#abus de pouvoir des élus
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Dimanche 3 septembre 2023.
Paris, place Saint-Michel. Rassemblement de membres d’un collectif « Défendre la démocratie israélienne ». Pas beaucoup de monde, pas assez de monde. Il fait beau, chaud, il y a encore un air de vacances.
Je vais transcrire une partie du tract distribué. Il a le mérite d’être clair :
« La coalition gouvernementale formée par le Premier ministre israélien B. Netanyahou en décembre dernier veut procéder à une »réforme judiciaire » affirmant que celle-ci corrigera « l’activisme judiciaire », ajoutant que les juges de la Cour Suprême ,e sont pas élus par le peuple.
Cette « réforme » et les autres initiatives législatives du gouvernement israélien actuel représentent la menace la plus importante depuis 75 ans à laquelle Israël doit faire face.
Cette « réforme » est une tentative des extrémistes religieux et des ultra-nationalistes d’étriper la démocratie israélienne en attaquant ses gardiens. C’est aussi un moyen pour B.Netanyahou, accusé de corruption, fraude et abus de confiance dans trois affaires, d’échapper à la justice.
… Ce gouvernement messianique et dictatorial a déposé 225 projets de loi qui visent à contrôler les médias, contrôler les professeurs dans les écoles publiques, réviser le code électoral pour mieux bâillonner l’opposition, discriminer les LGBT et les arabes israéliens ; transférer encore plus de pouvoir aux tribunaux rabbiniques pour mieux effacer les femmes de l’espace public et en faire des citoyens de seconde zone. Sans parler des milliards de shekels distribués aux colonies et aux ultra-orthodoxes au détriment de l’école publique, du logement, de la sécurité.
La démocratie israélienne est au bord du gouffre. Tous les samedis soir depuis janvier dernier-36 semaines à ce jour-des dizaines de milliers de citoyens manifestent dans le calme, à Tel Aviv et dans 150 autres lieux du pays pour défendre leur démocratie ».
Tout est dit, ou presque. À titre personnel, j’approuve cet appel qui fait écho aux manifestations pour préserver la démocratie en Israël. J’ai été depuis longtemps très critique de l’occupation de la Cisjordanie et de la manière dont sont traités les palestiniens par les colons et l’armée. L’assassinat de Yitzak Rabin avait condamné le processus de paix avec les palestiniens. L’extrême droite et les messianiques sont au pouvoir aujourd’hui.
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Du Pouvoir... ou de ses défaillances
Le Pouvoir semble être une des ''denrées'' les plus impossibles à conserver en son état natif, tel qu'en lui-même. Il ne se passe pas un seul jour sans que l'un ou l'autre d'entre nous, habitants de ce monde en pleine folie, ne constate –et ne déplore-- la multiplication des mauvaises utilisations qui sont faites de toute parcelle d'autorité confiée –en toute naïveté-- à tel ou tel des récipiendaires de ce cadeau, béni pour lui, empoisonné pour ceux qui l'ont imprudemment délégué : le Pouvoir, dès lors qu'il est confié à qui que ce soit et pour quoi que ce soit, semble être l'une des choses les plus impossibles à conserver dans la situation initiale où un ancien détenteur l'avait ''délégué, '' en tout ou partie, à un délégataire (?) qui, l'histoire le démontre à satiété, ne savait trop quoi en faire... sinon en abuser ou le confisquer.
Il est un peu tard et hors saison pour se demander s'il en a toujours été ainsi : ce qui compte, pour nous, c'est que tout détenteur de la moindre portion de cette ''chose'' pourtant si importante pour tous et pour chacun, se montre indigne de la confiance spontanée qui lui a été ainsi confiée. Et sans doute est-ce là qu'il faut chercher une des causes de ce gouffre si souvent évoqué partout, entre des soi-disant ''élites'' qui, nous le constatons pour le regretter, ne sont pas dignes (en tout cas : pas à la hauteur !) des attentes et des espoirs qui ont été placés en eux …
On en 'est en arrivé au point où parler de l'immensité du ''gap'' qui sépare les administrés de leurs tyrans relève presque du lieu commun, et ce à tous les échelons de la structure sociale... ou de ce qu'il en reste. L'exemple –à peine caricatural-- qui suit peut être lu, et appliqué à presque tous les échelons des détenteurs de la plus petite parcelle d'autorité réputée ''officielle'' : un individu brigue vos suffrages pour obtenir un poste ou une fonction élective dont il rêve... Il se met à votre place (dit-il !), vous comprend, et partage vos soucis . La preuve ? Il trouve qu'il y a trop d'insécurité, il veut diminuer la ponction fiscale, il veut rendre enfin ''la France aux français'', il va réintégrer de vrais programmes dans la scolarité, va être très vigilent sur tout ce qui touche aux libertés individuelles, il va se montrer moins tatillon que ses prédécesseurs, va être plus ''normal'' dans son comportement avec les automobilistes, en finir avec les outrances sociétales, rétablir l'orthographe, le calcul, la littérature et –c'est promis-juré-- un regard redevenu honnête sur l'histoire de France, ses grandes heures, son formidable passé... et que sais je, encore.
Et c'est là que votre destin bascule vers un ''grand n'importe quoi'' dont les limites sont in-évaluables : tout et n'importe quoi risque de vous dégringoler sur la cafetière dans n'importe quel ordre et quelle direction, et vers les plus imprévisibles des résultats, tant est riche et vaste la palette des ''dérapages'' possibles. Car aussitôt le résultat proclamé, le même individu, une fois élu, celui-là-même qui était jusque là humain en apparence, va basculer dans l'univers de folie des abus de pouvoir, des dérives de la pensée et de la recherche effrénée de contraintes toutes inutiles, toutes mortifères, toutes absurdes … et toutes terriblement contraignantes !
Le nombre et la variété de ces ''dérapages'' est si énorme qu 'on se demande où ils vont chercher autant de mauvaises idées, toutes plus idiotes les unes que les autres. Votre ''ex-candidat'' tellement rempli de bonnes idées et prolixe en belles promesses, va tout-à-coup se transformer un tyran obsessionnel, et se mettre à employer un jargon dénué de tout sens et de toute raison, où vous allez avoir le désagrément de retrouver toutes les notions absurdes, susceptibles de faire le bonheur des gens contre leur gré : contraintes, obligations contre nature, ''défense de'' et interdictions injustifiables... Effaré, ''KO debout'', vous allez entendre cet individu qui vous paraissait normal se saouler de mots vides de sens , mais empruntés au jargon le plus éculé de ces idéologies da la gauche-magistère qui ont, tous sans exception, la particularité de n'avoir jamais fonctionné, en aucun lieu, en aucun temps, en aucune circonstance... mais que notre caste d'intellectuels encartés persistent à nous imposer comme étant les seuls souhaitables.
Alors, votre ex-gentil va se transformer en machine à répéter les mêmes contre-vérités, mélange aberrant de climat mal analysé, de météo incomprise, de CO et de CO² mélangés avec ''El Niño'' et le Gulf-Stream comme seul le Giec est capable de le faire, d'incompréhension profonde de toute approche scientifique, de confusion entre les faits et les croyances, dans un discours abscons (je dis ''abs'' uniquement pour être poli !) où il est question de répression routière accrue, de pistes cyclables sans cyclistes, de voies rétrécies parsemées d'obstacles cachés et de radars vicieux, d'amendes sans raison, de ronds-points en série, de ZFE, ou d'immigration devenant souhaitable (mais oui... Ils vont jusque là, ces idiots !), de stationnement interdit (''pour faciliter le commence’’ !), d'énergie et de décroissance, de lois sociétales plus perverses les unes que les autres de racisme à tous les étages (succès garanti auprès des cons !), de la culpabilité exclusive de la race blanche (ou des seuls catholiques : ça marche aussi !) dans les malheurs du monde et la montée des températures. Reste : l'augmentation de la ponction fiscale sur ''les riches''... (NDLR : une fois tout ce qui compte abandonné à Ursula Von der truc, il ne reste plus que le ''sociétal'' (sic !) pour exercer une autorité de carnaval !),
Le but poursuivi par toute caste dirigeante semble être l'acceptation por tous de l'obligation de soumission, fût elle douloureuse, liberticide et fort coûteuse, à cette nouvelle hydre qu'est ''l'administration'', au détriment du bonheur des pauvres gens qui persistent (en nombre réduits , on comprend pourquoi !) à croire au baratin de gens qui se fichent pas mal de leur état de satisfaction des services rendus (ou pas rendus... ou si mal rendus !). Mais que je sache, personne à ce jour ne s'est jamais intéressé aux raisons de cette dérive persistante qui transforme (ou déforme) tout Pouvoir institutionnel en son contraire insupportable... le comble el la matière étant constatable –avec regrets, mais il est trop tard !) à rechercher du côté de l'Europe-institution qui ne sait recommander que l'exact opposé à tout ce qu'il faudrait. Mais ceci est un autre sujet d'étonnement qui sortirait du cadre de cet ‘’éditorial’....
H-Cl.
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Il est difficile de prévoir comment les sociétés modernes pourront se soustraire à la très redoutable tyrannie qui les menace. Les Américains qui semblent devoir en être les premières victimes prévoient déjà, par la bouche de leurs plus éminents représentants, des révolutions sanglantes. Mais s’il est facile de se révolter contre un despote, comment se révolter contre un pouvoir occulte et anonyme ? Comment atteindre des fortunes habilement disséminées dans le monde entier ? Ce qui est bien certain, c’est qu’il sera difficile de tolérer longtemps sans révolte qu’un seul individu puisse, pour s’enrichir, décréter une famine ou la ruine de milliers d’individus avec plus de facilité que Louis XIV ne déclarait une guerre. Démoralisation des couches supérieures de la société, répartition inégale et souvent fort inéquitable de l’argent, abus dangereux de la richesse, irritation croissante des classes populaires, besoins toujours plus grands de jouissances, évanouissement des vieilles hiérarchies et des vieilles croyances, il y a dans toutes ces circonstances bien des sujets de mécontentement, qui contribuent à expliquer l’extention rapide du socialisme. Les esprits les plus distingués souffrent d’un malaise non moins profond, quoique de nature différente. Ce malaise ne les transforme pas toujours en partisans des nouvelles doctrines, mais les empêche de s’intéresser beaucoup à la défense de l’état social actuel. La désagrégation successive de toutes les croyances et des institutions qui reposaient sur elles, l’impuissance totale de la science à jeter quelque lumière sur les mystères qui nous entourent et qui ne font que s’épaissir à mesure que nous voulons les sonder, la démonstration trop évidente que tous nos systèmes philosophiques ne représentent qu’un galimatias impuissant et vide, le triomphe universel de la force brutale et le découragement qu’il provoque, ont fini par jeter les élus de l’intelligence dans un pessimisme sombre. Gustave Le Bon Les tendances pessimistes des âmes modernes ne sont pas contestables. On ferait un volume en citant les phrases qui les expriment chez nos écrivains. Les extraits suivants suffiront à montrer le désarroi général des esprits: Quant au tableau des souffrances de l'humanité, écrit un distingué philosophe contemporain M. Renouvier, sans parler des maux qui tiennent aux lois générales du règne animal, celui qu'en fait Schopenhauer passera pour faible aujourd'hui, plutôt que poussé au noir, si nous pensons aux phénomènes sociaux qui caractérisent notre époque, la guerre des nationalités, la guerre des classes, l'universelle extension du militarisme, les progrès de l'extrême misère, parallèle au développement de la grande richesse et des raffinements de la vie de plaisir, la marche croissante de la criminalité tant héréditaire que professionnelle, celle du suicide, le relâchement des mœurs familiales et l'abandon des croyances supra-mondaines que remplace de plus en plus le stérile culte matérialiste des morts. Tout cet ensemble des traits d'une rétrogradation visible de la civilisation vers la barbarie, et que ne peut manquer d'accroître le contact des Européens et des Américains avec les populations stationnaires ou même dégradées de l'ancien monde, tout cela n'apparaissait pas encore au temps ou Schopenhauer a donné le signal d'un retour des esprits au jugement pessimiste sur les mérites du monde. Les plus forts marchent sans vergogne sur les droits des plus faibles, écrit un autre philosophe, monsieur Boiley. Les Américains exterminent les Peaux-Rouges. Les Anglais pressurent les Hindous. Sous prétexte de civilisation, les nations européennes se partagent l'Afrique, mais ne visent en réalité qu'à se créer des débouchés commerciaux. La jalousie entre puissances a pris des proportions inusitées. La Triplice nous menace par crainte et par convoitise. La Russie vient à nous par intérêt. Gustave Le Bon | (1898) Psychologie du Socialisme | ...
#administration#état#éthique#besoin#bonheur#caractère#citoyen#collectif#commun#contrat#conviction#doxa#droit#Gustave Le Bon#illusions#intérêt#jacobin#morale#nation#peuple#politique#populaire#pouvoir#principe#progrès#propriété#prospérité#révolution#religion#richesse
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Groupe Casino : l’alternative au dépeçage et la casse sociale
La vente à la découpe du groupe Casino validée par le gouvernement ouvre la voie d'une disparition pure et simple de l'enseigne. Le Ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a effectivement entériné le projet des repreneurs celui du consortium piloté par Daniel Kretinsky et celui de la famille Mulliez, concernant 313 magasins au total.
Tout est ainsi organisé pour permettre au capital de se restructurer dans son seul intérêt. Car les actifs économiques du groupe Casino présentent toujours un intérêt évident. La famille Mulliez a proposé plus de 1 milliard d'euros pour racheter les grandes surfaces Casino. Le consortium Kretinsky, propose 1,2 milliard d’euros et l’apurement de 5 milliards de la dette du groupe, sur un total de 10 milliards.
La disparition de l’enseigne et du groupe Casino est une question nationale, économique et sociale. 55 000 emplois en France sont menacés près de 1300 en Corse. La direction du groupe joue avec les nerfs de ses salariés et reproche, c’est un comble, à la CGT de vouloir instaurer le trouble. C’est d’autant plus provocateur que la responsabilité du désastre économique et social incombe à son propriétaire M. Naouri et à sa gestion hasardeuse et douteuse. Présenté en hauts lieux comme un des plus habiles financiers de son temps, il en fait la démonstration en détruisant le groupe Casino.
La période de sauvegarde du groupe a été prolongée jusqu'au 25 février. Il reste du temps pour agir autrement aux plans social et économique. L’Etat a des moyens d’intervention.
Il peut à la demande des salariés prononcer un moratoire et opter pour une structure de défaisance accueillant les opérations financières pourries. Il dispose avec l’administration fiscale des moyens d’engager un contrôle pour abus de bien social et abus de droit à l’encontre du propriétaire défaillant M. Naouri qui a pompé le groupe par les dividendes fous qu’il s’est versé durant des années. Il a la capacité d'inciter les banques à apporter les fonds nécessaires à l'assainissement de la situation financière de Casino à bas taux d’intérêt. Il dispose aussi du levier de la BPI (Banque publique d’investissement). Il peut formuler un droit de regard et d'intervention sur la gestion à venir des pouvoirs publics et des salariés avec des critères précis.
En ce sens, le PCF demande, un moratoire et l’ouverture d’une table ronde réunissant les parties concernées, les banques (dont la BPI), sous l’égide des pouvoirs publics avec le triple objectif :
Maintien des emplois,
Relance du groupe Casino avec de nouveaux critères sociaux et environnementaux,
Levée des fonds nécessaires auprès des banques, sous le contrôle des salariés et des citoyens.
L’action publique pour être efficace doit être étroitement associée à l’intervention des personnels, de leurs organisations représentatives, des élus locaux et des populations. Cela suppose de les tenir pleinement informer des projets et décisions en cours au lieu d’agir dans l’opacité.
Le PCF apporte son soutien aux salariés pour sauver Casino, ses emplois, ses activités, s’opposer à la prédation du capital et élaborer des solutions pérennes et alternatives.
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les élus de la communauté de communes du Pays de St Gilles font un abus de pouvoir en imposant le port obligatoire des masques dans les super marchés
les élus de la communauté de communes du Pays de St Gilles font un abus de pouvoir en imposant le port obligatoire des masques dans les super marchés
Les élus et les distributeurs ont décidé….de rendre obligatoire le port du masque
Le problème il est très simple si vous lisez ce qui est écrit sur la bannière à l’entrée de hyper U de Saint Hilaire de Riez je cite” Les élus et les distributeurs du Pays de St Gilles ont décidé de rendre obligatoire le port du masque” fin de citation….et donc cette décision est illégale et cela s’appelle un…
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#abus de pouvoir des élus#Christophe Chabot#Communauté de Communes du Pays de St Gilles#Elections Municipales 2020#Francois Blanchet#Jean-Patrick Fillet#Laurent Boudelier#Municipales 2020 Saint Hilaire de Riez#port du masque obligatoire#sthilaire2020
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La lecture des proces verbaux a ete interrompûe par larrivée des commissaires nationaux [représentants en mission] accompagnés du procureur general sindic et des membres composant le directoire du departement le citoyen prieur a fait un discours sur linexecution des lois de la republique dans cette cité dont il rend responsable le conseil general de la commune, chargé de surveiller la municipalité, et il a annoncé qu’en vertu des pouvoirs dont ils sont revêtus, ils cassoient les notables [...]
Procès-verbaux de la municipalité d’Orléans, séance du 3 avril 1793 (AM Orléans 1 D 5, p. 44, recto-verso).
NB : chaque niveau d’administration se composait d’un directoire qui se réunissait régulièrement et d’un conseil général élargi qui siégeait plus ponctuellement. Au niveau communal, le directoire était formé d’“officiers” municipaux et le conseil général de “notables” et c’est dans ce sens qu’il faut comprendre ce dernier terme.
Il est intéressant de noter que Prieur voit dans les notables non seulement des auxiliaires des officiers municipaux mais des surveillants. Tous les citoyens devaient surveiller les élus, mais Prieur campe ici les notables en quelque sorte en première ligne de défense contre les abus de pouvoir (qui en l’occurrence n’aurait pas bien rempli leur devoir).
#il y a 227 ans#3 avril 1793#1793#Révolution française#Prieur de la Marne#Orléans#représentants en mission
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_*Le 11 Novembre*_
_*Une sagesse pour aujourd’hui…*_
_*Le secret du sort d’une nation*_
« _*Par la bénédiction des hommes droits, la ville s’élève ; mais par la bouche des méchants, elle est renversée.*_ » (Pr11.11).
```Dans ce verset, le sage donne le secret de l’élévation d’une ville ou de sa ruine : la bénédiction des hommes droits, ou la malédiction des méchants.```
Le sage a en effet choisit de substituer le mot *malédiction* au mot *bouche.* Les linguistes appellent cette tournure littéraire une métonymie.
_*Qu’est-ce qu’il faut au juste à nos villes et nations pour assurer un développement durable ?*_
*Ce qui garantit le développement durable d’une ville ou d’une nation, c’est d’abord le caractère et non la capacité de ses dirigeants.*
*Les dirigeants de caractère sont ceux-là qui* ne s’évaluent pas sur la base de leurs compétences et de leurs capacités, mais qui savent qu’il faut des compétences et des capacités pour mener à bien le développement qui dure.
*Les dirigeants de caractère sont au clair sur 4 éléments essentiels :*
_1. Leur identité._
_2. Leur aptitude à bâtir des relations._
_3. Leurs compétences, leurs capacités et leurs limites._
_4. Leur vision et mission._
_*Pouvons-nous nous considérer comme un dirigeant de caractère ?*_
*Avec une identité avérée et un caractère approuvé, les dirigeants de caractère sont outillés pour passer les tests du pouvoir, de l’argent et du sexe.*
_Ce qui veut dire que :_
_1. Vous ne les verrez pas dans les abus de pouvoir ou dans quelque autre forme d’injustice, de contrôle, de violence ou d’oppression._
_2. Vous ne les verrez pas dans des problèmes de détournement de fonds ou même de corruption._
_3. Vous ne les verrez pas trahir la femme ou l’homme de leur jeunesse pour se jeter dans les bras d’une autre femme ou d’un autre homme._
_4. Vous ne les verrez pas dans les débordements en ce qui concerne le manger et le boire._
*Si l’élévation d’une ville ou d’une nation était garantie par les compétences, les capacités de leurs dirigeants et les ressources de ces villes ou nations uniquement,* c’est que la ville de Jérusalem et la nation d’Israël, comme beaucoup d’autres villes et nations des temps antiques, ne seraient jamais détruites.
*NB : Lorsque les connaissances ne viennent pas se poser sur le fondement de la foi et de la piété, tôt ou tard, l’édifice s’effronde.*
Dieu a élu David pour lui faire paître Israël. Et *David les a faits paître avec un cœur intègre et les a conduits avec des mains habiles.* (Ps78.70a,72).
_David fit de Jérusalem et d’Israël, la ville et la nation les plus prospères du monde du moyen orient antique. Mais après lui, Israël tomba en ruine et fut déporté à cause de la multitude des femmes de Salomon (1R11.3) et de la méchanceté des dirigeants l’ayant succédés._
Jésus dit : « *Voici, votre maison vous sera laissée déserte.* » (Mt23.38).
_En disant cette parole pour conclure sa longue série de mises en garde contre l’incrédulité, la méchanceté et l’hypocrisie des Scribes et des Pharisiens, Jésus prophétisa ainsi sur la destruction de Jérusalem._
_Cette destruction eut lieu en effet sous l’empereur Romain Titus en l’an 70, moins de 40 ans après la prophétie._
*Vérité : Le développement ou le renversement d’une ville ou d’une nation repose sur l’observation ou non de la parole de Dieu.*
_*Application :* Faire de l’observation de la parole de Dieu, le fondement de mon développement personnel et de tout autre projet de développement durable possible._
_*Mise en garde :* La justice élève une nation, mais le péché est la honte des peuples. (Pr14.34)._
_*Prions ensemble :* Père, qu’en tout temps et en tous lieux, ma vie et mon travail soient fondés et enracinés dans ta parole. Au nom de Jésus ! Amen !_
_*Lecture pour aujourd’hui :* Ps51-Ps55, Pr11, 1Pi1-1Pi5._
_*Vous êtes béni(e) !*
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Comment, pour la deuxième fois de son histoire, l’Assemblée nationale exclut un député - Malicom - L'info sur le bout des doigts.
Actualités du Mali - Comment, pour la deuxième fois de son histoire, l’Assemblée nationale exclut un député
Comment, pour la deuxième fois de son histoire, l’Assemblée nationale exclut un député
L’incident survenu à l’Assemblée nationale (AN) jeudi 3 novembre, qui a entendu Grégoire de Fournas, député Rassemblement Nation (RN) tenir des propos à teneur insultante et raciste durant la prise de parole d’un autre député, Carlos Martens Bilongo, de la France Insoumise (LFI), a conduit à une suspension immédiate de séance et en urgence, à une réunion du bureau de l’AN. Celle-ci a décidé d’exclure pendant quinze jours l’auteur des propos. La théorie constitutionnelle postule que les représentants de la Nation doivent pouvoir débattre librement afin de faire émerger l’intérêt général. Leur liberté de parole au sein des Assemblées ne saurait être réduite. L’article 26 al. 1 de la Constitution leur garantit ainsi une irresponsabilité absolue : « Aucun membre du Parlement ne peut être poursuivi, recherché arrêté, détenu ou jugé à l’occasion des opinions ou votes émis par lui dans l’exercice de ses fonctions. » Aucun des propos tenus à l’intérieur des assemblées – contrairement à des propos insultants tenus à l’extérieur, lors d’un meeting ou d’un entretien médiatique qui peuvent donner lieu à poursuite – ni aucun des votes émis ne peut, même après son mandat, engager la responsabilité du parlementaire devant un juge. Il est ainsi admis que l’arène parlementaire n’est pas un lieu comme un autre, la parole devant y être la plus libre possible, ce qui justifie une réglementation spéciale de l’insulte au sein du Senat et de l’Assemblée nationale. Une liberté de parole qui n’est pas absolue Ainsi, en France, l’interdiction de l’injure, qui résulte de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881, n’est pas applicable à l’intérieur des Assemblées. Les élus revendiquent d’ailleurs un droit à la vivacité des débats, qui ne doit pas laisser penser que leur liberté de parole serait absolue au sein des assemblées. Ses abus sont sanctionnés, les règlements des Assemblées confiant la police des débats à leurs Présidents. Ainsi, le président seul accorde et retire la parole, nul ne peut parler s’il n’y a pas été invité, et il peut également prononcer des sanctions contre les élus qui proféreraient des insultes. Ainsi l’article 70 du RAN dispose : Peut faire l’objet de peines disciplinaires tout membre de l’Assemblée : […] ● 2° Qui se livre à une mise en cause personnelle, qui interpelle un autre député ou qui adresse à un ou plusieurs de ses collègues des injures, provocations ou menaces ; ● 3° Qui a fait appel à la violence en séance publique ; ● 4° Qui s’est rendu coupable d’outrages ou de provocations envers l’Assemblée ou son président ; ● 5° Qui s’est rendu coupable d’injures, de provocations ou de menaces envers le Président de la République, le premier ministre, les membres du gouvernement et les Assemblées […] Le député LFI Carlos Martens Bilongo a été interrompu par les propos à teneur raciste d’un député RN en session à l’Assemblée nationale le 3 novembre 2022. Et l’article 71 établit l’échelle des sanctions : Les peines disciplinaires applicables aux membres de l’Assemblée sont : ● 1° Le rappel à l’ordre ; ● 2° Le rappel à l’ordre avec inscription au procès-verbal ; ● 3° La censure ; ● 4° La censure avec exclusion temporaire. Le président, appuyé par le Bureau, instance collégiale qui réunit autour du président, les vice-présidents, les secrétaires et les questeurs, assurant ainsi la représentation de la pluralité des courants d’opinion à l’Assemblée, examine les faits et prononce la sanction ou la propose à l’Assemblée dans les cas les plus graves. Cette sanction ne doit pas être perçue comme une décision politique ; elle doit rester une mesure disciplinaire et impartiale, prononcée à l’encontre d’un parlementaire qui a abusé de sa liberté d’expression. Une multiplication des abus De tels abus se sont multipliés ces dernières années : propos où comportements sexistes à l’égard des députées : caquètements de poule en octobre 2013, bêlements de chèvre en août 2017, « poissonnière » en février 2021 ou refus de s’adresser à la présidente de séance en féminisant sa fonction en octobre 2014. Mais en 64 ans d’existence, l’Assemblée nationale n’avait connu qu’une seule censure avec exclusion temporaire contre un député qui avait pris à partie pour un motif futile – voitures qui bloquaient sa sortie – deux ministres auditionnés dans le cadre de la catastrophe de Fukushima. Cette sanction interdit à l’élu de paraître à l’Assemblée et de prendre part à ses travaux pendant 15 jours ; elle emporte également pendant deux mois privation de la moitié de l’indemnité parlementaire (article 73 alinéa 3 du RAN). C’est cette sanction qui peut frapper le député RN suite aux propos à teneur raciste tenus en séance 3 novembre 2022. En suspendant immédiatement la séance et en renvoyant l’examen des faits au Bureau qui s’est réuni de manière extraordinaire le 4 novembre à 14h30, la présidente a refusé d’adopter seule la sanction. Trois enseignements Ce choix emporte trois enseignements : la présidente estime que les propos méritent une sanction plus lourde que le rappel à l’ordre simple ou avec inscription au procès-verbal qu’elle peut prononcer seule. Ce que le Bureau a confirmé en demandant à l’Assemblée de prononcer une censure avec exclusion temporaire. Deuxième enseignement : en convoquant le Bureau, elle ouvre une procédure contradictoire permettant au député de présenter, personnellement ou par un représentant, les arguments et peut-être d’échapper à la sanction. Cette procédure contradictoire assure, quand bien même elle ne pourrait être contestée devant aucun juge en vertu de la séparation des pouvoirs, la conformité de la sanction à la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Enfin, la Présidente éloigne la critique d’une mesure partiale, alors que le RN use déjà de la rhétorique de la victimisation. Ainsi, l’auteur des propos évoque-t-il une « manipulation politique ». La sanction ne doit en effet pas pouvoir être perçue comme la décision de la seule présidente de l’Assemblée, membre éminent de la majorité. Afin d’éloigner toute contestation, la procédure doit associer les différentes forces de l’Assemblée. Ce que la réunion du Bureau permet. Les élus RN seront ainsi associés à la procédure, le groupe détenant deux vice-présidents siégeant en cette qualité au Bureau. De même, les présidents de groupe, et donc celui du RN, sont associés aux décisions du Bureau (même s’ils ne peuvent participer à l’adoption de celles-ci puisqu’ils ne disposent pas de droit de vote […] - Malicom - Actualités du Mali
Malicom - Portail d'information sur le Mali, l'Afrique et le monde : http://www.malicom.net/.
#Assemblée Nationale#Constitution#droit constitutionnel#injure#La France insoumise (LFI)#parlement#partis politiques#politique#racisme#Rassemblement national (RN)#A la une#International
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Constant dans sa détermination, l’avocat se retrouve à défendre des terroristes de l’Etat islamique au nom des droits fondamentaux.
Martin Pradel, défenseur fondamental
Il y a les hommes puzzle, ceux aux facettes bigarrées, qui s’imbriquent ou s’opposent, tantôt rationnelles, parfois insolites. Cela donne des smoothies identitaires fort peu communs, du type poète fiscaliste amateur de drones, ou prêtre polyamoureux adhérent d’En marche. Martin Pradel, lui, est un homme qui gravite autour d’un seul axe : la défense des libertés individuelles. Fidèle et généreux en temps octroyé à la cause, il en deviserait des heures.
A 40 ans, Pradel n’a pas la notoriété que son CV pourrait lui procurer. Chez un avocat, cela témoigne d’une aspiration certaine à la discrétion. S’il est désormais courant de voir ses reflets dorés dans des émissions comme C dans l’air, le grand public ignore tout de celui qui, année après année, devient un pilier du barreau de Paris. Début janvier, un autocrate de visite à l’Elysée a même demandé en personne à Emmanuel Macron de le calmer : le président turc Erdogan, lassé de trouver Pradel en travers de sa route. Il faut dire que l’avocat français a intensifié les voyages en Turquie, pour soutenir des confrères muselés, des intellectuels en sursis ou la direction éditoriale du journal Cumhuriyet. Il s’est aussi investi sans compter dans la libération de deux reporters français retenus de l’autre côté du Bosphore : Loup Bureau et Mathias Depardon.
Là où d’aucuns rouleraient des mécaniques, joueraient de cet ennemi clinquant pour enluminer leur carrière, Pradel ne la ramène pas. Assis dans la pénombre de la bibliothèque de l’ordre des avocats, il confie «avoir été surpris qu’Erdogan fasse de [sa] personne un sujet».Timide, il tutoie presque l’excuse devant une telle publicité : «Je suis quelqu’un de raisonnable, et quand bien même j’agis pour les droits de l’homme, je ne m’ingère pas dans les affaires politiques turques. J’y vois surtout une réelle intimidation à l’égard de la liberté de défendre. Erdogan frôle le totalitarisme.» S’il fallait remonter demain dans un avion pour Istanbul, Pradel irait, «par conviction».
En 2008, après trois ans d’exercice, Pradel décroche le prestigieux concours de la conférence du stage. Avec onze camarades élus sur leur seule éloquence, il assure durant un an la défense d’urgence des plus démunis, intervenant au titre de la commission d’office dans les affaires criminelles. A l’époque, la France fait connaissance avec ses premières filières jihadistes. Martin Pradel écope de Nacer Eddine Mettai, le faussaire de la cellule des Buttes-Chaumont, celle-là même où a frayé Chérif Kouachi, l’un des tueurs de Charlie Hebdo. Du terrorisme, Pradel a fait une spécialité. Par intérêt intellectuel : «Ces dossiers poussent notre démocratie dans ses retranchements. Or elle se révèle fragile. Avec la peur vient la tentation de faire l’économie d’une justice irréprochable. Parmi mes clients, je retrouve souvent des gens qui manifestent un intérêt éphémère pour le jihad. Il n’y a aucun acte matériel, juste des convictions douteuses qu’il faut certes combattre. La loi pénale ne vaut que si elle est appliquée à la lumière des droits fondamentaux. En ceci, je suis effaré de voir nos belles institutions prôner des principes fantastiques et les tordre dans la minute qui suit.»
Le 13 mai, quelques heures à peine après l’attaque au couteau de l’Opéra, il interpellait Macron sur Twitter. Le Président : «La France paye une nouvelle fois le prix du sang mais ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté.» Pradel, inlassable : «Les "ennemis de la liberté" se réjouissent vivement de toutes les réformes sécuritaires qui sont venues, qui viennent et qui viendront méthodiquement entamer ce qui était naguère fondamental.»
Au nom des mêmes principes, l’avocat somme le gouvernement de ramener les ressortissants français emprisonnés au Kurdistan et en Irak. Avec trois confrères, il vient de déposer une plainte contre l’Etat avec constitution de partie civile pour «détention arbitraire» et «abus d’autorité». L’Etat islamique aura au moins apporté un ami de plus à Martin Pradel, le journaliste spécialisé David Thomson. «C’est une relation inattendue, s’amuse le reporter de RFI, exilé aux Etats-Unis. Au départ, on échangeait juste nos connaissances sur l’EI. Puis, d’apéro en apéro, c’est devenu mon avocat et un vrai pote. Ce que j’aime chez lui, c’est qu’il ne s’est pas rué sur les dossiers de terrorisme comme moult de ses confrères parce qu’ils attirent les médias. Il a une vraie appétence pour la matière. Par ailleurs, il ne défend jamais les authentiques salauds de l’EI, ceux qui ont beaucoup de sang sur les mains. S’il défend une personne, c’est qu’il est convaincu qu’il peut la sortir de là.» Comme ce jour de juin 2012 où Martin Pradel obtient l’acquittement du Somalien Abdurahman Ali Samatar, accusé de l’abordage du voilier français le Ponant dans le golfe d’Aden. Pirate mais surtout «laissé pour compte de l’humanité» hier, il est aujourd’hui pizzaiolo quelque part en France. «Un chamboulement»dans la carrière de l’avocat.
Martin Pradel n’est guère loquace à l’évocation du passé. Il se contente d’énoncer les grandes lignes d’une adolescence «heureuse», «pétrie de valeurs conservatrices», menée à Angers entre une mère médecin, trois frères et sœur et un père juriste. Ce dernier, devenu patron de l’un des plus gros cabinets de droit social parisien, a tracé le sillon pour ses rejetons. Tous lui ont emboîté le pas et sont devenus conseils à ses côtés. Pour Martin, «le déclic est venu lors d’un week-end à Paris». «Mon père m’avait emmené aux comparutions immédiates. J’étais troublé et fier de le voir plaider. J’ai aussi réalisé qu’il avait le pouvoir de faire basculer l’histoire d’une personne dans un sens ou dans l’autre», se remémore-t-il. S’ensuivent la fac de droit et des études d’avoué. De cette éducation traditionnelle, il dit «conserver une certaine contradiction». Catholique revendiqué, il s’est forgé politiquement dans un univers «où la seule question était de savoir si l’on était de droite républicaine ou d’extrême droite». Aujourd’hui, il s’estime «proche des valeurs universalistes de la gauche».
A la ville, il ne s’affiche ni en Maserati ni aux bras de collaboratrices plantureuses. Le week-end, les virées à Giverny ou la redécouverte de Balzac ont ses faveurs. Durant l’entretien, les yeux de l’avocat ont pétillé deux fois. A l’évocation de Marie-Josèphe Réchard, glorieuse aïeule ayant œuvré pour les droits civiques des femmes. Et en dégainant de la poche intérieure de sa robe d’avocat «le contrat de réussite» rédigé par l’une de ses filles. Ah ! on oubliait, il a une montre Buzz l’Eclair.
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SÉANCE #13 – Des mouvements sociaux marquants : quels sont-ils?
Depuis près d’une décennie, nous voyons souvent des mouvements qui se forment autant sur les réseaux sociaux, avec des hashtags, que des manifestations dans les rues. C’est ce dont il sera question dans ce billet de blogue.
Parmi les mouvements sociaux qui se sont formés, il y en a deux qui nous ont le plus marqués dans la dernière décennie, soit le printemps érable et le #MeToo. Qu’est-ce que le printemps érable? Le 10 novembre 2011, « des milliers d’étudiants sont descendus dans les rues de Montréal pour protester contre la hausse des droits de scolarité » (Girard-Bossé, 2021, paragr. 1). Autrement dit, ces manifestants voulaient faire en sorte que le gouvernement provincial au pouvoir, à cette époque, n’augmente pas les droits de scolarité de 1625 $ en cinq ans (Girard-Bossé, 2021, paragr. 4). C’est à ce moment que cet événement prit de l’envergure. En plus des manifestations, les étudiants ont également fait la grève dans les établissements d’enseignement supérieur. Ce printemps érable a commencé en février 2012 et s’est terminé en septembre 2012 lorsqu’il y a eu un nouveau parti élu. Le printemps érable est aussi nommé la grève étudiante québécoise de 2012.
Maintenant, qu’est-ce que le mouvement #MeToo? Ce mouvement social a été créé en octobre 2017 dans le but « d’inciter des femmes du monde entier à partager publiquement leurs expériences d’agression sexuelle ou de harcèlement » (Canadian Women’s Foundation, s. d., paragr. 1). Tout a commencé aux États-Unis lorsque des accusations ont été portées à l’égard du producteur de films hollywoodiens Harvey Weinstein. Par la suite, plusieurs femmes ont suivi le mouvement, ce qui a mené le mouvement à l’international. Au Canada, le #MeToo a changé le comportement des personnes. En effet, maintenant lorsque les personnes parlent des sujets tels que le viol, les abus sexuels, les agressions sexuelles et autres formes de violence sexuelle, de harcèlement et d’inconduite, elles changent la façon d’en parler (The Canadian Encyclopedia, 2020, paragr. 1).
Avez-vous déjà entendu parler de ces mouvements sociaux marquants dans notre société?
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Pourquoi nous avons tout faux...
Paradoxalement, ce sont nos ''grands principes'' qui nous minent. Oh ! Pas les bons et les vrais, bien sûr, ceux qui sont volontairement oubliés, ces éternelles''valeurs'' judéo-chrétiennes, même laïcisées... mais les néfastes ersatz nécrosants qui les remplacent trop souvent. Je ne sais pas si certains ont jamais fonctionné un jour... mais la réponse de toutes les catégories de français fait pencher, aujourd'hui... pour un ''flop'' complet ! En somme, il faudrait et il suffirait de tout reprendre à la base, mais ''pour de vrai'', pas en repassant une fois de plus (de trop ?) de vieux plats réchauffés (comme souvent en France ou comme en Algérie, en ce moment).
Question : à partir de quel moment, et pour quelles raisons nous sommes-nous mis à dériver, et de plus en plus gravement ? Car même si nous avons été trop longtemps fascinés par l'est et les mensonges mortels du communisme, même si nous avons trop souvent tourné le dos à l'ouest et à nos alliés les plus naturels, et même si nous avons, contre toute sagesse et toute prudence, attiré le sud chez nous à grands coups de pompes aspirantes et de subventions perverses... il est vrai que nous avons, surtout, stupidement mais complètement ''perdu le nord''...
Notre erreur la plus impardonnable est d'avoir permis à l'Administration de prendre, en douce, la place qui appartenait à une fonction ''politique'' digne de ce nom (c'est-à-dire à l'opposé complet de ce que sont et font les ''politicards'' qui tiennent aujourd'hui tous les pouvoirs -dont ils usent et abusent). La France, de nos jours, n'est plus dirigée, et la politique est morte. En revanche, elle est insupportablement administrée, voire sur-administrée, ce qui n'a d'intérêt que négatif... et ce qui la tue à petit feu, et nous avec. L'Administration victorieuse se comporte comme un parasite : elle vit aux dépens de sa victime (i.e. le peuple français) sans se rendre compte que, à trop prendre, à trop exiger, à trop ponctionner ou à trop vouloir être obéi, on tue la victime, et que sa mort entraîne toujours celle du parasite coupable... On ne connaît pas d'exemples contraires ! ''Uti sed non abuti'', disaient les romains (traduction, en gros : ‘’Trop, c’est trop’’ !).
La vie d'une vaste majorité de nos concitoyens n'est plus qu'une liste vertigineuse d'interdits, de défenses, d'entraves à la liberté, au profit de choix qui n'ont, en réalité, jamais été faits, mais qui ont l'air de s'être imposés d'eux mêmes, comme le démontre l'exemple (facile tant il est caricatural) de la voiture. Quelle élection a porté au pouvoir les instigateurs de l'atroce système à points, des radars vicieux et de tout l'immense arsenal liberticide que 80 ou 90 % des français soit haïssent, soit rejettent comme le font tous les autres pays ou presque ? Qui a reçu du suffrage universel l'autorisation d'imposer à tous la taxe carbone ou d’interdire (ce qui est totalement inutile et inopérant, nous en reparlerons bientôt) les véhicules de tel âge ou marchant au diesel ? Qui a demandé à son député de punir de + 2 centimes/litre les pauvres transporteurs français déjà saignés à mort ? A quelle date le Premier ministre a-t-il reçu mandat exprès de baisser la vitesse à 80 km/h et de rendre impossible tout retour à la normale, le tout pour un résultat qui hésite entre très négatif et affreux si on fait le bilan d'une année de ''Gilets jaunes'' ? Et au nom de quel ‘‘droit’’ un irresponsable diplômé va bientôt décider de taxer le stationnement des scooters et des motos ? Pas possible, dites-vous ? On parie ?
Eh ! bien, cette démonstration tragi-comique est vraie partout : droit de propriété aux oubliettes, droit des personnes ratatiné, fiscalité inhumaine, immigration incontrôlée par système, liberté de parole et de pensée soumises au diktat de minorités iso-terroristes, subventions de trucs pervers, comités Théodule pour petits copains, coûteuse propagande ''anti-CO²'', Etat qui fourre son nez absolument partout, ou encore l'Europe, la dette, les gaspillages à tous les niveaux, le nombre de fruits par jour, la défense de fumer, d'apprécier Zemmour, d'élever ses enfants en dehors des mensonges officiels ou de transmettre un patrimoine (qu’il soit financier, intellectuel, culturel, moral), la liberté de conscience pour les médecins ou que sais-je encore.... tout, vous dis-je, que ce soit petit ou grand . La France meurt d'une explosion de cellules malignes qui seraient dites cancéreuses partout ailleurs.
Mais l'Administration, dont la seule fonction devrait être d'être au service des français, s'est arrogé des privilèges que jamais personne, même aux temps réputés condamnables de ''l'ancien régime'', n'aurait osé imaginer... Ah ! bien sûr, tous ces abus et ces dévoiements se font en se dissimulant derrière une interprétation mensongère de principes démocratiques détournés, confisqués, tordus et rendus antipathiques : l'élection de représentants ne pouvant intervenir qu'à dates fixes (tous les 4 ou 5 ans...), les ''ponctionnaires'' jouent sur les mots et font semblant de croire que, une fois élus, ils restent, quoi qu'ils fassent, ''les représentants du peuple''... ce qui pourrait être vrai s'ils mettaient un point d'honneur à ne rien faire qui n'ait été explicitement ou, au moins, implicitement convenu (sauf, peut-être, en cas de catastrophe naturelle ou d’agression externe caractérisée). On en est loin ! Résultat : depuis des décennies, la France n'est plus un pays dirigé, conduit, gouverné, qui va vers un futur. C'est un pays géré par une caste de satrapes qui mettent en avant des petits trucs ''sympa'', de temps en temps, pour se dire utiles, donner le change et s'offrir à vil prix une bonne conscience...
Les administrateurs triomphants (dont le modèle idéal est, comme par hasard, sorti de ''l'Ecole Nationale d'Administration'' –les mots sont clairs, et ceci explique cela !) se sentent légitimes à décider de tout, à trancher sur tout, à interdire ce qu'ils veulent interdire, à mettre en œuvre le moindre de leurs fantasmes, à piquer les sommes qu'ils estiment utiles à la satisfaction de leurs dadas permanents ou des idées qui leur viennent en cours de route. De droite comme de gauche, tous, pratiquement, se sont arrogé le droit d'imposer à la France entière telle ou telle ineptie financière, morale, économique ou autre, (mais coûteuse), des barrières de piscine de Raffarin aux 80 km/h de Philippe, en passant par toutes les mauvaises idées inventées par chacun des premiers ministres, et souvent des ministres qui se trouvent très à l’aise dans cette pensée ''administrative'' --puisque c’est la leur !
Et pas question de déroger à une de ces idées ''à la con'' (c'est ce qu'elles sont !) : ce que décidait un homme politique (un vrai, un sérieux. Mais le moule est cassé !) était soumis à interprétation, à adaptation, à exception : il savait, lui, qu'il n'existe que des cas particuliers et que le diable se cache dans les détails... A l'opposé de toute intelligence et de toute humanité, un administrateur, dans son besoin de puissance, n'est jamais prêt à admettre qu'une seule de ses décisions soit autre chose qu'incontournable : toute désobéissance à l'une ou l'autre des marottes de nos Excellences doit être punie de ''135 € et de 3 à 6 points retirés''... ou de ''75 000 € d'amende et 3 ans de prison'', pour des délits... qui n'en sont même pas !
Cependant, tout semble se passer comme si la caste dominante des serviteurs (?) de l’Etat-Dieu, tout puissant, avait dépassé les limites que les esclaves de ce système insupportable... supportaient jusque là. Mais comme les ''aristos'' en leur temps et comme les ''cocos'' au leur, ces tyrans au petit pied n'ont rien vu venir. Aujourd'hui, notre Président a toutes les cartes en main pour libérer les français de ces excès insupportables et de ces ''empêcheurs d'être heureux en rond'', pour redonner aux mots leur sens, aux idées leur pouvoir (et leur humanité), pour rendre à la France le droit d'être un pays ''gouverné'' qui sait où il va, et aux citoyens leur liberté et leur argent, abusivement confisqués par des parasites-suceurs de sang... Mais il faut faire vite : l'Histoire repasse rarement les plats.. En est-il capable ? En a-t-il envie ? Sait-il le faire ? Si non, tout devient possible. Y compris le pire !
H-Cl
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Procès en destitution : sans surprise, les sénateurs acquittent Donald Trump
Comme attendu, le président des Etats-Unis Donald Trump a été acquitté mercredi par le Sénat américain lors de son procès en destitution. Concernant le premier chef d’inculpation, 52 des 100 sénateurs, tous les élus républicains sauf un, a priori Mitt Romney, ont estimé qu’il ne s’était pas rendu coupable d’un abus de pouvoir. 53 sénateurs ont ensuite rejeté le second chef retenu contre Trump, à…
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Je suis un média libre, je dis ce qui me plaît
Partout dans le monde, là où les gens ont le pouvoir, il y a de la corruption. Les nations prospères et la démocratie comptent sur une presse libre pour informer. Une presse libre informe les citoyens de la nation sur les faits dont ils ont besoin pour décider des affaires civiques et politiques. Mais une presse libre n'assure pas la prospérité, et il est difficile de l'avoir sans démocratie. Là où il n'y a pas de presse libre, la corruption prospère, souvent sans contrôle. Avec des médias libres, les journalistes peuvent présenter des faits au public pour lui permettre de comprendre les enjeux et de prendre toutes les mesures possibles pour redresser la situation. Derrière les portes closes, il y a des cas horribles d'abus à l'échelle industrielle. Ces abus ne disparaissent pas d'eux-mêmes. Il faut que la lumière soit faite pour que les gens puissent voir de quoi il s'agit. Il faut espérer qu'ils feront, mais surtout, il faut être lu et entendu. Dans ces municipales 2020, je ne pourrai pas assurer la démarche citoyenne que je me suis fixée L'obtention d'informations, qu'elle soit fake ou factuelles, n'est pas négligeable. De ce fait, je souhaitai me rendre au meeting des candidats et de vous remontez les programmes à vous concitoyens, pour vous faire une idée du personnage et pour cela, je voulais adopter la méthode des 3 singes : - Je ne vois rien. - Je n'entends rien. - Je ne dis rien. Mais je n'en pense pas moins ! Seuls 3 candidats ont joué le jeu avec moi, c'est-à-dire d'avoir un regard sur mes articles avant parution pour qu'il y ait une marque de confiance sur mes engagements et mes écrits. Balek la confiance ! Je continue de retransmettre les programmes qui sont prononcés par les candidats, mais cette fois-ci, j'y ajoute une conclusion qui m'est propre. Ma vision, mon ressenti, mon avis, mes remarques ! Je le ferais sans langue de bois. Vous auriez ainsi la vision du candidat dans les moindres détails ... Avec un avis de citoyen. J'userai de ma culture et contact politique pour vous dire ce qui est réalisable ou non. Nous avons le droit de dire à une personne si elle est bonne ou mauvaise. La transparence est importante dans les systèmes démocratiques. Elle est peut-être plus importante dans les systèmes de tyrannie, mais les tyrans n'autorisent pas les médias libres. L'information est la clé du succès dans le monde d'aujourd'hui. Il faut faire confiance à cette information parce qu'elle ne forme pas seulement nos opinions sur les affaires du monde, mais nous amène à faire des choix qui ont une incidence les uns sur les autres. Par exemple, sans toutes les histoires sur l'horreur du plastique, nous ne chercherions pas une meilleure alternative, et nous pourrions allègrement détruire notre monde. Lorsque des conflits éclatent, les journalistes deviennent les yeux du monde. Il est à espérer qu'à la lumière des projecteurs des médias, les criminels de guerre potentiels seront dissuadés de commettre leurs atrocités. Mais s'ils ne sont pas dissuadés, leurs crimes sont enregistrés afin qu'ils puissent être traduits en justice par la suite. Les journalistes donnent la parole aux impuissants. Ce sont les médias qui ont alerté le monde sur la crise des Rohingyas, où les musulmans du Myanmar ont été confrontés à de graves brutalités de la part du gouvernement et ont été contraints de fuir leurs foyers. Bien que le problème soit loin d'être résolu, les gens peuvent au moins essayer de faire quelque chose pour l'arrêter. Partout, dans le monde, les journalistes libres sont des super-héros qui protègent le public contre les mauvais gouvernements, les mauvaises personnes et les mauvaises entreprises. Les gouvernements, les élus et les personnes qui ont de sombres secrets à cacher Peu d'entre-eux admettent que leurs médias sont censurés, même les médias eux-mêmes. Une presse libre est l'ennemie d'un État qui a des secrets qu'il ne veut pas que les gens découvrent. C'est aussi l'ennemi des gens puissants qui ne font rien de bon. Les gouvernements, les riches entreprises, les élus et toutes les mauvaises personnes feront tout ce qu'ils peuvent pour empêcher les médias de rendre compte librement et équitablement de leurs activités. C'est ce qu'on appelle la "censure" et il y a différentes façons de le faire. Tous les médias ne sont pas en mesure d'être honnêtes quant au degré de censure dont ils font l'objet. Les gouvernements qui ne sont pas honnêtes avec leur population disent au public que les médias doivent être censurés pour maintenir l'harmonie et l'ordre. Ils effraient les gens en leur faisant croire que les discussions et les idées sont nuisibles et dangereuses, alors, disent-ils, il vaut mieux ne pas en parler. Les membres du public ont peur de la confrontation sur des questions importantes et tant de gens sont heureux de placer toute leur confiance dans les dirigeants de la nation. En fait, ce qu'il font, c'est se protéger eux-même, et non pas le public. Ils ont de sombres secrets à cacher qui, ils le savent, vont mettre le public en colère, et ils espèrent s'en tirer le plus longtemps possible. Une presse libre leur fait peur. La journaliste Liang Xiangyi, de la Chine continentale, est devenue virale lorsqu'elle a levé les yeux au ciel en voyant un autre journaliste qui se pliait aux exigences des autorités chinoises. Voici comment fonctionne la censure : Légalement Un gouvernement peut utiliser la loi pour empêcher les journalistes de faire leur travail. Un exemple récent de cela s'est produit ici même à Hong Kong, avec un correspondant étranger nommé Victor Mallet. Il a animé une conférence sur l'indépendance de Hong Kong, à laquelle le gouvernement s'est opposé, et plus tard sa demande de renouvellement de son visa de travail a été rejetée. Intimidation Quand quelqu'un intimide quelqu'un d'autre, il lui fait peur. Dans de nombreux pays, les journalistes sont emprisonnés, torturés ou tués. Leur santé est menacée, leur famille devient une cible possible et ils doivent prendre des décisions de vie ou de mort sur ce qui est le plus important - leur pays ou leur famille. L'autocensure Beaucoup de pays disent avoir une presse libre, mais ce n'est pas le cas. Les médias et le gouvernement s'entendent sur la censure tacite. Les journalistes sont pleinement conscients que s'ils disent quelque chose qui cause trop de problèmes à leur organisation de presse avec le gouvernement, ils risquent de perdre leur emploi. Il faut des journalistes courageux pour le faire et beaucoup se sont retrouvés sans travail. Censure financière Les gouvernements n'ont pas à dire directement aux organisations de presse de ne pas publier d'articles. Ils peuvent encourager les annonceurs à ne pas dépenser leur argent dans ce média particulier, et les affamer financièrement. Les journalistes, comme les autres personnes, aiment gagner leur vie, se marier, avoir des enfants, etc. Ils ne peuvent pas travailler gratuitement. Donc, en réduisant les recettes publicitaires, un gouvernement peut faire taire les voix dissidentes. David SCHMIDT : En France, on veut vous faire croire que nous sommes libres ... Foutaise ! Les médias nationaux sont obligés de diffuser les informations d'une seul et unique source, sinon tu perds ta place et tu retournes sur les bancs de Pôle Emploi. Moi, je suis libre, je ne gagne rien de mes écrits et je vous em#### les LREM, les oligarques, les Francs-maçons et tous ces groupuscules qui dans l'ombre, tapissent d'excrément les murs de mon pays ! Maintenant vous savez sur quel pied je danse. Mais je ne danse qu'avec les citoyens de ma France d'en-bas ! David SCHMIDT Read the full article
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25-11-2017 Que de diversité dans ses villes américaines, et comme en FRANCE, CHAQUE VILLE A SON EQUIPE DE FOOTBALL AMERICAIN, ET EN TANT QUE SUPPORTERS IL Y A PEU ËTRE PAS PLUS CHAUVIN
9-11-2017
©LES ETATS UNIS poèmeTHOMAS André©
Il y a déjà plus de deux siècles naissait une entité Les Etats-Unis d’AMÉRIQUE après une guerre avec les Anglais. Avide d’être un pays, ils se firent aider par la France pour gagner leur liberté, A cette époque là, les patriotes se battaient contre les tuniques rouges « les Anglais »
Aujourd’hui beaucoup d’américains ont oublié que l’indépendance des ETATS-UNIS N’est pas l’auto proclamation de l’indépendance du 04 juillet 1776, mais la reconnaissance Qui ne date que de 1783 et est la date de sa naissance Alors seulement les treize états devinrent les ETATS-UNIS.
A ce jour il se compose de 50 états, Particularité, il y a une indépendance certaine entre les états. Quand on voyage aux USA on est troublé de cette identité propre, et sans lien, Pourtant à aucun moment l’état fédéral n’est remis en cause ni même son lien.
Une façon d’être qui nous interpelle, Car chez nous, l’Etat français est dirigé par PARIS, Malgré nos élus de régions comme on les appelle, En France, on ne pourrait pas appliquer une loi différente de l’assemblée nationale de PARIS.
En fait ici, si je n’aimerais pas certaines lois, j’irais habiter dans un autre état, C’est fantastique, pouvoir identifier sa façon de penser à un état. Vous, peuple d’Amérique qui avez relevé de nombreux défis pour créer votre pays, Avez mis à jour un nouveau mode de vie à l’image de votre pays
23-9-2017 mise à jour 7-7-2017 AMIS INTERNAUTES LA CELEBRATION DE L' INDEPENDENCE DAY LE 4-7-2017 RAPPEL ARTICLE WIKIPEDIA Déclaration d'indépendance des États-Unis Déclaration unanime des treize États unis d’Amérique
La présentation du texte final de la déclaration au Congrès, par John Trumbull. La Déclaration unanime des treize États-Unis d’Amérique (en anglais, The unanimous declaration of the thirteen united States of America), généralement appelée « Déclaration d'indépendance des États-Unis d'Amérique », est un texte politique par lequel les treize colonies britanniques d'Amérique du Nord ont fait sécession de la Grande-Bretagne le 4 juillet 1776, pour former les « États-Unis d'Amérique ». Ce texte est marqué par l'influence de la philosophie des Lumières et tire également les conséquences de la Révolution anglaise de 1688 : d'après les abus constatés, les délégués des colons estiment qu'ils ont le droit et le devoir de se révolter contre la monarchie britannique (en fait, le Parlement britannique a voté de lourds impôts et taxes frappant les colonies). Depuis, le 4 juillet est devenu la fête nationale des États-Unis : l'Independence Day (« Jour de l'Indépendance » en français). Depuis 2005, elle est classée sur la Liste Mémoire du monde de l'UNESCO. 19-3-2017- Le but du voyage est la découverte, Voir, et essayer, de comprendre, les différences entre les peuples, et leurs coutumes, Découvrir les architectures, de chaque ville du monde, pour comparer sans amertumes, Et surtout, utiliser la force de changement de ces découvertes THOMAS André
20-1-2017 le nouveau président des usa est Donald Trump 11-10-2016 CETTE ANNEE EST L'ELECTION DU PRESiDENT OU DE LA PRESIDENTE DES ETATS UNIS DANS PEU DE JOURS LES USA LE SERONT ET LE MONDE AUSSI Si la vidéo vous plaît, pensez à visiter notre site www.photopeinture.com (et à désactiver votre bloqueur de publicités sur notre chaîne). 22-09-2016 mise en conformité IL Y A DE LA BEAUTE EN CHACUNE D'ELLE, LEURS DIFFERENCE LES FONT ETRE PRESQUE COMPLEMENTAIRES
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Le très attendu projet de loi de «transformation de la fonction publique» a été adopté en première lecture à l’Assemblée nationale par 351 voix contre 156. Recours aux contractuels, ruptures conventionnelles, fusion des instances de dialogue social, 35 heures... Voici son contenu.
C’est une première étape franchie pour cette «boîte à outils�� qui va indéniablement chambouler la fonction publique française et ses 5,5 millions d’agents. Après des mois de discussions et débats houleux avec les partenaires sociaux, et un examen des députés en séance publique depuis le 13 mai, les députés viennent d’adopter en première lecture le projet de loi de «transformation de la fonction publique». Le projet de loi, largement décrié par l’ensemble des syndicats qui craignent une privatisation rampante de la fonction publique, est également critiqué par une partie des oppositions de droite comme de gauche. Mardi, le texte a finalement été voté par 351 voix contre 156, et 53 abstentions, en recevant sans surprise le soutien des élus LREM-MoDem, alors que les trois groupes de gauche (PS, PCF et LFI) ainsi que Les Républicains ont voté contre.
» LIRE AUSSI - Les députés se penchent sur la réforme de la fonction publique
Avant le vote, près de 200 personnes se sont rassemblées à l’initiative des syndicats ce mardi midi à Paris aux abords du palais Bourbon. Les manifestants s’étaient d’abord réunis devant le ministère de la Santé en fin de matinée, à l’appel de FO, avant de rejoindre un cortège à la mi-journée devant l’Assemblée nationale, à l’appel de sept syndicats (CGT, FSU, Unsa, Solidaires, CFE-CGC, CFDT et FA), arborant des pancartes «Services publics zone à défendre», ou «Fonctionnaires maltraités intérêt général en danger». D’autres rassemblements ont eu lieu à Rennes et Toulouse, regroupant quelques dizaines d’agents des trois fonctions publiques devant les préfectures.
Une fonction publique plus attractive et réactive
Olivier Dussopt, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Action et des Comptes publics, chargé de porter le texte, vante un projet de loi en faveur d’une future fonction publique plus attractive et réactive. Pour le gouvernement, l’objectif est double: réaliser des économies et réformer le statut des fonctionnaires, sans toutefois remettre en question celui de «l’emploi à vie».
Et accélération du calendrier oblige, les sénateurs devraient prendre le relais autour du 12 juin avec un examen en commission, avant de débattre au sein de l’hémicycle six jours plus tard. Si le gouvernement souhaite une adoption définitive du texte au plus tard début juillet afin que la réforme entre en vigueur en janvier 2020, les syndicats «unanimement» opposés au texte, espèrent pour leur part que les maires feront pression lors du passage du texte au Sénat. Recours aux contractuels, ruptures conventionnelles, fusion des instances de dialogue social, 35heures... Le Figaro fait le point sur le texte de loi qui compte quelque 36 articles.
Favoriser le recours aux contractuels
Le projet de loi prévoit de recourir de façon plus systématique aux contractuels, les CDD et contrats précaires de la fonction publique pour «permettre à l’administration d’être plus réactive», selon Olivier Dussopt. Entre 2011 et 2017, le nombre de contractuels dans la fonction publique est passé de 900.000 à 1 million. La réforme prévoit également d’améliorer leurs conditions d’emploi, avec l’octroi dès 2021 d’une prime de précarité aux agents terminant un CDD d’une durée inférieure ou égale à un an, et qui ne sont bien sûr pas renouvelés. L’amendement porté par la rapporteuse Émilie Chalas (LREM) a été salué par les syndicats. Selon l’Insee, le nombre d’agents concernés s’avère ainsi important puisque 68% des contractuels en CDD ont un contrat d’une durée inférieure à un an.
Afin d’attirer de nouveaux profils, le texte prévoit notamment la création d’un nouveau type de contrat à durée déterminée, n’ouvrant aucun droit à une titularisation ou à un CDI. Ces «contrats de projet», d’une durée de 1 à 6 ans et ouverts aux catégories A et B de la fonction publique, s’appliqueront ainsi dans le cadre de «missions spécifiques». Par ailleurs, presque tous les postes pourront désormais être occupés par des contractuels, afin de pouvoir recruter des personnes dotées de qualifications que l’on ne trouve pas traditionnellement dans la fonction publique.
Expérimentation de la rupture conventionnelle pour faciliter les départs
Sur le modèle du secteur privé, le texte prévoit une expérimentation pendant cinq ans du recours aux ruptures conventionnelles. Si un fonctionnaire, contractuel ou titulaire, souhaite quitter son emploi, il pourra désormais engager une rupture conventionnelle et bénéficier ainsi du chômage et d’une prime de départ, dont le montant reste encore à définir. Afin d’éviter de possibles abus, un amendement indique qu’en cas de retour à son administration d’origine dans un délai de trois ans, l’agent serait tenu de rembourser la prime perçue à l’époque.
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La mesure vise à faciliter les départs dans les trois fonctions publiques (État, Hospitalière et Territoriale) de janvier 2020 à 2025. Le mois dernier, Emmanuel Macron avait par ailleurs ouvert la voie à l’abandon de l’objectif de suppression de 120.000 postes sur le quinquennat.
Les enjeux de l’exemplarité au sein de la fonction publique
Autres mesures phares de la réforme, le texte met l’accent sur un volet de renforcement du contrôle des risques de conflit d’intérêts en cas d’aller-retour entre secteurs public et privé. Avec la fusion de la commission de déontologie de la fonction publique et de la Haute autorité de la transparence de la vie publique (HATVP), cette dernière aura désormais la charge de contrôler les mobilités des agents publics, en plus de ses missions actuelles de contrôle des élus. Les syndicats n’auront plus systématiquement leur mot à dire concernant la gestion des carrières dans l’administration et la moindre mutation d’un agent entre les différentes fonctions publiques ou vers le privé. Par ailleurs, et ce à l’instar du secteur privé, les employeurs publics auront désormais l’obligation de publier tous les ans les salaires des dix agents les mieux rémunérés.
Enfin, comment aborder la question de l’exemplarité de la fonction publique sans ouvrir l’épineux dossier du respect des 35h. La loi contient ainsi une référence explicite à l’obligation pour les fonctionnaires de se soumettre à l’équivalent annuel de la durée hebdomadaire inscrit dans le Code du travail, soit 1.607 heures. En mars dernier, un rapport alarmant de l’Inspection générale des finances, dévoilé par Le Figaro , indiquait que plus de 310.000 fonctionnaires travaillaient moins de 35h par semaine, sans qu’il n’y ait de raison objective. Le projet de loi prévoit aussi d’abroger dans les collectivités, qui avaient maintenu un régime particulier, les dérogations à la durée légale du travail.
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Source: premium.lefigaro.fr
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Le Monde du 11 Mai 2017 - Le coup de force de Trump contre le FBI
Le coup de force de Trump contre le FBI Le directeur de la police fédérale, au centre des controverses sur la campagne électorale de 2016, a été limogé Washington s'est brusquement électrisé, mardi 9 mai, en fin d'après-midi, lorsque la Maison Blanche a rendu public le limogeage du directeur de la police fédérale, James Comey, nommé pour dix ans en 2013. L'intéressé, qui avait été auditionné par le Congrès une semaine plus tôt, était en déplacement en Californie. Il a appris la nouvelle par la télévision alors qu'il s'exprimait devant des membres du FBI. Selon le New York Times, le directeur de la police fédérale a tout d'abord cru à un canular. C'est officiellement pour restaurer " la confiance " dans le FBI que Donald Trump a pris sa décision. Pour la justifier, il s'est appuyé sur un mémorandum sévère du ministre de la justice adjoint, Rod Rosenstein, qui dresse un véritable réquisitoire à propos de l'enquête conduite par M. Comey à propos de l'usage discrétionnaire par l'ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton d'un serveur privé pendant ses années passées à la t��te de la diplomatie américaine (2009-2013). Mme Clinton était accusée d'avoir fait transiter des informations sensibles par un réseau insuffisamment sécurisé et d'avoir ainsi mis en péril les intérêts américains. Dossiers Clinton et russe Confronté à une situation sans précédent - une enquête portant sur celle qui était alors la favorite de la campagne présidentielle américaine -, M. Comey avait choisi un mode de communication inhabituel. Il avait ainsi tenu une conférence de presse pour indiquer le 5 juillet 2016 que Mme Clinton avait agi avec " une extrême négligence " mais que les faits ne justifiaient pas l'ouverture de poursuites. Cette décision avait été vivement critiquée par le camp républicain, qui espérait que l'enquête force la démocrate à se retirer. M. Comey avait récidivé dans la transparence le 28 octobre, lorsque la découverte de courriels de Mme Clinton sur l'ordinateur privé de sa très proche conseillère Huma Abedin, avait entraîné une brève réouverture de cette enquête. L'équipe de la démocrate et Mme Clinton elle-même considèrent que l'annonce de cette réouverture, quelques jours seulement avant le scrutin du 8 novembre, avait contribué à sa défaite. Interrogé au Congrès la semaine dernière, M. Comey s'était rendu coupable de déclarations erronées à ce sujet, citant un nombre de courriels et d'informations confidentielles retrouvées auprès de Mme Abedin nettement supérieur à la réalité. Le directeur du FBI avait ultérieurement rectifié ses propos. Selon la note de M. Rosenstein, qui ne mentionne pas cette déposition, M. Comey a outrepassé ses fonctions le 5 juillet, l'annonce du non-déclenchement de poursuites relevant selon lui exclusivement du pouvoir de l'attorney general (ministre de la justice) des Etats-Unis d'alors, Loretta Lynch. Le directeur du FBI a aggravé son cas, selon le juriste, en refusant de reconnaître une erreur d'appréciation, comme l'a montré ce qui devrait rester sa dernière audition en tant que patron de la police fédérale. Cet argument avancé par la Maison Blanche pour écarter M. Comey, et surtout le moment choisi, n'a pas convaincu le camp démocrate. Car ce limogeage intervient alors que M. Comey supervisait une autre enquête sur de possibles liens entre l'équipe de campagne de M. Trump et les hackers russes qui avaient déstabilisé celle de son adversaire. Cette enquête a d'ailleurs contraint le ministre de la justice, Jeff Sessions, à se récuser, compte tenu de ses liens avec la campagne de M. Trump. Dans la lettre de limogeage délivrée par un ancien officier de sécurité de M. Trump au siège de la police fédérale, le président fait d'ailleurs référence à ce dossier brûlant. Il se félicite, s'adressant à M. Comey, que ce dernier l'ait informé, " en trois occasions distinctes, du fait qu' - il - ne faisai - t - pas l'objet d'une enquête ". Cette dernière est cependant en cours, et une telle conclusion reste pour l'instant prématurée. " Une grave erreur " James Comey avait été l'un des responsables du renseignement à avoir informé Donald Trump, le 6 janvier, du contenu des dossiers, à la teneur parfois scabreuse, liés à des interférences russes que le président élu avait longtemps mises en doute. Puis, le 20 mars, le directeur du FBI lui avait infligé un double camouflet. En confirmant tout d'abord que l'enquête lancée par la police fédérale incluait " la nature de tout lien entre des individus liés à l'équipe de campagne Trump et le gouvernement russe, pour déterminer s'il y a eu coordination entre la campagne et les efforts russes ". James Comey avait ensuite sèchement indiqué qu'il n'avait pas " d'informations soutenant " les accusations de Donald Trump relatives à sa mise sur écoute par son prédécesseur démocrate, Barack Obama. Cette mise en cause, lancée par le président américain, était alors apparue aux yeux de certains observateurs et des démocrates comme une tentative de diversion. Après le coup de théâtre du limogeage, et dans un brusque renversement de positions, les démocrates ont presque aussitôt dénoncé une décision politique. " Monsieur le Président, avec tout le respect que je vous dois, vous faites une grave erreur ", a assuré publiquement le chef de la minorité démocrate du Sénat, Chuck Schumer. Certains de ses collègues, comme le sénateur du Vermont Patrick Leahy, ont avancé un adjectif infamant à l'aune de la politique américaine, " nixonien ", et une référence historique, le " massacre du samedi soir ". Cela renvoie à un épisode du scandale du Watergate, en octobre 1973, dans lequel le président républicain s'était efforcé d'écarter des responsables de l'enquête en cours. Cette tentative avait été considérée comme un abus de pouvoir. Certains hauts responsables républicains ont également exprimé leurs doutes, alors que d'autres ont, au contraire, salué la décision de M. Trump. Le responsable de la commission du renseignement du Sénat, Richard Burr, s'est déclaré " troublé " et celui de la commission des forces armées, John McCain, " déçu ", alors que le chef de la majorité républicaine du Sénat, Mitch McConnell, gardait le silence. Selon la presse américaine, M. Trump n'avait pas anticipé une réaction aussi vigoureuse. Il n'avait d'ailleurs pas prévu de s'exprimer publiquement, en dépit du caractère sensible de ce limogeage. Mardi soir, la Maison Blanche a promis de trouver au plus vite un successeur à M. Comey. Mais les demandes récurrentes pour l'ouverture d'une enquête indépendante sur le dossier russe ne devraient être que plus pressantes au cours des prochains jours. Gilles Paris
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