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VĂ©los et bikepacking
Salut tout le monde c’est Squeezie !
Désolé je ne savais pas comment commencer donc c’est la seule idée qui m’est venue pour pas créer un énième blog qui parle de bikepacking ultra sérieusement. Déjà je suis nulle en WordPress donc désolé c’est hébergé sur Tumblr.
En me relisant j’ai réalisé qu’il manquait une partie sur avant que j’ai un vélo plutôt potable. Un an avant l’achat du Triban 100 j’avais un vieux vélo de route acheté 100€ sur Le Bon Coin alors qu’il devait en valoir 50, il avait sûrement été volé et repeint 3 fois, la plus longue distance que j’avais faite avec c’était du centre ville de Montpellier jusqu’à la Cathédrale de Maguelone et ensuite le retour jusqu’au tram, autant dire que toutes les personnes qui connaissent le coin risquent de rigoler en lisant que j’avais eu l’impression d’avoir réalisé un exploit sportif. C’est d’ailleurs suite à la casse du cadre de ce vélo que j’ai acheté le Triban 100.
Pour commencer j’ai clairement aucune légitimité pour parler de vélo, j’ai acheté mon premier vélo neuf (un Triban 100 mais en bleu parce que c’est swag) il y a un peu plus de 2 ans peu avant que Fiona Kolbinger gagne la TCR et enchaîné sur un 100 kilomètres quelques jours après avec une alerte orange au vent sur la moitié de la sortie (parce que je suis particulièrement stupide et que Fiona avait gagné la TCR donc si une femme réussissait un exploit incroyable je pouvais faire 60 km pour aller voir la mer), enfin quitte à se faire victimiser par le vent, autant en profiter pour l’avoir dans le dos au retour.
Quelques mois après j’ai fait une autre sortie de 100 km entre Nantes et Angers en finissant encore une fois en PLS, fait pas mal de sorties avec un groupe de filles, puis il y a eu le premier confinement et c’est ensuite que tout a un peu dérapé grâce à des amis géniaux qui étaient en manque de kilomètres et avec qui j’ai fait mes premières grosses distances, au début en baskets et toujours en Triban 100 (tu peux pas test, il n’existe sûrement pas transmission plus nulle dans la gamme Shimano que celle qui est sur ce vélo). Le plus stupide étant sûrement le 300km fait en une journée avec ce vélo, pas loin devant les 2 journées à 250 km en prenant les roues des potes et en prenant des relais uniquement dans les descentes (désolé encore).
Avec ce vélo j’ai un jour décidé de mettre des sacoches Zefal rachetées à un pote et d’aller à St Malo depuis Nantes en une journée parce que c’était la canicule dans le coin, spoiler alert : c’était la canicule partout et je me suis arrêtée au nord de Rennes à côté d’un lac et je n’ai jamais fait les 40 derniers kilomètres jusqu’au monument emblématique des [insérez la nationalité que vous voulez entre Normands et Bretons, je ne veux pas de problèmes]. Ensuite j’ai littéralement longé toutes les côtes jusqu’à Morlaix parce que la mer c’est beau et mangé des kouign-amann en haut de chaque côtes (oui la Bretagne c’est vallonné par rapport à la Loire Atlantique et j’avais pas d’entrainement des montées, je savais juste enchaîner les journées de 100 km). Bref voici une photo de mon vélo à l’arrivée, c’est cool la Bretagne, allez en Bretagne, mangez des kouign-amann et faites du vélo et si possible faîtes 2 ensemble en Bretagne.
Un an plus tard j’ai racheté le super Triban 520 gravel d’un ami et qui est le vélo avec lequel je roule actuellement. De manière non exhaustive ce vélo m’a permis de faire Nantes/Vannes pour aller boire des coups avec des potes suite à la création d’une asso fondée à cause d’un meme, quelques sorties gravel bien grasses, peut-être de trouver un boulot (pas en traversant la rue mais en pédalant), de faires quelques sorties entres amis, d’aller de la Baie de Somme à l’embouchure de la Seine et de rentrer à Paris, de retourner à double prénom city (aka Edouard Philippe, aka la ville du Havre) jusqu’à Cherbourg puis ensuite de ne pas finir devant la météo absolument nulle qui était annoncée (et la flemme de faire 250km sous la pluie pour ensuite faire du camping sauvage et prendre un TGV à 6h) et dernièrement d’aller dans les Alpes pour réaliser que j’ai zéro cardio et entrainement pour monter des cols. Il a déjà eu beaucoup trop de shitpost sur twitter concernant ces voyages donc je ne vais pas abuser ici.
Concernant le vélo, tout est d’origine dessus, à part :
Les pneus pour pouvoir changer les chambres à air (des Continental 4 saisons, le pneu avant étant un de ceux que j’avais mis sur le Triban 100 et l’arrière a fait le tour du Japon avec un ami). J’espère ne jamais croiser l’ingenieur des roues tubeless ready des vélos Triban parce que j’ai quelques trucs pas sympa à lui dire.
La guidoline à 15€ de chez D4, après avoir validé le confort des cocottes sur un cintre nu pendant 130 km à enchainer les pavés des Monts des Flandres par un chaude journée de fin d’été, c’était un réel plaisir.
La selle, une SMP dont j’ai oublié le modèle mais elle plutôt confortable
Les prolongateurs Btwin qui sont passées par 2 propriétaires qui les trouvaient inutiles. Aujourd’hui ils servent plus à transporter des cartons de pizzas, des ballons gonflés à l’helium ou à servir de support pour que la sacoche de cintre ne tombe pas qu’à ce que réellement mes bras soient dedans.
Des portes bidons de chaque côté de la fourche montés avec des chambres à air et des serflex parce que c’est toujours utile d’avoir deux bidons quand il fait trop chaud.
Le top tube recouvert de chambre à air pour ne pas rayer la peinture mais avec la sacoche de cadre qui reste toujours là c’est juste une grosse galère de locker ce vélo.
Je détaillerai dans un autre article tout ce qui est matériel de bikepacking (sacoches et choses qui se trouvent dedans), le tarif auquel j’ai acheté ce que j’emmène, l’évolution entre mon premier trip et les derniers et mon avis s’il y a des choses à dire.
Merci beaucoup de m’avoir lu, désolé pour toutes les fautes, le style et l’absence de memes, prenez vos vélos et allez vous balader
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