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NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers. 
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort.  Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui. 
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante. 
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
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ecologieeteconomie · 1 year
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L'architecture tout un art !
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Du 13 au 15 octobre ont lieu les journées de l’architecture. Elles visent à mettre en lumière l’importance de l’architecture dans la vie de tous les jours, mais aussi comme témoin du passé et tremplin vers le futur. 
L’architecture entre art et réalité 
J’ai entendu à la radio un truc qui m’a fait tiquer, dit Gaétan. Le journaliste a déclaré que le gouvernement veut faire naître des vocations au cours des journées de l’architecture. 
Qu’est-ce que ça a de choquant ? demande Inès. 
Moi, « une journée de » est l’occasion de mettre en lumière les enjeux et spécificités d’un domaine, d’une pathologie, d’une pratique culturelle et sportive. C’est aussi mon point de vue dit Inès, mais je ne vois pas bien en quoi cela gêne la naissance d’un intérêt pour un zp sais, vocation est un terme positif qui renvoie cette à une notion de travail, mais en corrélation avec le plaisir et le sentiment d’être à sa place. Je trouve ça plutôt heureux, moi. 
C’est vrai que je ne l’avais pas vu sous cet angle. Je pense que je suis trop dans l’idéalisation et que le mot architecture renvoie systématiquement chez moi à l’amour des vieilles pierres. 
L’architecture, une séparation illusoire
- Architecture et amour des vieilles pierres sont évidemment intimement liés et nombre de nos contemporains séparent l’architecture artistique ou culturelle liée à des constructions anciennes et l’architecture moderne dont le seul but serait de construire des pavillons et des supermarchés. La réalité est comme souvent bien plus complexe que cela. Le métier d’architecte est toujours aussi riche et peut-être même encore plus. 
- Que veux-tu dire par là, Inès ? la questionne Gaëtan. 
- L’architecture moderne a pour mission de construire des bâtiments publics, des maisons individuelles, des immeubles et des centres commerciaux, entre autres points. On lui demande en outre de prendre en considération des contraintes environnementales et de s’adapter à de nouveaux matériaux de construction. L’architecte peut être amené à concevoir un édifice qui prend corps au sein d’un édifice plus ancien qui crée un pont entre deux édifices existants.  Si je te comprends bien, l’architecture est à la fois un métier et un art. Elle doit s’adapter sans cesse à de nouvelles normes et contraintes et en même temps traduire des réalités en langage universel. 
- Tu essaies d’expliquer des choses simples avec un langage alambiqué. Je rêve, s’exclame Inès. 
L’architecture, un témoignage du passé
- Excuse-moi, j’ai dit les choses telles qu’elles me venaient.
- Ouais, mais fait le tri la prochaine fois. 
- Ce que j’ai voulu dire, c’est que l’architecture est comme un pont historique qui s’ancre dans le passé pour nous ouvrir la porte de l’avenir. 
- C’est joliment dit et c’est une partie de la vérité. L’architecture est une discipline complexe qui a beaucoup d'impacts sur notre vie quotidienne. Elle structure nos villes et nos maisons, traduit l’identité culturelle d’un pays ou d’une région (Longère en Normandie ou maison à colombages en Alsace). Elle est aussi utilisée pour fluidifier les déplacements et améliorer le confort. Certaines initiatives s’en servent pour améliorer les liens sociaux. 
- Tout ça méritait bien des journées, s’enthousiasme Gaëtan. 
Et toi pour ces journées, tu vises plutôt l’architecture historique ou la version plus moderne ? Réponse souhaitée en commentaire. Merci. 
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omagazineparis · 6 months
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Témoignage : " Mon histoire avec le pervers narcissique "
On appelle pervers narcissique, une personne qui, de par un comportement toxique, nuit consciemment ou non, à la santé mentale et physique de l’autre. Son but ultime est d’exercer une emprise sur sa victime. La seule solution est le départ. Entre violences psychologiques et violences physiques, la relation avec un PN est destructrice et peut engendrer de graves traumatismes. On peut retrouver les pervers narcissiques partout. Au travail, en amitié, en famille et le plus souvent, dans les relations de couple. C’est le cas de Lela, qui pour sensibiliser et aider les lecteurs dans cette situation, nous raconte l'enfer qu’elle a vécu. « Quand j'ai rencontré Benoit, j'avais 23 ans et j'étais pleine de vie. Une fille solaire, qui riait sans arrêt. Je me souviens m'être dit qu'il avait tout d'un prince charmant. Dès le premier rendez-vous, Oh des macarons, une jolie attention. Je me suis lancée dans cette histoire naïvement. Tout de suite, Benoit a sorti son jeu : Full aux Rois par les 9. Monsieur se joue roi de cœur, m’enveloppant de son charme fou, son visage angélique, et sa chaleur. J’étais loin d’imaginer sa véritable froideur. Trop rapidement, Benoit veut s’installer. Chaque jour un peu plus je me sentais étouffer, monsieur ne voulait plus me lâcher, mais il le répétait sans cesse, il voulait juste m’aimer ! Et lorsque je tentais un peu de m’éloigner pour respirer, il jouait le grand blessé. Me laissant penser qu’un jour enfin, je serai digne de son amour. « Toi là, donne-moi ta main, donne-moi ton bras, tu es à moi, rien qu’à moi. Tu es l’unique, je t’ai choisi. Maintenant nous sommes en couple, on est deux, mais on ne fait qu’un. Tu es à moi, tu es à moi... » Les mois passaient, je me livrais, bientôt il me connaîtrait sur le bout des doigts, comme une petite sérénade dans sa tête qu’il jouerait en mode repeat. Au début il avait l’air sensible, je pensais devoir peser tous mes mots pour ne pas blesser son égo. Après tout, chacun ses défauts. D’abord adorable, puis susceptible et exécrable. Moi qui aimais tant rire, je n’en avais plus la liberté, de peur de le braquer. Le pervers narcissique alternait entre fusion et destruction Benoit pouvait bouder pendant des heures si par malheur je n’avais pas répondu correctement, fait une blague de mauvais goût, ou encore mal nettoyé ses effets personnels. Il mesurait parfois même mon amour pour lui à la quantité de poussière oubliée sur sa console de jeux. C'était sur-réaliste, c'était pervers, c'était narcissique. Doucement, insidieusement, il a pris la place du chef. Il dirigeait, je pliais. Pour ne pas le contrarier je disais oui, je patientais même pendant ses longs silences. Quand je parvenais enfin à le faire parler, Benoit savait renverser la vapeur, m’accabler et me désigner coupable de tous ses maux. C’est ainsi qu’il gagnait, en me désarçonnant, j’étais à bout. Après la pluie, vient toujours le beau temps. Hélas pour moi, cela ne durait jamais assez. Je ne comprenais pas. Il usait avec adresse d'un mécanisme alterné, alternant tous mes sens. Une claque, une caresse, une claque, une caresse... Ce genre de relation basée sur les rapports de force, je n’en avais jamais voulu. En public, Benoit était le plus souriant et sympathique des amants. Lorsqu’il sortait, il mettait son plus beau masque, et même dans le miroir, il arrivait à se convaincre. C’était moi le problème, moi qui le rendais comme ça. Ma réputation de fille de caractère m’a porté préjudice. Qui voudrait croire qu’une femme aussi forte et explosive que moi, serait la victime d’un bourreau ? En vérité, il avait peur de moi, de ma force, de mon assurance. Lui plus que tout autre masquait son manque de confiance en me rabaissant toujours plus bas. Pour nos amis, il était la perfection incarnée. Le calme, la sagesse, l’humour… Dans l'intimité, fatigué d’avoir tenu un rôle face aux autres, il redevenait lui-même. Le masque finissait toujours par tomber, et le pervers par se montrer. Et chaque nuit après m’avoir utilisé comme un jouet, avec grâce il me critiquait insidieusement. https://www.youtube.com/watch?v=YvI8KVFi_sg&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ De longs mois sont passés, je n’avais plus aucune estime de moi-même. Sournoisement il m’avait mordu jusqu’au sang, son venin s’était propagé en moi et l’épuisement de tant de manipulation, avait pris le dessus sur ma raison. Dans mes nuits d’insomnie, les phrases de mon Roi de cœur tournaient en rond. « Tu es grosse, tu n'es pas magnifique ». Pourtant, j’étais si maigre qu’on pouvait même apercevoir les os de ma colonne. Le pervers narcissique avait réussi à modifier ma propre perception. Nuit et jour, le Roi Benoit était insupportable, sa langue se déliait et ses mots étaient un feu dévorant. Il se délectait à me faire souffrir et à me voir m’éteindre. Je n’étais qu’un pion, j'étais SON pion. Autrefois forte et pétillante, aujourd’hui froide, je ressemblais à une morte-vivante. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Je ne souriais plus, j'étais triste et de plus en plus maigre. L’inquiétude de mes proches n’y faisait rien. Je ne voulais plus rester, mais partir m’était impossible. J'avais peur, que ferais-je sans lui ? Les mois passaient, il y’avait des instants moins sombres. Benoit caressait et claquait. Au sens figuré d’abord puis au sens propre. Il m’humiliait, m'insultait, me poussait et me frappait. Ce n’était pas sa faute vous comprenez. En pleure, il s’excusait, criant que j’étais sa seule source de bonheur. On m’a enseigné le pardon, et il se savait. Alors je pardonnais et le réconfortais même. Le voyant pleurer comme un crocodile qui aurait mangé sa queue, me sentir coupable rendait cela insoutenable. Je crois que je voulais l’aider, même s’il me mordait toujours plus fort. Il avait le pouvoir et le contrôle. Me faire rire ou pleurer au grès de ses humeurs, de ses envies. Parfois salaces, souvent dégueulasses. Il y avait là-dessous, un besoin de tuer pour se sentir exister. Le propre d'un pervers narcissique. A lire également : Retrouvez son propre équilibre Ce n’était pas seulement un problème de violence. C’était encore pire que ça, il voulait me dominer. Et puis un jour, tentant de me détendre dans un bain, pour mettre de l’ordre dans mes pensées, il m'a envoyé un verre d’eau glacée en pleine figure. Immobile, ne comprenant pas ce qu’il venait de se produire, je suis restée immobile durant plusieurs minutes. Et silencieusement, j’ai rassemblé mon courage en nouant autour de ma taille mon peignoir et suis sortie de la salle de bain. Il était assis sur sa chaise, puis me voyant passer devant lui, m’a jeté son briquet en peine figure avant de me jeter au sol pour me passer à tabac. https://www.youtube.com/watch?v=MYDpq_ivst0&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ En boule par terre, protégeant mon visage, je ne suppliais pas. Il restait silencieux, robotisé, continuant sa crise de folie, exécutant des gestes presque machinalement, son regard pervers m'avait glacé le sang. En pleine conscience, les secondes paraissent des heures. J’ai laissé les choses se faire, décidant et me jurant que ce serait la dernière. Je suis partie. J'ai tout quitté, et j'ai enfin respiré. C’était il y a deux ans le jour où, profitant de son absence, je suis partie. J’ai décidé de sauver ma peau, luttant pour ne plus être sa chose. Aujourd'hui, j'ai réappris à vivre même si j'avoue que je ne comprends pas encore comment j’ai pu m’infliger ça. La culpabilité est un sentiment qui m’a longtemps empêchée de me rendre disponible à l’amour, car j'étais terrorisée de vivre cela une fois encore. Avec l'aide de mes proches et d'un thérapeute, j'ai pris mon temps et j'ai compris pourquoi ce monstre m'avait choisi. Aujourd'hui je suis libérée de cette emprise, j'aime et je vis.» Pour en savoir plus sur les pervers narcissiques, le livre de Jean-Charles Bouchoux dispo ici, ou celui de Marie-France Hirigoyen: Femmes sous emprise, "Les ressorts de la violence dans le couple" Nota Bene : Pour lever toute confusion, seul un psychologue/psychiatre est apte à diagnostiquer un profil de pervers narcissique. Il s'agit là d'un trouble de la personnalité sérieux. Read the full article
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christophe76460 · 20 days
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Jésus est celui qui a été envoyé par Dieu pour que nous ayons la vie éternelle.
Et c'est important de comprendre, que pour avoir accès à ce salut, nous aurons besoin pour cela de ne faire qu'un, à l'image du Christ qui ne faisait qu'un avec son Père.
Je te demande qu’ils soient tous un. Comme toi, Père, tu vis en moi et que je vis en toi, qu’ils constituent, eux aussi, une unité indissoluble dans la communion avec moi, pour que le monde reconnaisse que c’est toi qui m’as envoyé et qu’il y croie. Jean 17: 21 POV
Le Père m’a choisi et il m’a envoyé dans le monde, et je dis : “Je suis Fils de Dieu.” Mais vous, vous dites que j’insulte Dieu. Pourquoi donc ?
Si je ne fais pas les actions de mon Père, ne me croyez pas !
Mais si je les fais, croyez-moi, ou croyez au moins à mes actions. De cette façon, vous saurez de mieux en mieux que le Père est en moi, et que je suis dans le Père. Jean 10: 36-38 PDV
Oui, Dieu a tant aimé les hommes qu’il a donné son Fils, son unique, pour qu’aucun de ceux qui se confient en lui ne soit perdu, mais que chacun accède à la vie éternelle. Jean 3: 16 POV
Alors, l’amour, qu’est-ce que c’est ? Ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est lui qui nous a aimés.
Il nous a tellement aimés qu’il a envoyé son Fils.
Celui-ci s’est offert en sacrifice pour nous, c’est pourquoi Dieu pardonne nos péchés.
Amis très chers, puisque Dieu nous a aimés de cette façon, nous aussi, nous devons nous aimer les uns les autres. 1 Jean 4: 10-11 PDV
Et il arrivera que quiconque invoquera le nom du Seigneur (Jésus) sera sauvé.
Oui, c’est la volonté de mon Père que tous ceux qui tournent leurs regards vers le Fils et qui croient en lui, possèdent dès à présent la vie éternelle, et moi, je les ressusciterai au dernier jour. Jean 6: 40 POV
Jésus le Nazaréen, homme approuvé de Dieu auprès de vous par les miracles et les prodiges et les signes que Dieu a faits par lui au milieu de vous... Actes 2: 21-22 PDV
Le Père aime son Fils et lui a accordé les pleins pouvoirs sur toutes choses.
Celui qui place sa confiance dans le Fils possède la vie éternelle.
Celui qui refuse d’écouter le Fils et de se fier à lui, ne verra jamais la vie mais la colère de Dieu reste suspendue au-dessus de sa tête. Jean 3: 35-36 POV
Quand ce jour viendra, vous reconnaîtrez clairement que je suis inséparable de mon Père, vivant dans une communion intime avec lui, vous saurez aussi que vous êtes en communion avec moi, que vous vivez en moi et que moi je vis en vous.
Celui qui m’aime vraiment, c’est celui qui retient mes instructions et s’applique à les observer.
Mon Père aime celui qui m’aime, et moi aussi, je lui témoignerai mon amour et je lui révélerai qui je suis. Jean 14: 20-21 POV
Celui qui croit au Fils de Dieu porte ce témoignage dans son cœur. Celui qui ne croit pas en Dieu, celui-là fait de Dieu un menteur ! Il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils.
Voici ce témoignage : Dieu nous a donné la vie avec lui pour toujours, et son Fils est la source de cette vie.
Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n’a pas le Fils n’a pas la vie. 1 Jean 5: 10-12 PDV
Imitez-moi, comme moi j’imite le Christ. Je veux que vous compreniez ceci : le chef de tout homme, c’est le Christ, le chef de la femme, c’est l’homme, le chef du Christ, c’est Dieu. 1 Corinthiens 11: 1,3 PDV
Mais en disant la vérité avec amour, nous grandirons en tout vers celui qui est la tête, le Christ.
C’est par lui que toutes les parties du corps tiennent ensemble et sont unies.
Beaucoup d’articulations servent à unir le corps, et quand chaque partie du corps fait son travail, le corps grandit et se construit lui-même dans l’amour. Éphésiens 4: 15-16 PDV
Soyez joyeux de savoir que je vais auprès du Père ! En effet, le Père est plus important que moi. Jean 14: 28 PDV
Puis viendra la fin, lorsque le Christ remettra le pouvoir royal qu’il exerçait à Dieu le Père, après avoir réduit toute domination, toute autorité et toute puissance hostiles.
Il faut, en effet, qu’il garde ce pouvoir jusqu’à ce que Dieu ait « placé tous ses ennemis sous ses pieds », car il est écrit : Dieu a tout mis sous ses pieds.
Mais quand l’Écriture dit que tout lui a été soumis, il est bien évident qu’il faut en excepter celui qui lui a donné cette domination universelle. 1 Corinthiens 15: 24-25,27 POV
Le Christ, dès l’origine, fut d’essence divine, un avec le Dieu saint. Il avait sa nature, sa gloire sans mesure, ses attributs divins.
Loin de mettre sa joie à trouver une proie dans son égalité avec le Dieu suprême, il s’abaissa lui-même, avec humilité.
Le Roi de tous les êtres ici-bas voulut naître en simple serviteur.
Esclave volontaire, il a vécu sur terre sans éclat, sans honneur.
Homme parmi les hommes, il fut ce que nous sommes, en tout semblable à nous.
Humble et sans apparence, dans son obéissance il alla jusqu’au bout.
Il humilia son âme jusqu’à la mort infâme d’un criminel en croix.
Au trône de lumière, il fut, par Dieu son Père, élevé Roi des rois.
À lui honneur suprême, couronne, diadème, et sceptre tout-puissant. Jésus, nom qui surpasse, dans le temps et l’espace, tous les noms existants.
Devant Jésus le Maître, un jour devront paraître hommes, anges, démons.
Dans les cieux, dans ce monde, sous la terre et sous l’onde, tous genoux fléchiront.
En Maître, tous l’acclament, toute bouche proclame : Jésus-Christ est Seigneur. À la gloire du Père, le ciel, l’enfer, la terre, exaltent le vainqueur. Philippiens 2: 6-11 POV
Personne ne peut m’ôter la vie : je la donne de mon propre gré. J’ai le pouvoir de la donner et de la reprendre.
Tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. Il y eut à nouveau division parmi le peuple à cause de ses paroles. Jean 10: 18-19 BDS
Alors Jésus leur dit : « Quand vous placerez le Fils de l’homme en haut, vous saurez que moi, “Je suis.” Vous saurez que je ne fais rien par moi-même, mais je dis ce que le Père m’a enseigné.
Celui qui m’a envoyé est avec moi. Il ne m’a pas laissé seul parce que je fais toujours ce qui lui plaît.
Jésus dit aux Juifs qui ont cru en lui : « Si vous restez fidèles à mes paroles, vous serez vraiment mes disciples. Jean 8: 28-29,31 PDV
Si quelqu’un mange mon corps et boit mon sang, il vit en moi, et moi je vis en lui.
Le Père qui m’a envoyé est vivant, et moi, je vis par le Père. De la même façon, celui qui me mange vivra par moi.
Voici le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme le pain que vos ancêtres ont mangé.
Eux, ils sont morts, mais si quelqu’un mange ce pain, il vivra pour toujours. Jean 6: 56-58 PDV
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yes-bernie-stuff · 1 month
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◀ 21 AOÛT ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
(...) selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun. Romains 12.3
À chacun sa mesure de foi
Qui n’a jamais estimé manquer de foi pour anéantir les oppositions, pour dominer sur la maladie, les difficultés, les oppressions, les mauvaises pensées, les ruptures, les rejets, les pertes, les trahisons, etc., alors que celle-ci est indispensable pour vaincre l’ennemi et déplacer les montagnes ? (cf. Luc 17.6 ; Matthieu 17.20-21). Chacun de nous possède pourtant une mesure de foi suffisante et donnée par Dieu pour activer Son bras et déclencher le miracle comme nous pouvons le comprendre dans le verset du jour ! D’ailleurs la foi n’est pas stagnante, elle se travaille, se développe et se renforce (cf. 2 Corinthiens 10.15). Et c’est en Romains 10.17 que nous lisons un principe fondamental pour la faire grandir : « La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Christ. ». De la sorte, par la lecture des témoignages de guérison, des délivrances et des prodiges de Jésus ou de Ses disciples au travers de la Bible, mais aussi par l’écoute et la découverte des interventions divines contemporaines, nous comprendrons que Dieu est puissant et que nous sommes toujours au bénéfice de cette puissance d’amour infinie et miraculeuse. Ce que Dieu a accompli hier, Il l’accomplira aussi demain car Il ne change pas ! Finalement, le premier pas de foi à faire avec le peu que nous pouvons avoir, c’est de nous convaincre que l’Éternel Dieu est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que ni Sa puissance, ni Sa volonté de révéler Sa gloire et de bénir Ses enfants ne sont obsolètes ! C’est en connaissant Dieu tel qu’Il est vraiment, que nous pouvons mieux comprendre ce qu’Il veut et peut faire pour nous et pour les autres... C’est en comprenant Son amour pour l’humanité et en considérant sa puissance infinie que notre foi sera fortifiée, jusqu’à devenir assez solide pour nous faire franchir les différents obstacles que nous aurons à rencontrer tout au long de notre vie ! - Lire plus ici :
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idevart-blog · 6 months
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Si vous êtes un conseiller ou un thérapeute, alors Idevart est LA plateforme qui saura réaliser un site web qui mettra en valeur votre expertise et qui permet aux consommateurs potentiels de vous trouver grâce au travail d'optimisation pour le référencement SEO qui sera appliqué à votre site pendant sa création. Je vous propose même d'inclure une fonction de réservation qui facilite la prise de rendez-vous en ligne et la gestion de votre emploi du temps. Le conseil étant une expérience très personnelle pour les consommateurs, votre site web possèdera une page dédiée aux témoignages consommateurs pour renforcer votre fiabilité et votre crédibilité. 🎯 Vous ne pouviez pas mieux tomber Nombreux sont les écueils dans lesquels tombent souvent les personnes désireuses de trouver un bon professionnel passionné par son métier pour la réalisation de leur site web ou boutique en ligne. J'ai eu beaucoup de consommateurs qui sont venus vers moi en m'expliquant parfois leurs mésaventures avec pendant précédentes collaboration avec agence ou webmaster peu soigneux dans l'accomplissement de leurs tâches. Je m'efforce donc d'appliquer une politique de satisfaction client optimale pour vous donner envie de revenir vers moi après avoir découvert la qualité de mon travail. 📝 Qui suis-je ? Un passionné du web qui à fait le choix de l'indépendance pour conserver sa créativité, améliorer sa technique et son amour du métier de même que des consommateurs. Je suis concepteur / développeur de site web depuis désormais plus de 10 ans et mes nombreuses années de pratiques et de formations en PHP / Javascript m'ont persuader de tourner le développement de mes compétences et connaissances vers Wordpress, qui est à ce jour, le premier des CMS. 📝 Pourquoi travailler avec Idevart ? - 100% de satisfaction via les retours consommateurs. - Délais de livraison toujours respectés. - Possibilité de paiement d'acompte de 50% du montant de la prestation au démarrage de la collaboration. - Le référencement SEO du site est inclus dans la prestation le 1er mois. - Rendez-vous par visioconférence Zoom, Discord, Teams... - Formation de prise en main de 3h. 📝 Expertise et maîtrise des principaux CMS Les nombreuses années de pratique de conception et développement de site web m'ont permis d'acquérir de nombreuses compétences, maîtrises et expertises dans l'utilisation des principaux CMS actuellement sur le marché. C'est ainsi qu'en plus de Wordpress que j'emploie dans tous mes projets depuis plus de 10 ans, j'ai aussi une maîtrise des autres CMS tels que Prestashop, Drupal, Wix et Shopify. 📝 Qu’est-ce qui est proposé pour le tarif de l'annonce ? - L'installation et la configuration de Wordpress. - Page de témoignage avec module sur-mesure. - Un espace d'administration simple à gérer vous-même. - Un site compatible avec tous types d’écrans (responsive). - Les 5 premières pages de votre choix (Exemple: Accueil, contact, présentation, galerie etc...). - Un module de statistiques des visiteurs. - Un site web sécurisé, attractif et rapide au chargement. - Le référencement naturel de votre site par les moteurs d'études pendant 1 mois 📝 Délai de réalisation et suivi du site Si toutes les informations sont réunies à temps, votre site de présentation sera réalisé sous moins deux semaines (hors Dimanches et jours fériés). Une fois livré, votre site web sera suivi et vous pourrez me demander des modifications dessus pendant 6 mois.
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x-or-officiel · 7 months
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Groom Service - Un Tarantino à un doigt d'être connu
Groom Service, (Four Rooms dans les pays anglophones), est un de mes films préférés, non seulement pour sa construction scénaristique originale, mais aussi pour son aspect underground et sous-côté. Sorti en 1995, le film est une succession de quatre courts métrages, chacun produit par un réalisateur différent: Allison Anders, Alexandre Rockwell, Robert Rodriguez, et Quentin Tarantino. Ces quatre histoires distinctes sont liées par un personnage central, Ted le groom, interprété par Tim Roth, qui traverse des aventures rocambolesques dans un hôtel de Los Angeles durant la nuit du Nouvel An.
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La naissance du projet remonte à l'amitié entre les quatre réalisateurs, qui partageaient tous un désir de collaborer et de créer quelque chose d'unique. L'idée était de capturer l'essence de la comédie noire et du surréalisme à travers les péripéties d'un personnage principal, le tout se déroulant dans un huis clos. Chaque segment reflète le style distinct de son réalisateur, allant de la comédie noire au thriller, tout en conservant une cohérence grâce au fil rouge du personnage de Ted.
Anecdote de tournage intéressante, le segment réalisé par Quentin Tarantino, "The Man from Hollywood", inspiré de l'épisode "The Man from the South" de la série télévisée "Alfred Hitchcock présente". Le réalisateur, connu pour son perfectionnisme et son amour des dialogues ciselés, a créé une atmosphère de tournage à la fois intense et ludique. Il paraît que lors des répétitions, ce dernier jouait lui-même tous les rôles, donnant aux acteurs une vision claire de ce qu'il attendait d'eux.
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Autre moment mémorable, lors de la réalisation du segment de Robert Rodriguez, "The Misbehavers", qui met en scène deux enfants s'attirant des ennuis en restant seuls dans leur chambre d'hôtel, a été marqué par l'énergie et l'imprévisibilité des jeunes acteurs. Rodriguez, connu pour sa capacité à travailler rapidement et efficacement, a su capter cette spontanéité enfantine, ajoutant une couche d'authenticité et de fraîcheur au film.
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Groom Service est une œuvre audacieuse, un patchwork cinématographique qui ne laissera personne indifférent. Son originalité et son humour décalé en font un film à part, mais attention, malgré ses qualités indéniables, son manque de cohérence et la variabilité de la qualité de ses segments pourraient refroidir certains d'entre vous. Malgré ces réserves, le film demeure un témoignage fascinant de la collaboration entre quatre réalisateurs de talent, offrant un divertissement unique. vous pouvez vous procurer le film en VOD et en DVD en suivant ce lien.
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lesfrancophiles · 10 months
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La Philosophie
La philosophie, du grec ancien φιλοσοφία / philosophía (composé de φιλέω / philéô, « aimer », et de σοφία / sophía, « sagesse, savoir »), signifiant littéralement « amour du savoir » et communément « amour de la sagesse », est une démarche qui vise à une compréhension du monde et de la vie par une réflexion rationnelle et critique. C'est une recherche de la vérité qui est guidée par un questionnement sur le monde, la connaissance et l'existence humaine. Elle existe depuis l'Antiquité en Occident et en Orient, à travers la figure du philosophe, non seulement en tant qu'activité rationnelle mais aussi comme mode de vie. L'histoire de la philosophie permet d'appréhender son évolution.
Ancrée dès ses origines dans le débat d'idées partagées lors du dialogue entre un maître et ses disciples dans les différentes écoles philosophiques, la philosophie peut se concevoir comme une activité de création, de méditation, de définition et d'analyse de concepts tels que le bien, le mal, la beauté, la justice. Elle peut aussi être envisagée comme une quête de vérité, de liberté, de sens, de conscience, bref, une quête du bonheur. Du point de vue de la théologie chrétienne à qui elle est associée dans sa démarche, son objectif devrait être tourné vers la contemplation de la vérité et la recherche de la finalité dernière et du sens de la vie.
Chez Aristote, la sagesse est la science des premiers principes et des premières causes. C'est une définition sur laquelle s’appuieront les aristotéliciens à l'époque médiévale pour fonder la philosophie première.
Au sens moderne et pour une partie des philosophes contemporains, la philosophie n’est pas un savoir, ni un ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs à disposition. Elle est devenue une discipline des sciences humaines. En ce sens, la philosophie contemporaine se rapproche beaucoup d’une dynamique épistémologique.
Le champ d'étude de la philosophie peut embrasser un ensemble de disciplines telles que les sciences humaines et sociales, les sciences formelles et les sciences naturelles, auxquelles elle est historiquement liée.
La philosophie a engendré des domaines d'études fondamentaux tels la logique, l'éthique (philosophie morale), la métaphysique, et l'épistémologie (philosophie des sciences et théorie de la connaissance). Au cours du temps, ces branches de la philosophie ont vu naître des ramifications comme celles de la philosophie politique, la philosophie du droit, l'esthétique (philosophie de l'art), l’ontologie, la philosophie de l'esprit, l’anthropologie philosophique, ou la philosophie du langage, entre autres.
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Jean-Léon Gérôme, Diogène, 1860. Portrait romantique qui représente aussi le chien (en grec « κύων ») qui a donné son nom au cynisme.
Socrate
philosophe grec du ve siècle av. J.-C. (né vers -470/469, mort en -399). Il est connu comme l’un des créateurs de la philosophie morale. Socrate n’a laissé aucun écrit, sa pensée et sa réputation se sont transmises par des témoignages indirects. Ses disciples, Platon et Xénophon, ont notablement œuvré à maintenir l'image de leur maître, qui est mis en scène dans leurs œuvres respectives.
femme Xanthippe ? accusé d'impiété, et de corrompre les jeunes condamné à mort boit la coupe de poison létal, la ciguë
En choisissant de mourir, Socrate affirme la primauté de la vertu sur la vie : la vie du corps est subordonnée à la pensée.
La maïeutique Socrate, roi de la provocation
Socrates Overly Sarcastic Productions
Platon
né en 428 / 427 av. J.-C. et mort en 348 / 347 av. J.-C. à Athènes, est un philosophe antique de la Grèce classique, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l'élève, ainsi que Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée. Celle-ci explore la plupart des champs importants, c'est-à-dire la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique.
Son œuvre, composée presque exclusivement de dialogues, produit les premières formulations classiques des problèmes majeurs de l'histoire de la philosophie occidentale2. Chaque dialogue de Platon est l'occasion d'interroger un sujet donné, par exemple le beau ou le courage. Il y développe une méthode qu'il appelle dialectique ou maïeutique. Il voua la majeure partie de son activité à la philosophie première, mais il se consacra aussi aux apparences et aborda l'histoire naturelle dans laquelle il voulut établir deux principes :
l'un subissant, comme la matière, appelé récepteur universel ;l'autre agissant, comme une cause, qu'il rattache à la puissance du dieu et du Bien.
Platon développe une réflexion sur les Idées communément appelée théorie des Formes ou théorie des Idées dans laquelle la réalité sensible est considérée comme un ensemble d'objets participant de leurs modèles immuables. La Forme suprême est le principe du Bien, englobant les archétypes du Juste, du Bon et du Beau. La philosophie politique de Platon considère que la Cité juste doit être construite selon le modèle du Bien en soi. Dans le dialogue "La République" Il développe en conséquence l'idée du Philosophe roi.
considéré généralement comme l'un des premiers philosophes occidentales sino l'inventeur de la philosophie
L'allégorie de la caverne
Aristote
(384-322 av. J.-C.) est un philosophe et polymathe grec de l'Antiquité. Il est avec Platon, dont il a été le disciple à l'Académie, l'un des penseurs les plus influents que le monde occidental ait connu. Il est aussi l'un des rares à avoir abordé presque tous les domaines de connaissance de son temps : biologie, physique, métaphysique, logique, poétique, politique, rhétorique, éthique et de façon ponctuelle l'économie. Chez Aristote, la philosophie, à l’origine « amour de la sagesse », est comprise dans un sens plus large comme recherche du savoir pour lui-même, interrogation sur le monde et science des sciences.
Archimède de Syracuse (en grec ancien : Ἀρχιμήδης / Arkhimếdês), né à Syracuse vers 287 av. J.-C. et mort en cette même ville en 212 av. J.-C., est un grand scientifique grec de Sicile (Grande-Grèce) de l'Antiquité, physicien, astronome, mathématicien et ingénieur.
Heureka!
Donnez moi un point d'appui et je souslèverai le monde.
La-Philo Les philosophes français
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MESSAGE ADRESSÉ AUX FEMMES, MAIS IL EST VALABLE, EN RÉALITÉ, POUR TOUT LE MONDE.
LE BUT EST DE DÉVELOPPER NOTRE HUMILITÉ, SI VOUS LE VOULEZ BIEN, MESDAMES ET MESSIEURS.
Une femme qui est bien, est très très rare à trouver.
Même Salomon dit qu'il a trouvé un homme qui soit bien parmi 1000 hommes.
Mais il n'a trouvé aucune femme qui soit bien, parmi elles toutes.
Salomon a eu près de mille femmes, si on y inclus ses concubines, donc il s'est exprimé basé sur son expérience personnel.
Il ne nous dit pas non plus, s'il a trouvé qu'il était lui-même un homme bien.
Donc son témoignage semble douteux, car Jésus a dit, qu'il n'y a de bon, de bien et de fiable, que Dieu seul.
Le saviez-vous, mes chers amis ?
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MAIS DANS LE SUJET D'AUJOURD'HUI, AFIN DE NOUS AIDER À DEVENIR PLUS HUMBLES, ON VA JUSTE ÉMETTRE L'HYPOTHÈSE "QU'AUCUNE FEMME SUR TERRE N'EST BIEN".
NE ME LAPIDEZ PAS, MESDAMES, L'OBJECTIF EST DE DÉVELOPPER NOTRE HUMILITÉ, TOUT SIMPLEMENT.
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CELA A DONC POUR CONSÉQUENCE, QUE L'ON NE TROUVE PAS UNE FEMME BIEN, ON NE PEUT QUE L'AIDER À LE DEVENIR.
C'est le rôle de tout un chacun de rendre les femmes bien, quelque part.
Bien que ce soit à elles-mêmes de le devenir en suivant Dieu, par l'intermédiaire de leur propres consciences.
LE RÔLE DE CHACUN D'ENTRE NOUS, EST DE CONTRIBUER À CE QUE LES FEMMES NE SE RELÂCHENT PAS DANS LEUR EFFORTS À SUIVRE DIEU, PAR L'INTERMÉDIAIRE DE LEUR CONSCIENCE PERSONNELLE.
CAR À LA FIN, L'HUMANITÉ EST UNE ÉQUIPE SOUDÉE, UNE FAMILLE UNIE, SI ON A UNE VISION INNOCENTE DE LA VIE.
ET SI ON NE S'EST PAS LAISSÉ POLLUER PAR NOS MAUVAISES EXPÉRIENCES PERSONNELLES ET LES MAUVAIS TÉMOIGNAGES QUE L'ON A ENTENDUS.
On existe pour s'aimer les uns les autres, pour s'entraider à nous améliorer.
On est ensemble sur terre, afin de se sacrifier par amour pur et inconditionnel les uns pour les autres, comme le Christ nous l'a démontré par son exemple de vie.
Le saviez-vous, mes chers amis ?
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JE TERMINERAIS EN DISANT QUE DURANT LA VIE DU CHRIST, CERTAINES FEMMES ONT ÉTÉ TRÈS HONORÉ PAR LE SEIGNEUR JÉSUS.
Jésus a beaucoup honoré les prostitués pour leur transparence de vie.
Donc mesdames qu'importe votre vie de péché actuel, soyez toujours transparentes, ne cacher rien à personne, et Dieu vous aidera à triompher de toutes vos fautes personnelles.
Le Christ a honoré Marie, la sœur de Marthe, car elle était à ses pieds, voulant apprendre de tout son être, la sagesse du Seigneur Jésus.
Ce qui signifie que la femme devient bien, quand elle suit uniquement Dieu, à travers sa propre conscience, et rien d'autre que cela, mes chers amis.
Mesdames, vous privilégiez trop vos enfants, la maison et le travail, alors que suivre Dieu en permanence, à travers votre propre conscience, est la seule chose qui compte et qui sera valable même après la mort.
La femme qui vit dans le respect permanent du Seigneur, dans le fond de son cœur, sera honorée, car c'est la vie intérieur qui prime et non la belle apparence extérieure.
LE SEIGNEUR JÉSUS A HONORÉ LES FEMMES QUI LUI SONT RESTER FIDÈLE MÊME APRÈS SA MORT, POUR EMBAUMER SON CORPS PHYSIQUE.
AU POINT QU'IL LEUR A DONNÉ SON PREMIER MESSAGE, SUITE À SA RÉSURRECTION, AFIN DE LE TRANSMETTRE À SES APÔTRES PEUREUX ET LÂCHES.
Ce qui signifie que lorsque les femmes suivent Dieu, à travers leur consciences personnelles, elles deviennent des instruments puissants, entre les mains de Dieu.
Et deviennent finalement l'aide que Dieu avait prévu en les envoyant sur terre.
Car quand Dieu dit "qu'il n'est pas bon que l'homme soit seul", ce n'est pas un compliment que le Créateur fait à l'homme.
L'homme non-conscient que seul Dieu lui suffit, se considère perdu et malheureux sans sa femme.
D'où le fait que l'homme recherche à tout prix une femme, et vice-versa.
Car n'oublie pas que la vie est un parcours, la vie est un enseignement.
Ce qui signifie que tes désirs actuels ont pour but de te conduire, pas après pas, vers la vérité qui est Dieu.
Comme les exemples donnés par les vies du Fils Prodigue et de Job.
CAR À LA FIN, IL FAUT QUE L'HOMME ET LA FEMME SE DÉÇOIVENT MUTUELLEMENT, AFIN QUE CHACUN D'ENTRE EUX ARRIVE À LA BONNE CONCLUSION.
ET CETTE CONCLUSION EST, QUE C'EST UNIQUEMENT SANS ÊTRE UNI PARFAITEMENT À DIEU EN PERMANENCE, QUE L'ON EST MALHEUREUX.
SANS VIVRE DANS UNE COMMUNION PROFONDE CONTINUELLE AVEC LE CRÉATEUR, TU NE PEUX ÊTRE COMBLÉ DE JOIE ET DE BONHEUR INTÉRIEUR CONTINUELLEMENT, CHER AMI(E).
Car le sexe te décevra, l'argent aussi, la famille également, les possessions matérielles bien évidemment, avoir une belle carrière ne t'aidera pas à avoir le bonheur intérieur, etc. …
En effet, tant que tu cherches le bonheur profond intérieur en dehors de ton Créateur, tu révèles que tu as besoin de réaliser par la déception, les échecs et les désillusions, qu'il n'existe aucun véritable bonheur, si ce n'est dans le fait d'être uni en permanence avec le Créateur lui-même, cher ami(e).
À chacun d'arriver en son temps et à son rythme à sa propre conclusion de vie.
Car j'expérimente personnellement aujourd'hui, que je peux jouir de la vie, qu'en suivant Dieu continuellement, par l'intermédiaire de ma propre conscience.
Et toi, cher ami(e), quelle est la conclusion à laquelle tu es arrivé aujourd'hui ?
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ebooks-bnr · 1 year
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Dabit Eugène - Train de vies
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Dabit Eugène - Train de vies: Des récits émouvants, des vies simples, des vies de gens ordinaires avec leurs peines et leurs amours, des gens désespérés au courage du quotidien ou qui, comme Monsieur Petitfrère, ont trouvé leur rêve. Comme l’écrit Eugène Dabit dans son Journal en avril 1935, des «Vies, qu’on devine derrière ces murs. Chacun ses joies, ses amours, ses haines. Pauvre troupeau humain, qui n’est pas très conscient de sa servitude.» L’année précédente lors de son séjour en Espagne, où il écrivit plusieurs des nouvelles de ce recueil: «Comment ne pas songer à ces quatre mois si vite écoulés, durant lesquels j’ai travaillé, nagé, vécu heureux? J’ai pu, et je l’ai écrit ici, souhaiter parfois qu’ils s’écoulent vite, appeler je ne sais quel inconnu.» (octobre 1934.) Et enfin, en fin novembre 1935: «J’ai pu travailler davantage que les jours précédents. À ce volume de nouvelles: Vies (premier titre envisagé pour Train de vies). Nouvelles déjà publiées, et que je reprends une à une.» De ces nouvelles, citons Les deux Sœurs dont il écrit en septembre 1934:  «C’est un beau matin, la lumière est douce et calme sur la campagne. Une semaine déjà que je suis à Toledo. Vie agréable, nourrissante. J’ai repris et terminé Les Deux Sœurs Je me propose d’écrire encore une ou deux nouvelles.» Et, pour Monsieur Petitfrère : «Combien j’aime être en mer! À quoi bon dire pourquoi, cela ne se peut dire que dans un poème; cela ne peut s’expliquer sans lieux communs. J’ai fait de mon mieux dans L'Île pour dire cet amour. J’écris une assez longue nouvelle : Monsieur Petitjean, et les soirées passent trop vite, ou se terminent trop tôt.» Elle sera publiée sous le titre «Monsieur Petitfrère» dans Europe du 15 septembre 1935 et reprise dans Train de vies. Fin d’une vie, fut publié dans Marianne le 13 mai 1936 et repris dans Train de vies avec Un homme et un chien. Témoignages conclut le recueil : «J’ai passé presque dix jours sur cet essai que m’a demandé d’écrire Jean Guéhenno pour un n° spécial d’Europe consacré aux années 1914-1934. Essai, c’est beaucoup dire pour une vingtaine de pages de revue. Je les ai écrites avec ardeur, je me suis replongé dans le passé, mon passé. Je n’ai pas cherché à arranger mes souvenirs, si du moins j'ai tenté de m’exprimer avec la plus grande clarté possible. Cela m’a donné, peut-être, quelque idée de ce que pourraient être des Confessions. Que je suis loin de l’aisance et du mouvement dont faisait preuve J.-J. Rousseau ! Je ne puis que reconnaître mon impuissance, et c'est tout; et céder à ma voix intérieure. Ce que j’ai fait.» «Ce texte ressemble à un testament où il explique les raisons qui l’ont poussé à écrire : il y raconte à nouveau son entrée dans la guerre mais il y éclaire différemment le rapport au père et à l’écriture. en devançant l’appel, Dabit choisit son corps et en intégrant un régiment d’artillerie il a «plus de chances qu’un fantassin de sauver peau» mais, en 1917, «le groupe monta prendre position dans le secteur du chemin des dames, à Oulches». Il découvre une horreur qui le conduira à faire une tentative de suicide – comme le suggérait déjà le roman Petit-Louis quelques années auparavant.» (Jean-Luc Martinet,  Origine de l’écriture et origine sociale : La figure du père chez Eugène Dabit in Anne Mathieu et François Ouellet (dir.), Journalisme et littérature dans la gauche des années 1930, Rennes, Presses universitaires de Rennes 2014, p. 165-175, Open Edition, 2019.) Téléchargements : ePUB - PDF - PDF (Petits Écrans) - Kindle-MOBI - HTML - DOC/ODT Read the full article
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Touchée par la grâce
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Comment ne pas bénir le Seigneur de tout qu'il fait pour moi actuellement ?
"Et quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle." (Matthieu 19.29)
J'ai eu une année difficile. Burn-out au travail, décès d'une collègue, problèmes de peau qui durent des mois et m'empêchent de vivre convenablement ma vie, crises, émotions, otite et douleurs aux oreilles pendant un mois, surcharge au travail, surcharge, surcharge, surcharge.
Je me suis plainte. Beaucoup.
Mais s'il y a une chose à laquelle j'ai essayé, essayé de m'accrocher, malgré les tentations, le Diable, les écarts, c'est Jésus. Gloire à lui, gloire à Dieu qui ne m'a jamais abandonnée.
Je peux affirmer sans orgueil que j'ai été obéissante quand il me demandait certaines choses, j'ai obéi, et malgré toutes ces chutes et les moments où j'ai mis du temps, j'ai attrapé la main qu'il me tendait, même si parfois cela était difficile, car mon moi antérieur a refusé longtemps de lâcher certaines habitudes.
Je suis allée à la Maison de l'Espérance, j'ai témoigné, j'ai assisté aux cultes, j'ai prêché moi-même la parole, j'ai accepté de revoir certaines pensées, certaines habitudes de vie. J'ai lu et écouté la parole (même en anglais!), j'ai médité, prié, réalisé une vidéo, un blog, écrit, même si je me repens de ne pas l'avoir fait autant et aussi consciencieusement que je l'aurais voulu. J'ai conservé ma communication et ma communion avec Christ dans les bons comme dans les mauvais moments. J'ai accepté qu'il m'aide à dépasser mon esprit de timidité.
Aujourd'hui, cette année scolaire difficile est terminée, j'emménage avec l'homme de ma vie, chair de ma chair, je vais voyager pour retrouver mes proches (je vais pouvoir assister au mariage de mon dernier oncle !), je vais aussi voyager pour découvrir une nouvelle culture et un nouveau continent, la direction de mon établissement a accepté contre toute attente d'alléger mon emploi du temps, et, je suis entrée dans cette nouvelle vie en Christ par mon baptême ce matin. "Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu" (Romains 8.28)
Comment ne pas louer Dieu, comment ne pas le suivre ? Comment pouvez-vous encore ne pas croire qu'il pourvoie ? Qu'il étend sa main, qu'il accorde sa grâce, que toutes choses concourent au bien de ceux qui l'aiment ? Qu'il apporte la provision et même, qu'il rend au centuple ? Et ce n'est pas terminé ! Oh ce n'est pas terminé, j'ai un feu en moi qui brûle d'amour, d'amour pour Jésus Christ, qui m'a sauvée, et qui maintenant va me transformer à jamais ! Je désire plus que tout rester dans la Lumière, être ce témoignage vivant qu'il m'a changée, pour une vie bien meilleure, plus grande, plus belle. J'ai hâte de commencer cette vie, mais je sais aussi être patiente, comme il me l'enseigne. De grandes choses arrivent.
Je te bénis Seigneur pour ce que tu as fait, ce que tu fais, et ce que tu feras de moi. A toi soit toute la gloire. Toute la gloire. Mon obéissance n'est que le fruit de ton amour, j'ai foi parce que tu m'aimes.
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si je puis me permettre, commençons par une blague. lol. c’est marrant. dernièrement j’ai constaté que j’étais capable de me montrer plus vulnérable dans ma façon d’interagir avec ce qui m’entoure.
c’est quelque chose que j’avais énormément de mal à honorer parce que j’ai pris pour habitude de toujours être dans l’anticipation et la validation d’autrui mais surtout dans l’incertitude et le déni des lois qui semblent régir ce monde.
dans ma foulée, je n’accordais pas de temps à la complexité et au contexte des émotions qui me traversaient.
mon intégr(al)ité.
j’ai été à la merci de solutionner le sentiment d’inadéquation qui m’habitait puisque je pensais en être responsable. j’ai cherché des réponses à l’extérieur de moi-même puisque c’est ce qu’on m’a toujours appris ici.
ça m’aura valu — pour le pire, entre autre — de la maltraitance, des amitiés brisées, des amours sous condition, des besoins réprimés, du mépris, des abus, de la condescendance, des abandons, des rejets, des désillusions, des silences et du harcèlement.
tout cela sans que je comprenne la place donnée à mes ancêtres, à ma descendance et par conséquent, celle que je me suis donnée à moi-même.
mon irrespect personnel m’a rendue pressée dans une course régie par des institutions sans visage. le souffle coupé, j’étais animée par une énergie incontestable qui ne trouvait pas sa place malgré son existence.
par bienveillance — j’imagine — mon corps a décidé de m’alarmer en me faisant payer le prix de mon sacrifice avec une pathologie à ce jour non-identifiée qui me contraint à des douleurs chroniques et des symptômes de l’ordre dépressif. j’ai pris conscience que mon ressentiment était devenu débilitant — j’adore ce mot lol — mais aussi qu’il était tout à fait en accord avec ce que j’avais subi.
de là s’en est suivi un suivi médico-social et administratif assidu et problématique. je me suis consacrée en parallèle à une multitude de recherches dans les domaines de la psychologie, de la douleur, du traumatisme, de l’anatomie, de l’Histoire (askip), de la sociologie et de l’occulte — en gros. toutes ces choses sont pour moi intrinsèquement liée à la condition humaine.
à ce jour, je suis toujours souffrante, en colère et en cavale malgré les ‘soins’ que j’ai suivi depuis 2017. mon intention reste également inchangée ; je souhaiterais que mon corps et ma pensée accompagnent mon témoignage et ma réalité comme l’ont fait/le font beaucoup d’autres personnes, dans l’abondance.
je ne sais pas comment les remercier pour la force vitale qu’ils incarnent jusqu’à présent si ce n’est en m’autorisant — en toute conscience — à suivre le passage qu’ils ont dégagé. je ne sais pas si ça parviendra à me guérir mais je pense bien me le devoir.
je pense également avoir pris du recul et mieux compris le sens de la violence des propos tenus sur mes investigations créatives par des inconnus, des proches et/ou moi-même dans mes moments auto-destructifs : « insignifiants », « vu et revu », « narcissiques » ou « je comprends pas qui ça intéresse de regarder ça », « la vie n’est pas un clip de r&b 90s » et j’en passe.
mes partages ont commencé dès que j’ai pu avoir accès à internet. c’est en faisant un travail d’archivage et de partage que je me suis rendu compte de ce qui m’a toujours importé.
mon intégr(al)ité.
pour faire valoir ce que de droit, je dédie ce texte à mes amis, à mes inspirations, à mes amours, à mes soutiens et à mes emmerdes. j’espère que vous vous reconnaîtrez puisque vous méritez.
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omagazineparis · 6 months
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Témoignage : " Mon histoire avec le pervers narcissique "
On appelle pervers narcissique, une personne qui, de par un comportement toxique, nuit consciemment ou non, à la santé mentale et physique de l’autre. Son but ultime est d’exercer une emprise sur sa victime. La seule solution est le départ. Entre violences psychologiques et violences physiques, la relation avec un PN est destructrice et peut engendrer de graves traumatismes. On peut retrouver les pervers narcissiques partout. Au travail, en amitié, en famille et le plus souvent, dans les relations de couple. C’est le cas de Lela, qui pour sensibiliser et aider les lecteurs dans cette situation, nous raconte l'enfer qu’elle a vécu. « Quand j'ai rencontré Benoit, j'avais 23 ans et j'étais pleine de vie. Une fille solaire, qui riait sans arrêt. Je me souviens m'être dit qu'il avait tout d'un prince charmant. Dès le premier rendez-vous, Oh des macarons, une jolie attention. Je me suis lancée dans cette histoire naïvement. Tout de suite, Benoit a sorti son jeu : Full aux Rois par les 9. Monsieur se joue roi de cœur, m’enveloppant de son charme fou, son visage angélique, et sa chaleur. J’étais loin d’imaginer sa véritable froideur. Trop rapidement, Benoit veut s’installer. Chaque jour un peu plus je me sentais étouffer, monsieur ne voulait plus me lâcher, mais il le répétait sans cesse, il voulait juste m’aimer ! Et lorsque je tentais un peu de m’éloigner pour respirer, il jouait le grand blessé. Me laissant penser qu’un jour enfin, je serai digne de son amour. « Toi là, donne-moi ta main, donne-moi ton bras, tu es à moi, rien qu’à moi. Tu es l’unique, je t’ai choisi. Maintenant nous sommes en couple, on est deux, mais on ne fait qu’un. Tu es à moi, tu es à moi... » Les mois passaient, je me livrais, bientôt il me connaîtrait sur le bout des doigts, comme une petite sérénade dans sa tête qu’il jouerait en mode repeat. Au début il avait l’air sensible, je pensais devoir peser tous mes mots pour ne pas blesser son égo. Après tout, chacun ses défauts. D’abord adorable, puis susceptible et exécrable. Moi qui aimais tant rire, je n’en avais plus la liberté, de peur de le braquer. Le pervers narcissique alternait entre fusion et destruction Benoit pouvait bouder pendant des heures si par malheur je n’avais pas répondu correctement, fait une blague de mauvais goût, ou encore mal nettoyé ses effets personnels. Il mesurait parfois même mon amour pour lui à la quantité de poussière oubliée sur sa console de jeux. C'était sur-réaliste, c'était pervers, c'était narcissique. Doucement, insidieusement, il a pris la place du chef. Il dirigeait, je pliais. Pour ne pas le contrarier je disais oui, je patientais même pendant ses longs silences. Quand je parvenais enfin à le faire parler, Benoit savait renverser la vapeur, m’accabler et me désigner coupable de tous ses maux. C’est ainsi qu’il gagnait, en me désarçonnant, j’étais à bout. Après la pluie, vient toujours le beau temps. Hélas pour moi, cela ne durait jamais assez. Je ne comprenais pas. Il usait avec adresse d'un mécanisme alterné, alternant tous mes sens. Une claque, une caresse, une claque, une caresse... Ce genre de relation basée sur les rapports de force, je n’en avais jamais voulu. En public, Benoit était le plus souriant et sympathique des amants. Lorsqu’il sortait, il mettait son plus beau masque, et même dans le miroir, il arrivait à se convaincre. C’était moi le problème, moi qui le rendais comme ça. Ma réputation de fille de caractère m’a porté préjudice. Qui voudrait croire qu’une femme aussi forte et explosive que moi, serait la victime d’un bourreau ? En vérité, il avait peur de moi, de ma force, de mon assurance. Lui plus que tout autre masquait son manque de confiance en me rabaissant toujours plus bas. Pour nos amis, il était la perfection incarnée. Le calme, la sagesse, l’humour… Dans l'intimité, fatigué d’avoir tenu un rôle face aux autres, il redevenait lui-même. Le masque finissait toujours par tomber, et le pervers par se montrer. Et chaque nuit après m’avoir utilisé comme un jouet, avec grâce il me critiquait insidieusement. https://www.youtube.com/watch?v=YvI8KVFi_sg&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ De longs mois sont passés, je n’avais plus aucune estime de moi-même. Sournoisement il m’avait mordu jusqu’au sang, son venin s’était propagé en moi et l’épuisement de tant de manipulation, avait pris le dessus sur ma raison. Dans mes nuits d’insomnie, les phrases de mon Roi de cœur tournaient en rond. « Tu es grosse, tu n'es pas magnifique ». Pourtant, j’étais si maigre qu’on pouvait même apercevoir les os de ma colonne. Le pervers narcissique avait réussi à modifier ma propre perception. Nuit et jour, le Roi Benoit était insupportable, sa langue se déliait et ses mots étaient un feu dévorant. Il se délectait à me faire souffrir et à me voir m’éteindre. Je n’étais qu’un pion, j'étais SON pion. Autrefois forte et pétillante, aujourd’hui froide, je ressemblais à une morte-vivante. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Je ne souriais plus, j'étais triste et de plus en plus maigre. L’inquiétude de mes proches n’y faisait rien. Je ne voulais plus rester, mais partir m’était impossible. J'avais peur, que ferais-je sans lui ? Les mois passaient, il y’avait des instants moins sombres. Benoit caressait et claquait. Au sens figuré d’abord puis au sens propre. Il m’humiliait, m'insultait, me poussait et me frappait. Ce n’était pas sa faute vous comprenez. En pleure, il s’excusait, criant que j’étais sa seule source de bonheur. On m’a enseigné le pardon, et il se savait. Alors je pardonnais et le réconfortais même. Le voyant pleurer comme un crocodile qui aurait mangé sa queue, me sentir coupable rendait cela insoutenable. Je crois que je voulais l’aider, même s’il me mordait toujours plus fort. Il avait le pouvoir et le contrôle. Me faire rire ou pleurer au grès de ses humeurs, de ses envies. Parfois salaces, souvent dégueulasses. Il y avait là-dessous, un besoin de tuer pour se sentir exister. Le propre d'un pervers narcissique. A lire également : Retrouvez son propre équilibre Ce n’était pas seulement un problème de violence. C’était encore pire que ça, il voulait me dominer. Et puis un jour, tentant de me détendre dans un bain, pour mettre de l’ordre dans mes pensées, il m'a envoyé un verre d’eau glacée en pleine figure. Immobile, ne comprenant pas ce qu’il venait de se produire, je suis restée immobile durant plusieurs minutes. Et silencieusement, j’ai rassemblé mon courage en nouant autour de ma taille mon peignoir et suis sortie de la salle de bain. Il était assis sur sa chaise, puis me voyant passer devant lui, m’a jeté son briquet en peine figure avant de me jeter au sol pour me passer à tabac. https://www.youtube.com/watch?v=MYDpq_ivst0&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ En boule par terre, protégeant mon visage, je ne suppliais pas. Il restait silencieux, robotisé, continuant sa crise de folie, exécutant des gestes presque machinalement, son regard pervers m'avait glacé le sang. En pleine conscience, les secondes paraissent des heures. J’ai laissé les choses se faire, décidant et me jurant que ce serait la dernière. Je suis partie. J'ai tout quitté, et j'ai enfin respiré. C’était il y a deux ans le jour où, profitant de son absence, je suis partie. J’ai décidé de sauver ma peau, luttant pour ne plus être sa chose. Aujourd'hui, j'ai réappris à vivre même si j'avoue que je ne comprends pas encore comment j’ai pu m’infliger ça. La culpabilité est un sentiment qui m’a longtemps empêchée de me rendre disponible à l’amour, car j'étais terrorisée de vivre cela une fois encore. Avec l'aide de mes proches et d'un thérapeute, j'ai pris mon temps et j'ai compris pourquoi ce monstre m'avait choisi. Aujourd'hui je suis libérée de cette emprise, j'aime et je vis.» Pour en savoir plus sur les pervers narcissiques, le livre de Jean-Charles Bouchoux dispo ici, ou celui de Marie-France Hirigoyen: Femmes sous emprise, "Les ressorts de la violence dans le couple" Nota Bene : Pour lever toute confusion, seul un psychologue/psychiatre est apte à diagnostiquer un profil de pervers narcissique. Il s'agit là d'un trouble de la personnalité sérieux. Read the full article
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soitamespieds · 1 year
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Elle Donne les Ordres, Je Donne le Plaisir
Camille et Marc se sont rencontrés lors d'une soirée entre amis. Tout deux étaient attirés par la simplicité et l'authenticité de l'autre. Leur amour a grandi naturellement, et ils ont rapidement décidé d'embarquer ensemble dans l'aventure d'une vie commune.
Au début de leur relation, ils suivaient une dynamique plutôt traditionnelle. Camille s'occupait de la maison pendant que Marc, plus souvent à l'extérieur pour le travail, assumait le rôle de principal soutien financier. Cependant, au fil des années, Camille gravit les échelons de sa carrière, devenant une figure influente dans son domaine. Elle avait non seulement une excellente vision stratégique mais aussi un don pour prendre des décisions équilibrées et judicieuses.
Marc, de son côté, ressentait une certaine lassitude de la pression constante de son travail. Il commença à explorer ses passions, notamment la cuisine et l'art. Il découvrit qu'il trouvait énormément de plaisir à chouchouter Camille, à la surprendre avec des plats exquis et à créer un environnement chaleureux à la maison.
Un soir, lors d'une discussion profonde sur l'avenir et leurs aspirations, Camille mentionna l'idée d'une relation dirigée par une femme (FLR). Elle ne l'avait jamais envisagée auparavant, mais le concept semblait curieusement adapté à l'évolution naturelle de leur relation. Marc, avec une ouverture d'esprit et une curiosité toujours présente, accepta d'explorer cette dynamique.
La transition ne fut pas immédiate. Ils ont dû naviguer à travers leurs propres insécurités, leurs peurs, et les stéréotypes de la société. Toutefois, un mantra est né de leurs discussions: "Elle donne les ordres, je donne le plaisir". Pour Camille, cela signifiait qu'elle pouvait guider leur relation en se basant sur sa clairvoyance et son intuition. Pour Marc, cela signifiait qu'il avait l'opportunité de trouver sa propre force en apportant du plaisir et du confort dans la vie de Camille.
Camille trouva une certaine liberté dans cette nouvelle dynamique. Elle se sentait épanouie, sachant que Marc était à ses côtés, non pas comme un suiveur, mais comme un partenaire qui célébrait son leadership. Marc, quant à lui, découvrit une profonde satisfaction en se consacrant au bien-être de Camille, trouvant du plaisir dans les moindres détails, des surprises romantiques aux moments intimes partagés.
Leur famille et leurs amis furent surpris par ce changement, certains sceptiques, d'autres admiratifs. Cependant, pour Camille et Marc, la dynamique FLR n'était pas un jeu de pouvoir, mais une exploration sincère de leurs forces individuelles.
Leur histoire est un témoignage que l'amour n'a pas de forme unique. Chaque couple peut définir sa propre dynamique, en harmonie avec leurs désirs, leurs aspirations et leur croissance personnelle. Pour Camille et Marc, "Elle donne les ordres, je donne le plaisir" n'était pas seulement un mantra, c'était le reflet d'une relation basée sur le respect, la confiance et l'admiration mutuelle.
Elle Donne les Ordres, Je Donne le Plaisir : Dynamique d'une Relation Dirigée par une Femme
Dans le vaste univers des relations, une multitude de dynamiques existe. Des plus traditionnelles aux plus modernes, chaque couple établit un rythme en harmonie avec leurs personnalités individuelles. Parmi ces dynamiques se trouve la relation dirigée par une femme (FLR), où les rôles traditionnels sont souvent inversés ou réarrangés, sculptant un espace unique de respect et de compréhension mutuels. Au cœur de cette dynamique, on retrouve souvent un mantra : "Elle donne les ordres, je donne le plaisir".
À première vue, cela peut sembler être un simple échange de rôles, mais sous la surface, c'est bien plus complexe.
Elle Donne les Ordres
Une FLR est définie non pas par la dominance, mais par le leadership. La femme dans une telle relation prend le rôle principal dans la prise de décision. Ce n'est pas une question de supériorité, mais de confiance. L'homme fait confiance à son jugement, à sa sagesse et à son intuition. Elle peut déterminer la stratégie financière du foyer, prendre des décisions majeures dans la vie ou même établir certaines règles ou limites dans la relation.
Mais soyons clairs, son rôle n'est pas d'imposer une dictature. Il s'agit de naviguer le navire de la relation à travers l'immense océan de la vie, en évitant les tempêtes et en s'assurant que tous deux atteignent le havre désiré. L'homme n'est pas rendu impuissant ou sans voix; il lui a confié ce leadership, trouvant solace dans sa capacité.
Je Donne le Plaisir
Ceci ne fait pas uniquement référence au physique. Le plaisir, dans ce contexte, est multifacette. Il fait référence à la satisfaction émotionnelle, mentale et physique. L'objectif principal de l'homme est de garantir son bonheur, son bien-être et sa satisfaction. Cette dévotion ne le diminue pas mais l'empower. Sa force est démontrée par sa capacité à la comprendre, à répondre à ses besoins et à ses désirs. En faisant cela, il trouve souvent sa propre réalisation.
Le plaisir est une symphonie d'actes - de la compréhension de ses émotions, du soutien à ses ambitions, aux moments intimes partagés. Il s'agit de créer un espace de confort absolu et de s'assurer qu'elle se sent valorisée, chérie et adorée.
Croissance et Compréhension Mutuelles
Une FLR, comme toute autre relation, prospère sur le respect et la compréhension mutuels. "Elle donne les ordres, je donne le plaisir" ne signifie pas qu'un côté a le dessus. Il s'agit de jouer selon les forces de chacun, de comprendre les rôles de l'autre et de grandir ensemble en tant que partenaires.
Dans la société, cette dynamique peut défier les normes relationnelles conventionnelles. Mais l'amour n'est pas confiné par la convention. Il est défini par les personnes impliquées et la joie qu'elles en tirent. Pour ceux dans une relation dirigée par une femme, cette dynamique unique offre un espace où les deux peuvent s'épanouir, guidés par la confiance et l'admiration mutuelle.
En conclusion, une FLR n'est pas un défi aux normes, mais un témoignage de la polyvalence de l'amour et des relations. Dans un monde en constante évolution, les relations s'adaptent également, trouvant de nouvelles façons d'exprimer l'amour, la confiance et l'engagement.
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christophe76460 · 1 month
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L’affection fraternelle pratique
Je supplie Évodie, et je supplie Syntyche, d’avoir une même pensée dans le Seigneur. Philippiens 4:2
Le Seigneur avait produit un grand travail spirituel à Philippes. Paul et Silas y avaient servi et souffert fidèlement pour l’évangile. Les saints de l’assemblée marchaient pieusement avec le Seigneur ; ils avaient encouragé plusieurs fois l’apôtre Paul en lui envoyant, pour ses besoins matériels, un témoignage de leur amour.
Satan avait en horreur la prospérité spirituelle des Philippiens et le témoignage produit par l’amour qu’ils avaient les uns pour les autres. Il réussit à amener deux sœurs à diverger d’opinion probablement sur quelque point de détail. Mais cette différence les avait mises suffisamment en conflit pour que l’apôtre intervienne. Dans sa sagesse souveraine, le Seigneur a utilisé cette difficulté pour nous faire connaître à tous sa pensée dans de telles circonstances. Les deux sœurs devaient régler leur divergence et les frères devaient les y aider (Philippiens 4:3). Paul, dans les versets 4 à 9 du chapitre 2 avait invité les Philippiens à avoir la même pensée d’humilité que le Seigneur avait montré dans son service. Dans le Seigneur jésus, il n’y avait aucune trace d’orgueil ou d’esprit de supériorité ; il n’était pas venu pour être servi mais pour servir et donner sa vie pour les autres à la croix.
Nous sommes portés à penser que ces sœurs se sont repenties de leur désaccord et se sont retrouvées unies à nouveau devant le Seigneur. Cependant, qu’en est-il parmi nous ? Est-ce que, dans nos assemblées locales, nous laissons des divergences mineures empoisonner nos relations fraternelles ? Cherchons-nous à aider ceux qui sont en désaccord ?
Souvenons-nous que pour éviter de tels antagonismes, le vrai remède réside dans l’exhortation du chapitre 2 (Philippiens 2:5) : « Qu’il y ait donc en vous cette pensée qui a été aussi dans le Christ Jésus » : c’est-à-dire montrons cette disposition de cœur : servir dans l’humilité comme le Seigneur l’a fait si parfaitement ici-bas. Nous mettrons ainsi de côté nos susceptibilités au profit de la paix, de la communion fraternelle et de la joie partagée dans le Seigneur.
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yes-bernie-stuff · 3 months
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« Les Hellénistes murmurèrent contre les Hébreux, parce que leurs veuves étaient négligées… » (Actes 6:1)
Alors que l’Église est en pleine expansion, un conflit interne va porter un coup de frein à l’extension du Royaume. Heureusement que les apôtres vont réagir de manière spirituelle tout en réorganisant le fonctionnement de l’Église, et la conséquence en est une croissance renouvelée.
L’un des problèmes que les Églises rencontrent et qui freine leur service d’évangélisation, ce sont les querelles intestines. Les conflits d’intérêts personnels, et le manque de bonnes initiatives organisationnelles peuvent freiner le travail de témoignage des Églises.
Dans Actes 15:1, il nous est dit que certains judéo-chrétiens enseignaient l’importance de pratiquer le rite de la circoncision. Les querelles théologiques qui se sont manifestées tout au long de l'histoire de l'Église ont été autant de freins à l'évangélisation des nations.
Dans Actes 15:36-39, il nous est rapporté un conflit qui va éclater entre deux apôtres : Paul et Barnabas. Les désaccords entre serviteurs sont des freins à l’œuvre de l’Église. Cela s'est déjà produit et se produira encore. Il est à noter que cette tension va aussi être une occasion de multiplier le travail en ayant deux équipes missionnaires au lieu d’une seule, parce que chacun admet le service de l’autre.
Paul nous parle de toutes les oppositions qu'il a dû affronter en tant que serviteur de Jésus : « fouetté, jeté en prison, en danger de mort, lapidé, naufragé, en péril sur les eaux, en péril parmi les brigands, en péril parmi ceux de sa nation, en péril parmi les gentils, en péril dans les villes où dans les déserts, en péril parmi les faux frères, ayant connu la soif, la faim, le froid, la nudité… » (2 Corinthiens 11:23-27).
« Seigneur, derrière toute opposition, toute manifestation de faiblesse humaine, toute lutte d'opinion, il y a l'action du prince des ténèbres qui veut empêcher le travail efficace de l’Église. Nous prions pour que chaque Église triomphe de ces pièges et accomplisse efficacement son service de témoignage dans le monde ! Au nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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