#amour au travail témoignages
Explore tagged Tumblr posts
Text
NOTE DE LECTURE : La chair est triste hélas. Ovidie. 2023
Un livre coup de poing pour continuer à découvrir la littérature féministe. Je ne connais pas Ovidie autrement que par sa réputation sulfureuse d'ancienne star du porno, mais surtout pour ses derniers travaux et engagements féministes. C'est donc avec curiosité que je me suis procurée ce bouquin témoignage d'années d'abstinence et de son analyse de comment en être arrivée là. Et puis il y a ce titre "La chair est triste hélas" tiré d'un poème de Mallarmé dont je me souviens encore des premiers vers.
Un livre coup de poing, disais-je, puisque la violence du propos est tout d'abord insupportable, jusqu'à la nausée. Et puis le souvenir de mon propre vécu dans mes relations de couple, de ce rapport de force inévitable entre amour et mort. Violence physique avec les rapports sexuels non consentis / viols ordinaires et objectification du corps féminin, violence psychologique avec les rapports humiliants de soumission / dépendance au regard de l'autre mâle et assujettissement de l'esprit féminin à son désir à lui.
Un livre coup de coeur, finalement, puisque nous sommes de la même génération et que je partage sa position quant au féminisme dont je ne me revendiquais pas jusqu'à présent, mais qui fait tellement écho à mon ressenti de femme, aux thèmes qui me travaillent depuis toujours : féminité, identité, sexualité, et à la paix que j'ai trouvée depuis que je suis seule et libre, autonome et indépendante.
Merci à Ovidie et toutes les autrices qui nous accompagnent dans la démarche et sur le chemin, puisque je n'ai pas encore lu tous les livres...
29 notes
·
View notes
Text
L'architecture tout un art !
Du 13 au 15 octobre ont lieu les journées de l’architecture. Elles visent à mettre en lumière l’importance de l’architecture dans la vie de tous les jours, mais aussi comme témoin du passé et tremplin vers le futur.
L’architecture entre art et réalité
J’ai entendu à la radio un truc qui m’a fait tiquer, dit Gaétan. Le journaliste a déclaré que le gouvernement veut faire naître des vocations au cours des journées de l’architecture.
Qu’est-ce que ça a de choquant ? demande Inès.
Moi, « une journée de » est l’occasion de mettre en lumière les enjeux et spécificités d’un domaine, d’une pathologie, d’une pratique culturelle et sportive. C’est aussi mon point de vue dit Inès, mais je ne vois pas bien en quoi cela gêne la naissance d’un intérêt pour un zp sais, vocation est un terme positif qui renvoie cette à une notion de travail, mais en corrélation avec le plaisir et le sentiment d’être à sa place. Je trouve ça plutôt heureux, moi.
C’est vrai que je ne l’avais pas vu sous cet angle. Je pense que je suis trop dans l’idéalisation et que le mot architecture renvoie systématiquement chez moi à l’amour des vieilles pierres.
L’architecture, une séparation illusoire
- Architecture et amour des vieilles pierres sont évidemment intimement liés et nombre de nos contemporains séparent l’architecture artistique ou culturelle liée à des constructions anciennes et l’architecture moderne dont le seul but serait de construire des pavillons et des supermarchés. La réalité est comme souvent bien plus complexe que cela. Le métier d’architecte est toujours aussi riche et peut-être même encore plus.
- Que veux-tu dire par là, Inès ? la questionne Gaëtan.
- L’architecture moderne a pour mission de construire des bâtiments publics, des maisons individuelles, des immeubles et des centres commerciaux, entre autres points. On lui demande en outre de prendre en considération des contraintes environnementales et de s’adapter à de nouveaux matériaux de construction. L’architecte peut être amené à concevoir un édifice qui prend corps au sein d’un édifice plus ancien qui crée un pont entre deux édifices existants. Si je te comprends bien, l’architecture est à la fois un métier et un art. Elle doit s’adapter sans cesse à de nouvelles normes et contraintes et en même temps traduire des réalités en langage universel.
- Tu essaies d’expliquer des choses simples avec un langage alambiqué. Je rêve, s’exclame Inès.
L’architecture, un témoignage du passé
- Excuse-moi, j’ai dit les choses telles qu’elles me venaient.
- Ouais, mais fait le tri la prochaine fois.
- Ce que j’ai voulu dire, c’est que l’architecture est comme un pont historique qui s’ancre dans le passé pour nous ouvrir la porte de l’avenir.
- C’est joliment dit et c’est une partie de la vérité. L’architecture est une discipline complexe qui a beaucoup d'impacts sur notre vie quotidienne. Elle structure nos villes et nos maisons, traduit l’identité culturelle d’un pays ou d’une région (Longère en Normandie ou maison à colombages en Alsace). Elle est aussi utilisée pour fluidifier les déplacements et améliorer le confort. Certaines initiatives s’en servent pour améliorer les liens sociaux.
- Tout ça méritait bien des journées, s’enthousiasme Gaëtan.
Et toi pour ces journées, tu vises plutôt l’architecture historique ou la version plus moderne ? Réponse souhaitée en commentaire. Merci.
8 notes
·
View notes
Text
Témoignage : " Mon histoire avec le pervers narcissique "
On appelle pervers narcissique, une personne qui, de par un comportement toxique, nuit consciemment ou non, à la santé mentale et physique de l’autre. Son but ultime est d’exercer une emprise sur sa victime. La seule solution est le départ. Entre violences psychologiques et violences physiques, la relation avec un PN est destructrice et peut engendrer de graves traumatismes. On peut retrouver les pervers narcissiques partout. Au travail, en amitié, en famille et le plus souvent, dans les relations de couple. C’est le cas de Lela, qui pour sensibiliser et aider les lecteurs dans cette situation, nous raconte l'enfer qu’elle a vécu. « Quand j'ai rencontré Benoit, j'avais 23 ans et j'étais pleine de vie. Une fille solaire, qui riait sans arrêt. Je me souviens m'être dit qu'il avait tout d'un prince charmant. Dès le premier rendez-vous, Oh des macarons, une jolie attention. Je me suis lancée dans cette histoire naïvement. Tout de suite, Benoit a sorti son jeu : Full aux Rois par les 9. Monsieur se joue roi de cœur, m’enveloppant de son charme fou, son visage angélique, et sa chaleur. J’étais loin d’imaginer sa véritable froideur. Trop rapidement, Benoit veut s’installer. Chaque jour un peu plus je me sentais étouffer, monsieur ne voulait plus me lâcher, mais il le répétait sans cesse, il voulait juste m’aimer ! Et lorsque je tentais un peu de m’éloigner pour respirer, il jouait le grand blessé. Me laissant penser qu’un jour enfin, je serai digne de son amour. « Toi là, donne-moi ta main, donne-moi ton bras, tu es à moi, rien qu’à moi. Tu es l’unique, je t’ai choisi. Maintenant nous sommes en couple, on est deux, mais on ne fait qu’un. Tu es à moi, tu es à moi... » Les mois passaient, je me livrais, bientôt il me connaîtrait sur le bout des doigts, comme une petite sérénade dans sa tête qu’il jouerait en mode repeat. Au début il avait l’air sensible, je pensais devoir peser tous mes mots pour ne pas blesser son égo. Après tout, chacun ses défauts. D’abord adorable, puis susceptible et exécrable. Moi qui aimais tant rire, je n’en avais plus la liberté, de peur de le braquer. Le pervers narcissique alternait entre fusion et destruction Benoit pouvait bouder pendant des heures si par malheur je n’avais pas répondu correctement, fait une blague de mauvais goût, ou encore mal nettoyé ses effets personnels. Il mesurait parfois même mon amour pour lui à la quantité de poussière oubliée sur sa console de jeux. C'était sur-réaliste, c'était pervers, c'était narcissique. Doucement, insidieusement, il a pris la place du chef. Il dirigeait, je pliais. Pour ne pas le contrarier je disais oui, je patientais même pendant ses longs silences. Quand je parvenais enfin à le faire parler, Benoit savait renverser la vapeur, m’accabler et me désigner coupable de tous ses maux. C’est ainsi qu’il gagnait, en me désarçonnant, j’étais à bout. Après la pluie, vient toujours le beau temps. Hélas pour moi, cela ne durait jamais assez. Je ne comprenais pas. Il usait avec adresse d'un mécanisme alterné, alternant tous mes sens. Une claque, une caresse, une claque, une caresse... Ce genre de relation basée sur les rapports de force, je n’en avais jamais voulu. En public, Benoit était le plus souriant et sympathique des amants. Lorsqu’il sortait, il mettait son plus beau masque, et même dans le miroir, il arrivait à se convaincre. C’était moi le problème, moi qui le rendais comme ça. Ma réputation de fille de caractère m’a porté préjudice. Qui voudrait croire qu’une femme aussi forte et explosive que moi, serait la victime d’un bourreau ? En vérité, il avait peur de moi, de ma force, de mon assurance. Lui plus que tout autre masquait son manque de confiance en me rabaissant toujours plus bas. Pour nos amis, il était la perfection incarnée. Le calme, la sagesse, l’humour… Dans l'intimité, fatigué d’avoir tenu un rôle face aux autres, il redevenait lui-même. Le masque finissait toujours par tomber, et le pervers par se montrer. Et chaque nuit après m’avoir utilisé comme un jouet, avec grâce il me critiquait insidieusement. https://www.youtube.com/watch?v=YvI8KVFi_sg&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ De longs mois sont passés, je n’avais plus aucune estime de moi-même. Sournoisement il m’avait mordu jusqu’au sang, son venin s’était propagé en moi et l’épuisement de tant de manipulation, avait pris le dessus sur ma raison. Dans mes nuits d’insomnie, les phrases de mon Roi de cœur tournaient en rond. « Tu es grosse, tu n'es pas magnifique ». Pourtant, j’étais si maigre qu’on pouvait même apercevoir les os de ma colonne. Le pervers narcissique avait réussi à modifier ma propre perception. Nuit et jour, le Roi Benoit était insupportable, sa langue se déliait et ses mots étaient un feu dévorant. Il se délectait à me faire souffrir et à me voir m’éteindre. Je n’étais qu’un pion, j'étais SON pion. Autrefois forte et pétillante, aujourd’hui froide, je ressemblais à une morte-vivante. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Je ne souriais plus, j'étais triste et de plus en plus maigre. L’inquiétude de mes proches n’y faisait rien. Je ne voulais plus rester, mais partir m’était impossible. J'avais peur, que ferais-je sans lui ? Les mois passaient, il y’avait des instants moins sombres. Benoit caressait et claquait. Au sens figuré d’abord puis au sens propre. Il m’humiliait, m'insultait, me poussait et me frappait. Ce n’était pas sa faute vous comprenez. En pleure, il s’excusait, criant que j’étais sa seule source de bonheur. On m’a enseigné le pardon, et il se savait. Alors je pardonnais et le réconfortais même. Le voyant pleurer comme un crocodile qui aurait mangé sa queue, me sentir coupable rendait cela insoutenable. Je crois que je voulais l’aider, même s’il me mordait toujours plus fort. Il avait le pouvoir et le contrôle. Me faire rire ou pleurer au grès de ses humeurs, de ses envies. Parfois salaces, souvent dégueulasses. Il y avait là-dessous, un besoin de tuer pour se sentir exister. Le propre d'un pervers narcissique. A lire également : Retrouvez son propre équilibre Ce n’était pas seulement un problème de violence. C’était encore pire que ça, il voulait me dominer. Et puis un jour, tentant de me détendre dans un bain, pour mettre de l’ordre dans mes pensées, il m'a envoyé un verre d’eau glacée en pleine figure. Immobile, ne comprenant pas ce qu’il venait de se produire, je suis restée immobile durant plusieurs minutes. Et silencieusement, j’ai rassemblé mon courage en nouant autour de ma taille mon peignoir et suis sortie de la salle de bain. Il était assis sur sa chaise, puis me voyant passer devant lui, m’a jeté son briquet en peine figure avant de me jeter au sol pour me passer à tabac. https://www.youtube.com/watch?v=MYDpq_ivst0&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ En boule par terre, protégeant mon visage, je ne suppliais pas. Il restait silencieux, robotisé, continuant sa crise de folie, exécutant des gestes presque machinalement, son regard pervers m'avait glacé le sang. En pleine conscience, les secondes paraissent des heures. J’ai laissé les choses se faire, décidant et me jurant que ce serait la dernière. Je suis partie. J'ai tout quitté, et j'ai enfin respiré. C’était il y a deux ans le jour où, profitant de son absence, je suis partie. J’ai décidé de sauver ma peau, luttant pour ne plus être sa chose. Aujourd'hui, j'ai réappris à vivre même si j'avoue que je ne comprends pas encore comment j’ai pu m’infliger ça. La culpabilité est un sentiment qui m’a longtemps empêchée de me rendre disponible à l’amour, car j'étais terrorisée de vivre cela une fois encore. Avec l'aide de mes proches et d'un thérapeute, j'ai pris mon temps et j'ai compris pourquoi ce monstre m'avait choisi. Aujourd'hui je suis libérée de cette emprise, j'aime et je vis.» Pour en savoir plus sur les pervers narcissiques, le livre de Jean-Charles Bouchoux dispo ici, ou celui de Marie-France Hirigoyen: Femmes sous emprise, "Les ressorts de la violence dans le couple" Nota Bene : Pour lever toute confusion, seul un psychologue/psychiatre est apte à diagnostiquer un profil de pervers narcissique. Il s'agit là d'un trouble de la personnalité sérieux. Read the full article
2 notes
·
View notes
Text
Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu’il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils. Romains 8. 28, 29
✅ Les outils par lesquels Dieu nous forme
Lorsqu’un morceau de marbre est extrait de la carrière, il est encore impropre à tout usage. Le sculpteur devra travailler longtemps en utilisant de multiples outils pour en tirer une œuvre d’art agréable à regarder.
Ainsi en est-il du croyant. Au moment où Jésus devient son Sauveur, il est semblable à ce bloc informe. Dieu va s’occuper de lui, et par le moyen de divers instruments, le façonner selon son désir. Il se sert de la Bible, sa Parole, pour l’instruire, mais il utilise aussi les circonstances de la vie, et en particulier les épreuves : une maladie, un accident, un échec scolaire, professionnel ou sentimental… Tout est à sa disposition pour cela. Les outils de Dieu font parfois mal, mais n’oublions jamais que c’est sa main qui les manie pour notre bien final.
Ainsi nous savons que rien n’arrive par hasard, que Dieu contrôle tout. Sa toute-puissance et son amour sont en action pour le bien de ses enfants. Quelle tranquillité cela devrait nous donner quand l’épreuve nous assaille !
Et quel est le but que Dieu poursuit ? De même que le sculpteur a devant lui un modèle qu’il s’efforce de reproduire dans la pierre, Dieu a son modèle : son Fils, l’homme parfait. Il veut reproduire en nous ses caractères, nous rendre, comme lui, patients, humbles, sincères, charitables, aimants… et il prend son temps pour produire ce résultat dans votre vie et dans la mienne.
⦁ Samedi 23 novembre 2024
***********************************************************************
Je n’ai pas jugé bon de savoir quoi que ce soit parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. 1 Corinthiens 2. 2
L’ange s’adressa alors aux femmes :… Vous cherchez Jésus, le crucifié ; il n’est pas ici, car il est ressuscité. Matthieu 28. 5, 6
✅ Croix indestructible
Sur la côte chinoise, au sommet d’une colline dominant la région de Macao, une gigantesque cathédrale a été érigée au début du 17e siècle par les Portugais. Mais en 1835 un typhon a provoqué un énorme incendie qui a ravagé cet édifice, ne laissant qu’une façade dominée par une croix. Cette façade est impressionnante, et semble à première vue faire partie d’un bâtiment magnifique, mais en réalité il n’y a plus que le vide derrière ce mur qui s’apparente plus à un décor qu’à un édifice solide.
La mer, souvent orageuse à ce point de la côte, a provoqué de nombreux naufrages, mais la grande croix, facile à repérer, a servi de signal à bien des marins en péril. Elle les a guidés vers le refuge et le salut.
Quelle image saisissante de l’état actuel de la chrétienté que cette cathédrale en ruine ! Ce grand mur décoré pourrait symboliser tout ce que les hommes ont édifié, organisé, hiérarchisé. Si puissante et imposante qu’elle paraisse, cette construction humaine n’est plus qu’une façade. Pourtant il reste ce témoignage d’un fait unique dans l’histoire de l’humanité : une croix sur laquelle est mort le Sauveur du monde. Une croix, visible de tous les naufragés de la vie et qui peut, miracle toujours renouvelé, les conduire au salut.
Tous ceux qui regardent avec foi vers Jésus qui, sur la croix, s’est chargé de leurs péchés et les a expiés, reçoivent un salut éternel. Ils forment l’Église universelle et indestructible que Christ bâtit sur la base de son œuvre à la croix.
⦁ Dimanche 24 novembre 2024
0 notes
Text
Once upon a time...
⌠ 𝐅𝐋𝐀𝐒𝐇 𝐈𝐍𝐅𝐎 :
ㅤㅤㅤ La jeune femme du grand artiste peintre, Kim Kihyun, a été aperçue avec leurs deux filles dans une gare à Séoul, possiblement pour échapper au drame s’étant produit il y a de cela quelques semaines.
ㅤㅤㅤ En effet, Elliott Aspen, la future ex-femme du prisonnier, a été victime de violences conjugales après avoir demandé à son mari un divorce précipité : celui-ci l’aurait trompée et serait la cause d’un divorce. Le jour même, la jeune femme s’était rendue au commissariat afin de porter plainte avec pour preuves les marques qu’elle avait sur le corps.
ㅤㅤㅤ L’homme n’ayant pas supporté la demande de divorce aurait explicitement insulté sa femme et aurait « complètement explosé de colère, devenant physiquement incontrôlable ». Elliott Aspen aurait été « entendu au travers de cris avant un lourd silence », auraient déclaré plusieurs voisins du couple, puisque la jeune femme s’est évanouie sous les coups de son mari.
ㅤㅤㅤ La jeune femme aurait assuré que « leurs deux petites filles, Ryo et Ryn, n’étaient pas présentes lors des actes du mari », et elle confie : « Kihyun était hors de contrôle. Je pense que si mes filles avaient été à la maison, il aurait pu s’en prendre à elles. Je suis soulagée de les avoir déposées à la crèche malgré mon jour de congé. » Elliott Aspen a préféré ne rien dire de plus au sujet de leurs filles.
ㅤㅤㅤ Kim Kihyun a été arrêté à la suite de ces événements et n’a pas jugé bon de prendre un avocat. Il se dit coupable « des fautes commises » et n’essaie pas de se défendre. Plusieurs autres témoignages de jeunes femmes ont été pris : trois de ses ex petites copines disent avoir été victimes de violences conjugales, elles aussi. L’artiste-peintre n’a pas nié, mais n’a pas avoué non plus.
ㅤㅤㅤ Kim Kihyun est donc incarcéré et en attente de son procès qui se déroulera dans la capitale durant la fin de l’année 2024. D’après nos sources, plusieurs de leurs amis, collègues, voisins et membres de leur famille seront appelés à la barre pour témoigner. ⌡
ㅤㅤㅤ
ㅤㅤㅤ Elliott est née à Goyang de père coréen et mère anglaise. Petite fille joyeuse, solaire, pétillante et travailleuse, son quotidien est rapidement devenu calvaire. Enfance heureuse, parents aimants, c’est à l’adolescence qu’elle perd tragiquement sa mère dans un combat contre le cancer. Son père alors devenu alcoolique n’a plus jamais pris soin de son unique enfant, laissant naître là une jeune fille qu’Elliott n’a jamais été et qu’elle n’aurait jamais voulu être. Élève modèle devenue perturbatrice, adolescente turbulente et plus jamais obéissante, à courir des risques énormes pour attirer l’attention de son entourage : sa vie ne fut plus qu’un tas de chaos.
ㅤㅤㅤ Sa rencontre avec Kihyun l’aurait sauvée. Elle, et sa vie. Homme sans danger, compréhensif et patient. D’abord, jeune homme en dernière année avant l’université, le jeune artiste adorait sa jolie petite amie. Il aura pris soin d’elle comme jamais personne ne l’avait fait, pas même sa propre mère. Un instant de pur bonheur, le paradis sur terre, disait-elle souvent à leurs amis. Une bande de treize jeunes élèves, les uns plus admiratifs que les autres. La moitié d’entre eux étaient des artistes à différentes échelles, Kihyun était le peintre de la bande. Tandis qu’elle, Elliott, étudiait le droit. Avocate en devenir, ce n’est qu’après sa deuxième année validée qu’elle laisse tomber ses études : elle consacre alors sa vie à sa petite fille Ryo, née alors qu’elle s’apprêtait à fêter ses vingt-et-un ans.
ㅤㅤㅤ Heureuse famille, tous les trois étaient liés d’une force irréelle. Elliott, qui avait toujours voulu construire sa propre famille, avait reçu l’instinct maternel tout de suite après l’annonce de sa grossesse. Mère poule, elle voua un amour inconditionnel à son bébé, bien que cette grossesse ait chamboulé tous les plans du couple. Désormais mère au foyer, elle donnait sa vie, son âme, tout son temps à Ryo, l’empêchant alors de se trouver un travail et apporter le nécessaire d’argent au foyer. Alors forcé, Kihyun prit un travail à mi-temps à côté de ses études : une galerie d’art qui cherchait des étudiants à former et qui aidait bien le petit cocon familial installé.
ㅤㅤㅤ 2022 fut une année riche en émotions pour la jeune famille. Un mariage heureux en petit comité et l’annonce d’une nouvelle grossesse ce même jour aura eu l’effet d’une bombe magique déposée à l’autel. Le couple et ses proches ont pleuré et fêté ça comme il se doit : une fête pour deux nouvelles rendait la nuit plus dingue qu’elle ne devait déjà l’être. La deuxième petite fille verra le jour en 2023, quelques mois avant la remise de diplôme du père de famille.
ㅤㅤㅤ Ce n’est qu’après le septième mois fêté de sa dernière qu’Elliott se prendra un travail à mi-temps. Les petites filles du couple inscrites à la crèche, et bien que la mère de famille se sente coupable d’abandonner ses enfants, elle s’y sentait obligée afin d’apporter un peu plus d’argent à cette famille qui en avait grandement besoin. Alors, de petits boulots en grands services, Elliott faisait son possible durant la journée pour apporter un maximum de petite richesse à son foyer. D’abord danseuse dans un bar entre deux courses pour des voisins âgés, Elliott a fini par prendre un job de barmaid quelques semaines plus tard - tout en continuant de rendre service à ses voisins.
ㅤㅤㅤ Mais sa vie basculera de nouveau quelques mois plus tard, au début de l’été 2024.
ㅤㅤㅤ
⋆¸*ೃ☼ note créa.
toute cette publication n’est connue que des créa. en revanche, l’histoire avec son (futur ex-)mari peut être connue des personnages. kihyun (pnj) étant assez connu dans le monde artistique en ayant fait plusieurs expositions durant son cursus scolaire & après son diplôme, vos personnages peuvent avoir entendu parler de lui. sinon, ils peuvent simplement avoir entendu parler de cette histoire sur les réseaux, à la télé, etc... également, elliott peut être suivie par des journalistes qui veulent des "exclusivités" quant au procès de kihyun, ça peut apparaître dans des posts et/ou dans des roleplay lancés entre nos personnages.
elliott, qui a toujours dit que la danse n'était pas son truc, a commencé à prendre des cours il y a dix ans lorsqu'elle a perdu sa mère # c'est sa façon à elle de faire vivre leurs souvenirs.
le fait qu’elliott ait des enfants ne prendra pas toute la place dans mon jeu (!!) mais ça aura un certain impact sur sa vie.
je suis ouverte à tout type de lien, de jeux. je n’ai pas de tw, elliott non plus.
0 notes
Text
��� 21 AOÛT ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
(...) selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun. Romains 12.3
À chacun sa mesure de foi
Qui n’a jamais estimé manquer de foi pour anéantir les oppositions, pour dominer sur la maladie, les difficultés, les oppressions, les mauvaises pensées, les ruptures, les rejets, les pertes, les trahisons, etc., alors que celle-ci est indispensable pour vaincre l’ennemi et déplacer les montagnes ? (cf. Luc 17.6 ; Matthieu 17.20-21). Chacun de nous possède pourtant une mesure de foi suffisante et donnée par Dieu pour activer Son bras et déclencher le miracle comme nous pouvons le comprendre dans le verset du jour ! D’ailleurs la foi n’est pas stagnante, elle se travaille, se développe et se renforce (cf. 2 Corinthiens 10.15). Et c’est en Romains 10.17 que nous lisons un principe fondamental pour la faire grandir : « La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Christ. ». De la sorte, par la lecture des témoignages de guérison, des délivrances et des prodiges de Jésus ou de Ses disciples au travers de la Bible, mais aussi par l’écoute et la découverte des interventions divines contemporaines, nous comprendrons que Dieu est puissant et que nous sommes toujours au bénéfice de cette puissance d’amour infinie et miraculeuse. Ce que Dieu a accompli hier, Il l’accomplira aussi demain car Il ne change pas ! Finalement, le premier pas de foi à faire avec le peu que nous pouvons avoir, c’est de nous convaincre que l’Éternel Dieu est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que ni Sa puissance, ni Sa volonté de révéler Sa gloire et de bénir Ses enfants ne sont obsolètes ! C’est en connaissant Dieu tel qu’Il est vraiment, que nous pouvons mieux comprendre ce qu’Il veut et peut faire pour nous et pour les autres... C’est en comprenant Son amour pour l’humanité et en considérant sa puissance infinie que notre foi sera fortifiée, jusqu’à devenir assez solide pour nous faire franchir les différents obstacles que nous aurons à rencontrer tout au long de notre vie ! - Lire plus ici :
0 notes
Text
Si vous êtes un conseiller ou un thérapeute, alors Idevart est LA plateforme qui saura réaliser un site web qui mettra en valeur votre expertise et qui permet aux consommateurs potentiels de vous trouver grâce au travail d'optimisation pour le référencement SEO qui sera appliqué à votre site pendant sa création. Je vous propose même d'inclure une fonction de réservation qui facilite la prise de rendez-vous en ligne et la gestion de votre emploi du temps. Le conseil étant une expérience très personnelle pour les consommateurs, votre site web possèdera une page dédiée aux témoignages consommateurs pour renforcer votre fiabilité et votre crédibilité. 🎯 Vous ne pouviez pas mieux tomber Nombreux sont les écueils dans lesquels tombent souvent les personnes désireuses de trouver un bon professionnel passionné par son métier pour la réalisation de leur site web ou boutique en ligne. J'ai eu beaucoup de consommateurs qui sont venus vers moi en m'expliquant parfois leurs mésaventures avec pendant précédentes collaboration avec agence ou webmaster peu soigneux dans l'accomplissement de leurs tâches. Je m'efforce donc d'appliquer une politique de satisfaction client optimale pour vous donner envie de revenir vers moi après avoir découvert la qualité de mon travail. 📝 Qui suis-je ? Un passionné du web qui à fait le choix de l'indépendance pour conserver sa créativité, améliorer sa technique et son amour du métier de même que des consommateurs. Je suis concepteur / développeur de site web depuis désormais plus de 10 ans et mes nombreuses années de pratiques et de formations en PHP / Javascript m'ont persuader de tourner le développement de mes compétences et connaissances vers Wordpress, qui est à ce jour, le premier des CMS. 📝 Pourquoi travailler avec Idevart ? - 100% de satisfaction via les retours consommateurs. - Délais de livraison toujours respectés. - Possibilité de paiement d'acompte de 50% du montant de la prestation au démarrage de la collaboration. - Le référencement SEO du site est inclus dans la prestation le 1er mois. - Rendez-vous par visioconférence Zoom, Discord, Teams... - Formation de prise en main de 3h. 📝 Expertise et maîtrise des principaux CMS Les nombreuses années de pratique de conception et développement de site web m'ont permis d'acquérir de nombreuses compétences, maîtrises et expertises dans l'utilisation des principaux CMS actuellement sur le marché. C'est ainsi qu'en plus de Wordpress que j'emploie dans tous mes projets depuis plus de 10 ans, j'ai aussi une maîtrise des autres CMS tels que Prestashop, Drupal, Wix et Shopify. 📝 Qu’est-ce qui est proposé pour le tarif de l'annonce ? - L'installation et la configuration de Wordpress. - Page de témoignage avec module sur-mesure. - Un espace d'administration simple à gérer vous-même. - Un site compatible avec tous types d’écrans (responsive). - Les 5 premières pages de votre choix (Exemple: Accueil, contact, présentation, galerie etc...). - Un module de statistiques des visiteurs. - Un site web sécurisé, attractif et rapide au chargement. - Le référencement naturel de votre site par les moteurs d'études pendant 1 mois 📝 Délai de réalisation et suivi du site Si toutes les informations sont réunies à temps, votre site de présentation sera réalisé sous moins deux semaines (hors Dimanches et jours fériés). Une fois livré, votre site web sera suivi et vous pourrez me demander des modifications dessus pendant 6 mois.
0 notes
Text
Groom Service - Un Tarantino à un doigt d'être connu
Groom Service, (Four Rooms dans les pays anglophones), est un de mes films préférés, non seulement pour sa construction scénaristique originale, mais aussi pour son aspect underground et sous-côté. Sorti en 1995, le film est une succession de quatre courts métrages, chacun produit par un réalisateur différent: Allison Anders, Alexandre Rockwell, Robert Rodriguez, et Quentin Tarantino. Ces quatre histoires distinctes sont liées par un personnage central, Ted le groom, interprété par Tim Roth, qui traverse des aventures rocambolesques dans un hôtel de Los Angeles durant la nuit du Nouvel An.
youtube
La naissance du projet remonte à l'amitié entre les quatre réalisateurs, qui partageaient tous un désir de collaborer et de créer quelque chose d'unique. L'idée était de capturer l'essence de la comédie noire et du surréalisme à travers les péripéties d'un personnage principal, le tout se déroulant dans un huis clos. Chaque segment reflète le style distinct de son réalisateur, allant de la comédie noire au thriller, tout en conservant une cohérence grâce au fil rouge du personnage de Ted.
Anecdote de tournage intéressante, le segment réalisé par Quentin Tarantino, "The Man from Hollywood", inspiré de l'épisode "The Man from the South" de la série télévisée "Alfred Hitchcock présente". Le réalisateur, connu pour son perfectionnisme et son amour des dialogues ciselés, a créé une atmosphère de tournage à la fois intense et ludique. Il paraît que lors des répétitions, ce dernier jouait lui-même tous les rôles, donnant aux acteurs une vision claire de ce qu'il attendait d'eux.
Autre moment mémorable, lors de la réalisation du segment de Robert Rodriguez, "The Misbehavers", qui met en scène deux enfants s'attirant des ennuis en restant seuls dans leur chambre d'hôtel, a été marqué par l'énergie et l'imprévisibilité des jeunes acteurs. Rodriguez, connu pour sa capacité à travailler rapidement et efficacement, a su capter cette spontanéité enfantine, ajoutant une couche d'authenticité et de fraîcheur au film.
Groom Service est une œuvre audacieuse, un patchwork cinématographique qui ne laissera personne indifférent. Son originalité et son humour décalé en font un film à part, mais attention, malgré ses qualités indéniables, son manque de cohérence et la variabilité de la qualité de ses segments pourraient refroidir certains d'entre vous. Malgré ces réserves, le film demeure un témoignage fascinant de la collaboration entre quatre réalisateurs de talent, offrant un divertissement unique. vous pouvez vous procurer le film en VOD et en DVD en suivant ce lien.
0 notes
Text
La Philosophie
La philosophie, du grec ancien φιλοσοφία / philosophía (composé de φιλέω / philéô, « aimer », et de σοφία / sophía, « sagesse, savoir »), signifiant littéralement « amour du savoir » et communément « amour de la sagesse », est une démarche qui vise à une compréhension du monde et de la vie par une réflexion rationnelle et critique. C'est une recherche de la vérité qui est guidée par un questionnement sur le monde, la connaissance et l'existence humaine. Elle existe depuis l'Antiquité en Occident et en Orient, à travers la figure du philosophe, non seulement en tant qu'activité rationnelle mais aussi comme mode de vie. L'histoire de la philosophie permet d'appréhender son évolution.
Ancrée dès ses origines dans le débat d'idées partagées lors du dialogue entre un maître et ses disciples dans les différentes écoles philosophiques, la philosophie peut se concevoir comme une activité de création, de méditation, de définition et d'analyse de concepts tels que le bien, le mal, la beauté, la justice. Elle peut aussi être envisagée comme une quête de vérité, de liberté, de sens, de conscience, bref, une quête du bonheur. Du point de vue de la théologie chrétienne à qui elle est associée dans sa démarche, son objectif devrait être tourné vers la contemplation de la vérité et la recherche de la finalité dernière et du sens de la vie.
Chez Aristote, la sagesse est la science des premiers principes et des premières causes. C'est une définition sur laquelle s’appuieront les aristotéliciens à l'époque médiévale pour fonder la philosophie première.
Au sens moderne et pour une partie des philosophes contemporains, la philosophie n’est pas un savoir, ni un ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs à disposition. Elle est devenue une discipline des sciences humaines. En ce sens, la philosophie contemporaine se rapproche beaucoup d’une dynamique épistémologique.
Le champ d'étude de la philosophie peut embrasser un ensemble de disciplines telles que les sciences humaines et sociales, les sciences formelles et les sciences naturelles, auxquelles elle est historiquement liée.
La philosophie a engendré des domaines d'études fondamentaux tels la logique, l'éthique (philosophie morale), la métaphysique, et l'épistémologie (philosophie des sciences et théorie de la connaissance). Au cours du temps, ces branches de la philosophie ont vu naître des ramifications comme celles de la philosophie politique, la philosophie du droit, l'esthétique (philosophie de l'art), l’ontologie, la philosophie de l'esprit, l’anthropologie philosophique, ou la philosophie du langage, entre autres.
Jean-Léon Gérôme, Diogène, 1860. Portrait romantique qui représente aussi le chien (en grec « κύων ») qui a donné son nom au cynisme.
Socrate
philosophe grec du ve siècle av. J.-C. (né vers -470/469, mort en -399). Il est connu comme l’un des créateurs de la philosophie morale. Socrate n’a laissé aucun écrit, sa pensée et sa réputation se sont transmises par des témoignages indirects. Ses disciples, Platon et Xénophon, ont notablement œuvré à maintenir l'image de leur maître, qui est mis en scène dans leurs œuvres respectives.
femme Xanthippe ? accusé d'impiété, et de corrompre les jeunes condamné à mort boit la coupe de poison létal, la ciguë
En choisissant de mourir, Socrate affirme la primauté de la vertu sur la vie : la vie du corps est subordonnée à la pensée.
La maïeutique Socrate, roi de la provocation
Socrates Overly Sarcastic Productions
Platon
né en 428 / 427 av. J.-C. et mort en 348 / 347 av. J.-C. à Athènes, est un philosophe antique de la Grèce classique, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l'élève, ainsi que Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée. Celle-ci explore la plupart des champs importants, c'est-à-dire la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique.
Son œuvre, composée presque exclusivement de dialogues, produit les premières formulations classiques des problèmes majeurs de l'histoire de la philosophie occidentale2. Chaque dialogue de Platon est l'occasion d'interroger un sujet donné, par exemple le beau ou le courage. Il y développe une méthode qu'il appelle dialectique ou maïeutique. Il voua la majeure partie de son activité à la philosophie première, mais il se consacra aussi aux apparences et aborda l'histoire naturelle dans laquelle il voulut établir deux principes :
l'un subissant, comme la matière, appelé récepteur universel ;l'autre agissant, comme une cause, qu'il rattache à la puissance du dieu et du Bien.
Platon développe une réflexion sur les Idées communément appelée théorie des Formes ou théorie des Idées dans laquelle la réalité sensible est considérée comme un ensemble d'objets participant de leurs modèles immuables. La Forme suprême est le principe du Bien, englobant les archétypes du Juste, du Bon et du Beau. La philosophie politique de Platon considère que la Cité juste doit être construite selon le modèle du Bien en soi. Dans le dialogue "La République" Il développe en conséquence l'idée du Philosophe roi.
considéré généralement comme l'un des premiers philosophes occidentales sino l'inventeur de la philosophie
L'allégorie de la caverne
Aristote
(384-322 av. J.-C.) est un philosophe et polymathe grec de l'Antiquité. Il est avec Platon, dont il a été le disciple à l'Académie, l'un des penseurs les plus influents que le monde occidental ait connu. Il est aussi l'un des rares à avoir abordé presque tous les domaines de connaissance de son temps : biologie, physique, métaphysique, logique, poétique, politique, rhétorique, éthique et de façon ponctuelle l'économie. Chez Aristote, la philosophie, à l’origine « amour de la sagesse », est comprise dans un sens plus large comme recherche du savoir pour lui-même, interrogation sur le monde et science des sciences.
Archimède de Syracuse (en grec ancien : Ἀρχιμήδης / Arkhimếdês), né à Syracuse vers 287 av. J.-C. et mort en cette même ville en 212 av. J.-C., est un grand scientifique grec de Sicile (Grande-Grèce) de l'Antiquité, physicien, astronome, mathématicien et ingénieur.
Heureka!
Donnez moi un point d'appui et je souslèverai le monde.
La-Philo Les philosophes français
0 notes
Text
MESSAGE ADRESSÉ AUX FEMMES, MAIS IL EST VALABLE, EN RÉALITÉ, POUR TOUT LE MONDE.
LE BUT EST DE DÉVELOPPER NOTRE HUMILITÉ, SI VOUS LE VOULEZ BIEN, MESDAMES ET MESSIEURS.
Une femme qui est bien, est très très rare à trouver.
Même Salomon dit qu'il a trouvé un homme qui soit bien parmi 1000 hommes.
Mais il n'a trouvé aucune femme qui soit bien, parmi elles toutes.
Salomon a eu près de mille femmes, si on y inclus ses concubines, donc il s'est exprimé basé sur son expérience personnel.
Il ne nous dit pas non plus, s'il a trouvé qu'il était lui-même un homme bien.
Donc son témoignage semble douteux, car Jésus a dit, qu'il n'y a de bon, de bien et de fiable, que Dieu seul.
Le saviez-vous, mes chers amis ?
---
MAIS DANS LE SUJET D'AUJOURD'HUI, AFIN DE NOUS AIDER À DEVENIR PLUS HUMBLES, ON VA JUSTE ÉMETTRE L'HYPOTHÈSE "QU'AUCUNE FEMME SUR TERRE N'EST BIEN".
NE ME LAPIDEZ PAS, MESDAMES, L'OBJECTIF EST DE DÉVELOPPER NOTRE HUMILITÉ, TOUT SIMPLEMENT.
---
CELA A DONC POUR CONSÉQUENCE, QUE L'ON NE TROUVE PAS UNE FEMME BIEN, ON NE PEUT QUE L'AIDER À LE DEVENIR.
C'est le rôle de tout un chacun de rendre les femmes bien, quelque part.
Bien que ce soit à elles-mêmes de le devenir en suivant Dieu, par l'intermédiaire de leur propres consciences.
LE RÔLE DE CHACUN D'ENTRE NOUS, EST DE CONTRIBUER À CE QUE LES FEMMES NE SE RELÂCHENT PAS DANS LEUR EFFORTS À SUIVRE DIEU, PAR L'INTERMÉDIAIRE DE LEUR CONSCIENCE PERSONNELLE.
CAR À LA FIN, L'HUMANITÉ EST UNE ÉQUIPE SOUDÉE, UNE FAMILLE UNIE, SI ON A UNE VISION INNOCENTE DE LA VIE.
ET SI ON NE S'EST PAS LAISSÉ POLLUER PAR NOS MAUVAISES EXPÉRIENCES PERSONNELLES ET LES MAUVAIS TÉMOIGNAGES QUE L'ON A ENTENDUS.
On existe pour s'aimer les uns les autres, pour s'entraider à nous améliorer.
On est ensemble sur terre, afin de se sacrifier par amour pur et inconditionnel les uns pour les autres, comme le Christ nous l'a démontré par son exemple de vie.
Le saviez-vous, mes chers amis ?
---
JE TERMINERAIS EN DISANT QUE DURANT LA VIE DU CHRIST, CERTAINES FEMMES ONT ÉTÉ TRÈS HONORÉ PAR LE SEIGNEUR JÉSUS.
Jésus a beaucoup honoré les prostitués pour leur transparence de vie.
Donc mesdames qu'importe votre vie de péché actuel, soyez toujours transparentes, ne cacher rien à personne, et Dieu vous aidera à triompher de toutes vos fautes personnelles.
Le Christ a honoré Marie, la sœur de Marthe, car elle était à ses pieds, voulant apprendre de tout son être, la sagesse du Seigneur Jésus.
Ce qui signifie que la femme devient bien, quand elle suit uniquement Dieu, à travers sa propre conscience, et rien d'autre que cela, mes chers amis.
Mesdames, vous privilégiez trop vos enfants, la maison et le travail, alors que suivre Dieu en permanence, à travers votre propre conscience, est la seule chose qui compte et qui sera valable même après la mort.
La femme qui vit dans le respect permanent du Seigneur, dans le fond de son cœur, sera honorée, car c'est la vie intérieur qui prime et non la belle apparence extérieure.
LE SEIGNEUR JÉSUS A HONORÉ LES FEMMES QUI LUI SONT RESTER FIDÈLE MÊME APRÈS SA MORT, POUR EMBAUMER SON CORPS PHYSIQUE.
AU POINT QU'IL LEUR A DONNÉ SON PREMIER MESSAGE, SUITE À SA RÉSURRECTION, AFIN DE LE TRANSMETTRE À SES APÔTRES PEUREUX ET LÂCHES.
Ce qui signifie que lorsque les femmes suivent Dieu, à travers leur consciences personnelles, elles deviennent des instruments puissants, entre les mains de Dieu.
Et deviennent finalement l'aide que Dieu avait prévu en les envoyant sur terre.
Car quand Dieu dit "qu'il n'est pas bon que l'homme soit seul", ce n'est pas un compliment que le Créateur fait à l'homme.
L'homme non-conscient que seul Dieu lui suffit, se considère perdu et malheureux sans sa femme.
D'où le fait que l'homme recherche à tout prix une femme, et vice-versa.
Car n'oublie pas que la vie est un parcours, la vie est un enseignement.
Ce qui signifie que tes désirs actuels ont pour but de te conduire, pas après pas, vers la vérité qui est Dieu.
Comme les exemples donnés par les vies du Fils Prodigue et de Job.
CAR À LA FIN, IL FAUT QUE L'HOMME ET LA FEMME SE DÉÇOIVENT MUTUELLEMENT, AFIN QUE CHACUN D'ENTRE EUX ARRIVE À LA BONNE CONCLUSION.
ET CETTE CONCLUSION EST, QUE C'EST UNIQUEMENT SANS ÊTRE UNI PARFAITEMENT À DIEU EN PERMANENCE, QUE L'ON EST MALHEUREUX.
SANS VIVRE DANS UNE COMMUNION PROFONDE CONTINUELLE AVEC LE CRÉATEUR, TU NE PEUX ÊTRE COMBLÉ DE JOIE ET DE BONHEUR INTÉRIEUR CONTINUELLEMENT, CHER AMI(E).
Car le sexe te décevra, l'argent aussi, la famille également, les possessions matérielles bien évidemment, avoir une belle carrière ne t'aidera pas à avoir le bonheur intérieur, etc. …
En effet, tant que tu cherches le bonheur profond intérieur en dehors de ton Créateur, tu révèles que tu as besoin de réaliser par la déception, les échecs et les désillusions, qu'il n'existe aucun véritable bonheur, si ce n'est dans le fait d'être uni en permanence avec le Créateur lui-même, cher ami(e).
À chacun d'arriver en son temps et à son rythme à sa propre conclusion de vie.
Car j'expérimente personnellement aujourd'hui, que je peux jouir de la vie, qu'en suivant Dieu continuellement, par l'intermédiaire de ma propre conscience.
Et toi, cher ami(e), quelle est la conclusion à laquelle tu es arrivé aujourd'hui ?
0 notes
Text
Dabit Eugène - Train de vies
Dabit Eugène - Train de vies: Des récits émouvants, des vies simples, des vies de gens ordinaires avec leurs peines et leurs amours, des gens désespérés au courage du quotidien ou qui, comme Monsieur Petitfrère, ont trouvé leur rêve. Comme l’écrit Eugène Dabit dans son Journal en avril 1935, des «Vies, qu’on devine derrière ces murs. Chacun ses joies, ses amours, ses haines. Pauvre troupeau humain, qui n’est pas très conscient de sa servitude.» L’année précédente lors de son séjour en Espagne, où il écrivit plusieurs des nouvelles de ce recueil: «Comment ne pas songer à ces quatre mois si vite écoulés, durant lesquels j’ai travaillé, nagé, vécu heureux? J’ai pu, et je l’ai écrit ici, souhaiter parfois qu’ils s’écoulent vite, appeler je ne sais quel inconnu.» (octobre 1934.) Et enfin, en fin novembre 1935: «J’ai pu travailler davantage que les jours précédents. À ce volume de nouvelles: Vies (premier titre envisagé pour Train de vies). Nouvelles déjà publiées, et que je reprends une à une.» De ces nouvelles, citons Les deux Sœurs dont il écrit en septembre 1934: «C’est un beau matin, la lumière est douce et calme sur la campagne. Une semaine déjà que je suis à Toledo. Vie agréable, nourrissante. J’ai repris et terminé Les Deux Sœurs Je me propose d’écrire encore une ou deux nouvelles.» Et, pour Monsieur Petitfrère : «Combien j’aime être en mer! À quoi bon dire pourquoi, cela ne se peut dire que dans un poème; cela ne peut s’expliquer sans lieux communs. J’ai fait de mon mieux dans L'Île pour dire cet amour. J’écris une assez longue nouvelle : Monsieur Petitjean, et les soirées passent trop vite, ou se terminent trop tôt.» Elle sera publiée sous le titre «Monsieur Petitfrère» dans Europe du 15 septembre 1935 et reprise dans Train de vies. Fin d’une vie, fut publié dans Marianne le 13 mai 1936 et repris dans Train de vies avec Un homme et un chien. Témoignages conclut le recueil : «J’ai passé presque dix jours sur cet essai que m’a demandé d’écrire Jean Guéhenno pour un n° spécial d’Europe consacré aux années 1914-1934. Essai, c’est beaucoup dire pour une vingtaine de pages de revue. Je les ai écrites avec ardeur, je me suis replongé dans le passé, mon passé. Je n’ai pas cherché à arranger mes souvenirs, si du moins j'ai tenté de m’exprimer avec la plus grande clarté possible. Cela m’a donné, peut-être, quelque idée de ce que pourraient être des Confessions. Que je suis loin de l’aisance et du mouvement dont faisait preuve J.-J. Rousseau ! Je ne puis que reconnaître mon impuissance, et c'est tout; et céder à ma voix intérieure. Ce que j’ai fait.» «Ce texte ressemble à un testament où il explique les raisons qui l’ont poussé à écrire : il y raconte à nouveau son entrée dans la guerre mais il y éclaire différemment le rapport au père et à l’écriture. en devançant l’appel, Dabit choisit son corps et en intégrant un régiment d’artillerie il a «plus de chances qu’un fantassin de sauver peau» mais, en 1917, «le groupe monta prendre position dans le secteur du chemin des dames, à Oulches». Il découvre une horreur qui le conduira à faire une tentative de suicide – comme le suggérait déjà le roman Petit-Louis quelques années auparavant.» (Jean-Luc Martinet, Origine de l’écriture et origine sociale : La figure du père chez Eugène Dabit in Anne Mathieu et François Ouellet (dir.), Journalisme et littérature dans la gauche des années 1930, Rennes, Presses universitaires de Rennes 2014, p. 165-175, Open Edition, 2019.) Téléchargements : ePUB - PDF - PDF (Petits Écrans) - Kindle-MOBI - HTML - DOC/ODT Read the full article
0 notes
Text
Touchée par la grâce
.
Comment ne pas bénir le Seigneur de tout qu'il fait pour moi actuellement ?
"Et quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle." (Matthieu 19.29)
J'ai eu une année difficile. Burn-out au travail, décès d'une collègue, problèmes de peau qui durent des mois et m'empêchent de vivre convenablement ma vie, crises, émotions, otite et douleurs aux oreilles pendant un mois, surcharge au travail, surcharge, surcharge, surcharge.
Je me suis plainte. Beaucoup.
Mais s'il y a une chose à laquelle j'ai essayé, essayé de m'accrocher, malgré les tentations, le Diable, les écarts, c'est Jésus. Gloire à lui, gloire à Dieu qui ne m'a jamais abandonnée.
Je peux affirmer sans orgueil que j'ai été obéissante quand il me demandait certaines choses, j'ai obéi, et malgré toutes ces chutes et les moments où j'ai mis du temps, j'ai attrapé la main qu'il me tendait, même si parfois cela était difficile, car mon moi antérieur a refusé longtemps de lâcher certaines habitudes.
Je suis allée à la Maison de l'Espérance, j'ai témoigné, j'ai assisté aux cultes, j'ai prêché moi-même la parole, j'ai accepté de revoir certaines pensées, certaines habitudes de vie. J'ai lu et écouté la parole (même en anglais!), j'ai médité, prié, réalisé une vidéo, un blog, écrit, même si je me repens de ne pas l'avoir fait autant et aussi consciencieusement que je l'aurais voulu. J'ai conservé ma communication et ma communion avec Christ dans les bons comme dans les mauvais moments. J'ai accepté qu'il m'aide à dépasser mon esprit de timidité.
Aujourd'hui, cette année scolaire difficile est terminée, j'emménage avec l'homme de ma vie, chair de ma chair, je vais voyager pour retrouver mes proches (je vais pouvoir assister au mariage de mon dernier oncle !), je vais aussi voyager pour découvrir une nouvelle culture et un nouveau continent, la direction de mon établissement a accepté contre toute attente d'alléger mon emploi du temps, et, je suis entrée dans cette nouvelle vie en Christ par mon baptême ce matin. "Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu" (Romains 8.28)
Comment ne pas louer Dieu, comment ne pas le suivre ? Comment pouvez-vous encore ne pas croire qu'il pourvoie ? Qu'il étend sa main, qu'il accorde sa grâce, que toutes choses concourent au bien de ceux qui l'aiment ? Qu'il apporte la provision et même, qu'il rend au centuple ? Et ce n'est pas terminé ! Oh ce n'est pas terminé, j'ai un feu en moi qui brûle d'amour, d'amour pour Jésus Christ, qui m'a sauvée, et qui maintenant va me transformer à jamais ! Je désire plus que tout rester dans la Lumière, être ce témoignage vivant qu'il m'a changée, pour une vie bien meilleure, plus grande, plus belle. J'ai hâte de commencer cette vie, mais je sais aussi être patiente, comme il me l'enseigne. De grandes choses arrivent.
Je te bénis Seigneur pour ce que tu as fait, ce que tu fais, et ce que tu feras de moi. A toi soit toute la gloire. Toute la gloire. Mon obéissance n'est que le fruit de ton amour, j'ai foi parce que tu m'aimes.
.
Cliquer sur : EN BOUCLE
0 notes
Text
Témoignage : " Mon histoire avec le pervers narcissique "
On appelle pervers narcissique, une personne qui, de par un comportement toxique, nuit consciemment ou non, à la santé mentale et physique de l’autre. Son but ultime est d’exercer une emprise sur sa victime. La seule solution est le départ. Entre violences psychologiques et violences physiques, la relation avec un PN est destructrice et peut engendrer de graves traumatismes. On peut retrouver les pervers narcissiques partout. Au travail, en amitié, en famille et le plus souvent, dans les relations de couple. C’est le cas de Lela, qui pour sensibiliser et aider les lecteurs dans cette situation, nous raconte l'enfer qu’elle a vécu. « Quand j'ai rencontré Benoit, j'avais 23 ans et j'étais pleine de vie. Une fille solaire, qui riait sans arrêt. Je me souviens m'être dit qu'il avait tout d'un prince charmant. Dès le premier rendez-vous, Oh des macarons, une jolie attention. Je me suis lancée dans cette histoire naïvement. Tout de suite, Benoit a sorti son jeu : Full aux Rois par les 9. Monsieur se joue roi de cœur, m’enveloppant de son charme fou, son visage angélique, et sa chaleur. J’étais loin d’imaginer sa véritable froideur. Trop rapidement, Benoit veut s’installer. Chaque jour un peu plus je me sentais étouffer, monsieur ne voulait plus me lâcher, mais il le répétait sans cesse, il voulait juste m’aimer ! Et lorsque je tentais un peu de m’éloigner pour respirer, il jouait le grand blessé. Me laissant penser qu’un jour enfin, je serai digne de son amour. « Toi là, donne-moi ta main, donne-moi ton bras, tu es à moi, rien qu’à moi. Tu es l’unique, je t’ai choisi. Maintenant nous sommes en couple, on est deux, mais on ne fait qu’un. Tu es à moi, tu es à moi... » Les mois passaient, je me livrais, bientôt il me connaîtrait sur le bout des doigts, comme une petite sérénade dans sa tête qu’il jouerait en mode repeat. Au début il avait l’air sensible, je pensais devoir peser tous mes mots pour ne pas blesser son égo. Après tout, chacun ses défauts. D’abord adorable, puis susceptible et exécrable. Moi qui aimais tant rire, je n’en avais plus la liberté, de peur de le braquer. Le pervers narcissique alternait entre fusion et destruction Benoit pouvait bouder pendant des heures si par malheur je n’avais pas répondu correctement, fait une blague de mauvais goût, ou encore mal nettoyé ses effets personnels. Il mesurait parfois même mon amour pour lui à la quantité de poussière oubliée sur sa console de jeux. C'était sur-réaliste, c'était pervers, c'était narcissique. Doucement, insidieusement, il a pris la place du chef. Il dirigeait, je pliais. Pour ne pas le contrarier je disais oui, je patientais même pendant ses longs silences. Quand je parvenais enfin à le faire parler, Benoit savait renverser la vapeur, m’accabler et me désigner coupable de tous ses maux. C’est ainsi qu’il gagnait, en me désarçonnant, j’étais à bout. Après la pluie, vient toujours le beau temps. Hélas pour moi, cela ne durait jamais assez. Je ne comprenais pas. Il usait avec adresse d'un mécanisme alterné, alternant tous mes sens. Une claque, une caresse, une claque, une caresse... Ce genre de relation basée sur les rapports de force, je n’en avais jamais voulu. En public, Benoit était le plus souriant et sympathique des amants. Lorsqu’il sortait, il mettait son plus beau masque, et même dans le miroir, il arrivait à se convaincre. C’était moi le problème, moi qui le rendais comme ça. Ma réputation de fille de caractère m’a porté préjudice. Qui voudrait croire qu’une femme aussi forte et explosive que moi, serait la victime d’un bourreau ? En vérité, il avait peur de moi, de ma force, de mon assurance. Lui plus que tout autre masquait son manque de confiance en me rabaissant toujours plus bas. Pour nos amis, il était la perfection incarnée. Le calme, la sagesse, l’humour… Dans l'intimité, fatigué d’avoir tenu un rôle face aux autres, il redevenait lui-même. Le masque finissait toujours par tomber, et le pervers par se montrer. Et chaque nuit après m’avoir utilisé comme un jouet, avec grâce il me critiquait insidieusement. https://www.youtube.com/watch?v=YvI8KVFi_sg&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ De longs mois sont passés, je n’avais plus aucune estime de moi-même. Sournoisement il m’avait mordu jusqu’au sang, son venin s’était propagé en moi et l’épuisement de tant de manipulation, avait pris le dessus sur ma raison. Dans mes nuits d’insomnie, les phrases de mon Roi de cœur tournaient en rond. « Tu es grosse, tu n'es pas magnifique ». Pourtant, j’étais si maigre qu’on pouvait même apercevoir les os de ma colonne. Le pervers narcissique avait réussi à modifier ma propre perception. Nuit et jour, le Roi Benoit était insupportable, sa langue se déliait et ses mots étaient un feu dévorant. Il se délectait à me faire souffrir et à me voir m’éteindre. Je n’étais qu’un pion, j'étais SON pion. Autrefois forte et pétillante, aujourd’hui froide, je ressemblais à une morte-vivante. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Je ne souriais plus, j'étais triste et de plus en plus maigre. L’inquiétude de mes proches n’y faisait rien. Je ne voulais plus rester, mais partir m’était impossible. J'avais peur, que ferais-je sans lui ? Les mois passaient, il y’avait des instants moins sombres. Benoit caressait et claquait. Au sens figuré d’abord puis au sens propre. Il m’humiliait, m'insultait, me poussait et me frappait. Ce n’était pas sa faute vous comprenez. En pleure, il s’excusait, criant que j’étais sa seule source de bonheur. On m’a enseigné le pardon, et il se savait. Alors je pardonnais et le réconfortais même. Le voyant pleurer comme un crocodile qui aurait mangé sa queue, me sentir coupable rendait cela insoutenable. Je crois que je voulais l’aider, même s’il me mordait toujours plus fort. Il avait le pouvoir et le contrôle. Me faire rire ou pleurer au grès de ses humeurs, de ses envies. Parfois salaces, souvent dégueulasses. Il y avait là-dessous, un besoin de tuer pour se sentir exister. Le propre d'un pervers narcissique. A lire également : Retrouvez son propre équilibre Ce n’était pas seulement un problème de violence. C’était encore pire que ça, il voulait me dominer. Et puis un jour, tentant de me détendre dans un bain, pour mettre de l’ordre dans mes pensées, il m'a envoyé un verre d’eau glacée en pleine figure. Immobile, ne comprenant pas ce qu’il venait de se produire, je suis restée immobile durant plusieurs minutes. Et silencieusement, j’ai rassemblé mon courage en nouant autour de ma taille mon peignoir et suis sortie de la salle de bain. Il était assis sur sa chaise, puis me voyant passer devant lui, m’a jeté son briquet en peine figure avant de me jeter au sol pour me passer à tabac. https://www.youtube.com/watch?v=MYDpq_ivst0&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ En boule par terre, protégeant mon visage, je ne suppliais pas. Il restait silencieux, robotisé, continuant sa crise de folie, exécutant des gestes presque machinalement, son regard pervers m'avait glacé le sang. En pleine conscience, les secondes paraissent des heures. J’ai laissé les choses se faire, décidant et me jurant que ce serait la dernière. Je suis partie. J'ai tout quitté, et j'ai enfin respiré. C’était il y a deux ans le jour où, profitant de son absence, je suis partie. J’ai décidé de sauver ma peau, luttant pour ne plus être sa chose. Aujourd'hui, j'ai réappris à vivre même si j'avoue que je ne comprends pas encore comment j’ai pu m’infliger ça. La culpabilité est un sentiment qui m’a longtemps empêchée de me rendre disponible à l’amour, car j'étais terrorisée de vivre cela une fois encore. Avec l'aide de mes proches et d'un thérapeute, j'ai pris mon temps et j'ai compris pourquoi ce monstre m'avait choisi. Aujourd'hui je suis libérée de cette emprise, j'aime et je vis.» Pour en savoir plus sur les pervers narcissiques, le livre de Jean-Charles Bouchoux dispo ici, ou celui de Marie-France Hirigoyen: Femmes sous emprise, "Les ressorts de la violence dans le couple" Nota Bene : Pour lever toute confusion, seul un psychologue/psychiatre est apte à diagnostiquer un profil de pervers narcissique. Il s'agit là d'un trouble de la personnalité sérieux. Read the full article
0 notes
Text
Elle Donne les Ordres, Je Donne le Plaisir
Camille et Marc se sont rencontrés lors d'une soirée entre amis. Tout deux étaient attirés par la simplicité et l'authenticité de l'autre. Leur amour a grandi naturellement, et ils ont rapidement décidé d'embarquer ensemble dans l'aventure d'une vie commune.
Au début de leur relation, ils suivaient une dynamique plutôt traditionnelle. Camille s'occupait de la maison pendant que Marc, plus souvent à l'extérieur pour le travail, assumait le rôle de principal soutien financier. Cependant, au fil des années, Camille gravit les échelons de sa carrière, devenant une figure influente dans son domaine. Elle avait non seulement une excellente vision stratégique mais aussi un don pour prendre des décisions équilibrées et judicieuses.
Marc, de son côté, ressentait une certaine lassitude de la pression constante de son travail. Il commença à explorer ses passions, notamment la cuisine et l'art. Il découvrit qu'il trouvait énormément de plaisir à chouchouter Camille, à la surprendre avec des plats exquis et à créer un environnement chaleureux à la maison.
Un soir, lors d'une discussion profonde sur l'avenir et leurs aspirations, Camille mentionna l'idée d'une relation dirigée par une femme (FLR). Elle ne l'avait jamais envisagée auparavant, mais le concept semblait curieusement adapté à l'évolution naturelle de leur relation. Marc, avec une ouverture d'esprit et une curiosité toujours présente, accepta d'explorer cette dynamique.
La transition ne fut pas immédiate. Ils ont dû naviguer à travers leurs propres insécurités, leurs peurs, et les stéréotypes de la société. Toutefois, un mantra est né de leurs discussions: "Elle donne les ordres, je donne le plaisir". Pour Camille, cela signifiait qu'elle pouvait guider leur relation en se basant sur sa clairvoyance et son intuition. Pour Marc, cela signifiait qu'il avait l'opportunité de trouver sa propre force en apportant du plaisir et du confort dans la vie de Camille.
Camille trouva une certaine liberté dans cette nouvelle dynamique. Elle se sentait épanouie, sachant que Marc était à ses côtés, non pas comme un suiveur, mais comme un partenaire qui célébrait son leadership. Marc, quant à lui, découvrit une profonde satisfaction en se consacrant au bien-être de Camille, trouvant du plaisir dans les moindres détails, des surprises romantiques aux moments intimes partagés.
Leur famille et leurs amis furent surpris par ce changement, certains sceptiques, d'autres admiratifs. Cependant, pour Camille et Marc, la dynamique FLR n'était pas un jeu de pouvoir, mais une exploration sincère de leurs forces individuelles.
Leur histoire est un témoignage que l'amour n'a pas de forme unique. Chaque couple peut définir sa propre dynamique, en harmonie avec leurs désirs, leurs aspirations et leur croissance personnelle. Pour Camille et Marc, "Elle donne les ordres, je donne le plaisir" n'était pas seulement un mantra, c'était le reflet d'une relation basée sur le respect, la confiance et l'admiration mutuelle.
Elle Donne les Ordres, Je Donne le Plaisir : Dynamique d'une Relation Dirigée par une Femme
Dans le vaste univers des relations, une multitude de dynamiques existe. Des plus traditionnelles aux plus modernes, chaque couple établit un rythme en harmonie avec leurs personnalités individuelles. Parmi ces dynamiques se trouve la relation dirigée par une femme (FLR), où les rôles traditionnels sont souvent inversés ou réarrangés, sculptant un espace unique de respect et de compréhension mutuels. Au cœur de cette dynamique, on retrouve souvent un mantra : "Elle donne les ordres, je donne le plaisir".
À première vue, cela peut sembler être un simple échange de rôles, mais sous la surface, c'est bien plus complexe.
Elle Donne les Ordres
Une FLR est définie non pas par la dominance, mais par le leadership. La femme dans une telle relation prend le rôle principal dans la prise de décision. Ce n'est pas une question de supériorité, mais de confiance. L'homme fait confiance à son jugement, à sa sagesse et à son intuition. Elle peut déterminer la stratégie financière du foyer, prendre des décisions majeures dans la vie ou même établir certaines règles ou limites dans la relation.
Mais soyons clairs, son rôle n'est pas d'imposer une dictature. Il s'agit de naviguer le navire de la relation à travers l'immense océan de la vie, en évitant les tempêtes et en s'assurant que tous deux atteignent le havre désiré. L'homme n'est pas rendu impuissant ou sans voix; il lui a confié ce leadership, trouvant solace dans sa capacité.
Je Donne le Plaisir
Ceci ne fait pas uniquement référence au physique. Le plaisir, dans ce contexte, est multifacette. Il fait référence à la satisfaction émotionnelle, mentale et physique. L'objectif principal de l'homme est de garantir son bonheur, son bien-être et sa satisfaction. Cette dévotion ne le diminue pas mais l'empower. Sa force est démontrée par sa capacité à la comprendre, à répondre à ses besoins et à ses désirs. En faisant cela, il trouve souvent sa propre réalisation.
Le plaisir est une symphonie d'actes - de la compréhension de ses émotions, du soutien à ses ambitions, aux moments intimes partagés. Il s'agit de créer un espace de confort absolu et de s'assurer qu'elle se sent valorisée, chérie et adorée.
Croissance et Compréhension Mutuelles
Une FLR, comme toute autre relation, prospère sur le respect et la compréhension mutuels. "Elle donne les ordres, je donne le plaisir" ne signifie pas qu'un côté a le dessus. Il s'agit de jouer selon les forces de chacun, de comprendre les rôles de l'autre et de grandir ensemble en tant que partenaires.
Dans la société, cette dynamique peut défier les normes relationnelles conventionnelles. Mais l'amour n'est pas confiné par la convention. Il est défini par les personnes impliquées et la joie qu'elles en tirent. Pour ceux dans une relation dirigée par une femme, cette dynamique unique offre un espace où les deux peuvent s'épanouir, guidés par la confiance et l'admiration mutuelle.
En conclusion, une FLR n'est pas un défi aux normes, mais un témoignage de la polyvalence de l'amour et des relations. Dans un monde en constante évolution, les relations s'adaptent également, trouvant de nouvelles façons d'exprimer l'amour, la confiance et l'engagement.
#gynarchie#matriarchie#femaleledrelationship#gynarchy#matriarchy#femalesupermacy#femaleledworld#keyholder
2 notes
·
View notes
Text
Briefing Spirituel Quotidien (DSB)
19 Nov 2024
MOINS DE NOUS, PLUS DE DIEU !!!
« Il faut qu’il croisse, et que je diminue. »
Jean 3:30 LSG
RÉFLEXION & INSPIRATION
Dans un monde qui met souvent l’accent sur la promotion de soi et les réalisations personnelles, l’appel à diminuer son propre ego et à élever la présence de Dieu est à la fois stimulant et libérateur. Ce principe vous met au défi de prendre du recul et de permettre à Dieu de prendre le centre de votre vie.
Il ne s’agit pas simplement de réduire votre visibilité, mais de réfléchir à vos priorités et désirs. En gardant votre identité et votre valeur enracinées en Lui, vous commencerez à voir la vie à travers une lentille divine et réaliserez que votre valeur ne se trouve pas dans les réalisations personnelles mais que chaque aspect de votre existence peut refléter Son amour et Son but. Ce changement de perspective peut transformer vos relations, votre travail et votre service envers les autres.
En termes pratiques, donner la priorité à Dieu signifie chercher sa volonté au-dessus de vos propres désirs. C’est en Sa présence que vous trouvez la vraie paix et le vrai but, sachant que vous faites partie d’un récit divin bien plus grand que vous-même. Ce changement de perspective enrichit non seulement votre vie spirituelle, mais améliore également vos relations avec les autres. En le laissant agir à travers vous, vous devenez un témoignage de sa fidélité et de son espoir pour ceux qui peuvent avoir du mal à voir la lumière dans leur propre vie.
Sois béni et rappelle toi que Tu es choisi !!! « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis » (Jean 15 :16, LSG)
🙏🏼 PRIONS 🙏🏼
« Seigneur, je désire diminuer pour que tu puisses augmenter dans ma vie. Aide-moi à faire passer ta volonté avant la mienne et à refléter ton amour dans tout ce que je fais. Apprends-moi à compter pleinement sur toi et à être un vaisseau pour ta gloire.
Seigneur, aide-moi à abandonner mes ambitions et mes désirs à Ta volonté. Apprends-moi à vivre d’une manière qui te glorifie et reflète ton amour pour les autres. Au nom tout-puissant de Jésus, je prie. Amen et Amen »
N’oubliez pas de partager ce message
…/Power connexion/DG
0 notes
Text
si je puis me permettre, commençons par une blague. lol. c’est marrant. dernièrement j’ai constaté que j’étais capable de me montrer plus vulnérable dans ma façon d’interagir avec ce qui m’entoure.
c’est quelque chose que j’avais énormément de mal à honorer parce que j’ai pris pour habitude de toujours être dans l’anticipation et la validation d’autrui mais surtout dans l’incertitude et le déni des lois qui semblent régir ce monde.
dans ma foulée, je n’accordais pas de temps à la complexité et au contexte des émotions qui me traversaient.
mon intégr(al)ité.
j’ai été à la merci de solutionner le sentiment d’inadéquation qui m’habitait puisque je pensais en être responsable. j’ai cherché des réponses à l’extérieur de moi-même puisque c’est ce qu’on m’a toujours appris ici.
ça m’aura valu — pour le pire, entre autre — de la maltraitance, des amitiés brisées, des amours sous condition, des besoins réprimés, du mépris, des abus, de la condescendance, des abandons, des rejets, des désillusions, des silences et du harcèlement.
tout cela sans que je comprenne la place donnée à mes ancêtres, à ma descendance et par conséquent, celle que je me suis donnée à moi-même.
mon irrespect personnel m’a rendue pressée dans une course régie par des institutions sans visage. le souffle coupé, j’étais animée par une énergie incontestable qui ne trouvait pas sa place malgré son existence.
par bienveillance — j’imagine — mon corps a décidé de m’alarmer en me faisant payer le prix de mon sacrifice avec une pathologie à ce jour non-identifiée qui me contraint à des douleurs chroniques et des symptômes de l’ordre dépressif. j’ai pris conscience que mon ressentiment était devenu débilitant — j’adore ce mot lol — mais aussi qu’il était tout à fait en accord avec ce que j’avais subi.
de là s’en est suivi un suivi médico-social et administratif assidu et problématique. je me suis consacrée en parallèle à une multitude de recherches dans les domaines de la psychologie, de la douleur, du traumatisme, de l’anatomie, de l’Histoire (askip), de la sociologie et de l’occulte — en gros. toutes ces choses sont pour moi intrinsèquement liée à la condition humaine.
à ce jour, je suis toujours souffrante, en colère et en cavale malgré les ‘soins’ que j’ai suivi depuis 2017. mon intention reste également inchangée ; je souhaiterais que mon corps et ma pensée accompagnent mon témoignage et ma réalité comme l’ont fait/le font beaucoup d’autres personnes, dans l’abondance.
je ne sais pas comment les remercier pour la force vitale qu’ils incarnent jusqu’à présent si ce n’est en m’autorisant — en toute conscience — à suivre le passage qu’ils ont dégagé. je ne sais pas si ça parviendra à me guérir mais je pense bien me le devoir.
je pense également avoir pris du recul et mieux compris le sens de la violence des propos tenus sur mes investigations créatives par des inconnus, des proches et/ou moi-même dans mes moments auto-destructifs : « insignifiants », « vu et revu », « narcissiques » ou « je comprends pas qui ça intéresse de regarder ça », « la vie n’est pas un clip de r&b 90s » et j’en passe.
mes partages ont commencé dès que j’ai pu avoir accès à internet. c’est en faisant un travail d’archivage et de partage que je me suis rendu compte de ce qui m’a toujours importé.
mon intégr(al)ité.
pour faire valoir ce que de droit, je dédie ce texte à mes amis, à mes inspirations, à mes amours, à mes soutiens et à mes emmerdes. j’espère que vous vous reconnaîtrez puisque vous méritez.
0 notes