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PUISSANT RITUEL POUR AVOIR SON VISA ACCEPTE
Si vous souhaitez étudier ou travailler à l’étranger, il est possible d’obtenir un visa pour un séjour temporaire sur place. Pour obtenir un visa, vous devez fournir des informations sur votre identité et le motif de votre séjour. Vous devez remplir plusieurs documents pour obtenir un visa. Ensuite, vous devez l’envoyer à l’ambassade ou au consulat pour inspection. Si vous avez besoin d’un visa…
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aisakalegacy · 2 months ago
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Été 1930, Hylewood, Canada (4/4)
Quelques nouvelles de ton investissement. Il va bien ! À la mi-juin l’année dernière, j’ai réuni quelques gars de l’île et des copains pour m’aider avec les travaux. Au départ, ce n’était que moi et mon cousin Fabien, mais Rumédier le gérant du sanatorium nous a envoyé son petit-fils pour nous donner un coup de main, et mes copains du pensionnant sont venus aider aussi. À nous sept, nous avons dragué, nivelé, construit la jeté et les quais, aménagé les accès, installé les bâtiments portuaires, les points d’eau, et les points de carburant. Grâce à toi, j’ai pu payer ceux qui ont pris de leurs temps et de leurs ressources pour m’aider, et surtout, j’ai pu faire électrifier le port ! Oui, tu lis bien, le port d’Hylewood est relié à l’électricité.
A la mi-juillet de cette année, après un an et un mois de travaux, le port était terminé (mises à part quelques petites finitions). On m’a envoyé un inspecteur afin de vérifier la solidité des infrastructures et faire des tests pratiques… Et depuis aujourd’hui, le 16 septembre 1930 : le port d’Hylewood est officiellement ouvert ! Bon, la saison est pratiquement terminée donc je ne pense pas que j’accueillerai grand monde cette année, mais tu sais, même si on avait terminé les travaux plus tôt, on n’aurait sûrement pas eu grand monde de toute manière. Par rapport aux années précédentes, il y a eu très peu de touristes cet été. L’année prochaine sera sûrement meilleure. En attendant les clients, je m’occupe. Je joue de la guitare, et surtout, je pêche. Tu trouveras d’ailleurs trois photographies dans l’enveloppe de cette lettre, pour que tu puisses voir à quoi ressemble le port. J’y ai ajouté aussi une prise que j’ai faite, une magnifique truite de dix livres  !
Je ne savais même pas que la cousine Ada s’était rendue en France. Pour tout t’avouer, nous ne sommes pas très proches de cette branche de la famille, alors je ne sais pas bien comment elle a entendu parler de toutes ces histoires, mais je plaide non coupable ! À mon avis, ça doit être Maman, puisqu’elle allait régulièrement voir Tante Françoise pour qu’elle corrige ses lettres à ta mère. Je t’avoue que depuis la mort de Tante Françoise, je ne sais pas bien qui s’occupait de la corriger. J’avais toujours supposé que c’était Mlle Rumédier, mais peut-être bien qu’elle demandait à la cousine Winifred, qui aurait parlé du contenu de ses lettres à sa sœur Ada. Tante Françoise pouvait parfois se montrer un peu snob et vieux jeu, alors ne prend pas toutes les pratiques de ses filles pour des généralités. Par exemple, porter un voile noir épais pour un enterrement est plutôt quelque chose qu’on associe aux vielles dames très catholiques.
Embrasse les filles de ma part. J’espère que tu profites du calme retrouvé, que Sélène est mariée, et que Jean-François est bachelier. Ne manque pas de montrer la photographie de ma truite à Ange et à Antoine !
Je t’embrasse affectueusement,
Lucien LeBris
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mcveutsavoir · 3 months ago
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Notre vie privée est-elle en voie de disparition?
Je n’aime pas annoncer de mauvaises nouvelles, mais dites adieu à votre vie privée. En 2024, les gouvernements ne peuvent pas garantir la protection de vos renseignements personnels en raison des cyberattaques, l’infonuagique présente un risque de perte de contrôle des données, les employés en général ne font pas tous preuve de vigilance par rapport à la protection des données, les réseaux sociaux vendent vos informations à des entreprises à votre insu et même vos cartes de fidélité vous trahissent! Notre vie privée a disparu puisqu’elle est pratiquement devenue publique!
L’avènement du numérique
Vous savez que la pandémie a profondément transformé nos façons de travailler et de vivre. Les organismes publics, entre autres, ont dû s’adapter afin d’assurer la prestation de leurs services dans un contexte de distanciation sociale. Le télétravail et les services en ligne se sont donc imposés d’eux-mêmes.
C’est ainsi que des milliers de fonctionnaires, comme bien d’autres personnes, se sont mis à travailler à distance dans le confort de leur foyer. On a donc fait le grand ménage dans les bureaux vides des ministères. Je sais de quoi je parle, je l’ai vécu! Les fonctionnaires ont dû dire adieu à leur téléphone de bureau, au papier et aux énormes classeurs.
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Photo de Wesley Tingey sur Unsplash
Aujourd’hui, les communications se font presque exclusivement par Teams et par courriel. Tous les dossiers des individus et leurs renseignements personnels (nos données) sont devenus numériques et sont conservés dans des bases de données gouvernementales.
Une bouffée d’air frais, un vent de changement au gouvernement… Mais souffle-t-il dans la bonne direction?
Les cyberattaques et les fuites de données
Qui dit numérique dit susceptible d’être victime d’une attaque de pirate informatique ou d’une fuite de données. En effet, les organismes publics, qui possèdent une quantité incroyable de données confidentielles sur les citoyens, constituent une cible de choix pour les pirates informatiques qui sont friands de renseignements personnels. Ceux-ci tentent par tous les moyens de dérober nos données : programmes malveillants (virus), rançongiciels…
Vous vous souvenez, en 2023, plusieurs sites Internet du gouvernement du Québec ont subi une cyberattaque. Les pirates avaient réussi à faire tellement de demandes de connexion qu’ils ont surchargé les sites. Il était donc devenu impossible d’accéder aux services en ligne des ministères touchés. Apparemment, « les attaquants vont faire ça pour masquer une tentative d’intrusion » (Radio-Canada, 2023, paragraphe 7). Pas très rassurant pour nos renseignements personnels.
On sait que les organismes publics mettent en place des mesures pour assurer la protection des données qu’ils détiennent : rehaussement de la sécurité de leurs systèmes informatiques, meilleur contrôle des accès aux données et aux systèmes, etc. Malgré tout, certaines attaques seront inévitables puisque la technologie progresse à une telle vitesse que les organismes et les lois peinent à s’adapter.  
La responsabilité des employés
Les pirates tentent aussi de s’infiltrer dans les organismes publics par l’entremise des employés moins vigilants, notamment par des techniques d’hameçonnage. Si vous êtes fonctionnaires, vous savez de quoi je parle. On reçoit à l’occasion un courriel de l’externe nous invitant à cliquer sur toutes sortes de liens. La prudence est de mise.
À mon humble avis, le télétravail amène aussi son lot de risques. Après tout, chacun des employés possède un accès direct aux systèmes et aux données de son organisation à la maison. Et que dire des employés qui font fi des directives de leur organisation en matière de sécurité de l’information? Je pense à ceux qui vont travailler dans un café pendant une panne d’électricité ou qui vont travailler au camping où le réseau informatique n’est pas sécurisé. L’exposition aux attaques de pirates informatiques est beaucoup plus importante qu’avant. Pas plus rassurant, n’est-ce pas?
L’infonuagique, une boite de Pandore?
Comme si notre vie privée n’était pas assez menacée, l’infonuagique se met de la partie. Grosso modo, l’infonuagique permet de conserver des données sur des serveurs distants. C’est-à-dire que les données ne sont plus stockées sur les serveurs des organismes ou des entreprises. Les organismes clients transmettent leurs données sur les serveurs d’un fournisseur de services infonuagiques (FSI), quelque part dans le monde, pour qu’elles y soient conservées. Ils peuvent ensuite accéder à leurs données selon leurs besoins.
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Photo de Growtika sur Unsplash
Cette façon faire présente bien des avantages : réduction considérable des coûts (infrastructure TI, matériel, entretien, consommation d’énergie, etc.), adaptation des services selon la demande, plus grande capacité de stockage, paiement à l’usage, etc. Mais sachez qu’elle n’est pas sans risque. « En transférant des fichiers contenant des renseignements personnels dans le nuage, un organisme public, une entreprise ou un particulier peut perdre le contrôle exclusif de ces données, plus particulièrement sur leur disponibilité, leur confidentialité ou encore leur accessibilité » (Commission d’accès à l’information du Québec, 2015, page 2).
L’organisme qui opte pour l’infonuagique doit faire ses devoirs. Il doit notamment vérifier où les données sont conservées et s’assurer que le FSI respecte ses obligations légales quant à l’utilisation des données. Si les données sont conservées à l’extérieur du Québec, il doit également s’assurer que le niveau de protection offert par le FSI est le même que celui exigé par les lois du Québec en la matière. L’organisme devrait même intégrer l’infonuagique dans sa gestion des risques afin d’en faire un suivi rigoureux.
Chers lecteurs, vous contribuez à votre malheur
Eh oui, j’ai le regret de vous apprendre que la pandémie a fait de vous un acteur important dans la disparition de votre vie privée. Vous avez changé vos habitudes : vous commandez votre épicerie et vos vêtements en ligne, vous consultez le médecin en ligne... Vous êtes plus que jamais connectés à Internet. Vous vous trouvez ainsi davantage exposés aux cyberattaques. Sans oublier votre présence sur les réseaux sociaux. Saviez-vous que Facebook « est d’abord une machine à commercialiser des profils de consommateurs » (Fortier, 2014, paragr. 13)? Les actions que vous posez sur Facebook (recherches, publications, etc.) et les renseignements personnels que vous y mettez sont enregistrés et analysés, puis vos profils de consommation sont vendus à gros prix à des entreprises qui, elles, vous enverront de la publicité ciblée. Il s’agit du même principe pour vos cartes de fidélité préférées.
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Photo 1466050714 par Urupong sur iStock.
Étant donné qu’il est difficile de protéger nos renseignements personnels numériques en 2024, que pensez-vous des tests d’ADN offerts par les entreprises comme Ancestry?
Bibliographie
Gouvernement du Canada. (2024). Rançongiciels : comment les prévenir et s’en remettre. https://www.cyber.gc.ca/fr/orientation/rancongiciels-comment-les-prevenir-et-sen-remettre-itsap00099
Radio-Canada. (2023). Des pirates russophones s’attaquent à des sites du gouvernement du Québec. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2010065/cyberattaque-sites-gouvernement-quebec
Centre antifraude du Canada. (2024). Hameçonnage. https://antifraudcentre-centreantifraude.ca/scams-fraudes/phishing-hameconnage-fra.htm
Commission d’accès à l’information du Québec. (2015). https://www.cai.gouv.qc.ca/uploads/pdfs/CAI_FI_Infonuagique.pdf
Fortier M. (2014). Requiem pour la vie privée. Le Devoir. https://www.ledevoir.com/societe/413866/technologie-requiem-pour-la-vie-privee
Vincent Mosco, « Après l’Internet : le Cloud, les big data et l’Internet des objets », Les enjeux de l’information et de la communication 2016/2 (No 17/2), p. 253-264.
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lestudio1-bernardbujold · 8 months ago
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LES VOITURES DE SPORT -
Il fut une époque où je fréquentais le Grand Prix F1 du Canada au temps de Normand Legault, Micheal Schumacher et Jacques Villeneuve. Après leur départ, j’ai décroché!
La principale raison est la foule. Je déteste les rassemblements de foule et les accès compliqués…
Bien sûr j’aime les bolides et j’adore faire une balade (spin) en voiture sport. Mais pas de Grand Prix F1!
Et en plus, on prévoit de la pluie ce dimanche 9 juin 2024 pour la course!
Bon weekend!
https://www.facebook.com/media/set/?vanity=bernard.bujold&set=a.10168746663970541
SPORTS CARS -
There was a time when I frequented the F1 Grand Prix of Canada in the days of Normand Legault, Micheal Schumacher, and Jacques Villeneuve. After they left, I gave up!
The main reason is the crowds. I hate crowds and complicated access...
Of course, I like racing cars and love going for a spin in a sports car. But no F1 Grand Prix!
And what's more, rain is forecast for the race on Sunday, June 9, 2024!
Have a good weekend!
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aurevoirmonty · 2 years ago
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Pourquoi insistent-ils pour normaliser la pédophilie ?
Pourquoi les élites financières insistent-elles pour sexualiser les petits enfants dans tous les pays du monde ? La réponse est donnée dans notre rapport de preuves qui détaille comment la majorité des élites ont une chose en commun : elles sont fortement impliquées dans l’abus organisé d’enfants.
Ceci est confirmé par l’ancien directeur du FBI Ted Gunderson, ainsi que par d’anciens membres de l’armée, de la maréchaussée, de la gendarmerie, de la police et des détectives. Leurs témoignages sont révélés dans ce rapport.
Calin Georgescu, ancien directeur exécutif des Nations Unies, a témoigné devant le Comité d’Enquête sur les Crimes Internationaux que l’ONU est une plateforme permettant aux oligarques criminels de mettre en œuvre un agenda néfaste. Le documentaire « Secrets of the United Nations » (voir ci-dessous) révèle tout cela en détails. Ce film est à voir absolument pour tous ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans notre monde. Georgescu a également déclaré que les oligarques qui se cachent derrière les Nations Unies sont des pédophiles. Ne manquez pas de regarder ce film…
"https://www.bitchute.com/embed/xMtUt2sDQUd7/"
Le documentaire « Chute de la cabale » révèle comment des représentants et des militaires des Nations Unies ont violé des milliers et des milliers d’enfants et de femmes dans des pays où ils prétendaient apporter la paix. Ces séries documentaires ont été créées par un enquêteur plusieurs fois primé et un ancien analyste de la criminalité financière de la police néerlandaise.35 Dans l’épisode ci-dessous, ils dévoilent la nature extrêmement sombre des Nations Unies et les traces de sang des horribles abus sexuels qu’elles laissent dans le monde entier… 
"https://rumble.com/embed/vk7w82/?pub=rwtxi"
De nombreux témoignages de victimes survivantes et de témoins oculaires de tous les pays du monde montrent que ces élites financières sont profondément impliquées dans des abus sexuels systématiques sur des enfants. 
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L’une d’entre elles est l’ancien mannequin Nathalie Augustina, dont l’esprit a été programmé par la CIA pour servir de chaton sexuel à des familles royales, des hauts fonctionnaires et des célébrités hollywoodiennes. Elle raconte son histoire déchirante dans le livre « Nathalie – Confessions d’un mannequin » (néerlandais).36
Les révélations de Nathalie ont été confirmées en détail par l’ancienne juriste Anne Marie van Blijenburgh, qui a témoigné en 2014 devant le Tribunal pour les crimes commis par l’Église et l’État (ITCCS) qu’elle avait assisté à trois reprises à des réunions au cours desquelles des enfants étaient violés et assassinés sur une scène, devant un public composé de représentants du gouvernement, de la magistrature, de l’armée, de la police, de l’éducation, des médias, etc. Son témoignage d’expert est présenté dans notre rapport « Abus sexuels organisés par des fonctionnaires de haut niveau« .
« Ils veulent avoir accès aux enfants sans être poursuivis »
Nous sommes en contact direct avec plusieurs victimes survivantes de ces pratiques cruelles des élites. L’une d’entre elles est une dame du Canada, dont je ne citerai pas le nom pour sa protection. Elle est née dans les cercles des élites et m’a écrit plusieurs lettres. Je partage ci-dessous une partie de ce qu’elle m’a envoyé. Veuillez comprendre que, bien que ces informations soient profondément troublantes, elles sont confirmées par des membres du FBI, de l’armée, des agences de renseignement, de la police, de la gendarmerie et des maréchaussées du monde entier, ainsi que par d’innombrables autres témoins oculaires, dans le rapport susmentionné.
« Une enfance typique de cette horreur verra des enfants violés plusieurs milliers de fois avant d’atteindre l’âge de 18 ans. Il s’agit d’un réseau de culte satanique à l’échelle mondiale. Et ils gagnent une grande partie de leur argent en trafiquant des enfants. C’est brutal. … Ils tentent de placer leurs membres au sommet des domaines dans le monde entier. »
Concernant la normalisation de la pédophilie par le biais du système éducatif mondial, ce survivant des élites m’a envoyé ce qui suit :
Oui, c’est un comportement normal dans les sectes. Tout le monde est encouragé à avoir des relations sexuelles les uns avec les autres. Les frères et sœurs entre eux… les enfants et les adultes… les enfants avec les enfants… les enfants avec les animaux… tout cela n’est pas seulement encouragé, c’est obligatoire. Ils prennent donc le comportement normal d’une secte et essaient de le rendre courant… et vous avez tout à fait raison…  ils veulent avoir accès aux enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour faire ce qu’ils veulent avec eux sans être poursuivis. »
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Un ancien directeur exécutif des Nations Unies, un enquêteur primé, un analyste de la police, un juriste et un témoin oculaire, ainsi que plusieurs victimes survivantes, tous disent la même chose : les élites financières derrière les Nations Unies sont impliquées dans la pédophilie organisée.
Allons-nous nous lever et défendre les enfants ?
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Si nous ne nous levons pas pour mettre un terme à ce sombre programme, qui se fait passer pour une absurde « défense des droits de l’homme », tous les enfants du monde finiront par grandir en étant victimes d’abus sexuels pendant des années – et seront également formés pour devenir des prédateurs sexuels. Et cela ne s’arrête pas là, car les personnes qui suppriment les limites saines et naturelles continueront à supprimer les limites suivantes, parce qu’il n’y a pas de fin à leur désir effréné. Comme nous le disent les victimes survivantes des élites, le sexe avec les animaux est la prochaine étape, tout comme le sexe avec les cadavres.
Le même ministre de la justice qui a insisté pendant des années sur le fait qu’il n’y avait rien de mal dans le Manuel des pédophiles a également déclaré que le sexe avec des cadavres n’était pas un crime.37 Et le ministre-président néerlandais Mark Rutte, qui est un membre enthousiaste du Forum Économique Mondial, a fait partie, dans ses jeunes années, d’un groupe politique qui a appelé à la légalisation du sexe avec des animaux.38
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Aux États-Unis, nous assistons à l’invasion écœurante de drag-queens dans d’innombrables écoles, où les enfants sont exposés à des danses sexuelles perverses, à des histoires dégoûtantes et aux tenues anormales de monstres pervers qui s’en prennent aux enfants. Posez-vous la question :
Qui peut bien vouloir que des homosexuels exécutent des danses sexuelles devant des enfants ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ?
Johns Library de Portland, dans l’Oregon, des enfants ont été photographiés allongés sur le corps d’une drag queen.39
L’invasion soudaine de drag-queens dans des milliers d’écoles à travers le monde est clairement une opération stratégiquement orchestrée, similaire à l’éruption soudaine de la folie transgenre, qui est littéralement sortie de nulle part et s’est soudainement répandue partout. Tout cela se produit en même temps :
✔︎ qui ordonne à toutes les écoles publiques du monde entier de sexualiser les enfants
✔︎ introduisant d’innombrables drag-queens dans les écoles 
✔︎ en introduisant massivement la confusion transgenre dans tous les pays
✔︎ utiliser les médias pour appeler à l’acceptation de la pédophilie
✔︎ des juges appelant à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs
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Cette situation est bien plus grave que nous ne pouvons l’imaginer. Comme le disent les dénonciateurs de l’élite, « ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec des mineurs » : « Ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec tout le monde ». Nous devons prendre position et protéger courageusement les enfants, partout dans le monde.
Partager ce rapport avec le monde entier
Il est essentiel que ce rapport parvienne au plus grand nombre. Merci de l’envoyer au plus grand nombre, par tous les moyens possibles. Vous pouvez par exemple copier cette courte lettre et l’envoyer aux journaux locaux, aux écoles, aux forces de l’ordre, aux églises, aux hôpitaux, aux hommes politiques, etc. Vous trouverez leurs coordonnées en effectuant une recherche rapide sur Internet.
À qui de droit,
L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier d’apprendre aux bébés, aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber, à utiliser la pornographie, à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation, et à avoir des relations avec des personnes du même sexe. L’OMS et les Nations Unies demandent aux éducateurs d’encourager les enfants à commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à avoir des partenaires sexuels. Les faits montrent que cela fait partie d’une opération mondiale visant à normaliser la pédophilie. Voir le rapport suivant :
"https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/"
Nous vous invitons à examiner attentivement ces informations.
Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées,
Partager sur les médias sociaux
Utilisez les boutons de partage des médias sociaux, ou copiez l’adresse URL ci-dessous et publiez-la sur n’importe quelle plateforme. Vous pouvez également l’envoyer à vos contacts et aux autorités dans un courriel : https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/
Distribuer des dépliants et des mèmes
Téléchargez le mème en couleur pour le distribuer par courriel et sur les médias sociaux, ou pour le faire imprimer par un service d’impression en ligne (tel que VistaPrint). Vous pouvez également télécharger le dépliant en noir et blanc pour l’imprimer sur votre propre imprimante et le distribuer dans votre communauté. Vous pouvez aussi les envoyer à un journal local pour qu’ils y soient placés en tant qu’annonce. Si vous avez besoin d’une résolution plus élevée ou de grandes quantités, contactez-nous. 
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Inviter David à un entretien
Si vous voulez inviter David Sorensen de Stop World Control dans votre émission pour parler de ce sujet afin d’avertir le monde, alors contactez-nous. 
Références et téléchargements
Toutes les preuves des affirmations contenues dans ce rapport peuvent être trouvées en ouvrant le conteneur à bascule ci-dessous. Vous pouvez également télécharger tous les documents de l’OMS, de l’ONU, de l’IPPF, de Rutgers, etc. Si un lien a été supprimé d’Internet, vous pouvez le relocaliser en utilisant Archive.org.
Références:
1: Guide technique international sur l’éducation sexuelle 2: Standards pour l’éducation sexuelle en Europe 3: Agenda 2030 des Nations unies 4: Déclarations de la Maison Blanche sur l’Agenda 2030 5: La Fondation Rutgers 6: Rutgers est financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. 7: Programme scolaire de Rutgers « Spring Fever » (fièvre du printemps) 8: Brochure Rutgers pour les écoles primaires 9: Brochure pour les écoles primaires 10: Fièvre printanière Leçon 11 : Qu’est-ce que le sexe ? 11: Programme scolaire Education 12: Guide pour la formation des enseignants à l’endoctrinement sexuel des jeunes enfants 13: Reportage sur les jeux sexuels dans les écoles 14: Chronologie historique de Rutgers 15: Informations historiques de Wikipédia sur la pédophilie 16: Archives en ligne du magazine pédophile NIKS 17: Enfants ayant des relations sexuelles dans le magazine pédophile NIKS 18: 1982 Édition de septembre du magazine NIKS 19: Magazine NIKS « L’épisode de l’anti-éducation » 20: Article: How The Hague petted pedophiles” 21: Pétition pour la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs 22: Publication du PSP, parti qui a appelé à la légalisation de la pédophilie 23: Entretien avec Pieter Wijnsma 24: Rapport 2018 de la FWOS 25: Déclaration de mission de la FWOS 26: Magazine « Éducation sexuelle des jeunes enfants : Faites-le ! » 27: RTL News parle d’un manuel de pédophilie 28: Fondation contre les abus envers les enfants 29: La lutte contre le manuel pédo 30: Le Comité international de juristes appelle à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs 31: EXCLAIM ! Manifeste de la pédophilie 32: Reportage du Daily Mail sur l’arrestation de Peter Dalglish 33: Île d’Epstein 34: Bill Gates est allé sur l’île d’Epstein 35: Réalisateurs de la série documentaire « La chute de la cabale » (Fall of the Cabal) 36: Confessions d’un mannequin de mode 37: Le ministre de la justice a refusé d’ériger en infraction les relations sexuelles avec des cadavres 38: La ministre présidente a demandé la légalisation des relations sexuelles avec les animaux 39: Des enfants allongés sur des corps de drag-queens
Source : stopworldcontrol.com – 17 mai 2023 https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/
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nanarenpanavision · 1 year ago
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Antrum (2018)
07/10
Vu le 11/11/23 / Horreur, Documenteur, Surnaturel / Canada
Refusant d'accepter que sa chienne Maxine brûle désormais dans les fosses de l'enfer, le jeune Nathan est constamment tourmenté par des cauchemars et des visions infernales. Pour apaiser ses souffrances, sa grande sœur Oralee l'emmène dans les bois pour trouver l'endroit légendaire où Lucifer lui-même est tombé sur Terre lorsqu'il a été chassé du Ciel.
La lourdeur avec laquelle l’introduction et la conclusion du film insistent sur sa supposée malédiction ne doit pas vous décourager : l’originalité de sa réalisation et son exploration du thème du deuil auront tôt fait de retenir votre attention. Pour ma part, j’ai vraiment subi la médiocrité du doublage francophone auquel j'ai eu accès sur PrimeVideo. Les défauts des effets de montage sont vite rééquilibrés par de belles références au cinéma de Méliès et de Lynch, l’inventivité de certains ressorts scénaristiques, l’utilisation de techniques rares (stop-motion, images subliminales) et par sa narration.
Le deuxième acte enchaîne de bons coups de pression et sa soudaine montée en tension est totalement contrôlée. Le dernier acte nous achève en divisant les points de vue pour un seul final que je préfère vous laisser découvrir.
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lecturedechevet · 1 year ago
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SÉANCE #9 — Retirer les nouvelles des médias numériques : pour ou contre?
Avant l’avènement des médias numériques, les citoyens disposaient de seulement trois sources d’information pour s’informer de l’actualité, soit la télévision, la radio et le journal. Aujourd’hui, il est possible de s’informer sur de nombreuses plateformes, comme les médias sociaux, les sites Internet d’actualité, les applications mobiles, les podcasts et bien d’autres.
Ces médias numériques ont un énorme impact sur l’environnement médiatique. D’abord, pour assurer leur pérennité, les médias traditionnels ont dû s’adapter à l’ère numérique en proposant des contenus multimédias, interactifs et personnalisés. Ils ont donc dû revoir leur langage et leurs formats afin de s’adapter au lectorat des nouvelles plateformes. De plus, puisqu’Internet permet aux individus d’avoir accès à l’information gratuitement, ceux-ci ne voient plus l’intérêt de payer pour des nouvelles. Les médias souffrent donc énormément de ce passage des médias traditionnels aux médias numériques, et doivent explorer de nouvelles sources de revenus pour survivre (Nguyen, 2023).
Cependant, du côté des consommateurs, les médias numériques ont apporté d’importants changements positifs. D’abord, ils ont rendu l’information beaucoup plus accessible, spontanée et variée, offrant aux consommateurs la possibilité d’accéder à l’actualité n’importe où et n’importe quand. Aussi, grâce aux médias sociaux, il est possible d’interagir avec les nouvelles diffusées, ce qui favorise l’engagement et la participation du public. Ultimement, les plateformes numériques peuvent contribuer à la démocratie, grâce à la diffusion rapide d’informations, la variété de sources d’informations, l’expression de points de vue, et autres.
Vous avez sans doute constaté que, depuis quelques mois, il est impossible de consulter des nouvelles sur Facebook et Instagram. Cela résulte de la décision de Meta de bloquer au Canada l’actualité sur ses plateformes pour éviter de se conformer à la loi C-18 (Brin, 2018, paragr. 1). Je suis personnellement très frustrée de cette situation, parce qu’elle prive une tranche de la population de plusieurs avantages énumérés ci-haut. Selon le Centre d’études sur les médias, 70% des Québécois ayant entre 18 et 34 ans préfèrent s’informer via des plateformes telles que Facebook ou Instagram, plutôt que via les médias traditionnels (Brin, 2023, paragr. 2). J’avais moi-même l’habitude de m’informer principalement sur ces deux plateformes, mais j’en suis maintenant privée, comme le sont la majorité des individus dans ma tranche d’âge.
Si Google décide de suivre la décision de Meta, assisterons-nous éventuellement à un retour aux médias traditionnels? Est-ce que, selon vous, ce serait un changement positif?
Bibliographie 
Brin, C. (2023). Les jeunes plus touchés par le bocage des nouvelles sur Facebook et Instagram. Centre d’études sur les médias. https://www.cem.ulaval.ca/jeunes-c-18-crop/.
Nguyen, L. D. (2023). Les médias à l’heure du numérique. Grenier aux nouvelles. https://www.grenier.qc.ca/actualites/37852/les-medias-a-lheure-du-numerique
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omagazineparis · 1 year ago
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L'évasion au bout du monde : la magie des vacances aux Maldives
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Ah, les Maldives ! Un simple énoncé de ce nom évoque des images de plages de sable blanc immaculé, d'eaux turquoises et de palmiers ondulant doucement sous une brise tropicale. Mais pourquoi ces îles de l'Océan Indien sont-elles si séduisantes ? C'est précisément ce que nous allons explorer. Les vacances aux Maldives sont une véritable invitation à l'évasion. L'isolement de ces îles, loin du rythme effréné du quotidien, offre une sensation de dépaysement absolue. C'est comme entrer dans une bulle de sérénité, où le temps semble suspendu et où chaque instant est dédié à la détente. L'archipel compte plus de mille îles, chacune ayant son caractère unique. Des atolls coralliens vibrants de vie sous-marine aux îles-hôtels luxueuses, les Maldives offrent une multitude d'expériences à découvrir. Une nature préservée : le tableau parfait pour un rêve éveillé Les Maldives sont un havre de paix pour les amoureux de la nature. Le paysage naturel, presque intact, est tout simplement à couper le souffle. Les récifs coralliens regorgent de vie marine, avec des tortues, des raies manta et une myriade de poissons colorés. Le spectacle est tout aussi splendide sur terre avec une flore tropicale luxuriante. De plus, le gouvernement maldivien est fortement engagé dans la protection de cet environnement unique. En choisissant les Maldives pour vos vacances, vous contribuez à la préservation de ces merveilles naturelles. A lire aussi : Voyage au Canada : ces activités incontournables à faire Luxe et sérénité : les Maldives, un paradis sur mesure Les vacances aux Maldives ne seraient pas complètes sans une pointe de luxe. Les îles sont célèbres pour leurs complexes hôteliers de classe mondiale qui offrent des services exceptionnels. Imaginez-vous dans une villa sur pilotis, avec une piscine privée et un accès direct à la mer. Les Maldives proposent également une gamme d'activités pour ceux qui recherchent une dose d'aventure pendant leurs vacances. De la plongée sous-marine à la pêche au gros, en passant par le yoga sur la plage, chaque jour offre de nouvelles découvertes. Et que dire de la cuisine locale ? Les Maldives sont un véritable paradis pour les gourmets. Entre les fruits de mer fraîchement pêchés, les fruits tropicaux juteux et les épices locales, chaque repas est une explosion de saveurs. Préparez votre voyage de rêve Les vacances aux Maldives sont plus qu'une simple escapade, c'est une expérience transformative qui laisse des souvenirs indélébiles. Si vous rêvez de plages de sable blanc, de relaxation et d'aventure, les Maldives sont faites pour vous. Alors, qu'attendez-vous ? Commencez à planifier votre voyage de rêve aux Maldives dès aujourd'hui et découvrez pourquoi ces îles paradisiaques ont tant à offrir. Read the full article
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charleenaucanada · 2 years ago
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Montreal.
Tweede ontmoeting met dr. Geraldine Layani! Boeiende uitwisseling met wederzijdse interesses en al een tegenbezoek in de pijplijn.
GMF(U)'s zijn interprofessionele eerstelijnspraktijken die slechts 10% van de huisartsen omvat. Deze praktijkvorm is dus vergelijkbaar met een WGC. In Canada zijn er verschillende verpleegkundigen werkzaam in een GMF(U). Infirmière-auxiliaire (technische verstrekkingen bv: bloedafnemes) Infirmière clinicienne (protocollaire opvolging bv. zwangerschap, diabetes, soa's, anticonceptie) en Infirmière pratique spécialisé (soort mini-huisarts bv. acute pathologie, aanvragen beeldvorming, medicatievoorschriften).
Enkel ingeschreven patiënten hebben directe toegang (accès adapté) tot deze laatste twee groepen verpleegkundigen naast de huisarts. Dit moet de slechte toegankelijkheid van de huisarts compenseren. Andere patiënten of zorgvragen die geen toegang vinden, belanden hier meestal op de spoeddienst met wachttijden tot 24u. Frustrerend voor zowel patiënt, huisarts als spoedarts.
Opmerkelijk is dat alle sociale- en thuiszorgen in opdracht zijn van andere organisaties. Dit vraagt nog extra inspanning van de GMF-huisarts om samen te werken en continuïteit van zorg te bieden.
De uitdagingen volgens onze Canadese collega's in de provincie Quebec: voldoende nieuwe huisartsen aantrekken, betere interprofessionele samenwerking zowel in- als extern en meer geïntegreerde zorg bieden aan hun patiënten.
De 'accès adapté', triage aan onthaal en verschillende verpleegkundige rollen zijn voor onze context heel inspirerend en staan bij ons nog in kinderschoenen. Dit nemen we alvast mee in onze valies naar huis.
Er is nog plaats in de valies!
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benjaminrcvr · 2 years ago
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Séance #14 - Internet, technologie gratuite mais inégalitaire ?
Internet, cette invention révolutionnaire ayant complètement bouleversé l’organisation de la majorité des sociétés. Malgré sa gratuité et son libre accès, cette technologie n’échappe pas aux différentes inégalités sociodémographiques.
Tout d’abord, un retour aux sources s’impose. Internet fait partie de la vie d’un grand nombre de personnes. D’ailleurs, de plus en plus de générations naissent et grandissent avec Internet, ce qui a pour conséquence une très grande aisance d’utilisation de cette technologie ainsi que de ses capacités. Toutefois, il est important de rappeler qu’Internet est une technologie encore très récente, officiellement mis en place le 12 mars 1989 par Tim Berners-Lee, sous le nom de « Word Wild Web » (epitech, 2022, p.1).
On peut donc facilement remarquer, au vu de la jeunesse de la technologie qu’il existe deux catégories dans la population : les natifs numériques, désignant l’ensemble des individus ayant grandi avec le numérique, le maitrisant donc en grande majorité. La deuxième catégorie utilise le terme d’immigrants numériques, désignant les générations ayant grandi/vécu une partie de leur vie sans Internet (Statistiques Canada, 2019, p.4). Pour ces personnes, la compréhension du fonctionnement d’Internet est souvent un défi.
L’accès à Internet est un problème dans de nombreuses zones géographiques à faible densité de population. C’est notamment le cas au Canada, où Internet n’est pas accessible de façon stable ou assez forte dans de nombreuses zones rurales :
« Au Canada, 98,6 % des ménages urbains ont accès à des services Internet à large bande (à 50/10 Mbps avec transfert illimité), tandis que 45,6 % des ménages résidant dans les communautés rurales disposent de ce même accès. Ces dernières ont accès au réseau mobile LTE, et ce, à un taux de 97,4%, mais ce réseau comporte l’inconvénient de n’être utilisable qu’à partir d’un téléphone cellulaire. » (INSPQ, 2021, p.5).
Cela signifie donc que les populations rurales sont obligées de posséder un téléphone intelligent, chose à laquelle encore beaucoup d’immigrants numériques ne sont pas forcément à l’aise. De plus, le réseau LTE se veut parfois capricieux, ce qui peut potentiellement entrainer un accès plus difficile à Internet ou de mauvaise qualité.
Pour conclure, malgré l’omniprésence d’Internet dans notre société, il existe encore beaucoup d’inégalités d’accès et de connaissances vis-à-vis de cette technologie. De par la proportion que prend cette dernière dans nos vies, il est important de développer son accès davantage ainsi que d’éduquer du mieux possible les populations.
Bibliographie :
Davidson, J et Schimmele, C. (10 juillet 2019). Evolution d’Internet chez les aînés canadiens. Statistiques Canada. https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/11f0019m/11f0019m2019015-fra.htm
Epitech. (15 juin 2022). La naissance d’Internet et du World Wild Web : vers la connectivité à l’échelle mondiale. https://www.epitech.eu/fr/actualites-evenements/quand-et-comment-est-ne-internet/#:~:text=Internet%20est%20officiellement%20n%C3%A9%20le,fichiers%20et%20de%20courriers%20%C3%A9lectroniques.
Institut National de Santé Publique du Québec. (Juin 2021). Inégalités d’accès et d’usage des technologies numériques : un déterminant préoccupant pour la santé de la population ? INSPQ. https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/publications/3148-inegalites-acces-usage-technologies-numeriques.pdf
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testaphonecase · 2 years ago
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societascriticus2 · 13 days ago
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Coupes du gouvernement Legault. La coopération, ça ne vous sonne pas des cloches?
Societas Criticus, revue de critique sociale et politique, Vol. 27-01/26-05 : www.societascriticus.com
Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2025-01-31)
Depuis la fin de l’année 2024, on entend parler de coupes en santé, en éducation et en culture, mais le gouvernement refuse de parler d’un retour à l’austérité. Il est vrai que, si l’on considère les subventions aux projets économiques comme Northvolt (où Québec et Ottawa ont « injecté ensemble 7,3 milliards de dollars » [1]), l'on ne peut pas parler d’austérité gouvernementale. Mais, cela en oblige d’autres à se serrer doublement la ceinture, soit les citoyens.
En effet, depuis quelque temps, on voit ce genre de manchette qui en dit long sur l’incurie gouvernementale en culture et en éducation malgré les beaux discours parlant de l’importance de la culture, de l’éducation et du savoir, classées par dates de parutions ici :
- Zacharie Goudreault, Québec impose une «baisse drastique» des dépenses aux cégeps, Le Devoir, 4 septembre 2024 :
- Dominique Scali, Des écoles ne reçoivent pas assez d’argent pour acheter les manuels du nouveau cours de citoyenneté québécoise, Le journal de Montréal, 12 septembre 2024 :
- Catherine Lalonde, Québec en sait trop peu sur les bibliothèques scolaires, Le Devoir, 16 oct. 2024 :
- Catherine Lalonde, Beaucoup de livres neufs dans les écoles, trop peu de bibliothécaires, Le Devoir, 17 oct. 2024 :
- Zacharie Goudreault, Un régime minceur qui fait perdre des livres aux bibliothèques collégiales, Le Devoir, 2 déc. 2024 :
- Ici Radio-Canada/nouvelles, De nouvelles coupes du gouvernement Legault dans l’éducation, 18 décembre 2024 :
- Geneviève Lajoie et Daphnée Dion-Viens, Retour de l’austérité en éducation: des coupures dans l’aide alimentaire et les sorties culturelles, Le Journal de Québec, 17 janvier 2025 :
Alex Fontaine, Des centaines d’artistes réclament une hausse du financement en culture, Le Devoir, 22 janvier 2025 :
- Isabelle Ducas, Accès aux installations sportives des écoles. Le sport amateur compromis, La Presse, 23 janvier 2025 :
- Patricia Tadros, Fin de la gratuité pour tous dans les musées du Québec. Le gouvernement provincial met fin à la mesure en vigueur les premiers dimanches de chaque mois, Ici Radio-Canada/Québec, 27 janvier 2025 :
Mais, quand on utilise sa tête, ces coupes n’ont aucun sens. Si ces services sont nécessaires, qui va payer ? Que ce soit le gouvernement du Québec, les villes, ou encore le gouvernement fédéral, ce sera toujours le contribuable qui devra payer en fin de compte. Pourtant, la coopération aurait meilleur gout, car elle permettrait d’assurer les services, peut-être même de les améliorer et d’en réduire les couts, en partageant des ressources existantes plutôt que de faire des dédoublements.
Par exemple, comme je vois des groupes d’élèves passer sur ma rue avec leurs professeurs, je leur ai demandé ce qu’ils allaient visiter. À ma surprise, c’est à la bibliothèque de la ville (Montréal) qu’ils vont, malgré le fait qu’ils ont une bibliothèque scolaire assez récente. C’est qu’ils y ont un plus grand choix de livres ! Mais, imaginez que la ville facturerait l'usage des bibliothèques aux écoles? On dirait que ça n'a aucun sens. Pourtant, les commissions scolaires vont limiter l’accès aux installations sportives des écoles pour les villes ! (L’article est cité dans la liste plus haut.) Quel paradoxe, tout de même !
Et, encore plus tordu: « Depuis 2020, les municipalités ont l’obligation de céder gratuitement des terrains aux centres de services scolaires pour la construction de nouvelles écoles. » (2) Et, si ces villes veulent en utiliser les locaux pour leurs citoyens, elles devront payer ! Ça ne s’invente pas.
Alors, pour toutes ces raisons, j’ai choisi de republier mon texte de 2018 où je parlais de coopération et de partenariat entre les villes et les commissions scolaires, par exemple, car à l’époque on avait encore des commissions scolaires. Alors, si, pour certains termes, notre texte a peut-être vieilli, concernant l’approche coopérative, il est longuement en avance sur la philosophie du « chacun pour soi » qui gouverne nos institutions et nous coute cher en termes de dédoublement, par exemple !
Avant la rigueur budgétaire, on devrait peut-être penser à la coopération interinstitutionnelle ! Vous trouverez ce texte, « Des idées pour les commissions scolaires, le cas de la CSDM », suite aux Notes.
Notes
1. PAUL JOURNET, Un boomerang contre Northvolt, LA PRESSE, 27 janvier 2024: https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2024-01-27/un-boomerang-contre-northvolt.php
2. Jeanne Corriveau, De nouvelles écoles qui pèsent lourd dans le budget des villes, Le Devoir, 27 nov. 2023 :
Des idées pour les commissions scolaires, le cas de la CSDM
Societas Criticus, revue de critique sociale et politique, Vol. 20 no 02, Essais : www.societascriticus.com
NDLR : Quelques petites coquilles et fautes d’orthographe ont été corrigées. Certains hyperliens de ce texte ne fonctionnant plus, ils ont été mis à jour lorsque possible.
Texte et photos Michel Handfield, M.Sc. Sociologie ()
Éditeur de Societas Criticus
Ce texte est une version allongée de ma réponse au texte de Marco Fortier, « Un sondage «inutile» de la CSDM soulève l’indignation », Le Devoir, 2 février 2018 : www.ledevoir.com/societe/education/519137/indignation-autour-d-un-sondage-a-la-csdm. Il se retrouve dans les commentaires suivant ce texte sur ledevoir.com et sur ma page Facebook sous le titre « Problème de recrutement à la CSDM ».
Je la trouve bonne celle-là. Ça fait quelques années déjà que je travaille comme magasinier à temps partiel à la CSDM en plus de faire une revue internet à compte d'auteur, Societas Criticus, car il faut bien travailler un peu. Puis, ayant fait un bac et une maitrise en sociologie, ce n'est pas incompatible. Loin de là. Pensons aux sociologues des années 1960 et 1970 qui intégraient les milieux de travail, par exemple. Robert Linhart a même tiré un livre (1) de son expérience d’ouvrier spécialisé dans l'usine Citroën de la porte de Choisy (2).
Écrivant sur la société et la culture, étant membre de l'Association des Communicateurs Scientifiques, de l'Association des Critiques de Théâtre du Québec et de Society for Studies of Social Problems, j'aurais peut-être pu les aider. Pourtant, j'ai appliqué à quelques occasions sur des postes, soit à la direction, soit aux communications, sans jamais avoir une entrevue pour expliquer ce que je pourrais faire. Probablement pas dans le bon domaine, mais si au moins j’avais eu la chance de leur parler de complémentarités possibles. Ça ne veut pas dire que j’aurais eu un poste, mais au moins j’eusse pu apporter un point de vue qu’ils n’ont peut-être pas et qui pourrait être complémentaire.
Paradoxal tout de même quand on nous parle de l’importance du développement des compétences transversales en éducation. Si les commissions scolaires ne les regardent pas chez leurs employés, ça sert à quoi les compétences transversales? Ne devraient-elles pas donner l'exemple?
J'aurais des idées me semble, l’éducation étant d’abord d’ordre social (3) et l’école étant une organisation pour la transmission des savoirs ! À la limite on pourrait même faire l’école dans les parcs l’été, comme au temps des philosophes grecs, si on n’a plus les moyens d’entretenir les écoles, car ce n’est pas l’école physique qui compte, mais bien l’idée de faire l’école ! On n’en est pas là, mais cela illustre que l’important en éducation est d’abord et avant tout la transmission de savoirs et d’apprentissages. Partant de là, tout peut être remis sur la table pour repenser l’école physique. Voici donc quelques pistes de réflexion.
La bibliothèque électronique en appui
Par exemple, pourquoi ne pas avoir des livres, dictionnaires et revues électroniques dans nos bibliothèques scolaires, particulièrement au secondaire, car nos jeunes doivent apprendre qu'un cellulaire ou une tablette ne sert pas qu'à faire des jeux. L'école pourrait leur enseigner cela. En 2014, par exemple, Le Devoir nous présentait une bibliothèque sans livres : la Florida Polytechnic University. (4) Que feraient nos étudiants face à cela? Nos écoles les préparent-elles vraiment au XXIe siècle? Pourtant, nous y sommes !
Certaines ressources pourraient alors être accessibles de la maison, comme des dictionnaires en ligne et des ressources documentaires. Suffirait d’un petit effort pour l’organiser. Et cela pourrait être une aide précieuse pour les étudiants de la CSDM qui n’ont pas toujours accès à un dictionnaire à la maison, par exemple.
Les Bibliothèques de la ville de Montréal nous offrent d’ailleurs plusieurs ressources en ligne, dont des livres numériques; journaux, revues et reportages; cours de langues et d'informatique, de cybersécurité et des jeux et des exercices en ligne pour apprendre le français et les mathématiques nous dit-on sur leur site internet. (5) C’est donc possible.
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Alors, pourquoi une commission scolaire ne pourrait-elle pas en faire autant pour les jeunes ou, au minimum, développer des partenariats avec les Bibliothèques de sa ville et Bibliothèque et Archives nationales du Québec (6) pour ses étudiants? En échange, vu le manque de bibliothèques de la ville dans certains quartiers, il y aurait certainement moyen de développer des partenariats pour que la bibliothèque scolaire soit partagée pour les jeunes du secteur, comme peut l'être un gymnase, par exemple, le soir et durant les périodes de vacances. D’ailleurs, ces jeunes fréquentent peut-être déjà l’école du quartier. Il serait fort simple et beaucoup plus écologique de partager ainsi la bibliothèque de l’école avec la ville que d’avoir recours à une bibliothèque mobile (notre photo), qui émet des CO², pour apporter des livres où il n’y a pas de bibliothèque municipale pour les jeunes. Puis, avec l’aide de la ville, la collection de l’école pourrait être augmentée. Ce serait gagnant-gagnant non seulement pour ces institutions, mais pour les citoyens qui verraient là un partage des ressources plutôt qu’un dédoublement comme on en voit trop souvent encore.
Je sais : ça parait simple et ce l’est probablement, mais c’est sans compter sur les juridictions, les conventions collectives et toutes ces normes qui ne s’arriment pas pour venir compliquer les choses. Je suis certain qu’une telle proposition se heurterait à toute une série d’objections. Il est ainsi parfois plus simple de ne rien faire, comme je l’ai déjà écrit dans le bulletin de la CECM il y a plus de 20 ans ! (7) Ensuite, on accusera le citoyen d’être cynique…
La question du livre électronique et du partage de ressources avec le service des Bibliothèques de Montréal (8), du moins pour le livre jeunesse, n'est là qu'un exemple. On pourrait pousser ces partenariats beaucoup plus loin, ne serait-ce que pour montrer que l'éducation est l'affaire de tous.
Le cas de l'éducation populaire, riche en enseignements
Les Centres d’éducation populaire (CEP) de Montréal se sentent menacés par les hausses de loyers qui leur sont imposés par la CSDM malgré l’importance de leur mission éducative. C’est que la CSDM a des déficits budgétaires, de locaux et d’entretien à régler, on le sait. C’est la première partie du problème.
De l’autre côté, les CEP n’ont jamais reçu le financement assurant leur survie de la part du ministère de l’Éducation malgré les promesses du ministre Proulx à ce sujet. (9) Alors, survivront-ils ou couperont-ils des services à une population, parfois vulnérable, qui en a besoin?
Quand on parle du décrochage scolaire des jeunes, une des solutions pour le prévenir peut être de raccrocher les parents justement. C’est ce que font ces centres : faire raccrocher les parents; les informer et les éduquer dans le sens noble du terme. Beaucoup plus difficile pour un jeune de décrocher de l’école quand il voit un de ses parents, sinon les deux, y retourner par le biais de l’éducation populaire pour améliorer le sort de la famille.
Pourquoi alors ne pas cesser ce dialogue de sourds���? Le Ministère de l’Éducation, les Commissions scolaires, les Centres d’éducation populaire ne pourraient-ils pas s’assoir et trouver des solutions, comme d’utiliser certaines classes après les heures d'écoles pour donner des formations? N’est-ce pas le but recherché par tous que d’améliorer l’éducation des citoyens pour les préparer à vivre dans cette société du savoir? À moins que ce ne soient que de belles paroles préparées par des agents de communications? On ressort la cassette au besoin quand ça revient sur le fil d’actualités et on parait s’en occuper. De toute façon, le peuple oublie.
Les mots et la réalité : des économies !
Quand on dit que l’éducation est importante, pourquoi les gestes disent-ils tout le contraire? Tous les gouvernements qui se sont succédé au cours des dernières décennies ont semblé faire beaucoup plus d’économie sur le dos de l’éducation, des services sociaux et communautaires, destinés à la population, que des investissements. Le gouvernement peut toujours dire que ce sont les choix des commissions scolaires, mais c’est lui qui contrôle le financement et impose les normes à respecter, donc les dépenses autorisées ou non. C’est comme si la tête disait que ce n’est pas elle qui contrôle le bras et les actions de la main. Un non-sens trop facilement accepté, je trouve. Où est passé le sens critique?
Mais, si on réduit dans l’éducation, on réduit par le fait même la compréhension de ces phénomènes et la critique face au gouvernement. À ce niveau, les groupes d’éducations populaires et communautaires sont importants pour éduquer/informer la population. Mais, c’est aussi former des objecteurs de conscience, voir des indignés, face aux pouvoirs. Le ministre peut bien verser une larme devant la caméra en parlant de ces groupes, mais ne doit pas être trop pressé de leur signer un chèque !
Où est passé le citoyen?
Sans parler de conspiration, on voit aussi qu’il y a une mode à parler de clients. Cela a commencé dans les années 1990. J’en étais, mais on parlait au moins de clients internes et externes, comme les « professeurs, élèves, parents, etc. » par exemple. (10) Ce qu’on ne pensait pas à l’époque, c’était qu’en parlant de clients plutôt que de bénéficiaires de services, on ouvrait la porte à une marchandisation des services en même temps, car quand on dit client d’autres entendent facturation possible. Est-ce là l’étape nécessaire pour faciliter la privatisation des services à plus ou moins brève échéance? (11) Je pose la question, car les mots disent parfois plus qu’on ne le croit.
D’ailleurs, les commissions scolaires présentent souvent les étudiants comme leur clientèle. Pas surprenant alors que certains soient tentés de gonfler leurs notes pour les satisfaire, car le client a toujours raison dit l’adage ! (12) Mais, ce n’est pas vrai, car ils ne paient pas pour ce service qu’ils reçoivent. Ce sont des bénéficiaires. Ils sont là pour apprendre et, comme société, on doit avoir des exigences à leur égard.
Le client, s’il y en a un véritable, c’est le citoyen, qu’il ait des enfants ou non, car il paie pour les Commissions scolaires à travers la fiscalité et les taxes scolaires. Moi, comme citoyen, je m’attends à ce que l’étudiant formé dans l’école secondaire de mon quartier ait autant de chance de devenir médecin un jour que celui d’Outremont, qui va au privé, s’il met les mêmes efforts pour réussir. Rien de moins. Voilà ce que j’appelle une éducation publique équitable.
Alors, si la mission de la commission scolaire est l’éducation, elle ne peut cautionner un tel mouvement clientéliste, car il la menace.
En effet, si l’enfant est client, pourquoi l’argent ne suivrait-il pas l’élève plutôt qu’aller aux commissions scolaires? On n’est pas loin alors d’une privatisation possible de l’école, car il devient facile après cela de choisir l’école privée avec cet argent, car, contrairement aux écoles privées subventionnées à 60%, tous les enfants seraient subventionnés à 100%. L’école privée deviendrait alors aussi accessible que l’école publique pour eux. Il en reviendrait alors aux écoles d’offrir des programmes particuliers et de se distinguer sur le plan de leur pédagogie et de leur gestion (privée, coopérative ou communautaire, par exemple) pour attirer certains élèves plutôt que d’autres. Parents et enfants choisiront alors à quelle école remettre l’argent reçu du ministère de l’Éducation si l’enfant réussit les examens d’entrée.
Si l’enfant ne réussit pas ces examens d’entrée, que restera-t-il comme choix?
Pour ceux qui ne seront pas acceptés dans ces écoles, restera probablement un réseau d’écoles parapubliques qui les accepteront. Mais, ce ne sera pas nécessairement l’école près de chez eux, car elle pourrait désormais s’inscrire dans un modèle d’école à vocation particulière et sélectionner ses élèves elle aussi. Ce clientélisme, soulignons-le, appelle souvent une forme de privatisation à plus long terme des marchés les plus rentables et un délestage des autres. Suffit de regarder les transports. Dès que le Fédéral s’est retiré d’Air Canada, les corridors de service public ont été délaissés ou ont vu leur prix augmenter de façon disproportionnée au point qu’ils ont été abandonnés par la suite, faute de clients. On ne devrait jamais oublier que les mots ne sont pas innocents.
L’égalité...
Exit aussi l’égalité des chances, car l’enfant de parents qui ne valorisent pas l’école pourra passer à côté de son potentiel. C’est à l’école publique de faire que tous les enfants puissent réaliser leur plein potentiel, surtout aux dépens des conditions socioéconomiques qui pourraient les en empêcher. Et ce n’est pas en faisant du clientélisme; en ne les forçant pas à se dépasser; ou en normalisant les notes pour qu’ils ne connaissent pas l’échec (13) que les enfants réaliseront ce dont ils sont capables.
L’école ne doit pas les traumatiser ni les surprotéger, mais elle doit leur transmettre des valeurs humanistes tout en les préparant à vivre dans un monde où la compétition et l’injustice existent aussi. Ils doivent être outillés pour vivre dans ce monde à leur sortie de l’école. C’est le minimum souhaitable. Si, en plus, ils ont des outils pour leur donner le gout d’aller plus loin et de vouloir le changer, c’est que l’école aura fait son travail.
Les cellulaires et les tablettes à l’école
Dans les années 1970, quand je fréquentais le secondaire, il n’y avait pas de dictionnaires pour tous. Dans certaines classes, il n’y en avait même pas. Et, on était dans les belles années financières, avant l’austérité et les coupures. Imaginez aujourd’hui.
Maintenant, par contre, un Robert/Dixel mobile ou un Larousse pour cellulaire et tablette coute moins de 10$. Ce sont de bons outils qui fonctionnent même lorsqu’on n’est pas en ligne. Je le sais, car j’ai les deux sur mon téléphone. Pourquoi, alors, ne pas les permettre en classe?
Il faudra bien un jour commencer à enseigner aux jeunes qu’un cellulaire et une tablette ne sont pas que ludiques; ce sont aussi des outils pratiques et productifs.
Le vilain mot est lâché pour la gauche : productif ! C’est ne pas avoir lu Marx que de penser ainsi, car Marx n’en avait pas contre la productivité; il remettait bien plus en cause l’absence de redistribution. De plus, il était même pour la mondialisation. Sinon, on ne crée pas une Internationale ! (14)
On peut y mettre la Suite Office pour faire ses devoirs tout comme on peut y télécharger un livre pour lire et même des journaux, comme La Presse +, Le Devoir, USA today, et L’OBS (France) pour ne nommer que ceux-là. Ces outils ne servent pas qu’à des jeux et si l’école ne l’enseigne pas, qui va le faire? Surtout, plusieurs parents connaissent moins ces outils modernes que leurs enfants ou le leur offrent «pour qu’ils leur fichent la paix » (15). Si on ne veut pas donner cet enseignement et cet encadrement à l’école, qui va le faire?
Un livre, mais c’est quoi un livre?
Il faudrait peut-être aussi cesser de dire que l’on est dans une société du savoir si l’on pense encore qu’un livre ou un dictionnaire c’est du papier.
Un livre, c’est une suite de mots donnant un sens et racontant une histoire ou rapportant des faits selon le type littéraire ou documentaire utilisé. On peut ainsi parler de romans, d’essais, de livres de référence, etc. Ils peuvent être imprimés (papier), mais aussi électroniques, en ligne et même audio dans certains cas.
Un dictionnaire, c’est une base de données donnant le sens et les caractéristiques des mots. Tout comme les livres, ils peuvent être sur support papier, mais aussi sur une variété d’autres supports. Les dictionnaires d’Antidote en sont un exemple. Le grand dictionnaire terminologique (en ligne) de l’Office québécois de la langue française (16) en est un autre. Les applications comme le Larousse ou le Robert-Dixel d’autres exemples.
Non, un livre, un journal ou un dictionnaire, ce n’est pas du papier, mais de l’information ! Comme une boite de papier, ce n’est pas une boite de livres ! un livre, un journal ou un dictionnaire, c’est un contenu mis sur un support, que ce soit une puce, un site internet ou imprimé sur du papier. Voilà ce que c’est. Il faut se faire à l’idée tout comme on s’est déjà fait à l’idée qu’un téléphone, ça ne doit pas nécessairement être attaché à un fil.
La publicité
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J’ai souvent remarqué des publicités sur les écoles de métiers de la CSDM (17) dans le métro par exemple, mais moins de l’école normale, ni de ses programmes spécialisés.
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Inversement, les écoles privées peuvent faire des annoncesqui vantent leurs mérites et leurs services. On en reçoit même par le porte à porte. (18)
Question de loi, d’éthique ou de règlements peut-être, mais une recherche par mots-clés, avec « publicité » et « promotion », ne m’a pas permis de trouver d’articles signifiants sur le sujet dans la « Loi sur l’instruction publique » (19). Mais, ça ne veut pas dire que ce n’est pas inscrit ailleurs.
Conclusion
Voilà ce à quoi pourrait aider un sociologue : trouver de nouvelles pistes de réflexion pour une école plus ouverte et inclusive sur sa communauté.
Les autres Commissions scolaires pourraient aussi suivre si la CSDM se donnait la peine d’être une locomotive du changement et donnait de tels exemples. Certains reprochent à la CSDM d’être trop grosse. Mais, si, comme un joueur de football, elle se sert de son poids, de sa force et de sa vitesse pour ouvrir une brèche vers le changement et faire enfin entrer nos jeunes au XXIe siècle, elle aura certainement davantage d’appuis que de critiques ! Parfois, il faut foncer pour les bonnes raisons.
Notes
1. Linhart, Robert, 1981, L'établi, Paris : éditions de Minuit
2. Voir :
www.leseditionsdeminuit.fr/livre-L%E2%80%99%C3%89tabli%C2%A0-2172-1-1-0-1.html
3. C’est ce que la société veut transmettre aux générations qui suivent. Ce sont des choix sociopolitiques, parfois objet de combats idéologiques et de classes sociales. « L'éducation n'est pas neutre. » Je n’ai pu trouver si cette maxime appartient à quelqu’un, mais il me semble l’avoir assez souvent entendu pour la mettre entre guillemets.
4. Stéphane Baillargeon, Une bibliothèque sans livres, Le Devoir, 2 septembre 2014, www.ledevoir.com/culture/417335/une-bibliotheque-sans-livres
5. http://bibliomontreal.com/numerique/
6. Bibliothèque et Archives nationales du Québec : www.banq.qc.ca
7. Paradoxalement, j’avais écrit un texte en 1994, « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? », qui était paru dans « L'école montréalaise, bulletin de la CECM », 17 janvier 1994, p. 4.
8. Bibliothèques Montréal : http://bibliomontreal.com/
9. À ce sujet, voir :
- Communautaire, Le CECRG (encore et toujours !) menacé, in Le journal de Saint-Michel, 7 février 2018, p. 3
- Jessica Nadeau, Des centres d’éducation populaire dénoncent les menaces de la CSDM, Le Devoir, 25 janvier 2018 :
www.ledevoir.com/societe/education/518434/csdm-et-baux
- Carrefour d'éducation populaire de Pointe-Saint-Charles, 2 décembre 2016, Le ministre Proulx annonce 750 000 $ pour soutenir les centres d’éducation populaire : http://carrefourpop.org/le-ministre-proulx-annonce-750-000-pour-soutenir-les-centres-deducation-populaire/
- Carrefour d'éducation populaire de Pointe-Saint-Charles, La survie des centres d'éducation populaire (encore et toujours !) menacée, Janv. 18, 2018 : https://www.newswire.ca/fr/news-releases/la-survie-des-centres-deducation-populaire-encore-et-toujours-menacee-670009873.html
- Ce site internet - www.sauvonslescep.com - ne fonctionne plus.
10. J’en parlais dans mon texte « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? » déjà cité en note 7.
11. Au lieu de donner les services lui-même, le gouvernement, ses ministères et, peut-être un jour, le secteur parapublic, pourrait aller en appel d’offres pour voir offrir les services gouvernementaux par des entreprises privées qui auraient soumissionnées comme on le fait pour la construction d’un pont ou d’un hôpital. Au plus bas soumissionnaire le contrat.
12. Marco Fortier, Des « notes formidables » même pour les élèves qui échouent, Le Devoir, 16 février 2018 : www.ledevoir.com/societe/education/520378/des-notes-formidables-meme-pour-les-eleves-qui-echouent
13. À ce sujet, deux textes. D’abord, celui de Marco Fortier déjà cité en note 12. Ensuite, Josée Blanchette, Parents mous, enfants fous, profs à bout, Le Devoir, 6 septembre 2013 : www.ledevoir.com/opinion/chroniques/386727/parents-mous-enfants-fous-profs-a-bout
14. Il faut lire Attali, Jacques, 2005, Karl Marx ou l'esprit du monde, France : Fayard (Documents)
15. RÉPLIQUES (France Culture), Était-ce ou non mieux avant? 2018-01-20, 52:04 minutes. C'était mieux avant ou maintenant? Michel Serres s'entretient avec Alain Finkielkraut. Ma citation est tirée entre 33:59 et 34:01 minute de l’entretien entre ces deux intellectuels. Pour ma part, je suis abonné à ce Podcast. Voir : https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/etait-ce-ou-non-mieux-avant
16. Le grand dictionnaire terminologique est maintenant remplacé par la Vitrine linguistique : https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/
17. Les écoles de métiers, voir Écoles et centres sur https://www.cssdm.gouv.qc.ca/
18. J’avais conservé cette annonce reçue dans ma boite aux lettres en vue d’écrire sur l’usage de la tablette à l’école. Je ne me souviens plus si je l’avais reçu par le facteur, dans le Publisac ou par une autre forme de distribution en porte à porte. Peu importe. L’important c’est que j’ai finalement parlé de ce sujet – et bien plus encore – dans ce dossier que je ne prévoyais pas faire à l’époque. Mon lapin en a rogné les coins, ce qui fait que je l’ai un peu recadré pour publication.
19. I-13.3 - Loi sur l’instruction publique :
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latribune · 25 days ago
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marketresearch258 · 1 month ago
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voyager-au-canada · 2 months ago
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Immigration au Canada : Les Meilleurs Programmes de Visa Travail
Le Canada est l'un des pays les plus accueillants pour les immigrants, en particulier ceux qui viennent chercher de nouvelles opportunités professionnelles. Si vous êtes un travailleur qualifié, vous pouvez profiter des nombreux programmes de visa travail qui vous permettront de vous établir au Canada. Dans cet article, nous allons explorer les meilleurs programmes de visa travail Canada pour les Africains, afin de vous aider à trouver celui qui vous correspond le mieux.
Pourquoi Choisir le Canada Pour Travailler ?
Le Canada est une destination privilégiée pour les travailleurs étrangers, notamment les migrants africains, grâce à son économie florissante, sa qualité de vie et ses politiques d'immigration favorables.
Les principales raisons de choisir le Canada :
Marché de l'emploi dynamique : Le Canada connaît une forte demande de main-d'œuvre dans divers secteurs tels que la technologie, la santé, le bâtiment, l'éducation, et l'agriculture.
Politiques d'immigration flexibles : Le Canada facilite l'immigration de travailleurs qualifiés grâce à des programmes tels qu’Express Entry et des permis de travail temporaires.
Système de santé universel et des services sociaux accessibles à tous les résidents.
Environnement stable et sécurisé, propice à une intégration réussie.
Les Meilleurs Programmes de Visa Travail Pour les Migrants Africains
Le Canada propose plusieurs programmes de visa travail adaptés aux travailleurs étrangers. Voici les options les plus populaires et les plus accessibles pour les migrants africains.
1. Le Programme Express Entry
Le programme Express Entry est l’un des moyens les plus rapides et les plus populaires pour immigrer au Canada. Il est conçu pour sélectionner les travailleurs qualifiés selon un système de points, en fonction de leur expérience professionnelle, de leurs compétences linguistiques et de leur éducation.
Exigences :
Expérience professionnelle qualifiée dans un secteur en demande.
Compétence linguistique en anglais ou en français (tests de langue comme IELTS ou TEF).
Diplôme ou équivalence de l'éducation secondaire ou universitaire.
Avantages :
Processus rapide : Les candidats peuvent obtenir leur résidence permanente après un certain temps de travail.
Le système d'invitation à postuler (ITA) permet aux travailleurs qualifiés d’obtenir une invitation pour immigrer rapidement.
Possibilité de faire une demande pour les travailleurs qualifiés avec ou sans offre d’emploi au Canada.
Pour plus d’informations sur le programme Express Entry, veuillez consulter le site officiel de l'immigration canadienne ici.
2. Le Permis de Travail Temporaire
Le permis de travail temporaire permet aux travailleurs étrangers de travailler pour un employeur canadien pendant une période déterminée. Ce permis est souvent délivré dans le cadre d’un contrat de travail spécifique.
Exigences :
Offre d’emploi valide d’un employeur canadien.
Un certificat d'acceptation de travail (si applicable).
Avantages :
Permet de travailler au Canada pour une durée définie (généralement entre 6 mois et 2 ans).
La possibilité de renouveler le permis de travail si l'employeur souhaite prolonger le contrat.
Accès à des salaires compétitifs et à des conditions de travail avantageuses.
3. Le Permis de Travail Ouvert
Le permis de travail ouvert permet à un travailleur étranger de travailler pour n’importe quel employeur au Canada, sans restriction de lieu ou de secteur.
Exigences :
Être le conjoint d'un citoyen canadien ou d'un résident permanent.
Étudiants diplômés d'un établissement canadien reconnu.
Avantages :
Liberté totale de travailler pour n’importe quel employeur au Canada.
Pas besoin d’une offre d’emploi préalable.
Possibilité d’obtenir une résidence permanente à long terme.
4. Le Programme de Permis de Travail pour les Professionnels
Le programme de permis de travail pour les professionnels permet aux travailleurs étrangers qualifiés dans des secteurs en demande de venir travailler temporairement au Canada.
Exigences :
Offre d’emploi dans un domaine où il existe une pénurie de main-d'œuvre qualifiée.
Compétences professionnelles dans un secteur spécifique.
Avantages :
Permet aux travailleurs de contribuer à des secteurs clés de l'économie canadienne.
Possibilité de renouveler le permis de travail si les conditions sont réunies.
Comment Postuler pour un Visa Travail au Canada ?
Choisissez le programme qui vous convient : En fonction de votre expérience professionnelle, de vos compétences linguistiques et de votre niveau d'éducation, choisissez le programme le mieux adapté à votre profil.
Préparez vos documents : Rassemblez tous les documents requis pour prouver votre expérience, vos compétences, et votre éducation.
Soumettez votre demande : Remplissez le formulaire de demande en ligne sur le site officiel de l'immigration canadienne et soumettez-le avec tous les documents nécessaires.
Attendez l'approbation : Une fois votre demande envoyée, vous devrez attendre l'approbation de votre demande. Si votre demande est acceptée, vous recevrez un permis de travail.
Embarquez pour le Canada : Une fois votre visa délivré, vous pourrez commencer à planifier votre arrivée et votre installation au Canada.
Conclusion
Les programmes de visa travail au Canada offrent de nombreuses possibilités aux migrants africains qualifiés à la recherche de nouvelles opportunités professionnelles. Que vous choisissiez Express Entry, le permis de travail temporaire, ou le permis de travail ouvert, chaque programme a ses avantages et ses exigences. Le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique offre des services de préfinancement pour vous aider à traverser le processus administratif, en vous permettant de financer votre visa, votre billet d'avion et votre logement pour une transition en douceur.
Si vous souhaitez obtenir plus d'informations sur les programmes de visa travail pour le Canada, contactez-nous dès aujourd'hui et commencez votre parcours vers une nouvelle vie professionnelle au Canada.
Contactez-nous dès maintenant et découvrez comment nous pouvons vous aider à obtenir votre visa travail pour le Canada !
Pour plus de détails, visitez notre site web : www.fondsautonomieafrique.org
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virtualpenguinpanda · 2 months ago
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Je vous attends aujourd'hui, le 9 décembre 2024 :
20h00 Haïti 🇭🇹 - Canada 🇨🇦 - USA 🇺🇸
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