#Trois fois par jour
Explore tagged Tumblr posts
Text
HIHIHIHIII REGARDEZ TOUS CES GENS QUE JE VAIS VOIR EN VRAI EN AVRIL AU PREMIER RANG DU VIEUX CO HAHAHAHHAHAHA
#par PITIÉ sncf pas la grève le jour où j’y vais. pitié.#tant de gens talentueux QUE JE VAIS VOIR HAHAHHAHA#…….on god génovèse en pull noir ça me fera toujours quelque chose#bref lui comme d’habitude j’hyperfocus c’est pas une surprise#trois fois ulysse#comédie française
3 notes
·
View notes
Text
Hello fellow QSMP Tumblr people, I would like to make a offer and would love to see if this can catch on.
If we're adopting A1, let's go all out. We're taking care of this kid.
At least three times a week, someone on Tumblr, under the "qsmp a1 tasks" tag, should draw or write something about A1 doing at least one of the official tasks for that day or the prior few days (cause I know it takes time to draw or write). It doesn't have to be huge, could be anything from a sketch to a full picture or comic, from a few sentences to a full short story, as long as it appears under the tag and has something to do with A1 and one of the recent tasks! (Please say somewhere what task you're doing and what day it was from.)
A1 doesn't mind what name you use - Ai, Aaron, Ivan, just A1, something else entirely - as long as you still use the right tag so everyone can see that there's been a task completed. They also use any pronouns and have a whole wardrobe of accessories, again as long as it's clear in the art or story that the egg is A1 and not one of the other eggs.
Feel free though to include yourself or your OCs or one of the QSMP members or none or all of them, this is just a series of writing/drawing prompts with a purpose, go wild and have fun!
Due to it being Saturday already, required tasks won't start until this Monday. After that, let's see how long we can keep our community's new kid going!
Updates account
If anyone would like to translate this into any of the other three languages, I will gladly add the translations to this post and credit you for doing so. I want to make this visible and accessible to as many people as possible.
Translations below (French by @lb1412, Portuguese by @aurora-bore-aura)
Portuguese:
Oi pessoal do QSMP Tumblr, eu queria fazer uma oferta e eu adoraria ver se isso irá se espalhar mais.
Se a gente tá adotando A1, vamos com tudo. A gente vai cuidar dessa criança.
Três vezes por semana pelo menos, alguém no Tumblr, na tag "qsmp a1 tasks", tem que postar um desenho ou escrever sobre A1 fazendo uma das tarefas oficiais daquele dia ou uns dias antes (porque eu sei que leva tempo pra fazer arte). Não precisa ser muito, pode ser um esboço(sketch) pra um desenho completo ou quadrinho, de algumas frases para uma pequena história completa. Que precisa é ao menos aparecer na tag e ter relação com A1 e as tarefas recentes! (Por favor diga em algum lugar que tarefa se tá fazendo e que dia foi ela)
A1 não tem preferência com o nome ou pronome que você usar — Ai, Aaron, Ivan, só A1, algum outro que se faça — desde que você ainda use a tag dita pra que todo mundo veja que tarefa foi feita. Além de liberdade de pronomes ele tem um armário cheio de acessórios, então por favor deixe claro em algum lugar da sua arte ou história que o ovo é o A1 e não um dos outros.
Sinta-se livre pra incluir você, ou um dos seus personagens, ou um dos membros do QSMP, ou ninguém, ou todo mundo acima. Isso aqui é só uma série de sinopses para desenhar/escrever com um propósito, se solta e se divirta!
Como já é sábado, as tarefas necessárias não vão aparecer até segunda-feira. Depois da revelação, vamos ver por quanto tempo podemos manter a nova criança da comunidade!
French:
Salut les fans du QSMP, j'ai une proposition à vous faire et j'adorerais voir si ça peut devenir concret.
Quitte à adopter A1, sortons le grand jeu. On va s'occuper de cet enfant.
Il faudrait qu'au moins trois fois par semaine, quelqu'un sur Tumblr dessine ou écrive quelque chose où A1 fait au moins l'une des tâches officielles du jour ou de l'un des jours précédents (parce que je sais que dessiner ou écrire, ça prend du temps), et le poste sur le tag "qsmp a1 tasks". Pas besoin de faire quelque chose d'y mettre énormément d'efforts, ça pourrait être n'importe quoi, d'un croquis à une illustration ou BD complète, de quelques phrases à une courte histoire complète, tant que c'est posté dans le tag et que ça a un lien avec A1 et l'une des tâches récentes ! (S'il vous plaît, notez quelque part de quelle tâche vous vous chargez et le jour auquel ça correspond.)
Peu importe quel nom vous utilisez pour A1 (Ai, Aaron, Ivan, juste A1, ou même un tout autre nom), cela ne lea dérange pas tant que vous utilisez le bon tag pour que tout le monde puisse voir qu'une tâche a été accomplie. Iel utilise n'importe quels pronoms et possède toute une galerie d'accessoires, tant, encore une fois, qu'il est clair dans le dessin ou l'histoire qu'il s'agit d'A1 et pas d'un autre œuf.
Sentez-vous libre de vous inclure vous, vos OCs, l'un des membres du QSMP, tous les membres, ou même aucun, ce ne sont qu'une série de prompts de dessin/d'écriture avec un but précis, faites-vous plaisir et amusez-vous bien !
Puisqu'on est déjà samedi, les tâches nécessaires ne compteront pas avant lundi. Après ça, essayons de voir combien de temps la communauté peut maintenir notre nouvel enfant en vie !
#qsmp#qsmp eggs#qsmp a1 tasks#qsmp aaron#qsmp ai#art prompt#writing prompt#time to test this social experiment and see how much we've all pack bonded with anything egg-shaped
557 notes
·
View notes
Text
Je ne sais pas comment je m'attendais à voir l'année 2023 se terminer sur le plan politique en France, mais j'aurais peut-être quand même eu du mal à le croire si vous m'aviez prédit que dans la première semaine de décembre, le gouvernement réussirait à faire un geste religieux critiqué par les juifs, les chrétiens, les musulmans et les non-croyants tout à la fois, puis trois jours plus tard à proposer une loi immigration qui serait accueillie par une motion de rejet votée par des députés de gauche, extrême-gauche, droite et extrême-droite et qui conduirait le ministre de l'Intérieur à proposer sa démission. Rien à ajouter, c'est un bingo, en avant pour les JO
242 notes
·
View notes
Text
"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
35 notes
·
View notes
Text
L'Art et la mode, no. 28, vol. 15, 14 juillet 1894, Paris. Art & Chiffons. Bibliothèque nationale de France
Robe en lainage rose, boutonnant derrière. Garniture de guipure blanche.
Pink woolen dress, buttoned at the back. White guipure trim.
—
Robe en batiste ciel. Garniture de linon brodé. Guimpe plissée.
Sky cambric dress. Embroidered lawn trim. Pleated wimple.
—
Toilette en taffetas changeant. Garniture de bouillonés de mousseline de soie. Col, ceinture et nœuds de satin noir.
Changing taffeta ensemble. Garnished with chiffon bouillons. Black satin collar, belt and bows.
—
Toilette en linon à fleurettes, de point à l’aiguille.
Ensemble in flowered lawn, needlepoint.
—
Ding ding! Ding ding! Le glas du départ est sonné, le Bois est désert, les salons sont clos. Paris a beau être joli et charmant, il faut s’en aller, qui à la mer, qui à la forêt, qui à la montagne, et quand l’époque du voyage est fixée, la malle est vite faite.
Au risque de passer pour rabâcheuse, il faut bien dire encore une fois que le blanc domine.
La vigogne fait des costumes simples et élégants, privés du moindre ornement; on ne les garnit que de grosses piqûres et d’énormes boutons de nacre.
La serge bleue semble être la nuance préférée des bicyclistes féminines, avec galons de mohair blanc ou rouge, ou écru; le chapeau Escadre en toile ou en serge bleue.
La saison s’annonce déjà très brillante à Cabourg, et l’on y fait, paraît-il, deux et même trois toilettes par jour… le matin, ce sont des costumes tailleur en covercoat, avec biais piqué dans le bas, petite jaquette pareille, col rose ou lilas, cravate en batiste; l’après-midi, ce sont les robes de piqué blanc, avec devant froufrou en crêpe de chine, boléro écourté sur des dentelles vaporeuses superposées, ce qui est plus habillé que le simple flottant de surah; mais ce qui domine, c’est la robe de mousseline à pois brochés, enrichie de volants ourlés de dentelles; à côté de ce genre, le style Pompadour, avec dentelles écrues; quant aux nœuds de rubans, on les sème partout, au relevé de la jupe, à la berthe au cou, à la ceinture, jamais le ruban n’a été aussi en vogue.
—
Ding ding! Ding ding! The death knell has sounded, the Bois is deserted, the salons are closed. Paris may be pretty and charming, but you have to go, some to the sea, some to the forest, some to the mountains, and when the time of the trip is set, the trunk is quickly packed.
At the risk of coming across as harping, it must be said once again that white dominates.
The vicuña makes simple and elegant costumes, deprived of the slightest ornament; they are only garnished with large stitches and enormous mother-of-pearl buttons.
Blue serge seems to be the favorite shade of female cyclists, with white or red, or ecru mohair braid; the Escadre hat in canvas or blue serge.
The season is already looking very bright in Cabourg, and it seems that there are two and even three ensembles a day… in the morning, they are tailored suits in covercoat, with stitched bias at the bottom, similar little jacket, pink or lilac collar, cambric tie; in the afternoon, there are the white piqué dresses, with frilly front in crepe de chine, cropped bolero on superimposed vaporous lace, which is more dressy than the simple floating surah; but what dominates is the muslin dress with polka dots, enriched with ruffles hemmed with lace; next to this genre, the Pompadour style, with ecru lace; as for ribbon bows, we scatter them everywhere, at the top of the skirt, at the berthe at the neck, at the belt, ribbon has never been so fashionable.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1894#on this day#July 14#periodical#fashion#fashion plate#panorama#description#bibliothèque nationale de france#dress#swim#beach#gigot#collar
30 notes
·
View notes
Text
Quelle joie profonde, en longeant les vitrines du monde, de m'apercevoir que rien ne me fait plus envie. Plus aucune tentation, plus aucun besoin de désirer des choses : je n'ai besoin de rien de matériel, j'ai déjà l'essentiel. Qu'est-ce qui me ferait plaisir, qu'aurais-je envie d'avoir, d'acquérir, de rapporter chez moi ? Rien, sincèrement, profondément, absolument rien, désolé je ne suis plus client. Besoin d'autres choses, besoin de paysages, besoin de voir la mer ou un beau visage, oui, ça oui. Besoin de profiter du silence ou d'une belle voix, oui, ça oui. Besoin du mouvement de la rivière et de l'odeur des sous-bois, oui, ça oui. Besoin de voir l'ocre d'une belle façade sous le soleil, la profondeur d'une ruelle déserte baignée de nuit, oui ça, oui. Besoin de laisser naître en moi une belle idée et peut-être d'en faire trois lignes qui se perdront elles aussi : oui, ça oui, cent fois oui. Pire encore ou mieux encore —c'est au choix : depuis peu je n'attends plus rien, ni personne. Et pourtant... si "plus rien, ni personne" frappaient à ma porte, j'irais ouvrir et je serais heureux de ce qui suivrait. Je les accueillerais avec plaisir "rien, ni personne", même si à nouveau ils venaient à disparaître. J'en suis arrivé là, je suis capable de ça. Capable de laisser arriver ce qui arrive. Et si cet état devait disparaître avec les acteurs responsables de cet état, ce ne serait pas un drame. Je ne regarde plus dans les vitrines, j'oublie, c'est comme si je gardais les yeux fermés en marchant. Je ne fabrique plus aucune attente, ni aucun de ses produits dérivés : le manque, les frustrations, les désirs incomblés et tout cet inassouvi ravageur qui en découle. Je prends ce qui veut bien venir à moi et me reconnaître. Et sans jamais l'attendre je sais qu'elle existe la minuscule tribu de ceux qui finissent un jour par arriver, s'ils arrivent. L'âge offre ça, ce cadeau, quel cadeau, quelle paix, quel pied (de randonneur) ; ça doit s'appeler finalement le détachement, ça doit s'appeler finalement la Liberté.
jacques dor
64 notes
·
View notes
Text
lost soul au 2(french)
C’était un jour agité sur la montagne de fleurs et de fruits. Pour une raison quelconque, tous les singes étaient très bruyants aujourd’hui ; et c’est sans doute cela qui a forcé le roi à quitter sa réflexion pour regarder la porte depuis le confort du lit de la chambre de Macaque.
-Je pense que ce n’aurais pas été ton jour. Les singes sont bruyants aujourd’hui.
Wukong n’a pas osé se mettre sous les couvertures. Il n’avait pas envie de mettre du désordre dans la chambre de son ancien ami. Alors il s’était simplement allongé là, sachant parfaitement qu’il ne trouverait pas le sommeil. L’endroit était resté tel qu’il l’avait trouvé à son arrivée sur la montagne. Des feuilles de papiers étaient même restés sur le sol et prenaient la poussière. Quelques dessins à l’effigie de Wukong pouvaient être aperçus sur dans un des tiroirs à moitié fermé du bureau de Macaque. Certaines poudres reposaient gentiment sur la commode du singe de l’ombre, le placard où il cachait ses déguisements était fermé ; et l’un de ses coffres débordait toujours de rouleaux, tissus, et trésors en tout genre. La chambre était bien trop rangée malgré les quelques affaires qui dépassaient du rangement implacable de Macaque. Wukong s’aimait à penser que ce petit grain de désordre était une habitude que le macaque à six oreilles avait pris de lui avec le temps. La seule chose que Wukong avait touché était les senteurs que Macaque utilisait pour parfumer sa chambre. Une odeur de vieux papier et de fruits sucrée dans lequel Wukong se plongeait les quelques fois où il venait ici.
Wukong ne put pas rester bien longtemps à penser, car les cris de ses sujets lui cassaient les oreilles. C’était devenu insupportable. Qu’est ce qui pouvait bien les mettre dans un état pareil ? Wukong essaya au mieux de comprendre ce qui était dit ; mais ce qu’il se disait était dit et mélangé tant que Wukong ne put mettre le doigt sur aucun mot propre.
-Il semblerait que je doive te quitter bourgeon. Mon royaume m’appelle.
Aussitôt dit, Wukong sauta du lit et sortit de la chambre. Immédiatement, dans le couloir, une foule de singe se tournèrent vers leur roi au moment où il ferma la porte derrière lui. Il se passa une seconde où tout le monde sembla s’assurer que c’était bel et bien leur roi qui sortait de la chambre du décédé qui était presque considéré comme le second roi de la montagne. Puis, la foule de singe lui sauta dessus. Petit comme grands, démons singes comme singes normaux. Tous ce qui se trouvait dans le couloir l’écrasèrent de soulagement, enfouissant leur roi sous une montagne de singe.
-Hey les gars. Vous allez me tuer là. Se moque le roi.
Personne ne trouva ça drôle. Wukong fit de son mieux pour se dégager avant de demander plus d’explications. Pourquoi diable y avait-il autant d’agitation dehors et à l’intérieur ? La réponse lui fut donné par un singe étranger que Macaque avait ramené à la montagne. Wukong se souvient de lui car Macaque l’avait présenté lui-même, lorsque Wukong était rentré après avoir été chassé par le moine.
« Il te ressemble un peu » avait rit Macaque à l’époque. « Il est très bruyant. »
Wukong se souvient qu’il n’a pas aimé l’attention que portait Macaque à ce nouveau venu, et les deux amis s’étaient disputés pour une raison dont Wukong ne se souvient même plus après.
-Mon roi, vous avez disparu depuis trois jours et trois nuits, et vous n’aviez averti personne d’un quelconque départ. Tout le monde s’inquiétait de votre absence. Nous avons pensé le pire.
Wukong écarquilla les yeux. Les cernes sous ses yeux semblaient tirer sur sa peau. Et ses orbites étaient un peu trop sèches. Le roi ferma les yeux et se les frotta pour les humidifier un peu, sous le regard inquiet de ses sujets en première ligne devant lui.
-Je vais bien. Annonce le roi en clignant plusieurs fois des yeux sous l’inconfort d’avoir les yeux secs.
Il ne s’était pas rendu compte qu’ils l’étaient jusqu’à ce qu’il écarquille les yeux. Combien de temps ne les avait-il pas fermés ? Combien de temps était-il resté à perdre son regard dans le plafond de la chambre de son ami ?
-Je vais bien. Répète le roi en continuant de cligner des yeux. Mais, trois jours ? Vraiment ?
Les singes hochèrent la tête. Dehors, le vacarme s’était arrêté. Quelqu’un a dû les prévenir que leur roi était retrouvé. Wukong cligna encore plusieurs fois des yeux. Des larmes coulèrent avant de finalement laisser une vue floutée par les larmes à Wukong.
-Woah…euh… Un dernier clignement pour chasser l’eau de ses yeux, et sa vue fut de nouveau claire. Désolé de vous avoir inquiété les gars. J’ai juste fait une super grosse sieste.
C’était un mensonge. Cela faisait des lustres que Wukong n’arrivait pas à dormir, à moins que l’un des petits singe ne vienne se reposer sur lui. Un frisson familier parcourut Wukong. Il l’ignora et se pressa de rassurer son peuple. Il attrapa quelques petits dans une main, pris la main de quelques petits démons singes de l’autre, et laissa le reste de ses sujets, le suivre hors du temple.
À l’extérieur, le reste de son peuple s’était réuni autour du temple. Ils formaient un mur immense de singe qui entourait l’entrée du temple. Wukong se rendit compte alors, à quel point son peuple était inquiet. Il n’y avait pas eu de telles assemblées depuis longtemps. Il soupira et murmura dans sa barbe.
-J’ai vraiment le dont d’inquiéter tout le monde, hein bourgeon ?
Il était évident que Macaque ne lui répondrait pas. Mais il aimait penser que le singe de l’ombre aurait pu l’entendre peu importe où il se trouvait. Comme cela a toujours été le cas lorsque Macaque était de ce monde.
- Ah…on dirait que j’ai fait peur à tout le monde hein ?
Comme un seul singe, le mur de primate hocha la tête plusieurs fois. Puis, un murmure fort commença à parcourir la foule. Wukong suivit le son inquiet de là où il a commencé, et le suivit se propager dans la foule en vague. Chacun voulait donner son avis. Wukong ne dit rien. Il laissa un temps s’écouler avant de demander le silence, et demander à une personne de se charger de représenter la troupe. Un chuchotement bref se fit entendre avant que la troupe ne donne un nom.
« Shi Luo »
Le même singe que Wukong avait vu plus tôt ; celui que Macaque avait ramené sur la montagne, s’écarta du lot. Maintenant que Wukong le voyait, il pouvait remarquer à quel point le singe était jeune. Il allait certainement atteindre sa maturité dans quelques années, mais il était encore assez jeune. Sans doute un peu plus jeune que lui et Macaque l’étaient la première fois qu’ils s’étaient croisés. Il avait une fourrure aussi claire que les nuages, qui virait au noir au niveau de la queue. Sa peau était un peu plus grise que celle de Macaque, et un masque bleu recouvrait ses yeux. Le jeunot se rapprocha au plus proche de Wukong avant de s’incliner de la même façon que le faisait Macaque lorsque ce dernier se mettait à agir comme son vassal devant des étrangers de la montagne. Le geste pinça le cœur de Wukong. Il serra sa prise sur ses vêtements.
-Qui es-tu ? Demande Wukong.
Le singe au marquage bleu leva les yeux vers Wukong, et les cligna plusieurs fois avant de s’empresser de répondre le plus poliment possible.
-La vieille Lune m’a donné le nom de Shi Luo. Je suis le premier protégé de la veille Lune, votre altesse. Je serais celui qui vous offrira la voix de votre peuple aujourd’hui.
Wukong ne savait pas que Macaque avait des protégés. Il savait que lui et le singe de l’ombre trouvaient souvent des singes en difficulté, et les ramenaient à la montagne. C’était un quelque chose que Wukong était sûr que Macaque avait continué à faire après son départ ; mais les appeler protégés était excessif. Cela donnait un mauvais goût dans la bouche de Wukong. La voix de Macaque le gronda dans sa tête. Comme si Macaque avait deviné que les prochaines actions de Wukong allaient être stupides. Wukong décida de ne rien faire. Il hocha lentement la tête, il interrogerait de Shi Luo plus tard.
-Parle.
Ordonne-t-il enfin. Shi Luo ne se fit pas prier.
-Nous sommes inquiets pour vous votre altesse. Des sifflements positifs s’élevèrent de la foule, encourageant le singe les représentants, à parler. Vous êtes restés des années à pleurer une personne qui n’existe plus. La montagne à besoin de leur roi. Nous pleurons avec vous la perte de la vieille Lune, mais vous ne pouvez pas vous laisser dépérir ainsi. Encore une fois, nous avons besoin de vous. La montagne n’a pas connu de véritables beaux jours depuis que vous avez cessé de sourire. Certains des fruits que la vieille Lune adorait ne donnent plus de fruits, comme si vous l’aviez commandé. Les humains et les démons s’aventurent un peu plus près de la montagne à chaque jour qui passent, et nous craignons que, si le chagrin ne vous tue pas, ce sera la prochaine attaque à l’encontre de la montagne qui prendra vos immortalités.
Wukong émit un rire moqueur à la dernière phrase du jeune singe. S’il pouvait mourir de si peu, il serait déjà parti depuis longtemps. Son immortalité le condamnait ainsi, à vivre sans Macaque.
-Ne vous en faites pas. Je ne mourrais pas de si peu. Et je m’occuperais de vous.
Shi Luo leva les yeux vers la foule qui s’était remise à murmurer en désordre. Wukong réussit à retenir quelques mots. Mais visiblement, Shi Luo réussit mieux que lui à assimiler ce qui intriguait tout le monde dans la troupe. Il arrivait certainement à démêler les inquiétudes de tout le monde par ce qu’il avait les mêmes préoccupations. C’est comme cela qu’il démêlait si bien le charabia de mot si fermement gribouillé.
-Nous vous croyons mon roi. Mais nous tenons à vous. Nous aimerions que vous puissiez vivre à nouveau malgré le départ de la vieille Lune.
Le jeune homme sembla vouloir dire quelque chose. Il hésita une seconde, jeta un regard à la troupe, demandant s’il pouvait parler du sujet délicat que tous, semblaient avoir pensé, avant d’ouvrir à nouveau la parole.
-Nous pensons que vous devriez peut-être chercher un nouveau compagnon.
La fourrure de Wukong se hérissa de colère. Il ignora même le fait que le plus jeune impliquait que son amitié avec Macaque était plus que cela. Ses griffes s’enfonçaient dans ses paumes pour essayer de ne pas tuer le jeunot tout de suite. Les petits qui étaient sur lui, descendirent en sentant la tension monter. La gorge de Wukong se serra, il fit de son mieux pour retenir la boule de rage au fond de son œsophage. Ignorant le danger, Shi Luo continua.
-La vieille Lune est, et restera irremplaçable. Mais… nous pensons que peut-être, si vous trouviez quelqu’un pour combler le vide qu’elle… qu’il a laissé ; vous seriez capable de passer à autre chose. Il n’est pas bon de s’attarder sur le même problème indéfiniment. Nul ne peut vaincre la mort, une fois qu’il l’a traversé.
-J’ai vaincu la mort. Grinça Wukong. Je suis allé aux enfers et ai retiré mon nom de la mort elle-même. Rien ne m’est impossible. Je suis Le grand roi singe égal au ciel. Et je le dis aujourd’hui et maintenant. Rien ni personne ne remplacera Macaque.
-Ce n’est pas ce que je voulais dire… Nous pensons…
-Alors ne pensez plus.
Wukong se tourna directement vers sa troupe, les crocs à découvert.
-Alors c’est ça ? Vous voulez que je trouve un remplaçant à Macaque ?
Un brouhaha se fit entendre. Shi Luo repris la parole pour pouvoir retranscrire ce que la foule pensait et que Wukong avait déjà compris.
- Nous ne voulons pas de remplaçants à la vieille Lune. Nous souhaitons seulement votre bonheur, grand-père Sun. Shi Luo hésita avant de dire ce qu’il pensait personnellement. La vieille Lune était une personne logique. Elle serait d’accord avec cette décision.
-Assez !
Le cri de Wukong se répercuta dans toute la montagne. Chacun se tût.
-Je ne veux plus jamais vous entendre, ne serait-ce qu’évoquer cette idée stupide. C’est un ordre. Si jamais l’un d’entre vous le fait, je l’écorcherais vif, moi-même.
Suite à ses mots, Wukong s’enfonça dans la forêt. Les singes ne le retinrent pas. Ils attendirent que leur roi parte avant de chuchoter.
-Notre roi a perdu la raison.
Entendait-on.
-La perte de grand-mère Lune l’a brisé.
Se chuchotait entre les parois.
-Notre roi ne pourra plus être le même.
Les murmures résonnèrent encore et encore, reflétant la panique du peuple. Tout le monde aimait Macaque. Mais même eux savaient que la mort était définitive, et qu’ils ne pouvaient rien faire à ce sujet si ce n’est aller de l’avant. Il n’était pas question d’oublier le passé. Mais on ne devait non plus être ralenti par ce dernier. Ceux qui avaient survécu à l’incendie de la montagne de fleur et de fruits comprenaient certainement le mieux le roi singe. Mais même eux savaient que le roi devait agir comme tel. Macaque ne reviendrait pas. Tout comme les morts de ce jour-là. Cela faisait des mois, des années, quelques siècles, que le roi pleurait Macaque. Il ne pourrait pas le faire pour l’éternité. Il devait se ressaisir. Mais Wukong restait le même enfant têtu qui avait sauté dans la cascade. Et il ne voulait pas voir la réalité en face.
chapitre 1 _ chapitre 2_ Chapitre 3
24 notes
·
View notes
Text
Ma nuit est comme un grand cœur qui bat.
Il est trois heures trente du matin.
Ma nuit est sans lune.
Ma nuit a de grands yeux qui regardent fixement une lumière grise filtrer par les fenêtres.
Ma nuit pleure et l’oreiller devient humide et froid.
Ma nuit est longue et longue et longue et semble toujours s’étirer vers une fin incertaine.
Ma nuit me précipite dans ton absence.
Je te cherche, je cherche ton corps immense à côté de moi, ton souffle, ton odeur.
Ma nuit me répond : vide ; ma nuit me donne froid et solitude.
Je cherche un point de contact : ta peau. Où es-tu ? Où es-tu ?
Je me tourne dans tous les sens, l’oreiller humide, ma joue s’y colle, mes cheveux mouillés contre mes tempes.
Ce n’est pas possible que tu ne sois pas là.
Ma tête erre, mes pensées vont, viennent et s’écrasent, mon corps ne peut pas comprendre.
Mon corps te voudrait.
Mon corps, cet aléa mutilé, voudrait un moment s’oublier dans ta chaleur, mon corps appelle quelques heures de sérénité.
Ma nuit est un cœur en serpillière.
Ma nuit sait que j’aimerais te regarder, chaque courbe de ton corps, reconnaître ton visage et le caresser.
Ma nuit m’étouffe du manque de toi.
Ma nuit palpite d’amour, celui que j’essaie d’endiguer mais qui palpite dans la pénombre, dans chacune de mes fibres.
Ma nuit voudrait bien t’appeler mais elle n’a pas de voix.
Elle voudrait t’appeler pourtant et te trouver et se serrer contre toi un moment et oublier ce temps qui massacre.
Mon corps ne peut pas comprendre.
Il a autant besoin de toi que moi, peut-être qu’après tout lui et moi ne formons qu’un.
Mon corps a besoin de toi, souvent tu m’as presque guérie.
Ma nuit se creuse jusqu’à ne plus sentir la chair et le sentiment devient plus fort, plus aigu, dénué de la substance matérielle.
Ma nuit me brûle d’amour.
Il est quatre heures du matin.
Ma nuit m’épuise.
Elle sait bien que tu me manques et toute son obscurité ne suffit pas pour cacher cette évidence.
Cette évidence brille comme une lame dans le noir.
Ma nuit voudrait avoir des ailes qui voleraient jusqu’à toi, t’envelopperaient dans ton sommeil et te ramèneraient à moi.
Dans ton sommeil, tu me sentirais près de toi et tes bras m’enlaceraient sans que tu te réveilles.
Ma nuit ne porte pas conseil.
Ma nuit pense à toi, rêve éveillé.
Ma nuit s’attriste et s’égare.
Ma nuit accentue ma solitude, toutes mes solitudes.
Son silence n’entend que mes voix intérieures.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Ma nuit aurait peur que le jour n’apparaisse jamais plus mais à la fois ma nuit craint son apparition, parce que le jour est un jour artificiel où chaque heure compte double et sans toi n’est plus vraiment vécue.
Ma nuit se demande si mon jour ne ressemble pas à ma nuit. Ce qui expliquerait pourquoi je redoute le jour aussi.
Ma nuit a envie de m’habiller et de me pousser dehors pour aller cherche mon homme.
Mais ma nuit sait que ce que l’on nomme folie, de tout ordre, sème-désordre, est interdit.
Ma nuit se demande ce qui n’est pas interdit.
Il n’est pas interdit de faire corps avec elle, ça, elle le sait. Mais elle s’offusque de voir une chair faire corps avec elle au fil de la désespérance. Une chair n’est pas faite pour épouser le néant.
Ma nuit t’aime de toute sa profondeur, et de ma profondeur elle résonne aussi.
Ma nuit se nourrit d’échos imaginaires. Elle, elle le peut. Moi. j’échoue.
Ma nuit m’observe. Son regard est lisse et se coule dans chaque chose.
Ma nuit voudrait que tu sois là pour se couler en toi aussi avec tendresse.
Ma nuit t’espère. Mon corps t’attend.
Ma nuit voudrait que tu reposes au creux de mon épaule et que je me repose au creux de la tienne.
Ma nuit voudrait être voyeur de ta jouissance et de la mienne, te voir et me voir trembler de plaisir.
Ma nuit voudrait voir nos regards et avoir nos regards chargés de désir.
Ma nuit voudrait tenir entre ses mains chaque spasme.
Ma nuit se ferait douce.
Ma nuit gémit en silence sa solitude au souvenir de toi.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Elle perd la tête mais ne peut éloigner ton image de moi, ne peut engloutir mon désir.
Elle se meurt de ne pas te savoir là et me tue.
Ma nuit te cherche sans cesse.
Mon corps ne parvient pas à concevoir que quelques rues ou une quelconque géographie nous séparent.
Mon corps devient flou de douleur de ne pouvoir reconnaître au milieu de ma nuit ta silhouette ou ton ombre.
Mon corps voudrait t’embrasser dans ton sommeil.
Mon corps voudrait en pleine nuit dormir et dans ces ténèbres être réveillé parce que tu l’embrasserais.
Ma nuit ne connaît pas de rêve plus beau que celui-là.
Ma nuit hurle et déchire ses voiles, ma nuit se cogne à son propre silence, mais ton corps reste introuvable. Tu me manques tant. Et tes mots. Et ta couleur.
Le jour va bientôt se lever.
- Frida Kahlo, Lettre à Diego Rivera (12 septembre 1939)
30 notes
·
View notes
Text
Aujourd’hui, retour dans le brutalisme, mais cette fois-ci du vrai, du pur, avec le hameau du Ménel à Meximieux (01). Commandé par EDF, dessiné en 1966-67 par René Gagès (1921-2008) et son pote Gabriel Roche, ce petit coin de béton est sorti de terre en 1970 pour loger les cadres et les agents de maîtrise de la centrale nucléaire du Bugey. Les logements, qui vont du T4 au T6, sont répartis sur un, deux ou trois niveaux et ont tous leur accès particulier. Bien qu'étant un quartier « neuf », il a été réalisé dans le style village traditionnel, avec la possibilité de s'isoler. Aujourd’hui, le hameau a été rebaptisé « Lotissement du Ménel ». Ça fait pas rêver, mais bon, c’est bien comme ça que les gens s’imaginent le « paradis » de nos jours.
20 notes
·
View notes
Text
Je viens de terminer "Mon mari" de Maud Ventura et omg men are trash mais ohhhhhh j'ai eu envie de lancer le bouquin à la fin comme une grande claque dans la tronche de son débile de mari.
Cette femme est amoureuse, passionnée, obnubilée par son mari, au point de tout consigner. Comment l'aimer mieux, comment être désirable, comment être mystérieuse, mais aussi toutes les fautes qu'il commet et sa façon de le punir. Genre : Il a enlevé sa main de la mienne et ne l'a pas remise alors que j'ai essayé trois fois, je vais éviter de répondre à ses appels téléphoniques plusieurs fois. Elle pense à lui constamment comme si la période passionnelle n'était pas encore terminée, alors qu'il est bien ancré dans sa routine rassurante de material husband. Je l'ai trouvée folle, puis touchante, puis folle, puis touchante. Elle détecte et interprète de façon intense le moindre signe, le ton de la voix, les mots utilisés, la musique qu'il écoute. Elle doute de chaque moment et se rassure comme elle peut, jusqu'au jour où ça va trop loin.
⭐⭐⭐⭐⭐ j'aurais mis 4 étoiles pendant tout le livre mais le dénouement ajoute une étoile et me fait comprendre pourquoi Amélie Nothomb en parle comme d'un "délice irrésistible"
J'ai maintenant envie de le relire par le prisme de ce que j'ai appris à la fin.
24 notes
·
View notes
Text
100 Days of Productivity [Day: 86] || 100 Jours de Productivité [Jour: 86]
the smell of books in the library. hearing the coffee bubbling in the carafe. same thing said in multiple languages – "beautiful," I say.
it's been busy. so busy. but that's nothing new. & I'm certainly not complaining. my 3 month review is in sight & it makes me so nervous. things have been going very well but I still fear anything I may be missing that may have not been brought to my attention.
I've taken to visiting the university library twice a week in order to give myself a place to study. there isn't anything wrong with home, necessarily, but it's always been easier for me to focus in that kind of setting.
academic work:
-review imperfect tense -start paragraph assignment
freelance work:
-develop film for prints -apply for tables at summer markets [yikes] -level book press
office work:
-answer all emails -finish period end work
currently listening // Kalatea by Kyon Grey
· · ────── ·𖥸· ────── · ·
thank you @zzzzzestforlife for the tag! [game explanation here & picrew here]
what I look like vs. what I want to look like
because I would love to have purple eyes and be dressed with a mini wizard hat to match my outfit!
I tag: @moonshine-mocha , @vounnasi , @megumi-fm , @halcyonem & anyone else who would like do try! ~ <3 [sorry if I'm re-tagging you ^^"]
l'odeur des livres dans la bibliothèque. entendre le café bouillonner dans la carafe. la même chose dite dans plusieurs langues - "magnifique", dis-je.
j'ai été très occupée. très occupée. mais ce n'est pas nouveau. et je ne me plains certainement pas. mon évaluation de trois mois est en vue et elle me rend très nerveuse. les choses se sont très bien passées mais je crains toujours de manquer quelque chose qui n'aurait pas été porté à mon attention.
J'ai pris l'habitude de me rendre à la bibliothèque de l'université deux fois par semaine afin de me donner un endroit où étudier. il n'y a rien de mal à être chez soi, mais il m'a toujours été plus facile de me concentrer dans ce genre d'environnement.
travail académique :
-révision de l'imparfait -commencer un travail sur un paragraphe
travail en free-lance :
-développer des films pour des tirages -candidature pour les tables des marchés d'été [aïe]. -mettre à niveau les presses à livres
travail de bureau :
-répondre à tous les courriels -finir le travail de fin de période
chanson // Kalatea par Kyon Grey
#100 days of productivity#day 86#100dop#100 jours de productivité#jour 86#100jdp#studyblr#study blog#studyspo#study motivation#study aesthetic#bookish#gradblr
35 notes
·
View notes
Text
CRÉATURES JOUABLES
Bestiaux qui rôdent, se tapissent derrière les masques. Peut-être serez-vous l'un d'entre eux ? Ferez-vous partie des hostiles ou des protecteurs inoffensifs ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque créature fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu. (tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation) ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨
BANSHEES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté **** Activité : principalement de nuit Regroupement : solitaires
Entités fantomatiques hurlant mélopées funèbres, elles sont les individus qui ont un jour été frappés accidentellement par la faucheuse, alors que cela ne faisait guère partie de leur destin, revenant ainsi à la vie après une expérience de mort imminente. Ces êtres en ont conservé un lien particulièrement fort avec l’au-delà. Simili sorciers protecteurs de clans humains ancestraux, les Banshees perçoivent la mort, la sentent venir. ---------------------------
DRYADES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : solitaires ou cercles de trois à dix Dryades
Nymphes des forêts et des landes. Êtres de nature aussi curieux que doux, les Dryades sont pourtant en déclin constant depuis l’aube de l’urbanisation qui dévore chaque jour un peu plus leur habitat naturel. Leurs épidermes se fardent de fleurs et autres feuillages, faisant de ces êtres de véritables écosystèmes vivaces qui ne sont guère de chair et de sang.
---------------------------
HARPIES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : nids de trois à douze Harpies
Rapaces avisés à la réputation belliqueuse. Mi-oiseau, mi-humanoïde, leurs ailes puissantes se déploient afin de traquer les proies qu’elles saisissent de leurs serres affutées qui semblent pouvoir tout transpercer. Jadis nommées Sirènes, Érinyes voire Sirin Bird, l’évolution leur a donné une seconde apparence, celle d'humanoïdes dissimulant la bête. L’instinct de chasse et le goût sanglant les borde, avides de violence et d’observer la souffrance dont elles se délectent.
---------------------------
LYCANTHROPES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces **** Rareté *** Activité : les nuits de pleine lune Regroupement : solitaires et meutes de deux à vingt Lycans
Malédiction des pupilles de la lune. L’âcre venin d’une monstruosité les a frappés une nuit, gangrenant leurs chairs jusqu’à la lune ronde suivante. Bêtes aux instincts bestiaux qui prédominent sous les effets de l’astre, ils perdent toute conscience de leurs actes lors de leurs transformations en monstruosités mi-hommes mi-loups. Leurs sens demeurent cependant constamment affutés.
---------------------------
SIRÈNES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté * Activité : jour et nuit Regroupement : clans de deux à trente sirènes
Aussi surnommées Merrows, Ondines ou Vampires des eaux, elles errent dans l'onde à la recherche d'âmes pour en aspirer la jouvence et ainsi dé-sécher leurs proies sans vergogne. Créatures vicieuses et manipulatrices, elles ont évoluées avec le monde, arpentant en partie les terres afin de mieux saisir leurs proies, qu'elles capturent via de leur charisme. Omniprésentes, il se murmure qu'elles sont plus nombreuses sous l'écume qu'il y a d'êtres humains sur terre.
---------------------------
STRYGES
Hostilité envers l'humain ** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires ou nid de deux à vingt Stryges
Goules dévoreuses de macchabées. Gargouilles trônant dans les cimetières et reluquant du haut des églises. Elles se figent une fois l'aube levée en malédiction terrible qui les tourmente. Fardeau qui leur donne un aspect monstrueux aux antipodes des êtres humains qu'elles ont un jour été. La nuit les libère, ôte leurs traits de statue. Peu hostiles, elles se font gardiennes, veillent sur l'humanité.
--------------------------- VAMPIRES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires et clans de deux à douze Vampires
Maîtres des nuits brumeuses. Créatures non mortes et non vivantes arpentant les terres sans jamais trouver repos éternel. La faucheuse est omnisciente dans leurs sillages, en ombre qu'ils laissent en relâchant leurs proies. Buveurs de sang, ils glanent l'ichor encore chaud aux gargues de leurs proies. Rigueur cadavérique qui fascine pourtant l'humain depuis toujours.
26 notes
·
View notes
Text
Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bagarreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1893 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertion de son fiancé et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restrictions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#lebrisdivers#Jules Le Bris
14 notes
·
View notes
Text
"Un temps neigeux"
Wolverine x FTMreader
note : Logan a une place bien particulière dans mon coeur, alors comme avec toutes ces choses-là, j'aime écrire dessus ;)
résumé : lors d'une soirée d'hiver, deux hommes se rencontrent et étonnament, s'entendent plutôt bien.
! warnings : language vulgaire/cru, violence, alcool, cigare
bannière par @/saradika-graphics
2 404 mots
Description à la troisième personne
Ses yeux admiraient les reflets que projetait la lune sur le lac, il aimait profondément la nuit, plus que le jour, c'était sûr et certain. Quelque chose était réconfortant dans cette pâle lumière, tout comme mystérieux, et il aimait ça.
Deux hommes passèrent devant, assez jeunes, charmants. Il les avait déjà vu il y a environ trois minutes, rentrant dans le bar derrière lui, mais apparemment ils n’y avaient pas trouvé leur bonheur.
Le jeune homme se leva, passant rapidement ses mains contre ses cuisses pour retirer le peu de terre qui pourrait s’y trouver. Il admira encore une fois le beau spectacle qui s’offrait à lui, avant de se retourner. Sans problème, il rentra dans le bar, pas des plus remplis pour un vendredi soir. Quelques personnes s'étaient mises dans un coin, d’autres jouaient au billard et trois étaient au comptoir. Il se rapprocha de ce dernier, faisant un signe de tête au barman en guise de bonsoir. Il prit la première place qu’il vit, à un siège d'un homme sûrement bourré au vu de sa position courbée.
« Qu'est ce que je vous serre ? »
Ses yeux noisettes sourirent au barman, il commanda un mojito, pour se rappeler de la fraîcheur du dehors. L’homme à sa droite bougea, il le regarda sans vraiment prêter attention, mais remarqua tout de même qu’il n'était peut-être pas si bourré qu’il l’aurait imaginé. Son verre, de ce qu’il supposait être du whisky, était déjà vide mais son visage ne semblait pas endormi, bien au contraire.
« Et voilà pour vous »
Le verre glacé arriva dans ses mains, il remercia le barman et prit une gorgée. Le goût sucré et mentholé lui fit presque oublier l’alcool présent dans la boisson.
Une fumée grise obscurcit sa vision pendant quelques secondes, il fronça les sourcils et trouva le coupable à sa droite. L’homme fumait un gros cigare. Le jeune brun ne put s'empêcher de souffler, amusé, ce genre de “cigarettes” n'était plus très courant. Il reprit une gorgée de sa boisson, ne voyant pas l’homme le regarder du coin de l’œil.
Logan fronça les sourcils, c'était rare qu’il ne le fasse pas en fait, mais cette fois-ci était pour une raison valable. Le garçon à sa gauche n’arrêtait pas de le regarder, croyant être discret, voire même invisible. Et il n’aimait pas être fixé, surtout par un inconnu. Il tira de nouveau sur son cigare, expirant toute la fumée à sa gauche, juste pour voir le nez du garçon se froncer comme un petit chat mécontent. D’un vague geste il indiqua au barman de lui resservir un verre, chose qu’il fit dans la minute.
Des voix s’élevèrent dans la pièce, le jeune brun tourna sa tête vers la table de billard à sa gauche et y vit deux hommes se chamailler. Il roula des yeux, se retenant de penser une phrase bateau du genre “ah les hommes, tous les mêmes”.
Logan prit une grande gorgée, fermant les yeux une micro seconde pour apprécier la brûlure de l'alcool. Les deux hommes continuèrent de monter le ton, se bousculant mollement, ils étaient complètement bourrés.
Le barman jeta quelques coups d’œil vers eux, se demandant si la situation pouvait dégénérer ou non, espérant que la deuxième réponse soit la bonne car apprivoiser ces deux costauds ne serait pas agréable pour lui.
Un verre se brisa, le barman grinça des dents. Le jeune brun reprit plusieurs gorgées de son mojito, ne lâchant pas des yeux la situation. À côté, Logan ne regardait même plus, préférant alterner entre son cigare et son verre. Un deuxième bruit de verre retentit, plusieurs têtes se retournèrent vers les concernés. Un des deux hommes poussa l’autre plus fort et le fit tomber lourdement contre une table. Un groupe de jeunes femmes se regarda et, dans un accord commun, préféra partir avant que la situation ne s’aggrave. Un autre homme se leva, sentant un courage grandir dans ses veines, il alla vers les deux perturbateurs pour les séparer. Malheureusement pour lui, ils faisaient deux fois son poids, et l’alcool n’arrangeait pas les choses.
Le jeune au mojito but encore quelques gorgées, profitant du spectacle ridicule du client voulant répandre sa testostérone un peu partout en séparant les deux gros gaillards. Il lâcha du regard la scène lorsqu’un des deux hommes prit une bouteille de bière dans la main. Le petit brun se baissa, passant son verre derrière le comptoir pour deux secondes, juste le temps que la bouteille vole au-dessus de sa tête et se fracasse contre le mur à sa droite.
Le barman monta à son tour la voix, et bientôt tout le monde semblait crier, exceptés les deux hommes accoudés au comptoir.
Logan passa un main contre son épaule, retirant les morceaux de verre qui s'étaient posés sur sa veste en cuir. Il finit son whisky et déposa le verre vide contre le bois sombre du comptoir. Malheureusement, le barman était parti essayer de faire sortir les deux perturbateurs, alors pas moyen de se faire resservir. Par conséquent, il le fit tout seul. Logan passa son buste au-dessus du comptoir et attrapa la bouteille ambrée juste en dessous.
« J’espère au moins que vous allez le payer ce verre »
Une voix douce, dans le sens basse et calme, le fit lever un sourcil. Un vague rire traversa ses lèvres, plus ironique d’autre chose.
« Sinon quoi, tu vas me dénoncer ? »
Le jeune haussa les épaules, finissant à son tour son verre pour essayer d'ignorer le timbre de voix plaisant de l’homme à sa droite.
« Non »
Logan souffla d’agacement, comme il le faisait toujours si bien. Il prit une plus grande gorgée que la normale, faisant une légère grimace en avalant. Autour d’eux, les cris ne s'arrêtaient toujours pas, et ça aussi ça commençait à l'agacer. Une autre bouteille atterrit près de lui, manquant de peu de le toucher. Sa main se resserra sur son verre alors qu'il tira sur son cigare. À côté, le jeune se retenait de sourire, appréciant malgré lui ce petit spectacle que lui offrait cet homme avec son air aigris et sa voix rocailleuse. Sans le vouloir, il observa la main de cet homme, et fut surpris de voir des veines aussi apparentes, ça lui plaisait aussi.
De lourds pas le fit stopper son observation, il regarda à sa gauche et tomba nez à nez avec un des deux hommes. Vu de près il aurait pû faire flipper, avec sa bouille ronde transpirante et ses dents jaunes. Le brun haussa un sourcil, demandant subliminalement ce qu’il voulait. L'homme ne fit que rire, bêtement. Le barman arriva derrière lui et essaya de lui parler, sûrement de lui demander de partir. Mais il attrapa le verre vide du brun et l'analysa du regard comme un imbécile. Dans un soupir, le jeune homme se décala simplement d’un siège, ignorant l’homme et sa nouvelle passion pour ce verre.
Logan eut un réflexe de recul, très léger, très subtil, mais le brun le vit, parce qu’il avait pris l’habitude de tout voir. Alors, tout aussi légèrement, subtilement, il décala son siège haut de quelques centimètres, faisant passer ça dans un mouvement banal. Logan fronça les sourcils, encore, et serra la mâchoire en reprenant son verre déjà vide. Un sourire passa sur les lèvres du brun à sa gauche, il aimait bien cet homme, en fait, il le trouvait très sexy.
Le barman parvint à faire sortir un des deux hommes, avec l’aide d'un client. Le deuxième voyant ça, devint un peu plus virulent et lança une bouteille, encore, sur un mur. Cette fois-ci, Logan se prit un éclat de verre, sur la tempe. Son poing se referma sec et il se leva. Un sourire, peut-être un peu trop grand, apparut sur les lèvres du brun à côté.
« Si tu comptes te battre, saches que ce mec à un couteau dans son froc »
Lui dit la même voix calme. Logan regarda le brun, juste un instant, peut-être pour voir si quelque chose dans ses yeux noisettes alertait son instinct, mais rien, bien au contraire, il eut envie de le croire.
« Je pense avoir la gamme au dessus »
Le brun ne comprit pas le sous-entendu, regardant simplement l’homme sexy se rapprocher de l’autre, beaucoup moins sexy. Et rapidement, un coup de poing partit, suivi d’un deuxième et, wow. L’homme soûl tomba raide au sol. Le brun se pencha pour essayer de voir si le mec sexy avait sorti une arme ou quelque chose dans le genre, mais rien, seulement son poing serré.
Logan souleva l'homme, le prenant par dessous les bras pour le jeter dehors.
Lorsque les portes se rouvrirent sur lui, le barman bégaya des remerciements, mi-rassuré mi-inquiet. Logan se laissa tomber sur son siège, tirant encore une fois sur son cigare avant de l'éteindre.
« T’es champion UFC ou un truc dans le genre ? »
Logan sortit un billet de sa poche, le déposant contre le comptoir, juste sous son verre.
« Rien d’aussi prestigieux »
Sur ces mots, il se leva et sortit. Le brun resta quelques instants muet, avant de se lever à son tour, glissant un billet sous son verre. Il salua le barman d’un geste de main, envoya un petit sourire qu’il contrôlait si bien à un homme le fixant, et il sortit.
La lune était toujours aussi brillante, l’air toujours aussi froid. Il passa ses mains dans ses poches puis sourit en soufflant de la fumée blanchâtre dans l’air. Il aimait l'hiver, plus que n’importe quelle saison. En hiver tout le monde changeait, on découvrait le vrai visage des gens. Parce qu’en hiver on est soit obligé de se cacher sous des couches de vêtements soit on court dans la neige, et peu de personnes aiment courir dans la neige, il l'a remarqué. Les gens qui en été sont tout sourire, deviennent irritables en hiver, permettant aux personnes introverties d'avoir plus de place. Et puis, il y a aussi quelque chose de magique avec cette saison. La terre devient blanche, les lacs gèlent, les animaux s’endorment. C’est comme si la Terre devenait mutante pour quelques mois, ses paysages changent et deviennent précieux, rares, beaux. Tout le monde peut en profiter, ça aussi c’est beau. Lui il adore en profiter, pour être honnête, il aurait voulu naître mutant, parce qu’il se sent mis à l'écart pourtant sans en être un. Sa manière de penser effraie les gens, ils ne le comprennent pas vraiment, ils pensent d’ailleurs souvent qu’il est mutant. Mais en hiver, il fait de la vapeur en expirant, et il se sent comme à la maison en le faisant, parce qu’en été la Terre n’est plus mutante et d’une certaine manière, lui non plus.
Son regard traversa le paysage, admirant encore une fois l’eau et ses reflets. Une silhouette apparut dans son champ de vision, grande, musclée et, oh, sexy. Il ne put retenir son sourire, à vrai dire il espérait voir cet homme et pouvoir lui parler. Alors il trottina jusqu’à lui.
« Hey ! »
La silhouette se retourna de trois-quarts. Logan leva un sourcil puis continua son chemin.
« Eh non attends ! »
Le brun était assez petit, ses jambes l'étaient donc aussi et il dut presque atteindre le stade de course pour rattraper l’homme, mais il réussit. Dans un pas rapide, il marcha aux côtés de monsieur sexy.
« C’était vraiment impressionnant tout à l’heure, je veux dire..ouais c'était vachement cool »
Logan s'arrêta net, un soupir quitta son corps et il regarda le petit homme à côté de lui.
« Qu’est-ce que tu veux »
Prit au dépourvu, il ne sortit aucun mot, seulement de la vapeur.
« Comment tu as su pour le couteau, tu vois à travers les vêtements c’est ça ? »
Si seulement, répondit le brun dans sa tête, et seulement dans sa tête.
« Non non du tout, je l’ai juste remarqué, face au regard insistant de l’homme, il poursuivit, il gardait toujours sa main près de sa bite et les mecs comme lui s'ils veulent se toucher ils n’hésitent pas donc il avait forcément un trucs caché par-là »
« Ça aurait pû être un flingue »
« Mh en fait non, un sourire passa sur ses lèvres, parce que vu sa corpulence importante un pistolet aurait pas tenu à ce niveau, son ventre l’aurait fait tomber au bout d’un moment, surtout avec les grands mouvements qu'il faisait »
Un petit silence s’installa entre les deux hommes, le plus petit ne put s'empêcher de sourire, assez fier de lui. En fait, il n’avait jamais vraiment l’occasion de parler à quelqu'un de cette manière, les gens ne l’écoutaient pas où le trouvaient pervers la plupart du temps. Logan fronça les sourcils.
« C’est quoi ta mutation »
« L’intelligence, tu connais ? »
Malgré lui, un sourire se dessina au coin de la lèvre de Logan, ce mec n'était peut-être pas si stupide qu’il le pensait.
« Non sérieusement, je suis pas un mutant, seulement un gars qui aime observer les réactions des gens »
« Un pervers quoi »
Le brun roula des yeux, ce n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. Il préférait arrêter, cet homme était très certainement comme les autres.
« Attends, Logan se retourna vers le garçon en train de s’en aller, j’ai rencontré beaucoup de pervers dans ma vie et t’en ai sûrement pas un, ou alors un très évolué »
Les compliments étaient devenus rares pour lui, il prenait tout ce qui s’en rapprochait, alors il regarda l’homme derrière lui.
« Merci je suppose, ses yeux passèrent sur le cou musclé de l’homme, et toi ? T’es aussi une forme évoluée d’un truc stupide, genre l’humain, ou t’es un mutant ? »
Pour la première fois depuis le début de la soirée, un rire, bien que léger, ronronna dans la gorge de Logan.
« Je sais pas, à toi de le deviner »
« Autour d’un verre ça t’irait ? »
Le jeune brun se mordit l’intérieur de la joue en attendant une réponse. Logan eut un air amusé au visage, il hocha la tête.
« Dans un bar moins pourri si possible »
Une femme passa à côté d’eux, le brun prit une grande inspiration et proposa quelque chose d’autre.
« Ou dans la neige ? »
Logan encra ses yeux dans ceux noisettes, il sourit faiblement et commença à marcher.
« J’ai des bières dans ma voiture, viens »
Partie deux disponible !
° x-men masterlist
bannières faites par @/saradika-graphics
#wolverine#wolverine x reader#x men#logan howlett#logan howlett x reader#ftm reader#wolverine x ftmreader#logan howlett x ftmreader#queer#queer reader#trans reader
28 notes
·
View notes
Text
Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
29 notes
·
View notes
Text
ce que je déteste sur les forums rps
vu que certain(e)s le font, autant que je m'y mette, non ?
Les forums ù y'a zéro diversité (des membres, principalement des nanas blanches), tu regardes dans les scénarios, tu voies que des mecs hétéros attendus, et blancs aussi de surcroit. un petit +1 quand le forum a la prétention de se sentir inclusif. m d r
les forums où el staff avait fixé une limite de 3 comptes. puis quand le staff a eu ses trois comptes, la règle change bizarrement à 6. et quand ils ont atteint les 6 comptes, la règle a changé à 9. tu cliques sur leur profil sur la PA et tu vois leurs 1872 dcs affichés. tu sais que si tu tentes un de leur scénarios, t'auras le droit à une réponse tous les deux mois car ils ont pas le temps (et d'autres rps avant toi).
les nanas qui se prônent comme des social justicières warriors, elles guettent toutes les ouvertures de forum dans l'unique but de placader un message bien salty dans la partie invité le jour de l'opening, histoire de bien afficher les méchants admins. (alors qu'un an avant, c'est elles qui faisaient ça en pire mais du jour au lendemain, elles ont décidé qu'elles seraient prétresses du rpg)
les gens qui vont dans les serveurs discords en attendant la pré-ouverture dudit foru. ça critique h24, remet en question sans arrêt les annexes, etc. ou demande la rédaction de 15 annexes en plus pour au final... ne pas s'inscrire sur le forum. cassez-vous sérieux.
les gens qui ont 4839886 triggers warnings (dont des tws qui sont homosexualité) mais l'homosexualité te trigger ? tu te rends compte de ce que tu dis ? et j'sais pas, le plaisir de la lecture, la rencontre avec l'inconnu. oui, on peut avoir des tws mais si ten as pour tout ou n'importe quoi, sorry not sorry, le rp n'est peut être pas fait pour toi.
les gens qui se jugent supérieurs (par ex. parce qu'ils font pas du smut) et qui adorent faire du slutshaming. bah écoute, chacun ses envies de rp. parfois, je fais du smut, parfois j'en fait pas, du dépend du perso et du contexte. et si t'évites un quelconque lien avec mon perso parce que ta grandeur te l'empêche, tant pis pour toi tho.
les gens avec qui t'as un rp. toutes les 3 semaines t'as une réponse, mais par contre, tu vois l'autre personne répondre 4893729 fois à la personne qui est son lien love interest. et quand tu te demandes où ça en est, elle te rep "beh le rp n'est plus d'actualité, il s'est passé 100 choses depuis". sans blague, j'ai bien vu quand j'attendais.
les gens qui se cachent derrière 10 troubles pour justifier leur mauvaise éducation. non, j'peux pas. bonus pour les personnes qui critiquent un comportement alors qu'une semaine avant/après, elles font la même chose.
les gens qui posent un scénario love en te disant qu'ils finiront endgame mais au bout de 76892 dramas et de 83 années. et donc, tu tentes de prendre et au bout de 5 rps, tu comprends qu'avec eux, ton perso n'évoluera jamais. fin, j'sais pas, des persos peuvent être en couple et avoir du drama, c'est pas incompatible. pourquoi les faire tourner autour pendant 150 ans ? la vie est trop courte.
les gens qui ne rpent et ne commentent les fiches que de leurs copaines. oui d'accord, restez entre vous (et faites vous un foru privé sérieux à ce point là)
bref, je critique, je critique mais heureusement y'a des chouettes forums, des choeuttes rpgistes, oui parfois y'a pas le feeling, oui, on peut pas tous s'entendre (et encore mon coté bisounours me fait dire qu'on est adultes et qu'avec un p'tit peu d'efforts de la part de chacun des cotés, y'aurait aucun soucis) mais bon, y'a encore et toujours de belles rencontres que je fais, même quinze ans après mon arrivée dans la sphère rpgique.
16 notes
·
View notes