#Pizza maudite
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or, for the Quebecois out there
Chaque fois que j'apprends quelque chose de nouveau sur le Québec, je suis de plus en plus convaincu que c'est l'un des endroits les plus impies et maudits de la planÚte. Il combine tous les pires aspects de l'Amérique du Nord avec tous les pires aspects de l'Europe occidentale pour créer une combinaison de Cabane à Pizza et de Taco Cloche d'orgueil caucasien
Every time I learn something new about Quebec the more I become convinced that it's one of the most godless and cursed locations on the planet. It combines all the worst aspects of North America with all the worst aspects of western Europe to create a Combination Pizza Hut and Taco Bell of caucasian hubris
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JĂ©rĂŽme
TW: agression
Ce nâest pas une histoire Ă lâeau de rose, celle-lĂ . Jâai finalement dĂ©cidĂ© de la raconter. Â
Câest lâhistoire de JĂ©rĂŽme. Un gars intelligent, Ă peine plus vieux que moi. CâĂ©tait un voisin de lâĂle-des-SĆurs oĂč vivait ma mĂšre. On sâest toujours connu.Â
Quand je suis entrĂ©e au cĂ©gep, jâai intĂ©grĂ© la trĂšs sĂ©lect clique des filles « trĂšs minces ». Je ne mangeais pas. CâĂ©tait Ă cause de la maudite cote R. JâĂ©tais tellement stressĂ©e Ă lâidĂ©e dâĂȘtre en bas de 30, que je me laissais mourir de faim pour mieux performer. Pour ĂȘtre plus concentrĂ©e. La logique, des fois, hein.Â
Aux yeux des gars, jâĂ©tais plus attirante. Je nâavais plus de broches, mon corps Ă©tait sous les 120 lbs, je prenais Accutane et jâavais les cheveux longs. Aux yeux de JĂ©rĂŽme, jâĂ©tais maintenant quelque chose dâenviable, moi qui avais toujours rĂȘvĂ© de caresser ses beaux cheveux noirs.Â
On a commencĂ© Ă se voir en dĂ©cembre 2012. Je nâavais pas 18 ans, mais il me faisait sentir comme si jâĂ©tais plus mature que toutes les filles quâil voyait Ă AndrĂ©-Grasset, son cĂ©gep. Je me sentais vue, apprĂ©ciĂ©e. On reverra si câĂ©tait rĂ©ellement Ă ma juste valeur.Â
Je nâen revenais pas. JĂ©rĂŽme, le voisin sur qui jâai toujours trippĂ©, mâaccordait enfin ma chance? Je croyais rĂȘver.Â
Moi qui ne me sentais pas Ă ma place dans ce bas monde de riches, jâavais enfin trouvĂ© un endroit que je croyais sĂ©cure auprĂšs de la sienne. Il Ă©tait une combinaison parfaite. Cheveux noirs frisĂ©s, yeux verts, les sourcils bien fournis. Un sourire Ă 6,000$ de broches Ă part de ça. Ăa valait tout lâor du monde.Â
Un midi, avant mon cours de lâaprĂšs-midi, jâĂ©tais allĂ©e dĂźner chez lui. On avait cuisinĂ© des kĂ©babs. Il me parlait de ses chums de gars, des paris quâils faisaient ensemble. Ils aimaient le gamble. Ok, moi je ne suis jamais entrĂ©e dans un casino parce que je ne peux juste pas, mais je vais comprendre quand je vais ĂȘtre majeure comme lui.Â
Dans ma tĂȘte de jeune mineure qui sortait dâun secondaire de girls only, je venais de tomber sur le jackpot. Il me fait Ă manger? Wow. Il a des amis? Omg. Pincez-moi quelquâun. On sâĂ©tait embrassĂ©s dans son entrĂ©e par la suite. Â
Je ne savais pas trop quoi en penser Ă ce moment-lĂ . JâĂ©tais confuse, mais Ă©merveillĂ©e par mon « charme » qui semblait fonctionner pour une fois. CâĂ©tait un french un peu weird. Ne jamais frencher ses hĂ©ros, comme dirait lâadage.Â
Je me suis mordue les lĂšvres tout lâaprĂšs-midi, ne serait-ce que pour revivre une parcelle de cette « magie » qui mâeffrayait. Une magie si concrĂšte, tangible, prĂ©sente. Une magie qui ne vivait que dans mes pensĂ©es, venait de se matĂ©rialiser.Â
Puis, on sâest donnĂ© rendez-vous chez ma mĂšre, un vendredi soir. Elle Ă©tait partie chez son chum pour la fin de semaine. Jâavais le condo Ă moi. On avait planifiĂ© manger de la pizza et regarder un film. Bien relax. Limite romantique.Â
Le romantisme a ralenti sa cadence quand JĂ©rĂŽme est arrivĂ© une heure et demie en retard chez moi. Jâavais dĂ©jĂ commandĂ© la pizza parce que je suis une fille Ă lâheure. Elle Ă©tait froide quand il est arrivĂ©.Â
Il avait apportĂ© six biĂšres. Des Sleeman. Pour une fille de 17 ans qui avait bu pour la derniĂšre fois Ă son aprĂšs-bal (jâexagĂšre Ă peine), câĂ©tait beaucoup six biĂšres. Il sâest mis Ă les enfiler drĂŽlement vite, tout en se bourrant la face de pizza all dressed frette.Â
On sâest assis sur mon divan. Assis est drĂŽle Ă dire parce quâon nâest pas restĂ© longtemps ainsi. Il sâest ruĂ© sur moi et mâa demandĂ© si « ça me tentait de le faire ».Â
On est dans Degrassi, ou?Â
Jâai dit oui. Ăa allait ĂȘtre ma premiĂšre fois. Parce que je le connaissais, il me connaissait, nos familles se connaissaient, on sâĂ©tait embrassĂ©... Quâest-ce quâil pouvait bien arriver? Rien, voyons. Pff.Â
« Il veut juste passer Ă lâaction rapidement parce quâil doit bien tenir Ă toi. », ai-je pensĂ© Ă cet instant-lĂ .Â
Jâavais confiance en lui. Je nâavais juste pas pris connaissance de sa notion de respect.Â
Une fois arrivĂ© dans ma chambre, JĂ©rĂŽme a arrachĂ© les couvertures, comme sâil allait me dissĂ©quer. Ah, câest comme ça quâon fait lâamour? Dâaccord.Â
Il sâest dĂ©shabillĂ© tellement rapidement que je ne l'ai mĂȘme pas vu faire. Je nâavais jamais vu ça, un gars qui se dĂ©shabille devant moi.
Et il le savait. Parce quâil a pris le temps de me le demander.Â
« Câest ta premiĂšre fois? »Â
« Oui. », rĂ©pondais-je, nerveuse.Â
Moi qui pensais que la tendresse embarquerait Ă ce moment, elle sâest plutĂŽt fait balayer du revers assez sĂšchement.Â
Parlant de sĂšche.Â
JâĂ©tais tellement stressĂ©e que je pensais mâĂ©vanouir. JâĂ©tais tellement tendue que jâavais de la misĂšre Ă ouvrir les jambes sans quâelles tremblent. JâĂ©tais tellement anxieuse, que malgrĂ© les trois biĂšres que jâavais bu, je nâĂ©tais pas capable de mouiller.Â
Il sâen est foutu.
Il a plutĂŽt dit quâil avait « besoin dâaide » et a fourrĂ© son sexe dans ma bouche. La lumiĂšre Ă©tait ouverte, les couvertures parterre, nos deux corps nus incompatibles et maladroits. Jâavais vu de la pornographie plus rose que ça.Â
Puis il sâest insĂ©rĂ©. Ă plusieurs reprises. Comme quand il manquait sa shot au beer pong avec sa clique de white boys Ă©litistes. Il essayait de la « remettre dedans ».Â
Ark.Â
Il a pourtant rĂ©ussi. Jâai eu mal. Il a continuĂ©. Jâai suppliĂ© dâarrĂȘter. Il sâest retirĂ©, dĂ©couragĂ©.Â
Jâai culpabilisĂ©.Â
CulpabilisĂ© de le voir insatisfait de moi, de mon corps, de ce que jâavais Ă offrir. CulpabilisĂ© que le condom et les couvertures Ă©taient gorgĂ©es de sang, mĂ©langĂ©es Ă de la sueur. CulpabilisĂ© de le voir jeter le condom, dĂ©goĂ»tĂ©, et de prendre sa douche avec du savon de « fille ». CulpabilisĂ© parce quâil Ă©tait sale Ă cause de moi.
Il sâest ensuite couchĂ© prĂšs de moi. Bon, un peu de tendresse, peut-ĂȘtre? On a parlĂ© briĂšvement. Il mâa dit quâon irait dĂ©jeuner au Cora bientĂŽt. Wow, les grosses dĂ©clarations.Â
Je pensais que ce serait le lendemain matin, mais son ami lâa textĂ©.Â
Ils sortaient cette soirĂ©e-lĂ . CâĂ©tait prĂ©vu.Â
« Comment Ă©tait-ce prĂ©vu alors quâon passait la soirĂ©e ensemble? », me suis-je dit. Je nâai pas osĂ© le dire. Mon corps Ă©tait en choc total. Plus rien ne faisait de sens.Â
Il sâest rhabillĂ©. Je lâai vu ça. Je lâai scrutĂ© du regard. Â
Et il est parti. En deux secondes et quart.Â
Jâai fermĂ© la porte. Je me suis accotĂ©e contre elle.Â
Et jâai pleurĂ©. Jâai tellement pleurĂ©.Â
CulpabilisĂ© de toute ma maladresse, ma naĂŻvetĂ©, mon rĂȘve parfait auquel je croyais. Auquel jâavais droit et raison de croire, pour une fois.Â
Je suis montĂ©e dans ma chambre en tremblant. Puis, jâai entendu un gars klaxonner une dizaine de fois et une gang de gars rugir. Ils hurlaient. Je me suis dit que câĂ©tait ses amis.
Et câest lĂ que jâai compris. Tout est devenu clair.Â
JâĂ©tais un pari. Et je venais de me faire prendre au jeu.Â
Jâai appelĂ© ma grande sĆur en pleurant, ne sachant mĂȘme pas comment expliquer la situation. Comment expliquer Ă quel point jâavais Ă©tĂ© niaiseuse, vraiment niaiseuse, Ă quel point jâavais scrappĂ© ma premiĂšre fois, mon premier gars.Â
Ă quel point « tout Ă©tait de ma faute ».Â
Aujourdâhui, la honte change de camp.Â
Jâavais Ă©crit Ă lâĂ©poque:Â
« Jâai encore peur aujourdâhui. Jâai encore peur des gars comme toi. Les belles coquilles vides qui renferment quâun Ă©go surdimensionnĂ© et une quĂ©quette aussi petite que le respect que jâai envers toi. »
Bye JĂ©rĂŽme. Et fuck you.
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Stranger Acquaintances, by @bugchat
AO3 link; Alternate Universe - Canon Divergence, Aged-Up Character(s), Alternate Universe - No Powers, The Mentalist AU, Friendship, Platonic Relationships, Strangers to Friends, Fluff, Angst, Fluff and Agst, Death, Blood, Mild Blood, only mentioned, basically i rewrote the opening to the mentalist timeline but as mentalist characters
Summary:
Marinette just wants to live her Special Agent life as quietly as possible. Put bad guys behind bars, maybe make friends with three people at work, and eat pizza once they close a case.
What makes its way into her life is a mop of blond hair with a stunning smile and too much of a back-talking mouth to be healthy for her.
ââââââââââââ
It is truly disgusting how some people dare to park right on the lines outside a government building. And then especially with those big SUVs that are mandatory for the field agents.Â
Marinette groans as she is forced to drive to the back of the building at 7 in the morning in a near downpour, meaning she has to walk back around when she enters and has to wait for the doorman to buzz her in. And of course, today is the only day she has left her umbrella in the hallway when she rushed out earlier that morning, steaming croissant clenched between her teeth as she sprinted to the car.
Sacramento truly did only have one decent enough bakery to bake something even remotely resembling her parentsâ croissants. The only reason Marinette was even aware of the little shop a little out of her way from her house to work was because the new hire âAlya CĂ©saireâ had walked in with macarons that just sent Marinette right back to her attic from when she was fourteen. Drilling the place out of her took seconds. One inquiring look sent CĂ©saire fumbling with her phone to figure out the address. After that, they became friends. In the high-paced government agency coffee-machine-talk kind of way.
CĂ©saire is always with her nose near her screen, an unfinished âfor reasons yet unknown by Marinetteâ journalism major making place for cyber security and surveillance on their team. She is good at what she does. Marinette is sometimes a little jealous of the specialized agent with a clear strong suit.
Nino Lahiffe, resident geek, had immediately taken a liking to their newest addition. Lahiffe had a pretty straightforward career within the CBI. Moved away from his parents in Paris to chase a newfound passion for detective work, did all the necessary work, and made Senior Agent in good time. CĂ©saire seemed to be a bit of an obstacle for him, being completely smitten yet unable to speak to her. Marinette knew about it, of course, as did Tsurugi.
Kagami Tsurugi. Socially awkward, but a hell of an Agent, especially in the interrogation room. Tsurugi started in the Narcotics Division but made Major Crimes in record time within the CBI, beating Marinette by two weeks. Marinette doesnât hold a grudge over it though. She is proud to have her on her team. The four of them are an oiled machine, both in the office and out in the field. The best within the CBI, considering case-closed rates.
It doesnât save Marinette from a soaked suit as she steps out of the car, slamming the door with only a little more force than necessary. She breathes deeply once, locks the car with her keys, and starts sprinting.
She only half notices her surroundings in the parking lot, an anomaly quickly forgotten as the doors start closing. âWait!â she yells, not daring to run faster through the puddles on the crappy asphalt. A hand from inside sneaks its way between the glass door and the wooden frame, halting the automatic closing. Marinette squeezes through with a quickly said âThanks,â to her savior before moving through the lobby toward her office to find a towel.
The elevator ride up takes too long. â Pluie maudite, â she swears, dripping water over the carpet CĂ©saire got her just last week. Dropping her bag by the side of her desk, she leaves the blinds closed as she rams open the bottom big drawer deemed âlost causeâ, rummaging through its contents. The towel is at the very bottom, because of course it is, but it is a piece of the holy grail nonetheless.
âMorning boss.â
âMorning, Tsurugi,â Marinette replies, by now used to her sudden appearances at her office door. âAnything new on the Lockley case?âÂ
âBallistics came back negative, gun from the safe wasnât a match. DNA from under the fingernails was also a bust. Itâs been filed in the system for later cross-referencing.â
Marinette finishes drying off her hair, dropping the wet towel in the empty paper trash can. Sheâll switch it out later. Sitting at her desk and booting up the computer, she waves Tsurugi in further. âAny alibis give out while I was not getting the sleep I needed?â
Tsurigu takes a few steps to stand right in front of Marinetteâs desk. âWife came up clean.â
âHow clean?â
âHer boyfriend alibied her.â
Marinette raises an eyebrow, then shakes her head. âAny other family? Work?â
âParents seem stuck in Vermont, and we havenât talked to our vicâs colleagues yet. CĂ©saire and Lahiffe should be on their way here. Iâll take Lahiffe to talk to them.â
âLet me know if you get anything else. Oh, and make sure to check back with CSU whether there were any inconsistencies. This crime scene is really rubbing me the wrong way.â
âWill do, boss.â
Tsurugi leaves the door open with a slight crack, just how Marinette likes it. Close enough to warrant privacy, yet an invitation to come in for updates on their cases or any other issues.
This damn caseâŠ
Man found dead in his own home, one single GSW to his head from the back.
His blood used to draw on the walls.
Marinette shivers, and itâs not from the rainwater sneaking under her collar.
Lahiffe and CĂ©saire arrive at the office not much later, the sun already seeping through the dusty windows of the bullpen. The streaks of light hurt Marinetteâs eyes a bit as she walks into the space, eyes turning towards her when she says, âWell, any updates?â
CĂ©saire is the first to speak up. âSecurity footage is clean. No one entered or left within our time frame between 6 and 10 PM. Itâs like a ghost did it.â
Tsurugi rolls her eyes.
âI just got off the call with the parents,â Lahiffe continues. âThey had no idea Lockley was even dead. Apparently, he hadnât called home in a while.â
âDid they know about any arguments? Or was there bad blood between Lockley and the parents?â
âNot that they let slip.â
Marinette nods. âCĂ©saire, dig into the parents some more. Maybe there was a reason Lockley hadnât called home in a while. Lahiffe and Tsurugi, get to the place he worked. Mrs. Lockley had dropped a not-so-subtle hint something was going on with one of the coworkers there.â
âAnother affair?â Tsurugi asks.
âNo idea, but itâs worth talking to everybody. Maybe they can shed some light on whatever Lockley had going on.â
âDupain-Cheng!â
Marinette winces as Bourgeoisâ voice shrills over the floor. âGet going now, before we are grounded,â she hisses, turning a swift 180 to face their boss as the rest of her team scurries through the other hallway. âYes?â
âSomeoneâs here to see you,â she merely says, whipping her ponytail to gesture at the elevator. âGet it done with quickly, I donât want him hanging around here any longer than necessary.â
âOf course,â Marinette nods, speed-walking away from the fury that is Bourgeois. Someone is here for her specifically? Of course that pisses off Bourgeois. Because that means Marinette is about to walk into what has to be an opportunity for her. Maybe someone wants to hire her?
Turning the corner, she nearly bumps into a gray vest with a mop of blond hair above it. âSorry!â she says, straightening back up again. She has to crane her neck upwards to make eye contact with him. âI wasnât looking where I was going.â
âThatâs okay,â he says, his French accent immediately registering in Marinetteâs brain. Kind green eyes peer back at her from dizzying heights, a small smile tugging at the corners of his lips. âYou must be Special Agent Dupain-Cheng.â
Marinette takes another step back to give her neck some breathing room, quickly scanning the man in front of her. Heâs her age, very tall, and a bit scrawny. The way he holds himself is with an air of confidence, stance wide and open. His clothes are a bit dusty, his jacket slung over his arm. His hair is a bit matted because of the rain.
And heâs very much drenched, looking a bit like a wet cat.
Itâs almost pathetic how out of place he looks.
And yetâŠ
The odd car in the parking lot.Â
A hand keeping the door open.Â
âAnd you are..?â
âAh, Adrien Agreste,â he says, quickly moving his jacket to hang over his left arm. His right hand comes forward to shake hers. âI understand youâre working on a new Red Jean case?â
Oh.
Oh no.
Agreste. Former model and Vegas psychic, famous French rich boy, worldwide heartthrob. His name was on the international news last year. â Woman found killed in own home, killer still on the loose.â He had found her. After ridiculing Red Jean on live television. Heâd called them âsad and patheticâ for hiding, only coming out to kill and never for anything else.Â
When he came home his mother was dead.
âI canât disclose information about cases to civilians,â Marinette settles on eventually.
âI worked with the local PD to catch him,â he says, letting go of her hand and folding it under the jacket. âI might be of use to you and your team.â
Marinette wants to sigh and walk away. âMr. Agreste, at this point, we donât even know whether this is a Red Jean case or not.â
âSo there wasnât a drawing in blood on the wall?â
Marinette keeps her mouth shut. She canât let him in, heâs a civilian. One with a personal connection to their potential killer no less! It just wouldnât be the right thing. Marinette knows from experience how being close to a case can mess up a trained Agent. This man was aâ an entertainer .
His eyes turn pleading as if sensing her decline. âMrs. Duââ
âMiss,â she corrects. âAnd itâs Special Agent. Or just Dupain-Cheng.â
âMiss Special Agent Dupain-ChengâŠâ She rolls her eyes. He smirks back. âWould you do me the pleasure of letting me shadow you for this case? I can help you see some connections to earlier crimes you might not get from dusty files, and it might help close the case a bit faster. And I get a closer look at Red Jeanâs more current work. We both profit.â
Adrien Agreste is an attractive man. Marinette is very aware of that. Sheâs also very aware that he knows he is. Heâs raked his hand through his hair multiple times by now, each time letting it flop back down onto his forehead as if pointing at his enchantingly bright green eyes.Â
Theyâre begging her to let him in.
Marinette bites her lip. It is a pretty tempting offer. A quick wrap-up of this case might help her get some sleep back, and it gets him off her back and out of the press. As long as Bourgeois doesnât find out, that is.
But her teamâŠ
âIâll have to ask some people whether youâll be allowed on the case,â she says, nearly pointing a finger at him in a warning. She barely manages to hold off on it, instead crossing her arms. âIf my boss finds out, youâre out anyway. And I get to send you off as soon as I deem you as interference.â
âSeems fair, Dupain-Cheng.â
âDonât make me regret it, Agreste.â
#ml writers guild#july event 2022#bugchat#miraculous ladybug#miraculous ladybug fic#ml fic#ml au#miraculous ladybug au#mlb#miraculous#marinette dupain-cheng#alya césaire#nino lahiffe#kagami tsurugi#adrien agreste#miraculous tales of ladybug and chat noir
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Behind the scenes of the filming of the movie "Pizza Racers". A cursed job that caused Faraon Home Video to go bankrupt.
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Dans les coulisses du tournage du film "Pizza Racers". Un travail maudit qui a causé la faillite de Faraon Home Video.
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Awaken the sleeping giant â an intuitive reading (with technomancy)
Technomancy refers to divination with the use of technology. For this reading, the cards will be tucked away, replaced with intuitively shuffled pictures that will reveal your dormant gifts, abilities and talents.
Meant only for those drawn to this picture:
Picture source
First impression before shuffling: I smell spices, cloves and garlic. There's earth energy in you. The sign Taurus brushed across my mind. Fret not if this doesn't resonate as it is only a general first impression. Now let's see what photos will pop up for you!
Picture sources 1 âą 2 âą 3 âą 4 âą 5
The Pizza
The first message I get is that you have the tendency to be too hard on yourself. You have high standards and you work tirelessly to achieve it. This has its positives and negatives. You're able to improve and constantly reinvent yourself, but you might also run the risk of slipping into a dark void where you can find no way out because you couldn't meet the standards you set for yourself. You've come a long way since before and it is important to celebrate your achievements along the way.
Second message: Independent and self-sufficient, you're not one to make others worry. People feel reassured with you because while you're a grounded presence you're also a breath of fresh air, very cooling minty energy. There are sometimes you may unknowingly present a false image of yourself. People may get a wrong idea of how you're like when in truth you're not at all how they assume. This attribute puts a mysterious aura over you, allows you to blend swimmingly in various situations.
The Dragon
The key theme of this picture is amassing treasure. You're perseverant, patient and not one to be swayed by mere whims and fancies. Whatever you set out to do you're able to consistently build up results over time. You have strong Earth energy that feels grounded like a mountain because of this productive habit you built up, so it mostly stems from consistent choices. The other element that you're closely aligned with is Air, but Air that is flowing and oceanic; very translucent, otherworldly and magical. It is a sign of psychic talent. This energy is innate in you but you haven't done much exploration into it.
The Woman
You're charming. People can't help but be drawn to you but you're also afraid of opening up. There are parts of you you show to the world and parts of you that even you are foreign to. The latter part gives me an energy of a barren land where nobody speaks the land's language. You are protective over your inner world, more of like a reflex action. There are pieces of childhood hopes and dreams that you still hold dear to. I see stars, trees and pastel colours. These can be actual things or more of a vibe of your inner world. When you're at last comfortable (but that is a process not to be rushed), expressing your inner world in the form of colourful expressive art can allow this barren land to become merry once more, and open new doors that take you to further destinations.
The Meme
You're a healer who wouldn't give up. You'd hold onto people when they're depressed or are pushing you away but you'd be persistent to offer them guidance and unwavering support. You talk things through like a counselor. Some of your advice to others come from books, some from your personal experiences. You're one to internalise the advice you give to others, saving them into your memory as a sort of âadvice bankâ for yourself when you encounter similar problems.
Maudit
Please note that the words in this picture aren't important for this reading. You have unique perceptions of things, seeing what others cannot see. This makes you philosophical, offering eye-opening insights. I see a book, a collection of your philosophical thoughts and insights. Making that book will allow you to share your thoughts with others and create new connections.
However, you might sometimes get lost in your own thoughts and instead become a victim to them. Once you consider a belief to be true, nothing can change your persistence to that belief, it feels to be set in stone. Stubbornness combined with a cold view of the world, believing that the world is cold and there is a hidden agenda to most events resulted in you being locked in these thoughts. This is an exact opposite of what you have originally wanted to achieve â personal freedom. Being aware of this pattern is the first step towards change. This reading serves as a messenger, and whether or not to heed its advice depends on you.
This reading can sound harsh and more of a mix of wake-up call and dormant talents. I hope it resonates and that it is helpful to you. Do share with me what you think đ
~ Skyborn
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Pizza maudite
Simuler la dĂ©mence ne suffit pas Ă exonĂ©rer un criminel de son acte (moreâŠ)
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#acte#Alexandre Goldfarb#criminel#desinformation#français#France#goldfarb#JM Pieri#l&039;observatoire#la semaine du mensonge#medias#mensonge#Minute du MENSONGE#Observatoire du MENSONGE#odieux#Pizza maudite#politique#Questions d&039;actualité#tribune libre
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Jour 25 : Shape Shifter
suite de Jour 11Â : Were-creatures
Hiccup avait essayé de trouver une solution, de le convaincre que c'était une mauvaise idée. Mais Jack n'avait rien voulut écouter.
Il avait organisé une soirée chez eux.
Pas le genre de soirĂ©e avec tes copains autour d'une pizza et de quelques biĂšres. Non, le genre de soirĂ©e oĂč Hiccup et les autres devaient se transformer. Ăa rendait Hiccup particuliĂšrement mal Ă l'aise. D'une part parce qu'il ne s'Ă©tait transformĂ© qu'uniquement devant eux et ses parents, et pas devant quelqu'un d'autre. Et parce qu'il recommençait tout juste Ă se racheter auprĂšs de Jack. MĂȘme si son petit copain jurait qu'il l'aimait toujours, Hiccup surprenait des fois Jack Ă le regarder avec insistance. Ou avec un air sĂ©rieux, comme s'il n'arrivait pas Ă croire qu'il existait. Et quand Hiccup le regardait, Jack dĂ©tournait le regard et faisait semblant de rien.
Visiblement, ça n'avait pas dérangé les autres de venir chez lui. Hiccup pouvait les comprendre, avoir un abri juste pour eux devenaient de plus en plus rares, alors la compréhension de Jack tombait à pique. Mais Hiccup avait tellement peur que ça dérape quelque part. Ou qu'aprÚs ce soir, Jack décide de ne plus lui parler et de sortir de sa vie. Il n'était pas sûr qu'il y survive.
Le soir venu, Hiccup accueillit ses amis chez lui, alors que Jack finissait de prĂ©parer des en-cas. Quand l'argentĂ© revint au salon, Astrid, Rupert, Vincent, Killian et Kia s'Ă©taient mĂ©tamorphosĂ©. Jack, qui s'Ă©tait prĂ©parĂ© mentalement pendant des semaines, faillit en lĂącher son plateau. Astrid Ă©tait couverte d'Ă©cailles bleues et jaunes, et autour de son visage dĂ©passaient des piques qui avaient l'air d'ĂȘtre en os. Des dents acĂ©rĂ©es dĂ©passaient de sa bouche et des griffes noires avaient remplacĂ© ses doigts. Rupert, avait l'air couvert de plaques rouges sur toutes les parties de son corps visible. Des cornes avaient poussĂ© sur sa tĂȘte et ses yeux aux prĂ©alables clairs Ă©taient devenus noirs. Ă certains endroits, des poils noirs sortaient de son vissage, lui donnant l'air d'un de ces philosophes asiatiques qui avait des sourcils extrĂȘmement longs et fournis. Vincent lui, Ă©tait la crĂ©ature faites en pierre qu'il avait aperçue Ă l'entrepĂŽt. S'il avait toujours des poils blonds qui lui descendaient devant le regard, ses yeux n'avaient plus cette lueur animale qu'ils avaient la derniĂšre fois. Killian et Kia se ressemblaient mĂȘme transformer. Ils avaient tous les deux la peau devenue verte, comme si une couche de peau extrĂȘmement dure les recouvrait. L'un avait des dreadlocks blondes -probablement Killian- et l'autre avait une tresse blonde qui tombait sur le cĂŽtĂ© -certainement Kia- et tous les deux avaient l'air d'avoir Ă©tĂ© fusionnĂ© avec un crocodile transgĂ©nique.
Hiccup, qui était aussi transformé en créature noire, s'approcha de lui.
-Tu es sĂ»r que tu veux rester ? Lui murmura-t-il. Ce n'est pas forcĂ©ment une bonne idĂ©eâŠ
-Non⊠Non, c'est bon, je ne m'attendais pas à ça, c'est tout.
Il reprit vite contenance et se força à sourire à Hiccup.
-Ăa va aller.
La soirĂ©e fut un vĂ©ritable Ă©chec. Ils s'Ă©taient tous regardĂ©s dans le blanc des yeux pendant prĂšs d'une demi-heure, extrĂȘmement mal Ă l'aise. Puis ils avaient mis la tĂ©lĂ©, et Jack avait fini par aller se coucher. Il avait Ă peine embrassĂ© Hiccup et s'Ă©tait enfermĂ© dans la chambre.
-Il va bien ? Demanda Killian.
-Non, je crois⊠Je crois qu'il va me larguer, soupira Hiccup.
-Mais c'est lui qui a organisé cette soirée, dit Vincent.
-Je sais, je pense⊠Je pense qu'il n'acceptera pas ce qu'on estâŠ
-Tu va faire quoi, alors ? Demanda Rupert.
-Je n'en sais rien⊠Soupira Hiccup en s'écroulant dans le canapé.
Dans la chambre, Jack avait tout entendu, et avait soupirĂ© Ă son tour. Il avait pensĂ© que cette soirĂ©e serait une bonne idĂ©e sans rĂ©aliser qu'ils allaient vraiment se transformer. Il le savait, bien sĂ»r, mais il ne l'avait rĂ©alisĂ© que lorsqu'ils les avaient vus. Hiccup lui avait parlĂ© cent fois des autres, et il pensait qu'il s'y Ă©tait fait, mais quand il les avait vus, c'Ă©tait comme s'il Ă©tait de nouveau avec eux dans l'entrepĂŽt. Il n'avait rien dit Ă Hiccup, mais il en avait fait des cauchemars. Pendant prĂšs d'une semaine, dĂšs qu'il fermait les yeux, il se revoyait lĂ -bas. Sauf que dans ses rĂȘves, Hiccup ne le sauvait pas. Il se roula en boule dans le lit et essaya de trouver le sommeil.
Il ne prit conscience qu'il s'Ă©tait endormis que lorsqu'il sentit une main griffue lui caresser la tĂȘte. Il se tendit, son cĆur s'arrĂȘtant de battre un instant et eut de plus en plus de mal Ă respirer. Puis il entendit la voix d'Hiccup.
-J'arrive. Je veux justeâŠ
-Je comprends, fit la voix d'Astrid. On va se coucher, rejoint nous quand tu veux, d'accord ?
-Merci, Astrid.
Jack entendit la porte se refermer et Hiccup soupirer.
-Si tu savais Ă quel point je t'aime, murmura Hiccup.
Jack décida de se redresser. Il alluma la lumiÚre avant de regarder son petit ami. Hiccup eut l'air pris au dépourvu puis souffla.
-Je ne voulais pas te réveiller.
-Ce n'est pas grave, fit Jack en baillant.
Jack s'assit correctement.
-Ăcoutes, pour ce soir, c'Ă©tait une mauvaise idĂ©e, dit Jack.
-Je sais. J'aurais dĂ» plus insister⊠Si tu veux me quitterâŠ
-Hein ? Non !
Jack lui prit la main.
-Je n'ai pas envie de partir.
-Jack, la situation⊠Notre malédiction⊠Tu n'as pas signé pour.
-Je veux ĂȘtre avec toi, dit Jack. Alors je signe pour toutes les situations.
Hiccup souffla et sourit.
-C'est juste, continua Jack. Quand je vous regarde⊠J'ai l'impression de me retrouver dans l'entrepÎt encore une fois.
-On ne te fera aucun mal, la derniĂšre fois c'Ă©taitâŠ
-Exceptionnel, je sais. Mais j'arrive pas à ⊠J'ai besoin de plus de temps, tu comprends ?
Hiccup hocha la tĂȘte.
-Tu veux⊠Tu veux reprendre un appartement tout seul, ouâŠ
Jack secoua la tĂȘte.
-Non. Hiccup je t'aime toujours, mais⊠J'ai besoin de temps pour accepter ça. Comprendre que les créatures qui sont dans mon salon ne vont pas me tuer. Je veux dire, je le sais. Mais je ne l'ai pas encore enregistré, tu comprends ?
-Je crois.
-Je n'ai pas envie de partir.
-Tu as peur de moi ?
Jack baissa les yeux et Hiccup soupira et dit d'une voix dépitée.
-Je te laisse dormir, alorsâŠ
-Non, attends, dit Jack en lui attrapant la main.
Hiccup se tourna vers lui, étonné.
-Dors avec moi, ce soir.
-Jack, je ne pense pas que⊠Je ne sais pas si tu arriveras à dormir.
-J'en sais rien moi non plus. Mais je ne te vois jamais sous cette forme, et si je veux m'habituer à ça, faudra bien commencer quelque part.
-Tu es sûr ?
-Non. Mais j'ai envie d'essayer.
Hiccup se leva alors, alla prĂ©venir Astrid qu'il dormirait avec Jack -et qu'il les rejoindrait peut-ĂȘtre si Jack avait trop peur de lui- et retourna dans la chambre. Il se glissa sous les couettes et se tourna vers Jack.
-Tu veux dormir comment ?
-D'habitude, j'aime bien quand tu me prends dans tes bras, maisâŠ
-Si je m'allonge, ça ira ?
-Je pense.
-Tu pourras te retourner, si ça devient trop, okay ?
Hiccup s'allongea et tout doucement, Jack se mit contre lui. PrĂ©cautionneusement, Hiccup l'enlaça et Jack posa la tĂȘte sur son torse.
-J'entends ton cĆurâŠ
Hiccup rigola doucement.
-Ăvidemment, j'ai toujours un cĆur.
Doucement, ils entrelacÚrent leurs doigts et plus vite qu'ils ne l'avaient imaginé, le sommeil les emporta.
Le lendemain, Jack se rĂ©veilla en premier. Il vit que la chambre Ă©tait baignĂ©e de lumiĂšre et Ă©claira parfaitement la forme maudite d'Hiccup. En le voyant endormis ainsi, Jack sentit sa tension redescendre. Hiccup Ă©tait positionnĂ© comme d'habitude, un bras au-dessus de sa tĂȘte, une jambe dans le vide et la bouche lĂ©gĂšrement entrouverte. Jack sourit en le regardant. Hiccup bougea sa tĂȘte rapidement et toucha la place de Jack. C'Ă©tait quelque chose qu'il faisait souvent. Quand Jack se redressait dans le lit, Hiccup le sentait et se rĂ©veillait, dĂ©rangĂ© par le poids sur le matelas qui bougeait. Cette fois-ci n'y fit pas exception. Il cligna des yeux en les ouvrants, ferma la bouche avant de se passer la main sur le visage et de bailler un coup. Il sourit doucement en voyant Jack :
-B'jour, murmura Hiccup, encore embrumé par les limbes du sommeil.
-Bonjour, sourit Jack.
Hiccup voulut lui caresser la joue, mais dÚs qu'il vit sa main noire, il se réveilla totalement et regarda sa main avant de regarder Jack, un peu effrayé.
-Ăa va ? Tu n'as rien ? Tu n'as pasâŠ
-Relax, coupa Jack. Ăa va.
Doucement, Jack se mit sur lui, une jambe de chaque cÎté de son bassin.
-Attends au moins que je me retransforme⊠Marmonna Hiccup.
-Non.
Tendrement et en prenant toutes les précautions du monde à cause des canines qui dépassaient, Jack l'embrassa. Hiccup l'enlaça tout en prenant garde de ne pas le blesser. Lorsque le baiser prit fin, Jack se rallongea contre Hiccup. Ils restÚrent enlacer de longues minutes avant d'entendre du bruit. Dans le salon, les autres se réveillaient. Jack et Hiccup se levÚrent et allÚrent dans le salon. Jack embrassa Hiccup doucement et lui murmura qu'il allait faire du café avant de partir dans la cuisine. Hiccup rejoignit ses amis au salon.
Il s'installa sur le canapé, entre Astrid et Kia.
-Alors ? Demanda Vincent.
Hiccup soupira et sourit.
-Ăa va.
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Guide des surnoms, le BABA, 2.0
*Deep Breath* Mamamia, here we go again *meurs*
Prenez un thĂ©, un cafĂ©, un chocolat mĂȘme pour nos enfants les plus jeunes ici prĂ©sent (oui je parle de toi Raph đ) et prĂ©parez-vous, parce que je vais suer sang et eau pour ce bordel xD - Rayan as Le narcissique masochiste et pyromane đł DC De Will
- Logan as Log(Ăąne) = log (a) + log (ne) âŸïž
- CĂ©leste as GAYDESS, Lesbian Jesusđđłïžâđ CanardđŠ QC dâEryn
- Elysia as Terpsichore, Badass avec un fouetđ
- Maelan as La bombasse brune de Maya đđ
- Chase as Barbie, Futur Bf Ă©ventuel de Vaâđ, Perrochaseđą
- Kira as Kiki you qui mourra?
- Kaz as I donât feel feelingsđIâm a Kazual heartBrekkerđ DC dâIsak
- KĂ©ryort as Grand-MĂšre Feuillage LâencyclopĂ©die đ QC dâAdel
- Mael as Mael le loup, membre du trio de Shampoing N&B!đ
- Azalea as Azalea lâalinĂ©a
- BrĂŽn as Poney cannibale đđŠđđđđ„ TC dâIsak
- Zola as JâACCUSE!đ
- Jude as Hey jus de pomme! Vendeur de cupcake dĂ©pressifđ
- Nathuriel as Blanche Neigeđ on va pas tous sâappeler Smith?! QC de Blanche
- Louka as Cendrillon, bĂ©bĂ© Bettyse n°2 đ
- NaĂ«l as MelpomĂ©nĂ© DramaQueen, JackieChan Moustique đ DC dâAdel
- Isak as Kitty-Apprentie 2 lâagent PhoqueđœParaniqueFlemser
- Delfinya as Philadelphia au neutređ”ïž DC de Jake
- NoĂ«lia as Miss Caravane đ TC dâAristote
- Lyana as Professor Kellogsđ¶â€ïž Brebis #2đ
- AbigaĂŻl as Abiâboba le nouveau singe dâAladin đ
- Li as Trahi par lâamourđ€§ TC de Will
- Blanche as Porthos - la dealeuse de poudre đ
- Zaryna as Madame la Commandante đ DC dâElysia
- Eloween as Eloween câest top en octobređđ TC dâElysia
- Luci as Marquise Maman Lulu Castagnette des Angesđ
- Adel as Daddy Adel prince de Cendrillon â€ïž
- Elwina as Elwino parrain capricieux aka Lâhomme du RPG đ DC de Chase
- Hope as Hope to live an other day, and thatâs all is well!
- Willhelma as La schizo infernaleđ€Ș| Teddy de Kevinđ»Â
- Samael as Ăditrice de Bio de SBAđLâutĂ©rus en papyrus bisđ§ TC dâEryn
- Mary as Mary Poppins de lâespace!đ
- Violet as Purple Chicken!đ
- Liam as Monsieur la Basse, le Fae amnĂ©sique!đ»
- LoĂ©va as LoĂ©va, parce que nous le valons bien! đ DC de Blanche
- Gideon as Athos - papou loutre beaucoup trop sexyđ TC dâAdel
- Selene as LâoubliĂ©e de la vie ~ Drama Baby avec Kaz DC dâEryn
- Jake as Chou fourrĂ© dompteur de tigre aka Bebouilleđ
- Cléo as Cléopùtre le paumé/Assistante Sociale/pédophile
- ZĂ©phyr as LâemmerdeurRevient nous jouer 2 mauvais toursđ PrC QC dâIsak
- Maya as Petite Abeille 2.0đ
- Jessica as G6K
- Cassiopée as Thalia, petit poney glace pizza cocktail, Brebis #3
- Aliyan as Le DC maudit DC de Louka
- Jasmynda as ThĂ© au cumin â
- Allison as Allana ouh na na đđđ
- Connor as Lâenfant impatient đ
- Anastasia as Miss Jeunesse tout simplement đ
- Eden as Edent les dents
- Keireen as Miss 69! Mais câest tout petit...đ DC De Mary
- Jae as Jâai une Geai gay Ă couleur de jais! QC dâAristote
- RaphaĂ«l as La tortue Ninja en papyrusđą Ado Rebelle đ
- Eryn as Agent Phoque prof de Pride, peach, OOPLS đ, Eryk
- Théodore as Théo qui dort dans un field of ashes! FRANGLAIS
- Luna as JE SUIS UNE TOMATE BDSM! USE ME !
- Dean as Le Loupiot đđș
- Vanille as DâArtagnan|serial killer|Roulette|Brebis #1, portĂ©
- Aristote as Le Pillier du RPG le chat du PNJ â€ïž
- Blake as Baby Bland Blond Blaine Bying Burritos (B^6) DC dâAristote
- Everly as Kevin - Minouchka : La souris du PNJđ
- Juliette as BĂ©bĂ© sĂ»re dâelle đ
- Christina as Sabrina lâapprentie sorciĂšre đ TC de Blanche
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Les commandes du jour! Gamme Logic Birds Gamme Logic HÎtel Bubble Stories Holidays One Deck Dungeon Profondeurs abyssales Maudit mot dit Taco chapeau gùteau cadeau pizza Taco Verso Bouc cheese pizza Wizarding World Harry Potter Quiz Perladora Savannah Park Boon Lake Alice is Missing #j2s #jeuxsociété #jeuxdesociete #jeudesociete #boardgame #boardgames #auparadisdujeu #lausanne (à Au Paradis du Jeu) https://www.instagram.com/p/CicsM9podg1/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Replay TV de 3 Avril 2022
#KOHLANTA 2022 #LeTotemMaudit Episode 10 du 3 mai 2022 [Replay] https://nvichka.com/koh-lanta-2022-le-totem-maudit-episode-10-du-3-mai-2022-replay/ #Le6Ă 7 du 3 mai 2022 [Replay] https://nvichka.com/le-6-a-7-du-3-mai-2022-replay/ #ChefsĂ domicileLivraisonexceptionnelle Norbert Tarayre Vs Pierre AugĂ© JournĂ©e 2 du 3 mai 2022 [Replay] https://nvichka.com/chefs-a-domicile-livraison-exceptionnelle-norbert-tarayre-vs-pierre-auge-journee-2-du-3-mai-2022-replay/ #QUOTIDIEN avec Yann BarthĂšs du 3 mai 2022 [Replay] https://nvichka.com/quotidien-avec-yann-barthes-du-3-mai-2022-replay/ #Touchepasamonposte #TPMP du 3 mai 2022 [Replay] https://nvichka.com/touche-pas-a-mon-poste-tpmp-du-3-mai-2022-replay/ #90ENQUĂTES Pizza kebab Que mangeons-nous vraiment [Replay] https://nvichka.com/90-enquetes-pizza-kebab-que-mangeons-nous-vraiment-replay/ #SURLEFRONT Biocarburants Biogaz Le grand enfumage du 2 mai 2022 [Replay]https://nvichka.com/sur-le-front-biocarburants-biogaz-le-grand-enfumage-du-2-mai-2022-replay/ #HĂŽteldutempsDalida [Replay] https://nvichka.com/hotel-du-temps-dalida-replay/ #LEMYSTĂREDOAKISLAND Saison 9 Episode 14 VF [Replay] https://nvichka.com/le-mystere-doak-island-saison-9-episode-14-vf-replay/ #LEMYSTĂREDOAKISLAND Saison 9 Episode 15 VF [Replay] https://nvichka.com/le-mystere-doak-island-saison-9-episode-15-vf-replay/ #LA RUĂEVERSlOR #DakotaBoys Saison 5 Episode 5 Le chant de lâor VF [Replay] https://nvichka.com/la-ruee-vers-lor-dakota-boys-saison-5-episode-5-le-chant-de-lor-vf-replay/ #LARUĂEVERSLOR #DakotaBoys Saison 5 Episode 6 Point de rupture VF [Replay] https://nvichka.com/la-ruee-vers-lor-dakota-boys-saison-5-episode-6-point-de-rupture-vf-replay/ #Prenezsoindevous Un coeur en bonne santĂ© du 3 mai 2022 [Replay] https://nvichka.com/prenez-soin-de-vous-un-coeur-en-bonne-sante-du-3-mai-2022-replay/ #Centjours [Replay] https://nvichka.com/cent-jours-replay/ #LesprĂ©sidentsetlOutremerDe #CharlesdeGaulle Ă #EmmanuelMacron Les gardiens de lâempire [Replay] https://nvichka.com/les-presidents-et-loutremer-de-charles-de-gaulle-a-emmanuel-macron-les-gardiens-de-lempire-replay/
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Glace Kinder Bueno
Je n'y croyais pas trop au dĂ©but. Non, vraiment, je flairais l'arnaque supplĂ©mentaire. Comment une glace pourrait-elle rĂ©pliquer l'expĂ©rience Ă©sotĂ©rique qu'est la dĂ©gustation d'un Kinder Bueno (pour peu qu'on ait rĂ©ussi Ă Ă©chapper aux griffes de ce fieffĂ© Jo-Wilfried Tsonga, bien entendu) ? Je dois avouer ne mĂȘme pas ĂȘtre un fan absolu de ce produit Kinder, lui prĂ©fĂ©rant largement le rustique Country ou mĂȘme le frileux Pingui. Mais tout de mĂȘme, il s'agit d'un indiscutable moment Bouffar, quand on croque dans la barre, sĂ©parant les crĂ©neaux vaguement sinusoĂŻdaux renfermant le prĂ©cieux nectar aux noisettes...
Mais cette glace rĂ©ussit tout Ă fait Ă rĂ©pliquer ce goĂ»t, malgrĂ© le challenge inĂ©dit qu'elle propose. J'ai rarement rencontrĂ© une glace ou mĂȘme un simple dessert aussi compliquĂ© Ă manger. Voyez ce disque chocolatĂ© surmontant le cĂŽne, tel la maudite pizza sous laquelle vivent les habitants oppressĂ©s de Midgar dans Final Fantasy VII ? Elle est quasiment indestructible. Ou, tout du moins, trĂšs difficile Ă attaquer quand on tient sa glace dans une position normal. Heureusement, le MaĂźtre C'estgras de Bouffar 3000 vous partage son cheat code : tenez tout simplement la glace Ă l'envers, mordez dans le disque au chocolat en faisant levier sur le cĂŽtĂ© opposĂ© avec votre langue, et ça devrait fonctionner. Dieu aie pitiĂ© des Ăąmes rechignant Ă suivre cette soluce, car les consĂ©quences sont vĂ©ritablement dĂ©sastreuses.
Pour autant, la texture et le goĂ»t de ce disque sont tout Ă fait satisfaisant. Le meilleure reste tout de mĂȘme cette crĂšme glacĂ©e reproduisant Ă la perfection le goĂ»t unique de la crĂšme des Kinder Bueno. Pour le reste, on a un cornet classique et efficace, une fin au chocolat solide, et... et le second boss final de cette glace. A partir de son premier tiers environ, le centre de la glace se rĂ©vĂšle trĂšs solide. Une sorte de carotte de glace au goĂ»t chocolat-noisette pas dĂ©sagrĂ©able mais d'une texture Ă©trangement robuste et indĂ©finissable. Pas mauvais du tout, mais curieux. Et presque aussi difficile Ă mordre que le disque couvre-chef. Comme vous l'aurez remarquĂ©, la dĂ©gustation de cette glace est rĂ©servĂ©e aux plus aguerris par les moult obstacles qu'elle met en travers de notre temple gustatif. Mais le jeu en vaut la chandelle, mĂȘme s'il ne s'agit pas de la plus grande glace jamais crĂ©Ă©e. Excusez-moi maintenant de verse dans la basse vulgaritĂ©, mais parlons du prix : autour de 4⏠(un peu moins en trĂšs grande surface) pour quatre cĂŽnes. C'est un peu chĂ©ros, mais ça vaut le coup de tester au moins une fois.
Rédigé par Jumbo
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TOP 10 RESTOS
Donc, comme je lâai mentionnĂ© ailleurs, pu de restos pour bibiou, mais câest pas un prĂ©texte pour manger de la marde,et surtout pas un prĂ©texte pour oublier Ă quel point câest beau pis câest le fun se faire servir des plats insane. En plus, tu le sais, mes braincelles sont en garde partagĂ©e pis jâai tendance Ă oublier trĂšs rapidement des choses bin bin bin importantes. Alors j,essayerai ici tant bien que mal de rĂ©pertorier mon top 10 de nos sorties au resto depuis le tout dĂ©but, Ă©videment, câest genre impossible Ă faire parceque câest tout le temps le fun, mais bon.
Ă go, on y va.
10-Aux Deux Fours
Pour le poulet, la pizza cheap, le vin du dep dâen face qui coĂ»te des pinottes, pis lâambiance (et par ambiance, je parle de la maudite toune de Bonne FĂȘte version latino quây mettent Ă tout bout de champ), mais surtout parce que ce resto lĂ me rappellera toujours les soirĂ©es froides de fin de session qui finissaient par une pizza entre deux matantes peruviennes qui swingnent de tout bord tout cĂŽtĂ© en chantant bonne fĂȘte en espagnol, puis la marche jusquâĂ la maison dans le vent, les ptites cuisses gelĂ©es, mais le coeur chaud.Â
9- Montréal Plazza
La bouffe Ă©tait insane , je pense quâon est tous dâaccord lĂ -dessus, mais je lâai mis en 9e parce que mes parents Ă©taient lĂ pis que c,est juste tellement mieux vivre ces moments lĂ juste avec toi. MAIS, câest clairement le genre dâendroit auquel on mange pas trop souvent, et vraiment lĂ , lâosti de boudin noir Ă la bisque de homard Ă©tait fucking insane. Un jour on y retourneras et on se rappelleras de la fois quâon y Ă©tait allĂ© avec mes vieux, câĂ©tait quand mĂȘme une superbe soirĂ©e.
8- Monza avec ta sistaaaa
Encore un autre bel exemple dâune soirĂ©e mĂ©morable, agrĂ©able,on a bien mangĂ©, on a bitchĂ©, on a ri, on a fait tout les temps maudit, câĂ©tait parfait. Pis le vin sâest fini trop vite (encore).
7- Le fish n Chip de McGibbins
TsĂ© lĂ , quand on sâest ramassĂ©s sur Crescent en plein coeur du Grand Prix de montrĂ©al pis quâon se demandait pourquoi quâil y avait 50 pitounes au mĂštre carrĂ©, pis quâon est allĂ© se chercher un bon fish n chip Ă la biĂšre chez McGibbins? SâTAI BON OMG.Â
6- Nos pâtit dej post-prise de sang chez Bon D
En fait jâaurais facilement pu mettre un resto dĂ©jeuner diffĂ©rent Ă chaque position de cette liste parceque jâadoooore aller bruncher avec toi, mais on va sâentendre pour dire que dĂ©jeuner au Hollywood Ă TĂ©trault, ou au Miami DĂ©li, câest le fun, mais clairement pas autant quâun dĂ©jeuner avec mimosa sur la belle terrassse du Bon-D sur masson! Pis en plus, le plus le fun lĂ -dedans, câest quâon y allait toujours aprĂšs mes osties de prises de sang, et que jâavais donc jeunĂ© pendant les douzes derniĂšres heures (chose qui mâĂ©tait alors inconnue et trĂšs difficile Ă faire, mais maintenant que mon bibiou mâa mis sur le droit chemin de la perte de poids, je suis un expert).
5-Â Chez Suzanne
La fois quâon est allĂ©s chez Suzanne avec lâintention de boire du vin orangem mias quâil nâen restait pas un criss dans place. Mais on a tout de mĂȘme bouffĂ© des dumplings Ă la citrouille qui Ă©taient Ă©pic. Belle place, beau monde, bonne bouffe, jâaime.Â
4- Le Red Tiger
Sâtai booooooon, câĂ©tait beau, câĂ©tait bien. DĂ©cidement un thĂšme rĂ©current dans ce top 10 ahahaha, encore une fois une si belle soirĂ©e passĂ©e Ă tes cĂŽtĂ©s, lâapĂ©ro quâon avait pris au renard Ă©tait super, pis le souper en ta compagnie lâĂ©tait encore plus!
3- Le Blossom
Je pense, avec du recul, avoir trouvĂ© le spot de sushi le plus cool Ă montrĂ©al, genre no joke les suhsis Ă©taient insane, les speciaux du mardi valent la peine, le spot Ă lâair deg de l,extĂ©rieur mais WOUAH, la dĂ©co en dedans Ă©tait telllllement cool. 11/10, je recommende (aux bibious dây retourner quand on sera dĂ©confinĂ©s.)
2- Hogan et Beaufort
Miam Miam Miam, tout Ă©tait si bon lĂ -bas, wow. Meilleur carrĂ© dâagneau que jâai eu dans ma bouche de toute ma vie, et que dire de leur dessert (un genre de tit-sorbet sur gĂąteau quattre-quart). En fait, aussi bien que je puisse me rappeller, tout de cette soirĂ©e Ă©tait par-fai-te. Genre la bouffe 10/10, la tempĂ©rature aussi, le party aprĂšs Ă©tait mĂ©morable, Ă©crire ça en dĂ©cembre me donne juste vraiment hĂąte Ă lâĂ©tĂ© prochain pour quâon y retourne. Et biensĂ»r, ĂȘtre accompagnĂ© par toi, câĂ©tait la cerise sur le gĂąteau. :)
1- Les Botanistes
Ok mais lĂ , je sais mĂȘme pas comment dĂ©crire cette soirĂ©e. Ă part genre.... insane. Bon, on va commencer par la bouffe, tu tâen rappelles (JâESPĂRE), câĂ©tait INSANE (je me rĂ©pĂšte), pis les accords mets et vin (mĂȘme ave cla bouteille la plus cheap) Ă©taient eux aussi, insane. Le service Ă©tait ultra-mĂ©ga-bon, tu lâavais soulignĂ© je me souvient. La place en tant que telle, Ă©tait insane aussi, dans la serre, Ă QuĂ©bec, jâai dit plus haut quâon va pas tout les jours dans des restos comme ça, je pense que notre souper aux Botanistes le dĂ©montre bien, mais jâespĂšre que ça va devenir un jour un de nos incontournables de la vieille capitale si on y retourne un jour. TsĂ©, mĂȘme les toilettes Ă©taient insane.
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La premiÚre vraie journée à Séoul !
Câest bien beau dâavoir dormis et dâĂȘtre un peu moins fatiguĂ©, mais faut savoir quoi faire ! Autant dire que pour sortir du lit ce matin lĂ , ce fut un peu difficile. DĂ©jĂ , parce que cette chambre est hyper froide et que jâĂ©tais mieux sous les couvertures et parce que je ne savais pas quoi faire et oĂč aller.
Sans grande conviction, j'ai installĂ© l'application Couchsurfing sur mon tĂ©lĂ©phone, j'avais dĂ©jĂ crĂ©e mon profil sur l'ordinateur quelques jours plus tĂŽt sans le complĂ©ter. Vu que je n'avais aucune information sur mon profil, j'ai dĂ©cidĂ© de me lever pour commencer la journĂ©e en beautĂ© en complĂ©tant tout ça en Anglais, s'il vous plait (bon, je sais mon anglais c'est du petit chinois, mais on fait ce qu'on peut !). En explorant l'application, je trouve la partie âHang outâ pour trouver des gens, discuter avec eux et mĂȘme se rencontrer. Je crĂ©e ma petite session, sans grand espoir d'ĂȘtre contactĂ©e. Je me suis tellement trompĂ©e. Assez rapidement, un corĂ©en m'a envoyĂ© un message. Ainsi dĂ©bute une conversation avec lui (en anglais toujours) sans oublier l'aide mon ami google traduction par moment. Ah ! Que ferait-on aujourd'hui sans google ! On convient de se retrouver, il m'explique quel mĂ©tro je dois prendre et oĂč je dois descendre. C'est donc partie pour le retrouver.
Tout d'abord, je m'arrĂȘte dans un petit magasin du coin pour acheter ma T Money Card, qui me permettra de prendre le mĂ©tro sans problĂšme (tellement plus facile que le mĂ©tro parisien et les multiples tickets). Bien entendu, le mec du magasin ne comprend rien Ă ma demande. C'Ă©tait pour simple âT Money Card ! For Metro and Bus !â. Le pauvre, je pouvais lire la panique dans ses yeux. Par chance, une corĂ©enne prĂ©sente Ă ce moment lĂ m'a aidĂ©, faisant la traduction, mĂȘme avec ça, il Ă©tait toujours perdu. Au final, j'ai rĂ©ussi Ă avoir ce prĂ©cieux sĂ©same pour aller Ă la station de mĂ©tro... enfin je me suis trompĂ©e de sens (pas dans le mĂ©tro), Ă pied j'ai pris la mauvaise direction. Heureusement, j'ai du flaire ! Du coup, GPS mon ami et je me suis rendu compte de mon erreur.
Direction Gyeongbokgung ! Une fois hors du mĂ©tro je pars Ă la recherche de mon interlocuteur, heureusement j'ai mon bonnet en laine bleue, blanc et vert pour ĂȘtre reconnaissable (et aussi parce qu'il fait froid !). Bingo ! Je rencontre enfin mon guide du jour, Wally ! C'est parti pour parler anglais, j'suis loin d'ĂȘtre bilingue, mais tant qu'on se comprend c'est bon, j'ai tout de mĂȘme de bonnes bases, je manque juste de vocabulaire et de pratique, mais si je parle tous les jours en anglais, ça va vite s'arranger !
Jâignore complĂ©tement oĂč on va. Je me contente le suivre tout en discutant avec lui. On sort de la station et la surprise !!! On est devant un palais ! Juste ĂNORME ! JâĂ©tais comme une petite fille devant, les yeux pĂ©tillants dâĂ©toiles. Pour une premiĂšre journĂ©e, je ne pouvais pas rĂȘver mieux que dâaller dans le palais de Gyeongbokgung.
Il y avait du monde et beaucoup de personnes en habille traditionnel (il me semble que lâentrĂ©e du palais est gratuite si on vient dans ce genre de vĂȘtement). Câest un endroit vraiment magnifique et typique de la CorĂ©e. Ayant vu des films et des drama, je savais un peu Ă quoi mâattendre, mais câest tellement mieux en vrai. Ce palais a Ă©galement un trĂšs grand parc oĂč on peut se promener tout en profitant de lâarchitecture si particuliĂšre.
Ce que je ne savais pas, câest quâil y avait une reprĂ©sentation. CâĂ©tait vachement sympa, malgrĂ© le froid, heureusement le soleil Ă©tait au rendez-vous.
AprÚs ça, direction le musée juste à cÎté, histoire d'avoir un peu plus chaud à l'intérieur et de profiter d'un petit concert de musique traditionnelle coréenne. Nous avons visité le musée, la plus grande partie étant sur la période Joseon (si mes souvenirs sont bons).
La journée continue direction le Hanok Village, pour trouver à manger et visiter. Dans un petit restaurant, Wally me fait gouter à des trucs à base de riz (mais ça y ressemble pas, des sortes de gùteaux ? Je sais plus et le nom coréen m'échappe). J'ai cru que j'allais cracher du feu ! C'était tellement épicé. Du coup, j'ai pris autre chose, de l'Odeng (si je me trompe pas, du poisson). J'aurais voulu apprécier ça, mais depuis mon arrivée, je n'arrive pas à avaler grand-chose. Vive les effets du décalage horaire ! Ensuite, direction les petites rues qui montent, pour voir cet endroit trÚs ancien et typique, c'est ici qu'on voit tout ce qui est traditionnel, au milieu des building modernes tout autour. Je vous laisse découvrir en image ! (sur la photo 2 et 3 qui suis, dans le fond vous pouvez apercevoir la N Séoul Tower, l'une de mes futures destinations !).
Lâexploration continue dans un autre coin de la ville ! Cette fois-ci Ă lâintĂ©rieur, parce que par -8°c... ça caille un max ! Câest ainsi que jâai dĂ©couvert un grand centre commercial : Starfield Coex Mall. A cĂŽtĂ©, Grand Place (le centre commercial de ma ville en France), câest un mouchoir de poche. Le plus impressionnant, reste le nombre de restaurant ou stand de nourriture. Il y en a presque partout et parfois câest un couloir qui leur est rĂ©servĂ©. Il y a mĂȘme un Aquarium, je pense aller le voir un autre jour. Jâai Ă©galement dĂ©couvert le cinĂ©ma, un truc immense avec des magasins, comme par exemple Marvel et mĂȘme un Playstation. Jâaurais mĂȘme pu voir des acteurs CorĂ©ens, car ça devait ĂȘtre la premiĂšre dâun film qui sort. Il fallait attendre longtemps, ce nâĂ©tait pas lâheure et je ne connaissais aucun acteur du film (enfin juste un que jâai vu dans plusieurs drama, mais ça vaut pas Lee Jong Suk, Kim Woo Bin ou encore Ji Chang Wook ! Oui, jâavoue, si lâun dâeux Ă©tait Ă lâaffiche, je serais restĂ©e pour voir ! Câest pas tous les jours quâon peut voir un acteur quâon apprĂ©cie !).
J'ai eu le droit de voir une petite salle d'arcade, comme on peut en voir au Japon, avec plein de jeux. Wally voulait faire l'un des jeux de danse, vous savez, les mĂȘmes qu'on voit Ă la foire ! Bon sang, qu'est-ce que je suis nulle ! MĂȘme en jeu, je sais pas danser ! C'est dĂ©finitivement pas pour moi ! Maintenant vous comprenez pourquoi je vous Ă©pargne ça Ă chaque fois que vous voulez me mener sur le dancefloor. AprĂšs ça, nous avons continuĂ© d'errer dans ce centre, Wally m'a fait dĂ©couvrir la librairie qui est juste gĂ©ante avec ce gigantesque sapin de NoĂ«l en plein milieu.
J'ai appris quelques mots de corĂ©en, mais ça reste basique, du genre au revoir, excusez-moi ou encore dĂ©solĂ©. Wally trouve que je suis douĂ©e, personnellement j'en suis moins sĂ»re. En tout cas, Ă chaque fois que je rentre dans un magasin et que je dis âbonjourâ ça le faisait rire ! Le french accent ! Un peu plus tard, parmi le choix innombrable de restaurant, je finis par choisir une pizzeria (vive l'originalitĂ© !). LĂ encore, impossible de beaucoup manger. Deux parts de pizza et j'ai mĂȘme eu beaucoup de mal Ă manger les deux. Je me suis forcĂ©e un peu, mais je ne pouvais pas plus. Toujours le jet lag, maudit soit-il ! Bon sang, j'aimerais tester la nourriture CorĂ©enne, c'est tellement diffĂ©rent de ce qu'on a chez nous. AprĂšs ça, direction le metro pour rentrer, il Ă©tait dĂ©jĂ tard 21h00 ou 22h00. Wally m'explique une nouvelle fois le chemin et je suis rentrĂ©e Ă ma chambre assez facilement ! Pas mal pour un premier jour, non ?!
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Emeto mon amour #1
Jâai 7 ans. De petites lunettes rondes et violettes. De longs cheveux se terminant en anglaises parfaitement enroulĂ©es sur elles mĂȘmes. Mes mĂšches blondes de bĂ©bĂ©, dernier souvenir de ma petite enfance, commencent Ă sâeffacer pour laisser place Ă une masse chĂątain indomptable. Maman coupe ma frange certains dimanche soir, avec le ciseau de cuisine. Elle me fait asseoir sur le plan de travail, mâordonne de fermer les yeux et de ne pas bouger, et vient Ă©galiser cette frange, Ă hauteur de mes sourcils.Â
Jâai 7 ans. Si vous calculez bien, câĂ©tait il y a 16 ans. CâĂ©tait il y a 16 ans et pourtant mes souvenirs sont intacts. Intacts et brillants comme le serait une piĂšce de monnaie toute neuve, intact comme quelque chose que lâon a trĂšs bien emballĂ©, trĂ©s bien protĂ©gĂ©, intact comme si le temps nâavait pu sây dĂ©poser, et y laisser sa marque, comme il sait si bien le faire. Oui, ce secret, je lâai trĂšs bien gardĂ©. Je lâai laissĂ© grandir, au creux de moi, pendant de trĂšs longues annĂ©es, je lâai nettoyĂ©, nourri, jâen ai pris soin, je lâai protĂ©gĂ© comme on protĂšge une part de soi que lâon souhaite voir durer toujours.
Et pourtant, ce secret, il mâa dĂ©truit.Â
Jâai 7 ans. Je dĂ©sinfecte, je rĂ©cure. Je tic, je toc, Ă tout va. Jâempoigne le âpshitâ de St Marc dĂ©sinfectant et en badigeonne la baignoire avant de mây plonger pour me laver. Les microbes ne doivent pas survivre. JâĂ©vite le restaurant, jâĂ©vite le gras, jâĂ©vite ce qui mâa rendu malade, un jour dans la vie, ce qui a rendu malade un grand oncle ou le chien mort dâun voisin. Eviter est le mot qui prend le plus de sens dans ma vie. Je veille Ă ne pas boire Ă outrance, Ă guetter quelconque signe de dĂ©shydratation. Jâignore que quelques annĂ©es plus tard, mon ennemi numĂ©ro 1 sera lâalcool et les potes bourrĂ©s qui vomissent partout. JâĂ©vite la pizza, car je lâai vomi ce fameux jour auquel je ne peux toujours pas penser, 16 ans plus tard. JâĂ©vite la quiche car une fois jâai eu mal au ventre. JâĂ©vite les huĂźtres car ma sĆur en a Ă©tĂ© malade, jâĂ©vite les microbes, jâĂ©vite lâhiver, jâĂ©vite les autres, jâĂ©vite la maladie comme on joue Ă cache cache avec lâhomme invisible. Lorsque câest trop fort, lorsque Ă©viter ne suffit plus, lorsque jâai trop peur, le soir, dans mon lit mezzanine, je supplie ma sĆur de me laisser dormir avec elle. Je supplie mon frĂšre aussi, parfois.Je fais en sorte que rien ne soit pareil que cette nuit maudite ou cette chose sâest emparĂ© de moi, rien ne doit ressembler, rien ne doit rappeler. Chaque nuit passĂ©e est une victoire, chaque jour qui se lĂšve est un jour de plus que jâai gagnĂ© contre la peur. Parfois, le jour est trĂšs long Ă se lever, et seule dans le noir avec mon si grand secret, je pleure. Et je ne ferme plus les volets. Car pleurer dans le noir, câest beaucoup trop effrayant. Un simple faisceau de lumiĂšre, me rappelle le monde, efface ne serais-ce quâun peu les terreurs qui me hantent.Â
Je ne porte plus mon pyjama rose en velours, ni mes draps bleus Ă carreaux, dans lesquels jâai contractĂ© cette maladie atroce.Ils pourraient ĂȘtre contaminĂ©s, il pourrait subsister, un microbe, tout vert et mĂ©chant, perfide et calculateur. Je les ais cachĂ©s au fond du placard, enfouis sous les dĂ©guisements, en veillant Ă ce que rien que je ne touche ou porte ne soit en contact avec les objets maudits.Â
Jâai 7 ans. Personne ne sait rien de ce qui me hante. Personne ne se doute. Deux options : tout le monde sâen fiche, ou alors je cache trĂšs bien les choses.
Je cache trĂšs bien les choses. Je ne laisse aucune preuve, je souris, je ne dis rien, jâĂ©vite les situations en inventant de trĂšs beaux mensonges, bien-sur je suis une petite fille angoissĂ©e qui âpose beaucoup de questionsâ, bien-sur je me rĂ©fugie dans mes livres, qui mâemportent, ailleurs, trĂšs loin, lĂ oĂč le monstre nâexiste pas. Je nâaime pas le restaurant, car la serveuse mâagace. Je nâaime pas les pizzas car je nâaime pas la tomate (et non pas affreusement peur de vomir ce plat encore une fois), je nâaime pas la quiche car je nâaime pas la crĂšme (et absolument pas peur que cela me donne envie de vomir, comme quand jâavais 8 ans), jâai tout simplement un appĂ©tit dâoiseau (et non pas une peur panique de trop manger et dâĂȘtre Ă©cĆurĂ©e), je suis propre et aime me laver les mains, ne touche pas les poignĂ©es de porte lâhiver parce que câest comme ça câest la vie, jâaime les ouvrir avec mes coudes, coupe tout contact avec les personnes ayant approchĂ© de prĂšs ou de loin une gastro-entĂ©rite car je suis simplement prudente. Jâai pleurĂ© toutes les larmes de mon corps lorsque quelquâun Ă©tait malade chez moi, en mâenfermant dans ma chambre durant des jours, en allant faire pipi dans le jardin, en me retenant pendant des heures, ou en fuyant pendant plusieurs jours.Â
Le pire ce nâest peut ĂȘtre pas tout ce que jâai fait. Câest dâavoir cachĂ© tout ça. Parce que jâen avais honte. Aujourdâhui, jâen veux au monde entier. De nâavoir rien vu, de nâavoir rien dit. Jâen veux au monde de ne pas mâavoir sorti de ma souffrance. Jâen veux Ă mes parents dâavoir pris Ă la rigolade mes obsessions alimentaires et ma terreur de la pizza. Je mâen veux Ă moi mĂȘme de toutes les fois ou jâai voulu dire, appeler au secours, et ne pas avoir rĂ©ussi.
JâĂ©tais cette petite fille de 7 ans, terrifiĂ©e. JâĂ©tais cette petite fille de 8 ans, toujours terrifiĂ©e. Puis de 9 ans, de 10 ans ensuite. De 11 ans, de 12 ans, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23. Suis-je toujours terrifiĂ©e? oui. Câest ce qui mâamĂšne Ă vous Ă©crire aujourdâhui. Jâai quittĂ© ma chambre dâenfant, jâai quittĂ© le lit mezzanine. Jâai jetĂ© le pyjama rose. Jâai appris beaucoup de choses sur les microbes, et notamment quâils avaient une durĂ© de vie relativement rĂ©duite. Jâai gaspillĂ© beaucoup de nourriture, jâen gaspille encore, car cette peur irraisonnĂ©e rĂ©sonne encore dans ma tĂȘte, comme un Ă©cho du passĂ©, comme un rappel constant de la petite fille de 7 ans que jâĂ©tais. Lâautre jour, un Ă©niĂ©me psychologue, mĂ©decin, que sais-je, mâa demandĂ© ce que reprĂ©sentais cette peur pour moi. Jâai fondu en larmes. Cette peur ne reprĂ©sente rien, cette peur câest moi. Je ne peux plus dissocier âla peurâ de âclĂ©menceâ. Les deux ont finis par se confondre, avec le temps, Ă tel point quâaujourdâhui, lâun ne peut exister sans lâautre.
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Seul
Un jour jâai tentĂ© dâaller vers les gens, ils se sont lassĂ©s oĂč mâont donnĂ© de faux sourires de comprĂ©hension. Alors jâai laissĂ© tomber.
Un jour, le coeur au bord des lĂšvres de cette solitude, je suis allĂ© sur un site dâaide aux personnes qui nâont personnes et qui se sentent Ă bout avec la vie :
Jâavais lâimpression de parler Ă un robot, câĂ©tait si froid et impersonnel que jâavais juste envie de fermer la fenĂȘtre, mais, BIEN ENTENDU ABRUTI QUE JE SUIS, jâai continuĂ© la conversation car je suis poli.
Jâen ai marre dâĂȘtre seul et jâen ai marre des gens, jâen ai marre de cette vie qui nous demande absolument tout sans rien nous donner en retour, jâen ai marre des gens qui nous demandent tout et nâoffrent rien en retour. Je suis Ă bout et je mâen tape de tout maintenant, enfin pas vraiment de tout vu que je ressens encore ce besoin dâaller vers les gens ou de me plaindre ici sur Tumblr sachant que peuuuuut-ĂȘtre une personne le lira, mais vous suivez lâidĂ©e.
Rien ne mâaide, personne ne mâaide et surtout pas moi-mĂȘme. Depuis au moins un an je commence Ă me dire que je devrai peut-ĂȘtre commettre un crime sans rĂ©els dĂ©gĂąts histoire dâaller en taule et de peut-ĂȘtre enfin trouver un chemin grĂące au service rĂ©insertion. Car oui : je suis incapable dâavoir le moindre job. Plongeur dans un resto ? Hah ! Tu rĂȘves. Livreur de pizza ? Plus simple de toucher les Ă©toiles.
Mon plan dâavenir actuellement ? En restant rĂ©aliste câest juste ne rien faire, attendre que mes ressources sâĂ©puisent Ă nouveau et puis voilĂ , paf, fermons le rideau. Car je nâai droit Ă rien, pas dâaides, pas de formations, RIEN. Vous vous ĂȘtes dĂ©jĂ senti si seul lorsque mĂȘme le syndicat socialo vous dit que vous pouvez crever sous un pont ? Que les organismes dâemploi vous reçoivent avec un soupir de dĂ©sespoir en mode « Ah tiens, ça fait dix ans quâil cherche un job et il vient encore me casser les couilles », que les organismes dâaides pour les victimes vous engueulent par texto ? Que la police vous parle comme si vous ĂȘtiez un criminel ? Que vos amis ne soient lĂ que de temps en temps et puis vous oublient tout aussi rapidement ? Que ceux qui tentent de vous aider lĂąchent lâaffaire car ils nâont pas conscience de la rĂ©alitĂ© des choses ?
Jâen suis rendu ici, au point oĂč tout simplement je mâen tape assez pour pouvoir le dire avec le visage figĂ© et transi dâun manque total dâĂ©motion hors mis lâennui ? Plus rien ne me plais, plus rien ne mâenjoue, jâĂ©tais un grand lecteur : je relis les mĂȘmes choses depuis trois ans et je mâen tape, au moins je sais quelle est la suite et je peux poser le bouquin. Moi qui dĂ©vorait UN ROMAN par nuit, jâen suis Ă ma sixiĂšme lecture de ma bibliothĂšque plutĂŽt consĂ©quente et gĂ©nĂ©ralement je lis une page avant de fixer le plafond pendant une heure ou deux.
Moi qui Ă©crivait avec lâaviditĂ© dâun alcoolique devant un casier de biĂšres, jâai du mal Ă aligner deux phrases sans que je ne trouve cela barbant. Non, tout ce quâil me reste au niveau Ă©criture nâest que de lâaigreur et du dĂ©senchantement, je ne trouve plus dâentrain Ă le faire sauf en Ă©talant mon mĂ©contentement.
Moi qui Ă©tait fan des jeux vidĂ©os : mĂȘme dix minutes sur un jeu me les broies sĂ©vĂšre, je regarde les pixels avancer en rĂ©flĂ©chissant sans prendre spĂ©cialement attention.
Tout ce qui pouvait faire bouger ma vie ne mĂšne plus Ă rien, tout ce quâil me reste câest de lâennui. Je zappe de musique en musique, sans attendre quâelle se termine car ça me barbe, je peine Ă lire plus de deux lignes avant de faire autre chose puis dây revenir sans avoir retenu la moindre chose. Je peine Ă avoir des contacts sociaux car câest toujours la mĂȘme rengaine.
Tout est chiant. Tout est froid. Tout est si futile.
Je vois ce monde comme si je nây habitais pas, comme si jâĂ©tais dĂ©jĂ mort malgrĂ© le fait que je continue de respirer et dâavoir des organes qui fonctionnent. Jâaimerai ĂȘtre vivant mĂȘme si cela me fait peur, tout ce changement, toutes ces choses Ă assumer, tout ces bagages Ă mettre sur son dos.
Mais je ne le suis plus. JâĂ©tais animĂ© de grands idĂ©aux, de beaux idĂ©aux, jâĂ©tais un type sympa qui se sacrifiait encore et encore pour tout le monde sauf pour lui-mĂȘme. JâĂ©tais ce pilier de morale et dâĂ©thique, de sacrifice et de gentillesse. Aujourdâhui je suis une coquille vide, peut-ĂȘtre y a t-il de la cendre Ă lâintĂ©rieur mais je peine Ă croire quâil reste autre chose.
Il ne reste que deux choses encore vraiment capables de donner des tressautements Ă ce cadavre ambulant que je suis : Jâai envie de hurler encore et encore jusquâĂ ce que ma gorge et mes poumons ne puissent plus tenir et se remplissent de sang, jâai envie de hurler ma haine de tout ce que je suis, de tout ce que jâai fait, de tout ce que jâai vĂ©cu. Et jâai besoin de violence, je le sens Ă lâintĂ©rieur de mes veines pratiquement taries : ce feu qui couve, ce besoin de faire tant de mal Ă tout le monde, de dĂ©chirer la chair, de fendre des vies, dâenfin voir sur les visages des autres la mĂȘme dĂ©tresse qui fut sur la mienne et dont on sâest moquĂ©.
Mais je ne ferai ni lâun ni lâautre car cela me demanderai trop dâefforts et briserait le frĂȘle carcant moral quâil me reste. Lâon aura beau dire mais la seule raison pour laquelle je suis toujours ici est Ă cause ( ou grĂące ) Ă cette maudite moralitĂ©. Tu ne te suicideras pas, tu ne feras pas de mal Ă autrui, tu seras lâoreille attentive, tu offriras ton aide de façon dĂ©sintĂ©ressĂ©e.
Au final
On peut me rĂ©sumer Ă ce code. Car il a dictĂ© tout ce que jâai Ă©tĂ© et tout ce que je suis encore.
Mais pour combien de temps encore avant que la cloche ne sonne ? Avant que la brindille qui me maintiens encore debout ne casse comme du bois mort et sec ? Car plus rien ne mâintĂ©resse vraiment si ce nâest moi. Car je ne me connais pas. Car je ne sais pas qui je suis. Et plus je tente de me connaĂźtre. Moins jâen ai envie. Car je me dĂ©goĂ»te autant que le monde me dĂ©goĂ»te. Car je me crache Ă la gueule comme si je lâavais fait sur les autres. Car jâen ai assez de tout ça, mais ça ne sâarrĂȘtera pas. Et ça continuera,
encore et encore,
et ce jusquâĂ ,
ce que je tombe par dessus bord.
Et il nây aura
que la mort
pour me délivrer
mais au fond de moi-mĂȘme
jâaimerai exister
Jâen suis simplement incapable.
Et Ă bout de souffle.
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Le Vacarme. Chapitre 11. La fin du Drama.
       Alex Corzoma fut éveillé par un bruit.
Sacrebleu! Ca avait gĂ©-chan, le Drama. Eux qui autrefois s'aimaient, maintenant, et flibustiers, et followers, tout le monde se crĂȘpait le chignon. A croire que leur amitiĂ© n'Ă©tait que façade. Alex Corzoma, dans un premier temps circonspect, lui revint en tĂȘte sa prophĂ©tie.
            ALEX CORZOMA - Regardez, regardez! Je l'avais dit, je l'avais dit, mais personne ne me croyait. Personne ne me croit jamais! C'était au chapitre 9.
         Ska, El et Yu, les fées de Lashtay, étaient devenues des ogres gigantesques. Elles bouffaient des montagnes, elles bouffaient des gratte-ciel, et des coquelicots. A l'origine de leur changement de forme, Elodivague. Elle les avait caressées dans le sens de leur fierté, ça leur avait donné du peps. Mais personne n'avait su ouvrir les yeux sur ce qui se tramait. C'est que tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, c'était cuicui les petits oiseaux. Pourquoi s'inquiéter? Puis on s'était réveillé, et graaaa.
       ALEX CORZOMA - Secouez-vous, maudits sacripants! Cessez donc de vous niquer la race, et regardez! Voyez le fucking navire couler! C'est Elodivague qui a manĆuvrĂ©. Elle aura votre fucking peau si vous ne faites rien.
LYWAFF, qui se battait avec Lashtay - Tu nous prends la tĂȘte pour rien, Corzoma. On croirait que c'est ta grande passion.
ALEX CORZOMA - Mais non! Je m'inquiĂšte pour vous, je veux votre bien. Je vous aime trop, comme les fils que je n'ai jamais eus.
LYWAFF - Tu t'en prends toujours à Elodivague, Corzoma! Alors que tu ne la connais pas. Tu ne lui as jamais parlé, elle nous l'a dit, nous on la croit.
ALEX CORZOMA - Ce n'est pas vrai! Elle a menti! Nous nous sommes souventefois causé.
LASHTAY, aprÚs avoir foutu un coup de pied dans Lywaff - Tu me dégoûtes! Elle ne t'a rien fait, pourquoi tu lui en veux à ce point? Grandis un peu, tu vas bientÎt avoir cent ans.
ALEX CORZOMA - Mais zyeutez donc la situation, zyeutez! Elle donne des coups de hache dans la coque du navire, elle fait des trous.
TONTON PIPI - Mamma mia! Il a raison, elle donne des coups de hache dans la coque du navire, elle fait des trous. Mangez des pizzas.
NEW CHRISTY, ayant mordu Pleutre Prollow à l'oreille, lequel chiale - Elodivague, ma douce dulciney, j'suis in love de toi, wesh! J't'aime de tout mon amour bébé, pardonne moi!
ELODIVAGUE - Plus tard, plus tard, New Christy adoré. Là , je suis occupée. (Redonne des coups de hache)
AMAMA et FEILA, s'étant l'un et l'autre pissé à la raie - Elodivague, Elodivague, on t'aime!
ALEX CORZOMA - Etes-vous donc aveugles? Rebellez-vous! Prenez le pouvoir! Soyez insoumis!
VYLENE SH - Tu me dégoûtes! On ne s'attaque pas à une princesse comme ça.
AMAMA - En plus, tu as trahi Ska, El et Yu! Elle nous l'a dit.
ALEX CORZOMA - Fichtre non!
FEILA - Oui, elle nous l'a dit.
LYWAFF - Oui, elle nous l'a dit.
VYLENE SH, LASHTAY et TONTON PIPI - Oui, elle nous l'a dit.
ALEX CORZOMA - C'est elle qui m'a demandĂ© de l'aider. Ses gĂ©missements me dĂ©chiraient le cĆur. J'ai grand cĆur, vous savez?
LYWAFF, aprÚs avoir parlé de la gueule de Lashtay dans son dos - Tu devrais avoir honte de parler de la gueule des gens dans leur dos.
        Ska, El et Yu n'Ă©taient toujours pas rassasiĂ©s. On pleurait, on pleurait Ă l'idĂ©e de devenir un casse-croute. Quelle mort ridicule! Mais si on avait pu ressusciter, probablement aurait-on pardonnĂ© Ă la responsable. Le navire n'allait pas tarder Ă tutoyer les abysses, une tempĂȘte soufflait. On m'appelle l'OVNI, soufflait-elle.
        SKA - C'est toi qui parle sur notre gueule?
ALEX CORZOMA - C'est pas moi, m'sieur, je jure. C'est Elodivague.
SKA - Mange mon sarce, petit fils de pute, graaaa.
YU - Elodivague, c'est une gentille fille, graaaa.
EL - On ne te croit pas, graaaa.
LASHTAY - Oh mes fées, vous avez tellement grandi. Venez faire un cùlin à papa. (Lashtay va faire un cùlin à Ska)
SKA - Graaaa! (Ska bouffe Lashtay) Un peu gras, mais bien salé.
EL - Tu aurais dĂ» nous garder un morceau.
YU - J'aurais bien voulu y goûter.
ELODIVAGUE - Vous parlerez bouffe aprÚs. D'abord, réglez son compte à cet odieux Alex Corzoma, qui me fait passer pour ce que je ne suis pas. (Gémissements)
LYWAFF - Ce serait trop facile, moi je veux du spectacle, hihi! Je propose que vous vous battiez. Viens te battre, si t'as des couilles.
         Tout le navire approuva. HĂ©sitante au dĂ©but, Elodivague y consentit, elle aurait un moyen de s'en sortir. Quant Ă Alex Corzoma, il craignait qu'on l'accusĂąt de s'en prendre Ă une fille. Mais refusant, on l'accuserait a contrario de ne pas avoir de couilles. Puisqu'il fallait choisirâŠ
          ALEX CORZOMA - Feu, nya!
ELODIVAGUE - Volée, olala!
ALEX CORZOMA - Feu, nya!
ELODIVAGUE - Blizzard, olala!
ALEX CORZOMA - Griffes acérées, nya!
ELODIVAGUE - Prima donna, olala!
ALEX CORZOMA - Feu, nya!
ELODIVAGUE - Blizzard, olala!
ALEX CORZOMA - Griffes acérées, nya!
ELODIVAGUE - Soufflet!
ALEX CORZOMA - Fureur du chaton, nya nya nya nya nya nya nya!
         Elodivague avait perdu. Mais cette défaite, elle la passa à Ska.
         ELODIVAGUE, fuyant sur la mer - Adieu, les nuls, mouahahahaha! Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais parlé.
Flibustiers et followers - Elodivague, on t'aime!
       Le navire avait fini par couler. Alex Corzoma avait retrouvĂ© le Perlinpinpin, sa barque. Il errait, il errait, il errait, il errait, il errait, il errait, il erraitâŠ
        Je chante un chant à la dérive
Ivre d'eau pleine de poissons
Je pleus et tonne la voix priv-
Ee de fleurs et de paillassons
Chantant un chant à la dérive
        Je rugis dans la mer en rage
Le sang sanglote je me noie
Les poissons s'en vont Ă la nage
Voler chez les lutins des bois
Et la sirĂšne au vent volage
        Soleil que j'ai trop regardé
Du fond de mes foutues cavernes
Ternes soleils j'ai trop ardé
Je suis tombé dedans la Marne
Poisson poissons j'ai trop tardé
       Mon chef enflamme enfiesté
La mer oĂč fuiront les moulfrites
Je suis le marin délesté
Qui chante un chant à la dérive
Je coule hélas j'ai trop pesté
      EMMA le cadre, soudain, portant Pluie, fumée et vitesse de Turner - Alex, Alex, eh oh Alex, je suis là , je suis là . L'avenir s'ouvre à toi, l'horizon te chante, Alex. Je suis là , dans ta barque, c'est moi, ton amie le cadre qui porte nom Emma. Regarde, regarde, là -haut, dans les nuages.
MIKE UNDERBOTNICK, apparaissant dans les nuages, un vieil homme bedonnant - Je suis Mike Underbotnick, roi de l'ßle de Bakaskepsis et professeur de pataphysique. Emma m'a beaucoup parlé de vous. Voyant votre naufrage, j'ai décidé de vous tendre la main. Je viens à vous.
ALEX CORZOMA - Donc rien n'est perdu? Des gens me donneront à nouveau la réplique?
MIKE UNDERBOTNICK - Vous serez comme chez vous. Un prince!
     A. Corzoma
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