#Willy Schraen
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Frankreichs Weigerung, die Sonntagsjagd zu verbieten, verärgert Jagdgegner
Frankreichs Weigerung, die Sonntagsjagd zu verbieten, verärgert Jagdgegner
Die französische Regierung hat Anti-Jagd-Aktivisten verärgert, nachdem sie sich geweigert hatte, die Jagd an Sonntagen während der Saison zu verbieten. Stattdessen hat sie ein Verbot des Alkoholkonsums und der Einnahme von Drogen während der Jagd erklärt, ein Schritt, der laut Aktivisten nicht durchsetzbar ist. Bérangère Couillard, Umweltministerin, sagte, Jagdorganisatoren müssten sich einer…
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L’ancien député béarnais, deux fois candidat à l’élection présidentielle, va mener cette liste pour « défendre la cause rurale », selon le président de la Fédération nationale des chasseurs, Willy Schraen. Ce dernier est troisième sur la liste.
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Européennes 2024 : à peine lancée, la liste « ruralité » soutenue par Macron pour piquer des voix au RN est déjà en crise. Son co-initiateur, Thierry Coste, claque la porte. (MàJ)
23/01/24 Il claque la porte en pleine crise du secteur agricole à quatre mois du scrutin européen. Le lobbyiste pro-chasse Thierry Coste, proche du patron des chasseurs Willy Schraen, a indiqué ce mardi 23 janvier qu’il ne soutenait plus sa liste « Alliance rurale » lancée en vue des élections européennes. Il critique la stratégie et notamment le « silence » de ce dernier sur la crise…
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Le chef de l'État fait les yeux doux au monde rural avant les européennes. Au risque de froisser les écologistes et son propre ministre Nicolas Hulot. Le Figaro vous révèle les scénarios envisagés par le rapport qui lui sera remis en juin.
Président des villes et, en même temps, président des champs. Emmanuel Macron s'apprête à lancer la grande réforme de la chasse promise au monde rural durant sa campagne. Pour cela, il a confié au secrétaire d'État à la Transition écologique et solidaire, Sébastien Lecornu, la tâche de faire la tournée de toutes les parties prenantes. Au sein du gouvernement, l'élu de l'Eure est un spécialiste des dossiers minés - fermeture de la centrale de Fessenheim, suivi du centre d'enfouissement des déchets nucléaires de Bure, gestion des retards de l'EPR de Flamanville… Sébastien Lecornu s'attaque, cette fois, à une réforme potentiellement explosive au regard des tensions entre les trois publics concernés: les chasseurs, bien sûr, mais aussi les écologistes et les agriculteurs, dont les intérêts ne convergent jamais en même temps. «La réforme de la chasse, c'est la boîte à baffes, assure un fin connaisseur de la ruralité. L'ouvrir, c'est le meilleur moyen de mécontenter tout le monde. Ce n'est pas un hasard si la dernière réforme sur le sujet remonte à Lionel Jospin.»
Cette mission va accoucher d'un rapport qui doit être rendu en juin au président de la République. Le document proposera plusieurs scénarios dont Le Figaro vous révèle les grandes lignes. D'abord, une remise à plat des règles d'«accessibilité» au monde de la chasse. Actuellement, la plupart des chasseurs possèdent un permis départemental. Moins cher que la validation nationale, il ne permet toutefois pas de pratiquer cette activité loin de chez soi. Or, une nouvelle catégorie de chasseurs est en train d'apparaître: celle des jeunes urbains partis s'installer à la campagne, qui chassent peu souvent mais sont mobiles et cherchent à découvrir de nouveaux terrains de jeu. Comme annoncé il y a quelques semaines, le pari du gouvernement est de revoir à la baisse le prix du permis de chasse national. Aujourd'hui, il s'établit, en moyenne, à 400 euros. Il pourrait descendre en dessous de 200 euros demain. «Le principe de la baisse est acquis», confirme-t-on au sein de l'exécutif.
« Le principe de la baisse [du permis de chasse national] est acquis»
Parallèlement, le gouvernement veut instaurer une «gestion adaptative des espèces». En clair: au lieu d'interdire de chasser certains animaux sur des périodes de plusieurs années, les restrictions seraient revues et corrigées chaque année, après un état des lieux établi par des scientifiques. Les chasseurs seraient également tenus de transmettre les quantités abattues. Enfin, les ONG seraient sollicitées pour rendre compte de l'évolution des écosystèmes locaux. «Il s'agit d'éviter l'effet “cliquet”, décrypte un proche du chef de l'État. Avec le système actuel des moratoires, quand une espèce est protégée, il devient presque impossible de revenir en arrière. Même si, entre-temps, elle a proliféré.»
Qui dit nouvelles règles dit nouvelles formes de contrôle. L'exécutif prône la création d'une «police rurale et environnementale». Celle-ci se substituerait aux différents corps qui quadrillent actuellement les territoires ruraux. Elle serait mobilisable par les préfets et par les maires. Son action porterait aussi bien sur le suivi des périodes de chasse que sur les atteintes à l'environnement. L'idée du gouvernement est d'arriver à surmonter la traditionnelle opposition entre écolos et chasseurs.
» LIRE AUSSI - Chasse: cinq points de discorde entre «pro» et «anti»
En coulisses, trois hommes ont joué un rôle clé dans la conversion d'Emmanuel Macron. D'abord, le président du groupe LaREM au Sénat, François Patriat. Ancien président de la région Bourgogne, il est un soutien historique du chef de l'État. Ensuite, Willy Schraen, le puissant président de la Fédération nationale des chasseurs, dithyrambique sur le locataire de l'Élysée: «Nous avons déjà fait beaucoup plus avec Macron qu'avec tous les anciens chefs de l'État réunis, souligne-t-il. On est sur une écoute, sans démagogie, avec de véritables projets à la clé.»
Puissants relais d'opinion
Plus étonnant, le chef de l'État est également conseillé par l'inoxydable Thierry Coste, qui fut la plume de Nicolas Sarkozy puis de François Hollande en matière de chasse. «Je suis un Machiavel rural», plaisante-t-il à moitié en se disant fier de sa capacité à «mobiliser les réseaux de chasseurs».
Une aide précieuse pour Emmanuel Macron qui, dans cette histoire, n'est pas dénué d'arrière-pensées politiques. Hors de Paris, les fédérations départementales sont de puissants relais d'opinion. Les chasseurs représentent une population de 1,1 million de personnes mais concernent indirectement plus de 5 millions de Français. Un électorat qui a penché fortement ces dernières années du côté de LR et du FN.
Comment convaincre l'écologiste Nicolas Hulot de cautionner une réforme si favorable aux chasseurs ?
Face à ce public, Emmanuel Macron espère bien pouvoir se présenter l'année prochaine, à l'orée des élections européennes, avec quelques trophées dans sa besace. Et pourquoi pas l'assouplissement des restrictions européennes pesant sur la chasse aux oies cendrées ou aux cormorans? Deux espèces qui, protégées par des réglementations européennes, ont proliféré ces derniers temps. «En France, il est interdit de chasser les oies cendrées en février pour les laisser migrer. Mais quand elles arrivent aux Pays-Bas, comme elles massacrent les terres agricoles, on en tue 150.000. Il y en a tellement qu'il faut presque y aller à la sulfateuse. Pourquoi ne pas autoriser à les chasser directement en France?», se demande un chasseur. Le problème se pose aussi pour la pêche du bar par exemple.
Sur ce volet européen du dossier chasse et pêche, Emmanuel Macron a demandé à ses équipes diplomatiques d'engager des discussions avec pour consigne d'aboutir rapidement, si possible avant l'automne. Mais la difficulté est aussi hexagonale et très politique. Comment convaincre l'écologiste Nicolas Hulot de cautionner une réforme si favorable aux chasseurs?
Cette semaine, le ministre d'État vient d'avaler une énième couleuvre avec le rejet de l'amendement de l'un de ses proches, le député LaREM Matthieu Orphelin, sur l'interdiction du glyphosate. Cela avait déjà été compliqué pour l'ex-animateur d'Ushuaia d'accepter que le chef de l'État prenne la défense de la chasse à courre. Sans oublier son souhait de tirer profit des chasses présidentielles comme d'un outil diplomatique. Dans la perspective du sommet franco-italien de Chambord, l'année prochaine, à l'occasion du 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci, une battue présidentielle a déjà été organisée en présence d'industriels italiens et d'élus comme le maire de Venise. Une pilule d'autant plus amère pour Hulot qu'il a la tutelle sur la chasse, Lecornu n'étant que son secrétaire d'État.
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INFO THE DEPECHE. Hunting: damage caused by game, new ammunition... Emmanuel Macron's new gifts to hunters
INFO THE DEPECHE. Hunting: damage caused by game, new ammunition… Emmanuel Macron’s new gifts to hunters
the essential National secretary of the hunting federation, the Tarn-et-Garonnais Thierry Cabanes accompanied the president of the FNC Willy Schraen Monday afternoon at the Elysée Palace. For 1h40, the two men exchanged with Emmanuel Macron on the future of hunting and the subjects which concern hunters. The cost of game damage to crops, the banning of lead shotgun shells near wetlands and…
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Willy Schraen réclame "la même tolérance" pour les chasseurs que pour les végans et les végétariens https://ift.tt/a5E3Ts9
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"Les chasseurs ne peuvent pas devenir policiers": après avoir proposé un rôle de "police de proximité", Willy Schraen s'explique sur RMC https://t.co/Pv4oRCgMC0
— razki030775 (@razki030775) Nov 15, 2021
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Emmanuel Macrons Geschenke an die Naturschänder
Emmanuel Macrons Geschenke an die Naturschänder
Zweimal hatte die Website Lanceuralerte.org den nationalen Jägerverband aufgefordert, seine Konten offenzulegen. Dies ist eine gesetzliche Verpflichtung. Die Hobby-Jäger unter Präsident Willy Schraen liessen sich jedoch lange bitten und zögerten die Veröffentlichung hinaus. In diesem August jedoch kamen sie der Aufforderung nach und veröffentlichten die Konten von 2017 bis 2021. Und was die…
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Coups de gueule - L'actu de Pierre Thevenin
Coups de gueule – L’actu de Pierre Thevenin
Willy Schraen -Des précisions trouvées dans « Le Canard » du mercredi 3 novembre, (rubrique « Le mur du çon », la bien nommée) à propos de l’accident de chasse survenu entre Rennes et Nantes : déclaration de Willy Schraen : « Vous allez faire un million de fois ce coup de carabine, vous ne blesserez jamais personne, et là la balle a ricoché, a pris des trajectoires impossibles, a traversé des…
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Sa décision de quitter le gouvernement planait depuis des mois, mais c'est une réunion avec les chasseurs à l'Élysée, lundi, qui a précipité les choses. Récit.
La cartouche de trop. Quand Nicolas Hulot arrive à l'Élysée, lundi, il n'imagine pas que son destin est en passe de basculer, le poussant à prendre la «décision la plus douloureuse» de sa carrière. Il est 16 heures et Emmanuel Macron n'apparaît toujours pas, enfermé dans une réunion qui s'éternise avec la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Avant de monter au premier étage, Nicolas Hulot patiente, accompagné de son secrétaire d'État Sébastien Lecornu. C'est ce dernier qui a imaginé l'architecture de la réforme, dans le but de contenter les deux camps antagonistes. Pour les chasseurs, des permis à moitié prix et une refonte du système des quotas d'animaux chassables. Pour les défenseurs de la nature, une charte éthique sur la chasse à courre - un chevreuil sera «gracié» s'il se retrouve dans une zone habitée. Une police rurale voit le jour contre les atteintes à l'environnement.
Sur le papier, Nicolas Hulot juge l'accord acceptable. D'autant que les mesures ont été préparées par les services de son ministère. Depuis qu'il exerce le pouvoir, l'écologiste apprend, non sans mal, l'art des «petits pas», la gymnastique frustrante des compromis. Si cela ne tenait qu'à lui, il aurait fait interdire les chasses traditionnelles… «Quand tu es ministre, tes convictions, tes ressentiments et tes sentiments sur une pratique, tu les mets de côté. Ou alors tu deviens pape», confie-t-il à Jean-Luc Bennahmias, l'ancien patron des Verts qui sort, ces jours-ci, un livre intitulé Les Paradoxes de Monsieur Hulot.
La coupe est pleine
Pourtant, le ministre se sent rapidement mal à l'aise: il découvre que la délégation des chasseurs est pléthorique. Autour du président de la fédération nationale, Willy Schraen, se trouvent deux patrons de fédérations départementales, plus deux autres personnalités qu'il n'aime guère. D'abord, le sénateur LaREM de Côte-d'Or François Patriat. Un intime du président. Une fine gâchette qui avait conseillé au président d'aller fêter ses 40 ans au domaine de Chambord. Ensuite, le lobbyiste des chasseurs Thierry Coste, qui fut la plume de Nicolas Sarkozy puis de François Hollande sur ces sujets. Il travaille aussi pour le comité Guillaume Tell, qui défend les intérêts des utilisateurs légaux d'armes à feu.
Dans le Salon vert, près du bureau présidentiel, la réunion commence enfin. Pendant deux heures, assis à la gauche du chef de l'État, il assiste alors, estomaqué, au spectacle d'un Emmanuel Macron qui multiplie les amabilités en direction des chasseurs, dont il convoite manifestement le vote pour les européennes. L'hôte des lieux prend son temps. Des huissiers entrent, qui lui rappellent son rendez-vous suivant. Le président les ignore… «Vers la fin, Nicolas Hulot était tendu, raconte un participant. Mais, en même temps, il est toujours tendu…»
» LIRE AUSSI - Démission de Hulot: les oppositions pointent l'affaiblissement de Macron
En sortant, les chasseurs ne cachent pas leur satisfaction. Devant les caméras, ils vantent une «journée historique pour la ruralité». Depuis le matin, ils ont lancé une campagne d'affichage intitulée «Les chasseurs, premiers écolos de France»… La coupe est pleine pour Hulot. Lui qui accepta pour Macron ce qu'il avait refusé pour ses prédécesseurs, en entrant dans un gouvernement, se sent floué. En quittant la rue du Faubourg-Saint-Honoré, tourneboulé, il annule sa participation à une interview sur la chasse prévue dans les pages du Figaro, pourtant confirmée trois heures avant. Il file à l'hôtel de Roquelaure, boulevard Saint-Germain, et monte en courant les marches de son ministère.
Commence alors une de ses introspections vertigineuses dont l'ex-présentateur a le secret. «La nuit, je refais le procès de la veille, racontait-il dans Le Point, en 2017. Je revois mes confrontations, quand je n'ai pas obtenu gain de cause.» Le lendemain matin, il doit s'exprimer dans la matinale de France Inter. «À chaque émission radio, depuis quatorze mois, on se demande s'il va sortir du gouvernement, glisse un conseiller ministériel. Alors, on n'était pas plus inquiet que d'habitude…»
«Je ne veux plus me mentir»
Mardi 28 août, cette fois, c'est la bonne. Au micro, Nicolas Hulot annonce sa démission, sans qu'on sache s'il avait prémédité son coup d'éclat. Il regrette l'inertie de la société face à l'urgence environnementale. «Je ne veux plus me mentir, je ne veux pas donner l'illusion que ma présence au gouvernement signifie qu'on est à la hauteur sur ces enjeux-là», lance-t-il. Et de poursuivre: «Je ne regrette pas d'avoir accepté mais je n'avais peut-être pas les épaules pour être ministre.»
» LIRE AUSSI - Les écologistes saluent la démission de Nicolas Hulot
Personne n'a été prévenu au sommet de l'État. Ni Emmanuel Macron, qui s'envole pour le Danemark, ni Édouard Philippe, abasourdi, à Matignon. Un simple SMS lui parvient bientôt, envoyé par l'écologiste en quittant la Maison de la radio. Les ministres sont également mis devant le fait accompli. Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux regrette un «manque de courtoisie». Marlène Schiappa, de son côté, ne veut pas en croire ses oreilles. Au fond, ils accusent le coup, eux qui savent un remaniement possible. «Wait and see. Personne n'en connaît l'ampleur. À part un homme», glisse un membre du gouvernement.
Le ministre le plus connu du gouvernement rentre, lui, faire ses cartons. Il convoque dans la matinée ses deux secrétaires d'État, Brune Poirson et Sébastien Lecornu, pour un échange privé, puis réunit les personnels du ministère dans les jardins pour ses adieux. Voilà, il n'avalera plus de couleuvres. Il l'avait promis, lors de ses vœux: «Je n'aurai pas le temps en 2018 de m'occuper de ces animaux dont certains pensent que je les élève… Si je suis très à l'aise avec les grands mammifères, j'ai de la répugnance pour les reptiles.»
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💝BRAVO💝 MADAME BRIGITTE BARDOT 💋DE DIRE LA VÉRITÉ 💒🙏💓🙏SOUTIEN💜
Brigitte Bardot, connue depuis longtemps pour son engagement en faveur de la cause animale, a été convoquée devant la justice, comme le rapporte le journal Le Figaro. Elle devra se présenter devant le tribunal d’Arras le 9 février 2021. La raison ? Ses propos tenus contre le président de la Fédération de chasse, Willy Schraen, en octobre 2019. L’ancienne star du cinéma français avait en effet…
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Pour Willy Schraen, président de la Fédération Nationale des Chasseurs, "cette écologie qui veut interdire tout" est "dangereuse" https://ift.tt/3vVHnSB
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Französische Petition gegen Jagdgegner hat 100'000 Unterschriften
Französische Petition gegen Jagdgegner hat 100’000 Unterschriften
Eine vom Präsidenten des militanten Jägerverbands am 15. Februar auf der Plattform des Senats gestartete Petition, die sich gegen Anti-Jagd-Aktivisten richtet, hat in weniger als sechs Monaten 100’000 Unterschriften erreicht. Eine Bedingung für den Senat, um sich mit der Materie zu beschäftigen. An jagdfeindliche Aktivisten gerichtet fordert Willy Schraen in dieser Petition unter anderem „eine…
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