#Roman Kalman
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cweam · 9 days ago
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I'm alive again~ Here's a drawing of Roman from Atelier Resleriana.
Enjoy~ @sterkeyra (Your Husband is here!)
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sterkeyra · 9 days ago
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About Roman Kalman
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Say what you will about Roman, he is a dork and all, but he's also a good prince.
He comes up with strategies, listens to vollagers and likes to lend a hand undercover.
Also he gives credit to others, when someone helps him and he also acknowledges his knights work. He may cause her trouble sometimes, by wanting to go on adventures, but I'm happy for Juna. 🎉 You can also tell how much she appreciates him even though she needs to scold him somehow
You know which other knight deserves more attention of his king?
Sterk 😂
Roman adopt him, he's the most loyal guy you could hire as a knight - and you would fulfill a dream of his.
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artverso · 1 year ago
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Kalman Andrasofszky - Dead Romans
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graphicpolicy · 1 year ago
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Preview: Dead Romans #5 (of 6)
Arminius basks in the glow of victory, but he still has not found Honoria, so his armies' cries ring hollow #comics #comicbooks
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mmepastel · 3 years ago
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Alors bon, comment vous le dire sans emphase ?
Ce livre est merveilleux. J’ai pris un plaisir fou à le lire, à attendre le soir pour pouvoir retrouver cette foule de personnages qu’on apprend à connaître intimement, racontés avec un souffle immense, qui embrasse les années, change de siècle même, jusqu’à faire côtoyer les morts et les vivants.
Jón Kalman Stefánsson est un magicien. Il vous happe avec des titres farfelus de chapitres qui sont des paroles prises en vrac ; propos qui semblent n’avoir ni queue ni tête, comme est la vie et sa logique. Tout est important pour lui, dieu (ou l’idée de dieu), les étoiles, un chien, un fjord, un sourire... il raconte tout sans hiérarchie mais en sous-entendant que tout serait lié, façon dominos, qu’une action enchaîne une autre, que tout est conséquences, de choix faits parfois n’importe comment, et que tout le reste est hasard bordélique, initiatives inexplicables, simplement humaines, de gens qui décident de suivre leur cœur ou leur raison, sans que personne ne s’en sorte jamais indemne. Avec des courages tus et silencieux, des frasques bruyantes mal interprétées.
Sa prose nous tient et nous mène par le bout du nez. Inutile de lutter. Le narrateur, amnésique, écrit compulsivement les vies des gens autour de lui, urgemment, comme si se souvenir c’était un peu tromper la mort. C’est drôle, émouvant, ce passage à la loupe des émotions humaines puis justement cette vision macroscopique, comme vue des étoiles, rendent les choses si poignantes et si dérisoires... nos destinées sont peu de choses, et pourtant elles ne sont que ce que nous avons, comme nos souvenirs. Un livre qui nous fait sentir très grand et tout petit.
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gilda14 · 2 years ago
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Une heure supplémentaire
Une heure supplémentaire c'est une heure en moins à ma vie. Mais je n'avais pas vraiment le choix, car d'expérience je pressentais le coup fourré d'un de ceux qui n'ont pas la même attitude selon le grade de l'interlocuteur. Embrouille parée. Au prix d'un morceau non négligeable de ma soirée. J'ai terminé dans le métro la lecture du roman "Ton absence n'est que ténèbres" de Jon Kalman Stefansson. Émue. Un peu triste de n'avoir eu de meilleures conditions que les trajets en transports pour le lire, la plupart du temps. Un peu triste qu'il semble à ce point un plaidoyer pour les droits de l'amour face à ceux bien amoindris des personnes que l'on quitte pour faire place à la nouveauté. Alors je n'ai pu m'empêcher de m'interroger : qui a-t-il donc quitté ? Je reste toutefois sous l'emprise de ses narrations. Fière d'être parvenue à caler ma séance de course à pied prévue, et pourtant intense. Malgré l'heure de soirée avalée par l'emploi et qu'aussi la chaleur exacerbait la pollution de l'air. Ça n'est pas très malin de courir dans ce cas, mais aucun autre moment de la semaine n'était propice et c'est en renonçant un premier jour pour cause de trop de boulot, un autre pour cause de trop de canicule, un autre face à la fatigue ... que l'on perd sa condition physique.
Je m'efforce de répondre à mes messages mais forcément déçoit : je ne fais que bosser et un peu de sport. Il ne me reste plus guère de temps pour les ami·e·s.
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gregor-samsung · 2 years ago
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“ Ci ho pensato a lungo, a tornare. Nella casa di Safamýri, dove sono cresciuto, dove i miei ricordi germogliano come un bosco bizzarro, nero, marrone e verde. Inspiro l’odore, guardo oltre il vetro della porta interna e su per la tromba della scala condominiale, guardo a fianco e leggo i nomi sulla lista stampata con un font molto leggibile, Times New Roman corpo 14, mi sembra. L’impaginazione è precisa, l’interlinea perfetta, ma c’è qualcosa che non va, o meglio: i nomi non c’entrano niente con il condominio. Sono persone che non appartengono a questo posto. La lista dei nomi è fissata con due viti e ci metto parecchio a smontarla, sono addirittura sudato quando le viti finalmente cedono. Esco, scendo nel sottoscala dove tengono i contenitori per i rifiuti, otto gradini bassi, e butto la lista in un bidone. La porta dello scantinato è proprio lì accanto. Giro la maniglia, ottimista, la porta si apre ed entro. Esito un attimo davanti alla nostra cantina, provo ad aprire ma la porta è chiusa a chiave, allora risalgo lentamente la scala. Ho la testa piena di pensieri, poi mi fermo a lungo davanti alla porta dell’appartamento al primo piano a sinistra; dietro quella porta c’è il mio passato. E adesso? Non avevo mai pensato a cosa fare una volta arrivato a questo punto; qual è la cosa giusta da fare? È quella che fanno tutti, o che tutti farebbero nei miei panni? Busso. Aspetto, ma non succede niente. Busso di nuovo. L’eco di un brano musicale dall’appartamento di fronte. Probabilmente una radio. Il tempo si mette d’impegno per cambiare le cose, sembra proprio che non riesca a lasciarle così come sono, però tralascia sempre qualche dettaglio; il listello dello stipite della porta, per esempio. Staccarlo è ancora un gioco da ragazzi come lo era trent’anni fa, non è cambiato niente. Nessun problema a smontare le viti dallo stipite, forzare la serratura con una penna biro, ed ecco che la porta si apre. Sì, la porta del passato si schiude ed entro nel mondo della mia infanzia. “
Jón Kalman Stefánsson, Crepitio di stelle, traduzione dall'islandese di Silvia Cosimini, Iperborea (collana Gli Iperborei n° 330), Milano, 2021³; pp. 127-128.
[1ª Edizione originale: Snarkið í stjörnunum, Bjartur, Reykjavík, 2003]
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julia-kalman · 3 years ago
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Cartea Dragostei și a Bârfei
Cartea Dragostei și a Bârfei
„Proza Juliei Kalman este un pod fantastic, între lumea japoneză și bătrânul continent. European sau japonez, omul modern rămâne prizonier, sub condeiul autorului, în propriul roman de neliniști, de temeri, de căutări, de întrebări și răspunsuri cu privire la freamătul și farmecul trecerii prin această lume.” (Mark Perpits, istoric)
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hoerbahnblog · 4 years ago
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Rezensionen: Gerhard Luhofer spricht über Jón Kalman Stefánssons "Himmel und Hölle"
Rezensionen: Gerhard Luhofer spricht über Jón Kalman Stefánssons “Himmel und Hölle”
  https://literaturradiohoerbahn.com/wp-content/uploads/2020/11/Rezensionen-Luhofer-himmel-und-hoelle-upload.mp3 Rezensionen: Gerhard Luhofer spricht über Jón Kalman Stefánssons “Himmel und Hölle” Stefanssons Roman, der vor ungefähr einem Jahrhundert in Island spielt, widmet sich neben der Darstellung des Lebens in der damaligen Zeit auch der Frage nach dem Sinn des Lebens…. es ist „der Junge“,…
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lalibellulecafelibrairie · 4 years ago
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Asta, Jon Kalman Stefanson, Folio, 8,50€
Reykjavík, début des années 50. Sigvaldi et Helga décident de nommer leur fille Asta, d'après une grande héroïne de littérature islandaise. Un prénom signifiant - à une lettre près - amour et qui, croient-ils, ne peut que porter chance à leur fille... Ce roman lyrique et charnel raconte l'urgence autant que la difficulté d'aimer, malgré notre quête inlassable du bonheur.
(1 Exemplaire)
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hcdahlem · 4 years ago
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Libération en mode "été" reprend ses bonnes habitudes estivales en proposant chaque samedi un premier chapitre d'un roman de la rentrée. Aujourd'hui, il s'agit de "Lumière d'été, puis vient la nuit" de Jón Kalman Stefánsson qui sera à n'en pas douter en tête des ventes en littérature étrangère. Un roman que vous trouverez aussi, avec tous les autres, dans mon Grand guide de la rentrée littéraire 2020 qui est en ligne. #lumieredetepuisvientlanuit #JonKalmanStefansson #editionsgrasset #hcdahlem #roman #litteratureetrangere #RentréeLittéraire2020 #aparaitre https://collectiondelivres.wordpress.com/le-grand-guide-de-la-rentree-2020-2/ https://www.instagram.com/p/CDDia-rHSNc/?igshid=1uqu6oulr1gew
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jarry · 5 years ago
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narrativer Nebel
heillose Textverwirrung
Untertitel «Wohin geht man, wenn es keinen Weg aus der Welt gibt?»
Liebesgefangenschaft
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mmepastel · 3 years ago
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Eh oui, je continue mon plongeon dans l’œuvre de Jón Kalman Stefánsson... et j’ai lu Ásta.
Lecture acrobatique et émouvante. La narration est totalement éclatée, tant sur le plan temporel que des locuteurs. On a clairement du mal à suivre, mais on s’accroche parce qu’à chaque fois on est le souffle court, suffoqué de surprise ou d’émotion. Je me demande s’il n’a pas inventé ici le thriller existentiel, en quelque sorte.
Comme d’habitude, le trivial et le sublime, l’action et le commentaire déboulent en même temps dans la phrase et nous emportent. Parfois, le narrateur, malicieux, nous glisse un « mais on sait si peu de choses » quand un personnage fait une erreur ou que les raisons d’une action apparaissent impossible à expliquer.
N’empêche que c’est drôlement bien ficelé même si le souffle ample de la narration laisse croire au naturel. Depuis le sol, Sigalvid, qui vient de faire une méchante chute, raconte, par bribes, sa vie, ses amours, ses filles, et particulièrement Ásta, au prénom prédestiné à l’amour, qui pourtant eut une vie pleine de tourbillons et de déchirures. On brûle de comprendre ce qui s’est passé pour que ce bébé né d’un amour fou dans la joie et le bonheur soit soumis ensuite à tant d’abandons ou de séparations brutales.
Le passage que j’ai préféré est le récit du séjour d’Ásta dans une ferme paumée parmi les fjords de l’ouest, séjour censé la remettre d’aplomb après des frasques adolescentes. Là, au cœur de la nature dure et âpre, au milieu d’un groupe de bric et de broc, le fermier taiseux, sa mère quasi démente, un jeune homme à l’âme ancienne, Ásta apprend tout. Le pouvoir des mots, le pouvoir du silence, la solitude mais aussi la confiance, le travail, le désir, et, évidemment, l’amour. Cette expérience cruciale fonde son avenir, avec les douleurs en train de se former comme des nuages au-dessus de sa tête (le sort de la nourrice m’a beaucoup émue). Ces quelques mois scellent son destin amoureux, brûlant, intense et douloureux.
Jón Kalman Stefánsson sait raconter une histoire, ou plusieurs en fait, ça c’est sûr. Il s’y entend. C’est cru, âpre, sensuel et bouleversant. Et chaque page est intense.
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revuedepresse30 · 4 years ago
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Voici tout ce qu'il faut savoir sur la rentrée littéraire !
Colson Whitehead © Rebekka Deubner pour Les Inrockuptibles
Découvrez les 40 romans qui vont faire la rentrée littéraire
Parmi les 511 romans qui paraissent entre août et octobre, nombre d’auteur·trices français·es s’imposent comme des voix très contemporaines, posant un regard acéré sur le monde d’aujourd’hui. Avec des découvertes passionnantes.
© “Un peu d'amour” de Lewis Trondheim (L'Association)
Les 10 BD à ne pas rater
sas.cmd.push(function() { sas.render("84812"); });
Du féminisme, de l’émotion, des obsessions, de l’anticipation : comment réussir sa rentrée BD.
15 essais pour changer le monde !
Antiracisme, féminisme, violences policières, stratégie politique à l’usage des forces d'émancipation : ces quinze essais de la rentrée vous donneront du grain à moudre.
© Kay Nietfeld/picture alliance/Getty Images
Quand les écrivain·es font le récit d’une France en crise
Les Gilets jaunes, l'impuissance de la politique… Les écrivain·es attendu·es comme Alice Zeniter, Eric Reinhardt ou Laurent Mauvignier ou les découvertes Fatima Daas, Hadrien Bels et Thomas Flahaut (toutes et tous à retrouver en entretien ci-dessous) s'emparent des phénomènes sociaux. La rentrée 2020 est différente : elle est plus anxieuse et engagée que jamais.
© Louise Desnos pour Les Inrockuptibles
Homosexualité, islam, rap et Duras : Fatima Daas, une autrice à suivre !
A 25 ans, Fatima Daas s’impose comme la révélation de la rentrée avec La Petite Dernière, une autofiction qui pulse comme un rap ou une incantation, où la narratrice oscille entre l’intérieur et l’extérieur, sa famille d’origine algérienne et la France, sa sexualité et l’islam, jusqu’à trouver sa juste place. C’est-à-dire s’autoriser à ne pas choisir.
© Les Éditions de Minuit
Comment Laurent Mauvignier raconte-t-il la France périurbaine d’où il vient ?
Avec Histoires de la nuit, Laurent Mauvignier met en scène un thriller dans la France des Gilets jaunes, et décrit une réalité sociologique avec subtilité et complexité. Du grand art.
© Louise Desnos pour Les Inrockuptibles
Alice Zeniter : “Quelque chose va péter, s’effondrer ou exploser”
En mettant en scène un jeune assistant parlementaire et une hackeuse dans son roman Comme un empire dans un empire, Alice Zeniter interroge différentes facettes de l’engagement politique dans une France en crise.
© Louise Desnos pour Les Inrockuptibles
Eric Reinhardt : “La société française n’a jamais été aussi divisée”
Un jeune journaliste enquête sur la façon dont le gouvernement français a abandonné l’invention d’internet aux Américains. Avec Comédies françaises, Eric Reinhardt signe son roman le plus politique et le plus acerbe sur le pays, la droite, le lobbying.
© Louise Desnos pour Les Inrockuptibles
Dans son premier roman, Hadrien Bels raconte le Marseille popu
Marseillais pur jus, Hadrien Bels signe l'un des premiers romans les plus excitants de la rentrée. Chronique punchlinée de l’embourgeoisement de sa ville, Cinq dans tes yeux sonne comme une ode au Marseille des nineties et aux minots du Panier.
© Louise Desnos pour Les Inrockuptibles
La France ouvrière en crise vue par le romancier Thomas Flahaut
Après Ostwald, un premier roman social et postapocalyptique remarqué, le jeune Thomas Flahaut revient avec Les Nuits d’été, fiction dans laquelle il continue d’ausculter le désarroi de la classe ouvrière française.
A découvrir aussi nos critiques de Yoga, oscillation entre dépression et rédemption d’Emmanuel Carrère, de Chavirer dans lequel Lola Lafon retrace le destin d’une jeune danseuse abusée par des adultes, du vertigineux monologue des Lionnes signé Lucy Ellmann, du recueil d’essais de Jonathan Franzen au titre programmatique Et si on arrêtait de faire semblant ?, des chroniques entre lyrisme et humour noir de l’Islandais Jón Kalman Stefánsson dans Lumière d'été, puis vient la nuit, de la Venise revisitée par Manuele Fior dans Celestia, du Hollywood ségrégationniste que dénoncent Loo Hui Phang et Hugues Micol dans Black-Out et l’édito-plaidoyer de Nelly Kaprièlian pour que les libraires restent ouvertes. Bonne rentrée à toutes et tous !
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meineliteraturwelt · 5 years ago
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Fehlende Liebe, innere Zerissenheit...
Fehlende Liebe, innere Zerissenheit... @piperverlag #JónKalmanStefánsson #Island #NoLove #Life #Àsta #Death #innerturmoil #unsparingly
Hallo liebe Freunde des Lesens,
kommen wir nun zu einem Roman aus einem kleinen Land namens Island. Der Autor Jón Kalman Stefánsson zählt zu den bedeutendsten Schriftsteller dieser Insel. Mit seinem neuen Roman “Ástas Geschichte” zeigt er  das Leben einer Frau, in deren Name Liebe ist, sie es aber nicht ausstrahlt. Erschienen ist das Buch beim Piper Verlag.
Inhalt:
Ásta ist ein Mädchen, das es…
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puchkinalit · 6 years ago
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Asta
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D’Asta, il n’est au fond pas beaucoup question dans ce roman islandais à la narration éclatée, désordonnée. J’ai eu du mal à rentrer dans cette lecture et je n’ai guère éprouvé de hâte ni de plaisir à y retourner. Car l’auteur passe d’une scène à l’autre, d’une époque à l’autre, d’un personnage à l’autre et j’ai eu du mal à raccrocher les wagons de l’histoire. Asta a été abandonnée par sa mère Helga, une femme à moitié folle et par Sigvaldi son père, incapable de faire face au départ de sa femme. Elle est élevée par une nourrice et, à un moment de l’histoire, elle est envoyée à la campagne pour aider à la ferme. Pourquoi ? On ne sait pas trop. Elle y rencontre Josef, son premier amour. Sigvaldi est tombé d’une échelle et il se rappelle sa vie avant de mourir. Josef meurt trop tôt. Asta, à son tour, abandonne sa fille Sesselja qui est élevée par Sigvaldi et Sigrid, sa seconde femme... Il y a certes de belles tranches de littérature dans ce roman mais le parti pris narratif et le manque de consistance du personnage éponyme n’ont pas emporté mon adhésion.
6/10
Asta / Jon Kalman Stefansson.- Grasset.
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