#Puceron

[spotjardin]

Le cyprès

Un cyprès cultivé en isolé

présentation

Le cyprès est un arbre qui se développe verticalement. Vous pouvez l'utiliser en haie, en bordure d'une allée, par groupe de 2 ou 3 sujets ou bien encore en isolé. Il s'appelle également Cyprès commun ou bien Cupressus qui est son nom scientifique. Il fait partie de la famille des Cupressacées et compte 20 espèces environ. Sa culture est facile et son entretient est modéré. Son besoin en eau est faible. Il s'agit d'un arbre très rustique puisqu'il peut supporter des températures hivernales (suivant l'espèce cultivée) pouvant atteindre -15/-20°. Sa hauteur peut atteindre 4 à 12 mètres pour les plus petits sujets et de 15 à 45 mètres pour les plus grands. Le choix est assez large (suivant l'usage que vous souhaitez en faire). Renseignez-vous auprès de votre jardinerie ou de votre pépinière habituelle. Attention, le pollen peut être allergisant pour certaines personnes

culture

Étant donné sa bonne rusticité, le cyprès peut être cultivé dans beaucoup de régions françaises. Mais il préfère vivre plutôt dans les région méridionale pour profiter de la chaleur. A noter que si vous habitez une région fraiche et humide (climat océanique), préférez le cyprès de Lambert. Choisissez-lui un emplacement de préférence ensoleillé sur un sol calcaire, riche, frais et profond. Il peut s'adapter si votre sol est pauvre mais il se développera moins rapidement. La plupart du temps, il est vendu en conteneur. La période idéale pour le planter est le début de la saison automnale (après les grosses chaleurs de la saison estivale). Mais vous pouvez également le planter à la saison printanière hors périodes de gel et de grosses chaleurs. Incorporez du compost à la terre extraite que vous devez utiliser pour le rebouchage du trou. Prévoyez un tuteur très solide (ce sera fonction de sa taille adulte). Tassez bien la terre au pied de l'arbre et arrosez-le copieusement. En ce qui concerne une haie, je vous conseille d'espacer chaque sujet de 2 mètres minimum. Si vous avez décidé de le cultiver par groupe de deux ou trois ou bien en isolé, il faut prévoir 4 mètres par rapport aux autres cultures (arbres, arbustes, plantes à fleurs.. Etc..)

entretien

Le cyprès ne vous demande pas un entretien particulier, si ce n'est une taille de temps en temps pendant les premières années afin de lui donner la forme que vous souhaitez. Mais cette dernière n'est pas obligatoire. Pendant les premières saison estivales, arrosez-le afin d'assurer un bon enracinement. Attention, si vous avez un sol lourd et argileux, les arrosages doivent être moins nombreux afin d'éviter la pourriture du système racinaire. N'arrosez jamais le feuillage car cela risque de vous amener certaines maladies cryptogamiques. Je vous conseille de le pailler, afin de lui garder un peu de fraicheur à son pied, surtout pendant les périodes chaudes de la saison estivale. En plus, cela limite le développement des végétaux sauvages qui se développent spontanément et les apports d'eau seront moins nombreux. Pendant les 2 ou 3 premières années, vous pouvez faire un apport de compost à la saison printanière. En ce qui concerne sa taille, elle n'est pas obligatoire comme déjà précisé ci-dessus. Toutefois, les sujets cultivés en haie ou en isolé peuvent être taillés par soucis d'esthétique. Mais là aussi, cette opération n'est pas obligatoire si vous préférez laisser faire la nature. Par la suite, laissez-le vivre sa vie. Les soins ne sont plus nécessaires.

parasites & maladies

En règle générale, le cyprès est très résistant au parasites et aux maladies. Toutefois, il peut être attaqué par le chancre cortical du cyprès, qui est capable de décimer toute une haie. Malheureusement il n'existe pas de traitement pour enrayer cette maladie. Si vous vous apercevez très tôt que cette dernière fait son apparition, supprimez les rameaux atteints (ils brunissent et meurent) et brulez-les impérativement. Le cyprès peut également être colonisé par les pucerons et les cochenilles.

multiplication

La méthode où vous avez le plus de chance de multiplier le cyprès est le semis. Mais attention, s'il ne s'agit pas d'une espèce type cela peut être aléatoire pour obtenir des sujets identiques à l'original. Tout d'abord, faites tremper les graines pendant 48 heures dans de l'eau froide. Effectuez cette opération à la saison printanière, dans des caissettes que vous devez installer sous châssis froid. Maintenez le substrat légèrement humide jusqu'à la germination. Quand les plantules atteignent 5 à 10 centimètres de hauteur minimum, repiquez-les individuellement dans des godets remplis d'un mélange de terreau et de sable. Patientez jusqu'au début de la saison automnale pour mettre en place directement en pleine terre vos jeunes cyprès. Vous pouvez également multiplier le cyprès par bouturage à la fin de la fin de la saison estivale (août/septembre). Pour cela, prélevez des extrémités de tiges semi-ligneuses que vous devez piquer dans des caissettes remplies d'un mélange de terreau et de sable. Installez-les sous châssis froid en maintenant le substrat légèrement humide jusqu'à un bon enracinement. A la saison printanière de l'année suivante, repiquez vos boutures individuellement dans des godets remplis du même mélange que ci-dessus. Patientez jusqu'à la saison automnale pour mettre en place tout ce petit monde directement en pleine terre. A noter que cette méthode de multiplication a un taux de réussite inférieur au semis. Et pour terminer, vous pouvez aussi multiplier cet arbre par greffe mais cette opération est réservé aux professionnels.

association

En isolé, le cyprès peut s'associer avec de l'agapanthe, du romarin et de la lavande. En isolé, le cyprès peut s'associer avec de l'agapanthe, du romarin et de la lavande. https://spotjardin.fr/2019/02/26/lagapanthe/ https://spotjardin.fr/2022/04/19/la-culture-du-romarin/ https://spotjardin.fr/2022/04/16/la-lavande/ Et pour terminer, je vous propose cette vidéo de la chaine YouTube HerbaGaïa https://youtu.be/_7HE88Y0GWk Abonnement au site Inscription sur le site : Vous devez vous inscrire sur le site pour recevoir une alerte par mail à chaque nouvel article mis en ligne. Abonnement à la lettre mensuelle D’autre part, vous pouvez également vous abonner à la lettre mensuelle du site. Si vous avez aimé cet article n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux en utilisant les boutons ci-dessous. Read the full article

[tisane-et-jardin]

Purin de fougère

Usages du purin de fougère Le purin de fougère est utilisé comme répulsif contre#ref:65##ref:250#: Les pucerons (dont le tenace puceron lanigère) les limaces et les escargots (s’ils causent des dégâts*) les taupins et leurs larves (nommées “vers fils de fer”) les punaises la cicadelle verte de la vigne l’araignée rouge De plus, les fougères, qui sont une bonne source de potassium, de…

[photocoeur]

Coccinelle et dentelle végétale.

Proie en vue ! Point rouge dans le feuillage vert des fougères, la coccinelle a-t-elle vu sa proie ?

[2t2r]

Les larves de coccinelles ressemblent à des aliens [vidéo]

Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/les-larves-de-coccinelles-ressemblent-a-des-aliens-video/

Les larves de coccinelles ressemblent à des aliens [vidéo]

[art-vortex]

(via Coussin avec l'œuvre « "L'Évolution d'Hyalopterus" » de l'artiste Art-Vortex-fr)

[lesgloutonnes]

Pucerons VS Plantes Carnivores Débarrassez-vous de ces Nuggets Verts ! ...

[rolandmotte]

Premiers pucerons...

[frenchdrarry]

C’était son anniversaire. Il avait 25 ans.

25 ans.

25 ans.

Harry capta ses propres prunelles vertes dans la vitre et s’en détourna vivement. Il le vivait mal. Pourtant, sa vie allait de mieux en mieux. Après avoir été viré de chez les Dursley à ses 18 ans, il avait logé de canapé en canapé jusqu’à trouver un vieux studio miteux à louer. Il avait accumulé les jobs pour pouvoir payer son loyer sans foutre en l’air toutes les économies de ses précédents jobs d’été.

Il y a trois ans, il avait été embauché à temps complet chez Flowersgood grâce à la bonté de Luna, la fille de la fleuriste qu’il avait plusieurs fois aidé à retrouver son chemin quand elle se retrouvait invariablement dans la station-essence où il travaillait.

Il avait toujours son studio miteux, mais il allait mieux. Il arrivait même à épargner un peu plus grâce à son salaire d’employé à temps complet. Il avait des horaires fixes. Il ne bossait plus la nuit.

Alors…alors pourquoi se sentait-il si pathétique ?

Parce que tu n’as rien fait de ta vie et que tu mourras sans jamais avoir rien fait de ta vie, seul, dans ce stupide studio.

Harry serra les dents et déplaça la table mouvante pour finir de nettoyer le sol. Peu importe le nombre de fois qu’il passait le balai, l’endroit serait toujours sale à cause des allées et venues des clients, du terreau, de l’eau qui gouttait par terre quand il composait un bouquet et d’une cinquante d’autres facteurs. Tante Pétunia s’en arrachait les cheveux. Ou lui arracherait les cheveux.

Pourquoi tu penses toujours à elle ? T’es incapable de passer à autre chose alors que t’as tout pour faire. Pitoyable.

Harry essaya de remplacer ses pensées vicieuses par la voix de Luna. « C’est normal d’être toujours infesté par les Nargoles. C’est comme les pucerons. C’est difficile à faire partir. »

Elle avait évidemment oublié son anniversaire. Elle lui souhaitait tous les ans à des dates aléatoires et Harry ne la corrigeait jamais. Il ne savait pas si elle le savait ou non. Il ne savait pas non plus s’il lui avait déjà dit. Peu lui importait. Il n’avait jamais souhaité son anniversaire. Jamais avec les Dursley, jamais avec ses amis une fois ses 18 ans révolus. Déjà, car il avait peu d’amis. Ensuite, car il n’avait pas les moyens. Et que ce serait gênant, de toute façon. Il n’avait jamais été invité à des anniversaires, sauf ceux de Hermione et Ron, mais c’était au lycée et il n’avait jamais pu accepter car il n’avait rien à offrir et que les Dursley avaient toujours refusé qu’il y aille. Son seul point de référence était ceux de Dudley, mais il n’était pas vraiment sûr que ce soit fiable. Tout est toujours démesuré avec eux. En bref, il ne savait même pas comment se fêtait un anniversaire. Il a toujours été seul, à se le souhaiter à lui-même.

Il ne savait même pas pourquoi il maintenait cette tradition. Avant, il luttait pour ne pas s’endormir avant minuit et se le souhaiter. Ensuite, c’était simple, puisqu’il n’avait jamais sommeil avant minuit…et qu’une partie de lui adore fixer l’aiguille se déplacer de minute en minute jusqu’à l’heure fatidique. Il se disait qu’il avait vécu une année de plus. Pourquoi ? Il ne savait pas. Il aimait vivre, malgré tout. Il aimait vivre pour l’adrénaline d’une figure réussie au skateboard, pour la couleur et l’odeur des fleurs, pour les sourires qu’il recevait quand il aidait les gens, pour les heures passées à fixer les étoiles, pour les dessins qu’il esquissait sur son unique carnet. Des dessins au crayon de papier, qu’il gommait ensuite pour pouvoir continuer à dessiner. Il ne pouvait pas racheter un autre carnet. Il aimait vivre pour l’étrange sensation de devoir gommer quelque chose dont il était fier. Des dessins que personne ne voyait jamais, sauf lui. Et Luna, parfois. Elle lui avait offert un vrai carnet à dessin, qu’il avait véhément refusé avant qu’elle ne lui ordonne de le lui rendre plus tard pour qu’elle puisse coloré ses œuvres. Luna aimait peindre. Du coup, le carnet était principalement recouvert de fleurs. Harry aimait les dessiner, de toute façon.

En fait, il adorait son travail. Fleuriste. Il était fleuriste depuis trois ans. Harry remit correctement la table, vérifia les boutures et parti du côté des compositions pour compléter celles du jour. Il aimait les fleurs d’été. Tout était coloré, vivant. Il avait passé son enfance à entretenir le prix du jardin le plus joli du quartier et il avait aimé ça. Il aimait avoir les mains dans la terre. Même assoiffé, à deux doigts de la déshydratation sous le soleil de plomb inévitable du 31 juillet, il aimait entretenir les plantes de Pétunia.

Et aujourd’hui, il était toujours en train de s’occuper de plantes, même s’il n’y avait plus Pétunia pour le lui ordonner. La boutique était fraîche, elle sentait l’humidité, le terreau, la rose et le jasmin. Ces deux dernières odeurs variaient en fonction d’où il se tenait dans la boutique, mais jamais les deux premières. C’étaient ses préférées. Il aimait l’odeur de la terre humide.

Le carillon retentit dans la boutique et Harry releva les yeux, un léger sourire aux lèvres, essayant d’apercevoir le ou la cliente.

—Bonjour ! lança-t-il à la cantonade.

Il aperçut un éclat d’or entre les étagères de dahlias et la voix familière se fit entendre en réponse :

—Bonjour.

L’héritier Malfoy. Harry sourit franchement tout en se reconcentrant sur son bouquet.

—Draco, quelle bonne surprise. Comment vas-tu ?

—Bien. Et toi ?

Harry essaya vaillamment de cacher l’éclat d’angoisse que lui causait cette question. Allait-il bien ? Non. Pourquoi ? Parce que tu ne te contentes pas de ce que tu as. Tu veux toujours plus alors que tu devrais être reconnaissant de ne pas être à la rue.

—Ça va, merci. Alors, quelle sorte de bouquet voudrais-tu aujourd’hui ?

Draco Malfoy était un client régulier. Il était presque hebdomadairement invité à un repas d’affaire ou à des dîners mondains pour lesquels il apportait systématiquement des fleurs. Harry appréciait le blond, même si au premier abord, il l’avait immédiatement détesté. Mais, bien que riche et détestable, Draco était surtout perpétuellement élégant, possédait une capacité d’observation qui le laissait parfois coi, ne redemandait jamais à refaire le bouquet et avait un esprit vif et taquin qui stimulait beaucoup Harry. Leur échange sarcastique faisait sourire plus d’un client à portée d’oreilles.

—Repas de famille. Quelque chose d’exubérant, coloré, bien garni. T’as pas l’air d’aller bien.

Pris au dépourvu, Harry se figea et jeta un coup d’œil à l’héritier. Draco Malfoy le fixait. Ses yeux ressemblaient à de l’argent en fusion et sa pâle figure ne trahissait rien.

—Si, si. Bien garni. Exubérant. Ta mère ?

Harry se dépêcha de tirer un noeud dont la boîte était dissimulée derrière un ficus et le disposa dans un vase. Des bouquets déjà prêts pour les plus pressés. Draco Malfoy ne l’était jamais. Enfin, apparemment, il avait cessé de l’être. Parfois, Luna souriait et disait que grâce à Harry, beaucoup de clients avait cessé d’être pressé. La mère de Luna avait une fois plaisanté en disant que Harry était la plus belle fleur de la boutique. Harry en rougissait encore.

—Oui, ma mère. Tu sais bien qu’elle aime les énormes bouquets car…

—Elle peut les mettre dans son énorme vase et le bouquet devient la pièce maîtresse de sa table, termina Harry avec Malfoy.

Celui-ci, un éclair de surprise au fond des yeux, eu un sourire discret. Harry aimait le voir sourire. C’était rare. Ses yeux pouvaient parfois revêtir l’éclat d’un certain amusement, mais ses lèvres suivaient rarement. Son visage semblait figé dans du marbre.

—Je vois que je me répète souvent. Ma conversation ne doit pas être très agréable.

—Non, en effet. Tu es l’un de mes clients les plus ennuyants.

—Je ne suis pas sûr que ce soit une chose qui se dise à un client aussi fidèle que moi. J’aimerais parler à votre patron.

—La patronne est absente. Je peux transmettre le message, si vous voulez.

—Oui. Dites-lui que vous êtes le vendeur le plus impoli que je n’ai jamais rencontré et que je souhaite votre renvoi dans les plus brefs délais.

—Et si elle ne me renvoie pas ?

—Je rachète la boutique pour pouvoir te virer.

—Tant d’honneurs me ferait presque rougir, Monsieur Malfoy.

—Rien de moins que ce que vous méritez, Monsieur Potter.

Harry avait toujours l’impression que cela finissait comme ça : par un flirt. Il aimait se faire des films et Draco Malfoy était un excellent sujet pour cela. Harry se permit de le détailler du coin de l’œil pendant qu’il arrangeait les différentes tiges qu’il avait sélectionné durant leur chamaillerie. Élégamment vêtu d’un pantalon en lin gris qui soulignait ses longues jambes et d’une chemise blanche rehaussée d’un gilet de la même couleur que le pantalon, sa silhouette élancée se découpait nettement dans l’ombre du soleil. Il avait l’air d’un diamant scrupuleusement ciselé pour trancher.

—C’est très joli. Pourrais-tu partir vers des couleurs comme le bleu ou le violet ?

Harry lui montra les différentes fleurs pouvant faire l’affaire et réajusta sa composition pour faire un centre de couleurs plus vives afin de trancher avec le reste des fleurs choisies par Malfoy.

—On dirait un tournesol. Un drôle de tournesol, mais un tournesol. C’est vraiment beau.

Et Harry vit dans ses yeux qu’il le pensait réellement. Ses joues se réchauffèrent et il sourit.

—Je commence à bien connaitre les préférences de mon client le plus fidèle…

Draco planta ses yeux d’argent dans les siens.

—Et moi de même. Puis-je me permettre d’insister pour connaître ce qui ne va pas ?

—T’es vraiment une tête de mule. Bien. J’ai 25 ans aujourd’hui et je faisais ma crise du quart de siècle.

L’autodérision de Harry n’amusa pas beaucoup Malfoy.

—Oh, je ne savais pas. Je suis navré de venir les mains vides. Joyeux anniversaire, Harry.

Draco s’inclina et tendit sa main droite, l’autre trouvant naturellement sa place derrière son dos légèrement courbé. Surpris, Harry tendit sa main gauche, celle qui ne tenait pas le bouquet de Madame Malfoy. Draco s’inclina un peu plus en guise de remerciement et embrassa ses jointures avec une aisance indéniable. Voir Draco Malfoy embrasser ses jointures probablement rugueuses et sales était vraiment étrange. Ses lèvres avaient été si douces, le baiser si délicat qu’Harry eut l’impression qu’une pétale de cerisier venait de lui effleurer le dos de la main.

—Je….Merci.

Les femmes riches qu’il rencontre tous les jours doivent avoir des mains bien plus agréables à embrasser que les tiennes. N’as-tu pas honte ?

—J’aimerais un deuxième bouquet, s’il te plaît.

Totalement décontenancé, Harry reprit possession de son corps et posa le premier bouquet sur le comptoir.

Concentre-toi, bordel.

—Oui, bien sûr. C’est pour quoi ?

Cette fois-ci, non seulement les lacs d’argent brillaient d’amusement, mais en plus un véritable sourire amusé ornait les lèvres roses.

—Un anniversaire. Quels sont tes fleurs préférés ?

[spotjardin]

Le sapin

ô sapin Des forêts Tout ton attrait En clair scintillement couvert de rosée, cristaux Toi tu te fais doux palpitant Tu enveloppes de tous les temps Et ton essence en fragrance suave Nous annonce la venue des rois mages Tu envahis les chaumières d'une telle élégance En Noël trouvons tous la délivrance et présence, Chantons en chœurs l'amour et sa belle prestance réjouie En joie En bonheur Partagés sur terre. Source https://lespoetes.net/ Mon sapin naturel par Aurorefloreale " Qui fait le malin, se mange un sapin ! "Anonyme

La culture du sapin jardin-secrets.com

PRÉSENTATION

Si vous souhaiter un arbre sans entretien ou presque, c'est le sapin qu'i vous faut. Il y en a une cinquantaine d'espèces, des plus petits (80 centimètres à 1m50 de hauteur) à 90 mètres de hauteur pour les plus grands (mais dans ce cas il faut avoir beaucoup d'espace). Mais il y a pas mal de choix dans des tailles intermédiaires : 3 mètres, 10 mètres, 30 mètres..Etc.. Il s'agit d'un arbre très rustique puisqu'il peut supporter des températures hivernales de -10/-15° pour les plus frileux pendant que certains comme par exemple le sapin du Colorado compact peut supporter des températures extrêmes de -25°. A noter tout de même que le sapin des Vosges craint les fortes gelées (surtout quand il est jeune). Le sapin a une croissance lente pendant les 10 premières années et ensuite cette dernière s'accélèrera. Il aura une espérance de vie de plusieurs siècles (2 à 3 en moyenne). BON A SAVOIR Les pucerons déposent sur les aiguilles du sapin un miellat dont nos amies les abeilles sont très friandes.

CULTURE

En règle générale le sapin peut se développer dans la plupart des sols. Le principal c'est que ces derniers soient profonds, frais et surtout bien drainés. A noter que certains comme le sapin de Corée n'aiment pas les sols calcaires. Et d'autres comme le sapin d'Espagne et le sapin du Colorado compact résistent bien à la sécheresse. Si vous achetez un sapin en conteneur, sa plantation peux s'effectuer toute l'année hors période de gel et de grosses chaleurs. Pour une meilleure reprise, je vous conseille de le planter plutôt à la saison automnale voire au début de la saison printanière avant l’arrivée des grosses chaleurs. Choisissez-lui un emplacement très dégagé car il a besoin de beaucoup de lumière pour se développer dans les meilleures conditions. Pour un sujet de grande taille, il faut prévoir 8 mètres minimum en tous sens et pour ceux de petite taille un espace entre 2 et 3 mètres (également en tous sens) doit suffire. Prévoyez à la plantation un tuteur très robuste. A la plantation, arrosez-le copieusement et pendant les premières années continuez de l'arroser régulièrement surtout pendant les grosses chaleurs de la saison estivale. Par la suite, votre sapin ira puiser la fraicheur en profondeur. Si vous souhaitez planter un sapin des Vosges, c'est certainement la variété qui vous demandera le plus d'apport d'eau.

ENTRETIEN

Il s'agit d'un arbre très rustique qui ne vous demandera pas un entretien particulier s'il est cultivé dans de bonnes conditions (sol et emplacement lui convenant). Si vous habitez dans une région chaude, je vous conseille de le bassiner surtout pendant les grosses chaleurs de la première saison estivale. La première année de sa plantation, arrosez-le régulièrement afin de favoriser son enracinement et apporte-lui un engrais naturel azoté comme par exemple le sang desséché, la poudre de corne torréfiée ou bien éventuellement du purin d'orties. Par la suite, vous n'avez plus besoin de lui prodiguer des soins.

LA TAILLE

Le sapin ne se taille pas sauf si vous constatez que les cônes s'effritent. Effectuez cette opération dans le courant du mois de novembre ou du mois de décembre.

PARASITES & MALADIES

Le sapin sera très résistant aux parasites et aux maladies s'il est cultivé dans de bonnes conditions. Toutefois il peut être colonisé par les pucerons et l'araignée rouge. Pour les pucerons favorisez la venue des coccinelles et des chrysopes. Si vous n'avez pas dans votre jardin ces deux auxiliaires, vous pouvez toujours effectuer une pulvérisation de savon noir dilué avec de l'eau de pluie de préférence. Quant aux araignées rouges, une atmosphère sèche favorise leurs venues. Alors, à l'aide d'un pulvérisateur assez puissant aspergez copieusement votre sapin (avec de l'eau de pluie de préférence). L'humidité créée fera fuir l'araignée rouge. Effectuez cette opération le matin de bonne heure ou bien le soir très tard afin d'éviter le soleil brulant de la journée. Après, vous pouvez également pulvériser une infusion de tanaisie.

Un sapin cultivé en pot Gerbeaud.com

MULTIPLICATION

Le sapin se multiplie par semis. C'est un moyen utilisé concernant surtout pour multiplier le sapin des Vosges. Ce moyen de multiplication est très lent et les résultats sont plus qu'aléatoires. Donc je vous le déconseille. Le bouturage est plus rapide que le semis et le taux de réussite est supérieur. Cette opération s'effectue au début de la saison printanière (mars) pour les région du sud et plutôt avril/mai dans les régions plus froides. A noter qu'il est préférable de bouturer un sapin sur un jeune sujet âgé de 4 à 8 ans. Pour cela, effectuez des boutures sur des rameaux aoûtés. Prélevez donc ces dernières d'une longueur de 15 centimètres environ sur un sapin bien vigoureux. Supprimez les aiguilles aux 2/3 de la partie inférieure de chacune des boutures. Ensuite, trempez-les dans de l'hormone de bouturage. Repiquez ces dernières dans des godets remplis au préalable de tourbe ou de terreau que vous mélangerez avec un peu de sable. Arrosez copieusement chaque bouture et mettez tout ce petit monde soit sous une cloche ou un filme plastique (ce qui s'appelle un bouturage à l'étouffée). Installez vos bouture dans une pièce hors gel et non chauffée. Pensez à aérer vos différentes boutures tous les deux jours afin d'éviter tous types de pourriture ou de moisissures.

ASSOCIATIONS

Le sapin de petite taille ou de taille moyenne fera merveille en rocaille, associé avec des plantes vivaces couvre-sol comme par exemple les bruyères, les aubriètes ou bien encore les oreilles de souris. INSCRIPTION SUR LE SITE Vous devez vous inscrire sur le site pour recevoir une alerte par mail à chaque nouvel article mis en ligne. ABONNEMENT A LA LETTRE MENSUELLE Vous pouvez également vous abonner à la lettre mensuelle du site. Si vous avez aimé cet article n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux en utilisant les boutons ci-dessous. Read the full article

[tisane-et-jardin]

Purin d’ortie

Découvrez cette semaine la recette classique du purin d'ortie ! Utile et économique pour votre jardin. 🌿🌱 #jardinage

Cette recette populaire de purin d’ortie peut être utilisée en arrosage (au pied des plants) un peu comme un engrais, pour les fortifier, ou encore en pulvérisation foliaire soit pour une prise de nutriments rapide ou pour éloigner certains insectes et maladies fongiques. On peut se servir du purin d’ortie pour augmenter les défenses immunitaires des plantes contre certaines maladies fongiques,…

[alioversus]

Vieux Piano endormi

Attention Fête | 2021

1. Grimper l’escalier, en s’agrippant tant bien que mal à la rampe. Est-ce la lumière du matin déjà ? Qui filtre derrière les persiennes… Il y a du tangage, inutile de le préciser. Et des pensées complètement décousues qui me traversent. Question de magie, d’énergie cosmique… Même pas vraiment dans ma langue maternelle. J’aurai vite fait de manquer une marche, si je ne me concentre pas. La connasse… Et l’autre connard dans le bar. Qu’est-ce qu’il m’a dit, déjà ? J'aurais mieux fait de lui casser la gueule ! Voilà la veilleuse ; et mes paupières lourdes, ma vision trouble. Bien sûr que non, il ne fait pas déjà jour. Voilà la porte. Le front en appui contre le judas, je cherche le trou de la serrure. D’habitude, je fais ça à l’horizontale. Connasse toutes portes ouvertes, mon œil ! Je vois double, c'est le troisième œil. Ça y est, ça rentre… Je peux me prendre les pieds dans le tapis, me taper les épaules dans le couloir et me jeter sur le lit, tout habillé. Oh là… Tu le sens, le passage dans un trou noir ? Effet spaghetti… J’aurais dû prendre une bouteille d’eau. J’aurais dû prendre la peine de pisser avant… C'est bien au-dessus de mes forces désormais. Je suis juste bon à ravaler cette colère — et cette nausée. Pour me sentir minable, j’aurai bien assez de demain, toute la journée. 

2. Non, je ne deviens pas religieux. Je suis beaucoup trop pessimiste pour ça. Il n’empêche que je peux mieux faire le break ici, dans ce monastère, que dans l’une de ces cliniques de merde, en cure de désintox avec d’autres gros cons matérialistes. Je vois bien tout l’intérêt qu’ils y trouvent, les frères : une vie reculée, rituelle, avec un peu de vin, un peu de bière, beaucoup de prière, aucune gonzesse. En camarades. Ils s’opposent à la magie, ils se fichent de l’énergie cosmique, ils se fichent des connasses et des connards. Ils s’en tiennent à leur horloge… Ils s’occupent bien de moi. J’épluche les patates, je fais la vaisselle, j’assiste aux offices, je dors seul comme eux tous, dans un petit lit. Le reste du monde n’existe pas, c’est beaucoup plus paisible comme ça. La journée passe sans qu’on y pense. C’est finalement festif, justement grâce au renoncement. Je me surprends à aimer contempler une assiette, un prie-Dieu, à apprécier l’odeur de la naphtaline, le gris bouloché de leurs chaussettes, le brillant des flageolets. 

3. Travail au potager. Frère Bernard me montre comment se débarrasser des pucerons, comment faire obstacle aux limaces avec des coquilles d’œuf. Il fait chaud. Je le vois suer dans sa bure distendue. Il a vraiment des mains de jardinier, frère Bernard, des mains brunes et cornues, avec le tour des ongles bien noir, comme un carrossier. Je vais chercher l’arrosoir. Frère Matthieu est en joie, planté sans rien faire devant le rosier. Il chantonne, du bout des lèvres, d’une voix haut perchée, androgyne, blanche comme un angelot peint par un pompier. Il est tout extatique, comme comblé par sa propre virginité. Je continue d’avancer, j’ouvre le robinet. Derrière le mur du cloître, il y a une chatte qui n’arrête pas de miauler. De détresse, il me semble. Ça se répète. Ce n’est pas mon problème. Frère Matthieu sait s’en soucier. Il revient un peu plus tard avec la chatte amaigrie et sa portée de chatons à moitié morts, dans un panier en osier. J’aurais laissé tout ça crever, jusqu’au dernier. Je suis une mauvaise personne. Je suis loin d’avoir guéri. Je ferais bien de prolonger cette retraite d’une semaine ou deux, voire même de toute une vie.

[jogallice]

Aujourd’hui, jeudi 30/05/24, Journée mondiale de la sclérose en plaques 🙏 et Journée mondiale pour le droit aux origines 👌⁠⁠⁠⁠

Trois dictons du jour pour le prix d’un : « À la saint Ferdinand, on se lève en fredonnant. » 🎵 « Soleil rayonnant à la saint Ferdinand, le soir à la fraîche, feuillage dégoulinant. » 💦 « Temps de la saint Ferdinand, chaleur et soleil riant. » 🌞

Pour celles et ceux qui ont un balcon et/ou un jardin : « Jardinier pertinent, paille ses rosiers à la saint Ferdinand. » 🌹 « Pucerons s’agglutinant à la saint Ferdinand sont bien enquiquinants. » 🐞 « Saint Ferdinand incontinent, l’oïdium est imminent. » 🌿

Pour celles et ceux qui ont un jardin : « À la saint Ferdinand, dans les massifs pose un paillis permanent. » 👍 « C'est à la saint Ferdinand que le jardin est le plus fascinant. » 🤩 « Jardin foisonnant à la saint Ferdinand, engrais et taille seront déterminants. » ✂️ 

Bon quatrième jour de la semaine à tous et à toutes 🏙

Bonne fête aux Ferdinand·e 😘

📷 JamesO PhotO à Annecy le mardi 28/05/24 📸

[brilag]

Tu peux venir à la maison, j'ai tout plein de pucerons qui t'attendent. par brigitte lagravaire Via Flickr : 2015-04-14-Laplume (48c)

[aurevoirmonty]

Trudeau, l'archétype du "Dernier Homme" nihiliste de Nietzsche :

"Il est temps que l'homme plante le germe de son espérance suprême. Son sol est encore assez riche pour cela. Mais ce sol, un jour, de pauvre et débile, ne pourra plus donner naissance à un grand arbre.

Hélas! le temps approche où l'Homme ne lancera plus par-delà l'humanité la flèche de son désir, où la corde de son arc aura désappris de vibrer. Je vous le dis, il faut avoir encore du chaos en soi pour enfanter une étoile dansante. Je vous le dis, vous avez encore du chaos en vous. Hélas ! Le temps vient où l'homme deviendra incapable d'enfanter une étoile dansante. Hélas ! ce qui vient, c'est l'époque de l'homme méprisable entre tous, qui ne saura même plus se mépriser lui-même

La terre alors sera devenue exiguë, on y verra sautiller le Dernier Homme qui rapetisse toute chose. Son engeance est aussi indestructible que celle du puceron; le Dernier Homme est celui qui vivra le longtemps."

(Ainsi parlait Zarathoustra)

[jojobegood1]

Des essaims de pucerons envahissent la ville de New York

Des essaims de pucerons envahissent la ville de New York https://www.rts.ch/info/monde/14155307-des-essaims-de-pucerons-envahissent-la-ville-de-new-york.html

⚠️ USA

[elinaline]

Niquez vous les pucerons petits bâtards de poux des plantes de mes couilles là je vous déteste lâchez ma moutarde !!!!! Je comptais juste la laisser en quarantaine mais elles se défend si bien depuis deux jours alors que je ne men occupe pas j'ai décidé d'essayer de la traiter au savon. Va falloir que je revienne plusieurs fois

Sinon mon chlorophytum me prépare de nouvelles fleurs hihihi