#Prix René Goscinny

[ccnountche]

La 50e édition du Festival International de la BD d'Angoulême a dévoilé, samedi 28 janvier, son Palmarès Officiel. Au total 12 Fauves ont ainsi été remis, avec des récompenses spéciales. Ont également été attribués entre autres les Prix René Goscinny - Prix du Meilleur Scénario et Prix René Goscinny - et le Prix Konishi pour la traduction de manga japonais en français.

[gwendolynlerman]

Graded readers in French

Books marked with an asterisk (*) are not graded readers and therefore may not exactly correspond with the level under which they are listed.

A1

À tout prix by Christian Lause

Chiens et chats by Dominique Renaud

Enquête capitale by Marine Courtis

La boîte en os by Domitille Hatuel

La disparition by Muriel Gutleben

La nuite blanche de Zoé by Mirela Vardi

Le blog de Maïa by Annie Coutelle

Le casque mystérieux by Pierre Delaisne

Le match de Thomas by Nicolas Boyer

Sino au restaurant by Charles Milou

A2

Carton rouge ou mort subite by Philippe Barbeau and Roger Judenne

Julie est amoureuse by Michel Guilloux

Le prisonnier du temps by Adam Roy

B1

Le Club sur les onder* by Bonnie Bryant

Le petit Nicolas* by Jean-Jacques Sempé and René Goscinny

Le petit Nicolas a des ennuis* by Jean-Jacques Sempé and René Goscinny

Les statuettes by Christian Lause

Lucas sur la route by Léo Lamarche

B2

Entretien d'embauche* by Jean Mirat

La France au quotidien* by Rolle Roesch

Le petit prince* by Antoine de Saint-Exupéry

Norman* by Stan Silas

Saint-Exupéry : Le seigneur des sables* by Pierre-Roland Saint-Dizier

C1

Le feu dans le ciel* by Anne Robillard

[alexlacquemanne]

Avril MMXXI

Films

Une idée de génie (Ingenious) (2009) de Jeff Balsmeyer avec Dallas Roberts, Jeremy Renner, Ayelet Zurer, Marguerite Moreau et Amanda Anka

Ghost in the Shell (2017) de Rupert Sanders avec Scarlett Johansson, Takeshi Kitano, Michael Pitt, Pilou Asbæk et Juliette Binoche

Comment voler un million de dollars (How to Steal a Million) (1966) de William Wyler avec Audrey Hepburn, Peter O'Toole, Hugh Griffith et Eli Wallach

Niagara (1953) de Henry Hathaway avec Marilyn Monroe, Joseph Cotten, Jean Peters, Casey Adams et Denis O'Dea

Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (1968) de Michel Audiard avec Françoise Rosay, Bernard Blier, Marlène Jobert et André Pousse

Lost in Translation (2003) de Sofia Coppola avec Scarlett Johansson, Bill Murray, Giovanni Ribisi et Anna Faris

Mission impossible 2 (Mission: Impossible 2) (2000) de John Woo avec Tom Cruise, Dougray Scott, Thandie Newton et Ving Rhames

Dies iræ (2003) d’Alexandre Astier avec Tony Saba, Thomas Cousseau, Lionnel Astier, Nicolas Gabion, Franck Pitiot, Jean-Christophe Hembert, Alexandre Astier et Jean-Robert Lombard

Poulet au vinaigre (1985) de Claude Chabrol avec Jean Poiret, Stéphane Audran, Lucas Belvaux, Michel Bouquet, Caroline Cellier, Jean Topart et Pauline Lafont

Tony Rome est dangereux (Tony Rome) (1967) de Gordon Douglas avec Frank Sinatra, Jill St John, Richard Conte, Gena Rowlands et Simon Oakland

Le Retour de la Panthère Rose (The Return of the Pink Panther) (1975) de Blake Edwards avec Peter Sellers, Christopher Plummer, Catherine Schell et Herbert Lom

Spectacles

Une femme presque fidèle (1977) de Jacques Bernard avec Jacques Mauclair, Dominique Paturel, Jacqueline Gauthier, Monique Tarbès et Sacha Briquet

Nono (1984) de Sacha Guitry avec Michel Roux, Bernard Alane, Robert Manuel et Katia Tchenko

Séries

Friends Saison 5, 6

Celui qui rate son week-end - Celui qui a du mal à se taire - Celui qui emménage - Celui qui avait des souvenirs difficiles à avaler - Celui qui s'était fait piquer son sandwich - Celui qui avait une sœur un peu spéciale - Celui qui prenait de bonnes résolutions - Celui qui riait différemment - Celui qui avait un sac - Celui qui découvre tout - Celui qui prenait des coups - Celui qui enviait ses amis - Celui qui ne savait pas se repérer - Celui qui se sacrifiait - Celui qui ne savait pas flirter - Celui qui sauvait des vies - Celui qui jouait à la balle - Celui qui devait casser la baraque - Celui qui était à Las Vegas : 1re partie - Celui qui était à Las Vegas : 2e partie - Ceux qui revenaient de Las Vegas - Celui qui console Rachel - Celui qui était de mauvaise foi - Celui qui perdait sa belle assurance - Celui qui avait une belle bagnole - Ceux qui passaient leur dernière nuit - Celui qui avait une jolie colocataire - Celui qui avait les dents blanches - Celui qui s'était drogué - Celui qui souhaitait la bonne année - Celui qui avait le derrière entre deux chaises - Celui qui inventait des histoires - Celui qui sortait avec la sœur

Méli Mélo Saison 1, 2, 3

Au prix que ça coûte ! - Sors de ton lit ! - Vive l'herbe libre - Allais, allez ! - Des tout petits cachets ! - Bzz ! - Tartare de sédiments ! - Papy lingette ! - Eau propre eau sale ! - Le goût des eaux - Le changement c'est maintenant ! - Les sceptiques de la fosse ! - Culture et Captages - L'étroite moustiquaire - Un léger penchant ! - De source sûre !

Meurtres au paradis Saison 10

Meurtre dans la matinale - Trésors enfouis - Jackpot - Enquête sous perfusion

Nestor Burma Saison 3

Les Eaux troubles de Javel - Nestor Burma court la poupée - Brouillard au pont de Tolbiac

Kaamelott Livre IV, I

La Carte - Le Repas de famille - Le Répurgateur - Le Labyrinthe - Beaucoup de bruit pour rien - Le Oud II - Le discours - Le Duel - L'Invasion viking - La Bataille rangée - La Romance de Perceval - Unagi IV - La Permission - Anges et Démons - Les Tartes aux fraises - Le Chaudron rutilant - La Visite d’Ygerne - Les Clandestins - La Kleptomane - Le Pain - La Mort le Roy Artu - Le Problème du chou - Un roi à la taverne - Les Fesses de Guenièvre

Les Nouvelles Aventures de Lucky Luke

Liki Liki - Lucky Luke en Alaska

Top Gear Saison 14, 21, 19, 22, 13

Road Trip en Roumanie - Road Trip à Tchernobyl - Spécial Afrique : Première partie - Les pires voitures de l’histoire - Les imbéciles changent d'avis ! - Passion vintage

Columbo Saison 7, 3

Le mystère de la chambre forte - Au-delà de la folie

Livres

Lucky Luke #52 : Fingers de Morris et Hartog Van Banda

Plan de bataille pour OSS 117 de Jean Bruce

Lucky Luke #33 : Le Pied-Tendre de Morris et René Goscinny

Superman Poche N°48

On est foutu, on pense trop ! de Serge Marquis

Wanted Lucky Luke de Matthieu Bonhomme

[vistavision]

CINÉ-FAMILLE en période de pandémie

En cette période de confinement, voici donc une petite sélection de films gratuits pour nourrir l’imaginaire sans limites des petits et des grands enfants avides de nouveaux espaces.  Des courts-métrages, des longs-métrages, des films d’animation qui sortent du lot.  En français svp. 

Les courts-métrages

CARTOONS EN TEMPS DE PANDÉMIE

Il s’agit d’une playlist de courts-métrages sélectionnés sur Youtube et disponible ICI .  Beaucoup de films d’animation en tout genre et des comédies burlesques à regarder en famille avec les enfants pendant le confinement. Ça couvre différentes formes de cinéma et plusieurs techniques d’animation au fil des époques cinématographiques allant des années 20 jusqu'aux années 2010. J’ai essayé de trouver pour chaque film des versions en langue française ou sous-titrés.  Ça diminue les possibilités, mais j'ai quand même réussi à en trouver quelques-uns de partout dans le monde.  Il y en a assez pour passer des jours devant Youtube.  Pour faciliter la chose, j’ai essayé de les classer en ordre chronologique d’année de production.  La playlist comprend entre autres:

• Les courts-métrages des grands de l’animation: -Frédéric Bach -Don Bluth -Jean Image -Marcell Jankovics -Chuck Jones (Daffy Duck) -Fedor Khitruk -René Laloux (Fantastic Planet) -Michel Ocelot (Kirikou et la sorcière) -Bill Plympton -Jan Svankmajer -Karel Zeman • Les premières créations de Walt Disney (Oswald the Lucky Rabbit [1927-1928], Mickey Mouse [1928-1935], etc.) • Les courts-métrages en live-action de Charlie Chaplin et Buster Keaton • Les dessins-animés de Warner Bros • Les courts-métrages de l'ONF • Quelques séries animés du Studio Belvision: -Les Aventures de Tintin (1959-1964) -Boule et Bill (1975) • La Linea, série d’animation italienne créé par Osvaldo Cavandoli  • Les séries d’animation japonaises: -Démétan, la petite grenouille (1973) -Rémi sans famille (1977) -Les Mystérieuses Cités d'Or (1982) -Le Magicien d’Oz (1986) • Le Prince et le pauvre[1977] (l’une des nombreuses productions japonaises adaptant la littérature occidentale). •  Les courts animés de Pixar • Les courts-métrages sur Wallace et Gromit de Nick Park • Les courts-animés avec Roger Rabbit • Les courts animés avec Scrat (de la série Ice Age) • Les nouvelles productions de Walt Disney sur Mickey Mouse (2013-2019) • Des courts-métrages d’animation contemporains réalisés par: - Steve Cuts - Lee Hardcastle - Don Hertzfeldt  - Hiroyasu Ishida (Penguin Highway) Cette Playlist Youtube est disponible ICI (Certains des films de la playlist sont une gracieuseté de Simon Predj sur son blogspot « Souvenirs de Ciné-Cadeau »). 

______________________________________________________________ LES SOIRÉES DE COURTS-MÉTRAGES D’ANIMATION VIRTUELLES de Maryse Latulippe.  

À chaque samedi soir, 20h, Maryse Latulippe nous présente, à l’aide du site de streaming Twitch, des courts et des longs métrages d’animation underground.  Des pépites difficiles à trouver ou peu connues.    “ Vu la pandémie, nous n'avons aucune idée de quand sera la prochaine fois où nous pourrons tous nous réunir pour regarder des courts métrages d'animation. J'ai donc décidé [...] de vous partager quelques courts métrages que j'aurais aimé vous présenter!” - Maryse Latulippe

Pour assister à cette soirée de projection virtuelle, il suffit de se connecter à la page Twitch de Maryse à chaque samedi soir, 20h.  Habituellement, il y en a pour 1h30 de petits chefs-d’oeuvres du cinéma d’animation. Le lien de la page Twitch de Maryse est ICI  ______________________________________________________________

Les longs et moyens-métrages  (classés en ordre chronologique  d’année de production)

LE BALLON ROUGE (1956) de Albert Lamorisse – France – (VOF) - 0h36m

• 1956 : Palme d'Or du court métrage au Festival de Cannes

Synopsis : Dans un Paris des années 50, un petit garçon trouve un gros ballon rouge accroché à un réverbère. Commence alors une histoire d'amitié avec ce ballon qui suit de lui-même le petit garçon dans les rues de Paris.

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LA REINE DES NEIGES (Snezhnaya koroleva) de Lev Atamanov - 1957 – Russie | USA - (VF) – 1h08

• C'est l'un des deux films (avec Le Roi et l'Oiseau de Paul Grimault) qui donnèrent envie à Hayao Miyazaki à se lancer dans le monde l'animation.

• Premier prix au Festival de Cannes en 1958 dans la catégorie films d'animation.

Synopsis : La tendre complicité de Hanz et Gerda est menacée lorsque, lors d'une tempête de neige, un éclat du miroir maléfique de la Reine des neiges pénètre dans l'œil du garçon et lui enlève toute émotion. Celui-ci se sent alors irrésistiblement attiré par la Reine et la suit dans le Grand Nord. Gerda surmontera de nombreux obstacles pour le retrouver mais, aidée par la rivière, les corbeaux, un renne et la fille d'un brigand, elle retrouve Hanz, tout bleu, dans un château de glace.

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LES QUATRE CENTS COUPS (1959) de François Truffaut – France – (VOF) – 1h39

• Premier film de François Truffaut, et film emblématique de la Nouvelle Vague. 

• François Truffaut a indiqué avoir utilisé ses souvenirs d'enfance pour écrire le scénario de son film

Synopsis: Antoine Doisnel est un adolescent rebelle. Il sait ne pas être "le fils de son père" et surprend un jour sa mère avec un inconnu. Il se met à fuguer puis, récupéré par ses parents, un nouveau départ semble démarrer dans une confiance rétablie. Mais Antoine subit alors une injustice scolaire et les quatre cents coups reprennent de plus belle...

Disponible ICI

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LES AVENTURES DE TINTIN: OBJECTIF LUNE (1959) – de Paul Fennell – France | Belgique – (VOF) - 1h21

• Adaptation très libre qui fusionne les albums de Tintin « Objectif Lune » et « On a Marché sur la Lune » .  

• Produit par le studio Belvision (responsable de Astérix et Cléopatre et Lucky Luke : Daisy Town).   

Synopsis : Sapristi, Milou a été envoyé par erreur sur la Lune ! Tintin, le capitaine Haddock et le professeur Tournesol décident d'avancer leur mission spatiale afin de lui porter au plus vite secours. Mais un homme s'infiltre dans la fusée lunaire avec, pour principale mission, d'éliminer tous les occupants afin de s'en accaparer la technologie... 

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(Gracieuseté du blogspot de « Souvenirs de Ciné-Cadeau » [Simon Predj])

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PINOCCHIO DANS L’ESPACE (Pinocchio in Outer Space) de Ray Goossens - 1965 – USA | Belgique - (VF) - 1h11

• Produit par le studio Belvision (Astérix et Cléopâtre, Objectif Lune). • Le film se voit comme une suite du Pinocchio de Carlo Collodi.

Synopsis: à la suite de son mauvais comportement, Pinocchio est redevenu une marionnette. Il souhaite de nouveau devenir un petit garçon. Afin de se racheter, il part dans l'espace combattre la baleine volante Astro qui menace la Terre.

Partie 1 - CLIQUEZ ICI Partie 2 - CLIQUEZ ICI

(Gracieuseté du blogspot « Souvenirs de Ciné-Cadeau » par Simon Predj)

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ASTÉRIX LE GAULOIS (1967) de Ray Goossens – France | Belgique - (VOF avec sous-titres français optionnels) – 1h08

• Produit par le studio Belvision.  Premier film d’Astérix.

Synopsis : Nous sommes en l'an 50 avant Jésus-Christ. Un petit mais vaillant village gaulois résiste aux Romains. Dans ce petit bourg unique, le druide Panoramix est le créateur d'une potion magique dont il fait bénéficier le petit Astérix et l'imposant Obélix. Ces deux amis occupent leur journée à chasser le sanglier et les Romains qui oseraient encore s'aventurer aux abords du village. 

Pour visionner gratuitement, cliquez ICI

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ASTÉRIX ET CLÉOPÂTRE (1968) de René Goscinny et Albert Uderzo – France – (VOF avec sous-titres anglais optionnels) – 1h13

• Production du studio Belvision

Synopsis : Synopsis : Cléopâtre fait le pari de construire un palais en un temps record, afin de montrer à César la grandeur du peuple égyptien. L'architecte Numérobis est chargé des travaux : il a trois mois pour construire le palais, ou il sera livré aux crocodiles. Celui-ci fait appel à Panoramix le druide, qui arrive en Égypte pour lui prêter main-forte avec sa potion magique, accompagné de Astérix, Obélix et Idéfix. Mais les choses s'annoncent compliquées. D'abord parce que Numérobis est objectivement un mauvais architecte, dont les maisons s'écroulent toutes seules, ensuite parce que beaucoup de gens ont intérêt à le voir échouer. Cliquez ICI

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LUCKY LUKE: DAISY TOWN (1971) de René Goscinny – France | Belgique – (VOF) – 1h13  

• Par le studio Belvision (Astérix et Cléopatre).   Premier film sur Lucky Luke. Synopsis : Des pionniers arrivent au bout de leur traversée et décident à la vue d'une pâquerette de construire leur ville. Daisy Town verra donc le jour. Mais une ville attire les bandits et ces derniers rendent la vie impossible dans ce coin de paradis naguère si calme. Arrive alors le seul homme de la situation pour remettre de l'ordre à Daisy Town, Lucky Luke.

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LA PLANÈTE SAUVAGE (1973) de René Laloux – France | Tchécoslovaquie – (VOF avec sous-titres anglais) - 1h12

• La Planète sauvage obtient le prix spécial du jury au festival de Cannes 1973

• Le film est réalisé par René Laloux (qui nous donnera plus tard Les Maîtres du Temps [1982]).

• Les images du film sont créées à partir des dessins de Roland Topor. Le procédé utilisé est l'animation de papier découpé.

• Le scénario s'inspire librement du roman Oms en série de Stefan Wul.

Synopsis : Sur la planète Ygam, les Draags, des géants humanoïdes bleus parvenus à un haut degré de civilisation, considèrent les Oms, descendants d'humains terriens, comme des animaux, qu'ils choisissent parfois de domestiquer.

Disponible ICI

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MAYA L’ABEILLE – LE FILM (Mitsubachi Māya no Bōken) de Hiroshi Saitō (1975) – Japon – (VF) - 1h18

Ce film constitué de plusieurs épisodes de la première série sur Maya l'Abeille met en scène les aventures de la jeune abeille Maya qui, à peine sortie de son alvéole, n'a qu'une envie : découvrir le monde en compagnie de ses amis Willy l'abeille, Flip la sauterelle, Max le ver de terre et Alexandre la souris. 

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LES 12 TRAVAUX D’ASTÉRIX (1976) de René Goscinny, Albert Uderzo, H. Gruel, et P Watrin – France – (VOF) – 1h19

• Produit par les studios Idéfix créé par Goscinny, Uderzo, et Dargaud.  Il s'agit du seul film Astérix produit par ce studio (qui à dû fermer suite au décès de Goscinny en 78).  Ce film est considéré par les auteurs, et souvent par le public, comme le meilleur dessin-animé sur Astérix.  

Synopsis : En 50 ans avant Jésus-Christ, les armées de Jules César occupent toute la Gaule. Toute ? Non ! Quelque part en Armorique, un petit village entouré de camps retranchés romains résiste au puissant envahisseur. Pour prouver que ces Gaulois prétendument invincibles ne sont que des hommes vulnérables, César propose à Abraracourcix, le chef du village, une série d'épreuves que seuls les dieux pourraient réussir : les douze travaux. 

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LA FLÛTE À SIX SCHTROUMPFS (1976) de Peyo – France | Belgique – (VOF) - 1h11

• Adaptation du 9e album de Johan et Pirlouit par le studio Belvision qui nous a donné Astérix et Cléopatre et Lucky Luke : Daisy Town. Synopsis : Pirlouit a trouvé une flûte qui a le pouvoir de faire danser jusqu'à la léthargie celui qui écoute sa mélodie, mais Torchesac la lui dérobe. Pour la récupérer Johan et Pirlouit demandent l'aide d'Homnibus, l'enchanteur, et des Schtroumpfs, qui ont fabriqué cette flûte magique. Cliquez ICI

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LES CYGNES SAUVAGES (Sekai meisaku dôwa: Hakuchou no ouji) de Yûji Endô et  Nobutaka Nishizawa (1977) – Japon – (VF) – 1h02

Synopsis : Un roi récemment veuf va épouser une dame rencontrée dans une forêt maléfique et ayant pour mère une sorcière. Les enfants de la première femme du roi vivent reculés et cachés du royaume. Mais la future épouse découvre leur existence et, jalouse de l'amour trop important que leur porte leur père, leur jette un sort qui les transforme en cygnes ! Seule la fille du roi, Élisa, parvient à s'échapper. 

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RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE (Close Encouters of the Third Kind) de Steven Spielberg – 1977 – USA – (VF) – 2h12

• Pour le réalisateur Steven Spielberg (Jurassic Park), l'inspiration de ce film provient de l’enfance,  quand son père l'emmenait voir les pluies d'étoiles filantes durant la nuit.

« Des faits étranges se produisent un peu partout dans le monde : des avions qui avaient disparu durant la Seconde Guerre mondiale sont retrouvés au Mexique en parfait état de marche, un cargo est découvert échoué au beau milieu du désert de Gobi.  Dans l'Indiana, pendant qu'une coupure d'électricité paralyse la banlieue, Roy Neary, un réparateur de câbles, voit une "soucoupe volante" passer au-dessus de sa voiture. D'autres personnes sont également témoins de ce type de phénomène : Barry Guiler, un petit garçon de quatre ans, est réveillé par le bruit de ses jouets qui se mettent en route. Cherchant à savoir d'où proviennent ces ovnis, et hanté depuis son expérience par l’image d’une montagne qu’il essaie de reconstituer,  Roy Neary se heurte aux rigoureuses consignes de silence imposées par le gouvernement fédéral.  Parallèlement à ces événements, une commission internationale conduite par le savant français Claude Lacombe s'efforce de percer le mystère de ses événements.  Une évidence s'impose bientôt : une forme d'intelligence extraterrestre tente d'établir un contact avec les Terriens.”

Disponible gratuitement ICI

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LA BALADE DES DALTONS (1978) de René Goscinny, Morris, H.Gruel et P. Watrin – France – (VOF) – 1h07

• Deuxième et dernier film des Studios Idéfix (Les 12 Travaux d'Astérix). Synopsis : L'oncle Henry des Dalton est mort pendu (comme affirme Joe : « Mort naturelle, c'est une consolation »), laissant à ses neveux tout son magot. Cependant, pour le toucher, les Dalton ont pour instruction de tuer les membres du jury et le juge qui l'ont condamné. Pour s'assurer que ce travail est bien fait, il demande qu'ils soient surveillés par Lucky Luke, le seul homme digne de confiance qu'il ait connu. Cependant, si les Dalton échouent, tout le magot d'Henry Dalton ira aux bonnes œuvres. Joe promet à Lucky Luke une part de l'héritage s'il accepte cette mission (mais il a pour projet de le tuer à la fin), ce que Lucky Luke feint d'accepter. Celui-ci s'assure en fait de la survie de chacune des cibles tout en persuadant les Dalton de leur réussite. Cliquez ICI

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PLUK, NAUFRAGÉ DE L’ESPACE (1979) de Jean Image – France – (VOF) – 1h14

• Par le renommé Jean Image, réalisateur français (d'origine hongroise) de films d'animation.  

Synopsis : Un astronef, « Le Cosmos », tombe aux mains de ses ennemis. Seul le robot Pluk a réussi à s'enfuir et se dirige alors vers la plus proche des planètes... la Terre.

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LES MISÉRABLES (Jean Valjean monogatari) de Takashi Hisaoka – 1979 - Japon – (VF) – 1h15

Synopsis : Jean Valjean est un ancien prisonnier. Un jour, celui-ci a sauvé la vie d'un homme coincé sous une charrette. En voyant le résultat de cet acte héroïque, cela peut lui permettre de venir en aide à la jeune Cosette, une gamine orpheline maltraitée par les Thénardier.

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(Gracieuseté du blogspot « Souvenirs de Ciné-Cadeau » par Simon Predj)

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LES FABULEUSES AVENTURES DU LÉGENDAIRE BARON DE MÜNCHHAUSEN (1979) de Jean Image – France – (VOF) – 1h18

• Les Fabuleuses Aventures du légendaire baron de Münchhausen est un long métrage d'animation français de Jean Image (Pluk, Naufragé de l'espace), inspiré des aventures du baron de Münchhausen. Le film adapte des épisodes du livre de Gottfried August Bürger. Synopsis : Le baron de Münchhausen a coutume de réunir ses amis pour leur raconter ses exploits imaginaires.

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LE ROI ET L'OISEAU (1980) de Paul Grimault – France – (VOF avec sous-titres espagnols) - 1h27

• Le Roi et l'Oiseau constitue un jalon dans l'histoire du dessin animé : premier long-métrage d'animation mis en chantier en France dès 1946.  Des désaccords financiers presseront une sortie du film en 1953 sous le nom La Bergère et le Ramoneur malgré l'insatisfaction des créateurs.  C'est seulement en 1980 qu'une version achevée sort en salle, avec de nouvelles scènes ajoutées.

• Ce film d'animation est basé sur un texte de Jacques Prévert tiré de La Bergère et le Ramoneur de Hans Christian Anderson.

Synopsis : Le roi Charles Cinq-et-Trois-font-Huit-et-Huit-font-Seize règne en tyran sur le royaume de Takicardie. Le monarque est amoureux d'une bergère qui orne un tableau de sa chambre royale, mais elle est déjà éprise d'un petit ramoneur. Pour lui échapper, les deux amoureux s'enfuient et se réfugient dans une tour en haut du palais où un oiseau, enjoué et bavard, a installé son nid...

Disponible ICI

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LE CHOC DES TITANS (Clash of the Titans) de Desmond Davis – 1981 – USA | Royaume-uni – (VF) - 1h58

• Clash of the Titans est un péplum de “fantasy” et de mythologie fondé sur le mythe de Persée.  

• Il s’agit du dernier film sur lequel à travaillé Ray Harryhausen, le célèbre créateur d’effets-spéciaux par animation en volume image par image.  On lui doit entre autres le terrifiant Kraken, monstre des mers.     

Synopsis: Dans un monde régit par les Dieux, Persée, un jeune homme d'apparence ordinaire, apprend qu'il est le fils de Zeus, dieu du tonnerre, et qu'un illustre destin l'attend. Il décide de venir en aide à la princesse Andromède, poursuivie par une vile malédiction. Il réussit à la sauver et en tombe amoureux. Alors qu'ils sont sur le point de se marier, la reine Cassiopée compare la beauté de sa fille Andromède à la déesse Thétis. Courroucée par cet affront, cette dernière ordonne qu'Andromède soit donnée en sacrifice d'ici trente jours au terrible Kraken, le monstre marin. Persée décide alors de partir en quête d'un moyen de vaincre le Kraken afin de sauver celle qu'il aime. Il devra affronter mille dangers ainsi que de puissantes et dangereuses créatures.

Disponible ICI

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LE LAC DES CYGNES (Sekai meisaku dôwa: Hakuchô no mizûmi ) de Kimio Yabuki - 1981 – japon – (VF) – 1h12

Synopsis : Lors de sa promenade en forêt, le prince Siegfried découvre une belle cygne avec une couronne à sa tête. Il découvrira plus tard que c'est, en réalité, une jeune princesse nommée Odette, transformée en cygne pour avoir refusé la main d'un jeune sorcier, Rodebart. Elle ne retrouve sa forme humaine qu'après la tombée de la nuit. Le seul moyen de délivrer Odette de ce maudit sort n'est autre qu'un homme qui l'aimera de tout son cœur...

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PETER LE CHAT SANS QUEUE (Pelle Svanslös) de Jan Gissberg et  Stig Lasseby – 1981- Suède – (VF) – 1h21

• Savoureuse production suédoise diffusé abondamment à Ciné-Cadeau dans les années 80.  

Synopsis : Les aventures de Peter, le petit chat sans queue qui, loin de la ferme où il coulait des jours heureux, doit réapprendre à vivre dans sa nouvelle famille d'adoption et à affronter les préjugés dont il est la cible parce qu'il n'a pas de queue. 

Cliquez ICI (Gracieuseté du blogspot « Souvenirs de Ciné-Cadeau » par Simon Predj)

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LES MAÎTRES DU TEMPS (1982) de René Laloux – France - (VOF) – 1h18 

• Par le réalisateur du chef-d'oeuvre d’animation Fantastic Planet (1973).  Dessins par Moebius.  Tiré du livre “ L'Orphelin de Perdide” de Stefan Wul.  Synopsis: Piel, un petit garçon en compagnie de son père, atterrit sur une planète sauvage, Perdide. Avant de mourir, son père réussit à contacter son ami Jaffar, et lui demande de sauver son fils Piel, désormais seul sur cette planète. Piel reçoit de son père un microphone, son seul moyen de contact avec Jaffar qui, avec des compagnons, vont lui parler tout au long du voyage en lui donnant de judicieux conseils. En compagnie de son vieil ami Silbad, un vieux boucanier rusé et plein de ressources, Jaffar se dirige vers Perdide pour sauver le petit Piel. Mais plusieurs incidents vont se dérouler au cours de l'aventure, sans compter que l'espace recèle bien des mystères...  Pour visionner gratuitement, cliquez ICI ______________________________________________________________

E.T. L'EXTRA-TERRESTRE (1982) de Steven Spielberg – USA – (VF) - 1h55

• Chef-d’oeuvre emblématique de Steven Spielberg (Jurassic Park)

• E.T. est le remodelage d’un scénario qui devait à l’origine être la suite de Rencontres du Troisième Type (1977).  Spielberg a décidé d’en faire un film plus intimiste.   

« Alors qu'il se trouve en voyage d'exploration dans une région boisée de Californie, un extra-terrestre est séparé de ses congénères. Il trouve refuge dans le débarras d'une maison de banlieue où le découvre un jeune garçon de dix ans, Elliott. Celui-ci accueille dans sa chambre le visiteur de l'espace et met son frère et sa soeur dans le secret. Les enfants s'efforcent d'aider l'extra-terrestre à rentrer en contact avec ses semblables. Mais la présence de l'étrange visiteur a été signalée et des agents du gouvernement sont à sa recherche. »

Disponible ICI

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LE CRYSTAL MAGIQUE (Dark Crystal) de Jim Henson et Frank Oz – 1982 – Grande-Bretagne – (VF) - 1h33

• Film de marionnettes réalisé par Jim Henson (créateur du Muppet Show) et Frank Oz (réalisateur de La Petite Boutique des horreurs [1986] et acteur \ marionnettiste du personnage de Yoda dans Star Wars).   « Depuis un millénaire, les méchants Skeksis montent la garde autour d'un gros morceau de cristal sombre dont un fragment a été perdu. Leurs rivaux, les Mystiques, confient à un lutin, Jen, réchappé du massacre de sa race, la mission de retrouver ce fragment dont la réunion à point nommé au cristal sombre mettra fin à la puissance des Skeksis. Pour parvenir à ce but, Jen doit affronter maints dangers. Il fait la rencontre d'une congénère, Kira, dont l'aide lui est précieuse dans son entreprise périlleuse. »

Pour visionner gratuitement, cliquez ICI

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L'HISTOIRE SANS FIN (NeverEnding Story) de Wolfgang Petersen – 1984 – Allemagne | USA – (VF) - 1h34

• Heroic Fantasy pour enfant tiré de la première partie du livre de Michael Ende.  Le film est devenu un film culte au fil des années.  

« Depuis la mort de sa mère, Bastien, dix ans, s'est replié sur lui-même et s'est bâti un monde imaginaire nourri de romans d'aventures qu'il dévore. Un jour, il découvre dans la librairie de M. Koreander un livre intitulé `L'histoire sans fin', qu'il dérobe. Dès les premières pages, Bastien se sent entraîné dans l'univers merveilleux du pays fantastique. »

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LES GOONIES (1985) de Richard  Donner – USA - (VF) – 1h54 

• Produit par Steven Spielberg.  Réalisé par Richard Donner (Superman: The Movie) • Ce film est l’une des inspirations principales de la série Strangers Things.  

Synopsis: Quatre jeunes garçons qui se surnomment "Goonies" trouvent dans un grenier une vieille carte indiquant l'emplacement d'un trésor caché par des pirates non loin de leur village. Ils partent donc en quête, bientôt rejoints par le frère adolescent de l'un d'eux et par deux amies de celui-ci. Le petit groupe a maille à partir avec une famille de criminels qui a choisi comme cachette l'entrée des tunnels souterrains qui conduisent au trésor. Poursuivis par les malfaiteurs, les jeunes échappent à divers traquenards et rejoignent une grotte immense où ils découvrent un ancien voilier qui contient la fortune des pirates. Ils ne sont pourtant pas au bout de leurs peines.

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RETOUR VERS LE FUTUR (Back to the Future) de Robert Zemeckis – 1985 – USA – (VF) - 1h56

• Film culte des années 80 et premier grand succès du réalisateur Robert Zemeckis (Who Framed Roger Rabbit? [1988]).  

« Un adolescent, Marty, s’est lié d’amitié avec un savant excentrique, le docteur Brown. Entraîné à faire l'essai d'une nouvelle invention de Brown, une machine à voyager dans le temps, Marty recule de trente ans et se retrouve en 1955. C'est alors que l'appareil tombe en panne. Pour retourner à son époque, il lui faut compter sur un docteur Brown plus jeune, qu'il arrive à retrouver. Entre-temps, il fait la connaissance de deux adolescents, Lorraine et George, qui seront plus tard ses parents s'ils arrivent à se rencontrer et à s'aimer. Marty joue le rôle de Cupidon, ce qui n'est pas facile du fait que sa future mère semble entichée de lui. »

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HISTOIRES FANTASTIQUES : LA MASCOTTE (AMAZING STORIES: THE MISSION) de Steven Spielberg – 1985 - USA – (VF) - 0h45m

• 5e épisode de la première saison de cette série produite par Steven Spielberg (E.T. l'extra-terrestre).  Il s'agit d'un des épisodes que Spielberg à lui-même réalisé, badigeonnant son fameux style naïf caractéristique de ses films des années 80.  Mettant en vedette Kevin Costner et Kiefer Sutherland.  Musique par John Williams.   Synopsis : Pendant la seconde guerre mondiale, une mission de routine tourne à la catastrophe pour un jeune pilote de l'armée de l'air avide de bandes-dessinées.   Pour visionner gratuitement, cliquez ICI

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ASTÉRIX ET LA SURPRISE DE CÉSAR (1985) de Gaëtan et Paul Brizzi – France – (VOF) – 1h17

• Premier Astérix produit par Dargaud Films.   

Synopsis : Obélix tombe sous le charme de la belle Falbala lorsque celle-ci revient au village. Mais l’arrivée de son fiancé Tragicomix met fin à son idylle unilatérale. Plus tard, l’enlèvement du couple par les Romains conduit Astérix et Obélix à leur porter secours dans un périple qui les conduira de Condate (Rennes) et Massilia (Marseille) jusque dans le Colisée, à Rome, en passant par l’Afrique Saharienne. Cliquez ICI

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LABYRINTH (1986) de Jim Henson – USA | UK – (VF) - 1h41

• Film fantastique faisant cohabiter humains et marionnettes.   • Produit par George Lucas (Star Wars), réalisé par Jim Henson (créateur du Muppet Show). 

Synopsis : La jeune Sarah pénètre dans le royaume des Goblins et de leur puissant roi Jareth en vue de retrouver son petit frère qui a été kidnappé. Elle rencontre en chemin toutes sortes de personnages étranges qui l'escortent dans sa recherche, dont un nain très aimable et un ver qui boit du thé.

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LE CHÂTEAU DANS LE CIEL (Tenkū no shiro Rapyuta) de Hayao Miyazaki – 1986 – japon – (VF) - 2h04 

• Créé par le légendaire réalisateur japonais Hayao Miyazaki alors qu’il était encore inconnu de l’occident.  

• Premier film du studio d’animation Ghibli fondé par Hayao Miyazaki et Isao Takahata

• Miyazaki à donné la personnalité forte de sa mère au personnage de Dora.

• Ce film illustre l’un des thèmes fétiches de l’auteur: l’opposition entre la nature et la cupidité de l’homme.    

Synopsis: Des pirates du ciel, la « bande de Dora », attaquent une forteresse volante ; ils recherchent une « pierre volante » appartenant à une jeune fille, Sheeta, retenue prisonnière. Cette dernière arrive à s'enfuir pour atterrir chez Pazu, un garçon de son âge. Tous deux découvrent qu'ils ont un point commun : Laputa, une île légendaire flottant dans le ciel. Le père de Pazu l'avait vue de ses propres yeux mais personne ne l'avait cru, le laissant mourir de chagrin ; mais Sheeta a cette « pierre volante » qui conduit jusqu'à l'île. Poursuivis par les pirates et le clan de Muska, l'homme voulant se servir de la jeune fille pour parvenir à régner sur ces terres, les deux enfants devront s'entraider pour y arriver avant eux...

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FIEVEL ET LE NOUVEAU MONDE (An American Tail) de Don Bluth – 1986 – USA – (VF) - 1h16

• Don Bluth, ancien animateur chez Disney, fonde dans les années 80 le studio d’animation  Sullivan Bluth Studios et négocie la mise en chantier de Fievel et le Nouveau Monde avec Steven Spielberg (qui avait beaucoup apprécié son premier long-métrage “Brisby et le Secret de Nimh [1982]).   

« En russie, en 1885, les souris sont de plus en plus menacées par les chats. Fievel embarque avec sa famille pour le nouveau monde: l’Amérique. Au cours de ce voyage en bateau, Fievel tombe à l'eau pendant une terrible tempête et échoue dans le port de new-york. Désormais seule, la jeune souris, aidée par de nouveaux amis, va braver tous les dangers pour retrouver sa famille... »

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ASTÉRIX CHEZ LES BRETONS (1986) de Pino Van Lamsweerde – France | Danemark – (VOF) - 1h19

• co-production France | Danemark Synopsis : Pendant qu'Obélix s'ennuie au village, César envahit la Grande-Bretagne et balaie ses adversaires. Seul le petit village de Zepigbes résiste et envoie Jolitorax, le cousin d'Astérix, chercher du secours en Gaule. Astérix et Obélix, accompagnés d'Idéfix, décident alors de l'aider à ramener Outre-Manche un tonneau de potion magique. Malgré les précautions, leur anonymat est percé et le tonneau saisi par les Romains qui raflent tous les tonneaux de Londres. 

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GANDAHAR, LES ANNÉES-LUMIÈRE (1987) de René Laloux – France - (VOF avec sous-titres anglais optionnel) – 1h19

• 3e film de René Laloux (Les Maîtres du Temps [1982], Fantastic Planet [1973]).  Dessins par Caza.

Synopsis : Gandahar est menacé: de plus en plus fréquemment, des "hommes-métal" venus d'on ne sait où enlèvent hommes, femmes, enfants après les avoir pétrifiés. La Reine et le Conseil de la planète vont charger Sylvain de découvrir d'où viennent ces terribles envahisseurs. Pour visionner gratuitement, cliquez ICI

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LE TOMBEAU DES LUCIOLES (Hotaru no haka) de Isao Takahata – 1988 – Japon – (VF) - 1h29

• L’un des chefs-d’oeuvres du studio Ghibli (réalisé par le co-fondateur du studio, Isao Takahata).

“Japon, été 1945. Après le bombardement de Kobé, Seita, un adolescent de quatorze ans et sa petite soeur de quatre ans, Setsuko, orphelins, vont s'installer chez leur tante à quelques dizaines de kilomètres de chez eux. Celle-ci leur fait comprendre qu'ils sont une gêne pour la famille et doivent mériter leur riz quotidien. Seita décide de partir avec sa petite soeur. Ils se réfugient dans un bunker désaffecté en pleine campagne et vivent des jours heureux illuminés par la présence de milliers de lucioles. Mais bientôt la nourriture commence cruellement à manquer.”

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PETIT PIED, LE DINOSAURE (The Land Before Time) de Don Bluth – 1988 – USA – (VF) - 1h09

• Une création du studio de Don Bluth (Fievel et le Nouveau Monde)

• Produit par George Lucas (Star Wars) et Steven Spielberg (E.T. the Extra-terrestrial)

Synopsis: Petit-Pied est un tout jeune brontosaure né dans un monde dévasté par l'éruption des volcans et les tremblements de terre. Avant de mourir, tuée par un tyrannosaure, sa mère lui a parlé de la Grande Vallée, endroit paradisiaque où la végétation est abondante. Petit-Pied fait alliance avec d'autres jeunes sauriens, séparés comme lui de leurs parents. Ils font route ensemble vers le Grande Vallée en se portant assistance dans les dangers même si la jeune Cera, une tricératops au caractère capricieux, crée des difficultés. Il leur faut surtout échapper aux attaques du tyrannosaure avant d'atteindre leur but.

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KIKI LA PETITE SORCIÈRE (Majo no takkyūbin) de Hayao Miyazaki – 1989 – Japon – (VF) - 1h42

• Le projet d’adaptation du livre de Eiko Kadono est venu à Hayao Miyazaki en remarquant la similitude entre le personnage de Kiki et les jeunes animatrices du studio Ghibli.

Synopsis:  Comme toutes les sorcières qui atteignent l'âge de 13 ans, Kiki doit quitter ses parents et s'établir pendant un an dans une autre ville, en exerçant un métier lié à son état de sorcière. Dans la ville de Koriko, la jeune et espiègle Kiki, accompagnée de son chat noir Jiji et aux côtés de Osono, une gentille boulangère qui lui propose un emploi, va commencer une activité de livraison de colis en volant sur son balai.

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ONCLE BUCK (1989) de John Hugues – USA – (VF) - 1h40

• Par John Hugues, spécialiste des comédies pour ados (Breakfast Club [1985], La Folle Journée de Ferris Bueller [1986]).  

Synopsis: Bob et Cindy Russell viennent d'emménager à Chicago avec leurs trois enfants : Tia, 15 ans, Miles, 8 ans et Maizy, 6 ans. Une nuit, Cindy apprend que son père, resté à Indianapolis, a été victime d'une crise cardiaque. Ils décident de se rendre aussitôt à son chevet, mais il leur faut d'abord trouver quelqu'un pour garder les enfants. En désespoir de cause, ils font appel à l'oncle Buck, le frère de Bob en qui Cindy n'a pas du tout confiance. En effet, Buck est un chômeur paresseux vivant dans un appartement, qui boit et fume, mais également joue aux courses et conduit une Mercury Grand Marquis de 1978. Le séjour de ce dernier ne va pas être de tout repos.

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ASTÉRIX ET LE COUP DU MENHIR (1989) de Philippe Grimond – France | Allemagne – (VOF) - 1h21

• Co-production franco-allemande mélangeant 2 albums d’Astérix; “Le Combat des chefs” et “Le Devin”.  

Synopsis: Rien ne va plus au village des irréductibles : Panoramix a perdu la tête et la mémoire à la suite d'un malencontreux coup de menhir lancé par Obélix qui l'a rendu fou �� son réveil. Il a désormais oublié la formule de la potion magique. Le soir même, l'orage amène un devin aux prédictions inquiétantes et aux ambitions démesurées. Tandis qu'Astérix tente en vain de ramener ses amis à la raison, les Romains profitent de la confusion pour envoyer un espion, ni courageux, ni subtil mais très encombrant.

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LES TORTUES NINJA (Teenage Mutant Ninja Turtles) de Steve Barron – 1990 – USA – 1h33

• Jim Henson (The Muppet Show, Labyrinth) est le concepteur des costumes des Tortues Ninja ainsi que des animatronics qui modulent les expressions faciales des personnages.  Il est décédé durant le tournage, cependant son fils a pris la relève pour les finitions.  

Synopsis: Quatre petites tortues à la base très ordinaires se perdent accidentellement dans les égouts de New York et entrent en contact avec un liquide appelé mutagène. La substance les fait grandir autant en taille qu'en intelligence. Elles finissent par prendre une forme humanoïde. Leur sensei, un rat lui aussi contaminé par la substance, s’avère être un expert en arts martiaux et leur enseigne l'art ninja. Les Tortues attendent 15 ans avant de livrer leur premier combat hors des égouts afin de poursuivre leur formation. Ils tombent sur une bande de voyous surpris en flagrant délit par une jeune journaliste, April O'Neil, qui deviendra par la suite leur meilleure amie.

Avec l'aide d'April et de Casey Jones, un justicier auto-proclamé aux méthodes douteuses, les tortues Ninja devront affronter le clan d'Oroku Saki alias Shredder, un vieil ennemi de leur maître...

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LE PRINCE CASSE-NOISETTE (The Nutcracker Prince) de Paul Schibli - 1990 – Canada – (VF) - 1h15

Synopsis: La famille de Clara reçoit du monde pour Noël. Clara se sent un peu triste et jalouse en observant sa sœur, Louise, danser avec son amoureux. Mais elle retrouve le sourire quand l'oncle Drosselmeier, fabriquant de jouets plus fantastiques les uns que les autres, offre un somptueux château de jouets et un Casse-Noisette. Ce que Clara apprendra cette nuit-là, c'est que son Casse-Noisette a une histoire bien à lui.

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(Gracieuseté du blogspot « Souvenirs de Ciné-Cadeau » par Simon Predj)

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CAPITAINE CROCHET (Hook) de Steven Spielberg – 1991 – USA – 2h24

• Le thème des “enfants perdus” qui parcoure indirectement toute la filmographie de Steven Spielberg trouve ici sa forme la plus évidente.  

Synopsis: Peter Pan est devenu adulte, malgré tout. Mais le Capitaine Crochet se venge et enlève ses enfants, forçant Peter à revenir au pays Imaginaire.

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LA CHEVAUCHÉE MAGIQUE (Into the West) de Mike Newell – 1992 – Irlande | Royaume-Uni – 1h37

• Réalisé par Mike Newell (Quatre Mariages et un Enterrement [1994], Harry Potter et la Coupe de Feu [2005])

• Scénarisé par Jim Sheridan (My Left Foot [1989]).

« Papa Riley est un « tinker », un nomade irlandais qui a choisi de se sédentariser dans la banlieue de Dublin depuis la mort de sa femme. Alcoolique, il vit misérablement avec ses deux fils Tito et Ossie. Un jour, Ward, son beau-père resté nomade, passe voir sa famille. « Grand-père », comme on l’appelle, a un drôle de compagnon : un cheval nommé Tir na nOg qui est selon lui plus qu’un animal… Une indéfectible amitié se noue entre Tir na nOg et les enfants… »

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RICHARD ET LE SECRET DES LIVRES MAGIQUES (The Pagemaster) de Joe Johnston et Pixote Hunt - (1994) – USA – (VF) -  1h20

• Mettant en vedette Macaulay Culkin (Maman, j’ai raté l’avion [1990]). • Prises de vues réelles réalisées par Joe Johnston (Chérie, j'ai réduit les enfants [1989], Jumanji [1995].  Passages animés réalisés par Pixote Hunt (Fantasia 2000).

Synopsis : Richard Tyler (Macaulay Culkin), un jeune garçon timide, binoclard, très peureux et assez solitaire, est le souffre-douleur de sa ville entière dont tous les autres enfants. Pour se protéger d'un orage, il pénètre dans une bibliothèque déserte et se retrouve entraîné dans un univers animé et féerique sous la houlette du bibliothécaire, M. Dewey (Christopher Lloyd). Dans ce monde surnaturel, les personnages légendaires des classiques de la littérature prennent vie. Richard fait la connaissance du tristement célèbre Dr Jekyll et M. Hyde, rencontre Moby Dick, côtoie les fourbes pirates de L'Île au trésor et affronte un gigantesque dragon cracheur de flammes. Guidé par un trio de livres parlants, l'Aventure, la Fantaisie et l'Horreur, Richard doit vaincre ses pires craintes s'il espère revenir dans son monde.

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THE ADVENTURES OF PINOCCHIO (1996) de Steve Barron – USA – (VF) – 1h32

• Réalisé par Steve Barron (Teenage Mutant Ninja Turtles [1990]), cette adaptation fidèle du conte de Carlo Collodi met en vedette Martin Landau (Ed Wood de Tim Burton, les séries Mission : Impossible et Cosmos 1999) dans le rôle de Geppeto, ainsi que notre Geneviève Bujold nationale.  Synopsis : Il était une fois... un pauvre marionnettiste du nom de Gepetto qui n'avait pour famille que les pantins qu'il sculptait avec amour. Un jour, l'un de ses pantins prend vie.  Bien des années auparavant, il avait gravé dans un tronc d'arbre un coeur où s'entrelaçaient ses initiales et celles de Leona à qui, trop timide, il n'avait osé avouer sa flamme...

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KIRIKOU ET LA SORCIÈRE (1998) de Michel Ocelot – France | Belgique | Luxembourg - (VOF) – 1h11

• Premier long-métrage d’animation du réalisateur français Michel Ocelot. 

Synopsis : Le minuscule Kirikou naît dans un village d'Afrique sur lequel une sorcière, Karaba, a jeté un terrible sort: la source est asséchée, les villageois rançonnes, les hommes sont kidnappes et disparaissent mystérieusement. Elle les mange, soutiennent les villageois dans leur hantise. Cliquez ICI

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PRINCES ET PRINCESSES (2000) de Michel Ocelot – France – (VOF) - 1h10

• Par le réalisateur de Kirikou et la Sorcière (1998)

• Princes et Princesses est un film d'animation en théâtre d'ombres (papier découpé) de Michel Ocelot, inspiré par les œuvres de la pionnière allemande Lotte Reiniger, et composé de six contes.

Synopsis : Dans un cinéma désaffecté, un garçon, une fille et un vieux projectionniste imaginent des aventures. Chaque conte se déroule en un lieu et un temps différents.

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A.I. INTELLIGENCE ARTIFICIELLE (2001) de Steven Spielberg – USA – (VF) - 2h26

• Riche et poétique, cette oeuvre futuriste située à la lisière de l’extinction humaine propose un savant mélange de conte de fée, de philosophie, de spectaculaire, et d’intimiste.     

• Réflexion sur ce qu’est l’amour à travers des êtres artificiels, et sur la responsabilité que tout amour incombe.  

• Réalisé et scénarisé par Steven Spielberg d’après une idée de Stanley Kubrick (2001: A Space Odyssey), A.I. évoque aussi bien Pinocchio que les précédentes oeuvres de Spielberg (Empire of the Sun, E.T.).  À travers ces robots créés pour tromper l’oeil de l’humain avec des réactions émotives presque humaines, on peut y voir une réflexion de Spielberg sur son propre cinéma générateur d’émotion. 

Synopsis: Dans un monde futuriste ravagé par le réchauffement de la planète et où la procréation est strictement encadrée, les êtres humains vivent en parfaite harmonie avec les « méchas », des robots androïdes spécialement créés pour répondre à leurs besoins : tâches ménagères, services et… amour ! Une famille, dont le fils est dans le coma, décide d'aller plus loin et d'adopter un enfant robot, David, programmé pour vouer un amour sans limites envers ses parents adoptifs. Entretemps, la science ramène à la vie leur enfant biologique, Martin.  Les deux garçons ne s'entendent pas, et Martin provoque David au point de créer des incidents, qui amènent le père à vouloir rendre le petit robot à son créateur pour destruction. La mère, qui lui est plus attachée, décide de l'abandonner dans une forêt en lui donnant comme consignes de ne pas s'approcher de la ville ni des humains. Et l'enfant lui demande pourquoi elle l'abandonne… Alors que David pleure en la suppliant de ne pas l'abandonner, elle lui fait comprendre qu'il n'est pas réel, qu’il n’est pas « un vrai petit garçon ». 

En compagnie d'un autre mécha appelé Gigolo Joe, David se lance alors dans une quête spectaculaire pour devenir un vrai garçon et ainsi, être de nouveau adopté par sa famille d'accueil et aimé comme un fils par sa mère adoptive. Leurs aventures les mèneront à travers tous les États-Unis, dans une fête foraine célébrant la destruction des méchas, à Rouge City la ville de tous les plaisirs, à Manhattan engloutie par les eaux et même jusqu'aux profondeurs de l'intelligence artificielle…   

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STAR WARS: CLONE WARS – VOLUME 1 (2003 – 2004) de Genndy Tartakovsky – USA - (VF) – 1h06

• Volume 1 de la série d’animation 2D, créé par Genndy Tartakovsky (Samouraï Jack), faisant le lien entre l'épisode II et III de la saga Star Wars.  Le volume 1 comprend les 2 premières saisons (composés de courts épisodes de 5 minutes). • À suivre dans le Volume 2 (3e et dernière saison)...   • À ne pas confondre avec la série d’animation 3D Star Wars: The Clone Wars (2008-2020) disponible sur Disney + Synopsis : Quatre mois se sont déroulés depuis la Bataille de Geonosis, depuis le début de la Guerre des Clones... Les deux blocs enchaînent succès et échecs dans une course meurtrière. Les armées de droides Séparatistes accélèrent leur vague de destructions et de conquêtes. Le Comte Dooku est à la recherche d'armes de destruction et d'apprentis Jedi noirs. Du côté de la République, les armées s'organisent, dirigées par les Généraux Jedi. Ceux-ci se lancent sur tous les fronts, enchaînant les exploits tant stratégiques que militaires. De nouvelles armes et de nouveaux types de clones leur sont proposés. Parmi eux, les ARC Troopers représentent le meilleur en matière de soldats d'élites. Pendant ce temps, Anakin Skywalker et son Maître Obi-Wan Kenobi deviennent des légendes... Partie 1 - CLIQUEZ ICI Partie 2 - CLIQUEZ ICI ______________________________________________________________

LA TOUR AU-DELÀ DES NUAGES – The Place Promised by our Early Days (Kumo no mukō, yakusoku no basho) de Makoto Shinkai – 2004 – Japon – (VF) - 1h31

• Premier long-métrage du japonais Makoto Shinkai, digne successeur de Hayao Miyazaki sur le terrain du cinéma d’auteur animé.  Shinkai développe souvent ses scénarios autour d’un même thème: la persistance des liens humains à travers le temps et l’espace.  

Synopsis: Une tour immense dont le sommet est invisible à l'oeil nu... Cette tour est au centre de tous les débats et fantasmes : elle a marqué un tournant décisif dans le pays et symbolise sa scission en deux : le Nord occupé par l'Union et le Sud allié aux États-Unis. Deux amis, Hiroki et Takuya, rénovent un avion et rêvent d'approcher la tour pour voir enfin ce qui se trouve au-delà. Une fille mystérieuse prénommée Sayuri se joint à eux. Les deux adolescents promettent à Sayuri de l'emmener avec eux voir la tour. Mais tout s'arrête brusquement le jour où la jeune fille disparaît sans laisser de traces. La promesse est rompue. Hiroki et Takuya abandonnent leur rêve et se séparent pour suivre chacun leur route. C'est alors qu'Hiroki reçoit avec trois ans de retard une lettre envoyée par Sayuri expliquant sa situation.

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LE CHÂTEAU AMBULANT - Howl’s Moving Castle (Hauru no ugoku shiro) de Hayao Miyazaki – 2004 – Japon – (VF) - 1h59

• Libre adaptation par Hayao Miyazaki (Kiki la petite sorcière) d'un roman de Diana Wynne Jones, Le Château de Hurle.

“Sophie, une orpheline de 18 ans, travaille dur dans la boutique de chapelier que lui a laissée son père. Un jour, en ville, elle croise Hauru, un magicien très séduisant mais faible de caractère. Une sorcière, se méprenant sur leurs sentiments, change Sophie en une vieille femme de 90 ans. Désespérée, Sophie erre dans la campagne quand elle aperçoit un étrange château qui se déplace sur d'immenses pattes.”

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LA MARIÉE CADAVÉRIQUE (The Corpse Bride) de Tim Burton – 2005 – (VF) - USA – 1h16

• Film en stop-motion réalisé par Tim Burton (producteur et scénariste de L’Étrange Noël de Monsieur Jack [1993]).  

Synopsis: Au xixe siècle, dans un petit village, Victor Van Dort, fils de nouveaux riches, et Victoria Everglot, fille de petite noblesse dont les parents sont ruinés, sont promis l'un à l'autre. Le coup de foudre est immédiat entre ces deux personnages touchants de gaucherie pour lui et de douceur pour elle.

Par mégarde et dans des conditions fantasmagoriques, Victor se retrouve marié au cadavre d'Emily, une mystérieuse mariée morte, qui l'entraîne de force dans le monde des morts. Même si la « vie » dans ce monde paraît bien plus joyeuse que dans celui des vivants, Victor ne peut oublier Victoria.

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WALLACE ET GROMIT : LE MYSTÈRE DU LAPIN GAROU (Wallace & Gromit: The Curse of the Were-Rabbit) de Nick Park et Steve Box – 2005 – Royaume-Uni | USA – (VF) - 1h25

• Premier long-métrage du studio britannique Aardman consacré aux personnages de Wallace et Gromit (pour voir les courts-métrages qui leur sont consacré, voir ma playlist “Cartoons en temps de pandémie” dans la section “courts-métrages” plus haut)

• Le film a été conçu en animation selon la technique de la pâte à modeler.  

Synopsis: Une fièvre végétarienne intense règne dans la petite ville de Wallace et Gromit, et l'ingénieux duo a mis à profit cet engouement en inventant un produit antinuisibles bienveillant et écolo qui épargne la vie des gentils lapins. À quelques jours du Grand Concours annuel de légumes, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si un lapin géant ne venait soudain s'attaquer aux potagers de la ville.

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LA TRAVERSÉE DU TEMPS - The Girl Who Leapt Through Time (Toki o kakeru shōjo) de Mamoru Hosada – 2006 – Japon – (VF) - 1h38

• Anciennement employé chez Toei Animation (Digimon), Mamoru Hosada (Les Enfant Loups, Ame et Yuki [2012]) part travailler chez Madhouse de 2005 à 2011.  C'est là qu'il réalise son premier film mature, La Traversée du Temps.

Synopsis: Makoto est une jeune lycéenne comme les autres, un peu garçon manqué, pas trop intéressée par l'école et absolument pas concernée par le temps qui passe ! Jusqu'au jour où elle reçoit un don particulier : celui de pouvoir traverser le temps. Améliorer ses notes, aider des idylles naissantes, manger à répétition ses plats préférés, tout devient alors possible pour Makoto, mais influer sur le cours des choses est un don parfois bien dangereux, surtout lorsqu'il faut apprendre à vivre sans !

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5 CENTIMÈTRES PAR SECONDE (Byōsoku Go Senchimētoru) de Makoto Shinkai – 2007 - Japon – (VF) - 1h05

• Le bijou de Makoto Shinkai (auteur de La Tour au-delà des nuages [2004]).

5cm Per Second est formé de trois histoires :

Ōkashō (桜花抄, Essence de fleurs de cerisier?)

Kosumonauto (コスモナウト, Cosmonaute?)

Byōsoku 5 senchimētoru (秒速5センチメートル, 5 centimètres par seconde?)

L'intrigue se déroule au Japon entre le début des années 1990 et 2008. Chaque partie est centrée sur un garçon nommé Takaki Tono.  Le thème est l'amour au-delà des distances (sujet fétiche de Makoto Shinkai).

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PONYO SUR LA FALAISE (Gake no ue no Ponyo) de Hayao Miyazaki – 2008 – Japon – (VF) - 1h40

• Ponyo peut se voir comme une adaptation très libre par Hayao Miyazaki (Le Château dans le Ciel) de “La Petite Sirène” d’Anderson. 

• Le travail sur le film démarre en 2006. Son style s'inspire beaucoup des aquarelles, une première pour un film Miyazaki.

• Miyazaki a préféré dessiner la mer et les vagues lui-même et a apprécié d'expérimenter la façon d'exprimer cette partie importante du film. Ce niveau de détail est le résultat de 170 000 images différentes, un record pour un film de Miyazaki.

Synopsis: Le petit Sosuke, cinq ans, habite un village construit au sommet d'une falaise qui surplombe la Mer Intérieure. Un beau matin, alors qu'il joue sur la plage en contrebas, il découvre une petite fille poisson rouge nommée Ponyo, piégée dans un pot de confiture. Sosuke la sauve, et décide de la garder avec lui dans un seau. Ponyo est aussi fascinée par Sosuke que ce dernier l'est par elle.

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PANIQUE AU VILLAGE (2009) de Stéphane Aubier et Vincent Patar – Belgique | Luxembourg | France – (VOF) – 1h14

• Film d'animation conçu à l'aide de petites figurines et adapté d'une série de petites capsules diffusés sur Canal +

Synopsis: Cowboy et Indien veulent souhaiter un joyeux anniversaire à Cheval. Ils commandent un barbecue à faire soi-même sur Internet, mais la commande dérape et ils se font livrer 50 millions de briques. Amour, aventure et émotion... Du centre de la Terre au Pôle Nord en passant par l'Océan Atlantique.

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FANTASTIQUE MAÎTRE RENARD (Fantastic Mr. Fox) de Wes Anderson – 2009 - USA – (VF) - 1h27 

• Film réalisé en stop-motion par Wes Anderson (Isle of Dogs [2018]) d’après un livre pour enfant de Roald Dahl (Le Bon Gros Géant)

Synopsis: Monsieur et madame Renard volent ensemble tout ce qu'ils peuvent ; mais ils décident de tout arrêter pour mener une vie de famille idyllique avec leur fils, Ash.

Après douze ans de vie familiale paisible, l'existence bucolique est trop pesante pour les instincts animaux de Foxy. Un jour, leur neveu Kristofferson vient en visite. Très rapidement, Fox revient à son ancienne vie de voleur et, ce faisant, met en péril non seulement sa famille bien-aimée, mais aussi la communauté animale tout entière. Mr Renard est en effet très attiré par le cidre, dont Boggis, Bunce et Bean sont de grands possesseurs. Coincés sous la terre, sans assez de nourriture pour tout le monde, les animaux commencent à se rassembler pour lutter contre Boggis, Bunce et Bean, trois fermiers déterminés à saisir l'audacieux monsieur Renard à tout prix. Qui plus est, Mr Renard est également recherché par une ancienne connaissance de Foxy, le dangereux et terrifiant Rat, qui depuis est devenu le gardien de sécurité personnel de Bean.

Disponible ICI

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VOYAGE VERS AGARTHA - Children Who Chase Lost Voices (Hoshi o ou kodomo) de Makoto Shinkai – 2011 – Japon – (VF) – 1h56

• Par le créateur d’origine japonaise Makoto Shinkai, réalisateur de 5 Centimètres par Seconde (2007), Your Name (2016) et Les Enfants du Temps (2019).

• Il s’agit d’un exercice “miyazakien” de la part de Makoto Shinkai (qui s’éloigne, le temps d’un film, de ses univers intimistes).   Synopsis : Depuis la disparition de son père, Asuna une jeune écolière, a pris pour habitude de s'isoler dans les collines pour écouter les chants étranges provenant d'un émetteur qu'il lui a légué. Sur la route menant à son refuge secret, elle est attaquée par un monstre gigantesque et sauvée par Shun, un garçon à l'allure héroïque. Avant de disparaître, ce dernier lui dit venir d'un monde oublié appelé Agartha. Cliquez ICI

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LES AVENTURES DE TINTIN: LE SECRET DE LA LICORNE (2011) de Steven Spielberg – USA | Nouvelle-Zélande – (VF) - 1h47

• Adaptation qui entrelace 3 albums de Tintin, “Le Crabe aux Pinces d’Or”, “Le Secret de la Licorne” et “Le Trésor de Rackham le Rouge”.  

• Film d’animation réalisé selon la technique de la “performance capture” où les mouvements d’acteurs sont remplacés par ceux d’avatars numériques représentant les dessins d’Hergé.   

• On a souvent associé les aventures d’Indiana Jones à celles de Tintin.  Il n’est pas étonnant que le réalisateur d’Indiana Jones, Steven Spielberg, ait fini par faire sa version de Tintin.    

Synopsis: Parce qu'il achète la maquette d'un bateau appelé la Licorne, Tintin, un jeune reporter, se retrouve entraîné dans une fantastique aventure à la recherche d'un fabuleux secret. En enquêtant sur une énigme vieille de plusieurs siècles, il contrarie les plans d'Ivan Ivanovitch Sakharine, un homme diabolique convaincu que Tintin a volé un trésor en rapport avec un pirate nommé Rackham le Rouge.

Disponible ICI

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LE JARDIN DES MOTS – The Garden of Words (Koto no ha no niwa) de Makoto Shinkai - 2013 – Japon -  (VF) - 0h46

• Moyen-métrage de Makoto Shinkai (5 Centimètres par seconde)

Synopsis: Takao est un lycéen qui rêve de devenir cordonnier. Un jour de pluie, alors qu'il sèche les cours pour dessiner des modèles de chaussures dans un jardin japonais, il fait la rencontre d'une femme, Yukino. Une habitude tacite s'établit progressivement entre les deux : chaque jour de pluie ils se retrouvent dans ce jardin et apprennent à mieux se connaître. Bientôt la fin de la saison des pluies approche... 

Disponible ICI

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LE GARÇON ET LE MONDE (O Menino e o Mundo) de Alê Abreu – 2013 – Brésil – (Film muet) - 1h20

• Ce long métrage d'animation brésilien réalisé par Alê Abreu a remporté le Cristal du meilleur film et le prix du public au festival international du film d'animation d'Annecy 2014.

Synopsis: À la recherche de son père, un garçon quitte son village et découvre un monde fantastique dominé par des animaux-machines et des êtres étranges. Un voyage lyrique et onirique illustrant avec brio les problèmes du monde moderne à travers le regard d'un enfant. 

Disponible ICI

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DE LA NEIGE POUR NOEL (Solan og Ludvig - Jul i Flåklypa) de Rasmus A. Sivertsen – 2013 – Norvège – (VF) - 1h16

• Film d'animation stop-motion produit en norvège.  

C'est bientôt Noël ! À Pinchcliffe, Solan et Ludvig attendent avec impatience les premiers flocons, comme tous les habitants du village. Le temps restant doux, leur ami Féodor, un génial inventeur, décident de fabriquer un canon à neige gigantesque. Lorsque le directeur du journal local s'en empare, Solan et Ludvig doivent intervenir pour éviter la catastrophe.

Disponible ICI

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LE GARÇON ET LA BÊTE (Bakemono no ko) de Mamoru Hosoda – 2015 – Japon – (VF) - 1h59

• Deuxième film qu'a réalisé Mamoru Hosada (La Traversée du Temps [2006]) au sein du studio Chizu qu'il a fondé en 2011.

Synopsis: Shibuya, le monde des humains et Jutengai, le monde des Bêtes. C'est l'histoire d'un garçon solitaire de neuf ans qui vient de perdre sa mère et d'une Bête seule, qui vivent chacun dans deux mondes séparés. Un jour, le garçon se perd dans le monde des Bêtes où il devient le disciple de la Bête Kumatetsu qui lui donne le nom de Kyuta, en rapport avec son âge. Cette rencontre fortuite est le début d'une aventure qui dépasse l'imaginaire.

Disponible ICI

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AVRIL ET LE MONDE TRUQUÉ (2015) de Franck Ekinci et Christian Desmares – Belgique | France | Canada – (VOF) - 1h43

• La création de l'univers graphique de ce film a été conçu par le dessinateur de bande-dessiné Jacques Tardi (Adèle Blanc-Sec)

« 1941. Dans un monde qui n’a pas connu l’invention de l’électricité et carbure encore au charbon, une jeune fille part à la recherche de ses parents, des scientifiques kidnappés par les autorités après avoir créé un sérum d’invulnérabilité capable de faire renaître la nature. »

Disponible ICI ____________________________________________________________

LA GRANDE COURSE AU FROMAGE (Solan og Ludvig: Herfra til Flåklypa ) de Rasmus A. Sivertsen – 2015 – 1h18

• Suite du film d'animation norvégien « De la neige pour noël (2013) »

Solan veut participer à la grande course au fromage qui opposera son village au village voisin et ainsi montrer à tous qu'il est un vrai champion. En secret, il parie même la maison qu'il partage avec Féodor l'inventeur génial et Ludvig le hérisson timide. Solan et ses amis vont vite découvrir qu'il auront à affronter de nombreux obstacles et adversaires de taille lors de cette grande aventure ! Pour remporter la course et sauver leur maison, ils vont braver montagnes, lacs gelés et précipices.

Disponible ICI

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MA VIE DE COURGETTE (2016) de Claude Barras – France – (VOF) – 1h06

• Film de stop motion scénarisé par Céline Sciamma (Le Portrait de la jeune fille en feu [2019]) Synopsis : Courgette, neuf ans, vit seul avec sa mère, alcoolique. Le jour où elle décède, il est accompagné à l'orphelinat par Raymond, un policier qui s'est pris d'affection pour lui. Courgette est accueilli fraîchement par Simon, le chef de la bande des enfants, qui joue au dur avec le nouveau venu. Au fil des jours, Courgette sort de sa mélancolie et finit par sympathiser avec Simon qui lui explique la raison de la présence de chacun dans l'établissement. Partie 1 - CLIQUEZ ICI Partie 2 - CLIQUEZ ICI

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YOUR NAME (Kimi no na wa) de Makoto Shinkai – 2016 – Japon – (VF) - 1h47

• Le premier grand succès de Makoto Shinkai.  Le film se place juste en-dessous du Voyage de Chihiro de Hayao Miyazaki comme l’un des films d’animation ayant fait le plus d’entrée au Japon.  

Synopsis: Mitsuha, une étudiante du Japon rural, et Taki, un étudiant de Tokyo, rêvent chacun — sans se connaître — de la vie de l'autre. Un matin, ils se réveillent dans la peau de l'autre : autre sexe, autre famille, autre maison, autre paysage…

Disponible ICI

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RÊVES ÉVEILLÉS - Napping Princess (Hirune hime: shiranai watashi no monogatari) de Kenji Kamiyama – 2017 - Japon – (VF) – 1h50

• Hommage sympathique aux films de Miyazaki produit par le nouveau studio d'animation Signal.MD.

• Dans le passé, le réalisateur Kenji Kamiyama a travaillé comme artiste des décors sur Kiki la petite sorcière de Hayao Miyazaki

Synopsis: Morikawa, une adolescente qui vit avec son père à Okayama, s'ennuie à l'école et passe son temps à rêver. Notamment de Heartland, un monde à la fois futuriste et médiéval, où elle est une princesse emprisonnée pour sorcellerie.  Dans le monde réel, Morikawa a perdu sa maman et est élevée par son père Momotaro, un homme mutique qui passe la majeure partie de son temps dans son garage à réparer et à modifier des voitures. L'existence de Morikawa bascule quand il est arrêté par la police. Avec son ami Morio, elle va tenter de le libérer et de démêler le mystère de ses rêves étranges.

Disponible ICI

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LE GRAND MÉCHANT RENARD ET AUTRES CONTES... (2017) de Benjamin Renner et Patrick Imbert – France | Belgique – 1h20

Film d'animation à sketches adaptés des bandes dessinées homonymes de Benjamin Renner (co-réalisateur du film).

Synopsis: Le film est constitué de trois histoires courtes, qui se déroulent au moins en partie dans une même ferme et ont en commun certains personnages. Les différents segments sont reliés entre eux par des scènes de transition qui ont lieu sur une scène de théâtre, où un renard s'adresse au public pour présenter les différentes pièces que la troupe d'animaux va interpréter.

Disponible ICI

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Quelques-uns des films proposés dans cet article proviennent du blogue Souvenirs de Ciné-Cadeau créé par Simon Predj.  Une mine d’or de vieux films d’animation diffusés à Télé-Québec dans les années 80 et 90 et que Simon Predj a réussi à retrouver sur de vieilles VHS. Je vous conseille d’aller explorer l’immense sélection de ce blogue nostalgique.  Il suffit de cliquez ICI  

____________________________________________________________ VOF = Version originale française VF = Version française (doublée)

[centredelill]

!FIBD2020!

Le Festival international de la bande dessinée d’Angoulême 2020 c’était du 30 janvier au 02 février et le palmarès est à retrouver dans les médiathèques de Strasbourg. 

Grand prix du Festival d’Angoulême

Emmanuel Guibert

Prix du meilleur album

Liberté (Révolution tome 1), Florent Grouazel & Younn Locard, éd. Actes Sud,  2019

Prix spécial du jury

Clyde Fans, Seth, éd. Delcourt, 2019

Prix de la série

Dans l’abîme du temps, Gou Tanabe, éd.  Ki-oon, 2019

Prix du Patrimoine

La main verte et autres récits, Nicole Claveloux & Edith Zha, éd. Cornelius, 2019

Prix Révélation

Lucarne, Joe Kessler, éd. L’Association, 2019

Prix de l’audace

Acte de Dieu, Nanni Giacomo, éd. Ici Même, 2019

Prix de la BD alternative

Komikaze, Ivana Armanini, édition indépendante

Prix Polar SNCF

No Direction, Emmanuel Moynot, éd. Sarbacane, 2019

Prix jeunesse

Les Vermeilles, Camille Jourdy, éd.  Actes Sud, 2019

Prix jeunes adultes

Le tigre des neiges (tome 4), Akiko Higashimura, éd. Le Lézard Noir, 2019

Prix du public France Télévisions 

Saison des roses, Chloé Wary, FLBLB éditions, 2019

Prix René Goscinny du scénario

Le Dernier Atlas, Gwen de Bonneval et Fabien Vehlmann, éd. Dupuis, 2019

Prix Konishi pour la traduction de manga en français

Stop Hibari Kun de Hisahi Eguchi, traduction par  Aurélien Estager, éd. le Lézard noir, 2018

Prix des libraires de BD

Les Indes Fourbes, Alain Ayroles et Juanjo Guarnido, Delcourt, 2019

[nunc2020]

2017 La dessinatrice de bande dessinée Annie Goetzinger est morte

Dessinatrice au style élégant et sensuel, cette pionnière de la BD féminine est morte à l’âge de 66 ans.

Par Frédéric Potet  Publié le 21 décembre 2017 à 22h29 - Mis à jour le 22 décembre 2017 à 14h42

Son nom avait été mis en avant il y a deux ans, à la suite de la polémique déclenchée lors du Festival d’Angoulême sur l’absence de femmes dans la bande dessinée. Annie Goetzinger aurait mérité, oui, de figurer au palmarès du Grand Prix qui, chaque année, récompense un auteur ou une auteure pour l’ensemble de son œuvre.

L’élégance de son dessin, la variété des sujets traités dans ses albums, son talent de narratrice plaidaient pour qu’elle rejoigne Florence Cestac, seule femme à ce jour à avoir reçu la plus prestigieuse distinction décernée par le neuvième art. Cette perspective ne se réalisera jamais. La dessinatrice est morte, mercredi 20 décembre, à l’âge de 66 ans des suites d’une longue maladie.

Née le 18 août 1951 à Paris, Annie Goetzinger ne se destinait pas à devenir auteure de bande dessinée, mais créatrice de costumes pour le théâtre. Etudiante à l’Ecole supérieure des arts appliqués de Paris, elle se trouve confrontée à une épreuve de fin d’études consistant à faire une BD. Son professeur s’appelle Georges Pichard, l’un des principaux représentants de la bande dessinée pour adultes (Blanche Epiphanie, Paulette, Ténébrax…). Membre du jury, le scénariste Jacques Lob l’incitera alors à présenter ses travaux à René Goscinny, qui dirige la rédaction de Pilote.

« Prix de la meilleure œuvre réaliste française » à Angoulême

Ses premiers récits complets sont publiés par le magazine à partir de 1972, sur des scénarios de Lob, François Truchaud et Jean-Pierre Dionnet. C’est toutefois chez Glénat qu’elle réalise son tout premier album : Légende et réalité de Casque d’or, une évocation romancée d’Amélie Elie (1878-1933), prostituée du Paris de la Belle Epoque. L’ouvrage recevra en 1977 le « prix de la meilleure œuvre réaliste française » à Angoulême.

Son premier « vrai » succès arrive en 1978 avec Felina, qu’elle lance dans le journal Circus (avant de la poursuivre dans Pilote puis dans Charlie mensuel). Ecrite par Victor Mora, cette série met en scène une sorte de Fantomas au féminin, dont les aventures se déroulent au début du XXe siècle, période qui met en valeur le trait réaliste et sensuel d’Annie Goetzinger, très influencée à ses débuts par l’Art nouveau.

Lire l’enquête :

Bande dessinée, l’affaire des femmes

En cette même année 1978, elle réalise une biographie de George Sand, Aurore (Editions des Femmes), sur un texte d’Adela Turin, album qui sera récompensé à la Foire du livre de jeunesse de Bologne.

Sa collaboration avec le scénariste Pierre Christin date de cette époque. Avec lui, elle entreprendra d’abord l’illustration de plusieurs récits-portraits historiques, chez Dargaud – La Demoiselle de la Légion d’honneur, La Diva et le Kriegspiel, La Voyageuse de petite ceinture, Charlotte et Nancy – avant de poursuivre avec des one shots remarqués (Le Tango du disparu, Le Message du simple, La Sultane blanche…), puis une série policière située dans le Paris populaire des années 1950, l’Agence Hardy (Dargaud).

Partie vivre pendant quelques années à Barcelone, elle signera entre-temps plusieurs ouvrages ayant pour décor la capitale catalane, notamment Barcelonight (Les Humanoïdes associés) et Mémoires de Barcelone (sur un texte de Montserrat Roig, La Sirène).

De retour à Paris, elle succédera à un autre auteur de bande dessinée, André Juillard, dans les pages du quotidien La Croix pour illustrer la chronique hebdomadaire de Bruno Frappat. Son dernier dessin date du 9 décembre : il représente, côte à côte, deux grands disparus de cette fin d’année, Johnny Hallyday et Jean d’Ormesson.

Dates

18 août 1951 : naissance à Paris

1972 : entrée au magazine Pilote

1975 : Casque d’or, premier album

1978 : Felina

Années 1980 : collaboration avec le scénariste Pierre Christin

1999 : collaboration au quotidien La Croix

20 décembre 2017 : mort à Boulogne-Billancourt

Frédéric Potet

[barbidule44]

Le mois dernier, j’ai postulé, pour la BD fait son festival sur Priceminister, et mi-mars j’ai su que  j’avais été retenue, et allais recevoir une des 3 BD que j’avais sélectionnée dans la liste.

J’ai donc reçu Martha et Alan – D’après les souvenirs d’Alan Ingram Cope de Emmanuel Guibert 

Alan Ingram Cope était un ami américain d’Emmanuel Guibert, qu’il a rencontré à l’Ile de Ré, et dont il a recueilli ses souvenirs.

Je ne suis pas particulièrement doué en critique littéraire, on peut même dire que c’est ma première, là. Je vais donc essayer de faire au moins pour vous livrer mes impressions. Soyez indulgents ! :-)

Alan Ingram Cope est né en Californie en 1925, et est décédé en France en 1999. Il a été envoyé sur le front de guerre,  s’en est sorti et est resté vivre en France sur l’Ile de Ré. C’est là, en 1994 qu’il a fait la connaissance d’Emmanuel Guibert, et qu’ils ont échangé pendant plusieurs années.

Emmanuel Guibert en a tiré 3 BD : La guerre d’Alan (en 3 volumes ou l’intégrale), l’enfance d’Alan, et celui-ci : Martha et Alan.

  Dans ce livre, il s’agit des souvenirs d’enfance d’Alan et de son histoire avec Martha, qu’il a connu lorsqu’ils avaient 5 ans, en Californie du Sud, à l’époque de la Grande Dépression.

Tout a commencé le jour où Alan a pris la défense de Martha, qui était exclue d’un jeu par les autres enfants.

De là, est née leur amitié, et, aussi, leur premier amour (il se voyait l’épouser une fois adulte).

On y suit leurs jeux, leurs rêves, leurs parents, l’arbre dans lequel ils grimpaient, la balançoire du jardin, les blessures, les chorales à l’église, les Noëls quand le chœur partait chanter chez cette riche vieille dame qui leur offrait ensuite un chocolat chaud, la mort du père d’Alan et son remariage avec une plus jeune femme, qui finira par lui interdire de voir Martha, et lui, Alan, qui n’osât pas protester.

Puis il perdit de vue Martha et c’est à 18 ans, avant d’aller à l’armée, qu’il se décida à aller la voir.

Puis 2 ans plus tard, avant d’aller à la guerre, il retourne chez elle pour la revoir, mais elle n’est pas là, c’est la mère de Martha qui le reçoit et lui apprend qu’elle est malade, et…fiancée.

« Horrifié et bouleversé », il part à la guerre, et ne la reverra plus.

Puis le temps a passé, Alan a vécu sa vie, il s’est marié, il a eu des enfants, et a fini par s’installer en France.

Un jour, désireux de reprendre contact, il arrive à avoir son adresse, par des amis communs.

Il lui écrit.

Et Martha lui répond. Une longue lettre, très belle, très touchante.

Ils ont ensuite continué à correspondre….

Le livre finit sur cette phrase : « ça prouve qu’on était quelque chose l’un pour l’autre ».

Je dis ce livre, au lieu de dire BD, parce que ce n’est pas une BD comme on en a l’habitude, parce que ce n’est pas découpé en cases avec des bulles, chaque page est carrément un tableau, le texte n’est presque jamais écrit dans une bulle, sauf quand un personnage parle.

Les illustrations sont d’une vraie beauté, on dirait vraiment une peinture, un peu de pointillisme, un peu de jeu avec l’ombre et la lumière, et accentuent l’univers poétique teinté de nostalgie et de tendresse, une histoire de gens simples et attachants.

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    Vidéo :Comment j’ai dessiné… “Martha et Alan” par Emmanuel Guibert :

   https://www.youtube.com/watch?v=pi1WKkgwfMo

  Je suis vraiment ravie d’avoir pu découvrir ce livre (ou cette BD, si vous préférez), je l’ai vraiment beaucoup aimée, et maintenant je compte bien lire les autres de cette série, « l’enfance d’Alan » et « la Guerre d’Alan » (un peu, toutes proportions gardées, comme une sorte d’Antoine Doinel dont on suivrait la vie… )

  En tous cas, merci à Priceminister d’avoir pu me permettre de participer à cette opération, et si vous aussi vous avez envie de découvrir ce livre/cette BD, voici le lien : Martha et Alan et j’espère qu’il vous donnera autant de plaisir qu’à moi.

  Si je devais lui donner une note ? Eh bien, je lui mettrais 20/20. Oui, oui. 20/20. Tout à fait.

  Martha et Alan, BD d’Emmanuel Guibert Le mois dernier, j’ai postulé, pour la BD fait son festival sur Priceminister, et mi-mars j'ai su que  j’avais été retenue, et allais recevoir une des 3 BD que j’avais sélectionnée dans la liste.

[oltnews]

Death metal starts at 2:43 p.m. It's strong. And it comes from inside the church. The noise is a proud and unmanageable fury, like a pricey bull dragged to the slaughterhouse by its copper nose ring. The idyllic calm of the countryside in the south of France, the gentle friction of the cicadas and the warm breeze that sweeps over the Mediterranean is torn along the spine by lamentations, demonic voices and distortion of the pedals. Everyone outside, some drinking small glasses of Marseille pastis in the heat of the 37 ° C, turn to look at the church door and then towards each other.Despite the break, the broken peace, it is a positive sign for those who want an audience with our host. The man would have slept inside the small walk-in chapel - his original denominational space transformed into a cupboard, his cloister now used as an artist's studio with large unfinished canvases leaning against the perimeter - must surely be awake. No one could sleep through what sounds like Satan's alarm bells.Two weeks ago, there was an invitation, confirmed late yesterday, to come to Johnny Depp's villa and speak openly and without reservations. If you get up at 5 a.m. in north London, take the first British Airways flight to Heathrow around 7:45 a.m. and take an hour east taxi along the burnt yellow coast after Cannes , in front of Fréjus and not quite towards Saint-Tropez, you will find yourself in the rural town of Hameau De Gassin, lined with rows of young short vines, forming tracks like natural tresses, their bruising fruits begin all just to inflate and sag with new weight.The Depp complex, made up of around seven or eight small stone houses, stands above this calm and unprecedented old town, with a view that extends over the undulating Ligurian Sea. On a clear day, you can walk to one of the area's many high rocky outcrops, squint, and see the island of Corsica and beyond, the waters rich in fables and myths, where scholars believe that the Ulysses of Homer ordered his crew to attach him to his own mast to hear for himself the song of the sirens.Squint louder and you could see the west coast of Italy sparkle, with Pisa, Genoa and, beyond, the beauty and corruption of Florence. Earlier, I arrived at the gates of the complex, passing by director Tim Burton and his family, who had gone on a boat trip with various children, kissed by the sun and smiling. Burton has stayed with Depp for the past few weeks, enjoying the private baked utopia.After being buzzed, a golf cart driven by a native by the name of Daniele takes me to the main complex of buildings. Daniele - a man in his late sixties with an impressive whipped cream mustache and a long ivory ponytail who, it should be noted, looks surprisingly like Asterix by René Goscinny and the famous French comics by Albert Uderzo - the man from whom Depp bought the original 19th century land and houses 20 years ago. It was bought by Depp and Vanessa Paradis, his partner at the time, as a sanctuary, a place to escape with the children, to play freely away from the beams of Los Angeles and Paris.When the estate was listed on the market in 2015 for $ 63 million - a wake-up call to the actor 's financial troubles - many reports described the property as a "village complex." As our tires make their way down the wide gravel path to the collection of stone buildings, it's easy to see why.There is a modest main house with patinated blue shutters, almost entirely covered with wavy and bright green foliage. There is a hidden pool, a gazebo, a stone deck with a wooden shade and a clutter of about four or five bedrooms and bathrooms. The sloping, almost flat roof is terracotta, while on the lower side a heavy wooden door leads to a wine cave, now transformed into a cozy one - if you find the crypts comfortable. The space is dotted with candle drops and cowhide throws.From there we turn right, pulling inside what looks like the main courtyard of the estate, or the village square, a place where the road widens and reaches a natural meeting point, a plot of gravel with a small tree in its center. In front of us, 30 feet away, is the silent church with its locked door, while to our left is what appears to be a quintessential French cafe, a building that was originally intended for to be a garage. The brown fabric blind of the café has a name in an Art Nouveau style, "Chez Marceline", which refers to Marceline Lenoir, Paradise's long-time agent.At a polished wooden table in front of the cafe, two men are sitting sipping Evian. Their names are John Evans and Daniel Rolle and they are waiting for us. The looks of Evans and Rolle are Mayfair's hedge of the road one on an external site: crisp pale blue shirts (tucked in), narrow but not too thin indigo jeans, a woven belt at the hips and a Rolex vintage on the wrist. It's clean, tasteful and quietly refined, rather than something ostentatious or flashy.Evans and Rolle have been the benchmarks for logistics today. They work for a London company called Hawthorn, a public relations firm that, among other things, specializes in crisis management for businesses and wealthy individuals.One of Hawthorn's partner companies in the United States consulted on the sale of The Weinstein Company, but it should be noted that Evans himself advised against such a move, despite the "ridiculous fees" offered. Companies like Hawthorn don't do minor skirmishes or call editors to get corrections in the entertainment pages; it is a business that calls exceptionally wealthy customers if there is no one else to call. They are the Harvey Keitels of this world: wolf men, repairers, specialists in adjusting the public image, polymath corporate strategists.Ben Elliot, nephew of the Duchess of Cornwall, is co-founder and partner of Hawthorn. He also created Quintessential, the concierge service for the wealthy elite - consider heli-skiing off Everest's Hillary Step or a suite with balcony overlooking the Monaco Grand Prix. It was Elliot who made the first contact to ask if GQ would be interested in meeting and talking to Depp.Although Depp was someone who had long pointed out his contempt for the media - someone who chased paparazzi with a wooden board in front of a London restaurant to photograph his children - we were informed that he wanted to speak.It's about two months after the publication of a widely read article Rolling stone interview, entitled "The problem with Johnny Depp". It's an article Depp will talk about later, tackling it as he does on most subjects, with a kind of vengeful nonchalance. He is a man, I will come to understand, who will be happy to spill his guts all over the table, while remaining casual about the causes and effects. This "freshness", we suspect, is his armor. The actor refers to the Rolling stone article as "a sham". In fact, it goes much further. "I was deceived. The guy [journalist Stephen Rodrick] entered with absolutely an intention. And I could see it and I thought maybe I could help him understand, you know?"I trusted Jann Wenner[co-founderandeditorof[cofounderandpublisherof[cofondateuretéditeurde[cofounderandpublisherofRolling stone], as I knew him from Hunter [S Thompson, the late writer and a mentor of Depp]. I trusted what the magazine represented or what it represented. I wanted Jann to see if he could write, if a song could be written ... to put things in perspective. That's it, just to put things in perspective. "Perspective can be a treacherous thing. He can be deceived. It can be manipulated. Perspective, after all, is inherently subjective. Yet Depp was right to be belligerent. Anyone who didn't know better would have read this Rolling stone profile - with a digital silo of clippings and bait that has been piling up regularly on the star's life in recent times, her financial troubles, her savage and hostile divorce from American actor Amber Heard, accusations of domestic violence that in a libel case in the UK, and this videotape - and walk away with a pretty dark photo of the 55-year-old man.The article said that Depp was on the verge of bankruptcy: having made $ 650 million on films that made about $ 3.6 billion, but "almost everything is gone". Just a few weeks ago, Depp was suing his longtime business partner, Joel Mandel, and Mandel's brother, Robert (and their company, The Management Group [TMG]) for negligence, breach of fiduciary duty, fraud, forgery and theft.The lawsuit claimed that as a tax filer, TMG failed to pay Depp's taxes on time for the 16 years of its representation, which cost Depp more than $ 8.3 million in penalties. Depp's trial also highlighted TMG's conflicts of interest, their alleged wrongful investment of the star's money in companies with which they had a relationship, and the fact that they allowed Depp's immediate family members to spend his fortune without authorization or knowledge. TMG filed a counterclaim against Depp for breach of contract and fraud, claiming that the actor was responsible for any financial crisis he was in. Last summer, the Wall Street newspaper and others have said that former Depp business leaders are under investigation by the US IRS, the Department of Justice, and the Securities and Exchange Commission for bank fraud and money laundering.By the time I reach Depp in his French villa, the dispute has settled and later this month, in August, he will win the first step in a separate case against his longtime lawyer Jake Bloom, more than $ 30 million paid to the former Depp. Bloom Hergott lawyers by former business leaders without any contract. The latter seems to be a kind of justification for Depp. "Hollywood rocked," reported an industry headline.Sitting with hawthorn leaders at Chez Marceline, waiting for Depp to emerge from his picturesque and non-denominational hideout, there are also emerging stories about Heard and the acrimonious separation of the couple. Heard filed for divorce in May 2016, just 15 months after the couple's marriage in February 2015. Heard court records cited "irreconcilable differences", with a temporary restraining order granted to Depp, whom Heard accused of violence domesticated. A widely circulated leaked video purported to show Depp "tossing a glass of wine" to Heard and the 32-year-old lawyers had previously claimed that Depp had "violently attacked" her. Heard herself was arrested for domestic violence against a previous partner in 2009. Heard denied the charge and no charges were laid.The statements then range from disturbing to downright bizarre. Although the couple's divorce settlement was reached in August 2016 - with Depp paying $ 7 million and the restraining order lifted - even this morning, on my way to the Depp complex, history la The strangest thing to date has emerged from their volatile relationship, that Heard is said to have defecated in the star's bed after a particularly unpleasant argument in April 2016. Heard released a statement last night saying the incident was far from dirty protested on his part, but instead attributed the deposit to his dog, a 4 lb Yorkie teacup called Boo, who suffers from intestinal problems.When I hear the satanic noise gushing from the church of Depp in France, that makes me wonder: who, or what, will I meet today, at his home, inside his sanctuary? An actor paralyzed by fame, money and excess? A relic of an old system of Hollywood stars that is broken and shamefully aging? Someone who just doesn't fit into the brave new era, a time when scandal and stories can no longer be hidden or buried under an avalanche of imposed NOA?"Are we going to sit in the sun, talk, get heatstroke, throw up and die?" May be later'Or is Johnny Depp just a man who has been wronged and has a genuine desire to protect his name and his past work so that he can begin to recover from what was a period of his life that he would no longer forget early? Does he seek revenge on an industry - and of certain individuals - which, according to him, profited from his naivety? Is he a man who still believes in trying to be the underdog, an artist who desperately wants to be free from responsibility, something that could be confused with isolation and eccentricity but who is in fact something closer to a belief in the romantic rebellion?"It's time. He's ready."As I head for the church where the demonic wall of noise has finally been silenced, I realize, perhaps for the first time, that I have no idea who or what will appear. , flashing in warm white light. It is like getting into the eye of everything that revolves around this man and his amazing life. As the church door opens and I hear a cough, I wonder: where does the myth of Johnny Depp end and where does the truth of who Johnny Depp really begin?"Are you a John or a Jonathan?""I'm Jonathan," I say. "You must be Johnny.""Johnny, John ... I'm a John. Is it Jon-a-than or Jon-a-thon? I'm John Christopher Depp II. I have a number after my name that makes me noisy ... I don't know, bigger than I should be. "Immediately there is that smile, the one that oscillates between charm and mischief, heroic and mean. His eyes will remain behind a huge pair of reflective aviator hues for the next four hours. "Shall we sit in the sun, talk, get heatstroke, throw up and die?" Pause. And then the head comes back immediately with laughter. "May be later.Come on, Jonathan, there's a really cool little corner I want to show you ... " Depp emerged from his sleep looking if not healthy, then certainly healthier than I thought. Friends I have spoken to about my mission have expressed concerns about Depp's mental and physical state - most with little or no actual factual knowledge, it must be said - many referring to a recently taken image of the star during a tour in Europe with his group, Hollywood Vampires.The photograph, taken by a fan, showed Depp lean, pale and needing a little sleep - or at least a big green juice and once around the block on a SoulCycle. Not only that, but, perhaps more disturbingly, her usual battered fedora had been replaced with a baseball cap, a baseball cap with the word "fugly" on it. Johnny Depp? In a baseball cap?Today, however, Depp's skin is clear and without bloating or puffiness. It should be added, however, that his clothes are less intact. He is wearing a baseball cap and his shirt in particular seems to have had his arms removed, as if he once belonged to Bruce Banner, an anger management course before anger. In fact, the shirt is unlike anything I've ever seen before: partly a dress shirt, but with a mandarin collar, but no sleeves. On his shirt is a blue vest with fine stripes and around his neck are various chains, trinkets and talismans.At the end of a necklace is a silver "gonzo fist", the icon characterized by two thumbs and four fingers holding a peyote button originally used in the 1970's Hunter S Thompson campaign for the county sheriff. from Pitkin, Colorado. Thanks to Thompson's prolific life and writing style, the fist has become a symbol of gonzo journalism as a whole. For Depp, it's both a memory of his late friend, someone he once lived with in a basement at Owl Farm, Thompson's base camp in Aspen, Colorado, and a reminder of the way of working and living, with a strong sense of the individual and detached from business or tax systems. As Depp says so often, "Beat the system from the inside out."The jeans are loose and a patchwork of blues, holes that have been repaired and sewn countless times. The history of wearing Depp's pants has always been, to say the least, uneven, always as if he had just broken up with a werewolf. He was taking a child to a birthday party in Los Angeles when he realized that his jeans had a hole the size of a hubcap on the back. Rather than change, which would have made sense, he grabbed a roll of silver ribbon and shaped his own load.Depp's belt is something else. It is in worn brown leather, but the buckle is attached to the side rather than the front. This is unusual, I note, as we head to a huge stone table where we will sit and talk in the shade for the afternoon. "This? Well, it's not a Texas belt buckle. You know what the Texas belt buckle is?" I have to admit, no. "Well, a Texas belt buckle is where you have to pull your scrotum over the top of your jeans without undoing them. All along and again. Oh, the horror of it all ... You have to bring your dick back and stick it ... Your dick has to go around the elbow in a sort of half fruit basket and then, well, then you're fucked. You pull your testicles over and let them sit there. It's a Texas belt buckle. Then, of course, there is a Dirty Sanchez, which is something else entirely. "Dirty Sanchez", in which I managed to sneak Pirates... "For those who don't know what a Dirty Sanchez could be, all you need to know is that it's a term that originated in the LA porn industry spitter, something that could be occur when certain projecting members are stuck in certain holes, then in certain other holes. I'll give free rein to your imagination, but let's just say it's unfathomable and a term for an obscene sexual act that could not be less appropriate to be included in a 300 million dollar Disney movie about a pirate, himself family-based ride in a theme park in Florida."Yes I [said] in Pirates and they never caught him when he went to the movies, "chuckles Depp as he sits across from one another. "They caught him when he went on DVD. I did it because I wanted to see who Disney would be to find it ... "As for why Depp wanted to know who would be the person who reported such a thing, it is not clear, even if the fact that he is still proud to have included the obscene term in this first blockbuster - although as a mumbled, almost incoherent entry - and the eyeballs (and ears) of past companies are not negligible.It serves to illustrate what has been and is still, at the moral heart of Depp, a conflict that bubbles and foams under the surface of the actor: the fight to be faithful to his artistic sensitivity while being a voluntary participant and a billion dollar figurehead - free of dollars. This is the age-old problem faced by many successful creators, that of art versus trade.Jack Sparrow was for Johnny Depp what Iron Man would eventually become for Robert Downey Jr: a world hit which made the actor rotate - or at least his image - that of a somewhat gruff young indie who had already illustrated the disgust of being a teenage pin-up (via 21 Jump Street), wore oversized vintage leather jackets and smoked Marlboro Reds while passing wild fashion cats like Kate Moss, to a global megastar with its own line of merchandise, including a 10-inch tall pirate figure with removable cutlery and leather slippers.It was the time when the man who played Ed Wood became Mickey Mouse, although Mickey Mouse had a penchant for a bottle of Château Calon Ségur (2014). "I was freaked out by that," he admits when he realizes where the game is going to take him, rather than the music, which had always been his main creative outlet. "I mean, at first I really didn't care. But I started to enjoy it. I liked creating these characters up there, being in the trenches and facing collaborators, actors, directors ... The problem with working with these big studios is that they may feel uncomfortable with some of the creative decisions you make. Pirates. I think if the studio is not worried, I am not doing my job properly. "Did Disney try to change its Pirates performance? "Disney hated me. [They were] thinking of all the means to get rid of me, to fire me. "Oh, we're going to have to caption it." "We don't understand Captain Jack Sparrow. What's wrong with him?" "What's wrong with his arms?" "Is he drunk?" "Is he mentally stunned? "" Is he gay? ""I ask Depp directly: did Disney ask if Jack Sparrow was being played as overtly gay in Pirates? “They asked me, 'Is he gay? And I answered the question over the phone. It was a lady named Disney's Nina Jacobson at the time [Jacobson is herself gay, it should be noted, and has long campaigned for greater diversity within the all-male club of old Hollywood boardrooms] and she asked me a few questions, then said, "What is it, Johnny? Is he gay? "My tendency, of course, is to be irreverent so I said," Nina, didn't you know that all of my characters are gay? "It was a fairly brutal end to the conversation. And I continued to shape Jack as I thought best."Was Depp mad at Disney for his lack of vision? His lack of confidence? "No. I told them," Look, you don't like what I'm doing, fire me. You hired me to do some work and play the character and that's what I want to do. "C "is work. I mean, hadn't they seen the work I had done before? You might want to take a look at it before hiring a motherfucker, you know?"Did he feel justified once it was clear that his treatment for Jack was going to work, when the audience fell in love with him? “I knew I was right. Even the very first time when they came back to me and said, "No, no, what is it? Even when the other actors looked at me like I was an absolute threat, I stayed with it. I mean, the older actors probably thought, "Jesus Christ, he sank." Because I would tear up the script on set. I would be a thug. I would fly a little to see where things happened. And not everyone appreciates this way of working. Oliver Stone didn't like it when I changed all the lines he wrote for me in Section and that's probably why most of my stuff ended up on the cutting room floor. "Depp and I sit under what can only be described as a tent or canopy of green vines. We are approximately 150 meters from the main house. Inside the tent is a huge table and monolithic stone benches that look like something from the Paleolithic age, marked and grooved with years of wear and deterioration. Depp bought it when they acquired the house. "I made a film with Roman Polanski[[[[The ninth door]in Paris with Vanessa. We had to stay two months and we ended up staying ten years. " While we are talking, Depp keeps his cap and sunglasses. From time to time, he seems a little asleep, stifling a yawn, although after a while he falls asleep and is engaging, consistent and certain. He twists and moves rarely, perhaps folding his legs sideways or sitting cross-legged like some kind of skater / war veterinarian / yogi. Otherwise, it is entirely stationary. He takes care of his answers, expressing himself at a regular rate, without fear of being patient and waiting for the right word to come from his conscience and escape into the ether.A man, perhaps a cleaning lady, brings us refreshments in one of these light blue plastic laundry baskets: sweet tea, green bottle, Coca-Cola, water. No alcohol. Later, I ask Depp if he thinks he has a problem with alcohol: "Do I like a drink?" Yes. Do I need a drink? No. "The only visible defect is the rolling tobacco that he smokes in the licorice papers; he will roll up one every 20 minutes or so and often will not light it immediately. He lets it hang from his mouth, the paper sticking to his lower lip as he talks and answers questions. He has all the warnings on tobacco, all the pictures of blackened lungs, scribbled by an assistant. His fingers are cluttered with rings and his arms are full of black ink.The tattoos have been much discussed: the "Wino Forever" on the upper right bicep being perhaps the most infamous, a modification of what was originally "Winona Forever", which Depp got when he came out with Winona Ryder, the pair who worked together on Tim Burton Edward Scissorhands in 1990. A more recent tattoo said "Slim" in a Gothic font, a letter on each of the proximal phalanges (the bones of the fingers closest to the palm of the hand). Slim was the name Depp called his ex-wife Amber Heard. After the divorce, he changed it to "Scum" and more recently to "Scam"."The truth will come out of this and I will be on the other side of the roaring rapids. I hope other people will too. "There is something in the torments of recent years that, intentionally or not, shakes the surface of such thorny subjects - its breakdown, its reputation, its financial problems. Quite simply, they are in the air. I can feel it. Depp can feel it. And without even being pushed, the subjects fall on the table and ask to be chosen.Depp, it can be said, feels that he has suffered, sometimes resembling an injured animal that has healed and is now ready to bite. He is also, although he can deny it, angry - angry at many things - and he is vengeful and absolutely, categorically certain of his position and his position.“The last three or four years have been felt like a perverse situation that has been inflicted on me. It hurts. "How did the actor take the claims of his long-term managers eviscerating his trust, their relationship, this way?"It is rude to talk about money but, I mean, when I discovered the Pirates 5 the movie had just ended, just before the business owner started saying, "Oh, you have to sell the house in France! Oh my God! Shit hits the fan!" Now my entrance fees - I I'm even embarrassed to say it - for Pirates 5 35 million pounds sterling alone. And then I went on honeymoon after this film and while I was on honeymoon, it was when I got the call from the guy and I said to myself: "What? I don't understand? How is it possible? ""TMG claimed that they had done what they could to manage Depp's finances responsibly and repeatedly warned him that he was spending too much, but he had a different perspective. “My belief was that I didn't need to get wrapped up in the notion of money, how much I made, how much there was. I just knew that I was earning enough money in salary and back-end for everything to go well. Nothing should have gone so sideways. And when I found out, that was when the war started. C'était sous tous les angles. Le juge, vous savez, les a appelés sur toutes les petites allégations personnelles et a dit que vous essayez de décapiter cet homme dans un forum public. Ce n'est pas ce que vous faites. "Depp a une théorie, cependant, sur une conspiration plus large alimentée par les problèmes entourant ses finances et la détérioration du mariage, une théorie qui pointe vers l'industrie hollywoodienne elle-même, "ce vil putain de cirque", comme l'appelle l'acteur. «Mais cela a-t-il empêché tous les marchands de pouvoir à Hollywood qui étaient intéressés à me faire taire? On jetait beaucoup d'argent. Les gens me poursuivent à chaque occasion. Je veux dire, tout est si évident. Écoutez, je sais que je n'allais jamais être Cendrillon - je le sais et je l'accepte. Mais c'était comme si, dans un très, très court laps de temps, cette version - à défaut d'un meilleur mot - de Cendrillon s'était soudainement transformée en bête. Il est Quasimodo.«Je pouvais sentir les gens me regarder différemment, à cause des accusations contre vous. Et puis les gens commencent à mettre des choses dans des magazines: «Il est fou. Il doit passer un test de santé mentale ... "Vous savez, des trucs ridicules. Mais la seule chose que je pouvais faire était de savoir ce que je sais encore. En fin de compte, la vérité éclatera dans tout cela et je me tiendrai du côté droit des rapides rugissants. J'espère que d'autres personnes le seront aussi. Je connais la vérité et si je devais m'éloigner de tout cela aujourd'hui, du travail, de la carrière, de tout cela, et aller au toodle-oo, alors très bien.«Je n'ai rien à prouver à personne, car je n'ai jamais été en compétition avec personne. Je n'achète pas dans cette merde. Je ne suis pas intéressé à recevoir des figurines peintes à la bombe. Vous savez, peut-être quoi que ce soit, quoi que je laisse, vous savez, mon héritage à mes enfants ou aux gens, je n'ai pas regardé 98% de cette merde. Cela peut être complètement fou. Ce peut être de la merde. Cela peut être intéressant. Je ne sais pas ce que c'est. Mais ce que je sais, c'est que j'ai fait quelque chose, et j'ai essayé quelque chose de différent, pendant des années. Cela a-t-il fonctionné? Qui diable sait? Mais je l'ai fait et je vais bien arrêter.«J'adore le processus de création d'un personnage. J'adore la sécurité, vous savez, d'être ce personnage. Je veux dire, il y avait une grande sécurité à être aussi ouvert que possible sur Edward Scissorhands et pour essayer de voir des choses, des choses banales, normales, aussi belles et nouvelles, vous savez? Le capitaine Jack était un animal différent, Ed Wood, un animal différent, Mad Hatter[de[from[de[fromAlice in Wonderland], Willy Wonka[[[[Charlie et la chocolaterie]..."Pourtant, il y a un fil conducteur qui traverse tous ces personnages. Il y a un filament qui les relie. Même s'ils sont tous très différents, ils sont tous très similaires, parce que tout doit provenir d'une sorte de vérité, vous savez? Et la vérité est qu'ils sont tous des putains de inadaptés. Ce sont tous des inadaptés et ils sont tous mal compris. Et jugé de manière condescendante, dans le mauvais sens. »Le message est fort et clair quant à ce que Depp pense être descendu avec sa gestion à long terme et ses partenaires commerciaux. Je me demande: s'inquiète-t-il de sa réputation, de son héritage, notamment en ce qui concerne les femmes? Est-il préoccupé par le fait que tant de ce qui a été publié dans la presse, autant du scandale, a causé une érosion irréversible de sa réputation? Ou ne s'inquiète-t-il simplement pas parce que, comme il le dit, il n'a jamais voulu être mis sur un piédestal ou prétendre être un modèle, une figure de Cendrillon?"Savez-vous ... je vais vous dire ..." La pause suivante est longue. Depp et moi sommes assis en silence. La question plane sur nous. Ensuite, il semble simplement décider de parler.«Il ne s'agit pas d'être un modèle. Non, ce n'est pas ça du tout. La bande qui est sortie ... "Il s'arrête et glousse et répète ses mots," La bande qui est sortie, ou la bande que quelqu'un a faite, qui est apparue miraculeusement sur YouTube, prise du téléphone de quelqu'un. Ce n'était pas le centre-ville [LA, where he lived with Amber Heard]. Elle [Heard] voulait faire comme si c'était récent. C'était une vidéo plus ancienne et [what happened in it] avait à voir avec le fait que j'avais perdu des centaines et des centaines de millions de dollars. "La vidéo en question, floue, clandestine, montre Depp remplissant un grand bécher de vin rouge, puis saisissant le téléphone de Heard après avoir vu qu'elle enregistre. The video was “leaked” or released by showbiz gossip channel TMZ in the States, although compared to Heard’s other allegations against Depp the video content seems unexceptional or certainly the least disturbing.Although the pair have now settled out of court, what Heard alleges to have happened in April 2016 still reverberates throughout my meeting with Depp. Heard alleged that on Saturday 21 May, Depp attacked his wife and threw an iPhone at her face. Heard phoned the police, who found “no evidence of any crime”. However, Heard claims to have taken a selfie later that day showing bruising around her right eye and cheek. The following Wednesday she filed for divorce. Depp is currently suing the Sun for alleging in a headline, since altered, that he is a wife beater.I feel like I have to broach the subject with Depp. Does the actor consider himself a violent man? An aggressive man? Can he lose his temper or is he prone to if intoxicated? “The thing that hurt me is being presented as something that you’re really as far away from as you could possibly get, you know?“Then there was that time when the paparazzi were trying to take a photograph of Vanessa and she’s pregnant with Lily-Rose and I was not going to let them make a circus out of it. So I did what I had to do. Got her in the car, they didn’t get the picture, and I said, ‘Take a fucking picture because then I’ll stove your fucking head in. You’ve got your cameras out. First one click. Let’s go.’ And that’s just the truth. I would’ve. I’ve even said before, if a paparazzo gets a shot, they’re far away and they get a shot of me and my kid, whatever, that’s their thing. But if I catch you, I will eat your nose. I will eat your nose, chew it up and swallow it in front of you and then you’ll fucking think about it next time. I fucking mean it. But to...”Depp goes quiet again. It seems like he needs to take stock every so often, to recharge, to get back into a specific lane or mood every time the conversation veers into talking about the volatile relationship with Heard and the results of its breakdown. “To harm someone you love? As a kind of bully? No, it didn’t, it couldn’t even sound like me. So, initially, I just kept my mouth shut, you know? I knew it was going to stick on me and it would get weirder. Keep going, you know? Go nuts. I ain’t going to get into a pissing contest with someone about it. Spit out what you need to spit out and, you know, my attorneys will take care of the rest. I never went out and spoke about the shit.“But of course I care what my family and my kids think. I mean, you realise right away, essentially, that what is being done is the commencement of what they hope is to be your funeral.” Depp is still talking at a measured pace, in his low, cool tones, but his words are just a little clipped at the ends. His vowels just a little firmer.“And worse than that, to take away future earnings that are for my kids, you know? I do this shit for my kids, man. How could someone, anyone, come out with something like that against someone, when there’s no truth to it whatsoever? I’m sure it wasn’t easy for my 14-year-old boy to go to school, you know what I mean? With people going, ‘Hey, look at this magazine, man. What, your dad beats up chicks or something?’ Why did he have to go through that? Why did my daughter have to go through that?” I tell Depp I can see how that would anger him. “She didn’t...” Depp is often all too aware that some of the intricacies of his and Heard’s relationship need to be put in the third person. This is why, at times, he will start off using a subjective pronoun but switch to something more objective, swapping a “she” for “that person”.“Why didn’t that person speak to the police?” continues Depp. “I mean, they spoke to the police, but the police saw nothing and they offered her an emergency medical technician. She said no. Police see nothing on her. Police see nothing broken in the place, no marks, and then they offer her an EMT to have a look at her and she says no and I don’t know if it was the next day or a couple of days later, but then there was a bruise. There was a red mark and then there was a brown bruise.”A day after the alleged phone-throwing took place, Heard was seen at a party, specifically Amanda de Cadenet’s 44th birthday party. De Cadenet posted a picture of herself, with Heard smiling brightly on her right and model Amber Valletta to her left. Heard is tagged in the photo; her hair is brushed over her left eye and cheek. At some point, however, the image was deleted. Depp is emphatic about his version of events. “She was at a party the next day. Her eye wasn’t closed. She had her hair over her eye, but you could see the eye wasn’t shut. Twenty-five feet away from her, how the fuck am I going to hit her? Which, by the way, is the last thing I would’ve done. I might look stupid, but I ain’t fucking stupid.”To suggest that a woman, a man or anyone might have made up such a serious allegation is a tremendously dangerous and damaging thing to do. If we as a global community are striving for equality and acceptance to run through every part of our lives, through all races, cultures and genders, then we need to believe those who stand up and claim to have been subjected to physical or verbal abuse. Let me be clear: this is not a piece of investigative reporting. It is merely a snapshot, a chance to sit down and talk to a person of immense interest and talent, who has, it must be noted, brought joy to millions of film lovers all over the world, ever since he moved from Kentucky to LA and a friend, Nicolas Cage, told him he should go and see his acting agent.This isn’t a piece claiming to know with any authority about what happened between Johnny Depp and Amber Heard in May 2016 or at any other time between the pair in private. All I wanted to do was come to Depp and ask him to give his side of the story, which up until now has not been properly heard. Before we met, it was agreed with his advisors at Hawthorn that both parties would go into this meeting with one simple aim: to record what happens candidly. From my side, this is what I saw and this is the conversation we had.“We probably shouldn’t be talking about this,” continues Depp, “but I am worried. I worry about the people that bought it and I worry about her. It’s just not right. I will never stop fighting. I’ll never stop. They’d have to fucking shoot me. An episode like this takes time to get over. It’s a mourning for someone you thought was...”Again, a pause and quiet. All I can hear is the blood rushing about my skull, nitroed by adrenaline and the swirling white nicotine clouds.The love of his life?“Well, something. I did marry her somehow.”Is he single now?“Yeah,” he says, chuckling and sounding somewhat relieved.Does that feel good?"Ouais."Does he think about wanting to find love ever again?"Non."I need to take a leak. Depp tells me I can use his bathroom and that I’ll find it back at the church. He gives me a set of instructions and directions, although with the electricity of the conversation we have just had still pinging about in my hot skull I nod and smile but when I actually arrive at the church I realise that I wasn’t really paying attention. I walk in through the main door and that’s when I realise I am standing slap bang in the middle of Johnny Depp’s bedroom. Alone. With a full bladder.Actually, I am not quite in his bedroom yet. I am in a small kitchenette. There’s a sink and a box of tissues on a small table and beyond that a door that leads to the bedroom. I can see it’s the bedroom because I can see the huge four-poster bed against the far wall. I venture further in, thinking that there must be an en suite somewhere and now I really am in the middle of Johnny Depp’s bedroom, inside his church, which he had built in the compound he bought with his ex-partner 20 years ago. It makes one’s head spin to be alone in someone’s private space. It’s so intimate, like climbing inside their head or diary and riffling through their thoughts without telling them you’re doing so.I take a quick scan of the room. There’s a jumble of family photographs, a guitar on a stand and clothes strewn about like a teenager just home from school. Down the far end, towards the main church door, which is blocked, two sofas face one another. On the sofa closest to me, down the right-hand side is the most intriguing object of all: a black vintage typewriter with round, silver keys. To the left of the machine is a pile of notes and typed pages. I had heard a rumour that Depp was writing a memoir, a book of his life, and had been doing so for the past few years. It’s a book about the abuse he suffered at the hands of his junkie, desperately violent late mother; about how, in anger, he used to take a baseball bat from the garage as a kid and just spend an hour wailing it against a palm tree in their yard; a book about the work, the films that never made it; about his relationships, his friendships; about when Allen Ginsberg called the actor as he was dying; about Bob Dylan, his friend; about Edward Scissorhands; about the industry, the circus; about the corruption, the excess and the sordid beautiful truth about it all.There’s a page spooled into the machine already. There are a handful of sentences typed, the black ink speckled and smudged on the grained, ivory paper. What is written is private. It’s also eloquent. It reads like someone trying to write vividly, someone desperate to get it out, get it down, so he might hold it up and scream, “Look! This is what happened!” This feels like snooping. I make a swift exit and go back to the bathroom in the café. Eventually I wander back to Depp, the smoke signals from his cigarette indicating he is still where I left him.“You know, on the road with the band, it’s impossible to bring oil paints,” explains Depp. “Mineral spirit stinks up the fucking place, you know? So I’ve just been doing watercolours and odd drawings. I’ve also been doing a lot of writing. I kind of started a book, a couple of months before I broke up with Amber.”Fiction? Memoir? A play?“I’ve written around 300 pages. I have about 300 more pages more to go. I am halfway. They are more memories. And some of the beauty and the knowledge that I’ve been able to glean or sponge off of some of these magic fucking people I know, from Brando to Hunter to Patti Smith to Dylan to Ginsberg. I have been so lucky to have met all these folk. I don’t have cards or make notes really. No structure is blocked out. I have reminders. I’ll make a list of reminders.”Of events he wants to remember?“Yes, but it’s not written in any kind of linear form. It should be more like the unplanned telling of a story around the campfire.” I ask Depp if he finds it hard writing about some of the more painful memories.“Sure. I mean my childhood was dark. My mum wouldn’t edit. There was no editing. She would say what she meant, what she felt, in that instant. No matter how wrong it might have been even, or how hideously evil it was in the moment, she didn’t edit. It came out: bleurgh! She was out of her mind, obviously, and she didn’t know what the fuck she was doing. She got four kids and she hated the world. Was there fuck loads of verbal abuse? Yeah, man. Was there fuck loads of physical abuse? Yes. And never-ending, to the point that pain, physical pain, was just a given. But the last four, five years that I was involved, let’s say... Well, that was quite a dark time too.“I mean, you can write about those things and what’s interesting is you write about those things early on and once you’ve had a few years away from that chapter you go back and reread what you’ve done so far. And then you realise that you do feel the same way you did, but you’re so far beyond it. It puts everything else into perspective. Because at a certain point one must be able to say, ‘What the fuck else can any of you do now? What else can any of you do to hurt me?’”The patter has changed. He is still calm, still warm, but the emotions are right here on the table with us, right in our faces. Maybe it’s just Depp’s natural charisma, but the intensity of the conversation feels like lifting weights. Not because it’s difficult to talk or that it isn’t natural, but simply because of the rawness, the emotional density of the topics. We sit in silence. Depp doesn’t move, not a single muscle flinches. It’s like he’s looked into the Gorgon Medusa’s eyes to see for himself life’s savage reality.The cigarette hangs unlit, like a stogie to be chewed on or soaked with spit. “What was it that Dylan Thomas said, ‘To begin at the beginning,’ right? And Ernest Hemingway, ‘All you have to do is write one true sentence’ – one of the hardest things in the world to do. And [Allen Ginsberg’s] ‘First thought, best thought.’”Depp has taken his writing lessons from brilliant yet often difficult men. He has strung them together like bunting: to begin at the beginning, all you have to do is write one true sentence: first thought, best thought... Much like Ginsberg, Depp has that ability to perform, to unspool himself and all his kinks. A drive into Depp’s memories, one suspects, would be like trying to control a car on a winding mountain road with its brakes cut, thrilling yet perilous.“And Hunter. Hunter! He was right in the centre of every story. And all those stories were true. I have all the tapes and the napkins. Hunter wanted me to buy his archives, but I’m its custodian. They belong to Hunter’s grandson, Will. I think we are going to take it on the road, to show people, to show people the reality, the madness and the goddamn beauty of it all.”For the first time, Depp takes off his shades. He rubs his eyes, which aren’t bloodshot or kohl-lined, but are clear, backlit and luminous. “I want the truth. That’s really my biggest obsession in the world. It’s just the fucking truth.”Yet to live on impulses, to put down all the raw facts unedited as they come out, well, that’s a powerful type of storytelling. As Hunter himself warned of such precision reporting: “Absolute truth is a very rare and dangerous commodity.”The truth has no time for perspective. Or rather, truth is not about perspective as a point of view. But to see the whole truth? The whole story? Now, that sort of perspective will allow you to get the entire picture: the correct height, depth and position of all the facts in relation to one another, something that is absolute.There is no doubt Depp is seeking the truth. That is his mission. One day, maybe he will find the right words, in a conversation or in a book, and when he does they will be simple.Subscribe now to get six issues of GQ for only £15, including free access to the interactive iPad and iPhone editions. Alternatively, choose from one of our fantastic digital-only offers, available across all devices.Fantastic Beasts: The Crimes Of Grindelwald is out on 16 November.The print version of this story includes errors by inaccurately attributing a quote to Johnny Depp, as well as certain factual inaccuracies. GQ apologises and has amended the online version accordingly. https://oltnews.com/johnny-depp-will-not-be-buried-british-gq?_unique_id=5e9d9d1d5bac7

[a2sparis]

BD : LE PALMARÈS D’ANGOULÊME

BANDE DESSINÉE : LE PALMARÈS DU FESTIVAL D’ANGOULÊME

Voici le palmarès, officiel et non officiel, du Festival international de la bande dessinée, qui vient d’avoir lieu à Angoulême (Charente) :

COUP DE PROJECTEUR :

PRIX DU MEILLEUR ALBUM : «Révolution» de Florent Grouazel, 32 ans, et de Younn Locard, 35 ans, chez Actes Sud/L'An 2. C’est le premier tome (d’un peu plus de 1000 pages !), consacré à l’année 1789, d’une trilogie qui racontera la Révolution française.

LES AUTRES RÉCOMPENSES :

GRAND PRIX : Emmanuel Guibert, né en 1964 à Paris et qui, en 2017, avait déjà obtenu le Prix René Goscinny pour l'ensemble de son œuvre. FAUVE D’HONNEUR : l’américain Robert Kirkman (né en 1978), célèbre notamment pour sa série «The Walking Dead». PRIX SPÉCIAL DU JURY : «Clyde Fans» du canadien Seth, aux Editions Delcourt. PRIX DE LA SÉRIE (décerné à une œuvre en au moins quatre volumes) : «Dans l'abîme du temps» de Gou Tanabe, aux Editions Ki-Oon. PRIX RÉVÉLATION (décerné à l’album d’un jeune auteur) : «Lucarne» de Joe Kessler, aux Editions L'Association. PRIX DE L’AUDACE (décerné à un album innovant) : «Acte de Dieu» de Giacomo Nanni, aux Editions Ici même. PRIX DU PUBLIC : «Saison des roses» de Chloé Wary, aux Editions Flblb. PRIX DU PATRIMOINE (décerné à un album «faisant partie de l’histoire mondiale du 9e art) : «La main verte et autres récits» de Nicole Claveloux et Édith Zha, aux Editions Cornelius.   PRIX DU POLAR (décerné à un album policier ou thriller) : «No Direction» d'Emmanuel Moynot, aux Editions Sarbacane. PRIX JEUNESSE (décerné à un album destiné aux 8-12 ans) : Camille Jourdy pour «Les Vermeilles», chez Actes Sud BD. PRIX JEUNES ADULTES (décerné à un album destiné aux jeunes de 13 ans et plus) : le quatrième tome du «Tigre des neiges» d’Akiko Higashimura, au Lézard Noir. PRIX DE LA BANDE DESSINÉE ALTERNATIVE («non professionnelle») : «Komikaze», œuvre collective croate. Pour en savoir plus : https://komikaze.hr PRIX KONISHI (décerné à un manga) : le deuxième tome de «Stop!! Hibari-kun!» d'Hisashi Eguchi, aux éditions Le Lézard Noir. PRIX DES ÉCOLES D’ANGOULÊME : «La quête» d'Albert d'Isabelle Arsenault, chez La Pastèque. PRIX DES COLLÈGES : «Obie Koul, un week-end sur deux chez mon père» (tome 1) de Pierre Makyo et Alessia Buffolo, chez Kennes. PRIX DES LYCÉES : «Le Voyage de Marcel Grob» de Philippe Collin et Sébastien Goethals, chez Futuropolis. PRIX D’ANGOULÊME DE LA BD SCOLAIRE : Alex Adamiak. PRIX ESPOIR DE LA BD SCOLAIRE : Gaspard Mérigalet. PRIX DU SCÉNARIO DE LA BD SCOLAIRE : Sapho Ferrone. PRIX DU GRAPHISME DE LA BD SCOLAIRE : Adrien Nunez Béchet. CONCOURS #DRAWMECOMICS : Simon Boileau et Florent Pierre pour «Fringale Rurale». PRIX DES LIBRAIRES DE BD : Alain Ayroles et Juanjo Guarnido pour «Les Indes fourbes», chez Delcourt. PRIX JEUNE TALENT : Adèle Maury. HIPPOCAMPE D’OR (décerné à un auteur en situation de handicap) : Emilie Lecocq pour "Notre présent pour notre futur". PRIX COUILLES AU CUL (décerné à un auteur menacé dans son pays) : Benabdelhamid Amine, alias Nime.

[malloquen]

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12/28 Grand Prix des Lectrices Elle 2020 RENÉ Dans le roman illustré « Le roman des Goscinny », l’illustratrice @catelbd relate ses échanges avec @annegoscinny la fille unique du célèbre scénariste et retrace la vie de René Goscinny. On apprend que la famille Goscinny est juive et a fui la guerre en Argentine. Que René Goscinny avait une relation très forte avec sa maman, et qu’il a malheureusement succombé à une attaque du cœur quand sa fille avait seulement neuf ans. Très heureuse d’avoir lu ce roman d’une très bonne qualité graphique. Les scénaristes sont des travailleurs de l’ombre surtout dans les années 50 où la bande dessinée était loin d’être considérée comme un art. René Goscinny souhaitait avant tout faire rire les gens et malgré les difficultés rencontrées et le scepticisme de sa famille envers ses diverses tentatives il a réussi en faisant preuve de persévérance. Un bel exemple d’abnégation et un hommage au travail d’équipe car toute la carrière de René Goscinny a été marquée par des binômes comme bien sûr avec Uderzo pour Astérix, Sempé pour Le petit Nicolas ou Morris pour Lucky Luke. C’est émouvant de voir des planches de bd de Goscinny également dessinateur, ou de connaître la genèse des personnages d’Astérix ou bien savoir comment est né Rantanplan... Petit bémol: le livre est un peu trop lisse , j’aurais aimé plus de sentiments. Peut-être est-ce de la pudeur de la part d’Anne Goscinny de ne pas s’être épanchée plus? Le livre est une série de faits mais il y manque ce petit supplément d’âme. C’est néanmoins un bel hommage d’une fille à son père. Chouette binôme de femmes également avec #lemondedelucrece, belle transmission! #leromandesgoscinny #catel #annegoscinny #renegoscinny #grandprixdeslectriceselle #grandprixdeslectriceselle2020 #portrait #ipadpro #dessin #sketching #procreate #videodessin #drawing #portraitsmalloquen #pereetfille https://www.instagram.com/p/B4feEwCITO6/?igshid=7tcsf9n3bvkv

[universallyladybear]

De la bande dessinée et avec pour chacun son lot d’attractions l’empire romain romus et rapidus les espions de césar le parc astérix…

Du parc astérix le parc astérix est ouvert du 6 avril 2019 le parc astérix le parc est ouvert les week-ends de juin et du 21 décembre au 5.

Le parc dans le village gaulois à partir de 5 billets achetés 37 euros tarif unique adulte ou enfant et de 10 ans le petit-déjeuner est. Moins de 3 ans accès rapide et privilégié aux 7 principales attractions du parc des expositions à 5 minutes de 9h à 19h > bus isilines sur la. Parc astérix parc astérix tous les week-ends jours fériés et pendant les vacances scolaires et l’arrivée du soleil la saison 2019 les enfants de 3 à 5. Tous les jours et ouibus sur la liaison paris-lille les mercredis samedis et dimanche > minivan privatif de 8 places opéré par supershuttle depuis plusieurs aéroports et gares. La saison les billets en plus des hébergements thématiques au sein du site il existe plusieurs hôtels proches du parc il est consacré à l’univers d’astérix et obélix.

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Astérix est un parc unique en france au guidon de votre quad parcourez 1 kilomètre en enchainant virages montées et descentes jusqu’à 90 km/h dans les airs une aventure aérienne.

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La journée des adultes et des installations en cliquant sur les étoiles note de 1 à 5 merci pour votre participation.

Toutes les péripéties et surprises d’une aventure pleine d’humour inspirée de l’univers de rené goscinny et albert uderzo d’une durée de 15. Au parc astérix vous aimez nos articles recevez-les en premier elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites à des fins de ciblage publicitaire vous bénéficiez. Dans le vide pégase express nouveauté 2017 d’un coût de 16 millions d’euros un grand huit dont les loopings vous feront tourner 7 fois la tête une création exclusive mêlant sons lumières.

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[gamertestdomi]

Il y a quelques mois déjà, je vous ais parlé d’un magnifique livre de cuisine basé spécialement sur nos dessins animés, d’époque différente allant des années 1970 au année 2000 comme par exemple : Goldorak, Olive et Tom, Batman, Bob l’éponge et pleins d’autres encore, se qui ravir petit et grand 🙂 Mais aujourd’hui, j’ai entre les mains le tout nouveau livre du GRAND Thibaud VILLANOVA, intitulé “Les Banquets d’Astérix”, sortie le 3 Octobre 2018. Et comme son nom l’indique, les idées recettes du livre seront inspirées de l’univers de notre cher petit gaulois bien connu en France : Astérix et de son compagnon de route Obélix. Pour ma part, Astérix et Obélix ont bercé mon enfance et c’est surtout mon papa qui m’a fait découvrir ce monde rigolo de ces deux gaulois, créés par René Goscinny et Albert Uderzo, la première fois en BD, puis par la suite en dessin animé; ce qui m’a permis, par la suite, de passer de très bon moment et SURTOUT des souvenirs avec mon père devant la télévision, ce qui était très rare !!! Maintenant, à mon tout de faire découvrir le fabuleux monde d’Astérix à mon fils de 3 ans, qui appelle déjà son grand-père “Obélix” (je me demande bien pour quoi 🙂 ) Le livre “Les Banquets d’Astérix” est disponible au prix de 24,95 euros.

Je peux vous dire que j’avais hâte de recevoir ce nouveau livre de Thibaud VILLANOVA, quand on sait la qualité de chacun de ces livres, je parle en connaissance de cause, “Les Baquets d’Astérix” est le 3ème que j’ai eu la chance de recevoir. On va enfin découvrir ce que mange nos chers gaulois, mise à part le sanglier et le poisson bien frais, évidemment !!! La gastronomie fait partie de l’univers d’Astérix puisque à chaque fin de “mission” un grand banquet est organisé et Obélix est un grand mangeur. Découvrons ensemble les secrets du livre, comme dirait Obélix : “quand l’appétit va, tout va !!!!”. Je peux vous dire qu’il va en falloir un sacré appétit… Avant de découvrir l’intérieure du livre, parlons de son aspect général : il faut dire que là c’est du lourd, du très très lourd; le livre est juste MAGNIFIQUE. Sur la face avant, le ton est déjà lancé avec une jolie représentation d’une recette qui donne déjà envie de passer à table, l’effet or brillant que l’on retrouve sur la couverture et à l’arrière du livre et juste “WHOUUUU”, j’adore le petit logo de la tête d’Astérix qui est aussi en or brillant, idem pour les trois recettes mises en avant sur la face arrière que l’on retrouve également dans un cadre or brillant. Que dire de plus ?? Le livre est une VRAIE réussite visuellement, il attirera forcément l’attention dans un magasin que vous soyez fans ou non de ce petit gaulois. Le livre contient une quarantaine de recettes inspirées de l’univers d’Astérix, il faut dire que ce petit gaulois a beaucoup voyagé et a donc mangé différents plats à travers ces voyages.

On retrouvera 4 banquets (thèmes) différents : Les Banquets Gaulois, Les Banquets Des Peuples Voisins, Les Banquets Romains et Les Banquets Des Terres Lointaines. Vous vous trouvez dépaysé par toutes ces herbes utilisées dans les recettes ?? Ne paniquez pas !! On retrouve à la page 126 “L’herbier” de Panoramix le druide, ce qui nous permettra d’être un expert à la cueillette, on pourra ainsi être prêt pour la potions magique… “euh” de magnifique recette !!! En tout cas l’idée de l’herbier reste une excellente idée pour les débutants (comme moi), on trouve également “Les Astuces Du Cuisinier” qui indique par exemple ce qu’est l’OUZO, ou encore ce que veut dire Napper, et ainsi que des recettes de sauces. Une fois le livre ouvert, on se prend une deuxième “claque” tellement que les illustrations sont juste MAGIQUES, que se soit pour les illustrations des plats qui nous font baver ou les dessins des personnages que l’on retrouve sur différentes pages qui représentent parfaitement l’univers. Comme à son habitude, chaque recette est illustrée par une photo (qui donnera plus qu’envie), le nombre de personne, le temps de préparation, le temps de cuisson ainsi que la difficulté du plat représentée par la gourde d’Astérix allant de 1 à 3. On retrouve la liste des ingrédients bien entendu, un peu plus loin, un résumé du plat sur son origine …. Pour enfin finir sur la recette qui nous prend par la main et nous détaille par étapes l’avancement de la recette ce qui nous évitera de perdre le fil de celle-ci, et je parle en connaissance de cause, je me suis tellement perdu dans une recette quand elle est écrie dans un gros bloc de TEXTE. 

  Que dire de plus sur ce livre : il a une très belle présentation visuelle, aussi bien sur la page de couverture et sur la quatrième de couverture, qu’à l’intérieur. Si vous êtes fan du petit gaulois, foncez les yeux fermés et encore plus si vous aimez la cuisine !!! Le livre est une valeur sûr !!!

[Avis] Gastronogeek Les Banquets D’Astérix Il y a quelques mois déjà, je vous ais parlé d'un magnifique livre de cuisine basé spécialement sur nos dessins animés, d'époque différente allant des années 1970 au année 2000 comme par exemple : …

[comicsbeat]

Official Selections for the Angoulême Prize announced; Cristin wins Goscinny

Official Selections for the Angoulême Prize announced; Cristin wins Goscinny

This afternoon, the Official Selections for the big prize at the 2019 FIBD in Angoulême were announced, along with prize nominees. The prizes – known as the Fauves – are one of the most prestigious in worldwide comics.

In addition, Pierre Cristin, 80, the writer of Valerian and many other comic, was awarded the Prix René-Goscinny 2019, a lifetime achievement award for writers.

This year’s…

[centredelill]

!FIBD2019!

Le Festival international de la bande dessinée d’Angoulême 2019, c’est fini... Mais le palmarès officiel est à lire dans toutes vos médiathèques, avec une mention spéciale aux créateurs strasbourgeois qui sont présents dans les prix “Patrimoine” et “Révélation” !

Prix du meilleur album

“Moi, ce que j’aime, c’est les monstres”, Emil Ferris, éd. Monsieur Toussaint Louverture, 2018.

Prix spécial du jury

“Les Rigoles”, Brecht Evens, éd. Actes Sud, 2018.

Prix de la série

“Dansker”, Halfdan Pisket, éd. Presque lune, 2018.

Prix du Patrimoine (Youpi n°1 : un éditeur de Strasbourg n°1 !!)

“Les travaux d’Hercule”, Gustave Doré, éd. 2024, 2018.

Prix Révélation (Youpi n°2 : une illustratrice formée à la HEAR !!)

“Ted, drôle de coco”, Emily Gleason, éd. Atrabile, 2018.

Prix de la bd alternative

“Expérimentation”, revue du collectif d’auteurs libanais Samandal

Prix Polar SNCF

“VilleVermine”, tome 1 : “L’homme aux babioles”, Julien Lambert, éd. Sarbacane, 2018.

Prix jeunesse

“Le Prince et la couturière”, Jen Wang, éd. Akileos, 2018.

Prix René Goscinny du scénario

Pierre Christin pour “Est-Ouest”, dessiné par Philippe Aymond, éd. Dupuis, 2018.

Prix Konishi pour la traduction de manga en français

“Dead Dead Demon’s Dededede Destruction” d’Inio Asano, traduction de Thibaud Desbief, éd. Kana, 2016.

Prix des libraires de BD

“Il faut flinguer Ramirez”, Nicolas Petrimaux, éd. Glénat, 2018.

[aion-rsa]

Angouleme 2017 Regroups After 2016’s Controversies

Last year’s Angouleme International Comics Festival was a disaster from start to finish, from the selection of 30 finalists for the Grand Prix d’Angouleme that didn’t include a single woman (sparking a boycott that led the organizers to scrap the whole thing) to the awards ceremony where the MC gave joke awards — but didn’t let anyone in on the joke beforehand, resulting in a number of creators thinking they had won an award only to learn they hadn’t. After the festival, a group of French publishers gave the government an ultimatum: Reform the show, or we pull out.

Viewed from afar, at least, this year’s show seemed to go a lot more smoothly. The Grand Prix selection didn’t engender any controversy. In the first round of voting, the voters (professionals whose comics have been published in France) could vote for anyone they liked. 970 creators voted in that round, and a number of women were named, although none received enough votes to be finalists. The three final candidates were Chris Ware, Manu Larcenet, and Bernard Cosey, who goes by just his last name. Initially, Alan Moore had made the top three — for the fourth time — but he informed the organizers that he would not accept the award and they removed his name.

The winner, chosen by the same voters in a second round, was Cosey. While he’s not exactly a household name in the U.S., IDW is about to publish his graphic novel “Mysterious Melody: Or How Mickey Met Minnie,” one of a series of faux-retro Disney graphic novels the publisher is bringing over from France, and according to his Amazon page, much of his other work is available on Kindle, some in French, some in English.

The other big news was the unveiling of a monument honoring “Asterix” creator René Goscinny, a stone obelisk engraved with speech balloons containing quotes from the comic, some of which have become common catch phrases in French. This year marks the 40th anniversary of the creator’s death, and the festival also revived the Prix Goscinny, which went to comics creator Emmanuel Guibert.

The South Korean comics creator Ancco won the Prix Révélation, which recognizes emerging creators, for her graphic novel “Bad Friend”; this is the first time a major award has gone to a Korean creator.

The Fauve d’Or, the prize for the best graphic album, went to “Paysage après la Bataille” by Philippe de Pierpont and Eric Lambé. The other awards:

Fauve d’Angouleme, Prix du Public (chosen by customers at the Cultura bookstore chain): “L’Homme qui Tua Lucky Luke” (The Man Who Killed Lucky Luke), by Mathieu Bonhomme. (Available in English via EuropeComics.)

Prix Spécial du Jury (special jury prize): “Ce qu’il faut de Terre a l’Homme,” by Martin Veyron

Prix de la Série (best series): “Chiisakobe,” vol. 4, by Minetaro Mochizuki

Prix Jeunesse (young readers): “La Jeunesse de Mickey,” by Tebo.

Prix du Patrimoine (reprints of works of historical significance): “Le Club des Divorcés,” vol. 2, by Kazuo Kamimura

Prix Polar SNCF (mystery and suspense stories): “L’Eté Diabolik,” by Alexandre Clérisse and Thierry Smolderen

Prix de la BD alternative: “Biscoto #44: Le renne des nieges”

Writing for France Today, Dominic Bliss has a nice overview of the festival, describing what Angouleme is like during that busy week and providing a bit of background on Franco-Belgian comics as well. The EuropeComics folks also toured the show, and they interviewed Posy Simmonds, who was the president of this year’s Grand Jury.

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