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Hop hop hop, c’est les vacances, je poursuis ma fixette sur Lola Lafon.
Elle a décidément beaucoup de talent, je me suis encore fait avoir, en lisant ce roman. Comme il était fondé sur un événement réel, j’ai cru que le personnage de Gene Neveva était également vrai. Elle est vraiment douée pour créer des personnages auquel on croit.
Bref, je ne connaissais pas du tout l’histoire incroyable de cette jeune Patricia Hearst, fille d’un magnat de la presse américain, qui se fit enlever par un groupuscule libertaire et révolutionnaire, le SLA, en février 1974. Le truc dingue, c’est que 2 mois à peine plus tard, la riche héritière proclamait être leur alliée et combattre auprès d’eux. Elle participa même à des braquages de banque !!!
Histoire réelle foutraque où on ne comprend rien, et le roman participe à cette confusion en multipliant les lectrices des événements : la narratrice qu’on découvre à mi roman, l’universitaire chargée de rédiger un rapport pour la défense lorsque Patty est arrêtée et s’apprête à être jugée, et au milieu, Violaine, étudiante engagée par la charismatique enseignante américaine, un peu perdue, dévouée. Chacune épluche le dossier, les fameuses déclarations successives de Patricia qui communique avec ses parents (et le FBI) sur bandes enregistrées, épie les photos, les rapports de psychiatres, le passé de la jeune fille pour savoir si elle a subi un lavage de cerveau (ce qu’on semble désormais confondre avec le syndrome de Stockholm). Elles discutent, supputent, argumentent, tâtonnent. Comme pour Nadia Comaneci dans son roman précédent, l’autrice met un point d’honneur à laisser les questions ouvertes et à ne pas trancher. On n’aura pas d’explication finale ferme.
Peu importe, ce n’est pas exactement le sujet me semble-t-il. Ce qui compte, c’est d’assister, dans les années 70 aux différentes réécritures d’une personnalité qui se forme, se transforme, n’est pas figée, évolue et peine à être tout simplement entendue. Ainsi qu’aux écritures des événements qui se superposent à sa voix : celles du père Hearst, celle du petit ami de Patricia, celle du FBI, celle des journaux (dont le chef est le père de Patricia)… l’Amérique toute entière est accro à ce récit renversant. Le SLA veut une justice sociale, de la nourriture pour tous. Comment être en désaccord ? En même temps, ils sont armés jusqu’aux dents. Patricia, la victime, devient bourreau dès qu’elle agrippe une arme. Alors, doit-on la plaindre ou l’exécuter lors d’une arrestation spectacle diffusée en direct devant tout le pays à la télévision ? Les choix politiques de l’époque sont troublants. Lola Lafon capture bien la mort des idéaux de 68, le Flower Power nettement flétri, et l’avènement de l’individualisme et du fric tout puissant des années 80.
Personnellement, j’ai été très touchée par Violaine, en lutte silencieuse, discrète, modeste, contre la détermination de sa destinée. Sans faire de bruit ou de grand fracas, elle se trace une vie à sa manière, qui correspond à ses désirs et son absence d’envie de briller d’aucune manière. Une non-héroïne peut-être vraiment libre.
Bref, encore un livre passionnant de Lola Lafon.
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Partageons mon rendez-vous lectures #11-2024 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Une avalanche de conséquences d’Elizabeth George. Une avalanche de conséquences d’Elizabeth George – Editions Pocket Au nord de la frontière de R.J. Ellory Au nord de la frontière de R.J. Ellory – Editions Sonatine Amnésia de Juan Echeverria Amnésia de Juan Echeverria – Editions Actes Sud Jeunesse En lecture, le dernier Karine Giebel, Et…
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La lectrice disparue, Sigrídur Hagalín Björnsdóttir
Edda, une jeune blogueuse islandaise, s’enfuit un jour sans laisser d’explication, laissant derrière elle son bébé de trois jours. Lorsque la police se rend compte qu’elle s’est enfuie à New York, son frère Einar accepte de partir à sa recherche. Depuis leur plus tendre enfance, ils entretiennent une relation fusionnelle, et il a toujours su la retrouver où qu’elle se cachait — invariablement plongée dans un livre.
J’ai vraiment apprécié ce roman — pas un énorme coup de cœur, mais c’était sympa. Au-delà d’une histoire de disparition, c’est surtout une belle histoire de famille. Entre l’Islande de la fin des années 90 et New York aujourd’hui, on navigue entre les époques et les personnages ; j’ai beaucoup aimé suivre d’abord les mères, puis les enfants. Les personnages des parents sont vraiment mes coups de cœur. Le côté enquête m’a bien plu aussi, c’était un bon mix entre polar et littérature blanche, franchement c’était chouette ! Je voulais vraiment savoir où était passée Edda, ce qui lui était arrivé, pourquoi elle a décidé de tout quitter du jour au lendemain, et surtout, pourquoi elle a décidé de ne laisser des indices qu’à Einar. Après, j’avoue que la réponse au pourquoi du comment m’a un peu laissée dubitative, mais heureusement ça se finit mieux que ça. Donc oui, un roman bien sympa ! Je peux comprendre pourquoi il a fait un carton en librairie lors de sa sortie en grand format.
17/01/2024 - 19/01/2024
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Dos siglos de falsas noticias arqueológicas
Por Stéphane François
Traducción de Juan Gabriel Caro Rivera
Nuestro amigo Jean-Loïc Le Quellec acaba de publicar Des Martiens au Sahara. Deux siècles de fake news archéologiques (Éditions du détour, Burdeos, 2023). Este libro es una reedición ampliada (¿doblada?) de Des Martiens au Sahara. Chroniques d'archéologie romantique, publicado en 2009 por Actes sud/Errance. La treintena de capítulos que componen el libro, los cuales son más bien breves, también han sido reorganizados. En resumen, se trata prácticamente de un libro nuevo y cada capítulo aborda un tema en específico. El libro ofrece un amplio panorama de lo que puede llamarse la “pseudo-arqueología”. Su principal interés se resume en su subtítulo, el cual ha sido modificado: de “Crónicas de la arqueología romántica” ha pasado a ser “Dos siglos de falsas noticias arqueológicas”. El contexto cultural y social ha cambiado profundamente en estos catorce años, pues quienes realizan estas acciones ya no son aficionados apacibles, a menudo caprichosos (piénsese en las colecciones dedicadas a la “arqueología misteriosa” que florecieron en las décadas de 1970 y 1980), sino que han adoptado posturas mucho más agresivas encubiertas por un discurso pseudocientífico que trata de socavar la confianza del público en la ciencia y en el conocimiento establecido. Esto se aplica sobre todo a las teorías de conspiración y sus nefastas tesis que se han extendido considerablemente debido a la epidemia del Covid 19. Con el desarrollo del Internet y las redes sociales ahora es más fácil perderse en el laberinto de teorías alternativas y relatos pseudocientíficos. Estas últimas resultan atractivas por su simplicidad y espectacularidad, pero causan estragos al poner en entredicho el conocimiento científico.
Jean-Loïc muestra muy claramente cómo estos discursos han adquirido una mayor visibilidad hoy en día. Con la excepción de los escritos de John Smith, que fueron el origen de una nueva religión (la Iglesia de Jesucristo y de los Santos de los Últimos Días – los mormones), las tesis analizadas en este libro tuvieron una difusión limitada en el siglo XIX y llegaron a un público mucho más amplio únicamente con la invención de Internet. Un ejemplo de ellas es el creacionismo. Sus partidarios no dudan en utilizar burdas falsificaciones para promover sus ideas, por lo que son objeto de varios capítulos (capítulo 6, “Un dedo de creacionismo”; 11, “Un poco de arche-ología"; 12, “Greenpeace y el diluvio”; 13, “Un paraíso perdido, 10 “¡Primicias encontradas!”; 14, “Mamuts y mormones”; 16, “¿Vieron los amerindios al diplodocus?”; 17, “¿No vieron mamuts, rinocerontes y triceratops?”). Otro de los objetos de estudio del autor es Graham Hancock, periodista británico especializado en “historia del misterio” y los partidarios de la “historia secreta”, cuyas ideas son supuestamente rechazadas por la “arqueología oficial”, como el mismo Hancock dice en la introducción de su serie de “documentales” (“En los albores de nuestra historia”) emitidos en Netflix.
Como explica Jean-Loïc Le Quellec en su “Prólogo”, es necesario cambiar de registro: ya no se trata de promover una “visión alternativa” de la historia, como era el caso de la “arqueología romántica” como propone el autor en el subtítulo de la primera edición del libro, sino de banalizar las tesis de las mismas con tintes racistas que le niegan a las distintas civilizaciones no europeas la capacidad de fundar culturas complejas y admirables en términos arqueológicos. La premisa es simple: estas civilizaciones solo pudieron alcanzar tal grado de sofisticación con ayuda exterior. Erich von Däniken y Aliens Theory, una serie televisiva de pseudodocumentales (que se basan en las tesis del primero), consideran que la respuesta es bastante sencilla: lo hicieron los extraterrestres (véase el capítulo 27, “De los marcianos al Sáhara y otras ‘cabezas redondas’”). Sin embargo, el enfoque de Graham Hancock es más sutil: nunca nombra a los antepasados que crearon la civilización. Se limita a dar un periodo de tiempo de 12.000 a.C., el mismo para cada episodio de su serie junto con otro dato: la idea de un cataclismo mundial. En sus libros, es incluso más explícito: esta civilización primordial, creadora de las demás, es la Atlántida. Y los atlantes de Hancock son blancos. Obviamente, podríamos decir que estas tesis de pueblos blancos civilizadores igualmente se encuentran en otros autores de la década de 1960 que también abordaron este tema, como lo son el caso de Robert Charroux y Jacques de Mahieu ejemplo (véase “Epílogo”). Los defensores de Hancock (y también él mismo, ya que nunca se puede ser mejor defendido que por uno mismo) propusieron la idea de una conspiración: los partidarios de la “ciencia oficial” (en otras palabras, los académicos) impiden la difusión de estos descubrimientos de los orígenes europeos y prehistóricos de la civilización hechos por aficionados. Se trata de la vieja tesis de la superioridad de la “raza blanca” y como siempre el diablo se esconde en los detalles.
El otro gran mérito del libro de Jean-Loïc Le Quellec, además de su increíble erudición, es mostrar cómo estos discursos racistas, que no son pocos, vuelven a ser habituales después de la popularidad que tuvieron en 1960 y que ahora son difundidos gracias a Internet y a sitios como Netflix. Démosle la palabra al autor: “¿Por qué interesarse por las innumerables historias de este género? Porque las teorías fundamentalistas y creacionistas sólo pueden atraer a los mal informados y porque la arqueología fantástica (o romántica) a menudo transmite ideas racistas o contribuye involuntariamente a reforzarlas reciclando eternamente las mismas tonterías. La mala arqueología puede hacernos sonreír, pero no por ello es menos potencialmente peligrosa como demuestran varios de los casos examinados en este libro”. (pp. 345-346). Este libro es una sólida investigación que, con una ironía mordaz, ayuda a la salubridad intelectual y conviene leerlo y releerlo.
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LE CIEL OUVERT
De Nicolas Mathieu
Aux éditions Actes Sud
"Je vous souhaite d’être follement aimée", écrivait André Breton. Dans ce recueil de poèmes qui constituent autant de microfictions incandescentes, publiées au fil des années sur Instagram, Nicolas Mathieu dessine les visages de cet amour fou et donne à voir un monde de coïncidences, d’analogies et de banalités transformées en trésors : les villes entrevues, la mer, les rencontres et les commencements, le désespoir et les joies, le bonheur intenable, les saisons, les matins au lit et les dîners avortés, les gueules de bois, l’attente, la désertion, l’enfance et la fin qui viendra. Chaque page raconte nos détresses et nos émerveillements, l’épreuve des corps, l’amour pour un père, une femme, un enfant : les fragments de ce monde qui résiste encore à l'absence et à l'oubli.
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#Lecture : Rencontre avec #Mathieu #Larnaudie
Tropismes vous invite à rencontrer Mathieu Larnaudie à l’occasion de la parution de Trash Vortex aux éditions Actes Sud. Quelque chose est en train de craquer. Face à l’angoisse apocalyptique qui hante notre temps, les puissants de ce monde se préparent eux aussi à l’effondrement. Certains croient assurer leur survie en s’offrant de luxueux bunkers, d’autres capitalisent sur le désastre qu’ils…
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• À ÉCOUTER ! • Baptiste Morizot : "C'est le monde vivant qui rend la terre habitable pour la vie et pour nous"
See on Scoop.it - EntomoScience
Le Grand entretien recevait Baptiste Morizot, écrivain et maître de conférence en philosophie à l'université d'Aix-Marseille pour le livre "Rendre l’eau à la terre. Alliances dans les rivières face au chaos climatique" avec Suzanne Husky, publié aux éditions Actes Sud. Baptiste Morizot y plaide notamment pour une alliance avec... les castors. Une idée tout sauf anecdotique, selon lui.
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Baptiste Morizot : "C'est le monde vivant qui rend la terre habitable pour la vie et pour nous"
Dans le grand entretien, nous recevons Baptiste Morizot, écrivain et maître de conférence en philosophie à l'université d'Aix-Marseille pour le livre "Rendre l’eau à la terre. Alliances dans les rivières face au chaos climatique" avec Suzanne Husky, publié aux éditions Actes Sud.
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Les Couvertures (11)
La Trilogie du Problème à trois corps de Liu Cixin, éditions Actes Sud, collection Babel, réédition de 2024.
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Aujourd’hui, jeudi 12/09/24, Journée internationale des Nations Unies pour la coopération Sud-Sud 🤝
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Premier rendez-vous ce matin de la septième édition de l’évènement Au Boulot à Vélo dont l’objectif est d’inviter les citoyen·nes à enfourcher leur vélo pour se rendre sur leur lieu de travail. Les élu·es Sevriolain·es et Saint-Jorien·nes accueillent les cyclistes pour un moment de bonne humeur autour d’une collation, afin de les récompenser de leurs efforts 🚲
Michel Barnier est en visite officielle en Savoie ce jeudi midi. Le Premier ministre devrait se rendre à l'Institut de l'énergie solaire du Bourget-du-Lac, et dans une maison France services, avant de rencontrer les parlementaires Les Républicains (LR) à Annecy 🇫🇷
Championnat du monde Virtus : cinquième jour de cette compétition internationale de para tennis adapté organisée par la Fédération Française du Sport Adapté (FFSA) et le Comité Départemental de Sport Adapté (CDSA 74) en partenariat avec le club de tennis d'Annecy (du 8 au samedi 14/09/24) au Complexe Annecy Tennis Les Marquisats 👍
La façade du consulat de France à Genève a été taguée de croix gammées, dans la nuit du 9 au 10 septembre, ainsi que le monument aux morts pour la France. Le consul général a annoncé hier qu'il allait porter plainte contre ces "actes de vandalisme" 🇨🇭
En raison de la météo et pour des raisons de sécurité des artistes, le festival Coup de théâtre a été dans l’obligation d’annuler le spectacle ainsi que le concert programmés hier dans le parc Vignières-Pommaries et de déplacer le spectacle et le concert, prévus initialement au Mas des Jacobins, dans la salle d’animation de Pringy 🌧
Pour information, fermeture exceptionnelle du Palais de l'Île ce jeudi 12 septembre 2024 mais également demain, vendredi 13 septembre 2024 🚪
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Deux marchés le jeudi à Annecy : marché du quartier Novel-Teppes (avenue de France) de 7h à 13h et marché de la place Chorus de 8h à 12h ℹ️ Tous les deux marchés alimentaires et produits divers 🧺
Exposition : Thierry Mettier exprime sa passion à travers la peinture à l'huile, capturant la beauté du monde et cherchant une forme d'éternité à travers ses compositions harmonieuses et évocatrices ℹ️ Deuxième semaine (sur quatre, jusqu’au vendredi 27/09/24) 🎫 Accès libre 📆 Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h 📍 Mairie déléguée d'Annecy-le-Vieux (Place Gabriel Fauré) 🖼️
Quatrième jour❗️Exposition : Maurizio Priod (photographies) ℹ️ Trois semaines d’expo, du lundi 9 au vendredi 27/09/24 🎫 Accès libre 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 9h à 12h 📍 Le Polyèdre (4 impasse Saint-Jean) 📷
Au fil de l'eau : circuit découverte (en extérieur) du lac d’Annecy et de son environnement naturel avec des jeux, des expériences et des manipulations insolites ℹ️ Pour petits & grands ⌚️ 1h30 🎫 9,50€ le jeu par famille 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 9h30 à 12h & de 14h à 18h 📍 Écomusée du Lac d'Annecy, Sevrier, Grand Annecy 🧒
Le voyage de Flac, la goutte d'eau qui aimerait bien rejoindre le lac ℹ️ À vivre en famille (dès 3 ans), activité non proposée les jours de pluie ⌚️ 1h 🎫 6,50€, enfant (3-17 ans) 4,50€, famille (2 adultes & 2 enfants) 20 €, - de 3 ans 0€ 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 9h30 à 12h & de 14h à 18h 📍 Écomusée du Lac d'Annecy, Sevrier, Grand Annecy 💧
Lucas et les couloirs du temps : jeu-énigme ℹ️ À vivre en famille ⌚️ 1h 🎫 6,50€, enfant (3-17 ans) 4,50€, famille (2 adultes & 2 enfants) 20€, - de 3 ans 0€ 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 9h30 à 12h & de 14h à 18h 📍 Écomusée du Lac d'Annecy, Sevrier, Grand Annecy 🎮
Sur les traces de Ficelle, le chaton : parcours ludique ℹ️ À vivre en famille (dès 3 ans) ⌚️ 1h 🎫 6,50€, enfant (3-17 ans) 4,50€, famille (2 adultes & 2 enfants) 20€, - de 3 ans 0€ 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 9h30 à 12h & de 14h à 18h 📍 Écomusée du Lac d'Annecy, Sevrier, Grand Annecy 🐱
Tulipe, l'âne rouge : parcours ludique (Célestine et Louis ont bien du travail pendant l'absence de leurs parents) ℹ️ À vivre en famille 🎫 6,50€, enfant (3-17 ans) 4,50€, famille (2 adultes & 2 enfants) 20€, - de 3 ans 0€ 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 9h30 à 12h & de 14h à 18h 📍 Écomusée du Lac d'Annecy, Sevrier, Grand Annecy 🫏
Les Collectages de Fred Billy : Nouveaux terriens (paroles contées, dès 12 ans, Cie ça va sans dire) ℹ️ Dans le cadre de la 13e édition du festival Coup de théâtre (du 7 au dimanche 15/09/24) ⌚️ 1h 🎫 Participation libre 📆 Ce jeudi 12/09/24 à 12h30 📍 Jardins de la maison Vuilloud (3 place du Château) 🎭
Exposition Mythologies & faux-semblants de Michel Pourchet : la sculpture s'est imposée très tôt comme le médium le plus évident mais la relation dessin-peinture-poésie ne s'est jamais tarie 🎫 Accès libre 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 16h à 19h en présence de l’artiste 📍 L'Atelier 9 (9 avenue de la Mandallaz) 🖼️
Un concept unique en Haute-Savoie : bien au-delà d’une simple session trail, les Verti’Cimes sont avant tout un moment de partage. Venez profiter des paysages annéciens lors de soirées running uniques avec, au programme, tests de matériel, montée chronométrée et after avec repas, boisson et DJ set 🎫 Payant 📆 Ce jeudi 12/09/24 de 16h30 à 22h30 📍 Duingt, Grand Annecy 🏃
Théâtre : Folies au Manoir (à partir de 9 ans) ℹ️ Avec : Gilles Croibier-Laforge, Tchavdar, Philippe Siegwald, Benjamin Marola et Louise Colette. Comédie écrite et mise en scène par Louise Colette ⌚️ 1h20 🎫 19 € & 10 € (mineur·es et étudiant·es) 📆 Ce jeudi 12/09/24 à 20h 📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🎭
Soirée projection du Caméra Club d'Annecy : découvrez et échangez autour de films et de courts métrages en présence de leurs réalisateurs 🎫 Gratuit ⌚️ 2h 📆 Ce jeudi 12/09/24 à 20h 📍 Théâtre de l'Échange (26 rue Sommeiller) 📽️
Frère(s) : théâtre (dès 12 ans, Cie du Chemin Ordinaire) ℹ️ Dans le cadre de la 13e édition du festival Coup de théâtre (du 7 au dimanche 15/09/24) ⌚️ 1h15 🎫 Participation libre 📆 Ce jeudi 12/09/24 à 20h 📍 Le Podium, Poisy, Grand Annecy 🎭
Soirée de présentation : découvrez les concerts, pièces de théâtre et autres spectacles sélectionnés pour cette nouvelle saison ℹ️ Cet évènement marque le début de la saison riche en émotions, découvertes artistiques et moments de partage 🎫 Gratuit 📆 Ce jeudi 12/09/24 à 20h30 📍 MJC Centre Social Victor Hugo (6 rue de l'Aérodrome) 👀
Bonjour Madame ! (Concert Copié-Décalé) : redécouvrez des tubes internationaux à travers des arrangements inédits ℹ️ Dans le cadre de la 13e édition du festival Coup de théâtre (du 7 au dimanche 15/09/24) 🎫 Participation libre 📆 Ce jeudi 12/09/24 à 21h30 📍 Le Podium, Poisy, Grand Annecy 👨🏻🎤
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Qualité de l’air à Annecy : le soleil devrait être de retour mais l'arrivée du froid par le nord accompagné de vent du nord limitera fortement l'augmentation des concentrations pour tous les polluants 🌡 Les indices ATMO devraient à nouveau être bons pour les particules et moyens pour l'ozone 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen (niveau 2) ➡️ Ambroisies : niveau 2 ; graminées, plantain et urticacées : niveau 1 ; platane et saule : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 07/09 au vendredi 13/09/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : lavez-vous régulièrement le nez avec du sérum physiologique pour éliminer les pollens 😷
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Tout comme hier et avant-hier, trois dictons du jour pour le prix de deux : « À la saint Apollinaire, dernière semaille de laitue en pleine terre. » 🌱 « Brumeuse matinée promet belle journée. » 🌞 « La terre glissante ne fait pas tomber la poule. » 🐔
Pour celles et ceux qui aiment regarder le ciel la nuit : « Comète en septembre, vin à revendre. » ☄️ « Étoiles filantes en septembre, tonneaux débordants en novembre. » 🌠 « Lorsque beaucoup d'étoiles filent en septembre, les tonneaux sont trop petits en novembre. » 🌃
6️⃣
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et une excellente fin d’été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bonne fête aux Apollinaire et demain aux Aimé (les Aimée sont fêtées le 20 février) 😘
Bon quatrième jour de la semaine à tous et à toutes 💐
📷 JamesO PhotO à Annecy le 10/09/24 📸
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PHOTOGRAPHIE
Bruce Gilden • Street Terrorist
Dans un geste audacieux, les éditions Actes Sud enrichissent leur emblématique collection Photo Poche d’un nouveau joyau : une monographie dédiée à Bruce Gilden, l’enfant terrible de la photographie de rue. Ce volume, qui vient s’ajouter à une lignée prestigieuse de plus de 150 titres, offre une plongée vertigineuse dans l’univers sans concession de cet artiste new-yorkais.
Né en 1946 dans les rues bouillonnantes de Brooklyn, Gilden s’est forgé une réputation d��iconoclaste au sein de la prestigieuse agence Magnum Photos. Sa technique, aussi controversée que révolutionnaire, consiste à capturer l’essence brute de ses sujets à bout portant, armé d’un flash aveuglant. Cette approche, à la lisière de la confrontation, génère des portraits d’une intensité rare, véritables fenêtres ouvertes sur l’âme urbaine.
Le livre nous invite à un voyage saisissant à travers le prisme de Gilden. Des trottoirs de New York aux ruelles d’Haïti, chaque cliché est une rencontre fulgurante, un choc électrique entre le photographe et son sujet. Les visages, saisis dans leur vulnérabilité la plus crue, oscillent entre surprise, fascination et parfois même indignation. C’est précisément dans cette fraction de seconde, où les masques tombent, que Gilden excelle à révéler l’humanité brute qui se cache derrière les façades urbaines.
Cette édition de Photo Poche transcende la simple rétrospective pour offrir une réflexion profonde sur l’éthique et l’esthétique de la photographie de rue. Les images de Gilden, qu’elles soient en noir et blanc ou en couleur, questionnent notre rapport à l’intimité, à l’espace public et à la représentation de soi dans une société de plus en plus surveillée et médiatisée.
Au fil des pages, on découvre un artiste en constante évolution, dont le regard acéré s’est affiné au contact de cultures diverses, notamment lors de ses séjours répétés en Haïti. Cette influence transparaît dans une palette visuelle riche et contrastée, où la rudesse du béton new-yorkais côtoie la chaleur vibrante des Caraïbes.
Fidèle à l’esprit de la collection Photo Poche, ce volume allie accessibilité et profondeur. Son format compact (12,5 x 19 cm) en fait un objet précieux et maniable, invitant à une exploration intime de l’œuvre de Gilden. Les 64 photographies soigneusement sélectionnées sont accompagnées d’une préface éclairante et d’éléments biographiques qui contextualisent le parcours singulier de l’artiste.
À 19,90 euros, cette monographie s’impose comme un incontournable pour les aficionados de photographie contemporaine. Elle offre une fenêtre unique sur le travail d’un artiste qui continue de repousser les limites de son médium, nous rappelant que la photographie, à son meilleur, est un art de la rencontre, de la provocation et de la révélation.
In a bold move, Actes Sud is adding a new jewel to its iconic Photo Poche collection: a monograph dedicated to Bruce Gilden, the enfant terrible of street photography. This volume, which joins a prestigious line of over 150 titles, offers a dizzying insight into the uncompromising world of this New York artist.
Born in 1946 in the bustling streets of Brooklyn, Gilden earned a reputation as an iconoclast with the prestigious Magnum Photos agency. His technique, as controversial as it was revolutionary, consisted of capturing the raw essence of his subjects at point-blank range, armed with a blinding flash. This approach, on the edge of confrontation, produces portraits of rare intensity, veritable windows onto the urban soul.
The book invites us on a striking journey through Gilden’s prism. From the pavements of New York to the backstreets of Haiti, each shot is a dazzling encounter, an electric shock between photographer and subject. The faces, captured in their most raw vulnerability, oscillate between surprise, fascination and sometimes even indignation. It is precisely in that split second, when the masks come off, that Gilden excels in revealing the raw humanity that hides behind urban facades.
This edition of Photo Poche goes beyond a simple retrospective to offer an in-depth reflection on the ethics and aesthetics of street photography. Gilden’s images, whether in black and white or colour, question our relationship to intimacy, public space and self-representation in a society that is increasingly monitored and mediatised.
Over the pages, we discover an artist in constant evolution, whose sharp eye has been honed by contact with diverse cultures, particularly during his repeated visits to Haiti. This influence shines through in a rich and contrasting visual palette, where the harshness of New York concrete rubs shoulders with the vibrant warmth of the Caribbean.
True to the spirit of the Photo Poche collection, this volume combines accessibility and depth. Its compact format (12.5 x 19 cm) makes it a precious and handy object, inviting an intimate exploration of Gilden’s work. The 64 carefully selected photographs are accompanied by an illuminating preface and biographical information that contextualise the artist’s singular career.
At 19.90 euros, this monograph is a must-have for aficionados of contemporary photography. It offers a unique window onto the work of an artist who continues to push back the boundaries of his medium, reminding us that photography, at its best, is an art of encounter, provocation and revelation.
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Dans la foulée (enfin presque) de ma lecture de La petite communiste qui ne souriait jamais, je continue ma découverte de l’œuvre de Lola Lafon.
J’ai énormément aimé ce roman là, Chavirer. J’ai cru que c’était une histoire vraie, et même que l’autrice elle-même avait eu affaire à ce genre de problème, adolescente, tant cela respire le vrai. Cléo, l’héroïne du livre, est incroyablement incarnée, terriblement attachante. Mon attachement a sans doute été facilité, en plus du talent de l’écrivaine, par une quasi parfaite adéquation générationnelle : Lola Lafon est née en janvier 1974, moi en décembre de la même année. Sa Cléo suit ce même timing, avec des références que je connais : les blousons Chevignon que les bourges se devaient d’avoir au collège, les samedis soirs devant Champs-Elysées (je forçais mes parents), Jean-Jacques Goldman dans la radio (chez moi, il était méprisé), l’avènement contesté de Vanessa Paradis, l’avènement acclamé de Mylène Farmer…
Bref. Je me suis vite passionnée pour cette très jeune adolescente de treize ans, passionnée de danse, qui mord à l’hameçon de cette énigmatique Cathy qui distribue promesses, billets, cadeaux ; cette dame chic fait miroiter un avenir brillant qui fait rêver les jeunes filles (enfin, les enfants, à 13 ans, on n’est pas une jeune fille) ; elle prétend travailler pour une fondation destinée à aider les talents prometteurs, déceler celles qui pourront bénéficier d’une bourse. Elle les attire à des déjeuners étranges, où des hommes jouent à être séduits, réclament de la maturité, pour finalement réclamer des faveurs sexuelles. Traumatisée et éconduite pour sa demande d’aide financière, mais dans l’incompréhension totale de ce qu’elle a vécu, toujours désireuse de parvenir à obtenir une bourse pour une école de danse, Cléo devient à son tour une émissaire pour dénicher, dans son collège, des filles qui pourraient bénéficier de l’aide de la fameuse fondation.
C’est en raison de cette mutation de victime en complice que Cléo intègre une double culpabilité qui empêche la parole. Elle n’arrive pas à se pardonner. On suit son parcours de 13 à 48 ans, directement ou à travers des gens qu’elle a rencontrés. Ces personnes, ami, amoureuse, rencontre d’un soir, collègue, victime collatérale, apportent un éclairage à la personnalité de Cléo, une jeune fille sensible qui semble éternellement enfant, bloquée à ses treize ans, une jeune femme bosseuse, courageuse, qui réussit à faire de la danse son moyen de vivre mais reste verrouillée de l’intérieur. Très souvent renvoyée à ses origines modestes, à son milieu social. Qui peine à voir le mal pour la condition féminine dans le fait de danser dénudée à la télé ou dans des cabarets, c’est sa propre fille, majeure, qui lui fera entrevoir cette dimension. Mais qui apprend. Progressivement, elle apprend même à se battre pour ses droits. Mais du temps, il lui en faut encore beaucoup pour troquer l’oubli impossible contre le pardon.
En effet, elle a appris à se construire avec cette blessure, sans l’avoir soignée. On devine que la solution, partielle, si solution il y a, si guérison il peut y avoir, encore une fois, passe par le collectif, l’entourage, la bienveillance autour, même si des rencontres sont ratées, ou seulement à moitié réussies. Petit à petit, l’idée fait son chemin. En apprenant les manquements des autres aussi, leur probité vacillante. En comprenant la difficulté d’être intègre de A à Z. Accepter de ne pas être parfait, de ne pas avoir toujours eu la bonne clairvoyance, en comprenant qu’en n’étant pas la victime parfaite, elle était malgré tout une enfant, bel et bien victime.
Encore une fois, un beau livre sur le corps des filles que l’on sexualise bien trop tôt. Le corps que l’on désire, que l’on scrute, que l’on juge, que l’on travaille, que l’on malmène, qu’on évalue.
Ce livre a pas mal résonné avec l’actualité (oui je pense à Judith Godrèche), quand on pense que dans les années 80, il était bien vu de jouer à la grande, que les hommes étaient glorifiés pour leurs liens troubles avec de très très jeunes filles, et que beaucoup de familles s’enorgueillissaient de voir leur progéniture distinguée par ces hommes vus comme cérébraux, chics, alors qu’ils n’étaient que des prédateurs adoubés par une société malade. On ne connaissait pas encore le préjudice d’emprise… quelle naïveté, quelle candeur quand on y pense…
Un livre remarquable, puissant, touchant, implacable.
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Amnésia de Juan Echeverria
Amnésia de Juan Echeverria – Editions Actes Sud Jeunesse Amnésia de Juan Echeverria, présentation Ibrahim habite dans le 19ème. Il est parti pêcher à Bobigny. A 2 amis proches mais sent qu’un des deux s’est éloigné. C’est l’été, il va entrer au lycée. Avis Amnésia de Juan Echeverria Ibrahim est un jeune adolescent qui va entrer au lycée. Son frère a été assassiné par une bande rivale. Il vit dans…
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LE NID DU COUCOU
De Camillia Läckberg
Aux éditions Actes Sud
Sur sa petite île privée au large de Fjällbacka, le couple Bauer fête ses noces d’or, entouré de ses proches. Henning Bauer est l’un des plus célèbres écrivains suédois et l’académie Nobel est sur le point de consacrer son immense talent. Mais deux événements terribles viennent contre-carrer cette reconnaissance, qui peut-être ne serait pas si méritée. Un ami photographe qui prépare une rétrospective devant se clôturer par une œuvre intitulée Culpabilité est retrouvé assassiné. Le lendemain, le fils Bauer et ses deux garçons sont tués dans leur sommeil. Tandis que l’enquête de Patrik Hedström et ses collègues piétine, Erica Falck se plonge dans un cold case qui l’intrigue : la mort d’un transsexuel à Stockholm dans les années 1980. Elle comprend peu à peu que le passé étend ses tentacules jusque dans le présent, et que de vieux péchés laissent de longues ombres derrière eux.
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Né en 1942 à Kayes au Mali, Boubacar TRAORÉ a émergé dans les années 1960 au Mali comme vedette et symbole du pays nouvellement indépendant. Ses chansons, très populaires, chantent l'avènement du Mali indépendant et de son président, Modibo Keïta. Cependant, il n'effectue aucun enregistrement, et comme il n'y a aucun droits d'auteur payés aux musiciens, il reste très pauvre et doit travailler pour joindre les deux bouts. Lorsque Modibo Keita est renversé par Moussa Traoré en 1968, Boubacar Traoré, considéré comme un artiste du régime précédent, disparait des ondes. Sa popularité s'étiole, jusqu'à son retour surprise à la télévision en 1987, alors que tout le monde le croyait mort. Après la mort en couches de sa femme en 1989, il émigre en France et effectue des travaux dans la construction pour subvenir aux besoins de ses six enfants. Un producteur britannique découvre une bande de ses enregistrements radio à Bamako, se met à sa recherche et lui fait signer un contrat. Son premier album, Mariama, sort en 1990. Depuis lors, Traoré connait la popularité internationale, voyageant de l'Europe à l'Afrique et en Amérique du Nord. Boubacar Traoré était le sujet en 2001 du film Je chanterai pour toi de Jacques Sarasin, sorti en DVD en 2005 et du livre Mali Blues de Lieve Joris, aux éditions Actes Sud. Boubacar publie Kongo Magni (Marabi, 2005) produit par Christian Mousset, le directeur de Festival Musiques Métisses d’Angoulême qui produit également ensuite Mali Denhou (Lusafrica, 2010). Kar Kar rattrape le temps perdu et conquiert les scènes d’Europe, puis des États-Unis et du Canada. Il sort l'album Mbalimaou (Mes frères), en janvier 2015. En 2017, il part enregistrer en Louisiane son album Dounia Tabolo (Lusafrica 2017) aux côtés de Leyla McCalla, Corey Harris et Cédric Watson. — Wikipedia
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FESTI TOUR BANANA 2024 ACTE 3 : LA BANANE-PLANTAIN, STAR D'UNE VITRINE NATIONALE AU CAMEROUN
Après limbé dans la région du Sud-Ouest, du 30 novembre au 2 décembre 2023, la 3e édition de la fête de la banane-plantain prévue dans quatre (04) régions à savoir,Sud, Centre, Littoral,Est, du 07 au 12 décembre 2024 a été annoncée ce matin au palais des congrès à Yaoundé, sous le thème :« la Banane-plantain au service de l’import Substitution et de la SND30 ». L’information a été révélée ce…
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