonne, suite aux remarques de la communauté, va vraiment falloir arrêter de faire passer vos corrections par le personnage qu’on joue, parce que ça commence à me courir sur le haricot d’être obligée d’incarner un personnage qui se rend compte toutes les deux scènes qu’elle n’est qu’une imbécile, sous prétexte que vous ne savez pas anticiper sur les détails importants de votre propre histoire. Aparté : c’est très bien de prendre en compte les remarques des joueurs/euses sur les incohérences. Cependant, ces remarques, on ne devrait même pas avoir à les faire, tant elles portent sur des choses complètement évidentes, ou alors sur des choses hyper importantes de l’histoire (la nourriture, les portails…) que vous devriez maîtriser un minimum. Or, ce n’est pas le cas. Et on finit par avoir l’impression que c’est votre communauté qui écrit l’histoire à votre place. Alors soit vous arrivez à écrire un scénario sans incohérence grosse comme une maison, soit vous apprenez à vous corriger sans devoir rendre la gardienne encore plus gourdasse et sans vous embourber encore plus dans vos erreurs. Et en plus de ça, le loup-garou Chrome se transforme en canard pendant que mademoiselle Karenn abuse totalement de son influence sur lui. Au moins, bien fait pour elle, il lui donnera une boisson qui sert à rien, puisque faite avec des éléments de notre monde (quoi qu’apparemment, ils retrouvent leurs propriétés nutritives sous la forme de boissons. TGCM). Contente d’avoir revu le QTE, mais j’aurais préféré être prévenue, parce que ça fait 6 mois que j’ai fait l’épisode 9, que je savais plus forcément tout de suite comment on jouait, et surtout j’ai perdu quelques secondes à comprendre que le QTE me tombait sur la tronche lol
PRÉPARATION À L’ARRIVÉE DES FENGHUANGS
Bon, après ces débuts laborieux, on entre enfin dans la partie intéressante… Miiko, qui a soudainement trouvé une dose d’autorité en scénarium dans son paquet de céréales ce matin-là, puisque « contrairement à la fois dans la cantine, elle n'a pas eu à hausser le ton pour qu'on l'écoute, » nous annonce ce que nous avons été forcé-e-s d’apprendre un peu plus tôt : nous allons avoir la visite d’un émissaire rock-star venu du peuple attaqué par les humain-e-s, qui s’en vient récupérer un artefact de chez eux ramassé par nos chefs de garde, qui se trouve être la « flûte de Hameln-Weser, » parce qu’on aime se la péter à donner les noms de bled en VO alors qu’ils ont un nom dans notre langue. Notons la présence d’ombres diverses et variées pour marquer la présence de monde dans la salle, ce qui est, sincèrement, tout à fait appréciable. Cela donne de la vie au QG, et c’est une réponse bien plus discrète que d’autres sur les remarques de la communauté à ce sujet. On a aussi droit à un flashback pour nous rappeler ces histoires d’illuminatis et de templiers, ce qui n’est pas négligeable non plus, même si je me demande bien ce qu’ils peuvent fiche ici (bien que j’imagine que ça soit une histoire du genre, les illuminatis, les templiers et les reptiliens sont en fait des organisations dont le but secret est de s’emparer d’Eldarya et de ses pouvoirs, comme on a eu à l’époque la société de Thulé et compagnie). Erika comprend enfin le système de bibliothèque et va y faire un tour. Il faudra cependant la prévenir qu’une partie des informations importantes n’est pour l’instant disponible qu’en langues étrangères. Elle s’étonnera même, plus tard dans l’épisode, de la quantité de livres qu’on peut y trouver, se disant littéralement qu’il y en a beaucoup trop, et je me demande bien à quoi elle s’attendait en rentrant dans une bibliothèque. Puis elle effectue quelques menues missions (ah, cette fois, elle a trouvé de quoi s’occuper, elle progresse), et nous avons la surprise de nous voir offrir un incubateur gratuit par Purral, et je vous en remercie. Puis on croise Alajéa qui se plaint de devoir effectuer une mission pour le Purreko tout timide dont le nom m’échappe, et j’ai décidé de ne pas la faire à sa place, parce que je sens très fort que c’était ce qui m’attendait si je lui répondais que j’avais fini ma propre mission lol Ensuite, Karuto insulte notre tenue (qui doit encore être celle offerte par Miiko à l’épisode 5 ou 6, donc, hein, c’est pas à Erika qu’il faut s’en prendre), ce qui nous pousse à aller en acheter une au marché pour se faire belle pour la « Lady GaGa » locale, comme dirait notre gardienne. Je parlerai de la tenue plus tard (spoiler : c’est positif !). Et lol j’ai pas pris au sérieux le « pense à les équiper pour vivre pleinement ton épisode, » jusqu’à ce que je réalise que ça voulait dire « allez, magne-toi d’enfiler ta nouvelle tenue flamboyante ! » x) Après la révélation divine d’Erika, qui réalise si peu subtilement qu’elle devrait apprendre à connaître un peu plus les membres de la garde d’Eel, on en vient au point central de l’épisode…
HUANG HUA
Tout d’abord, on va pas s’mentir, j’ai eu un coup de foudre au premier regard, mais on reparlera plus tard de son physique, vous en faites pas. Ensuite, tout le monde (Erika et la communauté) s’étonne de l’avoir prise pour un homme. Non, les ami-e-s, il n’y a rien d’étonnant à cela. Peu d’entre nous sont habitué-e-s aux noms à consonance chinoise, ou connaissent la légende des fenghuangs (sur laquelle je suis allée me renseigner, car je ne connaissais pas du tout), dans laquelle ces oiseaux de feu sont désignés par huang pour les femelles et feng pour les mâles (Wiki est mon ami lol). Je salue la recherche et la prise d’information. Ça doit être pour compenser la « cuisine moyenâgeuse » de l’épisode 10, qui a fait grincer des dents nos ami-e-s historien-ne-s et toute personne avec un peu de culture générale. Donc oui, je disais, c’est normal d’avoir cru que c’était un homme quand on ne s’y connaît pas en noms chinois, et la société patriarcale dans laquelle on vit nous fait mettre le masculin par défaut quand on sait pas. Nous découvrons donc Huang Hua, accompagnée de son chaperon Feng « Zif » Zifu, que j’appellerai désormais Cif, parce que ça me fait rire et que je n’ai plus de respect. Nous découvrons également que Hua s’adonne à des taquineries crypto-lesbiennes avec Miiko (et que Karuto est en kiff total sur Cif), et si c’est là votre façon d’introduire un personnage queer dans l’histoire, permettez-moi de vous dire que c’est très mal fait. J’attends que ça, une femme non-hétéro (ET DRAGUABLE) dans un jeu de drague, mais si c’est pour que ce soit révélé à coups de « lololol je n’ai d’yeux que pour toi, Miiko <3 » « non arrête t’es pas drôle, Hua » « t’inquiète Erika c’est juste qu’elle est spéciale » je suis pas d’accord. Et puis ce genre de scènes, même avec des hétéros, je trouve pas ça drôle (insérez ici un Nevra qui me traite de râleuse lol). Y’a eu un moment où, sans que je comprenne bien pourquoi, Erika se fait traiter de « précieuse. » Bon, peu importe ?? Et puis on essaie de redorer le blason de Miiko, complètement entaché par son incompétence visible aux yeux de tout le monde, mais qui, on le découvre, s’y connaît grandement en éducation et en noblesse, sous son tempérament colérique et… « Autoritaire. » Ça y est, elle a réussi à se faire entendre une fois en 11 épisodes, et elle est autoritaire. Faudrait pas qu’on ait une mauvaise image du self-insert qui sert de PNJ principal. Perso, le fait d'essayer de gommer ses défauts comme ça, ça ne fait que renforcer la détestation que j’ai pour ce personnage. Puis on se balade un peu avec Hua, où on découvre une personne chaleureuse, mais un peu envahissante. Je ne suis pas sûre d’avoir réussi à la cerner complètement, mais je ne peux m’empêcher de la trouver attachante par certains côtés. Mais le voyage fut éreintant, et la fenghuang a besoin de se reposer. J’ai choisi d’aller à la bibliothèque en attendant (mais bon, de ce que j’ai compris, j’aurais fini par y aller de toute façon), et j’ai lu Les Portails pour les Nuls, parce que j’adore les références subtiles. J’avais un peu peur, vu comme vous maîtrisez vos portails autant que nous. Et là, après qu’Erika s’est souvenu par la magie du scénario qu’elle doit penser à sa famille et ses ami-e-s, Ykhar nous tend un petit fascicule qu’elle appelle un livre de « recettes » (mon cœur a alors eu un raté, la peur de voir le sujet de la cuisine abordé une nouvelle fois me paralysant), contenant le moyen d’ouvrir les fameux portails… En résumé, faut un dragon. Un dragon. Je crois que ça complexifie encore plus cette histoire de transits de nourriture, et surtout de personnes. S’il faut trouver un dragon à chaque fois qu’il faut aller chercher sa bouffe, c’est encore plus compliqué que ce qu’on croyait ! Remarquez, cela explique peut-être le niveau de rareté du Draflayel, et je suppose que les joueurs/euses qui en possèdent un vont les regarder sous un autre œil, à présent… x) Et puis de toute façon, « on a pas l’niveau pour les dragons. » (Oui, avec un pseudo comme le mien, faut bien que je finisse par faire des références à Naheulbeuk, au bout d’un moment.) Le lendemain, nous passons donc la journée avec Hua. Un peu après qu’Erika s’est fait traiter de « pécore » par Cif, Hua est arrêtée par une horde de petits enfants qui veulent l’entendre relater l’histoire de son grand-père, et l’on découvre que cette histoire n’est autre qu’une adaptation du Joueur de Flûte de Hamelin (et avec l’indice donné dans les spoils, va falloir m’expliquer à quel moment on aurait pu deviner qu’il s’agissait de ce conte, à part en devinant au hasard lol), mais encore une fois, c’est apparemment plus drôle de donner le nom en allemand plutôt qu’en français, mais à part à étaler sa culture, ça ne sert absolument à rien. De même lorsque l'on s’évertue à écrire Hameln au lieu de Hamelin. Nous en apprenons donc plus sur le monde d’Eldarya et sur le Grand Exil des faëries, qui aurait donc commencé durant la période où se déroule l’histoire du joueur de flûte, il y a donc un peu plus de 700 ans environ, si on se base sur le fait que le « départ des enfants d’Hamelin, » qui aurait inspiré le conte, s’est produit en 1284 (oui, quoi, j’ai révisé mes classiques (enfin, mon Wiki), ça peut pas me faire de mal). Du coup, ça soulève pas mal de nouvelles questions chez moi : les faëries terriens ont-ils toujours vécu sur Terre ? Sinon, comment se sont-ils retrouvés là ? Si oui, comment connaissaient-ils l’existence d’Eldarya ? Bref, blablabla, on achète des trucs et on se retrouve à siroter un truc dans l’herbe avec les trois chefs de garde, parce que YOLO, la p’tite humaine a des privilèges de ouf, et les boissons ne comptent pas dans le rationnement. Et puis, tant qu’à faire, Karenn et Alajéa finissent par se ramener, interrompant le tête-à-tête d’Erika et de son CDC. J’ai beaucoup aimé quand Erika a taclé Nevra et Ezarel en leur disant que Valkyon était beaucoup plus réfléchi qu’eux. S’en suit une discussion entre « hommes, » avec hommes entre guillemets parce que… Parce que je sais pas, et on devine que CDC n’est pas indifférent à la gardienne. Ça se précise ! On finit par se retrouver dans la Salle de Cristal à assister à la réunion pour laquelle Hua est venue à Eel à la base, parce que Hua veut absolument notre avis, et nous, même si on trouve qu’on a pas trop notre place à cette réunion, ben elle nous y traîne quand même lol. Et on se voit obligé-e de dire qu’on a accepté de venir là à la demande de Hua, alors qu’encore une fois, on a décidé à notre place, mais bref. Vient ensuite la réunion la plus inutile de l’Histoire, où il faut décider ce qu’on va faire du pipeau du papy de Hua. Et là, on demande l’avis d’Erika. Peu confiante, je clique sur « Exprimer le fond de ma pensée, » et là, surprise ! Erika a exprimé tout ce que j’aurais voulu dire : à quoi ça sert de tergiverser trente ans, puisque la flûte appartient aux fenghuangs, qu’ils sont pas en guerre avec Eel et qu’au final c’est pas nos affaires ce qu’ils font de leurs reliques ?? Du coup, tout ça pour, au final, se retrouver avec Hua qui récupère ce qui lui appartient de base et qui se barre avec. C’était quand même un peu pour ça qu’elle était venue. Je voulais l’illu alors j’ai pleuré le départ de Hua et Cif avec le reste de la garde, mais dans le fond, j’aurais plutôt eu envie de dire qu’effectivement, y’avait pas mort d’homme, pas là peine de se mettre dans tous ses états pour ça. Et on apprend également le super pouvoir de Hua : savoir quand y’a des gens qui aiment beaucoup une personne en particulier. Je… Je trouve ça nul, comme pouvoir. Enfin ça sert pas à grand-chose… Je suis sceptique… Bref, Hua s’en va sur une phrase plus ou moins énigmatique chuchotée à Erika et qu’on pourrait traduire par « Y’a un ou deux gars qui te kiffent, meuf ! » et c’est la fin de l’épisode !
Bravo à vous si vous n’êtes pas encore mort-e-s d’ennui devant mon message. Cette fois-ci, j’ai décidé de relever toutes les erreurs que j’ai pu trouver. Il n’est bien sûr pas impossible que j’en aie loupées. "Finis les vacances" -> Finies "Je ne dirais rien si on ne me pose aucune question." -> Dirai "Je lui en fit part." -> Fis On dit "faire office de quelque chose", pas « cela fera office » tout court. "J'ai appris de nombreuses choses que je n'aurai jamais dû savoir." -> Je n’aurais "J'aurais toujours le temps" -> J’aurai "Je ferai mieux de tout lui remettre." -> Je ferais "Je saurais par quoi commencer en le lisant" -> Je saurai "Le faery acceptât" -> ?? Accepta !! Il y a eu une bulle hors-champs de Leiftan, où il dit qu’il est « désolée » "Je ferai mieux d'attendre Huang Hua devant sa chambre" -> Ferais "Je ne voudrai pas mettre votre sécurité en péril" -> Voudrais "Huang Hua m'a demandé si je souhaitais bien assister à votre réunion…" -> alors soit « si je souhaitais assister » soit « si je voulais bien assister » mais pas un mélange des deux lol "Les plus objectifs qu'il soit" -> qui soit, ou qui soient (je ne me souviens plus du début de la phrase) Tout cela dénote au mieux une très mauvaise relecture, au pire, pas de relecture du tout. Vous ne pouvez pas vous permettre de continuer à laisser passer autant d’erreurs, qu’elles soient grammaticales ou syntaxiques. Le centre de votre jeu, c’est l’histoire racontée, alors ayez au moins la décence de vous relire correctement, que diable… Là, on parle pas d’une ou deux coquilles sur tout un roman, on parle d’erreurs grammaticales répétées (et souvent parfaitement évitables… Ce « acceptât » !!). Alors même si des efforts ont été faits, il faut continuer dans la lancée. Ce n’est absolument pas normal de continuer à laisser passer autant d’erreurs. Je voudrais relever le « bordel » de Miiko, je le trouve déplacé. Je note aussi le « keep calm » de Karenn. Vous voulez faire quoi, exactement ? A quoi ça sert de caser cette expression ? A quoi ça sert de garder le titre du conte et le nom de la ville en allemand ? En quoi c’est justifié ? Ce sont de vraies questions, parce que, de prime abord, ça ne sert à rien. On a des mots et des titres en français pour ça, y’a des gens dont c’est le métier de traduire ces trucs exprès, alors pourquoi les garder en VO ? Il en va de même pour la « race » de Miiko : c’est vraiment obligé de l’appeler « la kitsune » alors qu’on a un mot qui signifie exactement la même chose en français ? Qu’est-ce que ça changerait de l’appeler « la renarde » ? EDIT pour Sylfe : Merci pour ces infos ! L'emploi du terme japonais pour différencier l'animal renard de l'esprit renard du folklore peut se justifier, en effet, mais bleh, j'trouve ça dommage qu'on n'ait pas pu trouver un mot ou une expression pour le français x) En vrai c'est surtout que j'aime pas quand les gens utilisent des mots étrangers à la place du mot français, du coup j'ai pas pu m'empêcher de réagir lol Je remarque également un manque flagrant de virgules en général dans la rédaction. Je vais pas faire une liste parce que voilà, mais pensez à en mettre plus pour aérer les phrases. Une dernière chose : je trouve la gardienne quand même bien familière lorsqu’elle parle des chefs de garde comme « des gars. » Je sais qu’elle est censée être proche d’eux, mais quand même, ils ont pas gardé les cochons ensemble, et bon, ils sont censés être ses supérieurs.
J’ai a-do-ré l’illustration de Leiftan. Je la trouve très belle, très tendre. De plus, je trouve qu’Erika a un très joli visage sur cette illu. Je suis moins fan de celle avec Huang Hua, parce que je trouve que Hua regarde plus dans le vide qu’elle ne regarde la gardienne. En parlant d’elle, au premier coup d’œil, je l’ai trouvée vraiment très belle. C’est toujours le cas, hein, j’adore notamment son visage, avec ses beaux sourcils (j’ai une obsession avec les sourcils, cherchez pas), et aussi je trouve ça cool qu’on ait un personnage noir. Par contre, je trouve qu’il y a un problème avec ses seins, ils ne font pas naturels du tout (je sais pas s’il y a la chirurgie esthétique à Eldarya lol Remarquez, au pire, s’ils sont refaits, je ne juge pas, chacun-e fait ce qu’il/elle veut de son corps), ou en tout cas, ils me semblent trop écartés. Je trouve ses bras trop maigres, aussi. Quant à la tenue… Je suis soufflée. Elle est très belle et très réussie. Je suis un peu moins fan des manches de la robe, mais je pense pouvoir m’amuser avec le reste des vêtements.
Tout d’abord, ENFIN !! Enfin, vous avez mis une nouvelle tenue dans la boutique, mais surtout, ENFIN !! Enfin, vous avez mis une tenue en maanas, et à un prix vraiment abordable !! Quand j’ai vu la robe à 250 maanas, alors qu’un truc comme ça, surtout en event, ça serait plus de l’ordre de 250 PO, j’étais vraiment contente. Restez dans cette optique, touchez plus à rien, et faites comme ça à chaque fois !! Je suis contente de voir que les nouveaux lieux ne soient ni trop énergivores, ni trop chronophages… Bien que tout soit relatif, parce qu’honnêtement, même une demi-heure, ça devrait être la limite maximale. J’adore la robe courte, j’ai vraiment hâte d’en trouver en explo (surtout en rose *-*) Et c’est tout bête, mais je suis vraiment contente qu’on ait un tout nouveau familier à trouver, ça faisait depuis Noël que ça n’était pas arrivé. Je parle d’un familier qu’on n’aurait pas croisé dans un épisode, qui n’aurait pas été teasé par le staff ou qui n’existait pas déjà sous une autre forme (et je parle de familier accessible à n’importe qui, du coup je ne compte pas le Bunraku lol). Je le trouve trop mignon ! Juste, je sais pas si c’est parce qu’il est sûrement tout petit ou quoi (quoi que, je ne retrouve pas cet effet sur le Musarose ou le Draflayel), mais sur les images que j’ai vues, son trait de contour m’a l’air très épais, ça fait un peu bizarre. Bref, je me demande à quoi il ressemblera une fois adulte.
Moi aussi, j’ai cru qu’on n’y arriverait jamais. J’ai plutôt aimé cet épisode. J’ai trouvé qu’il y avait de très bonnes idées. Je sais, je sais, on dirait pas, comme ça. Mais j’aime bien le principe des fenghuangs, du Phénix, tout ça. J’ai bien aimé Huang Hua, j’ai bien aimé que notre gardienne commence à se prendre en main et ait parfois des remarques plus que pertinentes. Mais voilà. Encore une fois, il y a de bonnes idées, mais il y a toujours des taches d’ombre au tableau. La syntaxe approximative et les erreurs de grammaire qui continuent de passer. Les incohérences très mal corrigées, ou pas corrigées du tout. Franchement, ça me coupe dans mon immersion. On dirait vraiment que votre scénario n’est pas défini (j’espère sincèrement que ce n’est pas le cas, mais vous me faites parfois vraiment douter). Et cela commence à partir un peu trop dans tous les sens, il y a beaucoup d’intrigues commencées sans qu’on n’ait vraiment de fil conducteur ou de liens entre chaque événement : les enlèvements d’enfants Kappa, le bateau disparu, le Grand Cristal, l’Homme Masqué, les humain-e-s qui passent par les portails… Enfin bon, je me suis quand même amusée à écrire ces 9 pages Word, j’espère que ce n’était pas trop indigeste x) A bientôt.
#mes avis#l'introduction des gifs !!!#bon on peut pas réduire la taille du texte du coup rip la mise en page#puis j'avais deux gifs qui marchaient plus#eldarya épisode 11#eldarya#eldarya the origins
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Texte 322 - La mauvaise graine
Zoom Your Frasq 8/4/20 Carcassonne _ Participer avec grand enthousiasme à un événement incompris, voire détesté par nos proches et autres spectateurs de passage qui nous écrivent pour donner leur avis sur ce bordel indescriptible. Ça m’excite encore plus. Comme si nous cultivions entre « pairs-formeurses » une sorte de mauvaise graine. On nous cite souvent l’exemple réussi du Boléro de Ravel par l’Orchestre national de France, mais cela n’a rien à voir : C’est pas sur Zoom, C’est pas du live, Chaque artiste a enregistré en amont et en solo sa partie musicale, Puis il y a eu 45 heures de montage. C’est superbe, mais ça n’a rien à voir. Nous c’est du Live et sur les deux heures peuvent surgir quelques pépites. Inattendues, Innenvisageables, Improgrammables. ZYF, c’est un bordel de type « ateliers d’artistes », il faut aimer fouiller, chercher dans les recoins, mettre en lumière telles pièces, délaisser d’autres... On y balance tout, tu prends ce que tu veux, tu peux venir une minute ou deux heures, dans tous les cas on t’en voudra pas. Ce qui compte c’est qu’on « fasse » à la fois en solo et ensemble. On réfléchit un peu avant, pendant et surtout après avoir fait. Au début j’étais convaincue que sans le public cette action perdrait tout son sens. Mais après le deuxième ZYF, je réalise que l’enjeu n’est pas du tout le public, mais les deux heures d’expérience entre « performeurses » via l’outil Zoom. Alors on va laisser ouvert au public, parce que cela satisfait nos côtés exhib’ ici révélés -si on en doutait encore-, mais l’enjeu c’est le travail. La recherche solo dans un temps collectif virtuel. Recherche parsemée d’enthousiasmes et de déceptions, de stress et de transes, d’agacements et de grandes joies, de découvertes et de redites, de laideurs et de beautés, de réussites invisibles et d’échecs visibles, d’amitiés naissantes et de désaccords fondamentaux tout autant nutritifs. On continue à apprendre à se connaître soi-même, et à trancher dans le lard de nos actions. Effroyable sensation juste avant d’apparaître à l’écran. Falaise. Je saute. _
Au 1er ZYF, j’ai fait La Bambina dessine Au 2ème ZYF, j’ai fait Barbara from Dallas qui peint sur une toile, puis sur sa veste noire, puis sur sa veste beige et enfin sur son pull Pour le 3ème ZYF je ferai la Danseuse Orientale qui Peint avec son Cul
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