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bluememoriesandacoffee · 5 months ago
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#shorts step by step . #tattoo #combo #leonlam #namiko
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lunamothbrain · 3 years ago
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wash away... - #workinprogress on @fozy.ink - sleeve is a combo Leon @alchemink + @namiko_moth22 - - - - - - - - - #wip #greywash #bloodtowaterink #inkkintsugi #inkconnections #inkseed #ink #flow #alcheminkcrew #leonlam #namjko #hongkong #saikung (at Sai Kung) https://www.instagram.com/p/CVr7i0DFabz/?utm_medium=tumblr
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alchemink · 6 years ago
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donitelepicurien-blog · 7 years ago
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Leon Lam, tattoo en itinérance
Portrait crédits photos:  Guillaume Ducreux
Leon Lam, tattoo en itinérance
Leon Lam, tatoueur à l’influence philosophique asiatique, trublyon par son style particulier dans l’univers du tatouage, à partager un moment de philosophie et de bonne humeur chez In my Brain lors de sa visite en France. Interview   pendant la préparation de la salle de tattoo avec Guillaume Ducreux, photographe.
Sa technique et son approche du tattoo en itinérance en fait de lui un personnage particulier et fort.
« Si bien qu'ayant maintenant laissé s'écouler la moitié de mon existence sans me rendre maître d'aucune technique, j'ai voulu, de toutes mes fautes, tirer un ouvrage en guise d'avertissement à l'universalité des humains » tiré du manuscrit  Le rêve dans le pavillon rouge , un des quatre grands romans classiques de littérature classique chinoise écrit par Cao Xueqin. Cet extrait exprime la philosophie de Léon, transmettre, essayer d’acquérir une technique, partager. Le rouge symbolise, le luxe et le bonheur.
Portrait crédits photos:  Guillaume Ducreux
 Donite: En Asie, depuis combien temps c’est accepté le tattoo, 10 ans ?
Non encore moins, je dirai 5 ans, cela dépend des régions, mais tu as des coins où cela se développe vite et d’autres endroits moins vite.
Donite: Pourquoi tu fais du tattoo, un peu partout et en itinérance ?
Parce que c’est mon choix et cela me permet de voyager et de faire ma promotion. Je ne pourrais pas bosser qu’en atelier.
Donite: Parle-nous un peu d’Alchemink et Shitoujii ?
Shitoujii veut dire Mémoire d’un roc, ce sont des vielles histoires. A l’époque, quand j’ai fait mon site, la production venait de Pékin et si tu veux, ils ont été très subtil dans la poésie et l’abstrait, nous nous sommes basés sur des travaux que j’avais réalisé, qui étaient inspirés d’histoires de moines errants. Et il fallait trouver un nom poétique, c’est en chinois et c’est le titre d’un livre ancien «  le rêve dans le pavillon rouge », c’est l’histoire d’une pierre qui est témoin d’une scène et à la fin le personnage principal devient un moine bouddhiste.
Alchemink, c’est un atelier que j’ai monté il y a trois ans, à Hong Kong et nous sommes quatre, des collègues  aussi itinérants. C’est un appartement. Il n’y a pas d’enseigne et tout est géré par le net.
Donite: Pourquoi pas une enseigne ?
J’ai toujours bossé en appartement. C’est une SARL gérée par deux associés dont moi et à Hong-kong c’est bien moins cher de créer son entreprise !
Donite: Il y a une forte demande là-bas ?
La clientèle est internationale. C’est une ville internationale. Ce n’est pas que les gens s’y connaissent bien en tattoo, mais il y a un tas d’expatriés qui gagnent bien leur vie et qui se lâchent et vont se faire tatouer. Il y a aussi des personne qui viennent que pour un laps de temps et vont se faire tatouer et puis ils rentrent dans leurs pays d’origine et tes pièces voyagent et tu te fais alors connaître dans le monde entier, tu es diffusé.
Donite: Ta vie itinérante, c’est freestyle ?
Carrément, il n’y a pas vraiment de directions, de 1990 à 2000, les gens étaient très fermés. Il y a ceux qui étaient en place et restaient en place. Cela limitait la communication entre les tatoueurs, et tu n’avais pas tous les moyens de communication d’aujourd’hui, du coup c’était assez local et donc il fallait absolument un pas de porte. Ensuite, il y a eu des conventions, donc soit tu t’installes, soit c’est freestyle.
Donite: Tu t’adaptes alors à plein de lieux différents ? Te faut-il alors des bonnes conditions ?
(Sourire) Cela peut être freestyle partout et avec de bonnes conditions  si la personne en face de toi est réceptive et qu'elle te laisse faire parce qu’elle a confiance. Tu vois, j’ai créé ma machine, mon système et je bosse sur batteries. Je n’ai pas besoin d’être dans un shop, je peux bosser sur le trottoir si je veux.
Si je bosses dehors, pas de vent, de pluie, un petit coin à l’ombre et  je bosse sur le bord de plage, sur un rocher… peu importe.
Donite:  Et tu rencontres plein des gens qui font cela ?
Il y en a, j’en ai rencontré ces dernières années au Népal, car je bosses pas mal là-bas. Il y a une convention dont c’est la troisième année, et il y a beaucoup de n poker, les mecs n’ont même pas de machines, juste à la main avec des aiguilles. Tu as un renouveau des techniques traditionnelles.
Donite: C’est la technique traditionnelle, mais est ce des tattoos traditionnels ?
C’est basé sur le traditionnel, mais il y a eu un gros mouvement qui s’est étendu, c’est le style dot, le pointillisme et du coup tu n’as pas forcément besoin de machine. Tu peux le faire à la main, cela fonctionne aussi.
 Donite: Et tu fais alors des conventions ?
Et bien oui, cela permet de rencontrer du monde, de tattouer aussi,  prendre des contacts. Les conventions sont très humaines, par exemple là je vais la semaine prochaine à Milan où c’est plus industriel. En gros, tu as plusieurs moyens de diffusions, les méthodes de travail sont les mêmes peu importe où tu te trouves, tu réfléchis à ton concept, tu commences à le préparer, tu fais tes dessins, tes portfolios et tu va les présenter. De cette manière tu touches un grand éventail de gens et tu sélectionnes les projets selon la demande des personnes.
Par exemple, je préférais quelqu’un qui me demande de créer un concept sur son corps, que de faire un petit papillon et c’est ton portfolio qui amène cela, tes visuels, ton style attirent les gens qui s’y intéressent.
Donite: Et fais tu autre chose que du tattoo ?
Avant, tu te réveillais, t’allumais ta clope, tu prenais  ton caf et ton pote arrivait, tu le piquais et voilà, maintenant beaucoup de choses se greffent  à ce même mode de vie, mais quand tu as une entreprise à gérer et que tu voyages en plus, là, tu as ton un emploi du temps à préparer, où dormir…, toute une logistique. Et puis, tu as tout un coté communication à faire aujourd’hui et que tu ne peux pas négliger. Après le soir, tu as le facebook, le site à entretenir. Tu as aussi une grande partie de design, où tu dois réfléchir à ta pièce, comment tu veux l’élaborer, et enfin tu as toute la partie technique car selon les travaux que tu veux faire, tu es obligé d’adapter tes machines en conséquence.
 Donite: Tu t’adaptes vraiment parfois à la demande, à certains projets  techniquement?
Pour moi c’est important, car si je dois incorporer beaucoup de couleurs solides, ou que du trait, je dois adapter mes machines pour aller plus vite et avoir un résultat optimum. Je ne peux pas me permettre de passer 5 heures sur quelqu’un, faut envoyer ! Et vu que je viens rarement à chaque endroit, le but du jeu est que la pièce soit faite en peu de temps, c’est mon graphisme. Le fait d’être allé en Asie, m’a fait développé des affinités avec la calligraphie chinoise, mon but n’est pas d’écrire des caractères chinois comme une ancienne mode, ce sont des états d’esprits différents que ceux des concepts artistiques européens.
Donite: C’est ce que tu revendiques dans ton tattoo ?
Je ne le revendique pas, mais je l’utilise. Il m’a fallut du temps pour digérer toute cette culture en tant qu’européen. Tu as beaucoup de pièces où tu barbouilles vraiment le corps et tu dois faire respirer la peau et la travailler en conséquence. Par exemple, imagine quelqu’un qui est hyper poilu, tu vas le raser mais cela va repousser, donc tu dois prendre en considération l’état du corps avant de le tatouer et prévoir que la personne le portera tous les jours, c’est une histoire d’expériences. Tu vois comment tu peux le diffuser car tu peux utiliser aussi du old school, ce sont des langages, après c’est à toi de l’interpréter avec le corps.
Donite: Tu maitrises ton style et il plaît, c’est positif ?
Après c’est aussi un apprentissage, en fait tu n’arrives pas quelque part dans le tattoo, tu vas quelque part. Les rencontres, les lieux, les expériences, les manières de faire, cela crée ton style. Moi j’ai beaucoup poussé la base, mes visuels a proprement dit, ce sont plus des techniques, à travailler ton trait, à travailler ton remplissage, et peu importe la forme que cela prend, tu pars avec une idée et tu pousses tout cela, c’est une composition.
Comme Yann Black, un ancien collègue à Paris, c’est lui qui a ouvert le graphisme aux traits, le fait de bosser le trait ou le point, tu vas acquérir une certaine aisance et partir de là, tu peux commencer à te faire plaisir. Même dans mes portfolios, il va y avoir des étapes. Pendant un certain nombre d’années, tu vas faire que ça. La plupart des gens ne comprennent pas. Tu pousses ton travail dans une direction jusqu'à que tu obtiennes un certain niveau et après tu rebascule dans d’autres choses. L’aisance se lit dans le graphisme. Un trait que je fais aujourd’hui et celui qui a dix ans, je tremble plus, quand la peau va cicatriser, tu sais à l’avance ce que ça va donner. Après passer ses phases où la tu sais vraiment tatouer, tu vas commencer à faire des recherches visuels…
Donite: Il y a un coté expérimental ?
Il se fait sur n’importe quel medium. A un moment donné, quand tu as fait tout se travaille là  et bien t’expérimente. Par exemple tu vas au marché, tu achètes des légumes de différentes couleurs, et tu fais une jolie compo sur une assiette, tu finis ta salade, tu demande parfois si ce n’est pas aussi joli qu’une peinture ou c’est un plat ? Ton cerveau ne fait plus de différences entre tatouer, faire la cuisine, cela devient ta manière de vivre.
Donite: Comment vois tu le tattoo, quelle valeur lui donnes-tu?
Je ne porte pas trop de jugements de valeurs. Je suis conscient que mon style ne plaît pas a tout le monde, il reste personnel et cette une manière aussi pour moi de me connecter humainement avec d’autres personnes. La relation que j’ai avec ma clientèle est quand même différente que celle d’un autre tatoueur avec sa clientèle.
 Donite: On parle de l’expansion des street shop… ?
Oui il y a un coté parfois plus industriel, rapide et un coté plus humain. En France, il y  a eu à un moment donné l’idée de copier ce qui existe déjà, et à l’époque c’était des modèles américains… Les Street shop qui se transforment en boutique. Les gens arrivent choisissent leurs dessins, c’est des cotés pratiques. C’est une autre manière de fonctionner mais moi je ne l’adapte  parce que je serai moins bon dans ce domaine, mais je ne dis pas que c’est pas bien. Ma manière est naturellement comme ça, je ne l’ai pas vraiment réfléchie. De tout de façon même si je crééais un Street shop cela finirait en private shop. Cela dépend aussi de la structure des villes, en Europe, tu as plus d’espace, d’accès  à des rez-de-chaussées et quand j’étais à Lyon, j’avais la porte ouverte, et cela m’emmerdait car comme j’étais tout seul, de devoir ouvrir la porte, tatouer en même temps, après j’avais mis une sonnette, je leur ouvrais, je leur disais que j’étais occupé à la fin, tu mettais un mot et contactez moi par téléphone. Tu peux pas tout gérer, quand tu tatoues,  tu n’as pas le temps de faire le réceptionniste. Et à moment donné, je trouvais vraiment très important de passer du temps à parler avec les gens pour les introduire dans un projet, ensemble. Et si tu négliges l’accueil, il ira voir ailleurs.
Donite: Il y en a sans doute certains qui aimeraient faire comme toi ?
Moi j’ai commencé à l’âge de treize ans, fait a l’arrache, ce qui m’a plu c’est qu’il n y a pas de règles, c’est comme marcher dans le désert. La seule règle, c’est rester en vie. Peu importe comment tu le fais. Je l’ai fais de cette manière car cela me correspond. Et cela peut encore changer plus tard. Il n’y a rien extraordinaire. Mais ce qui est bien, c’est que tu peux bosser partout. C’est comme un photographe, tu as  ton appareil, tu vas dans n’importe quel pays, par contre dans le tattoo t’es payé cash. Tu peux continuer à avancer, tu peux voyager sans t’arrêter, je m’en suis rendu compte et c’est cela qui m’a plu. J’ai de potes qui tatouent depuis vingt ans dans le même shop et ça leur plait comme ça, chacun son truc.
Donite: Tout de façon tu as un point de retour à Hong Kong ?
Ce qui est intéressant, c’est plus tu voyages, plus tu as des opportunités d’aller ailleurs. Quand tu voyages et que tu n’as pas de point de connexion, tu fais le tour de la ville, mais au bout d’un mois tu te fais chier. Par contre si tu pars parce que tu avais rencontré quelqu’un dans une convention… qui t’invite à te voir et bien t’y vas, t’arrives tu bosses, tu peux visiter, rester, vivre le coté local de l’endroit moins superficiellement que si tu passes juste avec ton sac à dos.
 Donite: Tes projets, retourné à certains endroits ?
Ma priorité, c’est finir les pièces que j’ai commencé, c’est une responsabilité je vis au jour le jour. Pour cette année, j’ai un circuit à faire en fonction de mes pièces, j’ai des rdv pris avec des personnes convenues pour telles ou telles périodes. Après tu gères ton emploi du temps et tu peux te prendre des vacances aussi.
Il y a aussi dans le tattoo un coté méditatif et de surpassement de soi car tu es obligé de rester des heures assis à faire la même chose. C’est comme quand tu conduis, tu maitrises mais tu peux t’endormir. Dans le tatouage ça arrive. Le fait de faire une action,  tu n’es pas fatigué et surtout si tu as un feeling avec la personne. Il y a des réglages car quand tu restes huit heures comme ça… tu vas pas méditer du tout, mon pote !!
Donite: Tu fais du yoga ?
Non je picole comme un rat mort, je fume comme un pompier, je ne fais pas de sport… En fait il y a eu une grosse vague de gens qui sont arrivés dans le tatouage, les shop se sont multipliés et je me rends compte qu’avec des gens qui viennent à peine de commencer, je laisse faire, ils sont assez sur d’eux. Le tatouage peut même te permettre de te sauver la vie, dans certains cas. Tu apprends à te centrer, il y a des choses qui doivent être faite, dans mon cas je le fais avec plaisir et il y a des choses qui t’ennuient, cela te tient responsable. En dix ans, j’ai beaucoup changé, mon rythme a changé, je suis devenu plus responsable, et il faut maintenir ce niveau. C’est comme Master cela fait cinquante ans qui fait ça,  ça de la valeur vraiment. Le métier a une grand liberté mais elle a un prix cette liberté. J ‘ai pas de femme, de gosses. Mes gosses ce sont mes apprentis. Tu transmets. J’en ai trois, deux à Hong Kong et un au Canada. Ensuite quand tu transmets ton savoir, tu deviens patient. Entre nous, c’est devenu un art martial. Pour chaque medium, il y a une voie et j’aime le coté asiatique dans la mesure, il y a un coté philosophique. Il faut dire que Paris c’est la campagne à coté de Hong Kong, avec sa modernité.
Donite: Les gens reviennent au traditionnel ?
En Asie, certains  tatoueurs sont des vrais maîtres qui transmettent un savoir faire traditionnel du tattoo et les gens n’ont pas fait ce rapprochement. Aujourd’hui, il a un coté très movie star. Un ego surdimensionné. Car si tu es plus proche de Lao Tsu, tu restes humble et tu disparais et c’est surtout un héritage. Je discutais l’autre jour avec un gars, le maître de l’art contemporain chinois, un vieux bonhomme d’une soixante d’années, hyper cultivé. Leur point de vue sur l’art et l’évolution des choses est très intéressant, c’est mieux qu’une peinture ou une installation, c’est comme ouvrir une porte pour apporter quelque chose de nouveau à l’évolution humaine et l’important c’est l’héritage que tu vas laisser dans l’œuvre. Un artiste peut être bouddha, Bill Gates, et du coup tu reviens à de valeurs traditionnelles. Il y a des styles qui ont perduré comme le style japonais. L’autre fois, j’étais au Japon et j’ai vu l’apprenti de Horiyoshi, il devait faire des vagues exactement pareil, de  ce qu’on lui avait transmis, pas d’improvisation.
Donite: Et tes tattoos ?
C’est un sketchbooks, ce seront des souvenirs. Ils me serviront quand je serais devenu sénile.
Donite: Tu t’en ai fais toi même ?
Oui et dans n’importe quelles conditions. Je n’ai pas d’états d’âme avec. C’est un peu le bordel. J’essaye aussi des aiguilles. C’est le cordonnier le plus mal chaussé ! J’aime bien les tatouages de taulards. Il n y a pas d’influence, c’est maintenant comme ça et basta. C’est comme une démarche d’art brut car si le gars a un peu de talent cela ressemblera à quelque chose.
Ce que je reproche au tattoo aujourd’hui, c’est de pas faire du global, c'est-à-dire qu’ils ont une pièce et tu ne vois pas le rapport avec le corps. Le tattoo, c’est comme la vie, il faut le voir dans son élément. Ce sont plus les sociétés primitive qui ont compris cela, il y a plus de choses graphiques, élaborés en grand, quand la personne se déplace c’est comme une peau de tigre. Ma clientèle a cette ouverture d’esprit. J’avais parlé avec une architecte d’intérieur qui insistait pour faire une petite pièce et je lui ai dit mais quand tu bosses, tu mets pas les meubles dans un seul coin de la pièce ! A force de travailler, c’est devenu une logique et les gens te cherchent pour cela. Plus tu la comprends plus tu le transmets, les gens sont mieux renseigné, ont plus de goûts.
Il y a un dialogue avec le client. Et il faut interpréter leur demande. Et heureusement qu’il y a des gens qui ont ouvert des portes, cette période est bien plus enrichissante.
L’un de plus important c’est Yann Black. J’ai commencé a Rilleux, à l’arrache, ce serait la prison c’est pareil, sans aucune notions, je ne savais pas dessiner. Et les nouveaux viennent d’école d’art. Tu crois la plupart des bikers ont fait des écoles d’art ? Le tatouage est une pratique rentable. Et c’est moins dur que de vivre de ses tableaux et ils ouvrent des portes à ceux qu’ils l’ont compris.
 propos recueillis par Miss Fox et Guillaume Ducreux : voir son travail
Découvrir le travail de Leon Lam sur facebook
Le studio :
https://www.facebook.com/alchemink.studio
http://www.shitoujii.com/
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alackofgeoxygen · 7 years ago
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#ink #tattoo #arm #blackandwhite #spiral #freehand #instatattoo #leonlam #picoftheday #pattern #instalike #instaart #artlife
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leonlam789bet · 2 years ago
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Leon Lam
Leon Lam hiện là CEO - Giám đốc điều hành của 789bet là một trang những thương hiệu mới là công ty đi đầu trong việc đổi mới phát triển cá độ trên mạng đầy triển vọng Địa chỉ: Trần Hưng Đạo, Hoàn Kiếm, Hà Nội Email: [email protected]
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easttattoo · 11 years ago
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#leonlam #guestspot #easttattoo #taiwan #alchemink
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lunamothbrain · 4 years ago
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starting over but not forgetting... - done at @meiwahtattoo upper arm by Leon @alchemink - - - - - - - - #restart #keepingthememory #coverup #ormaybenot #blastover #butnotexactly #ink #leonlam #namiko #meiwahtattoo #mongkok #hongkong (at Mei Wah Tattoo 美華紋身) https://www.instagram.com/p/CSG777YlAfr/?utm_medium=tumblr
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alchemink · 4 years ago
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6 seasons.. by #leonlam Done @meiwahtattoo Thx you C https://www.instagram.com/p/CRrPXrUndkg/?utm_medium=tumblr
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lunamothbrain · 4 years ago
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a few more lines. - combo with Leon @alchemink - - - - - - - #whiteinkflower #inkflower #inkseed #inkkintsugi #inkconnections #whiteink #onblack #wisdomeye #leonlam #blacksleeve #namiko #alcheminkcrew #lamfamily #saikung #hongkong #meiwah (at Sai Kung) https://www.instagram.com/p/CSDqG2jlZP0/?utm_medium=tumblr
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lunamothbrain · 3 years ago
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NEW EXHIBITION: "FUTURO[R]ESISTENTE" collective art exhibition organised by @gipsycaravantattoo in Bologna, Italy. 25 artists. from 26th Sept to 30th Oct. - IG LIVE inauguration TOMORROW at 6pm (Italy time) ! - this great studio will also present their new project of plastic elimination to reduce its environment impact and create a more sustainable future! - swipe to see details of my piece for this exhibition. and make sure to check all of the artists involved! - Reposted from @gipsycaravantattoo 🔴FUTURO[R]ESISTENTE🔴 "Una riflessione collettiva sull' uomo e sulla natura" ▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️▪️ Domenica 26 settembre h18:00 25 artisti presenteranno le loro opere Durante la mostra presenteremo il progetto di eliminazione dell' utilizzo di plastica e di riduzione dell' impatto ambientale all' interno dello studio, per un futuro sostenibile ed un cambiamento necessario e urgente! STAY TUNED!!! @filippobart.gipsy @milena_sergi @inyantattoo @matteomasini @yuya_gitattoo @valentinetattooo @anna_tattoo @jack_bi___tatouages @alchemink @obi1.0 @alboytattoo @cugnettomaledetto @leonardoborri @gigifagni @frenopersciacalli @bue2530 @achillemoline @g_loois @zelhand732 @trembling_hand @nik.pezzato @vlad_ov_thelema @privetattoo @namiko_moth22 @simonefrabboni . . #FUTURORESISTENTE #gipsygreenproject #plasticfree #tattooecofriendly #artgallery #mostracollettiva #contemporaryart #savetheplanet #artexhibition #collectiveart #exhibition #gipsycaravan #tattoostudio #bologna #italy #namiko #leonlam #alcheminkcrew (at Gipsy Caravan) https://www.instagram.com/p/CUPnvWkJQq9/?utm_medium=tumblr
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lunamothbrain · 5 years ago
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"Dance." - - combo with Leon @alchemink . - - - - - - #ink #dance #nature #connection #seed #fromanendtoabeginning #lifeexperience #inkkintsugi #touch #namiko #leonlam #alcheminkcrew #hongkong https://www.instagram.com/p/CDLyDzalpqT/?igshid=1ve3qmbtv5kqy
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lunamothbrain · 5 years ago
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another point of view. (black sleeve is by Leon @alchemink ) - forever work in progress. - - - - #inkkintsugi #blackwork #ink #eyes #collaboration #lamfamily #healed #hongkong #namiko #leonlam #alchemink (at Sai Kung) https://www.instagram.com/p/B9bb14pFcM-/?igshid=82os898b0sm0
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lunamothbrain · 6 years ago
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Another view of the combo with Leon (@alchemink) Reposted from @alchemink - Some healed ..some fresh..some stencil...#homemadetattoo #combo @namiko_moth22 #leonlam - #regrann https://www.instagram.com/p/BwOy884FlXN/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=gtkv9cjmrafa
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lunamothbrain · 6 years ago
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Dall'ombra... continous work in progress on Benji. (#blacksleeve by @alchemink ) #blackwork #inkconnections #inkkintsugi #workinprogress #stepbystep #neverending #process #namiko #leonlam #alchemink #hongkong (at Hong Kong) https://www.instagram.com/p/BpJeyngnHRx/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=7nf7avwupmob
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lunamothbrain · 6 years ago
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Black fire. Combo Leon (@alchemink ) + Namiko. #blackfire #ink #inkconnections #ashes #collaboration #leonlam #namiko #alchemink #hongkong (at Hong Kong) https://www.instagram.com/p/BpZBOIOnwk5/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=ooculeahpc4z
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