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bluememoriesandacoffee · 7 months ago
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#shorts step by step . #tattoo #combo #leonlam #namiko
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lunamothbrain · 3 years ago
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wash away... - #workinprogress on @fozy.ink - sleeve is a combo Leon @alchemink + @namiko_moth22 - - - - - - - - - #wip #greywash #bloodtowaterink #inkkintsugi #inkconnections #inkseed #ink #flow #alcheminkcrew #leonlam #namjko #hongkong #saikung (at Sai Kung) https://www.instagram.com/p/CVr7i0DFabz/?utm_medium=tumblr
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alchemink · 6 years ago
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donitelepicurien-blog · 7 years ago
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Leon Lam, tattoo en itinérance
Portrait crédits photos:  Guillaume Ducreux
Leon Lam, tattoo en itinérance
Leon Lam, tatoueur Ă  l’influence philosophique asiatique, trublyon par son style particulier dans l’univers du tatouage, Ă  partager un moment de philosophie et de bonne humeur chez In my Brain lors de sa visite en France. Interview   pendant la prĂ©paration de la salle de tattoo avec Guillaume Ducreux, photographe.
Sa technique et son approche du tattoo en itinérance en fait de lui un personnage particulier et fort.
« Si bien qu'ayant maintenant laissĂ© s'Ă©couler la moitiĂ© de mon existence sans me rendre maĂźtre d'aucune technique, j'ai voulu, de toutes mes fautes, tirer un ouvrage en guise d'avertissement Ă  l'universalitĂ© des humains » tirĂ© du manuscrit  Le rĂȘve dans le pavillon rouge , un des quatre grands romans classiques de littĂ©rature classique chinoise Ă©crit par Cao Xueqin. Cet extrait exprime la philosophie de LĂ©on, transmettre, essayer d’acquĂ©rir une technique, partager. Le rouge symbolise, le luxe et le bonheur.
Portrait crédits photos:  Guillaume Ducreux
 Donite: En Asie, depuis combien temps c’est acceptĂ© le tattoo, 10 ans ?
Non encore moins, je dirai 5 ans, cela dĂ©pend des rĂ©gions, mais tu as des coins oĂč cela se dĂ©veloppe vite et d’autres endroits moins vite.
Donite: Pourquoi tu fais du tattoo, un peu partout et en itinérance ?
Parce que c’est mon choix et cela me permet de voyager et de faire ma promotion. Je ne pourrais pas bosser qu’en atelier.
Donite: Parle-nous un peu d’Alchemink et Shitoujii ?
Shitoujii veut dire MĂ©moire d’un roc, ce sont des vielles histoires. A l’époque, quand j’ai fait mon site, la production venait de PĂ©kin et si tu veux, ils ont Ă©tĂ© trĂšs subtil dans la poĂ©sie et l’abstrait, nous nous sommes basĂ©s sur des travaux que j’avais rĂ©alisĂ©, qui Ă©taient inspirĂ©s d’histoires de moines errants. Et il fallait trouver un nom poĂ©tique, c’est en chinois et c’est le titre d’un livre ancien «  le rĂȘve dans le pavillon rouge », c’est l’histoire d’une pierre qui est tĂ©moin d’une scĂšne et Ă  la fin le personnage principal devient un moine bouddhiste.
Alchemink, c’est un atelier que j’ai montĂ© il y a trois ans, Ă  Hong Kong et nous sommes quatre, des collĂšgues  aussi itinĂ©rants. C’est un appartement. Il n’y a pas d’enseigne et tout est gĂ©rĂ© par le net.
Donite: Pourquoi pas une enseigne ?
J’ai toujours bossĂ© en appartement. C’est une SARL gĂ©rĂ©e par deux associĂ©s dont moi et Ă  Hong-kong c’est bien moins cher de crĂ©er son entreprise !
Donite: Il y a une forte demande là-bas ?
La clientĂšle est internationale. C’est une ville internationale. Ce n’est pas que les gens s’y connaissent bien en tattoo, mais il y a un tas d’expatriĂ©s qui gagnent bien leur vie et qui se lĂąchent et vont se faire tatouer. Il y a aussi des personne qui viennent que pour un laps de temps et vont se faire tatouer et puis ils rentrent dans leurs pays d’origine et tes piĂšces voyagent et tu te fais alors connaĂźtre dans le monde entier, tu es diffusĂ©.
Donite: Ta vie itinĂ©rante, c’est freestyle ?
CarrĂ©ment, il n’y a pas vraiment de directions, de 1990 Ă  2000, les gens Ă©taient trĂšs fermĂ©s. Il y a ceux qui Ă©taient en place et restaient en place. Cela limitait la communication entre les tatoueurs, et tu n’avais pas tous les moyens de communication d’aujourd’hui, du coup c’était assez local et donc il fallait absolument un pas de porte. Ensuite, il y a eu des conventions, donc soit tu t’installes, soit c’est freestyle.
Donite: Tu t’adaptes alors Ă  plein de lieux diffĂ©rents ? Te faut-il alors des bonnes conditions ?
(Sourire) Cela peut ĂȘtre freestyle partout et avec de bonnes conditions  si la personne en face de toi est rĂ©ceptive et qu'elle te laisse faire parce qu’elle a confiance. Tu vois, j’ai crĂ©Ă© ma machine, mon systĂšme et je bosse sur batteries. Je n’ai pas besoin d’ĂȘtre dans un shop, je peux bosser sur le trottoir si je veux.
Si je bosses dehors, pas de vent, de pluie, un petit coin à l’ombre et  je bosse sur le bord de plage, sur un rocher
 peu importe.
Donite:  Et tu rencontres plein des gens qui font cela ?
Il y en a, j’en ai rencontrĂ© ces derniĂšres annĂ©es au NĂ©pal, car je bosses pas mal lĂ -bas. Il y a une convention dont c’est la troisiĂšme annĂ©e, et il y a beaucoup de n poker, les mecs n’ont mĂȘme pas de machines, juste Ă  la main avec des aiguilles. Tu as un renouveau des techniques traditionnelles.
Donite: C’est la technique traditionnelle, mais est ce des tattoos traditionnels ?
C’est basĂ© sur le traditionnel, mais il y a eu un gros mouvement qui s’est Ă©tendu, c’est le style dot, le pointillisme et du coup tu n’as pas forcĂ©ment besoin de machine. Tu peux le faire Ă  la main, cela fonctionne aussi.
 Donite: Et tu fais alors des conventions ?
Et bien oui, cela permet de rencontrer du monde, de tattouer aussi,  prendre des contacts. Les conventions sont trĂšs humaines, par exemple lĂ  je vais la semaine prochaine Ă  Milan oĂč c’est plus industriel. En gros, tu as plusieurs moyens de diffusions, les mĂ©thodes de travail sont les mĂȘmes peu importe oĂč tu te trouves, tu rĂ©flĂ©chis Ă  ton concept, tu commences Ă  le prĂ©parer, tu fais tes dessins, tes portfolios et tu va les prĂ©senter. De cette maniĂšre tu touches un grand Ă©ventail de gens et tu sĂ©lectionnes les projets selon la demande des personnes.
Par exemple, je prĂ©fĂ©rais quelqu’un qui me demande de crĂ©er un concept sur son corps, que de faire un petit papillon et c’est ton portfolio qui amĂšne cela, tes visuels, ton style attirent les gens qui s’y intĂ©ressent.
Donite: Et fais tu autre chose que du tattoo ?
Avant, tu te rĂ©veillais, t’allumais ta clope, tu prenais  ton caf et ton pote arrivait, tu le piquais et voilĂ , maintenant beaucoup de choses se greffent  à ce mĂȘme mode de vie, mais quand tu as une entreprise Ă  gĂ©rer et que tu voyages en plus, lĂ , tu as ton un emploi du temps Ă  prĂ©parer, oĂč dormir
, toute une logistique. Et puis, tu as tout un cotĂ© communication Ă  faire aujourd’hui et que tu ne peux pas nĂ©gliger. AprĂšs le soir, tu as le facebook, le site Ă  entretenir. Tu as aussi une grande partie de design, oĂč tu dois rĂ©flĂ©chir Ă  ta piĂšce, comment tu veux l’élaborer, et enfin tu as toute la partie technique car selon les travaux que tu veux faire, tu es obligĂ© d’adapter tes machines en consĂ©quence.
 Donite: Tu t’adaptes vraiment parfois à la demande, à certains projets  techniquement?
Pour moi c’est important, car si je dois incorporer beaucoup de couleurs solides, ou que du trait, je dois adapter mes machines pour aller plus vite et avoir un rĂ©sultat optimum. Je ne peux pas me permettre de passer 5 heures sur quelqu’un, faut envoyer ! Et vu que je viens rarement Ă  chaque endroit, le but du jeu est que la piĂšce soit faite en peu de temps, c’est mon graphisme. Le fait d’ĂȘtre allĂ© en Asie, m’a fait dĂ©veloppĂ© des affinitĂ©s avec la calligraphie chinoise, mon but n’est pas d’écrire des caractĂšres chinois comme une ancienne mode, ce sont des Ă©tats d’esprits diffĂ©rents que ceux des concepts artistiques europĂ©ens.
Donite: C’est ce que tu revendiques dans ton tattoo ?
Je ne le revendique pas, mais je l’utilise. Il m’a fallut du temps pour digĂ©rer toute cette culture en tant qu’europĂ©en. Tu as beaucoup de piĂšces oĂč tu barbouilles vraiment le corps et tu dois faire respirer la peau et la travailler en consĂ©quence. Par exemple, imagine quelqu’un qui est hyper poilu, tu vas le raser mais cela va repousser, donc tu dois prendre en considĂ©ration l’état du corps avant de le tatouer et prĂ©voir que la personne le portera tous les jours, c’est une histoire d’expĂ©riences. Tu vois comment tu peux le diffuser car tu peux utiliser aussi du old school, ce sont des langages, aprĂšs c’est Ă  toi de l’interprĂ©ter avec le corps.
Donite: Tu maitrises ton style et il plaüt, c’est positif ?
AprĂšs c’est aussi un apprentissage, en fait tu n’arrives pas quelque part dans le tattoo, tu vas quelque part. Les rencontres, les lieux, les expĂ©riences, les maniĂšres de faire, cela crĂ©e ton style. Moi j’ai beaucoup poussĂ© la base, mes visuels a proprement dit, ce sont plus des techniques, Ă  travailler ton trait, Ă  travailler ton remplissage, et peu importe la forme que cela prend, tu pars avec une idĂ©e et tu pousses tout cela, c’est une composition.
Comme Yann Black, un ancien collĂšgue Ă  Paris, c’est lui qui a ouvert le graphisme aux traits, le fait de bosser le trait ou le point, tu vas acquĂ©rir une certaine aisance et partir de lĂ , tu peux commencer Ă  te faire plaisir. MĂȘme dans mes portfolios, il va y avoir des Ă©tapes. Pendant un certain nombre d’annĂ©es, tu vas faire que ça. La plupart des gens ne comprennent pas. Tu pousses ton travail dans une direction jusqu'Ă  que tu obtiennes un certain niveau et aprĂšs tu rebascule dans d’autres choses. L’aisance se lit dans le graphisme. Un trait que je fais aujourd’hui et celui qui a dix ans, je tremble plus, quand la peau va cicatriser, tu sais Ă  l’avance ce que ça va donner. AprĂšs passer ses phases oĂč la tu sais vraiment tatouer, tu vas commencer Ă  faire des recherches visuels

Donite: Il y a un coté expérimental ?
Il se fait sur n’importe quel medium. A un moment donnĂ©, quand tu as fait tout se travaille là  et bien t’expĂ©rimente. Par exemple tu vas au marchĂ©, tu achĂštes des lĂ©gumes de diffĂ©rentes couleurs, et tu fais une jolie compo sur une assiette, tu finis ta salade, tu demande parfois si ce n’est pas aussi joli qu’une peinture ou c’est un plat ? Ton cerveau ne fait plus de diffĂ©rences entre tatouer, faire la cuisine, cela devient ta maniĂšre de vivre.
Donite: Comment vois tu le tattoo, quelle valeur lui donnes-tu?
Je ne porte pas trop de jugements de valeurs. Je suis conscient que mon style ne plaĂźt pas a tout le monde, il reste personnel et cette une maniĂšre aussi pour moi de me connecter humainement avec d’autres personnes. La relation que j’ai avec ma clientĂšle est quand mĂȘme diffĂ©rente que celle d’un autre tatoueur avec sa clientĂšle.
 Donite: On parle de l’expansion des street shop
 ?
Oui il y a un cotĂ© parfois plus industriel, rapide et un cotĂ© plus humain. En France, il y  a eu Ă  un moment donnĂ© l’idĂ©e de copier ce qui existe dĂ©jĂ , et Ă  l’époque c’était des modĂšles amĂ©ricains
 Les Street shop qui se transforment en boutique. Les gens arrivent choisissent leurs dessins, c’est des cotĂ©s pratiques. C’est une autre maniĂšre de fonctionner mais moi je ne l’adapte  parce que je serai moins bon dans ce domaine, mais je ne dis pas que c’est pas bien. Ma maniĂšre est naturellement comme ça, je ne l’ai pas vraiment rĂ©flĂ©chie. De tout de façon mĂȘme si je crĂ©Ă©ais un Street shop cela finirait en private shop. Cela dĂ©pend aussi de la structure des villes, en Europe, tu as plus d’espace, d’accĂšs  Ă  des rez-de-chaussĂ©es et quand j’étais Ă  Lyon, j’avais la porte ouverte, et cela m’emmerdait car comme j’étais tout seul, de devoir ouvrir la porte, tatouer en mĂȘme temps, aprĂšs j’avais mis une sonnette, je leur ouvrais, je leur disais que j’étais occupĂ© Ă  la fin, tu mettais un mot et contactez moi par tĂ©lĂ©phone. Tu peux pas tout gĂ©rer, quand tu tatoues,  tu n’as pas le temps de faire le rĂ©ceptionniste. Et Ă  moment donnĂ©, je trouvais vraiment trĂšs important de passer du temps Ă  parler avec les gens pour les introduire dans un projet, ensemble. Et si tu nĂ©gliges l’accueil, il ira voir ailleurs.
Donite: Il y en a sans doute certains qui aimeraient faire comme toi ?
Moi j’ai commencĂ© Ă  l’ñge de treize ans, fait a l’arrache, ce qui m’a plu c’est qu’il n y a pas de rĂšgles, c’est comme marcher dans le dĂ©sert. La seule rĂšgle, c’est rester en vie. Peu importe comment tu le fais. Je l’ai fais de cette maniĂšre car cela me correspond. Et cela peut encore changer plus tard. Il n’y a rien extraordinaire. Mais ce qui est bien, c’est que tu peux bosser partout. C’est comme un photographe, tu as  ton appareil, tu vas dans n’importe quel pays, par contre dans le tattoo t’es payĂ© cash. Tu peux continuer Ă  avancer, tu peux voyager sans t’arrĂȘter, je m’en suis rendu compte et c’est cela qui m’a plu. J’ai de potes qui tatouent depuis vingt ans dans le mĂȘme shop et ça leur plait comme ça, chacun son truc.
Donite: Tout de façon tu as un point de retour à Hong Kong ?
Ce qui est intĂ©ressant, c’est plus tu voyages, plus tu as des opportunitĂ©s d’aller ailleurs. Quand tu voyages et que tu n’as pas de point de connexion, tu fais le tour de la ville, mais au bout d’un mois tu te fais chier. Par contre si tu pars parce que tu avais rencontrĂ© quelqu’un dans une convention
 qui t’invite Ă  te voir et bien t’y vas, t’arrives tu bosses, tu peux visiter, rester, vivre le cotĂ© local de l’endroit moins superficiellement que si tu passes juste avec ton sac Ă  dos.
 Donite: Tes projets, retourné à certains endroits ?
Ma prioritĂ©, c’est finir les piĂšces que j’ai commencĂ©, c’est une responsabilitĂ© je vis au jour le jour. Pour cette annĂ©e, j’ai un circuit Ă  faire en fonction de mes piĂšces, j’ai des rdv pris avec des personnes convenues pour telles ou telles pĂ©riodes. AprĂšs tu gĂšres ton emploi du temps et tu peux te prendre des vacances aussi.
Il y a aussi dans le tattoo un cotĂ© mĂ©ditatif et de surpassement de soi car tu es obligĂ© de rester des heures assis Ă  faire la mĂȘme chose. C’est comme quand tu conduis, tu maitrises mais tu peux t’endormir. Dans le tatouage ça arrive. Le fait de faire une action,  tu n’es pas fatiguĂ© et surtout si tu as un feeling avec la personne. Il y a des rĂ©glages car quand tu restes huit heures comme ça
 tu vas pas mĂ©diter du tout, mon poteïżœïżœ!!
Donite: Tu fais du yoga ?
Non je picole comme un rat mort, je fume comme un pompier, je ne fais pas de sport
 En fait il y a eu une grosse vague de gens qui sont arrivĂ©s dans le tatouage, les shop se sont multipliĂ©s et je me rends compte qu’avec des gens qui viennent Ă  peine de commencer, je laisse faire, ils sont assez sur d’eux. Le tatouage peut mĂȘme te permettre de te sauver la vie, dans certains cas. Tu apprends Ă  te centrer, il y a des choses qui doivent ĂȘtre faite, dans mon cas je le fais avec plaisir et il y a des choses qui t’ennuient, cela te tient responsable. En dix ans, j’ai beaucoup changĂ©, mon rythme a changĂ©, je suis devenu plus responsable, et il faut maintenir ce niveau. C’est comme Master cela fait cinquante ans qui fait ça,  ça de la valeur vraiment. Le mĂ©tier a une grand libertĂ© mais elle a un prix cette libertĂ©. J ‘ai pas de femme, de gosses. Mes gosses ce sont mes apprentis. Tu transmets. J’en ai trois, deux Ă  Hong Kong et un au Canada. Ensuite quand tu transmets ton savoir, tu deviens patient. Entre nous, c’est devenu un art martial. Pour chaque medium, il y a une voie et j’aime le cotĂ© asiatique dans la mesure, il y a un cotĂ© philosophique. Il faut dire que Paris c’est la campagne Ă  cotĂ© de Hong Kong, avec sa modernitĂ©.
Donite: Les gens reviennent au traditionnel ?
En Asie, certains  tatoueurs sont des vrais maĂźtres qui transmettent un savoir faire traditionnel du tattoo et les gens n’ont pas fait ce rapprochement. Aujourd’hui, il a un cotĂ© trĂšs movie star. Un ego surdimensionnĂ©. Car si tu es plus proche de Lao Tsu, tu restes humble et tu disparais et c’est surtout un hĂ©ritage. Je discutais l’autre jour avec un gars, le maĂźtre de l’art contemporain chinois, un vieux bonhomme d’une soixante d’annĂ©es, hyper cultivĂ©. Leur point de vue sur l’art et l’évolution des choses est trĂšs intĂ©ressant, c’est mieux qu’une peinture ou une installation, c’est comme ouvrir une porte pour apporter quelque chose de nouveau Ă  l’évolution humaine et l’important c’est l’hĂ©ritage que tu vas laisser dans l’Ɠuvre. Un artiste peut ĂȘtre bouddha, Bill Gates, et du coup tu reviens Ă  de valeurs traditionnelles. Il y a des styles qui ont perdurĂ© comme le style japonais. L’autre fois, j’étais au Japon et j’ai vu l’apprenti de Horiyoshi, il devait faire des vagues exactement pareil, de  ce qu’on lui avait transmis, pas d’improvisation.
Donite: Et tes tattoos ?
C’est un sketchbooks, ce seront des souvenirs. Ils me serviront quand je serais devenu sĂ©nile.
Donite: Tu t’en ai fais toi mĂȘme ?
Oui et dans n’importe quelles conditions. Je n’ai pas d’états d’ñme avec. C’est un peu le bordel. J’essaye aussi des aiguilles. C’est le cordonnier le plus mal chaussé ! J’aime bien les tatouages de taulards. Il n y a pas d’influence, c’est maintenant comme ça et basta. C’est comme une dĂ©marche d’art brut car si le gars a un peu de talent cela ressemblera Ă  quelque chose.
Ce que je reproche au tattoo aujourd’hui, c’est de pas faire du global, c'est-Ă -dire qu’ils ont une piĂšce et tu ne vois pas le rapport avec le corps. Le tattoo, c’est comme la vie, il faut le voir dans son Ă©lĂ©ment. Ce sont plus les sociĂ©tĂ©s primitive qui ont compris cela, il y a plus de choses graphiques, Ă©laborĂ©s en grand, quand la personne se dĂ©place c’est comme une peau de tigre. Ma clientĂšle a cette ouverture d’esprit. J’avais parlĂ© avec une architecte d’intĂ©rieur qui insistait pour faire une petite piĂšce et je lui ai dit mais quand tu bosses, tu mets pas les meubles dans un seul coin de la piĂšce ! A force de travailler, c’est devenu une logique et les gens te cherchent pour cela. Plus tu la comprends plus tu le transmets, les gens sont mieux renseignĂ©, ont plus de goĂ»ts.
Il y a un dialogue avec le client. Et il faut interprĂ©ter leur demande. Et heureusement qu’il y a des gens qui ont ouvert des portes, cette pĂ©riode est bien plus enrichissante.
L’un de plus important c’est Yann Black. J’ai commencĂ© a Rilleux, Ă  l’arrache, ce serait la prison c’est pareil, sans aucune notions, je ne savais pas dessiner. Et les nouveaux viennent d’école d’art. Tu crois la plupart des bikers ont fait des Ă©coles d’art ? Le tatouage est une pratique rentable. Et c’est moins dur que de vivre de ses tableaux et ils ouvrent des portes Ă  ceux qu’ils l’ont compris.
 propos recueillis par Miss Fox et Guillaume Ducreux : voir son travail
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Le studio :
https://www.facebook.com/alchemink.studio
http://www.shitoujii.com/
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alackofgeoxygen · 8 years ago
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#ink #tattoo #arm #blackandwhite #spiral #freehand #instatattoo #leonlam #picoftheday #pattern #instalike #instaart #artlife
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leonlam789bet · 2 years ago
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Leon Lam
Leon Lam hiện lĂ  CEO - GiĂĄm đốc điều hĂ nh của 789bet lĂ  một trang những thÆ°ÆĄng hiệu mới lĂ  cĂŽng ty đi đáș§u trong việc đổi mới phĂĄt triển cĂĄ độ trĂȘn máșĄng đáș§y triển vọng Địa chỉ: Tráș§n HÆ°ng ĐáșĄo, HoĂ n Kiáșżm, HĂ  Nội Email: [email protected]
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easttattoo · 11 years ago
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#leonlam #guestspot #easttattoo #taiwan #alchemink
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lunamothbrain · 4 years ago
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starting over but not forgetting... - done at @meiwahtattoo upper arm by Leon @alchemink - - - - - - - - #restart #keepingthememory #coverup #ormaybenot #blastover #butnotexactly #ink #leonlam #namiko #meiwahtattoo #mongkok #hongkong (at Mei Wah Tattoo çŸŽèŻçŽ‹èș«) https://www.instagram.com/p/CSG777YlAfr/?utm_medium=tumblr
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alchemink · 4 years ago
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6 seasons.. by #leonlam Done @meiwahtattoo Thx you C https://www.instagram.com/p/CRrPXrUndkg/?utm_medium=tumblr
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lunamothbrain · 4 years ago
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a few more lines. - combo with Leon @alchemink - - - - - - - #whiteinkflower #inkflower #inkseed #inkkintsugi #inkconnections #whiteink #onblack #wisdomeye #leonlam #blacksleeve #namiko #alcheminkcrew #lamfamily #saikung #hongkong #meiwah (at Sai Kung) https://www.instagram.com/p/CSDqG2jlZP0/?utm_medium=tumblr
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lunamothbrain · 4 years ago
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NEW EXHIBITION: "FUTURO[R]ESISTENTE" collective art exhibition organised by @gipsycaravantattoo in Bologna, Italy. 25 artists. from 26th Sept to 30th Oct. - IG LIVE inauguration TOMORROW at 6pm (Italy time) ! - this great studio will also present their new project of plastic elimination to reduce its environment impact and create a more sustainable future! - swipe to see details of my piece for this exhibition. and make sure to check all of the artists involved! - Reposted from @gipsycaravantattoo 🔮FUTURO[R]ESISTENTE🔮 "Una riflessione collettiva sull' uomo e sulla natura" â–Șâ–Șâ–Șâ–Șâ–Șâ–Șâ–Șâ–Șâ–Șâ–Șâ–Ș Domenica 26 settembre h18:00 25 artisti presenteranno le loro opere Durante la mostra presenteremo il progetto di eliminazione dell' utilizzo di plastica e di riduzione dell' impatto ambientale all' interno dello studio, per un futuro sostenibile ed un cambiamento necessario e urgente! STAY TUNED!!! @filippobart.gipsy @milena_sergi @inyantattoo @matteomasini @yuya_gitattoo @valentinetattooo @anna_tattoo @jack_bi___tatouages @alchemink @obi1.0 @alboytattoo @cugnettomaledetto @leonardoborri @gigifagni @frenopersciacalli @bue2530 @achillemoline @g_loois @zelhand732 @trembling_hand @nik.pezzato @vlad_ov_thelema @privetattoo @namiko_moth22 @simonefrabboni . . #FUTURORESISTENTE #gipsygreenproject #plasticfree #tattooecofriendly #artgallery #mostracollettiva #contemporaryart #savetheplanet #artexhibition #collectiveart #exhibition #gipsycaravan #tattoostudio #bologna #italy #namiko #leonlam #alcheminkcrew (at Gipsy Caravan) https://www.instagram.com/p/CUPnvWkJQq9/?utm_medium=tumblr
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lunamothbrain · 5 years ago
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"Dance." - - combo with Leon @alchemink . - - - - - - #ink #dance #nature #connection #seed #fromanendtoabeginning #lifeexperience #inkkintsugi #touch #namiko #leonlam #alcheminkcrew #hongkong https://www.instagram.com/p/CDLyDzalpqT/?igshid=1ve3qmbtv5kqy
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lunamothbrain · 5 years ago
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another point of view. (black sleeve is by Leon @alchemink ) - forever work in progress. - - - - #inkkintsugi #blackwork #ink #eyes #collaboration #lamfamily #healed #hongkong #namiko #leonlam #alchemink (at Sai Kung) https://www.instagram.com/p/B9bb14pFcM-/?igshid=82os898b0sm0
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lunamothbrain · 6 years ago
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Another view of the combo with Leon (@alchemink) Reposted from @alchemink - Some healed ..some fresh..some stencil...#homemadetattoo #combo @namiko_moth22 #leonlam - #regrann https://www.instagram.com/p/BwOy884FlXN/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=gtkv9cjmrafa
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lunamothbrain · 6 years ago
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Dall'ombra... continous work in progress on Benji. (#blacksleeve by @alchemink ) #blackwork #inkconnections #inkkintsugi #workinprogress #stepbystep #neverending #process #namiko #leonlam #alchemink #hongkong (at Hong Kong) https://www.instagram.com/p/BpJeyngnHRx/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=7nf7avwupmob
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lunamothbrain · 6 years ago
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Black fire. Combo Leon (@alchemink ) + Namiko. #blackfire #ink #inkconnections #ashes #collaboration #leonlam #namiko #alchemink #hongkong (at Hong Kong) https://www.instagram.com/p/BpZBOIOnwk5/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=ooculeahpc4z
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