#Violences contre les femmes
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rojinfo · 1 year ago
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Féminicide à Mardin : une femme de 45 ans tuée par son mari
Hindirîn Aydoğan a été tuée par son mari après plusieurs jours de maltraitance dans leur appartement situé à Kiziltepe, dans la province kurde de Mardin, au Nord-Kurdistan. Un crime dénoncé par le mouvement des femmes kurdes qui entend renforcer son combat contre les féminicides. Le féminicide s’est produit à Kiziltepe (Qoser), dans la province kurde de Mardin (Merdîn). La victime, Hindirîn…
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mots-pour-maux · 1 year ago
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Aujourd’hui, nous sommes le 25 novembre !
Aujourd’hui c’est la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Sensibilisons-nous à ce problème mondial et engageons-nous à mettre fin à la violence…
en soutenant les victimes,
en promouvant l'égalité des genres et
en encourageant les politiques de prévention.
Ensemble, créons un monde où les femmes sont respectées, protégées et libres de vivre sans crainte de violence !
#SeTaireEstMortel
#LibererEtRespecterLaParoleDesVictimesEstNotreResponsabiliteATous
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lasaraconor · 2 years ago
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in 12 feminicides it's Christmas 
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soirinfotchad · 1 year ago
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Zoom sur les violences contre les femmes au Tchad.
Au Tchad, les femmes sont souvent victimes de différentes formes de violence, comme les violences domestiques, sexuelles et économiques
Au Tchad, les femmes sont souvent victimes de différentes formes de violence, comme les violences domestiques, sexuelles et économiques. Cet article examine les raisons de ces violences faites aux femmes. Violence domestique La violence la plus fréquente que subissent les femmes tchadiennes est la violence domestique. Celle-ci se manifeste par des attaques, des violences verbales et…
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feministesvscyberh · 2 years ago
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CYBERVIOLENCE ET CYBERHARCÈLEMENT : LE VÉCU DES VICTIMES
À la suite de son enquête nationale « Cyberviolence et cyberharcèlement : état des lieux d’un phénomène répandu », notre association Féministes contre le cyberharcèlement publie les résultats d'une enquête auprès des victimes de violences en ligne, « Cyberviolence et cyberharcèlement : le vécu des victimes », conduite à sa demande par l’institut de sondage IPSOS auprès de 216 victimes de cyberviolence âgées de 16 à 60 ans et plus, du 30 septembre au 2 novembre 2022. L’impact de ces violences sur la vie et la santé des victimes est encore peu documenté, c’est ce constat qui nous a incitées à questionner directement les victimes de cyberviolences sur leurs parcours. Or, les résultats de cette enquête réalisée avec le soutien de la Fondation Kering et du Fonds pour les Femmes en Méditerranée dressent un état des lieux alarmant et soulignent le caractère genré de ces violences ainsi que leurs conséquences délétères. 
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UN PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE
Les données collectées auprès des victimes de cyberviolences dessinent une situation d’urgence sanitaire et sociale. Comme le pointait la précédente enquête nationale de l’association, ces violences sont répandues : plus de 4 Français·es sur 10 qui déclarent avoir été victimes de cyberviolences. Elles visent surtout les personnes les plus vulnérables ou discriminées et le phénomène touche en particulier les 18-24 ans, qui sont 87% à en avoir subi, les personnes LGBTQI+ (85%), les personnes racisées (71%) et les femmes de moins de 35 ans (65%). 
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D’ailleurs, parmi les répondant·es de l’enquête auprès des victimes on retrouve en majorité des femmes (84% des répondant·es) ainsi que des personnes discriminées en raison de leur identité de genre et leur orientation sexuelle (43%). Dans plus d’1 cas sur 2 (51%) la victime était âgée de moins de 30 ans au moment des faits. Quant à la dimension genrée des attaques en ligne, elle apparaît également via les données recueillies sur les personnes identifiées comme responsables des cyberviolences : des hommes sont impliqués dans la perpétration de ces violences dans au moins 74% des cas.
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Si les menaces et les insultes sont les situations les plus fréquemment rencontrées par les victimes (93%), la diffusion non consentie de contenu intime ou dégradant concerne plus de la moitié d’entre elles (52%). Les revictimisations sont fréquentes et 93% des victimes déclarent avoir vécu plusieurs situations de cyberviolence, 40% d’entre elles rapportent même en avoir vécu entre 7 et 10. Les insultes, les menaces, l’envoi de photos de parties génitales ainsi que l’exposition à des contenus violents sont des situations que la majorité des victimes a subi plusieurs fois. 
Loin d’être un mal virtuel, les cyberviolences ont un impact extrêmement lourd sur la santé des victimes, mais également pour leur épanouissement relationnel, familial, scolaire et professionnel. Les conséquences peuvent être extrêmes et 14% des victimes déclarent avoir tenté de se suicider suite aux violences subies. Il est aujourd’hui impossible de tracer une ligne de démarcation nette entre le hors-ligne et le en-ligne : les cyberviolences s’enchevêtrent avec les violences subies dans l’espace tangible et s’inscrivent dans un continuum de violences qui visent le plus souvent les femmes, les filles et les personnes les plus discriminées.
Or, la lutte contre ces violences repose encore en majorité sur les victimes, qui, faute de recours satisfaisants, se sentent isolées et développent des stratégies d’adaptation coûteuses et épuisantes. Moins d’une victime sur 10 déclare avoir su comment réagir au moment des violences et plus d’un tiers d’entre elles (36%) rapportent avoir été culpabilisées lorsqu’elles se sont confiées à leur entourage ou à des professionnel·les, ce chiffre s’élève même à 69% pour les victimes de diffusion non consentie de contenu intime ou dégradant.
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LES PRINCIPAUX RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE
Des violences qui s’inscrivent dans un continuum et se poursuivent hors-ligne.
L’espace numérique n’est pas disjoint du monde tangible : les menaces faites en ligne n’en restent pas qu’au stade de menaces et sont mises à exécution, ainsi, 72% des victimes déclarent que les cyberviolences se sont poursuivies en présentiel. Elles sont même près d’1 sur 5 (16 et 18%) à rapporter un vécu de violences physiques ou sexuelles accompagnant les violences en ligne. Les victimes de cyberviolences encourent donc de grands dangers : il ne suffit pas d’éteindre son ordinateur ou de désactiver ses comptes sur les réseaux sociaux pour faire cesser ces violences.
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D’ailleurs, pour une victime sur deux (49%) la situation s’est installée dans la durée et les violences se sont poursuivies durant au moins un mois — voire plus d’un an pour un quart des victimes. Ces violences conduisent les victimes à se plier à des stratégies d’adaptation et d’évitement coûteuses qui engendrent un épuisement physique et psychique et sont néfastes pour leur agentivité et leur liberté d’expression. 32% d’entre elles ont d’ailleurs désactivé leurs comptes sociaux suite aux violences. 
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De lourdes conséquences sur la santé et la vie des victimes.
Les conséquences psychiques et sociales des cyberviolences sont nombreuses et significatives chez les victimes, encore plus lorsqu’il s’agit de femmes et de personnes discriminées. Dans 1 cas sur 2, un impact moyen à très fort est rapporté par les victimes sur leur études ou leur vie professionnelle. Les violences en ligne sont aussi à l’origine de troubles majeurs pour leur santé : elles engendrent un impact psychologique dans 80% des cas, et même un impact physique pour 1 victime sur 2 (46%).
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Parmi les conséquences rapportées par les victimes, on retrouve de nombreux symptômes de stress post-traumatique : hypervigilance (91%), troubles anxieux et dépressifs (88%) et insomnies (78%) et pensées suicidaires (49%). 45% des victimes développent des troubles alimentaires et près d’1 victime sur 5 déclare s’être déjà auto-mutilée suite aux violences. Enfin, 31% des victimes confient avoir augmenté leur consommation d’alcool et de substances en raison des violences subies. 
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Une surreprésentation de femmes et de personnes discriminées parmi les répondant·es.
Le monde numérique est le reflet de notre société : on y retrouve toutes les oppressions et les inégalités constatées hors-ligne et les violences qui y sont perpétrées ciblent souvent les personnes les plus discriminées. Ainsi, les victimes de cyberviolence qui ont pris le temps de répondre au questionnaire pour témoigner de leur vécu sont en majorité des femmes (84%) et des personnes qui déclarent faire partie d’un groupe minoré et/ou être en situation de handicap (80%). 72% des personnes se déclarant d’une autre identité de genre rapportent avoir subi 7 à 10 situations de cyberviolence contre 40% des répondant·es au global. De surcroît, les personnes issues de groupes minorés ou en situation de handicap déclarent des conséquences sensiblement plus importantes sur leur vie et leur santé. Ainsi, les personnes LGBTQI+ ont plus tendance à se sentir désespérées et anxieuses que celles qui ne font pas partie d’un groupe minoré, elles ont aussi 3 fois plus de risques de s’automutiler.
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Les personnes handicapées déclarent 2 fois plus souvent un impact physique des violences que les personnes valides et encourent 3 fois plus de risques qu’elles de rater leurs études — d’ailleurs les violences qu’elles subissent ont 6 fois plus souvent des conséquences très lourdes sur leur scolarité ou leurs études. Quant aux personnes racisées, elles rapportent 2 fois plus fréquemment être devenues hypervigilantes que les personnes n’appartenant pas à un groupe minoré. Les victimes discriminées en raison de leur religion sont, elles, 3 fois plus nombreuses à affirmer ne plus pouvoir aller à l’école ou au travail suite aux violences subies en ligne.
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Un accès au droit déficient.
Le parcours judiciaire des victimes est semé d’embûches : 61% des répondant·es pensent que porter plainte ne sert à rien et on ne peut pas vraiment leur donner tort. Bien qu’une victime sur 4 se soit déplacée au commissariat ou à la gendarmerie, elles déplorent dans 70% des cas que leur plainte n’ait donné lieu à aucune poursuite, tandis qu’un tiers des victimes se sont vues refuser le dépôt de plainte — bien que ce refus soit illégal. Quant aux personnes issues d’une minorité religieuse, elles ont 4 fois plus de risques d’être mal accueillies par la police et la gendarmerie et de ne pas pouvoir déposer plainte que les personnes qui ne font pas partie d’un groupe minoritaire. Au global, les violences en ligne subies par les répondant·es n’ont donné lieu à une plainte suivie de poursuites judiciaires que dans 3% des cas. L’accès au droit des victimes est clairement insuffisant et 17% d’entre elles affirment ne pas avoir porté plainte parce qu’elles ne savaient pas qu’elles pouvaient le faire.
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Un manque cruel d’information et de recours.
69% des victimes admettent ne pas avoir su comment réagir lorsqu’elles ont été confrontées à une situation de cyberviolence. Si elles sont 74% à avoir pu parler des violences subies à au moins une personne, plus d’un tiers de celles qui ont gardé le silence l’ont fait parce qu’elles ne savaient pas à qui en parler ou parce qu’elles avaient peur des conséquences/que la situation empire, et plus d’un quart se sont tues parce qu’elles se sentaient coupables. Lorsqu’elles se sont confiées, les victimes l’ont avant tout fait dans la sphère amicale — nettement moins dans le cadre familial ou médical. Par ailleurs le niveau d’information en ce qui concerne les dispositifs d’accompagnement demeure très faible : 81% des victimes se déclarent mal informées sur plateformes à disposition pour leur venir en aide, ce chiffre s’élève même à 92% pour celles qui avaient moins de 25 ans au moment des violences. Seules 27% des victimes disent avoir entendu parler d’un dispositif comme le 30 18 et elles ne sont que 3% à y avoir eu recours. Ces chiffres pointent de sérieuses et regrettables lacunes en matière d’initiatives gouvernementales pour assurer l’information du public et la prise en charge des victimes de cyberviolences.  
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Des revendications pour améliorer le parcours des victimes.
Au vu cet état des lieux, notre association appelle les pouvoirs publics à mettre en place de toute urgence des campagnes d’information et de prévention sur les cyberviolences, mais également une plateforme d’écoute et d’orientation destinée à toutes les victimes de violences en ligne — quel que soit leur âge, ainsi qu’un observatoire des cyberviolences de genre. Nous souhaitons aussi que soit mis en œuvre un grand plan national d'information et de formation à destination du personnel éducatif, social et de santé, du corps juridique et des forces de police, afin d’améliorer le parcours des victimes et leur accès au droit. 
TÉLÉCHARGER LES INFOGRAPHIES EN HD
TÉLÉCHARGER LE RAPPORT IPSOS
TÉLÉCHARGER LE COMMUNIQUÉ
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infocopa · 2 years ago
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Ne manquez pas cette occasion!
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VIRTU-ELLES La cyberviolence est tout simplement une nouvelle frontière de la violence à l'égard des femmes. Les statistiques sont alarmantes : on estime que 73 % des femmes sont victimes d'agression en ligne dans le monde. Qui plus est, la cyberviolence évolue constamment avec l'apparition de nouveaux sites Web, de nouveaux programmes et de nouvelles tactiques d'intimidation. VIRTU-ELLES est un atelier créé par le COPA National à l'intention des étudiantes postsecondaires qui s'identifient comme des femmes. Il les aidera à mieux comprendre la cyberviolence et à savoir comment y réagir, la prévenir et se protéger. Grâce à l'engagement de la Fondation canadienne des femmes à mettre fin à la violence contre les femmes, nous sommes en mesure d'offrir cet atelier gratuitement en français, partout au Canada. L’atelier de trois heures sera offert aux trois dates suivantes, prenez-en note! Nous vous y attendons avec impatience! 14 décembre 2022 31 janvier 2023 25 février 2023 Pour en savoir plus sur VIRTU-ELLES, vous pouvez consulter notre blogue ou visiter notre site Web.  
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unamourdeswann · 4 months ago
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Swann Arlaud giving a speech at Rassemblement et concert contre l'extrême droite, 03.07.2024, la République à Paris
Bonsoir. Bonsoir.
La responsabilité de ceux qui ont diabolisé la gauche est énorme. Ce sont les mêmes qui ont banalisé les discours d'extrême droite, le racisme et la xénophobie. Depuis des années, ils le font partout, chaque fois qu'ils peuvent. Et pourquoi ils font ça ?
Parce qu'ils préfèrent gouverner avec l'extrême droite qu'avec la gauche. Parce qu'ils savent très bien que le Rassemblement national n'est pas l'ennemi du capital, parce qu'ils veulent protéger leurs intérêts. Parce qu'ils veulent, que rien ne change, parce qu'ils partagent. La même haine des étrangers, la même obsession pour la sécurité. Parce qu'ils n'en ont rien à foutre de la planète!
Et ne lui il faut pas nous tromper, derrière le discours policer du RN se cachent la haine de l'autre. Le mépris du droit des femmes et la protection des puissants et les puissants le savent. Ils savent que leur RN ne touchera pas à leurs privilèges, ils savent qu'ils n'empêcheront pas l'industrie de continuer à détruire pour mieux s'enrichir. Ils savent qu'ils continueront à s'attaquer au plus faible, aux plus démunis, ceux-là même qui placent un espoir en eux parce qu'ils ont été oubliés depuis des décennies par tous les gouvernements successifs.
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Alors ils agitent l'épouvantail, ils agitent le diable, le couteau entre les dents. Alors c'est les "islamo gauchistes", c'est les "féminazis", c'est les "éco terroristes". Mais en fait, il suffit de lire un peu les programmes, il est où le diable ?
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Et vous le savez déjà. Vous le savez déjà, on y est déjà toute forme de contestation et criminalisée. C'est la police antiterroriste qui va déloger les militants écolos pacifistes chez eux à 06h00 du matin. Aujourd'hui, dénoncer le massacre du peuple palestinien est considéré comme un acte antisémite. Et lutter pour ses droits, pour la liberté, la solidarité, l'égalité des peuples, des êtres, dénoncer les abus, les violences, tout ça est considérer comme violent et dangereux. Ils ont- ils ont inversé les rôles, ils ont- ils ont détruit le langage, ils ont déplacé le sens des mots.
Et si on est là, c'est parce qu'on voudrait que demain ce soit pas encore pire.
Merci.
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a-room-of-my-own · 2 months ago
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Les femmes : En fait quand on dit qu’il faut vous engager contre les violences sexistes et sexuelles ça passe par des petites choses comme reprendre vos amis quand ils font des réflexions misogynes, écouter les femmes de votre entourage…
Les hommes :
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lisaalmeida · 1 year ago
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Aujourd'hui, c'est la journée internationale contre la violence à l'égard des femmes. Inutile de répéter le concept qu'il ne faut pas attendre la journée internationale pour lutter contre ce "sale et ignoble" abus.
La violence à l'encontre des femmes est l'une des violations les plus honteuses des droits de l'homme.
(Kofi Annan)
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maaarine · 29 days ago
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Vu d’Allemagne. Le procès Pelicot, une honte pour tous les hommes (Leo Klimm, Der Spiegel via Courrier International, Oct 10 2024)
"Triste, scandaleux, une honte pour tous les hommes – voilà ce qu’est le procès pour viol qui se tient à Avignon.
Le jugement de 51 hommes [dont 50 sont] accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot, droguée par son mari [le 51e accusé], dévoile des actes monstrueux. Tout y est choquant.
Mais ce que l’on constate également sur place, c’est que les hommes ne s’intéressent guère à cette affaire.
Ils ne se pressent que sur le banc des accusés, et non dans la salle d’audience.
Chaque jour, près d’une centaine de personnes viennent suivre le procès en direct.
Les visiteurs masculins peuvent se compter sur les doigts d’une main. Les femmes représentent de très loin la majorité.
Elles sont là, elles se sentent liées à la victime parce qu’elles ont souvent vécu elles-mêmes l’expérience de violences sexuelles.
Mais à qui se sentent liés les hommes, qui brillent par leur absence ?
Pourtant, le procès pourrait être l’occasion pour les hommes, sept ans après le début du mouvement #MeToo, d’enfin y jeter un œil.
De prendre conscience des mécanismes du pouvoir patriarcal qui favorisent les agressions sexuelles, même dans les sociétés modernes, censées être égalitaires.
Un abus est d’abord toujours un abus de pouvoir, exactement comme dans les scandales qui ont éclaboussé l’Église catholique, comme dans les millions de cas de harcèlement sexuel sur le lieu de travail, ou les viols commis par des proches.
Or l’indifférence des hommes signifie que, dans les faits, ils tolèrent la violence sexuelle contre les femmes.
Être un homme hétérosexuel n’est pas un crime. Et il est regrettable que les hommes soient parfois condamnés en bloc depuis quelques années.
Quoi qu’il en soit, un homme se rend moralement complice s’il ne s’intéresse absolument pas à ce que subissent les femmes.
Chaque fois que ses congénères considèrent le corps de la femme comme un objet sexuellement disponible.
Le fait qu’il y ait si peu d’hommes présents dans la salle d’audience d’Avignon est une preuve désolante de ce désintérêt."
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e642 · 4 months ago
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Ce qui est magnifique c'est que c'est toujours la faute des femmes. Il suffit de voir comment ont été défendus les deux actes affreux qui se sont déroulés en l'espace de 2 semaines en France. Je parle évidemment du père de famille qui jette ses deux gosses par la fenêtre avant de s'y jeter aussi et de la gamine enlevée et tuée par le père hier soir. C'est majoritairement des hommes qui perpètrent des actes immondes et surtout violents. En effet, les hommes agissent et réagissent avec la colère et la violence, en tout cas, bien plus que les femmes et pour différentes raisons. Si on l'avait déjà bien souligné au niveau des manières de mettre fin à leur jour, on le voit maintenant avec leur rapport à l'autre (et par autre j'entends bcp femmes). Je lisais certains avis sur ces deux histoires sordides au possible dont un qui mettait en lumière l'éducation des hommes. Ça commençait très bien, en effet, la manière dont tu traites toi, les autres et les femmes, ta perception de ça, ça vient beaucoup de ton éducation, du contexte familial dans lequel tu as vécu et de tes traumatismes aussi. Et donc la personne disait que ce manque d'éducation venait des femmes qui avaient élevé ces hommes détraqués et donc, au final, c'était plus de leur faute à elles, qu'à eux. C'est marrant ça, là on parle pas du rôle du père, pourtant bcp élèvent leur enfant à deux ou beaucoup d'enfants ont encore leur deux parents, on parle pas de cette non prise en charge de la charge mentale et des tâches diverses. En revanche, le rôle du père on va en parler quand yen a un qui va faire 5 misérables minutes de ménage de sa propre initiative au sein d'un foyer. Ah là, on va l'applaudir même parce qu'il est trop fort, attentionné et responsable. On parle bcp du rôle maternal en mal car c'est tjrs de leur faute si les gosses sont mal éduqués, si l'enfant pleure, si le repas n'est pas fait de heure fixe, par contre, le role paternel on a tendance à le mettre en avant que quand c'est positif. Et du faux positif qui plus est parce que sérieusement j'ai jamais eu envie d'être fière d'un homme parce qu'il avait plié 3 slips et remis la couette sur le lit hm. Donc ça m'a dérangée cet aspect oui on reconnaît que les hommes manquent cruellement de quelque chose (visiblement de l'éducation et du savoir vivre/être mais pas que) et que ça les mène à des actes terribles, par contre, c'est pas vraiment de leur faute. On les déresponsabilise. Comme le fait que la moitié de ces auteurs sont souvent atteint de troubles mentaux, allant de la dépression, à la personnalité narcissique, en passant par la bipolarité et j'en passe et des meilleurs. On se demande encore pourquoi ils ne sont pas pris en charge et bien ya 2 raisons majeures: la psychiatrie est un des parents pauvres de la santé (sachant que la santé est déjà dans un état minable en France) et que les hommes consultent peu. Ils consultent peu parce qu'on a beau dire qu'on est une génération plus libérée/mature et pleine de moyens, on reste sombrement archaïque sur beaucoup de notions notamment le côté émotionnel chez les hommes. Et malgré tout ça, on a encore du mal à frontalement dire que c'est de leur faute, que la femme ne sera pas toujours là pour faire à sa place et lui dire quoi faire, qu'il est responsable de la même manière dans la parentalité, qu'il faut à un moment donné se déconstruire seul et faire les choses. Et ça m'attriste en fait. Je suis pas là pour dire que c'est aucunement la faute de aucune femme sur cette planète ni qu'aucune femme n'a jamais commis d'actes terribles, je dis seulement que les sondages et les excuses trouvées pour défendre des comportements indéfendables sont déjà explicites.
Et quand j'entends parmi ce ramassis nauséabonds d'excuses qu'il y en a à base de "c'est leurs hormones, les femmes n'ont pas les mêmes, "c'est l'éducation de la mère", "la femme a dû le pousser à bout pour en arriver là" (banalisant viol/violence/agression/meurtre + l'éducation n'est donnée que par les femmes etc) bah ca me heurte honnêtement. Ça me donne l'impression que ça ne changera jamais et que les personnes remises en cause seront toujours les mêmes mais pas souvent les bonnes.
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elementary-graph · 1 month ago
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Bonjour !
J'apprécie beaucoup ton travail, et je me demandais s'il t'était possible, quand tu auras un peu de temps et si la personnalité dont je vais te parler t'inspire, de concocter quelques avatars. La personnalité en question est Alejandro Speitzer. Je n'ai pas masse de ressources pour Alejandro alors que clairement… JE L'ADORE. Mais je suis anti douée en graphisme :'D.
J'espère que la sélection de photos faite sera d'assez bonne qualité : https://imgbox.com/g/Us9ilcbaal
Pour te parler un peu du personnage : Diego Arriaga, jeune mexicain a débarqué à New York il y a plusieurs années. Il n'est pas venu seul. En effet, marchant à ses côtés, se trouvait toute une fratrie. La vie des gamins n'a pas été toute rose ; naître et grandir dans un bidonville avec un père s'enfonçant dans les drogues, se noyant de plus en plus dans ses verres d'alcool et s'en prenant gratuitement à qui rencontrait sa route, et une mère que la situation a plongé dans une profonde dépression a poussé Diego à prendre soin de tout ce petit monde alors qu'il était très jeune. Les services sociaux s'en sont mêlés, et c'est ainsi que les frères et sœurs ont pris l'avion, quittant leur Mexique natal et direction la grosse pomme pour aller vivre chez une de leur tante. Diego a toujours eu à cœur de protéger les plus jeunes membres de la famille, et il est celui sur qui les coups du père pleuvaient puisqu'il se mettait systématiquement au travers de sa route pour l'empêcher de lever la main sur quelqu'un d'autre. Il n'est pas beaucoup allé à l'école, il n'est donc clairement pas doué en écriture ou en lecture... Par contre, il se débrouille pas trop mal avec les chiffes, ce qui lui permet de tenir son food truck sans trop de problèmes. Mais il ne fait pas que cuisiner le Mexicain, ça non. À couvert de son travail, il refourgue de la dope aux étudiants de la ville ou à quiconque en demande. Il est aux prises d'un cartel de drogues puissant, et bien qu'il n'aime pas cela, s'il veut subvenir aux besoins des siens, il n'a pas le choix, il ne sait rien faire d'autre. Diego c'est un gentil gars qui cumule la malchance et à qui la vie se fait un malin plaisir de faire de bon gros F**K régulièrement. Il est tout mignon, timide à souhait, ses joues rougissent facilement et il peut se montrer maladroit quand il est mal à l'aise. À côté de ça, il est aussi têtu et à une force de travail hallucinante. Évidemment, avec ce qu'il a vécu, il déteste la violence et il a tendance à se murer à la fois dans le silence et dans l'immobilisme quand il en est spectateur ou victime. Sinon, il adore les étoiles et tout ce qui se trouve dans le ciel de façon générale. Il est attiré à la fois par les femmes et par les hommes, bien qu'il ne soit pas du tout à l'aise avec la seconde possibilité, se voilant donc la face.
Je te remercie de m'avoir lu et je te souhaite une très belle journée !
Mallorie
Coucou ! Trop contente que mes créations te plaisent ♡ Je viens de poster quelques avatars ici !
N'hésites pas à repasser si il t'en faut plus ou si tu as un autre fc en tête ;)
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thebusylilbee · 1 month ago
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"L’absence de réaction de l’Occident face aux actions israéliennes et aux dizaines de milliers de civils tués se situe au-delà du double standard dénoncé depuis des mois. Il s’agit bien de complicité active de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis par un État voyou.
La rapidité et la violence des bombardements sur Beyrouth créent une forme de sidération, au Liban comme ici. Et la litanie des morts sans nom et sans sépulture, souvent civils, qui s’amoncèlent sous les frappes prétendument ciblées de l’armée israélienne, possède désormais un effet anesthésiant.
Comme le notait l’historien Vincent Lemire le 4 septembre au micro de France Inter, quelques jours avant l’offensive sur le Sud-Liban et Beyrouth : « On ne connaît pas les histoires et les visages des morts à Gaza. Au moins 40 000 morts, dont au moins 30 000 femmes et enfants à Gaza, innocents par définition… Ces chiffres ont pratiquement une capacité anesthésiante sur nous. Il y a quelques mois, on programmait des émissions parce qu’on parlait de 30 000 morts et non plus de 20 000. Mais aujourd’hui ces chiffres ne nous disent plus rien. On est obligé de les rapporter à une réalité française pour qu’ils continuent de nous frapper. »
Un mois après les massacres du 7 octobre, nous écrivions que « rapportés à la population israélienne, il a été dit que les massacres du 7 octobre ayant fait plus de 1 300 victimes équivalaient, en France, à un Bataclan qui aurait coûté la vie à 9 500 personnes. Si l’on prolonge ces calculs sordides, et qu’on rapporte les 9 000 morts de Gaza à une population totale d’environ 2,3 millions d’habitant·es, c’est comme si, en quatre semaines, la France avait perdu 264 000 habitants, dont plus de 100 000 enfants ».
Si l’on poursuit encore l’extrapolation macabre et que l’on se base sur un chiffre de désormais 41 000 morts à Gaza, la population palestinienne gazaouie engloutie depuis un an équivaut donc à 1,2 million de tués rapportés à la population française, soit à peine moins que le nombre de Français tués pendant la boucherie de la Première Guerre mondiale.
Guerre de vengeance
Mais puisqu’il n’est pas certain que même cette comparaison suffise à frapper les esprits, sans doute faut-il oser un autre parallèle. Si on se base sur les chiffres donnés par les ministères de la santé à Gaza et au Liban et qu’on ajoute une estimation basse des victimes sans nom ni sépulture qui se trouvent encore sous les décombres, on atteint au moins 60 000 morts directes dans les frappes de l’artillerie et de l’aviation israélienne.
Ce qui revient à dire qu’Israël a commis, depuis un an, l’équivalent d’un massacre du 7 octobre chaque semaine. Pourtant, aucun dirigeant occidental ne s’est précipité à Ramallah ou à Beyrouth pour exprimer son horreur devant le carnage. Aucun chef d’État ou de gouvernement n’a assuré les peuples palestinien et libanais de son soutien total face aux agressions. [...]
Cette guerre menée par Israël – guerre de représailles et de dissuasion mais aussi de vengeance – fait couler des rivières de sang dont les mains des dirigeants occidentaux – et avant tout étatsunien, c’est-à-dire Joe Biden mais aussi Kamala Harris en tête – sont entachées, tant ils partagent de responsabilités avec les criminels qui gouvernent Israël.
L’effacement des civils
Dans le monde post-7 octobre, bien préparé par le monde post-11 septembre et les centaines de milliers de morts d’Irak ou d’Afghanistan, c’est ainsi la notion même de population civile qui s’efface, en tout cas si ces civils ont le malheur d’être arabes ou musulmans.
Ce n’est pas seulement que les morts et les prisonniers israéliens ont des noms, des visages et des histoires, contrairement aux corps pourrissant dans les fosses communes de Gaza, enfouis dans les décombres de la banlieue sud de Beyrouth ou retenus dans les geôles inaccessibles du Néguev.
C’est qu’un corps palestinien ou chiite ne vaut plus rien aux yeux des Israéliens en particulier, et des Occidentaux en général, comme le manifeste la démesure des chiffres que l’on peut aujourd’hui mettre en regard.
Si l’on mesure non seulement les morts provoquées directement par les bombardements israéliens à Gaza, mais aussi toutes les victimes indirectes, notamment du fait des maladies et du manque d’accès aux soins, on peut sans doute facilement doubler le chiffre de 60 000 victimes, sans aller jusqu’aux 186 000 victimes comptabilisées par une publication récente du Lancet.
Ce qui signifierait qu’avec une estimation plausible de 120 000 morts à Gaza, on aurait déjà une centaine de morts palestiniens, pour un mort israélien le 7 octobre. Des chiffres effarants, à comparer avec un rapport de 7 à 1 pendant la première Intifada et de 3 à 1 pendant la seconde.
Autre exemple du décalage profond entre l’importance des corps et des vies d’un côté à l’autre de la barrière de Gaza ou du fleuve Litani : l’offensive israélienne au Liban a été justifiée par son gouvernement par la nécessité de permettre aux 60 000 déplacés du nord d’Israël de retourner dans leurs maisons.
Sans sous-estimer la vie devenue invivable de ses populations, que nous avions d’ailleurs documentée dans un reportage récent, comment est-il possible d’accepter une telle justification alors qu’elle se paye de l’exil forcé de déjà plus d’un million de Libanais ?
Les complicités occidentales
De cet effacement des civils libanais et palestiniens, l’Occident est comptable à plus d’un titre. D’abord en fournissant les armes et les devises nécessaires à ce carnage. Au moment même où il frappait Beyrouth et où les États-Unis affirmaient n’avoir pas été mis au courant, le gouvernement israélien se faisait un malin plaisir d’annoncer une nouvelle aide de 8,7 milliards de dollars en provenance de l’allié américain.
Dans quel monde peut-on trouver logique, comme ce fut le cas en avril dernier avec la levée du véto républicain au Congrès, de débloquer une « aide » comparable pour l’Ukraine attaquée par le régime de Poutine ; pour Taïwan sous la pression du régime chinois et pour Israël capable de détruire en quelques jours la menace du Hezbollah libanais après avoir réduit en miettes les infrastructures du Hamas ?
Ensuite, en refusant de reconnaître un État palestinien, à quelques rares exceptions près, telles la Norvège, l’Irlande et l’Espagne. Le Moyen-Orient est de fait bouleversé par la décapitation du Hezbollah – une action en passe de prouver que la menace iranienne sur Israël demeure circonscrite, tant le régime des mollahs est contesté en interne et incapable de rivaliser militairement avec un État hébreu soutenu par les États-Unis.
Dans ce moment majeur de redistribution des cartes, l’urgence est pourtant à une action diplomatique imposant la création d’un État palestinien sans lequel les logiques meurtrières et génocidaires à l’œuvre ne pourront que difficilement connaître de répit. [...]"
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6 million years of human evolution in 40 seconds
Les conflits toujours en cours en 2023. Myanmar : crise politique, Haïti : pauvreté, violence, République démocratique du Congo : un quart de la population meurt de faim, La Corne de l’Afrique : crise climatique, Le Burkina Faso, le Mali, le Niger : guerre de pouvoir, Afghanistan : pire endroit pour les femmes et les jeunes filles, Liban : crise économique et financière et une corruption à outrance, Syrie : plus de 11 ans de guerre contre Daesh, Yémen : des conditions de vie désespérées, Sud Soudan : conflits et crise climatique, Nigeria : le règne de l’insécurité et la famine généralisée dans le nord-est, le Haut-Karabakh : oublié de tous une guerre de territoire, idem pour la Russie et Ukraine, Israël Palestine même topo ..... 14 octobre 2023
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didierleclair · 9 months ago
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Born Eunice Kathleen Waymon, she became Nina Simone, afraid her religious parents would disapprove her choice of playing jazz. She was classically trained and hoped to become a classical musician. But as she mentioned many times, she didn’t reach her goal because of her race.
This decision of playing, jazz, soul, blues even pop has been out of necessity, however this musician made the best of it.
She has many great songs “I put a spell on you” and “Feelin’ good” are superb renditions. She’s improvising, plays beautiful chords and carries both songs with bravado. As an artist involved in the Civil Rights movement, I should mention “To be young, gifted and Black” or “Mississippi Goddam”. These signature songs show her courageous stand against violence to women, racism, and prejudices of all kinds.
She was at her best on stage. Two days before her death, The Curtis Institute of Music announced that they’ll give an honorary degree to Nina Simone. It’s the music school that had refused to admit her as a student at the beginning of her career. She won after all.
Elle s’appelait Eunice Kathleen Waymon mais elle a pris le nom de Nina Simone pour éviter que ses parents religieux ne sachent qu’elle jouait du jazz, musique qu’ils n’acceptaient pas. Elle voulait devenir une musicienne de musique classique et s’était entraînée pour ça. Cependant, comme elle l’a mentionné à plusieurs reprises, sa race l’en a empêché.
La décision de jouer du jazz devint donc nécessaire pour survivre mais elle s’en est bien servie.
Nina Simone a de nombreuses belles chansons, « I put a spell on you » et « Feelin’ good » sont des versions réussies. Comme artiste engagée dans le mouvement des droits civiques aux USA, il faut mentionner « To be young, gifted and Black » ainsi que « Mississippi Goddam ». Ces chansons-phares révèlent son courage contre la violence faite aux femmes, le racisme et les préjugés de toutes sortes.
Elle était meilleure en direct. Deux jours avant son décès, l’école « The Curtis Institute of Music » a annoncé offrir un doctorat honorifique à Nina Simone. C’était l’école de musique qui avait refusé sa candidature d’étudiante en musique. Elle a gagné, après tout.
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somelokivariant · 6 months ago
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FOR MY CANADIANS (and everyone)
TODAY - MAY 16 - IS MOOSE HIDE CAMPAIGN DAY
WEAR A PIN TO SUPPORT AND SPREAD AWARENESS OF ENDING VIOLENCE AGAINST INDIGENOUS WOMEN AND CHILDREN 🗣
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POUR LES CANADIENS/CANADIENNES
AUJOURDHUI EST LA JOURNÉE POUR LA CAMPAIGN MOOSE HIDE
PORTEZ LE POUR SOUTENEZ ET PARTAGEZ L'HISTOIRE, ET TRAVAILLE CONTRE LA VIOLENCE SUR LS FEMMES ET ENFANTS AUTOCHTONES 🗣
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