#la dernière fois que je le refaits
Explore tagged Tumblr posts
Text
EN/AN
Hi there!
So, I got obsessed with monster hunter (stories) again and found this doodle I’ve done : Mily singing a lullaby Ratha (before he gets his wings) and his unborn little sister Rathy (a razewing rathian with pink feathery wings). This is around the time before they leave Rutoh to go to Kuan, after the young Rathalos is old enough to travel and defend himself.
As you can see here, Mily has several scars (depending on the world she’s in, the scars she got in that world can appear on her shapeshifting skin. These are marks of her past adventures in each universe she goes into. Orion posses this same ability) : one on her nose after a wild velociprey scratched her the moment she arrived and one on her shoulder she got from the rage-rayed Anjanath she fought in Hakolo island.
I’ll post of Orion in the world of Monster hunter as well!
Hope you like it 😊.
Note : Mily, Orion and Rathy are my characters. The concept of Razewinf Rathian belongs to me. Ratha, the monsters and the world of Monster hunter/Monster hunter stories belongs to Capcom.
FR/FR
Salut !
Alors, mon obsession pour monster hunter (stories) a refait surface et j’ai retrouvé ce petit dessin : Mily chantant une berceuse à Ratha (avant qu’il n’ait ses ailes) et à sa petite sœur Rathy (une « Rathian destructrice » la traduction française est vraiment affreuse 😂😂 aux ailes plumées roses). C’est un peu avant qu’ils ne quittent Rutoh pour se rendre à Kuan, une fois que le jeune Rathalos fut assez grand pour voyager et se défendre.
Comme vous pouvez le voir Mily à plusieurs cicatrices (dépendant du monde dans lequel elle ce trouve, ces dernières qu’elle a eut dans ce monde en particulier peut apparaîtrent sur sa peau de métamorphe. Ce sont des marques de ses anciennes aventures dans chaque s univers où elle c’est rendue. Orion a aussi cette capacité.) : une sur son née à cause d’un Velociprey sauvage qui l’a griffé quand elle est arrivée et deux sur son épaule après son combat contre l’Anjanath affecté par les rayons rouges sur l’île d’Hakolo.
Je publierai Orion dans dans monde de Monster hunter aussi!
En espérant que ça vous plaise 😊.
Note : Mily, Orion et Rathy sont mes personnages. Le concept de la Rathian destructrice est mien aussi. Ratha, les monstres et l’univers de Monster Hunter/Monster hunter stories appartiennent à Capcom.
#oc stuff#my art#monster hunter stories wings of ruin#monster hunter stories#monster hunter#mhs#mhs2#mhs2 oc#monster hunter stories 2 wings of ruin#monster hunter stories 2
4 notes
·
View notes
Note
(LUX): “I’ve never enjoyed anything more than a hug from you.” “Don’t call me, I don’t want any contact with you.” “You look yummy.” “In the end we migrate towards comfort. I am my most comfortable around you.” “It’s not working out. We’re not working out.”
“I’ve never enjoyed anything more than a hug from you.”
Sur ces mots, Adam resserre son emprise autour de Lux, lui envoyant le plus d’énergie possible pour affronter le reste de sa journée. La danseuse cale sa tête contre le torse du musicien et se réchauffe un instant dans la douceur des bras du loup-garou. Ce dernier profite que le visage de Lux soit posé à cet endroit pour murmurer à son oreille: « Tu vas être merveilleuse. » Cette dernière lève ses yeux vers lui. « Je le sais, j’ai travaillé pour. » Adam ricane. Effectivement, cela faisait plusieurs semaines que le couple n’avait fait que se croiser, Lux étant trop occupée à répéter pour son ballet donnant plus d’elle-même que jamais, et Adam faisant son maximum pour occuper l’espace laissé par son absence. Lux faisait toujours en sorte de n’avoir l’air presque pas fatiguée, jamais diminuée par toute cette sur-activité. Adam est fasciné par sa force. Bon, peut-être qu'aussi ça aide d'être une hybride. Il embrasse son front une dernière fois avant qu’elle doive disparaître derrière le rideau pour se changer et entamer sa dernière répétition. « Continue de faire ce que tu fais de mieux dans ce cas. » Adam ajoute en la laissant partir. Il voit tout de même à la moue qu’elle affiche avant de le quitter qu’elle aurait aimé comme lui que cet instant dure plus longtemps. Finalement, avec le temps, il devait bien l'admettre: être le petit-ami d'un bourreau de travail n'était pas toujours facile. Mais Lux faisait ce qu'elle aimait par dessus tout. Il aurait aimé pouvoir dire la même chose. Il l'enviait secrètement, mais par dessus tout, il était fier d'elle. Pour rien au monde, malgré le fait qu'il ne la voyait pas assez, il n’aurait donné sa place à ses côtés. Même si ça devait dire n’avoir la chance que d’enlacer sa petite-amie une fois dans la semaine parfois — au moins, il avait droit à ces cinq minutes de bonheur.
“Don’t call me, I don’t want any contact with you.”
Lux est catégorique, tandis qu’elle refait le tour de son appartement pour vérifier qu’aucune affaire d’Adam n’y traîne encore. Son regard est froid mais sa nervosité est perceptible. Le musicien sent ce qui se trame. Elle n’est pas en train d’agir par choix. « Est-ce que c’est à cause de lui? » Le loup-garou pose la question avec une colère qui ne lui ressemble pas. Lux lève les yeux une demie-seconde qui suffit à donner l'impression à Adam qu'elle ne veut pas le regarder par peur de laisser la vérité s'échapper. « Non. » Elle ment. Il le sait. Adam se demande bien ce qu’Ekko a pu lui dire pour pousser sa petite-amie à agir comme ça. Est-ce qu’il a menacé de le tuer? Est-ce qu’il l’a manipulée? Le loup-garou regrette de n’avoir aucune idée de ce qui se passe. La danseuse l’avait prévenu à plusieurs reprises que sa relation avec son colocataire pouvait devenir un problème. Cette relation à vrai dire, il n’y comprenait pas grand chose. Tout ce qu’il savait, c’était que ce fameux colocataire avait des tendances meurtrières effrayantes et qu’il valait mieux l’éviter tant qu’il le pouvait. Sûrement qu’Adam n’avait pas été assez prudent. « On peut gérer ça ensemble, Lux, il faut que tu me dises ce qui se passe. » Insiste le loup-garou, ne réussissant par sa demande qu’à recevoir le dernier t-shirt que Lux lui avait emprunté dans la figure. Elle ne veut pas de son aide, pas maintenant. « Je te laisserai pas tomber. » Termine finalement le loup-garou, en se forçant à quitter la pièce pour s’éloigner du potentiel danger que représente le fait de rester. Il part mais il ne va certainement pas se laisser faire comme ça. Ekko a quelque chose à voir avec ça. La danseuse ne le laisserait pas tomber de cette manière. Il en est sûr.
“You look yummy.”
Adam frotte son torse humide avec sa serviette d’un air amusé. Lux se mord la lèvre, avant de finalement se retourner pour ne pas briser les règles qui ont été fixées. Pourtant le loup-garou la cherche. Faut dire qu’elle est aussi appétissante, avec ses joues rosées, ses cheveux ébouriffés par l’effort, et son odeur de savon. Il se faufile derrière elle pour embrasser son cou et se délecter de son parfum. La danseuse ferme les yeux en soupirant. « Tu veux rendre les choses encore plus difficiles? » La question de Lux a l'ai réthorique. Le loup-garou mentirait si il disait que la situation ne lui donne pas quelques idées. Lux et lui, seuls dans les vestiaires après leur entraînement, le gymnase vide… Si le Seigneur pouvait lire dans les pensées d'Adam, il est à peu près sûr que le croyant ne finirait pas au paradis. Le musicien laisse ses bras entourer la taille de Lux. Elle avait été plus que patiente avec lui quand il lui avait dit qu’il voulait attendre pour aller plus loin, mais même pour le loup-garou, cette abstinence commençait à devenir longue et à ne plus avoir le même sens. Il était sûr de ses sentiments pour Lux, peut-être que le moment était venu pour passer ce cap? Il s’expliquerait avec Dieu plus tard. Bon, bien sûr, ce cap ne serait pas à franchir dans les vestiaires du lycée. Ces idées obscènes resteraient pour plus tard. « Et si je te disais que je pense qu’on a assez attendu? » La danseuse se retourne, l’air étonnée. « Tu vas dire quoi à Jésus? » Elle demande incrédule. Adam rit ouvertement. « Que j’aime ma petite-amie. » Il répond simplement, en lui offrant un petit clin d’oeil et un sourire complice. « Et qu’elle aussi, elle est beaucoup trop appétissante. » Il rajoute, en se jetant de nouveau malicieusement dans son cou, arrachant un rire de surprise à la petite-amie appétissante en question.
“In the end we migrate towards comfort. I am my most comfortable around you.”
La danseuse allie le geste à la parole, et s’allonge contre Adam, laissant son visage reposer contre le coeur bruyant du loup-garou qui accélère alors qu’il sent la chaleur de l’hybride contre lui. Lux semble le remarquer car elle laisse échapper un rire silencieux. Le loup-garou ne dit mot, profitant de cet instant, remarquant le calme qui règne dans sa deuxième maison en l’absence de sa grand-mère. Lux est la seule à pouvoir combler le vide que celle-ci génère. Pour la première fois, la grand-mère d’Adam n’est pas dans cette maison, et ce dernier n’a pas l’impression que son père va en profiter pour le punir. Lui aussi, il n’a jamais été aussi simplement bien. Tout a toujours semblé naturel entre lui et Lux, et cet instant en est la preuve. La jeune femme lève ses grands yeux vers lui, l’air de se demander à quoi il pense. « J’aimerais qu’on puisse être comme ça tous les jours. » Il lui avoue finalement, comme si il répondait à la question qu’elle n’avait pas posée. Elle sourit dans sa direction. Le regard hésitant d’Adam se pose sur les lèvres de la jeune femme, avec l’air de demander l’autorisation. Elle s’avance, comme pour valider ses demandes, et leurs lèvres se rejoignent, dans un élan aussi naturel que tout ce qui se passait jusqu’à présent entre eux, bougeant entre elles comme si cela était arrivé déjà des milliers de fois. Adam sourit contre les lèvres de l'hybride, frottant avec tendresse son nez contre le sien. Le loup-garou ne s'était jamais autant senti en sécurité.
“It’s not working out. We’re not working out.”
« Dis-moi ce que je peux faire pour que ça fonctionne? » Demande Adam d’un air qui trahit son désespoir en vue de ce qui est en train d’arriver sans qu’il le maîtrise. Son coeur se serre douloureusement parce qu’il sait à qui il parle, et qu’il sait qu’il n’aura certainement pas le dernier mot si la danseuse est aussi déterminée qu’elle a l’air de l’être. « Tu essaies trop, justement, Adam. » Assène Lux, arrêtant le temps pendant un court instant, laissant le loup-garou piqué au vif et à court de mot. S’il est blessé, la colère commence à apparaître. « Alors et si toi tu essayais pour une fois, hein? Je suis le seul à vouloir faire en sorte que ça fonctionne depuis le début. » Le loup-garou lance, se rendant bien compte qu’il n’essaie plus de contrer les attaques de Lux, et qu’il est désormais face à la fatalité de la situation — il est en train de se battre maintenant, lui aussi. Lux se ferme, le visage tiré. Adam n’arrive plus à savoir si il l’a blessé lui aussi, ou si elle est finalement satisfaite d’avoir ce qu’elle demandait: un petit-ami qui n’essaie plus. La jeune femme fait passer son sac par dessus son épaule, prête à quitter les lieux et Adam ne la retient plus. « Je t’avais dit que j’étais pas faite pour ça. » La danseuse passe la porte du gymnase. Le loup-garou se retrouve seul. Il regrette instantanément de ne pas avoir essayé, quitte à en faire trop, une dernière fois.
#ooc: je crois que le manque du rp m'a rendue productive#encore des bébés ;____;#ils me manquent trop#j'ai encore fait des prompts de manque du coup#ça me fait du bien de voir la bouille d'Adam en même temps#prompts: lux#prompts
42 notes
·
View notes
Note
@plaidetchocolatchaud raspberry flip, merci pour ce nom. Je suis encore ému de la performance de ce patineur, ça m'arrive pour la première fois. C'est très fort ce qu'il a fait, ce qu'il a donné...
(Je n'ai pas vu ta réponse hier, il y a beaucoup de commentaires sur la vidéo, je préfère te répondre directement, j'espère que c'est OK)
Désolée je viens de voir que je me suis trompée en commentaire, c'est un raspberry twist ! Je suis désolée. Et je t'avoue que même en slow motion c'est compliqué de comprendre précisément le saut, perso je vois un saut papillon, avec une vrille, mais je peux me tromper (edit : je viens de regarder sur internet et ça m'a bel et bien l'air d'un saut papillon vrillé et des tutos sur internet existent) !
Le saut papillon est l'un de mes sauts préférés en gr d'ailleurs, et j'apprenais à le faire, et c'est hyper dur de lui donner de l'amplitude, mais visuellement c'est un saut incroyable (en gif, Margarita Kolosov)
Et oui, je suis fan aussi d'Ilia, c'est pas le patineur le plus artistique (mais ça va venir, par rapport à la saison dernière, il a fait d'énormes progrès sur ce niveau-là). Même si tu ne connais pas tous les détails, regarde le détail sur le plan technique et tous les record qu'il a battu sur cette performance, c'est complètement dingue. J'espère juste qu'il fait attention niveau blessures et qu'il va avoir une carrière longue ( en tant qu'ancienne fan de sasha, ma plus grande crainte est qu'il connaisse la même trajectoire, même si il est dans un milieu beaucoup (mais alors beaucoup) moins abusif).
Si tu en veux d'autres, je te fais une liste (un peu random, il se fait tard désolée, petit guide pour débutant.e fait vraiment à l'arrache) :
Yuzuru Hanyu (jpn) : considéré comme le meilleur patineur de l'histoire, ses sauts sont juste parfait, et sur le plan artistique il a dépassé de très loin tous les autres. C'est, entre autres, le premier patineur à avoir essayé le quadruple axel, qu'Ilia a été le premier à réussir en compétition. Regardes son programme libre des JO de 2018, c'est une dinguerie (il l'a fait en étant blessé)
youtube
Nathan Chen (usa) : Malgré ses costumes horribles, si tu aimes les sauts, il fera ton bonheur
Adam Siao Him Fa (fra): La nouvelle star du patinage français, qui a partagé la vedette avec Ilia pour les mondiaux avec l'incroyable remontée qu'il a faite. Si tu as aimé le raspberry twist d'Ilia, tu pourrais aimer son arabian et son salto arrière. Et il paraît qu'il veut essayer le quadruple axel lui aussi.
Le trio Yuna Kim/Mao Asada/ Carolina Kostner : l'âge d'or du patinage artistique féminin sans aucun doutes. Chacune était différente. Tu pourrais adorer Mao et son programme libre à Sotchi
Kaori Sakamoto (jpn) : La reine du patinage actuelle
Surya Bonaly (fra) : la légende française. Elle a honteusement été volée pendant toute sa carrière
Katarina Witt (ex-rda) : ça remonte à loin, mais son charisme n'a pas vieilli, et ses outfits sont toujours aussi iconiques
Sui/Han (Chine) : je regarde pas trop les couples (pourtant c'est une discipline avec des éléments hyper variés, j'aime bien), mais celui là était vraiment mon préféré
Anissina/Peizerat (fra) : le meilleur couple de danse sur glace français imo. Tous leurs programme ou presque sont des masterclass, ça n'a pas vieilli. Et Marina est la seule femme dans le patinage à avoir porté un homme, ça ne s'est pas refait.
Virtue/Moir (can) : Jettes un œil à leur Tango de Roxanne et à leur gala sur Stay de Rihanna
Papadakis/Cizeron (fra) : Je ne dois pas avoir besoin de les présenter. Leurs meilleurs programmes sont ceux qui sont le moins classique je pense (Fame, leur danse rythmique de 2022). Big up à Gabriella pour avoir le courage de dénoncer les violences dans le patinage chez les femmes.
Gilles/Poirier (can): j'adore leur originalité ( leur programme de cette année sur Les Hauts de Hurlevent est une merveille)
Guignard/Fabri (ita) : (va regarder leur programme sur les flamands roses)
Si tu as envie de regarder de la gymnastique rhythmique (sport beaucoup trop sous-côté, parce qu'en plus des éléments gymniques et de la danse tu as des ENGINS D'ADRESSE)
Anna Bessonova (ukr) : sa routine la plus iconique est Hopak mais toutes, je dis, absolument TOUTES ses routines sont des chef d'œuvre. Elle s'est pris de plein fouet la concurrence russe et ses injustices, mais c'est la meilleure gymnaste
Elena Vitrichenko (ukr) : une icône, malheureusement les juges en avait décidé autrement
Almudena Cid (esp): la reine d'Espagne qui a disputé quatre finales olympiques
Les russes ont dominé la gr pendant deux décennies, mais seulement trois ont vraiment apporté quelque chose à ce sport : Evgenia Kanavea, Margarita Mamun (il y a eu un documentaire terrible sur sa préparation aux JO tu comprendras mieux pourquoi on ne peux plus défendre les russes tant que le système ne change pas) et Yana Kudryavtseva
Melitina Staniouta (blr) : je la mets juste pour son sublime pivot signature
Sofia Raffaeli (ita) : une des principales prétendantes à l'or olympique. Elle a besoin de force, elle s'est fait lâcher à la fin de la saison dernière par sa coach qui l'entraînait depuis toute petite
Polina Berezina et Alba Bautista (esp) : je les aime d'amour. Poli a mon âge et les rubans d'Alba sont des merveilles.
Eva Serrano (fra): Si les russes n'avaient pas falsifié les scores, elle serait la seule gymnaste française à avoir gagné une médaille olympique. Tkt, elle a pris sa revanche en étant juge 20 ans plus tard à Tokyo (quelle reine) où la Russie a été battue après 20 ans de domination sans partage.
Darja Varfolomeev (ger): n'écoute pas ce que ces haters disent sur Internet. si tu as aimé Ilia (et que tu es toujours là !) tu vas l'adorer. Ses difficultés sont folles, et elle est d'une consistance dingue et fait ses meilleurs performances sous pression. Pendant les mondiaux elle dansait sur les musiques des autres en attendant son score, et elle a un sourire plus gros que son visage. C'est la favorite pour les JO.
Takhmina Ikromova (uzb): la révélation des derniers mondiaux, et la gymnaste la plus complète. elle vient de gagner le concours général du grand prix de Thiais ce weekend
Barbara Domingos : première gymnaste brésilienne qui a du succès, tu devrais aimer son ruban et son cerceau sur le roi Lion
Stiliana Nikolova (bul) : La plus expressive de la bande et celle qui a le plus de responsabilité, le jour où elle arrivera à vaincre son stress pour les finales elle sera imbattable
Boryana Kaleyn (bul) : la GOAT. elle s'est essayé et a réussi à TOUS les styles musicaux, du classique au metal, à la K-pop, au folklore sibérien à des morceaux de musiques composés exprès pour elle. Le cycle précédant un nombre incalculable de médailles lui sont passées sous le nez à cause de l'inflation des scores russes.
Ensemble France : voir mon précédant post
Ensemble Bulgare "Les Golden Girls) : le groupe de 2018-2021 (surnommé Les Diamants) est le meilleur de l'histoire, et les petites nouvelles font de très belles routines. Leurs performances dans les années 80, qui leur ont valu leur surnom valent le coup d'œil
Ensemble d'Espagne : leur performance en 2016 sur Vida Carnaval est de l'or
Ensemble d'Ukraine : quand elles sont stables, elles sont merveilleuses. Jettes un œil sur leurs galas : Archangel et Angels and Demons
Ensemble de Chine : des reines
2 notes
·
View notes
Text
Confiance En Toi - Stiles Stilinski
Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
Résumé : Tes problèmes de confiance ne font que s'empirer, détruisant petit à petit ta relation avec Stiles.
Warnings : hurt/comfort, angst, problèmes de confiance, mention d'un parent étant infidèle, mauvaise relation avec les parents, auto-sabotage, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Word count : 3.6k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Emails I Can't Send par Sabrina Carpenter
“Désolé, je vais devoir annuler ce soir. L'entraînement de lacrosse m’a crevé.”
Tu relis le message de Stiles au moins trois fois avant de lui répondre tout simplement ‘ne t’inquiète pas, repose toi’. Même si ton message semble anodin, derrière se cache une grande anxiété.
A chaque fois que Stiles a un empêchement, tu ne peux empêcher une petite voix de venir te parler et te faire peur : “Il ne t’aime pas. Il est toujours amoureux de Lydia. Il est allé la rejoindre. Ou peut-être qu’il était avec Malia. En tout cas, il n’est pas avec toi. Il a annulé pour aller en voir une autre et passer la nuit avec elle, car tu n’es pas assez bien.”. Et dernièrement, Stiles a annulé énormément de rendez-vous, donnant un peu plus de force à cette voix. Tu te bas pour ne pas l’écouter, mais elle est convaincante. Tu penses que Stiles ne te ferait jamais de mal, qu’il est quelqu’un de fidèle, mais ta peur est plus grande que ta confiance.
Ce soir-là, au lieu d’être dans les bras rassurants de ton petit ami, tu ne dors pas. Tu restes allongée sur ton lit, serrant un coussin contre toi et en laissant couler quelques larmes. Quand ton réveil sonne, tu contemples pendant un instant l’idée de mentir à tes parents et prétendre être malade, mais tu ne veux pas rester dans cette maison où tu ne te sens plus chez toi depuis une semaine. Tu as besoin de sortir, alors tu quittes ton lit et tu te prépares pour le lycée.
En arrivant en cours, Stiles te rejoint rapidement. Il s’excuse une nouvelle fois avant de te prendre dans ses bras. Tu essayes de rien laisser paraître même si la petite voix dans ta tête refait son apparition : “Il n’est sûrement pas désolé pour être allé voir ailleurs. Il va bientôt t’abandonner pour Lydia.”. Tu secoues la tête, comme pour la chasser, sans succès.
Pendant toute la matinée, tu restes assez silencieuse, inquiétant Stiles. Il a remarqué dès ton arrivée que quelque chose n’allait pas, mais il en est sûr au moment de la pause déjeuner. En effet, tu manges rapidement avant de partir, prétextant un devoir à faire. A ce moment-là, Stiles comprend que tu vas mal, même s’il ignore la raison. En réalité, tu es partie quand Lydia a évoqué un moment avec Stiles quand elle était chez lui, le soir d’avant. Tu as senti ta gorge se serrer et tu as eu besoin d’être loin de Lydia et de Stiles. Tu as fui dans les toilettes pour laisser tes larmes couler librement. Ton esprit continue à te torturer en te disant que la voix avait raison : il veut te laisser pour Lydia. Il t’a menti. Tu pleures jusqu’à ce que tu entendes la sonnerie.
Le reste de la journée, Stiles essaye de te parler, en vain. Tu l'évites alors que ta tristesse se transforme tout doucement en colère. Cependant, Stiles est têtu, alors il te propose de te ramener avec sa Jeep. Tu veux d’abord refuser, mais tu as besoin de le confronter, alors tu acceptes. Tu envoies rapidement un message à ta mère pour la prévenir qu’elle n’a pas besoin de venir te chercher. Pendant le trajet jusqu’à chez toi, tu es perdue dans tes pensées, cherchant la meilleure manière de parler à Stiles. De son côté, Stiles conduit nerveusement. Quand il se gare devant ta maison, tu décides finalement de ne rien lui dire, voulant éviter une nouvelle dispute. Tu t’apprêtes à quitter la Jeep quand il te retient. Tu le regardes, appréhendant ce qu’il va dire. Peut-être que la voix a raison : tu n’es pas assez bien, il veut quelqu’un d’autre, il a déjà trouvé quelqu’un d’autre.
-Y/N, qu’est-ce qui ne va pas ? demande-t-il sincèrement.
-Tout va bien, mens-tu et il lève rapidement les yeux au ciel.
-Je te connais, il y a quelque chose qui ne va pas.
Tu le regardes pendant une seconde, pesant le pour et le contre avant de décider de le confronter.
-Pourquoi t’as annulé hier ?
-Je te l’ai dit, j’étais fatigué à cause de l'entraînement.
-Tu aurais quand même pu venir chez moi. C’est pas comme si on allait faire la fête. Tu sais, si tu voulais aller autre part ou traîner avec quelqu’un d’autre, t’aurais juste pu me le dire.
-De quoi tu parles ? Après les cours, je suis rentré chez moi et j’ai dormi, veut-il savoir, les sourcils froncés.
-Vraiment ? Alors pourquoi tu m’as pas dit que tu étais allé voir Lydia ? rétorques-tu en croisant les bras sur ta poitrine.
-Elle est juste passée quelques minutes, elle devait venir récupérer un truc.
-Quel truc ?
-Un bouquin pour les cours.
-Tu pouvais pas lui donner aujourd’hui ?
-Elle en avait besoin pour terminer son devoir d’aujourd’hui.
-T’aurais pu me prévenir.
-Y/N, elle est restée cinq minutes. J’ai pas besoin de te dire tous mes faits et gestes, se défend-il et tu lâches un faux rire.
-T’as annulé notre soirée et Lydia est venue chez toi, je pense que je suis en droit de savoir.
-Pourquoi t’en fais tout une histoire ? C’était pour le lycée.
-J’en fais pas une histoire, mais tu m’as menti, insistes-tu en le pointant du doigt.
-Je t’ai pas menti, quand elle est partie, je suis directement allé me coucher, car j’étais fatigué.
-Et tu comptais me dire quand qu’elle était venue chez toi ?
-Je pensais pas que c’était aussi important. Franchement, Y/N, pourquoi t’es toujours tendue quand Lydia est évoquée ? questionne-t-il et tu tentes de garder une expression neutre.
-J’aime juste pas la façon dont elle te colle.
-Elle ne me colle pas.
-Si, elle te colle, mais comment tu pourrais t’en rendre compte ? T’es trop occupée à l’admirer pour le voir.
-Mais de quoi tu parles ?
-Je dis juste que tu es trop proche de Lydia et que presque toutes les fois où tu as annulé c’était pour la voir, expliques-tu et Stiles passe une main sur son visage, frustré.
-Elle est une amie.
-Avant, tu voulais qu’elle soit plus.
-Ouais, “avant”, comme t’as dit. Pourquoi est-ce que tu évoques toujours les sentiments que j’avais pour elle ? Il ne s’est jamais rien passé et il ne se passera jamais rien avec elle, affirme Stiles.
-Tu devrais peut-être garder cette information en tête et le lui dire.
-Y/N, honnêtement, je vois pas le problème.
-Je cite juste un fait : Lydia est toujours collée à toi, alors avoue-le.
-Avouer quoi ? demande-t-il, agacé.
-Tu le sais.
-Non. Franchement, je ne sais pas.
-Ne me prends pas pour une idiote, Stiles, ordonnes-tu sèchement.
-De quoi tu m’accuses ?
-Je t’accuse de rien.
-Pourtant, on dirait. Et c’est pas la première fois que tu fais ça. A chaque fois qu’on s’est disputés, tu as ramené Lydia, ou même Malia, alors qu’elles n’avaient rien à faire dans l’histoire.
-T’insinues quoi ? Que je suis chiante ? Que je réagis de manière excessive ? répliques-tu, sur la défensive.
-Je dis juste que j’ai l’impression que tu m’accuses souvent d’être trop proche de Lydia alors que je n’ai rien fait.
-Mais tu voudrais bien.
-Franchement, à ce stade, ouais, au moins je saurais vraiment de quoi tu m’accuses.
Suite à sa phrase, Stiles ouvre grand les yeux, réalisant ce qu’il vient de dire. Tu as les larmes aux yeux, mais te retiens.
-Y/N, je…, tente-t-il de dire, mais tu l’interromps.
-Va te faire foutre.
Tu prends ton sac et quittes la Jeep avant de claquer la portière et de courir jusqu’à chez toi. Stiles hésite pendant une seconde à te suivre, mais décide finalement de partir, sachant que tu ne voudras pas l’écouter. Tu montes dans ta chambre et t’enfermes. Des larmes de colère coulent sur tes joues alors que tu tentes de ne pas crier. Vous vous êtes déjà disputés avec Stiles. De nombreuses fois. Trop de fois, même. Mais il n’était jamais allé aussi loin. Tout ça parce que tu l’as poussé à bout, mais il a également reconnu que s’il pouvait, il voudrait être avec Lydia. Tu te jettes sur ton lit, prends ton coussin et hurles dedans. Tu laisses toute ta rage sortir, alors que tes sanglots se font de plus en plus forts. Tu ne cesses de te répéter que tu as tout gâché à cause de tes peurs, tu les as tellement laissées parler que tu as fini par pousser Stiles dans les bras de Lydia. Tu as tout ruiné, car tu ne peux pas avoir confiance. Confiance que tu sembles ne plus pouvoir donner depuis deux ans. Après plus d’une heure à pleurer toutes tes larmes, tu commences à respirer doucement pour calmer tes émotions. Quand tu arrives enfin à trouver un rythme cardiaque normal, la porte de ta chambre s’ouvre, laissant apparaître ton père.
-On doit parler, Y/N, commence-t-il, mais tu ne réponds pas. Tu ne peux pas continuer à m’ignorer. Y/N, s’il te plaît.
-Pas aujourd’hui, j’ai pas la force, soupires-tu en te levant de ton lit.
-Non, ça ne peut plus attendre, on doit en parler.
-Il n’y a rien à dire. Laisse-moi tranquille, je ne veux pas te parler, tentes-tu de le repousser, mais il ne bouge pas.
-Dommage, car on va parler.
Comprenant qu’il ne va pas te lâcher, tu le dépasses et quittes ta chambre.
-Reviens ici, ordonne ton père derrière toi.
-Non.
-Tu comptes m’en vouloir longtemps ?
-Jusqu’au jour où tu auras la capacité de changer le passé, t’écris-tu en continuant de marcher jusqu’au salon.
-Mon Dieu, Y/N, même ta mère m’a pardonné.
-Et elle n’aurait pas dû, exploses-tu en regardant ton père dans les yeux. Si ça avait été moi, je t’aurais pas pardonner aussi facilement. Ou même tout court.
-S’il te plait, je n’aime pas voir ma petite fille en colère contre moi.
Ton père essaye de poser sa main sur ta joue délicatement, mais tu recules d’un pas. Tu vois à ses yeux qu’il est blessé, mais tu t’en fiches.
-Tu aurais peut-être dû y réfléchir avant de détruire notre famille en une nuit et je t’interdis de m’appeler ta petite fille.
-Cette nuit était une erreur. Je regrette.
-C’est la vérité ou c’est un mensonge, comme la fois où tu as dit que tu avais loupé notre sortie de famille, car tu dormais ? interroges-tu en faisant semblant de vouloir savoir.
-Y/N, je suis sincèrement désolé pour la façon dont j’ai menti.
-Ne dis pas que tu es désolé maintenant, c’est trop tard.
-S’il te plaît, j’essaye de faire un pas vers toi, supplie-t-il, te rendant un peu plus en colère.
-Je m’en fiche, le fait est que tu nous as laissé tomber pour une autre femme ! A cause de tes actions, maman était au fond du gouffre. Tu l’as fait souffrir et tu m’as aussi fait du mal. Je n’ai plus confiance en toi.
-Je sais et je vais passer toute ma vie à m’en vouloir.
-Alors, tu peux comprendre que je ne peux pas te pardonner. Tu sais pas ce que ça fait de voir une personne que tu admirais détruire toute la confiance que tu avais. Maintenant, je ne peux même plus te regarder ! rétorques-tu en sentant tes larmes revenir, ton père baisse le regard, honteux.
-Dis-moi au moins ce que je peux faire pour régler la situation.
-Il n’y a rien à faire, j’aimerais qu’il y ait quelque chose, mais tu ne peux rien faire. Tu as brisé notre famille. Et je te déteste pour ça. Tu parlais respect, fidélité et ça t’a pas empêché de trahir maman.
Tu respires rapidement à cause de ta colère. Tu prends une seconde pour essayer de te calmer avant d’ajouter d’un ton dur :
-Tu me dégoûtes. T’es vraiment qu’un connard.
-Tu peux être en colère, mais je t’interdis de me parler comme ça !
Au même moment où ton père te réprimande, vous entendez quelqu’un frapper à la porte. La respiration haletante, tu te diriges vers l’entrée. Tu te retournes vers ton père une dernière fois en t’écriant :
-J’en ai rien à battre !
En ouvrant la porte, tu tombes sur Stiles. En le voyant, tes yeux laissent couler quelques larmes. Il te fait un sourire gêné, ignorant quoi dire au vu de ce qu’il vient d’entendre.
-S’il te plait, on peut partir ?
En entendant ta voix se briser, Stiles n’attend pas avant de prendre ta main et de t’inviter à le suivre jusqu’à ta Jeep. Ton père vous suit en t’ordonnant de revenir. Pour simple réponse, tu lui fais un doigt d’honneur alors que Stiles démarre sa voiture.
Vous roulez dans un silence de mort. Ta colère envers ton géniteur se calme, mais tu sens toujours une douleur dans ta poitrine suite à votre discussion. Tu n’aurais jamais cru dire des choses aussi horribles à ton père un jour, mais tu n’aurais également jamais pensé qu’il vous ferait autant de mal, à toi et à ta mère. Tu tentes d’essuyer tes joues, mais elles sont mouillées une seconde plus tard.
Après avoir conduit pendant trente minutes, Stiles se gare à côté d’un parc. Il te regarde avec compassion, cherchant comment commencer la conversation. Tu prends plusieurs respirations avant d’oser le regarder.
-Tu veux en parler ? interroge Stiles avec une voix douce.
-Il n’y a pas grand chose à dire, renifles-tu. J’imagine que tu as tout entendu.
-Juste quand tu l’as insulté, confirme-t-il en t’offrant un mouchoir.
-Il l’a mérité.
Tu prends le mouchoir de la main de Stiles et essuies quelques larmes avant de te moucher.
-Pourquoi tu es venu chez moi ? reprends-tu.
-Je… Je voulais m’excuser. Je n’aurais pas dû dire que je voulais être avec Lydia. Tout d’abord parce que c’est faux, mais aussi parce que je t’ai blessé. Je m’en veux de t’avoir causé de la peine.
-Tu n’as pas à t’excuser, Stiles, déclares-tu d’une petite voix.
-Bien sûr que si ! J’ai été horrible en disant ça, réplique-t-il en colère contre lui-même.
-Je t’ai poussé à bout. Je suis toujours là à te chercher des défauts pour les retourner contre toi, même quand tu ne fais rien. Je te blesse, car je n’arrive pas à avoir confiance. C’est de ma faute si tu as dit ça.
-Tu m’as pas obligé à le dire.
-Je t’ai énervé pour te faire avouer quelque chose qui n’est pas vrai. Je suis désolée de toujours t’accuser de me tromper avec Lydia. Je sais que tu es honnête, mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir peur, avoues-tu, honteuse.
-Tu te sens menacée par Lydia ? questionne-t-il, tentant de comprendre.
-Si ce n’était pas elle, ça serait Malia et si ce n’était pas elle, ça serait une autre. Je… J’ai juste peur que tu ailles voir ailleurs.
-C’est par rapport à ce que j’ai entendu ?
Pour simple réponse à sa question, tu hoches la tête. Tu restes silencieuse pendant une seconde, te demandant si tu devrais lui en parler. Finalement, tu te dis que tu as sûrement déjà tout ruiné, alors autant admettre.
-Mon père a trompé ma mère il y a deux ans. Elle l’a découvert quelques mois plus tard et après elle s’est séparée de mon père. Quand j’ai appris la vérité, j’ai eu tellement de haine pour mon père, informes-tu et tu sens les larmes revenir. Je n’aurais jamais cru qu’il ferait quelque chose comme ça. Mais je crois que le pire, c’était voir dans quel état ma mère était. Elle n’a pas quitté son lit pendant une semaine, elle mangeait à peine. J’ai essayé de prendre soin d’elle comme je pouvais. Jamais je n’aurais imaginé voir ma mère comme ça. Quand elle est allée un peu mieux, on a emménagé ici. Elle voulait être loin de mon père et honnêtement, je le voulais aussi.
-Ton père est revenu pour te voir ?
-Non, ma mère lui a pardonné, expliques-tu en levant les yeux au ciel. Ils se sont remis ensemble il y a quatre mois. Quand elle me l’a annoncé, je me suis tellement énervée. Comment est-ce qu’elle peut agir comme s’il n’avait rien fait alors qu’il lui a fait tant de mal ? Alors qu’il nous a fait autant de mal ? Il est revenu à la maison il y a une semaine et c’est tendu. Je l’évite autant que je le peux, mais il veut absolument me parler et tu as vu comment ça se finit généralement, dis-tu en riant jaune. Enfin, c’est pour ça que j’ai toujours peur. Depuis sa trahison… j’arrive plus à faire confiance aux autres, avoues-tu en regardant tes mains. Enfin, jusqu’à ce que je te rencontre. Mais même si j’ai confiance en toi, ce n’est pas à 100%. J’ai toujours peur que tu me fasses du mal, comme il l’a fait. Mes parents étaient tellement amoureux et mon père si respectueux envers ma mère, je n’aurais jamais pu imaginer qu’il puisse la tromper et maintenant, j’ai peur qui m’arrive la même chose, révèles-tu en le regardant, espérant qu’il comprenne. Et je sais que tu m’as donné aucune raison de douter de toi, mais mon père avait aussi donné aucune raison à ma mère de douter et ça ne l’a pas empêché. Je sais que je te diabolise en t’inventant des aventures, mais c’est plus fort que moi. À cause de mon père, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer le pire. Je sais que j’ai toujours été la cause de nos disputes et qu’à cause de ça je t’ai souvent fait mal et je te jure que je ne veux pas te faire du mal et encore moins, ruiner notre relation, mais je ne sais pas comment faire autrement. J’ai l’impression que je ne peux pas aimer comme il faut et je déteste ça, pleures-tu.
Stiles pose ses mains sur tes joues, tentant d’essuyer tes nouvelles larmes. Tu fermes les yeux à son touché, appréciant votre proximité.
-Y/N, ce n’est pas grave, murmure-t-il et tu te sépares de lui.
-Non, c’est grave, affirmes-tu. Je suis en train de ruiner notre relation avec mes stupides peurs, ma relation avec mon père n’est pas prête d’être réparée, même avec ma mère, il y a des tensions maintenant et j’ai tellement de colère en moi.
-C’est normal, tu as été blessée, tu as le droit d’être en colère, t’assure Stiles et tu secoues la tête.
-Mais je ne veux pas rester en colère toute ma vie, surtout si je finis par te blesser. Et puis, je ne suis pas seulement en colère contre mon père, mais aussi contre moi-même.
-Pourquoi ?
-Même si mon père a merdé, je l’aime toujours. Tout à l’heure, je lui ai dit que je le détestais pour le blesser, mais je ne le pensais pas. J’aimerais le détester, mais je ne peux pas et en même temps, je ne peux pas lui pardonner, sanglotes-tu.
-On parle de ton père, tu as le droit de lui en vouloir et de continuer à l’aimer.
-Tu crois que je devrais lui pardonner ? Après tout, ma mère l’a fait et il a demandé mon pardon pleins de fois.
-Je ne peux pas prendre cette décision pour toi. Fais-le seulement si tu en ressens le besoin. Ton père t’a trahi, il n’a pas le droit de t’obliger. Ta mère a fait le choix de le faire, mais rien ne t’oblige à faire de même.
-Mais et si c’était la solution pour pouvoir avancer et pouvoir enfin te faire totalement confiance ?
-Je pense que tu devrais d’abord faire un travail sur toi pour voir si tu as besoin de lui donner ton pardon ou si tu peux retrouver cette confiance sans.
-Et nous dans tout ça ? chuchotes-tu, appréhendant sa réponse.
-On fera comme tu veux. Je… Je comprendrais si tu veux rompre pour te concentrer sur tes problèmes familiaux, déclare-t-il, même si l’idée d’être loin de toi lui fait peur.
-Je ne veux pas te perdre, je ne peux pas te perdre, Stiles. Actuellement tu es la personne en qui j’ai le plus confiance, mais si on dirait pas comme ça. Je ne veux pas le faire seul, j’ai besoin de toi auprès de moi.
-Très bien, alors je reste, sourit Stiles en essuyant une larme de ta joue. Mais à partir de maintenant, je veux que tu parles avec moi. Je ne veux plus que tu restes seule à te torturer l’esprit en imaginant le pire. Quand tu sens que ça devient trop, tu viens me parler, d’accord ?
-D’accord. Merci Stiles. Pas seulement pour m’avoir écouté, mais aussi pour ne pas m’avoir abandonné malgré tout ce que je t’ai fait traverser.
-Tu en vaux la peine, affirme-t-il et tu le regardes avec tendresse.
-Et je suis vraiment désolée pour tout ce que j’ai dit.
-Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas.
Tu te jettes dans les bras de Stiles, ayant besoin de son réconfort. Quand il resserre ses bras autour de toi, tu arrives à lâcher un soupir, tes épaules tombant légèrement, comme si toutes les tensions de ton corps avaient quitté ton corps. Stiles caresse doucement ton dos, espérant te calmer un peu plus. Tu enfouis ton visage dans le creux de son cou, voulant seulement sentir sa présence. Même si c’était angoissant, tu sais maintenant que tu avais besoin de lui parler de ton père et de tes peurs. Lui en parler, t’a permis de réaliser que ta confiance en lui est devenue un peu plus forte. Maintenant tu es sûre que Stiles ne te ferait jamais de mal. Il a su être patient et ne t’a pas lâché même si tu lui as donné toutes les raisons pour. Tu es reconnaissante de l’avoir auprès de toi. Tu es sûre qu’un jour tu arriveras à lui faire totalement confiance.
Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
#marie swriting in french#tumblr français#teen wolf x you#teen wolf x y/n#teen wolf imagine#teen wolf one shot#teen wolf#stiles stilinski imagine#stiles stilinski x y/n#stiles stilinski x reader#stiles stilinski#stiles stilinski x you#stiles stilinski angst#Spotify#marie swriting with music#marie swriting with sabrina carpenter#marie swriting with eics
18 notes
·
View notes
Text
Semaine du shôjo 2023: La beauté dans Helter Skelter et In the clothes named fat
Comme chaque année, Club Shôjo organise une « semaine du shôjo », un évènement interblog où chacun est invité à écrire sur une thématique donnée. C’est un évènement que je suis d’année en année, donc je suis honorée d’en être pour la seconde fois. Merci Club Shôjo ! Cette année, la thématique choisie est « Le shôjo abordant la condition féminine que vous préférez ». D’abord perplexe, je me suis remémoré l’angle un peu personnel que j’avais choisi pour écrire mon article l’année précédente. Il m’est apparu très clairement que je devais aborder le thème de la beauté, que je devais faire face à deux mangas qui me sont redoutables: Helter Skelter de Kyôko Okazaki et In the clothes named fat de Moyoco Anno. Il est intéressant de noter que ces deux mangas abordent des thématiques différentes, mais se faisant écho, et qu’ils ont été prépubliés quasiment à la même époque. De plus, Moyoco Anno fut l’assistante de Kyôko Okazaki jusqu’à l’accident de la route de cette dernière, en 1996, et la version définitive de Helter Skelter contient quelques corrections apportées par Moyoco Anno. À mes yeux, ce sont deux mangas aux racines communes, c’est pourquoi j’ai voulu les traiter ensemble. À travers Helter Skelter et In the clothes named fat, je souhaite montrer comment, étapes par étapes, la quête de la beauté et les diktats imposés par les industries de la beauté et de la mode détruisent le corps des femmes, qu’est-ce qu’il en coûte que de « souffrir pour être belle ».
Helter Skelter est un manga écrit et dessiné par Kyôko Okazaki, il a été prépublié dans le magazine Feel Young entre 1995 et 1996. En France, il est sorti aux éditions Casterman. À la traduction Marie Bach, Marie-Françoise Monthiers et Naomiki Satô, adaptation graphique réalisée par Kaoru Sekizumi. Helter Skelter suit Lili, une vedette à la fois actrice, mannequin et surtout it-girl. Lili a tout pour plaire, seulement, elle cache un secret: elle est refaite de la tête aux pieds et son corps commence à ne plus suivre.
In the clothes named fat est un manga écrit et dessiné par Moyoco Anno, il a été partiellement prépublié dans la revue féminine Shuukan Josei entre 1996 et 1997. En France, il a été publié dans sa version complète par Kana, avec à la traduction Pascale Simon et à l’adaptation graphique Éric Montésinos. Ici, nous suivons Noko, une employée de bureau complexée par son poids. L’infidélité de son petit ami sera un déclic pour Noko, qui décidera d’entamer un régime drastique.
Avant d’aller plus loin, je souhaite prévenir toutes âmes sensibles que cet article abordera les troubles du comportement alimentaire et la grossophobie. Merci de continuer avec précautions ou de tout simplement fermer la page.
Nous sommes entourés d’images. Que l’on prenne le métro, que l’on ouvre le programme télé, que l’on traîne sur Instagram ou que l’on regarde le dernier clip d’une chanteuse pop, elles sont omniprésentes. Les filles sur ces images sont grandes, minces (ou pour les entreprises les plus audacieuses, « voluptueuses » ), sans jamais un poil qui dépasse ni un seul pore visible. Si elles y arrivent, pourquoi pas moi ? Helter Skelter s’ouvre sur des jeunes filles entourées d’images de Lili et qui cherchent à lui ressembler. Lili est dans les magazines, à la télé, et dans la rue. Il y a de quoi devenir obsédé !
L’obsession, c’est une des premières choses que Kyôko Okazaki montre dans Helter Skelter à travers le personnage de Lili. Alors qu’elle admire son corps parfait dans le miroir, elle y découvre un défaut. À partir de ce moment-là, elle ne cesse de se scruter de très près dans le miroir, traquant le moindre défaut de son corps qui s’effondre. Cette attitude obsessionnelle, quasi-névrotique, est pour moi le point de départ de la quête de la beauté. C’est une attitude que l’on retrouve chez de nombreuses femmes, peu importe l’âge.
Dans In the clothes named fat, Noko est obsédée par le fait de devenir mince. Alors qu’elle est tout simplement faible, elle pense que devenir mince résoudra ses problèmes. Après tout, on l’a toujours méprisée pour son poids, c’est que ce doit être ça le problème. Mais ce n’est pas la minceur en soi qui l’obsède, c’est bien le chemin de la minceur, qui traduirait selon elle une force de caractère. Les efforts et la souffrance, voilà ce qui mène à la beauté et donc au bonheur ! Vers la fin du manga, Noko reprend tout le poids qu’elle a perdu, car elle se rend compte qu’il ne lui ai rien arrivé de bien en étant mince. Pourtant, elle replonge dans un épisode boulimique où elle croit encore au bonheur de la minceur. Mona Chollet, dans son essai Beauté fatale, évoque l’autobiographie de Portia de Rossi. Celle-ci devient obsédée par l’exercice physique en vue de maigrir et dit donner l’image d’une femme « déterminée, en contrôle de sa vie » lorsqu’elle arrive à descendre enfin sous les 59 kg. Pour info, elle est descendue jusqu’à 37 kg. C’est cette illusion opérée par l’obsession de la minceur qui fera qu’à la fin de In the clothes named fat, Noko ne semble pas vouloir abandonner sa quête de minceur.
S’ajoute ensuite l’aliénation. C’est selon moi la thématique la plus forte dans Helter Skelter, c’est la raison même de la folie de Lili. Parce-que elle est une vedette, son corps ne lui appartient jamais. Il appartient à Mamoune, il appartient au staff, y compris à sa manager Hada bien qu’elle soit aussi la victime de Lili, il appartient au docteur de la clinique de chirurgie esthétique qui l’utilise comme cobaye, puis enfin, il appartient au public, représenté par les jeunes filles que l’on voit apparaître sporadiquement tout au long du manga. Tout le monde dans l’entourage de Lili tire parti du corps de celle-ci. Tout le monde se soucie de ses propres intérêts sans jamais réellement se soucier de Lili. Le personnage de Mamoune, agente de Lili, illustre particulièrement cette aliénation. Non seulement, elle projette ses propres rêves sur Lili, mais en plus, elle la traite comme une machine à entretenir. À plusieurs reprises dans le manga, elle dit à Lili…
Tu coûtes cher en « maintenance ». Tu es un produit très cher à la fabrication.
Dans In the clothes named fat, c’est le personnage de Saitô, le petit ami de longue date de Noko, qui représente cette aliénation. Son infidélité est la première raison pour laquelle Noko entame un régime drastique. Hors, Saitô finit toujours par revenir auprès de Noko, parce-qu’il est un homme lâche. Il n’est pas capable de faire face à une femme de caractère comme Mayumi, avec qui il trompe sa petite amie. Lorsque Noko perd du poids, il devient fou, et même violent avec elle. Il la préfère grosse. Outre le fait que ce soit la raison pour laquelle Noko reprend du poids par la suite, cela démontre qu’il a l’ascendant sur elle. Il la préfère grosse, car il sait qu’avec un physique pareil, aucun autre homme ne l’approchera. Faible, il a besoin de quelqu’un d’encore plus faible que lui pour ne pas se sentir totalement misérable.
C’est aussi le caractère obsessionnel évoqué plus haut qui crée chez Lili comme chez Noko l’aliénation. La première, terrifiée à l’idée de devenir moche, d’être délaissée par le public, d’être seule, et en plus d’en être consciente, la plonge dans un état second. La dernière, en revanche, ne se rend compte de rien, et est tellement obsédée par sa quête de devenir mince qu’elle n’est pas capable de prendre le moindre recul sur sa situation désespérée.
Ultime étape, la disparition. Après l’obsession et la folie, que reste-t-il à Lili et à Noko ? Il ne leur reste qu’à disparaître physiquement comme mentalement. À la fin de Helter Skelter comme de In the clothes named fat, Lili et Noko n’ont plus personne autour d’elles. Le monde qui gravitait autour de Lili gravite désormais autour de Kozué, et Saitô s’est fiancé avec une autre (une fille grosse, évidemment).
Mona Chollet, toujours dans Beauté fatale, relève aussi dans l’autobiographie de Portia de Rossi ainsi que dans The Good Body d’Eve Ensler, la solitude engendrée par les troubles du comportement alimentaire. Les femmes se cachent pour manger comme elles se cachent pour vomir, jusqu’à se couper du monde. La seule relation qui subsiste étant celle avec leurs propres corps. Dès le début de In the clothes named fat, Noko s’isole pour succomber à ses fringales, prémices de sa boulimie. On peut aussi noter les absences de Lili du devant de la scène dû à la chirurgie esthétique. Alors qu’elle rompt avec son petit ami, elle disparaît et se fait refaire le visage. Dans l’incapacité d’apparaître en public couverte de bandages, la popularité de sa rivale monte en flèche durant ce laps de temps.
Lili étant déjà un personnage monté de toute pièce, il était donc aisé de le faire disparaître. Dès le début du manga, on ne sait pas qui est Lili, on ne sait pas d’où elle vient, on ne sait jamais son véritable nom. Lili n’a pas d’identité. Lors de l’enquête visant la clinique de chirurgie esthétique, l’enquêteur découvre une photo de l’ancienne Lili, avant qu’elle ne passe sur le billard. Il dit qu’elle ressemble à sa sœur, que l’on voit apparaître étant comme grosse et moche. Mais jamais on ne voit ladite photo. Encore une fois, Lili n’a pas d’existence en dehors d’être Lili. Au sommet de son mal-être, elle est prête à se faire exploser la cervelle. Elle ne laisse à son entourage et au public qu’un globe oculaire baignant dans du sang. À la toute fin du manga, 5 ans après sa disparition, Lili se trouve à mille lieux du showbiz tokyoïte, elle est devenue un personnage de freak show au beau milieu du désert mexicain…
Quant à Noko, elle se prend de plein fouet sa propre disparition. En plus d’occuper de moins en moins de place dans l’espace public à force de maigrir, Saitô n’est même plus capable de la reconnaître. Le lien le plus important se rompt pour Noko, et elle plonge dans la solitude. Lorsqu’elle cherche peut-être un ultime refuge auprès du salon de beauté, celui-ci a disparu. Elle pense:
Il avait disparu sans laisser de traces. Un peu comme moi, qui suis là sans y être.
Le récit s’achève avec Noko dans un lit d’hôpital, n’ayant pour seul compagnon que le lecteur…
Avec ces deux mangas, Kyôko Okazaki et Moyoco Anno peignent un portrait peu reluisant de la beauté. Lili et Noko, bien que radicalement différentes, ont le point de commun de ne jamais se trouver assez bien, elles sont constamment à l’affût du moindre défaut. Dans Helter Skelter et In the clothes named fat, la quête de la beauté est une quête vaine qui ne mène qu’à la destruction aussi bien physique que mentale. On pourrait penser que ce sont des mangas de leur temps, du temps du règne de Kate Moss par exemple, cependant on peut observer ces dernières années non seulement une banalisation des régimes drastiques, mais aussi une forte hausse de la chirurgie esthétique. En témoigne ce genre de vidéos YouTube ou encore les rapports annuels de l’ISAPS (pour International Society of Aesthetic Plastic Surgery) qui démontrent qu’aux États-Unis, entre 2010 et 2021, le nombre d’interventions de chirurgie esthétique a plus que doublé, avec une explosion des interventions non-chirurgicales (comme des injections ou une épilation laser par exemple). Phénomène que l’on observe dans quasiment chaque pays étudié, du Japon à l’Allemagne en passant par le Mexique. Paradoxal quand on pensait vivre dans la grande époque du body-positivity, de l’acceptation de soi. Très sincèrement, je pense que les diktats que placardent sur chaque espace possible de nos vies les industries de la beauté et de la mode sont des violences passives faites aux femmes, et de plus en plus aux hommes. Pourtant, je veux aussi faire le distinguo entre les « artifices » que sont les vêtements ou le maquillage, et ces « modifications profondes » du corps. Je crois que les femmes réussissent davantage à s’approprier le maquillage pour en faire une force. Alors qu’il servait à masquer les défauts, il peut s’utiliser comme outil pour se célébrer soi-même, comme le montre la vague de mangas sur le sujet. Je pense que c’est ce distinguo qui a permis à Moyoco Anno de publier à quelques années d’intervalle In the clothes named fat et des essais sur la beauté dans lesquels elle donne des conseils et astuces. Toujours est-il que les artifices restent à double-tranchants. Du mascara, oui mais pourquoi ? Pour essayer d’allonger au maximum vos pauvres petits cils ou pour mettre en valeur vos beaux yeux ? Est-ce qu’un jour les femmes arriveront collectivement à se libérer de ces diktats imposés en masse ? Y aura-t-il une fin heureuse pour Lili ou pour Noko ? Malgré les chiffres, j’ose espérer que oui, il y aura une fin heureuse, et qu’enfin, on arrivera à s’approprier ces diktats pour mieux les détruire.
Pour aller plus loin dans la semaine du shôjo, voici plein d'autre article à lire:
Le bazar de Djado
Les blablas de Tachan
Le blog de l'Apprenti Otaku
Le blog Noissapé
Bright Open World
Bulle Shôjo
Le cabinet de McCoy
Les chroniques d'un ange
Fou Chapelier
Lasteve
Nostroblog
Le passeur lunaire
Thread Twitter par @tyraanik
Violette Scribbles
Et bien sûr, Club Shôjo !
8 notes
·
View notes
Text
17 octobre : balade mise en selle
Hier j'ai monté Utopie. Je ne sais pas si la vie au pré la rend plus zen, mais je l'ai attrapée sans problème (par contre elle faisait de drôles de grimaces quand je lui ai donné un bonbon... mal aux dents ? Elle n'a pas semblé avoir de problèmes par la suite avec le mors.) et elle a été cool au pansage (bon, sans doute plus à la recherche d'un autre bonbon que d'un câlin, mais en tout cas elle avait l'air beaucoup plus détendue). J'ai dû faire un peu vite, car après elle, il fallait que j'aille préparer Toro, le cheval de C. Un selle-français bai, très sympa au box en tout cas. C'était bizarre de préparer un cheval tondu avec ce poil si court et si fin, quand Utopie et tous les autres sont peu à peu en train de se transformer en nounours.
C. nous a emmenés dehors, une dernière sortie avant l'hiver je suppose. Au bout du chemin, on se lance au trot. Bien actif, le trot ! J'abandonne vite l'idée de trotter enlevé, comme cette fois où on était partis en trotting (avec Utopie d'ailleurs).
Dans le chemin qui descend, je sens qu'Utopie n'arrive pas à trotter plus vite, et comme on est en queue de peloton, il a fallu prendre le galop sur quelques foulées pour rattraper Sornette. On repasse au pas en arrivant à la grosse route et... on fait demi-tour.
Et quand on est revenus à l'intersection précédente, de nouveau demi-tour, avec pour consigne de rester au trot en équilibre. Et avant d'arriver à la grosse route, hop, encore demi-tour, on remonte le chemin au trot... assis. o.O Je pense que le fait que le chemin monte un peu jouait, parce que franchement, c'était pas si mal, j'arrivais même à discuter avec Ph.
On a ensuite refait la descente en gardant le trot enlevé (vraiment pas facile). J'ai remarqué que ma jambe gauche était plutôt fixe, mais ma jambe droite faisait complètement l'essuie-glace. Et maintenant, on a le droit de redescendre le chemin au pas... en faisant des montées de genoux. Ouille. Je sens bien la différence de mobilité à gauche et à droite, je suis tellement plus raide à gauche... Un dernier aller-retour au pas, une fois debout sur les étriers, et une fois les jambes pliées. Ça tire.
Retour tranquille alors que la nuit tombe, Utopie a eu un peu chaud elle aussi, mais elle a presque eu le temps de sécher sur les 2 petits kilomètres au pas pour rentrer. De nouveau au pansage, elle était cool. C'était tellement plus agréable que de devoir me battre avec elle et avoir peur de me prendre un coup de pied ou de me faire mordre, comme ça a pu être le cas par le passé. J'ai bien aimé le concept de balade de mise en selle aussi. C'est certainement plus intéressant pour les chevaux que de tourner en rond pendant une heure, et ils ont aussi souvent un peu plus d'allant.
J'ai pas fait de photo parce qu'il faisait noir et que je croyais que mon téléphone était mort... du coup en rentrant j'ai fait un dessin
C'est les vacances maintenant, et pour l'instant, cette nouvelle année se passe plutôt bien. Pourvu que ça dure !
1 note
·
View note
Text
Chapitre VII : C'est déjà ça..
« You'd know how the time flies. Only yesterday was the time of our lives. »
J’aime quand tu me dis que je sais des choses.
« Je suis tellement étonnée que tes mots semblent si vrais.. tu as raison pour de nombreuses choses. J'aime tes phrases. Certaines ici résonnent fort. »
Et tu dis que tu ne ressens plus rien ? Si les mots résonnent, c’est qu’il a un ressenti, peut être infime, mais un ressenti quand même.
Tu dis attendre le moment où je disparaîtrai à force de me pousser, tu risques d’attendre longtemps, je te préviens. Si tu veux me tester, vas-y, je suis assez confiant dans ma faculté à rester pas loin, de t’être utile, d’une manière ou d’une autre. Tu dis que plus personne ne pourra te blesser, c’est donc un moyen de défense ce qui est normal, mais je pense pas que tu es quelque chose de tel à craindre de moi, je pense pas t’avoir blessé par le passé, si peut-être une fois, qui en y repensant était totalement ridicule, mais bref, je n’ai aucunes intentions de te blesser, je ne suis pas là pour ça et je ne l’ai jamais était.
Tu compares souvent ta vie à une route, j’aime bien cette comparaison, par le passé, nous avons fait un bout de chemin ensemble, et aujourd’hui nos routes se recroisent, enfin non je préférais dire qu’elles sont de nouveau côte à côte, j’espère ne pas être un rond point pour toi, je veux être une aire de repos plutôt, avec un arbre gigantesque, quelques fleurs et des oiseaux, j’espère que tu y feras des arrêts fréquents.
Appelle-moi Alex, il y a d’autres personnes qui m’ont appelé ainsi, mais c’est comme une chanson, en fait, il peut avoir de bonnes reprises mais le sentiment de l’original est incomparable.
J'ai envie que l'on prenne le temps, j'aimerais qu'on écoute Dido, Adèle, ensemble.
S'il faut qu’à l’avenir, mes textes restent sans réponses, comme des bouteilles à la mer, et bien soit, je peux l’endurer, le simple fait que tu m’es dit que mes textes de fond du bien, me va. Et puis après tout, ça fait six ans que je m’entraine.
Bon, attention, ça va être mon moment un peu mégalo, tu dis que tu n’as pas toujours fait les bons choix par le passé, que tu aurais dû choisir une autre voie, je sais pas si ça me concerne, mais peut être, tu aurais peut-être dû ne pas me lâcher, en tout cas pas comme cela, et de mon côté, j’aurai peut-être dû me battre pour des gens que je considérais comme des amis au lieu de partir comme une merde en pleurant, mais bon. Tu dis, que quand on est bien avec soi, on sait de quoi on a besoin, ce qui est vrai, donc je ne vais pas trop mal avec moi-même, je sais ce dont j’ai besoin, d’amis, j’en ai deux qui sont très importants, et aujourd’hui je me battrai pour les garder parce que d'une certaine manière ils me sont vitaux, mais j’ai besoin de toi aussi, pour différentes raisons, l’une d’elles sera expliquées dans un texte qui viendra début juillet, pas sur toi, mais qui te concerne.
Tu sais, je suis très attaché aux symboles, tu as dû t’en rendre compte avec le temps, par exemple, quand je publie un texte, sauf exception je le publie le 12 du mois, même s'il est prêt bien avant, de même, souvent le 22 de chaque mois je publie quelque chose de Scarlett Johansson ou Katheryn Winnick, car elles sont liés à toi, et 22 est ton nombre. Le nombre 12 est très important pour moi. Donc, étant très attaché aux symboles, je pense que c’est peut-être le bon coup, cette fois, tu vas peut-être rester, le jour où tu m’as refait un message l’année dernière était le 12 juin, tu ne l’as sans doutes pas faits intentionnellement mais j’ai pris cela comme un signe, de même, à ce moment j’étais en Lozère pour un rallye historique, dans la location que j’ai l’habitude de prendre, ce même endroit où nous nous étions parlé la dernière fois, avec une fin, assez désastreuse. C’est peut-être le pont qu’il fallait pour recoller les morceaux. C'est sûrement rien du tout, mais j’aime bien le voir sous cet angle.
Il faudrait que je t’explique le rapport entre toi et Scarlett, car il est très important pour moi, à l'époque où l'on s'est connus, tu partageais souvent ce GIF de Scarlett qui fait un clin d’œil ou qui envoie un baiser, ou peut être les deux d’ailleurs, c’est devenu un symbole ça aussi, comme les chansons, With or Without You, If I Needed You, Toi et Moi ou Shape of You. Et après que tu sois partie, Scarlett a pris une place centrale, comme une version cinématographique de toi, c’est difficile à expliquer. L’un des premiers jours de 2018, donc grosso modo quatre mois après, j’ai vu Lost In Translation, ça a été comme une révélation, je sais c’est ridicule, mais j’ai fait une transposition, d’ailleurs le chapitre III est librement inspiré de ce film. Par la suite, chaque film avec Scarlett a été puissant et compliqué à voir en même temps, certains font partie de mes films préférés, comme La Jeune Fille à la perle. Puis, en janvier dernier j’ai vu L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, et j’ai pensé à toi tout du long, elle est liée à toi, pour moi, et j’aime ça.
La série Castle est liée à toi aussi, tout simplement parce que je regardais quand on s’est connus, beaucoup de citations me font penser à toi - il faudrait que je m’y remette pour les retrouver - encore plus maintenant que tu ressembles vraiment à Kate Beckett sur le plan affectif, et que moi j'écris, et que ma source d'inspiration c'est toi. Je pense aussi qu'inconsciemment, c'est grâce à cette série que j'ai écrit sur toi, et surtout que j'ai publié ici, j'avais besoin de faire de notre histoire quelque chose, une fiction, peut-être, je crois que je te l'avais dit il a longtemps avant le grand silence.
En effet, on est peut-être bloqué dans un espace-temps, mais ça me dérange pas d’être bloqué avec toi. Le fait que tu es peur que je n’avance pas reviens souvent dans les mots que tu m’envoies, c’est ridicule, il est vrai que j’avance lentement, mais je peux t’assurer que ça n’a rien à voir avec toi, je n'ai juste pas l’envie, le besoin d’avancer. J’ai une relation particulière à la vie, mais ça, tu n’y peut absolument rien.
Tu dis être devenu tout ce que je déteste, c’est que tu en sais plus que moi, sur moi. Je n’ai pas l’impression de savoir ce que je veux. Si tu avais été celle-là par le passé je ne t’aurais jamais parlé, tu dis, mais c’est toi qui es venue me parler si ma mémoire est bonne, d’une manière générale, je ne vais pas vers les gens, et il ne me semble pas avoir était vers toi, ou alors c’était une version de moi qui n’existe plus non plus.
Profite de ce que je t’offre, mes mots, ils ne coûtent rien. Peut-être que le fait que tu me blesses est inhérent, mais je suis prêt à prendre ce risque. Si tu veux que je te raconte des choses qui m’ont blessé, j’en ai quelqu'une en réserve. Reste, ne me laisse pas.
Il y a sûrement une raison pour laquelle on se retrouve dans cet espace-temps ensemble, encore, après tout ce temps, reste, je n'ai pas grand-chose à t’apporter mais je resterai là temps que tu en auras besoin, même si peut être tu ne t’en rend pas compte, et quand tu en auras assez, je disparaîtrai, comme par le passé, comme toujours.
La chanson Wrecked d’Imagine Dragons raconte tout notre histoire, au moins de mon côté, je l’écoute souvent en t’écrivant, elle m’inspire. Je ne sais pas bien pourquoi je n’ai pas réussi à t’oublier, le temps à fait son œuvre pour le reste de la période que l’on a partagé, mais toi tu restes là, gravé dans ma mémoire, et malgré les moments pas toujours sympas que tu m’a fait passé, le sentiment est positif, tu sais, je suis très fière que tu sois revenu, même si ce n’est pas totalement. J’ai abandonné l’idée de t’oublier il a un long moment déjà, si tu n’étais pas revenu, j’aurais continué à faire comme je fais depuis deux ans maintenant, vivre ma vie, avec des échos de toi qui viennent de temps en temps, je t’ai gardé avec moi depuis tout ce temps, et ton fantôme ne veut pas me lâcher, je lui laisse sa place, elle est conciliante, comme une ancienne version de toi, même si ce n’est pas l’adjectif qui te qualifié le mieux. Je sais que tu resteras pas tout le temps je l’ai compris, plus comme avant, malheureusement, mais ne pars pas trop loin, j’ai besoin de toi dans les parages, je continuerai de chanter des chansons en pensant à toi, même si tu ne m’écoute plus. J’ai besoin de toi pas loin, et crois-moi ce n’est pas une chose malsaine et ça ne m’avance absolument pas d’avancer. En bref, que tu reste ou pas ne change pas grand-chose pour moi, mais reste, s’il te plaît, j’ai besoin de mettre à jour mon souvenir de toi.
Pendant longtemps j’ai voulu t’envoyer une lettre manuscrite, si j’avais eu ton adresse je l’aurais fait je crois, et j’aurais glissé dans l’enveloppe une clé USB avec des chansons importantes.
Je prends chacun de tes messages comme si c’était le dernier, un enseignement du passé, et je sais très bien qu'un de ces jours ça sera l'autre toi qui me répondras, celle qui me trouve chiant, sans intérêt et qui crois perdre son temps en me parlant, elle reviendra un jour c'est certain, je ne sais pas pourquoi elle n'est pas encore réapparue, et j'espère que ce sera le plus tard possible, ou même jamais.
Je vais sûrement t’écrire plus souvent, j’ai peur que tu m’oublies, pour être honnête, j’ai besoin de repousser ce moment au maximum, car il est inéluctable, puisque je n’ai pas d’impact sur les gens et qu’il m’oublie assez vite, ce qui m’arrange la plupart du temps, mais pas avec toi. Mais c'est bien que tu me surprennes aussi, comme la dernière fois. J'aimerais te manquer, même si je pense que cela n'est plus possible.
« Don't forget me, I beg, I'll remember you said :"Sometimes it lasts in love but sometimes it hurts instead" »
Benjamin Biolay - Comme une voiture volée Supertramp – Give a Little Bit
Dido - Thank You
2 notes
·
View notes
Text
Histoire de Glitch, Chapitre 1: Libération
Tout commence dans UNDERTALE. Frisk RESET sans s'arrêter à chaque fin d'une route, mais un créateur anonyme a programmé, un humain artificiel et vivant. Chaque fois que Frisk RESET, l’humain se montre peu à peu. Il se montre enfin dans une fin génocide, mais il se poser des questions au début car son créateur n'a donné aucune objectif. C'était un bébé qui ne savait rien de lui. Il apparaît à la place de Frisk. Il était confus, il savait qu'il ne devrait pas être là, mais par curiosité il découvrait chaque environ. sauf qu'il n'avait que 3 RESET à sa disposition.
Il appuie sur le bouton RESET, il commence doucement sa route, il décide de faire une RUN PACIFIST, il sait déjà quoi faire, il avait déjà les souvenirs des RUN que Frisk a fait. Il se lie d’amitié avec tout le monde, et bizarrement aussi à se lié avec des monstres ne pouvant pas être lié. A la fin de la RUN PACIFIST, il comprend qu’il devait sauver Asriel, Un don incroyable apparaît soudainement, il avait le pouvoir de créer, modifier, supprimer ce qu’il voulait. Il modifie les propriétés de son tour pour pouvoir sauver ses amis en seul tour. Et Il va créer le bouton SAVE beaucoup trop tôt dans le combat, pour ensuite appuyer sur le bouton pour terminer sa RUN. Il crée une âme de monstre pour Asriel pour qu’il reste dans cette Timeline pour vivre ensemble. L’humain était très heureux, il adorait ses amis, sa mère et son frère. Mais Frisk dans un coin de la TIMELINE, donne des signes qu’il devait RESET sinon leur univers aller se supprimer suite à une anomalie. L’humain artificiel, voulant pas voir la TIMELINE se supprimer avec lui dedans, il décide de RESET…
Deuxième RUN, mais cette fois-ci c’est la NEUTRAL. L’humain ne savait pas quoi faire, et aussi qui tuer pour faire une route neutre. Il décide de tuer ceux qui semblent méchants au premier coup d'œil. Il pensait ne pas faire beaucoup de mort. Vous avez aussi pensé la même chose ? Il continue sa route, toujours en tête de tuer les monstres qui semblent méchants. Il arrive en face d’Asgore et sait qu’il va devoir se battre contre lui. Au moment qu’Asgore détruit le bouton MERCY, son don refait surface. Il va réparer le bouton MERCY devant lui, Asgore lui-même choqué se sentait menacé de voir le don de l’humain. Asgore ne voulait pas se battre sachant qu’il pouvait se faire tuer d’un coup, L’humain décide de choisir l’option MERCY, mais Flowey tue Asgore, pour prendre les âmes humaines et se transformer en Oméga Flowey. Avant que même le combat commence, l’Humain termine le combat. Quoi ? Vous n’avez pas compris ? l’Humain a juste terminé le combat en tuant Oméga Flowey.
Le vide… C’est bizarre de se retrouver dans le vide non ? On ne tombe pas, on n’entend rien, on ne voit rien. Je me suis dis la même chose… C’est pour ça que je RESET une nouvelle fois. Je n’aime pas le vide.
La dernière route, la dernière histoire… l’Humain était un peu curieux, il ajouta dans son inventaire l’Item REAL KNIFE, il va avoir l’idée de tuer tous les monstres en un coup, pour avoir une réponse. Au début, c'était difficile de tuer les personnes qui lui étaient chères, mais dans tous les cas il mourra lui aussi. Oui c’était son dernier RESET, après ça il disparaîtra. Il n’avait rien a perdre. Il va continuer son chemin en respectant chaque mécanique pour qu’il réussisse sa RUN GENOCIDE. Toriel, Papyrus, Undyne, Mettaton. Tout le monde y passe. Même sans, il mourra en faisant aucune esquive. Pathétique. l’Humain tue Asgore de sang froid, et piétine Flowey. Enfin à la fin, le revoilà ce vide mais cette fois-ci avec Chara demandant de supprimer ce monde. l’Humain malgré qu’il a tué tout le monde, il refuse. Exactement 2 secondes il se fait retirer toute sa vie, une très grande douleur venait de tout son corps, jusqu’à qu’il atteigne à 1 HP. Il appuie sur le bouton RESET pour en finir cette souffrance.
C’est fini ? Chara a disparu ? Hm… C’était quoi ça ? C’est qui ce démon ?! Arf.. Je suis de retour seul dans le vide. Mais bon je ne vais pas rester longtemps dans tous les cas, je devrais disparaître dans les minutes qui suivent… C’est ce que je me disais aussi. Mais juste un bug dans le programme a changer toute ma vie.
l’Humain attend, attend, et attend. Des heures, des jours, des mois, des années. mais rien ne se passe, il devait disparaître mais il est encore là, pourquoi ? Il se pose la question plusieurs fois, même à se questionner sur lui-même, s' il était réel ? Est-ce que c’est ça disparaître ? Est-ce que les êtres qui disparaissent de la TIMELINE ont toujours une conscience ? ça lui paraît irrationnel. Il devenait fou, il entendait des voix, il voyait les personnes de la TIMELINE GENOCIDE. Il ne voulait plus les voir morts. Il ne pensait qu'à la curiosité. Et-
Alors t’es une anomalie ? T’es bien amoché mentalement pour fuir, tu va me faciliter la tâche, le Glitch.
Un être ressemblant a sans est apparu par un portail, il semblait différent, il est de couleur noir ainsi que ces vêtements. ces yeux avaient plusieurs couleurs FLUO. Au début, il pensait voir le sans de sa TIMELINE mais comprit vite que ce n’était pas lui, pendant que le sans différent s'approchait les mains dans les poches vers lui. l’Humain va esquiver l’attaque du sans avant de sauter dans le portail… Il tombe très longtemps avant de se faire rattraper par un GASTER BLASTER fait d’encre. Le GASTER BLASTER fait d’encre fait atterrir l’Humain en sécurité devant un sans plus grand avec des vêtements, un grand pinceau et des yeux colorés. Mais le sans en noir arrive d’un air énervé.
Ink ! Pourquoi t'a sauvé cet humain, je devais le faire disparaître !!
Comment ça "le faire disparaître"? Ta oublié notre trêve Error ?
Les deux sans semblaient se connaître et aussi être ennemis, l’Humain les écoute dans leurs disputes. le sans en noir devait se nommé Error et le sans avec des yeux colorés Ink. Des noms pas très anodins. Error semble avoir abandonné la dispute, il soupire en regardant l’Humain puis part par un portail buggé au bord.
Ouf, on a évité la catastrophe ! Désolé pour ce grabuge, tu as évité une mort certaine ! Je me nomme Ink et toi ?
Eh bien, on me nomme… Glitch…
Ink: Glitch ??? C’est un nom pas très anodin mais on va faire avec ! Tu me suis ?
Fin du Chapitre 1.
Suivant
Crédit:
Ink!Sans : @comyet Error!Sans : @loverofpiggies
2 notes
·
View notes
Text
Connaissez-vous le Qatar ?
C'est un petit pays arabe (Dawlat al-Qatar, ‘’le pays tout en longueur’’) qui croûle sous les dollars, et dans lequel (et là, je suis presque certain de vous apprendre quelque chose !) ont lieu, en ce moment-même, les épreuves du championnat du monde de football ! Tous les quatre ans, cet événement, dit ''Coupe de la FIFA'', divise le monde en petits groupes qui se badigeonnent la tronche, se couvrent d'oripeaux ridicules et profèrent des sons inaudibles, et dont l'hostilité peut aller jusqu'à la bêtise la plus injustifiable, comme à Bruxelles, la semaine dernière.
Pour ceux qui vivent dans une bulle, le ''Foot'' est un spectacle qui se joue à 11 contre 11, mais ne peut avoir lieu sans 1 milliard de téléspectateurs (qui pourraient se compter plus de 3,5 milliards pour un ‘’grand’’ match, ce qui est, juste, ''dingue'' ! Qu'est-ce que ça aurait été, si nos grandes consciences sans aucune science –que personne n'écoute, fort heureusement !-- ne nous avaient intimé l'ordre de boycotter ce scandale !), vautrés dans leur sofa, une canette de bière dans chaque main... et qui hurlent ''Allez, les bleus, ou les jaunes, ou les verts...'' tout... sauf ''Allez, les noirs'', car toutes les équipes se sentiraient concernées, dans ce cas ! En rugby, contrairement au foot, il existe une équipe qui s'appelle ''les All Blacks''. C'est même la seule qui, à un maori (beige foncé) près, soit toute blanche. Allez comprendre !
Le fait que cette Coupe soit organisée au Qatar a ''ajouté une couche'' à cette description idyllique pour certains, vomitive pour d'autres, et c'est donc pour ne pas dresser autour de moi des murailles d'incompréhension et encourir un rejet pouvant aller jusqu'à une ‘’mort sociale’’, que je n'ai pas l'intention de vous parler de cette Coupe du monde qatari (NB : ce n'est pas un anglicisme, de ma part, c'est ''mon'' arabe qui refait surface en permanence. Ces temps-ci, il est très sollicité –et de plus en plus, au fur et à mesure que la France remplace son ancien ''tiers-mondisme mondain'' kouchnérien par une plongée dramatique dans et vers le tiers-monde et –osons le dire, puisque c'est vrai-- le grand remplacement du français par la langue ''du Prophète''). Et pourtant... qu'est-ce que j'aurais aimé parler foot avec vous...
Mais ce n'est vraiment pas prudent : toutes les bonnes consciences du monde fondraient sur moi et sur mon pauvre petit Blog confidentiel, chacun brandissant ''ses'' chiffres de tués-dus-aux-chantiers (chiffres qui proviennent des ''pifomètres'' de partisans de ceci ou d'adversaires de cela... et qui varient de 500 morts... à 100 000 et plus, preuve de leur non-intérêt intrinsèque)... Et puis parler de l'émoi que fait naître en moi une Marseillaise reprise par 5, 10 ou 50 000 personnes, ça fait vraiment ''franchouillard'', ce qui est mal vu, par les temps qui courent, malgré le courage de l'UNESCO qui a déclaré Trésors Mondiaux ET le béret ET la baguette'', ces deux soi-disant attributs du ''gaulois moyen''... Mais suivre (même de manière ''relax'') le déroulement des matches à Doha équivaut à coucher avec les ennemis du progrès... tel que se l'imaginent les vrais ennemis de celui de l'Humanité...
Si vous saviez, pourtant, comme j'aurais aimé vous parler des ''systèmes de jeu'' et des vertus du ''4 –3 –3'' sur le ''4 – 4 – 2'', sur la ''pointe basse'' (4-1-2-3) ou sur la ''pointe haute'' (4-2-1-3), que pratiquement tout le monde semble trouver infiniment supérieurs à celles du ''9 - 3'' (dit ''californien'' par Macron) et surtout à celles du ''49-3'' actuellement posé plusieurs fois par semaine, sans borne, par Borne... (NDLR : et je ne vous ai jamais parlé du ''système de jeu'' que j'ai inventé il y a quelques années, le 1-2-3-4-5-6-7-8-9-10-11, qui devrait donner des résultats meilleurs que contre la Tunisie, où j’ai eu honte ! Mais Didier --Deschamps, bien sûr !-- est contre).
Et j'aurais aussi aimé ''parler foot'' avec vous, et partager le charme (qui se voudrait terrifiant !) des noms des équipes nationales, de mes très chers ''Lions de l'Atlas'' marocains aux ''Célestes'' uruguayens, des ''Three lions'' anglais (qui sont 11 quand même) aux ex- ''Diables rouges'' belges ou des ''Dragons'' bosniaques à ''la Furia Roja'' espagnole, sans oublier les ''Antilopes noires'' angolais, les ''Requins bleus'' cap-verdiens, les ''Panthères'' gabonaises, les ''Lycaons'' guinéens , les ''Crocodiles'' du Lesotho, les ''Faucons verts'' saoudiens (qui sont en grande forme à Doha. Leurs adversaires en sont verts), les ''Marrons'' du Qatar (nettement moins éblouissants ! Ils sont vraiment marrons !)... et même des ''Dodos'' de l’Ile Maurice : il y en a des centaines, dont ''les Aigles de Carthage'' qui viennent juste de ridiculiser ‘’profond’’ l’équipe de France... (alors que leurs supporters se comportaient aussi salement qu’agressivement dans le stade). Mais je vais résister : ce ne serait pas prudent.
Déjà qu'on me dit ''complotiste'', je ne veux pas être catalogué comme souteneur de la FIFA, cette fille publique qui touche –dit-on-- bien plus qu'elle ne se fait toucher ! Pourtant, ça me brûle les doigts... (Enfin... vous voyez ce que je veux dire !). Il y a, en plus, cette histoire du symbole LGBT, ce drapeau dit ''arc-en-ciel'' dont l'Europe, sous la pression insupportable de 0,05 % de sa population et d'Ursula van Der des ders, a fait les symbole de ses nouvelles ''valeurs'', et presque sa seule raison d'être... après qu'elle ait rejeté toute influence chrétienne sur son Histoire et son passé, par la faute impardonnable du duo renégat Chirac-Jospin, ces cavaliers de l'Apocalypse... Le Qatar peut donc très tranquillement subventionner les Frères musulmans, patronner des attentats partout, chaperonner les pires nuisances de la mouvance islamiste... ''c'est pas grave''... tant qu'il ne s'attaque pas à une seule des effroyables idées du moment, de celles qui détruisent peu à peu tout l'équilibre du monde ! Je me répète : ''La folie est sortie des asiles'', et ce brassard multicolore qu'on nous présente comme un signe de concorde entre les hommes (pour une seule fois, ne voyez pas là la moindre allusion grivoise !) devient, comme tout ce que touchent ces porte-malheurs, un symbole de discorde entre les Nations.
Je ne vous parlerai pas non plus du superbe courage des joueurs iraniens, qui savent ce qu'ils risquent, eux et leurs familles restées sous la férule terrible des ''pseudo-théocrates/réels prébendiers'' que sont les hiérarques enturbannés chi'ites, imams, mollahs, hodjatoleslams (= preuves de l'islam), ayatollahs (= signes d'Allah), marjaa taqlid (= sources à imiter) et ayatollahs ozma (= grands prêtres, ou chefs-gourous)... pendant que nos suffragettes du voile intégral, politique et guerrier continuent à se tirer des balles dans nos pieds, comme leurs maîtres-à-penser-de-traviole n'arrêtent pas de le faire depuis trente ou quarante ans... Par comparaison, il est certain que Karim Benzema ne prenait pas de risques comparables (en fait : pas le moindre risque, dans notre société émasculée) lorsqu'il refusait de chanter l'hymne de l'équipe qui lui permettait d'être ce qu'il était alors (je n'ai pu trouver d'autre motif qu'une haine primaire, voire primate –ce qu'il est un peu-beaucoup, culturellement, non ? N'est-ce pas, Valbuena ?-- pour justifier un tel comportement).
Bref, voilà encore une occasion où la soi-disant bien-pensance, qui devient de plus en plus lourde à porter, à subir et à accepter (et de plus en plus mortifère) m'aura interdit de parler de ce qui est important dans la vie : tout et n'importe quoi, mais librement ! Vous me direz que je n'avais qu'à naître 25 ou 30 ans plus tôt... Mais là, je plaide vraiment innocent ! Et puis, un quart de siècle supplémentaire m'aurait privé d'avoir passé tant de bons moments avec vous (voir ci-après), et de ne pas vous parler d'une Coupe que trop de monde critique pour qu'on ne se prenne pas à s'y intéresser... contre ceux dont les mauvaises idées ne peuvent mener personne nulle part. En tout cas, nulle part où qui que ce soit de sensé ait envie d'aller, une fois qu'il s'est extrait de la gangue du mortifère ''prêt-à-penser'' !
H-Cl
PS : ce ''billet'' porte le numéro 1500 ! Franchement, je n'en reviens pas, d'avoir consacré tant d'heures, à 99 % heureuses je dois le dire, à écrire tant de pages, de lignes, de titres, donnant 6 tomes épais imprimés pour contenir tout ça... écrit pour vous et surtout grâce à vous, très chers Amis-Lecteurs, grâce à votre soutien, grâce à vos mails qui me suggéraient de continuer... Votre nombre augmente au rythme de 6 par jour en moyenne, uniquement par ''bouche à oreille'' –zéro pub, zéro réseaux sociaux en tout-- alors que j'ai eu seulement 3 demandes de désinscription en tant d'années, ce qui très rare, dans ce domaine... Un grand, un immense ''MERCI'' -à suivre- à vous tous. Et maintenant, Yallah ! En avant pour d'autres constats ironiques, pour d'autres remarques grinçantes, pour d'autres ''piques'', plus ou moins rudes... et surtout vers d'autres fou-rires, d'autres mauvais jeux de mots, d'autres clins d’œil complices, d'autres sourires, parfois de franches rigolades... et aussi, de temps en temps, un brin de nostalgie... Encore une fois, MERCI à tous...
5 notes
·
View notes
Text
29/11/2024
Coucou tumblr, aujourd'hui j'ai été chez I. pour récupérer mes affaires. De base, je comptais pas rester longtemps, je me sentais assez triste. Puis on a commencé à parler d'un peu de tout et de rien, il m'a dit des choses sur notre relation qui m'ont fait beaucoup de bien. J'avais de la reconnaissance et c'est vrai que ça m'a fait du bien. Il aurait voulu que je lui fasse part de ma vision mais je savais que si je parlais j'allais pleurer et j'en avais pas envie. Pour finir le temps est passé et je lui ai proposé de passer chez moi pour manger et regarder un film. J'avais toujours en tête cette fille et je devais lui en parler mais je ne savais pas comment.
Pour finir quand il est arrivé chez moi, on a beaucoup parlé de nouveau mais plus des problèmes que j'ai en ce moment, on a parlé de la fille aussi et il m'a rassuré en me disant que c'était vraiment une amie et il ne m'a fait aucun reproche que j'ai été voir leur conversation, ça m'a fait du bien. Je le crois, je pense que je suis jalouse parce que j'ai peur qu'il en aime une autre parce que je le supporterai pas mais j'ai confiance en lui, je me suis montée la tête toute seule. Il m'a aussi fait lire un des textes qu'il a écrit quand on était encore ensemble et son texte résonnait beaucoup en moi. J'aurais aimé qu'on prenne du recul quand on était ensemble.
On a continué à parler après, il m'a dit que je devrais m'entourer et parler de notre rupture à mes proches. Ca fait 1 mois que c'est fini et je l'ai dit qu'à une seule personne. Je lui ai dit que je préférais vivre ça seule et c'est pas faux mais au fond la vérité c'est que ça me fait trop de mal de reconnaitre au grand jour que c'est fini. Je le sais, on est plus en couple mais le dire à tout le monde, c'est beaucoup trop réel. Et puis quand il m'a dit qu'il le dira sûrement bientôt à sa maman ce qui est juste logique en soi, ça m'a rendu triste. Le dire à sa maman c'est une étape pour moi que je suis pas prête d'affronter. Ca me fout la boule à la gorge.
A chaque fois qu'il me dit "c'est peut-être la dernière fois qu'on fait ça", j'ai juste envie de lui dire que non, c'est pas la dernière fois. C'est peut-être juste la dernière fois avant longtemps mais on se retrouvera I. Je sais pas, de mon côté comme je lui ai expliqué je veux qu'on se retrouve plus que tout et je sais que je m'expose à beaucoup de souffrance si il refait sa vie avec quelqu'un mais voilà, c'est comme ça que je vois ma vie, avec lui.
Il faudrait que j'écrive un petit quelque chose pour qu'on puisse avoir une discussion sur mon ressenti de notre relation ainsi je m'effondrai pas en pleure en cherchant mes mots, c'est sûrement la solution.
Je t'aime I.
1 note
·
View note
Text
Les Recocos de Compte Fanito - Octobre 2024
Hello l'ekip, après le succès tonitruant de la première recoco, presque 10 j'aimes, voici la session d'octobre que je sais, nous savons vous savez est attendu comme le messi (10).
On commence desuite avec la musique, because elle est la plus grosse des catégories, as usuel, fin comme le mois dernier lol.
Lola Young - Messy
On commence directement fort avec la BO de mon mois, une petite ballade pour ce balader, je sais que y a une histoire de L dans le mot ballade/balade, je sais jamais c'est qui qui dit quoi, fin bref vous avez compris, on a envie de se promener dans la rue principalement, c'est une chanson urbaine.
Ça fait aussi réfléchir si je peux m pertre elle propose une balade méditative, pas forcément agréable mais nécesaire, prends deux min et fais le point sur ta vie bb, ça peut pas faire de mal.
youtube
ANIKA - Anika
On garde le sourire avec la porchaine, non je déconne.
Qui dit octobre, dit mon bday, journée, que je tolère mais qui a le mérite d'exister. Pour célébrer ce jour béni, ou hasard du calendrier, je sais plus, je me suis mis à réécouter un album que j'écoutais dans ma jeunesse lyonnaise passé notament dans la cale du Sonic. Parfait pour l'autonme, on se caille le cul avec le sourir et une larme de bonheur triste en écoutant la super Anika, et son album anika. c'est sortie en 2010, oula ça nous rajeunis pas lol après on va pas mentir, je l'écourtais en 2017-2018 comme tout le monde (#bo #netflix).
Oula je l'écoute là, ça odnne des envies de pic-nic froid au parc blandan non ? jsp moi j'aime bien manger des rillettes quand y fait pas beau...
youtube
Jul - Freestyle Inarrêtable
Allez on continue, palala c'est au tour de Jul de rentrer dans la danse.
Freestyle inarrêtable, presque interminable oui 23 minutes de kick c'est ce qu'on aime. le meilleurs jul c'est lui vos juste accepté que quelqu'un te parle pendant longtemps.
youtube
La Femme - Rock Machine
op passons, on trace les recocos où quoi là non je déconne, la musique continue avec La Femme et son album Rock Machine.
mais dis-moi mon bon vieux ompte tu nous as pas déjà recommandé ça le mois dernier ?
et oui sherlock c'est bien vrai mais cette fois ci je conseille pas un sigle mais tout l'album qui est sortie entre temps ! La Femme refait un album bien, ça mérite bien une recoco deux fois de suite non ? fin moi je les aimes comme ça dans un rock un peu lancinant , en anglais et français, pas en espagnol cette fois-ci (ouf). si je devais en garder qu'une ça sera Amazing, et son solo de corneumuse parce qu'il le faut, le tout en conclusion d'album !
youtube
Anohni and the Johnsons - Thank You for Your Love
Autre mood, on retourne en 2010, comme quoi c'était une belle année.
Anohni nous sortait avec son groupe the Johnsons un bel petit EP qui s'ouvrez sur un chouette titre : Thank You For Your Love.
Merci pour ton amour ça veut dire et bah j'aimerais bien qu'on me dise merci comme ça me too ( moi aussi ça veut dire).
Oh c'est sympa quand même et puis les trompettes à la fin non ça donne envie de craner non ?
youtube
Tracy Chapman - Fast car
1988,
belle année,
jsp j'y étais pas en tout cas y est sortie une bien bel chanson qui ma bien accompagner dans le redoux apocalyptique de la fin du mois, en train, en bagnole et même à pied ! une vraie chanson tout terrain.
La Tracy Chapman, qui nous donne envie de plaine, avec un joli soleil d'hiver et ce sur les coups de 15h mais marche aussi très bien de nuit, quid en karoké, quid en soirée dansante pour emballé qui sait ? un peu tout ça à la fois.
youtube
Zaho de Sagazan feat Tom Odell - Old Friend
La dernière est une surpise, j'ai pas du tout aimé la first time je l'ai écouté, non ça mets un peu de temps, et au finalement bah c'est génial quoi, comme souvent avec la Zaho de Sagazan (ZdS ? j'aime bien les accrinyme on pourrait l'appeler comme ça). en plus je l'adore j'ai un peu envoi qu'on soit pote, fin voilà quoi. y a tout le piano, le synthé aussi et des belle voix
Fin pardon qui n'a jamais imaginé ces mots quoi
youtube
Allez opopop c'est fini pour la chanson, passons au cinoche : alors déso j'ai pas était beaucoup au cinéma
Miséricorde - Alain Guiraudie
Le seul film digne d’intérêt qui m'a trainer au ciné dans ce mois de flemme c'est Miséricorde. une sombre histoire de désir entre hommes, qui ne se le permette pas, ou tout simplement qui ne le peuvent. Tout est dans le regard et les circonstances, c'est même drôle parfois. J'adore la représentation de la ruralité à la fois carcérale et permissive, presque mystique et puis j'adore la voix de Catherine Frot.
Ma vision du rock'n roll
Heureusement aujourd'hui on a pas forcément besoin de se déplacer pour voir des films aussi mauvais soient-ils.
Le Derrière - Valérie Lemercier
Je me suis fais une soirée spéciale Valérie Lemercier il y a peu et celui que je retiens n'est autre que Le derrière, une comédie de travestisment dans le milieu gay parisien année 90.
Malgré un casting terrifiant (Dieudonné et Franck Delapersonne), cette plongé bienveillante chez les homosexuels de toutes conditions et montre la diversité d'une commu souvent caricaturer dans la comédie où le comique vient cette fois-ce de l'hétéro déguiser qui singe les supposé caractéristiques des pédales de tout temps et devenant ainsi ridicule.
Theater Camp - Molly Gordon & Nick Lieberman
Pour les gens qui n'ont toujours pas compris le Camp vous avez ici une belle vulgarisation accessible au grand public. c'est dailleurs son côté facile qui le rend sympathique, presque confortable et finalement génial.
L'histoire est simple, on suit un camp d'ado théâtreux qui monte l'adaptation en musical de la vie de la directrice malheureusement dans le coma, le tout sous la direction d'ancien élève passionné.
Carrie - Brian de Palma
Qui dit octobre, dit Halloween et donc film qui fait peur. Ici en voilà un bien spooky, même si je ne comprends pas encore très bien les tenant et aboutissant de ce terme, qui a occupé une matiné d'autonme et d'ennuie.
L'atmosphère est le grand interet du film qui passe du teen movie au film de possession, tout en douveur et en lumière saturé écran scindé.
Pas de nouvelle série ce mois ci je remets donc La Maison parce que je ne trouve personne pour qui en parler, ceci est un appel à l'aide, elle m'obséde je l'ADORE, la saison avance, l'intrique aussi et je l'ADORE
Antoine Reinartz confirme son statut d'acteur préféré de moi
Loup-Garou
On reste chez Canal pour le Loup-Garou prce que c'est bien sympa. Les emissions de trahisons sont a la mode en ce moment et canal avec son loup-graou nous en donne une belle version. Déjà pas de star et merci parce qu'on en peu plus et puis le montage est vraiment trsè bien, on ne sait pas qui sont les loups avant la fin !
Le Temps
Le temps est délicieux, pas d'autres commentaire, même si le chaud était étrange et le froid soudain.
Brigitte Fontaine
Les gens de mon âge (jeune et sexy) ne l'écoute pas assez, ça tombe bien, Fip à fait une tape pour la découvrir, ça serait dommage de passer à côté.
Brigittement votre,
biz
Compte.
0 notes
Text
Toyota Venza Limited...reconduite...pour la dernière fois...
Le 23 mai 2024
Si je me souviens bien, j’ai commencé à publier des impressions de conduite et des commentaires sur les automobiles et camionnettes il y a environ 40 ans. À cette époque, j’écrivais des textes surtout sur les automobiles, les VUS n’étant pas à la mode et les pick-up n’affichant pas encore cette opulence qui les caractérise aujourd’hui. Me semble qu’en 40 ans, je n’ai pas écrit deux fois sur le même véhicule dans la même publication…j’ai déjà écrit deux et trois fois sur le même véhicule mais dans des publications différentes (surtout des magazines à l’époque).
Cette semaine, pour la première fois, je devrai me « répéter ». En effet, le véhicule dont il est question dans ce blogue est la Toyota Venza Limited 2024. Or, si vous faites un peu de recherche dans ce blogue, vous allez retrouver le même véhicule traité en août 2022. Normalement, cela aurait dû vouloir dire que le constructeur lui avait apporté suffisamment de retouches ou de modifications pour que l’auto mérite d’être mentionnée de nouveau. C’est, du moins, ce que j’espérais en choisissant la Venza pour mon blogue cette semaine. Erreur! J’aurais dû vérifier moi-même! Il n’y a rien de changé! Pas de farce!
Par conséquent, je pourrais vous dire d’aller jeter un coup d’œil dans les archives de ce bloque ou j’aurais pu tout simplement « copier-coller » mon texte original…Mais je préfère y revenir tout simplement. Après tout, cette auto (est-ce une version familiale de la Camry ou un VUS basé sur la même auto, la question refait surface) me plaît toujours et, après une semaine à son volant, je la trouve toujours aussi agréable à conduire. Pas des plus rapides…mais agréable. Alors, pourquoi en parler? Parce que les jours de la Venza sont comptés. En effet, Toyota la remplacera sous peu par la Crown Signia, un VUS un peu plus grand que la Venza (dont la plateforme est la même que celle du RAV4) mais plus petit que le Highlander.
Les jours de la belle Venza sont comptés…elle sera remplacée par la Crown Signia…(Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait au design, je vous laisse le juger de vous-même. Les designers de Toyota ont accompli un beau travail en redessinant la Venza il y a deux ans, surtout de se débarrasser de l’avant qui ressemblait à un logo Toyota « fondant » du capot vers le parechoc. La Crown Signia ne sera peut-être pas aussi jolie…mais cela sera une autre histoire.
Même de l’arrière, les designers de Toyota avaient donné un beau style à l’arrière de la Venza. (Photo Éric Descarries)
L’intérieur non plus n’a pas été modifié. Depuis son lancement, plusieurs chroniqueurs et observateurs ont pu constater que le compartiment intérieur de la Venza est un peu plus étroit à la hauteur des glaces que celui du RAV4. Toutefois, plusieurs ont aussi vanté le toit panoramique électrochromatique « Star Gaze », une caractéristique que l’on ne voit habituellement que sur des véhicules de grand luxe!
Le tableau de bord de la Venza était très osé, très moderne alors que ses commandes me semblaient bien placées. (Photo Éric Descarries)
Pour le reste, ma deuxième tournée au volant de la Venza m’a permis d’apprécier les commandes des accessoires mieux disposées sur le tableau de bord que la solution mise de l’avant par plusieurs constructeurs qui adoptent la solution de la commande électronique « en quelque part » dans des pages de l’écran électronique. Si certains croient que c’est étroit dans la Venza, moi, je ne l’ai pas remarqué. Les places avant et arrière sont relativement confortables et je n’ai pas senti que l’on était à l’étroit à l’arrière, au contraire. Toutefois, même si l’espace réservé aux bagages à l’arrière est, selon les chiffres de volumes du constructeur, moins imposants que dans le VUS RAV4, en ce qui me concerne, je l’ai trouvé utile car j’y ai transporté des objets encombrants assez facilement.
Les places arrière sont plutôt modestes mais elles demeurent accueillantes. (Photo Éric Descarries)
Même si les chiffres de Toyota nous disent qu’il y a moins de place pour le cargo dans une Venza que dans un RAV4, j’y ai facilement trouvé mon compte.
Toutes les Venza se caractérisent par la même mécanique. Ce sont toutes des véhicules à traction intégrale mus par un moteur à quatre cylindres à essence de 2,4 litres et de 219 chevaux combiné à une boîte automatique à variation continue (CVT) et deux moteurs électriques à l’avant et un seul à l’arrière. Ah oui! J’ai oublié de vous dire que toutes les Venza sont hybrides mais elles ne sont pas PHEV (Plug-In Hybrid Electric Vehicle ou enfichable). Ce système est autonome et recharge la batterie au besoin pour un fonctionnement d’appoint de courte durée. Autrement, le châssis est monté sur une suspension avant à jambes de force et arrière à bras tirés. Le freinage est à quatre disques et la direction est électriquement assistée. Les pneus de ma voiture d’essai étaient des Bridgestone Ecopia H/L 225/55R-19 reconnus pour leur faible résistance au roulement. La capacité de remorquage peut varier de 454 à 1588 kilos.
Le seul ensemble mécanique disponible dans la Venza est basé sur ce moteur quatre cylindres à essence de 2,5 litres à configuration hybride électrique. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Évidemment, la Venza n’est toujours pas une voiture de course ou de sport. Mais elle peut se qualifier comme voiture de tourisme de haute qualité avec une tenue de route respectable. Les accélérations de 0 à 100 km/h tournent autour des neuf secondes mais les reprises m’ont paru un peu plus rapides. La tenue de route est respectable sur routes sinueuses, ce qui n’est pas si mal pour un véhicule de près de 4000 livres. J’ai apprécié l’affichage de la vitesse en réflexion dans le pare-brise et la visibilité tout le tour.
En ce qui concerne la consommation, j’ai malencontreusement effacé certaines données mais le compteur au tableau de bord marquait 6,9 l./100 km. Notez que la majorité de mes déplacements se sont faits en situation urbaine et je croyais faire un peu mieux vu que c’étaient les moteurs électriques qui agissaient le plus souvent comme force motrice.
Enfin, je le mentionne encore une fois, la Venza tirera sa révérence aussitôt que la Crown Signia sera commercialisée en tant que modèle 2025. Dans sa finition Limited, ma Venza de base affichait un prix de base de 52 250 $ auquel il faut ajouter certains frais écologiques incluant la taxe de 100 $ pour la climatisation et les 1930 $ de frais de transport et on en arrive à un grand total de 54 313,58 $.
Toutefois, si l’actuelle Venza vous intéresse, puis-je vous suggérer de visiter votre concessionnaire Toyota au plus vite ? Car le constructeur commence déjà à nous avertir de la disponibilité limitée de la voiture…
Les pires routes du Québec…
Merci au CAA d’avoir publié son sondage sur ce que ses membres croient être les pires routes au Québec. Bien entendu, je ne fus pas surpris du résultat alors que la route 329 qui passe par Saint-Adolphe-d’Howard dans les Laurentides fut dénoncée par plusieurs membres ayant répondu au sondage. Notez que je l’ai souligné souvent dans ce blogue tout simplement parce qu’elle fait partie d’un petit circuit que j’aime emprunter pour certaines évaluations (et n’alles pas dire que la route est mauvaise parce qu’il y a eu une presque tornade il y a quelques mois de cela!). Par contre, c’est une excellente place pour « tester » la suspension et découvrir s’il y a des bruits de carrosserie.
Dans le même ordre d’idées, alors que je me plains de l’état des routes de ma ville, Laval, on dirait que la situation devient encore pire. On en est presque au mois de juin et les lignes blanches sur les routes principales sont presque toutes effacées! La Ville n’a pas encore réagi! Pire encore, les flèches jaunes qui sont peintes sur les dos d’âne près des écoles et des parcs sont presque toutes effacées. Malgré la vigilance des conducteurs, certains se font prendre à les affronter à la vitesse limite de 30 km/h (ce qui est trop vite pour plusieurs d’entre eux) risquant d’endommager leur véhicule.
Au début du printemps, la Ville avait trouvé du budget pour planter des centaines de petites pancartes sur les terrains privés : « Tout doux dans nos rues » pour protéger les enfants. Cet argent n’aurait-il pas pu aller ailleurs, comme sur des lignes blanches ou jaunes que l’on pourrait voir au moins le soir? Il n’y a plus de lignes sur le boulevard Saint-Martin et les automobilistes (dont plusieurs ont déjà de la difficulté à respecter les autres conducteurs) y créent leurs propres trajectoires!
Si la Ville a les budgets pour changer toutes les signalisations de la route et faire de petites annonces (sans oublier l’argent pour l’asphalte des « speed bump » que la Ville ne semble pas avoir pour réparer les rues très endommagées), pourquoi ne pas changer les « postes » et l’envoyer sur le plus urgent? En passant, pas besoin de repeindre les lignes blanches pour les cyclistes, il n’y en a pas assez pour les user…et de toutes façons, très peu de cyclistes ne les respectent! Et surtout, concentrez l’ouvrage sur les grandes artères. Je ne me souviens pas que, dans le passé, il y avait des lignes sur les petites rues ! En a-t-on vraiment besoin? Surtout que les citoyens s’en balancent carrément quand ils négocient les coins de rue comme si c’était le « point de corde » d’une piste de course…
Laval, ma ville ou…la Ville m’avale ?
0 notes
Text
Le château de la baise
Le château de la baise
(100% histoire vraie)
Mon dieu (et encore lui!)
Comme c'est difficile pour moi de revenir sur le plus beau weekend de toute ma vie. Mais il le faut. Pour le bien être de l'humanité. Non. Juste pour le mien. Et c'est déjà bien...
Il y a 11 ans, je tombais éperdument amoureuse d'un gars rencontré sur le site de folledingues -je vous le donne en mille- Doctissimo...J'avais alors posté une annonce pour trouver un partenaire sportif, et le pseudo NouveauDépart m'avait alors répondu.
Passons les détails de notre rencontre qui sera pour une prochaine fois, Cyrille m'avait organisé un weekend surprise au Château de Montvillargene à Chantilly.
Je ne savais pas où nous allions et lorsque j'ai découvert l'endroit, je fus émerveillée.
Cyrille était et restera le grand amour de ma vie. Et moi le sien.
Tout avec lui était incroyable. Manger était devenu une expérience sensorielle intense, faire du vélo dans tout Paris notre passe-temps favori (et même si le lendemain je ne pouvais plus bouger!), voir des films nous rapprochait encore plus, faire l'amour avait un véritable sens et plus rien n'avait d'importance sauf être près de lui.
Je vivais littéralement pour lui. J'en délaissais même mes enfants. Il n'y avait que lui qui comptait, et mon envie de lui.
Nous étions vendredi soir, en février 2013. Le château était magnifique. Illuminé de toutes parts. J'avais rarement vu un endroit aussi féérique.
Et c'était l'endroit qu'il avait choisi pour abriter notre amour le temps d'un weekend durant lequel nous n'allions pas beaucoup quitter la chambre...
Me replonger dans ces jours merveilleux me demande un effort presque surhumain, tant j'ai essayé ces dernières années de ne plus y penser du tout et pourtant...ces souvenirs resteront les plus beaux de notre vie à tous les deux (nous sommes d'accord sur ce point).
Alors non, ce ne sont pas mes accouchements ou mon mariage les plus beaux jours de ma vie. Le mariage vient juste derrière. Mais ce weekend surpasse tout.
Je n'avais jamais été aussi heureuse de ma vie. Jamais je ne me suis sentie aussi aimée, désirée. Tout était parfait. Et fou. Dans la démesure. C'était à l'image de notre amour.
Encore maintenant, je ne sais pas comment laisser partir cet homme. Il ne quitte jamais ma mémoire ni mon coeur.
Hier, je me suis refait l'intégralité de nos mails. Bien que j'en ai effacé les trois quarts. Et me replonger dans tous ces souvenirs ne m'aide pas non plus.
J'ai bon espoir que lorsqu'ils seront sortis ici, je pourrai les laisser s'envoler et me sentir plus légère. Je ne sais pas à qui je mens en disant ça.
Nous étions donc vendredi soir, dans cet endroit féérique, magique, incroyable.
Je me souviens de cet escalier immense qui menait aux chambres. Il avait l'air d'être en or.
Jamais je n'en ai pris autant plein les yeux (et plein le cul- que je suis vulgaire!) qu'en entrant dans ce château enchanteur.
Notre chambre était incroyable, on aurait dit un grand appartement de type Louis XIV.
Le lit, qui allait en voir de toutes les couleurs, était immense. Le plus grand lit que nous n'ayons jamais vu.
Il y a des moments dans la vie que l'on sait à l'avance très forts. Qu'ils nous marqueront à jamais.
Des moments qui ne reviendront jamais. C'était cela que nous allions vivre.
Nous étions en plein rêve, persuadés de s'aimer plus fort que les autres (c'était sans doute vrai) avec l'espoir que nous passerions au dessus de toutes les difficultés de la vie.
Rien que le fait que j'ai pu laisser mes enfants trois jours sans remords (à l'époque c'était très rare, ils étaient très petits et j'avais l'impression qu'ils avaient besoin de moi pour tout, même pour respirer) était une victoire.
Nous sommes arrivés dans notre chambre et à la seconde où nos valises furent posées sur le sol, nous savions déjà ce que nous allions faire.
Il était assis sur le bord du lit, je vins à sa rencontre, m'asseyant sur lui. Nous commencions à nous embrasser, à nous dire des je t'aime, et des je suis trop heureux/heureuse.
Il me coupa dans mon élan de paroles et me dit "excuse moi, mais là il faut vraiment que je te prenne tout de suite!".
J'adorais quand il avait ce genre de pulsions. Ca lui arrivait quand même assez régulièrement. Parfois juste un regard entre nous et nous nous sautions dessus.
Je me levai alors et me déshabillai à la vitesse de l'éclair. Il fît de même. Nous étions nus et nous avions tout ce temps et tout cet espace pour laisser libre court à notre imagination et à notre amour.
Nous avions cet immense lit à notre disposition et pourtant nous avons terminé sur le sol.
Je m'allongeai tout doucement en le regardant, et une fois sur le dos, j'écartai les jambes en lui demandant de venir. Il s'arrêta un instant, embrassant l'intérieur de mes cuisses, puis remonta sur mon ventre et mes seins.
Puis, n'y tenant plus, il me pénétra presque aussitôt. Je me mis à gémir de plus en plus fort.
Mes jambes enroulées autour de ses fesses l'appuyait toujours plus au fond de moi.
J'avais chaud. Je me sentais aimée. Je le voyais aimer ce qu'il faisait. Il me regardait avec des yeux remplis d'amour et de désir. Un désir brûlant.
Il me retourna et me mit à quatre pattes. Je lui criai alors comme souvent "encule-moi!"
J'aimais me sentir entièrement à lui, qu'il me prenne de n'importe quelle façon.
J'ai toujours aimé la sodomie mais je ne viens à en parler qu'au bout du douzième article!
Tiens donc, mais pourquoi?
J'avais quelquefois pratiqué avec des hommes de passage, mais Cyrille fût vraiment le premier à me faire adorer ça. Si bien que nous le faisions à chaque rapport.
Il est à noter qu'ultérieurement j'ai compris l'importance de ne pas interchanger sans arrêt le sexe anal et vaginal (merci les infections urinaires- oui oh! je vous dis tout hein, nous ne sommes plus à ça près) mais pourtant ce fût le seul homme avec qui je pus le faire sans qu'il ne m'arrive jamais rien ensuite.
Comme si nous étions sous protection divine. J'exagère juste un peu.
Il me prenait indifféremment devant ou derrière, et j'aimais ça à un point!
Les meilleurs orgasmes étaient ceux où il se trouvait dans mon cul. Rien que d'en parler...
Il entrait en moi comme dans du beurre, tellement j'étais toujours bien mouillée.
Et il en était de même pour la sodomie. Il aimait me faire crier. C'était son truc.
Plus je criais, et plus ça l'excitait. Ce weekend-là, je n'eus jamais crié autant de ma vie.
Il m'encula en me tenant par les bras. Il bandait tellement fort que ça me faisait mal.
Mais j'aimais avoir mal. Il le savait. Je ne sais pas qui était dans les chambres à proximité, mais elles étaient si grandes que je me dis l'espace d'une seconde que personne n'entendrait rien.
Aussi, je me lâchais complètement et n'eus pas besoin de contrôler l'intensité des mes cris.
Il criait tout aussi fort que moi. Il me traitait de pute, de salope (j'adore ça) en m'enculant toujours plus profondément, me tenant fermement par les bras.
Il se mit à jouir au bout de quelques instants. Nous nous étalions alors sur les tapis de cette immense chambre, repus.
Au bout de quelques minutes, nous nous sommes mis au lit difficilement.
Nos corps qui se frottaient nus l'un contre l'autre recommencèrent à s'exciter rapidement...
Nous avons passé cette nuit-là, ainsi que presque chaque seconde de ce weekend à faire l'amour.
Nous avons mangé deux fois en trois jours! et encore la seconde fois, nous avons écourté le dîner dans un restaurant indien car, assis l'un en face de l'autre, nous n'arrivions à rien manger. Nous nous dévorions du regard. Au bout de trente minutes, je lui dis les yeux remplis de désir "on s'en va?"
Il me répondit immédiatement sans réfléchir, dans un soupir de soulagement "on s'en va!"
Nous avons tout de même testé la piscine et le hammam. Mais c'était strictement la même chose: l'envie était trop forte pour y résister.
Il me prit debout dans les douches communes. Heureusement, il n'y avait pas grand monde.
Nous n'arrêtions pas. Rien d'autre ne comptait à part ce besoin de se sentir l'un dans l'autre tout le temps.
Nous n'avons rien fait d'autre à part baiser durant ce weekend.
A part découvrir un groupe de musiciens incroyable que nous sommes allés voir un peu plus tard en concert, John Butler Trio. Je me souviens, j'étais en train de me lisser les cheveux et il cherchait de la musique à écouter.
Nous sommes tombés en admiration devant ces chansons, et les avons écoutées jusqu'à la fin du weekend, en baisant dessus, bien entendu.
D'ailleurs, quand nous nous sommes revus chez lui il y a cinq mois, il avait mis un de leur cd. Petit clin d'oeil à ce weekend incroyable.
Dans la voiture, sur le retour, nous n'avions aucune envie de nous quitter.
Je me souviens encore du désespoir que cela a engendré par la suite.
Nous étions accro l'un à l'autre, impossible de se séparer sans en souffrir.
Il y a encore tellement d'histoires incroyables avec lui. Comme la première fois que nous avons fait l'amour dans le parc de Bercy, la fois où il a sauvé la soirée et mes chaussures avec du scotch (grand moment!), nos dîners chez Loulou à Saint-Michel, bref tant de souvenirs que j'évoquerai sans doute une prochaine fois.
Je n'ai jamais été si sincère avec un homme de toute ma vie. Je ne voyais rien en dehors de lui. Et c'est sans doute ça qui nous a perdu...
0 notes
Text
𝗖͟𝗛͟𝗢͟𝗜͟ 𝗧͟𝗔͟𝗬͟𝗗͟𝗘͟𝗡 ;
Tayden est également un de ces enfants sauvés par Sulli. Né dans une famille, pour le coup des plus chaotiques, si on peut appeler ça une famille, le garçon se rendra bien vite compte qu’il n’a aucun avenir dans ce monde, aucun plan de carrière, aucun moyen de quitter cette appartement miteux qu’il partage avec sa mère et son beau père. Malheureux, mal-aimé, il fini même par se dire que tout ça il le mérite, que malheureusement il y’a des enfants qui naissent dans des familles aimantes, et d’autres qui ne sont pas aidés. Et il fait partie de ces enfants là. Il est tout à fait conscient du fait que sa mère ne l’aime pas, cette dernière trop occupée à se remplir le nez de drogue, à fumer à longueur de journée et à se taper son beau père en plein milieu du salon, sous les yeux du petit Tayden. Ça deviendra également une habitude, de sentir les coups de son beau père, de se faire casser la tronche un jour sur deux, à chaque fois qu’il avait le malheur de répondre, le malheur de se faire une teinture pour les provoquer, le malheur de faire quelque chose de mal. Il ne dit rien, ne fait rien, parce qu’il est persuadé que c’est sa vie, que malheureusement, le destin n’a pas été des plus délicats avec lui. Il accepte, parce que y’a sa mère, qu’il a ce putain d’espoir qu’un jour, cette dernière ouvre les yeux et décide de quitter cet appartement. Mais il y’a également son père, cet homme qu’il n’a jamais connu, qu’il n’a jamais vu. Il ne le connaît pas, mais ça ne l’empêche pas de l’idéaliser, de rêver du moment où il viendra l’arracher des bras de son beau père, où il fera ouvrir les yeux de sa mère. Mais ce moment n’arrive jamais.
Alors Tayden est obligé d’agir de lui même. Il est à peine âgé de dix sept ans quand il décide qu’il en a marre, qu’il décide qu’il ne doit plus se laisser faire. Toute cette rage, toute cette frustration qu’il a accumulé ces dernières année, refait enfin surface, mais pas dans les meilleures des conditions. Cela commence un soir, quand son beau père se montre un peu trop abusif avec sa mère, qu’un coup part, et Tayden vrille. Parce que c’est sa mère, et même si elle ne l’aime pas, il fera toujours tout pour la défendre. C’est la première fois qu’il lève la main sur cet homme, mais c’est aussi la première fois qu’on lui cassera le nez. Jusqu’à maintenant, toute la violence physique s’était limitée à une gifle, un coup de pied, un coup de point bien placé entre ses côtes pour ne pas que les marques soient visibles. Mais là il vrille, quand il sent le sang couler le long de son visage, et il peut encore sentir le goût métallique entre ses lèvres. Une bagarre éclate et Tayden sait qu’il doit s’arrêter là pour ne pas avoir plus de problèmes. Alors il fuit, plusieurs jours, une longue semaine où il commence à exprimer sa rage aux yeux de tout le monde. Vols, dégradations de bien publics, insultes à l’autorité, courses poursuites de voitures, braquages, le garçon qui frôle la majorité possède un casier judiciaire plus long et glorieux que son avenir. Mais ça ne l’arrête pas pour autant, au contraire, il en veut plus encore et toujours.
C’est quand il atteint la majorité, que Tayden décide de s’attaquer à plus gros. Les cambriolages. Et il est plutôt bon là dedans, il maîtrise le crochetage de serrures, il ne laisse pas de traces, revend les objets qu’il vole pour se faire un peu d’argent et espérer, enfin, quitter cette ville. Mais tout ne se passe pas comme prévu, parce qu’encore une fois il a les yeux plus gros que le ventre quand il décide de cambrioler un appartement luxueux à l’autre bout de la ville. Il avait pourtant tout étudier, avait guetter quelques jours auparavant, et il pensait que l’absence de lumière signifiait, justement, l’absence du propriétaire. Il fait comme à son habitude, ne fait pas de bruit, fouille minutieusement, mais d’un coup, la lumière du séjour s’allume. « Je peux t’aider ? ». Son sang se fige quand il comprend qu’il a merdé, qu’il s’est trompé. Sulli le toise en haussant un sourcil, installé dans son canapé comme si la présence du cambrioleur l’importait peu. Tayden se voyait déjà finir en prison, être dénoncé et embarqué, mais rien ne se passe comme il le pensait, quand le jeune homme en face de lui, lui fait une proposition des plus bancales : rejoindre un gang. Tayden savait que c’était sa dernière chance.
Aujourd’hui âgé de vingt cinq ans, le jeune homme est l’un des premiers à rejoindre les rangs de Sulli, et c’est ainsi qu’il fait aussi la connaissance de Junseo, Ujin et Gabriel, qui sont les membres les plus fidèles. Il n’a pas été recruté par hasard, parce que ses talents sont reconnus et qu’il peut user de ses expériences pour espérer être un atout pour le gang. Il sait voler sans se faire prendre – sauf exception – est patient, sait crocheter une serrure et ouvrir la portière d’une voiture sans faire la moindre trace. C’est pour cela qu’il obtient la place de guetteur et que ses talents sont souvent sollicités quand les événements tournent au vinaigre. C’est facile de se faire à la présence de Tayden, qui est plutôt discret, qui ne parle pas beaucoup, qui est calme, mais y’a bien une chose, ou quelqu’un qui est capable de tirer le jeune homme de son calme légendaire ; Hyunsu. Ils sont arrivés dans le gang à quelques semaines d’intervalles, et alors que Tayden s’entend avec à peu près tout le monde, il faut dire qu’il n’a aucune envie de vouloir faire ami-ami avec ce dernier, parce qu’il ne peut pas le voir, parce qu’il peut voir l’amusement dans son regard, peut voir cette attitude insolente qui le renvoie à son passé, à toutes ces années où son beau père le regardait avec ce même amusement à chaque fois qu’il lui portait la main dessus. Il ne peut pas le voir et ça ne changera pas. Du moins c’est ce qu’il pensait. Les coups sont présents, les disputes aussi, ce qui est sûr c’est que Hyunsu est la seule constante dans sa vie. Il se détesteront toujours, ils s’enverront toujours péter, mais il y’a bien quelque chose de caché derrière cette haine mutuelle, cette rancoeur qui ne cesse de grandir entre eux. Tout change un soir, quand ils croisent le chemin de Kyungsu – le grand frère de Hyunsu – qui fait partie du gang adverse. Secrets, nouvelle confiance, semblant de loyauté et d’amitié entre les deux. Set est rancunier, parce que les deux serpents ont fracassé un de ses hommes, c’est ainsi qu’il vient chercher justice et vengeance au QG. Et ce qui devait être un règlement de compte, se transforme en un bain de sang, quand Tayden est touché, qu’il a été planté et qu’il se vide contre le comptoir. Il se sentait partir, malgré le peu de force qu’il gardait, mais le jeune homme voyait toujours et encore la silhouette de son père qui venait le chercher, lui dire que tout allait bien se passer. C’est les pleurs de Hyunsu qu’il entend quand il ferme les yeux, pour se réveiller de longues heures après. Leur relation prend un autre tournant, quand ils se rapprochent, mais qu’ils se quittent au même moment. Pour celui qui a une peur immense de l’abandon, qui a toujours peur de ne pas être assez, vivra très mal la séparation avec son homme qui ne donnera plus aucune nouvelle. Deux semaines plus tard, tout va pour le mieux, ils se sont retrouvés, mais le blond reste cet homme brisé qui doit apprendre à évoluer dans le même espace que Hyunsu, mais qui se dit au même moment que putain, lui aussi a le droit d’être amoureux, lui aussi a le droit d’aimer quelqu’un. Le brun reste la personne la plus importante pour Tayden, celui qui l’aidera quand il apprendra le décès de sa mère, qui sera là quand il apprendra qu’en réalité Nari est sa demi – sœur. Il restera sa seule constante dans sa vie.
1 note
·
View note
Text
TROIS VERSANTS DE JUDAS, Chœur critique sur le Silence de Scorsese (1/2)
Nous ne venons pas de nulle part. Les films nous prêtent leur mémoire, en échange de quoi nous leur prêtons nos yeux. La discussion qui va suivre a été improvisée à chaud et enregistrée sur un petit magnétophone à cassettes le 11 février 2017 à Montreuil, à la sortie du visionnage enthousiaste de "Silence" de Martin Scorsese. Publiée initialement sur la revue en ligne Sédition, elle devait y amorcer une nouvelle forme de critique : orale, plurielle, impromptue... mais sera finalement restée un prototype. Le Feu Sacré a tenu à la ressusciter du tombeau.
Steven Lambert : Moi qui ai découvert La Dernière Tentation du Christ il y a seulement quelques semaines, j’étais assez étonné de retrouver de troublantes correspondances : un personnage dont le périple est analogue à celui du Christ, et qui est également une histoire sur le renoncement, excepté que dans l’un, c’est par un rêve qu’on le lui offre, et ici par le biais d’une terre étrangère. Silence n’est plus un film sur des visions, sur un homme qui a des visions, mais qui vit à présent parmi elles. Elles ne concernent plus la position d’un individu par rapport à son Dieu, mais par rapport aux hommes. Ou pour le dire autrement : l’onirisme dans Silence est du côté de la Nature. Ce sont les premiers plans, après la cacophonie crescendo d’une jungle en son seul en guise de générique, dans lesquels parmi les fumées des volcans où l’on s’adonne à la torture on comprend tout de suite que nous sommes en Enfer, les « Enfers » même, selon le nom donné à ce mont par les habitants eux-mêmes. Un doublé, avec le début de Shutter Island et son cargo qui accostait sur l’île depuis la brume.
Warren Lambert : Ce renoncement qui, à l’instar de nombreux films de Scorsese, était présent à la fin de Shutter Island lorsque DiCaprio acceptait non seulement de s’être perdu, d’être incapable de réellement guérir, et pour finir d’être emmené à la salle où il s’apprête à subir une lobotomie. Le tout exprimé au moyen d’une seule réplique très ambiguë, comme un verset ésotérique à elle seule : « Qu’est ce qui serait le pire – vivre comme un monstre ou mourir comme un homme bien ? »
Frédéric Chandelier : Je m’étais rendu compte de ce nœud-là en travaillant sur Aviator, à savoir que, de plus en plus, les contradictions que pose Scorsese chez ses personnages amènent à cette perte de la raison ; le fait qu’ils se confondent avec ce en quoi ils croient, et qui est dans un même élan ce à quoi ils doivent en effet renoncer. Ce nœud se traduit formellement au moyen d’un élément ou d’un environnement liquide, aqueux, moite. En insistant qu’à la croisée de ces questions demeurera avant tout celle de la chair, et sur laquelle Scorsese n’a jamais triché : un sacrifice de la chair doit être un sacrifice de la chair. Cette orientation très nette de son cinéma depuis les années 2000, je dirais qu’il l’exprime en revanche narrativement par la filiation, le lignage.
Ce tiraillement est un vieux rêve qu’il avait essayé précédemment d’aborder de front avec A tombeau ouvert – mais présent, on le sait, au fond, depuis Taxi Driver – et auquel DiCaprio a apporté un nouveau souffle, ne serait-ce qu’avec l’importance de la genèse, de l’enfance d’Howard Hughes, puis le fait d’être ensuite jeune père dans Shutter Island, etc. Il y a à chaque fois l’idée que la folie a partie liée à la salvation et inversement, que toutes deux prennent souvent racine dans une duplicité, dans ce moment où un homme éprouve une difficulté existentielle vis-à-vis de son reflet (Shutter Island et sa fiction curative ; Les Infiltrés et son binôme siamois flic/mafieux ; ou Aviator et les névroses annihilantes du milliardaire). C’est pour cette raison que je trouvais au départ dommage que les personnages d'Andrew Garfield et Adam Driver finissent à ce point séparés. Mais ce qui, à l’arrivée, a une grande force lorsque Driver refait surface, puisque ce sont aussi deux rapports au Japon que l’on sent très différents pour chacun, qui auront été deux destins absolument distincts dans le pays.
S.L : Et qui reste cohérent avec le dépouillement auquel le père Rodrigues va devoir consentir, de son chapelet jusqu’à son nom, avec comme seule relique, comme seul souvenir, cette minuscule croix en bois qu’un paysan japonais a confectionnée et dont il lui fera cadeau, cachée au creux de ses mains dans son cercueil dans le dernier plan du film. C’est un personnage qui donne tout, et à qui l’on prend tout. Mais où, à force de tout lui prendre, on lui aura finalement redonné quelque chose.
F.C : C’est un personnage qui finit par comprendre comment arriver à s’adapter à l’hostilité qu’il sent partout autour de lui, sans pour cela renier ses principes. Et s’il parvient à la fin à devenir un pur personnage scorsesien, joué qui plus est par un acteur novice dans l’univers du réalisateur, c’est vrai que tout du long on sent que rien n’est jamais joué d’avance pour lui. Qu’il doit, et sur les deux niveaux, celle de la fiction comme celle du film, à son tour, gagner ses gallons.
W.L : Je repensais à la comparaison que fait l’Inquisiteur au père Rodrigues en parlant du Japon comme d’une épouse stérile, pour métaphoriser, comme plus tard avec l’image du marécage, la futilité de leur mission. Il y a cette belle scène ou Kichijiro, le traître à répétition, sorte de Judas burlesque, revient le voir alors qu’il est installé – calfeutré serait plus exact – avec femme et enfant, et qu’il lui demande une dernière fois de le confesser. C’est tourné comme une scène d’infidélité, avec une amante qui, en lui dévoilant son amour, raviverait sa flamme – Rodrigues s’empressant d’ailleurs de fermer la porte pour ne pas risquer qu’on les entende. Cette manière d’érotiser la confession, de replacer le geste rituel banni dans un geste d’amour en approchant fébrilement la main vers le crâne de celui qui n’aura eu de cesse de le trahir puis de revenir, comme il se laisserait aller à une caresse interdite, c’est le pendant du piétinement apostasique, teinté de résignation et de ferveur, auquel s’est livré plus tôt le père Rodrigues. Ce n’est pas pour rien que si elle est l’ultime demande de confession formulée par Kichijiro, elle est surtout la seconde et dernière fois après l’apostasie du prêtre où l’on réentendra la voix du Christ s’adresser à lui.
S.L : Ce rapport aux images qu’on piétine pour abjurer sa foi, les intérieurs, les cages successives de Rodrigues, tout cela pose le parti pris du film face à la souffrance, au martyre, et qui est bien entendu similaire à la position d’un spectateur. Silence raconte l’histoire d’un homme qui regarde des images violentes, insoutenables, injustes, et qui, malgré tout, miraculeusement, arrive à conserver et maintenir une forme d’amour en lui. Cela va de paire avec le renoncement dont on parlait, déjà présent dans La Dernière tentation du Christ, et qui fait ici l’objet d’un renversement positif. Tout comme Kichijiro et sa demande de confession qui sera soudain une piqûre de rappel bienveillante de sa foi enfouie, venu d’un personnage un peu ingrat à nos yeux comme aux siens, c’est Judas dans La Dernière tentation du Christ qui dans le rêve de la fin de vie paisible du Christ, retiré loin de la douleur des hommes, le sommera d’accepter son sacrifice. C’est le même geste : la énième trahison à répétition de Kichijiro sera paradoxalement, cette fois-ci, ce qui maintiendra en éveil la foi du prêtre.
F.C : Gangs of New-York avait à l’époque posé une ligne claire sur la façon de voir cette figure de Judas. Celui qui trahira Amsterdam (DiCaprio), son ami d’enfance, qui avouera au Boucher qu’Amsterdam est le fils du Prêtre (joué par Liam Neeson), finira crucifié à même un grillage sur une place publique, agonisant aux yeux de tous, posé là par ceux à qui il a fourni les renseignements, et qui lui feront payer plus durement que les autres de leur avoir vendu son meilleur ami, d’avoir trahi son camp.
W.L : Borges a écrit que le vrai Christ est davantage à chercher dans Judas. Ici Kichijiro, c’est un ivrogne, un pouilleux, moins qu’un « démon » dira Rodrigues, un moins que rien juste bon à demander pardon, et pourtant ce sera son ami le plus fidèle. Ce running gag de la confession, c’est en même temps un pacte qu’ils établissent secrètement. Tant que Rodrigues lui accordera la confession, sa foi ne faiblira pas.
Cette fragilité-là, tu la ressens directement, je trouve, dans l’aspect physique, vestimentaire des personnages, qui alterne entre loqueteux et apprêté, qui leur fait par intermittence retrouver une certaine dignité pour les rejeter le plan d’après dans la fange.
S.L : Parce que c’est un miroir qui épouse l’état de leur foi ! Quand il sont à leur meilleur ils resplendissent, et lorsqu’ils butent à nouveau, stagnent ou rechutent, leur mise redevient bourbeuse, leurs cheveux défaits, leurs visages davantage creusés et sales. Ce rythme binaire épouse le film en entier, y compris dans les différentes prisons à ciel ouvert dans lesquelles on enferme Rodrigues, et qui le retiennent moins qu’elles le protègent, en définitive. Il est un privilégié, soumis à aucune torture sinon celle de regarder. La grande force dont il fait preuve, c’est qu’en dépit du spectacle horrible auquel il assiste, il n’y a de tout le film aucun sentiment de vengeance pour les bourreaux qui sourd en lui, aucun instant où la haine prendrait le dessus.
W.L : C’est cette idée de l’endurance. Ne pas détourner le regard. La violence qu’il voit doit uniquement lui servir à se faire violence. Liam Neeson le lui dit à la fin, avant qu’il n’apostasie : « Allez-y, priez ! Priez, mais les yeux ouverts. »
Cette endurance se sent également dans la longueur de la crucifixion au bord de l’océan, où le dernier des trois paysans met un jour de plus pour mourir que le Christ en mît pour ressusciter.
Liam Neeson, encore, lui révèlera au moment de leurs retrouvailles que la confusion du langage sur « son of God », que les convertis prirent pour le mot « sun of God», « Daïnichi », désignant à son ancien disciple le soleil, installa LE quiproquo métaphysique primordial entre les deux civilisations, puisque si le soleil se lève tous les jours, aux yeux des japonais le fils de Dieu en faisait alors autant. Pour nous déciller, Rodrigues et nous, il y a cette idée géniale, premier degré, de nous faire contempler le soleil en gros plan, l’astre qu’il est impossible, optiquement impossible de regarder en face.
C’est de la sorte que l’on nous pointera, l’air de rien, la place de la Nature dans la mystique orientale, et du côté de laquelle tous les partis pris sonores du film se placent (absence de musique, travail d’une richesse ahurissante sur le son, générique de début et de fin composés de chants de cigales).
Tu parlais de visions : la mort, ce sera ça ses visions au père Rodrigues ! (Le prêtre repensera d’ailleurs dans sa cellule au paysan décapité devant lui et au père Garupe noyé pour sauver une jeune paysanne ; ce sont elles les images qui le poursuivent, le tourmentent.) Égrainées comme un chapelet ou plutôt perlées goutte par goutte comme l’incision que l’Inquisition japonaise opère derrière l’oreille des suppliciés de la « fosse », pendus par les pieds, et dont le goutte à goutte du sang les empêche de perdre connaissance et de mourir trop rapidement… Cette incision, comme un stigmate déplacé du flanc droit à l’oreille, caché, distinctif, ce signe de ralliement qui est ce par quoi débute Gangs of New York : l’entaille sur la joue du père d’Amsterdam, qui en profite pour bien rappeler à son fils que le sang doit impérativement rester sur la lame.
S.L : C’est ça ! Dans Silence, il s’agit de ne pas reculer sur l’idée que cet Amour-là s’enracine dans un monde de souffrance…
F.C : D’où le côté cause/conséquence de la foi ! Ceux qui n’ont pas craché sur la croix meurent sur la croix dans la scène suivante. On leur fait vivre l’image de leur foi, en dehors presque d’un aspect punitif. C’est le choix qu’on leur laisse : « Si vous avez le courage de croire, vous devez aller jusqu’au bout. »
Et tu as raison de parler de privilège. Qui torture ? Les maîtres. Qui regarde ? Les maîtres. Il y a donc cette question de classe qui recouvre cette souffrance, dont le père Rodrigues est, quoi qu’on en dise, complètement exempt. Son renoncement, ou sa promesse, dont le silence sera celui d’un ancien dissident qui aurait capitulé, le rangera dans la frange des privilégiés, lui permettant plus tard, contre toute attente, de gravir l’échelle sociale.
S.L : C’est ce qui en fait, sur ces deux lectures, un film sur la pesanteur. On part de l’église au Portugal, du haut des marches que descendent les deux prêtres, appuyé par un plan en point de vue de Dieu, pour arriver dans le « marécage » nippon, selon les mots de l’Inquisiteur et de Ferreira, visible ensuite par la chute sur la plaque filmée au ralenti, puis enfin dans la scène qui suit l’apostasie, dans laquelle Rodrigues est surcadré par une fenêtre du dojo ouverte à l’étage dans laquelle s’inscrit son visage immobile, impassible, comme une icône morte. « Paul l’apostat ! », lui crient alors des enfants depuis la rue en contrebas.
F.C : Ce qui est beau à ce moment-là, comme à la fin quand la caméra traverse les flammes pour rentrer dans le cercueil, partie chercher la croix sculptée dans les mains d’un Rodrigues recroquevillé comme un bouddha, c’est que Scorsese joue sur les deux iconographies, les mêle, celle bouddhiste et l’autre chrétienne. Dans le plan final, on a ainsi la seule virtuosité réellement scorsesienne où la caméra traverse le feu, ce feu qui finit par éclairer le corps, avec la peau qui redevient translucide. Comme un fœtus.
Si l’on repense une minute à Aviator, son prologue fonctionne en symétrie avec l’épilogue de Silence, avec ce baptême du corps de l’enfant Hughes dans la baignoire, lavé par sa mère, ce baptême censé non pas le mettre au monde mais l’en préserver (« Quarantaine » lui fera-t-elle épeler comme un surnom), et ce second « baptême », au milieu du film, dans sa salle de projection, nu à nouveau, replié là encore comme en fœtus, avec défilant sur sa peau des images de crashs d’avions en flammes qui semblent raviver ses scarifications de grand brûlé.
Toute cette période depuis DiCaprio, bien qu’elle fasse écho dans certains thèmes aux films inoubliables de Scorsese qui seraient supposés être les pôles immuables de ses obsessions, est, à mon avis, vraiment à considérer telle une nouvelle genèse. A l’heure d’aujourd’hui, je le vois de la sorte, il pourrait y avoir quelque chose qui va de la baignoire d’Howard Hughes au cercueil du père Rodrigues.
W.L : Tu nous racontais à ce propos une anecdote assez dingue que j’ignorais, à savoir que les scènes coupées de Gangs of New York avaient été brûlées par les frères Weinstein, les producteurs, et que la version originale qu’elles constituaient, à jamais perdue, faisait environ cinq heures. On pourrait y voir encore un lien ?
F.C : Le feu dans Aviator est partout. Venant après ce film-genèse sur l’Amérique qu’est Gangs of New-York, et sur le trauma d’une version détruite par les flammes donc, j’imagine que oui… Autre exemple qui me revient en tête : après sa rupture avec Katherine Hepburn, tous les oripeaux du corps social de Hughes, ses costumes, ses chemises, sont déchirés puis jetés dans un grand feu purgeant. C’est l’inhumation de sa carcasse clinquante de milliardaire, de la même façon qu’il enlèverait des peaux mortes ! Même chose lorsqu’on le fait se raser pour son procès, après que sa barbe, ses cheveux et ses ongles aient poussé négligemment, il s’agira, à l’inverse, de lui réapprendre les gestes du social.
S.L : Il y a la même chose dans Silence, où la barbe du père Rodrigues est la dernière étape avant sa pleine intégration à la caste japonaise. Et, quelque part, on retrouve ça chez Scorsese lui-même, qui a longtemps porté la barbe avant de maintenant se présenter publiquement toujours fraîchement rasé !
F.C : Et tu sais que ça été pris très au sérieux déjà à l’époque, puisque je me souviens avoir lu quelque part qu’il avait fait de nombreuses unes de magazines… Et puis, il ne faut pas oublier que son premier court-métrage, The Big Shave, est intégralement sur un homme qui se rase, qui se rase jusqu’au sang. C’est son problème avec l’âge adulte derrière. L’histoire d’un homme qui, en voulant être plus glabre qu’un imberbe, en sur-lissant son visage, en arrivait au stigmate ! Il y a une idée qui se dessinerait là, qui ferait que dès qu’un homme se laisse pousser la barbe, pour Scorsese, il serait dans l’expérience, et que la sagesse qu’il apprend au bout se son chemin de croix l’amènerait à revenir à quelque chose de plus poupin, enfantin…
S.L : Lisse comme un masque…
F.C : Oui, parce que tous les personnages savent qu’ils mentiront mieux à visage découvert !
S.L : La duplicité tout à coup vue, a contrario, comme quelque chose de lisse, mais dont un feu crépite en silence à l’intérieur, bout sous la peau, continue de l’animer.
W.L : A vous écouter, je me faisais la réflexion que c’était certainement la raison pour laquelle Silence s’attarde davantage sur le derme des suppliciés, leur peau rougie, chauffée, brûlée, ou alors asséchée, gorgée d’eau. Rodrigues évoque en voix off le corps de Mukachi dont l’inhumation renvoie des fumées blanches tellement il est imbibé de flotte. Cette descente de croix marquante du corps de Mukachi, pietà nocturne d’une délicatesse folle dans sa mise en scène, par ailleurs symptomatique dans son traitement de la place particulière qu'occupe la violence dans Silence, à rebours total du style scorsesien habituel. C’est une violence qui, à chaque étape, est tout de même infligée avec un respect incroyable, à la japonaise, la rendant pour cette raison encore plus tragique. L’écœurement de Rodrigues face à elle participe à constituer notre propre épreuve face au film, notre écœurement s’imbriquant dans le sien, ou depuis le sien, et devant nous amener, comme il en a été pour lui, à penser autrement notre rapport à la foi.
La suite dans quelques jours...
0 notes
Text
J'ai téléchargé une application de décompte de jour sans. J'avais arrêté l'alcool pendant 1 an en 2023, c'était un test sur ma santé. Je passai mon temps à critiquer certains de mes potes qui buvaient minimum 3 pintes par soir. Qui ne se rappelaient pas ce qu'ils avaient dit. Sans me rendre compte que même si je buvais moins, j'étais victime de l'alcool mondain.
J'ai arrêté parce que ça avait un effet inflammatoire sur mes règles si je buvais la semaine avant le SPM ou mes règles. Je souffrais d'une méga crise, problématique quand tu as un corps de femme et que dame nature ne t'oublie pas.
Bref, après une méga crise l'année dernière, à la limite de me retrouver à l'hosto, j'avais bu un verre de vin rouge et manger au resto, un peu trop gras pour mon estomac. J'ai arrêté. Au début j'étais choquée parce que je ne me considérais pas accro pourtant j'avais besoin de remplacer la bière par du kombucha ou de la ginger beer.
J'ai craqué une fois pour un cocktail au Japon, en faisant attention de pas boire trop proche de mes règles ça s'est bien passé.
Puis, pendant les fêtes ces derniers jours, j'avais envie de boire un verre de vin rouge. J'en ai bu 2 verres en sachant que j'avais mes règles la semaine suivante. Je pensais que ça passerai. Nope. J'étais euphorique sur le coup, puis après la redescente elle fait mal au niveau des émotions...
On a passé une mauvaise soirée pas à cause de moi, j'ai été malade 2 jours plus tard. À cause de mon beau frère et de l'alcool mauvais et colérique qu'il a eu. Parfois on ne se rend pas compte à quel point on peut être malade, à quel point on se rend malade. À quel point une situation est violente, quand on a grandi, évolué dedans on finit par ne plus la voir, la violence. J'ai refait mon hypersensible et catalyseur émotionnel, je tremblais d'émotions au sons de leur voix. Heureusement le lendemain s'est un peu mieux passé. Dernière fois.
Ceci est un pacte avec moi-même vu que je passe souvent ici, j'espère retomber sur ces mots plus facilement que dans un de mes carnets. Même un verre c'est trop. Et l'ambiance avec l'alcool c'est vraiment pas ton kiff. Ça ne vaut vraiment pas la peine. Tu es capable de t'amuser sans, de danser sans, seule dans l'appartement, avec ton chéri ou tes potes trop choupinou que t'aime d'amour.
0 notes