#auto-immunité
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lessecretsdehashimoto · 4 months ago
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Hashimoto maladie - du nouveau concernant l'iode et le sélénium
La maladie d’Hashimoto est une affection auto-immune fréquente où le système immunitaire attaque la thyroïde, entraînant des symptômes variés et souvent méconnus, mais pouvant être efficacement gérés avec un traitement et un mode de vie approprié. Equilibrer les apports alimentaires en iode et en sélénium constitue un premier axe de travail pour tout malade de la thyroïdite de Hashimoto. La…
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claudehenrion · 9 months ago
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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esseha · 6 months ago
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12e Congrès national de la Société algérienne d’immunologie : « Le stress affecte notre immunité et fait surgir de graves maladies »
Durant deux jours, la Société algérienne d’immunologie (SAI) a tenu son 12e Congrès national, à l’hôtel El Aurassi d’Alger. Plusieurs axes ont été abordés par un panel de spécialistes, à savoir les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires et infectieuses, les maladies immunologiques rares, l’immuno-allergologie, l’immuno-oncologie, la vaccination et les thérapies immunologiques…
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drhouse-medecine-interne · 7 months ago
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devenirmilliardaire · 8 months ago
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Sommeil, alimentation, immunité… voici 6 clés pour prendre soin de votre microbiote. Un microbiote déséquilibre peut être propice à de multiples désagréments. Ballonnements, maux de tête, constipation... Le microbiote intestinal joue un rôle direct dans la digestion, mais pas seulement. Une diététicienne vient de partager ses conseils pour avoir une meilleure santé intestinale. 6 clés pour prendre soin de votre microbiote La Pastèque De Pout, Une Valeur Sûre À L’Expert Dans votre système digestif se trouve pas moins de 1013 micro-organismes, soit autant que le nombre de cellules qui constituent notre corps. "Cet ensemble de bactéries, virus, parasites et champignons non pathogènes constitue notre microbiote intestinal (ou flore intestinale)", décrit l'Inserm. Il faut savoir que ces dernières vont avoir une fonction protectrice. Le microbiote a un impact sur les fonctions digestives, métaboliques, immunitaires et neurologiques. S'il est déséquilibré, il va être propice aux pathologies, en particulier les maladies auto-immunes et inflammatoires. →A lire aussi Recettes jus moringa Vase Entreprise : “Énergie Naturelle, Santé Authentique !” 🌿🥤 Le rôle du microbiote intestinal sur notre santé est de mieux en mieux connu par les experts. Vous êtes pourtant nombreux à endurer des ballonnements, brûlures d'estomac, constipation... sans pour autant agir. Cela peut signifier que votre santé intestinale est mise à mal. Intestin : quels risques si votre microbiote est mis à mal ? Vitamine B12 elle peut aider à soigner une grave maladie intestinale Une diététicienne britannique, Jo Travers, vient de partager à la presse anglaise plusieurs solutions pour soigner votre microbiote. En effet, il se trouve que vous pouvez agir directement sur la santé intestinale en adoptant les bonnes habitudes au quotidien. Votre régime alimentaire, votre sommeil, votre système immunitaire ou encore votre niveau de stress vont directement agir sur le microbiote. Il est important d'en tenir compte, car un intestin en mauvaise santé peut perturber la production normale d'hormones et de neurotransmetteurs qui ont un impact sur notre humeur et notre état d'esprit, ce qui peut également entraîner une inflammation chronique. →A lire aussi Vase Entreprise vous propose des jus de fruits bio et du Ngalakh de qualité ! entre autres … ! Un intestin en mauvaise santé sera également incapable de traiter correctement les aliments, ce qui pourrait entraîner des problèmes digestifs tels que des gaz, des ballonnements et des douleurs abdominales. Votre système immunitaire pourra également s'affaiblir en raison d'un manque de bactéries dans l'intestin. Pour éviter ces désagréments, Kafunel vous partage en images les 6 clés de Jo Travers pour prendre soin de votre microbiote tout au long de votre vie. La suite en images, études à l'appui. Prenez soin de votre système immunitaire 1/6 Prenez soin de votre système immunitaire "Il existe un lien étroit entre la santé intestinale et le système immunitaire, a noté Jo Travers. Les bactéries dans notre intestin enseignent à notre système immunitaire ce qui est nocif et ce qui ne l'est pas. Cela permet de s'assurer que le système immunitaire ne réagit pas de manière excessive lorsqu'il est exposé à des antigènes. Ces bactéries importantes se développent lorsque nous mangeons beaucoup de fibres végétales, faisons de l'exercice, dormons bien et gérons notre stress." Misez sur les fruits et légumes régulièrement 2/6 Misez sur les fruits et légumes régulièrement "Pour que les bactéries continuent de prospérer, vous devez bien les nourrir. Une étude a révélé que les personnes qui mangent 30 aliments végétaux différents ou plus chaque semaine sont susceptibles d'avoir un microbiote intestinal beaucoup plus sain que les autres, a expliqué la diététicienne londonienne. Passez aux pâtes complètes, ajoutez une portion supplémentaire de légumes dans votre assiette ou grignotez des noix et des graines." Dormez suffisamment 3/6
Dormez suffisamment "Se priver de sommeil peut perturber la communication entre notre intestin et notre cerveau. Les bactéries dans l'intestin communiquent directement avec le système nerveux central et un sommeil perturbé peut affecter les niveaux de bactéries dans l'intestin", a ajouté l'experte. Apprenez à réguler votre stress 4/6 Apprenez à réguler votre stress Le stress déclenche une réaction en chaîne dans le corps, y compris la production de l'hormone du stress, le cortisol, qui peut provoquer un dérèglement des voies de communication entre l'intestin et le cerveau. "Réduire le stress peut créer de meilleures conditions pour les bactéries intestinales. Un stress chronique va affecter le mouvement des aliments dans l'intestin et entraîner soit de la constipation, soit de la diarrhée", selon Jo Travers. Renouez avec la nature 5/6 Renouez avec la nature "Le simple contact avec les grands espaces suffit à influencer nos bactéries intestinales, a expliqué l'experte. Les particules microscopiques en suspension dans l'air sont colonisées par une variété de bactéries qui pénètrent en nous via l'air que nous respirons. L'une de mes façons préférées de profiter de l'extérieur est le jardinage, car la science montre que l'exposition aux espaces verts et à la lumière du soleil extérieure, y compris nos propres jardins, s'est avérée efficace pour améliorer le bien-être mental". Faites une liste de ce que vous mangez 6/6 6 clés pour prendre soin de votre microbiote Surveiller votre santé intestinale consiste à suivre ce que vous mangez et buvez, et à faire des références croisées avec tous les symptômes que vous pourriez ressentir. "Une façon simple de le faire est de tenir un journal des aliments et des symptômes, où vous pouvez noter les aliments et les boissons que vous consommez, ainsi que les symptômes, puis les partager avec votre médecin généraliste ou votre diététicien, qui pourra vous aider à identifier les déclencheurs", conseille la diététicienne.
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yannlyr · 2 years ago
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La France en vrac (21 juin 2023). Que cache le procès en récupération politique sinon les abandons politiques coupables qui ont mené aux drames que nous vivons? On ne récupère rien quand on est concerné. On n’abandonne personne quand on est concerné. Seulement voilà, les choix politiques sont remis en question, les conséquences politiques sont évoquées et nos politiques ne veulent être ni responsables ni coupables et pour ne pas l’être, ils menacent et montrent les dents: vous récupérez! Nos politiciens sont des lâches qui rêvent d’une incapacité majeure et d’une immunité totale pour leurs décisions fatales aux citoyens. Les citoyens, eux, n’en peuvent plus. Ils devraient lire Thoreau et le livre que Michel Onfray lui a consacré, La Désobéissance civile, Vivre une vie philosophique, Thoreau le sauvage. « J’ai le sentiment que l’Etat, dans une certaine mesure, s’est immiscé de manière délétère dans mes activités légitimes. » cite Onfray. A ceci près qu’on est au-delà de la « certaine mesure »: on est dans la démesure, celle qui maintenant voudrait qu’on ne se sente plus concerné par le mal qu’on nous fait, le mal qu’on nous a fait. Nous tairons-nous sagement comme on a rempli son auto-autorisation de sortie durant la petite pandémie? L’Etat est ce parent qui considérera toujours ses rejetons comme ses enfants, peu importe leur âge, leur expérience. Demander de l’aide à l’Etat, c’est revenir chez ce parent abusif qui en profite pour rabaisser son enfant pourtant adulte. C’est insupportable mais le plus grand nombre y trouve son compte: on le maintient en vie artificiellement, ce qu’est l’assistanat que Thoreau abhorrait. Il avait compris cette dépendance onéreuse en liberté qu’on abandonne à l’Etat, et il a donné, avec Emerson et d’autres penseurs américains, dans l’esprit des fondateurs des États-Unis, ce sens aigu de l’indépendance qu’ont encore des dizaines de millions d’individus de l’autre côté de l’Atlantique, au risque de nous faire peur, ici, nous qui sommes extrêmement domestiqués, infantilisés et désarmés. « Aux armes, citoyens », chantons-nous. Dans quelles mains sont les armes, sinon dans celles des criminels? Que nous reste-t-il sinon d’être politiquement concernés? Qu’une réponse politique soit donnée à ces injonctions de nous taire! Que l’Etat ne soit pas à la fois notre berger et notre équarrisseur! « No one can be in the same time the sheperd and the slaughter » dit un avocat dans le film éponyme. La désobéissance civile, conçue par Thoreau, s’apparente à ce que les Républicains prônent aux États-Unis, c’est-à-dire moins d’Etat. En France, ce concept est souvent mis en avant par la gauche forte et les militants écologistes qui dévoient le concept car ils voudraient plus de contraintes, leurs contraintes qu’ils déploieraient s’ils étaient à la tête de l’Etat. Singulière récupération! Étonnant, non?
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drypauli · 5 years ago
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Symptômes persistants du Covid-19 (coronavirus) et auto-immunité
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Résumé
Si vous avez souffert de la maladie du Covid et que vous avez des symptômes persistants, je vous présente des pistes très concrètes à explorer qui pourraient expliquer ces suites, issues d’une nouvelle étude très importante.
Le Covid pourrait déclencher des mécanismes auto-immunitaires par réaction croisée, avec des tissus au niveau neuronal, influencer ou affecter la fonction de la barrière hématoencéphalique et créer de la neuroinflammation. Il peut s’attaquer au niveau intestinal, au niveau de la peau, il peut avoir des conséquences pour la fonction de notre glande thyroïde, il va potentiellement influencer et créer une problématique auto-immunitaire sur les tissus conjonctifs des muscles et des articulations. Un autre phénomène neuronal est une possible démyélinisation du système nerveux. Il peut aussi attaquer l’ADN de nos cellules et provoquer des problématiques de type connectivite. Dernier mécanisme, il influence également de manière très néfaste notre production énergétique par les mitochondries.
Si vous souffrez de symptômes persistants après avoir eu cette inflammation Covid et que vous ne récupérez pas, au-delà du déconditionnement, il faut absolument que le professionnel de santé qui vous suit considère ces mécanismes auto-immunitaires par réaction croisée.  
Transcription
Si vous avez souffert de la maladie du Covid et que vous avez des symptômes persistants à la suite de cette infection, je vous présente aujourd'hui une nouvelle étude qui nous donne des pistes pour expliquer ce qui pourrait potentiellement se passer.
Parce que la vie est bien trop magique pour être petite et que nous avons tous besoin d‘une prescription pour grandir en conscience et faire que nos rêves dévorent notre vie. Bonjour, je suis le Docteur Yannick Pauli, bienvenue à un nouvel épisode d’Une Grande Vie. Vous le savez, chaque semaine, je vous propose des stratégies pratiques, pragmatiques, pour grandir en conscience, qu’elle soit d’ordre physique, émotionnel, psychologique ou spirituel, parce que c'est cette conscience qui nous permet d’évoluer en tant qu’être humain et de vivre une vie pleinement vécue.
Aujourd'hui, j’avais envie de partager avec vous une étude importante au niveau clinique, qui suggère que la maladie du Covid n'est pas simplement un problème infectieux, mais qu’elle peut, chez certaines personnes, déclencher potentiellement des mécanismes auto-immunitaires qui font que les symptômes persistent.
Etude : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7246018/
Introduction
Cette envie de vous partager cela fait suite à une discussion avec une de mes patientes qui a eu des difficultés à s’en remettre et à un reportage dans l’émission française Complément d’Enquête sur ces gens qui ont attrapé le Covid, qui sont tombés malades et qui ne se sont pas remis à la suite de cette infection, qui continuent d’avoir des symptômes. Aujourd'hui, je vais donc vous proposer 2 pistes de ce qu’il peut potentiellement se passer : une sur la base de ce qui était ressorti de l’émission Complément d’Enquête, et l’autre sur la base d’une étude américaine importante qui nous donne des premières pistes.
Si vous avez des symptômes persistants à la suite du Covid, notamment des symptômes respiratoires, d’essoufflement et de fatigue, il faut tout d’abord considérer de vous faire contrôler par un pneumologue pour s’assurer que vos fonctions pulmonaires sont bonnes, c'est-à-dire au niveau de vos capacités respiratoires au niveau volume, mais aussi dans les échanges gazeux au niveau pulmonaire. Puis si tout est en ordre à ce niveau-là, il va falloir considérer le déconditionnement. Cette maladie du Covid a mis les gens au lit beaucoup plus longtemps qu’une grippe saisonnière, 10 jours, 2 voire 3 semaines, donc une autre chose à considérer est ce déconditionnement physique et respiratoire qu’il va falloir rééduquer. La 2e piste est une étude publiée par 2 chercheurs américains sur le lien entre le virus Covid et son potentiel déclenchement de problématiques auto-immunitaires. Cela nous donne des pistes et des espoirs pour ces personnes qui ont ces symptômes persistants.
Contexte
Quand on parle d’immunité, il est important de comprendre la notion de réactions croisées. Prenons un tissu du corps, il a une certaine séquence de protéines EFEFEFCCCCEFCC. Imaginons que nous soyons attaqués par un agent pathogène, une bactérie ou un virus, qui a une séquence ABABABCCCCABCC. Ces séquences n’existent pas, mais illustrent mon propos. Si ce pathogène est dangereux pour nous, notre système immunitaire va l’attaquer. Ce pathogène est appelé antigène. Le système immunitaire va l’attaquer avec différents moyens, une réponse cellulaire en « mangeant » ce pathogène et la cellule sera éliminée. Le système immunitaire va également taguer, mettre une marque, un anticorps sur ce pathogène. Cet anticorps va alors signaler aux cellules du système immunitaire qu’il faut attaquer ce pathogène.
On voit que ce tissu et ce pathogène ont une partie de la séquence exactement identique : CCCC. Dans certains cas de réactions croisées ou ce qu’on appelle aussi de la molecular mimicry, imitation moléculaire, le système immunitaire reconnaît la partie CCCC du tissu croyant que c'est le pathogène et il l’attaque avec des anticorps. Donc dans ces réactions croisées, le système immunitaire attaque ses propres tissus parce qu’une partie de la structure des protéines du tissu ressemble à une partie de la structure des protéines d’un agent pathogène. Ces réactions croisées peuvent être avec des pathogènes ou avec des aliments.
Les chercheurs ont acheté des anticorps du virus Covid-19 qui vont se coller contre différentes parties du Covid. Ils vont mettre dans des tubes de laboratoire des antigènes de différents tissus puis rajouter cet anticorps. Selon les tissus, parfois, rien ne se passe. Parfois cet anticorps s’attache au tissu mais pas de manière très forte et on observe un léger changement de couleur dans le tube. Parfois, cette réaction antigène-anticorps se fait de manière très significative et il y a un changement de couleur très marqué à l’intérieur du tube. Les chercheurs vont ensuite mesurer le degré de réaction, de coloration et réaliser un graphique.
Deux parties du virus ont été testées. La première est la zone des protéines de la couronne du virus, appelées des spikes. La deuxième est une zone de l’ARN, sur une nucléoprotéine, à l’intérieur de ce virus. Pour le contrôle négatif de l’expérience, ils ont mis un antigène et un anticorps ensemble et rien ne s’est passé. Puis ils ont évalué le degré de positivité totale, c'est-à-dire lorsqu'on met un anticorps du Covid en présence du spike, on a une très forte réaction, qu’on s’attend à avoir car cet anticorps est spécifique à ce Covid.
On a donc un résultat négatif, tout ce qui est inférieur ou égal à ce résultat signifie qu'il n’y a pas de réactivité croisée. Par exemple, l’anticorps pour la protéine spike ne fait pas de réaction avec l’ADN à l’intérieur d’une cellule humaine, et il ne réagit pas sur 45 autres antigènes testés. Par contre, il y a un certain nombre d’antigènes avec lesquels il y a eu des réactions croisées. Il s’agit de tissus qui peuvent potentiellement avoir des réactions croisées avec les anticorps du Covid-19, donc pour la protéine spike et la nucléoprotéine. Cela signifie qu’au travers de ces réactions croisées, c'est comme si le virus Covid entre dans notre système, le système immunitaire l’attaque, mais comme il a une structure très proche, dans certaines parties, d’autres tissus, le système immunitaire peut attaquer ces autres tissus et se transformer en une problématique auto-immunitaire. Cela ne veut pas dire que si vous avez eu le Covid tous les tissus de votre système vont nécessairement réagir, peut-être uniquement un ou 2 ou pas du tout, mais si vous avez des symptômes persistants à la suite du Covid, il se peut bien qu’en fait, ce sont ces mécanismes de réaction croisée qui ont déclenché une réaction auto-immunitaire à un ou plusieurs de vos tissus.
Dans cette étude, ils ont testé une cinquantaine d’antigènes humains, c'est-à-dire une cinquantaine de tissus humains différents, et un certain nombre a réagi.
Les tissus réactifs au Covid-19
Dans un 1er tissu qui réagit de manière significative, à moitié de la réaction maximale, c’est la claudin-5 et la claudin-6 qui sont réactives. La claudin est une protéine située dans notre système nerveux, un marqueur de neuropathologie ou de phénomènes neuro-inflammatoires. Elle a été mise en lien notamment dans la maladie d’Alzheimer, on sait aussi qu’elle joue un rôle au niveau de la barrière hématoencéphalique qui est sélective entre le tissu nerveux et les vaisseaux sanguins pour sélectionner les éléments qui entrent dans le tissu nerveux et éviter que tout ce qui est dans le sang entre. Si on a une atteinte de cette barrière hématoencéphalique, on a potentiellement des éléments qui entrent dans notre système nerveux qui ne devraient pas entrer. Donc on voit qu'il y a une réactivité à cette claudin sur la spike, et en moindre mesure sur la nucléoprotéine. Ça veut dire que cette exposition au Covid peut créer des mécanismes neuro-inflammatoires, une inflammation de notre système immunitaire.
Le 2e qui a été testé est la famille des transglutaminases, enzymes présentes dans différents tissus. Une réaction est très marquée sur la transglutaminase 2 (TG2), qui se trouve dans notre système intestinal. Si vous avez des anticorps contre votre TG2, c'est un des marqueurs principaux de la maladie cœliaque. C'est une maladie auto-immunitaire intestinale, avec une inflammation intestinale qui est produite par le gluten. Cela signifie que ce Covid peut activer cette TG2 et donner une maladie auto-immunitaire très similaire à la maladie cœliaque ou à l’intolérance au gluten. On voit que c'est réactif, mais en moindre mesure, dans la nucléoprotéine.
Ensuite, on a la TG3. C'est la même chose que la TG2 sauf qu’elle s’exprime principalement au niveau de notre peau. Ça peut donc créer des problématiques auto-immunitaires au niveau de la peau, et on sait aujourd'hui qu'il y a effectivement aussi des manifestations cutanées de cette maladie de Covid-19.
On a la TG6 et c'est extrêmement marquant selon moi en tant que spécialiste du cerveau. C'est la même chose que la TG2 et la TG3, mais elle s’exprime au niveau neuronal. Sur la nucléoprotéine, on a une réaction très marquée sur cette TG6. Cette TG6 est notamment impliquée dans l’ataxie idiopathique, c'est-à-dire des gens qui commencent à avoir des problèmes à marcher, en manque de stabilité, d’équilibre pour lequel on ne trouve aucune cause. C'est très souvent provoqué par le gluten qui, au lieu d’attaquer la TG2 et donner une maladie cœliaque, active la TG6, créant une problématique auto-immunitaire au niveau neuronal. Donc on retrouve un 2e mécanisme par lequel le Covid peut nous atteindre neurologiquement.
Ensuite, sur les spikes et en moindre mesure sur la nucléoprotéine, une réaction croisée a lieu avec la TPO (thyroperoxydase) qui est un marqueur sur notre glande thyroïde. Quand on a des anticorps contre les TPO, ce sont des marqueurs de la maladie d’Hashimoto. Potentiellement, ce Covid peut attaquer aussi notre glande thyroïde et créer une problématique immunitaire proche de la maladie d’Hashimoto et tout son concert de symptômes comme la fatigue, un métabolisme ralenti, des problématiques de concentration, un raisonnement cérébral ralenti, etc.
Ensuite on a une réactivité assez forte sur la myosine, en moindre mesure sur la nucléoprotéine. La myosine est un des constituants des muscles, donc les patients qui ont ces problèmes immunitaires contre la myosine ont très souvent des douleurs musculaires persistantes.
On a ensuite des réactivités sur le collagène, qui est un tissu jouant un rôle très important dans nos tissus, au niveau musculaire, au niveau des fascias, au niveau articulaire. Donc créer des réactions immunitaires sur ce tissu peut donner des douleurs de type musculaire articulaires.
Réactivité croisée aussi sur la myelin basic protein. Le nerf a une isolation en myéline autour de lui, myéline qui peut être attaquée. Dès le moment où vous avez des anticorps contre la myelin basic protein, ça va ralentir la transmission neuronale et c'est un facteur très impliqué dans les problématiques de brouillard cérébral, ralentissement cognitif, problèmes de concentration, de mémoire, etc. Les anticorps contre cette myelin basic protein ne sont pas spécifiques d’une maladie mais ils ont été mis en évidence dans l’autisme, dans la schizophrénie, dans les traumatismes cérébraux, on les trouve beaucoup cliniquement dans les syndromes post-commotionnels, et surtout c'est quelque chose qui peut créer une maladie démyélinisante comme la sclérose en plaques. Ce Covid a le potentiel, par des réactions croisées, de déclencher ces mécanismes auto-immunitaires sur ces différents tissus.
Ensuite, on a la protéine S100B, qui s’exprime sur les astrocytes. Les astrocytes sont un des types de cellules qui soutiennent les neurones au niveau cérébral. Ils jouent un rôle très important dans la barrière hématoencéphalique. Lorsqu'on a une élévation ou une attaque contre cette S100B, cela montre que la barrière hématoencéphalique est devenue perméable, et de nouveau, on la retrouve dans diverses pathologies comme Alzheimer par exemple.
On a également des réactions contre les antigènes nucléaires et les antigènes nucléaires extraits. Ce sont des marqueurs des anticorps qu'on trouve très souvent dans des maladies appelées les connectivites, comme le lupus érythémateux. On retrouve aussi les mitochondries, avec une très forte réactivité au niveau de la nucléoprotéine du Covid avec les mitochondries qui sont de petites organelles dans nos cellules, responsables de la production d’énergie au niveau cellulaire. Donc si vous avez une attaque contre ces mitochondries, elles ne seront plus capables de produire l’énergie dont la cellule a besoin et donc grande fatigue, très impliquée dans les fatigues chroniques.
Finalement, l’actine est une autre molécule présente dans nos muscles, où des réactions ont lieu un peu moindre, mais cela peut participer à cette sphère.
Résumé
Pour résumer, on voit que cette étude très importante suggère que le Covid peut déclencher des mécanismes auto-immunitaires par réaction croisée, avec des tissus au niveau neuronal, influencer ou affecter la fonction de la barrière hématoencéphalique et créer de la neuroinflammation. Il peut s’attaquer au niveau intestinal, au niveau de la peau, il peut avoir des conséquences pour la fonction de notre glande thyroïde, il va potentiellement influencer et créer une problématique auto-immunitaire sur les tissus conjonctifs des muscles et des articulations. Un autre phénomène neuronal est une possible démyélinisation du système nerveux. Il peut aussi attaquer l’ADN de nos cellules et provoquer des problématiques de type connectivite. Dernier mécanisme, il influence également de manière très néfaste notre production énergétique par les mitochondries.
Si vous souffrez de symptômes persistants après avoir eu cette inflammation Covid et que vous ne récupérez pas, au-delà du déconditionnement, il faut absolument que le professionnel de santé qui vous suit considère ces mécanismes auto-immunitaires par réaction croisée. On peut les tester de nos jours mais ce ne sont malheureusement pas des choses qui se font typiquement en médecine classique. J’espère, si vous avez des symptômes persistants, que cet épisode vous donne des pistes très concrètes sur ce qui peut être investigué cliniquement pour voir si nous sommes sur des mécanismes auto-immunitaires qui expliqueraient cette symptomatologie persistante.
Pour aller plus loin :
Comment traiter une maladie auto-immunitaire : https://www.youtube.com/watch?v=HGDfZeDZnbw&list=PLv9Kw0vjk01e09pVXozP09Y1UBcEoWfmB
Faites-moi savoir comment ça fonctionne pour vous dans les commentaires. Nous, on se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle vidéo. D’ici là, souvenez-vous : émerveillez-vous, aimez la vie et contribuez chaque jour un petit peu plus.
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bottardmars13 · 3 years ago
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Vaccination...
Que dire dans ce bruit permanent?
Depuis plusieurs mois, je me retiens d'exprimer mon avis personnel sur les réseaux sociaux, tellement ce sujet est clivant. Aujourd'hui, j'estime que si ce texte fait réfléchir une seule personne, j'aurais eu un rôle positif.
Je suis médecin et chercheur, je m'occupe de patients atteints de maladies hématologiques, immunodéprimés, atteints de leucémies ou de lymphomes.
Aujourd'hui, alors que certains crient à l'atteinte aux libertés, j'aimerais parler de solidarité.
La solidarité, c'est ce qui m'a poussé à me faire vacciner dès le 10 janvier, pour protéger mes patients qui ont une moindre capacité à produire une immunité. Car il n'y a rien de plus insupportable que de voir mourir du Covid, un patient guéri de son lymphome 4 mois plus tôt...
Amis soignants, comment dormirez-vous si vous contaminez, un jour, ces patients fragiles et qu'ils meurent?
Pour les autres, que devons nous faire de nos patients leucémiques nécessitant une réanimation au cours de leurs traitements lorsque toutes les places sont prises par des patients COVID?
Auparavant, je pensais que les vaccins avaient des détracteurs car on ne voyait plus que leurs effets indésirables, la population ayant oublié ce que c'était que la polio, la variole, l'injustice de mourir de la rougeole quand on a 20 ans ou encore la mort affreuse du tétanos...
Mais je pense maintenant que le vrai problème est l'individualisme. Nous sommes incapables d'assumer un désagrément ou un possible risque hypothétique sur notre santé pour autrui... Pour ces gens, âgés ou malades, des inconnus ou nos proches, qui ont un risque plus important de mourir du COVID et chez qui les vaccins sont moins efficaces pour induire une protection durable.
Et pour ceux qui se réfugient derrière l'absence de recul à long terme de ces vaccins (puisque le recul à court terme est très bon...), quelques questions. Prenez-vous les mêmes précautions avant de mettre un maquillage sur votre peau? Ue coloration sur vos cheveux? Un gloss sur les lèvres de votre enfant? Avant de mettre sur le marché un nouveau produit que vous développez au sein de votre entreprise?
Vous êtes vous demandé quelles allaient être les conséquences à long terme du COVID? Nous ne savons rien aujourd'hui des risques psycho-sociaux, de maladies auto-immunes, de fibrose pulmonaire chez des patients infectés... Des conséquences psychologiques pour les enfants et adolescents privés de liens sociaux...
Soignants, notre devoir est de prendre soin des autres, même si l'État nous a énormément déconsidéré, que l'hôpital est en crise à cause des pouvoirs publiques, et que nous nous débattons chaque jour au sein de ce système inique, ce devoir ne doit pas être oublié... C'est mon sentiment. C'est ce qui nous grandira dans l'adversité.
Citoyens, si vous faites le choix de ne pas vous faire vacciner, prenez au moins le temps de réfléchir réellement aux risques auxquels vous vous exposez et auxquels vous exposez d'autres personnes avant de décider... Et pensez à la chance que vous avez peut être eu d'être en chômage partiel ou en télétravail alors que d'autres ont perdu leurs commerces, leur revenus ou meurent asphyxiés sans oxygène aux portes d'un hôpital débordé ou simplement de faim dans des pays n'ayant pas notre système social...
Enfin, si cette médecine vous débecte tant que vous la rejetez en bloc, ferez-vous le choix de refuser aussi le tube et le respirateur si par malchance vous devez croiser la route du COVID et d'un réanimateur
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princessehysterique · 8 years ago
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Les antibiotiques, c’est....
.... pas automatique DEGUEULASSE. C’EST IMMONDE.
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ma-belle-sante · 2 years ago
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Santé intestinale : Prévenir, inverser et guérir l'auto-immunité
Santé intestinale : Prévenir, inverser et guérir l’auto-immunité
Les chercheurs estiment  qu’environ 70% de notre système immunitaire  réside dans la muqueuse intestinale de notre intestin. Les problèmes auto-immuns sont directement liés à la santé de votre système immunitaire, qui se trouve dans votre intestin. Par conséquent, la santé de votre intestin est la clé pour prévenir, inverser et guérir l’auto-immunité. En tant que personne ayant des antécédents…
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yaminahsaini · 4 years ago
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Mardi 4 mai 2021/Conclusion rdv Lyme:
Je n’avais vu ce Docteur qu’une seule fois, il y’a deux mois et ça avait été très rapide, donc je pensais qu’elle n’allait pas se souvenir de moi mais au final si. Je lui montre les résultats, et là ça commence mal car elle est furieuse de voir que je ne les ai pas fais dans le laboratoire conseillé sur Paris. Je voulais tellement m’y rendre, mais à ce moment j’allais si mal et personne voulait m’accompagner.. Puis le docteur m’avait dit que si je le faisais dans ma ville c’était la même chose.. je ne pensais pas que c’était primordial de le faire à Paris, sinon j’aurais attendue un moment où j’aurais été mieux. Du coup elle regarde les résultats et m’explique au fur et à mesure. Pour les analyses de selles qui étaient négatif et bien elle ne croit pas à ces résultats par rapport au laboratoire, car celui où elle voulait que je me rende font des réactivités et sont donc plus fiable. Ensuite 2 molécules importante n’ont pas été analyser.. bordel je regrette de pas être allée dans le bon labo. Enfin bref revenons sur les résultats: elle me dit que j’ai énormément d’anticorps, ensuite que je manque d’acide folique, que la bartonella est trop importante en moi, que j’ai bel et bien un lyme chronique et que par conséquent c’est dû à la piqûre d’une tique. Elle m’a également posée plusieurs questions par rapport à Lyme pour voir comment ça m’affecte au quotidien. Le docteur n’a pas eus le temps de tout m’expliquer par rapport aux résultats mais pour finir elle me parle d’auto-immunité en m’expliquant qu’à un moment donné durant mon enfance, il y’a eus un beug au niveau de mes intestins et qu’ils ont commencé à produire des anti-corps contre moi-même. Par conséquent, elle pense que ça aurait pu entraîné ma gastroparésie, qu’elle serait donc plutôt de cause auto-immune. Par rapport à ça elle m’a conseillée de supprimer totalement le lactose, le gluten et commence à me conseiller des aliments. Je lui explique que je ne peux pas m’alimenter et que je suis nourris par sonde. Ce docteur que j’avais vu qu’une seule fois ne savait pas que j’étais sous nutrition enterale et n’avait pas remarqué avec le masque. Donc là elle arrête tout et dit qu’elle ne savait pas que j’en étais carrément à ce stade au niveau alimentaire et que par conséquent mon cas dépasse ses compétences, que c’est trop compliqué et qu’elle ne pourrait absolument rien faire pour m’aider. Je ne m’attendais pas à ça mais franchement je préfère largement un médecin qui ne prend aucun risque, qui me dise les choses franchement, qu’un médecin qui me fait perdre mon temps comme ça l’a été depuis toutes ces années. Ce docteur comptait me prescrire un antibiotique par perfusion à domicile (rocephine) mais finalement elle m’explique à quel point ça pourrait être un danger vital dans mon cas car de une j’ai des réactions violentes et insupportable au antibiotiques (la seule fois où on m’en avait perfusée j’ai vomis à la seconde où j’étais branchée) et ensuite le fait que je sois alimentée par sonde et que mon estomac est lent à digérer constitue un problème. En effet avec les antibiotiques il faudrait en parallèle que je prenne des choses par voie orale pour protéger mes autres organes étant donné que le traitement est très aggressive, et vu que mon système digestif est déjà bien trop souffrant alors être sous antibiotiques dans ces conditions ne ferait rien d’autre qu’aggraver mon état. Pour finir le docteur m’a fait un courrier afin de consulter en médecine interne pour possiblement m’hospitaliser et me mettre sous antibiotiques avec une bonne surveillance. Et maintenant commence le parcours du combattant pour se faire traiter d’un lyme chronique en France surtout à ce stade où je ne supporte absolument pas les traitements...
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drhouse-medecine-interne · 7 months ago
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christophe76460 · 5 years ago
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Le Dieu d’amour de la Bible n’est pas un bonhomme sadique assis sur un nuage, qui contemple les malheurs du monde. Il est différent des dieux grecs représentés en peinture. Dès le commencement Dieu Lui-même a déclaré que tout dans sa création était bon.
" Dieu regarde tout ce qu’il a fait. Et il voit que c’est une très bonne chose. Il y a un soir, il y a un matin. Voilà le sixième jour. "
(Genèse 1.31)
Et si les virus, microbes, bactéries sont des auxiliaires indispensables à la vie, nous allons voir que la Bible nous propose un mode d’emploi pour en faire nos amis, ou du moins ne pas les craindre. Regardons en effet comment nous mettons en pratique ces commandements bibliques, comment nous mangeons et ce que produit toute notre technologie moderne, comme les téléphones portables et fours à micro-ondes qui diminuent de façon patente nos défenses immunitaires... 
Nous sommes collectivement locataires d’une Terre créée de façon parfaite, par un Dieu d’amour, qui veut notre bien ! Il faut le dire, et ça se démontre facilement en plus ! Alors, Bible en main, que nous dit la science à ce sujet en quelques mots ?
Soyons concrets, nous sommes une âme vivante montée sur un châssis d’animal, qui obéit par conséquent aux mêmes lois que les animaux, avec lesquels nous partageons notre Terre. Je retire volontairement de mon texte l’option « animal évolué », afin d’éviter toute polémique inutile au message de ce texte.
Le règne animal et végétal est régi par un équilibre particulièrement avancé, qui fait qu’aucune espèce ne peut supplanter toutes les autres. Si les lions se développent trop, alors ils n’auront plus rien à manger, si les gazelles broutent toute l’herbe, alors elles ne se reproduiront plus... et les lions auront faim ! C’est simple, terriblement efficace, mais d’une complexité inouïe en fait, de par la multiplicité des paramètres. Notre Créateur est infiniment intelligent, nous ne pouvons ni l’égaler, ni le critiquer.
Notre peau comporte plus de bactéries en sa surface, que toutes celles contenues à l’intérieur de notre corps. Notre corps n’est pas une oasis de stérilité, mais une baignoire où se côtoient micro-organismes sympathiques et antipathiques. Le tout est régi par notre auto-immunité, dont on peine toujours à comprendre les mécanismes. Le phénomène de la coagulation sanguine par exemple n’explique pas l’agglutination des cellules coagulantes à l’endroit de la blessure, comme si un message leur avait été adressé.
Lorsqu’un enfant naît, ses intestins comportent déjà toute la panoplie de bactéries qui permettront sa future digestion. D’où viennent-t-elles précisément ? On ne l’a pas encore réellement compris, puisque le placenta est étanche !
De façon plus subtile, car invisible à l’œil nu, nous sommes entourés (en dehors de notre corps) d’une population de virus, bactéries, champignons, microbes et autres « bidules », qui jouent un rôle de régulateur très efficace. Si une espèce vivante se développe particulièrement, alors des virus interviendront pour la réduire, un peu comme les lions et les gazelles précédents.
Je lisais il y a quelques mois un article sur la population de virus dans l’eau de mer, qui permet d’auto-réguler les populations de poissons : la mer en déborde ! Nous avons vu que notre corps est muni d’un système d’autodéfense extrêmement sophistiqué, dont la richesse ne sait que nous émerveiller. Cette mécanique est souvent le seul médicament face à une maladie virale.
Encore mieux, notre Dieu est infiniment bon à notre égard, il a créé la barrière des espèces, qui interdit à la plupart des virus, bactéries et autres vecteurs, de s’attaquer à une cible autre que celle qui leur est dédiée : ouf, en me baignant dans la mer, je ne risque rien du tout, car je ne suis pas un poisson ! 
Revenons à notre thème : les virus, bactéries et microbes ont toujours fait partie du panorama humain et animal. La conquête de l’Amérique par les Européens a d’ailleurs tué plus d’Indiens par les pandémies que par les armes. Les autochtones ne connaissaient aucune de nos maladies, lesquelles font partie du patrimoine viral des enfants européens, mais tuent les adultes. Il est d’ailleurs étonnant que le contraire ne soit pas arrivé, c’est à dire que les Indiens n’aient pas aspergé les Européens conquérants de virus létaux !
Alors où est Dieu là-dedans ? Où était la grâce divine durant les épidémies de peste noire du moyen âge ?
Ouvrons une Bible pour comprendre le sens de mon message.
Comme nous sommes formés d’un corps animal, nous sommes sensibles aux parasites qui régulent ce règne animal, mais pas à tous, comme nous venons de le voir. Alors je me risque à relire la Bible au premier degré, en considérant sa loi stricte, que nous avons oubliée un peu trop vite, pensant que le règne de la grâce nous en exempt.
Commençons par le pain azyme, dont le vrai sens a été oublié.
"On mangera des pains sans levain pendant les sept jours; on ne verra point chez toi de pain levé, et l’on ne verra point chez toi de levain, dans toute l’étendue de ton pays."
(Exode 13.7) 
Le pain à l’époque était réalisé à l’aide de levures naturelles. En l’absence de réfrigérateur, la pâte prélevée d’une fournée à une autre, devenait rapidement un réceptacle de bactéries immondes. La jeter régulièrement, permettait de repartir avec une base saine, laquelle mettait du temps à donner un pain levé. Cette précaution sage servait à protéger le peuple contre de nombreuses maladies. Comme quoi les commandements bibliques ont un fondement sanitaire !
Les rituels de purification et de lavage des mains avaient une fonction d’hygiène élémentaire, afin de ne pas ingérer tout le panel de bactéries qu’on avait touchées avant le repas. J’ai toujours été surpris du peu de personnes que je vois se laver les mains avant de prendre un repas, ce que les événements récents nous ont rappelé : « la première barrière contre le virus Covid 19, ce sont tes mains », nous disent en boucle avec justesse les médias.
Je pense qu’en refusant toute sorte de légalisme, il est aussi intéressant de considérer la loi relative à la viande, promulguée dans l’ancien Testament, et d’en comprendre le sens, à la lumière des découvertes récentes en matière de biologie.
"Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu, et qui rumine. Mais vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement, ou qui ont la corne fendue seulement."
(Lévitique 11.3-4) 
Je m’avance à dire que les animaux interdits véhiculent des parasites qui peuvent nous attaquer de façon frontale. Il semble établi que le virus Covid 19, qui ravage actuellement notre société tout entière provienne d’un animal sauvage. Les virus portés par ces animaux nous sont transmissibles facilement. On ne parle pas ici de péché, mais de bon sens, et de rien d’autre.
De même le porc, qui est un éboueur omnivore, était porteur de nombreuses bactéries pathogènes pour l’homme. Je ne pense pas que les progrès de l’hygiène aient réellement changé quelque chose à ce dilemme, car avec l’élevage en batteries, la promiscuité impose l’usage d’antibiotiques. En les avalant via la viande, nous n’y répondons plus en cas de maladie grave. Ceci est un fait scientifique acquis.
Je ne veux pas rentrer dans le débat clivant : « toute nourriture prise avec action de grâces est bonne »... Je propose simplement de considérer notre responsabilité collective, en tant qu’espèce humaine, dans la dégradation de notre milieu ambiant, et la propagation des maladies du siècle. Les épidémies de peste noire étaient propagées par les puces des rats, qui n’avaient rien à faire en ville. Mais en jetant déjections, épluchures, et eaux usées par la fenêtre, la loi qui impose de sortir du camp pour satisfaire à ses besoins naturels n’était guère respectée !
"Vous réserverez à l’extérieur du camp un endroit retiré pour satisfaire vos besoins."
(Deutéronome 23.13)
Non, Dieu n’a pas créé les virus pour nous punir, mieux, il nous a donné le mode d’emploi pour y faire face : les prescriptions bibliques, simples et faciles à mettre en œuvre. Les progrès de l’hygiène nous avaient presque fait oublier les épidémies de choléra, peste noire, variole... Nous restons néanmoins soumis aux lois de la biologie animale. 
Oui, Dieu est bon, et nous aime d’un amour infini.
Il n’a pas créé l’extérieur du Jardin d’Eden comme un lieu de tourments pour les descendants d’un Adam et Eve pécheurs, mais comme un lieu où il y a un règlement comportemental à suivre, pour y vivre. Il est clair, simple et précis, il est accessible à tous, il s’appelle : la Bible.
François Bernot
Enseignements bibliques
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drypauli · 5 years ago
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Alimentation AIP auto-immune
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Résumé
Je vous présente l’alimentation auto-immune qui peut vraiment vous aider à gérer vos symptômes. Développée par les Dr Ballantyne et Kharrazian, la méthode AIP a pour but de trouver l’alimentation la moins restrictive possible, pour vous permettre d’être dans la meilleure configuration biologique ou métabolique, pour vous sentir mieux et pour guérir.
Ce protocole comprend 2 phases : une phase d’élimination des aliments qui sont connus comme étant irritants pour le système immunitaire, puis une phase de réintroduction. Durant la phase d’élimination qui dure entre 5 et 8 semaines, on va éliminer : tous les aliments raffinés et industriels, toutes les céréales, tous les produits laitiers, les solanacées comme les tomates, poivrons, etc., les œufs, les légumineuses, noix et graines et enfin l’alcool.
Certains protocoles sont plus stricts, en enlevant également les fruits et les aliments à index glycémique élevé. Puis les aliments vont progressivement être réintroduits, les uns après les autres pour pouvoir observer une éventuelle réaction du corps à chacun des aliments réintroduits. Pour aller plus loin, vous pouvez consulter mon protocole ici : https://pauli.mykajabi.com/store/eiKVsGEQ.
Transcription
Dans cet épisode, nous allons parler de l’alimentation auto-immune et comment elle peut vous aider si vous avez des problèmes auto-immunitaires.
Parce que la vie est bien trop magique pour être petite et que nous avons tous besoin d‘une prescription pour grandir en conscience et faire que nos rêves dévorent notre vie. Bonjour, je suis le Docteur Yannick Pauli, bienvenue à un nouvel épisode d’Une Grande Vie. Vous le savez, chaque semaine, je vous propose des stratégies pratiques, pragmatiques, pour grandir en conscience, qu’elle soit d’ordre physique, émotionnel, psychologique ou spirituel, parce que c'est cette conscience qui nous permet d’évoluer en tant qu’être humain et de vivre une vie pleinement vécue.
Cette semaine, je voulais vous présenter l’alimentation auto-immune, qui est une alimentation qui peut vraiment vous aider à gérer vos symptômes, voire peut-être même dans certains cas mettre votre maladie en rémission, si vous l’appliquez. Qu'est-ce que cette alimentation auto-immune ? C'est une alimentation appelée auto-immune, alimentation paléo auto-immune… Ça vient en fait de différents types d’alimentation qui ont été développés aux Etats-Unis, notamment par la Dr Ballantyne et le Dr Kharrazian, qu'on appelle souvent AIP en anglais, pour auto-immune protocol. C'est une forme d’alimentation qui a pour but d’éliminer tous les aliments qui pourraient participer au déséquilibre auto-immunitaire.
Contexte
Avant de vous montrer en quoi consiste cette alimentation, je vais vous expliquer comment ça fonctionne. Au niveau du système immunitaire, on peut faire des réactions croisées. Notre système immunitaire, lui, est entrainé à reconnaître certaines séquences moléculaires. Lorsqu'il reconnaît une séquence moléculaire, il va l’attaquer. Parfois, ce système immunitaire peut confondre un aliment avec quelque chose de dangereux, parce que cet aliment contient en fait la même séquence moléculaire, par exemple qu’un microbe.
Prenons l’exemple d’un microbe qui a une séquence moléculaire M-M-A-A-A-M-M. Vous mangez un aliment qui a une séquence moléculaire A-A-A-A-A-A. Le système immunitaire a été entrainé à reconnaître ces structures A-A-A du microbe, et il reconnaît cette séquence A-A-A dans l’aliment. Il va donc commencer à attaquer cet aliment. Cela va perpétuer ces phénomènes auto-immunitaires.
Alimentation auto-immune
Pour découvrir si l’alimentation que vous mangez participe à vos symptômes auto-immunitaires, on va mettre en place cette alimentation auto-immune. Le but de cette alimentation auto-immune est de trouver l’alimentation la moins restrictive possible qui va vous permettre d’être dans la meilleure configuration biologique ou métabolique, pour vous sentir mieux et pour guérir.
Cette alimentation auto-immune, en général, a 2 grandes phases : une phase d’élimination des aliments qui sont connus comme étant irritants pour le système immunitaire, puis une phase de réintroduction.
Focus sur la phase d’élimination
La durée de cette phase d’élimination peut varier, cela varie selon les thérapeutes. Dans 2 études réalisées, la phase d’élimination est de 5 à 6 semaines, mais il y a des thérapeutes qui vont recommander une année d’alimentation. Chacun a un peu sa version, il n'y a pas de manière juste ou fausse de le faire. Dans ma clinique, nous utilisons une phase d’élimination qui se fait sur 2 mois, donc 8 semaines. Cette phase d’élimination peut se faire de différentes manières. Il y a des approches où vous éliminez petit à petit les aliments, pour arriver sur cette alimentation auto-immune. Puis vous maintenez la phase d’élimination complète pendant un certain temps, et ensuite vous réintroduisez. Dans d’autres approches, on va tout éliminer dès le départ. Donc cela dépend de votre manière de pouvoir mettre les stratégies en place. Pour certaines personnes, elles arrivent à éliminer tout d’un coup, pour d’autres, elles doivent y aller plus progressivement.
Ici, dans cette phase d’élimination, quels aliments allons-nous éliminer ? Il y a 7 grandes catégories d’aliments qu'on va éliminer.
La première est ce qu'on appelle la menace blanche, c'est-à-dire qu'on va éliminer tout ce qui a été industriellement déformé, c'est-à-dire tout ce qui va être raffiné : le sucre raffiné, les farines raffinés, tout ce qui est industriel, colorant alimentaire, toutes ces choses qui ont été créées par l’homme, qui ne sont pas naturelles à la base.
Deuxième type d’aliment qu'on va éliminer, ce sont les céréales. On va ici éliminer tous les céréales, pas juste celles qui contiennent du gluten, mais aussi ce qu'on appelle les pseudo-céréales, comme le millet, le riz, etc. Donc on élimine absolument toutes les céréales. Cela inclut aussi le soja et le maïs.
On va éliminer les produits laitiers, tous les produits laitiers d’origine animale, même les laits de chèvre. On va éliminer tout ça car ils sont extrêmement irritants pour le système immunitaire.
On va éliminer la famille des solanacées. Ce sont par exemple les tomates, les aubergines, les poivrons, etc. Regardez sur Google « solanacées » pour trouver la liste complète pour les éliminer. Elles sont en effet riches en lectines, qui sont des composantes, des molécules irritantes pour le système immunitaire.
On va ensuite éliminer les œufs.
Autre catégorie d’aliments à éliminer parce que ils sont très riches en  lectines également, ce sont les légumineuses, les noix et les graines.
Finalement, on va éliminer l’alcool, car il a tendance à rendre notre intestin poreux.
Donc dans la phase d’élimination, voilà les aliments que vous allez éliminer : la menace banche, toutes les céréales, les produits laitiers, les solanacées, les œufs, les légumineuses, noix et graines et l’alcool.
Protocole
Dans la clinique, on le recommande pendant 2 mois. Dans la manière dont nous prenons les choses en charge, cette phase d’élimination combine différentes versions de l’alimentation auto-immune. Les 2 premières semaines, on va être très strict et enlever tous ces aliments, mais on va aussi enlever les fruits et réduire les aliments à index glycémique élevé, pour réguler la glycémie. En effet, ces problèmes de glycémie peuvent stimuler votre système immunitaire et ce n'est pas une bonne chose dans les maladies auto-immunitaires. On a donc une alimentation très proche de l’alimentation cétogène, très proche du protocole Wahls développé par la Dr Wahls aux Etats-Unis dans ce qu’elle appelle le Wahls-Paléo-Plus.
Ensuite on va avoir 2 autres semaines où on va commencer à réintroduire certains des légumes qui ont un index glycémique un peu plus élevé, on fait toujours un peu attention aux fruits. C'est une alimentation où on continue à éliminer les lectines et tous les fruits et légumes qui ont des graines comme les courgettes, etc. C'est une alimentation dont vous avez peut-être entendu parler qui vient des Etats-Unis, dite d’élimination des lectines. Si vous avez lu le livre du Dr Gundry, « Le paradoxe des plantes », c'est une alimentation très proche de ça.
Le dernier mois, on va être dans l’alimentation AIP, ou PAI pour Protocole Auto-Immunitaire, plus classique de la Dr Ballantyne et du Dr Kharrazian. Ensuite, on va réintroduire les aliments. Donc c'est vraiment un travail de longue haleine, un travail de détective. Il faut réintroduire les aliments, voir comment vous vous sentez. Ça peut prendre un peu de temps. Il y a aussi une démarche là-dedans mais ce n'est pas le but de cette vidéo d’en parler aujourd'hui.
Une chose à savoir
Dès le moment où on va éliminer ces aliments dont je parlais avant, ces aliments sont très souvent des aliments qui vont servir de prébiotiques, donc ce sont des aliments qui vont vraiment nourrir notre microbiome. Donc sur le long terme, cette élimination va défavoriser notre microbiome, c'est donc très important qu’en parallèle de l’élimination on mette en place des stratégies pour préserver la diversité de notre microbiome. Je ne vais pas entrer dans les détails aujourd'hui, mais il faut vraiment augmenter des aliments riches en pectine, riches en inuline, de passer par exemple sur des pâtes shiritaki à base de konjac qui sont d’excellents prébiotiques. Donc gardez à l’esprit que si vous partez sur cette alimentation, c'est important de préserver la diversité de votre microbiome. On va aussi utiliser ce qu'on appelle des super-jus en utilisant une variété de légumes, etc.
Maintenant, je mange quoi ?
Dans cette alimentation, il va essentiellement vous rester des légumes. On va vraiment augmenter de manière très significative la consommation de légumes. Il y aura les viandes aussi, les protéines, les poissons, etc. Puis on va réintroduire un certain nombre d’aliments qui ont été un peu oubliés dans notre alimentation, notamment les bouillons d’os, les abats. On va utiliser l’huile de coco qui est très riche en graisses à chaîne moyenne, qui aident le système nerveux à produire de l’énergie d’une manière un peu différenciée. On va réintroduire aussi beaucoup les abats et tous les aliments fermentés comme la choucroute, etc. Bien évidemment, parfois ça va se faire de manière pas à pas, parce que certaines personnes doivent réadapter leur microbiome.
Que peut-on attendre de cette alimentation ?
Cette alimentation, on le voit cliniquement, aide vraiment à réduire les symptômes chez de nombreuses personnes. Chez certaines personnes, on voit même leur maladie auto-immunitaire partir en rémission. Ça ne va pas dire nécessairement qu’elles sont guéries parce que si elles réintroduisent toute leur alimentation initiale, ça va redéclencher ces mécanismes. Deux petites études cliniques très intéressantes ont été faites, notamment dans l’intestin irritable et la maladie d’Hashimoto, et montrent que cette alimentation aide vraiment à réduire la charge symptomatique.
Si cela vous intéresse d’aller plus loin, voici un lien : https://pauli.mykajabi.com/store/eiKVsGEQ. Nous avons un protocole complet, un guide complet et des vidéos informatives, plus de 150 pages avec des recettes que vous pouvez utiliser pour mettre cette alimentation en place.
Faites-moi savoir comment ça fonctionne pour vous dans les commentaires. Nous, on se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle vidéo. D’ici là, souvenez-vous : émerveillez-vous, aimez la vie et contribuez chaque jour un petit peu plus.
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optimisticgalaxydreamland · 5 years ago
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VITAMIN D3 AGAINST VIRAL RESPIRATORY SYSTEM INFECTIONS
VITAMINE D3 CONTRE LES INFECTIONS VIRALES DU SYSTÈME RESPIRATOIRE
VITAMINE D3 CONTRA INFECCIONES VIRALES DEL SISTEMA RESPIRATORIO
The Vitamin D3 has a basic role in many metabolic and immunological processes, it is an “autoimmunity regulator” and it has an important effect as anti-inflammatory that is one of the main problems in the Acute Respiratory Distress Syndrome (ARDS). Vitamin D3 deficiency increases the risk of viral infections and intensifies their severity. If you test at laboratory your levels of Vitamin D3 (25(OH)D3) your optimum levels should be between 60 and 90 ng/dl. If you are not in this range it is recommended to supplement with at least 10.000 IU by day. An optimal level of vitamin D3 decreases the risk to have respiratory diseases and other metabolic diseases as cancer.
La vitamine D3 a un rôle de base dans nombreux processus métaboliques et immunologiques, c’est un régulateur de l’auto-immunité et il a un effet important comme anti-inflammatoire qui est l’un des principaux problèmes dans le syndrome de détresse respiratoire aigue (ARDS). L’insuffisance de vitamine D3 augmente le risque d’infections virales et intensifie leur sévérité. Si vous testez en laboratoire vos niveaux de vitamine D3 (25(OH)D3), vos niveaux optimaux devraient être compris entre 60 et 90 ng/dl. Si vous n’êtes pas dans cette range, il est recommandé de compléter avec au moins 10.000 UI par jour. Un niveau optimal de vitamine D3 diminue le risque d’avoir des maladies respiratoires et d’autres maladies métaboliques comme le cancer.
La vitamina D3 tiene un papel básico en muchos procesos metabólicos e inmunológicos, es un regulador de la auto-inmunidad y tiene un efecto importante como anti-inflamatorio, uno de los principales problemas en el Síndrome de Dificultad Respiratoria Aguda (ARDS). La deficiencia de vitamina D3 aumenta el riesgo de infecciones virales e intensifica su gravedad. Si prueba en laboratorio sus niveles de vitamina D3 (25(OH)D3) sus niveles óptimos deben estar entre 60 y 90 ng/dl. Si usted no está en este rango se recomienda complementar con al menos 10.000 UI por día. Un nivel óptimo de vitamina D3 disminuye el riesgo de tener enfermedades respiratorias y otras enfermedades metabólicas como el cáncer. Source|Fuente: TerapiaMetabolica.com
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helshades · 3 years ago
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Le fait que la durée de validité des tests soit sujette à caution non médicale mais politique illustre assez le sérieux des mesures prises. Au reste, il ne doit pas être trop difficile de falsifier un auto-test, si ?
Prendre rendez-vous sur DoctoLib est très facile mais voudriez-vous subir avant inoculation un test sérologique — seul fiable pour s'assurer de la présence d'anticorps et donc que la maladie a été contractée et combattue par l'organisme — qu'il faudrait débourser chez son médecin. Il me paraît aberrant de vacciner la population à grande échelle sans prendre la peine de contrôler, enfin, le nombre de cas asymptomatiques. Or, la France a fabuleusement foiré sa campagne de tests depuis le début de l'épidémie : impossible de savoir combien de personnes ont porté le SARS-CoV-2 sans s'en rendre compte, et quelle proportion de la collectivité a d'ores et déjà développé une immunité au moins partielle. Vu l'importance de ces données manquantes pour la connaissance de ce nouveau coronavirus, il est évident que la plupart des décisions autour de la vaccination émanent d'une volonté politique plutôt que scientifique !
Depuis ce matin, il est donc désormais inscrit dans les décrets officiels que le port du masque n'est plus obligatoire pour les lieux qui contrôlent le PassSanitaire ET que les tests PCR sont desormais valides 72h au lieu de 48h, ah, et que la prise en compte des autotests est valable aussi 72h...
Autant supprimer le PassSanitaire, ça tourne au ridicule, clairement, ça ne sert plus à rien.
Quant au protocole scolaire de rentrée, ou l'absence de protocole, plutôt...
Bref:
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