#asso ultra
Explore tagged Tumblr posts
Text
on me dit 95% de chance que jsois pris pour mon boulot de rêve mais comme d'hab faut attendre la réponse de LA DRÔME ☹️☹️☹️☹️ RÉPOND STP..............
#ultra frustrannnnttttt#c'est pas que les assos qui doivent avoir le ok du département pour ce dispositif en plus j'ai vu même les entreprises c'est zinzo'#*zinzin#pourquoi il a fallu que j'comprenne que mes boulots de rêves se passe t dans des assos.....lieux les plus galère pour trouver un boulot là#bref c'est carrément sur la bonne voie si!!!!!! j'ai une réponse un jour préférablement avant la fin de mon contrat lol
1 note
·
View note
Text
09. Foxy ("Foxy Asso Ultra" Ad.)
#foxpopvli#anthro#anthro art#art#fanart#fox#foxtober24#anthroart#fpvintage#vintage#artists on instagram#artists on tumblr#digital art#drawing
309 notes
·
View notes
Text
Foxtober24 Day 9: Foxy ("Foxy Asso Ultra" ad)
Another ad fox called Foxy, well this one is more cute than sexy and she's asking you to please wipe your ass with her paper, nice
#refra1004#drawing#art#furry#sketch#fanart#pencil art#female furry#furry anthro#furros#furry character#furry art#sfw furry#furry fandom#furrotako#foxtober24#foxtober#foxie#fox girl#fox#foxy#foxy asso
5 notes
·
View notes
Text
foxtober2024 day 9: Foxy (Foxy Asso Ultra Ad.)
0 notes
Link
#Roma 0-2 #Inter #İtaly #SerieA #League #Match #Highlights & #Goals
0 notes
Photo
Ad campaign - Asso Ultra Kitchen Towels
0 notes
Photo
collage from commercial foxy asso ultra
76 notes
·
View notes
Text
First gen Honda CR-X Mugen Pro Light Tune and stock comparison.
Translation of picture text first followed by main body of text
Mugen's Thinking Light Tune is coming, it's a cafe racer 49-64 MOTUL Mugen CR X PRO. By Tomohiko Tsutsumi LAP 1'14 "70
● Infinite Aero Line ・ The biggest feature of the body kit. The upper panel around the light has been replaced and the semi-retractor bull has been eliminated. A highly reliable product that was developed through wind tunnel experiments, including other kits. ● No bore-up or compression ratio UP, and the normal usability is still higher in the high rpm range. It is an infinite tune that can be used even with. Specifically, it takes steps such as high-speed high cam and built-in reinforced valve spring. PGM --FIE 120ps / 6500rpm16.5kg --m / 5600rpm HONDA ALVES OPRO's beautiful silhouette is enhanced with a 2 inch UP asso. 50 Tire suspension is reinforced only for shock absorber, and coil spring is normal, so it is very easy to ride in the city.
MUGEN CR --X PRO. HONDA TwinCam MUGEN CRIX The professional bodywork is so beautiful that it seems like it will be raced as it is. For the engine, he has reinforced valve springs to prepare for high revs, and he also has a mirror finish on the valve itself, which makes him more efficient in combustion. The exhaust is a combination of his 4-2-1 octopus legs aimed at exhaust interference and his muffler with low exhaust resistance, both made infinitely. The suspension increases the rates of the springs and dampers and addresses the strong grip of the Potenza RE. When I run wrapped in a high-pitched sound, I feel a sharp rise in the torque from around 3000 rpm. However, although the combination of reinforced suspension and high grip gave a sharp response, he often has a strong tendency to undershoot from the top to the exit at the corner, and even if he steps on the accelerator, he loses. The behavior is so stable that, like the Honda Twincam, changing the tires to around Advan HFIR Type D will not shrink for another second. The tune level is also more sensuous than that of the twin cam, so I'm looking forward to the next attack. On the other hand, the Honda Twin Cam CR-X Pro incorporates an infinite body kit in appearance, but the engine is basically untouched and close to normal. Infinite 4-2-1 installations and lighter flywheels (6kg) are prominently mentioned. As expected, the engine has a good upswing, and 0 → 30km / h acceleration is 5 ・ 24 seconds, which is about 1 second faster than the normal 6 ・ 20 seconds. Two types of tires were available for testing, the Pirelli P7 (195 / 50VR15) and the Advan HF-R Type D (175/70HR132), but for matching with infinite absorbers, the HFIR Type D. It was good with Gun. MUGEN CR-X In the latter half of the corner, which was difficult for the pro, it traces the line as the steering aimed, without slip loss. The lap was 1 minute 13 seconds 3 and cleared the humiliation of the infinite professional. Tsumi
■ Mugen / HONDA Twin Cam CR --X PRO SPEC. ■ Tuning degree ● Engine ■ Parts substitute engine 160,000 yen [MUGEN specification] Mugen special valve SET 35,000 yen Mugen special valve spring SET engine 18,000 yen High cam price undecided Mugen EX Ma (4in2in1) 55,000 yen Mugen Sports Muffler -kit 53,000 yen Suspension circumference 418,000 yen Suspension aerodynamic parts [Honda Twin Cam specification) HONDA Twin Cam Special cam 60,000 yen (Processed 6kg) Lightweight fly wheel aerodynamic parts 31.6 10,000 Yen Ultra CDI (# 9300)-45,000 Yen ERG Silicon Code 12,800 Yen Mugen EX Mani Mugen Sports Muffler kit ● Suspension ・ = 63,200 Yen (1) ● Aero Parts- [Common] Mugen Hard Dunbar set = 60,000 yen ● Wheel & Tyer [Mugen specification) Asso A301 (6Jx15) --35,500 yen (1) BS Potenza RE91 (195 / 50-15) = 54,000 yen (1) [Common] Mugen Aero Line ・ Body full kit + RI spoiler set 300,000 Mugen sticker set 5000 yen Mugen power emblem set 3500 yen Body color molding (8m roll) 6800P [Honda twin cam specification) Asso A301 (6J x 15) 35,500 yen (1) Book) Pirelli P7 (195 / 50-15) ■ Tuner: Mugen Co., Ltd. 0484 (61) 4131 Honda Twin Cam 03 (394) 7001
6 notes
·
View notes
Text
Inspirée par @sharkloe j’ai aussi envie de poster une petite photo de mon chat, parce que je l’aime trop et que je suis pire qu’une mère qui veut montrer ses gosses mdrrr. Regardez la douceuuuur 🥺 (c’est aussi le chat de @ultra-violences vu que l’on vit ensemble mdr).
C’est un chat qui vient d’une asso, on l’a depuis le 30 avril. Elle avait 5 ans quand on l’a adoptée, elle avait passé toute sa vie avec sa maîtresse dans une chambre d’ephad et quand sa maîtresse est décédée, il a fallu lui retrouver une famille. L’asso savait qu’on voulait adopter, alors ils nous l’ont proposée et on est tombées amoureuses, on a pas pu résister. :’) quelques jours après, elle était chez nous !
22 notes
·
View notes
Text
Vélos et bikepacking
Salut tout le monde c’est Squeezie !
Désolé je ne savais pas comment commencer donc c’est la seule idée qui m’est venue pour pas créer un énième blog qui parle de bikepacking ultra sérieusement. Déjà je suis nulle en WordPress donc désolé c’est hébergé sur Tumblr.
En me relisant j’ai réalisé qu’il manquait une partie sur avant que j’ai un vélo plutôt potable. Un an avant l’achat du Triban 100 j’avais un vieux vélo de route acheté 100€ sur Le Bon Coin alors qu’il devait en valoir 50, il avait sûrement été volé et repeint 3 fois, la plus longue distance que j’avais faite avec c’était du centre ville de Montpellier jusqu’à la Cathédrale de Maguelone et ensuite le retour jusqu’au tram, autant dire que toutes les personnes qui connaissent le coin risquent de rigoler en lisant que j’avais eu l’impression d’avoir réalisé un exploit sportif. C’est d’ailleurs suite à la casse du cadre de ce vélo que j’ai acheté le Triban 100.
Pour commencer j’ai clairement aucune légitimité pour parler de vélo, j’ai acheté mon premier vélo neuf (un Triban 100 mais en bleu parce que c’est swag) il y a un peu plus de 2 ans peu avant que Fiona Kolbinger gagne la TCR et enchaîné sur un 100 kilomètres quelques jours après avec une alerte orange au vent sur la moitié de la sortie (parce que je suis particulièrement stupide et que Fiona avait gagné la TCR donc si une femme réussissait un exploit incroyable je pouvais faire 60 km pour aller voir la mer), enfin quitte à se faire victimiser par le vent, autant en profiter pour l’avoir dans le dos au retour.
Quelques mois après j’ai fait une autre sortie de 100 km entre Nantes et Angers en finissant encore une fois en PLS, fait pas mal de sorties avec un groupe de filles, puis il y a eu le premier confinement et c’est ensuite que tout a un peu dérapé grâce à des amis géniaux qui étaient en manque de kilomètres et avec qui j’ai fait mes premières grosses distances, au début en baskets et toujours en Triban 100 (tu peux pas test, il n’existe sûrement pas transmission plus nulle dans la gamme Shimano que celle qui est sur ce vélo). Le plus stupide étant sûrement le 300km fait en une journée avec ce vélo, pas loin devant les 2 journées à 250 km en prenant les roues des potes et en prenant des relais uniquement dans les descentes (désolé encore).
Avec ce vélo j’ai un jour décidé de mettre des sacoches Zefal rachetées à un pote et d’aller à St Malo depuis Nantes en une journée parce que c’était la canicule dans le coin, spoiler alert : c’était la canicule partout et je me suis arrêtée au nord de Rennes à côté d’un lac et je n’ai jamais fait les 40 derniers kilomètres jusqu’au monument emblématique des [insérez la nationalité que vous voulez entre Normands et Bretons, je ne veux pas de problèmes]. Ensuite j’ai littéralement longé toutes les côtes jusqu’à Morlaix parce que la mer c’est beau et mangé des kouign-amann en haut de chaque côtes (oui la Bretagne c’est vallonné par rapport à la Loire Atlantique et j’avais pas d’entrainement des montées, je savais juste enchaîner les journées de 100 km). Bref voici une photo de mon vélo à l’arrivée, c’est cool la Bretagne, allez en Bretagne, mangez des kouign-amann et faites du vélo et si possible faîtes 2 ensemble en Bretagne.
Un an plus tard j’ai racheté le super Triban 520 gravel d’un ami et qui est le vélo avec lequel je roule actuellement. De manière non exhaustive ce vélo m’a permis de faire Nantes/Vannes pour aller boire des coups avec des potes suite à la création d’une asso fondée à cause d’un meme, quelques sorties gravel bien grasses, peut-être de trouver un boulot (pas en traversant la rue mais en pédalant), de faires quelques sorties entres amis, d’aller de la Baie de Somme à l’embouchure de la Seine et de rentrer à Paris, de retourner à double prénom city (aka Edouard Philippe, aka la ville du Havre) jusqu’à Cherbourg puis ensuite de ne pas finir devant la météo absolument nulle qui était annoncée (et la flemme de faire 250km sous la pluie pour ensuite faire du camping sauvage et prendre un TGV à 6h) et dernièrement d’aller dans les Alpes pour réaliser que j’ai zéro cardio et entrainement pour monter des cols. Il a déjà eu beaucoup trop de shitpost sur twitter concernant ces voyages donc je ne vais pas abuser ici.
Concernant le vélo, tout est d’origine dessus, à part :
Les pneus pour pouvoir changer les chambres à air (des Continental 4 saisons, le pneu avant étant un de ceux que j’avais mis sur le Triban 100 et l’arrière a fait le tour du Japon avec un ami). J’espère ne jamais croiser l’ingenieur des roues tubeless ready des vélos Triban parce que j’ai quelques trucs pas sympa à lui dire.
La guidoline à 15€ de chez D4, après avoir validé le confort des cocottes sur un cintre nu pendant 130 km à enchainer les pavés des Monts des Flandres par un chaude journée de fin d’été, c’était un réel plaisir.
La selle, une SMP dont j’ai oublié le modèle mais elle plutôt confortable
Les prolongateurs Btwin qui sont passées par 2 propriétaires qui les trouvaient inutiles. Aujourd’hui ils servent plus à transporter des cartons de pizzas, des ballons gonflés à l’helium ou à servir de support pour que la sacoche de cintre ne tombe pas qu’à ce que réellement mes bras soient dedans.
Des portes bidons de chaque côté de la fourche montés avec des chambres à air et des serflex parce que c’est toujours utile d’avoir deux bidons quand il fait trop chaud.
Le top tube recouvert de chambre à air pour ne pas rayer la peinture mais avec la sacoche de cadre qui reste toujours là c’est juste une grosse galère de locker ce vélo.
Je détaillerai dans un autre article tout ce qui est matériel de bikepacking (sacoches et choses qui se trouvent dedans), le tarif auquel j’ai acheté ce que j’emmène, l’évolution entre mon premier trip et les derniers et mon avis s’il y a des choses à dire.
Merci beaucoup de m’avoir lu, désolé pour toutes les fautes, le style et l’absence de memes, prenez vos vélos et allez vous balader
2 notes
·
View notes
Text
Another Crowley/Reader fic that obviously is not written by a particular angel submitted by an anon
You don’t normally do this sort of thing, but you’ve been invited by casual friends to the local discotheque, and they’ve been after you to go for weeks, and so tonight you’ve given in and agreed. You’ve dressed for the occasion, though not to stand out. You expect you’ll spend the evening holding the wall up, so to speak, not being one for dancing.
Your friends are happy just to have gotten you in the building, honestly, so they let you try to enjoy the music from the very back. It’s all very loud and very fast, but everyone on the dance floor seems to like it, and anyway, there are more offensive things in the world than enthusiastically-blared ABBA. It just all feels a bit of a bore– a bit of a headache.
But then, you hadn’t expected Crowley to be there as well. He looks good, but then, he always does– fashionable. His trousers, despite being quite close-fitting at the thigh, have just enough flare to get into this sort of place, his shirt collar is spread wide in a trendy sort of way… and his shirt is open, just enough to show off a tantalizing glimpse of his chest. And the mustache! So virile…
When he spots you, he heads towards your little spot along the wall, all confident swagger as he snakes between those boogie-ing the night away on the dance floor. He walks with his hips and the rest of him just follows. When he reaches you, he nudges his dark glasses down his nosebridge. golden eyes raking over you. You suddenly find yourself quite aware of the extra height the heels of his shoes give him, height he hardly needs.
“Care for a dance?” He asks, glasses back in place now– back before anyone but you might have the chance of seeing his naked eyes. Seeing his true nature. That… that is a select privilege, conferred upon you only because of your long asso and few others over the millennia.
“I’m afraid I don’t…” You protest, though you let him take your hand in his. You haven’t danced since 190367 and it wasn’t at all like this. He guides one of your hands to his hip, takes the other up. Tugs you close…
“Then isn’t it time you gave it a go?” He grins.
“Is this suede?” You ask, nervously trying to make conversation, and rather fixated on the soft fabric of his trousers. He’d placed your hand at his hip so casually, and yet it consumes you.
“AnBaby, it’s ultrasuede.” He says. Not that ‘ultrasuede’ means anything to you, but he sounds very confident in saying it, and also his other hand is on your hip, and that all makes it very difficult to think about these things.
You’re not much for dancing, but being in his arms… you could be one for that. Anyway… he’s not really much of a dancer himself. Demons aren’t much better than angels, in that regard, one supposes. Still, you’ve never known another angel to have Crowley’s raw sexual magnetism… something about him draws you in, something about him goes to your head like sparkling wine.
His cologne is unexpected, a light floral entwined with seductive vanilla, a contrast to the ultra-masculine appearance… and it’s undercut by the barest hint of skin musk,
“I’m afraid this really isn’t my 'scene’…” You apologize, but it comes out rather weak. He releases you, but doesn’t move far, doesn’t stop his own gyrations, holding your focus with every enticing wriggle, every motion of arm, every shimmy of hip… and the way he flicks his tongue out towards you, the hint of something inhuman…
“Are you asking me if I want to get out of here?” He winks no how would you know that? grins, reaching out and cupping your chin in his hand.
“My shop flat is just around the corner…” You say, emboldened. By his flirtations, by his cologne, or just by your own wicked desires…
“Someone should walk you home, dark night like this.” He leans in close. “You never know what’s out there…”
“Yes, it would be terrible if I were to be beset upon on my walk home, by some… wicked demon with designs upon my virtue.” You smile.
“Oh, I wouldn’t let that happen.” And he looms ever closer, so close you can see those serpentine eyes behind his dark lenses. “I’m the only demon who’ll be menacing your virtue tonight.”
The shiver you feel at the very thought of him… at the very thought of surrender!
“Take me home?” You say, and he offers you his arm.
You’re so aware of him, on your walk home. The closeness of his body and the way that he moves, like having a great predator loping along at your side, radiating power, and there beside him, you’re safe. Protected.
He follows you up to your flat, and no sooner do you have the door locked than he’s upon you, has you pressed up against it to be kissed, forked tongue teasing at your lips, sliding into your mouth… The most wondrous haze seems to descend upon you both, making the world beyond you both unreal. There is only Crowley, his hands on you, his mouth on you, his body pressed so close to yours.
“You wanted my virtue?”
“Oh, yes…” He hisses, fisting a hand in your hair and baring your throat to his kisses. To the tickling darting touch of his tongue, and the barest graze of viperine fangs, and the rough rub of his mustache against tender skin. “I want to relieve you of it.”
“That could take some time.” You warn him. “I’m as much virtue as you are vice.”
“And how much vice do you think I’m made of?” He asks, his breath hot against your neck. He pushes his thigh between yours, sliding up to nudge against the spot where you would manif your sex. Being as it’s always in the same place and always the same shape, and you never don’t have it, because that would be very odd, and you are just a person.
“I think you’re a beast.” You moan, and he grins against you, and nips at you just a little.
“And I’m about to act like one.” He promises. He moves you from the door to the sofa, and bends you over the back of it, strong and sudden enough to make you swoon. He takes your trousers down, and you he simply miracles your shirt away, along with his own clothes.
You feel so eager for him, enough to make you weak in the knees, and his grip on your hips is firm, holding you right where he wants you as he trails wet kisses up your spine. You can feel the friction of his mustache, and the softness of his lips, and the wicked, clever working of his tongue as he works his way higher. His firm prick slides between your thighs, teasingly near and not near enough to where you would most like it buried, he thrusts between them as his kisses now travel from the center line of your spine across your upper back. And his hands slide up from your hips, to travel up your back as well, like the first slow stroke of a sensual massage.
“Oh… oh, you know what you do to me…” You rock against him, need igniting pathways along your skin, bringing you to life in new and thrilling ways.
“I have my suspicions.” He admits, and his tongue traces strange sigils across one shoulderblade. You can feel the building pressure and need for release there, can feel him calling forth the deepest and most intimate parts of you, as he kisses and teases around the joint, as your skin tingles the way it would before a powerful storm.
Almost before you know what’s happened, he’s dug his thumbs in just there and kissed you just so, and you couldn’t stop your wings unfurling if you trie from rocking your hips down against him in search of further sexual stimulation. The normal way that that happens.
He sinks his teeth into your wi shoulder, and probes delicately between your legs with slicked fingers, opening you to him like a delicate flower, before sliding home, sheathing himself inside you to the hilt. Oh, and you never felt so complete… You couldn’t have designed your body to receive him more perfectly.
Not that you could design your body to do anything of the sort, of course. That’s not how bodies work and we all understand that fact of nature. I only mean that’s how magical it feels, not that you might have attempted to do something like that. That would be silly.
Of course I suppose he could have made himself to fit you, but not on the first go, he’d have to have a feel for depth and… elasticity? Or… something of that nature, I mean, he’d have to have a baseline, he’d have to know what you felt like in order to literally transform his prick to suit you. Anyway.
He fills you and you know what life is for. You were put on this earth to love and be loved by him– and if love is a virtue, then your virtue be an endless well he might draw from, but he can never relieve you of it.
He can, however, move inside you, in firm and powerful thrusts. Virtue you may have an unending supply of, but rational thought is something you are rapidly losing hold of as he gives it to you but good. He urges you along in your pleasure, hissing encouragements in your ear as you moan his name, helpless beneath him, once a being of duty and now a being of electric pleasure, once filled with love for all things and now filled only with his love.
His hands close around the patagium of each w your hips as he drives himself into you, as he spends himself deep within your body, in the wake of your own overwhelming pleasure. He kisses a line back down your spine as he withdraws from you, as you shiver and whine at the loss of him. You slump against the back of your sofa, and you think if this is what going out to the discotheque gets you, you might go more often.
#post#fanfiction#lemon#good omens#crowley#this is so good#im grinning all through reading it#'that's not how bodies work' omfg#i put this behind a cut but my apologies to everyone on mobile in the tags
43 notes
·
View notes
Text
j'ai pas tout lu parce que flemme rooonmimimimi mais lu ça au hasard et MDRRR absolument pas job en commerce ça va pas lui. littéralement évité tout boulot qui touche de près ou de loin à vendre des trucs/qu'il y ait une question d'argent derrière jveux aider les gens mais sans devoir en arrière plan devoir penser PROFIT PROFIT PROFIT c'est pour ça que jveux chialer en pensant à ma situation parce que je suis ultra chanceux de bosser dans une assos + ça me plait de fou. bref sinon j'étais alcoolique mais pas l'impression que mes reins ont pris trop cher et problèmes de joints mais pas de eip ça va bref un peu bs des fois tout ça mais ça reste rigolo des fois
JSUIS PAS NÉ À 5H25 MAIS 7H25!!! MA PROPRE MÈRE M'A MENTIT... (elle a du juste oublier à l'époque j'faisais que lui demandé elle disait "boarf tard le soir tôt le matin BWAH" smh) putain...........jdois refaire ma birthchart est ce que je suis tjr virgo rising + gemini moon...
3 notes
·
View notes
Text
Pourquoi les structures de l'ESS aspirent-elles l’âme de leurs salariés à la paille ??? (Billet 1/on verra)
Bonjour bonjour,
Alors, commençons avec cette question qui me taraude depuis quelque temps : pourquoi les structures de l'ESS aspirent-elles l’âme de leurs salariés à la paille ??? (ouiiii d'accord, pas toutes... calmez-vous...mais beaucoup quand-même).
Cette dame, c'est Pascale-Dominque Russo. Elle est journaliste spécialisée dans l'ESS (ça tombe bien, c'est notre sujet !) et autrice du livre "Souffrance en milieu engagé : enquête sur des entreprises sociales". Ca n'a effectivement pas l'air super drôle comme sujet mais restez quand même parce que je vous jure que c'est archi intéressant.
Russo a identifié différentes raisons qui pourraient expliquer les conditions de travail pas folichonnes de ce secteur (euphémisme, on parle de gens qui ont littéralement envie de se pendre)
Ce billet traitera donc aujourd’hui de la première (parce que sinon ça fait un billet ultra-long et que notre temps d’attention en tant qu’adulte est aujourd’hui à peu près équivalent à celui d’un enfant de 3 ans et demi - pour cette information, vous n’aurez comme source que mon expérience personnelle, assez infernale, il va s’en dire).
Mais d’abord, DEFINITIOOON :
Pour reprendre la définition de Russo, l’ESS ou Économie Sociale et Solidaire si vous débarquez complet, est un secteur qui regroupe différentes structures telles que les associations (dont nous allons plus particulièrement parler aujourd’hui), les mutuelles, les entreprises poursuivant un but d’utilité sociale, les coopératives et les fondations. Selon Wikipédia, ces structures “cherchent à concilier activité économique et équité sociale”.
En allant me promener sur le portail dédié du gouvernement (chacun ses balades, que voulez-vous), on peut apprendre que le secteur compte 200 000 structures et 2.38 millions de salariés (vous retrouverez plus bas les chiffres de l’associatif en particulier).
Par ailleurs (et après on passe aux choses sérieuses), vous vous apercevez sans doute que ma question de départ est un chouïa à charge. Certains salariés de l’ESS se sentent sûrement très bien dans leurs baskets… Je n’en ai malheureusement pas encore rencontré. Par ailleurs, si l’on s’appuie sur les chiffres que nous partage notre chère Russo, selon une étude réalisée par la mutuelle Chorum et l’institut de sondage CSA sur un échantillon de 6 000 travailleurs : “49% des salariés de l’économie sociale et solidaire ont un sentiment de dégradation de leur qualité de vie au travail” - trad. : c’est de plus en plus LA MERDE - et “les personnels critiquent une charge de travail excessive”.
Laissez-moi donc reformuler : pourquoi les structures de l'ESS aspirent-elles l’âme d’un salarié sur deux à la paille ???
LA PREMIERE RAISON : LA MISE EN CONCURRENCE
Pour faire simple, les structures de l'ESS sont poussées, notamment par l'Etat, à se tirer la bourre dans le but d'obtenir des appels à projets qui leur permettraient de décrocher des petites (mais pas trop petites non plus) SUBVENTIONS. En gros, des pépètes. La cons��quence de ce fonctionnement, c'est que les structures sont sous pression, elles doivent être compétitives, faire mieux que leurs voisines, mais sans proposer de budget trop élevé parce qu’autrement, elles ne sont pas sélectionnées. Ambiance.
Alors soit, mais alors comment on en est arrivé là ?
Pour le comprendre, j’ai eu besoin d’un petit coup de main. Ca c’est le bouquin (très très chouette) de Lily Zalzett et Stella Fihn (pas trouvé de photos d’elles mais je vous mettrai une petite interview de Zalzett plus bas, vous pourrez admirer sa classe intersidérale, la meuf fume sa clope en interview, what else ???)
Elles expliquent que les assos sont régies par la loi de 1901 (y’en a eu qu’une cette année là ou QUOI ?) aussi appelée “Waldeck-Rousseau” par ceux qui veulent se la péter un peu. Ce statut leur permet entre autres choses de payer moins de taxes et de recruter des personnes qui bossent gratos (plus communément appelées des BÉNÉVOLES). Par ailleurs, ces structures sont à but “non-lucratif”, ce qui veut dire qu'elles ne peuvent théoriquement pas s’en mettre plein les poches, contrairement aux entreprises privées, mais doivent plutôt réinvestir leurs bénéfices dans d’autres actions. Comme l’expliquent Zalzett et Fihn, cette loi avait alors pour but d’organiser différents projets sous un même ensemble (coop ouvrières, mutuelles, projets collectifs). Et de conclure :
“Les associations ainsi institutionnalisées sont une tentative, plutôt réussie, de la part de l’Etat de neutralisation des projets émancipateurs directement issus de la classe ouvrière.”
Alors, je sais pas vous, mais moi, j’ai du relire cette phrase deux fois.
Quelques chiffres maintenant si vous le voulez bien :
160 000 : c’est le nombre d’associations employeuses en France
1,8 millions : c’est le nombre d’employés que cela représente, ce qui équivaut à 1 employé du secteur privé sur 10 - alors ici, on parle d’un virgule huit millions d’humains, je précise.
47% : c’est le nombre de CDI et comme le précisent nos deux acolytes, c’est un chiffre à comparer au secteur privé non-associatif qui CDIse 4 salariés sur 5.
Source : brochure de Recherche et solidarités intitulée la France associative en mouvement, 17ème édition, 2019
Le travail de Zalzett et Fihn nous permet maintenant de créer une petite frise chronologique, parce que ça ne mange pas de pain :
1901 : Loi Waldeck-Rousseau
1970 : Essor du “secteur” associatif (directement lié à la crise économique qui a pour conséquence la fin du plein-emploi et la réduction des dépenses publiques)
1974 : arrivée de Giscaaaaaard (si vous n’avez pas la ref, je vous invite à aller visionner ce court sketch de Thomas Ngijol : ici) et transfert progressif de certaines missions du service public au secteur associatif
1981 : arrivée au pouvoir des socialistes qui poursuivent le mouvement (pas très sympa !!)
1983-1984 : Marche pour l’égalité et contre le racisme à la suite de laquelle de nombreuses associations sont créés par des jeunes habitants de quartiers prioritaires
1984 : Création de SOS Racisme par Julien Dray, BHL et Harlem Désir, du groupe SOS par Jean-Marc Borello,
1985 : Création d’Emmaüs par l’Abbé Pierre
C'est à partir du moment ou l’Etat transfère certaines de ses compétences aux associations que les choses partent en vrille. L'idée derrière cela :
Diminuer la masse salariale du secteur public ou, en d'autres termes, employer moins d’humains. Cela a pour conséquence de transformer les employés des associations en “sous-traitants” du service public. Cette idée est reprise par Russo également dans les termes suivants :
“Côté associatif, la commande publique s’impose peu à peu comme le mode de financement majeur à travers les procédures d’appels d’offres, faisant des associations des sous traitants et non plus des partenaires.”
Russo et Zalzett & Fihn s’accordent sur le constat que ce fonctionnement avantage grandement les “grosses assos” qui raflent le pactole, notamment parce qu’ils ont la capacité d’avoir des équipes dédiées aux réponses à appels à projet, au détriment des associations de plus petites tailles. Ces réponses à appels à projet, notamment pour les financements européens “dévoient les missions en imposant des contrôles de “reporting” rigides et exténuants.” (Russo, 2020)
L’autre idée qu’invoquent Zalzett et Fihn est également celle de la recherche d’une “pacification sociale'', par la canalisation des luttes (souvenez-vous, cette citation plus haut, lisez-là deux fois aussi, vous verrez, ça ne fait pas de mal).
Russo quant à elle nous donne quelques infos sur le contexte de cette mise en concurrence :
Celui de la montée en force du “Nouveau Management Public” qui
“transpose les enjeux de gestion des valeurs de l’entreprise - rapidité, flexibilité, rentabilité - dans les administrations. Celles-ci les transposent à leur tour dans leurs relations aux associations ; d’où une prolifération de procédures, d’indicateurs, de tableaux de performance, d’objectifs chiffrés de l’activité…au risque de l’étouffement.” - C’est la startup nation à TOUS les ETAGES.
Cette “sous-traitance” rend donc les associations réellement dépendantes de subventions incertaines alors que comme le précise Russo dans son ouvrage, “auparavant, les associations se voyaient attribuer des subventions dans un climat de confiance”.
Mais c’est QUOI le RAPPORT avec la MISE EN CONCURRENCE ????
J’y viens, j’y viens...
Si on continue notre petite frise, nous arrivons aux années 2000 : c’est le début de la crise pour le modèle associatif. On passe alors d’un principe de subventions “de fonctionnement” à celui de subventions “par projet” : les associations doivent dorénavant répondre à des appels à projet pour pouvoir gagner leurs petits sous. Comme le précisent Zalzett et Fihn, c’est le début de la promotion de l’ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE.
Parallèlement, on observe une tendance : les associations doivent répondre à de plus en plus d’APP pour continuer à vivre et les subventions diminuent. Selon l'Étude sur le paysage associatif français. Mesures et évolutions, citée par Russo :
“les subventions publiques fondent de 34% en 2005 à 25% en 2011 puis 20% en 2017 tandis que la commande publique représentait 17% des financements publics en 2011 puis 24% en 2017."
Zalzett et Fihn complètent : “Ces appels d’offres mettent les associations en CONCURRENCE entre elles : la règle générale est que la moins chère emporte l’offre.”
…et on n’hésite pas au passage à se servir de nombreux contrats précaires pour faire diminuer les coûts sinon c'est pas drôle !
Vous savez donc maintenant ce qu’on entend par MISE EN CONCURRENCE et pourquoi c'est une des raisons qui expliquent les conditions de travail difficiles dans notre beau secteur de l'ESS.
.
Dans le prochain billet, nous aborderons donc la…
DEUXIÈME RAISON (pour laquelle l’ESS aspire l’âme de ses salariés à la paille) : UN POUVOIR CENTRAL ET UNE GOUVERNANCE NON-DEMOCRATIQUE... TINTINTINTIIIIIN
A bientôt mes petits révoltés !
P.S : comme promis, vous trouverez en suivant ce lien, l'interview de Lily Zalzett qui fume sa clope (entre autre) : ici
0 notes
Text
PR (28/42)
The Breakaway - Decathlon / Grand Prix
The BVG Hempticket - BVG / Gold
The Lost Class - Change the Ref / Gold
Flutwein - AHR / Gold
Gender Swap - Women in Games / Gold
9/12 - Verizon / Gold
Vienna Strips - Vienna Tourist Board / Gold
Hot Dog Pact - Heinz / Silver
Sunbrew - Corona / Silver
Outlaw Runners - Distance / Silver
Black Beauty is Beauty - Sephora / Silver
Reverse Renegade - Champion / Silver
The Night is Young - Heineken / Silver
BackUp Ukraine - Polycam / Silver
13 Minutes - Czech Insurance Association / Silver
The Truth Wins - Reporter Without Borders / Silver
Save it See it - Michelob Ultra / Silver
Hack Market - Black Market / Silver
Gender Swap - Women in Games / Silver
One House to Save Many - Suncorp Group / Silver
Monopoly of Inequalities - L'observatoire des Inégalités / Silver
Reduce the Ride - D'Ieteren / Silver
Long Live the Prince - Kiyan Prince Foundation / Silver
Dyslexic Thinking - Virgin / Silver
Welcome to the Iceland Verse - Inspired by Iceland / Bronze
Invaluable Food - Madrid Fusion / Bronze
Behind the most important Job - Navent / Bronze
14 is not ok - Estonian Sexual Health Asso / Bronze
Morning After Island - PAE / Bronze
Unbox Me - Unaids / Bronze
Free Cuthbert - Aldi / Bronze
A piece of Ajax - AFC Ajax / Bronze
The Unfiltered History Tour - Vice / Bronze
Bless you F*ing cooch - EOS / Bronze
Blacked Out History - Ontario Black History Society / Bronze
David's Unusuables - Motor Neurone Disease / Bronze
Green Light Signal - National Grid / Bronze
The Election Edition - Annahar Newspaper / Bronze
Tough Turban - Harley Davidson / Bronze
Greeting Milk - Maeil Dairies / Bronze
Lovetheworkmore.com - Self-promo / Bronze
As early as five - Dove / Bronze
0 notes
Photo
Dolce & Gabbana Fall/Winter 2018-2019 Women Fashion Show Runway "Fashion Devotion". Uno dei modelli di shoes più cool della stagione fredda: sono un asso nella manica per impreziosire non solo le mises più raffinate, eleganti, ma un accessorio in grado di fare davvero la differenza e di ravvivare anche il look più easy, più sportivo, più casual come nell'immagine proposta. Un modello estremamente chic, con dettagli gioiello come le pietre multicolor, le perle, piccole borchie e rifiniture in oro: il tutto steso su di un bellissimo colore rosso acceso. Da sfoggiare durante le occasioni speciali, le festività, ma non solo. Tacco largo comodo, un ottimo compromesso per coniugare altezza e praticità. Scarpe che aggiungono un tocco raffinato a tutti gli outfits. Eleganti, ultra femminili, stravaganti e cool, ma che lasciano spazio anche al romanticismo e al bon-ton. In conclusione calzature immancabili per dare un tocco glam a qualsiasi look. #DGFashionDevotion #DGFW19 #mfw #DGGirl #DGWomen #DGStyle #DolceGabbana @dolcegabbana @dolcegabbanacommunity #DomenicoDolce #StefanoGabbana @stefanogabbana #FashionSinner #lamodaèbellezza #lamoreèbellezza #DGMillennials (presso San Benedetto del Tronto) https://www.instagram.com/p/BqrbPWunNGx/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1784ctllx55d8
#dgfashiondevotion#dgfw19#mfw#dggirl#dgwomen#dgstyle#dolcegabbana#domenicodolce#stefanogabbana#fashionsinner#lamodaèbellezza#lamoreèbellezza#dgmillennials
1 note
·
View note
Text
Marie-lyne Bezille 20 février, 11:06 ·
Parait donc que si JLM arrive au pouvoir nous allons assister à une fuite des riches et de leurs thunes ! Mais , c'est déjà le cas ! 11 300 milliards dans les paradis fiscaux ! Dont plusieurs milliers rien que pour la France ! Les milliardaires Français et les gros actionnaires sont les champions du monde de la fraude fiscale , de l'évasion fiscale et des niches fiscales ! Plus de 59% de la dette française est due aux cadeaux fiscaux( depuis Sarko , jusque Hollande et enfin macron ) accordés généreusement aux ultra-riches à coup de bouclier fiscal , de niche copé , de CICE , de flat-tax plafonnées et autres privilèges des super gavés d'argent public ! Ce sont plus de 100 milliards par année ! et depuis macron la saignée est devenue une hémorragie . En 2021 , en pleine pandémie , pendant que des millions de personnes sombraient dans la pauvreté extrême , que des millions de personnes , dont une grande partie de jeunes , d'étudiants faisaient la queue devant les assos d'aides alimentaires , les milliardaires , les gros actionnaires se faisaient des milliards de dividendes ! Plus 137 milliards ! Les banques françaises en ont profité pour se faire des dizaines de milliards sur le dos des pauvres avec des frais bancaires qui ont explosé et , mis dans la misère encore plus grande des centaines de milliers de familles , des millions de personnes ! Je pense que on peut se passer de ces parasites ! Si eux peuvent trouver des ouvriers , des travailleurs moins cher , nous on peut trouver des patrons moins chers ! Quant aux actionnaires ?? Il y a longtemps que ces gens ne sont plus que des sangsues qui se gavent du sang des travailleurs ! Comment une personne sensée peut encore croire cette propagande néolibérale que , nous servent les médias chiens de garde et , cette droite de plus en plus extrême ? Il est temps de retrouver son bon sens , et , d'aller les chercher ces centaines de milliards ! La preuve que l'argent magique existe le poudré ! puisque pendant la crise dite " sanitaire " t'as réussi à le trouver pour aller gaver les déjà gavés ! Bien sur , tu as donné quelques miettes aux " riens " , mais , par contre les milliards ont ruissellés comme les chutes du Niagara dans les poches de la minorité de super-riches .
1 note
·
View note