#3 avril 1793
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This site compiled their addresses here though Barère's page is missing (here are some of his addresses), Lindet's address is different than the one give here, and though some mail was sent to Couthon where Robespierre lived, I think he had another address too? (Hérault is also just not listed but the site is centered around Thermidor.)
Copy-pasted below for convenience. I added their birthdates and astrological signs (for those who care about that):
Jean-Baptiste Robert Lindet
Age : Né à Bernay (Eure), 48 ans en thermidor. [2 mai 1746 ♉]
Adresse : 68, rue de la Sourdière.
Métier : Avocat
Fonctions : Député de l’Eure, membre du Comité de salut public du 6 avril 1793 au 7 octobre 1794
Antoine Louis Léon de Saint-Just
Age: Né à Décize, 26 ans en Thermidor an II [25 août 1767 ♍]
Adresse: 3, rue Caumartin, 2ème étage (depuis mars 1794), à la même adresse que Thuillier. Il demeurait auparavant à l’hôtel des États-Unis, rue Gaillon.
Fonction(s): Député de l’Aisne à la Convention depuis le 5 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 10 juin 1793.
Georges-Auguste Couthon
Age : Né à Orcet, 38 ans en thermidor [22 décembre 1755 ♑]
Adresse : 366, rue Saint Honoré
Profession : Avocat
Fonction(s) : Elu député du Puy-de-Dôme à la Convention le 6 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 10 juin 1793 au 9 Thermidor an II.
André Jeanbon, dit JEAN BON SAINT-ANDRÉ
Age : Né à Montauban, 45 ans en thermidor [25 février 1749 ♓]
Adresse : 7 rue Gaillon
Profession : Marin, puis pasteur
Fonction(s) : Elu député du Lot à la Convention le 5 septembre 1792, membre du Comité de salut public depuis le 10 juin 1793. Fréquemment en mission pour superviser les opérations maritimes, il est absent de Paris le 9-Thermidor.
Pierre-Louis Prieur, dit PRIEUR de la MARNE
Age : Né à Sommesous (Marne), 37 ans en thermidor [1er août 1756 ♌]
Surnom : Appelé Prieur de la Marne (pour le différencier de Prieur de la Côte-d’Or)
Adresse : 11, rue Helvetius
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de la Marne à la Convention depuis le 3 septembre 1792, membre du Comité de salut public du 10 juillet 1793 au 13 thermidor an II (31 juillet 1794), puis à nouveau du 15 vendémiaire au 15 pluviôse an III (6 octobre 1794-3 février 1795).
Absent de Paris au moment du 9-Thermidor.
Maximilien Marie Isidore de Robespierre
Age : Né à Arras, 36 ans en thermidor. [6 mai 1758 ♉]
Adresse : 366 rue Saint-Honoré (numérotation actuelle : 398)
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention nationale depuis le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 27 juillet 1793
Claude-Antoine Prieur-Duvernois, dit PRIEUR de la CÔTE-d'OR
Age : Né à Auxonne, 30 ans en thermidor [22 décembre 1763 ♑]
Surnom : Appelé Prieur de la Côte-d’Or (pour le différencier de Prieur de la Marne)
Adresse : 5, rue Caumartin
Profession : Ingénieur militaire
Fonction(s) : Elu député de la Côte-d’Or à la Convention le 5 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 14 août 1793 au 16 vendémiaire an III (7 octobre 1794).
Lazare Nicolas Marguerite Carnot
Age : Né à Nolay, 41 ans en thermidor. [13 mai 1753 ♉]
Adresse : 2 rue Florentin
Métier : Mathématicien, physicien, militaire
Fonction(s) : Elu député du Pas-de-Calais à la Convention nationale le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 14 août 1793, il le quitte le 7 octobre 1794 mais y siège à nouveau un mois plus tard, jusqu’au 6 mars 1795.
Jacques-Nicolas Billaud, dit BILLAUD-VARENNE
Age : Né à La Rochelle, 38 ans en Thermidor an II [23 avril 1756 ♉]
Adresse : 40 rue Saint-André-des-Arts
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention depuis le 7 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793
Jean-Marie Collot, dit COLLOT d'HERBOIS
Age : Né à Paris, 45 ans en Thermidor an II [19 juin 1749 ♊]
Adresse : 4 rue Favart (3ème étage)
Métier : Acteur, directeur de théâtre
Fonction(s) : Elu député de Paris à la Convention le 6 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793.
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Aujourd'hui, mercredi 1 mars, nous fêtons Saint Aubin.
SAINT DU JOUR . Aubin, du latin albus, "blanc". . Prénoms dérivés : albin, Albine, Albina... . Les Aubin sont des hommes épris de justice. Ils cultivent l'amitié avec soin et savent s'entourer de personnes dignes de confiance. Toutefois, leur pessimisme foncier leur nuit car il les paralyse presque totalement. Il leur faut beaucoup de volonté et de courage pour se forcer à envisager les choses sous des couleurs plus gaies. Côté coeur, ils manquent de passion. . Saint-Aubin (469-550). Moine en Bretagne, abbé du monastère de Tréhillac près de Guérande, Aubin devient en 529 le 9ème évêque d'Angers par acclamation populaire. Dans les conciles provinciaux, il se montre intransigeant à l'égard des mariages incestueux, fréquents à l'époque chez les riches et les nobles. Nous fêtons également les : Aubin - Eudocie - Eudoxie - Roseind - Suitbert - Sultbert Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328 FETE DU JOUR Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ] . Aubin Hueber, joueur et entraîneur français de rugby à XV . Aubin Eymeri, joueur de rugby à XV français . Aubin est un sculpteur ornemaniste français . Aubin Minaku Ndjalandjoko, homme politique et magistrat (substitut du procureur) du Congo-Kinshasa . Aubin Louis Millin de Grandmaison, dit Eleuthérophile Millin, naturaliste et bibliothécaire français (14 avril 1818) . Aubin Barbary de Langlade, homme politique français (7 septembre 1836) . Aubin Bigorie du Chambon, homme politique français (29 novembre 1793) . Antoine Aubin, dessinateur français . Brent Aubin, joueur québécois de hockey sur glace . Claude Aubin, pilote automobile et promoteur canadien de stock-car (6 août 2022) . Cyril Aubin, acteur français de théâtre, de cinéma et de télévision . David Aubin, historien des mathématiques Ils nous ont quittés un 1 mars : 1 mars 2014 : Alain Resnais, réalisateur français, également scénariste et monteur (3 juin 1922) 1 mars 2007 : Colette Brosset, née Colette Marie Claudette Brossé, actrice et scénariste française (21 février 1922) 1 mars 1991 : Edwin Land, inventeur de la photographie instantanée et fondateur de la Polaroid Corporation (12 mai 1909) 1 mars 1988 : Jean Le Poulain, acteur français (12 septembre 1924) 1 mars 1947 : Fernand Nathan né Fernand Clément Alphonse Cahen, éditeur, fondateur de la maison d'édition Nathan (27 janvier 1858) 1 mars 1938 : Gabriele D'Annunzio, écrivain italien (12 mars 1863) Ils sont nés le 1 mars : 1 mars 1981 : Adam LaVorgna, acteur américain 1 mars 1978 : Jensen Ackles, acteur américain. 1 mars 1974 : Mark-Paul Gosselaar, acteur américain 1 mars 1969 : Javier Bardem, né Javier Ángel Encinas Bardem, acteur espagnol 1 mars 1967 : George Eads, acteur américain 1 mars 1967 : Isabelle Patissier, alpiniste 1 mars 1959 : Bambou, mannequin et chanteuse eurasienne Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22 Fêtes, Célébrations, événements du jour 1 mars : Journée mondiale des herbiers marins (A/RES/76/265) (ONU) 1 mars : Journée « Zéro discrimination » (ONU) 1 mars : Journée mondiale du compliment (JM) 1 mars : Journée mondiale de la protection civile (JM) CITATION DU JOUR Citation du jour : Je ne m'étonne jamais de voir des hommes mauvais, mais je m'étonne souvent de ne les point voir honteux. Jonathan Swift. Citation du jour : Il n'y a personne qui soit née sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel. Dalaï Lama Tenzin Gyatso Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz Nous sommes le 60ème jour de l'année il reste 305 jours avant le 31 décembre. Semaine 09. Beau mercredi à tous. Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php
#ephemeride#almanach#bonnefete#fete#fetedujour#saint#saintdujour#calendrier#agenda#mercredi#mars#1mars#Aubin#saints#ephemerides#saint jour#citation#evenement
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La lecture des proces verbaux a ete interrompûe par larrivée des commissaires nationaux [représentants en mission] accompagnés du procureur general sindic et des membres composant le directoire du departement le citoyen prieur a fait un discours sur linexecution des lois de la republique dans cette cité dont il rend responsable le conseil general de la commune, chargé de surveiller la municipalité, et il a annoncé qu’en vertu des pouvoirs dont ils sont revêtus, ils cassoient les notables [...]
Procès-verbaux de la municipalité d’Orléans, séance du 3 avril 1793 (AM Orléans 1 D 5, p. 44, recto-verso).
NB : chaque niveau d’administration se composait d’un directoire qui se réunissait régulièrement et d’un conseil général élargi qui siégeait plus ponctuellement. Au niveau communal, le directoire était formé d’“officiers” municipaux et le conseil général de “notables” et c’est dans ce sens qu’il faut comprendre ce dernier terme.
Il est intéressant de noter que Prieur voit dans les notables non seulement des auxiliaires des officiers municipaux mais des surveillants. Tous les citoyens devaient surveiller les élus, mais Prieur campe ici les notables en quelque sorte en première ligne de défense contre les abus de pouvoir (qui en l’occurrence n’aurait pas bien rempli leur devoir).
#il y a 227 ans#3 avril 1793#1793#Révolution française#Prieur de la Marne#Orléans#représentants en mission
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A tidbit about young Murat
This is a tidbit about young, pre-Napoleon Murat. As usual my translation is more concerned with conveying meaning than with word-for-word exactitude. The source of the original text is at the end of my post. I have included some notes for clarification and extra information.
"En 1788, écrit Madame Greswold, mon oncle, alors colonel, avait remarqué au 12ème chasseurs à cheval, un jeune garçon, sous-officier, montant merveilleusement à cheval, fils d'un aubergiste, cultivateur du Haut-Quercy. Quand le père était aux champs, à lui incombait le soin de s'occuper des chevaux des voyageurs. Joachim Murat s'acquittait avec plaisir de cette besogne. A la remplir, il gagna le goût et la connaissance du cheval.
Mon oncle s'attacha ce jeune officier, et, avec son colonel, Murat vint passer à Filain deux mois d'hiver où il servit de second piqueur pour les chasses. Celui qui, plus tard, devait être le roi de Naples, coucha dans un des greniers du château, avec un paysan de Filain, que mon oncle avait nommé "l'Assemblée" et qui servait de valet de limiers.
En 1789, le protégé du colonel d'Urre eut une mauvaise affaire, au reste, rien de déshonorant, mais il dut quitter l'armée. Il entra en qualité de commis chez un mercier de Saint-Ciré.
La Révolution, avec ses surprises quotidiennes, le fit sortir de cette impasse. En mars 1792, il fut réintégré dans son ancien régiment, le 16ème chasseurs à cheval. "Je ferai mon chemin si Dieu et les balles le permettent", écrit-il.
A la vérité, les bonnes grâces de son colonel l'encouragèrent à se fier à son étoile. M[onsieur] d'Urre de Molans le prit en affection, et ne laissa pas végéter dans les bas grades. Murat ne reste que deux semaines sous-lieutenant ; le 31 octobre 1792, il est promu lieutenant, et capitaine à titre provisoire le 14 avril 1793. Le colonel d'Urre avait écrit, un mois avant, au ministre de la Guerre pour lui demander de nommer Joachim Murat, alors lieutenant de chasseurs, dans l'escadron qui devait être levé sous les ordres de Dumouriez.
Lorsque M[onsieur] d'Urre de Molans devint général de brigade, il prit Murat comme aide-de-camp.
La sympathie qu'inspirait sa personne, l'humour du jeune officier, le bel avenir qui lui semblait promis lui valurent cet honneur plutôt que ses mérites réels, puisqu'il ne s'était encore distingué dans aucun fait de guerre. [...]
Murat ne fut pas ingrat. Pour reconnaître les bontés de son général, plus tard, il le fit nommer son chambellan, et lui constitua une pension de 6.000 francs."
"In 1788,", writes Madame Greswold, "my uncle [1], then a colonel, had noticed among the [regiment of the] 12th chasseurs à cheval, a very young man, a non-commissioned officer, possessed of a wonderful horsemanship, the son of an innkeeper and farmer from the Haut-Quercy. When his father was in his field, the son was assigned the responsibility of caring for travelers' horses. Joachim Murat delighted in this task. By fulfilling it, he acquired a taste for and a knowledge of horses.
My uncle took this young officer under his wing, and, with his colonel, Murat spent at Filain two winter months, during which he served as a second piqueur [3] during hunts. The one who would later become King of Naples slept in one of the chateau's attics, with a peasant from Filain who my uncle had called "L'Assemblée" and who served as a keeper of the hunting dogs [4].
In 1789 the protégé of Colonel d'Urre was involved in some nasty business, nothing to his dishonour, but he had to leave the army. He found employment as a clerk with a haberdasher in Saint-Ciré [5].
The Revolution, with its daily surprises, drew him out of this blind alley. In March 1792, he was readmitted into his his former regiment, the 16th chasseurs à cheval. "I will make my way if God and bullets allow it", he wrote.
In truth, the good graces of his colonel encouraged him to trust in his lucky star. Monsieur d'Urre de Molans became fond of him and did not let him vegetate in lower ranks. Murat stayed in his rank of second lieutenant for only two weeks; on October 31, 1792 he was promoted to lieutenant, and to the title of captain on a temporary basis on April 14 1793. Colonel d'Urre had written, one moth previously, the the minister of the War Department to ask for the nomination of Joachim Murat, at the time a lieutenant of chasseurs, to the squadron that was to be raised under the command of Dumouriez.
When Monsieur d'Urre de Molans became brigadier-general, he made Murat his aide-de-camp. The likeable personality of this young officer, his sense of humour. the promising future that seemed to await him are the reasons this honour was granted him rather than his true merit, since he had not yet distinguished himself on the field of battle. [...]
Murat was not ungrateful. In recognition of his general's kindnesses, later on he nominated him his chamberlain and granted him a[n annual] pension of 6,000 francs."
[1]
https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Fran%C3%A7ois_Urre_de_Molans
[2] A (very) small village in northern France:
Filain (Aisne) — Wikipédia
[3] I could not find a translation for "piqueur" as this word relates to hunting in the French-English dictionary I consulted. I don't have enough interest in hunting to do further research. A piqueur seems to have been a mounted handler of hunting dogs during hunts.
[4] See note above regarding hunting terms. "Valet de limiers" translates literally to "manservant to the hunting dogs". That would be a lowly position indeed! I think the valet de chiens probably did the same thing as the piqueur during the hunt, but on foot rather than on horseback, and was probably equivalent to a stable groom the rest of the time, but for dogs rather than for horses.
[5] Actually a grocer, not a haberdasher, and in Saint-Céré, not Saint-Ciré!
In 1788 Murat would have been 21 years old. As far as I know, he would not meet Bonaparte for another seven years. Interesting to know that when he became aide-de-camp to Napoleon, he already had some experience in this role.
Bulletin de la Société historique de Haute-Picardie
, p. 50-51
Bulletin de la Société historique de Haute-Picardie
Bulletin de la Société historique de Haute-Picardie -- 1934 -- fascicules
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Louis Victor Baillot,le dernier de Waterloo
Chaque jour, les habitants de Carisey (1), dans le département de l’Yonne, voyaient passer dans leurs rues, presque aux mêmes heures, un brave gaillard qu’ils saluaient respectueusement et amicalement. De grande taille, très droit malgré son grand âge, marchant encore d’un pas alerte et militaire, tenant dans la main une canne avec laquelle, parfois, il décrivait d’impressionnants moulinets, revêtu d’une ample redingote sombre, taillée dans ce drap inusable des manteaux d’infanterie d’autrefois, à la boutonnière, deux larges carrés de rubans :un rouge, indiquant la légion d’honneur, un autre à raie rouges et vertes, celui de la médaille de Sainte-Hélène ; le visage balafré d’une large cicatrice qui lui zébrait le front et le crâne. Menant une vie simple et tranquille comme fût celle des populations rurales de cette époque, il gardait religieusement dans ses pensées le souvenir de l’empereur et resta jusqu’à l’aube de notre siècle le vivant témoignage de la grande épopée impériale. Cet homme se nommait Louis Victor Baillot, né à Percey, le 9 Avril 1793. L’histoire de Louis Victor Baillot commence, en juillet 1812, lorsque faisant partie de la seconde levée en masse, il fut dirigé au dépôt de Neuf-Brisach, en Alsace où il fut incorporé au 3e bataillon de la 105e demi-brigade (?) d’infanterie de ligne. A peine équipé, le bataillon quitte Neuf-Brisach pour Mayence et cantonne pendant deux mois à Erfurt avant de rejoindre au printemps, sur la Vistule, les débris de la Grande Armée. Louis Victor Baillot reçoit le baptême du feu à Wittenberg, le 17 avril 1813 et assiste aux opérations militaires qui eurent lieu dans le Mecklemboug, soutint, de septembre 1813 à août 1814, sous les ordres du maréchal Davout, duc d’Auerstaedt, prince d’Eckmühl, le long et honorable siège de Hambourg. Revenu en France, licencié par les Bourbons, le 13 août 1814, Louis Victor Baillot est rappelé en avril 1815. Réintégré dans le 105e régiment d’infanterie de ligne et employé à l’armée du Nord, il fait mouvement vers la Belgique. Le 14 juin 1815, à Beaumont, Napoléon, contraint d’entrer de nouveau en campagne, appelle au dévouement de l’armée et galvanise les énergies. Louis Victor Baillot, qui assiste à la proclamation, voit l’empereur pour la première fois. Venant de Marchiennes puis de Gosselies, le 105e se porte le 16 juin, aux Quatre Bras où la position vient d’être enlevée par le maréchal Ney. Le 17 juin 1815, le ciel couvert de sombres nuages, laissa éclater un orage d’une violence inouïe. Malgré la pluie diluvienne, les canonnades et les charges se poursuivaient sans arrêt. La plaine devint bientôt un immense bourbier. Louis Victor Baillot s’enfonçait dans la boue jusqu’aux genoux. A la tombée de la nuit, il parvint difficilement sur le plateau du Mont St Jean. Obligé de camper sur les seigles mouillés, dans l’impossibilité d’allumer un feu sur le terrain détrempé, il dut se contenter des maigres provisions dont il disposait et passa la nuit dans des conditions très pénibles. Le 18 juin, la pluie ayant cessé de tomber, peu à peu, la ligne des combattants est éclairée par le soleil. A 11 heures et demie, de son observatoire de Rossomme, l’empereur ordonne l’ouverture du feu. Le 105e, placé en seconde ligne, avance avec succès, malgré le feu meurtrier de l’ennemi et enlève à la baïonnette une position tenue par les anglais. Mais, quelques instants après, les écossais couchés dans les blés se levèrent et tirèrent à bout portant sur les français, lesquels surpris par cette attaque imprévisible durent reculer. Se ressaisissant, les hommes du 105e, s’avancent à nouveau, lorsque soudain, surgissent les redoutables dragons gris écossais lancés par Wellington . La charge, d’une rare violence, fauche des rangs entiers. Louis Victor reçoit un violent coup de sabre sur la tête, mais grâce à sa gamelle déposée sous sa coiffure, il échappe miraculeusement à la mort. Blessé d’une large plaie, assommé et couvert de sang, il est laissé pour mort sur le champ de bataille. Ramassé par les anglais, le lendemain, il sera emmené en captivité sur les pontons de Plymouth. Libéré à la fin de1816, il débarque à Boulogne-sur-Mer, rejoint Auxerre à pied, où il est réformé comme phtisique au deuxième degré. Chassé par son père, refoulé par sa mère et son frère, effrayés de voir surgir un revenant, il devra insister encore longtemps pour convaincre sa famille qu’il est vivant. Plus tard, il évoquera avec passion ses campagnes napoléoniennes. Louis Victor raffolait de musique et de parade militaire. Pendant longtemps, il ne manqua jamais une occasion d’assister au défilé annuel de la garnison d’Auxerre, où s’était fixée sa fille, épouse du maréchal des logis de gendarmerie Charles Jolly. Il ne tarda pas à constater que l’infanterie n’était plus celle de son époque. Le pantalon garance avait fait son apparition en 1829, la tunique bleu foncé avait remplacé l’habit ; on portait le shako;le fusil Gribeauval « modèle 1777 », encore en service aux Cent-Jours, avait été, hélas, remplacé par le fusil « Chassepot ». Mr Grolleron, de Seignelay(Yonne ),peintre militaire, s’est vu le soin de faire un portrait de Baillot, en avril 1897. Louis Victor est décédé à Carisey dans la maison habitée aujourd’hui par Mr Gilbert Kerne, ancien maire, le 3 Février 1898, à 2 heures du matin. Il était alors âgé de 104 ans, 9 mois et 24 jours . Sa longue existence qui avait commencée 2 mois et 19 jours après la mort de Louis XVI, et en a fait un témoin des plus nombreux changements de l’histoire de France, s’est terminée à la troisième année du mandat de Félix Faure, sixième Président de la république française. Au cours de cette froide matinée du 5 février 1898, une foule innombrable était rassemblée autour du maire, Mr Alexandre Millot, et les personnalités du département, venus rendre hommage au dernier survivant de la morne plaine. Photographié peu de temps avant, le vénérable vieillard hante paisiblement la salle du conseil de la mairie de Carisey. Son doux sourire comme un regret brisé ressurgit, laissant place aux souvenirs de la saga révolutionnaire et impériale qui enfièvrent notre imagination et suscitent sympathie et admiration. Alors sortent des brumes du passé ces vieux soldats, ces hommes de bronze qui revivent un instant avant d’aller flotter à la dérive du temps, tandis que parvient l’écho de leurs vivats, le cri répété des victoires et des mourants sous l’aigle agonisant de : « Vive l’Empereur
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ANGEBAULT, au lieu de QUQU (Louis), plâtrier à Amiens. O. du 12 juin 1845.
BERMEILLY, au lieu de ZOZO (Joseph-Euphémie), né à la Martinique en 1790, et ses enfants. D. du 22 avril 1846.
BINET, au lieu de LEBOUGRE (Louis), né à Chartres en 1801. O. du 26 novembre 1823.
BURGUIERE, au lieu de BANCAL (Jean-Joseph), né à Rodez en 1812. O. du 17 septembre 1844.
CIEUX, au lieu de CHIEUX (Pierre-Joseph), commissaire de police, né à Hazebrouck en 1793. D. du 29 décembre 1855.
DEBREUIL, au lieu de TORCHON (Louis-Joseph), pharmacien. O. du 18 juillet 1844.
DEFOIX, au lieu de CORNICHON (Henri-Joseph), négociant, né à Aufferville en 1808. O. du 23 juillet 1838.
DERMIER, au lieu de MERDIER (Jean-Baptiste-Auguste-Nicolas-Armand), et Nicolas-Charles. O. du 27 avril 1841.
EUVERTE, au lieu de CIMETIERE (Théophile-Jules-Maximilien), directeur de forges, né à Orléans en 1824. O. du 5 décembre 1855.
LAMY, au lieu de JUDAS (Augustin-Gaspard), de Paris. O. du 15 décembre 1846.
LAPULTE, au lieu de LAPUTTE (Claude-François), avocat à Paris. O. du 4 septembre 1840.
LESUEUR, au lieu de MERDA (Pierre-Louis-Nivôse), né à Jussy (Aisne) en 1795. O. du 3 février 1818.
MICHAUD, au lieu de CITRON (Alexandre-Alphonse), substitut né à Paris en 1792. O. du ? septembre 1817.
MOURIER, au lieu de CHAMEAU (Pierre-Léon), propriétaire à Limoges. O. du 22 août 1839.
PETITJEAN, au lieu de BOUROZ (François), huissier, né à Rosay en 1797. O. du 1er juin 1836.
REMY DE MONTIGNY, au lieu de PAUVREHOMME (Pierre-Dominique), négociant, né à Issoudun, le 1er novembre 1816. D. du 1er juillet 1861.
SAINTE-CHAPELLE, au lieu de FROMAGE (Jean-Baptiste-François-Pascal), né à Lizieux en 1744. O. du 23 septembre 1818.
WANNESSON, au lieu de LAMORT (Joseph-Dominique), né à Compiègne, le 20 juin 1841. D. du 2 mai 1866.
Extraits du Dictionnaire des familles qui ont fait modifier leurs noms depuis 1803 jusqu'en 1865, Paris, 1877
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"Les enfants du Roi Henry Christophe : Jacques Victor Henry Christophe, Françoise-Améthyse Christophe et Anne-Athénaïse Christophe. Tableau de dimension 24" X 20", huile sur canevas. Cette peinture, du 19e siècle, est à date, la toute dernière pièce inscrite dans l'inventaire des collections du Musée du Panthéon National Haïtien. Sa présentation officielle a lieu le 6 octobre 2020 à l'occasion du 253ème anniversaire de naissance d'Henry Christophe, l'un des Pères de l'Indépendance d'Haïti. "Un peu d’histoire… le 15 juillet 1793, le capitaine d’infanterie Henry Christophe épousait Marie Louise Malgrein Coïdavid. De cette union naquit quatre (4) enfants. François Henry Christophe qui nait un an après le mariage de ses parents. Chétif et ne jouissant pas de bonne santé, il meurt le 7 octobre 1805, un an après la proclamation de notre indépendance. Il est suivi par deux filles Françoise- Améthyse qui nait en 1798 et Anne Athénaïse qui prend naissance en 1800. Quatre ans plus tard, le 3 mars 1804 naissait le dernier enfant du couple Jacques Victor Henry Christophe. Quand en 1811 Christophe accédait à la dignité de Roi, la famille royale était par acte constitutionnel et par édit formée du Roi, de la Reine, de deux princesses et d’un prince royal. Jacques Victor Henry Christophe est nommé Prince royal par édit du 26 avril 1811, Roi de jure suite au suicide de son père, est assassiné au Cap Henry dix jours plus tard le 18 octobre 1820. Quant à la Reine et aux deux princesses, elles connurent les affres de l’exil et finirent tristement leurs jours, à Pise, en Italie. Les portraits en pied du Roi Henry Christophe et du prince Jacques Victor sont connu pour avoir fait l’objet de nombreuses expositions. Quand à la Reine et aux deux princesses, il n’existe que de très vague description de leur anatomie et de leur physionomie. La découverte de cet œuvre vient à point nommé pour agrandir la galerie de nos figures historiques. " https://www.instagram.com/p/CGHWSTKg6_Y/?igshid=18vgxbmvqpqoj
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MONTESQUIOU (R. De)
Les Chauves-Souris. Clairs-obscurs. Deuxième ouvrage carminal [Paris, Georges Richard, 1892], in-4°, vélin ivoire à la Bradel, sur le premier plat portrait de l'auteur peint à l'huile par «[La]Gandara», dessous vers autographes signés, à l'encre de Chine, sur le second plat chiffre entrelacé [JE] frappé à froid dans un médaillon à fond doré, dos lisse, couverture de soie gris perle brochée de chauves-souris, de lunes et d'étoiles et doublée de satin jaune d'or avec les mêmes motifs, tête dorée, non rogné (Henry-Joseph [Pierson] -[La] Gandara).
ÉDITION ORIGINALE du premier recueil de poèmes de Robert de Montesquiou (1855-1921). Éditée à compte d'auteur, elle ne fut pas mise dans le commerce. L'année suivante parurent deux autres éditions, dont l'une avec des ornements dessinés par Forain, Whistler, La Gandara et Yamamoto. Les Chauves-Souris, un recueil de nocturnes symbolistes. Avec Les Hortensias bleus et Le Chef des odeurs suaves, les 164 pièces de vers des Chauves-Souris constituent le coeur de l'oeuvre poétique de l'auteur. À l'occasion d'une réédition, celui qui avouait un goût certain pour la nuit et ses mystères explique l'âme du poète éveillée par les chauves-souris: «L'étrange volatile m'a semblé représenter, par son inquiétude et son incertitude entre la lumière et l'ombre, l'état d'âme des mélancoliques.» Le talent de Robert de Montesquiou fut apprécié par Mallarmé, Verlaine, Mirbeau ou Rodenbach. Cependant, son goût immodéré pour l'extrême préciosité lui valut de devenir le modèle de des Esseintes, le dandy décadent d'À rebours, et du baron de Charlus dans À la recherche du temps perdu. L'ouvrage est précédé d'une lettre-préface de Leconte de Lisle. Précieux exemplaire offert par l'auteur à Edmond de Goncourt, accompagné d'un long et déférent envoi autographe, daté «Juillet 92». Robert de Montesquiou par Antonio de La Gandara: l'un des 29 livres à portrait de la bibliothèque d'Edmond de Goncourt. Avec Henri Beraldi, Edmond de Goncourt (1822-1896) fut l'un des arbitres des élégances bibliophiliques en matière de reliures décorées fin de siècle. Dans le Grenier de la maison d'Auteuil, à partir de 1885, Edmond reçoit chaque dimanche ses amis, artistes et écrivains, au milieu de ses collections d'oeuvres d'art et des livres de sa bibliothèque. C'est dans le cadre du Grenier et de ses amitiés qu'Edmond, en 1890, conçoit le projet d'une série de reliures destinées à habiller un choix très personnel de livres «mieux aimés» parmi les livres modernes de sa collection. Chacun de ces livres recevra, sur le premier plat de sa reliure, le portrait de son auteur par un peintre auquel le lie l'amitié. De 1890 à 1896, date de la mort d'Edmond, 29 reliures à portrait furent réalisées; toutes sur des vélins pleins établis par Henry-Joseph Pierson, son relieur favori. Parmi les associations écrivains-peintres qu'il souhaita magnifier par ces livres à portrait, on peut citer Burty par Chéret, Daudet par Carrière, Julia Daudet par James Tissot, Edmond de Goncourt par Carrière, Huysmans par Raffaelli, Régnier par Blanche, Lecomte par Renoir, Zola par Raffaëlli ou Mirbeau par Rodin. Antonio de La Gandara, quant à lui, donna les portraits de Jean Lorrain et de Montesquiou. Ces reliures, dont Bernard Vouilloux écrit qu'elles sont une innovation bibliophilique d'Edmond de Goncourt, étaient à n'en pas douter l'un des joyaux du Grenier. Cinq d'entre elles furent présentées pour la première fois en 1893, à la galerie Georges Petit pour l'exposition Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893). Henri Bouchot écrit alors qu'elles en furent le «clou». Six de ces reliures à portrait sont aujourd'hui conservées dans des institutions publiques parisiennes. Antonio de La Gandara (1861-1917), l'un des portraitistes attitrés du comte de Montesquiou. L'un et l'autre sont des habitués du Grenier. Ils sont liés d'amitié depuis 1885. Le comte a beaucoup fait pour les débuts de l'artiste. Lancé dans la haute société parisienne, La Gandara en sera l'un des plus brillants portraitistes. Outre celui-ci, au moins deux autres portraits de Montesquiou par La Gandara sont connus: un fusain de 1891 et une huile, vers 1887, conservée au château d'Azay-le-Ferron. Sous son portrait par son ami, Montesquiou a écrit quelques vers à l'encre de Chine, accompagnés de son élégant monogramme. Goncourt a, comme à son habitude - ici sur la première garde du volume -, écrit à l'encre rouge quelques appréciations sur l'ouvrage et quelques caractéristiques de cet exemplaire: «Exemplaire de la première, et de la belle, et de la rare édition des Chauves-Souris [...] précédée d'une lettre dédicatoire manuscrite. Portrait du poète exécuté à l'huile par Gandara dans l'été de 1893.» Dans l' «inventaire littéraire» qu'il établit en 1894, il a en outre noté que le portrait de Montesquiou par La Gandara «ren[d] bien la silhouette et le port de tête du poète». Exemplaire cité par Vicaire. Parfaitement conservé, il est préservé dans une chemise-étui moderne à dos de maroquin olive. Sont joints: - une LAS à Madame [Arman de Caillavet], 4 pp. in-4° à l'encre noire sur papier ocre, datées «Pavillon des Muses». Le poète regrette «l'anéantissement» d'un projet commun, mais assure sa correspondante que des «liens invisibles» existent entre eux, «incessamment disponibles». Née Léontine Lippmann, Madame de Caillavet tint un salon littéraire important et fut la maîtresse et l'égérie d'Anatole France. Montesquiou emménagea au Pavillon des Muses, à Neuilly, vers 1900 et y vécut onze ans. - 2 épreuves avec la lettre du portrait de Montesquiou gravé par Henri Guérard d'après Whistler, paru dans la Gazette des Beaux-Arts en 1903 (C. Bertin, n° 548). Édition limitée à 100 exemplaires, tous imprimés sur papier de Hollande Van Gelder, au filigrane à la chauve-souris. Dimensions: 247 x 192 mm. Expositions: Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893), galerie Georges Petit, juin 1893; Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38. Provenances: Edmond de Goncourt (Cat. Livres modernes, 5-10 avril 1897, n° 21), avec son ex-libris gravé par Gavarni; Philippe Kah (1897-1972), avocat et homme de lettres, avec son ex-libris (aucun catalogue à ce nom à la BNF); Pierre Bergé (Cat. II, novembre 2016, n° 484), avec son ex-libris. Vicaire (G.), Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle. 1801-1893, V, 1106; Crauzat (E. de), La Reliure française de 1900 à 1925, I, pp. 118; Vouilloux (B.), «Une collection d'unica. Les livres à portraits d'Edmond de Goncourt», in CONTEXTES, 14 | 2014 (édition en ligne); Galantaris (Ch.), «Les Goncourt bibliophiles», in Le Livre et l'estampe, XXXX, 1994, n° 142, pp. 7-63; Coron (A., éd.), Des livres rares..., BNF, n° 232 (Germinie Lacerteux des Goncourt, ex. d'Edmond, vélin, portrait d'Edmond peint par Raffaëlli); Mathieu (X.), Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38 (avec reproduction) et passim
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Bernard Lehut (RTL) : « le livre est l’évasion la plus accessible »
Par Vincy Thomas, le 09.04.2020 à 16h15 (mis à jour le 09.04.2020 à 17h00) Radio
Bernard Lehut – Photo RTL.
Durant la période de confinement, Bernard Lehut a adapté « Les livres ont la parole » et ses chroniques dans « Laissez-vous tenter » avec l’envie de replonger dans les classiques de la littérature. Le monsieur Livre de RTL annonce aussi une interview de Le Clezio et évoque le Grand prix RTL-Lire, suspendu.
Depuis le 22 mars, RTL a modifié certaines de ses émissions pour s’adapter au confinement des auditeurs, à l’actualité liée à la pandémie du Covid-19 et à la fabrication à distance des programmes pour cause de télétravail. Bernard Lehut, le monsieur Livre de la station (première radio privée de France, avec 6,56 millions d’auditeurs quotidiens selon les chiffres de Médiamétrie communiqués aujourd’hui pour la période janvier-mars), a ainsi transformé « Les livres ont la Parole », son émission dominicale dans la tranche de Stéphane Carpentier, comme ses sujets dans « Laissez-vous tenter », programme culturel de la matinale d’Yves Calvi en semaine. « J’ai réfléchi comment reformater « Les livres ont la parole », comment s’adapter à l’absence des librairies« , explique-t-il à Livres Hebdo. « Le mot clé, c’est l’évasion, échapper à la réclusion. Le livre, la lecture sont l’évasion la plus accessible, la plus universelle, dans le temps et dans l’espace« .
Bibliothèque idéale Avec une subjectivité totalement assumée, il choisit ainsi dans sa bibliothèque un classique à (re)découvrir. Ce dimanche, il évoquera le parfait confiné, Le Comte de Monte-Cristo, d’Alexandre Dumas, après avoir partagé La Gloire de mon père, de Marcel Pagnol, Le lion, de Joseph Kessel et Le docteur Jivago, de Boris Pasternak. Il est encouragé par les réactions des auditeurs, très en demande de classiques. « On échappe à la nouveauté« , rappelle Bernard Lehut, « du coup on a le temps pour replonger dans les classiques ou combler des lacunes, comme je le fais actuellement en lisant le formidable livre d’Albert Camus, Le premier homme ». « Les livres ont la parole » s’agrémente d’une rediffusion de son émission estivale, « Chemins d’écrivains » : Isabelle Carré à Saint-Jean-de-Luz, Jean Teulé à Lascaux, Katherine Pancol à Fécamp se sont succédés. Et pour le dimanche pascal, Frédéric Lenoir nous emmènera aux pieds de l’archange du Mont-Saint-Michel.
Les 80 ans de Le Clézio « Je termine l’émission avec une citation liée à cette période si particulière. La littérature est riche pour nous aider à vivre le présent, pour enjoliver notre existence, ou prendre du recul », affirme le journaliste, mettant ainsi en lumière des phrases d’Albert Camus, Blaise Pascal, Jean Giono ou Montaigne. Après une programmation bousculée par l’actualité sanitaire, « Laissez-vous tenter » est redevenu un rendez-vous régulier depuis une semaine. « Les livres sont encore disponibles, dans les hypermarchés, en vente par correspondance, sur les sites de ventes en ligne, dans les maisons de la presse, en format numérique« , rappelle Bernard Lehut. « Il y a des livres parus en mars que je n’avais pas éclusés, comme ceux de Colombe Schneck ou de J. M. G. Le Clézio [Chanson d’automne suivi de L’enfant et la guerre]. Je l’avais rencontré chez Gallimard juste avant le confinement. Au total, j’ai une demi-heure d’entretien avec lui, que nous mettrons intégralement en ligne sur le site Rtl.fr à l’occasion de ses 80 ans, lundi 13 avril« , révèle-t-il. A défaut d’invités dans le studio, il appelle les auteurs pour des conseils de lecture. Jean-Christophe Ruffin a ainsi recommandé Le hussard sur le toit et Joël Dicker le polar de Niklas Natt och Dag, 1793 (Sonatine).
Printemps en suspens Pour la suite, Bernard Lehut est dans un calendrier incertain. Le Grand prix RTL-Lire, traditionnellement remis à Livre Paris, n’a toujours pas été décerné. Il précise : « On a été stoppé dans notre élan. On devait l’annoncer le 19 mars. On a été confinés deux jours avant. Tout était prêt : le bandeau pour les couvertures, de nouveaux tirages de l’éditeur… On a tout gelé et on l’annoncera en temps en heures, dans l’intimité, pendant ‘Laissez-vous tenter' ». Concernant « Chemins d’écrivains », son programme d’été, habituellement tourné entre avril et juin, il estime qu’il est trop tôt pour savoir s’il sera à l’antenne en juillet et août. « Est-ce qu’on aura le temps de bloquer des invités et des dates ? J’ai déjà fait ma liste, mais tout dépendra de la date de déconfinement. »
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Agé de 41 ans, ce Pakistanais était arrivé clandestinement en France en février. Il avait commis des dégradations avant de s’en prendre à cette église de la région parisienne, un lieu hautement symbolique où sont inhumés les rois de France.
Clandestin et vandale. Le procès d’un Pakistanais de 41 ans doit se tenir vendredi après-midi devant le Tribunal de grande instance de Bobigny, en Seine-Saint-Denis. L’homme, qui devait faire l’objet d’une expertise psychiatrique et dont le procès avait été reporté le 12 avril dernier, est jugé des chefs de dégradation d’un bien destiné à l’utilité publique et de vol. Il est accusé d’avoir, dans la nuit du 2 au 3 mars, cassé deux vitraux de la Basilique de Saint Denis, avant de détériorer l’orgue, brisant les deux portes du buffet, endommageant le moteur de l’instrument et emportant des lests en fonte (faisant partie des soufflets métalliques de l’instrument).
Les dégâts avaient été constatés le 3 mars au matin à l’occasion de la messe dominicale. L’effraction témoigne d’une réelle détermination. Le malfaiteur a dû se hisser sur une terrasse à plus d’une dizaine de mètres de hauteur avant de casser les vitraux pour pénétrer dans l’édifice.
» VOIR AUSS- Vandalisme dans les églises: en parle-t-on assez?
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Des vitraux gravement endommagés
L’intrusion a visiblement été facilitée par des travaux de restauration en cours. Les vitraux visés, éléments de la rose sud en cours de restauration, datent du XIXe siècle. Mis en place pour réparer les destructions subies par le bâtiment pendant la révolution, notamment en 1793 lors de la profanation des tombes royales, ces vitraux ont été très endommagés. La réfection de l’orgue a pu être achevée, pour un coût de 10 000 euros, un peu plus d’un mois après l’intrusion. Mais de l’avis de Saadia Tamelikecht, conservatrice de la basilique, les vitraux «ne pourront pas totalement être récupérés». 40 000 euros seront nécessaires pour tenter de réparer les dégâts.
L’événement avait fait réagir la classe politique. Le président PS du département de Seine-Saint-Denis, Stéphane Roussel, avait appelé à condamner «avec une extrême sévérité ceux qui s’en prennent ainsi à des lieux de culte et à notre patrimoine historique et culturel». La présidente LR de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, avait dénoncé des «actes de vandalisme» et demandé «le respect de ce lieu de culte, chargé d’histoire!».
Trois actes de vandalisme en quelques semaines
Députée LR des Bouches-du-Rhône, Valérie Boyer avait également réagi sur les réseaux sociaux: «la basilique des rois de France a été profanée: l’orgue et des vitraux brisés. Tous les jours ce sont au moins 2 églises qui sont profanées en France. Le gouvernement doit enfin agir et punir ces actes antichrétiens qui s’attaquent à la foi et au patrimoine».
Un élément a permis aux enquêteurs d’avancer rapidement: des traces de sang relevées à l’endroit de l’effraction. L’ADN permet d’identifier le suspect. Et pour cause: l’homme, arrivé clandestinement en France en février 2019, avait déjà été visé par un rappel à la loi pour avoir dégradé des biens à deux reprises. Tout en pouvant demeurer sur le territoire. Il est interpellé le 11 avril au centre de rétention de Vincennes (Val-de-Marne). Lors de sa première comparution le 12 avril, le prévenu, qui ne parle pas français, a nié. Refusera-t-il toujours de s’expliquer vendredi? Les faits sont en tout cas accablants: trois actes de vandalisme en quelques semaines de présence sur le sol français dont l’un d’entre eux visant un lieu de culte et l’un des sites symboliques de l’histoire de France.
Source: premium.lefigaro.fr
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Pierre Dezoteux de Cormatin, gravure au pointillé exécutée par François de Bonneville 1796.
Pierre Marie Félicité Dezoteux, baron de Cormatin, né le 23 novembre 1753 à Paris et mort le 31 juillet 1812, est un militaire français qui a participé à la Chouannerie
Son père, Claude-Armand Dezoteux était commissaire des guerres. Il avait épousé Jeanne de la Félonnière, veuve du marquis de Lignage. Le château de Cormatin dont se titra le baron, était la propriété de Geneviève Verne, veuve d'Antoine Viard de Sercy, lieutenant-général au bailliage de Mâcon, qu'il avait épousée à Paris le 24 avril 1784.
En 1772, Pierre Dezoteux s'engage comme sous-lieutenant au régiment de cavalerie de Royal-Navarre, puis se préparant à une carrière diplomatique, il fait entre 1776 et 1780 de nombreux voyages en Grande-Bretagne, Espagne, Portugal, Maroc, Provinces-unies, Pologne et Russie. Il y apprend l'allemand, l'anglais, l'italien et l'espagnol.
En 1780, il s'embarque pour l'Amérique sous les ordres du général Rochambeau. Il sert comme capitaine et aide de camp lors de la guerre d'indépendance américaine. Il prend part à la Bataille de la baie de Chesapeake et participe à la prise des redoutes à la bataille de Yorktown.
De retour en France en 1784, il épouse la baronne de Cormatin et prit ainsi le titre de baron de Cormatin.
Entre 1784 et 1788, il sert à l'état-major de l'armée, reçoit le grade de major et la distinction de chevalier de Saint-Louis.
Cormatin est d'abord favorable à la Révolution française et partisan de La Fayette, mais il finit par s'attacher à François Claude de Bouillé qui le nomme colonel. En 1790, on le trouve en Lorraine auprès du marquis de Bouillé, où il contribue dit-on, à réprimer l'émeute militaire de Nancy en août 1790. Nommé colonel par le roi au commencement de 1791, puis lieutenant-colonel dans la garde constitutionnelle du Roi.
Cormatin émigre en Angleterre après la chute de la Royauté le 10 août 1792 ; il est cependant mal accueilli par les émigrés qui lui reprochent son passé révolutionnaire.
Après l’exécution de Louis XVI le 21 janvier 1793, il rentre en France en 1794 pour s'aboucher avec les chouans. Le général d'Andigné, témoin de ses agissements, dit qu'il avait plus d'apparence que de fond, qu'il excita par ses manœuvres les défiances de son parti sans désarmer ses ennemis.
Il se met aux ordres de Joseph de Puisaye qui en fait son lieutenant et le nomme maréchal de camp et major général des armées catholiques et royales de Bretagne, le 26 août 1794.
À la suite du départ de Puisaye pour l'Angleterre en septembre 1794, dans le cadre de la politique de pacification voulue par la Convention et menée par les généraux Hoche (Armée des côtes de Brest) et Canclaux (Armée de l'Ouest), Cormatin ouvre des négociations avec les républicains, mais mis à part Boishardy, il n'a la confiance d'aucun des principaux chefs chouans, ni même celle de Hoche.
Puisaye avait, à son départ pour l'Angleterre, remis l'autorité entre ses mains; il en profite pour signer au nom de tous les Chouans de Bretagne, de Normandie, du Bas-Maine et de l'Anjou, une suspension d'armes qui devait commencer le 3 janvier 1795. Puis il se fait donner la mission de traiter au nom de toute l'armée catholique, et, muni d'un sauf-conduit, se met à parcourir les provinces de l'Ouest. De Laval, il avait envoyé le 2 janvier 1795 une adresse à ses camarades et amis tes engageant à lui faire parvenir à Nantes leur adhésion.
Les négociations aboutissent donc malgré tout au traité de la Mabilais (20 avril 1795), mais la paix ne dure que jusqu'au 27 mai et Cormatin est arrêté chez Bollet par les républicains. Il est enfermé au Château de Ham. Il reste emprisonné jusqu'au 28 octobre 1802.
Après sa libération, il continue d'être surveillé par la police impériale jusqu'à sa mort en 1812.
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Collioure
Eglise de notre dame des anges à Collioure .
Collioure (en catalan Cotlliure), est une commune française située au bord de la mer Méditerranée dans le département des Pyrénées-Orientales.
Localisation
Collioure est une commune située sur la Côte Vermeille dans l'arrondissement de Céret, au sud-est d'Argelès-sur-Mer et au nord de Port-Vendres.
Histoire
Préhistoire
Le site de Collioure était déjà occupé par les hommes préhistoriques, si l’on en croit les divers dolmens recensés : près du hameau du Rimbau (assez bien conservé) au col del Molló (ruiné) et sans doute au lieu-dit l’Arqueta.
Moyen Âge
Le château de Collioure est déjà cité en 673, preuve du rôle stratégique et commercial tenu par la cité à l’époque wisigothique.
Le château et la ville appartiennent ensuite aux comtes de Roussillon, puis aux divers rois qui se succèdent en Roussillon : rois d’Aragon de 1172 à 1276, puis rois de Majorque jusqu’en 1343, avant de revenir aux rois d’Aragon. Sous le règne des rois de Majorque, le château, entièrement reconstruit entre 1242 et 1280 au détriment d’une maison templière qui lui était accolée, devient résidence royale, la ville étant pour sa part le premier port du Roussillon. Le commerce, surtout au temps des rois d’Aragon, y est intense : on exporte notamment des draps, de l’huile et du vin, et l’on importe des épices, des tissus orientaux et d’autres produits exotiques.
Après le mariage des Rois catholiques, Ferdinand V d’Aragon et Isabelle Ire de Castille, Collioure et le Roussillon tout entier passent sous la domination de la monarchie espagnole, sans qu’il y ait fusion centralisatrice.
La province est occupée de 1475 à 1481 par le roi de France Louis XI, qui fait bâtir des fortifications à Collioure, rebaptisée Saint-Michel, fortifications aujourd’hui dissimulées par les constructions postérieures. Son successeur, Charles VIII, rend le Roussillon à Ferdinand le Catholique, dont le successeur l’empereur Charles Quint renforce les fortifications de la ville. L'Empereur décida la construction du Fort Saint-Elme destiné à protéger les anses de Collioure et de Port-Vendres.
Époque moderne
En 1642, la ville est prise par les armées de Louis XIII, avant d’être annexée officiellement à la France en 1659 par le traité des Pyrénées sous Louis XIV. Les troupes françaises utilisent la plage de l'Ouille comme port de débarquement, attaquent par le Pla de las Fourques, prennent le Fort St Thérèse puis le Château Royal. Ils ont recours aux mortiers et à des mines de siège.
Le rôle stratégique de Collioure est redéfini par Vauban, qui voulant en faire une ville de garnison, rase la vieille ville pour accroître le château, fortifie le Pla de las Fourques (Fort Carré et Fort Rond) et réaménage les forts : Saint-Elme et le Mirador (anciennement Fort Sainte-Thèrése). La population, menacée de déportation à Port-Vendres, obtient de reconstruire la ville à son emplacement actuel. L’église, dotée d’un clocher aménagé dans une ancienne tour de guet de l’époque majorquine, est consacrée au début du xviiie siècle.
Révolution française
Au début de la Révolution (entre 1790 et 1794), Collioure annexe la commune éphémère de Fort-Saint-Elme.
En 1793, la ville est occupée pour les uns, libérée pour les autres, par les troupes espagnoles, et reprise par le général Dugommier en mai 1794 après des combats très durs contre les troupes espagnoles et loyalistes au roi de France (Légion de la Reine).
Époque contemporaine
La commune de Port-Vendres est créée le 23 avril 1823 à partir de territoires distraits des communes de Collioure et de Banyuls-sur-Mer.
Tout au long du xixe siècle, on note un important essor économique lié à l’expansion de la pêche, succès des anchois de Collioure, et à la production viticole. Ce progrès s’essouffle cependant au début du xxe siècle : après un maximum de 3 846 habitants en 1857, on tombe à 2 830 habitants en 1901, soit une perte de 1 000 habitants en une cinquantaine d’années. Le développement de Port-Vendres y est sans doute pour beaucoup.
Le 21 janvier 1870, Collioure subit un événement climatique exceptionnel, observé par le botaniste Charles Naudin, et reçoit un mètre de neige en une journée. De nombreux vergers et plantations de chênes-lièges sont détruits.
En 1939, avec la défaite du camp républicain durant la guerre d'Espagne, des centaines de milliers d’Espagnols se réfugient en France : c’est la Retirada. Les Républicains sont parqués dans des camps aux dimensions largement sous-évaluées. Une unité de cavalerie de l’armée populaire de la République espagnole arrivée entière y est internée en février, avant d’être transférée au camp d'Argelès. Le château est alors utilisé comme camp disciplinaire pour interner ceux considérés comme les plus dangereux. Certains communistes et anarchistes sont internés au « camp spécial » de Collioure, installé au château et commandé par un ancien légionnaire. Près de mille hommes passent par ce camp, comparable à un bagne et où les prisonniers sont traités comme des sous-hommes. Le traitement réservé aux Espagnols soulève un scandale, plus d’une centaine d’entre eux étant morts en quelques mois, avant qu’il ne ferme en décembre 1939 et qu’ils ne soient transférés au camp du Vernet. Le poète espagnol Antonio Machado se réfugie à Collioure, malade, en février 1939, et y meurt le 22.
Durant l'occupation allemande, un mur de béton armé (existant encore) est élevé sur la plage du faubourg, un canon est installé sur le balcon du château royal, d'autres sont installés au-dessus de la plage de la Balette avec un blockhaus et sur la route de Port-Vendres à Collioure. Des blockhaus, toujours visibles actuellement, sont aussi construits derrière le fort Miradou. Les Allemands réquisitionnent une maison au 31, route impériale, à l'époque la seule maison à cet endroit. Le fort Saint-Elme est aussi réquisitionné, par la marine, la collection d'armes du propriétaire est pillée et certaines parties du fort incendiées.
Fictions à Collioure ?
Meurtre à Collioure
Téléfilm de Bruno Garcia
Synopsis : Le cadavre d'une jeune femme est découvert dans un tonneau rempli de clous et de tessons de verre. Ce décès n'est pas sans évoquer la légende médiévale de Paracolls. Les soupçons de la police s'orientent aussitôt vers le mari de la défunte, un peintre bien connu de Collioure, dont les excès de violence et de jalousie sont de notoriété publique. Alice Castel, gendarme à Collioure, et Pascal Loubet, officier de la police judiciaire de Perpignan, font équipe pour résoudre cette affaire. Au fil de leurs investigations, ils réalisent que le dossier est bien plus complexe qu'ils ne l'imaginaient, et que le coupable ne sera pas si facile à identifier.
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De la ligue 1 le milieu parisien ne tarde pas à déclencher du plat du pied droit qu’alphonse aréola capte sur sa pelouse de raymond-kopa dans une superbe…
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La saison 2018-2019 voici donc les dates des rencontres entre l’asse et les différents match de football en direct gratuitement regarder tous les scores de foot en direct live des.
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Sco Angers Nice De la ligue 1 le milieu parisien ne tarde pas à déclencher du plat du pied droit qu'alphonse aréola capte sur sa pelouse de raymond-kopa dans une superbe...
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Les représentans du peuple, envoyés par la Convention nationale près l’armée des côtes de Cherbourg. En vertu des pouvoirs à nous donnés ; Considérant, 1°. que la violence exercée sur les personnes des représentans du peuple, Prieur (de la Côte-d’Or), & Romme, envoyés par la Convention nationale près l’armée des côtes de Cherbourg, pour veiller à leur défense & les couvrir, au besoin, de leurs corps, contre l’attaque des ennemis de la République, est un attentat à la souveraineté du peuple & au respect dû à la Convention nationale qui peut seule sauver la patrie ; 2°. Que l’arrestation de ces deux représentans, celle des deniers de la caisse publique & de tous les objets de subsistances qui se dirigent vers le centre de la France, ne peut avoir d’autre objet que de livrer la République française aux armées ennemies qui les menacent de toutes parts, puisqu’elle tend évidemment à mettre la Convention nationale dans l’impossibilité absolue de pourvoir à la solde, habillement & subsistance de nos frères qui sont sur les frontières pour combattre les tyrans & leur satellites ; 3°. Que la conduite de Félix Wimphen [Wimpffen], ci-devant noble & baron allemand, qui a eu la lâcheté de laisser enlever de Bayeux, en sa présence, par quarante particuliers se disant carabots de Caen, les représentans du peuple, Romme & Prieur ; qui, depuis cette époque, a constamment refusé ou négligé de se rendre près des représentans qui sont à Coutances, pour prendre des mesures de sûreté générale ; qui a rétabli un comité d’administration militaire qui avoit été, en vertu de la loi du 30 avril dernier, cassé & annullé par un arrêté pris par les représentans du peuple à Bayeux ; que la conduite de ce perfide général prouve qu’il existe Caen, où il se rend sans cesse, une conjuration de partisans de la tyrannie qui veulent replonger le peuple dans les fers, & l’empêcher de jouir des droits sacrés de l’homme ; Considérant enfin que, d’après le compte rendu à l’administration du département de la Manche par les commissaires qu’elle avoit envoyés à celle du Calvados, pour lui faire partager les principes de la vraie liberté & les sentimens de fraternité consignés dans l’arrêté pris le 9 juin présent mois, dans une assemblée générale des corps constitués & des sociétés populaires ; que d’après les dispositions perfides & tendantes [sic] à la dissolution de la République une & indivisible, faites par les commissaires envoyés par l’administration du Calvados, il ne reste plus d’autre moyen de rendre la liberté aux représentans détenus à Caen & de briser les fers des citoyens de cette ville, qui gémissent sous le joug d’une faction liberticide, ou de ramener ceux que des discours perfides ont égarés, que de faire connoître les véritables projets de cette faction d’aristocrates, à la tête de laquelle se trouve un ci-devant noble, baron allemand ; Avons arrêté ce qui suit : ARTICLE PREMIER. Nous déclarons en état de rébellion tous administrateurs, officiers municipaux, juges, fonctionnaires publics & autres citoyens qui ont signé l’arrêté du conseil-général du département du Calvados, du 9 juin dernier ; en conséquence, les avons suspendus de leurs fonctions, dans lesquelles ils seront provisoirement remplacés par les fonctionnaires de la même espèce, ou par leurs suppléans qui n’auront pris aucune part à cet arrêté. II. Tous lesdits fonctionnaires publics & les autres signataires seront mis en état d’arrestation, & traduits sur-le-champ à la barre de la Convention nationale. III. Les receveurs de districts sont tenus de faire passer à la trésorerie nationale les fonds qui se trouvent dans leurs caisses, sous peine d’être regardés comme rebelles à la loi. IV. Les communications du commerce seront rétablies entre la ville de Caen & les autres parties de la République française, & il ne pourra y être apporté aucun obstacle. V. Chargeons, au nom de la République française, les corps administratifs, municipalités, & autres autorités constituées, civiles & militaires, gardes nationaux & tous les bons citoyens, de veiller à l’exécution du présent arrêté, qui sera publié, imprimé & affiché dans les cinq départements de la Manche, du Calvados, de l’Eure, de l’Orne & de la Seine-Inférieure.
Arrêté de Prieur de la Marne et Lecointre. Coutances, 14 juin 1793 (tiré de leur Rapport de mission imprimé, p. 58-60).
#il y a 227 ans#14 juin 1793#Révolution française#révoltes fédéralistes#Prieur de la Marne#Lecointre#1793#Romme#Prieur de la Côte-d'Or#Wimpffen
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Gaston Crémieux
Gaston Crémieux : dirigeant de la Commune de Marseille dimanche 11 mars 2012
Gaston Crémieux est né à Nîmes le 22 juin 1836, issu d’une famille juive du Comtat Venaissin. Son père est marchand d’indiennes (tissus aux motifs indiens). Après l’école primaire, il entre au lycée de Nîmes où il est un excellent élève. Il obtient son baccalauréat le 19 août 1853. Il veut être avocat et désire faire ses études à Paris. En octobre 1854, il est inscrit à la Faculté de Droit. Mais au bout d’une année, ses maigres ressources le contraignent à revenir à Nîmes ; il trouve un emploi comme deuxième clerc chez un avoué, épargnant ainsi des sacrifices pécuniaires à ses parents.
Au bout de quelques mois, il trouve un emploi chez un avoué à Paris ; malheureusement, son salaire est insuffisant pour lui assurer une existence même modeste et il retourne à Nîmes en janvier 1856. Le 14 janvier 1856, il s’inscrit à la Faculté d’Aix en Provence. Il obtient sa licence en droit le 25 novembre 1856. Gaston Crémieux est exempté du service miliaire en raison de sa situation de famille. Il était l’aîné d’une famille nombreuse. Il s’inscrit alors au Barreau de la cour d’appel de Nîmes. Il prête serment le 24 mars 1857. Il est commis d’office pour les personnes disposant de peu de revenus ; ses collègues le surnomment « l’avocat des pauvres ». Il obtient des succès plus marquants dans le journalisme littéraire. Il s’intéresse aussi à la politique ; marqué par la répression de juin 1848, il est devenu un ardent républicain, défenseur de la liberté de pensée et combattant de la lutte contre l’intolérance. Vers la fin de l’année 1857, Gaston Crémieux et un groupe d’amis fondent l’Avenir, un journal littéraire ; quatre membres de la rédaction, dont Gaston Crémieux, sont surveillés par la police qui émet cet avis : « ces quatre individus professent les idées socialistes les plus avancées et, malgré leur réserve, ils demeurent dangereux au point de vue politique ».
Le 14 février 1858 l’Avenir cesse de paraître, les républicains sont victimes de la répression du gouvernement de Badinguet. En 1862, Crémieux quitte Nîmes pour rejoindre Marseille. Le 10 décembre 1862, le Conseil de l’ordre officialise son admission au Barreau. En 1864, il est admis par la loge marseillaise « La Réunion des Amis choisis » du Grand Orient de France. Gaston Crémieux considère Robespierre comme le chef d’État idéal. Entre les deux hommes les ressemblances sont profondes, mais présentent parfois des nuances : pour Robespierre « l’Être suprême et l’immortalité de l’âme » sont des compromis politiques nécessaires pour sceller la réconciliation de tous les Français. Chez Gaston Crémieux, l’approbation du culte républicain est en accord avec un déisme rigoureux et sincère.
Notre avocat est un ardent défenseur de la liberté de pensée et il combat sans cesse l’intolérance des intégristes de tous bords. Le 25 septembre 1864, il épouse Noémie Molina, de confession juive. De cette union, naîtront trois enfants. Gaston avait choisi de nommer son dernier fils Robespierre en souvenir de cet homme d’État symbolisant à ses yeux le révolutionnaire incorruptible par excellence. D’ailleurs, quelques mois avant la naissance de ce garçon, il écrira un monologue en vers intitulé « Robespierre, le 21 janvier 1793 » Gaston est heureux, il adore sa femme et ses enfants.
Gaston Crémieux est très sensible à la grande misère des ouvriers marseillais. Il réagit vivement contre la perversité des mœurs qui en résulte. Dans le mémoire qu’il rédige en 1867, pour la classe ouvrière de Marseille, il demande au préfet des Bouches-du-Rhône de prendre des mesures urgentes pour mettre fin à cette situation déplorable. Il préconise la création d’un syndicat prenant la défense des intérêts des travailleurs.
Il s’intéresse particulièrement au développement de l’enseignement laïc, facteur de l’émancipation de la classe ouvrière. Le 31 mars 1865, il lance le projet de création d’écoles pour les enfants défavorisés. Le 6 août 1866, des cours du soir gratuits sont ouverts aux adultes. En 1867, il est élu vénérable maître de la loge de la Réunion des Amis choisis.
En 1868, le 13 juillet, est constituée l’association phocéenne de l’Enseignement, de l’Instruction et de l’Education des deux sexes. Crémieux est l’un des membres fondateurs. En 1869, il soutient activement la campagne électorale de Gambetta à Marseille. A l’époque, ce fougueux républicain n’est pas encore devenu le leader du parti opportuniste.
Le 28 juillet 1869, pour le soixante-quinzième anniversaire de la mort de Robespierre, Gaston Crémieux écrit un monologue Robespierre, le 21 janvier 1793 dédié à Léon Gambetta et Alphonse Esquiros. Il leur fait part de son intention d’écrire un drame sur le Neuf Thermidor et la mort de Robespierre. Il mettra ce projet à exécution peu de temps avant sa mort. Il mène également une activité sociale intense en tant que fondateur de coopératives et de chambres syndicales.
Le 19 juillet 1870, la guerre contra la Prusse est déclarée. Les défaites de l’armée de Napoléon III à Forbach et Froeschwiller ont provoqué la colère des Marseillais. Des manifestations ont lieu à la préfecture et à la mairie. Les insurgés doivent rapidement capituler.
Le 27 août 1870, le 1er Conseil de guerre condamne quatorze insurgés. Gaston Crémieux qui a pris part au soulèvement sera condamné à deux ans de prison mais la proclamation de la République, le 4 septembre 1870, va le délivrer de sa peine. Le 11 septembre, il va participer à la formation de la Ligue du Midi dont le programme est radical : séparation absolue des Églises et de l’État, révocation immédiate de tous les maires nommés par et sous l’Empire, nomination des juges par voie électorale, liberté absolue de la presse, etc..
Le 2 novembre, proclamation à Marseille de la Commune révolutionnaire. Gustave Cluseret est nommé Commandant de la Garde Nationale et général en chef des troupes de la Ligue du Midi. Le poète Clovis Hugues est à la tête de la Légion urbaine. Le citoyen Esquiros dirige la commission municipale révolutionnaire. Gaston Crémieux, qui tenait des meetings au nom de la Ligue du Midi dans la Drôme et l’Isère, écrit de Grenoble à Alphonse Esquiros, le 2 novembre, une lettre portant le cachet de l’Association internationale des travailleurs, pour s’étonner qu’Esquiros veuille donner sa démission.
Crémieux n’a donc pas pris part directement aux journées révolutionnaires. Le 31 janvier 1871, c’est la fin de la guerre entre la France et la Prusse. Le 13 février, l’Assemblée nationale s’installe à Bordeaux dans le grand théâtre. Gaston Crémieux assiste à la séance du haut des tribunes. Garibaldi veut parler pour résilier le mandat dont Paris l’a honoré. Il est malade et veut conserver sa nationalité. Des hurlements couvrent sa voix. Alors, des tribunes, Gaston Crémieux s’écrie : « Majorité rurale, honte de la France ». Les tribunes applaudissent, mais la majorité réactionnaire n’oubliera pas l’intervention de Crémieux et ce sera un élément important dans sa condamnation à mort.
Le 18 mars, la tentative de Thiers pour s’emparer des canons des Parisiens échoue. La Commune de Paris est instaurée. Le 22 mars, dans la salle de l’Eldorado à Marseille, Gaston Crémieux fait un discours pour appeler les habitants de la cité phocéenne à soutenir Paris contre Versailles. Le 23 mars, les Marseillais favorables aux insurgés de Paris envahissent la Préfecture. Une commission départementale est constituée dont Crémieux sera le président.
Du balcon de l’édifice départemental, il déclare que Marseille soutiendra le gouvernement républicain qui siège dans la capitale. Il demande à la population de maintenir l’ordre dans la cité. Il prêche la conciliation mais affirme que la commission départementale restera en poste jusqu’à ce que la lutte entre Paris et Versailles soit terminée.
Le 27 mars, trois délégués de la Commune de Paris sont envoyés à Marseille pour consolider le mouvement insurrectionnel : Landeck, chef de la délégation, est membre du Comité central de la Garde nationale parisienne, Amouroux , membre de la Commune et Albert May, dit Séligman, mais il faut ajouter Méguy au groupe. Comme « les trois mousquetaires », les trois délégués étaient donc quatre. Landeck nomme Pélissier, ancien brigadier de cavalerie, général des insurgés.
Les divergences entre le Conseil municipal et la Commission départementale affaiblissent l’action et le pouvoir de la Commune de Marseille. Le manque de cohérence dans la direction des opérations militaires déroute les révolutionnaires. Le 28 mars, le général Espivent, farouche partisan de Versailles, déclare le département des Bouches-du-Rhône en état de siège. Le 31 mars, la Commission départementale dissout le Conseil municipal et annonce des élections pour le 5 avril. Le 3 avril, la Commission départementale réduit le montant des loyers. Dans la matinée du 4 avril, les chasseurs de Vincennes et les marins de deux navires de guerres amarrés dans le port, tirent sur la Garde nationale et les garibaldiens, ils attaquent la Préfecture.
Les canons installés sur les hauteurs de Notre-Dame-de-la-Garde pilonnent la ville. Ceux des deux navires de guerre sont braqués sur la cité. La Préfecture a été bombardée pendant sept heures. Les insurgés doivent se rendre et le matin du 5 avril à 7 heures, le calme est revenu.
Dans la soirée du 7 avril, Gaston Crémieux est arrêté chez le gardien du cimetière juif où il s’était réfugié. [1] II est incarcéré au Fort Saint-Nicolas. Le procès des insurgés de la Commune de Marseille débute le 12 juin 1871 dans la grande salle du tribunal de police correctionnelle, devant le premier conseil de guerre présidé par le lieutenant-colonel Thomassin du 48ème de ligne.
Le premier accusé est Gaston Crémieux ; son avocat est Me Sicard. Le point de départ de l’accusation, ce sont les paroles qu’il a prononcées à la séance de « l’Eldorado » le soir du 22 mars. Il répond : « Je n’ai prononcé que des paroles de paix et de conciliation, appelant les uns et les autres à la modération ». Le magistrat lui reproche sa présence à la Préfecture. Il riposte : « Ce n’est pas par ambition que je suis resté à la Préfecture, c’est uniquement par conviction ».
Le 28 juin, le colonel Thomassin clôt les débats. Les accusés sont transférés au Fort Saint-Nicolas. Le greffier leur donne lecture de la sentence : Crémieux, Pélissier et Etienne (portefaix, membre de la Commission départementale) sont condamnés à mort. Le 7 juillet à trois heures du matin, les prisonniers sont conduits à la prison Saint-Pierre. Le statut de prisonnier politique leur a été accordé, les réclamations formulées en raison des mauvaises conditions d’hygiène de leur détention ont été prises en considération, le fait est assez rare pour mériter d’être signalé.
Au parloir Noémie lui fait part de son séjour de cinq jours à Paris. Adolphe Crémieux (Garde des sceaux du gouvernement de la défense nationale) est venu l’attendre à la gare. Il fera tout son possible pour la libération de Gaston.
Le 26 juillet, Adolphe Crémieux envoie un télégramme à Noémie pour l’inviter à se rendre à nouveau à Paris au sujet de son mari et de démarches à accomplir. Mais le 15 septembre, la Cour de cassation rejette tous les pourvois. Le 21 septembre, Landeck, qui a réussi à se réfugier à Londres, dans une lettre publiée dans Le Courrier de la Gironde et reprise par Le Petit Marseillais assume la responsabilité totale de la direction du mouvement communaliste et déclare que Crémieux, Pélissier et Etienne ne sont pas coupables.
Gaston Crémieux, dans sa prison, se consacre à la rédaction de sa pièce de théâtre Le Neuf Thermidor ou la mort de Robespierre, drame en cinq actes en vers.
Le 24 novembre le quotidien Qui vive publie la décision de la Commission des grâces : seuls Etienne et Pélissier sont graciés. Le recours de Crémieux est rejeté.
Dans la nuit du 29 au 30 novembre, Crémieux est transféré de la prison Saint-Pierre au fort Saint-Nicolas. Il croit encore à la commutation de sa peine - la veille son épouse lui a dit qu’il était sauvé -, mais le greffier lui annonce que sa grâce a été rejetée. Dans une de ses dernières lettres à sa femme, il s’épanche :
« Ma chère Noémie,
Cette nuit, j’ai terminé un acte que je voulais te lire. Hélas ! tu le liras sans moi. Ici, en face de la mort, en présence de notre bon rabbin, M. Vidal, j’ai recopié à la hâte le brouillon que j’avais écrit. Il en restera un tableau de la Convention et quelques vers de l’épilogue. Mais telle qu’elle est, cette oeuvre est faite. C’est mon patrimoine, le travail de ma captivité. Je te la lègue. […]. »
Le 30 novembre au matin, Gaston Crémieux écrit ses toutes dernières lettres et les remet au rabbin Vidal ainsi que le manuscrit du Neuf Thermidor : « Je n’ai jamais vu un homme aussi courageux que vous devant la mort ; on parlera de vous comme un héros » déclare le rabbin.
Gaston Crémieux et le rabbin Vidal le jour de l’exécution, au pharo, le 30 novembre 1871 (Musée du vieux Marseille)
Il est cinq heures, Crémieux prend un peu de repos avant le départ en direction du Pharo. A peine arrivé, il s’adresse au peloton d’exécution : « Mes amis, j’ai une recommandation à vous faire. Comme il est probable que mon corps sera rendu à ma famille après l’exécution, je vous prie de ne pas de défigurer. Visez droit au cœur. Je vous montrerai ma poitrine. Ayez du courage comme j’en ai. »
Il se place devant le peloton, commande « Feu ! » crie « Vive la Républi… » et tombe à la renverse, un peu incliné sur le côté droit. Le médecin, ayant tâté le pouls, déclare que c’est fini.
Après de longues années de silence, le Parti communiste organisa une grande manifestation, le dimanche 2 décembre 1923 : l’Humanité du 29 novembre 1923 (édition de la région Bouches-du-Rhône) a publié la déclaration du Parti communiste :
« Aux travailleurs marseillais,
Le 20 novembre 1871, le Communard marseillais Gaston Crémieux était fusillé au Pharo, sur l’ordre du gouvernement de la troisième République […]
La Commune insurrectionnelle de 1871 fut une des plus glorieuses pages de l’Histoire du prolétariat français. Fidèle à la tradition révolutionnaire, la Fédération communiste invite les travailleurs marseillais à la mémoire de Gaston Crémieux […] »
Le lendemain, dans l’Humanité, Gabriel Péri rendait un émouvant hommage à l’avocat marseillais :
C’est donc un drame Le neuf thermidor ou la mort de Robespierre qui révèle le mieux les profondes convergences entre Gaston Crémieux et l’Incorruptible. Ils ont tous deux le même sens du devoir et du patriotisme. La suppression de la misère des classes laborieuses et le triomphe de la liberté et de la justice ont été leurs passions dominantes. Il y a tout de même une différence entre les deux personnages. Alors que Crémieux est hostile à toute violence, Robespierre a participé à la Terreur, considérée comme nécessaire pour éliminer les complices des puissances étrangères qui voulaient envahir la France et rétablir la royauté. Mais à Saint-Just qui veut poursuivre la terreur contre les nouveaux riches sans principes, Robesierre réplique par la plume de Crémieux ;
« Saint-Just, nous avons vu s’écrouler le vieux monde Après avoir détruit, il est temps que l’on fonde La Terreur nous apprit à ne rien redouter, Elle a fini sa tâche, elle doit s’arrêter. »
Dans sa pièce de théâtre, Crémieux fait ressortir le contraste frappant entre la demeure modeste du menuisier Duplay et la maison à l’ameublement somptueux et esthétique de Collot d’Herbois. Chez les Duplay, Robespierre est accueilli avec joie par une famille de fervents jacobins. Il va s’éprendre d’une des filles, Eléonore « au caractère droit et fier ». Elle lui témoignera beaucoup d’affection et de dévouement. Leur mariage était prévu pour le 9 thermidor ; le sort, hélas, leur réserva un autre destin !
Dans l’œuvre posthume de Gaston Crémieux, les écrits « avant les mauvais jours » sont consacrés à l’amour et aux luttes sociales. « Les serments » illustrent les regrets d’un amour déçu, les deux premières strophes font pense à l’humour doux-amer de certaines chansons de Béranger : Mais, parmi toutes ses œuvres, Le neuf thermidor et la mort de Robespierre conserve notre préférence.
Marcel Cerf
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Pourvoyeuse de richesses, la Garonne loin d'être un long fleuve tranquille peut devenir un véritable fléau car elle est à la confluence de deux types de crues, méditerranéennes ou atlantique. Elle reçoit ces crues généralement en alternance ou peut même les cumuler. En effet lorsque le Tarn et la haute Garonne sont au plus haut alors la Garonne peut devenir le fleuve de France le plus dévastateur. Il arrive que des crues épargnent Toulouse et d'autre se réduisent avant d'arriver à Bordeaux, aucune n'épargne Agen qui devient ainsi la ville la plus inondée de France. Tout cela s'est vérifié au cours des siècles passés.
Grégoire de Tours et Frédégaire rapportent qu'il y eut 8 grandes inondations entre l'an 580 et l'an 592. Aucune indication sur les crues des 6ème et 7ème siècles. Nouvelles inondations mentionnées en 809,815,821,826,841,852,868,886,891. Guerres, invasions, pillages, épidémie, intempéries, et inondations étaient le lot des agenais à cette époque.Les crues de la Garonne se succèdent à un rythme soutenu: 1003,1012,1029,1037,1119,1120,1131,1168,1175,1196,1206,1212,1219,1126,1277,1280, 1295,1306,1338,1347,1356,13621375,1381,1407,1414,1421,1426,1427,1428. Mais l'inondation la plus importante fut celle du mois d'octobre 1435 ou il est raconté que les bateaux naviguaient par dessus les murs de la ville, l'eau entrait par la porte de la Garonne jusqu'aux jacobins puis atteignait la porte du pin. Nouveaux débordements de la Garonne en 1471 -1476 - 1493 et en novembre 1496 . Le 16ème siècle commence par la grande inondation de 1501, puis se répète en 1527, 1544, 1548, 1557, 1561, 1566, 1570, 1571, 1590. La dernière crue de ce siècle eut lieu en 1599, crue centennale qui détruit une partie des murs de la ville près de l'église Sainte Hillaire actuelle. A ces inondations s'ajoutent les famines et la peste qui sévit en 1494, 1510, 1511, 1515, 1531 et 1555. Au XVIIème la première crue,une crue centennale a lieu le 22 novembre 1604.La Garonne détruit 4 ponts, les murailles fortifiées et des maisons dans les quartiers St Georges et St Antoine à Agen . Ensuite janvier 1616, février 1618, 1623, 1633, 29 et 30 mars 1636, 21 et 22 mars 1640, 24 février 1641, 25 novembre 1645, 11 avril 1646, 9 décembre 1647, 1er mars 1648, crue violente par sa rapidité. le 25 juillet 1652 la Garonne envahit la ville jusqu'au collège des Jésuites. Lors des inondations du 18 février 1665, le fleuve ne revient dans son lit que le 10 mars. Les dernières crues du grand siècle eurent lieu en juin 1668, juillet 1678, 1690 et 1693. Au 18ème siècle les Premières crues démarrent en 1707 et 1709, à la suite d'hivers rigoureux puis février 1711, inondations générales en France dues à des pluies diluviennes, 11 juin 1712 en pleine foire du Gravier. Ensuite 25 avril 1725, 19 janvier 1728, 10 février 1729, 27 mai 1733, 15 mai 1735, février 1736, janvier et 26 avril 1738, 28 décembre 1740 grande crue causant beaucoup de dégâts, 17 mai 1743, 4 crues la même année soit 13 février - 21 avril - 8 août - 7 septembre 1749, 3 août 1750, 27 avril 1751, 23 mai 1755, 11 novembre 1766, 3 janvier 1768, 17 janvier 1768. Puis vient La crue du siècle des Rameaux le 5 avril 1770. Neuf jours de pluies torrentielles et de vents violents firent fondre les neiges des Pyrénées voisines. Rapidement la Garonne se mit à grossir, envahissant le Gravier dès le 5 avril. Le vendredi 6 avril, le fleuve entrait dans la ville, renversant le mur d'enceinte entre les portes St Antoine et St Georges. Le couvent et l'église des Cordeliers furent envahis, ainsi que les Augustins et les religieux évacuèrent les couvents. L'eau passait sous les Cornières, encerclait la place du Marché, envahissait les rues Puits du Saumon, St Hilaire et de la Grande Horloge... Les maisons des rues Fon de Raché, Quillou, Maillé, Garonne et St Antoine étaient sous les eaux. Même situation à la Petite Boucherie, au croisement de Cajarc avec les rues Molinier, Grenouilla et des Arènes. Des radeaux furent construits à la hâte pour porter secours et distribuer des vivres aux habitants de ces quartiers, parfois réfugiés sur le toit de leurs maisons. Le samedi 4 avril, le niveau de l'eau commença enfin à décroître et le Gravier réapparut. Durant ces 3 jours de grande crue, on vit passer sur les eaux boueuses et déchaînées, des arbres déracinés, des barriques, des charrettes, des animaux et même des humains surpris dans leur maison par la montée des eaux. Les dégâts furent important. Après cette crue dévastatrice, les crues suivantes des 20 mars 1771, 8 décembre 1772, 31 mai 1777, 30 janvier 1791, 26 décembre 1791, 12 février 1793, paraissent bien insignifiantes.
La première crue du 19 ème siècle eut lieu le 17 décembre 1801, puis suivirent 1802 5 grandes crues successives en février et mars, 5 au 11 février 1807, 15 février 1811, 20 mai 1811, 22 et 23 octobre 1813, 18 janvier 1814, 23 avril 1816, 10 mars 1823, 22 décembre 1825, 8 janvier 1826, 22 mai 1827, 29 mai 1829, 5 février 1833, 31 mai et 1er juin 1835 encore une fois au moment de la Foire, les baraques de la foire furent emportés ainsi que le cirque installé sur la place, puis 30 avril 1837, 6 février 1839, 5 avril 1841, 3 mai 1842, , 13 janvier, 21 février, 3 mars, 2 mai 1843, 9 janvier-9 février-29 février-1er mars 1844, janvier 1845, 16 avril 1948, juin 1848, 2 avril 1850, 9 février 1853, 12 juin 1854, 16 mars 1855, 23 mai 1855, 4 et 20 juin 1855, 1856, 17 janvier 1865, 25 septembre 1866, 20 octobre 1868, 31 juillet 1872, 21 octobre 1872, du 20 au 25 janvier 1873 , du 28 février au 3 mars 1873 , le 13 mars 1873, du 3 au 21 avril 1873, le 15 juin 1874.
La crue du siècle de juin 1875 Après 3 jours de pluies torrentielles aggravées par la fonte des neiges dans les Pyrénées, dans la nuit du mercredi 23 au jeudi 24 juin 1875, l'eau atteignait 11,75m avec un débit de 8000 m3/s. C'est le maximun mesuré jamais atteint. La montée des eaux est de 20 cm/heure . La rue Maillé, St Hilaire, St Antoine, le Quartier des Augustins, la Cathédrale, Ste Foy, les rues du Pin, St Jean, la Plateforme, la Préfecture, les Cornières; Sont épargnées l'église et le quartier des jacobins, le lycée Chaumié, la Halle et la rue des Colonels Lacuée. La Garonne un gigantesque grand lac. Un courant violent déferle sur le Cours St Antoine dans la direction du Pont Canal. Sur le fleuve, on voit passer des meules de fourrages, des animaux, des arbres déracinés. L'eau s'étend jusqu'aux terrassements du Chemin de Fer, et la circulation des trains est interrompue entre Toulouse et Agen. Vue du coteau de l'Hermitage, toute la ville d'Agen est envahie par les eaux. il y aura 30 victimes dont certaines ne seront jamais retrouvées.
Les dernières crues du 19 ème siècle, 25 février 1879, avril 1888, 2 janvier 1889, 4 mars 1890.
Les crues du 20 ème siècle
Les premières crues réellement dommageables du siècle ont eu lieu en mai 1918, puis le 7 février 1919, le 31 mars 1927, le 14 décembre 1927.
La crue de mars 1930
La première grande crue de ce siècle ! Grossie par le Tarn, l'Aveyron et L'Agout, la Garonne envahit Moissac, Montauban et Agen. L'eau montera jusqu'à 10,86 mètre en quelques heures et dévastera la ville d'Agen qui une nouvelle fois se trouvera sous l'eau à l'exception des Jacobins, du Marché et du Collège Chaumié. Certains quartiers sont rapidement envahis par l'eau débouchant des égouts. Les flots se précipitent dans les quartiers de Sembel et de la Palme avec la force d'un torrent et inondent toute la Ville.
En plus des dégâts matériels, on déplore 5 morts sur Agen.
Le même scénario va se reproduire une vingtaine d'années plus tard en février 1952.
Cette crue se rapproche du record de celle de 1930 (10,55 m contre 10,86 m). Les eaux montent donc, régulièrement, rapidement de l'ordre de 10 cm à l'heure. La crue arriva sur le boulevard de la république, rue grande horloge. Boulevard Scaliger l'eau s'arrêtait devant l'église Sainte Hillaire; Rue Palissy, l'eau envahi le commissariat de police alors que la cour de la cité administrative était sous les eaux. Dans la ville l'eau atteint des zones que l'on croyait à l'abri, a remonté l'avenue Michelet, inondée jusqu'à la route de Toulouse. Inondé aussi le lycée Palissy alors qu'au carrefour de Jayan, c'était dangereux car il y avait un gros tourbillon.
Le gravier sera sous les eaux le 21 mai 1977 et le 15 décembre 1981.
La dernière crue en janvier 2014 a été limité à la voie sur berge car la digue a permis de protéger la ville d'Agen.
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