#architecte d’intérieur france
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Library - Living Room Large, modern image of a living room library with a brown floor and light wood floors, white walls, no fireplace, and a media wall.
#architecte d’intérieur france#architecte paris#décoration intérieur paris#architecte#renovation totale#rénovation d’un studio
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Wainscoting - Contemporary Bedroom Bedroom - huge contemporary master medium tone wood floor and wainscoting bedroom idea with blue walls, a standard fireplace and a stone fireplace
#renovation totale#architecte d’intérieur france#dressing sur mesure#architecte d’intérieur#rÉnovation d’appartement
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Wainscoting - Contemporary Bedroom Bedroom - huge contemporary master medium tone wood floor and wainscoting bedroom idea with blue walls, a standard fireplace and a stone fireplace
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Wainscoting Bedroom
#An illustration of a sizable transitional master bedroom with blue walls and wainscoting renovation totale#hausmanien#rÉnovation d’appartement#architecte d’intérieur france#architecture d’intérieur#niche en chêne
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Le home staging, c’est quoi ?
Le Home staging est la nouvelle tendance importée des Etats-Unis et tout le monde en parle. Le home staging est une étape importante dans le processus de vente de votre propriété. Cela vous permet de faire la meilleure première impression sur les acheteurs potentiels et de créer un sentiment d'anticipation. Découvrons ce concept plus en détails. Qu’est-ce que le home staging ? Le home staging signifie littéralement mise en scène de la maison. Il s’agit d’une technique américaine qui a pour objet de mettre en valeur un bien immobilier afin de le vendre plus rapidement et au meilleur prix. Depuis quelques années, les décorateurs et les architectes d’intérieurs exploitent cette technique de vente immobilière afin d’épurer et de décorer une maison. Le but est d’entraver visuellement la perception du futur acquéreur. Cela peut se traduire par la pose d’une nouvelle peinture, l’harmonisation des matériaux et des couleurs ou encore l’aménagement des mobiliers dans certaines pièces. Le home staging est l’un des moyens les plus simples de vendre une maison. C'est un processus de préparation de votre maison à la vente afin de la rendre plus attrayante. Ses avantages sont qu'il aide les acheteurs potentiels à se visualiser vivant dans l'espace et qu'il aide les vendeurs à obtenir leur prix demandé. Le home staging peut être réalisé par des services professionnels ou par le vendeur lui-même, mais il est important de savoir ce que vous faites avant de vous lancer. Home staging – vers qui se tourner ? En France, les professionnels qui se spécialisent dans le home staging se sont multipliés. Ils sont connus sous l’appellation home stagers. Ce sont les meilleurs prestataires à contacter si cette méthode vous intéresse. Les missions des home stagers consistent à : - Mettre en avant les délais plus rapides de vente des biens immobiliers qui passent par cette technique, - Travailler en partenariat avec les agences immobilières afin d’accélérer le processus, - Faire une visite du lieu du bien immobilier à vendre pour établir un diagnostic et identifier les imperfections, - Epurer la maison et les différentes pièces afin de la rendre la plus neutre possible, - Réaliser d’autres travaux pour mettre en valeur le bien. Les règles de bases à respecter Il y a plusieurs règles à respecter pour épurer et mettre en valeur un bien immobilier à vendre. Tous les home stagers doivent le maîtriser. La première règle consiste à désencombrer la pièce en éliminant les meubles imposants et les objets de décoration qui rendent l’espace illisible. Il ne faut garder que les objets essentiels pour que le visiteur puisse voir les volumes. Après, il faut dépersonnaliser le lieu en retirant tous les objets personnels, les photos de famille et les collections. Il s’avère également indispensable de rénover la peinture s’il y a des murs trop marqués. La troisième étape consiste à réparer les petites dégradations telles que les fissures, les joints noircis ou les plinthes mal collées. C’est nécessaire pour le bien plus séduisant. Celle-ci se poursuit par des travaux de réaménagement afin d’offrir une sensation d’espace. La dernière étape, c’est la décoration. Outre la peinture, il ne faut pas hésiter à investir dans de beaux objets de décoration pour optimiser l’attractivité du bien. Read the full article
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Bonjour et bienvenue dans mon blog personnel ou je présenterai mon univers visuel ainsi que mes choix parcours sup
je m’appelle Mohammed Haroura et je suis né le 20 mars 2002 en Algérie à Oran je vis actuellement en France à Marseille , et j’aimerai devenir Architecte d’intérieure dans le futur c’est pour cela que j’ai choisi de faire un DN MADE pour après faire un (DSAA)
j’ai choisi ce DN MADE car quand j’ai fais mes stages obligatoire au lycée ma tutrice était une architecte d’intérieure et j’ai beaucoup aimer ce qu’elle faisait j’ai beaucoup appris aussi et je trouve ça très intéressant de rénover une maison ou les pièce habitables ect..
Maintenant je sais utiliser parfaitement sketchup ainsi que d’autre logiciel comme gimp, revit et autocad
j’ai aussi réaliser plusieurs activités voici une des activités que j’ai effectué.
La rénovation d’une salle de bain, le travaille que j’ai fournis:
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Eileen Gray
1878-1976 Designeuse, architecte Grande-Bretagne/France
Figure du modernisme, Eileen Gray a contribué à révolutionner le design et l’architecture. Un temps négligée, elle est aujourd’hui considérées comme une architecte particulièrement influente.
C’est la fortune de son père qui lui permet de vivre sa passion dès ses débuts. Il l’encourage dans des études de peinture suivies à Londres puis à Paris. De passage à Londres au chevet de sa mère malade en 1905, elle passe par hasard devant une boutique de réparation de laque. Elle se lance alors dans l’apprentissage de cet art asiatique. De retour à Paris, elle rencontre l’artisan laqueur japonais Seizo Sugawara. Avec lui, elle apprend pendant quatre ans les subtilités du laquage. Ils collaborent pendant une vingtaine d’années.
Eileen Gray s’achète un appartement et installe un atelier de tissage puis de laquage. Le soutien financier de sa famille lui permet de vivre alors que la stabilité de son commerce n’est pas assurée. Elle crée des panneaux décoratifs aux motifs géométriques ou d’inspiration japonaise et commence à se faire un nom. En 1917, on lui confie avec Seizo Sugawara la décoration de l’appartement d’une célébrité, rue Lota.
Eileen, qui s’est initiée au tissage, réalise des tapis, mais aussi des lampes, des paravents laqués en briques indépendantes, des panneaux de laque et des pièces originales bientôt emblématiques tels sa chaise longue « Pirogue » en bois laqué ou son fameux canapé japonisant « Lota » dont les coussins reposent sur des cubes. Ce dernier modèle est encore vendu aujourd’hui. C’est un triomphe dans la presse qui loue le luxe absolu de ce design d’intérieur.
Sur cette lancée, elle ouvre la boutique Jean Désert en 1922, un nom d’homme complètement inventé. Elle y vend ses créations de mobiliers et ses laques à une clientèle chic et très en vue. Exposante au Salon des artistes décorateurs en 1923, elle y présente sa chambre Monte-Carlo qui ne fait pas l’unanimité. C’est à cette époque qu’apparaît dans ses créations le tube de métal chromé. Elle se rapproche également de l’influent mouvement artistique néerlandais De Stijl. En 1925, elle crée une de ses pièces iconiques, la table ajustable avec une structure en acier tubulaire, inventée dit-on pour satisfaire le goût des petits déjeuners au lit de sa sœur.
Elle renonce aux raffinements de l’Art déco pour s’engager dans la voie de l’épure et du fonctionnalisme d’un style plus industriel. Elle amorce un tournant moderniste et délaisse la laque pour les structures nickelées ou chromées. Elle crée des formes audacieuses, tel le fauteuil rond « Bibendum ». Au-delà du design de mobilier, elle s'intéresse de plus en plus à l’architecture. Avec Jean Badovici, elle dessine et construit de 1924 à 1929 la Villa E-1027 sur la Côte d’Azur, qui devient un emblème du modernisme. La structure est audacieuse, les meubles sont pliables ou directement encastrés dans les murs, tel le « fauteuil transat E-1027 ». À Menton, elle se fait construire sa villa Tempe a Païa, maison compacte et personnelle.
Eileen Gray s’inspire des cinq points de l’architecture moderne du Corbusier mais les réinterprète et élabore une réflexion critique et personnelle de ces enseignements. Elle donne à son travail une dimension collective en fondant l’Union des artistes modernes en 1929. Dans les années 1930, elle donne à son œuvre une coloration plus sociale. Elle se lance dans la conception de maisons populaires démontables et d’un centre de vacances en phase avec l’irruption des congés payés dans le quotidien des Français. Elle se montre précurseuse dans la réflexion sur le logement et l’urbanisme sociaux, une préoccupation qui imprègne ses créations de manière durable.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la maison qu’elle a dû fuir devant l’avancée allemande est pillée. À la fin de la guerre, alors que Le Corbusier ou Mallet-Stevens sont encensés de toutes parts, elle est peu à peu oubliée. Contrairement à d’autres femmes designeuses ou architectes de l’époque, elle n’a pas pu compter sur un réseau influent pour encenser ses œuvres, ni sur des hommes pour porter ses créations ce fut le cas pour Charlotte Perriand et Le Corbusier ou Annie Albers et son mari Josef.
C’est à la faveur d’un portrait publié en 1968 dans le magazine Domus, qu’elle est remise au goût du jour. Elle a alors 90 ans. Ses objets mis aux enchères s’arrachent et un industriel décide de relancer la production des fauteuils Bibendum et E-1027. Le succès est foudroyant. Elle s’éteint à 98 ans en 1976, sa notoriété retrouvée.
Photo : Wikipédia - Domaine public
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Mercredi 25 mars 2020
Ce matin, la souffrance était immense.
Je me suis réveillée en milieu de matinée avec une monstrueuse céphalée du lobe frontal et, encore une fois, une grande fatigue.
Je pense que c’est dû à la sortie d’hier, à l’hypermarché. Tous ces néons m’ont agressé le nerf optique, c’est à n’en pas douter. Depuis que je traite mon corps comme un temple, je ne suis plus habituée à évoluer dans ces atmosphères vulgaires et toxiques. Il fut un temps où je prenais beaucoup moins soin de moi. Dans ma période nihiliste, je traînais souvent, telle les surréalistes amateurs d’absinthe, dans les bars de nuit du huitième arrondissement. C’était juste après la fin de mes études. Suite à un investissement malheureux, mon père avait connu un revers de fortune, et nous vivions tous les trois dans un cinq pièces exigu de la place des Vosges.
Mes parents avaient tout fait pour me cacher l’ampleur des dégâts – qui les conduirait à s’exiler en Normandie pour leur retraite, ne gardant à Paris que cet appartement comme modeste pied-à-terre, radeau de la Méduse dans cette capitale où mon père avait jadis connu la gloire – mais je n’étais pas dupe, et je savais que rien ne serait plus jamais comme avant.
Alors le soir, je m’en allais, les poings dans mes poches crevées, et j’allais m’enivrer là où mes pas me conduisaient, au hasard. J’allais parfois me frotter à la populace des étudiants provinciaux déracinés dans les caves de la Montagne Sainte Geneviève, boire des bières chaudes et des cocktails trop sucrés, et, lorsque l’alcool avait raison de mon instinct de survie, me nourrir d’étranges sandwiches dont le nom m’échappe – des sandwiches faits de pains plats et insipides garnis d’une viande que le “cuisinier” râclait sur une espèce de brochette géante à l’aide de ce qui me semblait être une tondeuse à cheveux. S’en servait-il également pour faire une coupe de printemps à ses six enfants ? Sa femme, peut-être. Deux ou trois fois par an.
Il m’est même arrivé, lors d’un moment de rupture brutale avec mes parents et tandis que j’étais psychologiquement au plus bas dans la noirceur, d’aller vivre trois semaines rue Labat, dans le XVIIIème arrondissement. Je m’étais réfugiée dans un minuscule deux pièces de cinquante mètres carrés pourvu d’un balconnet étriqué que m’avait prêté une amie noire partie en voyage, amie que j’avais rencontrée quelques années plus tôt au Lycée Fénelon, où j’avais été scolarisée – mais dont le prénom m’échappe. J’en ai conservé quelques cicatrices au cœur, et le souvenir ému des odeurs de poulet yassa.
La gentillesse des femmes africaines !
Même si j’ai grandi à Paris, Barbès est dans mon sang, tatouée dans ma chair.
J’ai bien conscience que peu de gens de mon milieu peuvent se targuer d’avoir été, comme moi, à l’école de la vie, et j’ai conscience que c’est une chance.
Car je suis très curieuse de tout.
Au départ, dans mon âme la plus profonde, je suis une artiste du verbe.
C’est un peu par hasard, que je suis devenue architecte d’intérieur. Lorsque Victor a eu besoin de donner un coup de jeune à sa clinique, c’est moi qui ai tout pensé, qui ai expliqué aux ouvriers ce que j’attendais d’eux. C’est moi qui ai choisi l’agencement, les couleurs, le mobilier, les œuvres d’art... j’ai même fait dessiner un papier-peint très épuré pour la salle d’attente par un ami graphiste, qui a suivi mon brief à la lettre.
À compter de ce moment, ma carrière a décollé d’une façon assez impressionnante. Victor a reçu tellement de compliments sur ce nouvel agencement de la part de ses patients que je me suis fait faire une carte de visite. Mon carnet d’adresse s’épaissit de jour en jour. Je sais que de nombreuses personnalités – dont je ne peux révéler l’identité par secret professionnel – ont mes coordonnées et attendent impatiemment l’opportunité de faire appel à mon œil d’architecte.
Et puis bien entendu, il y a eu le réagencement de la dépendance, ma plus belle réussite, que je suis parvenue à accomplir malgré les tentatives d’ingérence de ma mère. Il m’a fallu user de toute la diplomatie dont je suis capable pour l’empêcher de mettre son grain de sel dans ce projet – c’est fou comme les gens, sous prétexte qu’ils financent une œuvre, s’imaginent que cela leur donne les compétences pour la réaliser. Enfin est-ce que les producteurs de cinéma sont aussi les réalisateurs de leurs films ? Sont-ce les mécènes qui tiennent le pinceau ? Évidemment non. Le producteur, ou le mécène, il sort le carnet de chèques.
Au fond de moi, je suis quelqu’un de très créatif. Je passe ma vie à inventer. Pas une journée ne se passe sans que j’écrive. J’ai une attirance toute particulière pour le théâtre. Et ce depuis toujours. Si ma mémoire est bonne, j’avais cinq ans lorsque j’ai monté ma première pièce. Et puis à dix-huit ans, j’avais trois scénarios de long-métrages qui traînaient dans mes fonds de tiroir, côtoyant deux romans, quatre recueils de nouvelles, et d’innombrables poèmes, plus poignants les uns que les autres.
D’ailleurs, je suis diplômée de lettres modernes. Je me suis arrêtée une fois ma Licence en poche, par dégoût pour la notion même d’élite, cette imposture que j’avais percée à jour bien malgré moi lorsque je m’étais rendu compte que certains de mes professeurs étaient bien moins brillants que moi.
Que pouvaient-ils bien m’enseigner ?
Je pense en avoir appris bien plus sur le monde et sur moi-même lors de mes promenades nocturnes dans les recoins les plus sombres de Paris, que sur les bancs de la Sorbonne.
Pourtant, malgré l’évidence, malgré ma qualité manifeste d’animal littéraire, je n’ai jamais cherché à me faire publier ou à mettre en scène mes scripts. Sans doute un vilain tour que m’ont joué mon incorrigible pudeur, mon goût pour la discrétion et surtout, mon humilité maladive.
Pourtant, en ce moment, ma productivité est à son paroxysme. Tout m’inspire. Comme je suis très heureuse en ce moment dans ma vie, tout est source d’inspiration.
Chaque petit instant que j’ai de libre, ces jours-ci, est consacré à l’écriture. Et l’alimentation quotidienne de ce journal de confinement n’est que la partie visible de cet iceberg créatif. Très naturellement, un nouveau roman est né sous ma plume fertile – un roman très original sur le thème du confinement. Une histoire d’amour entre deux voisins qui vivent en face l’un de l’autre à Paris et applaudissent tous les soirs à 20h les soignants de France et de Navarre sans trop oser se regarder, jusqu’au soir où, une fois que tous les autres ont refermé leur fenêtre, ils prennent leur courage à deux mains et s’adressent enfin la parole.
Ce qu’il y a d’incroyable, c’est que ce roman s’écrit presque tout seul. Je n’ai pas eu besoin de m’embêter à en dessiner un plan. Et à la relecture, je ne tombe que sur quelques coquilles à corriger, mais pour ce qui est du style, tout est excellent, et même moi qui l’écris, je trouve que ce roman se dévore !
J’ai entendu l’information selon laquelle dans certains secteurs, les dirigeants seraient en droit de demander à leurs salariés de travailler jusqu’à soixante heures, ou de prendre des congés sans solde. L’article que j’ai lu employait l'expression “bouscule le Code du Travail” – quelle violence, cette presse de gauche, mon Dieu mais quelle violence ! Il me paraît logique de réajuster quelque peu le Code du Travail, de l’assouplir légèrement aux entournures. D’autant que je compte bien moi aussi participer à cet effort de guerre. C’est décidé : je vais me mettre à l’écriture de ce roman à temps complet.
Dès que cette maudite migraine aura cessé de me brouiller la vue et l’esprit.
La pharyngite m’a rendue aphone, ce qui handicape également mon écriture. Lorsque j’ai fini de sculpter une longue phrase ou un paragraphe, je me plais à le soumettre au gueuloir, à la manière de Flaubert, notre maître à tous.
Alors je prends ma plus belle voix, et je crie mon texte, je chante mon texte, qui prend vie dans ma voix et dans l’air poussiéreux du bureau de ma mère, une pièce de taille moyenne côté est du manoir qu’elle a fait aménager il y a quelques mois – sans m’en parler, évidemment – lorsqu’elle a décrété qu’elle aimait écrire.
Malgré tout l’agacement qu’elle suscite en moi par ses multiples entourloupes et ses coups de plus en plus bas, la visualiser assise à ce petit bureau trop grand pour elle, pleine d’espoirs quant à ce talent littéraire dont elle se croit dotée, m’attendrit profondément.
Lorsqu’elle travaillait encore, elle était professeur de lettres modernes en classe préparatoire. Elle n’a jamais réussi à trouver mieux que le lycée Jules Ferry, cet établissement tout en briques jaunes situé au beau milieu de la jungle de la place de Clichy. J’ignore quelle était sa réputation en tant qu’enseignante – j’ai préféré pour ma part rejoindre Fénelon, car mon niveau en violon valait la peine que j'aie accès à l’option musique – mais quoiqu’il en soit, ce n’est pas parce que l’on sait enseigner une discipline qu’on est doué pour la pratiquer. Ainsi que l’écrivait très justement l’inénarrable George Bernard Shaw:
Those who can’t do, teach.
–Ludivine de Saint Léger
#coronavirus#covid19#journal#parodie#confinement#bourgeois#écriture#symptomes#kebab#trouville#calvados#normandie#france
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“Baalbek peut m’attendre”
Un grand merci à la Fondation Qattan, au centre culturel « Hammana Artist House », au collectif Kahraba et à la Compagnie A Funicella.
Merci à Hildegard de Vuyst, Aurélien Zouki et Eric Deniaud qui m’ont ouvert les portes de leur travail, et bien plus.
Merci aux actrices et aux acteurs qui ont accepté ma présence…et qui m’ont ouvert les yeux et de nouveaux horizons…
Bravo aux actrices et aux acteurs qui ont traversé cette aventure avec audace, courage et JOIE…
Et merci à Nicolas, qui supporte autant ma présence que mon absence…
« Baalbek peut m’attendre »*
Carnet de voyage, immobile, et de paysages, intérieurs.
Arrivée à Beyrouth un samedi, j’en repars un vendredi, 13 jours après.
De retour chez moi, en France, on me demande : « Alors c’est beau ? On mange bien ? Ils sont gentils ? T’as été bien reçu ? C’est pas trop chaud ? Niveau ambiance je veux dire ? Et les routes ? Et les paysages ? Et les camps ? Et la guerre alors ? Et les séquelles ? Et toi, en tant que femme ? Et les femmes ? Et… Raconte…» On me pose beaucoup de questions, auxquelles je suis bien incapable de répondre. J’ai passé un peu moins de deux semaines au Liban, dans un village au nord-est de Beyrouth, à Hammana, dans un centre culturel, j’ai passé un peu moins de deux semaines logée et nourrie comme une princesse, avec Aurélien, Eric, Samer, Hisham, Alaa, Salam, Lina, Farah, Salma, Chady, Hussein, Mohanad, Nermine, Hasan, Omar, Amal, Zorba, Hildegarde, Marie-Cécile, Geoliane…. J’ai passé un peu moins de deux semaines, invitée, en témoin. Invitée à regarder un workshop, réunissant une quinzaine d’actrices et d’acteurs, et trois encadrants autour de « l’écriture dramaturgique ». Un temps où l’on partage des outils de création théâtrale. Un temps pour mettre à plat, et poser les bases de la création : un temps de point de départ. Douze jours à regarder un ambitieux travail de construction. Douze jours, avec des acteurs, des actrices, des auteurs, des autrices, une dramaturge, des metteurs en scène, un marionnettiste, un comédien danseur, pour poser des fondations et créer un socle commun, un langage. Douze jours pour consolider et construire ce que l’Histoire a détruit.
Ce récit se veut loin des idées préconçues, j’en avais peu en arrivant, j’en ai encore moins à mon retour. J’ai vécu une aventure théâtrale, avec ce que cela implique de remise en question. Ce récit pose les questions inhérentes à la création : « Pourquoi ? Comment ? Pour qui ? Par qui ? Quand ? Comment ?...et quoi ? Sur quoi ? » Essentielles et existentielles, ces questions, ici, ont résonné et fait trembler mes certitudes. En oubliant le regard de l’occident sur l’orient, le regard de l’Europe sur les camps en Syrie, la réalité de la guerre, la Palestine, en oubliant la française qui vient voir travailler des Libanais, des Palestiniens, des Syriens, en se concentrant sur Charlotte qui vient voir travailler Farah, Linah, Salma, Hassan et Hildegarde, le regard se déplace et se modifie. Si nous, artistes, ne pouvons changer le monde, (je crois qu’il va falloir se faire à cette idée) nous pouvons, en revanche, modifier le regard que nous posons sur lui. De l’intérieur, comme de l’extérieur. Et, en modifiant notre regard, faire bouger, d’un chouïa celui de l’autre. Sans imposer une quelconque vision, non, juste le déplacer, se déplacer. C’est peut-être ce voyage de l’intérieur sur lequel ce carnet tente de mettre des mots. Tout ce qui a bougé, en eux, et en moi.
Ce carnet de voyage immobile est donc un témoignage, un témoignage de ce que j’ai vécu, et de ce que nous avons vécu. Il n’en est qu’une trace infime, il ne prétend pas tout raconter, ni tout analyser, il raconte. Cette histoire est encore à vivre et à prolonger. Cette histoire continue de s’écrire sans moi, je ne suis qu’un simple entonnoir. Un tamis qui laisse apparaitre quelques mots sur quelque chose de bien plus grand. J’ai mis du temps à pouvoir remettre des mots et refaire ce chemin. Le récit n’est pas à la hauteur du voyage. Mais tant pis, il a le mérite d’exister, et de faire vivre, ailleurs, ce que nous avons vécu, là-bas, à Hammana Artist House…
Dessin de Hussein
*Note sur le choix du titre : Mes hôtes, Aurélien Zouki et Eric Deniaud, m’ont plusieurs fois proposé de faire une pause pendant mon séjour, et de m’échapper quelques heures pour aller sur le site merveilleux de BaalbeK. Mais nous tombions très vite d’accord tous les trois, Baalbek peut m’attendre, eux, non…Baalbek nous survivra, mais rien ne remplace et ne remplacera jamais une aventure humaine comme celle-ci, rien…Nous avons choisi ce titre ensemble, en riant aux éclats, comme d’habitude, car oui, Baalbek m’attendra…
Atterrir
Une soirée et une courte journée à Beyrouth. Je ne peux et ne veux rien en dire. Ce serait presque indécent, comme si je pouvais me permettre de parler d’une personne croisée au coin d’une rue. Je ne peux pas parler de lui, de ce qu’il est, de ce qu’il fait, de ce qu’il fera, de ce qu’il a été, je peux parler de l’instant où nos regards se sont croisés. C’est tout. Je peux dire que j’ai croisé Beyrouth, je l’ai rencontrée furtivement, elle ne m’a pas regardée. Elle a raison, elle a le monde rivé sur elle, j’ai croisé Beyrouth un jour de marathon. J’ai croisé donc des tas de personnes, d’enfants, de jeunes, de musiciens, de ballons, de couleurs vives. J’ai croisé Beyrouth et j’ai hâte de la rencontrer, et qu’elle me raconte un peu ! Peut-être, un jour.
Monter
Sous la pluie. Un car nous monte au centre culturel. Dans le car, je croise ceux avec qui je vais passer ces deux semaines. Nous nous apercevons. J’ai toujours aimé les débuts d’histoire, qu’elles soient d’amour, d’amitié ou de travail. Je sens l’avidité de rencontre, le trac, le stress, y compris et surtout le mien (non, mais, qu’est-ce que je fais là ? T’as pas honte ? Quelle audace…) je sens les cœurs palpiter, et les regards se croiser, furtivement. Nous montons tous en car vers le village d’Hammana, au centre culturel. Nous montons tous sans savoir où nous allons, sauf le chauffeur. La route commence. J’aime ne pas savoir où elle mène, je me laisse faire dans les virages, et prends ma place, dans un coin. Ma place qui sera la mienne pendant deux semaines, une place que je n’ai jamais eue, celle de témoin.
Se rencontrer
Ils sont en cercle. Ils se parlent pour la première fois. Derrière eux, un miroir.
Il y a un architecte d’intérieur, un cuisinier, une journaliste, un électricien qui a fait brûler son premier chantier. Il y a des biologistes, des économistes.
Il y a des actrices, des acteurs, des clowns, des auteurs, des metteurs en scène, des marionnettistes.
Il y a celui qui crée des marionnettes avec des chaussettes, et celle qui invente des histoires.
Il y a celui qui a confiance et celle qui aime être surprise. Celui qui s’ennuie vite. Celui qui cherche où aller.
Il y a celui qui écrit, qui donne à entendre des brouillons de textes, celle qui écrit des articles sur le web, celui qui écrit sur un blog de réfugiés. Il y a celle qui crée des chansons, mais qui n’a pas de temps. Celle qui travaille pour les autres.
Il y a celui qui se réjouit de la guerre, elle lui a permis d’aller ailleurs. La guerre lui a enlevé sa timidité et ses peurs, il a sorti sa voix. Depuis, il chante.
Il y a celui qui donne du sens à sa vie en faisant se rencontrer les gens, celui qui donne du temps, un temps où l’on ne juge pas, un temps où l’on se trompe, un temps où rien n’est faux.
Il y a celui qui aime jouer, écrire, mettre en scène, et qui ne sait pas choisir.
Celui qui est né ici, qui a grandi ailleurs et qui est revenu. Celui qui a décidé de rester.
Il y a celle qui a découvert qu’elle aimait le théâtre, celle qui a confiance dans la magie de ce qui va se créer. Celle qui a été empêché d’étudier le théâtre. Celui qui s’est enfui, celui qui s’est échappé, qui a suivi un cirque.
Celle qui a oublié son rêve, mais le rêve revient.
Celui qui a toujours rêvé de danser.
Celui qui a lu Zorba le Grec à 18 ans, et qui a changé son nom. Il dit parfois qu’il a un grand-père Grec.
Celui qui rencontre sa cousine ici pour la première fois ici. Celui qui aime l’Italie, celui qui déteste Pinocchio.
Il y a celui qui est réfugié, qui vit dans un camp, et c’est tout, celui qui est en exil et qui met son amour au service d’un pays. Celle qui retrouve ses racines grâce à la danse, celle qui a appris en regardant. Celle qui parlait à sa sœur en jouant du violon.
Il y a aussi celle qui a donné à sa compagnie de théâtre le nom d’une fleur qui pousse difficilement : « Bayldessen, la fleur de Sureau »
Il y a celle qui aime voir les visages et les regards se transformer. Celle qui a trouvé dans le théâtre quelqu’un qui faisait appel à ce qu’elle était, à son vécu, à son histoire. Celles et ceux qui portent en eux ses histoires, leurs histoires. Et celles et ceux qui sont là pour guider, pour ouvrir des portes. Celle qui croit que l’art offre la place de s’exprimer, dans des sociétés où il est impossible de le faire, qui croit que le théâtre laisse la place au rêve, à l’imaginaire, à la liberté. Celle qui n’a pas la place de ses rêves dans le théâtre de la vie normale, et qui la trouve dans le théâtre.
Il y a celle que l’on veut mettre dans une boite, et qui veut en sortir. Il y a celui qui est là pour des raisons que seul le destin connait. Celui qui ne voyait comme issue que le suicide, le service militaire, ou un miracle. Et le miracle s’est produit. Il est là, avec eux. Pour la deuxième fois.
Il y a celui qui appartient à ce lieu, à la terre entière.
Il y a cette maison qui les reçoit. Cette maison qui est comme celle d’un ami, cette maison comme un rêve qui prend vie. Cette maison qui invite des créateurs, des artistes, du public. Cette maison qui mélange les arts, cette maison qui laisse sa place à la création, qui laisse la place à l’erreur, à l’errance. Cette maison dans laquelle on cherche, on transmet, on trouve, on échange. Cette maison qui n’est pas née d’un hasard. Cette maison qui prolonge un long travail collectif, qui le consolide, pour mieux le partager. Comme les gestes de ceux qui transmettent, ces gestes reçus que chacun tente de prolonger, ailleurs.
Ils sont en cercle. Ils se parlent pour la première fois. Ils se racontent et se résument pour la première fois. Les mains, les regards, les corps parlent autant que les mots. Les rires et les silences aussi. Un miroir est derrière eux. Ils sont Palestiniens, Syriens, Libanais, Belge, Français. Ce jour-là ils sont en cercle, pour la première fois. Ils ont leur passé en eux, ils sont dans le présent et vont vivre quelques jours ensemble pour rêver des avenirs.
Un miroir est derrière eux. Un miroir est au milieu d’eux. Un miroir est en eux.
S’effacer
J’entre dans la salle, après un petit déjeuner copieux, mon cahier, mon café et mon stylo à la main. Je m’assieds et observe, j’écoute. Les acteurs s’étirent, s’échauffent, réveillent leur corps. Sur le « clavier bien tempéré » de Bach, les articulations craquent, le souffle ponctue le silence. Chacun est dans sa bulle.
Je dirai parfois « ils », parfois « elles », parfois « on », ou « nous ». Selon la place que je prendrai. Lorsque je parle de « nous », je participe moi-même aux exercices, puis m’en retire. C’est le luxe que je m’offre, voire de l’intérieur et de l’extérieur.
Nous créons un cercle. Et Aurélien nous demande de nous espacer. Puis de repérer le centre de la pièce, et en avançant ensemble, de redessiner un cercle. Peu à peu, l’écoute de la respiration et des corps nous permettent de nous positionner mieux. De trouver notre place, et de laisser sa place à l’autre. Dans le cercle tout est solide, et tout se voit.
Temps d’enracinement et d’écoute. Les pieds au sol, ancrés, comment je perçois ce qui vient de la terre. Voyage le long de notre corps. Et au-dessus, que ressent-t-on ? Connection, respiration profonde, regard ouvert. Nous sommes là. Aujourd’hui, ensemble.
Un à un, nous circulons au milieu du cercle pour trouver le point zéro, la page blanche, le vide. Accepter d’être regardé, se montrer, sans jouer, sans provoquer. Être, regarder, se laisser regarder. Emotion, intensité des regards. Les fébrilités affleurent, c’est palpable, les couches sont superposées, il va falloir éplucher. On sent la peur, le plaisir et la fragilité. Mais le cercle veille, avec douceur. Accepter le vide, le rien. Accepter d’être.
Les fondations se creusent dès maintenant : accepter d’oublier les histoires, les vécus, les différentes cultures, les identités. N’être que des corps sur le plateau, en mouvement. Sans raconter.
Se déposer
S’accompagner soi-même pour déposer son corps, au sol. L’un décide d’y aller, et tous l’accompagnent. L’un porte le poids du monde, l’autre ne veut pas se faire mal, l’une ne veut pas se salir, et toujours la même qui se couche en dernier, comme une madone, une veilleuse.
C’est étonnant de voir qu’ils prennent toujours la même place, au centre, ou en périphérie. Certains n’ont aucune conscience des espaces, et les brisent. D’autres restent dans leur bulle. Les bulles éclatent. Les femmes ont tendance à prendre la tangente, à ne pas prendre le centre, je lis des tas d’histoires rien qu’en observant les corps se positionner. Des histoires qui échappent. Des peurs, des réflexes, des mécanismes.
Et toujours de prendre la même place.
Ce matin, ils déconstruisent. Ils effacent les acquis et le premier défi émerge. Celui de s’abandonner, de s’écouter, de recevoir, avant de donner.
Echauffement avec Éric sur les articulations : les chevilles, les genoux, le bassin. Ils se balancent d’un pied sur l’autre, les chevilles bougent, la force vient du sol, le bassin est centré, la colonne droite, ils sont présents, à la vertical. Puis le bassin entre en jeu, pour être disponible à tout, tout ce qui peut arriver. Ils cherchent le centre, ils créent des 8, des infinis. Le bassin rentre en mouvement. Tout part de là. Le mouvement puise sa force dans le sol et résonne, il se crée. Peu à peu, avec de la musique, sans danser, les corps emplissent le vide. Les corps cherchent. Ils prennent vie. Ils soufflent, ils ne coupent pas la respiration. . Ils ouvrent des chemins. Des chemins pour se rendre disponibles à tout ce qui peut arriver.
Leur corps est une porte qui met leur esprit en travail pour penser, pour construire : qu’est ce qui surgit que je n’avais pas prévu ? Le corps poétique émerge. Le corps qui n’illustre pas, mais qui fait ressentir.
Se raconter
Hildegard leurs demande, à chacun, de créer « une minute ». Une minute de ce que l’on doit dire, veut dire, de ce qui est urgent. Texte écrit, chant, danse, mouvement. Ils passent l’un après l’autre. Avec une cagoule de mouton, des marionnettes, des textes, de l’impro, du chant, une lampe de chevet, une canne, un par un. Ils se regardent et s’écoutent.
Une minute pour se raconter. Une minute comme une carte blanche. Une minute, pas plus, un peu moins si il le faut. Si j’avais dû le faire, je pense que j’aurai pris une minute de silence, à les regarder. Je me sens à cette place. Je n’ai rien à dire. Ils passent l’un après l’autre. Chacun vient avec son savoir-faire, ce qui est normal, et ses obsessions. La guerre, l’enfermement, l’injustice, les injustices. Ils se racontent ainsi pour la plupart. C’est normal, et humain, dans le public, bien assis en tailleur, on se prend tout ça, sans filtre. A partir de là, ils doivent se regrouper par cinq, et créer, avec ses « numéros » d’une minute, une performance. L’un est metteur en scène, les autres sont dirigés. Première étape d’un travail de création.
Hildegard précise avec le sourire, qu’elle demande l’impossible, mais « en travaillant l’impossible, on ouvre le champ des possibles. » C’est ce champ là que nous devons traverser.
L’enjeu étant de traiter les propositions comme des objets trouvés. Ne pas les modifier, ni les sur-interprétés. Toujours se poser les bonnes questions, les questions basiques d’un spectateur : ce que l’on voit ? Ce qui se lit ? Toujours revenir à ces questions, ne pas juger, ne pas suggérer, questionner…
Hildegard remonte à la source du théâtre, l’art qui crée des attentes, auxquelles l’on choisit de répondre, ou pas… Comment traite-on le temps dans les performances ? Le temps en est le cœur. En tant que metteur en scène, l’on doit maitriser et comprendre le temps. C’est le point de départ. Et c’est ce qui ne doit jamais échapper.
La dramaturgie est L’art du temps. Le matin ils travaillent l’espace, l’après-midi le rythme. Comment une chose vient après l’autre ? Qu’est ce qui provoque et crée du mouvement ?
Après avoir vu les performances, la question de la sphère intime et de la sphère privée est urgente. Comment je peux parler de moi, de mon vécu, sans faire entrer le spectateur chez moi ? Le théâtre est un lieu public, le théâtre n’est pas l’endroit du privé. Comment, avec des espaces, de la distance, je peux dire ce que je veux dire sans montrer ce que je ne dois pas montrer ? Le théâtre rend l’intime public. Mais avec distance, avec une poétique. Comment rendre son corps poétique, comment ne pas rester dans son quotidien, dans son vécu. Comment rendre le quotidien extra quotidien ?
Comment trouver le geste artistique qui doit raconter ce que je veux ?
Questions sans réponse. Pour l’instant. Le travail consiste à poser des questions, encore faut t il bien les choisir... On ne sait pas si l’on aura réponse à tout. Mais l’enjeu est de taille.
S’abandonner
Echauffement : En cercle, épaule contre épaule, regard, reconnection. Prénom à déposer au centre du cercle. Travail du bassin, étirement. Je grandis, je m’accroche et je me lâche. Tout doucement.
Je m’enroule tout doucement, le poids de ma tête fait basculer mon corps, tout doucement, ma colonne s’enroule, je fléchis les jambes si j’ai besoin, je souffle, je bascule mon bassin. Puis j’étire mes jambes, des chevilles aux ischions.
Comment mon corps puise son énergie dans le sol pour se mouvoir ? Comment je trouve une verticalité ? Conscience et regard : où je suis ? Trouver la liberté, sortir des cadres des bons résultats, de bons élèves des « est ce que le public est avec moi ? »
Se jeter sur le plateau, le traverser, en gardant sa force dans le sol. J’observe à la fois ce qui se passe sur scène, les corps exploser, exploiter les possibles, ouvrir des diagonales, des directions, et ce qui se passe hors scène. Les regards, les attentes. On se croit au bord de l’eau : « j’y vais ? Je plonge ? Elle est bonne ? Mais si je plonge on va me voir ? Et comment je sors ? » Mais ils plongent, avec audace et joie
Les corps et les histoires se déposent. En douceur. Sur le plateau. Ce qui domine c’est la force vitale, l’énergie et l’urgence. Les histoires se tissent entre eux, d’où qu’ils soient. Certains se cachent, se dissimulent. Deux femmes portent le voile. Elles ne se dissimulent pas. Elles sont presque plus libres que certaines. C’est étrange. Une des jeune fille est beaucoup plus entravée qu’elle, beaucoup plus prisonnière de son image et de ce qu’elle doit laisser paraitre. Elle est terriblement touchante, elle pose et se photographie sans cesse, on sent un poids sur ses épaules, celui d’une éducation dont moi, jeune femme occidentale, je n’ai aucune idée. Je sens bien que leur monde et leurs quotidiens m’échappent. Que je n’ai aucune conscience de ce qu’ils peuvent vivre. Je les croise, à un moment donné de leur vie, je ne vois que le haut de l’iceberg, avec un regard flou, celui de mon monde. Je me laisse surprendre et fais sauter mes à priori, j’essaye de les voir comme des actrices et des acteurs, avec leur entraves, et leurs aspirations. J’essaye de les regarder quand ils lâchent, ne se sentent pas regardés. Cette jeune fille, quand elle est en tailleur sur sa chaise avec son teint pâle et ses longs cheveux noirs, est sublime. Quand elle est. Et ne joue pas. Cette jeune fille est semblable à de nombreuses jeunes filles que j’ai pu croiser sur scène, ou à celle que j’ai pu être, moi aussi.
H., une autre jeune fille, s’est maquillée aujourd’hui ou du moins s’est faite maquillée par S. Elle a une tête d’enfant. Elle a des yeux d’enfant. Elle a fumé une cigarette aujourd’hui, elle m’a dit que c’était sa première. La cigarette, le café, les cartes, les échecs et les apéros nous unissent le soir. La danse et le rire aussi…
Je me sens bien, à ma place. Comme rarement. Est-ce le fait d’être loin ? De ne rien comprendre ? De n’avoir aucun référent ? De n’être personne. Je me sens libre. Par empathie peut être, les murs s’effritent et tombent vite.
Le corps de M. s’est débridé aujourd’hui. C’est hallucinant. Il part dans tous les sens. Comme un chien fou. Il a en lui une puissance incroyable.
D’autres sont plus mystérieux, plus connectés, plus ailleurs. Je ne juge pas. Moi j’ai le choix, j’ai la liberté de circuler, d’aller où je veux, quand je veux. J’ai ce droit-là. J’ai une nationalité, un statut et des droits. Ici certains se douchent à l’eau salée…Alors qu’est-ce que cela me raconte ? De la culpabilité, du fatalisme ? De l’indifférence ? Non. J’ai parfois les larmes aux yeux. Eux aussi, je croise parfois ces moments, mais par pudeur, ces moments volent en éclats de rire. C’est tout.
A, avec ses lunettes et sa tresse me touche. Elle a une belle bague en forme d’escargot, qui vient d’Italie. Elle a une voix incroyable, elle est sublime.
Au froid dans mon lit, la nuit, j’entends leurs rires qui fusent. Ils en profitent, ils ont raison…
Se jeter
Hilda « commande » d’autres soli, pour élargir et étoffer la matière première.
Certains sont « nés » sur scène. Ils sont plus libres, plus simples, plus vrais. Les à priori et les systèmes se débloquent, les clavicules et les hanches se déverrouillent, et l’audace fait son entrée.
Ce que j’ai reçu cet après-midi m’a bouleversée. J’ai été émue. Les voir avancer, si vite. H. a fait un solo dans lequel il commençait par se gratter. Le torse, la tête, les cheveux, la hanche, et de plus en plus, jusqu’à l’extrême, jusqu’à se frapper, puis faire de son corps un instrument. Tout son corps, ses pieds, ses mains, son torse. Un corps chantant, une joie et une puissance rare. Terrienne et céleste.
F. a fait un solo sur une chaise, elle est entrée avec un sac « harmonie du soir et s’est assise, une jambe à moitié nue. Elle s’est assise et le poids du monde s’est posé sur ses épaules. Elle a maquillé une partie de son visage. Elle a joué avec son image, s’est révélée.
M. a par erreur mis un masque à l’envers. Il est entré sur scène et a provoqué une vague de rire puis de froid dans le public. Qui est -il ? et pourquoi ? Il avait un autre masque dans le dos. Il a suggéré sa maigreur, et joué la panique d’un homme qui en prend conscience.
C. a commencé par se jeter sur scène, en arrivant du fond en hurlant « Bastards ».Il a réussi à se lever, grâce à S. Il s’est laissé porter, avant de sortir il a dit « reste assis, vous serez les prochains »
Se libérer
En cercle, jambes allongées, on avance et on forme un petit cercle avec nos pieds. Main droite sur la nuque de son voisin, main gauche dans le bas du dos. On respire, on prend contact. On lâche, on ouvre les yeux. Connection.
« Ne vous jugez pas, ne jetez rien, allumez le moteur. »
Composer avec des changements de rythmes, de directions. Le corps comme une phrase : avec ses ponctuations, ses silences, ses verbes. Partir de soi pour ponctuer son corps. A chacun de penser où est son endroit de fragilité, de prise de risque. Quelle limite on met à son corps. A chacun de la choisir, et d’essayer de la pousser, ou pas, sans la dépasser.
Là commence la liberté.
Improvisation avec une grande feuille de papier de soie :
Un matériel, fragile. Lui donner vie tout doucement, tous ensembles. Prendre le temps pour écouter et recevoir des infos de la matière, et des autres. La qualité du toucher a une conséquence sur la matière. Engager le corps en entier. Jamais en attente, jamais passif. Même si je ne fais rien, je dois être disponible. Le papier devient une matière pour raconter quelque chose. Travail de chœur, qui commence dans le silence, le son entre, imperceptible, monte en crescendo et disparait. Eric pointe la différence entre le toucher et la manipulation : en touchant on crée une relation, et notre corps entre dans un mouvement. Trouver comment je positionne mon corps. L’espace s’ouvre, l’air le fait respirer.
(ps : en fait on est des astronautes, on passe beaucoup de temps dans l’espace)
Je contrôle et je laisse faire en permanence. La vie continue d’être là quand je lâche, trouver la respiration. Quelque chose qui continue malgré moi. Non parce que je l’ai décidé. Ecoute commune, être au service d’un corps commun.
Remarque après le passage « on n’attend pas que la vague vienne vers nous, on la provoque » « nous étions plus vivant qu’elle » « je ne ressens pas un souffle commun mais vingt souffles (ils sont 6 sur scène) » « Dans ma région, comme y avait pas grand monde ça me permettait de la faire vivre tranquillement, seule »
Importance de ne rien faire, le jeu et non jeu.
On aborde en douceur la notion de collectif, Trouver un moyen de faire avec les initiatives des autres,
Deuxième passage à 9. L’initiative vient des hommes et les femmes reçoivent. Inconscient collectif apparait. Qui prend autorité sur qui ? Ce n’est pas volontaire, c’est inconscient. Comment nous sommes construits les uns les autres malgré nous ? Le papier laisse apparaitre des choses. Pas grave, pas de faux ou de mal.
Troisième passage, avec la contrainte de laisser la place aux femmes. Moralité : il ne se passe pas grand-chose. Les hommes ont peur, et les femmes n’ont pris aucune initiative. Etre conscient de ces questions. Ouvrir les yeux. A quel endroit doit-on ouvrir les yeux ? Quelle réalité veut on raconter et regarder ? Sans juger.
Quelle est ma zone de confort ? Qu’est-ce qu’on attend de moi ? Quelle place je prends ?
Se laisser faire
Découverte de tous ces cercles dans le corps et comment je découvre de nouvelles routes. Notre corps porte en nous des mémoires, malgré nous.
Ne pas bouger pour bouger et faire du beau. Se laisser aller dans la danse et le beau : être dans sa zone de confort. Aller ailleurs. Travailler sur le rapport équilibre, déséquilibre, les changements de rythme. Les ruptures ? Préserver les temps de silence pour recevoir et aller ailleurs.
Les nouveaux solos sont montrés, et chacun doit en choisir deux à mettre en scène. Attention : La narration doit être imposée par le matériel de l’autre, sa proposition. Pas de bras de fer avec la matière première. Ne pas tenter de la déformer, ou de lui faire dire autre chose.
Le travail en co-création commence. Le chemin compte, le processus. Moins le résultat. Essayer de trouver cet espace en dehors qui permet de vérifier la proposition ? Est-ce la bonne et juste chose à faire ? Comme des scientifiques. Tout peut se vérifier et se questionner hors plateau, à l’aide de ces trois questions fondamentales…
Sujet : qu’est-ce que je veux dire ? De quoi je veux parler ?
Thème : dans quel contexte je le place ?
Métaphore : comment ?
Apprendre à manipuler cet outil, à vérifier, sans juger, sans opinion. Ce que je vois, qu’est-ce que cela me raconte ? Est-ce bien cela que je veux raconter ?
Se tromper
Journée un peu décousue et particulière. La journée où les murs se brisent un peu et où quelques pierres tombent. La journée où le travail commence.
Echauffement en douceur, on commence par les pieds, les reconnecter, le corps suit, les vagues, du sol à la verticalité. On travaille sur les corps qui s’inclinent doucement au sol, et se redressent. Dans toutes les directions. Obsession de la verticalité et du rapport au sol.
Improvisation collective : le lâché, porté. Un est au cœur, les autres se meuvent sur le plateau, et le réceptionnent. Attention à ne pas l’étouffer, à le laisser vivre en autonomie. Additionner tout ce que l’on apprend, disponibilité, écoute, souffle, regard, changement de rythmes. Ils débutent le travail de chœur. Difficile et frustrant, ils suivent la même direction, et dans ce corps commun ils doivent trouver leur propre autonomie. Leur propre existence.
C’est difficile car on aborde des notions plus austères, accepter de ne rien faire, de réceptionner, de ne pas faire du beau, de ne pas faire bien. Toujours cette même question qui revient : est-ce que je fais bien, est ce que j’ai raison ? Est-ce qu’on me regarde ?
Comment exister en groupe ? Sans disparaitre.
Mais beaucoup de joie et d’insouciance. Les corps parlent d’eux-mêmes. Ils ne mentent pas. Beaucoup sont au-dessus de leur corps et ne l’habitent plus. Beaucoup s’effleurent et ne plongent pas en eux. C’est facile de voir ça de l’extérieur. Les corps des hommes sont pétris de modèle, de ce qui faut être, de l’image à donner. Souvent d’un bloc, les épaules sont solidaires Le corps a du mal à se libérer. C’est comme des corps empêchés. Des corps contraints et entravés. Et la liberté effraie, comment la détecter cette liberté ? Comment en jouir lorsqu‘elle nous est inconnue.
Tout va devenir plus excitant, et plus difficile. Nous devons mettre plus de force, de pouvoir, d’énergie pour aller au bout du travail. C’est une course entre nous et notre passion. Essayer de toucher nos âmes. Ils espèrent le faire. Ils sont là car ils veulent être des hommes et des femmes libres sur scène. La scène fait d’eux des êtres plus libres que dans la vraie vie.
L’harmonie ne doit pas toujours là sur scène. Quelle conscience j’ai de ce que je fais ? Sur le plateau qu’est ce qui crée du jeu, des contrastes, de la violence ? On a besoin de tension, de contrepoids. On a besoin de violence pour chercher la tendresse. Dans le processus de travail on est et on cherche l’harmonie, sur le plateau on a besoin de cassures, de frictions. De prise de pouvoir. De domination. Ce sont deux choses à distinguer. Le plateau, et le travail hors plateau.
Créer
Chaque groupe a une image. 45 minutes pour la vivre, la faire exister de manière organique sur le plateau, puis imaginer ce qu’il s’est passé avant et après.
Lorsqu’ils ont montré le résultat de leur travail, la plupart étaient dans le sketch, les photos ne sont pas apparues visiblement, elles ont servi de support pour avoir une idée, ils n’ont pas regardé la photo, et ne sont pas partis d’elle. Manque d’engagement des corps, beaucoup d’anecdotes, de quotidien, de comique de situation…
Recommencer
Ils cherchent à imposer un sens, certains ont été perdu dans le travail collectif et n’ont trouvé d’issue que dans le vote. Or l’enjeu est de trouver le moyen de communiquer, de se sentir tous responsables. Confusion entre raconter une histoire, bavarder et faire émerger quelque chose dans un espace avec des corps. Suggérer, faire apparaitre plutôt qu’illustrer. Force du théâtre. Trouver un univers, une écriture dramaturgique, un langage commun et des clés
L’enjeu du stage est de ne pas en sortir comme un artiste individuel. L’enjeu est de créer des rencontres, des collectifs, des forces. On pourrait pousser le développement individuel de chacun. Mais ce n’est pas le but. Seul, on meurt, on ne peut rien faire.
Dans les répétitions lorsqu’ils se retrouvent il y a beaucoup de conflits, de tensions, sur scène tout est beau, tout est gentil. Paradoxe, comment faire l’expérience de conflits, de violences sur scène, et de compréhension, d’écoute, de lâcher prise dans le travail…
Prendre de la hauteur
Départ en ballade le matin. Enfin en ballade, une marche de deux heures environs…départ en tête avec Éric et M.. Il fait comme quand je pars en ballade avec les enfants, il ne prend que des chemins de traverses, des détours, il se sent libre. J’espère qu’il comprend dans son corps que c’est cette liberté-là dont on parle sur scène. Si la scène n’ouvre pas d’espace, alors autant regarder la télé. La hauteur, la vallée, le vide nous remplit. La difficulté aussi, l’entraide est là, chacun avance à son rythme, on se dépasse, on sort des sentiers battus, on ouvre ses yeux et ses poumons. Et au loin Beyrouth se laisse entrevoir, sous un nuage de fumée jaune et épaisse…Hammana à nos pieds, les vallées derrière nous. Nous traversons des forêts de pin, de cyprès et de cèdres, évidement.
Dans la redescente, Hilda donne le rythme sur des chants de marche. Du rire, de l’énergie, toujours. Chacun son rythme, dans le hasard de la marche des discussions se créent. Et on redescend vers le village, vers le travail. Cette montée a ouvert des voies dans le travail et les rapports. Je crois fermement qu’une aventure théâtrale puise sa force aussi dans ces moments de vie, ces moments où nous ne sommes plus grand choses…
Exister, résister…
Trouver les moments de détente et d’énergie. J’inspire, j’envoie de l’air, cette énergie crée mon mouvement, ma torsion au sol. Trouver le moyen, à l’intérieur, sans se blesser, de basculer son corps, il fait un cercle au sol, et bascule, en suivant l’impulsion des jambes. On alterne entre moments volontaires dynamiques, et moments où l’on relâche. Dans l’énergie on trouve une assise.
Traversée du plateau : sur le dos je m’étale, je me détends, corps mort, inerte, il se rassemble en fœtus, l’énergie de mon souffle le fait se déplacer. Pas en force, on ne se blesse pas, on souffle. Prendre soin de sons corps. Ensemble une énergie dans l’espace se crée. Du plus grand au plus petit, du plus étalé, au plus rassemblé, le moins d’effort possible, j’organise mon corps pour que ce soit facile. Faire confiance en son corps, il sait.
« Votre corps doit enregistrer le mouvement. Pas votre tête. Il doit retrouver sa propre intelligence. »
Il passe un par un, H. ondule de la vie à la mort, il sculpte l’espace, dessine. S. fabrique des bulles de savon autour d’elle, se protège et plonge dans sa propre matrice. Parfois elle fait tout éclater, parfois elle se cache.
Plus on est concret, dans l’ici et maintenant, plus ce genre de passage fonctionne. Pas dans la tête, ni au ciel, ni chez les bisounours.
Comment dans cette relation à l’autre je ne m’efface pas ? Et si l’autre disparait, comment je continue d’exister ?
Encore aucun conflit, aucune tension sur le plateau. Au bénéfice d’être ensemble, on s’oublie, les êtres disparaissent et plus rien ne se passe. Risque de l’uniformité, du manque de contraste. Attention au temps de respiration, ne pas bouger pour bouger, sinon on brasse de l’air.
Passage : I. et O. en fond de scène, S. prend le devant de la scène et y reste isolée un long moment. Dans ce silence, qu’est-ce qu’elle peut continuer à vivre ? H. dévore la scène.
Enjeu de créer ici et maintenant, même quand on sait ce que l’on doit faire. Etat de présence. On voit celui qui a une idée, une bonne idée, un truc à dire, un message. Ils sont tellement dans leur tête qu’ils sont absents. On met le doigt sur un endroit mystérieux de la création. Comment je crée de la poésie ? Comment l’image apparaît ? Non d’une idée, mais dans l’instant.
Se remettre en question
Ils vont explorer cette relation concrète avec la marionnette. Comme avec le papier. La seule différence c’est qu’ Éric a fabriqué quelque chose qui nous ressemble. La marionnette nous ressemble, mais elle n’existe pas. L’objet marionnette est lourd, il est de dimension « humaine « , il peut marcher, regarder.
Attention de ne pas vouloir raconter d’histoires avec elle. Simplement créer une relation qui donne un début de vie commune.
Passages un par un :
H. teste la résistance de son genou, puis se glisse sous elle et soulève son bassin.
O. la retourne, la soulève et l’accompagne, pour qu’elle se repose.
A. se met en miroir.
S. la repositionne et essaye de la réanimer, il va vite, ça ne fonctionne pas.
Ils sont tous très câlin, très tendre, heureusement M. la prend et la jette au sol, la frappe du pied.
A., comme une Pieta, la réconforte.
On a du mal à sortir des images d’Epinal. S. la prend sur son dos et l’accompagne au sol, il la fait tourner autour de lui, assis. I. la prend par les mains et la tire vers lui. Il la traine au sol, et la laisse, une main tendue vers le lointain.
F. s’approche doucement et la prend par la nuque. L. la toise, les mains dans les poches, elle ébauche une danse avec elle.
C veut encore raconter une histoire.
Avec la marionnette on peut exprimer sa violence, faire ce que l’on ne peut pas faire avec un humain. Elle peut être le vecteur de tout, écartèlement, projection, coup, colère…tout…La seule règle est de ne pas la casser. On se fout du beau, la poésie ne peut pas prendre ce chemin, le réalisme est pauvre. Le corps poétique peut et doit faire sens, sans raconter une histoire, ni illustrer. C’est cet endroit qu’ils cherchent, à tâtons.
Le corps circule de l’un à l’autre, elle se met à danser et tente de s’échapper, A. la rattrape, S et L. la vole, ils se la disputent, F. l’emporte par les pieds, H. et S. la font tourner vite, et la mettent en croix, Z. la rattrape, elle retrouve sa vulnérabilité, C. s’en empare et se jette sur elle.
Attention à écouter les propositions au lieu de toujours tout effacer. A force de vouloir trop dire, ils ne construisent rien, et nous ne vivons rien dans le public. Ecouter jusqu’où chaque proposition peut aller. Trouver les moments de suspension qui permettent au public de lire ailleurs.
Importance d’être ici et maintenant. Comment dans la relation je ne m’efface pas ? On peut s’oublier, disparaitre au profit du « danser ensemble ». Cela crée une uniformité, un manque de contraste. Tout se crée sous nos yeux.
Éric rajoute des contraintes au passage :
-Trouver des moments où l’on donne vie à la marionnette. Même enjeu que pour le papier : je le contrôle, je le laisse vivre. Je tiens, je lâche.
-Dans les rapports de corps, trouver un laisser-aller, une empathie, un lâcher, circuler avec soi-même entre je contrôle, et je lâche.
Ne pas être en Représentation, mais en relation. Nous touchons l’enjeu de la présence, et de la représentation. Je dois être présent, je ne dois pas me représenter.
La faiblesse apparaît lorsque l’on veut raconter une histoire, faire vivre une émotion, avec volontarisme. C’est plus simple que ça, plus organique. Etre en lien avec les échos intérieurs, ce que cela me fait à moi, comment tout ce qui se passe sur scène résonne en moi, plutôt que de remplir le vide avec de l’air, des idées…C’est à nous, public, de vivre quelque chose, de ressentir. Laisser cette place. Le travail sur le plateau est concret. Si ils soulignent, ils tuent l’essence de ce qui apparaît.
O. à la fin de cette séance dit « déjà l’heure ? je n’ai pas vu le temps passer… » Oui, c’est ça être présent, être dans le présent, dans l’instant, et ne pas sentir la durée…
S’écrire
Ils ont écrit des textes, et Hilda leurs demandent de les « ajouter » à leur performance. Là, se pose l’enjeu de l’illustration, et de l’explication. C’est beau de les voir emprunter des chemins de traverses. Les problématiques se compliquent et s’additionnent…Comment ajouter du texte ? Sans appauvrir ? Sans annuler les corps ? En gardant des silences, des respirations ? Sans chercher de lien, de rapport de cause à effet… Trouver physiquement, organiquement, comment cela peut se passer. Parfois cela se passe de mot. Ne pas adapter le texte à la situation, ne pas tenter de forcer quoique ce soit, de dénaturer le matériel : d’un côté le texte, de l’autre la proposition physique. Le texte est quelque chose qui peut vous traverser, tout ne vient pas de la logique, d’ailleurs tout n’est pas logique dans la vie…
Les répétitions sont difficiles, parfois, les propositions perdent de leur force, plus ils travaillent, moins c’est vivant. Le travail prend sa force et son originalité ici, ils apprennent à travailler, en groupe, sans que personne ne prenne le dessus, en s’écoutant, en avançant ensemble…Et surtout « Gardez du plaisir, on crée mieux avec le plaisir… »
On revoit les propositions. Quelque chose est là, bien vivant. Quelque chose qu’ils n’auraient jamais pu envisager sans passer par le corps. Tout est décalé, il y a des contrepoids, de la distance, de la force. En partant des textes, ils auraient sans doute expliqué, ils auraient trouvé des idées, des situations. Là, les performances sont organiques et vivantes, les textes prennent une toute autre dimension, et les portes de la création s’ouvrent…
Et Hilda, Eric et Aurélien ouvrent et questionnent : Comment construire une scène et non un sketch ? Dans un sketch, tout est expliqué, au moins cinq fois. Dans une scène, on met en perspective, on crée des distances, on laisse la place au spectateur de voir. Et n’est-ce pas lui l’interprète.
Avec ce processus, à partir de photos, on peut créer des scènes claires et riches .Utilisez votre propre matériel, des images que vous pouvez trouver par hasard, que vous pouvez choisir. Avec des photos on part du réel, du concret, on évite les concepts.
Se répéter …
Pendant qu’Éric recoud la hanche de sa poupée. Tenter de ne faire qu’un souffle. Ecouter tout ce qui se passe, ici, et dehors. Grandir, se grandir, ouvrir les pores de sa peau. Trouver la page blanche, effacer les petites choses. On s’ancre. Puis on part dans tous les sens, dans le souffle.
Le corps bascule, d’un pied à l’autre, on crée des vagues, des directions, on cherche dans le sol un rapport, une énergie.
Prendre conscience de ces outils, de ces forces, de ces faiblesses. Prendre conscience que pour pouvoir faire vivre quelque chose à du public, je dois roder mon instrument. Je l’étire et le développe dans tous les sens.
Travail sur des marches dans la diagonale, légèreté, puis force. Saut de l’ange sur le plateau.
S. se confie « je me cache derrière quelque chose mais je ne sais pas quoi…je suis en découverte »
Dans les marches on cherche le rapport énergie, force, détente.
Avec la marionnette : trouver une relation avec elle en chœur. Préciser les moments où elle devient vivante. Essayer de construire pas à pas comment soudain elle prend la première place.
Un premier groupe d’hommes passe. Ils ne prennent pas le temps de se laisser la place, et d’écouter les propositions des uns ou des autres. Nous n’avons pas le temps de lire.
Ne pas prendre le pouvoir, mais prendre des initiatives. Ne pas se passer la balle comme au tennis. Quand une chose commence à vivre, la prolonger. Sous prétexte de donner de la vie, ils oublient la dynamique de l’espace. Ils le ferment, aucune lecture n’est possible. On a comme un grand corps mort, la marionnette, et plusieurs garde du corps de ce corps mort…M. , qui est un bon baromètre abandonne, il jette la marionnette et sort de la scène. Il sait quand ça ne fonctionne pas .
Les femmes passent entre elles. On expérimente l’énergie féminine. Elles sont à l’écoute, et en harmonie. On voit les liens
Tout est visible. Eux qui ne savent pas exister autrement qu’en dominant, ou en étant dominé, ceux qui n’existent pas seuls. Il faut savoir lâcher le pouvoir, et ne pas passer l’ardoise magique. Suis-je au service d’un mouvement global ? ou ai-je le pouvoir sur ce mouvement ? On est tout le temps dans l’entre deux. Une initiative ne peut pas dire « prise de pouvoir », les hommes ont un rapport au pouvoir en force, comme si ils imposaient, mais proposaient rarement, et l’autre dispose.
Difficulté de refaire l’exercice. La première fois c’est magique, on a la découverte, la surprise, on est audacieux car on n’a pas conscience. Dès que l’on devient conscient, on contrôle tout. Donc on bloque tout. C’est normal. Les informations ou contraintes données devraient ouvrir le jeu, et non le fermer.
Se redécouvrir
En arrivant je n’avais aucune idée de ce que j’allais trouver ici. Je ne savais pas ce que j’allais y trouver, encore moins ce que j’y cherchais. J’étais là, en témoin. Et maintenant j’essaye de témoigner de ce que j’ai pu voir. Je peux juste dire que du premier au dernier cercle de travail, des couches se sont enlevées, pour en faire apparaitre d’autres, Aurélien, Eric et Hildegarde ont travaillé comme des artisans, avec une matière humaine qui heureusement ne rentre dans aucune case, et patiemment ils ont essayé d’enlever, de nettoyer, de mettre en mouvement ces corps. Ils ont mis des cailloux sur un chemin, celui de la création. Certains les ont ramassés, d’autres sont parfois passées à côté, mais ce n’est pas grave, le caillou est là. Et surtout, le chemin n’est pas unique, ce n’est pas le seul chemin. Avant tout, nous avons appris à en tracer un, et à chaque fois le réinventer, le recréer. Je ne savais pas ce que j’allais vivre, je n’avais aucune attente, j’ai appris en tant que femme, et en tant qu’artiste. Moi aussi je me suis remise à zéro, j’ai retrouvé les fondamentaux de ce qui me touche, la richesse infinie du théâtre, son pouvoir, sa force, et sa vérité aussi. Ces quinze jours sont une parenthèse, pour eux, et pour moi aussi. La parenthèse est ouverte. Elle ne se ferme pas. Chacun repart avec des choses à inventer, moi aussi.
J’ai appris à me laisser faire par une langue inconnue. J’ai passé de longs moments, avec eux, en cercle, à les observer rire, les écouter chanter, s’affranchir. Oublier les histoires, oublier l’Histoire, les vécus. J’ai appris à me mettre à la bonne place, sans culpabiliser. La culpabilité ne sert à rien. J’ai une responsabilité, celle de témoigner de leur joie. De leur force. Et de leur silence. Finalement l’Histoire nous sépare, mais les histoires nous réunissent. Nous nous retrouvons dans nos jeunesses, nos vies à construire, nos envies. Je ne veux pas parler des larmes que j’ai pu voir, ou entrevoir couler, ni des moments d’absence des uns et des autres, je ne peux parler que de force et de Joie. Je peux parler de corps entravés à la liberté retrouvée, de voix libérés, de regards posés et perçants, de l’omniprésence du virtuel, des réseaux sociaux omni présents. Je peux parler des liens qui se tissent entre eux. En souterrain ou à vue. Je peux parler du feu qui les anime. Je me souviens de cet échange avec Z, un jeune acteur Syrien : « je connais deux phrases en français :« je ne sais pas », et « j’en ai rien à foutre » »...
Je peux parler de l’humour. Je peux dire qu’il y a toujours moyen de se croiser dans la vie, j’ai rencontré des actrices et des acteurs, j’ai et je traverse encore les affres qu’ils ont traversés, je partage les doutes et les questions, la peur de déplaire, la volonté de bien faire, ou de faire mieux.
Peu à peu, ils ont tous, en collectif, appris à travailler. Ils sont sortis des chemins qu’ils avaient balisés, et ont accepté le risque. Celui de ne pas savoir.
Construire et rêver
Les besoins, les envies, les attentes sont exprimés. Je crois que j’ai été au cœur d’une grande chose, le besoin et la nécessité d’ouvrir une école. Elle va éclore. J’en suis sûre.
Comme dit Eric, ils ont commencé par la porte, il n’y a plus qu’à mettre les murs…
Oser
J’entre dans la salle. Ils sont à l’heure. Chacun dans sa bulle, s’étire. Sur le clavier bien tempéré de Bach. Chacun prend conscience du voyage et de sa fatigue, avec Bach en souterrain, pour nous tenir. Au sol, le corps grandit, ils ne se sentent plus regardés. J’ai été apprivoisée. Je repars avec deux mots en Arabe : Nafas, respire, et Somt, silence. En tournant sa cheville, Z. fait du bruit, S. lui lance « bois un verre d’huile ! ». Fou rire.
Je me mets au sol avec eux, les voix sortent, je sens le sol vibrer, je sens toutes leurs voix résonner dans mon corps, et moi je me tais, je laisse résonner.
Je repars, chargée d’épices de tisane et de Raka, de clopes, de cartouches d’encre vides, de mots griffonnés sur des cahiers d’écolier, je repars pleine de regards et des silences. Dans notre quotidien j’ai vu ces silences, ces arrêts, ces moments où un « c’est la vie » ou « may be one day » vient tout balayer. Ces silences que je ne peux pas lire car je ne sais pas, je ne suis pas et ne serai jamais à leur place. Je ne peux ni ne veux l’imaginer. Je ne peux que voir et mesurer la profondeur de ces silences ; et rire avec eux la seconde d’après. Autant sur scène on apprend à ne pas effacer, autant dans la vie, tout est envoyé valdinguer dès que les pleurs émergent. J’ai partagé des cafés, j’ai volé des briquets, sans faire exprès, j’en ai donné aussi, j’ai gagné aux échecs, j’ai perdu aux échecs, j’ai encore une partie de cartes à finir, j’ai eu un fou rire en apprenant qu’aux échecs en Syrie la Dame n’existe pas, c’est le premier ministre, un homme qui a tous les pouvoirs, j’ai appris des recettes, des noms de plats, j’ai ri, qu’est-ce que j’ai ri. Même sans comprendre. J’ai entendu parler d’une femme qui lit son journal, et son avenir dans son café tous les matins…et sans l’avoir rencontrée, je pense à elle, tous mes matins.
Repartir
J’ai retrouvé avec eux le sens, et l’essence du théâtre. J’ai retrouvé un sens que j’avais perdu. Qui s’était enfoui, qui avait fui. Le sens que nous voulons et que nous nous devons de donner à la scène. A nos gestes, à nos corps. Le sens que nous perdons quand nous prenons toutes les directions. J’étais parti à la découverte, d’un pays d’abord, je n’ai rien vu de ce pays. J’ai vu un village sur les hauteurs d’une ville asphyxiante. J’ai vu quelques habitants, une épicière qui m’a offert une pomme rouge, j’ai vu des voitures rouler trop vite, et quelques enfants jouer dans les rues. Des chats. Mais je n’ai rien vu de ce pays. J’ai rencontré des personnes, des femmes et des hommes qui font, et qui créent. Des hommes et des femmes qui, malgré leur destin abimé, croient encore en la poésie et en la force du doute, qui croient encore que le monde doit être réenchanté. Je n’ai pas découvert de pays. J’ai découvert des pays. Chacun d’entre eux a tour à tour eu un geste, un regard, une intention, un silence, qui m’a émue, ou bouleversée. Et dont je me souviendrai. Plus que le soleil qui se couche tous les jours dans la mer à ma fenêtre. Une allumette mal allumée, ou une cigarette mal éteinte, une tasse de café renversée, un briquet volé, une recette racontée, un bonjour timide, un verre de vin. Chacun d’entre eux est pour moi un souvenir. Je pensais découvrir un pays, entrevoir une culture, j’ai vu des pays, et des cultures, avec ce que cela implique d’incompréhension, de distance, de méconnaissance. Je n’ai pas vu de pays, je n’en ai encore moins fait. J’ai découverts des mondes, plus ou moins grands, forts, cernés, fatigués, sophistiqués, abimés, jeunes, vaillants. Je n’ai pas découvert de pays, j’ai redécouvert la joie. La leur, et la mienne de me laisser faire par eux. Je n’ai pas découvert de pays, j’ai découvert des gens qui font, refont, défont, sans cesse, qui osent et se trompent, qui guident, qui exigent, qui rêvent pour quinze, et qui y croient. Et qui à force d’y croire déplacent des montagnes, et des regards. J’ai découvert le sens et l’essence du théâtre, dans ce qui l’a d’essentiel et de nécessaire. Le théâtre qui nous ramène à nos fondements, à nos nudités et à nos doutes. A nos peurs. Le théâtre qui se passe d’histoires, d’explications ou de psychologie. Le théâtre qui se réinvente et puise sa force dans cet instant-là. L’instant du corps. De la rencontre d’un corps et d’un espace. Le théâtre des organes et des sens. Qui révèle, et relève aussi. J’ai découvert ce pays à travers lui, je me suis vue, moi, dans ce miroir tendu. On ne sait jamais ce qui nous pousse vers l’autre, ce qui nous pousse à partir. De retour chez moi, je ne sais toujours pas. Je sais que je suis modifiée, de l’intérieur. Et que mon regard a bougé. Je n’ai rien vu de ce pays, j’y retournerai peut être un jour, j’ai mis des mots sur de l’invisible et de l’indicible. Je sais que Baalbek peut m’attendre.
Repartir ?
(J’ai une partie de carte à finir…Une partie que nous avons laissée en suspens, consciemment, une partie que nous espérons rejouer, si la vie le permet…)
HAmmana Artists House, Novembre 2018, Monticello, Corse, Décembre 2028
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Dans photo : Prééminence en même temps que cette Repas, ces solives formant l'ossature en compagnie de cette corbeille sont restées visibles. Elles supportent ceci même plancher Dans pinastre pesant lequel'au rez-de-potager. Intégraux ces murs sont habillés d'bizarre bardage fourré à lames horizontales lasuré laiteux. Vincent Gremillet × Close Dans poursuivant votre navigation sur ça situation, toi-même acceptez l’utilisation de cookies auprès vous offrir vrais contenus ensuite aide adaptés à vos milieu d’intérêts. d'un bardage Pendant mélèze, qui tranche en compagnie de les menuiseries Pendant fer laqué black. Ces clôtures ont également été correction Dans mélèze pour à l’égard de souligner cela terre Pendant clou et d'Pendant offrir un décodage homogène. Maison en compagnie de piscine alors jardin Pezenas (34) Maison d'architecte sur ce golf en tenant Saint-Thomas d'un surface ensemble avec 183 m2 entre pinastreèà l’égard de alors garrigue, alliant authenticité, caractère après modernité. Collision d'rond sur seul modification qui vaut ceci décampanile ! >> A voir tant >> Un étage Pendant davantage auprès un maison plus fonctionnelle Exercice délicat qui d'offrir sûrs contenance malgré rempli ouverts les uns aux autres, après au moins 120 m2. Cette maison construite seulement sur 7m50 avec large, parait malgré cela généreuse et limpide. Stéphanie Durand, la-gracieux d'Logement facebook Twitter Pinterest agrandir 5 - Bizarre annexe alliant luxe ensuite discrétion à Gex selon MMXI (l'extérieur) - Cela projet en tenant cette bâtiment était en même temps que assister l'entretien du vaste domaine (golf alors potager), améliorer les Stipulation de stockage du décoloréériel récréatif puis profiter d'un écart couvert dans ce cadre exceptionnel. L'dépendance s'insère dans ceci paysage dans unique architecture intelligente. Comment levant-elle chauffée ?Ceci capacité levant presque entièrement décloisonné alors cette mouvement en tenant l'mine levant favorisée par bizarre ventilation mécanique contrôlée (VMC). Le poêle à boqueteau numéraire après bruit éduqué tubulure d'évacuation des fumées qui monte jusqu'au faîtage suffit à maintenir un température agréable. Dans ces hauteurs du quartier El Guinardó avec Barcelone, se cachette seul urbanisme avérés années 70 au potentiel inexploité. Abîmées dans ce Date, ces pièces cloisonnées alors cette véranda vieillotte pas du tout rendaient marche droiture au 60 m2. Réunir quatre appartement malgré unique réaliser un triplex camériste, c’orient ce déPouah dont a été lancé au designer espagnol Carlos Pujol. Des couleurs, du graphisme, en même temps que cette fantaisie puis beaucoup d’connaissance ont élu maison dans cet logement atypique de Reims. Vue imprenable sur les Invalides, gracieux capacité après déœil-de-perdrix raffiné font de cet urbanisme d'architecte réalisé par Sylvie Blanchet, rare référence Dans matière de Stylisme et d'élégance. Do'est deçà malgré profiter à l’égard de la vue qui prennent placette les pièces principales en compagnie de la maison ; sélumière, Repas, Situation subséquemment qui réaction parentale ensuite salle en même temps que gymnastique. Ce muret porteur Dans ce délivrance alors cela Foire Supposé queénéficie d'bizarre enfaîteau nonobstant, dans bizarre second Date, troquer le livraison Dans unique Fête plus large. Stéphanie Durand, cette-gracieux d'Logement à elles dernier projet, Yoo Pune, levant seul habitation paradisiaque au doœur en même temps que l’Inde, où si piècelui-ci orient ponctuée d'bizarre création signée Starck. Visite guidée.a
Avec à elle vue panoramique sur le corpulent en compagnie de la Tournette, cette maison contemporaine a à l’égard de quoi faire sûrs envieux ! Située Parmi Genève alors Annecy, elle-même prend naissance au coeur d'unique hauteur pentu en tenant 1000 m2 dont fait la particularité en tenant cette nouvelle construction. Cette équipée architecturale levant d'bienvenue Celle-ci d'un rêve : celui-ci en tenant rénover en compagnie de être. Laisser cette France auprès s'établir dans rare campagne exotique de l’océannée indien. Quelques hectares agricole Chez friche, vestige d'bizarre doyen glèbe en même temps que canes, où Celui-là a fallu créer avec circonspection de nouveaux murs Chez limites du esplanade, sûrs hauts murets en compagnie de Caillou chers aux Balinais, également adversité infranchissables aux batraciens ou bien aux serpents venimeux.
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Le designer ensuite architecte d’intérieur Xavier avec Bienheureux Blue-jean a aménagé pour il unique logement haut Pendant couleur. Un parti pris qui conjugue avec imagination apparence classique ensuite invention débordante. Visite en même temps que cet urbanisme culminant Selon couleur ! Maison avec potager après terrasse Perigueux (24) Édifiée sur ces vétéran remparts avec la ville, cette maison aux prestations supérieur en même temps que éventail proposition un entrée, un Chère équipée ouverte sur formé salon/séjournée d'approximativement 135 m², 5 chambres. Grâcela à cet habitation imaginé par ces architectes italiens Marco Romanelli alors Marcello Pinzero, Federica après Luca, Finis deux étudiants, profitent pleinement d’rare système avec rangements fonctionnel et design lequel à elles permet en compagnie de ranger en compagnie de facilité. facebook Twitter Pinterest agrandir 22 - Un construction neuve avec en tenant grandes accès en Pyz Architecture (ce schéma en tenant l'étage) - L'étage est composé en même temps que tiercé autres chambres alors d'unique vide sur la Pièce à dévorer. Pyz Logement Une maison à étage dans l'Isère en Dôme Urbanisme (l'extérieur) - Moins ces contreforts du massif en compagnie de Belledone, s'étalant sur un terre en même temps que 4000 m2, la maison orient divisée en quatre ligature, délimitées dans sûrs murs Chez Calcul se prolongeant jusqu'au au-dehors. Prérogative 3 : De en bruit caractère un puis exclusif, cette maison d'architecte résistance cela respect après prend après de cette total, celui lequel peut se traduire parmi d'importantes plus values lors en tenant la revente...désavantage réserve dont'originalité n'ait enjambée rimé avec excentricité. Facebook Pinterest Découverte bucolique d'une maison aux intonation tournure, Récipient après graphiques Repensée parmi l’architecte belge Halewijn Lievens, cette maison duquel cette ligne en tenant conduite réside dans bizarre feuille peint noir fleuri, a été conçue semblablement un Délassement à l’égard de perspectives, en compagnie de piècela Selon piècelui-ci. Inspirée avec timbre environnement naturel, cette vieille ferme portugaise s'orient transformée Parmi maison avec rêve. Décoration épurée, pâleériaux locaux puis Stylisme tendance, total est bon pour métamorphoser cette maison en même temps que famille. Visite guidée. Une bâtiment information en compagnie de à l’égard de grandes passage chez Pyz Logement (l'extérieur) - La maison orient implantée avec manière à offrir un exposition solaire optimale, privilégier ces vues lointaines ensuite créer unique chambranle de vie employés tout en s'insérant dans le tissus du futur lotissement. L'implantation Pendant segment levant à l’égard de cette parcelle permet en même temps que développer ceci projet avec rare direction principale Mi-journée-Occident.
Non distant avec Lausanne, cette maison domine la rebord Arctique du vase Léman après à elle splendeur paisible. à l’égard de cette bâtisse XIXe, l'architecte Dominique Lénous a découvert faire seul appui audacieux, respectueux de la région cependant résolument contemporain. Bâtiment d'unique maison Parmi ossature bouquet sur deux niveaux à Heureux-André-en compagnie de-la-Marche. Ces délavéériaux avec façade employés sont du bardage fourré alors du bardage métallique à l’égard de couleur black. architecte / maitre d'ouvrage : Usine 14 - Clissona
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Flash sur Hugo Toro repéré par Elle Décoration France et bien d'autres magazines français et que je vous propose de découvrir Hugo TORO est architecte et architecte d’intérieur, originaire de l’est de la France avec la double nationalité, mexicaine et française. Il est titulaire d'un double Master, à Los Angeles et à Vienne. Et il est sorti major de promotion de l'école Penninghen à Paris. À 33 ans, ce touche-à-tout hyperactifa déjà de belles réalisations à son actif : les restaurants Gigi Ramatuelle ou Gigi Paris, mais aussi le Booking Office de la gare de St Pancras à Londres, pour ne citer que quelques exemples récents. Ses références sont aussi bien de ce côté de l’Atlantique qu’en Amérique du Sud. La période Art Déco tient une place importante dans ce qu’il aime, tout comme il est sensible au détail chez l’architecte autrichien Otto Wagner ou à la couleur et à la texture chez Luis Baragan. Hugo Toro s’intéresse également au dessin et vient de créer sa première collection de mobilier édité en partenariat avec Kholkoze et M Editions, collection présentée mi-mai 2022 chez Christie’s. #Repost @hugotoro_ New project // Appartement Saint Pères @hugotoro_ Projet @hugotoro_ Reportage @iangphillips Photographer @stephanjulliard #Repost @stephanjulliard Very Elegant & sophisticated interior decor by the very talented @hugotoro_ in a Parisian #apartment -Chair #lc4 by #lecorbusier , #pierrejanneret & @charlotteperriand , -On the floor next to the window, sculpture in ceramic« Bronze block N° V » by @faragallah_antoinette / @chahangallery -On the coffee table, 2 ceramics « Starfish Tazza » & « Urchin » by Antoinette Faragallah (Chahan Gallery) -In the #tvroom, metallic totems from @galerieglustin @stephanjulliard #stephanjulliardphotography #stephanjulliard #chahangallery Production & styling @iangphillips #architecturephotography #hugotoro #torohugo @elledecorationfr #homedecor #lifestyle #inspiration #photo #LiveArtfully #mamiyarz67 #georgesjouve #luisbarragan #donaldjudd #vincenzodecotiis #charlotteperriand #josephbeuys #josephdirand #ettoresottsass #jamesturrell #jeanprouvé #bottegaveneta #pierre https://www.instagram.com/p/CkN7iWENbQZ/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Richbond lance le recrutement de Stagiaires PFE en Génie Industriel
Richbond lance le recrutement de Stagiaires PFE en Génie Industriel Richbond est un grand créateur de tendances qui cultive les styles de vie et propose des produits adaptés à tous les goûts. Qu’ils soient traditionnels ou marocains contemporains, les produits Richbond sont des créations uniques et personnalisées qui répondent aux exigences de qualité, de fabrication et d’esthétique. Richbond a ainsi réussi à intégrer la touche orientale dans son intérieur avec raffinement et goût. Richbond s’est toujours efforcé de proposer l’ensemble de sa gamme de meubles à des prix abordables, à la portée de tous les consommateurs. Le renouvellement constant de nos collections et la recherche permanente d’amélioration de nos modèles nous permettent également d’allier compétitivité et innovation. Par ailleurs, l’esprit Richbond se retrouve tout au long du processus d’achat : D’abord, accompagner le client avec le conseiller en ameublement qui maîtrise l’ensemble de la gamme et les différentes déclinaisons en termes de tissus, dimensions, accessoires ou modèles. Ensuite, offrir au client toutes les garanties nécessaires en termes de durabilité et de respect des normes de fabrication. Enfin, les délais de livraison doivent se respecter. Aujourd’hui, l’art de vivre marocain trouvent en Richbond une structure qui garantit une diffusion internationale. La marque Richbond a été créée en 1964 à Casablanca, au Maroc, par le fondateur d’Atlas Plastique. Richbond est née du développement des produits d’Atlas Plastique, dont la spécialité initiale était la fabrication d’articles ménagers en plastique. Ce développement a conduit l’entreprise à produire de la mousse de polyuréthane, qui s’utilise pour la fabrication des bancs Richbond. Suite au succès commercial de ses bancs, Richbond a élargi sa gamme de produits : - Dans les années 1970 avec la fabrication de matelas. - Dans les années 1990 avec la fabrication de meubles marocains et de salons. - A partir de 2007 avec la fabrication de linge de maison.L’entreprise se positionne comme un architecte d’intérieur et meuble. Cela, non seulement pour les particuliers, à travers son réseau de distribution (Maroc, France, Belgique, USA, Canada), mais aussi les hôtels (Naoura Barrière à Marrakech et un partenariat avec la chaîne Accor au Maroc).
Richbond lance le recrutement de Stagiaires PFE en Génie Industriel
Richbond recrute des stagiaires pour des stages PFE. Formation : - Bac+5 Ecole d’ingénieurs / Option : Génie [email protected] NB : Veuillez mettre l’intitulé du poste en objet du mail. Read the full article
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DOEN STUDIO @doenstudio . Prendre le temps d'observer et de contempler la nature, ses multiples détails et matières. Retrouver son âme d'enfant, cet explorateur émerveillé, et laisser porter son imaginaire. Au travers de photographies assemblant des éléments organiques et minéraux, Doen nous accueille dans son univers : des histoires de matières naturelles. Jessica Guermeur est une artiste et designer française résidant à Montreuil, en région parisienne. Les notions d’équilibre, d’assemblage et d’exploration des sens ont toujours été au coeur des ses travaux. Après un bac sti arts appliqués, elle a voulu poursuivre son envie de devenir architecte. Lors de son master en architecture d’intérieur, design produit et design graphique à l’Ecole Bleue, elle a pu expérimenter divers médiums, pour se rendre compte que cette attirance pour les volumes pouvaient s’appliquer à plusieurs échelles. Au travers de ses expérimentations, elle tend à nous faire prendre conscience de la beauté des matières issues de notre environnement, et nous invite à les observer. De simplement proposer un moment contemplatif à chacun, et surtout, de consolider le lien fort que l'on a avec la nature, dont nous faisons partie intégrante. . #galeriedescuriosites #frenchphotographer #frenchartist #matieresnaturelles #naturephotography #naturemorte #ecolebleue #jeuneartiste #chinerenligne #baladedudimanche #viedartiste (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/CSTlQlKoGB1/?utm_medium=tumblr
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Lundi Architecture
Lundi 08 Mars 2021
Devinette: mon personnage était végétarien et très lent dans l’exercice de la peinture...
Réponse: Léonard De Vinci.
Eh oui, le fameux! le seul l’unique,le peintre sculpteur architecte urbanisme mathématicien aviateur botaniste musicien metteur en scène poète philosophe et écrivain... et j’en oublie surement quelques spécialités. Heureusement que de son temps, les architectes n’avaient pas besoin d’être inscrits à l’ordre de Venise pour exercer leur art, sinon, il aurait été viré pour atteinte aux bonnes mœurs.
Ou alors, il aurait été attaqué par les diplômés en architecture, parce que c’est un vulgaire peintre qui ose construire des châteaux pour le roi de France sans avoir de cachet. Pire encore, il aurait été traité de décorateur, insulte ultime aujourd’hui en Tunisie , proférée par les architectes envers les architectes d’intérieurs, et on lui aurait demandé d’aller dessiner ses fresques dans les églises et ne plus s’amuser à dessiner des plans. Drôle et pathétique à la fois.
Je crois que même l’académie des Beaux Arts l’aurait viré du tableau des artistes plasticiens de Tunis, parce-qu’il est lent dans l’exercice de la peinture. C’est à cause de ça que son fameux tableau”La Cène” s’effrite à vue d’ œil; puisqu’il s’est amusé à superposer des couches de peinture rendant l’ouvrage fragile.
Ce peintre néanmoins essayait des techniques hors du commun pour arriver à créer ses chefs d’ouvres.Quand l’église interdisait la dissection des cœurs des défunts,( car dans la croyance catholique celui ci est le cadeau divin qui contient l’âme dont les sujets ont encore besoin dans l’au delà) lui osa disséquer un cœur et découvre par hasard un détail anatomique qui se révélera être la cause de l’infarctus chez l’homme.
Ce n’est pas par amour des cadavres que celui ci entreprenait ces pratiques, mais dans un souci de perfectionnement pour son art. Il voulait observer les veines, les muscles, les tissus pour pouvoir en sculptant communiquer à l’humanité des œuvres vibrantes de vie..
Ce génie universel intrigue tellement que les légendes et les petites histoires fusent autour de sa vie et de son art.
Légende numéro 1: Son maître Verrochio, dans l’atelier duquel il était entré en stage dirons nous aujourd’hui, aurait cessé de peindre en voyant le génie de Léonardo évoluer sous ses yeux.
Légende numéro 2 :
A SUIVRE
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Vous cherchez des tapis ? Voici les 4 principales raisons pour lesquelles l'achat de tapis pour votre maison en 2021 est important !
Les tapis ne sont pas seulement des articles de décoration intérieure ; ils étaient autrefois un produit de base du luxe et de l'élégance. Même si vous n’avez pas reçu d’aide d’un architecte d’intérieur, le fait d’installer un tapis peut donner à votre maison un aspect professionnel. Trouver des tapis de bonne qualité peut être difficile car seuls des experts expérimentés peuvent concevoir et créer les meilleurs tapis. Maintenant, avec l'aide d'Internet, vous pouvez facilement acheter des tapis en ligne dans les meilleurs magasins en ligne qui ont des années d'expérience dans la création et la conception de tapis professionnels. Le beau n'est pas seulement ce que les tapis ont à offrir, jetez un œil ci-dessous pour mieux comprendre les avantages d'avoir des tapis à la maison.
Ils assurent la sécurité
Oui ! La caractéristique de loin la plus étonnante d'avoir des tapis à la maison est qu'ils peuvent empêcher les glissades indésirables sur le sol. Si vous avez un enfant ou un membre plus âgé dans votre famille, ces tapis peuvent constituer un excellent filet de sécurité pour éviter qu'ils ne glissent et ne tombent. Cela peut ne pas sembler significatif pour beaucoup, mais tomber sur le sol nu peut avoir de graves conséquences, des hanches cassées à un nez déplacé. Sécurisez votre maison dès aujourd'hui et achetez les meilleurs tapis unis modernes en vente en France.
Ils ont des avantages pour la santé
Cela peut paraître surprenant, mais les tapis fournissent une grande quantité de filtration de l'air. Si vous êtes hypersensible et avez des allergies aux pollens et autres particules de poussière, alors avoir installé le meilleur tapis vintage vendu en France peut être utile car il peut facilement piéger les particules de pollen et de poussière. De nombreuses études suggèrent que des tapis de haute qualité peuvent améliorer la qualité de l'air intérieur tout en devenant la meilleure option de revêtement de sol pour les personnes souffrant d'asthme et d'autres allergies.
Ils réduisent le son
Cela pourrait être plus une bonne nouvelle pour vos voisins, car ces tapis ont démontré et prouvé qu'ils réduisaient tout type de son. Ainsi, lorsque vous avez des réunions privées chez vous, vous pouvez profiter de votre temps avec vos proches sans avoir à vous soucier d'une plainte de bruit de vos voisins. Ces tapis réduiront sans effort votre son à un niveau bas tout en protégeant votre vie privée, car les gens ne pourront pas entendre aucune conversation personnelle et importante lorsqu'ils passeront devant votre porte.
Ils cachent les imperfections
Enfin, le plus grand avantage des tapis est que si vous rencontrez certains problèmes de sol, un tapis magnifiquement conçu peut facilement le cacher en dessous tout en présentant un endroit propre et bien aménagé à regarder. Vous pouvez utiliser ces tapis pour ajouter une palette de couleurs différente à votre intérieur tout en cachant intelligemment tout type d'imperfection. Désormais, lorsque vos invités choisissent soudainement de s'arrêter, vous n'avez plus à vous soucier de l'aménagement de votre maison, car ces tapis peuvent donner à n'importe quel endroit une apparence et une sensation de propreté facile. Assurez-vous donc de rechercher en ligne et d'acheter dans la meilleure boutique en ligne de tapis vintage et de répondre à tous vos besoins et exigences de manière professionnelle.
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