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Santé. Treize stations du métro de Paris dépassent les seuils de pollution
Une étude de l'observatoire de l'air en Ile-de-France Airparif a révélé que treize stations de métro de la capitale ont des niveaux d
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Environnement : Airparif lance un nouvel outil, pour visualiser rue par rue et heure par heure l'évolution de la pollution de l'air
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Pendant les Jeux de Paris 2024, les spectateurs pourront donc connaître les concentrations en dioxyde d'azote, en particules fines ou encore en ozone et savoir si elles sont acceptables ou non. L'outil restera disponible après les Jeux.
franceinfo
Radio France
Publié le 11/07/2024
"Airparif, qui mesure la qualité de l'air en Île-de-France, lance un nouvel outil sur son site internet et sur son application, qui va permettre de visualiser rue par rue et désormais heure par heure l'évolution de la pollution de l'air, rapporte jeudi 11 juillet France Inter. L'outil pourra notamment être utilisé au-dessus des sites olympiques pendant la période des Jeux de Paris pour mesurer la qualité de l'air mais aussi après les Jeux.
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à lire aussi Pollutions sonores et atmosphériques : 80% des habitants de l'Île-de-France sont exposés à des niveaux supérieurs aux recommandations de l'OMS
[Image] Airparif propose un nouvel outil sur son site et son appli pour mesure la qualité de l'air en direct dans un lieu précis. (CAPTURE D'ECRAN)
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Mon compte-rendu subjectif du Conseil régional du 29 mai 2024
LR et LREM posent des questions d’actualité, très pro-bagnoles, sur le Bd périphérique, en criant au chaos et à l’enfer, alors que le projet de la mairie de Paris consiste simplement en une limitation à 50 km/h et une voie réservée aux transports en commun, taxis et co-voiturage. Sur la forme, Jean Brun parle de “l’escrologie des écologistes” … tout va bien au pays des insultes. Bref toujours la même rengaine, celle que la droite nous a servi au moment de la piétonisation des voies sur berges. La droite toujours autant visionnaire, complètement sourde aux problèmes de bruit et de pollution.
LFI fait l’inventaire des problèmes de la politique des transports, dont les 1,5 millions dépensés pour les taxis volants.. Pécresse défend encore une fois les taxis volants, et prédit que cela va se développer partout car c’est un transport “écologique” (alors que l’autorité environnementale est franchement contre).
Le PC pose la question des subventions au lycée Stanislas, alors qu’elle a coupé celles pour Science Po. V. Pécresse rétorque qu’elle y est obligée par la loi.
Le RN cite la LICRA pour attaquer la grande mosquée de Paris, car elle a reçu une candidate de la LFI.
Nous posons la question des forages et puits de pétrole prévus à proximité de la forêt de Fontainebleau et qui est une menace pour la qualité de l’eau. Pécresse a demandé à l’Etat un audit de la concession, mais elle défend les forages, au nom de l’industrie, et du pétrole francilien, non importé. Bref une vraie déclaration d’amour aux énergies fossiles !
Le PS dénonce la politique logement de la région. V. Pécresse défend à nouveau sa politique anti-ghetto et affirme que ca n’empeche pas la production de logements très sociaux, ce qui est bien évidemment faux.
Puis on passe au vote du Compte Financier Unique. Le débat est un peu classique, à noter quand même que LREM fait une intervention très positive, sauf leur vote contre, on pourrait les classer dans la majorité de droite et non dans l’opposition. On dénonce une sous consommation des dépenses, au détriment du fonctionnement des organismes associés comme l’IPR ou Airparif. Les investissements sont aussi insuffisants sur le climat et la pollution.
Le Budget supplémentaire permet d’ajuster le budget voté en décembre. Mais hélas, on ne rectifie pas grand-chose et au contraire il enfonce le clou de politiques budgétaires droitières.
Nous posons des amendements pour renforcer la rénovation des lycées et arrêter la gabegie du tout numérique, pour la végétalisation des cours des lycées, pour rénovation thermique.
A. Pulvar se prend un avertissement, alors qu’elle vient de faire une intervention très pertinente pour défendre un plan contre les pollutions des pesticides. deux poids deux mesures.
Nous votons contre, car les services publics franciliens vont mal ! Tout simplement.
On vote la création de 41 emplois pour la base de loisirs de St Quentin en Yvelines. Il s’agit de la reprise par la région de ces emplois, la région étant bien contrainte de le faire, le syndicat mixte étant lâché en rase campagne par le département du 78 et l’agglo de St Quentin en Y. (tous les deux de droite !). Bref, la droite pompier pyromane.
On vote pour l’agenda “IDF sans Sida”, malgré l’absence de budget et de calendrier. Nous demandons en particulier des actions à destination des travailleurs du sexe, des usagers de drogue (et notamment des salles de conso) et des sans-papiers.
Une convention avec l’ARS est signée.
Le rapport de la chambre régionale des comptes sur le comité régional du tourisme est présenté. Il montre une mauvaise gestion et le manque d’ambition et de moyens de sa stratégie sur le tourisme. Nous en profitons pour pointer le bilan climat désastreux d’un tourisme uniquement dirigé vers la clientèle étrangère - et les voyages d’élus, payés par le contribuable, à Las Vegas ou Sydney pour promouvoir la destination Paris.
Un vœu du PC porte sur le racisme et les discriminations. Alors que ca devrait être un combat commun contre l’extreme-droite, l’intervention de la droite avec Pierre Liscia est particulièrement de bas étage traitant ouvertement toute la gauche d’antisémite. Le voeu est rejeté, avec beaucoup de votes contre.
Un vœu de LREM porte pour un Groupe de travail sur les familles monoparentales. On vote pour même si c’est un peu gonflé de la part du parti d’un gouvernement bien peu social, mais on peut rêver qu’à l’assemblé nationale ils ne l’oublieront pas pour voter la PPL de la gauche parlementaire. He he l’UDI hésite, demande une suspension de séance, et finalement ne le vote pas.
On finit par une photo du groupe avec des pancartes pour demander le cessez le feu à Gaza.
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Air Parif
In France, air quality monitoring is entrusted to independent associations, the AASQA (approved air quality monitoring associations). These associations, with a regional dimension, make up the reference mechanism at the national level. In Île-de-France, Airparif is in charge of this monitoring and information. Airparif, an association for monitoring and providing information on air quality in…
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Selon un premier bilan réalisé par Airparif, après avoir brutalement chuté pendant le confinement, la pollution de l’air est revenue depuis trois semaines.
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Crise positive
Transition écologique et confinement collectif. Vous ne voyez pas le rapport ? Pourtant on est bien dedans... Comment en est-on arrivé là, que pouvons-nous en tirer, et surtout, comment envisager l’après ? Comme une excuse pour prendre le versant positif de cette crise, et croire que cette expérience peut nous rendre meilleurs.
Ce virus serait-il un message envoyé par la nature ? On pourrait l’interpréter ainsi. Le Covid-19 arrive dans un contexte écologique qui fait réfléchir aux dysfonctionnements de notre société, que ce soit en terme de traitements de nos animaux ou de notre écosystème. Si nous continuons comme ça, il se pourrait même que d’autres virus émergent de la fonte des glaces. Un rythme incessant trop occupé à répondre aux objectifs d’un train train quotidien toujours en quête d’optimisation. Après quelques semaines de mise à l’arrêt, on ouvre enfin les yeux sur une réalité qu’on avait peut-être trop oublié.
Depuis que nous sommes en confinement, c’est un fait, la planète respire de nouveau. La qualité de l’air s’est améliorée avec de -30 % à -60% de dioxyde de carbone pour la région parisienne (selon Airparif). Elle n’aura jamais été aussi bonne depuis 40 ans. Grâce à l’absence d’activité de plaisance en mer, en montagne et sur les routes, on l’a vu, la nature reprend ses droits : les poissons ont plus d’oxygène dans l’océan, les dauphins sont revenus dans les ports de Sardaigne, les canards dans les rues de Paris, et même les loups sur les pistes de Courchevel. Partout, les oiseaux chantent… ou plutôt on les écoute. (On peut même contribuer à la recenser sur le site de la LPO). Par cette phase en suspens, le silence refait surface, on prête plus d’attention à ce qui nous entoure, on redécouvre nos proches, notre nourriture, les valeurs simples du quotidien… et même les étoiles du haut de nos appartements parisiens.
Mais pour que tout cela ne soit pas qu’une parenthèse enchantée, j’ai voulu m’intéresser à ce qu’il se passerait “après”. Et malheureusement, je me suis vite rendue compte que, pour beaucoup, les raisons économiques pourraient prendre le pas sur les questions écologique. A tort, car ces deux entités, encore plus aujourd’hui, sont étroitement liées pour affronter les crises futures. La question est à juste titre : comment sortir intelligemment du confinement ? Soit on se remet à occuper l’espace comme avant sans se poser de question sur notre consommation, soit on prend le temps du confinement pour réfléchir à vivre différemment. Au mieux, on aura retardé de deux mois le réchauffement climatique, au pire on fera face à une phase de sur-consommation qui annihilera tous ces efforts.
L’idée est de tirer les leçons de nos erreurs passées, notamment quand on repense aux dernières crises économiques où il y a eu recours à des aides financières. Je parle là de 2008, où pour sortir de cette dépression, les priorités ont largement été mises ailleurs que dans l’écologie (2% pour le climat, 0,2% contre… le reste ? y était indifférent). L’engagement écologique n’est pas une entrave à la sortie de crise, au contraire, il peut aider à reconstruire dans le bon sens une société plus résiliante.
Cette semaine est sorti un plan de relance publié par I4CE (Institut for Climate Economics). Il tient compte de sept investissements verts bas-carbone, dont le logement, les déplacements, les énergies renouvelables... au sein d’une trentaine de mesures pour réactiver l’économie. Aussi honorables soient-elles pour anticiper les crises futures, elles devront cependant être encadrées de normes et de politique fiscale. Le risque sinon ? Retomber dans une crise sociale telle que celle des gilets jaunes. Ainsi, le député Matthieu Orphelin, en appel à “la mobilisation du monde de la culture, de la publicité, et de l’éducation, pour construire un nouvel imaginaire collectif, axé sur l’esprit de solidarité, de sobriété, et de responsabilité écologique.”
Si l’engagement écologique s’élabore principalement autour de l’Etat, je voudrais souligner qu’il prendra forme avant tout à travers chacun de nous. Le professeur Bruno Latour l’appuie par une réponse radicale dans un entretien pour France Inter : “si on ne profite pas de cette situation incroyable pour changer, c’est gâcher la crise”. Alors qu’il y a quelques mois encore, l’opinion publique pensait qu’il était impossible de suspendre notre modèle économique, aujourd’hui ça y est, le monde entier se retrouve à l’arrêt. C’est une aubaine pour le changement. Mais à quoi sert d’être dans une telle situation si c’est pour ensuite tout reprendre comme avant ?
Face à la catastrophe écologique qui s’annonce, c’est l’occasion d’infléchir notre système de production et de mondialisation, dont nous savons qu’il est une des causes de ce désastre sanitaire. Notre chance, c’est que pour la première fois depuis bien longtemps, on est tous égaux face à une crise. Prenant conscience de notre pouvoir de masse, on se doit de profiter de cette globalisation, pour questionner nos modes d’existence. Une difficulté qui est d’abord individuelle pour savoir ce à quoi on tient ou à contrario ce qui nous est superflu, et à plus grande échelle : inciter chacun à avoir un regard sur la cohérence de notre société.
“Ne pas avoir de discernement face à une telle crise, c’est un crime (...) c’est une chance cette épidémie si on la saisit bien” ajoute Bruno Latour dans son discours. Ce raisonnement, aussi radical qu’il puisse paraître, a cependant beaucoup à tirer dans l’idée de “jouer le coup d’après”. Car comme le dit le professeur, “la crise suivante, on ne sait pas si on pourra la surmonter”.
La crise suivante, c’est celle de l’effondrement. Aujourd’hui, si on veut être acteurs de notre futur, on doit passer par une réflexion sur “les déplacements”. Ceux que nous engendrons pour nous même d’une part, mais aussi les déplacements de notre nourriture, de nos vêtements et de tout ce qui constitue notre entourage matériel. Aujourd’hui, je crois qu’on est sur la bonne voie. Il y a tout à faire, et j’ose espérer que nous sortirons de cette crise avec un peu de satisfaction.
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Pollution aux particules fines : un inventeur a trouvé la solution !
© TALLANO TECHNOLOGIE
Par Rédaction Science&Vie
Le 23 déc 2015 à 00h00 mis à jour 27 fév 2019 à 16h39
Il n'y a pas que les pots d'échappement... Dans une voiture, freiner libère aussi de grandes quantités de particules nocives. Qu'un petit "aspirateur", installé sur la roue, peut capter ! Muriel Valin a voulu en savoir plus.
Quand on parle de pollution auto mobile, la première image qui surgit est sans conteste celle de la fumée, plus ou moins noire, crachée par les pots d’échappement. Pourtant, ces gaz ne doivent pas occulter une autre réalité : il n’y a pas que le moteur qui pollue. Loin de là. Plaquettes et disques de frein émettent, eux aussi, leur lot de particules fines toxiques. Et en quantité
Repères:
En voiture, à chaque freinage, plaquettes et disques libèrent des particules fines toxiques (notamment du cuivre). Les associations qui surveillent la qualité de l’air (Airparif...) estiment que plus de 40 % des particules polluantes émises par le trafic routier proviennent non pas des échappements mais de l’abrasion des pneus, de la route et des freins.
La preuve ? Le doigt passé sur une jante se couvre d’une fine poussière noire, produit de l’abrasion du disque et de la plaquette de frein.
Or, ces particules fines ne se contentent pas de s’incruster sur la roue. Elles se dispersent aussi dans l’air, où elles affectent la santé (irritation des voies respiratoires, affections cardiovasculaires...).
En 2012, l’OMS a estimé que 3,7 millions de personnes dans le monde mouraient pré maturément à cause d’une ex position aux particules fines d’un diamètre de 10 micro mètres ou moins (les PM10) ! A l’origine de cette pollu tion dangereuse, les fumées produites par l’industrie, le chauffage... et, pour 15 %, le transport. Catégorie dans laquelle les particules issues du freinage s’arrogent, à nouveau, 15 %. Soit un peu plus de 2 % du total des particules fines. Une contribution qui, bien que faible, correspond à 9 000 tonnes/an de poussières toxiques libérées dans l’atmos phère, rien qu’en France !
Personne n’y avait songé !
La bonne nouvelle, c’est qu’une invention prometteuse pourrait ramener ces émissions à quasiment zéro, en captant et retenant les particules à la source, au niveau de la zone de contact du disque et de la plaquette de frein. “En réfléchissant à la manière d’éviter ce dépôt noir sur la roue, j’ai imaginé un système, appelé Tamic, qui, accroché à la roue, aspirerait les particules en direct et les stockerait (qui représente parfois jusqu’à 20% de la plaquette) pour le remplacer par des matières premières moins nocives... Et les équipementiers en reviennent toujours au problème principal, incontournable : des matériaux qui frottent pour freiner laissent immanquablement échapper des particules !
C’est là que l’invention de Tallano Technologie pourrait faire la différence... à condition de relever le défi de sa mise en œuvre. “On peut penser que je n’ai rien fait d’autre que réinventer le principe de l’aspirateur. Mais, en pratique, je me suis retrouvé face à des contraintes énormes et des compromis mécaniques permanents”, souligne Christophe RoccaSerra.
D’abord, la taille et l’emplacement de la pièce: la turbine doit être assez grande pour aspirer efficacement; mais pas trop volumineuse pour pouvoir s’insérer dans une roue sans perturber son fonctionnement. Sachant que le frein est un organe de sécurité vital, sur lequel il n’est pas question de transiger...
Les conditions d’utilisation ont aussi fait partie des obstacles. “Un disque de frein monte à 300°C au point de contact avec le Tamic. Lequel doit donc fonctionner avec de telles températures, sans perturber les échanges thermiques habituels”, poursuit l’inventeur.
Il faut enfin que “l’aspirateur” résiste durablement aux vibrations, à la corrosion... Et que son “sac” retienne les particules longtemps, idéalement entre deux révisions (environ une fois par an), pour être vidé par un technicien.
Pour relever ces défis, l’entreprise s’est rapprochée du laboratoire de mécanique des fluides de l’Ecole nationale des arts et métiers de Paris et de celui étudiant les frottements à l’Institut national des sciences appliquées de Lyon. Le premier s’est concentré sur la conception (géométrie, taille) de la turbine, le second sur la manière de ne pas perturber le freinage.
un coût à L’unité Dérisoire
Au bout de deux ans et demi, le dispositif complet a fini par voir le jour. Son prix de revient serait d’environ 50 € ! Au jourd’hui, quatre constructeurs automobiles, dont les noms restent confidentiels, sont intéressés. L’un d’eux pourrait sortir une gamme de voitures d’ici à la fin 2016, d’après Christophe RoccaSerra.
L’inventeur espère aussi pou voir équiper des véhicules an ciens. Et, surtout, déployer sa technologie sur d’autres moyens de transport : motos, trains et... métro. Pour lequel les chiffres sont éloquents : des mesures réalisées par Airparif et la RATP en 2008, à l’intérieur d’une station du métro parisien, montrent que le taux de particules fines PM10 peut atteindre jusqu’à 330 μg/m3, contre 20 à l’extérieur. Quelle part tient le freinage dans ce brouillard toxique, à côté de l’abrasion des roues, des rails, et des polluants de la rue ? Les mesures restent à faire. Mais le métro gagnerait sans doute à tester le Tamic... à condition qu’il soit aussi efficace et sûr que l’affirme son inventeur.
Sur ces deux points, les constructeurs et équipemen tiers non liés à Tallano Technologie s’avouent très intrigués et attendent des démonstrations précises. Jean Philippe Pedron, expert des systèmes de freinage chez Renault, juge l’idée séduisante, mais s’interroge sur la capacité à installer le système sans nuire au freinage ou à l’intégrité des pneus. Même attente du côté d’Eros Sales et Agusti Sin, deux ingénieurs italiens chargés de l’innovation chez l’équipementier spécialiste du freinage ITT. Claas Gärtner, expert chez Federal Mogul, un géant américain du secteur, estime pour sa part “qu’il ne va pas être facile d’installer un tel dispositif sans qu’en pâtissent d’autres systèmes comme les capteurs de pression ou les systèmes antiblocage”.
L’aspirateur à particules va donc devoir faire ses preuves sur la route s’il veut contribuer à rendre l’air plus respirable...
16/02/2018:
La Mairie de Paris a présenté mi septembre un nouvel outil de lutte contre la pollution automobile et notamment contre les particules fines émises lors du freinage.
Le véhicule, une Renault Zoé, a été équipé d'un système de récupération de ces particules.
Le système a été mis au point par la société francilienne Tallano Technologie, installé à Boulogne-Billancourt.
Il s'agit d'un petit boîtier appelé Tamic, il aspire les poussières issues de l'abrasion des disques de freinage.
L'avantage c'est qu'il peut s'adapter à différents modèles de voitures.
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Photo 298 - mercredi 17 août 2016
La photo n’est pas aussi parlante que je l’aurais souhaitée.
En arrière-plan, nous distinguons un bâtiment de pierre blanche : c’est le porche d’une église parisienne de type néo-byzantin. Devant ce bâtiment, nous avons des palmiers un peu incongrus. Et au premier plan, nous voyons des tubes en inox, des capteurs en forme d’assiettes, des bocaux pour les analyses et sur la droite, un verre en carton rouge, en provenance d’une chaîne de restauration américaine installée dans le quartier. En bas de la photo, nous avons le dessus d’une affiche pour un cirque en représentation dans la ville.
Que font les palmiers ? Nous informent-ils sur la tendance climatique future ? En tout cas, ils ne prennent pas le bon air car l’appareillage ci-dessous est posé quasiment au milieu d’un des carrefours les plus pollué de France : le carrefour Alésia, au centre du Petit Montrouge. C’est une des 70 stations de mesure du réseau Airparif. Cette machine mesure la pollution de l’air que nous sommes censés respirer.
En ce milieu du mois d’août, la station est quasiment au chômage, mais en règle générale, le niveau de pollution est assez élevé à cet endroit. En témoigne le gobelet en carton du fast food.
Deux ans plus tard, la station quittera son emplacement à l’occasion d’un réaménagement de la place, comme a disparu une colonne de purification de l’air. Est-ce à dire que la pollution aura disparu ? Je n’en ferai pas le pari.
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Ahmad Jamal – Live In Paris 1971 – Past Daily Downbeat – Ahmad Jamal Trio - Live in Paris - Studio 104, Maison de la Radio - Radio France - Ahmad Jamal this weekend. Joining him is Jamil Suliemann on bass and Frank Gant on drums in this 1971 Radio France studio concert, rebroadcast in 2014 by France Musique. One of the most eloquent practitioners of America's Classical Music -...
#abc-news#abraham#air-pollution#airparif#anne-hidalgo#atlanta-hip-hop#chicago#chicago-police-department#donald-trump#rahm-emanuel
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L’air est devenu irrespirable
FAUX Si certaines zones restent très problématiques (la vallée de l’Arve, dans les Alpes, notamment), les analyses montrent une forte diminution de la concentration en polluants dans la plupart des agglomérations, après un pic dans les années 1960-1990. À Dijon, Nantes ou Bordeaux, les concentrations annuelles en particules fines restent inférieures à 22 microgrammes/m3. À Paris, depuis 1992, les baisses sont de l’ordre de 50 % pour les oxydes d’azote, le monoxyde de carbone et les particules fines, et même de 70 % pour les fumées noires et de 100 % pour le dioxyde de soufre, selon Airparif. On respire donc mieux dans nos villes qu’au début de l’ère industrielle, où les usines n’étaient contraintes par aucune réglementation. En 1883, Lille avait ainsi connu un épisode de pollution à l’acide sulfureux. L’air, dit-on, y était tellement vicié qu’il attaquait non seulement les bronches mais aussi les toits en zinc !
Source: Ça m'intéresse.
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JO de Paris 2024 : Airparif annonce un épisode de pollution à l'ozone mardi
Météo-France annonce pour cette journée des "maximales autour de 34-35°C" en région parisienne.
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Mars 2023 : pollution de l’air, formation pro, mal logement
mon compte-rendu du conseil régional du 30 mars 2023
Le Pôle écolo s’agrandit et on accueille Muriel Casalaspro qui devient Conseillère régionale à la suite de la démission de Clémentine Autain qui va se consacrer à son mandat de député. Il reste encore quelques cumulards à gauche !
On commence par une minute de silence en hommage à Nacera Amimer, une agente de la région, tuée par son mari, un des 35 féminicides commis depuis le début de l’année.
La droite s’émeut de la violence des manifestants… sans un mot sur la violence policière.
A une question sur les ZFE, V. Pécresse demande à la métropole de reporter de 18 mois le calendrier de la ZFE du Grand Paris. Quand il s'agit d’agir concrètement sur la pollution de l’air des bagnoles, la droite recule.
LREM pose une question toute miel, sur le report du calendrier de la mise en concurrence des transports et sur la coopération entre l’Etat et la Région sur la question du financement des transports. Nous posons la question plus franchement du dogmatisme de cette décision folle et qui va semer le chaos dans les transports en plein JO. Pecresse campe sur ses croyances idéologiques et maintient la date du 1er janvier 2025 pour découper les bus parisiens en 12 lots.
Le RN défend carrément les néonicotinoïdes pour les champs de betterave de l’IDF.
Le PS demande la création d’une cellule transpartisane contre les VSS. Ce sera non.
L’exécutif présente son plan sur la qualité de l’air. Il est porté par Olivier Blond, délégué de V. Pécresse à la qualité de l’air, et ancien président de l’association Respire. C’est vraiment la caution “écolo” de la droite à la région. Sauf que le monsieur arrive à complètement retourner sa veste, avec un plan particulièrement vide et inique. Il en est à un satisfecit incroyable sur le sujet et à dire que, comme la pollution a baissé, tout va bien et il ne faut plus rien faire, en particulier rien pour ne pas fâcher l’électeur automobiliste. Le volet mobilité est donc particulièrement vide. Nos amendements sont tous rejetés, sauf celui sur le soutien à Airparif. Ce plan est donc un catalogue de techno-solutions, sans réelle remise en cause du modèle du tout bagnole et du tout camion et de l’agriculture accro aux pesticides.
Le Préfet de région est là pour un échange sur l’action de l’Etat. V. Pecresse se plaint que la région est brimée par la péréquation et ne touche pas assez de moyens de l’Etat. Nota : l’IDF reste la région la plus riche de France.
Le Préfet vante son action sur les JO : dépollution de la Seine ou pistes cyclables, en particulier. Il est content du CPER qui fera 1 Mds d’euros pour investir en IDF, mais n’évoque même pas quand sera vu le volet transport…
La droite régionale est très contente de financer la police nationale et se félicite de la vidéosurveillance “intelligente” et demande carrément la reconnaissance faciale.
LFI pose la question de la gare inutile à Gonesse. Nous posons la question du mal logement en IDF.
On examine la révision du schéma régional de cohérence écologique, qui manque d’ambition, et qui devrait être en phase avec les alertes du GIEC. Lutte contre l'artificialisation des sols, trame brune, ressource en eau, biodiversité, cohérence globale : les enjeux sont importants pour ce schéma qui s’impose aux documents d’urbanisme. On dit souvent que c’est difficile de … et en particulier de faire le bilan. On vote quand même la révision, mais on craint que ça accouche d’une souris.
Vient ensuite le schéma régional des formations sanitaires et sociales. Après le Covid et la casse du service public de la santé, il y a vraiment du boulot, pour former des infirmières, aides soignants… et le bilan est catastrophique en IDF avec une chute du nombre de diplômés. Les amendements visant une augmentation des bourses sont rejetés.
L’avis du CESER est d’ailleurs très critique.
Un “jaune” budgétaire est présenté sur le handicap. L’occasion de parler des problèmes d’accessibilité des gares et du réseau de transport.
Puis vient le PRIC, c’est-à-dire le Pacte régional d’investissement dans les compétences, ou en français le financement de la formation professionnelle. Un gros sujet pour la région, car c’est une de ses grandes compétences. Le PRIC est trop tourné vers les besoins des entreprises, pour faire rentrer les jeunes dans le moule, et pour des emplois précaires ou peu attractifs. Il est aussi peu cohérent d’avoir cassé les outils de l’orientation pour les jeunes, comme Defi métiers.
(je pars avant la fin de l’examen du contrat de plan régional de développement des formations et de l’orientation professionnelles et les voeux LR et UDI qui ne risquent pas de casser la baraque)
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Je bosse beaucoup, je file courir, l'air est pollué.
Je bosse beaucoup, je file courir, l'air est pollué. Je le sens en courant, garde le masque un moment, l'enlève toutefois lorsque j'arrive en bord de Seine, j'ai l'impression qu'il est épais, que j'avale des granulés. Une fois rentrée je regarde la carte Airparif, entre rouge vif et jaune foncé. Peut-être que je n'aurais pas dû aller courir dans ces conditions. À part ça il faisait doux. La pandémie est si répandue qu'on finit par ne plus faire trop gaffe. Les malades avertissent par courtoisie les personnes croisées quelques jours avant. Mais on n'en fait plus rien de prophylactique : éventuellement si on a le nez qui coule, un peu de fièvre, de la fatigue, on se fera tester et on n'ira pas travailler. J'ai reçu "L'ingénieur constructeur" et Le Joueur de Pétanque s'est plongé dans sa lecture. Les patineuses et patineurs ukrainiens sont venus participer aux mondiaux, certains ont mis 10 jours pour pouvoir sortir de leur pays et venir. Ils ne s'étaient pas entraînés, occupé·e·s qu'iels étaient par l'exode. Un jeune homme s'est surpassé, qui a emporté une médaille et les larmes aux yeux témoignait de la force des citoyen·ne·s de ce pays. À le voir j'ai attrapé une bouffée d'espoir que son pays parviendrait à conserver son indépendance, sinon son unité.
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Le trafic automobile à Paris redépasse son niveau d’avant confinement
Un nouveau rapport d'Inrix a été publié et identifie les tendances du trafic automobile à travers l'Europe depuis que la pandémie de coronavirus a frappé le continent. Inrix Trip Trends permet de visualiser et d'analyser les “véhicules-milles parcourus” (VMT) dans les villes et les pays à travers l'Europe.
Le VMT a bien entendu chuté à travers l'Europe atteignant les niveaux les plus bas jamais enregistrés.
Sur le graphique ci-dessous, vous voyez Paris en jaune à un niveau de 100% début mars, chuter à 20% de trafic fin mars, puis remontant doucement jusqu’à dépasser très légèrement les 100% fin juin.
Et bien évidement lorsque les VMT grimpent, les vitesses de déplacement baissent.
La combinaison des données de temps de trajet et des kilomètres parcourus par les véhicules permet d'analyser comment les futures augmentations du VMT pourraient affecter les temps de trajet.
https://www.traffictechnologytoday.com/news/covid-19-news/feature-inrix-assesses-the-impact-of-covid-19-on-uk-and-european-traffic.html
Ici les données de Waze confirment et AirParif mesure en conséquence une pollution qui revient à son niveau d’avant confinement; https://www.franceinter.fr/societe/le-confinement-est-bien-fini-ce-n-est-pas-macron-qui-le-dit-mais-les-donnees-de-waze
En parallèle cette étude en Ile de France par INOV360 auprès de 12000 personnes ; 31% des répondant disent réduire leur usage des transports en commun, quand 31% également déclare augmenter leur consommation de la voiture.
https://www.linkedin.com/posts/vpilloy_covid19-mobilitaez-idf-activity-6686668140547502080-SFWA
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INFOGRAPHIE. Comment la canicule provoque des pics de pollution à l'ozone
INFOGRAPHIE. Comment la canicule provoque des pics de pollution à l’ozone
Dans des villes déjà polluées, les épisodes de forte chaleur aggravent le phénomène. Explications en images.
Les Parisiens et les banlieusards n’ont pas seulement très chaud. Ils respirent aussi un air vicié. A Paris et dans toute l’Ile-de-France notamment, la canicule se double d’un épisode de pollution à l’ozone. Mercredi 21 juin, le niveau d’alerte a même été atteint, selon Airparif.
Les…
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NIVELES DE CONTAMINACIÓN AÉREA EN TODO EL MUNDO
A medida que las principales ciudades de Europa entran en cierre, los niveles de contaminación del aire están disminuyendo drásticamente.
Los niveles de partículas, que generalmente provienen de vehículos que queman combustible, así como el dióxido de nitrógeno de los gases de escape de los vehículos, han estado disminuyendo en Londres, París, Roma, Milán y muchas otras ciudades importantes de Europa.
Según los datos recuperados de la Red de Calidad del Aire de Londres y analizados por el Centro Nacional de Ciencia Atmosférica, los niveles de partículas ultrafinas de Londres, o PM2.5, y dióxido de nitrógeno han caído en aproximadamente la mitad de lo que generalmente se registra desde su pico a mediados de febrero. Descartes Labs, una firma de análisis de imágenes geoespaciales, proporcionó imágenes satelitales que compararon la fuerte contaminación del aire en Londres en 2019 con la menor contaminación del aire en 2020. Un informe de Airparif, una organización sin fines de lucro dedicada a monitorear la calidad del aire de París, dijo que solo dos días después del cierre nacional y sus datos ya están registrando "una mejora del 20 al 30 por ciento en la calidad del aire en la metrópoli de París, después del nitrógeno las emisiones de óxido cayeron en más del 60 por ciento".
En Italia, el país más afectado en Europa y el país con más muertes por coronavirus, la Agencia Europea del Medio Ambiente de la Unión Europea confirmó que la calidad del aire está mejorando. Según sus datos, Roma y Milán están viendo una caída del 50 por ciento en las concentraciones de contaminantes del aire. El país ha estado bajo un bloqueo nacional desde el 9 de marzo. Las imágenes tomadas del norte de Italia por la Agencia Espacial Europea (ESA) pudieron observar una notable mejora en la calidad del aire debido a la disminución de las emisiones de automóviles, plantas de energía y fábricas en la región. En Venecia, la falta de visitantes que llegan a la ciudad turística ha hecho que las aguas sean mucho más claras. La oficina del alcalde Luigi Brugnaro se apresuró a señalar que esto no se debe a la mejora de la calidad del agua, sino simplemente porque no hay góndolas u otros barcos que aren las vías fluviales de la ciudad, lo que hace que los sedimentos se depositen en el fondo marino. Además, los residentes han estado viendo más peces de lo habitual. El primer ministro británico, Boris Johnson, pidió un cierre de tres semanas el lunes. Italia fue el primer país del mundo en hacerlo, ya que se retractó de la libertad de movimiento de sus ciudadanos desde el 9 de marzo. En Francia, el presidente Emmanuel Macron inició un cierre nacional de 15 días que comenzó el mediodía del 17 de marzo.
A medida que la vida cotidiana en toda Europa, y en muchas otras partes del mundo, se detiene, el mundo puede esperar que la calidad del aire mejore aún más a medida que se cierran más. "La calidad del aire ha comenzado a mejorar en muchas ciudades del Reino Unido, reflejando lo que se ha visto en otros países que han restringido los viajes y los niveles de actividad al aire libre", dijo Alastair Lewis, Director de Ciencia (Química) en el Centro Nacional de Ciencia Atmosférica. La contaminación del aire causa aproximadamente 40.000 muertes tempranas en el Reino Unido cada año. Está relacionado con problemas de salud como derrames cerebrales, enfermedades cardíacas, cáncer de pulmón y enfermedades e infecciones respiratorias. Incluso está relacionado con el retraso en el desarrollo de los pulmones de los niños. Sin embargo, los expertos creen que todavía es demasiado pronto para asegurar si las mejoras en la calidad del aire en todo el mundo pueden compensar cualquiera de las muertes causadas por COVID-19. Animation shows the decline of air pollution, specifically nitrogen dioxide emissions, over Italy. This reduction is particularly visible in northern Italy which coincides with its nationwide lockdown to prevent the spread of the coronavirus. Source: https://t.co/Gv1zg4mhcO pic.twitter.com/WyKvcvDe03— Simon Kuestenmacher (@simongerman600) March 16, 2020 China, los Estados Unidos y otras partes del mundo están experimentando niveles reducidos de contaminación del aire. Europa no es el único lugar que experimenta un aire más limpio. En China, donde comenzó la pandemia de coronavirus, las medidas de cuarentena han resultado en este maravilloso efecto secundario en el que su calidad de aire terrible ampliamente conocida está mejorando. Las imágenes satelitales del Observatorio de la Tierra han mostrado caídas significativas en los niveles de contaminación del aire en China. Esto se produce cuando el país puso rápidamente en cuarentena muchas áreas muy pobladas del país, deteniendo el tráfico aéreo y vial, así como la actividad industrial.
La mayor caída del nivel de contaminación del aire en China proviene de la provincia de Hubei, hogar de Wuhan, donde comenzó el brote en diciembre de 2019. La ciudad de más de 11 millones de personas sirve como un importante centro de transporte y también alberga cientos de fábricas de propiedad por las industrias nacionales y extranjeras. Suministran piezas de automóviles y otro hardware a las cadenas de suministro mundiales. Según los datos de la NASA, los niveles de nitrógeno en el este y centro de China (que incluye Hubei) son entre un 10 y un 30 por ciento más bajos que el promedio. La vecina Corea del Sur también se ha beneficiado de los niveles reducidos de la industria. Si bien el país hasta ahora ha podido evitar ponerlo bajo llave, los niveles de contaminación del aire también han disminuido gracias en parte a los niveles reducidos de actividad industrial en China. Nitrogen dioxide over #China has dropped with the coronavirus quarantine, Chinese New Year, and a related economic slowdown. https://t.co/URfLNy0GZJ #NASA #COVID2019 pic.twitter.com/PM60uL772K— NASA Earth (@NASAEarth) March 4, 2020 En los Estados Unidos, los niveles de contaminación del aire también han disminuido. Los datos de satélites que detectan emisiones en la atmósfera causadas por automóviles y camiones muestran una gran disminución de la contaminación del aire en muchas de las principales áreas metropolitanas del país, como Nueva York, Los Ángeles, el área de la Bahía de San Francisco, Seattle, Chicago y Atlanta.
En California, Los Ángeles, la región del Valle Central y el Área de la Bahía de San Francisco han visto niveles drásticamente más bajos de contaminantes en el aire. Los Ángeles es famoso por su fuerte congestión y sus altos niveles de smog. Sin embargo, los datos preliminares del satélite Sentinel-5P de la ESA muestran que las emisiones de automóviles y camiones en la ciudad son considerablemente más bajas en las primeras dos semanas de marzo en comparación con el mismo período en 2019. En el área de la Bahía y el Valle Central, donde las autoridades locales han implementado medidas más estrictas de refugio en el lugar, también hay una concentración significativamente menor de contaminantes del aire. La cantidad de camiones y automóviles que cruzan el Puente de la Bahía, que conecta San Francisco con Oakland, ha disminuido en aproximadamente un 40 por ciento.
Estos resultados se han replicado en todo el país. En Nueva York, donde es menos probable que los residentes dependan de las opciones de transporte privado, el tráfico en las horas pico se movía un 36 por ciento más rápido de lo normal debido al menor volumen de automóviles en la carretera. En Seattle, donde aparecieron algunos de los primeros casos de coronavirus del país, el uso de vehículos en las horas pico de la mañana disminuyó en casi un 40 por ciento. Satellite footage shows a dramatic reduction in air pollution over China and Italy between December 2019 and March 2020 amid the #coronavirus outbreak pic.twitter.com/lweAzUU7i3— CBS This Morning (@CBSThisMorning) March 19, 2020 Sin embargo, la Agencia Internacional de Energía, una organización intergubernamental con sede en París, advierte a los países que el impacto económico de la pandemia de coronavirus puede potencialmente debilitar la inversión en fuentes de energía limpia, como la solar y la eólica. Entonces, si bien el aire más limpio puede ser un efecto secundario positivo de los bloqueos ahora, si los gobiernos no actúan rápidamente para dar vida a sus respectivas economías, la calidad del aire puede empeorar en el futuro cercano. Si bien las personas pueden disfrutar de un aire más limpio durante las próximas semanas, es posible que no dure mucho y este beneficio puede compensarse en gran medida si sus respectivos gobiernos no manejan bien la pandemia de coronavirus. Tags causas de la contaminacion del aire, contaminacion del aire causas. consecuencias de la contaminacion del aire. imagenes de la contaminacion del aire. contaminacion del aire causas y consecuencias. tipos de contaminacion del aire, informacion de la contaminacion del aire. informacion sobre la contaminacion del aire. contaminacion del aire consecuencias, contaminacion del aire wikipedia. contaminacion del aire para niños, efectos de la contaminacion del aire. dibujos de la contaminación del aire, ejemplos de contaminacion del aire. contaminacion del aire dibujos, contaminacion del aire pdf. causas y consecuencias de la contaminacion del aire. 10 causas de la contaminacion del aire. Read the full article
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