#ascensions des volcans
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talonabraxas · 6 months ago
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Multidimensional Ascension Portal Sirius Gateway by Talon Abraxas
Matias De Stefano’s 9 Dimensions of Spiritual Reality
A Sirius star system view of the spiritual dimensions of reality.
Matias’s 9 Dimensions are:
1D — Pure Light & Consciousness — purpose: to be the single pure consciousness of creation; “I Am”
2D — Polarities & Vibrations — purpose: to create time and space through a diversity of frequencies
3D — Manifesting Diversity in “Space” — purpose: to experience and master our personal diversity of spaces — purpose: to manifest separate forms in a fixed time and space
4D — Mastering “Time” — purpose: to experience and master our personal diversity of timelines — purpose: to learn to manipulate time and space
5D — Full Integration of 3D & 4D — purpose: to understand the all our 3rd & 4th dimension experiences as one (oneness)
6D — Creating Universes & Realities — purpose: to learn to create entire universes
7D — Enlightenment & Heaven — purpose: to guide and create all universes and realities
8D — The Akashic Records — purpose: to be the pure and complete knowledge of creation
9D — The Void Beyond Dimensions — purpose: to inspire all creation; “I Am All”
0D — The Question with No Answer — no purpose or meaning
7D — Enlightenment & Heaven
FOR Matias De Stefano, the 7th Dimension is the Dimension of Enlightenment. He says that for Sirians (in the Sirius star system) it is equivalent to “heaven”. For 3D humans (us), 7D is how we envision “enlightenment”, though we do not associate it with that dimension. It is, in some ways, an advanced level of the 6th Dimension.
He says the ecstasy of 7D consciousness attracts us the same way a flower attracts a bee. We want to both experience it and share or spread it through the universe. This attraction is like how the color and light of a flower attract bees.
One way he describes this is:
In 3D, objects will give off light and heat energy when they become highly concentrated, such as when rocks melt in a volcanic eruption. This is caused by the forces and friction of 3 dimensions and 6 directions / attributes (vibration, energy, matter, love, wisdom, & will; the dimensions of length, width, and depth each has two directions on its axis = 6 directions).
In 6D, universes give off illumination (or enlightenment energy) when they become highly concentrated. That is caused by the forces and friction of 6 dimensions and 12 directions/attributes/paths/rays.
— The ray or path attributes are: I Lead (Aires); I Value (Taurus); I Think (Gemini); I Feel (Cancer); I Create (Leo); I Serve (Virgo); I Balance (Libra); I Transform (Scorpio); I Believe (Sagittarius); I Achieve (Capricorn); I Invent (Aquarius); and I Unite (Pisces). I discuss the rays more below.
In 7D, we fully integrate the 12 directions/attributes/rays of the self. (We partially integrate them in 6D as we were learning the ropes.) That integration is difficult, but it is possible to do from our 3D body. When we are successful, we call it “enlightenment”.
Thus, 7D is the path of enlightenment. When you reach enlightenment, then all the forces of the universe (all timelines and spaces) reach a 0 point of equilibrium. It is the seed of creation, and in the state of enlightenment, we become creators.
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francepittoresque · 5 months ago
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23 juin 1802 : ascension du Chimborazo par Humboldt et Bonpland, « hommes les plus hauts du monde » ➽ http://bit.ly/Humboldt-Bonpland-Chimborazo Dans le cadre d’une expédition scientifique entamée en 1799, l’explorateur allemand Alexandre de Humboldt, accompagné de son ami le botaniste français Aimé Bonpland, tentent la première ascension du Chimborazo, volcan d’Équateur culminant à plus de 6000 mètres
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alexisgeorge24 · 11 months ago
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28 décembre :
Balade dans Mendoza et au parc San Martin pour y découvrir le peu qu'a la ville à offrir. A 18h30 bus de nuit pour Neuquén, aux portes de la Patagonie.
29 décembre :
Objectif, atteindre San Martin de los Andes dans la région de Bariloche et ses magnifiques lacs. Malheureusement les bus sont complets et je fais une escale de nuit à San Carlos de Bariloche (ou plus communément Bariloche). La ville n'est pas exceptionnelle et son centre n'est bizarrement pas au bord du Lac Nahuel Huapi mais le nombre de brasseries artisanales est impressionnant. Une 2e escale sera donc à prévoir à mon retour de San Martin.
30 décembre :
Mon bus étant à 13h15, j'ai le temps de faire une mini rando au Cerro Otto. Le sommet est atteignable par télécabine mais strictement réservé aux fragiles. Je ne désespère pas et je suis le chemin de maintenance des remontés (ligne droite) et j'atteins le sommet en 30min (530m d+). La vue sur le lac Nahuel Huapi et les forêts s'étendant sur les montagnes est sublime. Je ne connais pas mais j'ai envie de comparer Bariloche à la région des lacs dans les Alpes italiennes. Retour au hostel par un sentier à travers la montagne, douche et 5h de bus pour San Martín. A l'arrivée je ne perds pas de temps; j'ai trouvé une ballade de 4 jours autour du Lac Lácar au parque Nacional Lanín et je compte bien l'initier dès maintenant. Je fais des courses puis je pose ma tente au début du parc à 5km de la ville et au bord du lac. Paysages toujours aussi beaux; je m'y baigne d'ailleurs.
Bilan: 17km, 700m d+
31 décembre :
Grosse journée au programme; ascension du Cerro Colorado (1800m, une colline...), puis du Cerro Sábana, puis d'un 3e sans nom. Sur le chemin j'admire de beaux panoramas sur le Lac Lácar d'un côté, et sur le volcan Lanín de l'autre. Mis à part le volcan qui est une excroissance blanche dominant la région, j'avoue m'être tellement habitué à des vues grandioses depuis avril 2023, que celle-ci ne me fait pas tellement d'effet. Même si les énormes lacs donnent une impression que les Alpes ont déménagé dans le Péloponnèse. A ce stade j'en suis à 16km et 1600m d+, donc content d'entamer la descente vers mon prochain bivouac. Sauf que la descente ne se passe pas du tout comme prévue. Seuls les sommets sont dépourvues de végétations et le reste de la rando se passe dans la forêt; et le sentier est très très mal entretenu, voir pas du tout, et je me retrouve par conséquent souvent hors piste. Le hors piste en moyenne/haute montagne avec ses passages casse gueule je connais, mais le hors piste dans une forêt primitive, ça, c'est un enfers qui ne m'avait pas manqué (depuis la Guyane... ou j'y ai littéralement laissé ma peau). Je galère (évidemment sans machette) à travers roseaux, pins, toute sortes d'obstacle qui à leur contact me hurtique les bras pour essayer à chaque fois de retrouver le sentier. En bonus, des moucherons qui me volent constamment autour de la tête. A un moment je dois faire mes lacets; 30 moucherons me volent autour, je transpire comme Niagara, mon corps me gratte, et je pète un câble et insultant tout ce qui m'entoure. Au passage j'éclate quelque 100aine (sans exagérer) de moucherons m'enduisant de leur jus la peau. Je rêve d'un super pouvoir qui puisse tout brûler autour de moi. Bref! J'y arrive au bout de 2h, et après seulement 2km. Là je me retrouve dans une vallée barricadée par des barbelés. L'Argentine est aussi un pays de cow-boy et des estancias occupent la majorité du territoire. J'enjambe donc les barrières, dis bonjour aux vaches, me fais discrets quand j'aperçois des rancheros (je suis chez eux illegallement), et poursuis mon chemin. A un moment je pénètre une clairière où deux chevaux broutent tranquillement l'herbe. A 10m d'eux, l'un me fixe du regard et se met à taper du sabot. 2 secondes plus tard je suis à 100m de lui, un arc et 10 fléches en bois confectionnées aves les moyens du bord. Puis je le contourne en suivant un rayon de sécurité. J'arrive enfin au bivouac prévu! Un lac sans vue dégagée... mais je m'enfou, je suis exténué et je meurs de faim. Je monte la tente, me fais des pattes, et m'enfonce dans les bras de Morphé. Il me souhaitera la bonne année à 00h00 et je l'ignorerais complètement.
Bilan: 30km, 1900m d+ (et 19kg sur le dos)
1 janvier:
Après une nuit réparatrice je poursuis ma descente jusqu'au lac Lácar où je retrouve la route (non revetue). Je comptais sur du stop pour faire les 13km qui me séparent du prochain sentier mais j'avais oublié qu'en ce jour et à 7 heure les gens normaux dorment. Du coup je marche en faisant du pouce aux peu de voitures qui passent. Toutes me refusent alors qu'elles ont de la place et qu'il n'y a qu'une seule destination... encore une fois j'essaie de faire preuve de tolérance plutôt que de haine. A mi-chemin pourtant une voiture s'arrête pour me prendre. Elle est chargée et le conducteur fait un effort pour me trouver une place. Comme quoi... ce n'est qu'une question de volonté. C'est un immigré anglais donc qui me fera faire les 5km restants. Puis je continue ma marche qui n'a pas trop d'intérêt puisque le sentier et partagé avec des voitures. Après avoir fait un detout pour observer une belle cascade et au bout de 8km, le sentier devient uniquement piéton. C'est beaucoup plus agréable et 8km plus loin j'atteins mon bivouac sur une plage paradisiaque. 2 groupes venus en bateau sont déjà présents mais ils me laissent le terrain libre en fin d'après-midi. Encore une fois j'ai l'impression d'être sur une plage dans les cyclades mais dans les Alpes. Et seul. Le bonheur. Sieste, plouf, miam, zen, dodo.
Bilan: 27km, 800m d+
2 janvier:
Je quitte ce paradis et effectue le 3e tiers de ma boucle. Je longe la côte qui donne d'autres possibilités de bivouacs sur plage paradisiaques puis contourne un sommet qui bloque le chemin de la côte. Petit détour vers la Laguna Escondida, un gros miroir reflétant des sommets enneigées au loin. L'eau est limpide comme le lac d'Annecy. Je finis la ballade à travers un chemin pour 4x4 qui m'expose au soleil et me fatigue. Je me permets donc une sieste à l'ombre d'un arbre dans un clairière et je me réveil à côté de 3 veaux qui me fixe du regard. C'est très mignon et ça me rappel que j'ai faim. Arrivé à l'embarcadère sur le lac Lacar je prends direct un bateau qui me ramène à San Martín. Je pose la tente au camping et je cours me rafraîchir avec une excellente pils. J'ai très faim et je commande une pyramide de frite puis un Burger. Chacun de ses plats étant destiné à rassasier une personne affamée. Précision : 3 paramètres influent sur la quantité de nourriture que je peux avaler.
1: Le circuit de randonnée que je viens d'effectuer. J'ai fait presque 90km et 3600m d+ en jours, un record. J'ai donc rarement eu aussi faim
2: la qualité de l'apéro : les bières sont excellentes et pas chère du tout.
3: la qualité de la nourriture : très bonne et prix correct.
Toutes les conditions sont réunies pour que je m'explose le bide. Je mettrai 5h avant de pouvoir m'allonger sans avoir mal au ventre. Sachant que je suis exténué de ma journée, j'alterne, entre 21h30 et 02h30, marche autour du camping, position allongée, position assise, WC, en boucle...
Bilan: 28km, 900m d+
3 janvier:
Repos et logistique pour gravir le volcan Lanín. Après moultes réflexions et échanges avec guides de montagnes, je décide de faire l'impasse sur ce sommet. Trop chère et prochaine fenêtre d'ascension dans 3 jours. J'organise donc mon prochain trek à partir de Bariloche que je rejoins le lendemain.
4 janvier:
Transfert à Bariloche avec le bus de 15h00 qui me gâche bien la journée puisque j'arrive à 19h00.
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J20▪️ Hünfeld - Grabenhöfchen
25,6 km [448,1]▫️+860 m [+9 815]▫️19 °C
Aujourd’hui, ascension de la plus haute élévation de la partie hessoise du massif du Rhön, un ancien volcan, le Milseburg, qui culmine à 837 m. Les affaires sérieuses commencent au village de Schackau (419 m) avec une raide montée dans les bois. Eh bien vous savez quoi, c'est juste là qu’il s’est mis à pleuvoir. Et il a plu ainsi jusqu’à ce que nous arrivions à la petite chapelle du sommet dédié à Saint Gangolf, ce saint bourguignon, martyr de la foi conjugale (si, ça existe). Là, miracle, la pluie cesse, et nous pouvons bénéficier du panorama assis sur les rochers mouillés, avant de filer vers notre auberge. Je dis filer car autant le versant nord est raide, autant le sud est doux.
Bon, ce soir au menu, ce sera des Pfifferlinge à la crème accompagnées de Semmelknödeln. Les Pfifferlinge, ce sont les girolles, un incontournable des menus sur toutes les tables de la région et les Semmelknödeln, c’est comme les Serviettenknödeln de l’étape 15 mais sous forme de boulettes et pas de saucisses, si vous vous rappelez. Bon allez, c’est pas tout, ça va refroidir. Tchuss !
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noobseo · 1 month ago
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Ascension du volcan Acatenango : une aventure au Guatemala !
Ah, le Guatemala ! Cette perle d’Amérique centrale, avec ses villes colorées comme l’irrésistible Antigua, ses lacs mystiques comme le lac Atitlán, et bien sûr, ses volcans majestueux. Aujourd’hui, je vous emmène dans un périple incroyable, l’ascension du volcan Acatenango. Suivez-moi, c’est parti pour l’aventure ! Préparation à l’ascension Avant de me lancer dans cette aventure, j’ai passé la…
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infolites · 1 month ago
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Ascension du volcan Acatenango : une aventure au Guatemala !
Ah, le Guatemala ! Cette perle d’Amérique centrale, avec ses villes colorées comme l’irrésistible Antigua, ses lacs mystiques comme le lac Atitlán, et bien sûr, ses volcans majestueux. Aujourd’hui, je vous emmène dans un périple incroyable, l’ascension du volcan Acatenango. Suivez-moi, c’est parti pour l’aventure ! Préparation à l’ascension Avant de me lancer dans cette aventure, j’ai passé la…
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voyageons-top · 1 month ago
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Ascension du volcan Acatenango : une aventure au Guatemala !
Ah, le Guatemala ! Cette perle d’Amérique centrale, avec ses villes colorées comme l’irrésistible Antigua, ses lacs mystiques comme le lac Atitlán, et bien sûr, ses volcans majestueux. Aujourd’hui, je vous emmène dans un périple incroyable, l’ascension du volcan Acatenango. Suivez-moi, c’est parti pour l’aventure ! Préparation à l’ascension Avant de me lancer dans cette aventure, j’ai passé la…
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matasse2the · 1 month ago
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Ascension du volcan Acatenango : une aventure au Guatemala !
Ah, le Guatemala ! Cette perle d’Amérique centrale, avec ses villes colorées comme l’irrésistible Antigua, ses lacs mystiques comme le lac Atitlán, et bien sûr, ses volcans majestueux. Aujourd’hui, je vous emmène dans un périple incroyable, l’ascension du volcan Acatenango. Suivez-moi, c’est parti pour l’aventure ! Préparation à l’ascension Avant de me lancer dans cette aventure, j’ai passé la…
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lilianvoyage · 4 months ago
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Oh lala !
Aujourd'hui, cap vers le Nord-Ouest !
Après une matinée à accumuler les kilomètres au compteur de la maison-mobile, nous avons fait un arrêt à Borgarnes pour y faire quelques courses. S'en est suivi notre premier repas chaud "maison", miam miam les nouilles !
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En effet, prendre ces quelques forces nous a permis de rejoindre le cratère du volcan Eldborg. Petite ascension mais grand effet "waouh" au milieu de toute cette végétation.
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Une fois ce périple de la mi-journée accompli, nous avons repris la route pour rejoindre notre camping, et quelle route ! "Oh lala" c'est dans ces termes que se sont manifestés nos émanations de stupéfaction face au spectacle proposé par la nature. Sans doute l'une des routes les plus pittoresques que j'ai eu la chance de parcourir. Difficile de prendre des clichés lorsque l'on a les deux mains sur le volant mais croyez-moi, un régal pour les yeux (et coucou le mouton !).
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Demain, cap toujours plus au Nord !
Bisous
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Aujourd'hui, c'était ascension du Chimborazo, dont le sommet est le point le plus proche du soleil sur terre !
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Enfin, plus exactement, aujourd'hui, c'était tentative d'ascension...
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J'ai eu le droit à pluie, vent, grêle, neige mouillée, la totale ...
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Après avoir tenté de grimper, j'attends au premier refuge de voir si la vue va se dégager...
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Et c'est un échec ! En trois heures, j'aurai gagné suffisamment de visibilité pour voir trois cailloux et un pan de neige, pas plus :(
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Mais en échange, je tombe sur ... Des vigooooognes !!
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Il s'agit de l'ancêtre sauvage de l'alpaga, et elles sont juste beaucoup trop choues !!
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Il y a même eu une maman et son bébé, c'était adorable !
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Et ils ne sont pas farouches ici, j'ai pu les approcher à une dizaine de mètres !
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Bref, Touille est quand même contente, même si elle a officiellement la poisse avec les volcans d'Équateur !
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Du coup, Touille part vers la mer, Adieu la sierra !
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runlela · 2 years ago
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16 décembre 2022
On retrouve Hélo 6 jours plus tard au gîte du volcan pour l'accompagner lors de sa dernière journée de marche. Elle a passé la semaine sur les sentiers de Mafate et Cilaos (entre autres) la plupart du temps sous la pluie (la saison des pluies commence petit à petit ici).
Dernière étape, gravir le Piton de la Fournaise et terminer en beauté avec un lever de soleil au sommet du volcan mythique de l'île. On monte notre campement au niveau du Pas de Bellecombe, lieu de départ de notre rando nocturne à venir. Après avoir écouté le récit de ses aventures en dégustant une petite bière et des lasagnes avec vue sur le Piton, on s'endort pour quelques heures en rêvant de notre ascension.
Le réveil sonne à 2h45, on se lève avec une belle mer de nuages dans l'enclos Fouqué, dominé par La Fournaise et le beau ciel étoilé. On rejoint Zoé et sa pote Deborah qui ont dormi sur le parking pour commencer notre rando à 3h30. La montée se fait dans le noir complet à la lueur des frontales au milieu des coulées de lave centenaires de l'enclos. Au milieu de cette brume, il vaut mieux suivre les petites traces blanches au sol pour éviter de se perdre !
5h45, on arrive au sommet pile au bon moment quand le soleil passe au dessus des nuages. Le moment est magnifique, et nous sommes une dizaine à profiter de ce moment privilégié. Le cratère Dolomieu se découvre petit à petit et on aperçoit les 300m de fond pour la première fois. Le spectacle est magique !
On redescend en découvrant les paysages lunaires que nous n'avions pas vu dans l'obscurité de l'aller. Une belle rando de 3h45 pour terminer ce GRR2 en beauté !!
Thicoco
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talonabraxas · 5 months ago
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Multidimensional Ascension Portal
'Sirius Gateway' Talon Abraxas
Matias De Stefano’s 9 Dimensions of Spiritual Reality
A Sirius star system view of the spiritual dimensions of reality.
Matias’s 9 Dimensions are:
1D — Pure Light & Consciousness
— purpose: to be the single pure consciousness of creation; “I Am”
2D — Polarities & Vibrations
— purpose: to create time and space through a diversity of frequencies
3D — Manifesting Diversity in “Space”
— purpose: to experience and master our personal diversity of spaces
— purpose: to manifest separate forms in a fixed time and space
4D — Mastering “Time”
— purpose: to experience and master our personal diversity of timelines
— purpose: to learn to manipulate time and space
5D — Full Integration of 3D & 4D
— purpose: to understand the all our 3rd & 4th dimension experiences as one (oneness)
6D — Creating Universes & Realities
— purpose: to learn to create entire universes
7D — Enlightenment & Heaven
— purpose: to guide and create all universes and realities
8D — The Akashic Records
— purpose: to be the pure and complete knowledge of creation
9D — The Void Beyond Dimensions
— purpose: to inspire all creation; “I Am All”
0D — The Question with No Answer
— no purpose or meaning
7D — Enlightenment & Heaven
FOR Matias De Stefano, the 7th Dimension is the Dimension of Enlightenment. He says that for Sirians (in the Sirius star system) it is equivalent to “heaven”. For 3D humans (us), 7D is how we envision “enlightenment”, though we do not associate it with that dimension. It is, in some ways, an advanced level of the 6th Dimension.
He says the ecstasy of 7D consciousness attracts us the same way a flower attracts a bee. We want to both experience it and share or spread it through the universe. This attraction is like how the color and light of a flower attract bees.
One way he describes this is:
In 3D, objects will give off light and heat energy when they become highly concentrated, such as when rocks melt in a volcanic eruption. This is caused by the forces and friction of 3 dimensions and 6 directions / attributes (vibration, energy, matter, love, wisdom, & will; the dimensions of length, width, and depth each has two directions on its axis = 6 directions).
In 6D, universes give off illumination (or enlightenment energy) when they become highly concentrated. That is caused by the forces and friction of 6 dimensions and 12 directions/attributes/paths/rays.
— The ray or path attributes are: I Lead (Aires); I Value (Taurus); I Think (Gemini); I Feel (Cancer); I Create (Leo); I Serve (Virgo); I Balance (Libra); I Transform (Scorpio); I Believe (Sagittarius); I Achieve (Capricorn); I Invent (Aquarius); and I Unite (Pisces). I discuss the rays more below.
In 7D, we fully integrate the 12 directions/attributes/rays of the self. (We partially integrate them in 6D as we were learning the ropes.) That integration is difficult, but it is possible to do from our 3D body. When we are successful, we call it “enlightenment”.
Thus, 7D is the path of enlightenment. When you reach enlightenment, then all the forces of the universe (all timelines and spaces) reach a 0 point of equilibrium. It is the seed of creation, and in the state of enlightenment, we become creators.
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francepittoresque · 1 year ago
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23 juin 1802 : ascension du Chimborazo par Humboldt et Bonpland, « hommes les plus hauts du monde » ➽ http://bit.ly/Humboldt-Bonpland-Chimborazo Dans le cadre d’une expédition scientifique entamée en 1799, l’explorateur allemand Alexandre de Humboldt, accompagné de son ami le botaniste français Aimé Bonpland, tentent la première ascension du Chimborazo, volcan d’Équateur culminant à plus de 6000 mètres
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alexisgeorge24 · 1 year ago
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16 novembre :00h00 c'est une bonne heure pour débuter une journée si on a l'intention de profiter du lever de soleil au sommet d'un volcan. 2 heures de 4x4 pour se rapprocher au maximum du Parinacota à la frontière du Chili à 5100m. On est 4 en comptant notre guide. On passe rapidement de 0 à -10° en quelques 100aines de mètre d+. J'ai les mains congelée mais c'est le seul problème technique. Le cardio et le morale sont au top, et en 4h30 on atteind le sommet qui est à 6300m (!!!). Les derniers 300m étant particulièrement éprouvants puisqu'on avait l'impression que le sommet tout proche était inatteignable. Arrivé en haut évidement la vue est à couper le souffle, surtout à 06h30 aux aurores et avec le volcan jumeau du Paniracota juste en face, le Pomerape. On redescend en 1h30 puis s'enchaînent:
Retour à l'hébergement, taxi jusqu'à la frontière, bus jusqu'à Patacamaya, bus jusqu'à Oruro, pizza et visite express de la ville, bus de nuit jusqu'à Sucre.
Bilan: 7km, 1200m d+
En parallèle, Jessica fait mieux que moi avec une ascension à 9000m en 30min depuis l'aéroport CDG. Arrivée à Zurich escale de 6h avant de prendre le vol de nuit vers Sao Paulo et être sur le même continent que moi.
17 novembre : Arrivé de bonne heure dans le logement qu'on s'est réservé avec Jessica, j'en profite pour faire une lessive et prendre 5 douches. 4000km à l'est, Jessica termine un vol pénible car "peu d'espace pour mes jambes, à côté d'une personne un peu imposante et derrière une personne qui s'est littéralement allongée sur moi. Je retiendrai un mauvais souvenir de ce vol. Puis escale de 3h à Sao Paulo avant d'embarquer vers Santa Cruz. Arrivée en Bolivie, je passe la police aux frontières puis en voulant me diriger vers les couloirs de correspondance, j'aperçois mon sac de rando par terre avec d'autres bagages. Heureusement que je l'ai aperçu car j'ai du de nouveau m'enregistrer pour le dernier vol vers Sucre. Ensuite j'atteins enfin la ville pour retrouver mon Alexis qui est venu me chercher à l'aéroport vendredi vers 17h30".
Arrivés à la chambre, sieste méritée pour Jessica puis bar où elle découvre, à sa bonne surprise, les prix des cocktails en Bolivie.
18 novembre: Journée dediée à la visite de Sucre. Pour briller en société, il s'agit de la capitale constitutionnelle du pays, qu'est-ce que cela veut dire ? Que dans la constitution il est indiqué que la capitale c'est Sucre, voilà. La capitale de facto c'est La Paz (où siègent le gouvernement et autres institutions gouvernementales) et la capitale économique Santa Cruz. Bref, la ville est à 2800m, je suis donc au club med mais Jessica sent les montés. On commence la journée en prenant des churros AU DULCE DE LECHE. Ensuite on se dirige vers le museo del Tresoro où sont exposés des bijoux et pierres précieuses qu'on peut trouver dans le pays comme l'Ametrine Bolivienne (j'espère pouvoir caler cette information un jour lors dun diner). A défaut de trouver toutes les églises et cathédrales ouvertes au public, nous faisons un tour au marché ou je me pète le bide aux salades de fruits. On termine la visite par la Ricoleta, qui pour le plus grand plaisir de Jessica est à 100m d+. Belle vue sur la ville, visite d'un couvent et des musées sur les techniques de tissages indigènes. Bières/cocktails au même bar que la veille puis direction la gare routière pour notre bus de nuit vers Uyuni.
19 novembre: Arrivé à 5h30, ça nous donne le temps de prendre un petit déjeuner, trouver une agence pour un tour de 3 jours et organiser la suite de notre voyage au Chili. A 10h30 on charge le 4x4 et on commence par un "cimetière" de trains et locomotives. Nous n'avons aucune explication de notre "guide" Alex qui s'avérera tout aussi inutile que les locomotives. J'imagine qu'il s'agit d'anciens moyens de transports pour les mines du coins. En tout cas dommage pour le manque totale de conservation mais ça reste divertissant de grimper sur et dans les loco toute rouillées. Après ça, direction le Salar d'Uyuni, un désert de sel à perte de vue tout blanc avec un ciel bleu magnifique et quelques volcans au loin. Le desert est tellement impressionnant que de loin on voit le reflet des montagnes sur le sol. Il n'y a pas de mots pour décrire ce que l'on voit c'est sublime. Puis on s'enfonce un peu plus dans le désert, on déjeune dans un batiment en sel, puis de nouveau dans le désert mais cette fois éloigné des autres touristes pour pouvoir faire des photos. Ensuite on s'arrête sur une "île" de cactus géants. Jessica commence à en chier avec l'altitude (3600m). On termine la journée en admirant le coucher de soleil sur les montagnes en plein milieu du désert, spectacle incroyable. Nuitée dans un hôtel familiale de San Juan sans eau chaude. De toute façon les douches c'est pour les fragiles. Jessica n'est pas étonnée des vacances que je lui ai préparées.
20 novembre : On quitte le Salar pour s'enfoncer dans un désert qui me rappel le parc de Sajama. On roule au pied du Volcán Ollagüe que je capture avec mon drone à bord du 4x4, on s'arrête à des lagunes où habitent des flamands rose, on se promène dans une "forêt" de rochers, observe ves vigognes sauvages et des lapins andins. Le mal de tête de Jessica s'accentue lorsque qu'on remarque qu'on est à 4400m. On termine la journée avec la laguna colorada dans un paysage dessiné par Van Gogh puis par une région avec des fumerolles qui doivent se transformer en geysers tôt le matin (quand il fait très froid). A l'auberge, après le dîner, je laisse comater Jessica pour aller me baigner dans des thermes d'eau chaude sous un ciel chargé d'étoiles. Je traîne pas trop et je rentre tenir compagnie à Jessica qui passera l'une des pires nuits de sa vie.
21 novembre : Jessica se réveil avec du plomb dans la tête et c'est partie pour continuer notre visite, youhou. On ne visitera qu'un lac puis direction la frontière chilienne. On frôle la prison à cause de Jessica qui avait oublié dans sa poche un citron vert au moment de passer la douane. Je nous esquive un interrogatoire musclé en le balançant dans la poubelle en prétextant vouloir aller aux WC. Une fois sortie de mon personnage d'agent 007 je m'aperçoit qu'on pouvait le déclarer en 2 min sans être embêté. La douane passée, au plus grand plaisir de Jessica nous passons de 4700m à 2400m en arrivant à San Pedro. Le mal d'altitude disparaît progressivement et elle peut à nouveau se considérer en vacances. Puis s'ensuit une séquence d'événements peu intéressante mais agréable par son efficacité : check-in, douches, bus de 1h pour Calama, déjeuner, achat carte SD (oui Jessica s'est ramenée avec l'appareil photo sans vérifier s'il y en avait une dedans), location de voiture, route jusqu'à San Pedro, contemplation couché de soleil sur la valle de la luna, apero/dîner. On découvre alors que ce village touristique est très charmant et offre plusieurs choix de restos et bars, ce qui n'est PAS DU TOUT la norme depuis le début de mon séjour dans les Andes.
22 novembre : 2h de route pour atteindre Piedras Rojas, une énorme lagune peu profonde donnant à l'eau une couleur turquoise, entourée de sable blanc (ou de sel ou les 2) et ponctuée de roche volcanique rouge. 2e étape sur le chemin du retour aux lagunes Miscanti et Miñiques plus haute en altitudes (= Jessica pas bien). Magnifique avec quelques vicuñas qui s'y baladent mais on est un peu saoulés par les règles bizarres imposées. Il faut préciser que contrairement à tous les autres pays d'Amérique latine, le Chili capitaliste ne croit pas aux biens publiques et tout terrain est privé (ou communale), à savoir donc les endroits touristiques, ne serait-ce qu'une flaque d'eau (je ne déconne même pas, on a du payer pour en voir une) et est soumis à un droit payant à la communauté du coin. On en fera constamment l'expérience frustrante, comme avec ce canyon où lon decide de se poser pour déjeuner mais qui ne paye aucune mine et qu'on devra payer. Après ce petit pique nique on se dirige vers le Salar de Atacama au bord de la Laguna Chaxa remplie de flamands roses qui tapent la pose devant les objectifs. Le Salar n'a rien à voir avec celui de Uyuni, le sel étant mélangé à de la boue, mais les paysages sont tout de même beaux dans ce milieu à perte de vue et chaotique. Le soir on admirera le coucher de soleil depuis un point de vue qui donne sur San Pedro et la chaîne de volcans de la frontière Bolivienne. Dans ce désert, voir les couleurs virer du jaune à l'orange puis au rouge nous fait oublier qu'on est sur Terre.
23 novembre : On continue la visite du désert avec la Laguna Tebenquiche; à travers le sentier qui le longe nous avons différents points de vue sur la chaînes de volcans qui se reflète sur l'eau de la lagune qui est un miroir parfais grâce à l'eau qui n'est que superficielle. Puis direction la star du coin, la Valle de la Luna. En voiture et à pied nous nous promenons dans ces formations de terre, de roche et de sable et on a l'impression que Kubrik va crier "action" à tout moment (oui je fais de mon mieux pour varier les références à des paysages extra-terrestres). C'est tellement beau que je n'hésite pas à braver le sentier pour prendre une photo panoramique. Plus tard une touriste me fera remarquer qu'elle "apprécierait si je restais sur le sentier". Contrairement à ce que l'on pourrait croire, creuser une tombe dans le sable n'est pas chose facile. Le soir on se couche à 00h00 car:
24 novembre : Réveil à 3h30 pour profiter des températures glaciales qui provoquent des geysers au site de El Tatio, à 2h de route de San Pedro. Sur le chemin on fera des haltes pour admirer la voie lactée. Ce n'est pas pour rien que plusieurs observatoires se situent dans ce désert. Arrivés à El Tatio aux aurores, nous faisons le tour du site en admirant une 20aine de geysers plus ou moins importants. Avec le soleil qui se lève derrière les montagnes, le spectacle évolue constamment avec la lumière et les fumerolles comme protagonistes principaux. De retour à San Pedro, on check-out et direction Calama pour prendre notre bus pour la Bolivie le lendemain. Sur le chemin on s'arrête à la Rainbow Valley (valle Arcoiris) qui porte bien son nom. La aussi de la roche volcanique en plein milieu du désert chargée de différents minéraux et métaux qui donnent cet aspect d'arc-en-ciel. Dernière étape avant notre hébergement, le village de Chiu Chiu et son église entièrement à la chaux sortie tout droit d'un western.
25 novembre : Journée dédiée au transfert à Tupiza en Bolivie avec escale à Uyuni après le passage de la frontière. Arrivés à destination on fait le seul bar de la ville qui est une "vinoteca". Je dois visiblement revoir mon espagnol parce que je pensais que "vino" signifiait "vin" et non "vinaigre". On a préféré la pizza.
26 novembre : Le rythme du voyage ralentit mais ce n'est pas plus mal. Visite à pied de la quebrada (vallée) Palala ou nous regrettons presque les entrées payantes du Chili mais qui sont propres... on rentre à l'hôtel pour éviter la pluie puis nous ressortons pour admirer le coucher de soleil depuis le Cerro Cruz.
27 novembre : Visite des environs en tour privé en 4x4. Au programme:
Cañon del Inca, Cañon del Duende, El Silar avec une pause déjeuner à Toroyo en dégustant des tamales prévus par notre chauffeur. Des paysages aux couleurs balayant plusieurs nuances du rouge au marrons. Au cañon del Inca le passage devient de plus en plus étroit et on s'enfonce à pied jusqu'à ne plus pouvoir avancer. Nous sommes tout seul et je peux enfin sortir mon drone sans déranger personne. De retour à Tupiza nous enchaînons direct avec un "rapidito" (taxi, sensé être plus rapide qu'un bus) pour Tarija. L'attente et longue pour trouver un 3e passager pour partager la course, mais ça me donne l'occasion de me couper les cheveux et rendre un peu plus heureuse Jessica. Apres 3h de belle route à travers la montagne pendant la "golden hour" (coucher de soleil), nous arrivons à notre hébergement. Fast food et dodo.
28 novembre : La "capitale" Bolivienne du vin se situe à 1900m et je retrouve enfin un climat méditerranéen après 1 mois dans les Andes arides, ça fait plaisir. Nous visitons la ville avec la jolie place principale, la "casa dorada" qui était la maison d'un noble commerçant bien entretenu et le Mirador de la Loma de San Juan. Nous sommes un peu déçus de la ville car aucune église ne se visite. On apprendra plus tard que c'est commun en Bolivie à cause de vols qui ont eu lieu; les églises n'ouvrent que pour la messe. On arrive tout de même à passer une bonne soirée dans l'un des rares bars de la ville.
29 novembre : tour organisé emblématique de la ville: la visite des bodegas avec dégustations de vin. On commence par une maison qui est sensé faire du vin de haute gamme, et c'est franchement pas bon. On continue avec une autre Bodega qui nous sert du vin mais clairement sa sent la triche tellement ça a un goût de Kir. Les 2 prochaines nous servent des vins passables et à la dernière c'est la fête, on nous sert des vins sans aucune explications. On aura chacun dans les 10 verres au total, la quantité compensant largement la qualité. En plus on passe pour des experts juste parce qu'on est français et les vignerons espèrent nous satisfaire. On dit poliment que c'est pas mauvais. Un des vignerons (le haut de gamme) veut nous impressionner et nous sort et de ses "grand" vin juste pour nous. En effet c'est mieux mais pas extraordinaire non plus. Par contre les dégustations se font au bord des vignes et les paysages rappellent la France du Sud, c'est donc beau. J'aurai aussi gouté un singani (pisco bolivien, eau de vie de vin) excellent, ça ils savent faire. Le soir on prend un bus de nuit pour Potosí.
30 novembre : Arrivés à notre hôtel à 07h00, on prend sûrement ce qui est notre meilleur petit déjeuner tout hôtel, tout pays, confondu ! Une oasis dans ce désert culinaire. Après avoir visité la très jolie cathédrale, on visite la casa de la moneda qui fabriquait et frappait toute la monnaie de l'empire espagnole. Il faut rappeler que la mine d'argent de Potosí est la plus grande jamais exploitée et est toujours en activité. Bizarrement aujourd'hui les pièces viennent du Canada et les billets de France. La raison donnée par le guide c'est le prix de l'électricité (mwe...). Le bâtiment coloniale est en tout cas très joli et on y aperçoit plusieurs engins de frappe du XVIe aux XXe siècle. On embarque ensuite vers un tour organisé pour visiter la mine, ou l'on n'exploite plus l'argent mais d'autres minéraux (zinc, fer, plomb, je ne sais plus). On aprehende un peu car on ne veut pas tomber dans du voyeurisme de misère comme indiqué par certains avis lus en ligne. Finalement on trouve la visite très intéressante; on se ballade avec notre guide (UNE ex mineur, fait rare) dans les galléries du cerro Rico (la roche volcanique permet aucun support de structure pour que ça tienne), on observe sans déranger les mineurs extraire la roches, notre guide les connaît et nous laisse leur donner des boissons et feuilles de coca achetés préalablement au marché (apparemment c'est mal vu de rien apporter). Ils sont tous en train de mâcher des feuilles de coca, ce qui leur donne une grosse boule au niveau de la joue. On monte sur une gallérie supérieure à l'aide d'échelle à travers des trous assez étroits et Jessica n'est pas très à l'aise. On ne visitera pas les galléries inférieures chargées en "j'ai oublié quel gaz issue du volcan" qui provoque systématiquement la mort des mineurs après 15 ans d'activité s'ils ne prennent pas leur retraite. Selon la guide c'est un bon travail, payé largement au dessus du salaire moyen bolivien, mais dont on reconnaît les conditions de travail difficile. Avant de sortir on passe donner des offrandes (cigarettes, coca) à Tio, la divinité de la mine. On le retrouve dans toutes les mines des Andes et c'est un mixe de Dieu, Satan, Pachamama (j'ai pas bien compris), mais qui ressemble surtout à Satan avec un gros zizi.
1 décembre : On n'attendait que ça depuis la veille: le petit déjeuner. Puis fin de visite de cette très jolie ville, qui fut dit-on à un moment la plus grande au monde (mwe, en vérifiant il s'agit du "nouveau monde". A l'apogée de Potosí, Pékin faisait 10 fois sa taille). Avant de partir pour Sucre, nous visitons le très joli Convento de Santa Teresa. A Sucre je découvre une mini brasserie artisanale et enfin, après 2 mois, je déguste une bonne bière. Même Jessica boit 2 pintes.
2 décembre : Dernière journée avec Jessica, on sent la fin approcher et on est un peu tristes. On finit tout de même la visite de la ville entamée il y a 2 semaines avec la casa de la libertad où la déclaration d'indépendance de la Bolivie a été signée (Haut Pérou à l'époque), le Couvant de Santa Clara où notre "guide" nous présente les tableaux en lisant leur pancarte (titre, peintre, date) et la Iglesia de San Felipe Neri où l'on peut monter sur le toit en forme de terasse pour y admirer la ville. Mention spéciale pour les rellenas et empanadas de la pause déjeuner tout aussi bons que pas chères. Le soir on laisse une dernière chance à la cuisine bolivienne dans un restaurant bien critiqué pour ses plats locaux, c'est sans surprise un échec, mais les cocktails sont vraiment pas chers. On n'en profite pas trop car on n'est pas d'humeur à faire la fête, snif.
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tunnelsdelaverandovolcan · 5 years ago
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10 années de voyage sur les volcans actifs de la planète
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Une petite rétrospective en photos des différents volcans actifs de la planète que j’ai une la chance de visiter lors de mes voyages à travers le monde ou à coté de ma maison durant ces 10 dernières années (2009-2019)
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tanguy-de-saint-cyr · 4 years ago
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AVEZ-VOUS DÉJÀ ESCALADÉ UN VOLCAN ACTIF ?
Avez-vous déjà escaladé un volcan actif et approché de l'activité éruptive ?
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