#Ryûnosuke Akutagawa
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Rashomon (1950)
My rating: 6/10
I think this is yet another one of those seminal works that, because they were so seminal, have lost a lot of their punch - there have been so many references, homages and straight up rip-offs in the intervening 70-odd years, the original just ends up feeling kind of unremarkable.
#Rashômon#Akira Kurosawa#Ryûnosuke Akutagawa#Shinobu Hashimoto#Toshirô Mifune#Machiko Kyô#Masayuki Mori
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Reunited
akutagawa siblings + things you said when i was crying
Gin hadn’t cried in public when news of Ryûnosuke being killed in action had gotten to them, and neither did she at his funeral; he had been more like a ghost as well, holding onto Higuchi’s hand tighter than necessary and only processing half of what was happening at most.
They did cry in public, though, when rushing to the encounter of his very much alive brother after everything had ended.
“You’re fine.” Gin whispered the second both siblings collided into a hug, feeling Rashômon tendrils wrapping around their body at the same time Ryû’s arms did. “I thought I’d--” Well, ‘never see you again’ wasn’t exactly the best way to put it. They had somewhat met in the vampire army, which didn’t amount much since none of them had the autonomy to reach out for the other.
And not like there was any need to clarify either: their brother would understand.
“I did taste death.” Ryûnosuke replied, something which sounded worrying as fuck even while seeing him there alive and breathing. Tangible. “And feared it had happened to you too, before getting turned.”
Gin instantly shook his head.
“It wasn’t funny, but I didn’t get heavily injured before.” In fact, them being bitten had happened rather quickly, otherwise she might have had more time to… react, even if not fully prevent it.
“Good.” When they broke the hug, not moving away too much, Ryûnosuke fetched a tissue from one of his (new) coat’s pockets and offered it to them. And maybe not everyone would be able to see the emotion in her brother’s eyes, but Gin definitely could. How not to, when the two of them had shared their whole lives?
(Also on ao3.)
#akutagawa siblings#akutagawa ryunosuke#akutagawa gin#bsd akutagawa#bsd gin#bsd#bungo stray dogs#my stuff#clau stuff#ficlet#i've shown aku siblings reunion 10 times in class#and you'll see it again probably
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Rashomon (1950). A heinous crime and its aftermath are recalled from differing points of view.
I do have a few issues with this film (namely to do with rape and misogyny), but that’s really a niggly way of me saying that this is, both generally speaking and specifically speaking, a pretty excellent film. It’s so innovative in it’s design, emotive, and compelling, and it has both a ruthless and a genuinely empathetic undercurrent which is hard to match. It’s pretty great. 8.5/10.
#rashomon#1950#Oscars 25#Nom: Art Direction#Akira Kurosawa#Ryûnosuke Akutagawa#Shinobu Hashimoto#Toshirô Mifune#Machiko Kyô#Masayuki Mori#Takashi Shimura#Minoru Chiaki#japan#japanese#crime#rape#murder#8.5/10
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Bungô Stray Dogs S3 FINALE (Studio BONES)
#Bungô Stray Dogs#Bungou Stray Dogs#文豪ストレイドッグス#Studio BONES#thank you for your hard work Bones#it was amazing#Akutagawa Ryûnosuke#Akutagawa#Action#Mystery#Super Power#Supernatural#Seinen
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“La folie ou le suicide, c'était tout ce qui l'attendait. Il marchait, solitaire, dans les rues où tombait la nuit, résolu à attendre le destin qui, lentement, viendrait l'anéantir.”
Ryûnosuke Akutagawa - La vie d’un idiot
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Uma borboleta volteava no vento impregnado por um cheiro de ervas aquáticas. Durante apenas um ínfimo segundo, ele sentiu o roçar de suas asas sobre os lábios ressecados. Mas o pó das asas que assim fora espalhado sobre seus lábios continuam a brilhar, mesmo muitos anos depois.
Akutagawa Ryûnosuke, em ‘’A Borboleta’’.
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Conto disponível no mesmo link!
"A desumanização continua, pois quando o homem sobe as escadas do portal, para se proteger do frio, encontra cadáveres de homens e mulheres, nus e vestidos, “sobre o assoalho, como bonecos de barro, as bocas abertas, os braços estirados, fazendo até duvidar que um dia tivessem sido humanos” (idem, ibidem, p. 29). No meio dos corpos, ele vê “uma velha de aparência simiesca” (idem, ibidem, p. 29). Novamente, uma adjetivação animalesca. Aparentemente, através da narração, fica a mensagem de que na pobreza, mais do que perder a religiosidade, o ser humano perde a humanidade."
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Nouvelles acquisitions (Novembre 2018 à Mars 2019) Rattrapage
Moins de livres achetés, mais beaucoup plus de vinyles. Mes finances m'ont forcé à lever le pied.
Samedi 01.12.18 Gibert Joseph Pierre Siniac - Femmes blafardes François Billard & Alain Antonietto - Django Reinhardt, un géant sur son nuage
Boulinier Witold Gombrowicz - Yvonne, princesse de Bourgogne Knut Hamsun - Le dernier chapitre
Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Maurice Leblanc - Arsène Lupin Tome 4 - Bouquins R. Laffont Contient : Le Secret d'Eunerville - La Poudrière - Le second visage d'Arsène Lupin - La justice d'Arsène Lupin - Le serment d'Arsène Lupin - L'Affaire Oliveira (par Pierre Boileau & Thomas Narcejac ) - Dorothée, danseuse de corde - La Prince de Jéricho - Les Milliards d'Arsène Lupin - Le secret des Rois de France (par Valère Catogan)
Roger Munier & Yves Bonnefoy - Haïku Bashô - Friches 3
Gibert Jeune Robin Maugham - The Servant
Samedi 29.12.18 Boulinier Henry James - La solution
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Vendredi 11.01.19 Via internet Arthur Schnitzler - L'Appel de la vie
Samedi 12.01.19 Boulinier Henry James - L'Américain - Trad. Gilles Chahine Roger Price - Le cerveau à sornettes - Collection Humour secret n°10
Gilda, 36 rue Bourdonnais Michel Onfray - Miroir du nihilisme, Houellebecq éducateur
Mardi 15.01.19 Via internet Francis Lacassin - Conversations avec Simenon Odette Aslan - Roger Blin, Qui êtes-vous ? Lovecraft - Ed. établie par Francis Lacassin - Vol.1 - Coll. Bouquins Robert Laffont Contient : Les mythes de Cthulhu, Légendes et mythes de Cthulhu, Premiers contes, L'art d'écrire selon Lovecraft
Samedi 19.01.19 Boulinier Jacques Sternberg - Les chroniques de France-Soir
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Samedi 02.02.19 Gibert Jeune - Nouvelle Braderie, place St Michel Henry James - La troisième personne, précédé de Un lieu de rêve - Nouvelles. Trad. Evelyne Clavaud
Trouvé par terre Bld St Michel Pierre Schoendoerffer - L'adieu au roi
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Samedi 09.03.19 Trouvé par terre Bld St Michel Akutagawa Ryûnosuke - Rashômon et autres contes
Boulinier Conversations de Goethe avec Eckermann - 10e édition 1942
Je me souviens du poète surréaliste Philippe Soupault citant cette phrase de Goethe à André Breton. (On l'entend dans le doc sur Soupault de Tavernier) :
« Dès qu'un poète veut faire de la politique, il doit s'affilier à un parti, et alors, en tant que poète, il est perdu. Il lui faut dire adieu à sa liberté d'esprit, à l'impartialité de sa vision, et tirer au contraire jusqu'à ses oreilles la cagoule de l'étroitesse d'esprit et de l'aveugle haine. »
Breton reste froid et lui répond : « Goethe, ça n'est pas une référence. » Si Aragon avait été présent, il aurait répondu la même chose.
Mon édtion est une édition reliée qui ressemble à ça :
Jacques Sternberg - Le navigateur
Samedi 16.03.19 Berkeley books of Paris Shelley Day - What are you like - Short Stories
Livre offert par l'auteur (Thanx Shelley !)
Boulinier William Saroyan - Entre garçons et filles
« Le garçon tenait une balle de tennis et la fille la réclamait mais il ne voulait pas la lui donner. - Toi, sois un bon garçon, Johnny, disait Turanda. Toi, donne-lui la balle. Tu as d'autres choses. Le garçon tendit la balle à la fille. - Merde, dit-il. Turanda jeta un regard à la ronde pour voir si personne n'avait entendu, et puis il dit : - Voilà, Rosy, tu vois ? Johnny est un bon garçon. Dis-lui merci. - Merde, dit la fille. Elle le dit doucement et aimablement, comme si c'était un beau mot. »
Samedi 23.03.19 Arthur Schnitzler - Les dernières cartes & Rien qu'un rêve
C’est la nouvelle Rien qu'un rêve qui inspira à Kubrick son film Eyes wide shut. Il en existe deux traductions, celle-ci, par Dominique Auclères, que j’ai lue jadis, mais dont j’avais vendu l’exemplaire, croyant qu’elle était reprise dans le recueil de La Pochothèque : Schnitzler Romans et nouvelles Tome II (1909-1931) Or, dans ce recueil, le texte s’appelle La Nouvelle rêvée et c’est une nouvelle traduction de Philippe Forget. Je ne m’en suis aperçu que récemment, et, pris de remords, j’ai donc racheté ce poche. L’autre nouvelle, Les dernières cartes, est aussi très bonne. Jacques Feyder en tira un film en 1931, Daybreak (L’Aube).
Michel Onfray - Epiphanies de la séparation Serge Valletti - Toutaristophane II - Reviennent les lucioles ! & La stratégie d'Alice
Mardi 26.03.19 Via internet Collectif - Anthologie de la poésie japonaise contemporaine
J'avais entendu des extraits de ce recueil dans un Poésie sur Paroles de Fr Culture. Des textes, m'avaient saisis et il a fallu de longs mois avant que je tombe sur le livre. Préface très éclairante par Y.Inoué, T.Kyooba M. Ôoka. Il s'agit d'une poésie moderne, très influencée par les français, Baudelaire, Mallarmé, Verlaine, Rimbaud. « Une école artiste adopta le modernisme, et entre autres le surréalisme ; une école engagée eut en vue une poésie prolétarienne ou anarchiste. » Entre autres j'avais retenu le très court :
Absence (Rusu) de Shinkichi Takahashi :
« Dites que je suis absent Qu'il n'y a personne ici Je reviendrai dans cinq cent million d'années. »
et le plus long Chanson sentimentale par Hiroshi Iwata :
« Je déteste les étudiants La colle le plastique le chic Je déteste leurs mandats-cartes leurs mandats-lettres J'aime les fournitures et les plumes Et l'encre cachée dans le marbre J'aime j'aime les affiches (...)
Les puits les drapeaux les assemblées : je déteste Les machines à écrire le japonais le vernis les pointes de fer Les agraffeuses les entraîneuses les enveloppeuses Les pleins les déliés les sociétés les courses les cursives : je déteste L'évacuation fécale l'évasion fiscale les autruches les baudruches les percussions instrumentales Le petit marchand de tabac et sa femme : j'aime j'aime Le bouquiniste Ancien de la police politique : j'aime, les critiques en tenue négligée : je déteste Leurs nez
(...) Je déteste les journalistes qui parcourent mes livres à onze heures du matin Et qui ressortent de la librairie sans les acheter Et vont écrire sur mes poèmes des imbécilités J'aime le riz j'aime les pleurnicheries je déteste la bâtissomanie J'aime les singes et les cochons Les doigts aussi »
Salvador Reyes - Monica Sanders
Samedi 30.03.19 Gibert Joseph Michel Onfray - Vivre une vie philosophique. Thoreau le sauvage
Lu. Et apprécié. Même si j'avais déjà écouté les conférences de 2008, voilà un bon complément pour se rafraîchir la mémoire. Une excellente façon de découvrir le reclus de Walden.
« Le surhomme est celui qui sait qu'il n'y a que de la volonté de puissance, que celle-ci définit ce qui veut la vie dans la vie, qu'elle est danss le cosmos et le brin d'herbe, dans les astres et les pierres, dans le ciron et le philosophe, qu'il n'y a place pour aucune liberté, aucun libre arbitre, qu'il faut vouloir ce vouloir qui nous veut, pour être libre, qu'on doit aimer son destin parce qu'ainsi on connaît une joie, une béatitude qui prouve l'atteinte du surhumain. »
« L'enfant nourrit la trame de l'adulte. Thoreau passe sa vie à ne pas rompre avec son enfance. La liberté de l'enfant est son idéal. Construire des cabanes, pécher dans les étangs, remonter les rivières en barque, marcher dans la forêt, regarder le monde entre ses jambes, grimper dans les arbres, se baigner dans les eaux de Walden en toute saison - rien n'est plus jubilatoire pour l'adulte qu'il est devenu... »
« Thoreau met en perspective le génie et l'incapacité à vivre avec ses semblables doublée d'un désir de s'isoler pour vivre à l'écart des foules. »
« Thoreau écrit : celui qui dépend de lui seul pour ses plaisirs - qui trouve tout ce qu'il veut en lui - est réellement indépendant ; car faire appel aux maîtres pour atteindre le but recherché par tout le monde, c'est vivre dans un état de confiance et de dépendance perpétuelle. » Le philosophe libertaire est tout entier dans cete phrase : l'autonomie , être à soi-même sa propre loi, ne dépendre de rien ni de personne, « se créer liberté », pour emprunter à Nietzsche sa formule, voilà le projet existentiel du jeune homme. »
« Thoreau ne croit qu'à la révolution spirituelle. S'il devait faire un geste pour sauver l'humanité, il ne le ferait pas, nous dit-il. »
« L'individualiste de Walden ; le violent des derniers temps, qui exècre l'esclavage et veut en finir avec cette ignominie, y compris par les armes - le penseur du plaidoyer pour John Brown. Mais il s'agit bien sûr du même Thoreau. »
« Thoreau écrit : faites en sorte que votre vie soit un contre-frottement qui arrête le mouvement de la machine. »
« Etre philosophe ce n'est pas seulement avoir des pensées philosophiques, ce n'est pas même fonder une école, c'est aimer assez la sagesse pour vivre selon ses arrêts (...). C'est résoudre quelques uns des problèmes de la vie, non seulement en théorie, mais en pratique. »
Michel Onfray - Décoloniser les provinces
Dimanche 31.03.19 Boulinier Collectif - Les oeuvres libres n°200 - Janvier 1963 Collectif - Les oeuvres libres Nouvelle série n°104 - 330 - Janvier 1955 Tom Wolfe - Embuscade à fort bragg Peter Härtling - Béquille Jacques Bonnet - Quelques Historiettes ou petit éloge de l'anecdote en littérature
#Les livres de ma vie#goethe#shelley day#william saroyan#michel onfray#shinkichi takahashi#hiroshi iwata
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Another drabble I hope you’ll enjoy it as much as I did ❤
[Akutagawa x reader] [Word count: 327] [fluff]
Pure fear resides in all of us. For some it is a nightmare in bright daylight, for others it lurks in hibernation waiting to strike when they are most vulnerable. Fear does not even stop at a reaper’s door.
Fingernails scrap silent trails, sheets crinkle, bitter laments fill the air. He tosses and turns, waking you up. It’s 3:15pm. A static whirr is buzzing the air. The neon sign across the street flickers strict in time to a silent tune. You sigh; it’s not time to wake up yet. Akutagawa groans, fingers digging deep into the mattress. Endless darkness paints the room it’s hard for you to make out his features as ponderous clouds coat the nightly sky, absorbing even the faintest moonlight. Wood creaks. You nearly jump out of your skin. Rashômon flares up in distress. His breath becomes ragged. A nightmare, you think. Slowly, your hand encompasses his, stiff fingers immediately release their grip from the sheets. Your fingers trail upwards, tenderly caressing his damp skin. Leaning closer, your lips brush softly against the shell of his ear. “Ryû” you call in a husky voice. He grumbles. “Ryûnosuke” you whisper again “Wake up” His lips slightly part, a scowl spreads on his face. You move closer planting a gentle kiss on his temple, choppy hair tickle your nose. “My love” you breathe against his skin. He stirs. Moving back, hazy gunmetal orbs meet yours. A loving smile blooms on your face, Akutagawa watches you quietly. “You had a nightmare” Dark eyes squint “I don’t have nightmares” he exclaims, voice exhausted from sleep. You dare to chuckle but soon he nuzzles his head against your chest. Skin to skin you still feel his pulse running from invisible dreads. “I’m here, it’s all right” One hand buried in his unruly mane; your palm rubs soothing circles on his back. Akutagawa eases into your touch, his breathing is even. In your arms even nightly horrors can’t find him.
#akutagawa ryuunosuke#Akutagawa Ryunosuke#bungou stray dogs scenarios#bungou stray dogs#bsd#bsd akutagawa#my own writing#fluff#akutagawa x reader
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#bookface avec La Vie d’un idiot de Ryûnosuke Akutagawa, éd. Folio @folio_livres #deslibrairesàvotreservice #sleeveface #bookshop #bordeaux #librairie #mollat #كتاب #livre #book #buch#libro #livro #किताब #หนังสือ #წიგნი #도서#bok #kitap #kirja #книга #本 #책 #書 #ספר #buku (à librairie mollat) https://www.instagram.com/p/Byhj6BJCotp/?igshid=17c0zl985ojnc
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Rashômon
Ryûnosuke Akutagawa
Era un frío atardecer. Bajo Rashômon, el sirviente de un samurái esperaba que cesara la lluvia. No había nadie en el amplio portal. Sólo un grillo se posaba en una gruesa columna, cuya laca carmesí estaba resquebrajada en algunas partes. Situado Rashômon en la avenida Sujaltu, era de suponer que algunas personas, como ciertas damas con el ichimegasa[1] o nobles con el momieboshi[2], podrían guarecerse allí; pero al parecer no había nadie fuera del sirviente. Y era explicable, ya que en los últimos dos o tres años la ciudad de Kioto había sufrido una larga serie de calamidades: terremotos, tifones, incendios y carestías la habían llevado a una completa desolación. Dicen los antiguos textos que la gente llegó a destruir las imágenes budistas y otros objetos del culto, y esos trozos de madera, laqueada y adornada con hojas de oro y plata, se vendían en las calles como leña. Ante semejante situación, resultaba natural que nadie se ocupara de restaurar Rashômon. Aprovechando la devastación del edificio, los zorros y otros animales instalaron sus madrigueras entre las ruinas; por su parte ladrones y malhechores no lo desdeñaron como refugio, hasta que finalmente se lo vio convertido en depósito de cadáveres anónimos. Nadie se acercaba por los alrededores al anochecer, más que nada por su aspecto sombrío y desolado.
En cambio, los cuervos acudían en bandadas desde los más remotos lugares. Durante el día, volaban en círculo alrededor de la torre, y en el cielo enrojecido del atardecer sus siluetas se dispersaban como granos de sésamo antes de caer sobre los cadáveres abandonados.
Pero ese día no se veía ningún cuervo, tal vez por ser demasiado tarde. En la escalera de piedra, que se derrumbaba a trechos y entre cuyas grietas crecía la hierba, podían verse los blancos excrementos de estas aves. El sirviente vestía un gastado kimono azul, y sentado en el último de los siete escalones contemplaba distraídamente la lluvia, mientras concentraba su atención en el grano de la mejilla derecha.
Como decía, el sirviente estaba esperando que cesara la lluvia; pero de cualquier manera no tenía ninguna idea precisa de lo que haría después. En circunstancias normales, lo natural habría sido volver a casa de su amo; pero unos días antes éste lo había despedido, no obstante los largos años que había estado a su servicio. El suyo era uno de los tantos problemas surgidos del precipitado derrumbe de la prosperidad de Kioto.
Por eso quizás, hubiera sido mejor aclarar: “el sirviente espera en el portal sin saber qué hacer, ya que no tiene adónde ir”. Es cierto que, por otra parte, el tiempo oscuro y tormentoso había deprimido notablemente el sentimentalisme de este sirviente de la época Heian.
Habiendo comenzado a llover a mediodía, todavía continuaba después del atardecer. Perdido en un mar de pensamientos incoherentes, buscando algo que le permitiera vivir desde el día siguiente y la manera de obrar frente a ese inexorable destino que tanto lo deprimía, el sirviente escuchaba, abstraído, el ruido de la lluvia sobre la avenida Sujaku.
La lluvia parecía recoger su ímpetu desde lejos, para descargarlo estrepitosamente sobre Rashômon, como envolviéndolo. Alzando la vista, en el cielo oscuro veíase una pesada nube suspendida en el borde de una teja inclinada. “Para escapar a esta maldita suerte” —pensó el sirviente—, “no puedo esperar a elegir un medio, ni bueno ni malo pues si empezara a pensar, sin duda me moriría de hambre en medio del camino o en alguna zanja; luego me traerían aquí, a esta torre, dejándome tirado como a un perro. Pero si no elijo…” Su pensamiento, tras mucho rondar la misma idea, había llegado por fin a este punto. Pero ese “si no elijo…” quedó fijo en su mente. Aparentemente estaba dispuesto a emplear cualquier medio; pero al decir “si no…” demostró no tener el valor suficiente para confesarse rotundamente: “no me queda otro remedio que convertirme en ladrón”.
Lanzó un fuerte estornudo y se levantó con lentitud. El frío anochecer de Kioto hacía aflorar el calor del fuego. El viento, en la penumbra, gemía entre los pilares. El grillo que se posaba en la gruesa columna había desaparecido.
Con la cabeza metida entre los hombros paseó la mirada en torno del edificio; luego levantó las hombreras del kimono azul que llevaba sobre una delgada ropa interior. Se decidió por fin a pasar la noche en algún lugar que le permitiera guarecerse de la lluvia y del viento, en donde nadie lo molestara.
El sirviente descubrió otra escalera ancha, también laqueada, que parecía conducir a la torre. Ahí arriba nadie lo podía molestar, excepto los muertos. Cuidando de que no se deslizara su katana[3] de la vaina sujeta a la cintura, el sirviente puso su pie calzado con zôri[4] sobre el primer peldaño.
Minutos después, en mitad de la amplia escalera que conducía a la torre de Rashômon, un hombre acurrucado como un gato, con la respiración contenida, observaba lo que sucedía más arriba. La luz procedente de la torre brillaba en la mejilla del hombre; una mejilla que bajo la corta barba descubría un grano colorado, purulento. El hombre, es decir el sirviente, había pensado que dentro de la torre sólo hallaría cadáveres; pero subiendo dos o tres escalones notó que había luz, y que alguien la movía de un lado a otro. Lo supo cuando vio su reflejo mortecino, amarillento, oscilando de un modo espectral en el techo cubierto de telarañas. ¿Qué clase de persona encendería esa luz en Rashômon, en una noche de lluvia como aquélla?
Silencioso como un lagarto, el sirviente se arrastró hasta el último peldaño de la empinada escalera. Con el cuerpo encogido todo lo posible y el cuello estirado, observó medrosamente el interior de la torre.
Confirmando los rumores, vio allí algunos cadáveres tirados negligentemente en el suelo. Como la luz de la llama iluminaba escasamente a su alrededor, no pudo distinguir la cantidad; únicamente pudo ver algunos cuerpos vestidos y otros desnudos, de hombres y mujeres. Los hombros, el pecho y otras partes recibían una luz agonizante, que hacía más densa la sombra en los restantes miembros.
Unos con la boca abierta, otros con los brazos extendidos, ninguno daba más señales de vida que un muñeco de barro. Al verlos entregados a ese silencio eterno, el sirviente dudó que hubiesen vivido alguna vez.
El hedor que despedían los cuerpos ya descompuestos le hizo llevar rápidamente la mano a la nariz. Pero un instante después olvidó ese gesto. Una impresión más violenta anuló su olfato al ver que alguien estaba inclinado sobre los cadáveres.
Era una vieja escuálida, canosa y con aspecto de mona, vestida con un kimono de tono ciprés. Sosteniendo con la mano derecha una tea de pino, observaba el rostro de un muerto, que por su larga cabellera parecía una mujer.
Poseído más por el horror que por la curiosidad, el sirviente contuvo la respiración por un instante, sintiendo que se le erizaban los pelos. Mientras observaba aterrado, la vieja colocó su tea entre dos tablas del piso, y sosteniendo con una mano la cabeza que había estado mirando, con la otra comenzó a arrancarle el cabello, uno por uno; parecía desprenderse fácilmente.
A medida que el cabello se iba desprendiendo, cedía gradualmente el miedo del sirviente; pero al mismo tiempo se apoderaba de él un incontenible odio hacia esa vieja. Ese odio —pronto lo comprobó— no iba dirigido sólo contra la vieja, sino contra todo lo que simbolizase “el mal”, por el que ahora sentía vivísima repugnancia. Si en ese instante le hubiera sido dado elegir entre morir de hambre o convertirse en ladrón —el problema que él mismo se había planteado hacía unos instantes— no habría vacilado en elegir la muerte. El odio y la repugnancia ardían en él tan vivamente como la tea que la vieja había clavado en el piso.
Él no sabía por qué aquella vieja robaba cabellos; por consiguiente, no podía juzgar su conducta. Pero a los ojos del sirviente, despojar de las cabelleras a los muertos de Rashômon, y en una noche de tormenta como ésa, cobraba toda la apariencia de un pecado imperdonable. Naturalmente, este nuevo espectáculo le había hecho olvidar que sólo momentos antes él mismo había pensado hacerse ladrón.
Reunió todas sus fuerzas en las piernas, y saltó con agilidad desde su escondite; con la mano en su katana, en una zancada se plantó ante la vieja. Volviose ésta aterrada, y al ver al hombre, retrocedió bruscamente, tambaleándose.
—¡Adónde vas, vieja infeliz! —gritó cerrándole el paso, mientras ella intentaba huir pisoteando los cadáveres.
La suerte estaba echada. Tras un breve forcejeo el hombre tomó a la vieja por el brazo (de puro hueso y piel, más bien parecía una pata de gallina), y retorciéndoselo, la arrojó al suelo con violencia:
—¿Qué estabas haciendo? Contesta, vieja; si no, hablará esto por mí.
Diciendo esto, el sirviente la soltó, desenvainó su katana y puso el brillante metal frente a los ojos de la vieja. Pero ésta guardaba un silencio malicioso, como si fuera muda. Un temblor histérico agitaba sus manos y respiraba con dificultad, con los ojos desorbitados. Al verla así, el sirviente comprendió que la vieja estaba a su merced. Y al tener conciencia de que una vida estaba librada al azar de su voluntad, todo el odio que había acumulado se desvaneció, para dar lugar a un sentimiento de satisfacción y de orgullo; la satisfacción y el orgullo que se sienten al realizar una acción y obtener la merecida recompensa. Miró el sirviente a la vieja y suavizando algo la voz, le dijo:
—Escucha. No soy ningún funcionario del Kebiishi[5]. Soy un viajero que pasaba accidentalmente por este lugar. Por eso, no tengo ningún interés en prenderte o en hacer contigo nada en particular. Lo que quiero es saber qué estabas haciendo aquí hace un momento.
La vieja abrió aún más los ojos y clavó su mirada en el hombre; una mirada sarcástica, penetrante, con esos ojos sanguinolentos que suelen tener ciertas aves de rapiña. Luego, como masticando algo, movió los labios, unos labios tan arrugados que casi se confundían con la nariz. La punta de la nuez se movió en la garganta huesuda. De pronto, una voz áspera y jadeante como el graznido de un cuervo llegó a los oídos del sirviente:
—Yo, sacaba los cabellos… sacaba los cabellos… para hacer pelucas…
Ante una respuesta tan simple y mediocre el sirviente se sintió defraudado. La decepción hizo que el odio y la repugnancia le invadieran nuevamente, pero ahora acompañados por un frío desprecio. La vieja pareció adivinar lo que el sirviente sentía en ese momento y, conservando en la mano los largos cabellos que acababa de arrancar, murmuró con su voz sorda y ronca:
—Ciertamente, arrancar los cabellos a los muertos puede parecerle horrible; pero ninguno de éstos merece ser tratado de mejor modo. Esa mujer, por ejemplo, a quien le saqué estos hermosos cabellos negros, acostumbraba vender carne de víbora desecada en la Barraca de los Guardianes, haciéndola pasar nada menos que por pescado. Los guardianes decían que no conocían pescado más delicioso. No digo que eso estuviese mal pues de otro modo se hubiera muerto de hambre. ¿Qué otra cosa podía hacer? De igual modo podría justificar lo que yo hago ahora. No tengo otro remedio, si quiero seguir viviendo. Si ella llegara a saber lo que le hago, posiblemente me perdonaría.
Mientras tanto el sirviente había guardado su katana, y con la mano izquierda apoyada en la empuñadura, la escuchaba fríamente. La derecha tocaba nerviosamente el grano purulento de la mejilla. Y en tanto la escuchaba, sintió que le nacía cierto coraje, el que le faltara momentos antes bajo el portal. Además, ese coraje crecía en dirección opuesta al sentimiento que lo había dominado en el instante de sorprender a la vieja. El sirviente no sólo dejó de dudar (entre elegir la muerte o convertirse en ladrón) sino que en ese momento el tener que morir de hambre se había convertido para él en una idea absurda, algo por completo ajeno a su entendimiento.
—¿Estás segura de lo que dices? —preguntó en tono malicioso y burlón.
De pronto quitó la mano del grano, avanzó hacia ella y tomándola por el cuello le dijo con rudeza:
—Y bien, no me guardarás rencor si te robo, ¿verdad? Si no lo hago, también yo me moriré de hambre.
Seguidamente, despojó a la vieja de sus ropas, y como ella tratara de impedirlo aferrándosele a las piernas, de un puntapié la arrojó entre los cadáveres. En cinco pasos el sirviente estuvo en la boca de la escalera; y en un abrir y cerrar de ojos, con la amarillenta ropa bajo el brazo, descendió los peldaños hacia la profundidad de la noche.
Un momento después la vieja, que había estado tendida como un muerto más, se incorporó, desnuda. Gruñendo y gimiendo, se arrastró hasta la escalera, a la luz de la antorcha que seguía ardiendo. Asomó la cabeza al oscuro vacío y los cabellos blancos le cayeron sobre la cara.
Abajo, sólo la noche negra y muda.
Adónde fue el sirviente, nadie lo sabe.
(1915)
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Helloo, @lioncubstudies I’m your substitute santa for @langblrsecretsanta
You said you like Japanese and literature so I made a rec list of the top 10 Japanese books I’d recommend to everyone (though it’s entirely based on my own personal taste). One of the books is a manga but we studied it in the university in Japan and it’s worth a read. (+ you also said you like music recs so feel free to check out this Japanese music rec list I made for my other giftee in December!)
♡ 本 ♡
As I Crossed a Bridge of Dreams (aka Sarashina Nikki) by Lady Sarashina
“Night after night I lie awake, listening to the rustle of the bamboo leaves, and a strange sadness fills my heart.”
Born in A.D. 1008 at the height of the Heian period, Lady Sarashina (as she is known) probably wrote most of her work towards the end of her life, long after the events described. Thwarted and saddened by the real world with all its deaths and partings and frustrations, Lady Sarashina protected herself by a barrier of fantasy and so escaped from harsh reality into a rosier more congenial realm. She presents her vision of the world in beautiful prose, the sentences flowing along smoothly so that we feel we are watching a magnificent scroll being slowly unrolled.
Genres: historical, classics, autobiographical
Forbidden Colors by Mishima Yukio
“Beauty is something that burns the hand when you touch it.”
An aging, embittered novelist sets out to avenge himself on the women who have betrayed him. He finds the perfect instrument in Yuichi, a young man whose beauty makes him irresistible to women but who is just discovering his attraction to other men. As Yuichi's mentor presses him into a loveless marriage and a series of equally loveless philanderings, his protégé enters the gay underworld of postwar Japan. In that hidden society of parks and tearooms, prostitutes and aristocratic blackmailers, Yuichi is as defenseless as any of the women he preys on.
Genres: lgbt, fiction
Confessions of a Mask by Mishima Yukio
“True pain can only come gradually. It is exactly like tuberculosis in that the disease has already progressed to a critical stage before the patient becomes aware of its symptoms.”
This autobiographical novel, regarded as Mishima's finest book, is the haunting story of a Japanese boy's development towards homosexuality during and after the Second World War.
Genres: lgbt, fiction, autobiographical
Out by Natsuo Kirino
“You know," she murmured, "we're all heading straight to hell." "Yes," said Masako, giving her a bleak look. "It's like riding downhill with no brakes." "You mean, there's no way to stop?" "No, you stop all right - when you crash.”
A young mother who works a night shift making boxed lunches brutally strangles her deadbeat husband and then seeks the help of her co-workers to dispose of the body and cover up her crime. The ringleader of this cover-up, Masako Katori, emerges as the emotional heart of Out and as one of the shrewdest, most clear-eyed creations in recent fiction. Masako's own search for a way out of the straitjacket of a dead-end life leads her, too, to take drastic action.
Genres: horror, crime, mystery
Coin Locker Babies by Murakami Ryu
“Every one of a hundred thousand cities around the world had its own special sunset and it was worth going there, just once, if only to see the sun go down.”
Abandoned at birth in adjacent train station lockers, two troubled boys spend their youth in an orphanage and with foster parents on a semi-deserted island before finally setting off for the city to find and destroy the women who first rejected them. Both are drawn to an area of freaks and hustlers called Toxitown. One becomes a bisexual rock singer, star of this exotic demimonde, while the other, a pole vaulter, seeks his revenge in the company of his girlfriend, Anemone, a model who has converted her condominium into a tropical swamp for her pet crocodile.
Genres: contemporary, horror
Kitchen (+Moonlight Shadow) by Banana Yoshimoto
“In the uncertain ebb and flow of time and emotions much of one's life history is etched in the senses.”
Mikage, the heroine of Kitchen, is an orphan raised by her grandmother, who has passed away. Grieving, she is taken in by her friend Yoichi and his mother (who was once his father), Eriko. As the three of them form an improvised family that soon weathers its own tragic losses, Yoshimoto spins a lovely, evocative tale that recalls early Marguerite Duras. Kitchen and its companion story, "Moonlight Shadow," are elegant tales whose seeming simplicity is the ruse of a writer whose voice echoes in the mind and the soul.
Genre: contemporary, short stories
Blue Bamboo by Osamu Dazai
“Any connoisseur knows you've got to be drunk to really enjoy a good romance.”
Stories that combine fantasy and romance with Osamu Dazai's own psychological concerns reveal the optimistic, humorous and idealistic side of a writer too often typecast as dark, pessimistic and self-absorbed.
Genre: short stories
To Terra by Takemiya Keiko
“The future. Having driven Terra to the brink of environmental collapse, humanity decides to reform itself by ushering in the age of Superior Domination (S.D.), a system of social control in which children are no longer the offspring of parents but progeny of a universal computer. The new social order, however, results in an unexpected byproduct: the Mu, a mutant race with extrasensory powers who are forced into exile by The System.”
Genre: scifi, manga
Kappa by Akutagawa Ryûnosuke
“A Swiftian satire of Japanese society thinly disguised as the fictitious Kappaland. Peopled with creatures from Japanese folklore, Kappland serves as a vehicle for the humorous examination of the moral foibles of Japanese society in the early 20th century.“
Genre: fantasy, classics, satire
Hell Screen by Akutagawa Ryûnosuke
“Chained inside the carriage is a sinful woman. When we set the carriage afire, her flesh will be roasted, her bones will be charred: she will die an agonizing death. Never again will you have such a perfect model for the screen. Do not fail to watch as her snow-white flesh erupts in flames. See and remember her long black hair dancing in a whirl of sparks!”
One of the towering figures of modern Japanese writing, Akutagawa's early career was distinguished by imaginative, beautifully crafted stories of medieval Japan, rich with period detail. These two stories include his great masterpiece of that period, 'Hell Screen', and the parable of a thread-thin chance of escape for a sinner in the Pool of Blood.
Genre: short stories, horror
+a few more recs from Mishima Yukio and Murakami Ryu because I’ve read them the most:
The Temple of the Golden Pavilion
Patriotism
Popular Hits of the Showa Era
From the Fatherland, with Love
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Trust
sskk + “i don’t trust many people”
“I don’t trust many people.” Akutagawa simply said at first, to which Atsushi reacted by lifting his head to properly look at him. They had been sitting together on the couch for a while, and cuddling had come almost naturally. But, as nice as keeping his face buried in the crook of his boyfriend’s neck was, he preferred to have the oncoming conversation face to face.
“Am I supposed to act surprised now or…?” Maybe that wasn’t the best way to nudge Ryûnosuke to go on, but please: the opportunity had been served on a golden plate.
“Very funny, jinko.” Akutagawa responded by pinching Atsushi on the arm, though he didn’t look down to see if the gesture had been carried out by his own hand or using Rashômon. “Do you have any other smart remarks or can I get to the point?” The tone was somewhat dry, yes, but the slight smirk in his lips gave away how he wasn’t really bothered by Atsushi’s comment.
“By all means, yeah.”
“I want you to never doubt you are now one of those people, alright? And I also want you to not make any other attempt at comedy as an answer.” Atsushi, who had indeed opened his mouth, closed it for a second at being ‘caught’ and simply stared at Akutagawa while beaming as if he had just won the lottery; as if he was receiving new information when it wasn’t the case.
Then, after barely a minute, leaned in to close the small distance between their faces and kissed. First, on the forehead, then over the tip of his nose, and finally on the lips.
(Also on ao3.)
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" La folie ou le suicide, c'était tout ce qui l'attendait. Il marchait, solitaire, dans les rues où tombait la nuit, résolu à attendre le destin qui, lentement, viendrait l'anéantir. "
- Ryûnosuke Akutagawa
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Akutagawa
“Inmóvil, observo cómo se diluye la clara mañana.”
Enfermo, Daigu Ryokan
Como si estuviera siendo observado desde la última hilera de butacas del cinematógrafo, sentado detrás del escritorio, en la semipenumbra de una sala de lectura, un hombre vistiendo un yukata negro, los codos apoyados en el escritorio, se agarra la cabeza con ambas manos mientras sus ojos miran fijamente, o así lo parece, el frasco de pastillas que tiene delante de él, junto a un tintero, una pluma y varias hojas sueltas, superpuestas. A causa de la escasa iluminación que impide leer lo que está escrito en la última hoja de arriba, así como las letras en el frasco y la cara del hombre, solamente su postura inmóvil denuncia que algo lo perturba, o aflige muchísimo. Se supone (esto es lo que da a entender la escena), que de un momento a otro, presumiblemente pensando en abandonar la vida, seguramente adversa, ese hombre acabará tomando todo el contenido del frasco.
Y el hombre del yukata negro, fatalmente, se toma todo el contenido del frasco. En ese momento, en un intento inútil ya por impedir que el hombre haga lo que ya ha hecho, Shinzo se agita… y en eso despierta. Todo ha sido un mal sueño.
Shinzo suda frío. El silencio de la noche apenas es interrumpido por la serena respiración de su esposa, que duerme plácidamente a su lado, y por la propia, agitada. Shinzo se levanta con cuidado y se dirige al jardín con las sandalias en las manos para no despertar a su esposa. Necesita tomar aire fresco. Tal vez allí, en la serenidad del jardín, Shinzo estima que pueda despejar las perturbadoras imágenes del mal sueño.
Pero se equivoca, y el amanecer lo agarra sentado en el banco de paulonia (regalo de su suegro Mori, maestro de carpintería Sashimono, que vive en Yokohama), contemplando el cielo mientras las reminiscencias del mal sueño se resisten a abandonarlo.
Ahora, Shinzo se ha levantado del banco y está parado junto al estanque de piedra, con la esperanza de que los pececillos despierten de una buena vez y salgan de sus guaridas entre las piedras, para que les arroje la primera ración del día. Quizás contemplando el bailoteo de colores que provocan los pececillos al disputarse cada pedacito de ración, logre olvidarse del mal sueño. Pero con desazón, Shinzo comprueba que los pececillos aún duermen en sus guaridas.
Pasos delicados, aproximándose, lo apartan del ensimismamiento que lo tiene preso aún al mal sueño. Es Aiko, su esposa, que acaba de aparecer en el jardín. Viene con el semblante serio, algo muy poco habitual en ella (rarísimo, puede decirse sin incurrir en exageración, dado su carácter jovial).
“¿Será que también ha tenido un mal sueño?”
—¿Qué sucede, querida? —le pregunta, aprensivo.
Su esposa no le responde, solo le alcanza con manos trémulas el ejemplar matutino del Mainichi Shimbun, y se queda parada a su lado, mirando con ojos tristes el suelo. Shinzo, presagiando malas noticias, toma el periódico, lo desdobla muy despacio y lee, en la portada, que Ryûnosuke Akutagawa se ha suicidado en su domicilio, al parecer por una abundante ingesta de Veronal.
Shinzo, como Aiko, también se ha quedado sin habla. Abatido, Shinzo baja los brazos y el periódico, resbalando de la mano que lo sostiene ya sin voluntad, cae junto a los pies.
“Ryûnosuke, Ryûnosuke”, el nombre del escritor retumba en su mente, que se resiste a aceptar lo evidente: su escritor predilecto ya no está presente en este mundo. Su legado y su memoria, nada más que eso quedará para las futuras generaciones.
Inmóvil, Shinzo se queda observando cómo la mañana clara se diluye en el jardín, mientras dos lágrimas brotan de sus ojos aguados y ruedan por las mejillas para caer finalmente en el estanque, provocando pequeñas ondulaciones que bastan para despertar a los pececillos que, apresurados, abandonan sus guaridas y acuden en busca de la primera ración del día.
Akutagawa by Francisco A. Baldarena is licensed under a Creative Commons Reconocimiento-NoComercial-SinObraDerivada 4.0 Internacional License.
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Ryûnosuke Akutagawa (1892 - 1927)
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