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Claudia cherche un guide
Parmi tout les arcs de développement de personnage dans la saison 6, celui de Claudia est celui qui m'a le plus surprise. Car je m'attendais plus à voir du désespoir mais ce qu'on nous propose est tout aussi intéressant. Dans la scène où justement elle explique pourquoi elle a fait ça. Elle dit à Viren qu'elle est prête à tout pour sa famille devant l'horreur de Viren de voir sa fille marcher dans un chemin plus sombre que le sien. Lorsqu'elle lui dit qu'il faut libérer Aaravos, Viren l'arrête et lui dit qu'il n'a jamais voulu ça pour elle. Mais qu'il doit faire face à sa propre vérité. Et c'est là que Claudia ne comprend pas, sa quête a été de sauver son père. Donc elle pensait que Viren le suivrait après mais cette quête l'a consumé. Ne comprenant pas pourquoi Viren refuse de l'accompagner. Il dit qu'il doit faire face sa propre vérité mais Claudia refuse de l'accepter et s'accroche à lui, la faisant crier de désespoir. Quand elle décide de quitter Terry, je le vois plus comme "Si c'est moi qui part, je ne serai pas blessé." Et elle est parti mais a fini par revenir vers lui, car elle est perdu mentalement.
Le tiraillement de Claudia
J'avais apprécié les scène entre Claudia et Terry car justement, ils ne disent rien laissant leurs actions parler d'eux mêmes. Pendant cet instant, ils ne sont que deux, ils n'ont pas à se soucier de quoi que ce soit. Terry l'aide et lui a fabriqué une prothèse pour l'aider à marcher. Mais bien que ce soit agréable de voir Claudia se reconstruire, elle est aussi tiraillée. Quand elle voit le petit félin, elle ne voit que les parties de son corps pour la magie noire. Mais de l'autre, elle le trouve adorable. Dans ce passage, j'avais l'impression de revoir la Claudia de la saison 1. Mais quand la mère du petit félin arrive, elle prend peur et a été tenté d'utiliser un sort de magie noire. Mais Terry intervient lui permettant d'éviter de le faire. C'est alors que Claudia décide de se rendre à Katolis pour retrouver son père et trouver sa vérité.
La manipulation d'Aaravos
Quand Claudia arrive enfin à Katolis, elle voit un royaume en flammes. Dans la cour, Terry est le premier à tomber sur le cadavre de Viren. Claudia a besoin de le voir pour comprendre sa vérité. Mais justement, tout ce qu'elle a fait était pour son père si il n'est plus là. Qui est ce qui pourrait l'aider ? Ce qui me fait poser la question est ce que les actes de Claudia était vraiment pour elle ? Ou bien une projection de ses désirs croyant que c'est ce que Viren voudrait ? Au final, qu'est ce que Claudia veut retrouver dans sa famille ? Vu qu'elle n'a pas pu voir Soren et qu'elle mentionne pas Lissa contrairement à Soren. Mais je pense que c'était nécessaire pour Claudia de couper le lien entre elle et son père, car son amour pour lui était destructeur et malsain.
C'est là qu'Aaravos lui parle et lui dit qu'il comprend l'amour de Viren car tout comme lui, il a eu une fille. Et la manière dont il la décrit fait penser à Claudia, c'est fait de manière délibéré pour que Claudia puisse avoir de l'empathie envers lui et exécuter le sort ! Alors que Terry trouve son histoire tordu car au début, on voit que c'est l'amour d'un père mais qu'au final ça devient dérangeant. Terry a vu qu'Aaravos n'agit plus par amour pour Leola mais par vengeance. De plus @meebleagain avait parlé du symbolisme de la lune avec Claudia. Le fait qu'elle a la forme de la perle est qu'elle est piégée dans son deuil et la manipulation d'Aaravos. Et je peux le voir.
L'avenir de Claudia
Pour être honnête, je sais pas trop ce qui va arriver pour Claudia en saison 7. J'ai bien des idées, vu que maintenant qu'Aaravos est libre, il pourrait la prendre comme apprenti et peut être lui apprendre à se connecter aux arcanums. Ou bien la tenter à utiliser de nouveau la magie noire pour qu'il puisse la posséder. Car dans la saison 6, Claudia n'a pas utilisé la magie noire, elle a utilisé un sort de magie profonde et un sort d'étoile et c'est tout. Claudia pourrait être réticente à l'idée de l'utiliser et du coup essaierait de proposer autre chose à Aaravos. Mais aussi comment sa relation avec Terry va évoluer ? Car il a dit qu'il resterait avec elle jusqu'au bout mais est ce que cette promesse tiendra toujours ? Je ne sais pas.
Claudia is looking for a guide
Of all the character development arcs in season 6, Claudia's was the one that surprised me the most. I was expecting more desperation, but what we get is just as interesting. In the scene where she explains why she did it. She tells Viren that she'll do anything for her family in the face of Viren's horror at seeing his daughter walk a path darker than his own. When she tells him that Aaravos must be freed, Viren stops her and tells her that he never wanted that for her. But that he must face his own truth. And that's where Claudia doesn't get it, her quest has been to save her father. So she thought Viren would follow her, but this quest has consumed her. Not understanding why Viren refuses to go with her. He says he has to face his own truth, but Claudia refuses to accept it and clings to him, making her cry out in despair. When she decides to leave Terry, I see it more as “If I'm the one leaving, I won't get hurt” And she left but eventually came back to him, because she's lost mentally.
The tug of war of Claudia
I liked the scenes between Claudia and Terry precisely because they say nothing, letting their actions speak for themselves. In that moment, it's just the two of them, they don't have to worry about anything. Terry helps her, and has made her a prosthesis to help her walk. But while it's nice to see Claudia rebuilding herself, she's also torn. When she sees the little feline, she sees only the parts of his body for dark magic. But on the other hand, she finds him adorable. In this passage, I felt like I was seeing Claudia from season 1 again. But when the little feline's mother arrives, she takes fright and was tempted to use a dark magic spell. But Terry intervenes, allowing her to avoid doing so. It's then that Claudia decides to go to Katolis to find her father and find her truth.
The manipulation of Aaravos
When Claudia finally arrives in Katolis, she sees a kingdom in flames. In the courtyard, Terry is the first to stumble across Viren's corpse. Claudia needs to see him to understand his truth. But that's just it, everything she's done has been for her father, if he's gone. Who could help her? Which begs the question: were Claudia's actions for her own good? Or was it a projection of her desires, believing that this is what Viren would want? In the end, what does Claudia want from her family? Given that she hasn't been able to see Soren and that she doesn't mention Lissa, unlike Soren. But I think it was necessary for Claudia to cut the link between her and her father, because her love for him was destructive and unhealthy.
That's when Aaravos speaks to him and tells him that he understands Viren's love because, like him, he had a daughter. And the way he describes her is reminiscent of Claudia, done deliberately so that Claudia can empathize with him and execute the spell! Whereas Terry finds his story twisted because at first you can see it's a father's love but in the end it becomes disturbing. Terry has seen that Aaravos is no longer acting out of love for Leola but out of revenge. Also meebleagain had talked about the symbolism of the moon with Claudia. The fact that it's shaped like a pearl is that she's trapped in her grief and Aaravos's manipulation. And I can see that.
The future of Claudia
To be honest, I'm not sure what's going to happen to Claudia in season 7. I do have some ideas, given that now that Aaravos is free, he could take her on as an apprentice and maybe teach her how to connect to arcanum. Or tempt her to use dark magic again so he can possess her. Because in season 6, Claudia didn't use dark magic, she used a deep magic spell and a startouch spell and that's it. Claudia might be reluctant to use it, and would try to suggest something else to Aaravos. But also how will her relationship with Terry evolve? Because he said he'd stay with her until the end, but will that promise hold? I don't know.
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Romanov
EX-FAMILLE IMPÉRIAL SANG PUR / ROYALISTES | ANTI-SECRET MAGIQUE
L'une des seules familles sorcière à la fois royale pour les sorciers et pour les moldus. En 1917, l'influence peu avisée de Raspoutine et la conjecture de leur pays les poussent à simuler leur mort, bien que la branche principale régnante y laisse la vie, et que les branches restantes soient emputées de nombre de leur membre. Ceux qui restent sont des appendices en quête de vengeance contre les moldus.
L'hémophilie de l'ex famille royale de Russie dépeinte dans les grands livres d'histoire est un malédiction dont a été victime la totalité des membres de la génération actuelle. Tous les enfants en sont porteur, leur sang est noir. Une malédiction de sang qui se manifeste de façon différente, à la manière de la malédiction de la lignée Valefor. Certains ont été directement touché (folie, perte de sens, accentuation de la magie à l’extrême), d’autres poussé à toucher des objets maudits (comme Aurore et le fuseau), d’autres se sont retrouvé dans des situations qui ont changé leur vie (morsure de loup garou par exemple) et d’autre par des dons devenu des bourreaux (Légilimencie incontrôlé, perte de la vue et exacerbation d’un don de voyance, maledictus, etc.).
Nobles, et désargentées, sans royaume ni terre. Ils doivent leur salut à la maison de Valefor qui les a accueilli, et aussi aux familles Lestrange et Machiavelli qui les ont aidé à acquérir un sublime hôtel particulier au cœur de Paris. Une dette dont ils devront s'acquitter par le biais d'arrangements divers et variés.
Leur but ultime restant de regagner du pouvoir, et peut être qu'épouser l'un des héritiers de la couronne serait un bon commencement. Si le premier l'est déjà, ils n'auront pas de remords à fomenter une élimination et épouser le second, et ainsi de suite… S’ils se sentent faisant partie de l’élite, ils ont une mésentente persistante avec la famille Joseon, comme eux famille impériale en exil, les Romanov n’aiment pas être pris de haut de la sorte.
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Télécharger Hades 2 gratuitement
Hadès 2 est la suite directe du roguelike excellemment accueilli qui est sorti sur PC et Switch en septembre 2020, et sur PS4, PS5, XOne et XSX/S moins de douze mois plus tard. Le jeu a été développé par le studio responsable de l'original, Supergiant Games, pour qui il s'agit de la première suite de leur production.
L'histoire du jeu
L'action de Hadès 2 se déroule quelque temps après les événements du premier volet. Les deux titres sont étroitement liés, mais les développeurs assurent qu'il n'est pas nécessaire de connaître l'original pour comprendre l'intrigue de la suite. Contrairement au premier volet, le protagoniste n'est pas le fils du dieu des Enfers Zagreus, mais sa sœur, une princesse des Enfers nommée Melinoë. Comme son frère, elle ne peut être tuée de façon permanente et revient donc à la vie après chaque décès. Le décor a également changé. Melinoë doit quitter le royaume des Enfers et se lancer dans une mission pour tuer Kronos, le titan du temps, qui est aussi son grand-père et qui s'est échappé de sa prison dans les profondeurs des Enfers pour déclencher une guerre contre l'Olympe. La fille d'Hadès doit le retrouver et l'arrêter. Des centaines d'adversaires mineurs se dressent sur son chemin, ainsi que de puissants chefs. Melinoë utilise un riche arsenal d'armes obscures ainsi que des compétences mortelles et de la magie noire pour les combattre. Hécate, la déesse des ténèbres, de la sorcellerie, des phénomènes surnaturels et des carrefours dans la mythologie grecque, aide Melinoë à apprendre les arcanes de la magie.
Mécanismes de jeu
En termes de gameplay, Hadès 2 est très similaire à l'original. L'action du jeu est représentée en vue isométrique. Le joueur commence chaque approche dans un lieu de départ sûr, où il peut choisir son équipement et ses compétences. Après avoir quitté le point de départ, le joueur traverse des arènes successives, dont la plupart impliquent de combattre des hordes d'ennemis. Le passage de chaque chambre est récompensé par des pouvoirs spéciaux, des améliorations de santé, de l'or, etc. Les pouvoirs mentionnés sont principalement dérivés des dieux et déesses de la mythologie grecque. Il y en a plus de douze dans Hadès 2 - les familiers Zeus, Poséidon, Athéna, Aphrodite, Artémis, Arès, Dionysos, Hermès et Déméter sont de retour, mais il y a aussi de nouveaux personnages tels que le dieu de la lumière, Apollon. Après chaque mort, le joueur revient au point de départ et doit en quelque sorte recommencer le jeu depuis le début. En quelque sorte, car une partie de la progression - comme dans le premier jeu - est conservée. Dans Hadès 2, le succès et l'échec sont récompensés à leur manière. De plus, ils font avancer le scénario du jeu, car après sa mort, Melinoë peut rencontrer des PNJ différents de ceux de la tentative précédente. Certains d'entre eux, comme Moros et Dora, sont rencontrés pour la première fois dans la série. Cependant, certains visages familiers du premier Hadès ne manquent pas.
Trivia
Tout comme le protagoniste du "one", Zagreus, sa sœur Melinoë n'a pas été inventée par les créateurs du studio Supergiant Games. Son nom apparaît dans les hymnes orphiques, ainsi que sur une certaine tablette métallique, où Perséphone est également mentionnée. Les développeurs ont estimé que les sources mythologiques associaient suffisamment Melinoë au royaume d'Hadès pour qu'ils reprennent ce thème dans le jeu et l'intègrent à leur propre vision. Il est intéressant de noter que le personnage est souvent décrit dans des termes similaires à ceux de l'Hékate ou de l'Érine, déesses grecques personnifiant la vengeance, la punition et le remords.
Problèmes techniques
Le style graphique de Hadès 2 est très proche de celui de l'original. La bande sonore, à nouveau créée par Darren Korb et Ashley Barrett, est également dans la même veine. Le studio Supergiant Games a commencé la production du jeu peu de temps après la sortie du premier Hadès sur PC et Switch. Cependant, le travail sur celui-ci n'a commencé à battre son plein qu'au début de l'année 2021.
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Regina Mills est le maire de Storybrooke, petite ville du Maine, aux États-Unis. C'est également la mère adoptive d'Henry Mills, abandonné à la naissance par sa mère Emma. Après l'arrivée de cette dernière à Storybrooke, 28 ans après la création du Sort noir, Regina se sent menacée. En effet, elle représente à la fois la menace de lui reprendre Henry, mais aussi et surtout de rompre le Sort noir qu'elle a répandu sur tous les habitants de la ville, provenant d'un monde où les contes existent.Près d'une année plus tard, Emma parvient à rompre le Sort noir et Regina se retrouve destituée de son statut de maire. Elle s'exile quelque temps chez elle tout en tentant de reprendre la garde de Henry. Sa mère la retrouve et la persuade d'assassiner M. Gold afin de s'emparer de son pouvoir pour ensuite récupérer son fils. Cependant, elle est manipulée par sa belle-fille et voit sa mère mourir sous ses yeux. Regina s'empare du chemin de la vengeance, mais renonce à tuer Mary Margaret tout en réfléchissant à un moyen de quitter la ville. Plus tard, elle est arrêtée et torturée par Greg et Tamara, mais découvre que ces derniers ont enlevé Henry pour le confier à un puissant sorcier. Elle parvient à récupérer Henry et participe à la capture de Pan en s'alliant avec son ancien maître, M. Gold. Revenue à Storybrooke, Regina est toutefois remerciée par sa belle-fille, mais se voit définitivement contrainte à abandonner son fils à Emma, devant annuler son Sort noir face à la menace de celui de Pan. Afin de préserver Henry, elle lui confie de nouveaux souvenirs ainsi qu'à Emma afin qu'ils vivent heureux sans la mémoire de Storybrooke. Regina fait disparaître la ville et ramène tous les habitants au Royaume enchanté où une nouvelle menace les attend. De retour, ils n'ont aucun souvenir de leur année passée. Emma et Henry reviennent à Storybrooke. Regina commence à changer de camp et à se tourner vers les héros. Une chose qui n'est pas sans difficulté, car elle est toujours attirée par la facilité du mal, mais pour Henry, fait des efforts. Elle est en pleine rédemption avec des menaces qui planent en permanence au-dessus de la ville et ses habitants. Regina hérite de la magie de sa mère Cora, qui l'a apprise de Rumplestiltskin avec un livre de sorts. En suivant le même enseignement, Regina développe de nombreux pouvoirs. Bien que moins puissante que sa demi-sœur Zelena en magie noire, elle la surpasse en magie blanche. Plus tard, elle enseigne la magie à Emma Swan et à Javotte. Sa magie se manifeste en violet. Outre les sortilèges de base, Regina se spécialise en enchantements, en préparations de potions et métamorphoses. Elle sait ainsi arracher les cœurs, concocter des poisons ou des contre-sorts et duper ses proies par des impostures. Je ne fais pas un copier/coller de la série, mais je m'inspire des grands moments de celle-ci pour établir des contextes. Je peux également jouer Regina dans la Forêt Enchantée et non à Storybrooke si vous le souhaitez, en gentille ou en Méchante Reine. Je recherche cependant à jouer Régina durant leur année de retour dans la Forêt après la fin de Peter Pan si cela intéresse quelqu'un.
Joue avec : Emma Swan
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Rituels de magie noire. Sortilège de vengeance, sort de séparation
Rituels de magie noire. Sortilège de vengeance, sort de séparation. Ce puissant rituel de magie noire vaudou vous permettra de vous venger d’une personne et d’attirer la malchance sur la personne visée par le sortilège.
Rituels de magie noire. Sortilège de vengeance, sort de séparation. Ce puissant rituel de magie noire vaudou vous permettra de vous venger d’une personne et d’attirer la malchance sur la personne visée par le sortilège. Si il y a quelqu’un qui vous a fait du mal, vous pouvez vous venger de ce dernier à l’aide de ce très puissant rituel de vengeance de magie noire, envoûter quelqu’un à distance,…
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Autant j'aime le jeu, autant j'aime aussi ses méchantes féminines comme Edelgard quand elle assume d'être une grande méchante, c'est-à-dire partout sauf sur sa route où là, elle a trop d'appât à joueur pour que je l'apprécie (kof ! kof ! tous ses moments mignons destinés à faire oublier tout ce qu'elle fait d'horrible... kof ! Kof ! faudrait que je consulte pour cette toux dès qu'on parle des Fleurs Vermeilles / Crimson Flower moi...) ; Flèche et son envie de vengeance qui la pousse à sa perte et fait un bon parallèle avec Dimitri est très bien aussi, mais Cornélia... ô Sothis, que son design craint !
Elle est super comme méchante exagérément mauvaise, elle fait le café sur la route de Dimitri... mais que son design est mauvais... on a compris, c'est une énorme manipulatrice qui a bien ficelé son coup et a réussi à tromper tout le monde pendant des années (chapeau ma grande) et est derrière la Tragédie de Duscur avec les autres Serpents de l'Ombre / Agarthans pour déstabiliser le royaume + aider la conquête du pouvoir d'Edelgard + faire porter le chapeau à des innocents, ce qui crée encore plus de chaos dans la création de Sothis... mais c'était la peine de la mettre à moitié à poil dans le Royaume (soit l'endroit le plus au nord et froid de Fodlan) ou la mettre à moitié à poil tout court ? Je sais que c'est une convention pour les méchantes manipulatrices de mettre ses seins en avant mais, c'est maintenant écrit sur sa figure qu'elle est méchante (Arundel avait le mérite d'être légèrement plus subtile si on ne le voyait pas direct avec l'Empereur de Flammes)
Donc, proposition de nouveau design : la Cornélia originale est sensée être une grande guérisseuse et enchanteresse alors, déjà, je remonte son col pour le rapprocher de la tenue des évêques et j'ajoute une grande étole autour de ses épaules bien chaude (rappel de son rôle de guérisseuse + le lien entre la magie de foi et la guérison + on est à Faerghus nom d'une pipe alors, il caille !) MAIS, au lieu de le broder avec des symboles religieux, on la brode de serpents et de motifs d'yeux (symbole d'Agartha) + des fleurs de cigüe qui lui irait bien, vu que c'est un poison et elles veulent dire "trahison, perfidie, poison" dans le langage des fleurs. La dame a une fleur à elle dans la vie réelle !
Pour le côté sorcière / mage noir, dans le jeu, les mages hommes ont des plumes et les mages femmes ont des fleurs alors, vu que sa classe de base est celle Gremory (honte à moi, je ne me souviens plus du nom français), je la laisse avec ses plumes qui décorerait son étole et ses cheveux. Peut-être des fleurs aussi autour de sa ceinture, des fleurs de cigüe. J'avoue que je ne sais pas trop comment rappeler les mages noirs (qui sont exclusive aux hommes car, Lysithéa et Hapi n'existent pas). Peut-être que le bijou sur sa tête pourrait rappeler leur masque de médecin de la peste + des serpents toujours.
Je lui laisse son boa de plumes : c'est l'élément le plus marquant de la tenue de Gremory et, il fait froid, faut bien qu'elle se couvre un peu pendant l'hiver qui dure la moitié de l'année. Sa palette de couleur aussi est conservé car, je la trouve plutôt jolie, surtout avec ses yeux bleu-vert très pales et perçant, ça s'oppose bien au bleu roi et profond de Faerghus.
Et s'ils veulent tellement la faire sexy, au lieu d'y aller avec avec un décolleté plongeant de trente étage, je pense qu'on pourrait jouer sur ses bijoux. C'est une agarthan donc, un serpent de l'Ombre. Alors, on met le paquet sur les bijoux qui ont leur forme ! Je propose des bracelets en forme de serpent qui remonte le long de ses bras en se croisant, comme s'il sortait de son boa et la recouvrait, et dont la tête d'un fini sur ses mains comme une sorte de bague. Un peu dans le style de Pandore dans les "Saint Seiya, The lost Canvas"
(source image : http://saintseiyapedia.com/wiki/Pandore_(TLC) )
Et si vraiment, ils veulent qu'on se concentre sur son décolleté... un collier avec deux serpents qui s'enroulent autour de sa gorge avant que leur tête ne finisse leur course sur son plexus solaire / sa poitrine en formant une sorte d'infini tourné, le tout en or et avec les yeux en pierres précieuses de couleur vive pour attiré l'œil par rapport à sa palette de couleur assez sombre. On ne verra que ça sur du rouge sombre et du noir ! Et on reste dans le thème des agarthans (même si AM en a rien à secouer d'eux et les élimine tous sans s'en rendre compte) et de la manipulation.
C'est presque trop facile de faire un personnage féminin qui a des côtés sexy et est un design relativement décent (même si je pense que mes propositions peuvent être améliorées... très améliorées...) mais bon, vu le design de la femme Byleth... ouaip, fallait pas s'attendre à des miracles (même si c'est arrivés avec notre Sainte à tous Rhéa ! Et Mercedes... et Annette... et Léonie... et Marianne... et Ingrid... bah à peu près une bonne partie des autres perso féminins de la distribution - même si tout est pas parfait non plus -)
Please, game designers, stop with this kind of characters. She’s supposed to be a major vilain, but I find it impossible to take her seriously.
But well, the main female character goes to battle with a bare midriff, so…yikes.
That’s one of the criticism I would address to this game. The male characters have mostly practical armor, the female characters get boob plates and other stuff of the same kind. Even though, it’s not as catastrophic as in other franchises.
I swear that when I real write my fanfiction, I will have my OCs wear practical stuff. And in my opinion it’s as classy and badass.
#regarder moi ! Je suis une méchante !#rubans#fe3h#juste mon avis de curieuse#cornelia arnim#proposition de visuel#peut-être que je le dessinerais un jour... si j'ai du temps... peut-être... dans un futur très lointain...#j'adore ce jeu et tout ces personnages ! Mais Cornélia... voilà quoi... j'ai déjà assez développé sur elle#gros regret en terme de visuel elle méritait mieux et d'avoir un design plus mystérieux je pense#pas T'es sensé être infiltré ma grande...#messieurs les designers du jeu il est interdit de se faire des bonbons pour les yeux sur votre lieu de travail - veuillez éviter merci#l'apparence agarthan de Kronya est abusé mais au moins#ça dure pas et elle avait un design plus décent comme Monica#et elle elle l'a son thème de serpent avec ces dans le dos - même si Sothis seule sait comment ça tient !
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Once Upon A Time (pre-reboot): critique
Ngie fait des critiques.
Warning: cet article a été écrit le 05/08/2017
Présentation:
Once Upon a Time est une série télévisée fantastique">américaine créée par Edward Kitsis et Adam Horowitz diffusée depuis le 23 octobre 2011 sur le réseau ABC aux États-Unis
Synopsis (crédit allociné)
De nos jours, dans une bourgade du Maine appelée Storybrooke, les contes de fées existent encore. C'est ce que va découvrir Emma, une jeune femme au passé trouble, embarquée dans un merveilleux et tragique voyage par le fils qu'elle a abandonné 10 ans plus tôt. Elle croisera sur son chemin la méchante Reine, qui n'est autre que l'impitoyable Maire de la ville, Blanche Neige, devenue la douce institutrice Mary Margaret Blanchard, Tracassin, l'effrayant expert en magie noire ou encore Archie, le sympathique Jiminy Cricket local. Avec son arrivée, c'est l'espoir de toute une communauté amnésique qui renaît...
Les statistiques :
La série lancée par l'un des trois grands géants du paysage télévisuel national américain (triptyque formé par CBS, NBC, ABC et leurs groupes respectifs), commence fort avec un pilote rassemblant 12,9 millions de téléspectateurs. Un score confirmé par une moyenne de plus de 11 millions de téléspectateurs à l'échelle de la saison entière. La deuxième saison affiche une moyenne de 9 millions de téléspectateurs, plaçant la série parmi les programmes de divertissement les plus lucratifs de la chaîne nationale au printemps 2013. La troisième saison se divise pour la première fois en deux arcs scénaristiques bien distincts, ( A et B), et totalise une moyenne de 9,38 millions de spectateurs par épisode. On remarque cependant qu'une part grandissante de l'audience regarde le programme en replay. La quatrième saison confirme l'adoption définitive du système en arcs A et B et présente une moyenne finale de 8,89 millions, malgré un nombre en réalité très inégal de téléspectateurs par épisode. La saison 5 voit une chute importante de l'audience dès la fin de l'arc A (avec environ 5,5 millions de spectateurs) confirmé par un score final de 6,32 millions. La saison 6 ne fait guère mieux et, malgré l'annonce-quoique tardive- d'un reboot qui provoquera le renouvellement partiel du casting, la mobilisation dépasse à peine 4 millions de téléspectateurs. Une déconvenue qui semble inévitable malgré la mise en place d'initiatives tel que l'intégration d'un épisode musical et le prolongement à une heure de la durée des deux derniers épisodes.
Au cours de sa diffusion Once upon a time et les membres de son casting ont été récompensés 9 fois : Lana Parrilla remporte en 2012 et 2013 les prix ALMA et NHMC dans la catégorie meilleure actrice de série télévisée, trophées distinguant les figures les plus marquantes de la communauté latino-américaine.En 2014, elle est sacrée meilleure méchante par le Tvguide. En 2017 elle remporte l'E-ward du meilleur moment musical dans une série télévisée. En 2016 elle reçoit le teen choice award de la meilleure actrice dans une série de science fiction. Au cours de la même cérémonie, Once upon a time est sacrée meilleure série de science fiction et le couple Jennifer Morrison/Colin O'donogue se partagent quant à eux le prix du meilleure baiser dans une série télévisée. En 2013, Mark Isham se voit récompensée pour qualité de la bande musicale de la série par le prix BMI Film & TV , tandis qu'en 2015 l'équipe de maquillage voit son travail distingué par la victoire d'un Leo award. Initialement programmée en primetime le dimanche (deuxième créneau horaire le plus demandé après le jeudi soir), Once upon a time voit la diffusion de sa 7 ème saison avancée au vendredi soir, créneau le moins populaire de la semaine, d'ailleurs baptisé « créneau mortel du vendredi» en raison de la faible mobilisation des audiences, alors occupées par leurs activités sociales. Considérée comme la dernière case avant la suppression définitive d'un show, cette position horaire n'annonce pas les meilleurs auspices pour Once upon a time et ses équipes ont fort à faire pour faire mentir les pronostiques et inverser la tendance. L'annonce d'un reboot révèle une réponse pour le moins radicale des producteurs au challenge posé. Ne reste plus qu'à attendre.
L'idée géniale ?
Oui, il y a du génie dans cette série devenue iconique et des idées géniales en fait il y en a plusieurs :
La révision des contes et leur transposition dans le contexte contemporain est clairement l'élément marqueur de Once upon a time. Kitsis et Horrowits n'ont pas inventé le concept, mais ils lui ont donné, sans contexte, une ampleur jamais égalée. On retrouve des points communs, des mécanismes similaires dans d'autres productions audiovisuelles antérieures, dans des formats/registres et genres très variés. La série Xena Warrior princess (1997)), nous a par exemple donné l'extrême privilège de voir Arès sur la scelle d'une Harley. La même année, en plus sombre Freeway long métrage de Matthew Bright revisite le conte du Chaperon rouge, en lui donnant les traits d'une adolescente en cavale, en proie tout au long de son parcours à plusieurs prédateurs sociopathes. Le coréen Yim Pilsung dans sa version moderne d'Hensel and Gretel (2007) propose une vision oufesque et complètement inverse de l'histoire d'origine, on peut y noter au passage, le même procédé de mise en abîme lorsque les personnages lisent leurs propres histoires dans un recueil de conte. Je préfère quand même prévenir :c'est un film d'horreur et ceux qui ont déjà vu ne serait-ce qu' un seul film d'horreur coréen sauront quoi faire de cette information. Evidemment cette liste n'est pas exhaustive et finalement en y pensant, les œuvres qu'elle évoque sont assez tardives. Toutes empruntent une porte en réalité officiellement ouverte depuis 1975, et pas par un film, mais par un livre : le célèbre Psychanalyse des contes de fées écrit par Bettelheim. L'oeuvre met en évidence et détaille la valeur symbolique des contes originaux ce qui invite inévitablement à leur relecture moins naïve (le monsieur attaque d'ailleurs Disney pour son travail jugé trop édulcoré). Cette étude encourage implicitement à la manipulation de ces symboles et au questionnement sur leur actualité. Certains ne l'ont pas attendu il faut quand même le préciser : Tex Avery et son personnage hyper sexualisé : l'envoûtante chanteuse de cabaret Red Hot Riding Hood (1943) touchent déjà à la symbolique du conte initial.
Ruby Lucas, serveuse ultra sexy au Granny's dinner n'est d'ailleurs pas très loin de cette réinterprétation osée du personnage du Chaperon rouge. Outre le choc chronologique et contextuel qui est opéré, Kitsis et Horrowits proposent donc -et c'est la deuxième idée géniale- une redécouverte de la matière première des contes. Un nouveau souffle construit sur un travail des textes de base, en les réinterprétant certes, mais aussi en redonnant consistance à des figures malmenées par le temps. Ainsi Rumplestiskin (alias le Nain tracassin) et la Méchante reine occupent dans la série une place de premier plan, ce que les traitements précédents (et l'oubli) ne leur avaient pas accordé jusque là. Et les occurrences de ce phénomènes sont nombreuses dans le show. En résulte un melting pot improbable mais revigorant, preuve s'il en fallait que nos patrimoines culturels regorgent de figures riches et intéressantes n'aspirant qu'à être ravivées.
Le troisième aspect génial du concept est son aspect idéologique, incontournable vu le genre littéraire qu'il exploite principalement: les contes ont une visée morale, comment Horrowitz et Kitsiz auraient pu passer outre ? Ils n'essayent pas , à vrai dire, et ils en font même quelque chose d'étonnant. Si on reprend l'idée posée par le pilote: Regina se venge après avoir souffert de tout ce qu'une société a de pire à offrir. Elle a la haine et des pouvoirs magiques, et aussi un passif qui relègue Pinochet au level « bisounours » sur l'échelle maléfique des tyrans. Imaginer LA vengeance de sa vie revient aisément à tenter de visualiser le 78ème cercle des enfers - qui n'existe pas mais qu'elle serait tout à fait capable d'inventer pour l'occasion- A l'intérieur des supplices sanguinaires innovants, sur fond de hurlements écorchés, le tout baigné des même lueurs rougeâtres que dans la scène de Scar et des hyènes dans le Roi lion. Mais, Sort noir en main, obtenu aux prix du meurtre de son propre père, que fait Regina à ses ennemis ? Elle les décapite ? Les torture ? Non. Elle leur enlève leur nom et leur histoire. BOUM.
Attendez une minute...elle fait quoi ?
On rembobine. Je répète : « Elle leur enlève LEUR NOM et LEUR HISTOIRE ». Ou comment annoncer aux spectateurs la complexité d'un personnage que 6 saisons ne suffiront pas à explorer. Mais revenons au départ. Regina en bref, a été privée de tous les moyens pour se définir : l'expérience de l’amour et les leçons qu’on en tire lui ont été volées, et toutes les autres facettes d'elle même ont été forgées par des forces plus grandes. Sa mère, son statut contraint de Reine et ensuite : sa haine. Et quand elle choisit d'infliger à ses ennemis des souffrances atroces, elle opte pour la perte identitaire. Un choix presque « bambiesque » au regard de ses possibilités, mais au final, assez dur, sur ce qu'il révèle de l'opinion que Regina a d'elle même à ce moment précis: elle hait, mais elle a bien conscience de ce que la haine lui a coûté, et au moment pour elle de faire les compte, c’est bien le prix qu’elle réclame. Cette question de l'identité collera à la trame de la série tout le long de son développement, lors de l’amnésie générale puis après lorsque tous les personnages sont amenés à se redéfinir dans ce nouveau contexte. Chaque personnage principal passe par un processus intéressant , mais deux d’entre eux donneront à ce questionnement une dimension exceptionnelle. Regina d’abord de manière très prévisible dans les premières saisons, puis jusque-boutiste en clôture de la saison 5 avec d’une part, une tirade mémorable prononcée à Emma, et puis cette scène où elle s’injecte le sérum chargé d’éradiquer Méchante reine de son être. Ensuite, il y a Ruby/Scarlett Lucas. Un personnage qui, avant son éviction de la série, assure au show une consistance d’une qualité rare. Oui, car si on fait l'effort de scruter son développement, on y retrouve Bettleheim en MIEUX ce qui était jusque là, jugé difficilement possible. Dans la première saison Ruby est un loup-garou qui s’ignore, elle a bon coeur et n’aspire initialement qu’à une chose: son mariage. Ses qualités ou aptitudes personnelles (son empathie et son enthousiasme évident à aider les autres) n’ont pas vocation à être particulièrement ni admises ni cultivées. Elle veut être “deux”, sans grand intérêt pour ce qu’elle est ELLE, seule. Résultat: Elle dévore son fiancé. Expérience compliquée. Ici le mensonge identitaire imposé par Granny a des conséquences hors-normes et déclenche un processus de connaissance de soi hors-du-commun lui aussi. On parle ici presque d’une identité double, que Ruby craint, rejette un long moment pour se fondre et s’inscrire parmi les autres. Une immersion qui aboutit à l’échec malgré les intentions positives qui l’animent. Quand enfin elle se résigne à ne plus combattre sa différence (et va à la recherche de sa meute), ce qu’elle vit comme la preuve ultime de son impuissance aboutit à deux choses. Dans le dernier arc du personnage se déroulant à OZ, elle utilise sa forme loup pour fuir, portant Dorothy sur son dos : un acte non-violent qui permet cette fois la sauvegarde d'une vie, c’est la maîtrise de ses pulsions. Et elle tombe amoureuse, d’une personne qui cette fois, est au fait de ce qu’elle est, au point de la taquiner en la réduisant à cette partie tabou d’elle même. Dorothy l’appelle “Le loup”. Le dénouement de l'histoire enfoncera le clou avec ce sort de sommeil que seule Ruby sera capable de briser, mettant en place un parallèle précipité certes mais incisif : Scarlett ignorante tue. Ruby consciente redonne la vie. Au milieu des valeurs classiques qu'on retrouve, il y a cette idée récurrente, fondatrice même, que pour devenir qui l'on veut être, il faut d'abord savoir qui l'on est. Et le chérir même si tout n’est pas toujours beau à voir. De quoi donner une toute autre dimension aux paroles mythiques « Miroir, Miroir....dis-moi qui est la plus belle... » Et il était temps.
Le Casting :
Jennifer Morrison fait clairement figure de tête d'affiche, au lancement de la première saison. Son rôle majeur dans Dr House (Cameron) et celui de Zoey dans la série How I met your mother, ont manifestement laissé au public et à l'industrie, l'envie d'en découvrir plus sur ses performances. Elle porte ainsi l'introduction d'un concept insolite dans le paysage télévisuel du moment, responsabilité heureusement vite partagée par des acteurs solides, qui se révèleront être de véritables piliers au sein du casting principal. Lana Parrilla en est l'exemple le plus brillant. Encore peu connue en 2011 malgré des apparitions remarquables dans des séries telles que Spin City, NYPD Blue, Swingtown, l'actrice crève l'écran dès son apparition dans l'épisode pilote. Elle donnera une mesure dramatique et mordante à un personnage qui semble lui être taillé sur mesure : Regina Mills alias La Méchante Reine, désormais érigée en véritable icône. D'autres acteurs offrent un visage saisissant à la modernisation proposée par le show : Ginnifer Gooding livre une interprétation réellement intrigante du personnage de Blanche Neige, au travers de Mary Margaret très énigmatique au cours de la première saison. On notera des moments forts au cours de l'évolution de son personnage, et des scènes d'une qualité exceptionnelle, ponctuant notamment sa relation très complexe avec Regina. Josh Dallas compagnon de l'actrice dans la vie comme à l'écran, n'était initialement qu'un membre fugitif du cast. La révision de cette décision par les producteurs permettra l'existence l'un des fils scénaristiques les plus intéressants de la saison 1 : le triangle amoureux David/Katherine/MaryMargaret. Immanquable pour moi : sa scène poignante dans le 12ème épisode de la saison 6, largement à la hauteur d'un Emmy . David se disloque émotionnellement sous le regard ému de Hook, dans un des moments qui restera pour moi un des plus beaux du show. Robert Carlyle alias Rumpelstiltskin affiche d'emblée une envergure quasi-indiscutable en interprétant un Nain tracassin plus vrai que nature. Son alter ego Gold, sera lui aussi matière à révéler les qualités et le talent de l'acteur, dans un registre d'interprétation qui ne fera que gagner en puissance et en nuances. On notera enfin Jared Gilmore, dans le rôle capital d'Henry, âgé de 10 ans lors de la saison 1. Il est une présence indispensable dans un univers exploitant principalement la littérature enfantine, cette importance aura su lui assurer une place particulière à la fois dans le cœur des autres membres de l'équipe mais aussi dans celui du public.
La liste des acteurs plus tardifs, récurrents ou invités comporte aussi des figures marquantes : Meghan Ory, interprétant Ruby, Rebecca Mader dans le rôle de Zelena, Colin O'Donoghue dans celui de Hook, Sean McGuire (Robin), Emilie de Ravin (Belle) ou plus brièvement Kristin Bauer (Malecient) Jamie Murry (La fée Noire), sans oublier Barbara Hershey sont autant de performeurs qui auront retenu l'attention voire même l'affection du public.
L'annonce du renouvellement du cast entraîné par la septième saison, vient brusquement remettre à zéro les repères pris au cours des 6 dernières années. Avec la promesse d'une nouvelle dynamique, les téléspectateurs sont contraints d'accueillir l'arrivée massive de nouveaux visages. Alors qu'ils nous est pour le moment impossible de juger la qualité de cette initiative, il convient de reconnaître que la série aura, au cours de 6 premières saisons, eu le mérite de révéler le talent d'acteurs qui, on l'espère, poursuivront une carrière à la hauteur de leur potentiel.
Les points forts
Quels sont, avec le recul (et selon mon avis) les points forts essentiels de cette série ?
-Le jeux des références : l'émulation intellectuelle est un ressort très puissant de l'enthousiasme du public à l'égard d'une série. Et cette qualité ne manque pas à Once upon a time. Malgré le réinvestissement d'une culture avant tout populaire, Horrowits et Kitsis définissent l'excellence dans l’éclectisme des personnages exploités et l'intrication de leurs histoires. La surprise est constante et certaines trouvailles scénaristiques sont brillantes. Quoiqu'inégale au fil des 6 saisons, cette qualité assure au show une notoriété indiscutable et une valeur culturelle déjà étudiée par nombres d'études universitaires. Peu de show peuvent prétendre avoir marqué ainsi l'Histoire.
-Lana Parrilla : au delà de mon avis personnel (qui me relègue à ce sujet au statut de groupie) l'actrice est une sinon LA plus grande révélation du casting. Sa symbiose artistique avec Regina Mills déchaîne rapidement les passions (et c'est peu dire) et en 6 ans, Lana Parrilla a rassemblé une quantité faramineuses de fans (les Evilregals) loyaux, voire même pugnaces. Ses performances d'actrices auront été un atout et un soutien constants à cette série qui s'est aventuré hors des sentiers battus. Off-set, ses qualités humaines sont aussi un recours fiable, au milieu des moments médiatiques les plus délicats et incertains. Suite au départ de Jennifer Morrison, et d'une partie importante du casting, elle joue clairement le rôle indispensable de pilier, seul élément capable d'assurer la nouvelle cohésion du groupe et la transition apaisée post saison 6. Des responsabilités lourdes à porter, parfois ingrates, qui dénotent une résistance à l'effort et une constance admirables.
Les points faibles
Le moment où le mot « critique » prend tout son sens. Attention ça va saigner.
Primo un des points faibles majeurs de cette série est à mes yeux sa communication mal gérée.
Laissez-moi d'abord reconnaître que le travail de promotion accompli par les équipes de Once upon a time et d'ABC est énorme. Conventions, talk shows, pages officielles, teasers etc...la somme des énergies déployées est pharaonique (bravo aux acteurs et aux équipes techniques locales qui organisent les conventions) : le show s'est clairement installé dans la culture télévisuelle du grand public et les visages du cast principal sont bien identifiés (en tous cas pour les 6 premières saisons). Le problème n'est donc pas l'ampleur de la visibilité de la série, mais sa maîtrise. Au cœur du soucis ?....Mes héros à certains titres mais pas sur ce point précis : Horrowits et Kitsis qui, au delà de leurs idées lumineuses, doivent mûrir et comprendre où exactement est leur place. A savoir : PAS dans la lumière. Je m'explique : l'exposition médiatique porte bien son nom – exposition- elle ouvre la fenêtre à des attaques ciblées et personnelles, ici, en l'occurrence, à l'encontre de figures d'autorités qui devraient rester hors d'atteinte compte tenu des ferveurs que la série suscite. Certes, les deux comparses ont une rhétorique assez ferme face au public, beaucoup de « on voulait » « on a décidé » « il nous est apparu », mais passés l'euphorie des applaudissements et le brassage d'égos, leurs visages d'américains moyens banals voire même un peu gauches (genre geeks) n'inspirent pas le charisme auquel ils prétendent. D'une part c'est normal, la représentation n'est PAS leur travail et d'autre part c'est mal joué, parce que s'ils ne sont pas capables de tenir tout le monde à carreaux, qui le fera ? On me dira : Ngie tu t'imagines des guerres et des menaces inexistantes, et si toi et tes 72 autres personnalités, vous vous asseyiez 5 minutes pour prendre l'air? Je répondrais d'un air nostalgique : Ah, si seulement....Les initiés à l'actualité du fandom sont, toutefois, péniblement au courant des débordements dont je parle. Michael Coleman, Yvette Nicole Brown, William Shatner, Larry Andreutti sont autant de noms qui feront grincer des dents à des shippers pas tous remplis de haine, mais parfois juste navrés des tensions et de la manière dont elles sont gérées, mal ou trop tardivement ou encore juste pas gérées du tout. L'hyperprésence d'Horrowits et Kitsis sur les réseaux sociaux est à peu près l'inverse d'un adage qui aura taillé l'envergure d'un Jerry Bruckheimer et d'une Shonda Rhimes : « Fait tes projets dans le silence, le succès s'occupera du bruit ». Et trop souvent, l'environnement de Once upon a time ressemble à une bassecour. Je ne me permettrai pas de questionner les relations professionnelles et humaines de l'équipe, mais au sortir du tournage de 22 épisodes, le cast n'a certainement pas d'énergie à perdre à funambuler entre les polémiques. Un leadership drastique n'est pas toujours populaire, mais il fait gagner du temps. Il remet chacun à leur place. Se faisant, il protège ceux qui travaillent pour lui. Le professionnalisme fait donc, à mon sens, défaut en vitrine. Il fait aussi, je dois le reconnaître, parfois défaut dans le fond. C'est la deuxième défaillance que je pointerai : les fébrilités scénaristiques.
Même s’ils recourent à une équipe de scénaristes voici une des responsabilités les plus essentielles de nos deux showrunners : l'écriture. Et l'ambition affichée par la série place la barre très haut. Elle demande même un discernement hors-normes. A quels sujets précisément ? En réalité les shows de ce genre n'ont pas 300 000 choix en terme de stratégie. Ils ont (en gros)d'abord, la proposition du modèle épique : les héros vont d'un univers à l'autre, (cf : Ulysse et son équipage) et à chaque halte, rencontrent une nouvelle aventure, qu'ils résolvent avant de continuer leur route. Cette structure peut avoir des variantes, mais elle a le mérite d'être claire : un monde = un mini-arc et en trame de fond : une quête assez simple justifiant un déplacement initiatique linéaire ou pas.(Doctor Who utilise le Tardis). Cette formule favorise l'accumulation quasi-catalogue des antagonistes et des alliés temporaires, voire récurrents en assurant par ailleurs une compréhension facile de l'ensemble. L'option 2 est d'ancrer l'intrigue dans un lieu, comme beaucoup des héros de Marvel par exemple, tous attachés à un fief (Batman=Gottam city, ): ce sont leurs ennemis qui viennent à eux (s'ils ne vivent pas déjà dans la ville). On peut citer aussi l'exemple intéressant de Buffy, tueuse de vampires, habitant Sunnydale, qui se trouve être la porte des enfers et qui, par nature, attire les menaces démoniaques. Cette configuration permet la diversité des personnages mais elle a ses limites : on est loin de la flexibilité proposée par le modèle épique. L'immobilité pose des contraintes de cohérence inconsciente et dirige le scénario vers le développement d'un nombre limité de confrontations plutôt qu'une succession trop grande d'ennemis ou d'alliés différents. La trame principale de fond est aussi plus conséquente, plus complexe et en même temps plus rigide, en raison de détails plus nombreux dont certains sont ritualisés et sont des structures dures (et aussi des repères). L'action est plus lente et comporte très souvent plusieurs épaisseurs chronologiques (flashbacks, souvenirs etc...). Face à ces deux grands modèles, quelle stratégie choisissent Kitsis et Horrowits ?Suspense ?... Les deux ! HA ! Choix audacieux, risqué, mais valide s'il avait été accompagné d'une rigueur adaptée. Le lancement de la série se focalise d'abord clairement sur un lieu (option n°2 ) : Storybrooke, que la saison 1 exploite brillamment et qui offre un support narratif riche, original à plus d'une quinzaine de personnages ce qui est déjà énorme. Le nombre et la cohabitation des références alimentent l'intérêt des spectateurs qui les découvrent tandis que se dessine un fil scénaristique majeur : l'identité d'Emma et sa rivalité plurielle avec Regina Mills. La trame avance plutôt vite et la malédiction se brise dès la fin de la première saison. La saison 2 commence donc logiquement par explorer la dualité temporelle (passé/présent) liée à l'intrigue et ouvre le développement assez légitimement sur un nouvel espace : la Forêt Enchantée, l'espace du passé (jusque là ça reste gérable) La ligne scénaristique semble donc toute tracée en vue d' éclaircir le bagage commun des personnages déjà présents qui semble lourd et complexe. Mais, surprise, cette ligne digresse, et au lieu de seulement approfondir la connaissance des liens entre les personnages déjà connus( et d'établir clairement leur histoire) de nouveaux personnages sont introduits autour d'une nouvelle action. (Philippe, Aurore, Mulan et leur lutte contre complexe contre Cora). C'est l'enchevêtrement du modèle épique et du modèle géo-centré qu'adoptera la série de manière permanente, en le poussant même à ses limites avec la création de deux arcs par saison, chacun accompagnés d'un nouveau groupes de personnages, d'une nouvelle action annexe et/ou d'un autre monde. La surcharge cognitive guette très vite le spectateur, qui croule sous les visages sans toujours avoir le temps d'y voir clair et sans, surtout, toujours comprendre leur intérêt narratif. L'effet brouillon ou l'effet prétexte est souvent reproché aux scénaristes, signe que les transitions opérées manque de travail et de consistance.
On peut ajouter à ces faiblesses, le manque de consistance des acteurs recrutés en complément du cast originel. Et c'est ma troisième critique majeure. L'exubérance demande une présence solide et intense pour être portée à l'écran, quelque soit la durée des performances en question. Force est de constater que beaucoup d'acteurs n'ont pas intégré l'équipe de Once upon a time en vertu de ce critère, mais parfois seulement (en tous cas il me semble) en raison de la ressemblance physique avec leur personnages fictif. Je pense à Elsa, à Aladin, Jasmine, qui n'ont pas su donner corps à leurs arcs. On peut, à l'inverse, citer Rebecca Mader (Zelena), brillantissime. Qui parvient à porter avec panache le non-sens scénaristique imposé à son personnage (lui faire avoir un enfant avec Robin...vraiment ???) et qui donne le change, surtout, face à une Regina Mills dont elle incarne la sœur. Deux sorcières ? Faites de la même matière ? Les chances pour que Rebecca Mader ait le moindre espace pour exister étaient minces. Emma avait l'opposition immémoriale du bien et du mal et toute la freaking intrigue du show pour faire une rivale crédible. La rousse, seule, relève le défi, elle porte son rôle au travers des faux pas d'écriture et l'assume jusqu'au bout dans un duo qui deviendra un des plus émouvants et des plus populaires de la série. A ce sujet d'ailleurs – il faut que j'en parle- je dois dire que la perplexité me gagne, lorsque j'apprends que la saison 7, ne verra pas son retour, mais celui de Belle et Gideon. (a.k.a Emilie de Ravin et Giles Mathey). Really ? Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, je sais, mais ça ressemble à une très mauvaise décision. Il ne faut pas se méprendre : j'ai aimé Belle, j'ai surtout trouvé la connexion du show entre la Belle et la Bête/Rumple bien pensée. Mais on a voulu donné une dimension tragique au personnage et là on m'a perdue. A la décharge d'Emilie de Ravin la tâche n'était pas simple : un tandem amoureux avec le Ténébreux, aussi tortueux( sur le papier ) qui plus est, demandait une épine dorsale en titane, une sensibilité à fleur de peau certes, mais également du feu dans le ventre. Quelque chose qui justifie qu'un des êtres magiques les plus puissants de la Création en soit fou- parce qu’on se rappelle des moments on-ne-peut-plus étranges où La Méchante Reine fait du rentre dedans à Gold hein ?(distorsion de l'univers n°1) Et qu'il n'est PAS INTERESSE ! (distorsions de l'univers n°2, 3 et 4 !!!). A côté Belle... comment dire... les mots m’échappent et je ne sais même pas comment aborder le personnage de Gideon avec dignité... Ces personnages tels qu’ils sont écrits abordent des thèmes forts et portent quasiment la cohérence finale du show (avant le reboot). Je me contenterai de dire que, face à ces enjeux, la performance des acteurs en question a cruellement manqué d'envergure. La saison 7 et sa révolution porte donc certains espoirs, notamment ceux d’une ligne scénaristique plus sobre, et peut-être ceux d’un leadership plus éclairé. Mais il y a clairement encore de quoi trembler.
*depuis l’écriture de cet article le retour de Rebecca Mader a été annoncé et porté à l’écran.
Le subtext LGBT :
La série porte, en fait, la communauté LGBT jusqu'au maintext au travers du couple formé par Ruby et Dorothy, qui, sur le coup, nous sort un tantinet de nul part, mais qui fait sens en y réfléchissant, et représente un coup d'audace de la part de cette série financée en grande partie par Disney rappelons-le. L'enthousiasme LGBT se porte néanmoins sur un autre pairing et pas des moindres j'ai nommé: Emma Swan et Regina Mills, alias le célèbre « SwanQueen ». Dès 2014, le couple est élu « couple lesbien le plus populaire » par un sondage mené par AfterEllen, le média numérique le plus important de la communauté lesbienne (baptisé en référence à Ellen Degeneres). Lana Parrilla, à cette occasion donne une interview à Valerie Anne, rédactrice pour After Ellen dont je vous livre un extrait:
Valerie Anne : Avez-vous une idée des raisons qui poussent le public à vouloir que Regina et Emma soient un couple ? » (traduction faite par moi, soyez indulgents )
Lana Parrilla : Je pense qu'il s'agit de deux femmes fortes, puissantes, intelligentes et séduisantes. (rire) Désolée, je ne suis pas très objective. D'une part vous avez une brune aux yeux bruns-sombre, sulfureuse- et de l'autre vous avez cette blonde aux yeux bleus, tellement...(Lana s'arrête au milieu de sa phrase)Emma dégage quelque chose de différent de Regina. Elle est plus athlétique, plus dynamique, plus forte physiquement. La force de Regina est plus intérieure ce qui est aussi très attirant. C'est une sorcière, elle a de l'humour, des réparties mordantes que l'on adore tous. Elle peut même être vraiment sarcastique. Malgré leurs différences, ces deux personnages ont aussi beaucoup de qualités en commun, je comprend pourquoi le public voudrait les voir ensemble. Il y a une tension entre elles, qui dure depuis des années, elles se disputent, semble vouloir s'étriper sans jamais aller jusqu'à se faire vraiment de mal physiquement. Je pense que cette tension peut-être perçue comme une sorte de tension sexuelle par certains des téléspectateurs, notamment par les shippers du couple Swanqueens . »
Plus tard dans l'interview, Lana Parrilla évoquera également la co-parentalité d'Emma et Regina, comme facteur favorisant l'engouement de la communauté lesbienne à leur égard. Des mots qui cernent parfaitement l'ensemble du phénomène «Swanqueen et qui révèlent à quel point Lana Parrilla maîtrise toutes les facettes de son personnage. L'actrice assumera à de nombreuses reprises son adhésion au parcours différent emprunté par Regina à l'écran, notamment à son histoire d'amour avec Robin des bois, très significative dans l'évolution et la rédemption de l'ancienne reine. L'actrice sera néanmoins toujours ferme quant à sa position à l'égard des préjugés homophobes et rendra fréquemment hommage à la communauté lesbienne qui la soutient. Certains articles récents l'érigent comme héritière actuelle d'un statut d'icône lesbienne jusque là détenu par Lucy Lawless (la célèbre princesse guerrière, Xena). Une passation de titre devant laquelle j'éprouve personnellement beaucoup de réticences, notamment en raison de la dynamique entourant cet engouement. Beaucoup de conflits naissent autour de cette popularité lesbienne, conférant aux Swanqueen's shippers une image plutôt agressive, dans un climat qui laissent place à trop de déclarations publiques tendancieuses à leurs sujets. Le Swanqueen est donc en somme un sujet délicat et justement... la mécanique de non-dits (et de trop-dits), de clivage, de tensions est bien trop familière à mon goût. Aussi Lana Parrilla a un charisme hors-normes, une sensualité à l'écran qui agite sans doute un peu trop les hormones de ses fans. Mais cette violence et ce malaise sont révélateurs de dysfonctionnements qui n’ont rien de progressiste pour notre communauté. J’ai aussi à coeur de différencier le “queerbaiting” opéré largement par les séries actuelles (dont OUAT, de manière avouée) dans une visée commerciale et le courage de certaines productions, qui même sans être parfaite, assument une transition du subtext vers le maintext de couples de même sexe là où il ne sont pas toujours attendus ni forcément bienvenus. Le titre d’icône (de quoique se soit) récompense à mes yeux un visage qui a su rassembler, et porter sans équivoque un mouvement collectif trop conflictuel dans OUAT.
En tant qu'auteur (du dimanche) :
Le pairing Swanqueen fait couler beaucoup d'encre : 14 400 fictions leur sont dédiées sur Fanfiction.net, un chiffre surpassant le nombre d’écrits dédiés aux couples “concurrents” impliquant nos héroïnes: 11 100 fictions sont dédiées au couple Emma/Killian (CaptainSwan) et seulement 3600 au couple Regina/Hood (Outlawqueen). Sur AO3, 9777 fictions affichent en en-tête le tag “Evil queen/Regina Mills/Emma Swan” contre 8214 affichant Captain Hook/Killian Jones/ Emma Swan et 1975 affichant Evil Queen/Regina Mills/Robin Hood. A noter que les auteurs publient fréquemment sur les deux plateformes et que ces chiffres ignorent d'autres supports importants tels que d’autres plateformes de publication en ligne, certains blogs, forums ou même profils tumblr.
Sur quoi repose l'attrait créatif du Swanqueen ? Je ne vais pouvoir répondre au qu’en mon nom, je vais essayer néanmoins de m'en tenir à des choses susceptibles de mettre d’accord tous les auteurs inspirés par ce couple.
Premièrement, il y a l'alchimie entre les personnages déjà très bien expliquée plus tôt, par Lana Parrilla. Je passerai donc directement au facteur suivant, à savoir, à mon sens, le nombre de versions de ces deux personnages proposées par le show : le personnage de Regina est à lui seul, décliné en plusieurs variantes : la Méchante Reine d'une part, et d'autre part Regina Maire de Storybrooke qui elle même ,est une garce dans la saison 1 et son inverse dans la saison 6. Il y aussi la Regina joviale naïve de sa jeunesse, dominée par sa mère, en conflit avec les ambitions mégalomanes de cette dernière. Elle devient épouse-adolescente ravagée par le deuil abusée par un mariage forcé, puis manipulatrice, puis sociopathe déconnectée de ses émotions et Reine sanguinaire déchue, prisonnière. Emma, quant à elle, est d’abord une garante de caution à Boston, solitaire, abîmée par la vie, puis elle devient Sauveuse, héroïne collective idéalisée, elle apparaît à quelques reprises sous son titre légitime de princesse (robe à volant et tout le tralala) et enfin son changement le plus significatif : la naissance de Dark Swan. On peut aussi relever son passé d’orpheline et de délinquante en recherche d’elle-même. Cette matière à exploiter, c'est pratiquement être en sevrage de sucre et débarquer dans une usine Haribo ! Il y a un panel d'émotions, de cadres, de clefs si diverses et riches à disposition des auteurs que l’on ne sait pas où donner de la tête et que l’impression de n'avoir jamais fait le tour des personnages provoque ce sentiment qu'ils restent toujours d'autres histoires à écrire. Ce trait particulier me rappelle Xena The Warrior Princess, qui, a donné à la fanfiction ses plus beaux chefs d’oeuvre. Moins connus des générations d’auteurs et de lecteurs les plus jeunes, des noms tels que Kim Prietekel, Melissa Good, Suzanne. M Beck pour ne citer qu’eux sont encore à mes yeux, des auteures inégalées dans ce genre qui n’a pas encore su retrouver cette envergure. OUAT a néanmoins su inspirer quelques histoires poignantes et offre encore de quoi inspirer une littérature de haute-voltige.
Maintenant les difficultés. La première d'entre elle, c'est la barrière de la langue. Un obstacle auquel est confronté chaque auteur francophone regardant les épisodes en VO, par soucis d’authenticité et aussi clairement par impatience. Le passage de l’écriture en français est périlleux et nous met clairement en désavantage. Le mythique « Miss Swan » pose par exemple très vite problème et ce n’est qu’un exemple. La différenciation entre le vouvoiement et le tutoiement ici caractéristique de la langue de Molière est aussi difficile à gérer avec adresse, surtout lorsque la répartie entre les deux personnages est l’un des éléments essentiels de leur relation- très bien exploité dans le show d’ailleurs. Ensuite, pour ma part, il y a tout simplement Regina Mills elle-même, qui en soi, est ingérable. Dans une langue différente de la sienne qui plus est? On frise le casse-tête. L’incarnation à l’écran de Lana Parrilla présente des subtilités difficiles à mettre en mot, et si un auteur prend le parti de vouloir vraiment coller au personnage de la série la frustration est vite au rendez-vous.
Cela n’empêche pas de vouloir essayer manifestement et tant mieux.
Pour conclure :
Once upon a time aura marqué son temps, quelque soit l'issue de la saison prochaine. Il faut espérer que les remises en questions affichées par ce reboot, redonnent une réelle force à un concept qui a sans aucun doute, d'autres ressources à exploiter. Aux plus sceptiques: qui auraient pu deviner tout ce potentiel en premier lieu ? L'inattendu et l'attendu se partagent sans doute l'angoisse des fans même les plus investis, Horrowitz et Kitsis ont toutes les clefs en main et l'instant de vérité aura lieu en octobre. D'ici là, pour ma part, je garde espoir.
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📺 Film du jour 📺 Des batailles à couper le souffle 🤩 et un duo glamour 😍😍 formé par Carole André et Kabir Bedi (star du feuilleton télévisé "Sandokan" qui avait rencontré un formidable succès à travers l’Europe pour ceux qui ont connu cette période) pour un divertissement de haute volée aux accents anticolonialistes. Ne ratez surtout pas ce film au charme des années 70, qui de canonnades en coups de sabre, vous fera découvrir un héros chevaleresque, en lutte contre la vilenie des puissants, en proie aux affres contradictoires de l’amour et de la vengeance 🤩🤩, un film d’aventure exaltant avec de la magie noire, entre souffle épique et grands sentiments 🤩🤩🤩 ————————————————————— Une sélection quotidienne d’un film de cinéma du patrimoine/répertoire à voir gratuitement et tranquilou chez vous pendant que le Kino Ciné est fermé. ————————————————————— "LE CORSAIRE NOIR" DE SERGIO SOLLIMA 1976 - 1h55 //////////////////// OÙ LE VISIONNER ? //////////////// Sur ARTE. Disponible du 20/05/2020 au 26/05/2020 : https://www.arte.tv/fr/videos/091074-000-A/le-corsaire-noir/ //////////////////// KÈSKECÉ ? ///////////////////////////// Le Corsaire noir (Il corsaro nero, 1976). Corsaire issu de la haute noblesse espagnole, Emilio de Vintimille se lance à la poursuite du cruel duc Van Gould, responsable de la mort de ses frères, et qui règne en despote sur l’île de Maracaibo. Sollima a réalisé à la fin des années 60 deux des meilleurs western italiens, Colorado et Le Dernier face-à-face, allégories politiques dans lesquelles le cinéaste abordait des thèmes comme l’impérialisme, le racisme et le fascisme. Après l’échec commercial de son thriller La Poursuite implacable, Le Corsaire noir et le dernier effort notable de Sergio Sollima dans le domaine de l’action et de l’aventure, à une époque où le cinéma de genre italien amorce une irréversible décadence artistique, et se tourne principalement vers la violence, la parodie et l’horreur. Le film se distingue de la production commerciale transalpine en proposant un divertissement tous publics, porté par des valeurs humanistes. Il est tiré d’un livre d’Emilio Salgari, sorte de Karl May transalpin immensément populaire pour https://www.instagram.com/p/CAc09coKWRk/?igshid=964cuqahx224
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COMMENT VOUS VENGEZ CONTRE UNE PERSONNE GRÂCE AU SORCIER VODOUN
Les sortilèges vaudou de vengeance sont toujours très fortes et puissante et donneront des résultats positifs. Aussi les sortilèges vaudou de vengeance sont sain et peuvent être utilisés sans peur ou ennuis. – Etiez-vous victime de malédiction? – Etiez-vous blessé dans votre amour propre? – Etiez-vous trahi ou quequ’un vous a fait pleurer? – Cherchez-vous la justice? – Est-ce que quelqu’un a ruiné votre vie? – Si vous avez de telles questions dans votre esprit, alors ce puissant et effectif sortilège vodoun de vengeance doit être lancé.
Trouvez ci-dessous les quelques examples où on peut utiliser ce sortilège de voodoo de vengeance. 1- Si quelqu’un vous a fait du mal et vous êtes vraiment blessé dans votre amour propre, et aviez besoin de vous venger. 2- Si vous sentez que quelqu’un vous a détruit par la magie noire et vous voulez vous venger et ne connaissez pas la personne. 3- Si quelqu’un a enlevé votre amour et vous voulez vous venger de cette personne. 4- Si quelqu’un a fait la magie noire sur vous et que vous voulez le détruire et être avec lui. 5-Si vous voulez que votre ennemi souffre et soit puni. 6- N’importe qui vous a fait du mal tel que votre ex ami ou amie, ex amoureux (se), ex boss, votre belle mère, mauvais voisin etc…sera puni par le puissant sortilège de vaudou de vengeance. 7- Tous tes ennemis qui font le plan de faire la magie noire sur vous seront détruits par les pouvoirs de sortilège de vaudou de vengeance. 8- Au bureau tes collègues cherchent à prendre ta place ou gâtent votre nom, alors ce sortilège les puinira et fera qu’il ou elle paye pour vous avoir troublé. 9- Voulez-vous que vos ennemis ont des cauchemars et mauvais rêves, alors, le sortilège voodoo de vengeance est le meilleur sortilège à utiliser. 10- Voulez-vous détruire sexuellement votre ex amoureux par l’affection de son pouvoir sexuel, de sorte ses fonctions d’adultes ne fonctionnent plus?. 11- Aimerez-vous que votre collègue soit licencier et perdre son travail? 12- Voulez-vous voir que votre ennemi pleurer et chacun le haïr? 13- Ceci sont quelque exemple des cas où on peut faire usage puissant sortilège vodoun de vengeance. Le vodoun ne fais pas du mal. Mais si quelqu'un, ami, ex, collègue veut de ton malheur. Il est mieux de prendre les dispositions pour lui renvoyer le mal qu'il t'envoie. POUR ÊTRE SÛRE DE VOS RÉSULTATS A 100% Wossou Dogboli Contactez moi WhatsApp ou appelez 0022969102375 sur mon site
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Rituel pour briser un couple, professeur TOFFA; Whatsapp: +229 91 72 86 02 .
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Sur des mers plus ignorées de Tim POWERS
Voilà un livre que j’attendais de lire depuis un long moment… Quand je dis ça, je veux dire que je l’ai acheté il y a 3/4 ans et que je n’y avais quasiment jamais touché. Pourquoi l’avais-je acheté ? Et bien c’est ce fameux roman qui a énormément inspiré les jeux Monkey Island (surtout le 2) qui eux-même ont énormément marqué mon enfance. Une histoire de pirate à laquelle s’ajoute un bonne dose de fantastique : fantômes, zombies, malédictions, … Il a aussi inspiré le 4e film de la série des Pirates des Caraïbes (qui lui donne même son nom “On stranger Tides“).
J’étais d’ailleurs extrêmement enthousiaste au moment de commencer ma lecture. Ce roman avait tout pour me plaire et j’étais même déjà persuadé qu’il entrerait facilement dans mon top 10…
L’histoire est plutôt basique, du moins dans les grandes lignes. Un jeune homme (Jack) en quête de vengeance et qui est en route pour Port-au-Prince voit le bateau sur lequel il se trouve, attaqué par des pirates. Il rejoindra l’équipe de gré ou de force et rencontrera par la suite un bon nombre de grands noms de l’époque dont Edward Thatch alias Barbe-Noire. Il sera confronté à la magie qui habite ces mers et terres, il se fera un nom et joindra également la quête de la Fontaine de jouvence qui semble être le Saint Graal de beaucoup de brigands. Il aura alors un nouvel objectif, celui de sauver l’inutile “princesse” en danger. (soupir)
Bon, pourquoi pas. L’un des problème que j’ai eu avec ce livre est que justement, la jeune fille n’est quasiment jamais mise en avant, à part au début. On n’y est pas du tout attaché en tant que lecteur et son sort ne nous intéresse que très peu. On a même du mal à comprendre que Jack en soit amoureux. Du début à la fin, elle n’aura que le rôle d’une basique Princess Peach kidnappée par Bowser. Ni plus ni moins…
Parlons donc des problèmes que j’ai avec ce livre…
La première moitié ne sert pas à grand chose. Il ne s’y passe rien de bien intéressant et il faudra donc attendre un certain nombre de chapitres avant de se dire “Ah ! ça y est, l’aventure va commencer là…”. Certes, elle commence, mais ne se mettra vraiment en route qu’au terme d’un long crescendo prenant une centaine de pages. Cela a pour effet de frustrer le lecteur en attente d’épique ! Et c’était ce à quoi je m’attendais avant d’ouvrir ce livre, de l’épique. Que le récit soit sale, prenant et épique. Objectif atteint pour ce premier point, un peu moins pour le second et pas du tout ou très peu pour le dernier. Mais j’ai ma théorie sur ce problème.
La traduction.
Pendant ma lecture, je suis allé voir ce qu’il s’en disait sur SensCritique. L’une des critiques parlait de problèmes de lectures. Et j’ai tout de suite compris de quoi il s’agissait. Cela ne vient pas du fait que ce fût compliqué à lire, mais bien souvent, on bute sur des tournure de phrase pas très claires, ou des descriptions floues. Comme lorsque la magie (vaudou) fait irruption dans le récit. La plupart du temps, c’est dit de manière tellement nonchalante qu’on doit relire le passage plusieurs fois avant d’être sûr de ce que nous venons de lire. Je ne suis pas pour tout expliqué et en général, j’aime quand un auteur ne se sent pas obligé de justifier un point de l’histoire. Un peu comme dans Scott Pilgrim par exemple. Pour que quelque chose soit magique, il ne faut pas chercher à en faire trop, mais juste l’accepter tel quel. La difficulté réside peut-être dans le fait de trouver un juste milieu entre quelque chose de mystérieux et quelque chose d’obscure et flou.
Voilà pour ce qui est pour moi le gros défaut de cette version du roman. Peut-être nécessite-t-il une nouvelle traduction ?
Pour conclure, j’ai tout de même passé un bon moment à lire ce livre, mais il aurait sans doute nécessité 200 pages de plus pour offrir plus de moment d’action au lecteur. Mais peut-être que mes attentes étaient trop grande tant je m’appétait à découvrir ce monument qu’il semble être. Je ne regrette pas du tout de l’avoir lu et il m’aura en plus fait refaire Monkey Island et donné envie de refaire Monkey Island 2. Et… Il faut que je vois aussi ce Pirates de Caraïbes 4 du coup… (Youpi)
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Désenvoutement Définitif, Envoûtement Définitif, Retour Affectif Définitif, Protection Contre La Magie Noire ou des entités, rupture, mésentente, etc,,, Problèmes familiaux de toutes sortes, Ouvre chemin pour travail commerce, soucis financiers, amour Problèmes judiciaires, Maux chronique, stress, dépression, phobies, addictions problèmes sexuels. Amincissement, etc ..Vengeance contre des personnes qui vous ont fait du mal. Ouverture de chakras, équilibrer vos énergies .Troubles de la personnalité. Et bien dautre cas que nous ne pouvons énumérer GRAND FÉTICHEUR MARABOUT COSME contact whatssap 0022968279187 suivez moi sur ma page #GRANDMaitreMaraboutCOSME QUE LES BÉNÉDICTION SOIENT
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Analyse militante : Les Nouvelles aventures de Sabrina
Dans le même univers que Riverdale, Sabrina revient sur nos écrans en 2018 dans une nouvelle adaptation pour Netflix. Comme la série qui la précède, les producteur·ices délaissent l’ambiance originelle pour adopter un climat plus sombre et torturé, gorgé de sang et d’abus en tout genre. Kiernan Shipka interprète Sabrina sous les traits d’une sorcière déterminée à lutter contre le patriarcat grâce à la magie. Certain·e·s pourraient dire que la série s’illustre dans la dénonciation des institutions patriarcales, mais à ça je répondrais que c’est une vision bien incomplète et fantasmée des combats féministes.
Attention, cet article dévoile des événements importants des deux premières saisons de cette série. Si vous ne souhaitez pas lire de spoilers, passez votre chemin.
Tout d’abord, Les Nouvelles aventures de Sabrina, ça parle de quoi ? Ça parle d’une demi-sorcière blanche cis hétérosexuelle valide et mince qui, à l’approche de son 16ème anniversaire, devra abandonner sa partie humaine pour devenir une sorcière à part entière. Néanmoins, elle finit par refuser cette destinée et arrive à forcer la main du diable pour pouvoir mener sa double vie tranquillement.
Enfin ça, c’est le plot le plus basique que l’on pourrait faire de la série, car en réalité de nombreux thèmes y sont abordés (comme la transphobie, la culture du viol, le deuil, les abus d’autorité, etc). Le défaut le plus regrettable dans cette série réside dans sa plus grande qualité : vouloir lutter contre le patriarcat. Je reformule : vouloir lutter contre le patriarcat uniquement.
Qui y a-t-il de mal à vouloir lutter contre le patriarcat uniquement ? En soi, une série n’a pas forcément le temps de développer toutes les luttes du monde. Mais ce n’est pas ça que je reproche. Ce qui est critiquable, c’est surtout la façon dont on nous présente la lutte contre le patriarcat : une femme blanche cis hétéro valide et mince qui porterait à bout de bras la majorité de la lutte féministe.
Toute représentation n’est pas bonne à prendre. Cette phrase n’a jamais été aussi vraie que pour décrire cette série. À voir le casting, on voit déjà que la diversité est plus importante que dans la majorité des séries. Des personnes racisées, handicapées, queers y sont présentées pourtant, mais très peu se détournent de tropes oppressifs.
Queer et décadence, un duo qui rythme la série
Dans les deux premiers épisodes, Sabrina se venge des footballeurs transphobes qui ont agressé sexuellement Théo en les manipulant à l’aide d’un sort pour qu’ils s’embrassent mutuellement. Elle menace ensuite de révéler les photos prises pour les humilier. L’humiliation par l’homophobie. D’ailleurs plus tard, Hilda dévoile que l’un des footballeurs est en réalité amoureux du chef de la meute pour encore plus l’humilier publiquement. Au final, le message qui en ressort c’est que l’homosexualité est un motif d’humiliation pour contrer la masculinité toxique.
Sabrina : “Ambrose, Luke ne risque pas d’être jaloux de Prudence et toi ?”
Ambrose : “Luke est en mission pour le père Blackwood.”
Par ailleurs, la représentation de la bisexualité n’est pas meilleure. On note par exemple que Ambrose par sa bisexualité trompe son petit ami dans la saison 2 en couchant avec Prudence. Quant à Prudence ou à ses sœurs, elles sont présentées comme non hétérosexuelles, mais surtout incestueuses tant elles participent ensemble à des orgies ou ont été en couple avec Nicholas Scratch en même temps (une relation polygame incestueuse).
Ce peu de représentation au sein de l’église de la nuit nous montre au final une image peu saine de la bisexualité (et est ramenée au fait de ne pas pouvoir être exclusif’ve’s). À noter qu’il n’y pas une seule fois de représentation de relation lesbienne dans la série.
Les handicaps, une malédiction ?
De plus, la série représente aussi des tropes validistes. Par exemple, on retrouve la folie comme produit d’actes démoniaques qui mettent en danger les êtres vivants, mais aussi le trope de la vieille femme aveugle et voyante suite à une malédiction. Dès les premiers épisodes, on apprend que Rosalind vient d’une famille maudite depuis des générations par une sorcière. En effet, les femmes de cette famille, à partir d’un certain âge, finissent par devenir aveugles. C’est donc ainsi que la série aborde la situation de handicap pour la première fois : comme une malédiction, une punition démoniaque dont il faut se débarrasser à tout prix pour pouvoir vivre sa vie correctement.
Or, les handicaps sont aussi handicapants surtout parce que la société ne s’adapte pas à nous. Dans la saison 2, Sabrina se découvre faiseuse de miracle et guérit son amie. Le message validiste se dévoile totalement : une personne handicapée ne pourra jamais être complète ni heureuse dans sa vie tant qu’elle aura son handicap.
Rosalind : “Notre cécité serait une malédiction.”
Ce message est d’autant plus appuyé par un traitement raciste qui place la famille Walker comme autre représentation noire de la série à être cruelle. La famille Walker est punie par des sorcières, car l’une des ancêtres Walker aurait dénoncé une sorcière à l’époque des procès de Salem. Or, pendant cette même époque, dans la famille Putnam, Dorothéa (ancêtre de Théo) est la seule femme de tout Greendale à faire preuve de miséricorde et d’empathie en les sauvant une première fois de la chasse aux sorcières. Elle est aussi la seule femme à les avoir enterrées après que les treize sorcières de Greendale aient été pendues. On remarque dans cette situation que des deux meilleur’e’s ami’e’s de Sabrina, l’une des familles a fait du mal aux sorcières, l’autre famille a sauvé les sorcières. La première famille est noire. La deuxième est blanche.
Femmes noires et cruauté
Et ce traitement de la cruauté des femmes racisées, mais surtout noires s’applique tout le long de la série. Avec la différence entre Constance et Zelda. Deux femmes, deux mères, l’une apprend que son mari (le père Blackwood) a eu un enfant caché et décide de tuer cet enfant. Il s’agit bien évidemment de la femme noire qui fait preuve de cruauté envers un enfant. Alors qu’à l’inverse, Zelda, aide Constance à mettre au monde ses jumeaux et, en découvrant que le bébé premier né est une fille, décide de la cacher. En effet, elle voulait éviter qu’elle soit tuée par son père misogyne qui préférait un aîné mâle.
La femme noire tue un enfant. La femme blanche sauve l’enfant. À noter qu’en plus de ça, Constance en voulait à la vie de Prudence, une autre femme noire, représentant ainsi deux femmes noires se battant pour acquérir les privilèges d’un homme blanc.
Ainsi, la violence des femmes racisées est toujours punie à l’inverse de celle des femmes blanches. La violence des femmes racisées, leur désir de vengeance est toujours illégitimé dans la série. Là où Constance est montrée comme cruelle pour avoir voulu tuer une enfant qui ne savait même pas qui était son père, elle meurt quelques jours plus tard en mettant au monde ses enfants.
De la même façon, lorsque Agatha (l’une des sœurs du destin, la sœur asiatique) décide de punir la famille de Harvey Kinkle pour avoir pratiqué la chasse aux sorcières dans le passé, ce qu’on nous montre c’est que cette cruauté n’est pas légitime. Cette vengeance qu’elle applique en tuant le frère d’Harvey nous est montrée comme injuste et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle notre héroïne blanche se venge et égorge Agatha. Cette fois, la vengeance de Sabrina n’est pas cruelle, elle est juste puisque appliquée sur une femme racisée. Lorsque les femmes blanches font preuve de violences, elles sont applaudies, lorsque ce sont des femmes racisées, elles sont punies.
Sabrina : “N’oublie pas : c’est par ta faute que tu vis ça.”
Les femmes racisées sont sans cesse victimes de violences dans la série. Et parfois, la violence devient symbolique parce que color-blind. On peut me rétorquer que ce n’est pas parce qu’elles sont racisées qu’elles subissent toutes ces violences, n’importe quelle autre actrice blanche aurait pu être castée. C’est leur rôle dans l’histoire et le fait qu’elles sont là pour valoriser l’aura de justice que Sabrina représente. Et c’est possible. C’est même fortement possible. Mais je n’en ai rien à faire, comme toutes les personnes victimes de ces oppressions n’en ont rien à faire, car ce qui importe ce n’est pas l’intention dernière, mais l’impact du résultat actuel.
Le résultat actuel c’est une violence symbolique de plus qui a été créée dans un environnement déjà profondément homophobe, biphobe, validiste et raciste et que cette influence n’est pas nulle dans cette série. De la même façon que cette série s’inscrit dans un système où la représentation des violences faites aux femmes racisées et surtout noires, qu’elle soit critiquée ou valorisée, est déjà bien trop présente.
Je prends pour exemple la scène de pendaison des soeurs du destin dans l’épisode 4 de la saison 1. Les trois soeurs y sont pendues, car elles ont harcelé jusqu’à la mort des élèves. Parmi ces trois soeurs, pensez-vous sincèrement que l’impact envoyé est le même dans le fait de voir Prudence (une femme noire) pendue et Dorcas (sa sœur blanche) pendue ?
L’inversion du racisme
Dans cette série, la race n’existe pas, mais dans notre société elle existe. Et c’est là tout le problème de cette série. Pas une seule fois on nomme le racisme. Comme si dans la société des sorcières présentée dans la série le racisme n’existe pas. Or dans notre histoire, les femmes blanches à l’époque des procès de Salem ont été racistes. La misogynoire était présente. Des femmes noires ont été envoyées au bûcher par des femmes blanches parce qu’elles étaient noires.
Si Les Nouvelles aventures de Sabrina maintiennent que le sexisme des chasses aux sorcières féminicides est toujours ancré dans la société des sorcièrs, le racisme, lui, semble avoir disparu… mais pour quelles raisons ? Sans doute, pour pouvoir mieux montrer des personnes racisées être racistes. Quand le racisme est nommé, c’est par Sabrina, moitié humaine, victime de harcèlement par les soeurs du destin.
Prudence : “Une sang-mêlé comme toi ne peut pas comprendre.”
C’est un trope très commun dans les oeuvres de fantastique et de fantaisie : nous montrer une oppression imaginaire interespèce qu’on associe au racisme. Malheureusement, dans ces univers, ces espèces existent sur le plan biologique et c’est là toute la différence avec notre réalité. La race est une construction sociale, elle n’a aucune base biologique et d’ailleurs, la notion de race biologique a été créée justement pour justifier le racisme.
Le simple fait de créer une oppression imaginaire dans ce genre d’univers en assimilant le racisme à une réalité biologique, c’est admettre que le racisme se base sur des réalités biologiques. Et c’est pratique parce que ça permet de montrer des personnages racisés être racistes envers ces nouvelles espèces. Dans la série, Sabrina est victime de « racisme » dû au sang humain qui coule dans ses veines. On nous montre donc une image fantasmée où une personne blanche est injustement victime de racisme et que les personnes habituellement victime de racisme dans notre société peuvent être racistes dans cet imaginaire.
Par ailleurs, le traitement du métissage est particulièrement raciste. Le métissage de Sabrina nous est montré comme une arme qui permettra la fin du racisme. Toute la saison 2 tourne autour du fait que le père de Sabrina prônait le métissage comme avenir de l’Église de la nuit. Et Sabrina est persuadée qu’il permettrait d’utiliser une nouvelle forme de magie. Or c’est nier le fait que le métissage a été une arme raciste, coloriste et surtout coloniale très importante dans l’histoire.
Le but du métissage a été dans certains endroits de la terre un moyen de rendre les populations colonisées petit à petit blanches. Ces théories évidemment basées sur l’idée que les races biologiques existent. Le métissage n’a jamais été une arme contre le racisme. Il a toujours été une arme institutionnalisée par les politiques racistes.
Une complice fantasmée
Au final, Sabrina, c’est une fille qui se bat contre le patriarcat du haut de sa position de femmes blanche cis hétéro mince et valide. Sabrina est une white savior qui s’implique quand on ne lui demande pas dans des luttes qui ne la concernent pas. Tout le long de la série, elle ne cesse de critiquer les croyances d’une religion qu’elle connait à peine (elle n’est jamais au courant des traditions religieuses, demande toujours explications et s’en offusque). Et certes, à chaque fois la série lui donne raison mais c’est justement ça le problème.
Le vocabulaire utilisé pour dénoncer les travers du satanisme est un vocabulaire fortement colonialiste. Bien que la série se sert du satanisme pour critiquer l’institution chrétienne, les critiques sur la misogynie institutionnalisée sont faites de sorte à critiquer d’autres religions. « Traditionnel » « arriéré » « d’un autre temps » « barbare » ce sont des mots très souvent utilisés pour qualifier l’église satanique, un vocabulaire hérité de la colonisation et toujours utilisé pour nourrir l’islamophobie.
Sabrina : “À moins d’admettre que tout cela n’est pas très civilisé...”
Et dans ces situations, la série dénonce l’Église de la nuit comme patriarcale car arriérée. Sabrina, figure de justice dans la série, arrive à dénoncer ces actions et à lutter pour que plus aucune femme n’ait à subir ces traitements. C’est ce qui est le plus ironique : sa place fantasmée. Chaque combat qu’elle mène finit par aboutir à l’avancement de la lutte à son niveau. Elle est active et efficace (bien que certaines fois son « aide » est critiquable mais pas critiquée).
C’est ironique lorsqu’on sait quelle a été la place réelle des femmes blanches comme elles dans les luttes contre le patriarcat : les femmes blanches ont beaucoup œuvré contre les populations racisées pour espérer avoir les mêmes privilèges que les hommes blancs (cf : Les Féministes blanches et l’Empire, La Matrice de la race). De la même façon, les luttes contre les queerphobies ont été menées par des personnes racisées et queers, et notamment des femmes trans noires qui ont marqué l’histoire de nos luttes.
Sabrina aurait très peu de chances d’exister du haut de ses privilèges. Elle n’agirait pas pour punir les harceleurs de Théo. Sabrina dans notre réalité aurait bien plus de chance de tweeter l’agression de Théo sans bouger le reste de ses doigts. Et comme dans la série, elle finirait sur une injonction à porter plainte. Sabrina c’est une complice fantasmée. Mais dans nos réalités, les complices se font rare et les allié’e’s font des RT. Dommage que la série visibilise une chimère.
Dara
#les nouvelles aventures de sabrina#chilling adventures of sabrina#racisme#validisme#homophobie#biphobie#féminisme#archie comics#netflix#dara#sabrina
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A force d'écrire, je me suis souvent poser la même question, celle dont tu parles dans tes textes est hyper occupée avec son nouveau mec, est ce qu'elle pensera a lire tes conneries ?
Et bah en continuant a écrire, j'ai trouvé pleines de réponse a cette question qui me revient toujours, le premier jour ou j'ai pensé a écrire j'avais des tas de pensées a balancer sur mon papier, j'ai pensé a personne, j'avais juste envie d'écrire , l'envie qui a fait de moi l'esclave de certaines femmes poétiquement, elles se souviendrons sûrement qu'à certain moment j'écrivais pour elles, je me sentais pas bien a cet époque, j'avais l'instinct humain qui me chuchotait, il m'a souvent évoqué les malheurs que j'ai vécu a cause d'un amour perdu, j'ai jamais regretté un seul mot mise sur l'une de mes textes, ni un amour qui a su jouer avec mes mots, plutôt s'en servir pour passer quelque moments de gloire, les réactions froides, les mots blessants, le manque, tout ça pourra nous faire mal même si on le montre souvent pas a force de continuer a rêver , rêver d'un compte de fée, savourer un peu d'amour dans ce monde de barbare, laisser passer des tas de malheurs et se dire que ça va aller plus au moins, écrire pour s'évader, j'ai souvent penser a ça, oublier c'est impossible, continuer a penser a nos ambitions, nos vies n'ont jamais été basées sur la présence d'une personne en particulier, et d'un coup on tombe sur certaines personnes qui font trembler notre existence, la magie de tout aimer parce que on est bien accompagné, un seul être pourra chambouler toute notre notion de bonheur, j'ai résisté a ce bonheur lié a la présence d'une personne qu'on aime jusqu'à en mourir, aimer c'est prendre le risque de tout perdre a n'importe quel moment !!
La chute fait mal, on se fait du mal , faudrait qu'on passe a autre chose avant que notre coeur s'explose , les larmes arrivera le jour ou elles resteront a jamais a l'intérieur, elle verront plus le jour parce que ton coeur a cessé d'avoir le courage de sentir quoi que ce soit , les belles paroles seront des paroles normales et les discussions se résument a savoir les nouvelles d'autrui ... ces gens qui faisaient notre bonheur, aujourd'hui sont classés parmi ceux et celles avec qui on a partagé des moments qui nous ont marqués, je souris bêtement quand je prends conscience de la valeur magique du temps, on oublie ce qu'on pensait oubliable et éternel, on se souvient de ceux qui nous ont fait mal indirectement, celle qui a refusé l'amour, celle qui t'a comparé a un autre homme et elle lui a donnée son corp pour avoir l'amour qui lui était déjà offert et l'a négligé .
Un maman vaut toute une vie, et ses paroles m'ont toujours aidés a surmonter tout sorte de situations, elle me dit qu'il faut laisser partir ceux qui ont voulu partir et essayer avoir plus d'affections a ceux qui ont été toujours là peu importe mon état psychique, alors que mal grès ces paroles en or j'ai fais des fautes impardonnables, j'ai supplié des personnes a faire un peu d'effort pour rester , j'étais un putain de con ,je regrette surtout pas cette période ou j'étais un peu fragile et je trouvais anormale de refuser l'amour offert noblement sous prétexte que j'étais un ami et elle souhaitait pas gâcher cette amitié, parfois je me dis que la vengeance est tellement naturelle et que sûrement la roue tournera tôt ou tard, je dois me concentrer sur ce que j'ai de plus précieux actuellement, ces personnes qui font mon bonheur chaque instant, en particulier celle avec qui je parle le plus , celle qui m'offre l'amour de toute les années perdu e' cherchant mon propre bonheur, et a moment donné on réalise que en s'isolant de ce monde sûrement on aura la tranquillité et la paix qui nous protégé de tout risque amère, mais dans tout ça y aura pas de quoi savourer un bonheur existant seulement en aimant et en donnant un peu de sérénité et d'amour a une personne qui mérite tout cela, sa sensualité me rend follement attitré de plus en plus a ses manilles, la nuit nous appartient , les journées ne font que souder notre amour tant rêvé d'être vécu a deux, j'ai souffert en écrivant des textes tellement douloureux mais cette nuit c'est différent , je suis heureux et je le vis chaque putain de seconde, je souhaite parler de ce bonheur discrètement mais non je pourrais plis cacher ce que je ressens avec chaque lever de soleil, je me sens en totale extase , je souris fréquemment et j'en suis dingue, je m'aime à travers elle, je me souviens de nos premiers promesses, elle me parlais de ce bonheur partagé , le fait d'exister a travers l'autre, l'aimer parce que c'est hyper naturelle ce que je ressens, cherchez plus de raisons a aimer,dites a ces merdes que nous vivrons sans eux, qu'ils étaient des vrais leçons d'une lâcheté humaine , dites leur que leur malheurs s'oublient avec chaque sourire au lèvres de ma bien-aimée, dites leur que malgré nos souffrances on vie et on rigole et la vie continue, je me sens aimé et y a pas mieux au monde de ce sentiment, Amour, chère déesse, rêve avec moi car je crève sans toi, quand disparaissent tes atours s’élèvent des ciels noirs griffant mes mers et le glaive de ton absence en moi s’insère, ma belle muse de vers, toi, tu es sentinelle, de mes nuits libres de l’enfer, abri oxydant, le soleil de l’est se levant sur ton tendre sourire céleste, tes yeux, Illimitable lagon silencieux, chatoiement incommensurable,où se reflète l’immortalité, de l’obscurité de nos nuits de voluptés, mes mots rêveurs sur les tiens s’impriment pour devenir vagabonds conteurs, de mes tristesses quand je suis sans toi et de l’ivresse du temps passé dans tes bras, viens cherchons la paix entre nos baisers de jasmin, lèves toi et continue de battre ceux qui essaies de nous foutre en l'air !! T'es celle qui manque a moi, t'es celle que j'aime le plus au monde ...
#wayel
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Mademoiselle Réalisé par Park Chan-wook (2016, Drame)
Durée 144 mn, Nationalité : sud-coréen.
Avec Kim Min-hee (Hideko) , Kim Tae-ri (Sook-hee / Tamako) , Ha Jung-woo (le comte Fujiwara) ...
Synopsis
Pendant les années 1930, dans une Corée sous domination japonaise, Sook-hee est engagée comme domestique au service d'Hideko, une héritière japonaise, qui vit dans un beau manoir, en pleine campagne, sous la domination de Kouzuki, son oncle tyrannique. Mais la jeune femme a un secret : pickpocket experte depuis l'enfance, elle a été embauchée par Fujiwara, un escroc qui se fait passer pour un comte japonais. Sook-hee est en effet chargée de l'aider à séduire Hideko afin de la faire interner et de la délester de sa fortune. Mais les sentiments s'en mêlent...
Critique lors de la sortie en salle le 01/11/2016
Par Guillemette Odicino
Depuis Old Boy, en 2003, son thriller de la vengeance où l'on apprenait la dégustation du poulpe vivant, on s'attend à toutes les folies de la part de Park Chan-wook. Son film d'amour vampirique, Thirst, ceci est mon sang, en 2009, prouvait que le Coréen savait revisiter la littérature classique (Thérèse Raquin, de Zola) à sa sauce lyrique et gothique. Ici, il transpose un roman récent, Du bout des doigts, de la Britannique Sarah Waters, en Corée, au moment de son occupation par le Japon, dans les années 1930.
Donc, il était une fois une jeune arnaqueuse, envoyée par un escroc au service d'une belle recluse japonaise qui se fane sous le joug d'un oncle bibliophile, érotomane et fan du marquis de Sade... En fait, non : il y a bien une jeune arnaqueuse, mais elle est, elle-même, arnaquée par une divine créature apparemment pure comme le cerisier en fleur, mais au coeur noir comme le péché. Mais tout compte fait, ce n'est pas cela non plus : avant tout, Mademoiselle est une histoire d'amour... Le cinéaste prend un malin plaisir à nous balader dans un conte en trois actes qui se contredisent et s'enrichissent, où chaque personnage, tour à tour manipulateur et manipulé, avance vers sa vérité. A chaque scène son envers, et le sexe, d'abord présenté comme une fascination vénéneuse et toxique, tourne, grâce aux femmes, à la révélation libératrice. Pour enlacer ces thèmes, le réalisateur use de tout ce que la magie du cinéma permet : panos circulaires vertigineux, zooms qui pénètrent le château de l'oncle, sorte de Barbe-Bleue à la langue noire à force de lécher l'encre de ses précieuses estampes coquines. La nature, elle, est filmée avec la délicatesse de l'estampe japonaise et la majesté des jardins victoriens. C'est L'Empire des sens dans les dentelles de Downton Abbey ! Park Chan-wook est un fétichiste de l'esthétique : les collections de chapeaux et de gants au nuancier délicat, une paire de boucles d'oreilles bleu saphir qui passe de lobe en lobe ou les lanières d'un corset deviennent des objets de culte. En revanche, la bibliothèque où le vieux sadique condamne sa nièce à lire des textes érotiques devant un parterre d'amateurs témoigne d'un autre fétichisme plus pervers. Moment jubilatoire, digne d'un opéra, où la servante et sa maîtresse mettent à sac ce temple de la perversion masculine !
Deux scènes d'amour sont troublantes, osées : le cinéaste y confisque L'Origine du monde (et les boules de geisha !) au seul plaisir des hommes, grands perdants de ce thriller à tiroirs. Mais la plus belle séquence, au coeur de Mademoiselle, est la fuite, à l'aube, de deux beautés (a-t-on dit que les deux actrices étaient splendides ?)... Au bout du parc, un petit muret. La première hésite : il y a tant de liberté derrière cette minuscule frontière. La seconde empile deux valises en guise d'escalier pour l'aider à passer de l'autre côté. Grâce à cet infime geste de galanterie d'une femme envers une autre, Park Chan-wook devient le plus romantique des féministes. —
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