#Rei Cinq
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return of evangelion memes
#neon genesis evangelion#Neon genesis evangelion oc#evangelion#evangelion oc#shinji ikari#asuka langley soryu#rei ayanami#toji suzuhara#kensuke aida#mari llustrious marknami#Rei cinq#Rei Quatre#The return of evangelion
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Reblogging yet again because I have another update. The English version of this book is now also available as an audiobook from Seven Seas Siren! It’s narrated by Tiffany Grant, the original English dub voice of Asuka. Check it out if you like audiobooks!
For my sixty-first Evangelion book review, here is Evangelion ANIMA 1, published by ASCII Media Works. I already explained a bit about Evangelion ANIMA back in my review of Evangelion ANIMA Visual Book, but here’s a quick refresher: It’s a light novel from Ikuto Yamashita (the mecha designer for Evangelion), and it’s an alternate ending to the Evangelion TV series where Instrumentality doesn’t happen, so the characters go through a different adventure with lots of action and fan service. This light novel was published as a series of short installments inside various issues of Dengeki Hobby Magazine, and although a number of the illustrations plus two of the chapters got compiled into Evangelion ANIMA Visual Book, there haven’t been any books dedicated to gathering all of the story’s chapters together… until now. Yes, the Evangelion ANIMA 1 book that I am reviewing today is the first volume in a series that will have all the chapters! Finally!
This book is not available in English or French, but there are some pictures (the first eight pages are in full color, and then the rest of the book’s images are printed in black-and-white). However, please keep in mind that it’s a light novel, not a manga, so the majority of this book consists of pages and pages of Japanese text, and only a few of those pages have illustrations. (EDIT, November 2019: This book is now available in English from Seven Seas Entertainment! Yay! However, some of the illustrations are noticeably darker in the English version, which makes the details harder to see.) Still, the few pics that are provided give an interesting look at how the characters and their Evangelions have changed. For example, Shinji is 17 years old and has a ponytail, and Rei III has a few clones with whom she can mentally connect (including one who has the body of a little girl instead of a teenager!). Here’s the first page of the book, which shows some of the characters:
At the top of the above image, you can see four small portraits. The characters in those portraits are, from left to right: Rei Quatre, Rei Cinq, Rei Six, and Kensuke. And then below that is what appears to be a school photo that includes Toji and Shinji in the upper row, plus Asuka, Rei III (AKA Rei No. Trois), and Hikari in the middle row, and a bunch of unnamed classmates that have their faces partially covered by “Low Priority” labels.
Keep reading for the rest of the book review, plus a few more pictures!
Keep reading
#Evangelion#Shinji Ikari#Asuka Langley Soryu#Toji Suzuhara#Rei Ayanami#Rei Quatre#Rei Cinq#Rei Six#Kensuke Aida#Hikari Horaki#Evangelion Unit 01#Evangelion Unit 02#Evangelion Unit 00#Mass Production Evangelion#Spear of Longinus#book review
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Taguée par @brassic-bitch
j'ai fait de mon mieux hein, la dernière fois que j'ai fait de l'anglais c'était il y a cinq ans !
Trois couples : (très compliqué ça, monstre) alors j'ai envie de dire Monica et Chandler. J'ai découvert Friends pendant le Covid et a chaque visionnage je ne cesse de verser ma larme à la fin de la saison six. L'évolution de leur relation fait croire à l'amour. Et surtout c'est le couple de ma période jeune adulte. Samwell Tarly et Ver, clairement le seul couple sein et normal de "Game of thrones", qu'ils sont mignons et se méritent( et surtout qu'on devrait tous avoir un Samwell Tarly dans nos vies). Et le troisième, mon lit et moi, une grande histoire d'amour.
Premier couple : Leo Wyatt et Piper Halliwell ou bien Clark Kent et Lana Lang. Oui oui la trilogie du samedi. Mais je penche plus pour Piper et Léo.
Dernière musique : ( ptdr je me suis fait une liste spéciale pour écrire, je l'écoute en boucle en trainant sur tumblr, twitter et insta sans écrire !) J'ai envie de te balancer quelques musiques même si je pense que tu dois en connaître certaines. Je tiens à dire que c'est ce que j'écoute actuellement. Puis franchement si tu veux que je te balance ma liste...
Film : alors si on parle du dernier film que j'ai regardé c'était "Coupez" et bordel qu'est-ce que c'était bon ! Vraiment si tu veux un film "wtf" où tu dois poser ton cerveau pour le mater, fonce.
Mais si on parle de mon préféré là ça va devenir plus compliqué...
Actuellement en train de lire : "Dune" et putain c'est long... Vivement que je reprenne les tarés de Westeros hein !
En train de regarder : bah pas en ce moment même mais je suis en train de découvrir "Jane The Virgin". Puis admire la beauté qu'est Gina Rodriguez !
En train de manger : Rien. Mais ce soir c'est moules frites. Pour moi, poissons > viandes.
Actuellement envie de : oula ! Beaucoup de choses ! Du temps pour moi. Foutue vie d'adulte. De l'argent. Gagner en confiance. De la patience et de la motivation pour écrire. Écrire plus rapidement, hein parce que plus de cinq mille mots par chapitre ne font pas s'écrire tous seuls hein ! Puis je suis chiante à vouloir décrire, à faire des personnages torturés... Plein de choses en fait !
Allez hop c'est fini ! Je tag personne parce que personne de watty n'est venu ! Traîtres !
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Rei Quatre, Cinq, and Six
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The Late 12th Century
excerpt in translation from scitation questions for the Borrhatic School of History at Combert's 1977 course 1167-1225 N: The Collapse of the Second Tetrarchy and the Final Decades of the Roman Totality.
1. Ne cal comtað, regnað sou Comt Jerron, se prodoy l'Urgenç noncupað d'an 1170, y donjon devastant absoluð e menant vars y secession de Borgogn (e tandem y dissolution) dell'Empir Constant? [Dijon] 1. In which county, ruled by Count Jerròn, did the 1170 "Emergency" take place, utterly destroying the keep and leading to the secession of Burgundy from (and eventually the dissolution of) the Constant Empire? [Dijon]
2. Cal gendr de parenteç aye Rey Adalmar a Bavarn con sy hereter Empres Catharin a Germany, y regnour final an Germany unið pre may a cinq cent annað? [Proyam] 2. What relation was King Adalmar of Bavarn to his successor Empress Cathrine of Germany, the last ruler of a united Germany for over five hundred years? [Great-uncle]
3. Hambourg sta y preu citað teudesc a se declarar cos solemn com insouject ag regn dell'Emperour, d'an 1207 N. Pu cal citað, un sodal ny Collijon (y Stadbond) smargent pres possent equal com Hambourg meðes, quottau jout for l'un annað aposc? [Dorstad] 3. Hamburg was the first German city to formally declare as not subject to the rule of the Emperor, in 1207 N. But which city, almost as powerful a member of the nascent Collision (the Stadbund) as Hamburg herself, followed suit just one year later? [Dorstad]
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Intempéries, insectes nuisibles, les producteurs de noisettes déplorent 50 % de perte en Lot-et-Garonne
See on Scoop.it - EntomoScience
C'est une année noire pour les producteurs de noisettes. Déjà en difficulté en raison des précipitations excessives de l'hiver dernier, ils doivent en plus composer avec des nuisibles qui ravagent les cultures.
Intempéries, insectes nuisibles, les producteurs de noisettes déplorent 50 % de perte en Lot-et-Garonne
Catherine Bouvet et Thibault Grouhel
Publié le 30/10/2024 à 06h30
"... Le gel, mais aussi les fortes pluies, ont impacté la pollinisation, de décembre à mars. Cette saison catastrophique remet en jeu toutes les perspectives concernant la culture de la noisette, car ici, après les aléas climatiques, le fruit à coque subit les assauts de deux ravageurs.
"On avait notre ravageur historique qui était le balanin, on commençait à savoir le combattre, mais là maintenant, on a en plus la punaise diabolique depuis 2015, et là, c'est vraiment quelque chose de nouveau".
On est désemparé face à ce ravageur !
Martin Rey,
producteur de noisettes en Lot-et-Garonne
Aujourd'hui, le producteur évoque même l'éventualité de l'arrachage, "si on n'a pas de moyen de lutte contre ce ravageur". Car une seule molécule est autorisée pour lutter contre ces nuisibles.
Contrer la punaise diabolique
La punaise dite diabolique est une espèce particulièrement invasive et vorace qui s'attaque à plus de 200 espèces. Elle pique de fruits et légumes et fait des dégâts les rendant incomestibles. Dans un laboratoire, des milliers de spécimens sont élevés et étudiés.
Depuis de nombreuses années, ce laboratoire entomologique de l’Association Nationale des Producteurs de Noisettes (ANPN), est engagé dans la recherche de solutions de bio contrôle contre les principaux ravageurs des vergers. Ses travaux se concentrent sur la recherche de solutions écologiques et respectueuses de l’environnement utilisant des médiateurs chimiques (phéromones et kairomones), des organismes auxiliaires tels que les parasitoïdes ainsi que des plantes auxiliaires. L'idée étant de limiter l'usage de pesticide en utilisant les "armes" des prédateurs.
Dans le cas de la punaise, il s'agit d'éviter qu'elle se reproduise.
Notre objectif, c'est d'éviter que les larves de punaise éclosent, en faisant parasiter ces œufs par des microguêpes qui vont pondre dans les œufs de punaises et éviter que les larves ne se développent.
Maud Thomas
Directrice de l'ANPN
Malheureusement, faute de financements, cette technique ne devrait pas voir le jour avant cinq à dix ans."
(...)
Image : Le rôle du laboratoire est d'éviter que les larves de punaises diaboliques ne se développent. • © France 3 Aquitaine
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Un jour, tu raconteras cette histoire
Joyce Maynard rencontre l'homme de sa vie à l'aube de la soixantaine. Elle a été mariée et a eu trois enfants mais depuis l'âge de trente cinq ans, l'écrivaine n'a pas eu de relation dont elle aura pu se dire : c'est lui, l'homme avec qui je veux vivre et vieillir. Jim est avocat, elle le rencontre sur une appli de rencontre alors qu'elle fréquente quelqu'un. C'est vite le grand amour et ils vont s'installer ensemble, vivre de grand moments et se confier mutuellement. Mais Jim apprend qu'il est atteint d'un cancer du pancréas et le vœu de vivre longtemps ensemble fera long feu. Joyce Maynard raconte les derniers mois de la vie de son homme entre visites incessantes à l'hôpital, essais de nouvelles thérapies, opération à quitte ou double, espoir et résignation. Mais aussi petites joies volées au peu de temps qu'il leur reste, concert de Bob Dylan, virées en voiture ou en moto, voyages à Paris.. Un jour, tu raconteras cette histoire est un récit personnel digne, poignant et sans artifices ou Joyce Maynard ne s'épargne pas (la description de l'échec de l'adoption de deux filles éthiopiennes est douloureux) et n'épargne pas le lecteur. Mais on retrouve le sens du détail et de la narration de l'autrice de L'homme de la montagne ou des Règles d'usage qui, à partir d'un récit intime, nous fait partager une histoire universelle.
8/10
Un jour, tu raconteras cette histoire / Joyce Maynard.- Philippe Rey.
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Quels sont les joueurs les plus titrés de l’histoire du football ?
Qui est le joueur de foot le plus titré de l'histoire ? Dans le monde du football, les titres sont souvent l'une des mesures les plus tangibles du succès d'un joueur. Deux joueurs reviennent le plus souvent pour le titre de joueur le plus titré lorsqu'on fait les sondages : Lionel Messi et Cristiano Ronaldo. Mais les choses ne sont pas si simples. Découvrons ensemble ce classement des joueurs les plus décorés, en passant en revue leurs carrières et les moments marquants qui ont conduit à ces succès. Lionel Messi : 46 titres et joueur le plus titré Lionel Messi est sans aucun doute le joueur le plus titré de l'histoire du football. Avec un total de 46 titres remportés, il surpasse tous ses pairs et s'impose comme la légende vivante du ballon rond. Ce chiffre impressionnant comprend des victoires aussi bien avec le FC Barcelone qu'avec la sélection argentine. Parmi ses succès en club, on retrouve de multiples trophées de La Liga, de la Copa del Rey, et surtout quatre Ligues des Champions (2006, 2009, 2011, 2015). L'impact de Lionel Messi ne s'arrête pas là. Avec l'Argentine, il a mis fin à une longue attente de titres majeurs en remportant la Copa America en 2021, suivie par la consécration ultime : la Coupe du Monde en 2022. Ce dernier triomphe, tant attendu par les fans argentins et les amateurs de football du monde entier, a scellé définitivement son statut de légende. À 36 ans, alors qu’il évolue désormais à l’Inter Miami en MLS, Lionel Messi continue de prouver qu'il a encore des titres à conquérir. Son sens du jeu, sa capacité à changer le cours d’un match et son incroyable constance en font le plus grand joueur de l'histoire pour beaucoup d'observateurs. Lire aussi : Lamine Yamal une nouvelle star au FC Barcelone, Thiago Messi ne reste pas indifférent Dani Alves : 42 trophées et longtemps le plus titré Juste derrière Lionel Messi dans ce classement des plus titrés, on retrouve son ancien coéquipier au FC Barcelone, Dani Alves. Le latéral brésilien a accumulé 42 titres au cours de sa carrière. Il est l’un des rares joueurs à avoir connu autant de succès dans cinq clubs différents : le Séville FC, le FC Barcelone, la Juventus, le Paris Saint-Germain et São Paulo. Dani Alves n'a jamais cessé de briller, que ce soit en club ou avec la sélection brésilienne. Parmi ses nombreux triomphes, on retrouve plusieurs éditions de la Copa America (2007, 2019) ainsi que des Ligues des Champions remportées avec le FC Barcelone (2009, 2011, 2015). Connu pour sa polyvalence et son esprit combatif, Dani Alves a marqué chaque équipe où il est passé par sa capacité à jouer aussi bien en défense qu’au milieu de terrain, et même parfois en attaque. Malgré une carrière riche en rebondissements, il reste une référence en termes de longévité et de constance au plus haut niveau. Andrés Iniesta : 39 titres et une empreinte indélébile Avec 39 trophées à son actif, Andrés Iniesta a laissé une forte empreinte dans le monde du football. Le milieu de terrain espagnol, véritable chef d'orchestre du FC Barcelone et de l'équipe nationale espagnole, a été l’un des principaux artisans de l'âge d’or de ces deux entités. Son jeu élégant, sa vision du terrain et sa capacité à marquer dans les moments décisifs ont fait de lui une légende. Andrés Iniesta a remporté la Coupe du Monde 2010 avec l’Espagne en marquant d’ailleurs le but de la victoire en finale contre les Pays-Bas, un moment resté dans la mémoire de tout fan de football. Il a également été un acteur clé lors des victoires de la Roja à l’Euro 2008 et 2012. Avec le FC Barcelone, Andrés Iniesta a soulevé de nombreux trophées, notamment neuf titres de La Liga et quatre Ligues des Champions. Aujourd'hui au Japon, où il évolue pour le Vissel Kobe, Iniesta continue d'émerveiller les fans de football avec son toucher de balle unique, bien que ses jours au sommet soient derrière lui. Maxwell et Gérard Piqué : 37 titres chacun Maxwell et Gérard Piqué partagent la quatrième place de ce classement avec 37 titres chacun, mais leurs trajectoires sont assez distinctes. Maxwell, défenseur brésilien discret mais efficace, a brillé dans plusieurs clubs européens de renom tels que l’Inter Milan, le FC Barcelone et le Paris Saint-Germain. Polyvalent et toujours au service de l'équipe, Maxwell a été un joueur de club par excellence, accumulant titres et trophées sans jamais faire de vagues. Ses succès incluent des championnats remportés en Italie, en Espagne et en France, ainsi qu'une Ligue des Champions en 2011 avec le Barça. Gérard Piqué, quant à lui, est une véritable icône du FC Barcelone. Ce défenseur central de classe mondiale a été un pilier de la défense catalane pendant plus d'une décennie. Au-delà de ses 37 trophées, qui incluent huit titres de La Liga et trois Ligues des Champions, Gérard Piqué a également remporté la Coupe du Monde 2010 et l'Euro 2012 avec l'Espagne. En dehors du terrain, il est connu pour son intelligence et son engagement dans des projets entrepreneuriaux, mais son amour pour le Barça reste indéfectible. Cristiano Ronaldo : 35 trophées et une carrière toujours en évolution Cristiano Ronaldo, l’une des plus grandes stars du football moderne, occupe la sixième place avec 35 titres. Si son palmarès est impressionnant, il est peu probable qu’il s’enrichisse considérablement en évoluant désormais en Arabie Saoudite, où il a rejoint le club d'Al-Nassr. L'impact de Cristiano Ronaldo dans le monde du football est indéniable. CR7 a marqué l’histoire du sport par ses performances exceptionnelles et sa capacité à s’adapter à différents championnats. Son passage au Real Madrid est sans doute le plus marquant de sa carrière, avec quatre Ligues des Champions remportées et plusieurs Ballons d’Or à la clé. Avec la sélection portugaise, Cristiano Ronaldo a également remporté l'Euro 2016 et la Ligue des Nations en 2019, prouvant qu'il était capable de mener son équipe nationale à la victoire. Aujourd'hui âgé de 39 ans, Ronaldo continue de battre des records, mais il semble peu probable qu'il rattrape Lionel Messi dans ce classement des joueurs les plus titrés. FC Barcelone, le club des légendes Ce classement des joueurs les plus titrés est dominé par d’anciens joueurs du Barca, ce qui témoigne de la domination du club catalan sur la scène mondiale au cours des deux dernières décennies. Lionel Messi, Andrés Iniesta, Gérard Piqué, Dani Alves... tous ont marqué l’histoire du Barça et contribué à faire du club l’un des plus titrés de l’histoire du football. Les succès du FC Barcelone sont le résultat d'une génération dorée, encadrée par des entraîneurs visionnaires comme Pep Guardiola, qui a su tirer le meilleur de ces talents exceptionnels. Ensemble, ces joueurs ont redéfini le football moderne avec leur jeu de possession et leur capacité à dominer les plus grandes équipes du monde. Même si le club traverse aujourd'hui une phase de transition, l'héritage de ces légendes perdure. Voir seulement : Neymar de retour au FC Barcelone ? Des carrières inoubliables et un impact éternel Les joueurs mentionnés dans ce classement ont tous marqué l’histoire du football de manière unique. Leur capacité à remporter des titres, aussi bien en club qu’en sélection nationale, démontre non seulement de leur talent individuel, mais aussi de leur importance dans les équipes où ils ont évolué. Avec Lionel Messi en tête, suivi de près par des légendes comme Dani Alves et Andrés Iniesta, ces joueurs resteront à jamais gravés dans les mémoires des amateurs de football du monde entier. Read the full article
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Cameroun : Perenco lance une campagne de forage de cinq puits au large du pays
Perenco Rio del Rey, l’une des filiales camerounaises de Perenco, a démarré une campagne de forage de développement de cinq puits sur le champ Kita Eden, dans la partie nord du bassin du Rio del Rey, au large du Cameroun. En raison de ses eaux peu profondes, 4 mètres de profondeur, et de forts courants, aucun forage n’a eu lieu dans ce champ depuis 1984. Cependant, Perenco et sa filiale de…
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the return of evangelion in a nutshell (did I spell it right)
No questions please
#neon genesis evangelion#evangelion#nge#neon genesis evangelion oc#evangelion oc#the return of evangelion#shinji ikari#asuka langley soryu#rei ayanami#toji Suzuhara#kensuke aida#Hikari horaki#mari llustrious marknami#kaworu nagisa#rei six#rei cinq#rei Quatre#Little mari#I have no idea
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真白 レイ - Mashiro Rei
17 ans || 28 juillet || Japonaise Mesure 1 mètre 72
Lycée Rakuzan || Co-manager de l'équipe masculine || Mannequin
Née dans une famille aisée six ans après son frère, Ryû, Rei n'a pas eu une enfance ordinaire. Son père étant le directeur d'une grosse agence publicitaire et sa mère étant la rédactrice en chef d'un magazine de style de vie, le « Zunon Boy », ils n'avaient que trop peu de temps à leur consacrer. Le frère et la sœur ont, pour cette raison, passé la majeure partie de leur temps chez leurs grands-parents, jusqu'au décès de leur grand-mère et à l'hospitalisation de leur grand-père.
Après cela, c'est leur oncle, Akihiro, un coach d'une équipe de basket nationale, qui a pris la relève et s'est occupé d'eux. Grâce à lui, Rei a commencé à s'intéresser au basketball car il emmenait toujours ses neveux aux entraînements et aux matchs de son équipe. Il a, en ce faisant, permis à sa nièce de développer un talent d'observation qui continue à lui servir régulièrement.
Au collège, c'est vers Teiko que Rei s'est tournée pour suivre leur équipe que l'on qualifiait déjà de prodigieuse. Elle a assisté à de nombreux matchs et les filmait pour les montrer à son oncle et débattre des améliorations possibles des joueurs sur le terrain. Être dans ce prestigieux collège lui a également permis de faire la rencontre de la Génération Miracle. Son grand-père est décédé pendant sa troisième année là-bas.
Acceptée au lycée Rakuzan pour ses bons résultats et son don concernant le basketball, Rei est devenue la co-manager de l'équipe masculine, rejoignant ainsi Higuchi Shôta sur le banc. Elle a également pu faire la connaissance de Reo, Eikichi, Kotaro et Chihiro, et retrouver l'un de ses cadets de Teiko, Akashi Seijuro, l'année suivante.
La lycéenne déteste les conflits et préfère s'en éloigner, quand il y en a. Mature et réfléchie, elle préfère analyser les situations et réfléchir aux possibilités avant de foncer tête baissée. C'est également une personne relativement calme, qui peut paraître hautaine à première vue car débordante de confiance.
Studieuse et perfectionniste, elle travaille toujours d'arrache-pied pour obtenir ce qu'elle souhaite, tant dans les études que dans le basket, peu importe le temps que ça lui prend. Elle ne souhaite pas être la meilleure et écraser tout le monde, mais elle n'aime pas que son équipe perde pour autant. Proche de ses joueurs, elle sera toujours là pour eux, dans les bons comme dans les mauvais moments.
Sur le bord du terrain, Rei est très observatrice. Elle gardera toujours le silence jusqu'aux pauses, où elle pourra faire part de ses observations aux joueurs. Réactive et vive, elle remarquera aussi les grimaces provoquées par les blessures dans l'instant ou de longue durée.
Rei a un corps svelte en forme de sablier. Ses cheveux sont bleus et coupés en un dégradé qui s'arrête au niveau de ses omoplates, et ses yeux sont rouges. Son physique a d'ailleurs été l'unique raison pour laquelle l'agence de mannequinat où elle travaille s'est précipitée pour la recruter dès le collège.
Quand elle ne revêtit pas son uniforme scolaire, par-dessus lequel elle enfile la veste de Rakuzan lors des entraînements et des matchs de son équipe, elle opte pour des vêtements sobres. Jeans, top, pulls... sa garde-robe est très diversifiée. Elle apprécie particulièrement les couleurs qui se marient bien avec ses yeux et ses cheveux.
Après la défaite de Rakuzan à la Winter Cup, Rei a décidé de revoir sa manière de fonctionner en tant que manager. Elle a complètement revu sa manière de fonctionner, révisant les programmes avec le coach de l'équipe et son alter-égo, afin de cibler les faiblesses de chacun contre Seirin et y remédier.
Une fois diplômée de Rakuzan, Rei a poursuivi sa carrière dans le mannequinat et pose pour les plus grands magazines de mode japonais.
Elle a gardé contact avec Reo, Eikichi, Seijuro et Kotaro. Ils ont d'ailleurs un groupe à cinq sur les réseaux sociaux qui leur permet d'échanger tous ensemble.
Elle s'est liée d'amitié avec Momoi Satsuki ainsi qu'Aomine Daiki à force de les croiser dans les gradins des matchs auxquels elle assistait.
Son amour pour le basketball n'ayant pas diminué avec le temps, elle apprécie sortir pour aller regarder des matchs, qu'ils soient entre des équipes de lycées ou entre des professionnels. Elle suit d'ailleurs toujours les matchs de Rakuzan, curieuse de voir comment les choses changent et évoluent au fil du temps.
La jeune femme est aussi devenue l'ambassadrice d'une marque de luxe et projette de créer sa propre marque de vêtements en collaboration avec une certaine styliste en devenir.
• Recherches :
- Nijimura Shûzo → Des retrouvailles plusieurs années après le collège. Une nouvelle relation pourrait se tisser entre eux, se basant d’abord sur la redécouverte de l’autre, puis sur quelque chose de plus fort. Une possible amourette au collège dont ils pourraient se souvenir autour d’un verre, seul à seul.
- Akashi Seijuro → Le capitaine de son équipe avec qui elle n’a pas de lien particulier. Un changement dans leur vie de tous les jours pourrait bien faire naître une belle amitié entre eux.
- Hayama Kotaro → Une relation amicale assez banale au lycée, qui pourrait bien prendre un tout autre tournant suite à des retrouvailles, quelques années après l’obtention de leur diplôme.
- Mibuchi Reo → Une amitié très précieuse, nourrie par le temps passé ensemble au lycée ainsi qu’en dehors. Toujours là l’un pour l’autre, ils pourraient s’entraider et se soutenir dans des épreuves difficiles.
• Sachez que je la vois surtout dans une relation sérieuse avec Shûzo. Je prioriserai les contextes évoluant autour de l'amitié pour les autres.
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DCMK Résumé OS
Voici le résumé des OS de ce recueil
OS 1 : Shinichi est l'enfant de Gin et Vermouth, il grandit au sein de l'organisation. Lors d'une mission il perd la mémoire. Il est recueilli par les Kudo. L'organisation fera tout pour récupérer leur plus jeune membre et ne reculeront devant rien pour assurer sa sécurité.
lien
OS 2 : Conan est malade, il ne le dit personne. Les choses ne peuvent pas bien se finir pour lui surtout quand son état s'empire.
OS 3 : (Crossover death note) GirlConan. Trois ans après que tout le monde au Japon lui ai tourné le dos, Christie est obligé de retourner dans son pays pour aider son frère adoptif à coincer Kira. Les choses ne seront pas aussi simple car des personnes de son passé vont refaire surface et qu'une certaine personne est sur ses traces.
OS 4 : (Crossover death note) GirlConan. Conan se retrouve à habiter avec les Yagami. Elle découvre le secret de Light et elle aidera à protéger son identité face à L.
OS 5 : Après que Shinichi soit devenu Conan, il prend contact avec Shuichi. L'agent du FBI part pour le Japon et adopte Shinichi. Mais un certain agent de la police secrète découvre la vérité. Que fera-t-il ? Prendra-t-il Shinichi et le garder loin de Shuichi ou au contraire l'aidera-t-il à prendre soin de l'enfant ?
OS 6 : Shinichi est le Boss de l'organisation noir.
OS 7 : Girlconan fait une diversion et des secrets sont révélés.
OS 8 : Shinichi est le frère jumeau de Masumi. Ils ont été séparés à la naissance. Shinichi ne prend pas bien cette nouvelle.
OS 9 : Tout le monde oublie Conan, ils se souviennent de lui trois ans plus tard. Trois ans d'oubli change une personne même si cette dernière a les plus belles attentions du monde.
OS 10 : Shinichi, Rei, Hiro, Mastuda, Date et Hagiwara sont amis d'enfance quand les cinq apprentis policier voient Conan, ils savent que quelque chose ne va pas et ils sont bien décidés à protéger leur petit frère de coeur.
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Rei Mekaru x Female!Reader
Je m'approche de la porte d'entrée, prête à sortir, lorsqu'une voix derrière moi m'interpelle.
Hey, tu pars déjà ?
Il ne me faut que quelques secondes pour reconnaître la voix de l'ultime professeure. Sans même me retourner vers elle, je lance :
Oui. De toute façon, c'est inutile de rester ici à faire ami-ami.
Sans attendre de réplique de la part de Rei, je pose ma main sur la poignée de la porte. La seule chose que j'entends avant de sortir est la voix de Teruya murmurant :
Elle a l'air pire que Mekaru...
Puis, je sors définitivement et me rend au gymnase. Une fois arrivée, je me mets dos au mur dans un coin.
Hmpf, ça ne me sert à rien de rester avec eux. Ils sont tous inutiles.
Juste après cette pensées, un moniteur non loin de moi s'allume et une silhouette apparaît sur l'écran, ordonnant à tout le monde de se rendre au gymnase. Puis, l'écran s'éteint et, cinq minutes après, les autres ultimes débarquent dans le gymnase. Dès qu'ils me voient, ils semblent surpris, à part Mikako. Rei s'avance vers moi.
Hey, comment tu savais que ça allait arriver ?!
Ça ne te regarde pas. Mais si tu veux vraiment savoir, pourquoi ne chercherais-tu pas la réponse par toi-même, miss ultime professeure~ ?
Tsurugi, qui commençait à être agacé par mon comportement, s'approche à son tour.
Je n'aime pas ta façon de te comporter, tu sais !
Ça tombe bien, moi non plus je t'aime pas.
L'officier de police reste bouche-bée devant ma froideur tandis qu'un ours noir et blanc fait son apparition. Cette fois, c'est de l'incompréhension qui apparaît sur le visage de mes camarades, excepté pour Mikako.
Hm... Ils semblent tous surpris, à part Kurokawa... Je la soupçonne d'avoir toujours ses souvenirs...
Après son apparition, l'ours se présente comme étant Monokuma et nous informe que nous sommes dans une tuerie et que nous allons devoir nous entretuer. Après ça, il disparaît, laissant la panique gagner tout le monde. Je soupire.
Non mais sérieusement, vous n'êtes qu'une bande de gosses. Vous croyez sincèrement aux mots de ce jouet en peluche ? Vous devriez avoir honte.
T'apprend qu'on doit s'entretuer et c'est comme ça que tu réagis ?! T'es vraiment encore plus chelou que la binoclarde rousse !
Premièrement, ne me compare pas à l'ultime professeure. Deuxièmement, quand on est aussi inutile qu'une tondeuse en panne, on ferme sa gueule, Kizuna Tomori.
La jeune pom-pom girl se tait, abasourdie, tandis que les autres sont choqués de mes propos. À part Rei, qui affiche un sourire en coin, et Mikako, qui semble se dire que Kizuna l'a mérité. Sur ces mots, je m'apprête à sortir mais me ravise au dernier moment.
Vous voulez vraiment savoir pourquoi ça ne m'affecte pas ?
Les autres restent silencieux. Je m'approche de Yuki et fouille ses poches. J'y trouve un petit boîtier avec un gros bouton rouge au milieu.
Voyons voir, qu'avons-nous là~ ? Tu ne m'en voudra pas si je t'emprunte ça, hm, "Maeda"~ ?
Sans qu'il puisse répondre ou bouger, je m'éloigne et appuie sur le bouton. Aussitôt, un blackout survient, Mikako perd connaissance et "Yuki" n'est plus avec nous.
Qu'est-ce que- ?!
Qu'est-ce qu'il s'est passé ?! Où est passé Maeda ?!
Au lieu de vous inquiéter de ce traitre, vous feriez mieux de vous occuper de miss exorciste, bande d'idiots.
Sur ces mots, je sors de la pièce, suivie par Rei. Sans un mot, je me rend dans l'entrepôt. Soudain, je suis surprise par une secousse et manque de tomber.
Merde, le bâtiment commence déjà à s'effondrer !
Je me retourne. Rei semble aller toujours bien, mais en levant la tête, je vois qu'elle n'ira pas bien longtemps si elle reste plantée là comme un arbre.
Mekaru, bouge !
Hein ?
Voyant qu'elle ne bougerait pas, je me précipite vers elle et l'entraîne en arrière, tombant sur elle au moment où un morceau du plafond se détache et tombe non loin de nous.
... Ça va ?
La professeure me regarde, mi-surprise mi-inquiète.
Tu m'a...
Elle ne termine pas sa phrase. Au lieu de ça, elle murmure :
Pourquoi...?
Quoi ? Tu aurais préféré que je te laisse mourir bêtement ? Désolé mais c'est pas dans mes plans.
Je me relève et lui prend le bras avant de la relever.
Bon, puisque maintenant tu es coincée avec moi, autant que tu me sois utile. Suis-moi.
Elle hoche la tête et je la conduis à l'entrepôt. Une fois arrivée, je m'approche d'une étagère.
Aide-moi à la déplacer.
Elle s'approche à son tour et, à nous deux, nous déplaçons la lourde étagère en veillant à ne rien faire tomber. Puis, je m'approche du trou qu'il y avait dans le mur derrière l'étagère.
Bingo.
Qu'est-ce que- ?!
Je m'avance dans le passage secret et fais signe à Rei de me suivre. Nous descendons toutes les deux l'escalier jusqu'à arriver dans une sorte de prison. Derrière les barreaux, nous voyons un jeune garçon aux cheveux bleu foncé avec une casquette sur laquelle se trouve le symbole de la Fondation Kisaragi.
Le voilà. Yamato Kisaragi, l'ultime inventeur.
Comment... tu sais tout ça ?!
À toi de le découvrir, très chère~
Sur ces mots, je donne un grand coup dans le cadenas fermant la porte, le brisant. Puis, j'ouvre la porte et m'approche de l'inventeur avant de le libérer de ses chaînes. Une fois qu'il est libre, je lui colle une pichenette pour le faire reprendre ses esprits. Lorsqu'il nous voit, sa réaction est immédiate.
(T/N) ? Mekaru ?
Hein ? Il nous connait ?
Bien sûr, il est dans notre classe. C'est bien ce que je pensais, lui et Kurokawa n'ont pas eu la mémoire effacée.
Mémoire effacée...?
Tout sera expliqué plus tard. Pour l'heure, on doit déguerpir avant de finir sous l'eau.
(T/N) a raison, Mekaru. Les explications attendront.
... D'accord...
Sur ces mots, nous remontons tous les trois puis courons vers la sortie. Après une bonne vingtaine de minutes, nous parvenons enfin à sortir à l'air libre. Les autres sont déjà là, devant un hélicoptère qui n'attend que nous.
Nous voilà !
Ah, Mekaru et (T/N) sont là ! Avec, euh...
Les autres regardent Yamato, à part Mikako qui lui saute dans les bras.
Yamato-ni !
Haha, doucement, Mikako !
Aaaww~ C'est si adorable.
Huh ? Qui est-ce ? Tu le connais, (T/N) ?
On connaît tous Yamato Kisaragi. Mais avec l'effacement de votre mémoire, vous ne vous en rappelez pas.
De quoi tu parle ?
Montons dans l'hélicoptère, je vous expliquerais tout.
D'accord !
Sur ces mots, nous montons donc tous dans l'hélico. Puis, Yamato le démarre et le met sur pilote automatique avant de s'assoir parmi nous. Il commence alors à nous raconter toute la vérité, aidé par Mikako et moi. À la fin de son récit, certaines questions subsistent, mais personne n'ose dire quoi que ce soit jusqu'à ce que Rei pose la question que tout le monde se pose.
Mais du coup, comment ça se fait que (T/N) n'ait pas eu la mémoire effacée alors que tu n'a pas utilisé ta machine sur elle ?
Je l'ignore. Pourquoi ne pas demander à l'intéressée elle-même ?
Le regard de la professeure se pose donc sur moi. Je lui fais un sourire en coin.
Tu vois, tu a fini par deviner toute seule~ Enfin, pour répondre à ta question... J'imagine que Taira et Utsuro ont fait un très mauvais job pendant qu'ils utilisé leur machine sur nous. En tout cas, quand je me suis réveillée, je me suis immédiatement demandé où vous étiez, et quand je vous ai rejoint, j'ai cherché Kisaragi du regard. Il me semble d'ailleurs que Kurokawa l'avait remarqué.
Et comment tu savais pour le passage secret ?
Je ne le savais pas. En vous cherchant après mon réveil, je suis entrée dans l'entrepôt par hasard et j'ai eu une sorte de pressentiment. Quand j'ai vu que Yamato était absent, j'ai légèrement compris quel était ce pressentiment, puis quand le blackout a eu lieu, j'ai voulu confirmer mes pensées. Et on dirait que j'ai bien fait.
Et tu avais vraiment besoin de l'aide de Mekaru ?
Hm... Au départ, je pensais que je n'aurais pas besoin d'aide, donc je suis partie seule, mais j'ai senti que Mekaru me suivait. Après, elle a failli finir sous un rocher et je l'ai sauvée, et comme nous n'avions aucun moyen de retourner vers vous, j'ai décidé de l'embarquer avec moi. Quand j'ai regardé l'étagère, j'ai très vite compris que je n'arriverais pas à la bouger seule.
Je vois...
Eh bien, qui aurait cru qu'une fille avec autant de caractère pourrait être une héroïne ?
Du caractère ? Kobashikawa, tu dois te tromper.
Nan nan, Kobashikawa a raison. (T/N) était totalement désagréable avec nous ! Si t'avais entendu c'qu'elle a balancé dans la tronche de Tomori !
Je dis ça, je dis rien, mais elle le méritait.
Sérieux ?
Mekaru aussi était désagréable.
Ça a sûrement un rapport avec l'effacement de notre mémoire, non ?
Hm... Il semblerait que le fait d'effacer votre mémoire a également changé votre comportement... En revanche, pourquoi (T/N) agissait comme ça alors qu'elle n'a pas eu la mémoire effacée ?
... C'était juste de la comédie. À part pour ce que j'ai dit à Tomori et quand je vous ai ordonné de vous occuper de Kurokawa, tout n'était rien d'autre qu'un rôle que je jouais. J'ai fais ça pour éviter de trop en révéler avant le blackout, et pour ne pas paraître suspecte.
Je soupire.
C'était peut-être une mauvaise idée... Au final, vous avez fini par être plus suspicieux à cause de mon comportement...
Non, on est désolé. On aurait pas dû agir ainsi envers toi. Au final, c'est un peu toi qui nous a tous sauvés, alors merci.
K-Kinjo...
Ouais, Kinjo a raison ! À partir de maintenant, tu sera la tête pensante du groupe !
... Merci.
Je détourne le regard, un peu gênée.
Sinon... Que va-t-on faire, maintenant ?
La question de Kinji laisse passer un très long silence avant que Yamato ne finisse par parler.
Aucune idée. Avec vos familles dans le désespoir, ça va être compliqué...
Eh bien, pourquoi on ne créerait pas une Fondation qui aurait pour but de les retrouver et les capturer ?
En voilà une bonne idée, (T/N) !
Je confirme ! Faisons ça !
Tout le monde ayant retrouvé la bonne humeur, le trajet se termine sans encombres.
Quelques jours plus tard
Je sors de la Fondation en compagnie de Rei. La jeune fille et moi nous sommes beaucoup rapproché depuis notre retour en ville. Aujourd'hui, nous avons décidé d'aller voir les ruines de l'ancienne Hope's Peak.
Ils n'y sont pas allé de main morte...
Elle s'approche des ruines et pose sa main sur un des murs détruit. Je la regarde en silence en la détaillant de la tête aux pieds. Seulement quelques jours étaient passés depuis qu'on était revenus, mais l'ancienne professeure avait déjà commencé à changer physiquement. Elle avait coupé ses longs cheveux roux et avait changé de lunettes, et elle avait également gagné quelques centimètres. Elle avait aussi adopté un style vestimentaire plus formel, là où d'autres ne s'étaient même pas donné cette peine. Aussi, le badge de la Fondation Kisaragi était visible sur le côté gauche du haut de son corps. De mon côté, je n'avais pas vraiment grandi, mais mes cheveux (C/C) avaient légèrement poussé et j'avais également adopté une tenue un peu plus professionnelle. Quant à mon badge, je le portais autour du cou grâce à une chaîne en argent.
Je sors de ma rêverie après que Rei se soit tournée vers moi.
Tout va bien, (T/P) ?
Hein ? Ah, euh, oui, t'en fais pas !
Tu es sûre ? Tu me fixe depuis tout à l'heure.
Je sens mes joues virer au rouge. J'hésite un moment avant de dire timidement :
H-Hum... R-Rei ? J-J'ai... q-quelque chose à te dire...
Je t'écoute.
Elle me regarde fixement, légèrement surprise. Il faut dire qu'habituellement elle est la dernière personne à qui je parle si j'ai des problèmes.
H-Hum...
Qu'y a-t-il ? Tu a besoin de quelque chose ?
J'hésite encore un peu, avant de dire dans un souffle :
Je t'aime.
Un long silence se fait. Puis, l'ancienne professeure s'approche de moi. Je la sens prendre mon menton entre deux de ses doigts, puis elle pose ses lèvres sur les miennes. En la regardant, je vois qu'elle est légèrement rouge. Je ferme les yeux et répond au baiser. Elle s'éloigne quelques minutes après, un léger sourire sur les lèvres.
Moi aussi.
Je souris à mon tour, heureuse que mes sentiments soient réciproques. Nous étions dans notre petit monde, si bien que ni elle ni moi n'avions remarqué que nous étions toujours devant les ruines de l'ancienne académie.
Comme quoi, même les endroits les moins romantiques peuvent le devenir, il suffit juste d'un peu d'imagination.
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Au Lotus Pourpre - Acte 1
Au dehors, le soleil achevait sa course vers l’horizon, tandis que quelques nuages paresseux rejoignaient les étoiles naissantes. L’air était encore chaud pour ce début d’automne et l’on pouvait entendre en contre-bas le rire d’enfants qui s’amusaient dans les ruelles avoisinantes : le Quartier des Plaisirs était calme. Cependant, elle préférait ne pas s’y appesantir… En effet, dans quelques instants, la discrète pendule du petit salon ferait retentir les dix coups qui ne manquaient jamais de marquer le début de son service. Cela ne l’empêcha pas pour autant de savourer ces dernières minutes de répit passées à l’observation de deux novices qui s’afféraient aux dernières préparations de la cour intérieure, leurs innombrables tresses sautant à chacun de leurs pas et leurs robes blanches où se reflétaient les derniers éclats de jour. Sur la coursive, une de leurs aînées directes, à la taille enserrée de soie jaune, les apostropha, les sommant de se hâter vers la grande salle pour accueillir leurs hôtes. Un bref coup d’œil vers les aiguilles : plus que cinq minutes… Mieux valait descendre également, ou bien Dame Rey trouverait une excuse pour lui imposer des « entrevues » supplémentaires.
La jeune femme soupira, avant de se résigner à quitter le large fauteuil de rotin aux couvertures pourtant si confortables. Elle débarrassa la coupelle de biscuits empruntée aux cuisines, réarrangea deux ou trois ouvrages dont elle avait entamé la lecture, et se dirigea finalement vers l’imposant miroir trônant au-dessus de la coiffeuse dont était impérativement équipé chaque appartement. Enfin, au moins n’était-elle plus à présent contrainte de le partager avec une dizaine d’autres lorsqu’elle dormait encore en dortoirs avec les novices : c’était là le luxe octroyé à celles qui étaient parvenues à survivre en ces murs. Derrière le large disque de verre poli, son reflet l’observa :
Une peau d’ivoire,
à l’image de ses cheveux en fil de lune,
laissés lâche à l’exception d’une fine natte,
réhaussée d’un ruban améthyste,
et pour finir…
Deux yeux à la couleur de sang.
Elle soupira. Décidément, une trentaine d’années plus tard, elle ne parvenait toujours pas à s’y faire. Pourtant, il fallait croire que son apparence « exotique », comme l’avait un jour décrite un des clients, avait su trouver sa place parmi les fantasmes des hommes de la capitale, parfois même des villes alentours. Oh, mais n’allez donc pas mal interpréter cette humeur passagère : en aucun cas ne se plaignait-elle de sa condition ! Après tout, « Le Lotus Pourpre » était l’établissement le plus prestigieux du Quartier des Plaisirs ; un haut lieu où tout le gratin de la cité reine se pressait, ne serait-ce que dans l’espoir d’en apercevoir les bourgeons ! Magistrats, banquiers, avocats, ministres, commerçants de renom voire membres de la famille impériale en personne : nul ne savait résister aux charmes des fleurs qui s’épanouissaient au cœur de la pagode au toit d’or. Serait-elle née dans l’une de ces maisons closes de la périphérie, où même les badauds se refusaient à mettre les pieds, elle n'aurait pas eu cette chance. Ici, elle était considérée comme une exquise rareté.
Traitée comme une pièce de choix…
Elle n’avait pas eu à subir autant d’années de service pour hériter de la même couleur que certaines de ses consœurs. Le violet, que l’on retrouvait sous toutes ses déclinaisons, s’accompagnait de ses privilèges : moins de « tendresses » et plus de « bavardages ». Son physique avait eu la décence de lui épargner davantage de temps dans la couche de ces Messieurs du Grand Monde. Cela ne l’empêchait pas de se laisser aller à quelques « gâteries » (également connue sous le nom de « bonne décharge » selon ses propres mots), mais c’est juste que… Enfin, tout se ressemblait à présent : elle avait déjà vu toutes les bizarreries, entendu toutes les requêtes salaces, toucher toutes les surfaces que pouvait offrir le corps humain, gouter t-… Bref, quand l’on était une dame de compagnie (« une pute de luxe »), il devenait de plus en plus difficile de se faire surprendre. Tout simplement. Avec un peu de chance, le programme de ce soir se limiterait à tenir une discussion sur le cours du sel avec tel marchand fortuné, pourquoi pas jouer quelques parties de Win’t avec Sir Pele, invétéré de la boisson, mais surtout amateur des novices en blanc… Et, qui sait, peut-être même pourrait-elle espérer se coucher avant l’aube !
Une dernière vérification des lieux, si l’un des invités de marque venait malgré tout à exiger, pardon, « désirer », une soirée « dans son intimité », un mauvais pli chassé du revers de la main, et elle s’engouffrait dans le long corridor feutré en direction du rez-de-chaussée. Après l’escalier de bois sculpté, qui donnait sur une vaste entrée, telle une actrice jetée sous le feu de la scène, son visage s’étira en un fin sourire, à la fois charmeur et élégant, son échine se cambra légèrement, et son regard se mit à survoler chacune des têtes qu’elle croisait. Elle saluait respectueusement l’un, esquivait poliment l’autre, quand soudain :
« Ligi ! Viens ici je te pris ! »
Dame Rey était une nouvelle fois d’excellente humeur : la soirée s’annonçait plaisante. Aux côtés de la veille matriarche, la silhouette élancée d’un homme à l’ample toge noire… Un haut gradé. Ainsi donc s’éteignaient ses espoirs d’une nuit tranquille.
« Ah ! Te voilà, te voilà… » La figure au chignon tiré jusqu’à la racine ébaucha ce qui aurait pu s’apparenter à de la satisfaction. Impressionnant. « Seigneur Yuei, voici la jeune femme dont nous parlions à l’instant. Je vous présente Ligi, la plus jeune de nos fleurs pourpres !
- C’est un honneur de vous rencontrer, Seigneur Yuei. »
En relevant la tête, elle put prendre le temps d’observer un peu mieux son interlocuteur. Il s’agissait d’un homme de grande taille, qui dépassait aisément d’une tête la plupart des autres clients. Pour autant, il n’avait rien de ces ogres de chaire, aussi haut que large, bien au contraire… Sous ses habits de coton brodés, se devinait une musculature sèche.
Il se tient droit, mais pas de manière rigide.
Pas de cicatrices non plus…
Un noble plutôt qu’un général donc.
Parfait… Vraiment, parfait.
Si sa vie de prostituée lui avait bien enseigné quelque chose, c’était qu’il y avait deux catégories de nobles : ceux qui débordaient à la simple perspective de vous tenir la main, et ceux qui pouvaient vous écorcher vivante juste pour leur propre plaisir. Bien entendu, tous payaient grassement l’expérience qui leur était offerte, mais dans le second cas…
« Le plaisir est mien, Madame. » Répondit l’intéressé avant de s’incliner à son tour, bien que de manière plus réservée.
Le dénommé « Yuei » ne s’était pas lancé dans une tirade lyrique, n’avait pas osé le baise-main ou tenté de se rapprocher davantage : c’était un bon signe. Néanmoins, Ligi ne put s’empêcher de remarquer que l’homme ne soutenait que très peu le regard. Par ailleurs, il lui était presque impossible de donner un âge à ces traits où, si l’on pouvait bien apercevoir deux ou trois rides au coin des yeux, pourraient presque passer pour ceux d’un jouvenceau. De hautes pommettes, un monocle d’argent, des cheveux tenus en une queue de cheval haute, ainsi qu’une longue et fine barbe, sertie d’une bague frappée de l’emblème de la lune venaient parachever le portrait.
Probablement un symbole familial.
À tous les coups, il s’agit du benjamin d’une famille
quelconque qui a dû rentrer
dans l’ordre des Archivistes pour se faire un nom…
« Le Seigneur Yuei est l’ainé de la prestigieuse famille éponyme ! » Reprit Dame Rey. « Celle-là même qui assiste l’Empereur et le Conseil !
- Vraiment ? Quelle fonction admirable ! » Feindre la surprise. « Et dites-moi, qu’elles sont donc vos missions au Palais ?
- Oh, hum, lé-légiste ! » Bredouilla l’homme en réajustant le verre à son œil droit.
Bon : une bonne réponse sur deux…
Cela aurait pu être pire.
« J-je m’occupe de rédiger les décrets et toutes sortes de, hum, textes pour la Cour… Ce genre de choses, vous voyez ? » Poursuivit-il. « C-ce n’est pas vraiment ce que l’on peut qualifier de prestigieux – haha… ! »
Et définitivement de première catégorie.
« Enfin, ne vous rabaissez donc pas ainsi ! » Minauda la matriarche. « Mais nous parlons, nous parlons, et vous n’avez pas encore profité de votre soirée chez nous, mon Seigneur – Ligi ! »
Son nom lui fit l’effet d’une décharge électrique. En un battement de cil, elle retrouvait son attitude de séductrice galante. Fait étonnant, l’homme qui se débattait encore sous les regards qu’on lui adressait quelques minutes auparavant, parut lui aussi retrouver de l’aplomb, si ce n’est… de la détermination.
« Oui, Dame Rey ?
- Le Seigneur Yuei a spécifiquement demander à te voir ce soir. » Elle baissa d’un ton. « Et il a été en outre extrêmement généreux avec Le Lotus en exprimant sa requête… » Plus bas. « Tu comprends, n’est-ce pas ?
- Parfaitement, Madame.
- Bien, très bien ! » S’exclama la veille femme, se détournant pour rejoindre le reste des invités. « Je vous laisse donc entre les bons soins de notre Ligi, Seigneur Yuei : au plaisir de vous revoir dans notre humble établissement ! »
L’autre ne répondit pas, se contentant d’un bref hochement de tête… Avant de fixer la jeune femme d’un regard froid. Terrifiant. Voyant qu’aucun mouvement n’était initié de son côté, Ligi tenta de désamorcer la situation :
« Vous travaillez donc comme légiste… ? Cela doit être un travail éreintant mais très enrichissant : avez-vous des lectures que vous recom- ?
- Si cela ne vous dérange pas… » Coupa l’homme de Lettres. « Je préfèrerai que nous allions dans un endroit plus… tranquille.
- Hum, oui, bien sûr, Seigneur Yuei… Mes appartements vous conv- ?
- Cela conviendra, je vous remercie. »
Pendant qu’il se dirigeaient vers l’étage, Ligi se sentait de plus en plus méfiante à l’égard de son hôte. Ce-dernier gardait ses mains croisées dans le dos, les épaules tendues, et les yeux rivés au-devant de ses pas sans pour autant voir. Bien heureusement, les quelques âmes qu’ils avaient pu croiser s’étaient presque jetées contre les murs à leur passage ; sa présence si forte qu’elle aurait pu lui ouvrir une voie royale qu’importe où il allait. Elle était certaine qu’avec cette aura, l’homme pourrait même circuler librement en plein marché aux chevaux d’Izinor !
Yuei… Le Conseil… Yuei…
Inlassablement, la jeune femme tentait de se souvenir de la moindre information, du plus petit ragot qu’elle aurait pu entendre au sujet de cette famille et de la raison pour laquelle tous ici semblait tant vouloir éviter de la froisser. Avant que l’ombre d’une idée n’ait pu émerger, la porte de sa chambre se refermait.
« La clef.
- Pardonnez-moi ?
- La clef… » Répéta-t-il. Son dos était tourné, il observait la pièce. « Pourriez-vous la tourner, s’il-vous-plait ? Je préfèrerai que nous ne soyons pas… dérangés.
-C-comme il vous plaira, Seigneur Yuei. »
Sans trop se défaire de sa posture, Ligi entreprit d’agiter la clef dans la serrure : un cliquetis métallique se fit entendre… Sans pour autant condamner la sortie. L’homme ne sembla pas remarquer le subterfuge.
Deuxième catégorie…
Merde.
« Je vous en prie, prenez-place ! » Elle l’invita d’un geste, avec le plus d’entrain qu’elle pouvait manifester. « Puis-je vous proposer du thé ? Nous faisons importer les meilleures compositions directement depuis…
- Plus tard, peut-être. Merci. » S’empressa-t-il d’ajouter. « Puis-je vous demander de… vous assoir ?
- Et… » Inspiration. « Où souhaitez-vous que je m’assoie, Seigneur Yuei… ? »
C’est alors que l’improbable se produisit. Un enchaînement que même toutes ces années, pourtant passées avec les êtres les plus délirants, débridés et dépravés que ce monde ait pu connaître, n’auraient pu prédire…
« Eh bien… Ici ? » De longs doigts désignèrent un coussin rembourré de plumes. Sourire maladroit. « Il est toujours plus pratique d’être face à face pour discuter, ne trouvez-vous pas ? »
La plaisanterie, si cela en était bien une, sembla amuser l’homme, dont la barbichette fut secouée par un discret rire. Sans même lancer un deuxième regard à la courtisane, qui avait fini par se placer devant lui, toujours aussi perplexe, il écarta un pan de sa tunique… Pour y récupérer une plume portative accompagnée d’un morceau de parchemin soigneusement plié.
C’est là qu’elle la vit. Un éclat doré contre le noir du tissu précieux.
La boussole d’Esméride !
Et tout lui revint enfin…
Le Ministère -
Aussi jeune ? - Le dernier avait au moins 50 ans !
- père, un Amiral…
Les affaires étrangères, hum ?
Grand - Lunatique : un hommage à son nom, hé !
Marié - grande réception - on dit avec l’héritière d’un Maréchal
Riche ! - Attention…
De nombreux contacts - Premier Secrétaire !
Attention.
Puissant et prometteur…
Attention !
« Si je suis venu vous voir ce soir, Madame… » Deux iris d’ébène la transpercèrent. « … c’est au sujet de mon épouse.
- Votre… ? »
Soudain, l’homme se jeta à ses genoux, prit ses mains dans les siennes, et, d’une voix presque étranglée, lui lança :
« Je vous en supplie, Madame : vous devez m’aider ! Aidez-moi à… ! » Tremblement. « Aidez-moi à me faire aimer par mon épouse ! »
~ Fin de l’Acte 1
______o.).O.(.o______
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AUD REY : l'artiste dévoile le titre « Le temps qui passe »
AUD REY : l’artiste dévoile le titre « Le temps qui passe »
La chanteuse belge, AUD REY est de retour avec un EP cinq titres prévu le 11 février 2022. Elle nous dévoile déjà un 2e single, « Le temps qui passe ». C’est un titre que l’on découvre avec une jolie vidéo lyrics disponible sur YouTube. Le site Ma Musique Communautaire vous en dit plus sur cette nouveauté musicale. (more…)
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