#Une vie au zoo
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🇫🇷 En me promenant au zoo de Pont-Scorff, je suis tombée sur un tronc de chêne qui a dû traverser une période très difficile au cours de sa vie, une belle bouille. J'aime les arbres, encore plus lorsque les tourments du temps et des épreuves ont profondément marqué leurs apparences. Évidemment, je n'ai pas pu m'empêcher de le dessiner dans mon carnet de croquis. Dessin au crayon Tombow Fudenosuke sur papier A4, rehaussé au marqueur Molotov.
🇬🇧 While walking at the Pont-Scorff zoo, I came across an oak trunk which must have gone through a very difficult period during its life, a beautiful face. I love trees, even more when the torments of time and trials have deeply marked their appearance. Obviously, I couldn't help but draw it in my sketchbook. Tombow Fudenosuke pen drawing on A4 paper, enhanced with Molotov marker.
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Chaque été depuis une trentaine d'années la descente graduelle de la Civilisation direction Afrique suit son cours. C'est comme le long déboutonnage d'un homme qui se rend compte peu à peu être un singe et n'y voit aucun problème, et au point où il se trouve cet été, un bouton de plus ou de moins, se dit-il, quelle différence ?
Ainsi nous aurons droit comme chaque année: - aux clandos psychiatriques déambulant cul nu en hurlant sur le bitume fondu, ne s'arrêtant que pour chier accroupis sur les poubelles publiques (toujours en hurlant). - à la stupéfaction des pachas de l'époque ottomane écrasés de chaleur dans leurs chaises de plage sur les seuils, ne parvenant à manier leur éventail qu'à deux mains - aux filles de gauche voix enrouée dans la file d'attente des épiceries de nuit: "mais meuf what deux fuck?" pour faire américaine- canaille toujours trop bronzées, pieds sales, irrécupérables. - aux bandes de cailleras à la recherche de "chose-kek à gratter", blédards à teinture vendeurs de clopes, bonobos vomissant leurs lèvres marchant bras dépliés et mains sous le genou - aux lapeuses de glace au sucre de 40 berges cheveux courts, surpoids, cette fois tout à fait répugnantes, qui ont déjà renoncé à l'effort parce qu'elles ont leur gosse à la maison, leur chose entièrement en leur pouvoir qu'elles vont malaxer tout leur soûl toute leur vie restante pour se venger de la vie - les bourges-"bohèmes" de plus en plus effeminés chaque année, de plus en.plus ambigus, toujours plus cocufiés, cambriolés, mais c'est justice. - aux transports en commun transformés en zoos roulants, bouillants, puants. - aux "événementiels", aux "fêtes", toujours les mêmes : un étal navrant d'objets à vendre sous une tente en toile cirée, une estrade vide avec des haut-parleurs crachant "du son", des brochures sur une table entourée de panneaux, c'est tout.
On ne le répétera jamais assez. Le processus d'extermination des Blancs est une guerre qui oppose non pas 2 fronts mais 3.
1/Le front des "vrais" avec les fas, les tras, "les petites gens les braves gens", les Gilets Jaunes, certains droitards, certains bourgeois, certains non-Blancs amis, nous, moi. 2/ le front des clandos, des envahisseurs, des colonisateurs, des métisseurs, des racailles, des profiteurs bien visibles, bien abrutis, identifiables, irréfutables. 3/ le front le plus méchant et le moins visible: bourges-bohèmes, planqués, banques, médias, synas, loges, PàB, boumeurs, antifas, élus, fonctionnaires, agents de l'étranger, bref toute la racaille du haut et de l'intérieur.
Il n'y a rien de pire que le front numéro 3, pas même la racaille même si elle était multipliée par clandestins au carré le tout au maximum de leur crasse en fermentation sous cagnard dans maillot de foot synthétique. Le grand espoir de ces émeutes de sauvage c'est que ces primitifs une fois rassasiés de leurs bâtonnets de surimi au Capri-Sun chourrés dans les Lidl forcés à la Porsche-bélier s'en aillent demander un supplément d'argent de poche aux bourges-bohèmes du front numéro 2.
Par pitié les fas ne sortez pas du bois alors que la fête bat son plein! Nul ne doit risquer une minute de GAV pour un immeuble de bureau cramé. Je suis sorti du bois en novembre 2005, GAV pour extinction de feux de voiture à Echirolles. La belle affaire... c'est fini ce temps-là. Intervenir signifierait une interruption catastrophique de l'affrontement entre le front numéro 2 et le front numéro 3.
Une idiote m'a dit que de toute façon tout le monde est bobo. Je lui ai dis non pas, pas les fachos. Et quand les bourges-bohèmes auront été bien détroussés, bien rossés, bien fessés, bien outragés par la racaille peut-être alors voudront-ils devenir des hommes c'est à dire, hélas pour eux, des fachos. "Mais nous on nique les fachos"... Teu teu teu petites putes, tout beau, tout beau. L'arrêt des hostilités réveille une insolence refoulée ? Qui va niquer qui? Toujours des promesses. On vous renvoie trois mille autres cailleras sur la gueule ou vous avez suffisamment de quoi faire avec les dégâts des dix mille de la semaine dernière ?
Certains ont discerné quelle fabuleuse aubaine offrait le déchaînement de tous ces primitifs: - tout d'abord ces rats se sont donnés à voir au monde tels qu'ils sont vraiment et non tels que le monde voudrait qu'ils fussent. - ils ont cassé les barreaux de la prison des Blancs, ils ont saccagé, ridiculisé, piétiné presque chaque mirador du camp de concentration où nous à jeté le front numéro 3: magasins de vêtements franchisés, panneaux publicitaires, restaurants industriels, écoles publiques, mediathèques de gauchistes, etc. - ils ont menacé physiquement les insolents collabos ordinaires du front numéro 3: boumeurs, gauchistes, "activistes", hurleuses en surpoids, salopards anti-Blanc, insolentes, bouches inutiles de toutes sortes.
Toutefois que ces singes avachis dans leur hamac de sieste perpetuelle ne s'imaginent pas avoir accompli un quelconque travail lucratif. Ces quadrupèdes branlomanes sous shit ont encore beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent à se faire s'ils veulent bien mettre momentanément en sourdine leur lâcheté de pillards opportunistes de caravanes et tourner leurs groins renifleurs vers les opportunités fabuleuses des segments de marché encore intacts de la société de consommation. "La manière dont tu comptes en dit long sur ce que tu as brassé, la manière dont tu pompes en dit long sur ce que tu as sucé".
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Elle aime les animaux. Tous les animaux. Sous toutes les formes. Elle les aime sauvages comme dans des cages. En photo comme au zoo. En vie ou sous forme de crânes. Entre les lames de son microscope (pour les moustiques, par exemple) ou dans son assiette.
Alors quand on est au parc Monceau, au printemps, elle adore voir les champs de papillons. Elle circule soigneusement entre les fleurs pour les voir le plus près possible.
L'autre jour, je la regardais faire depuis le chemin de sable. Elle était si heureuse. Et là il y a un mec qui passe avec une gamine en draisienne. La petite s'arrête et tend les bras pour aussi essayer de toucher les papillons. Et le mec lui a dit :
-Non, Mona ! Touche pas les papillons, c'est sale !
Il avait un ton de dégoût. La petite a obéi tout de suite, et a repris sa route en draisienne. Heureusement, la mienne n'a rien entendu.
J'ai connu Jed.
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On remplacera le ciel par des ordinateurs
On ordonnera au soleil les cris et la terreur
On remplera les sourires par des robots
On dictera ton désir avec une photo
Ils achèteront le ciel ,le vendront sur Amazon
Et le Soleil crevera et sera plus Jaune
Alors je crie et me taillade mon corps deja entravé
Ça me prend ,ça me tiraille jusqu'à l'aurore délavé
Je me sent schizo dans un monde qui freine pas
Je me sent comme un ciseau qui se tranche les bras
A l'école c'est la première zon-pri
Sinon c'est camisole à vie
Alors j'ai gober pleins cachets de lyrica
Pour oublier que le ciel était racheté par big pharma
Alors j'ai tiser mes larmes aux rhum
Pour voir le drame couleur chew gum
Encore un énième texte mortuaire
Encore un porno ,un faux monde imaginaire
On m'a enfermer dans la blancheur de l'hp
Le ciel avait la couleur d'un tercian écrasé
A 12 piges ,on m'a dis toi t'est folle
A 20 je subissait les viols et leur camisole
A 25 ans j'écris mon âme et ma douleur
Pour ne plus me camer avec des antidouleurs
J'me sent parfois trop vivante dans une ombre qui sent la mort
J' me sent parfois trop violente dans ce monde qui dort
On est des numéros enfermés dans un zoo
La terre pleure ,pourtant il fait si beau
Alors j'écris ma peau ensanglantée
J'écris mes maux dans ces sangles hantées
Je clame ,m'exclame ,tente de survivre
Dans le macadame triste et ivre
Je gueule pour les tepu et les obèses
Les travelos, les clodos, les mal à l'aise
Je gueule contre les robots et je prie même pour les narvalos
Pour tout les cassos oubliés de cette société
Qui aiment encore les fleurs et regardent les étrangers
Les rares tournesols au bord des autoroute
Qui baisent avec le soleil en pleins moins d'aout
Les chtarbé qui tapent des pieds en hurlant: amour
Pour réveiller l'humanité dont le cœur est glacé dans un four
Souvent on les regarde de travers
Ce sont des meufs qui clament leur ovaires
Des char-clo qui te racontent l'univers
Des tox à problèmes qui ont jamais vu la mer
Et te racontent dans un poeme pourtant ses artères
Sans même avoir sniffer leur poudre de cimetières
Qu'on prend pourtant pour se sentir vivant
Dans un monde où le Bleu du ciel ment
Ça te prend aux tripes ? Hein ?
T'est pourtant le premier qui ira clasher le clandestin
Dans ce monde où le système scolaire est une barrière
L'HP et la zonz sont des blêmes cimetières
Tandis que la mort est au fond libertaire
Alors si tu veux pas de cet ordinateur à la place du ciel
Résiste et ne meurt pas,sème ces putains d'arc en ciel
Nique les fachos par la poésie
Nique les machos car tu est vie
Éteint ta télé et BFM teubé
Souris à un passant qui a l'air d'être errant
Ça l'empêchera peut être de devenir mort ou patient
Crie ta putain de fierté, celle de respirer
On à encore le temps de résister
Bat toi pour qu'le ciel soit pas vendue sur Amazon
Bat toi et prouve leur que le monde sera pas aphone
T'a juste à prendre ta plume et
écrire ,c'est ça qui vaut de l'or
Écrire l'hardcore ,la mort et le cris de ton corps
T'inquiète on remplacera ces robots par les sourire de l'aurore
Nébuleuse
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| Littérature: L'attrape-cœurs (1951) - J.D Salinger |
The Catcher in the Rye roman de J.D. Salinger publié en 1951. Le roman raconte deux jours de la vie de Holden Caulfield, 16 ans, après qu'il a été renvoyé de l'école préparatoire. Confus et désabusé, Holden cherche la vérité et s'insurge contre le caractère "bidon" du monde des adultes. Il se retrouve épuisé et émotionnellement instable. Les événements sont relatés après coup.
Ce classique américain fait de la perte de l'innocence sa principale préoccupation. Holden veut être “catcher in the rye” - quelqu'un qui sauve les enfants de la chute d'une falaise, ce qui peut être compris comme une métaphore de l'entrée dans l'âge adulte. En observant Phoebe sur le carrousel, qui se comporte comme un enfant, Holden est si heureux qu'il est, comme il le dit, “damn near bawling.”. En l'emmenant au zoo, il lui permet de conserver son état d'enfant, ce qui fait de lui un “catcher in the rye.” réussi. Cependant, en l'observant, elle et les autres enfants, sur le carrousel, il en vient à accepter qu'il ne peut pas sauver tout le monde :
“If they want to grab for the gold ring, you have to let them do it, and not say anything. If they fall off, they fall off.”
Je ne m'attendais pas à grand-chose de cette œuvre désormais étudiée comme classique de la littérature américaine ; j'avoue m'être seulement influencée par sa notoriété. Ce fut une agréable lecture où je me suis laissée emportée par les péripéties et errances du personnage principal.
(lu en décembre 2022)
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Depuis toujours Bilal Berreni dessine, tout le temps, sur tout, comme un fou. Rapidement les dessins débordent des cahiers et la rue devient son terrain de jeu. À 18 ans, il crée le nom « Zoo Project ». En l’espace d’un an, il repeint tout le XXe arrondissement de Paris de fresques gigantesques : gros traits noirs expressifs creusant une forme blanche, le style est à la fois brut et évocateur. Des citations accompagnent parfois les fresques. Jamais didactiques ou manichéennes, ces phrases ajoutent une note douce-amère, un contrepoint absurde. La démarche est profondément politique sans que jamais le résultat ne perde de sa douceur poétique.
Bilal accède rapidement à la reconnaissance du milieu. Les galeries le courtisent mais il est déjà ailleurs. Parti en Tunisie au moment de la révolution, il choisit d’y représenter les martyrs puis part s’installer dans un camp de réfugiés à la frontière libyenne. Il y peindra grandeur nature sur du tissu les réfugiés du camp.
Son travail prend la forme d’installations réalisées avec et pour les gens qu’il peint, et cette fois-ci c’est la presse nationale qui s’intéresse à lui (Libération, Le Monde). Lui est déjà loin, reclus en plein hiver par -30° dans une cabane au fin fond de la Laponie, avec le projet de réaliser un roman graphique qui racontera son expérience.
Et ainsi de suite…
Sa vie sera un bouillonnement d’idées, de projets, de réalisations, sans jamais se ménager, sans jamais faire de compromis.
Zoo Project, pseudonyme de Bilal Berreni, est un peintre urbain français, né le 23 juin 1990 à Paris et mort assassiné le 29 juillet 2013 à Détroit (États-Unis) à l'âge de 23 ans. Son travail s'est d'abord exposé sur les murs du Nord-est parisien, puis en Tunisie, juste après la révolution tunisienne de 2010-2011, où il a été particulièrement remarqué.
Zoo Project, pseudonym of Bilal Berreni, is a French urban painter, born June 23, 1990 in Paris and assassinated on July 29, 2013 in Detroit (United States) at the age of 23. His work was first exhibited on the walls of North-East Paris, then in Tunisia, just after the Tunisian revolution of 2010-2011, where it was particularly noted.
zoo-project.com
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Jérusalem : Un crocodile a attaqué un employé du zoo biblique, le blessant grievement
Au zoo biblique de Jérusalem, un crocodile a attaqué un employé qui s’occupait des animaux. Un homme d’une quarantaine d’années aurait été blessé. Selon d’autres sources, il aurait été grièvement blessé. L’ouvrier s’en est sorti sans problème et, sans la réaction rapide de l’agent de sécurité, il aurait peut-être perdu la vie. L’agent de sécurité, qui se trouvait heureusement à proximité, a tiré…
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Nouveau pack annoncé pour Planet Zoo (je ne parlerai pas des derniers kits des sims sortis depuis peu et inintéressant selon moi).
Donc dans ce nouveau pack on part à la ferme !
Au menu 7 nouveaux animaux !
Et oui, vive les chèvres alpine, les poules bien dodues de race sussex, les vaches Highland et les alpagas. On aura droit aussi aux cochons (porc Tamworth), à l'âne commun d'Amérique et aux moutons Hill Radnor.
Comme d'habitude on retrouvera 60 nouveaux éléments de décor pour transformer vos zoos sur le thème de la ferme donc avec des bottes de paille pour s'assoir, des bobines de chantier en guise de tables, des clôtures, des pompes à eau, pompes à vent, girouette et puits.
Et 1 nouveau scénario de campagne dans lequel les joueurs doivent insuffler une nouvelle vie à une ferme autrefois négligée et créer un sanctuaire animalier florissant.
Sortie prévue le 30 avril au prix de 9,99€ ! (le pack nécessite le jeu de base pour jouer bien sûr)
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Flaco, hibou new-yorkais super-héros au destin tragique
Ce grand-duc d’Europe était devenu une star à New-York après s’être envolé du zoo de Central Park où il vivait en captivité depuis sa naissance 13 ans plus tôt. Mais après un an de vie libre dans la ville, Flaco a été retrouvé mort au pied d’un immeuble.
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« Maman, tu sais ce qu’il se passes ? »
Ce sont les derniers mots qu’a prononcés Jonathan, à sa mère, tétanisée, assise à son chevet. C’était quelques minutes avant de mourir.
Je me demande si elle a trouvé la force de lui répondre. Et si oui, qu’a-t-elle bien pu lui dire ? Je n’ai jamais eu le courage de lui en parler, moi. De la fin. Cette fin qui le menaçait, qui planait constamment autour de lui, depuis l’annonce de la rechute de sa maladie.
Un jour, lors d’un long trajet menant au zoo, il était assis sur le siège passager. En baissant le son de la radio local qui passait, je lui ai demandé innocemment :
« Alors, tu as peur de partir ? »
Interloqué, il m’a répondu aussitôt, du tac au tac :
« Partir où ? »
Sa réponse m’a glacée le sang. J’ai compris le quiproquo. Non, je ne parlais pas de son futur décès. D’ailleurs, personne n’en parlait jamais. On esquivait. Je faisais plutôt référence à son départ proche en hexagone pour une évacuation sanitaire. Il devait prendre son vol la semaine suivante pour un énième essai thérapeutique. Une ultime chance. Un dernier espoir.
J’ai rétorquée :
« Bah de prendre l’avion, tu sais, de repartir à Paris ! ».
Il m’a répondu que non. Il était content à l’idée de retrouver ses amis en pédiatrie, ainsi que le personnel soignant, à qui il s’était beaucoup attaché la fois précédente.
Lui, aurait voulu qu’on en parle, je crois. Après-coup, j’me dis qu’on avait plus peur que lui. C’était un petit homme vaillant, du haut de ses 14 ans.
Un autre jour, les soins palliatifs nous ont appelés, pour nous dire qu’il n’allait pas passer le week-end et qu’il fallait venir le voir, si on le souhaitait.
Je me souviendrais pour toujours de son petit corps dans ma rétine ce jour-là. Tellement différent du Jonathan que j’avais vu deux semaines plus tôt. Qui jouait encore à la playstation. Amaigri, les lèvres sèches, blanches, rugueuses. Le visage creusé. La langue lourde. Son crâne lisse. Ses maigres doigts posés sur ce drap d’hôpital, qui recouvrait la moitié de son corps fluet. Créant un contraste parfait entre les draps blancs et sa peau noire. J’ai pensé :
« C’est sûr qu’il ne peut plus jouer, maintenant ».
Ses yeux. Ils étaient partiellement ouverts et quelque peu révulsés vers le plafond. Il semblait à moitié endormi. À moitié vivant.
Je me suis dit :
« Putain, c’est ça le cancer. »
Il reprenait ses esprits par à-coup. Il nous a parlé. Mes souvenirs sont décousus. Mais je sais que le début de la conversation m’avait mise mal à l’aise. On ne trouvait pas les mots. Et lui, ne comblait pas les silences. Jonathan était toujours comme ça de toute façon. C’est lui qui mène la danse. On s’est détendu au fil des phrases. Il avait l’air de s’être emplie du peu de force qu’il lui restait, pour honorer cet échange.
Il a même ri. Nous avons parlé de GTA . A sa demande, nous avions tenté d’avoir des financements pour lui offrir ce jeu vidéo qu’il voulait tant, sans succès. L’hôpital de Paris lui avait donné une PS5 avant son départ. Et le docteur des soins palliatifs d’ici a fini par lui acheter le jeu.
Je lui ai fait remarquer le tatouage que j’avais sur le bras :
« Here we go again »
Je lui ai demandé s’il l’avait déjà vu. Il m’a dit oui. S’il l’avait compris ? Il m’a dit oui aussi. J’étais surprise. Il avait la référence, mais ne m’avais jamais fait la remarque.
C’est la phrase que prononce CJ dans GTA San Andreas, à chaque fois qu’il meurt, et que la partie recommence. Le personnage revient à la vie en sortant d’un hôpital. C’est là qu’il dit :
« Oh shit, here we go again »
C’est reparti pour un tour. Une nouvelle partie. Une nouvelle vie. Jamais de vraies fins, en fait, seulement de nouveaux commencements, ce ne sont que des cycles. C’est la philosophie que j’ai inscrite sur mon avant-bras droit. J’ai pris soin de le faire tatouer avec la calligraphie de la pochette de grand theft auto. Ainsi, ceux qui savent, savent.
Jonathan savait. Mais la partie était déjà finie pour lui. Et c’était trop injuste. À 14 ans, on n’a jamais assez joué.
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La racaille est un nemesis. Les destructions ont visé pour le moment des marques et des structures qui ont speculé sur la persécution des Blancs depuis 20 ans : - Five Guys (Obama) - Foot Korner (pro-racailles) - Action (produits plastiques ultra-discount sur le modèle americain) - Lidl (regardez la clientèle d'un Lidl) - Chatelêt (sans commentaire) - Macdo - Centres des impôts - Concessions Yamaha (T-Max) - Zoo (symbolique du singe lâché) - Mediathèques (livres débilisants pour enfants lus par grosses dames vengeresses) - Mairies - Écoles (école obligatoire 2023 = gynécée autour d'un octogone de MMA, présence obligatoire) - caméras de surveillance
Voilà. Qui veut bouger pour défendre ces moyens de coercition? Toutefois il faut raison garder. Les récentes algarades nocturnes sont le fait de très parcimonieux dilettantes racailles. Il n'y a là rien qui annonce "la vraie grande pluie qui balaie les trottoirs" (Taxi Driver). Tous ces paresseux se sont excités sur ce qu'ils avaient à portée de main mais ils ne sont pas "allé chercher" hors de leur zone de confort (ce sont des bourgeois) les vrais leviers de vrai pouvoir, et ils n'en n'ont même pas seulement eu l'idée (ce sont des primitifs): - Skyrock - CAF - Sièges de banques agressives style Goldman Sachs, Rotschild - Sièges de partis politiques - Journaux, presse, TV, médias (un seul journaliste de Libé dépouillé de son appareil photo, c'est ça une "jeunesse révoltée en lutte"?) - Les fourrières - Les Influenceurs - Les fauteurs de guerre - Les gens qui ont touché au business de la pornographie. - ambassades étrangères - dépôts de carburant
C'est dire comme ces remueurs de merde estampillés lutteurs pour la justice sont loin du compte. Zéro conscience politique, cent pour cent cerveau reptilien.
Quand à la police lâchée par sa hiérarchie elle a pris grand soin de ne pas abîmer la racaille alors qu'elle mutilait exprès les Gilets Jaunes en visant la tête ("a voté") pendant 2 ans.
Les Gilets Jaunes d'ailleurs, doivent ne surtout pas sortir du bois. Dès lors qu'il y aurait 2 fronts le pouvoir se débrouillerait pour les envoyer l'un sur l'autre. C'est là une des grandes prédictions de Roger Holeindre, Dieu ait son âme: "si on descendait dans la rue le pouvoir armerait les banlieues dans le quart d'heure pour sauver la république", et on peut croire sur parole cet homme dont chaque mot fût payé par des actes dans sa vie, et quels actes!
Il ne faut pas s'affoler pour 3 supermarchés pillés, 2 caméras sciées et quelques infrastructures de parc à bestiaux momentanément endommagées. "Y a tchi" comme on disait à Grenoble. Est-ce cela le chaos? Mais alors l'ordre public est cent fois pire avec sa mort lente unanimement admise, le "bah c'est la vie hein c'est comme ça" de tous les mouligasses qui y sont rois, qui vous imposent leur sale rythme et vous rendent faibles.
L'ordre public, "l'apaisement", pour quoi faire ? Pour que des trans éduquent des racailles dans les écoles ? Pour que des dindes masquées DRH virent des pères de famille de 55 ans? Pour que des prédatrices fanatisées dépouillent par divorces des acharnés réglos bosseurs pacifiques? Tous ceux, police et braves gens qui essaient d'empêcher le nemesis de faire son œuvre, se battront à leurs risques et périls pour la parité, pour le "mois des fiertés", pour les foules sorties du néolithique il y a 2 semaines et qui frappent à la porte, pour le masque et l'asepsie, ils se battront pour ce qui les tue et cela au profit de la syna, des loges, des bourges, et de toute la nomenclature hispano-romagnole "européenne" des Nunez/Hidalgo/Valls/Castaner.
Les masques tombent, y compris ceux des états "alliés" algériens, américains. Lisez leurs récentes circulaires officielles concernant nos malheurs. La manière dont ces fissdep entassés devant le KFC en flammes suent d'impatience de grapiller quelques chicken wings dans la curée promise est le plus merveilleux tombé de masque en plein jour depuis Yalta. Ils n'ont pas compris que l'histoire de France a toujours précédé l'histoire de leurs nations: 1776, 1830, etc. Et l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne... s'il arrive malheur à la France ce qu'à Dieu ne plaise toutes ces nations qui la jugent se mangeront l'onde de choc comme sous Bonaparte. La France, faute d'être aidée et aimée, est la nation "seule contre tous" mais tous ceux de l'intérieur et de l'extérieur qui ricanent de la voir sans défense se trouvent un jour fort dépourvus lorsque confrontés à de surprenants nemesis.
"Je vais dormir tranquille maintenant car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"
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1.Brume
Dans la brume se cache une silhouette, Impossible à distinguer. Elle semble marcher vers moi. Mais elle ne m'atteint jamais.
Alors je me réveille .
J'ai détesté cette silhouette pendant de nombreuses années.
Sans cesse je cherchais des réponses. J'ai fait des études sur le sommeil, contacter des voyants. J'ai même enlacer des arbres.
Mais rien.
Jusqu'à mon entrée au lycée.
Ce jour là, la silhouette a disparu.
" C'est l'heure."
Je soupirai en voyant les élèves se presser d'entrer dans cette nouvelle prison.
"Tu sais très bien que je ne voulais pas venir ici, Patricia"
" Je respecte seulement les dernières volonté d'Esmeralda."
Patricia Raymond était ma tutrice. Elle était également l'exécuteur testamentaire de ma grand mère. J'étais encore jeune quand mes parents ont perdu la vie dans un accident de voiture. Je ne me souviens pas d'eux et ma grand mère Esmeralda s'était occupé de moi.
Elle était une femme excentrique. Mais j'avais toujours pensé que la ligne de démarcation entre l'excentricité et la folie n'était marquée que par la quantité d'argent qui se trouvait dans un compte bancaire. Sinon pourquoi n'avait-elle pas été arrêtée quand elle avait dérobé un panda dans un zoo.
Je suis certaine que la donation qui avait suivie cette affaire en était pour quelque chose.
Esmeralda dans toute sa flambloyance était morte après avoir été touché par la foudre.
Depuis que j'étais encore mineure, j'avais été confié à sa plus vieille amie, Patricia.
Maintenant je me retrouvais obligé d'entrer dans un lycée à 1000km de mon domicile.
Le lycée était un gratte ciel. Je regardais le soleil se refléter sur les vitres avec méfiance.
" Irina..."
" Je sais ..."
J'ouvris la portière aussi lentement que je le pouvais, mon sac en bandoulière.
Quand j'arrivai devant le portail, je vis les quelques mots inscrits sur la pierre.
Lycée des Magies et des Monstres
J'aurais souhaité oublié que j'étais une sorcière, Grand mère.
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Végan, pourquoi sont ils si nombreux à franchir le cap
Végan ? Un effet de mode ? Phénomène sociétal ? Un besoin d’un autre style de vie en osmose avec notre environnement avec l’essence de s’abstenir de nuire ? Quelles que soient les raisons profondes, propre à chacun•e. Le nombre de personnes adeptes au véganisme ne cessent d’augmenter chaque année à travers le monde chaque année. Tel que de grands enseignes de distribution entre dans ce nouveau marche avec l’apparition de produits référencés végan. Ainsi, entrez dans le monde végan, le temps de cet article. Comprendre le véganisme Le véganisme se définit comme une mode de vie alliant une alimentation exclusive par les végétaux et le refus de consommer tout produit issu des animaux ou de leur exploitation selon l'encyclopédie Larousse. En d’autres termes, être végan consiste à s'abstenir d'utiliser des produits d'origine animale dans l' alimentation, mais également associer une philosophie rejetant le statut de marchandise des animaux. Être végan c’est donc de consommer ni viande, ni poisson, ni crustacés, ni produits laitiers, ni oeufs, ni miel … En somme, aucun produit animal quel qu’il soit. De plus, le végan ne consommera pas non plus de cuir, de laine, de cosmétiques testés sur les animaux et avec des ingrédients d'origine animale. Il évite également les zoos. Saviez-vous que chaque végétalien sauve près de 200 animaux par an ? Il n'y a tout simplement pas de moyen plus facile d'aider les animaux et de prévenir la souffrance. Désireu•ses d'en savoir, n'hésitez pas à consulter cet article sur le véganisme. Végan : des raisons à forte dimension morale ? Pourquoi devenir végan ? Voici quelques raisons qui peuvent vous convaincre et à vous y intéresser. Pour l'environnement et la santé - pour les animaux et l'amour des animaux, - établir de nouvelles connexions avec le monde, - prévient les maladies chroniques notamment maladie cardiaque maladie cardiaque, - participer à la conservation de l'eau sur la planète,ainsi, en réduire cette dernière utilisée pour la production, - ralentir de déforestation, - aider à prévenir l’extension des espèces, - réduit la pollution et les déchets. Amincissez et dynamisez en général, les végans sont beaucoup plus sveltes. Néanmoins, devenir végan vous permet de garder l'excès de graisse pour de bon et d'avoir beaucoup d'énergie. Soyez en meilleure santé et plus heureu•ses Les célébrités sont aussi adaptes au véganisme La liste des stars qui fuit la chair animale sont nombreuses aujourd'hui. Madonna, Natalie Portman, Ariana Grande, Alicia Silverstone, Casey Affleck, Woody Harrelson, Miley Cyrus et Carrie Underwood ne sont que quelques unes des célèbres végan qui apparaissent régulièrement dans le magazine People. De plus, ce style de vie convient parfaitement aux sportifs de haut niveau. D'ailleurs, des athlètes d'élite y sont fans : Lewis Hamilton, Venus Williams et Serena Williams, Mike Tyson. La nourriture végétalienne est délicieuse Vous pouvez être végan et vous pouvez toujours manger tous vos aliments préférés, y compris les hamburgers. La seule différence ? Avec des protéines végétales, bien sûr ! Une envie de sucré ? Testez les gaufres végétaliennes au sésame noir. Un besoin de plat de résistance, n'hésitez pas à tester le tempech glacé de gochujang. Ce plat robuste et végétalien peut être servi sur du riz ou des pâtes. Cela dit, succombez à un hamburger à base de quinoa et de piment. Astuces avant de se lancer Tentez par une consommation responsable et en bonne santé ? Cependant, devenir végan ne vient pas du jour au lendemain. En effet, cela demande un temps de changement dans nos habitudes de consommation. Ainsi adapter pour commencer progressivement par d'une mode d’alimentation plus sain. Le végan est fait pour vous ! Cependant, devenir végan passe par une connaissance de soi. Ainsi, ce long processus est nécessaire et vous allez beaucoup apprendre sur votre santé et votre organisme. N'hésitez pas à vous faire accompagner par un médecin. Il est primordial avant de devenir végan de bien se renseigner. Tentez par ce style de vie ? N’hésitez pas à nous laisser vos commentaires. Read the full article
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2 février
“C’est de l’art ; qu’y comprenez-vous ?” A-t-on idée de faire de l’art contemporain ? Combien en avez-vous vu, de ces gens embourgeoisés, ravis de pouvoir sortir leurs costumes du dimanche, se promener dans les allées d’une galerie qui, à l’occasion de l’accueil de nouveaux résidents sur ses murs, invite l’artiste et ouvre ses portes à n’importe quel imbécile qui aurait les poches sonnantes s’il ne trimballait pas son pécune sur des cartes en plastique ? Ce sont les mêmes qui déambulent, comme des damnés, les salles d’exposition à la recherche d’un verre de champagne et, un peu moins passionnément, la nouvelle toile qui sera du “plus bel effet” devant leur cheminée. Les mêmes, encore, qui se grattent les tempes, l’air faussement intéressé, et vomissent une analyse artistique des plus médiocres, mais qui ne rechignent pas à débourser un salaire pour un carré de cinquante centimètres sur cinquante centimètres. Remarquez, à cette bourgeoisie crasse se mêle désormais la plèbe débile, qui ose s’exclamer, en plein milieu d’une exposition : “Quand même, ils ont de l’imagination !”. Le chaland se promène dans les galeries comme au parc, guettant le moindre événement qui le ferait sortir un instant de sa monotonie ronflante et tristement marquée par un quotidien gris, qu’il considère comme un symbole même de la modernité - et c’est à peine s’il ne qualifie pas cela de spleen ! - sans parvenir à le trouver ; et quand il rentre chez lui, encore tout dévoré d’ennui, il se réjouit en se disant que c’est ça, la vie de bohème, avant de s’avaler on ne sait quel met bien trop cher pour les vrais bohèmes, qui ont tant de trous dans les poches qu’ils n’ont même pas de quoi rêver.
De l’autre côté de ce parc artistique, comme des animaux encagés dans un zoo, se trouvent des artistes. Qu’est-ce qui fait qu’ils sont artistes ? Le sont-ils parce qu’ils le disent ? Le sont-ils parce qu’ils pratiquent l’art ? Le sont-ils parce qu’on les considère comme tels ou parce qu’ils peuvent montrer leur travaux dans une exposition ou une galerie ? Et, au fond, sont-ils artistes, tout simplement ? Nous les observons un instant, l’un faisant des courbettes, l’autre expliquant son art, agrippant le passant comme un saltimbanque quémande une pièce ou comme un homme de foi essayant de remplir la maison de son dieu. Et les voilà qui se jettent - métaphoriquement ; il ne faudrait tout de même pas déranger un salon d’artistes en se donnant réellement en spectacle ; après tout, il est interdit aux artistes de faire preuve de la passion qu’ils veulent peindre devant de potentiels investisseurs - aux pieds de quiconque observe un instant, détaillant la technique, et se sentant obligés de se prostituer. Pire encore, ce sont des hommes-sandwich détestables, qui arrachent le plaisir même qu’il y a à contempler l’art, qui se fait déjà rare à ces occasions. Et dans tout ce capharnaüm de bienséance, ce brouhaha de convenances, artistes et spectateurs se gargarisent tout en parlant d’art et de modèles auxquels ils aspirent, peut-être, à ressembler un jour, et ils prennent tant de temps à réfléchir qu’ils en oublient simplement de vivre et de créer. Ils oublient que l’art ne se fait pas au tintement des coupes de champagne, que L’Origine du monde n’a pas été auréolée de lauriers lors de sa présentation, ou que Van Gogh ne vendait pas ses toiles à un parterre de bourgeois. Rien, dans les halls cirés qui renvoient les lumières trop fortes des plafonds, ne dérange les bourses qui déambulent et s'enorgueillissent de leur culture, sans jamais trouver rien d’ironique quand un exposant place une énième reproduction de Frida Kahlo à côté d’un tableau représentant Gainsbourg, qui semble lorgner sur la première en bavant, sans que personne ne puisse traduire à la pauvre artiste mexicaine qu’il la “trouvait très jolie” et qu’il “voudrait lui offrir des fleurs”.
Et dans tout ce décor, où pourrait être blanchi tout l’argent du monde, nous giclons autant d’étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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NOTRE FORCE EST EN JÉSUS NOTRE SAUVEUR
"Seulement fortifie-toi, aie bon courage, en observant et en mettent en pratique toute la loi que ta prescrite Moise, mon serviteur: ne t'en détourne ni à droite ni à gauche, afin de réussir partout où tu iras" Josué 1:7
Aucun visiteur au zoo n'éprouve de frayeur devant les cages aux fauves. Non pas que les tigres ou les lions soient inoffensifs mais parce qu'il existe une protection efficace qui les limite dans leur espace clos.
Que ces solides barreaux viennent à disparaître et c'est la panique. Il en est ainsi dans notre vie spirituelle. La protection de Dieu nous est assurée par sa parole qui représente une alliance, un contrat signé par Lui et que le « lion rugissant » ne peut franchir. La difficulté pour nous réside en ce que ces "barreaux-là" sont invisibles tandis que nous pouvons entendre les rugissements....C'est donc au niveau des impressions, des sentiments que la plupart du temps nous basculons dans la crainte et manquons de force.
La force tranquille qui fut le thème d'une certaine campagne présidentielle est la force qu'il nous faut acquérir. Il nous appartient de fortifier notre foi dans la parole de Dieu par une communion réelle en "serrant sa promesse dans notre cœur" Psaume 119:11
La clé pour devenir fort passe par la confession des promesses et la louange doit lui faire immédiatement suite:
- Avez-vous peur la nuit? Confessez le Psaume 91:5
- Avez-vous peur de la maladie? Confessez le Psaume 103:3
- Avez-vous épuisé vos dernières provisions? Confessez Jean 10:10 etc...
Toutes les promesses faites par Dieu à Israël sont valables aussi pour nous et il en existe des milliers pour toutes circonstances. La force vient!
Ésaïe 38.16 Seigneur, c'est par tes bontés qu'on jouit de la vie, C'est par elles que je respire encore; Tu me rétablis, tu me rends à la vie.
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