#Sort d’amour
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Comment retrouver son ex mari, le plus puissant maître marabout
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Comment faire revenir son ex avec la magie blanche
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Le plus grand maitre marabout puissant de l’Afrique
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Jeter un sort pour séparer un couple rapidement avec le professeur TOFFA
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Comment faire revenir son ex -Meilleur voyant compétent Badou
Comment faire revenir son ex -Meilleur voyant compétent Badou Comment attirer un homme ? Comment attirer l’attention de son chéri ? Comment rétablir l’harmonie en couple ? Si votre chéri a perdu l’intérêt envers vous, les rituels de cet article vous seront très utiles. La magie rouge contient la réponse, utilisée depuis bien longtemps. Elle est destinée aux couples, pour rallumer la flamme…
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Jeter un sort d'amour a un homme ; CANARIS SECRET D'AMOUR - Comment récupérer mon ex dans les bras d'une autre, Rituel pour faire revenir son l'être aimé.
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Comment lancer un sortilège d’amour sans faire flipper - sort d'amour
Comment lancer un sortilège d’amour sans faire flipper – sort d’amourSi vous débutez dans le monde de la magie, vous êtes probablement à la recherche d’une des deux choses suivantes : l’amour ou l’argent. Évidemment, faire entrer un peu plus d’argent dans son portefeuille, ce n’est pas la même chose que d’essayer de faire tomber quelqu’un dans ses bras. Cette forme de magie s’accompagne d’un…
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Steddie Amnesia Fic — 3/3
Part 1 | Part 2 | AO3
wc: 3k | rating: T | cw: head trauma, brain injury talk | a special thank you to @dame-zoom-a-lot for betaing! <3
The days following Steve’s Houdini act are fuckin’ tense, to say the least.
Eddie had messed up. Royally.
He could’ve sworn that when Steve took off, he’d ducked into the Recovery Center, y’know, the place he was supposed to go! If Eddie had known Steve took a detour and missed the building entirely, Eddie would’ve ran a lot fucking faster than he had. Especially after…
Well, no point in shying away from it anymore; after Steve confessed his love for him.
And how did Eddie return the favor? By being a total bone head and losing Steve for the entire goddamn day! Not to mention a good chunk of the night. Jesus… It’s no wonder Robin’s still sore.
Now, in Eddie’s flimsy defense, Steve had thrown him for one hell of a loop. One that Eddie was still seeing double from. He’s still having trouble wrapping his head around what he’d heard; Steve ‘the Hair’ Harrington, King of Hawkins High, being into Eddie ‘the Freak’ Munson, the drug-dealing ne’er do well hailing from the Forest Hills trailer park. Forgive him for finding the threads a little difficult to tie together! He’s not exactly Steve’s usual fare.
But it had happened.
Things have fundamentally, metaphysically, allegorically and subatomically shifted between the two of them—there’s no getting away from that, no matter how long they try and dance around this.
Steve said he loved Eddie. Love.
That isn’t something you just move on from. At least, it isn’t something Eddie can move on from. Especially when he didn’t even get to say his piece!
The trouble is that Robin’s in all-out guard dog mode with Steve, keeping Eddie at arm's length even after a whole goddamn week goes by. Sure, she’d accepted his apology (albeit begrudgingly), but she isn’t exactly keen on letting Steve out of the house without her by his side—much less with Eddie. It would be kind of heartwarming if it weren’t so goddamn annoying.
Steve isn’t some damsel locked away in a tower, and Eddie wasn’t some knight in shining armor, planning to scale the side of a stone tower to avoid the sleeping, fire-breathing dragon…
But as Eddie stares up at the fire escape attached to the side of Steve and Robin’s brick apartment building… he'd be lying if he said he didn’t sort of feel a little shiny.
Part of Eddie can’t believe it’s really come to this, but… he just can’t stand the idea of wasting another goddamn night tossing and turning, going over and over Steve’s words in his mind. Thinking about the way Steve’s hand felt in his, the way his eyes went all soft when he told Eddie he—he loved him…
Jesus H. Christ, this is way beyond his skill set—he’s way out of fucking league here, but there’s nothing for it. Eddie needs to settle this, once and for all.
So, he takes his bandana from the back pocket of his jeans and presses the flat of it to his forehead while his hands make a tight knot in the back. He zips his leather jacket as high as it’ll go and gives his hands a shake to try and get the jitters out.
It’s not exactly a helmet and plates of armor, but it’ll have to do. Eddie takes a breath, steels himself, then climbs on top of a precariously stacked pile of milk crates that he’d crafted and leaps for the steel ladder. As soon as his feet leave the plastic tower, it collapses under him, clattering to the ground. Eddie knows he shouldn’t look back, but he sneaks a peak over his shoulder and… yep. He really shouldn’t’ve looked. He’s not that high up, but it’s enough that if he falls, he’d be feeling it tomorrow. Might even bust an ankle if he landed wrong.
He turns back to the task at hand; getting to Steve.
There’s a terrifying moment where he’s not sure if he can pull himself up, but somehow, he finds the strength to do just that. If only Coach D’Amour could see him now!
He grunts as he pulls himself up onto the platform, belly getting scratched against the grates as he goes. Eddie scrambles to get his legs underneath himself. Then, he stands, dusts himself off and takes the win, graceless as it was.
The fire escape is rickety and fucking loud as he takes the steps two at a time. It’s cold enough that even the quickest touch of the steel railings drains all the heat out of his fingers, so he just keeps them balled up, swinging at his sides. The wind is especially chilly up here too, something he hadn’t noticed on the ground, but now that he’s up a couple of floors there wasn’t anything for the wind to buff off except the side of the building and, well, Eddie.
By the time he reaches the third floor, his nose is running and no doubt red and irritated looking, and he’s woefully out of breath.
Kind of a pathetic knight, he thinks as he sniffs back the worst of it, wipes the underside of his nose on the sleeve of his jacket to get rid of what’s left.
The light in Steve’s room is on, reaching out to him through the lines of Steve’s shut blinds.
His hand is raised, wind-chapped knuckles knocking against the glass of his window before he can plan out what he’s going to say. He just wants to see Steve. Get eyes on him again. Work this out.
It’s a painful few seconds before Eddie can see movement from inside the window. He bounces on the balls of his feet as he impatiently waits for Steve to let him in. His breath fogs the window.
Then finally. Finally! The blinds are pulled up. He smiles and—
Oh Christ on a cross. That’s not Steve.
Eddie’s stomach damn near falls out of his ass as the woman on the other side of the glass screams, as shrill and high as if she were next to him.
And of course she’s in a fucking towel.
Eddie slaps one hand across his eyes and the other up in surrender, “I’m sorry! I’m sorry! Shit, Jesus, I—I’m not a pervert, I swear!”
Debatable, his brain supplies, entirely unhelpful in an emergency situation. But hey, what’s new?
“I was looking for my friend, not—Please stop screaming!” He screams.
“Eddie?” A familiar voice calls from below.
The hand on Eddie’s eyes lift and looks down through the metal grates under his boots. “Steve!”
Steve’s hanging half out his window, peering up at him with a bewildered expression on his face. “What’re you doing?”
Eddie holds his arms out like it should be obvious. “Seeing you!” He snaps.
Eddie’s attention is briefly yanked back to the scandalized looking woman in the window in front of him. “I’m—yeah, I’m gonna—” He backs away, and swings around the escape before thundering down the stairs, shouting another apology up in his shameful retreat.
Steve backs up in order to let Eddie in. He climbs in as gracelessly as ever, all knees and elbows, stiff from the cold. He slides the window shut behind him once he’s in, dropping the blinds for good measure.
He wonders if Hopper is getting a call about a long-haired, wild-eyed, deranged looking peeping Tom at this very moment.
“Smooth.” Steve says from behind him, an edge of playfulness.
When Eddie turns and finally gets a good look at Steve, who looks especially comfortable in his flannel sleep pants and worn sweater, hands on hips. “I was looking for you.”
“Yeah, I got that,” Steve snorts softly, “third floor, remember?”
“I counted! Ground floor, first floor, second floor, third floor.” Eddie says, using his hand to indicate his pattern of thought, moving it up a tick with each floor.
Steve scoffs, shaking his head. And even though Eddie knows Steve’s laughing at him, he can’t help that warm feeling that pours through him, filling him up. All his cracks and edges, sealed up with Steve’s effortless being.
“No.” Steve raises his own hand, mirroring Eddie’s. He begins notching as he explains, “ground floor, second floor, third floor. The ground is the first floor, dude.”
Eddie frowns. “What? Since when?”
Steve levels Eddie with a flat look. “Since like, the civil war, dude.”
Huh. Eddie frowns. Mulling over the new bit of information. That would’ve been nice to know.
“Why were you even doing out there in the first place? We have things called front doors. And, y’know, phones.” Steve crosses his arms across his chest, losing a bit of steam as the words left him. Like he’s realized exactly what Eddie being here, in his rooms, meant.
“I had to see you.” Eddie says, like it’s not the most obvious thing in the world, “Face to face, just me and you.”
“Can’t we just—I don’t know, pretend all of… that never happened? Hell, it might drop out of my head one of these days anyway. Lots of shit does.” Steve’s says, sounding so fucking defeated that it sends a sharp pain through Eddie’s chest.
“Hey,” Eddie makes a face, gets in Steve’s space, “don’t be a jerk to yourself.”
He ducks his head in an attempt to meet Steve’s downturned gaze, which he reluctantly returns. He’s got these big, warm eyes, the color of dark honey—the kind that are hard to look away from, so Eddie rarely does. He’a got a staring problem, he knows, but… damn. Can you really blame a guy?
A nerve in Steve’s jaw jumps when he clenches his teeth together, and salt pools begin forming along the rim of those familiar eyes. When he speaks, it’s stiff. Barely above a whisper. “I’m embarrassed, alright?”
“You don’t gotta be embarrassed, man.” Without thought, Eddie’s hands go to Steve’s arms, fingers hovering around his elbows. Eddie tilts his head again to try and keep eye contact again but Steve seems determined to avoid it.
“Easy for you to say.” Steve huffs, and sits down on the edge of his bed, slipping out of Eddie’s hold, arms still crossed over his chest. “You didn’t totally humiliate yourself in front of your—friend.”
The word, one in which Eddie holds in a most sacred of views, sounds distinctly hollow when Steve says it.
“Steve, listen to me, just for a sec, alright?” Eddie gets down to the floor, one knee buried in the carpet while the others bent out in front of him. “This is my fault.” He confesses, voice full of remorse.
Finally, Steve looks at him. His brows twitch together as he makes a face. “Bullshit.”
“No, it’s true! I—I didn’t mean to, but I’m not exactly big on the whole impulse control thing, as you know, and, thinking back on things I probably… I probably let a few things slip.” Eddie explains, his rings clinking together lightly as he gestures with his hands.
Steve, however, doesn’t look any less confused. He blinks. “What?”
Eddie lets his head fall forward in a moment of defeat as he attempts to gather up his fleeting thoughts. It’s like chasing wet, feral cats up there!
Still, he picks himself back up. For Steve.
“What I’m trying to say is…” Eddie puts his hands on Steve’s knees. Feels the warmth under the soft, worn flannel. The hard muscle. Alive, whole. He tightens his grip. “Steve, I’ve been crazy about you since the first time I ever saw you. Don’t roll your eyes—I’m serious! You sat in front of me in math one year and you forgot your pencil. We were having a test that day, and you asked me if you could borrow one of mine, so I let you have the one I was using. You chewed up the end of it, squashed the eraser to all hell, but then when you gave it back to me, you smiled, thanked me and said, ‘I owe you one.’ It—okay, yeah, so it sounds, like, really small, and probably pretty pathetic, but… I was totally starstruck, man.”
At some point in his little spiel, Steve had uncrossed his arms. So Eddie takes the opportunity to clumsily take Steve’s hands, his insides feeling like a kicked hornets nest. Buzzing. He swallows. “I still am.”
Steve keeps his mouth shut, but there’s a knot in him that’s loosening, Eddie can tell. He’s just gotta keep tugging. He squeezes Steve’s fingers.
“The feeling was cranked up a few hundred clicks because of all the, y’know, near death experiences we went through together. But you get it now, right? You get how this is all my fault?”
“Eddie, you don’t have to—” Steve starts, hands stiffening in Eddie’s hold. Slipping away. But Eddie holds firm, decides to just fucking say it. If Steve could, Eddie could too.
“I’m in love with you too.” He blurts out, and now that he’s said it out loud, it’s like there’s a dam that gets busted inside of him; he can’t stop the rush of words that follows the confession. “That’s what you were seeing. That’s what you were noticing. I thought I was being slick, just keeping it friendly or whatever. Flirting, yeah, but I didn’t think you’d ever actually reciprocate. Because, honestly man, I’m not really used to people taking me all that seriously. ‘Zany, pot-head Eddie, can’t trust anything that comes out of his crooked mouth!’”
Eddie shakes his head, scoffing at his own blind spots, “But… you saw right through that shit—right through me. You didn’t make it up in your head, Steve—you felt it. You were right.”
Steve’s got a funny look on his face, but he nods. A lock of hair falls over his forehead, but he doesn’t remove his hands from Eddie’s to fix it. “You love me?”
That’s like asking if the sun would rise tomorrow morning. Of course. Of course.
Eddie pulls one of Steve’s hands and flattens it onto his chest, over the leather.
“Every time my heart beats, it's your name it calls out, man.” Eddie says, a smile tugging at the corners of his mouth when he sees the red creep up on the apples of Steve’s cheeks. “D’you feel it?”
Steve gives a breathless chuckle, hesitating for a split second before he nods, playing along.
Electricity hums under Eddie’s skin, the resulting static snaps in the air around them. Eddie presses Steve’s hand against the wall of his chest a little harder, so that he can feel the pounding a bit better. Then Eddie whispers in time with the rhythm of his lovesick heart, giving it a voice, “Ste-vie, Ste-vie, Ste-vie…”
He keeps chanting until Steve’s grinning, eyes glued to their joined hands. It’s a fleeting thing, though. Eddie watches as that hard-won smile drops and a pinched look takes its place. “Even now? Eddie, I’m not—I don’t think I’m the same person I was before.”
“Are you kidding me? Especially now. In sickness and in health, right?” Somewhere in his brain an alarm sounds, but he doesn’t pause long enough to acknowledge exactly why, lest he lose momentum, “look, Steve, even if you are a little different from the guy you were in high school, you’re still you.”
A beat passes. “What if I never get better?”
“Steve, you will, the doctors said—”
“But what if I don’t? Jesus, Eddie, what if I get worse?” Steve’s voice had gone progressively more hushed as he spoke, as if he were so afraid of its possibility that even voicing it felt risky. Made it real, even in that small way. It’s something Steve’s thought about, Eddie realizes. Agonized over, even.
“Then I’m the lucky son of a bitch that gets to take care of you.” Eddie says, sure as shit. Truthfully, he can’t think of anything else he’d rather do, even if Steve hadn’t done a completely insane thing like falling in love with Eddie. His love isn’t conditional. “S’long as you’ll let me.” He tacks on.
It’s like a wall crumbling. Brick by brick, Eddie watches Steve’s resolve collapse. The rim of his eyes shine with unshed tears, his brow relaxes and his chin twitches. “You sure you want that?”
He scoffs, eyes wide. “It’s all I want.” He answers, quickly. A reflex. Who wouldn’t want to be with Steve Harrington? Eddie thought he was lucky just to be in the same fucking orbit as the guy, but now…
Now, as he watches a smile slowly spreads across Steve’s face—fucking Adonis incarnate—it feels like he won the goddamn lottery.
“Okay.” Steve utters, so softly that for a second Eddie thinks he’d imagined it.
“Okay?” Eddie asks, trying his damndest to keep from imploding. He’s fucking vibrating in his skin.
Instead of answering Eddie, Steve decides to clarify himself by leaning forward and pressing his mouth against Eddie’s.
Fireworks go off inside of Eddie, every inch of him. All lit up. Feels like he’s shining just as good as any knight.
One of Steve’s hands snake their way behind Eddie’s neck, pulling him closer, while the other remains held over Eddie’s jackrabbiting heart. Their lips part, and their kiss deepens. Eddie tries to keep up.
They eventually end up on Steve’s narrow twin bed laying side by side, legs entangled, kissing until their mouths go dry. Eddie swipes a calloused thumb over Steve’s cheek, savoring the feeling of the barely there stubble, the heat from the blush that never seems to subside.
They don’t speak for the rest of the night. Not even a ‘goodnight’ after Steve crawls over Eddie to flick off his bedside lamp, tugging the comforter up around their shoulders as he settles back into the safe harbor of Eddie’s arms. They don’t need words. Not tonight, anyway. Tonight, all they need to do is to rest.
Whatever comes after, they’ll deal with it together.
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Témoignage sur l’envoutement d’amour, pourquoi ? Depuis des décennies, des maîtres marabouts pratiquent plusieurs rituels d’amour , des travaux occultes comme retour affectif réussi, retour d’affection pour unir ou réunir les partenaires d’un couple. Ainsi cela permet aux conjoints de vivre heureux en amour. Mais pour commander ses rituels d’amour, d’autres préfèrent lire les témoignages et…
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
#mixte 1963#voltaire high#alain laubrac#joseph descamps#jean-pierre magnan#fanfiction#oneshot#fluff#angst#school au#voltaire high fanfiction#x reader
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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hey, i've seen a couple of times now, whenever karlie wears cartier love jewelry, they (gaylors) say "... she has matching with taylor", but i've only seen taylor wear it like once maybe
do you have a master post on cartier specifically, or if you could just clear it up a bit for me, where did that come from?
PS. I love the cartier love ring, is there anywhere I could find a dupe maybe? 😆
hi! i haven’t ever made a cartier masterpost for all the pieces, nor for just the cartier love collection pieces. so let me take this opportunity to give you a rundown! so first off, the facts, karlie owns a cartier love ring and bracelet (both of which she notably wore to eras tour, when she went to eras tour. did i mention, karlie went to eras tour? karlie went to eras tour.).
my understanding of where that wording from gaylors or kaylors comes from is that, it intends to point out that taylor has at times incorporated cartier love pieces into her work, which can be seen as a way of honoring karlie’s personal cartier love pieces, which are known to be very meaningful to her. we know they are meaningful to karlie because of things karlie have said—for example, karlie often talks in interviews about how she bought her cartier love ring with her first paycheck as a model.
karlie also notably owns a cartier tank watch (and more recently she’s been wearing a baignoire watch), and several cartier necklaces (amulette de cartier in onyx and cartier d’amour), and of course a cartier juste un clou bracelet (the one that looks like a hardware nail) which she’s had for many years as well. you can look through all the instances of all the pieces she’s worn over the years here.
i think that overtime this point about taylor wearing cartier has become a little bit blurred by shorthand kaylors or gaylors use, and people think it means kaylors are saying that taylor owns the exact same cartier love pieces that karlie does. that is something we don’t know. i am fairly positive we have not seen taylor wear cartier love pieces in candids or social media. you can browse a fairly comprehensive list of times taylor has worn cartier here.
but that’s not the point anyway, it doesn’t need to be, i would contend. it’s about taylor paying homage to karlie visually, and in a 1:1 way, by referencing items that are important to her.
all this being said, it’s worth mentioning that taylor has also repeatedly worn an agrafe herringbone necklace by cartier over the past few years, and she has worn other cartier pieces in public outings before as well, (including a juste un clou necklace) so i do think she likes cartier, and it’s pretty clear she owns stuff from cartier. (i would like to point out here that, there is a cartier photo book in the ME! music video, in their apartment. ME!, the music video about all the things that make taylor taylor.)
so it’s not too much of a stretch to imagine she might own pieces from cartier’s love collection as well, and that she’s simply never worn them. but again, the argument shouldn’t be allowed to be recentered on whether or not she owns the same pieces. rather, it’s about the iconography. cartier is meaningful both to karlie and holds a place in taylor’s world as well.
okay.
now to dive into the times that taylor has worn cartier love pieces. because i think that the times where she has worn cartier love pieces for photoshoots are noteworthy and meaningful in some ways. the two big examples are the rainbow dresses for the reputation album photoshoot, the album that is infamously referred to as being about karlie. and for the september 2019 vogue cover, which at the time many here had pinned as a potential tell-all coming out opportunity. that didn’t happen. (personally, i think that the inclusion of the ring on this cover photo is sort of like a… statement, as to why. (she’s setting off…but not without her muse)). both instances to me are noteworthy examples of incorporating pieces meaningful to karlie into moments in taylor’s career for which karlie played a pivotal role in taylor’s actions.
also, this is a little prequel content for you but, taylor is first documented wearing a cartier love piece in a cover for marie claire back in july 2010. which *pulls out calculator* would have been right before the very earliest that karlie could have bought the cartier love ring, based on the story she tells in interviews, as mentioned above. so there’s an invisible string for ya!
incidentally, this has happened again with another cartier piece. the amulette de cartier! taylor first wore one for elle magazine june 2015. karlie then famously begins wearing a small onyx one in 2018, and again during the pandemic in 2020.
anyways it’s (cartier is) just one of these things that if you’ve been paying attention to kaylor for many years, you’ve come to see as a kaylory brand. because of these various connections, the meaning imbued in the pieces by cartier and then of course with how meaningful taylor and karlie both say jewelry is to them 😌
#jewelry#cartier#prequel kaylor#unsure where you can find dupes but i do suspect a lot of secondhand stores sell unverified rings at a discount!
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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Henri Camille Danger - Aimez-vous les uns les autres (1892)
"Nous sommes tous, en effet, tellement aveuglés et pleins d’amour-propre que personne ne doute qu’il a de bonnes raisons de s’élever au-dessus des autres et de les déprécier par rapport à lui-même. Si Dieu nous a donné quelques qualités appréciables, dès que nous en prenons la mesure non seulement notre cœur se gonfle, mais il éclate presque d’orgueil ! Nous sommes pleins de défauts que nous cachons soigneusement aux autres, alors que nous prétendons qu’ils sont petits et légers ; il arrive même que nous les considérions comme s’ils étaient des qualités ! Quant à nos points forts, nous les apprécions tellement qu’ils nous remplissent d’admiration. Si les autres possèdent les mêmes qualités et en plus grande mesure que nous, et que nous devions le reconnaître, nous les ignorons ou les déprécions tant que nous pouvons. En revanche, nous ne nous contentons pas de juger avec sévérité les défauts de nos prochains, nous les amplifions odieusement. De là vient l’impertinence avec laquelle chacun de nous, comme s’il échappait à la condition commune, cherche à avoir la prééminence sur les autres et, sans exception, les méprise comme s’ils nous étaient inférieurs. Les pauvres cèdent aux riches, les vilains aux nobles, les serviteurs à leurs maîtres, les ignorants aux savants ; mais chacun a dans son cœur le sentiment qu’il est digne d’être considéré meilleur que les autres. Chacun, de son point de vue, règne en souverain dans son cœur. En s’attribuant les qualités qui lui plaisent, il censure les pensées et les mœurs des autres. Si un conflit éclate, le venin sort et se manifeste. Certes, plusieurs ont l’apparence de la générosité et de la réserve tant que tout leur sourit ; mais combien y en a-t-il qui conservent leur douceur et leur modestie si on les attaque ou les irrite ? Il ne peut, en effet, en être autrement tant que cette peste mortelle que sont l’amour-propre et l’autosatisfaction n’est pas arrachée du plus profond de notre cœur."
Jean Calvin. Institution de la religion chrétienne
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