#Sa Roc Freestyle
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Sa-Roc "Melanin Drip" Freestyle Produced by: Sol Messiah Video: Tommy Nova
Watch me get settled and sonically acclimated. A lil rusty, but my vocals untarnished, cuts all D rated. Rap Messiah out the muck and mire, emerged immaculate with bars that’s blacker than that charcoal that’s powdered and activated. This is God talk.
Vedas in my vernacular, Surah’s in all of my subtexts, psalms in every pentameter. I’m bout to rule every foot and square inch of the planet’s surrounding perimeter. 2 many Ls and 2 many Ws equated to my present stamina. And I ain’t a quitter. Ain’t your babe, I’m not your sweetie, or your HUN, I’m more like Attila. Might go savage on these samples, leaving them hollow-hand me the filler. Struck a nerve with Forever, never thought that speaking freely could be worth a milli. When the last time a rapper made the people feel a pen(Philippine) homie? Call me Manila. Melanin drip. Coming for everything edible-helluva trip. Every remark I spit designed to end the patriarchy-that’s Oedipal shit. I’m part regal, halfway lethal. Queen Yaa Asantewaa, battling Brits. That’s why my English broken, Ghanaian gold engulfs my mandible’s tips. Wait-I notice you may be a bit confused. My lyric mastery like a can of gasoline after they done lit the fuse. I’m triple Blackness in a post apocalyptic mood. Amassing the survivors into a rather highly gifted brood. I’m unpredictable on these written admissions, I’ll either have rivals bow out or bow their heads in contrition. I’m a visionary, pineal tilted toward the constellations. My holy lyrics got a following like God’s religions. No validation needed. My flow off the meter. I go off on rap tirades and park my name behind Hip Hop’s elite. It’s the only evidence that I need to prove I’m my way. Cuz I hear the people shouting Roc and Ali Bumaye.
#youtube#Sa-Roc Melanin Drip Freestyle Produced by: Sol Messiah Video: Tommy Nova#sa roc#Sa Roc Freestyle
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Music Video: Sa-Roc - G Train
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Sa-Roc - Melanin Drip Freestyle (Official Music Video)
The ever so beautifully talented Sa-Roc has dropped an unexpected video “Melanin Drip Freestyle” where she mercilessly destroys her only competition, her former self! She don the garment she wears in a regal fashion that cannot be outmatched!
Check out the video and make sure to Like, Comment, & share this post!!!
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1 Indie Nation Episode 137 Lockdown Gratitude
Hi Greetings from LA! Welcome back to my show! Tonights episode is featuring an exclusive mix from Oakland's very own THE BIG LA aka Todd Kelley. He has been a guest on my show numerous times. He plays beats, soul and hip hop and whatever he feels at the moment in this mix. THE BIG LA is a Media Designer. Video Editor. Motion Graphics Specialist. Boom Bap Producer. Syndicated DJ. Script & Fiction Writer. All those things, Bro. You can find him on twitter, @toddkelley. https://www.liinks.co/toddkelley
Tracklisting:
Cookie Jar – The Hype Sa Roc – Forever Kallitechnis – Time Keem The Cipher – Alpha Ravyn Lenae – The Night Song Clear Soul Forces – Hit Me Now Dj Gumba + Erick Sermon – Chill Freestyle 2019 Shuko – Autumn 96 Barney Artist – Return Of The Real Timt – Let Me Luv U John Robinson – Executive Stats Masta Ace Marco Polo - Breukelen Brooklyn Feat Smif N Wessun Berhana – Wildin Ian Ewing – Luvnyou Tim Atlas – Color World Leven Kali – Smile Miraa May – Make Room Joy Crookes – Bad Feeling Dusty Ohms – Glass Of Algarve Sun J Robb – Bentley Truck
Donate to the 1 Indie Nation podcast to show your support and download and buy the tracks from the artists you enjoyed.
@rachaeldepp Venmo $rachaeldepp cashapp
Love you all so much xo
Rachael Depp
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CE JOUR OÙ… L'EX DE NAS ET JAY Z A SORTI LES DOSSIERS
Place à ce jour où le linge sale des deux plus grand emcees de leur époque a été lavé en public...
C’est l’un des clashs les plus retentissants de l’histoire du rap.
Au début des années 2000, Jay Z et Nas se sont livrés sur disque une guerre sans merci pour déterminer lequel de deux méritaient de s’emparer de la couronne de roi de New-York (et donc de roi du monde).
Officiellement, tout aurait commencé en 1996 après qu’Esco ne se soit supposément pas pointé aux sessions d’enregistrement de Reasonable Doubt, le premier album de Jigga, pour poser sur le morceau Bring It On.
Froissé par cette indélicatesse, Jay Z fait alors sampler sans lui demander son avis sa ligne « I'm out for presidents to represent me » extraite de The World is Yours pour l’incorporer au refrain de Dead Presidents II.
Nas lui réplique ensuite l’air de rien avec un sub dans The Message qui moque sa marque de voiture pr��férée (« Lex with TV sets the minimum »/« Une Lexus équipée d’écrans télé c’est le minimum »)... celle-là même avec laquelle il parade dans le clip de Dead Presidents II.
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De là Memphis Bleek entre dans la danse.
En bon soldat de l’écurie Roc-A-Fella, il prend la défense de son patron avec son tout premier single Memphis Bleek is... (1999) qui référence sans le dire le hit Nas is Like.
Ce tacle marque la naissance d’un conflit larvée entre les deux emcees, jusqu’à que Nasty en ait sa claque des allusions et finisse par lui répondre sans prendre de gant sur le freestyle Stillmatic en 2001.
Non content d’attaquer nommément tout son crew (Beanie Sigel, Freeway...), il n’hésite pas cette fois à franchir le Rubicon en s’en prenant directement à Jay Z, accusé pêle-mêle d’avoir pompé son flow (« Nas designed your blueprint, who you kidding? »), d’être homo (« Is he H to the izz-O, M to the izz-O? »), ou encore d’être la version rap de Sisqo (un chanteur r&b devenu ringard en un rien de temps).
À coup de sang, coup de sang et demi, puisque Jay-Jay riposte dans la foulée avec un couplet dédié dans Takeover, l’un des titres phares de son classique The Blueprint (« C’est moi qui t’ai montré ton premier TEC... Tu sors un bon album tous les 10 ans... Ton garde du corps rappe mieux que toi... »).
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Si beaucoup croient alors Nas KO debout, quelques mois plus tard il revient à la charge avec le brûlot Ether qui dézingue à tout-va (les rimes volées à Biggie, ses grosses lèvres, la piquette collée par Eminem, sa liaison avec Foxy Brown, sa chemisette sur Hawaiian Sophie, le sida qu’il aurait chopé...).
Considéré aujourd’hui encore comme l’un des diss track les plus féroces de tous les temps, Ether pousse Jay Z à la faute.
Plutôt que de laisser le dernier mot à Nas, il se fend du freestyle de triste mémoire Supa Ugly dans lequel sur les instrus de Got Urself A… et Bad Intentions de Dr. Dre il tape très (très) en dessous de la ceinture.
Tandis que sur Takeover il en était resté au stade des insinuations (« Tu sais qui a fait quoi avec tu sais qui mais gardons ça entre nous »/« Because you know who did you know what with you know who, but just keep that between me and you »), il se vante ici d’avoir couché avec la baby mama de Nas, non sans la name dropper et la slutshamer pour sa relation avec le basketteur NBA Allen Iverson.
« A.I. et moi avions plus en commun que les rimes et la flambe/Nous avions Carmen/J’ai joui sur le siège arrière de ta Bentley/Éjaculé dans ta Jeep/Laissé des capotes sur le siège bébé »
(« Me and the boy A.I. got more in common than just balling and rhyming /Get it? More in Carmen I came in your Bentley backseat/Skeeted in your Jeep /Left condoms on your baby seat »)
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Choquée comme beaucoup par ces paroles outrancières rappelant les heures les plus sombres du beef entre Biggie et 2Pac, Gloria Carter, la mère de Jay Z, somme son rejeton de s’excuser publiquement auprès de son adversaire.
Penaud, ce dernier s’exécute en direct à l’antenne de la radio Hot 97.
À partir de là, la tension redescend d’un cran, quand bien même quelques piques filtrent de çà et là (« Je suis Tony/Jay c’est Manny » de Nas sur God's Son, « Ma mère ne viendra pas à nouveau te sauver la mise » de Jay sur Blueprint 2).
Et puis en octobre 2005, coup de théâtre : fraîchement nommé président de Def Jam Records, Shawn Carter invite Nasir Jones sur la scène du festival I Declare War à Philadelphie pour interpréter live avec lui les morceaux de la discorde Dead Presidents et The World is Yours.
Mieux, quelques mois plus tard, il le signe en grande pompe sur le label, puis enregistre le duo Black Republican à l’occasion du huitième solo de Nas, Hip Hop Is Dead.
Fin de l’histoire ? Pas vraiment.
Celle par qui le scandale arrive
En 2006, Carmen Bryan publie It’s No Secret: From Nas to Jay-Z, from Seductiqui un an plus tôt détaillait les coulisses pas toujours très ragoûtantes du petit monde du rap, séduction au scandale – Une Hélène de Troie du hip hop raconte tout).
Carmen qui ? Inconnue du grand public, elle est celle que Jay Z évoque dans Supa Ugly, la mère de la fille de Nas.
Sur le modèle de Confessions of a Video Vixen de Karrine ‘Superhead’ Stefansqui un an plus tôt détaillait les coulisses pas toujours très ragoutantes du petit monde du rap, elle livre sur papier sa version du clash.
Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle est des plus personnelles, elle qui a très bien connu les deux hommes.
Carmen Bryan a rencontré pour la toute première fois Nas à 16, 17 ans par l’intermédiaire de son cousin, le beatmaker Large Professor.
Venu taper à sa porte avec quelques potes, si celui qui se faisait alors surnommer Kid Wave tombe (selon ses dires) raide dingue d’elle, elle ne le calcule cependant pas plus que ça.
Il faut ensuite attendre deux bonnes années pour qu’ils se recroisent. Auréolé d’une réputation de petit prodige depuis sa fameuse prestation sur Live At The Barbeque, le jeune rimeur prépare son premier solo chez Columbia.
Le coup de foudre est cette fois réciproque, tant est si bien que neuf mois plus tard, Carmen, 21 ans, et Nas, 20 ans, décident de faire un enfant.
Si dans un premier temps, ils profitent tous deux pleinement du succès de monsieur, leur relation finit par prendre du plomb dans l’aile, au point que chacun en vient à faire ses petites affaires de son côté.
« Il me trompait, je le trompais... Ce qui a causé des problèmes ce n’est pas que je le trompais, c’est avec qui je le trompais. Ça aurait été avec un type lambda qui passait ses journées à jouer à la Nintendo et à fumer des clopes devant la télé, nous aurions pu passer outre... »
Oui, mais voilà, le type en question c’est Shawn Corey Carter, alias Jay Z.
Rencontré peu après la sortie de Reasonable Doubt, il n’est à la base qu’un « ami ». Puis « un ami très proche ».
« Plus je passais du temps avec lui, plus je l’aimais bien... mais il était dans la friend zone. Malheureusement, plus ça allait, plus je le trouvais cool. Shawn possédait cette stature propre à ceux qui savent où ils vont. Il savait ce qu’il voulait de la vie. Il avait cette confiance en lui. Et il n’y a rien de plus attirant qu’un homme déterminé. »
Puis un soir de 1997 où Carmen se fritte sévère avec Nas, elle l’appelle pour passer la seconde.
Jay savait qu’elle était la mère de sa fille. Carmen savait que Nas allait très mal le prendre.
Leur liaison va durer trois ans.
Pour « l’Hélène de Troie du hip hop », toute leur embrouille part de là, et rien d’autre.
D’ailleurs sitôt leur rupture consommée en 2000, Jay Z se serait empressé de lui adresser quelques mots doux dans Is That Your Chick, le single de Memphis Bleek en featuring avec Missy Elliot (« Je ne les aime pas, je les b*ise… Petit à petit je te prends ta bitch…Jamais je ne l’embrasse, jamais je ne lui tiens la main... »).
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Les toutes premières lignes de It’s No Secret sont ainsi dédiés au couplet de « Shawn » (Bryan ne l’appelle que très rarement par son blaze de rappeur) et à la manière dont il faut le comprendre.
« Au départ, je me suis demandée de qui il pouvait bien parler. Franchement ça ne pouvait pas être de moi ! Les paroles étaient du genre graveleuses et décrivaient l’exact contraire de notre relation. Shawn ne parlait ni de notre amitié sincère, ni de l’année qui a précédé nos ébats, et encore moins du fait que j’étais tombé enceinte de lui– lui qui ne mettait jamais de préservatif. »
[Bryan confie dans le livre avoir fait une fausse-couche après trois mois sans lui en avoir parlé en amont.]
« Mais près avoir réécouté le morceau, pour moi, c’était évident qu’il s’en prenait à moi pour s’en prendre à Nas. J’étais un dommage collatéral. »
Vexée, Carmen Bryan enregistre en retour son propre diss track, le très dispensable Carmen’s Got A Gun dans lequel elle rappe sur son « micropenis ».
La vengeance est un plat qui se mange froid
Évidemment It’s No Secret ne se lit pas comme un témoignage absolument neutre et impartial.
Bien que Nas ne soit clairement pas dépeint comme un saint (voir cette scène où elle confie qu’il lui a mis un coup de poing au visage qui lui a fait « voir les étoiles »), des deux lascars c’est Jay Z qui en prend le plus pour son grade.
[Lemonade en comparaison, c’était de la petite bibine.]
Rancunière à son égard pour avoir mentionné sa fille dans Supa Ugly (les deux ne s'adressent plus la parole depuis), elle multiplie les anecdotes pas des plus flatteuses à l’égard de son ancien « homie, lover and friend ».
Selon elle, le mogul serait quelqu’un qui, quand on apprend à mieux le connaître, n’a pas forcément une grande estime de lui et serait plutôt « émotionnel ».
« Pour ma part, il n’était qu’un MC comme tant d’autres qui tentait de percer. Je voyais clair en lui. »
« Il frimait souvent sur le nombre de femmes avec qui il couchait tout en prétendant qu’il avait une girlfriend (...) Un jour, il me dit qu’ils avaient rompu. Pour lui c’était une façon de mettre à l’épreuve notre relation, du style ‘J’essaye de voir comment tu vas réagir’. Mais pour moi nous couchions ensemble et rien d'autre, je lui disais qu’il n’était pas mon mec, que ça ne me concernait pas. Ce genre de comportement me montrait clairement qu’il était ‘insecure’. »
Autre motif de raillerie : son obsession pour Nas.
Selon Bryan, non seulement Jay Z écoutait en boucle Illmatic et collectionnait ses vinyles et singles, mais il la bombardait de questions des plus intimes sur lui, comme sur ses positions préférées au lit.
Ça et puis aussi le fait qu’elle trouve un jour le numéro de téléphone de Beyoncé dans un jean de Nas, ainsi que toute une série de détails que la décence nous interdit de traduire.
Maigre lot de consolation, a contrario de ce qu’elle prétendait sur Carmen’s Got A Gun, elle admet que Jay en a une « huge » entre les jambes – ce que Karrine Steffans a confirmé.
Si à sa sortie It’s No Secret a sans surprise abondamment alimenté les rubriques potins, l’auteur de la trilogie Life a évité de tomber dans le piège de la polémique en en rajoutant
« Le premier livre a inauguré le truc » a-t-il déclaré en parlant sans le nommer de Confession Of A Video Vixen. « Je m’attends à être dans douze autres livres du même acabit, tant que je suis hot il y en aura. »
Du côté de son ex Nas, le ton est plus mesuré : « Des fois tu souhaites que les choses se soient déroulées différemment afin que certaines personnes n’aient pas à en arriver là. »
Toujours est-il qu’aujourd’hui l’incident paraît bien lointain pour les deux rivaux. Jay Z vit sa vie de notable, tandis que Nas s’est entretemps marié avec Kelis avant de divorcer avec perte et fracas.
Pour Carmen Bryan, le son de cloche est un peu différent.
En 2018, elle a publié un second ouvrage intitulé When The Child Support Stops (Quand la pension alimentaire s’arrête) où Nas joue à nouveau le premier rôle et qui traite de ce moment dans la vie d’une mère célibataire où les chèques du baby daddy cessent d’arriver.
Moins fourni en ragots, si le livre a reçu un accueil critique plutôt positif, il est cette fois passé quais inaperçu.
Publié initialement sur Booska-p.com le 3 mai 2021.
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Sa-Rocks... If you say you " conscious" Or you claim to be " Woke" Then you know the music you listen to is no joke Misogyny is Real, and so are prostitutes who perform " Strip Hop" There' a many who claim to be queens Then there's THE GODDESS EMCEE SA-ROC @sarocthemc Image always righteous, Lyrics always on fire🔥 Knowledge and wisdom always on point With the beats and melodies by Sol Messiah @solmessiah More than just a RHYMESAYER @rhymesayers She works so much harder And like OSHUN on every tune She flows like water If you doubt it, check ANY album Or just ask Hip Hop's Grandfather Afrika Bambaataa About the "SHARECROPPER'S DAUGHTER" She's the past, present and future All rolled up in one Her presence is not only felt and needed It's also second to none... So Get up and get down with the GOD HOP movement today Or sit down and shut up cause you in da way For, the "GODDESS EMCEE" SA-ROC is here to stay !!!" Ashe' Namaste' Tony B. Conscious (323)251-4969 ------------------------------------------------------------------ I haven't turntables nor a c.d player but I PRE-ORDERED BOTH VERSIONS... why ? Cause they are collectors items for one andvtwo...she deserves it off top !!! 💎💎💎💎💎💎💎🌷💎💎🌷🌷💎🌷💎🌷💎🌷 So what's your excuse ? Www.saroc.com Tonight at 9pm eastern ( 6pm)Westcoast on YOUTUBE LIVE...SHARECROPPERS DAUGHTER LISTENING PARTY !!! SAY WORD ,? TAP IN... SEE YOU THERE... ------------------------------------------------------------------ Ashe, NAMASTE TONY B. CONSCIOUS (323)251-4969 #art #saroc #goddessemcee #artist #artistlife #blacktwitter #bayarea #berkeley #oakland #ATLANTA #blackartmatters #soul #blackartist #bayareaartist #bayareavegans #veganartist #californiia #solmessiah #rhymesayersentertainment #godhop #poetry #creativegenius #freestyle #positiveoutlook #icon #tonybconscious #tonybconscious1 #tonybconsciousart #tonybconsciousartwork #tonybconsciouspoetrý (at Oakland, California) https://www.instagram.com/p/CF3KFizjW71/?igshid=vvhdyqa3a8wh
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Soundset 2016: Sa-Roc on Being Embraced by Fellow Women in the Industry & Kills a Live Freestyle!
Releasing her first single and video, “Eye Of The Phoenix,” through Minnesota’s Rhymesayers Entertainment, Sa-Roc joins Sway in the Morning live from Soundset 2016.
During her time she opens up about her relationship with The Nappy Roots and Jay Electronica before she speaks on being well received as a women in the industry.
Her knowledge is vast and her energy is on point throughout the interview before she trades pleasantness for pure energy during her live freestyle.
Subscribe to our page: http://bit.ly/SVsBQC
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Leon Lam, tattoo en itinérance
Portrait crédits photos: Guillaume Ducreux
Leon Lam, tattoo en itinérance
Leon Lam, tatoueur à l’influence philosophique asiatique, trublyon par son style particulier dans l’univers du tatouage, à partager un moment de philosophie et de bonne humeur chez In my Brain lors de sa visite en France. Interview pendant la préparation de la salle de tattoo avec Guillaume Ducreux, photographe.
Sa technique et son approche du tattoo en itinérance en fait de lui un personnage particulier et fort.
« Si bien qu'ayant maintenant laissé s'écouler la moitié de mon existence sans me rendre maître d'aucune technique, j'ai voulu, de toutes mes fautes, tirer un ouvrage en guise d'avertissement à l'universalité des humains » tiré du manuscrit Le rêve dans le pavillon rouge , un des quatre grands romans classiques de littérature classique chinoise écrit par Cao Xueqin. Cet extrait exprime la philosophie de Léon, transmettre, essayer d’acquérir une technique, partager. Le rouge symbolise, le luxe et le bonheur.
Portrait crédits photos: Guillaume Ducreux
Donite: En Asie, depuis combien temps c’est accepté le tattoo, 10 ans ?
Non encore moins, je dirai 5 ans, cela dépend des régions, mais tu as des coins où cela se développe vite et d’autres endroits moins vite.
Donite: Pourquoi tu fais du tattoo, un peu partout et en itinérance ?
Parce que c’est mon choix et cela me permet de voyager et de faire ma promotion. Je ne pourrais pas bosser qu’en atelier.
Donite: Parle-nous un peu d’Alchemink et Shitoujii ?
Shitoujii veut dire Mémoire d’un roc, ce sont des vielles histoires. A l’époque, quand j’ai fait mon site, la production venait de Pékin et si tu veux, ils ont été très subtil dans la poésie et l’abstrait, nous nous sommes basés sur des travaux que j’avais réalisé, qui étaient inspirés d’histoires de moines errants. Et il fallait trouver un nom poétique, c’est en chinois et c’est le titre d’un livre ancien « le rêve dans le pavillon rouge », c’est l’histoire d’une pierre qui est témoin d’une scène et à la fin le personnage principal devient un moine bouddhiste.
Alchemink, c’est un atelier que j’ai monté il y a trois ans, à Hong Kong et nous sommes quatre, des collègues aussi itinérants. C’est un appartement. Il n’y a pas d’enseigne et tout est géré par le net.
Donite: Pourquoi pas une enseigne ?
J’ai toujours bossé en appartement. C’est une SARL gérée par deux associés dont moi et à Hong-kong c’est bien moins cher de créer son entreprise !
Donite: Il y a une forte demande là-bas ?
La clientèle est internationale. C’est une ville internationale. Ce n’est pas que les gens s’y connaissent bien en tattoo, mais il y a un tas d’expatriés qui gagnent bien leur vie et qui se lâchent et vont se faire tatouer. Il y a aussi des personne qui viennent que pour un laps de temps et vont se faire tatouer et puis ils rentrent dans leurs pays d’origine et tes pièces voyagent et tu te fais alors connaître dans le monde entier, tu es diffusé.
Donite: Ta vie itinérante, c’est freestyle ?
Carrément, il n’y a pas vraiment de directions, de 1990 à 2000, les gens étaient très fermés. Il y a ceux qui étaient en place et restaient en place. Cela limitait la communication entre les tatoueurs, et tu n’avais pas tous les moyens de communication d’aujourd’hui, du coup c’était assez local et donc il fallait absolument un pas de porte. Ensuite, il y a eu des conventions, donc soit tu t’installes, soit c’est freestyle.
Donite: Tu t’adaptes alors à plein de lieux différents ? Te faut-il alors des bonnes conditions ?
(Sourire) Cela peut être freestyle partout et avec de bonnes conditions si la personne en face de toi est réceptive et qu'elle te laisse faire parce qu’elle a confiance. Tu vois, j’ai créé ma machine, mon système et je bosse sur batteries. Je n’ai pas besoin d’être dans un shop, je peux bosser sur le trottoir si je veux.
Si je bosses dehors, pas de vent, de pluie, un petit coin à l’ombre et je bosse sur le bord de plage, sur un rocher… peu importe.
Donite: Et tu rencontres plein des gens qui font cela ?
Il y en a, j’en ai rencontré ces dernières années au Népal, car je bosses pas mal là-bas. Il y a une convention dont c’est la troisième année, et il y a beaucoup de n poker, les mecs n’ont même pas de machines, juste à la main avec des aiguilles. Tu as un renouveau des techniques traditionnelles.
Donite: C’est la technique traditionnelle, mais est ce des tattoos traditionnels ?
C’est basé sur le traditionnel, mais il y a eu un gros mouvement qui s’est étendu, c’est le style dot, le pointillisme et du coup tu n’as pas forcément besoin de machine. Tu peux le faire à la main, cela fonctionne aussi.
Donite: Et tu fais alors des conventions ?
Et bien oui, cela permet de rencontrer du monde, de tattouer aussi, prendre des contacts. Les conventions sont très humaines, par exemple là je vais la semaine prochaine à Milan où c’est plus industriel. En gros, tu as plusieurs moyens de diffusions, les méthodes de travail sont les mêmes peu importe où tu te trouves, tu réfléchis à ton concept, tu commences à le préparer, tu fais tes dessins, tes portfolios et tu va les présenter. De cette manière tu touches un grand éventail de gens et tu sélectionnes les projets selon la demande des personnes.
Par exemple, je préférais quelqu’un qui me demande de créer un concept sur son corps, que de faire un petit papillon et c’est ton portfolio qui amène cela, tes visuels, ton style attirent les gens qui s’y intéressent.
Donite: Et fais tu autre chose que du tattoo ?
Avant, tu te réveillais, t’allumais ta clope, tu prenais ton caf et ton pote arrivait, tu le piquais et voilà, maintenant beaucoup de choses se greffent à ce même mode de vie, mais quand tu as une entreprise à gérer et que tu voyages en plus, là, tu as ton un emploi du temps à préparer, où dormir…, toute une logistique. Et puis, tu as tout un coté communication à faire aujourd’hui et que tu ne peux pas négliger. Après le soir, tu as le facebook, le site à entretenir. Tu as aussi une grande partie de design, où tu dois réfléchir à ta pièce, comment tu veux l’élaborer, et enfin tu as toute la partie technique car selon les travaux que tu veux faire, tu es obligé d’adapter tes machines en conséquence.
Donite: Tu t’adaptes vraiment parfois à la demande, à certains projets techniquement?
Pour moi c’est important, car si je dois incorporer beaucoup de couleurs solides, ou que du trait, je dois adapter mes machines pour aller plus vite et avoir un résultat optimum. Je ne peux pas me permettre de passer 5 heures sur quelqu’un, faut envoyer ! Et vu que je viens rarement à chaque endroit, le but du jeu est que la pièce soit faite en peu de temps, c’est mon graphisme. Le fait d’être allé en Asie, m’a fait développé des affinités avec la calligraphie chinoise, mon but n’est pas d’écrire des caractères chinois comme une ancienne mode, ce sont des états d’esprits différents que ceux des concepts artistiques européens.
Donite: C’est ce que tu revendiques dans ton tattoo ?
Je ne le revendique pas, mais je l’utilise. Il m’a fallut du temps pour digérer toute cette culture en tant qu’européen. Tu as beaucoup de pièces où tu barbouilles vraiment le corps et tu dois faire respirer la peau et la travailler en conséquence. Par exemple, imagine quelqu’un qui est hyper poilu, tu vas le raser mais cela va repousser, donc tu dois prendre en considération l’état du corps avant de le tatouer et prévoir que la personne le portera tous les jours, c’est une histoire d’expériences. Tu vois comment tu peux le diffuser car tu peux utiliser aussi du old school, ce sont des langages, après c’est à toi de l’interpréter avec le corps.
Donite: Tu maitrises ton style et il plaît, c’est positif ?
Après c’est aussi un apprentissage, en fait tu n’arrives pas quelque part dans le tattoo, tu vas quelque part. Les rencontres, les lieux, les expériences, les manières de faire, cela crée ton style. Moi j’ai beaucoup poussé la base, mes visuels a proprement dit, ce sont plus des techniques, à travailler ton trait, à travailler ton remplissage, et peu importe la forme que cela prend, tu pars avec une idée et tu pousses tout cela, c’est une composition.
Comme Yann Black, un ancien collègue à Paris, c’est lui qui a ouvert le graphisme aux traits, le fait de bosser le trait ou le point, tu vas acquérir une certaine aisance et partir de là, tu peux commencer à te faire plaisir. Même dans mes portfolios, il va y avoir des étapes. Pendant un certain nombre d’années, tu vas faire que ça. La plupart des gens ne comprennent pas. Tu pousses ton travail dans une direction jusqu'à que tu obtiennes un certain niveau et après tu rebascule dans d’autres choses. L’aisance se lit dans le graphisme. Un trait que je fais aujourd’hui et celui qui a dix ans, je tremble plus, quand la peau va cicatriser, tu sais à l’avance ce que ça va donner. Après passer ses phases où la tu sais vraiment tatouer, tu vas commencer à faire des recherches visuels…
Donite: Il y a un coté expérimental ?
Il se fait sur n’importe quel medium. A un moment donné, quand tu as fait tout se travaille là et bien t’expérimente. Par exemple tu vas au marché, tu achètes des légumes de différentes couleurs, et tu fais une jolie compo sur une assiette, tu finis ta salade, tu demande parfois si ce n’est pas aussi joli qu’une peinture ou c’est un plat ? Ton cerveau ne fait plus de différences entre tatouer, faire la cuisine, cela devient ta manière de vivre.
Donite: Comment vois tu le tattoo, quelle valeur lui donnes-tu?
Je ne porte pas trop de jugements de valeurs. Je suis conscient que mon style ne plaît pas a tout le monde, il reste personnel et cette une manière aussi pour moi de me connecter humainement avec d’autres personnes. La relation que j’ai avec ma clientèle est quand même différente que celle d’un autre tatoueur avec sa clientèle.
Donite: On parle de l’expansion des street shop… ?
Oui il y a un coté parfois plus industriel, rapide et un coté plus humain. En France, il y a eu à un moment donné l’idée de copier ce qui existe déjà, et à l’époque c’était des modèles américains… Les Street shop qui se transforment en boutique. Les gens arrivent choisissent leurs dessins, c’est des cotés pratiques. C’est une autre manière de fonctionner mais moi je ne l’adapte parce que je serai moins bon dans ce domaine, mais je ne dis pas que c’est pas bien. Ma manière est naturellement comme ça, je ne l’ai pas vraiment réfléchie. De tout de façon même si je crééais un Street shop cela finirait en private shop. Cela dépend aussi de la structure des villes, en Europe, tu as plus d’espace, d’accès à des rez-de-chaussées et quand j’étais à Lyon, j’avais la porte ouverte, et cela m’emmerdait car comme j’étais tout seul, de devoir ouvrir la porte, tatouer en même temps, après j’avais mis une sonnette, je leur ouvrais, je leur disais que j’étais occupé à la fin, tu mettais un mot et contactez moi par téléphone. Tu peux pas tout gérer, quand tu tatoues, tu n’as pas le temps de faire le réceptionniste. Et à moment donné, je trouvais vraiment très important de passer du temps à parler avec les gens pour les introduire dans un projet, ensemble. Et si tu négliges l’accueil, il ira voir ailleurs.
Donite: Il y en a sans doute certains qui aimeraient faire comme toi ?
Moi j’ai commencé à l’âge de treize ans, fait a l’arrache, ce qui m’a plu c’est qu’il n y a pas de règles, c’est comme marcher dans le désert. La seule règle, c’est rester en vie. Peu importe comment tu le fais. Je l’ai fais de cette manière car cela me correspond. Et cela peut encore changer plus tard. Il n’y a rien extraordinaire. Mais ce qui est bien, c’est que tu peux bosser partout. C’est comme un photographe, tu as ton appareil, tu vas dans n’importe quel pays, par contre dans le tattoo t’es payé cash. Tu peux continuer à avancer, tu peux voyager sans t’arrêter, je m’en suis rendu compte et c’est cela qui m’a plu. J’ai de potes qui tatouent depuis vingt ans dans le même shop et ça leur plait comme ça, chacun son truc.
Donite: Tout de façon tu as un point de retour à Hong Kong ?
Ce qui est intéressant, c’est plus tu voyages, plus tu as des opportunités d’aller ailleurs. Quand tu voyages et que tu n’as pas de point de connexion, tu fais le tour de la ville, mais au bout d’un mois tu te fais chier. Par contre si tu pars parce que tu avais rencontré quelqu’un dans une convention… qui t’invite à te voir et bien t’y vas, t’arrives tu bosses, tu peux visiter, rester, vivre le coté local de l’endroit moins superficiellement que si tu passes juste avec ton sac à dos.
Donite: Tes projets, retourné à certains endroits ?
Ma priorité, c’est finir les pièces que j’ai commencé, c’est une responsabilité je vis au jour le jour. Pour cette année, j’ai un circuit à faire en fonction de mes pièces, j’ai des rdv pris avec des personnes convenues pour telles ou telles périodes. Après tu gères ton emploi du temps et tu peux te prendre des vacances aussi.
Il y a aussi dans le tattoo un coté méditatif et de surpassement de soi car tu es obligé de rester des heures assis à faire la même chose. C’est comme quand tu conduis, tu maitrises mais tu peux t’endormir. Dans le tatouage ça arrive. Le fait de faire une action, tu n’es pas fatigué et surtout si tu as un feeling avec la personne. Il y a des réglages car quand tu restes huit heures comme ça… tu vas pas méditer du tout, mon pote !!
Donite: Tu fais du yoga ?
Non je picole comme un rat mort, je fume comme un pompier, je ne fais pas de sport… En fait il y a eu une grosse vague de gens qui sont arrivés dans le tatouage, les shop se sont multipliés et je me rends compte qu’avec des gens qui viennent à peine de commencer, je laisse faire, ils sont assez sur d’eux. Le tatouage peut même te permettre de te sauver la vie, dans certains cas. Tu apprends à te centrer, il y a des choses qui doivent être faite, dans mon cas je le fais avec plaisir et il y a des choses qui t’ennuient, cela te tient responsable. En dix ans, j’ai beaucoup changé, mon rythme a changé, je suis devenu plus responsable, et il faut maintenir ce niveau. C’est comme Master cela fait cinquante ans qui fait ça, ça de la valeur vraiment. Le métier a une grand liberté mais elle a un prix cette liberté. J ‘ai pas de femme, de gosses. Mes gosses ce sont mes apprentis. Tu transmets. J’en ai trois, deux à Hong Kong et un au Canada. Ensuite quand tu transmets ton savoir, tu deviens patient. Entre nous, c’est devenu un art martial. Pour chaque medium, il y a une voie et j’aime le coté asiatique dans la mesure, il y a un coté philosophique. Il faut dire que Paris c’est la campagne à coté de Hong Kong, avec sa modernité.
Donite: Les gens reviennent au traditionnel ?
En Asie, certains tatoueurs sont des vrais maîtres qui transmettent un savoir faire traditionnel du tattoo et les gens n’ont pas fait ce rapprochement. Aujourd’hui, il a un coté très movie star. Un ego surdimensionné. Car si tu es plus proche de Lao Tsu, tu restes humble et tu disparais et c’est surtout un héritage. Je discutais l’autre jour avec un gars, le maître de l’art contemporain chinois, un vieux bonhomme d’une soixante d’années, hyper cultivé. Leur point de vue sur l’art et l’évolution des choses est très intéressant, c’est mieux qu’une peinture ou une installation, c’est comme ouvrir une porte pour apporter quelque chose de nouveau à l’évolution humaine et l’important c’est l’héritage que tu vas laisser dans l’œuvre. Un artiste peut être bouddha, Bill Gates, et du coup tu reviens à de valeurs traditionnelles. Il y a des styles qui ont perduré comme le style japonais. L’autre fois, j’étais au Japon et j’ai vu l’apprenti de Horiyoshi, il devait faire des vagues exactement pareil, de ce qu’on lui avait transmis, pas d’improvisation.
Donite: Et tes tattoos ?
C’est un sketchbooks, ce seront des souvenirs. Ils me serviront quand je serais devenu sénile.
Donite: Tu t’en ai fais toi même ?
Oui et dans n’importe quelles conditions. Je n’ai pas d’états d’âme avec. C’est un peu le bordel. J’essaye aussi des aiguilles. C’est le cordonnier le plus mal chaussé ! J’aime bien les tatouages de taulards. Il n y a pas d’influence, c’est maintenant comme ça et basta. C’est comme une démarche d’art brut car si le gars a un peu de talent cela ressemblera à quelque chose.
Ce que je reproche au tattoo aujourd’hui, c’est de pas faire du global, c'est-à-dire qu’ils ont une pièce et tu ne vois pas le rapport avec le corps. Le tattoo, c’est comme la vie, il faut le voir dans son élément. Ce sont plus les sociétés primitive qui ont compris cela, il y a plus de choses graphiques, élaborés en grand, quand la personne se déplace c’est comme une peau de tigre. Ma clientèle a cette ouverture d’esprit. J’avais parlé avec une architecte d’intérieur qui insistait pour faire une petite pièce et je lui ai dit mais quand tu bosses, tu mets pas les meubles dans un seul coin de la pièce ! A force de travailler, c’est devenu une logique et les gens te cherchent pour cela. Plus tu la comprends plus tu le transmets, les gens sont mieux renseigné, ont plus de goûts.
Il y a un dialogue avec le client. Et il faut interpréter leur demande. Et heureusement qu’il y a des gens qui ont ouvert des portes, cette période est bien plus enrichissante.
L’un de plus important c’est Yann Black. J’ai commencé a Rilleux, à l’arrache, ce serait la prison c’est pareil, sans aucune notions, je ne savais pas dessiner. Et les nouveaux viennent d’école d’art. Tu crois la plupart des bikers ont fait des écoles d’art ? Le tatouage est une pratique rentable. Et c’est moins dur que de vivre de ses tableaux et ils ouvrent des portes à ceux qu’ils l’ont compris.
propos recueillis par Miss Fox et Guillaume Ducreux : voir son travail
Découvrir le travail de Leon Lam sur facebook
Le studio :
https://www.facebook.com/alchemink.studio
http://www.shitoujii.com/
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Sa-Roc Bars On I-95 Freestyle
Bars On I-95, Connecticut's number 1 Rap platform for your favorite Hip Hop artists. This is the home of the heavy bar spitters. This special segment of the show is called “Bars On The Road” and it’s all about capturing the hip hop culture in different cities through the eyes of an Artist.
The culture of where they’re from and who they are, and the true essence of rap in its purest form. We bring the fans along with us to cover a the artist, and on this episode we covered DC’s very own, Sa-Roc is arguably one of the most vibrant MCs in the world today.
Her crisp articulation, fiery delivery, and her elevated and insightful lyricism has often placed her within the same conversation of some of Hip Hop’s most notable artists. Once dubbed by Okayplayer as “one of the most formidable microphone mavens in the game,” Sa-Roc is an artist for a socially conscious generation.
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VEGAN MOB x GOD HOP @officialveganmob was sooooo lit today that... GUESS WHO CAME THRU ??? My conscious GOD HOP KINFOLK... SA-ROC @sarocthemc & SOL MESSIAH @solmessiah ... Why ? CAUSE THE GODS and GODDESSES gotta eat !!! ---------------------- They on tour wit RAPSODY @rapsody RIGHT NOW !!! (Check em at @thenewparish on monday)🎵🎶🎼🎙🎤🎧🎛 ---------------------- Damn... I LOVE THIS PLACE !!! Ashe, NAMASTE TONY B. CONSCIOUS (323)251-4969 #art #artist #artistlife #blacktwitter #bayarea #berkeley #oakland #blackartmatters #soul #saroc #solmessiah #godhop #blackartist #bayareaartist #bayareavegans #veganartists #california #goddessgang #hiphop #calberkeley #creativegenius #basquiatinspired #freestyle #positiveoutlook #icon #theghettovango #telegraphave #tonybconscious #tonybconscious1 (at Vegan Mob - Vegan BBQ and Soul Food) https://www.instagram.com/p/B9LFWL9j_1v/?igshid=10ov0951rcrii
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Soundset 2016: Sa-Roc on Being Embraced by Fellow Women in the Industry & Kills a Live Freestyle!
Releasing her first single and video, “Eye Of The Phoenix,” through Minnesota’s Rhymesayers Entertainment, Sa-Roc joins Sway in the Morning live from Soundset 2016.
During her time she opens up about her relationship with The Nappy Roots and Jay Electronica before she speaks on being well received as a women in the industry.
Her knowledge is vast and her energy is on point throughout the interview before she trades pleasantness for pure energy during her live freestyle.
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