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«Pourquoi la gauche a-t-elle si peu remis en cause la gestion de la crise Covid?»
Aude Lancelin a reçu Alice Desbiolles, médecin de santé publique, auteur de «Réparer la santé», pour un grand entretien consacré aux dérives de la crise sanitaire
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AUDE LANCELIN : "NICOLAS TENZER EST UN EXTRÉMISTE"
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« On ne sait par où commencer, tant là aussi la désolation est totale. Il y aurait en effet énormément de choses à dire sur l’état de la liberté d’informer en France depuis l’élection du petit Prince du CAC 40, où en deux ans et demi, ce ne sont pas moins de trois lois liberticides touchant directement l’exercice de la profession qui auront désormais été présentées au Parlement français.
La « loi sur le secret des affaires » tout d’abord, entrée en vigueur dès l’été 2018, transposition d’une directive européenne visant à protéger les deals avouables ou inavouables des grandes entreprises et autres banques contre la curiosité des enquêteurs et des lanceurs d’alerte. La loi dite sur « les fake news », adoptée en catimini juste avant Noël 2018, alors que la France était dans un climat quasi insurrectionnel, et que tous les regards étaient anxieusement tournés ailleurs, vers l’Arc de Triomphe et les autres ronds-points de France. Et bien sûr la Loi Avia dite « loi contre les contenus haineux sur internet », en seconde lecture à l’Assemblée, objet en ce moment même d’une bataille acharnée du Sénat, mais qui sera néanmoins très probablement adoptée, l’Assemblée nationale n’étant plus, on le sait, qu’une chambre d’enregistrement des exigences présidentielles, et au-delà, européennes.
Il y aurait énormément de choses à dire donc, on concentrera néanmoins ce propos sur les répercussions sur la profession de journaliste du plus grand soulèvement populaire connu par la France depuis au moins cinquante ans, à savoir le mouvement des Gilets jaunes. Depuis ce surgissement inattendu, proprement miraculeux en termes de réveil de l’intelligence collective, de remise en marche de l’Histoire, autant que de révélation de la dégénérescence terminale d’un système, notre métier s’est vu en effet soumis à une remise en question publique d’une profondeur inédite.
On croyait pourtant que tout avait été dit, depuis des années, en termes de critique de médias. Et d’une certaine façon, tout avait été dit, sur les journalistes devenus simples agents gouvernementaux, toutous du capital, domestiques posant aux héros du monde libre. Seulement voilà, et c’est là la grande nouveauté, ce qui se disait à bas bruit, sur des sites de bourdieusiens revêches et de complotistes radicalisés – c’est comme ça qu’ils nous voient et nous ont longtemps dépeints – a commencé à se dire partout. Dans la rue. Sur des groupes Facebook de centaines de milliers de personnes. Jusqu’aux pieds des locaux de groupes de médias, devant les immeubles de la télévision nationale parfois, où ont pu se regrouper des manifestants certains samedis depuis fin 2018.
Ainsi des pans entiers de la population, jusqu’ici tenus éloignés de ces questions sulfureuses, objets d’un déni massif de la part des professionnels du secteur, ont commencé à parler couramment de « médias du CAC 40 », de « médias mainstream », par opposition aux médias indépendants, de « Charte de Munich », autant de références qui, il y a trois ans encore, valaient mise au ban professionnelle, et quasi procès en psychiatrie – nous sommes quelques-uns à pouvoir en témoigner. Désormais le roi est nu. Plus personne ne peut nier, sans se discréditer intellectuellement, la toxicité d’un système médiatique où les journalistes, supposés gardiens de la vérité, sont salariés par les oligarques les plus puissants du pays, les maîtres des télécoms et autres Goliaths du luxe, qui ont un intér��t direct à ce que celle-ci ne soit jamais dite. Il aura fallu toute l’innocence d’un peuple soulevé pour rendre à nos constats leur évidence, en même temps qu’une consistance irrécusable – désormais acquise, c’est là le point.
Les conséquences de cette déflagration sont multiples. La valeur de la sacro-sainte carte de presse – brevet actant en quelque sorte votre appartenance irrécusable à la profession – s’en est trouvée fortement chahutée. Comment aurait-il pu en aller autrement ? Si le sens du métier, si sa morale même, est de chercher la vérité et de la dire, quoiqu’il en coûte, comment les reporters en première ligne auraient-ils pu ne pas être soudainement considérés comme tout aussi journalistes que les poussahs des plateaux télé grassement payés pour déjeuner avec des attachées de presse ? Comment les plumes engagées ne seraient-elles pas désormais plus soutenues par la ferveur populaire que les plantes vertes télévisées servant de simple relai à la parole ministérielle ?
On a ainsi vu pousser sur le pavé ou sur les réseaux des dizaines de nouveaux journalistes. Des agences de presse obscures, ou jusqu’ici marginales, sont devenues plus scrutées certains week-ends que l’AFP elle-même. Des titres jusqu’ici nains ont parfois plus pesé sur le cours des événements depuis deux ans que des géants subventionnés à coups de millions d’euros par l’argent public et les subventions des GAFAS. Des noms de journalistes inconnus ont surgi sur les bandeaux de BFM. Des titres jusqu’ici confidentiels ont pris une ampleur inattendue, ou sont sortis de terre en à peine quelques mois.
Cette situation a bien sûr suscité un certain affolement dans les étages directoriaux des grands médias, où on a ainsi pu observer plusieurs types de réactions.
La première d’entre elle, quand on était encore dans le vif de l’événement, fut une tentative d’adaptation sauvage. Ainsi a-t-on vu au cours de l’hiver 2018-2019, un des présentateurs de la première chaîne française d’information française en continu, Thomas Misrachi, citer à l’antenne « Le Nombre jaune », instance autonome de comptage des manifestants, comme une source d’information crédible face aux chiffres du Ministère de l’Intérieur. Le temps a suspendu son vol quelques minutes sur l’antenne de BFMTV lors de ce magnifique et terrible hiver. On a pu même avoir parfois l’impression d’être passé dans un univers parallèle. Durant quelques semaines en effet, les plus zélés des serviteurs de l’ordre se sont en effet eux aussi aperçu que le fait de se borner à donner les chiffres d’un gouvernement éborgneur, pouvait les ranger dans le camp des bourreaux, suscitant un puissant malaise. Ces moments de pur vertige – qui prouvent d’ailleurs au passage les effets pédagogiques de la peur – n’ont toutefois guère duré. Rapidement on est revenu à la routine de la place Beauvau, ultime arbitre des chiffres et du discours.
Le second type de réaction fut bien sûr la disqualification et les ricanements. Des journalistes qu’on n’avait pas vu sur le terrain depuis des années – si on les y avait jamais vu un jour –, ont ironisé lourdement sur ces nouveaux venus s’imaginant qu’une GoPro tenait lieu de sauf-conduit professionnel. Policiers et éditorialistes, main dans la main, se sont alors transformés en vigiles pour déterminer qui avait le droit ou non de rendre compte de la réalité du terrain.
Parmi d’innombrables exemples possibles, on n’en prendra qu’un, très récent. Le 19 janvier 2020, le fameux correspondant du quotidien Libération à Bruxelles, Jean Quatremer, connu pour ses opinions européistes et macronistes vindicatives, écrivait sur le réseau social Twitter: « Le goût d’une partie de la profession pour le suicide est fascinant : affirmer que n’importe qui peut se proclamer journaliste, c’est tuer notre raison d’être, c’est affirmer que la profession n’a aucune valeur ajoutée. »
Ce faisant, l’éditorialiste ne faisait d’ailleurs que paraphraser, comme souvent, les propos d’Emmanuel Macron, lui-même, dont les vœux à la presse de début 2020 furent entièrement articulés autour d’une obsession phare : « L’information est une affaire de professionnels. » Ainsi la carte de presse serait une sorte de Jockey club. Ce qui tuerait la raison d’être du journalisme, ce ne serait pas sa soumission aux puissances d’argent ou au pouvoir politique, pour reprendre les mots mêmes du CNR dans les ordonnances de 1944 sur la presse, mais l’autorisation donnée à des manants de chasser sur des terres jusqu’ici soigneusement protégées de barbelés.
Cerise sur le gâteau, ce tweet de Jean Quatremer a aussitôt été brandi offensivement par un certain Denis Olivennes, factotum d’un des oligarques nouveaux venus dans la presse française, Daniel Kretinsky, magnat tchèque de l’énergie fossile. Après avoir racheté le journal Marianne, ce dernier est devenu un puissant actionnaire du groupe Le Monde aux côtés de Xavier Niel, et continue désormais son marché dans le domaine des médias français. Récemment il a pu ainsi entrer au capital de Polony TV, une de ces web télés qui se faisait fort de réinventer un paysage médiatique détruit par la pensée unique, et finit donc à la même mangeoire que tous.
Après avoir présidé la FNAC, Air France, puis le groupe L’Obs, et enfin le groupe de médias d’Arnaud Lagardère, les mauvais résultats de la station Europe 1 l’en ayant prématurément chassé, Denis Olivennes se retrouve aujourd’hui bombardé directeur opérationnel des médias dudit milliardaire Kretinsky. Rien ne se perd, tout se recycle au royaume des oligarques. Et voici ce que cet « ex » de la Fondation Saint-Simon, couvert de stock-options et de parachutes dorés, se permet aujourd’hui d’écrire : « Le journalisme militant est absolument contraire à la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes (Charte de Munich) qui impose notamment de « ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui de propagandiste ». Si ce n’était simplement dérisoire, ce serait d’une rare perversité. Une des incarnations les plus décomplexées du pouvoir oligarchique dans les médias, Denis Olivennes, se réclamant aujourd’hui de la Charte de Munich, c’est El Chapo brandissant le Code Pénal, ou Gabriel Matzneff, citant Au pays de Candy.
Qu’est-ce que la Charte de Munich, en effet ? Une déclaration de 1971, adoptée par la Fédération européenne des journalistes, non contraignante hélas, et bien évidemment. L’une des seules protections, purement indicative donc, que les journalistes puissent mettre en avant contre leurs actionnaires. Un des seuls remparts qu’ils puissent brandir face à leurs maîtres.
À la ligne 3 de la Charte de Munich, on lit la puissante phrase suivante : « La responsabilité des journalistes vis-à-vis du public prime toute autre responsabilité, en particulier à l’égard de leurs employeurs et des pouvoirs publics ».
Quelle plus belle perspective que d’autoriser le journaliste à brandir la souveraineté du simple citoyen face à celle des propriétaires de médias, et face aux intérêts nationaux ? Il y a donc de quoi ressentir un certain vague à l’âme à voir Denis Olivennes, un de ces personnages dont l’unique raison d’être, où qu’ils soient parachutés, est de faire régner inflexiblement la loi des actionnaires, tenter de détourner à son profit la fameuse Charte.
Ainsi les plus cyniques des médiacrates, les véritables Stormtroopers du capital, loin de prendre la mesure de la gravité de la crise des médias en cours, ont-ils au contraire tenté de pousser le désastre à leur avantage, en mettant toujours plus de vigiles à l’entrée du night club de la presse, plutôt que d’accompagner son indispensable réforme. Fort heureusement, certains signaux sont plus prometteurs, voire annonciateurs de grands bouleversements dans notre métier.
Un seul exemple là encore. Les services de fact checking, qui servaient jusqu’ici très souvent de simple alibi commode aux médias mainstream, se sont, eux aussi, trouvés pris dans la bourrasque de l’Histoire. Leur cas est particulièrement intéressant.
Ces îlots de vérification au sein des rédactions, très à la mode depuis les années 2010, étaient littéralement en train de transformer le métier de journaliste en celui de simple garde-barrière des petites vérités factuelles. Le fact checking permettait en effet de cantonner le journalisme à l’exercice d’une apparente neutralité, de ne surtout jamais aborder la vérité autrement que par petits bouts disparates, sans jamais s’intéresser au tableau d’ensemble. Nul hasard à cet égard si les GAFAS en sont venu à les rémunérer au sein des médias à coups de millions d’euros, et à nouer des accords avec eux pour patrouiller sur les réseaux sociaux, afin de séparer le bon grain du journalisme de préfecture, de l’ivraie des sites séditieux.
Pourtant, même ces services modèles de l’information pasteurisée, et globalement inoffensive, se sont eux aussi retrouvés piégés par ces temps nouveaux. Face à l’afflux de nouvelles affolantes venues de la rue durant le grand hiver des Gilets jaunes, les fact-checkeurs ont dans un premier temps appliqué les vieilles méthodes, celles qu’on leur avait inculqué en écoles. Ils ont recalculé la taille de la casquette du préfet Lallement, pas si énorme qu’on le disait sur les-réseaux-sociaux. Ils ont ergoté sur le véritable prix d’une bouteille que s’était un jour offert le clan Macron au pied des remonte-pentes, pas si chère qu’on le disait sur les-réseaux-sociaux. Rien que des exemples authentiques là-dedans hélas.
Et puis, au bout d’un moment, sous la pression des sollicitations multiples venues de leurs lecteurs, ils se sont mis à faire vraiment le job. Et là, les résultats ont été ravageurs. La vérité est un maître tyrannique quand on commence à la prendre au sérieux. Les fact-checkeurs se sont ainsi vus obligés de confirmer des censures, de démentir des communiqués ministériels, de reconnaître des violences commises contre les citoyens. Durant quelques mois, on les a vus au pied du mur, dans l’obligation littérale de contredire les pouvoirs qu’ils servaient jusqu’ici avec bonne conscience.
Il y aurait encore énormément de choses à dire encore sur la façon dont ce métier a été percuté par l’Histoire depuis la fin de l’année 2018. Finissons toutefois par une touche optimiste. La situation est sinistre, la France est en position toujours aussi peu reluisante dans le classement de la liberté de la presse mondiale, l’étau des oligarques ne cesse de se resserrer sur les grands titres nationaux. Mais répétons-le : la vérité est un maître tyrannique quand on commence à la prendre au sérieux. Quand les temps deviennent violents et injustes, la simple honnêteté factuelle, le simple constat, la froide observation, deviennent en effet tout aussi dangereux pour le pouvoir que le plus enflammé des tracts. Le pouvoir macroniste aura réussi à refaire des journalistes dans leur ensemble une corporation dangereuse. Chapeau l’artiste, ce n’était pas gagné.
#gallomancy#quartier général#aude lancelin#éditorial#presse libre#le média libre#liberté d'expression#liberté de la presse#réseaux sociaux#journalisme#politique française#société française#charte de munich#éthique
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Interdit d'Interdire ⛔️ - Aude Lancelin : «Qu’est-ce que c’est Emmanuel Macron ? Emmanuel Macron, c’est l’enfant que le CAC 40 a fait au Parti socialiste, c’est rien d‘autre que ça»
(Re)voir l’émission ⏯ https://francais.rt.com/…/63092-interdit-dinterdire-quel-av…
🔎 Aude Lancelin, fondatrice de QG, était l’invitée de Frédéric Taddeï dans le IDI du mercredi 19 juin «Quel avenir pour la gauche ?»
IDI, du lundi au jeudi à 19h sur RT France
#Aude Lancelin#QG#journaliste#QG MEDIA#interdit d'interdire#émission politique#Macron#macron#histoire de luttes#macronpiegeacons#traduisonsles#gilets jaunes
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Agrégée de philosophie, Aude Lancelin est journaliste spécialisée dans le domaine des idées et de la culture depuis presque vingt ans. Elle a été directrice adjointe de la rédaction de « Marianne », puis de « L’Obs ». En 2016, elle est brutalement licenciée de ce dernier magazine. Une mésaventure qu’elle raconte dans « Le Monde libre » (Les Liens qui libèrent), pamphlet contre la dérive capitaliste d’un média social-démocrate, qui obtient le prix Renaudot de l’essai 2016. Début 2018, elle publie, à nouveau aux Liens qui libèrent, « La Pensée en otage ». Elle y analyse la crise de la presse en déconstruisant sept grandes idées reçues. Depuis le 15 janvier, elle travaille pour Le Média, web TV indépendante fondée par Sophia Chikirou, Gérard Miller et Henri Poulain, tous trois proches de La France insoumise*. Nous l’avons rencontrée afin de discuter de la presse et du Média, sous le feu de la critique depuis son lancement.
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Sous prétexte de vouloir représenter indistinctement la colère de tout un peuple (lequel, exactement ?), de plus en plus de personnalités du mouvement de Mélenchon se compromettent gravement à mes yeux avec l’ennemi. Il y avait d’abord le cas particulier de Kuzmanovic, qui a sauté, et j’en suis fort aise, pour aller créer ailleurs un antépénultième bidule national (iste) qui sombrera bien vite dans l’oubli. [Avez vous entendu parler de “République souveraine” ? Voilà, voilà… CQFD]. Mais n’était-ce pas l’arbre qui cache la forêt de ce républicanisme BBR qui me révulse, tant il est si éminemment soluble dans la solution gazeuse de la fachosphère, avec un même liant, pour leur mayonnaise indigeste : celui du nationalisme ? Je suis de ceux qui souhaitent résolument que la frontière soit étanche. Mais depuis que LFI, comme toute la société française, a été confrontée au mouvement des gilets jaunes, il n’en est plus rien, hélas. Déjà, ici et là, on ne répugnait pas à signer des tribunes avec des têtes de pont bien sales qui sombrent dans un complotisme halluciné mêlé d’un racisme détestable, qui a de bien concrètes et vomitives conséquences…. Ou à mettre en avant avec force louanges un certain militant de l’Action française, sous prétexte qu’il avait la même haine de Macron. Comme si cela pouvait suffire… LFI se dirige comme je l’ai déjà écrit ici, et je ne suis pas le seul, de plus en plus clairement vers une stratégie de prise du pouvoir à l’italienne qui me déplait fortement, et je je le fais savoir, haut et fort. J’avais déjà exposé dans ce billet les raisons précises pour lesquelles je déniais à LFI le droit de se prétendre antifasciste. Tout ne se vaut pas, et la fin ne justifie pas les moyens. On ne déjeune pas avec le diable, même avec une longue cuiller.
Pourtant, comme l’a démontré, encore récemment, dans un long thread sur twitter un certain Gastlag, le comportement sur les réseaux sociaux de certaines personnalités de LFI est particulièrement problématique. Il va dans le sens, très directement, de ce que je dénonce ici, ce confusionnisme politique qui rend possible la victoire des idées fascistes, et racistes, de l’extrême droite, comme l’histoire de l’Italie est en train de le démontrer si brutalement.
Aude Lancelin, alors qu’elle était encore directrice de Le Média (spoiler : ça sent le brun), pour ne citer qu’elle, nous avait déjà habitués à partager des contenus particulièrement discutables, bien loin de notre antifascisme le plus élémentaire…
Entrer une légende
Mais alors que l’on pouvait éventuellement penser pour certain.e. s d’entre nous qu’il ne s’agissait là que de simples erreurs dues à une méconnaissance, le thread de Gastlag nous démontre qu’à force de tant de “dérapages”, voilà bien des publications, des relais, des partages, qui vont dans une certaine direction que nous rejetons résolument. Jugez vous-mêmes, comme dab :
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(sur Vincent Lapierre, lire.…)
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(Sur Maïsto et Sud radio, lire...)
Le naufrage est total. Et encore, je ne parle pas des délires du fameux Boulo, et de ses compromissions avec l’extrême-droite… sous couvert de dépasser le clivage droite-gauche (vieille rengaine dont on ne sait que trop bien là où elle mène, mais que partage pourtant Mélenchon, et LFI)…. Plus de détails ici.
Mais à peine après avoir eu le projet mental de ce billet, voilà que j’apprends, quelle coïncidence, qu’il y a du rififi à LFI. Aussi, me disais-je au fonds de moi : est-il bien utile de tirer sur une ambulance ? A vous de (me) juger… Moi, je fais le job. #antifa for ever….
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#LFI : explosion en plein vol de charognards électoraux… #confusionnisme Sous prétexte de vouloir représenter indistinctement la colère de tout un peuple (lequel, exactement ?), de plus en plus de personnalités du mouvement de Mélenchon se compromettent gravement à mes yeux avec l'ennemi.
#Aude Lancelin#Christian Latouche#complotisme#confusionnisme politique#Fabienne Vaulot#Fiorina identitaires#Flye Rider#FN#François Boulo#Gastlag#gilets jaunes#Guénolé#Jérôme Rodriguez#la France Insoumise#Le Média#LFI#Maïsto#Mélenchon#ni droite ni gauche#racisme#RN#Sud Radio#UPR#Vincent Lapierre#xénophobie
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Voici donc Anne Sinclair qui découvre "par hasard" le croche-pied. Et Libé qui consacre sa Une à la fin du "flagrant déni" sur les violences. Et Le Monde, dans son édito, qui dénonce "ce qu'il faut appeler, sans s'encombrer de guillemets, des violences policières".
Aussitôt on se moque du Monde, de Libé ou d'Anne Sinclair, avec leurs yeux écarquillés à retardement. Les résistants de la première heure se moquent. Aude Lancelin se moque. Lordon se moque. Gaspard Glanz se moque. Et il y a de quoi rire amèrement. "Ce qu'il faut bien appeler, sans s'encombrer de guillemets, des violences policières" : mais pourquoi se résigner à nommer les choses, camarades, alors que c'est la base du métier ? En désignant "ce qu'il faut bien appeler des violences policières", Le Monde ne se résigne pas seulement. Il nous signifie qu'il se résigne.
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Droit de réponse. Denis Robert
Droit de réponse. Denis Robert
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MACRON OU L'ORGIE DES ULTRA-RICHES - MONIQUE PINÇON-CHARLOT Le Média L’enquête des Pinçon-Charlot, « Le Président des riches », paru en 2010 est sans doute un des coups symboliques les plus rudes qui aient été porté à la présidence de Nicolas Sarkozy. Aujourd’hui le célèbre couple de sociologues publie « Le Président des ultra-riches », un livre qui ne contribuera pas à réconcilier les Français avec Emmanuel Macron, en pleine crise des Gilets jaunes. « Chronique du mépris de classe sans la politique d’Emmanuel Macron », est-il sous-titré. Ils y détaillent le parcours du « leader des marchés libres » comme l’avait surnommé le magazine Forbes, et les renvois d’ascenseurs constants en direction des plus nantis de ce Président choisi par la caste pour servir la caste. La démonstration est féroce, implacable. Bonjour Monique Pinçon-Charlot, et merci d’être avec nous au Média aujourd’hui. Par Aude Lancelin
#Le Média#Le Président des ultra-riches#Le Président des riches#Pinçon-Charlot#Monique Pinçon-Charlot#Aude Lancelin#MACRON OU L'ORGIE DES ULTRA-RICHES
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"Macron est juste un tacticien politique. Il n'a aucune conviction morale ni colonne vertébrale"
Aude Lancelin recevait Gérard Davet et Fabrice Lhomme, auteurs de l'enquête "Le Traître et le Néant" pour un grand entretien sur QG
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Aude Lancelin Aude Lancelin ( with le Lorrain - l'embarquement de Sainte Paule à Ostie) 'Aude Lancelin, a seasoned journalist, who held several senior positions in the left wing media.
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(via https://www.youtube.com/watch?v=WNBA-ZBH1HM)
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« Faire dérailler Macron »
Excellente édition de « Quartier Libre » où Aude Lancelin reçoit le cheminot lyonnais Laurent Brun, secrétaire général de la C.G.T. Cheminots, pour une conversation d'avant-grève sur l'architecture des luttes syndicales et le mouvement en cours.
Le Média libre.
#brève de grève#quartier libre#le média libre#aude lancelin#laurent brun#c.g.t.#grève du 5 décembre#cheminots#9 janvier#droit de grève#désobéissance civile#néolibéralisme
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2600 - Le Média, ses ennemis, et les rentiers de l’information
2600 – Le Média, ses ennemis, et les rentiers de l’information
[RussEurope-en-exil] par Jacques Sapir – Les Crises.fr – 08.03.2018
La chaîne de télévision sur internet « Le Média » a été attaquée par une bonne partie de la presse « officielle » ou mainstream depuis ces derniers jours.
Ces attaques se sont appuyées sur deux problèmes différends : le désaccord entre la chaîne et une de ses présentatrices, Mme Aude Rossigneux, et l’émission de M. Claude El…
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#Aude Lancelin "j"#Aude Rossigneux "j"#Claude El Khal "j"#Information#INTERNET#Jacques Sapir#Le Média chaine de télévision#les crises.fr#liberté d&039;expression#média#Pluralisme#presse
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Les gardiens de nos médias CAC 40 ont une rhétorique bien rodée pour se garder de toute critique, et continuer à passer pour des héros des libertés publiques tout en oeuvrant à verrouiller le système d’information français. Demi-vérités, mythes éculés ou mensonges éhontés, certains de leurs arguments s’avèrent hélas encore très efficaces auprès du public. Voici comment s’armer intellectuellement contre ces pseudo-évidences en sept leçons.
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