#appétence au
Explore tagged Tumblr posts
Text
The design of Loop for the Appétence Au. They get to be creachur. Scaly and fluffy at the same time, a wonderful combo.
They start to wear clothes post cannon (aka the second half of this au) at the party’s insistence (and cause it looks good). And yes they do join the party post loops.
#isat au#isat#in stars and time#in stars and time au#appétence au#loop isat#isat loop#loop in stars and time#in stars and time loop#they get to be creachur#as a treat#and other stuff#also loop always looks good in clothes#like slay I guess#also#they got their mesh gloves from hot topic#totally cannon
79 notes
·
View notes
Text
Hiver 1921, Hylewood, Canada (12/15)
Lucien est presque un homme, maintenant. Il continue ses études au pensionnat, qu’il réussit avec brio, mais il ne montre pas non plus une appétence débordante pour les études et je ne pense pas qu’il partira à l’université après ses dix huit ans. Ses professeurs l’encouragent à poursuivre, mais Lucien ne semble pas très enthousiaste à cette idée, et il faut dire que moi non plus. L’université, ça semble très théorique. C’est sur le terrain qu’on apprend le plus de choses. Il semble très intéressé par la marine, mais en même temps, je le trouve trop casanier et rêveur pour rejoindre l’armée. Je le trouve un peu froid avec moi, mais je mets cela sur le compte de mon absence prolongée.
[Transcription] Jules LeBris : Bonjour, Lucien. Comme tu as grandi. Lucien LeBris : Bonjour, Papa. J’espère que vous avez fait bon voyage. Il va falloir que vous nous racontiez !
#Tags :#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Lucien Le Bris
6 notes
·
View notes
Text
Vivre une vie libre
Quel que soit, au monde ta venue,
vis libre,
Profite de ses joies,
Rie et surtout,
Vibre.
Préfère mener ta vie en étant l’acteur,
Sinon tu la subis si t’en es spectateur.
Ose réaliser certains rêves d’enfant,
En ayant un regard curieux et innocent.
Il ne suffit pas de vouloir, pour " réussir ",
Ni, penser, croire, espérer, tu dois agir !
S’il t’arrive de donner, donne avec amour,
Sans rien espérer recevoir en retour.
Il se peut que tu aies des instants de peine,
Dans ce qu’il arrive que t’en aies
" la haine ",
Que tu trouves injuste ou,
Te sentes, trahi,
Abandonné ou, que tout te semble fini.
Dans ces moments là, entends
ce qui vibre en toi,
Quel que soit ce que tu ressens, tu "grandiras"
Car la vie est la somme d’expériences,
Que nous abordons avec nos "appétences !"
Rien n’est vraiment important,
ne l’oublie jamais,
Ou plutôt, c’est l’idée que l’on s’en fait
qui l’est !
Ce n’est qu’en lâchant toutes tes certitudes,
Certaines de tes croyances et habitudes,
En ayant, un regard objectif et posé,
Sur tes expériences présentes
et passées,
Que tu pourras enfin appréhender la vie,
En toute liberté à en être épanoui.
Vis ta vie et prends en soin,
c’est un bien précieux,
Il ne tient vraiment qu’a toi,
d’y être heureux !
23 notes
·
View notes
Text
Lendemain d'une marche triomphale...
Hier, dimanche, ''la France a marché'', et toute la bien-pensance s'est extasiée. Je ne sais pas pourquoi je reste avec un goût d'amertume au fond de la gorge, et la vague impression que s'il suffisait d'une ''Marche blanche'' pour tout résoudre --et Dieu sait si celle-là l'était, blanche. Même si ce n'est pas admissible de dire ça (on peut le constater et le déplorer in petto, mais on ne peut pas le dire) les non-blancs se comptaient sur les doigts de la main--, ça se saurait, depuis la grandiose unité du monde entier post ''Charlie-Hebdo''... qui n'a pas fait bouger les choses d'un ''iota''. Evidemment.
On devrait sérieusement se demander d'où vient et à quoi est due cette phénoménale appétence pour le dépôt de fleurs, les marches blanches et les cérémonies dans la cour des Invalides, car je ne sache pas (NB : l'emploi du subjonctif donne à toute affirmation une teinte atténuée. En disant ça, je me ménage la possibilité de modifier ultérieurement cette déclaration) que les autres pays se complaisent dans ce cérémonial répétitif mais toujours inutile ! Le premier avantage que j'y vois, c'est que ça permet de s'acheter pour pas cher une impression de ''faire quelque chose''... qui permet donc d'éviter d'avoir à se demander ce qu'on pourrait faire d'utile pour répondre au problème posé. C'est, dans le fond, assez tranquillisant, et ça excuse de ne pas aller au delà.
On peut tout de même se demander en quoi les 150 000 personnes qui ont bravé les éléments hier en battant le pavé de nos villes ont apporté la plus petite contribution qui soit à la libération des malheureux otages, ont accéléré le moins du monde la fin –pourtant si désirable-- du Hamas, ou ont lutté contre telle ou telle lecture du Coran, dite ''biaisée'' par l'Occident ? J'ai beau tordre mes circonvolutions dans tous les sens... je ne vois, comme Sœur Anne, que le soleil qui poudroie et (que Perrault me pardonne...) nos politiques qui merdoient...
Un bémol, peut-être (par pure honnêteté intellectuelle) à la phrase précédente : une des raisons pour lesquelles nos grands hommes politiques, tous uniformément si petits, adorent ce genre de sport urbain et dominical, c'est parce qu'ils leur permet de montrer aux foules (qu'ils supposent béates d'admiration) qu'ils n'ont rien à envier à personne en matière de grands coups de menton qu'ils imaginent volontaires : dans leur haine insondable pour le fascisme --dont la plupart ignorent le vrai sens : ils n'étaient pas nés lorsque le vrai fascisme a empuanti l'Europe !-- , ils en ont tout de même conservé, à leur usage exclusif, les ''coups de menton'' mussoliniens. Ils trouvent que ça fait viril... même ''être viril'' est honteux...
Et puis il y a les discours, savamment parsemés de petits mots frappants, con-coctés (mais moins ''coctés'' que cons !) depuis des semaines par des con-seillers en con-munication payés pour ça par vos impôts. Dans le feu de l'action inactive qu'est une marche blanche (car même en gris ou en bleu, ça reste une marche blanche, allez savoir pourquoi !), ou un peu après la dislocation de cette belle utilité inutile, ils peuvent se répandre en mots creux alignés comme à la parade (sauf que là, c'est joli et ça a un sens). Et il faut reconnaître que, dans leur vacuité prétentieuse, ils pourraient presque valoir le déplacement, parfois, tant ils sont ridicules, outranciers, insensés !
Dans le genre ''plus comique, tu meurs'', il faut ré-écouter l'intervention ahurissante de Gérard Larcher, Président du Sénat, ''Deuxième personnage de l'Etat'' dans l'ordre protocolaire --qui veut dire ''premier'' (seul sens de ''prôtos''), ce qui est curieux, pour un second !-- comme dans l'ordre politique. C'était en fin de parcours. Une micro forêt de micros devant lui, il a commencé à débiter des mots sans lien entre eux, les préférant ''ronflants'' à ''justes''. Devant mon écran, j'écoutais cette logorrhée avec effarement : on aurait cru la crue du fleuve Aa au même instant, et je me demandais comment il était possible de parader (car il y prenait ostensiblement plaisir, s'imaginant parler pour l'éternité) si longtemps sans dire quoi que ce soit qui se tienne. Chapeau, l'artiste !
Parmi ses ''petites phrases'', celle-ci, qui a du à la fois terrifier les tueurs du Hamas et soulager les otages : ''Cette marche doit être suivie de démarches''... Il y a de quoi pleurer d'émotion, non ? Mais ça ne devait pas suffire, car dans la foulée, le Président, lui-même-personnellement, s'est dédouané d'une absence très critiquée par tout le monde, en en remettant une couche : ''La France ne tolérera pas l'intolérable'', promesse grandiose qui sera sûrement tenue... comme toutes les autres fois. ''Verba volant'' disaient les anciens., et les verba de nos élus doivent être particulièrement volatils : outre qu'ils sont répétés ''kif-kif'' à chaque manifestation de la haine islamiforme, ils n'ont évidemment jamais empêché quoi que ce soit : on les prononce en prenant un air guerrier... puis on rentre ''au Château'' et la vie continue, jusqu'à la prochaine fois..
Mais ces deux platitudes ridicules contiennent un énorme ''non-dit'' : il y transparaît que nos ''liders minimos'' sont devant une première : ils découvrent quelque chose qu'ils ne soupçonnaient pas. Et soudain, on comprend tout : leur système de référence ne les a en rien préparés à voir le réel : ils vivent dans un monde virtuel, fait d'abstractions, de mots qui ont perdu leur sens, sur une planète ''bisounours'' où les méchants sont, en fin de compte, ceux qui les empêchent de ronronner bien au chaud et qui leur posent des problèmes qu'ils n'ont pas été formés pour les résoudre.
D'ailleurs, juste après avoir prononcé les mots soi-disant définitifs ci-dessus, nos leaders vont ressortir leurs dossiers vides ou viciés, et l'Assemblée (pour notre malheur progressiste et à Gauche en majorité), va se dépêcher de détricoter l'excellent boulot qu'ont fait les sénateurs, et imposer aux français –qui n'en veulent pas-- leur absurde ''loi sur l'immigration'' (leur ''sparadrap du Capitaine Haddock'' depuis plus d'un an), qui n'a pas la plus petite chance de résoudre un seul des vrais problèmes, mais qui va continuer à ''rendre probable l'intolérable''. On est en droit de se poser la question : sommes-nous au lendemain d'une marche triomphale ou à la veille d'une bonne cuite, la ''Cuite finale'', déjà en route ?
H-Cl.
4 notes
·
View notes
Text
Je me demande fréquemment où est-ce que le manque de considération prend racine pour qu’il soit autant banalisé ? Je ne parle pas d’un besoin de reconnaissance qui amènerait à ce besoin d’être valorisé, d’être considéré. Je parle de respect mutuel ici. Je parle de la base de n’importe quelle relation et/ou interaction sociale saine. Quand est-ce qu’on a jugé que c’était plus facile de faire de la considération une notion si précieuse, si rare. Une importante part de mon dégoût vient d’ici. Vient du fait qu’on ne tient pas compte de l’individualité que je suis. Je déteste être perçue comme un outil pour arriver à ses fins. L’écart s’est renforcé quand j’ai compris qu’on ne prenait plus réellement le temps de se connaître, que c’était peu commun l’intérêt de quelqu’un à mon égard. J’en parle souvent de cette sensation d’avoir toujours été regardée comme si j’étais en vitrine, comme un habit qui te plairait sur le coup et dont tu ressens l’envie irrépressible d’essayer. Dans notre génération, comment peut-on garder une confiance en soi constante quand tu n’es dans la vie des gens que pour leur servir d’essui tout -dans tous les sens du terme-. Comment ça peut être attirant de consommer aussi vite les relations et les personnes ? Pourquoi on mange goulument les gens sans prendre une minute pour les regarder, pour avoir une réelle appétence pour eux, pour les déguster ?
J’ai toujours du mal à écrire sur ça sûrement par crainte qu’on pense que je vis pour avoir le regard des autres alors que non, je vis loin du regard des autres. J’essaie de, chaque jour, rallonger la distance entre moi et le reste du monde pour ne pas être imprégnée de cette toxicité prônée. On dit souvent que l’interdit pousse à faire les choses, et c’est vrai, je serais bien mal placée pour affirmer le contraire. En revanche, quel charme peut exister dans le renoncement au respect de l’autre, à la considération de l’autre, à l’amour de l’autre ? Anéantir la valeur d’une personne ne m’a jamais semblé viable pour assurer la sienne. Alors bien-sûr, la seule chose que je peux souligner c’est qu’il y a un problème avant tout avec la personne qui perpètre cette abandon du savoir être. On en revient toujours au fait que si tu ne sais pas instaurer une base saine avec quelqu’un c’est que tu as des choses à régler de ton côté mais pourquoi autant le nier ? Pourquoi ne pas se rendre compte que dans cette génération les soucis d’égo, de confiance en soi, d’attachement, de reconnaissance, de schémas parentaux biaisés, ect, nous rongent ?
Je ne sais pas quand est-ce que bien se comporter est devenu si compliqué à appliquer, et pire, à concevoir.
9 notes
·
View notes
Text
Anecdote de MJ - changement de plan
Je pense que beaucoup de MJs et de joueur•ses sont désormais habitué•es au fameux combat de boss / enquête difficile / etc., qui sont finalement pliées en 15min alors qu'une séance entière leur était prévu.
Eh ben on va parler de l'inverse : quand mes idées sont si improbables qu'il faut ajuster en cours de route sinon ça n'en finira jamais.
Bon il ne s'agit pas de blâmer des joueur•ses ici hein, en général si une situation n'est pas résolue par l'équipe dans les campagnes que je propose, c'est un problème de design, ou de communication de ma part.
La première fois qu'un truc pareil m'est arrivé c'était pas tout à fait en JDR, mais en RP sur un MMORPG. Si le support et certaines conventions diffèrent, le problème était le même. J'avais prévu cette super trame, pleine d'énigmes et de trucs alambiqués qui me paraissent trop cools ! Et ça l'était, parce que je m'étais éclaté à écrire tout ça. Mais c'était injouable : j'étais parti du principe que tout le monde avait la même appétence que moi pour les maths, les énigmes, etc.
Spoiler : c'était une sacrée erreur de débutant. Évidemment, ça n'a pas marché. Bon, loin d'être déçu, j'étais surtout paniqué.
Et cette fois là, j'ai pas vraiment géré. Je débutais, j'ai accepté un peu tout et n'importe quoi comme bonne réponse, c'était plus très cohérent mais bon, la panique quoi.
Plus tard, j'ai commencé à mieux réagir mais surtout j'ai longtemps eu peur de refaire un truc trop compliqué alors j'ai surtout proposé des trucs simples (mais efficaces). C'était pas un problème en vrai, sauf que ça m'amusait moins à écrire. Alors j'ai commencé à chercher un compromis.
Et depuis ça m'arrive souvent. L'autre fois j'ai fait un truc à base de nombres premiers et d'écriture inventée à déchiffrer, bon, ça n'a pas vraiment parlé à la majorité des joueur•ses, et du coup bon ben j'ai un peu accéléré le passage, gardé que la première énigme et zou.
La vérité c'est que j'ai pas de méthode pour lutter efficacement contre ça. Ça arrive, et c'est pas grave tant que je reste à l'écoute du groupe je pense. Si je sens que ça va pas, soit j'arrive à improviser rapidement par dessus, soit je passe tout ça sur le tapis et rajoute des choses à raconter pour meubler si j'ai besoin de temps. Franchement, j'ai l'impression que ça ne se voit même plus à chaque fois maintenant.
J'ai l'impression que l'important, c'est que je m'éclate à écrire un truc, et que le groupe s'amuse en jeu, qu'on suive ma trame ou non. Parce qu'au fond, ce que j'aime quand je MJ c'est l'impro.
Alors j'ai pas de mal à imaginer que c'est pas le cas de tous•tes les MJs, et que ça peut être frustrant de ne pas vraiment toucher à un contenu sur lequel on a bossé plusieurs heures. Mais bon, chacun sa vision du JDR, moi je suis là pour m'amuser et aider des gens à s'amuser en leur racontant une histoire.
Histoire à laquelle iels participent activement, et ne subissent pas le scénario ou les évènements : les PJs sont ceux qui écrivent le scénario, moi je raconte juste le décor et les conséquences de leurs idées et actions.
6 notes
·
View notes
Text
Le salon Offprint regroupe des éditeurs le temps d’un weekend, qui travaillent dans une pluralité de domaines comme l’architecture, le design, ou encore la recherche. L’édition 2024 s’est tenue au Pavillon de l’Arsenal, dans le 4e arrondissement de Paris. Rythmé par diverses animations et interventions, Offprint est un événement qui réunit des personnes ayant pour point commun une appétence pour la création. En ce qui concerne le lieu, l’espace est plutôt vaste, réparti sur trois étages qui permettent de garder une place suffisamment large pour la circulation entre les stands. Les étages sont semblables à de grands balcons, créant une impressionnante hauteur sous plafond, et laissant entrer la lumière par le toit en verre.
Avant la visite, j’avais pour idée de trouver des travaux contemporains et plutôt engagés. J’ai commencé par survoler les stands du dernier étage afin de repérer les maisons d’éditions qui m’intéressaient le plus. Je suis rapidement tombée sur le collectif Women Cave, un studio axé sur le design et l’architecture basé à Montreuil. Composé de l’architecte Chloé Macary-Carney et de l’artiste Léticia Chanliau, le Women Cave Collective se montre polyvalent en travaillant la revue, le fanzine, ou encore la scénographie. C’est autour du Woman Journal que la discussion s’est lancée : les deux éditrices font tout elles-mêmes. De la couverture à la distribution en France, Léticia explique la naissance de cette revue, et comment son identité s’est créée au fur et à mesure des nouveaux numéros. Cet échange a révélé les différentes étapes nécessaires à la création d’une édition bi-mensuelle, mais aussi une économie de moyens de l’édition, c’est-à-dire les techniques et astuces mises en place pour dépenser le moins possible et se débrouiller. L’alternance avec l’édition de fanzines permet également aux deux créatrices de donner vie à des supports beaucoup plus spontanés
Offprint a mis en lumière des maisons d’éditions dont je n’avais pas connaissance, qui proposent des ouvrages singuliers et contemporains. Il m’a également permis de plonger totalement dans le monde de l’édition, et d’avoir le regard d’un grand nombre de professionnels, ce qui sera certainement très utile à l’avenir. J'ai apprécié de me retrouver dans un espace baignant dans une atmosphère aussi inspirante, et trouver des personnes partageant cet amour de la création.
1 note
·
View note
Text
NE TOUCHE PAS AUX GOSSES ! à diffuser sans pitié !
Cher Confrère,
Je suis médecin retraité depuis plusieurs années et je me permets de vous écrire ces quelques mots pour vous informer, au cas où vous ne seriez pas au courant, de l’apparition du projet appelé EVARS (Education de la Vie ACective, Relationnelle et Sexuelle), qui se met en place, dans les écoles primaires et dans les collèges. En tant que médecin ayant un rôle préventif, Il est important de savoir que l’Education Nationale va imposer un enseignement à des enfants qui, avant leur puberté, ne sont pas capables de l’assimiler. Pourtant, cela est devenu une priorité de l'éducation nationale, (cf l’ancien ministre de l’Education Nationale, Pap N’DIAYE) et cela se base sur les recommandations de l’OMS qui considère que l’enfant est :
- Un sujet « sexualisé » à éduquer, alors même que l’enfant n’est ni concerné ni prêt physiologiquement/psychiquement
- Un destinataire de contenus éducatifs à caractère sexuel explicite
- Obligé d’assister et de participer à ces séances d’« éducation » imposées par des
adultes qui ont autorité sur lui
- Contraint de faire ce qu’on lui demande devant le reste de la classe et ne pouvant
pas s’y soustraire.
L’OMS évoque aussi le droit au plaisir pour justifier ses recommandations. Il ne s’agit pas ici d’argumenter sur ce droit, mais sur la nécessité du consentement qui y est corrélé et qui ne peut absolument pas être invoqué pour un enfant qui est dans l’incapacité psychologique de s’opposer aux désirs des adultes.
C’est sur le rapport KINSEY que se base les recommandations de l‘OMS en matière « d’éducation à la sexualité ». Alfred KINSEY, pour qui aucun interdit n’existe en la matière, a estimé entre autres, que les enfants ne souffrent pas de relations sexuelles imposées par un adulte, qu’il soit de sa famille ou non, et qu’au contraire, il en tire des bénéfices. Il estime ainsi qu’un enfant qui hurle, se débat ou s’enfuit ressent du plaisir et qu’il est capable d’avoir plusieurs orgasmes en quelques minutes !!...Les expériences réalisées pour obtenir de tels résultats, évoquent clairement des abus sur très jeunes mineurs ainsi qu’une réelle et intense perversité.
L’objectif déclaré par l’OMS et l’Education Nationale est la prévention des risques liés à la pédophilie mais, les enseignements prévus dans le cadre scolaire vont totalement à l’encontre de ce but. De fait, ils risquent, non seulement d’aggraver la situation (en déculpabilisant l’agresseur), mais aussi de compromettre gravement l’avenir de l’enfant en le traumatisant d’une façon irréversible ou en générant chez lui des comportements déviants. La vraie et seule prévention consiste à prévenir les mineurs contre des comportements intrusifs provenant des adultes à leur égard, et à tout faire pour limiter les risques.
Comme vous le savez certainement déjà, l’évolution psychologique d’un enfant suit celle de sa physiologie. Entre 5 et 10 ans, il se détourne de ses pulsions primaires, pour se tourner vers l’apprentissage pour lequel il présente alors une appétence certaine. Il doit alors être nourri dans cet élan et dans son intelligence car c’est à ce moment-là que les fondamentaux se mettent en place, qu’ils soient de nature intellectuelle ou sociale. Il ne doit pas être sollicité sur des sujets concernant les seuls adultes et pour lesquels il n’est pas prêt.
Considérer que l’enfant qui a un sexe a de ce fait, une sexualité c’est comme considérer qu’un enfant de 6 mois qui a des jambes, peut de ce fait marcher. L’initier trop tôt à la marche est délétère pour sa constitution ostéo-articulaire tout comme l’est l’initiation trop précoce aux pratiques sexuelles d’adulte pour la structuration de sa psyché. Le plaisir de type adulte ne
viendra qu’après la poussée hormonale, comme la marche ne devient possible que lorsque le système nerveux périphérique est totalement mature. Instinctivement, l’enfant ne cherche pas à marcher avant que cela ne devienne possible (à moins qu’on ne l’y incite), de la même façon, il ne s’intéresse pas à la sexualité avant que les hormones ne soient capables de jouer leur rôle, (ce qui ne veut pas dire qu’il ne s’intéresse pas à son sexe).
La sexualité infantile n’existe donc pas dans le sens adulte du terme, elle est associée aux diCérents types de sensations agréables que les enfants ressentent au fur et à mesure qu’ils découvrent leur corps. En ce qui les concerne, il serait beaucoup plus juste de parler d’hyper- sensorialité, l’enfant étant très sensible et donc très réactif aux stimuli qu’il reçoit de son environnement ainsi qu’à ses propres découvertes.
Un enfant ne peut donc ni comprendre ni intégrer des discours de nature érotico sexuelle qu’on lui inculque, ni des images, des objets ou des gestes explicites. Dans ces séances, il est aussi parfois contraint d’exposer devant sa classe des sujets intimes, ce qui va à l’encontre de sa pudeur naturelle et peut être humiliant. Lui parler, d’un plaisir et de pratiques concrètes de la sexualité adulte ne peut que le mettre mal à l’aise, le dégoûter voir le traumatiser. De même lui expliquer que ce qu’il constate (à savoir qu’il existe des garçons et des filles) n’est pas forcément vrai d’après la théorie du genre, est très perturbant pour lui car il croit les adultes sur parole.
Selon les témoignages de nombreux parents et de spécialistes de l’enfance, les séances qui ont déjà eu lieu, ont provoqué des traumatismes sévères chez beaucoup d’enfants d’où le lever de bouclier de nombreuses associations telles que les Mamans louves, SOS éducation etc... Selon les pédopsychiatres, ces intrusions/eCractions génèrent très souvent des comportements visant à expulser ce stress. L’enfant peut être conduit soit à un net repli sur lui-même accompagné de cauchemars, troubles du sommeil, mutisme etc., soit à mettre en pratique (dans les WC, dans la cour de l’école etc..) sur lui-même ou sur les autres ce qu’on lui a montré. Il apparait de ce fait, tôt et/ou tard soit des névroses, soit des comportements inappropriés, pour lui-même et pour les autres.
En conséquence, les recommandations de l’OMS ne doivent absolument pas être mises en place dans le cadre scolaire (ce qui n’exclut pas des conversations privées si l’enfant le demande). Une grande vigilance doit être apportée concernant les contenus proposés aux collégiens car certains d’entre eux peuvent être redoutables de conséquences même sur de jeunes adolescents. Toute société digne de ce nom se doit de protéger ses enfants, en fonction de leur évolution et ce, jusqu’à ce qu’ils soient arrivés à leur maturité totale.
En conclusion, je souhaite attirer votre attention sur des pathologies équivalentes au stress post traumatique qui vont exploser chez les enfants avec des conséquences irréversibles sur leur développement psycho aPectif et leur future vie d’adulte. Je vous transmets les liens qui vous permettront d’avoir plus d’informations. En tant que confrère, je vous invite à engager des conversations sur le sujet dès que cela vous parait possible.
Bien fraternellement
https://soseducation.org/.../education-a-la-sexualite- ecole-danger-ou-prevention.pdf https://youtube.com/watch?v=VvdGKJTUyCc&si=HGUCzsQ9yK54T7Nc
Je vous conseille aussi un livre , « L’éducation sexuelle à l’école » de Sophie AUDUGE et Maurice BERGER éd. Artège.
0 notes
Text
Mary Colman Wheeler (1846 - 1920)
Au siècle, la voie des femmes est toute tracée : un bon mariage, une belle famille. Mais Mary Colman Wheeler, elle, rêve d'autre chose. D'enseignement. De voyage. De liberté. Des Etats-Unis jusqu'au village normand de Giverny, de l'enseignement jusqu'à l'art, la grande dame est bien décidée à mener sa vie comme elle l'entend. Portrait d'une peintre libre...
Mary Colman Wheeler naît le 15 mai 1846 à Concord, dans le Massachusetts (nord-est des Etats-Unis). Concord est alors un milieu progressiste et abolitionniste : le père de Mary est par exemple membre du Chemin de fer clandestin, un réseau de routes, refuges et itinéraires sûrs qui permettaient aux esclaves en fuite de gagner le Canada. Cet environnement familial a participé à forger le caractère libre et humaniste de Mary.
La mère de l’artiste, Harriet Lincoln Wheeler, par Mary Colman Wheeler, 1883, Collection Richard & Betty Ann Wheeler
Mary commence à dessiner jeune. Pour développer son appétence créative, elle suit plusieurs cours. Pour l'anecdote, elle partage des cours de dessin avec sa camarade et amie May Alcott, qui a inspiré à sa sœur Louisa May le personnage d'Amy dans Les Quatre filles du docteur March. Et en parlant d'inspiration, Mary a également été muse à son tour : son amie Anna Fuller s'inspire d'elle dans son ouvrage Pratt Portraits. L'héroïne, une professeure, doit choisir entre l'enseignement et le mariage, question à laquelle s'est retrouvée confrontée Mary. Dans le livre, le personnage choisit le mariage, mais la vraie Mary Colman Wheeler, elle, choisit de voyager et d'enseigner, comme nous allons le découvrir dans cet article.
Diplômée en 1864 de la Concord High School puis de la Abbot Academy deux ans plus tard, Mary obtient très rapidement un poste au lycée de Concord : entre 1866 et 1868, elle enseigne les mathématiques et le latin. Elle rejoint ensuite l'équipe éducative de la ville de Providence pour enseigner les mathématiques.
Sciences, langues... voilà une femme accomplie. Mais je vous ai présenté Mary comme une peintre et, exception faite de ses cours de dessins, nous n'avons pas encore parlé d'art. Comment cela se fait-il ? Et bien c'est simple : Mary n'a pas encore bifurqué. Cela sera chose faite en 1870. A cette époque, la sœur de Mary se marie et déménage en Allemagne. Mary, qui a toujours rêvé de voyages et de contrées lointaines, se saisit du prétexte pour se rendre en Europe. Elle en profite alors pour apprendre l'art en Allemagne, alors Prusse. Le problème, c'est que la guerre franco-prussienne fait rage... et Mary est victime de l'ambiance tendue de l'époque : alors qu'elle est en train de peindre dans une petite bourgade, deux soldats allemands la prennent à partie. La raison ? Elle est étrangère. Américaine, et non pas française, mais à l'époque, c'est presque du pareil au même. Les soldats sont alors intimement persuadés que Mary est un espion français... déguisé en femme. L'artiste est arrêtée, avant d'être finalement libérée grâce à l'intervention de son beau-frère. Une anecdote absurde et cocasse que Mary se plait beaucoup à raconter par la suite.
Un drôle de quiproquo
Cette drôle de mésaventure aurait pu éloigner Mary des pinceaux, mais elle continue d'apprendre, de travailler. Dans les années 1870, elle part ainsi étudier la peinture en Italie, puis en France. La consécration parisienne arrive alors : elle est acceptée avec une Tête d'étude en 1880 au Salon.
En 1882, elle revient finalement aux Etats-Unis. Elle retrouve Providence, mais enseigne cette fois-ci la peinture. Ses cours se destinent aux femmes de tous horizons, tous âges. La majorité de ses étudiantes se trouve néanmoins être les enfants de ses anciennes amies, désormais mères de famille. Mary ouvre finalement sa propre école, la Wheeler School, en 1889.
Les classes de Mary C. Wheeler
Mais Mary ne s'arrête pas là. Dès 1887, elle décide d'organiser des voyages d'été pour emmener plusieurs de ses élèves en France. A 40 ans, Mary est désormais complètement bilingue. Elle profite de son aisance avec le pays pour organiser pour ses étudiantes des cours de peintures ou de sculptures.
Si ces séjours sont évidemment profitables pour les jeunes femmes que Mary encadre, elle-même continue de se former, d'enrichir sa peinture. C'est lors d'un voyage français qu'elle découvre l'art de peindre en plein air. Car oui, peindre en plein air est un art, une façon de vivre : il ne s'agit pas simplement de planter son chevalet sous un arbre avant de se ruer sur sa palette. On prend au contraire le temps de découvrir le paysage, de se familiariser avec, en somme, on apprend à le connaître. De là vient l'inspiration. La libération, même, puisque Mary réalise plusieurs nus en plein air !
Nu, 1887-1904, Collection Emily Wheeler
Mary, alors quadragénaire, alterne entre cours, productions, voyages : c'est simple, elle ne s'arrête pas.
Autoportrait à 40 ans, Mary Colman Wheeler
En 1907, Mary organise un nouveau séjour d'été, mais cette fois-ci dans un lieu un peu spécial : elle se rend à Giverny. Ce petit village normand pourrait être tout à fait banal, si ce n'est la présence de Claude Monet, installé dans le village depuis 1883. La présence du maître a attiré une colonie d'artistes, pour beaucoup anglo-saxons. Quand elle arrive avec ses élèves, Mary n'est ainsi pas la première américaine à avoir foulé la terre givernoise. En revanche, elle parvient à se rapprocher de Claude Monet, pourtant très attaché à sa solitude, et peu désireux de se faire des fréquentations.
Il faut dire que Mary sait se faire remarquer : la façon dont elle s'occupe de ses jeunes élèves ne passe pas inaperçue, puisque Jean-Pierre Hoschédé, le beau-fils de Claude Monet, raconte dans son Claude Monet, ce mal connu que Mlle Wheeler était l'une de ses "peintresses" (terme qui n'a rien de péjoratif et avec lequel les habitants et artistes désignaient les femmes peintres), célèbre pour son école de peinture pour jeunes filles. Mary s'investit également dans la vie du village. Elle fréquente la famille Butler, peint avec d'autres artistes.
Cette époque givernoise est évoquée dans une toile conservée en France, la Fille au jardin. L'on y voit une femme, tout de bleue vêtue, assise à l'ombre. En fond, on reconnaît la végétation luxuriante de ce bout de campagne normand. Un tableau qui évoque le jardin loué par Mary, proche de la maison Monet, mais également une coutume, celle du partage de modèles. A l'époque, il peut en effet arriver aux artistes de peindre un même modèle lors d'une même séance de pose, solution économique puisqu'elle permet de partager les frais. Mary se prête non seulement volontiers au partage de modèle, mais n'hésite pas non plus à payer la part d'artistes moins fortunés qu'elle. On peut ainsi retrouver la dame ci-dessous dans les tableaux d'autres artistes, vêtue de la même robe, portant la même ombrelle, figée dans la même position.
Fille au jardin, Mary Colman Wheeler, 1910, Musée des impressionnismes Giverny
Il est alors important pour l'artiste d'avoir un style propre, qui lui permette de se démarquer. La touche vibrante et colorée de Mary est ainsi un atout.
Mary cesse ses voyages givernois en 1913, mais n'arrête jamais de peindre. Elle décède d'un malheureux accident en 1920 : elle glisse sur une rue gelée et les complications de cette chute ont raison d'elle.
Mary Colman Wheeler, alors septuagénaire, en pleine séance de travail
Mary Colman Wheeler a ainsi eu une vie remplie. Elle a participé à représenter l'art états-uniens à l'étranger, elle a voyagé, s'est formée tout au long de sa vie mais a aussi et surtout aidé des jeunes femmes à découvrir l'art, à affiner leurs goûts, à oser s'exprimer. En somme, Mary Colman Wheeler a eu la vie qu'elle voulait mener : une vie dédiée à l'enseignement et à l'art. Une vie dont on peut encore s'inspirer aujourd'hui, en nous rappelant qu'il n'est pas interdit de rêver.
Pour en savoir plus : - Mary Wheeler Art Gallery - The Wheeler Schoo - Claude Monet, ce mal connu, Jean-Pierre Hoscédé - Musée des impressionnismes - Giverny, site internet
Sauf mention contraire, toutes les images proviennent du site The Wheeler School
0 notes
Text
Comment Faire Son Premier Investissement Locatif ?
Comment faire un premier investissement locatif ? Toute personne qui cherche à augmenter ses revenus s'est déjà posé cette question. Dans cet article, nous allons explorer ensemble les différentes étapes pour réussir votre premier investissement immobilier. Nous aborderons également les critères à prendre en compte avant de vous lancer, les dispositifs fiscaux à connaître ainsi que les risques à anticiper. Notre objectif est simple : vous fournir les clés nécessaires pour faire un choix éclairé et maximiser vos chances de réussite. C'est parti !
Investir Dans L'immobilier : Pour Quel Profil ?
Investir dans l'immobilier n'est pas une décision à prendre à la légère. Il s'agit d'un engagement financier et personnel qui demande une bonne dose de réflexion. Mais alors, à qui s'adresse l'investissement immobilier ? La réponse peut sembler évidente : à tout le monde. Cependant, en y regardant de plus près, certaines personnes sont plus aptes à s'engager dans cette aventure. Premièrement, l'investissement immobilier est idéal pour ceux qui recherchent une sécurité financière à long terme. Contrairement à d'autres formes d'investissement comme la bourse, l'immobilier offre une certaine stabilité. Les biens immobiliers ne disparaissent pas du jour au lendemain et, même en période de crise économique, ils conservent une valeur intrinsèque. Ainsi, pour les investisseurs prudents, l'immobilier représente une option de choix. Ensuite, il est important de souligner que l'immobilier est un investissement accessible même pour les débutants. Contrairement à d'autres types d'investissements, vous n'avez pas besoin d'être un expert pour réussir. Avec un peu de recherche, de bons conseils et une bonne dose de bon sens, vous pouvez faire fructifier votre capital de manière significative. Enfin, apprendre comment faire son premier investissement immobilier va naturellement diversifier votre portefeuille. Si vous avez déjà investi dans des actions, des obligations ou d'autres instruments financiers, l'immobilier peut être un excellent moyen de répartir vos risques. En diversifiant ainsi vos placements, vous vous protégez contre les fluctuations du marché et vous maximisez vos chances de rendement. Mais attention, investir dans l'immobilier nécessite également un certain niveau de liquidité. Si vous n'avez pas un apport conséquent ou la capacité de faire un crédit immobilier, il peut être difficile de vous lancer. Les banques exigent généralement un apport personnel et des garanties solides avant de vous accorder un prêt immobilier. Il est donc essentiel de bien évaluer votre situation financière avant de vous engager. En somme, l'investissement immobilier est particulièrement adapté à ceux qui recherchent une sécurité à long terme, une diversification de leur portefeuille et qui disposent d'une certaine liquidité.
Par Quoi Commencer Quand On Investit Pour La Première Fois ?
Quels critères sont essentiels à prendre en compte ? Voyons ensemble les principaux éléments à considérer avant d'effectuer votre premier achat immobilier. Le Type De Surface Le choix du type de bien est fondamental. Faut-il investir dans un parking, un appartement, un immeuble ou une maison ? Chaque option a ses avantages et ses inconvénients, et le choix dépendra de votre budget, de votre appétence au risque et de vos objectifs. Investir dans un parking est souvent une option peu coûteuse et simple à gérer. Les coûts d'entretien sont faibles, tout comme les risques de dégradation. C'est un investissement intéressant pour les débutants avec un budget limité. Cependant, la rentabilité est souvent plus faible comparée à d'autres types de biens. Les appartements, quant à eux, offrent une plus grande flexibilité. Ils sont faciles à louer, notamment dans les grandes villes, et offrent généralement une bonne rentabilité. Toutefois, les coûts d'entretien peuvent être plus élevés, et vous devrez prendre en compte les charges de copropriété. L'investissement dans un immeuble peut être très rentable, mais il nécessite un budget conséquent et une gestion plus complexe. Enfin, l'achat d'une maison peut offrir un excellent potentiel de plus-value, notamment dans les zones en développement. Mais attention, les coûts d'entretien et de gestion sont souvent plus élevés. Délimiter Son Budget De Façon Chirurgical Il ne suffit pas de se concentrer sur le prix d'achat du bien. Vous devez également prendre en compte d'autres coûts annexes, souvent sous-estimés par les investisseurs novices. Les intérêts du prêt immobilier peuvent représenter une part importante du budget total, surtout si les taux d'intérêt augmentent. Il est essentiel de bien négocier les conditions de prêt avec votre banque. Comment faire son premier investissement sans oublier les coûts annexes tels que les frais de notaire et d'assurance ? Les frais de notaire représentent environ 7 à 8 % du prix d'achat dans l'ancien et environ 2 à 3 % dans le neuf. Ce sont des frais que vous devez prévoir dès le départ pour éviter les mauvaises surprises. Au niveau de l'assurance, que ce soit pour le prêt, l'assurance habitation ou encore l'assurance loyers impayés, ces coûts doivent être anticipés dans votre budget global. Enfin, n'oubliez pas de prévoir un budget pour les travaux éventuels. Que ce soit pour remettre le bien en état ou pour le valoriser, ces dépenses peuvent rapidement grimper. Bien Evaluer Votre Capacité De Remboursement Un endettement trop important peut rapidement devenir un fardeau, surtout si vos revenus venaient à diminuer. Les banques prennent généralement en compte le taux d'endettement, qui ne doit pas dépasser 33 % de vos revenus. Cependant, il est préférable de rester en dessous de ce seuil pour éviter toute difficulté. Pensez également à la durée du prêt : plus elle est longue, plus les intérêts seront élevés. N'oubliez pas non plus de prévoir une marge de sécurité. Des imprévus peuvent toujours survenir, et il est important d'être prêt à les affronter sans mettre en péril votre investissement.
Les Précautions à Prendre Avant De Faire Son Premier Investissement
Plusieurs facteurs doivent être pris en compte pour maximiser vos chances de réussite et minimiser les risques. Dans cette section, nous allons explorer les éléments clés à considérer avant de franchir le pas. L'emplacement Du Bien Sans doute le critère le plus important dans un investissement immobilier. Un bien situé dans un quartier attractif, proche des commodités et bien desservi par les transports en commun, sera beaucoup plus facile à louer et à revendre qu'un bien mal situé. Investir dans un emplacement de qualité vous assure une demande locative constante, même en période de crise. De plus, un bien bien situé a toutes les chances de prendre de la valeur avec le temps, ce qui est un atout non négligeable si vous souhaitez revendre plus tard. Il est donc essentiel de bien étudier le marché local avant d'investir. Renseignez-vous sur les projets de développement urbain, les plans de transport, et les tendances démographiques de la région. Un quartier en pleine expansion, avec de nouveaux commerces et infrastructures, est souvent un bon pari. Cependant, n'oubliez pas que la qualité de l'emplacement peut avoir un impact sur le prix d'achat. Un bien bien situé sera généralement plus cher, mais il offrira aussi une meilleure rentabilité à long terme. Investir Dans un Bien Près de Chez Soi: Une Bonne Idée ? Investir près de chez soi offre un certain confort : vous connaissez le marché local, vous pouvez gérer facilement votre bien et intervenir rapidement en cas de problème. Cependant, ce n'est pas toujours la meilleure option. Le principal avantage d'investir près de chez soi est la facilité de gestion. Vous êtes sur place, vous pouvez superviser les travaux, rencontrer les locataires et vérifier l'état du bien régulièrement. Cela peut être rassurant, surtout pour un premier investissement. De plus, vous connaissez déjà le quartier, ce qui peut être un atout pour choisir le bon bien. Vous êtes probablement au courant des projets de développement à venir, de la qualité des écoles, des commerces, etc. Cela vous donne un avantage pour repérer les bonnes affaires. Cependant, il ne faut pas se limiter à cette seule option. Le marché immobilier est vaste, et certaines villes ou régions peuvent offrir des opportunités bien plus intéressantes que votre zone de résidence. En vous limitant à votre environnement proche, vous risquez de passer à côté de biens avec un meilleur potentiel de rentabilité. De plus, investir près de chez soi peut vous pousser à prendre des décisions basées sur l'émotion plutôt que sur des faits. Il est important de rester objectif et de baser votre choix sur des critères solides, comme la rentabilité, la demande locative et les perspectives de valorisation du bien. Penser à La Revente
Lorsqu'on investit dans l'immobilier, il est important de penser dès le départ à la revente. Même si votre objectif est de louer le bien sur le long terme, il est toujours possible que vous ayez besoin ou envie de vendre plus tôt que prévu. Dans ce cas, un bien facile à revendre sera un atout précieux. Les biens immobiliers les plus faciles à revendre sont ceux qui se situent dans des emplacements de qualité. Comme nous l'avons mentionné précédemment, un bon emplacement assure une demande constante, tant pour la location que pour l'achat. De plus, la qualité du bien lui-même est un facteur clé. Un bien en bon état, bien entretenu, avec des prestations modernes, attirera plus facilement les acheteurs. Pensez également à la surface du bien : les petites surfaces, comme les studios ou les T2, sont souvent plus faciles à revendre, car ils ciblent un large éventail d'acheteurs, des investisseurs aux primo-accédants. Il est également important de tenir compte de la tendance du marché immobilier local. Si le marché est en pleine expansion, il sera plus facile de revendre votre bien avec une plus-value. En revanche, si le marché est saturé ou en déclin, vous pourriez avoir des difficultés à trouver un acheteur au prix souhaité.
Quelles Sont Les Meilleures Villes Pour Investir ?
Choisir l'emplacement de votre premier investissement immobilier est une décision cruciale. Certaines villes en France offrent un meilleur potentiel de rentabilité et de valorisation que d'autres. Dans cette section, nous allons explorer les meilleures villes de France où investir pour maximiser vos chances de succès. Paris, malgré ses prix élevés, reste une valeur sûre pour l'investissement immobilier. La demande locative y est forte, les prix continuent de monter, et la capitale attire toujours autant de monde. Cependant, l'investissement à Paris nécessite un budget conséquent et une bonne connaissance du marché. Lyon est également une ville très prisée des investisseurs. Elle combine une forte attractivité économique, une population étudiante importante, et des prix immobiliers encore accessibles comparés à Paris. Lyon est donc une excellente option pour un premier investissement. Bordeaux a connu une véritable explosion immobilière ces dernières années. Grâce à la ligne LGV qui la relie à Paris en deux heures, la ville est devenue très attractive. Les prix ont augmenté, mais la demande reste forte, ce qui en fait une ville intéressante pour investir. Toulouse, avec son dynamisme économique, notamment dans le secteur aéronautique, est une autre ville à considérer. Les prix y sont encore raisonnables, et la demande locative est soutenue par une importante population étudiante. Nantes, souvent citée comme l'une des villes les plus agréables à vivre en France, attire de plus en plus d'investisseurs. Sa qualité de vie, son développement économique et ses prix encore abordables en font une ville où il fait bon investir. Pour un peu plus de précisions, vous pouvez consulter cette vidéo, qui parle des meilleures villes où investir:
Connaitre Son Objectif
Voulez-vous constituer un patrimoine ? Cherchez-vous à revendre rapidement pour réaliser une plus-value ? Ou bien souhaitez-vous obtenir une rentabilité locative régulière ? En fonction de votre objectif, la stratégie d'investissement sera différente. Acquérir Un Patrimoine En achetant un bien, vous ajoutez un actif tangible à votre patrimoine, qui peut prendre de la valeur au fil du temps. Cette stratégie est particulièrement intéressante pour ceux qui cherchent à sécuriser leur avenir financier et à transmettre un héritage à leurs enfants. Investir pour constituer un patrimoine implique de choisir un bien de qualité, situé dans une zone à fort potentiel de valorisation. L'idée est de conserver le bien sur le long terme, afin de bénéficier de l'appréciation de sa valeur. Les biens situés dans des villes dynamiques, avec une forte croissance démographique et économique, sont souvent les plus prometteurs. Cependant, constituer un patrimoine ne signifie pas seulement acheter un bien et attendre qu'il prenne de la valeur. Il est important de bien entretenir le bien, de le valoriser par des travaux si nécessaire, et de suivre de près l'évolution du marché immobilier local. Viser La Revente L'objectif d'une revente rapide, aussi appelé "flipping" dans le jargon immobilier, est une stratégie plus risquée mais potentiellement très lucrative. Elle consiste à acheter un bien, souvent à rénover, de le remettre en état, puis de le revendre rapidement avec une plus-value. Cette stratégie nécessite une bonne connaissance du marché immobilier et une capacité à dénicher des affaires. Les biens à rénover, les ventes en dessous du prix du marché, ou les biens mal valorisés sont les cibles privilégiées pour ce type d'investissement. La clé du succès dans cette stratégie réside dans la maîtrise des coûts. Il est essentiel de bien évaluer les travaux à réaliser, de les planifier correctement, et de respecter les délais pour maximiser la plus-value. Un bon réseau d'artisans et de professionnels du bâtiment est souvent nécessaire pour mener à bien ce type de projet. Cependant, le flipping comporte des risques. Le marché peut évoluer de manière défavorable, les travaux peuvent coûter plus cher que prévu, ou la vente peut prendre plus de temps que prévu. Il est donc important d'être bien préparé et de prévoir une marge de sécurité. Investir Pour Du Revenu Locatif Il s'agit de générer des revenus réguliers grâce à la location du bien. Cette stratégie est particulièrement adaptée à ceux qui cherchent à compléter leurs revenus ou à se constituer une rente pour la retraite. Pour atteindre cet objectif, il est crucial de choisir un bien offrant un bon rendement locatif. Cela signifie trouver un bien à un prix raisonnable, dans une zone où la demande locative est forte, et où les loyers sont suffisamment élevés pour couvrir les charges et dégager un bénéfice. La gestion locative est un aspect clé de cette stratégie. Il est important de bien choisir ses locataires, de maintenir le bien en bon état, et de gérer efficacement les éventuels problèmes (impayés, vacance locative, etc.). Une bonne gestion vous permettra de maximiser votre rentabilité sur le long terme. Cependant, la recherche d'une rentabilité permanente ne se limite pas à percevoir des loyers. Il est également possible de diversifier ses sources de revenus en investissant dans des biens de nature différente (appartements, commerces, parkings, etc.), ou en utilisant des stratégies comme la location meublée, qui offre souvent une meilleure rentabilité.
Comment Faire Son Premier Investissement Immobilier ?
Sans un plan de financement solide, il est difficile de concrétiser votre investissement. Dans cette section, nous allons explorer les différentes options pour financer votre premier achat immobilier, en fonction de votre situation personnelle. Le Premier Achat Si vous êtes primo-accédant, vous bénéficiez de certains avantages pour financer votre premier achat immobilier. Par exemple, vous pouvez prétendre à des prêts aidés, comme le Prêt à Taux Zéro (PTZ), qui vous permet de financer une partie de votre achat sans payer d'intérêts. C'est une aide précieuse pour alléger le coût total de votre acquisition. De plus, les banques sont souvent plus enclines à accorder un prêt aux primo-accédants, surtout si vous avez un apport personnel conséquent. Un apport de 10 à 20 % du prix d'achat est généralement recommandé pour obtenir des conditions de prêt avantageuses. Cependant, il est important de bien évaluer votre capacité de remboursement avant de contracter un prêt. Assurez-vous que vos mensualités ne dépassent pas 33 % de vos revenus pour éviter toute difficulté financière. Enfin, n'hésitez pas à comparer les offres de prêt pour trouver celle qui propose les meilleures conditions. Les taux d'intérêt peuvent varier d'une banque à l'autre, et il est possible de négocier certains frais pour réduire le coût total de votre emprunt. Si Vous Êtes Déjà Propriétaire Si vous êtes déjà propriétaire de votre résidence principale, vous avez plusieurs options pour financer votre premier investissement locatif. Par exemple, vous pouvez utiliser la valeur de votre résidence principale comme garantie pour obtenir un prêt. C'est ce qu'on appelle le prêt hypothécaire. C'est une option intéressante si vous avez déjà remboursé une partie significative de votre prêt initial, et que vous disposez donc d'une marge de manœuvre suffisante. De plus, si votre résidence principale est bien située et a pris de la valeur, vous pouvez envisager de la revendre pour acheter un bien plus adapté à la location. Cette stratégie peut vous permettre de dégager un capital que vous réinvestirez dans un bien plus rentable. En cas de difficulté de remboursement, vous risquez cependant de perdre votre résidence principale. Read the full article
0 notes
Text
The finished drawing of the slumber spa party with all the group! (Staring the esteemed and famous guest Chair) Its set in the Appétence au which is why Sifs a creachur.
There’s character interactions related to this under the cut.
[Fun fact about Loop: Their hair is a lot like a chinchilla’s, except it makes your hand a lil tingly]
“Bee, why are you using my nail polish?”
“Cause Sif needs pretty nails too!”
“That isn’t nearly enough for the amount of nail he has, y’know.”
“…”
“You’re replacing my nail polish tomorrow, with the EXTRA glittery kind.”
He gasps dramatically holding his free hand to his forehead. “Oh what an awful fate, the worst kind imaginable, getting the prettiest kind of nail polish known to man!”
She kicks him slightly. “Now you owe me two nail polishes!”
“Oh how AWFUL!”
“Hey Loop.”
“Yes Housemaiden?”
“It’s Mirabelle-but I have a question, it’s ok with you.”
They tense ever so slightly. “Well, depends on what it is. So ask and I’ll see if I shall grace you with my divine knowledge.”
“How do you have so much hair?”
They just pause cause how do you answer that, Odile interrupts. “Mirabelle you can’t just ask someone why they have so much hair.”
Bonnie joins in on the light teasing. “Yeah Belle you can’t just ask someone that!”
“Oh! Oh, I’m sorry I didn’t that was a sensitive topic…”
Odile looks up from her book. “We’re just teasing, Asking someone about their hair quantity isn’t some horrible offense.”
“Wait it isn’t?”
“No it isn’t Boniface.”
“Then why do you have so much hair?”
She cackles in response; calming down she responds. “Heh- that’s because I’ve spent years growing my hair out. You could have my amount of hair if you spend the next few years growing yours out and taking good care of it. I’m sure your sister could help with that.”
“Hmmm, nah that’s too much work.”
“True that!” Loop cuts back in.
#in stars and time#isat#appétence au#sadfrin au#loop isat#isat loop#isat au#isat siffrin#isat spoilers#isat isabeau#isat odile#isat mirabelle#isat bonnie#isat fanart#isat nille#isat petronille#isat soupe#click the image for better quality#this was so fun to make#Ive never done a piece this complex#at least concering character interactions#and they got like 4 bottles of nailpolish cause#as it turns out#Sifs got big hands
62 notes
·
View notes
Text
Une Semaine d'Expériences avec Dieu(SED N°232024)
Dimanche, 14 juillet 2024
"Venez voir ! J’ai rencontré un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. C’est peut-être le Messie !"
Jean 4,29(PDV)
"La vidéo la plus importante de ma vie."
《C'est par ces mots que commence la description de la nouvelle vidéo de la youtubeuse Andy Rowski sur sa chaîne So Andy suivie par 1,23 million d'abonnés. Publié vendredi 31 mai, le clip intitulé "Séparation, maison hantée, occultisme et…Dieu" cumule déjà plus de 237K vues.
Dans cette vidéo d'une trentaine de minutes la youtubeuse, connue pour son passage dans la première saison de "Secret Story" et pour ses vidéos de décoration, parle de sa rencontre avec Jésus. Née dans une famille athée, la jeune femme explique avoir toujours eu une appétence pour les films d'horreurs, l'occultisme, les esprits...
Elle évoque notamment une séance de spiritisme en 2015 qui a eu un impact fort sur sa vie. À partir de ce moment-là, convaincue de l'existence des esprits elle plonge dans le New Age : la loi de l'attraction, la magie blanche, les cristaux, l'astrologie, la voyance, la numérologie, etc. S'en suit une période difficile qui va la mener à rencontrer un "guérisseur spirituel" qui se présente comme catholique. Cet homme, elle ira le voir régulièrement lorsqu'elle rencontre une difficulté, une épreuve. À chaque fois, il lui donnera des prières à faire, les mains dans la terre, des sels à manipuler etc.
À cette époque, elle commence à écouter des vidéos de pasteurs protestants qui parlent de délivrance. Un sujet qui l'interpelle puisque contrairement à l'existence de Dieu, elle y croit. C'est suite à ses fiançailles, ayant fait le choix de se marier à l'église, qu'elle va mettre un pied pour la première fois dans une église. Lors d'une retraite dans le cadre de sa préparation au mariage, elle va découvrir une communauté accueillante et bienveillante, loin de ce qu'elle avait imaginé.
Après son mariage, Andy va vivre une période très difficile. Son couple se délite, elle est malheureuse et se raccroche plus que jamais au New Age. Elle évoque une véritable "traversée du désert". Elle est de plus en plus convaincue de l'existence du diable, ce qui commence à lui faire penser que peut-être, Dieu existe aussi.
Un soir de décembre, après avoir par hasard écouté le témoignage d'une jeune chrétienne, elle va vivre une rencontre radicale avec Jésus et lui donne sa vie. La jeune femme va ensuite se rapprocher de chrétiens, notamment de l'influenceur David Antoine qui va l'inviter à assister à des cultes dans son église.
Elle raconte ensuite les attaques spirituelles qu'elle a vécues au début de sa conversion, mais Andy l'affirme aujourd'hui, elle va très bien.
"Aujourd’hui je vais très bien, j’ai rejoint une église avec des gens incroyables. Maintenant j’ai mis ma vie de côté et je fais confiance à Dieu. Je suis prête à perdre tout ce que j’ai."
"C'est la meilleure chose qui me soit arrivée", conclut-elle. 》(Source: infochretienne.com)
Eh oui mon ami, rencontrer Jésus, est la meilleure chose qui puisse t'arriver dans la vie(Lire Jean 4,1-30).
Amen !!!
Merci d'être fidèle !
Kwami Pétro
Fidèle ami(e), pour recevoir quotidiennement nos éléments de méditation, merci de vous abonner à notre newsletter sur le site fructifietestalents.org
Suivez-nous également sur:
Facebook: https://www.facebook.com/TerreFertileTF?mibextid=ZbWKwL
Instagram: https://www.instagram.com/terre_fertile228?igsh=MzRlODBiNWFlZA==
X: https://x.com/TerreFertileTF?t=KiIaX91FLuGxEnRx2Eo74Q&s=09
Et pour soutenir l'œuvre, merci de contacter:
https://wa.me/22897828364
https://wa.me/22891641103
©Copyright 2024
@Terrefertilecorporation
0 notes
Link
0 notes
Text
J’étais une enfant brillante. De celleux qui lisent sans arrêt, se souviennent de tout, pensent et connectent les choses entre elles rapidement, font des maths comme un loisir et ont toujours besoin de stimulation intellectuelle et cognitive. Mon vocabulaire était très étendu, et bien que très littérale, je prenais toujours soin de choisir le meilleur mot pour traduire mes pensées avec exactitude.
Le harcèlement dû à cette appétence pour l’intellect a débuté dès l’entrée au collège (dès les dernières années de primaire devrais-je même dire en toute honnêteté, mais l’école primaire était encore ponctuée de grandes amitiés). Pour essayer de me fondre dans la masse - ce qui, rétrospectivement après vingt ans, n’a pas été très efficace -, j'ai appauvri mon vocabulaire pour me plier aux “standards”. Ceux de ma classe bien sûr, pas ceux qui entretiennent l’excellence pour paraît-il nous permettre de viser le sommet. C’était comme apprendre une nouvelle langue, dans laquelle j’étais immergée au quotidien.
Néanmoins, j’ai lentement “oublié” ce style de français qui était le mien. Cette langue que j’avais apprise dans les livres pendant toute mon enfance. Revenir à un registre de langue plus soutenu aujourd’hui me semble être impossible. Non seulement il ne m’est plus instinctif, mais j’ai également perdu les capacités cognitives pour fournir le travail intellectuel nécessaire à sa “récupération” en raison de plus d’une décennie de burn out. Aujourd’hui, même passer du français à l’anglais m’est difficile.
En réalité, je perds mes mots constamment, quelle que soit la langue. En plein milieu d’une conversation, je ne vais pas trouver les mots les plus élémentaires. Je dois souvent utiliser les compétences que j’ai développées par la pratique de langues étrangères, en trouvant discrètement des périphrases pour exprimer l’idée. J’utilise parfois le mauvais mot, une autre langue, ou même, quand je suis en confiance, en montrant la chose et en reconnaissant que je ne me souviens plus comment la nommer. La plupart du temps, j’arrive à continuer la conversation sans que mon interlocuteur·ice ne remarque que je ne trouve pas mes mots. Mais cela n’empêche pas la frustration, la peur et la honte de m’assaillir. Ma grand-mère avait une aphasie progressive primaire. C’est comme ça que ça commence. On a commencé à le remarquer au début de sa soixante-dizaine. J’essaie de me convaincre que je ne suis qu’au début de ma trentaine, que pour moi, c’est dû à l’épuisement, que j’irai mieux quand je ne serai plus fatiguée - quoi que ça veuille dire. Mais en dépit du repos, ça arrive de plus en plus souvent. Mais je vois que je ne parviens pas à récupérer certaines de mes capacités. Il suffit de voir mon registre de langue. Où mon arithmétique. Après des années à sans les travailler, ces compétences doivent être apprises à nouveau. Peut être qu’elles ne nécessitent qu’un rafraichissement, mais même cela me paraît être l’ascension du mont Everest.
En grandissant, la puberté est arrivée tôt (de façon pathologique) et fort ; je suis devenue laide. A 12 ans, on me l’avait dit bien assez de fois pour que j’ai complètement internalisé ma laideur. Je ne suis toujours pas passée au-delà. Comme je rencontrais beaucoup de problèmes pour comprendre l’humour, la seule chose que j’avais pour moi était mon intelligence. C’est autour d’elle que je me suis construite. Même si mes pairs me rejetaient à cause d’elle - où du moins, c’est ainsi que je le comprenais -, la connaissance était la chose la plus importante pour moi. Il est difficile de mettre en mot ce que je ressens. La peur, à la fois du changement et de la perte de la seule chose qui me donne de la valeur. La frustration de ne pouvoir rien y faire. La honte de ce que je suis en train de devenir, et la confiance en moi qui s’éteint un peu plus chaque jour. Ne plus savoir qui je suis, parce que cette personne n’est pas celle que j’allais devenir.
In English
1 note
·
View note
Text
20 km en deux jours ! À bientôt 53 Ans: F.I.E.R de ma volonté, de mon abnégation et de mon appétence au dépassement de S.O.I 👌🤟
#AbDelCastroLesYeuks #viensonlefait #ParFoiDoncPasQueParfois #durecommefaire #proudofmyself
#GodIsGreat #ThanksGod #DieuEstGrand
0 notes
Text
2024
En germe
Ce que je créé est le fruit de ma consommation culturelle liée à ma génération, celle d’une enfance et adolescence nourrit de la pop culture, à l’américanisation des programmes télés (films, séries…), des jeux vidéos et du mouvement Hip Hop. Je me rappel déambuler dans les artères des vidéos-club juste avant leur disparition. Les rayons de films s’ouvraient comme des vortex sur une histoire alternative du cinéma. Fasciné par ces étagères de VHS, c’est peut-être de ce magnétisme des jaquettes gores qu’est né cette appétence pour les monstres et l'image transgressive. Entre fascination et répulsion, ces photos de films étranges floutant la frontière entre réalité et fiction m’ont imprégné la rétine. Je découvre Jurassic Park au cinéma en 1993 qui est un bouleversement dans les effets spéciaux et très tôt je veux découvrir la fabrication d’une production cinématographique. J’entame mes recherches sur la construction des films: décors, art concept, maquettes et effets spéciaux à travers les magasines.
“Je comprends mieux la réalité en regardant des films qu’en la vivant moi-même, c’est une nourriture intellectuelle et spirituelle totalement indispensable” Albert Dupontel
Au collège entre 1996 et 1999, la culture Hip-Hop pénètre dans mon cerveau par le biais du Rap dont je deviens rapidement un fidèle auditeur. Cette esthétique musicale composée de samples et de textes subversifs plante ses crochets dans mes viscères. Je relie rapidement l’intérêt que j’ai pour le dessin depuis l’enfance au mouvement Graffiti que je découvre à travers quelques revues. À 15 ans, j’y trouve alors un moyen d’expression libre et sauvage. C’est la période lycée qui m’emmène à réaliser mes premières peintures à l’extérieur, sur les murs de la ville
Fondation
Au début des années 2000, j’entame un parcours professionnel après une formation de maquillage artistique à Paris, dans le milieu de l’audiovisuel et du spectacle vivant. Je crée en 2002 une association avec laquelle je peux développer des actions artistiques auprès du public. J’obtiens le BAFA en 2006 (brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur) et travaille parallèlement dans le secteur du socioculturel tout en continuant la pratique de la peinture murale et du Graffiti. Ces trois axes professionnels constituent une pluridisciplinarité combinant création libre, commande et intervention pédagogique. Je développe durant ces années mon travail personnel de peinture de manière autodidacte avec toujours cette volonté de tisser un lien entre mes influences artistiques et mes centres d’intérêt : qu'y a-t-il derrière l’image du monstre, celui qui peuple l’imaginaire des films que je regarde, à qui/quoi font-ils références ? Quel est le reflet de ces zombies et autres mutants dans notre société ?. Une première série se dégage de cette réflexion : Dystopie Urbaine (2009-2012) qui pose les fondements d'un travail visuel interrogeant la chair, sa transformation physique subite, assimilée ou acceptée. La série est une galerie de portraits en noir et blanc peints sur murs puis sur toiles qui s’appuie sur l'ouvrage "Les gueules-cassées" de Martin Monsestier. L’idée étant de transposer les dégâts corporels subis par ces soldats durant la guerre 1914-1918 à ceux d'une population des quartiers populaires, suburbains victimes d'un système violent et répressif. Au même moment je travaille sur la fabrication de masques de zombie pour un projet collectif (avorté) de pièce de théâtre au Café de la Gare de Paris avec pour référence principale les morts-vivants des films du réalisateur anti-conformiste Georges A Romero.
Mon engagement passe par la création.
“Regarde ta jeunesse dans les yeux”, Acrylic on canvas 100X100 - 2012 ©La Fleuj
Make up FX prothèse zombie, travail collectif, 2009.
Photo for artwork cover - “L’acide dans les idées”- Scoop&J.Keuz, 2012
J'intègre en 2011 un atelier de maquillage effets spéciaux Double FX à portes des Lilas (93). J’apprends des techniques et découvre des matériaux auprès des chefs maquilleurs pour la réalisation de divers projets audiovisuels. Je continue de naviguer entre plusieurs domaines et explore plusieurs pratiques. Je continue de développer une vision, des actions dont je serai à l’initiative. Je deviens le temps d’un projet, directeur ou/et collaborateur artistique avec des artistes pour la plupart issus du milieu Hip-Hop. En 2010, je participe au clip de la rappeuse Casey “Créature Ratée” dont l'écriture au vitriol est à la croisée des genres musicaux et identitaires.
"Casey", usine désaféctée, Acrylique & spray, 2010,
Clip "Creature Ratée", Casey, 2011
Make up, Art Work, Despo Rutti, photo by Fifou, 2010
“Parisnoïa”, Venom’s Vidéo clip, Réalisation et Make up FX. 2011
Photo for artwork cover - “L’acide dans les idées”- Scoop&J.Keuz, 2012
Réflexion mutante
J’alimente depuis toujours mes recherches par une accumulation obsessionnelle de matière visuelle. Je constitue des mood boards composés de fragments photographiques, vidéos, revues, magazines et grâce à internet, les images complètent continuellement ce travail d’archivage. Cette banque de donnée qui ne cesse de grossir est une matière nutritive composés de biographies, d’entretiens, d’analyses cinématographiques et sociologique. Ce que je produis résulte de ce que j’assimile au travers des films, livres, photographies, musiques et rencontres.
“Les monstres sont appelés monstres (...) parce que ce sont des êtres qui font résonner en nous nos terreurs et désirs les plus profondément enfouis”. James Baldwin, Playboy, 1985.
Exploration / Adaptation
Mes recherches se composent d’observations et d’expériences vécues. Elles me sont bénéfiques et élargissent mon champ de vision. Les voyages au Burkina Faso, Bénin, Cuba ou la Roumanie dont l’identité politique et culturelle (communiste) sont des explorations marquantes. Des attaches familiales au Bénin m’emmène en 2010 à la création d’un échange artistique (peinture et photographie) entièrement auto-financé par mon association, dans le nord du pays, à Natitingou.
En 2013, je réalise le film "Segtaab Rap Au pays des hommes intègres", un documentaire de 35 minutes sur la rencontre de rappeurs et producteurs d'Afrique de l'Ouest et européens. Entre entretiens et freestyle chacun évoque son rapport à la musique et à l'engagement. Autoproduit et autofinancé, le film a été projeté dans des festivals et lors d'évènements en France et à l'international et a servi de support pour des ateliers en direction du jeune public.
Photographie tirée du film “Segtaab Rap au pays des hommes intègres”, 2013. Photo Christian Zan. ©La Fleuj
Filmé un an avant l’insurrection populaire qui a poussé le Président Blaise Compaoré à fuir le pays, une scène particulièrement prémonitoire oppose le rappeur burkinabé Joey Le Soldat rappant face à véritable crocodile, animal monstrueux et mythologique. Cette confrontation devient une allégorie, celle d’un combat entre la jeunesse d’un pays révoltés face au vieux dirigeant africain.
Future Sex
Depuis mes débuts dans la peinture murale, les lieux où j’interviens sont souvent d’anciennes usines désaffectées ou entreprises délocalisées laissées à l’abandon. Ces espaces dystopiques où fusionnent machines électroniques, signalétiques ouvrières, matériaux et végétation sauvage renvoient brutalement aux symboles d’aliénations professionnelles. Devenus des carcasses vides, ces lieux illustrent la rupture entre un modèle (économique) obsolète, dépassé et celle d’une humanité en transformation, transhumanisé, mondialisé. C'est sur ces ruines encore chaudes, de ces murs aux épidermes diverses que je transpose ma perception sociale d'un monde en mutation. Un décor souvent chaotique devenant galerie sauvage aux multiples ambiances : lumières, architectures, décombres, textures…
"Luttes intestines", 2018
« La science-fiction est un art du présent » Alain Damasio
Les murals sont réalisés sans autorisation et parfois de nuit, ils ont alors une dimension doublement illégale, d’une part parce que le support si situe dans l’espace urbain (propriété privée ou publique) considéré alors comme acte de vandalisme, et d’autre part, par le sujet représenté, celui de sexes explicites, selon l’article 227-24 du code pénal.
Urbex Writing
« La science-fiction est un art du présent » Alain Damasio
A partir de 2014 une nouvelle série She Live poursuit la précédente, la violence laisse place au sexe en s’orientant vers un érotisme fantastique. La science fiction me permet de surenchérir sur l’existant à travers une galerie d’humanoïdes sexuées. En se basant sur le concept de films abordant les relations entre humains et extraterrestres et autres humanoïdes She Live imagine l’intimité de personnages imaginaires à travers des peintures de masturbations frontales. La technique utilisée est celle de la ligne claire venant à la fois de la bande dessinée tout en s’inscrivant dans les codes du Graffiti : un aplat de couleur pour le remplissage des formes et un contour noir. Les peintures murales sont réalisées dans des ronds ou formes ovoïdes qui rappelle le tondo sulfureux du bain turc de Jean Auguste Dominique Ingres ou plus encore, les estampes japonaises érotiques montrant des gros plans de sexes. Les murals sont réalisés sans autorisation et parfois de nuit, ils ont alors une dimension doublement illégale, d’une part parce que le support si situe dans l’espace urbain (propriété privée ou publique) et donc considéré alors comme acte de vandalisme, et d’autre part, par le sujet représenté, celui de sexes explicites, selon l’article 227-24 du code pénal. A travers l’imaginaire, la mutation des êtres vivants interrogent notre difficulté viscérale à accepter l’étrangeté d’un corps hybride que nous ne reconnaissons pas. Tout en cherchant à créer l’impact par l’image, ma motivation est aussi de produire des peintures prenant le contre pied d’un art urbain consensuel envahissant les villes depuis environ 10 ans. Je questionne à la fois la récupération d’un mouvement inapprivoisable par les institutions ainsi que les sujets qui animent avec virulence la société actuelle : morale, tabou, identité, sexualité. Je défends cette idée que la représentation artistique d’un acte n’est pas l’acte lui-même.
Photographies d’une usine d’électroménager fermée pour cause de plan social en 2019, Nevers.©La Fleuj
En s’appuyant sur l’image de la femme-monstre véhiculée depuis la nuit des temps dans l’histoire des sociétés (mythes, religions, sorcellerie, vagina dentata…), ce mélange entre sexualité explicite et monstruosité crée alors un mélange perturbant qui transforme le regardeur en voyeur face à une scène dont la sexualité du personnage peint est assumée, assimilée et extirpée de toute pression extérieure.
Par ces compositions de masturbations principalement féminine teintée d’une dimension science fictionnelle, mes travaux sont alors pensés comme des œuvres-références ou œuvre-hommages car ils s’imprègnent de tout un pan du cinéma fantastique, et tout particulièrement du sous-genre cinématographique : le “Body Horror” qui se distingue par son approche subjective et presque métaphysique poussant le spectateur à revoir son anatomie sous une nouvelle forme. C’est une vision personnelle influencée par les thématiques abordées par Paul Verhoeven et David Cronenberg, cinéastes de la chair, du sexe et de la violence.
“Une des caractéristiques de la science fiction c’est de dépouiller les oripeaux des origines et de l’ethnie à travers une créature ou un peuple imaginaire, cela permet de montrer plus facilement les mécanismes qui conduisent à la hiérarchie des races, et à la ségrégation.” Laurent Genefort, auteur de science-fiction.
Eve, 2019
Shunga du 17 ou 18ème siècle, Japon.
En 2017, j’obtiens un BPJEPS d’animateur culturel (Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport) tout en occupant le poste de médiateur/animateur au sein de la Galerie d’Art Contemporain ”Khiasma” crée par Olivier Marboeuf. Ce lieu d’exposition entre galerie et laboratoire est un espace d’échange spécialisé sur les questions de genre, d’identité et postcoloniale. Je découvre des noms, politologues et militant.e comme Donna Haraway (”Manifeste Cyborg”), Françoise Vergès (”Féminisme décolonial”) ou de Mona Chollet (« Sorcière, la puissance invaincue des femmes »). Ma réflexion s’enrichit de ces lectures et m’en apporte d’autres. Ces analyses me permettent de poser des mots sur mon travail artistique, celui qui relie réalité et imaginaire à travers la redéfinition contemporaine des termes “sorcières”, “mutantes” ou “cyborg”.
Bibliographie à l'exposition Interlope, Oct, 2021
“Concubine de l’hémoglobine”, Wall, ©La Fleuj
“Behind The White Rainbow” , Painting on wall and sculpture in situ, Dédale Project, 2018. ©La Fleu
GraffitiXploitation - Run man run
La charge politique des films 70′s, l’esthétique des 80’s ( l’âge d’or des effets spéciaux “les années latex”) mais aussi la photographie, les pochettes de disques, de livres ou encore la charge érotique d’images contemporaines forment un amas difforme dans lequel j’extraie mes inspirations. Chaque peinture est pensée et préparée sous forme de storytelling. Entre héroïnes et icônes “bad ass” fictives ou réelles, cette série de peintures Graffiti (personnage + lettrage) développée en parallèle des autres, porte une charge irrévérencieuse en mettant en scène des personnages qui renversent la position de domination.
Créer de la pensée.
Maturation, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
« Une révolution politique, pour avoir des effets réels et profonds, doit être une révolution dans les idées et les comportements, une révolution culturelle et intime qui implique les médias et les arts”. Lizzie Borden
0 notes