#Philippe Bordes
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Napoleon at His Court — A Group Portrait, by Andrea Appiani, c. 1796-98
“Appiani’s drawing suggests how difficult it was for artists to come to terms with the strictly personal nature of Bonaparte’s initiatives… Monarchical imagery failed to capture a fundamental quality of Bonaparte’s rise to power: the triumph of individual will. Without the advantage of birth and lineage, he was an extreme example of revolutionary meritocracy to which contemporaries could respond positively. Appiani does not represent the victorious general as a prince, although something of the theater of hierarchy, characteristic of court imagery, lingers in the pivotal role attributed to Bonaparte.”
Source: Philippe Bordes, Jacques-Louis David: Empire to Exile
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Quelques phrases lues en 2024
En 2019, six Martine ont été engendrées par six familles courageusement rebelles aux appellations du jour.
Je ne vais faire que ça désormais : chercher partout des yeux qui me cherchaient partout.
À l'époque où je ne la connaissais pas, j'attendais déjà Anne Lebedele.
J'aime les lieux délabrés, j'en habite un.
[...] on disait chochotte quand j'étais petite pour les enfants délicats qui faisaient toujours des manières ou des histoires, et ça n'était pas un compliment, surtout pour les garçons.
Elle en était convaincue : si les hommes étaient capables d'échanger avec la même profondeur que les arbres, ils cesseraient de s'entre-tuer.
Chaque appartement qui se respecte, selon vous, devrait avoir, en vis-à-vis, un hôtel confortable.
Chaque soir nous jouions à ne pas mourir.
Les langues de vieux ne parlent que le patois et n'ont embrassé qu'une seule bouche.
Il y a cent mille espèces d'amour, inventées séparément, toujours plus ingénieuses, et chacune d'entre elles engendre des choses nouvelles.
À ceux qui l'écoutaient, il parlait des nuages et des larmes, de ces mondes lointains, de toutes ces choses de la terre et du ciel que ne savent que les enfants et les fous.
Il neigeait un tout petit peu, dehors, tellement peu que si je l'avais voulu, simplement pour m'amuser, je crois que j'aurais pu éviter les rares flocons qui tombaient et, le nez en l'air, en zigzaguant sur le trottoir, parvenir ainsi jusqu'au bout de la rue, sans qu'aucun m'ait atteint.
À quand remontait la dernière fois que les habitants de cette impasse avaient vu passer sous leurs fenêtres une Renault immatriculée dans les Bouches-du-Rhône ?
Face à face, chacune clouée sur son mur, une publicité pour Pepsi et l'autre pour Coca qui se regardent en chiens de faïence.
Il y a toutes sortes de gens dans le monde.
Les mensonges, c'est comme les os de poulet. Ils se coincent dans mon gosier et je les recrache.
J'aimais les insultes qui fusaient au bord des terrains de foot.
Parfois chez moi, quand il n'y a que les murs, je touche les murs qui me touchent en retour, est-ce que c'est faire le mur ?
Je refusais de cauchemarder de nouveau à cause d'une image.
Mélanie Martin était célèbre dans le pays pour avoir vu, en chair et en os, à l'occasion d'un baptême, Léon Zitrone.
Combien de fois dans ma vie ai-je prononcé la phrase suivante : « J'étais au collège à Sancerre » ? Et pour cause : j'étais au collège à Sancerre.
Il éclusa son whisky et, au lieu d'en commander un autre, opta pour une vodka comme s'il était facile de passer des États-Unis à la Russie.
Un clair de lune est-il rien d'autre, au fond, que quelque chose de quotidien, offert au mendiant comme au prince ?
C'est bien compliqué, la vie d'écrivain mais moins que la vie de non-écrivain.
Une année de lecture passée notamment en compagnie de Jean-Pierre Martin, Cédric Sapin-Dufour, Christian Oster, Olivier Rolin, Marie-Hélène Lafon, Marie Charel, Eric Faye, Camille Laurens, Marion Fayolle, Richard Powers, Étienne Kern, Joël Egloff, Sylvain Prudhomme, Régis Jauffret, Philippe Jaenada, Paul Auster, Antoine Wauters, Julie Marx, Yannick Haenel, Paul Fournel, Tanguy Viel, Enrique Vila-Matas, Robert Walser et Mathieu Lindon.
Bonne fêtes de fin d'année à toutes et à tous 🎅
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C’EST L’ÉTÉ, METTEZ VOUS À LA BEACH CAR
Michelotti 850 Spiaggetta de 1968
Dans les années 60 le carrossier Michelotti collabore avec l’architecte naval Philip Schell pour dessiner une série de Beach car sur base Daf, puis Fiat. Bien plus aboutie que celles de Ghia, la CM (pour Carrosseria Michelotti) 850 Spiaggetta, s’écoulera à 80 unités entre 1968 et 1975. Elle propose des prestations supérieures à ses concurrentes: Carrosserie aérodynamique en fibre de verre, tableau de bord recouvert d’osier, vitesse de pointe de 100km/h grâce à ses 47 chevaux. L’auto est même équipée d’un chauffage!
Parmi les 80 exemplaires produits, on estime à 10 le nombre de survivantes. Le modèle présenté a appartenu à Philippe Stark.
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Balenciaga Haute Couture Spring/Summer 1956 Collection. Jacky Mazel wears a long white tunic whose fullness flares out through the gathers. It is made of canvas, has no collar, closes with three buttons, has three-quarter sleeves and is decorated with a belt. Jacky Mazel wore it over a black canvas sheath skirt whose bottom is barely visible under the tunic. The very large hat is made of black horsehair and its brim is nicely transparent. The bag is from Schutz.
Balenciaga Collection Haute Couture Printemps/Été 1956. Jacky Mazel porte une longue tunique blanche dont l'ampleur s'évase par les fronces. Elle est en toile, n'a pas de col, ferme par trois boutons, a des manches trois-quarts et s'orne d'une ceinture. Jacky Mazel l'a porte sur une jupe fourreau en toile noire dont le bas se laisse à peine deviner sous la tunique. Le très grand chapeau est en crin noir et son bord est joliment transparent. Le sac est de Schutz.
Photo Philippe Pottier
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Jean-Philippe (partie 2)
La journée suit son cours, je suis plus ou moins concentrée à la job. Mais ça, c’est juste parce que c’est le 4 à 6 du jeudi. Je suis toujours fébrile à l’idée de boire du vin. Je parle de la situation à mes ami·es.
« Est-ce que je lui réécris? », leur demande-je, sachant très bien que je vais pondre une belle petite phrase accrocheuse à Jean-Philippe dans deux verres de vin no matter what. Je ne fais qu’assurer mes arrières.
Mes ami·es me conseillent autant qu’iels me déconseillent de renchérir avec une phrase timidement coquine. OK, les chum·es. Je vais écouter mon petit cœur dans ce cas-là. C’est correct.
On est deux verres de vin plus tard. It’s time.
Je largue mon attaque en DM : « Si jamais ça te tente d’avoir une compagnonne d’écriture pour un de tes shows, on pourrait se motiver dans un café. SI JAMAIS! »
Ew, j’ai dit « compagnonne ». Moving on.
Il prend du temps à répondre.
Fuck. J’ai tout gâché.
Je vis mon 4 à 6 comme tous les jeudis: j’enchaîne les verres de blanc. J’embarque sur le rouge, je me sens un peu triste. Je commence à être fatiguée. C’est prenant, se mettre out there. Se rendre vulnérable. De laisser sa destinée amoureuse dans le cellulaire d’un autre. Pis y’est en couple, anyway. Qu’est-ce que je fais?
Je quitte le 4 à 6 pour me réfugier dans ma torpeur avec mon chat. J’ai faim. Je traverse le parc près de chez moi quand je reçois trois textos. Trois.
C’est Jean-Philippe.
« C’est pas tombé dans les mains d’un sourd » (le comique) « C’est sûr que j’écris rien si t’es là par contre J’ME CONNAIS! » « Mais sait-on JAMAIS. »
Attendez. Je pense que mon cœur m’a lâché. C’est ça, mourir? Est-ce qu’on peut mourir de bonheur? Enterrez-moi vite au parc Baldwin. J’ai besoin d’une pause pour reprendre mes esprits.
Je relis ses messages. J’écris rien si t’es là par contre. Si je suis là. Je vais être partout où tu veux, mon homme. Il est définitivement célibataire. Ou TRÈS ouvert. Ça, c’est clairement du flirt. Je ne peux plus le nier, moi qui ai tant espéré.
It’s on, bitches. Je sors l’artillerie lourde avec ma répartie et des flèches coquines, mais sans plus. Je dois le faire languir un peu. Macérer. Comme un bon vin, qui peine à être dégusté.
Je lui propose qu’on se jase ça ce soir, tant qu’à. Il est 19h et je suis juste assez alcoolisée pour être drôle, flirty. J’ai pas besoin d’alcool pour être comme ça, c’est juste que je me sentais particulièrement chatte. Meow.
« On dirait qu’on est dûs pour se jaser, hein? », me répond-t-il. Oui, Jean-Philippe. On est plus que dûs. Je te dirai pas que je regarde des shows dans lesquels tu figures pis je m’imagine toutes sortes de scénarios coquins. Dis-moi pas que je vais les réaliser? Me donnerais-tu cette chance-là?
Voyons, je suis complètement coucou. Je fan girl trop. Mais il me donne juste assez de jus pour que j’aie envie de finir le litre au complet. Je bois ses paroles.
On se dit qu’on va se reparler de nos disponibilités, parce que ce soir il est trop fatigué. Normal. Ben correct, c’était un peu précipité. Faut que je me calme. Faut QU’ON se calme. Je le veux en forme quand on va se voir parce que God knows que ce ne sera pas reposant.
Cue la nuit.
Ding de-ding de-ding.
Mon alarme du matin sonne, mais j’étais déjà réveillée. Beaucoup trop excitée à l’idée qu’on se réécrive. Je lui écris mes dispos. J’attends d’avoir les siennes.
« Maudit, y’a rien qui fonctionne pour moi! », m’a-t-il rédig��. Bon. Pas grave. On trouvera un moyen.
Il continue à écrire. Les trois petits points de suspension bondissent.
Ils arrêtent.
Ils bondissent.
Ils arrêtent.
J’ai un mauvais feeling.
Suis-je allée trop loin? J’ai les mains moites, les genoux mous, le cœur en guénille. Qu’est-ce qu’il veut me dire?
Vvvvz vvvz (un son de vibration).
« L’autre truc qui me chicotte, c’est que je suis terriblement en couple. Hier, je suis complètement tombé sous ton charme mais puisque ça devient flirty tout ça (en tout cas, complètement de mon bord je dois t’avouer) je suis plus prudent ce matin je dirais. On est un couple qui se permet quand même certaines libertés occasionnelles, mais on est plutôt dans un mode plus serré vu qu’on essaie de faire un bébé. »
Quoi.
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Aujourd’hui, samedi 24/08/24, 28e Nuit internationale de la chauve-souris, organisée en France par la Société Française pour l'Étude et la Protection des Mammifères (SFÉPM) 🦇
Ligue 2 : lourde défaite du FC Annecy hier au soir sur sa pelouse battu 4-2 par le FC Martigues 😞 Ce dernier est arrivé deuxième en National l’an dernier, a donc assuré sa montée en Ligue 2 et vient de prouver brillamment qu’il va falloir compter sur lui cette année, bravo ⚽️
Trois marchés le samedi à Annecy : marché du boulevard Taine (alimentaire et produits divers) de 7h à 13h, marché de Vieugy (marché alimentaire) de 8h à 12h et le P'tit marché du Vieux Meythet (marché alimentaire) de 8h30 à 12h30 🧺
Hautes Tensions de Philippe Cognée : visite commentée gratuite de l'exposition en compagnie d’une médiatrice d'Imagespassages 🎫 Sans réservation 📆 Ce samedi 24/08/24 à 15h📍L’Abbaye (espace d'art contemporain) 🖼️
Soirée de clôture Mikado Plage X : pétanque, mölkky, blind test, jeux en bois… À 20h : profitez de la pièce de théâtre La famille vient en mangeant (dès 10 ans) par la cie MMM dans le cadre du Toujours Festival 🎫 Accès libre 📆 Ce samedi 24/08/24 de 16h30 à 21h 📍La Colline des Teppes ⛱️
Multidanses avec Swing Folies 🕺 Pour les amateurs et amatrices de parquet ℹ️ Annulé en cas de mauvais temps 🎫 Bal et soirée dansante en accès libre 📆 Ce samedi 24/08/24 de 18h à 22h📍Espace guinguette des Jardins de l'Europe 💃
Muzik au bord de l'eau : Ode Project Trio ℹ️ Sous réserve de conditions météo favorables, possibilité de restauration au restaurant de la Plage 🎫 Gratuit 📆 Ce samedi 24/08/24 de 19h à 20h30📍Plage municipale de Menthon-Saint-Bernard (Grand Annecy) 🏖️
Théâtre : La famille vient en mangeant (durée : 1h15, à partir de 10 ans) par la cie MMM dans le cadre du Toujours Festival et de la soirée de clôture Mikado Plage X 🎫 Accès libre 📆 Ce samedi 24/08/24 à 21h📍La Colline des Teppes 🎭
L’opération Vital’été a repris du service dans la cité lacustre le lundi 8 juillet jusqu’à ce samedi 24/08/24 : aujourd’hui (samedi 24 août), Taiji Quan et tennis de table pour cette dernière journée 👌 Activités gratuites et ouvertes aux adultes proposées et encadrées par 11 associations locales 👍
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : la tendance se poursuit, mais la levée d'un vent du sud marqué devrait efficacement disperser les polluants. La qualité de l'air devrait être qualifiée plus globalement de dégradée 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen (niveau 2). Ambroisies, graminées, plantain et urticacées : niveau 1. Platane et saule : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 17/08/24 au vendredi 30/08/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : évitez de tondre la pelouse, pour ne pas aggraver les symptômes 😷
Quatre dictons du jour pour le prix de trois : « À la saint Barthélémy, la caille fait son cri. », « À la saint Barthélémy, la noix sort du nid. » ou « À la saint Barthélémy, la noix quitte son nid. » et « À la saint Barthélémy la perche au noyer, le trident au fumier. » 😀
Et trois autres dictons du jour pour la route : « S'il pleut à la saint Barthélémy, chacun en fait fi. » 🌂 « Quand il pleut à la saint Barthélémy, il y a assez de raves et de bois. » ☔ « Quand il pleut à la saint Barthélémy, la vache mange, le bœuf aussi. » 🐮
Pour celles et ceux qui veulent payer aujourd’hui ce qu’ils doivent (comme dit l’autre, qui paie ses dettes s'enrichit) : « À la saint Barthélémy, paie ton dû. », « Saint Barthélémy, paie qui doit. » ou « Saint Barthélémy, paye qui doit. » 🤑
Pour celles et ceux qui aiment les cigognes : « Cigogne à la saint Barthélémy, un doux hiver nous est promis. » 🐦 « Gertrude amène les cigognes, Barthélémy vide leur nid. » 🪺
Pour celles et ceux qui aiment les grenouilles : « À la saint Barthélémy, la grenouille sort de son nid. » 🐸 « Si chantent (fort) les grenouilles, demain le temps se gribouille. » 🌦 Mais « Quand les grenouilles chantent le soir, il fait beau le lendemain. » 🤔
Pour celles et ceux qui s’intéressent à la vigne : « À la saint Barthélémy, s'il fait beau du vin plein les tonneaux. » 🌞 « Pluie de la saint Barthélémy, de la vigne est l'ennemie. » 🌧 « Saint Barthélémy plein de soleil brûlant fait bon vin et vigne robuste. » 🍇
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un très bel été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bon sixième jour de la semaine à tous et à toutes 🎹
Bonne fête aux Barthélémy et demain aux Louis 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le vendredi 23/08/24 📸
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"Combat de l'Intrépide s’élançant au secours du Tonnant" - 1747 (Versailles)
Le Tonnant lui-même, que montait M. (le Marquis) de L'Etanduère, avait reçu huit cents boulets et avait plus de cent tués ou blessés à son bord. Poursuivi par six vaisseaux ennemis à la fois, dégarni de ses mâts, de ses vergues, et faisant eau de toutes parts, il allait se rendre ou périr, lorsque le comte (Louis-Philippe) de Vaudreuil monté sur l'Intrépide, et commandant l'avant-garde française, s'élance au secours du Tonnant, passe a travers les vaisseaux anglais, en leur lâchant une double bordée, et vient fièrement se placer dans les eaux de son chef d'escadre. Seul, et bien qu'il comptât plus de cent-trente hommes baignés dans leur sang l'Intrépide tient tête à toute la flotte anglaise. II était huit heures et demie du soir. Étonnés du majestueux dévouement de I'lntrépide, non moins qu'épuisés par une lutte si meurtrière, les Anglais abandonnèrent la partie. Sans attendre le retour dans le port, M. de L'Etanduère écrivit, de son bord, à M. de Vaudreuil la lettre suivante :
"Mon cher Vaudreuil jamais manoeuvre n'a été plus belle, plus fière et plus distinguée que celle que vous avez faite. Vous m'avez tiré d'affaire avec un nombre de vaisseaux contre lesquels j'aurais été obligé de céder à la force. Nous pouvons dire que nous avons bien fait la manoeuvre des convois, qui est de se faire hacher pour sauver la flotte.
Je vous embrasse, mon cher Vaudreuil, de tout mon coeur; je fais mes amitiés à tout votre état-major et je vous remercie de votre bon secours."
Pour prix de sa bravoure, M. de Vaudreuil fut éle- vé, le 1'" avril 1748, au grade de chef d'escadre. Louis XV fit faire un tableau représentant l'Intrépide aux prises avec l'escadre anglaise. La copie de ce tableau existe au Musée de Versailles.
. . .
En: Battle of Cape Finisterre (October 1747), of the ship Intrepid against several British ships under Lord Admiral Edward Hawke.
Fr : Bataille du Cap Finisterre (octobre 1747), du navire l'Intrepide contre l'escadre anglaise d'Edward Hawke.
Louis-Philippe de Vaudreuil est né le 26 septembre 1691 à Québec.
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Douai, la veille de mon anniversaire, au "Nagoya", un resto japonais en terrasse avec Philippe au bord du canal de la Scarpe. En contrebas, des péniches et derrière le pont, la fac de droit.
Et ce jour-là, on a vu un peu de ciel bleu (exceptionnel en ces mois particulièrement pourris de mai et de juin !!))
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Un enterrement à Ornans est un tableau peint par Gustave Courbet entre 1849 et 1850. Le peintre avait 33 ans lorsqu'il réalisa cette œuvre de grandes dimensions qui fut l'objet d'une violente polémique lors de sa présentation au Salon de peinture de 1850. On a alors reproché au tableau sa vulgarité et les critiques ont accusé Courbet de peindre « le laid », « le trivial » et « l'ignoble ». L'Enterrement à Ornans devient vite une œuvre manifeste du réalisme dont Courbet fut le chef de file ; un peintre engagé pour l'Art mais aussi pour la République.
Le contexte historique
Courbet achève Un enterrement à Ornans en 1850, à une période charnière pour l’histoire de France comme pour l’histoire de l’art moderne. Louis-Philippe a été destitué en 1848, et en décembre 1848, Louis-Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III, a été élu président de la république.
En 1850, dans cette époque sensible au contexte social, les artistes ne se rangent pas forcément aux côtés de la classe ouvrière et de son combat (Courbet participera à la Commune seulement en 1871) mais ils se détachent de la bourgeoisie qui rejette les nouvelles formes d’art. L’artiste véritablement novateur tend à s’isoler et à se marginaliser : après la Bohème, forme de vie aléatoire mais libre des artistes romantiques, la deuxième moitié du xixe siècle voit l’apparition de l’image de l’artiste maudit, qui n'est plus au service des institutions et des pouvoirs en place comme auparavant, et qui n'est compris que par une petite élite intellectuelle et artistique.
La scène
Ornans, la ville natale de Gustave Courbet, est une petite localité de 4 000 habitants située à 25 km de Besançon dans le Doubs en Franche-Comté. Dans le tableau, on retrouve en arrière-plan les caractéristiques du paysage de la région : des falaises calcaires qui encadrent les méandres encaissés de la Loue (un affluent du Doubs qui traverse la ville d'Ornans).
À partir de la Révolution, du fait du nombre croissant de morts, l'exiguïté des sites entraîne l'exurbanisation des cimetières, traditionnellement implantés autour de l'église du village. À Ornans, la population s'est opposée à ce transfert pendant des décennies et il faut attendre septembre 1848 pour qu'un nouveau cimetière hors du village soit inauguré. Dans le tableau c'est précisément dans ce nouveau cimetière à l'écart de la ville que se déroule l'enterrement. De plus, les personnages regroupés masquent les autres tombes et les murs du cimetière, ce qui nous laisse penser que la fosse a été creusée au milieu de nulle part. Le peintre fait figurer la scène à un moment précis : le convoi vient d'entrer dans le cimetière et s'est scindé en trois groupes (les officiants, les hommes et les femmes).
Les personnages
Les 27 personnages pressés en double rang sont tous des habitants d'Ornans que Courbet avait fait poser un à un dans son atelier. Comme à l'église, les hommes (à gauche) et les femmes (à droite) sont séparés. Les hommes portent des costumes noirs et plusieurs d'entre eux un chapeau haut de forme. Les femmes quant à elles portent des coiffes blanches et des capuches noires ; plusieurs d'entre elles tiennent un mouchoir blanc dans la main et pleurent le mort (la description suivante est issue des données des archives municipales et des actes notariés).
Courbet, Un enterrement à Ornans schéma personnages.jpg
Les individualités
Le curé (10) : habillé en grande pompe, il porte le costume funèbre et lit les textes de son bréviaire (livre liturgique contenant les prières à lire chaque jour par les prêtres) qu'il tient à la main. Il fait face au révolutionnaire de l'autre côté de la fosse.
Le fossoyeur (13) : Antoine Joseph Cassard, fils de cordonnier et paysan pauvre, a posé sa veste et son bonnet de laine sur les bords de la fosse qu'il vient de creuser comme l'indique la couleur de la terre. Il attend l'arrivée du cercueil et pose un genou au sol. Si son regard, à mi-hauteur de la toile, tourné vers le groupe des « officiants de l'au-delà » et de la haute croix, nous entraîne vers l'univers spirituel de la cérémonie, le reste de son corps tourné vers la fosse nous attire vers le « monde d'en bas » et sa réalité : l'ensevelissement du cadavre.
Les ensembles de personnages
Les quatre porteurs : ils sont munis de gants blancs, de tenues noires et de grands chapeaux à bords ronds. Ils soutiennent le cercueil entouré d'un drap blanc et détournent leurs visages du mort (à la campagne, on exposait le corps plusieurs jours avant l'enterrement et la pestilence des morts est peut-être évoquée ici par le peintre). Ce sont probablement un artisan cordonnier (1), un propriétaire cultivateur-rentier (2), un musicien (que l'on retrouve dans la toile Après dîner à Ornans) (3), et un propriétaire (4). Ces deux derniers sont des amis de Courbet.
Les cinq sacristains : ils se tiennent en arrière du curé, à gauche du cercueil et sont vêtus de blanc. L'un d'entre eux est le porte-croix ; c'est un propriétaire-vigneron (7). Les deux autres en (5) et (6) sont respectivement un musicien et un artisan cordonnier. À l'extrême gauche de la toile derrière les porteurs est peut-être représenté le grand-père de Courbet décédé un an plus tôt (il n'est pas visible ici). Le groupe des sacristains est « relié » au ciel par la croix qui surmonte la foule et les falaises en arrière-plan.
Les deux enfants de chœur : le premier (8) lève la tête vers le porteur, dont il vient de toucher le chapeau avec son cierge. Le second (9) au premier plan porte le vase d'eau bénite.
Les deux bedeaux : employés laïcs d’église, ils s'assurent du bon déroulement des cérémonies religieuses. Celui de gauche (11) est un vigneron aisé tandis que celui de droite (12) est un cordonnier modeste. La couleur rouge de leur costume et de leur toque les fait sortir tout droit d'une toile italienne du bas Moyen Âge, cependant on a retrouvé dans la sacristie de l'église d'Ornans une de ces toques.
Le groupe des hommes : au premier plan les bourgeois et notables, un juge de paix (14), le maire d'Ornans Prosper Teste (15), un ancien gendarme devenu prêteur sur gages tenant un mouchoir à la main (17) et un meunier enrichi (19) ainsi qu'un avocat (20), ami de Courbet. Au second plan figurent deux amis d'enfance du peintre : un rentier célibataire (16) et un bourgeois aisé (18).
Les deux révolutionnaires : ils portent le costume porté par les révolutionnaires entre 1792 et 1793 (c'est-à-dire au moment de la Première République) soit un demi-siècle plus tôt. Nous sommes en 1849 et Courbet a assisté à l'avènement de la Deuxième République en 1848. Le premier (21) porte des guêtres blanches et le second au premier plan (22) des bas bleus. La main tendue vers la fosse, ce dernier semble officier en même temps que le curé en face de lui. Ce face-à-face incongru entre la République et l'Église est à mettre en lien avec l'engagement politique de Courbet qui sera un partisan de la Commune de Paris en 1871.
Le groupe des femmes : En tête du cortège au premier plan sont représentées les femmes de la famille de Courbet. Sa mère (23) et trois de ses sœurs (24)-(25)-(26). La petite fille à l'extrême droite du tableau (27) est une petite cousine de l'artiste.
La religion et la mort
Dans Un enterrement à Ornans se mêlent conjointement les thèmes de la mort et de la religion à travers l'enterrement, un rite funéraire occupant une place fondamentale car il soude dans le chagrin la communauté villageoise. Au-delà du rite religieux en lui-même, l'univers de l'œuvre est chargé de symboles ayant des liens avec la religion et la mort.
Ainsi, une tradition apocryphe indique que « lors de l'agonie du Christ, la terre trembla, se fissura et fit jaillir le crâne d'Adam enfoui depuis des millénaires ». Courbet a justement représenté un crâne dans le tableau, à droite de la fosse. On retrouve ce crâne symbolique dans Hamlet et Horatio au cimetière peint par Delacroix en 1839, seulement dix ans auparavant. Ce même crâne, ainsi que les os croisés et les larmes sur le drap mortuaire, signifient que « l'initié va renaître à une nouvelle vie ». S'agit-il d'une vanité ou une allusion à l'univers de la Franc-maçonnerie (Courbet ferait référence à la sourde et secrète tradition maçonnique à Ornans) ? Le chien, quant à lui, alimente aussi l'univers symbolique. En effet, dans de nombreuses sociétés, l'animal accompagne l'homme dans l'au-delà et est souvent présent lors des cérémonies sacrées (dans l'Égypte ancienne ou chez les Incas par exemple).
La facture du tableau
Courbet a réalisé son tableau dans le grenier de la maison familiale d'Ornans qui lui servira d'atelier pour de nombreuses autres toiles (dont L'Atelier du peintre en 1855). Du fait de la pente du toit, Courbet doit peindre sur une partie de la toile tandis qu'il enroule les parties droites ou gauches précédemment réalisées. On distingue également les coutures qui divisent la toile en trois tiers de haut en bas. Il dit à ce sujet : « Il faut être enragé pour travailler dans les conditions où je me trouve. Je travaille à l’aveuglette ; je n’ai aucune reculée. Ne serai-je jamais casé comme je l’entends ? Enfin, dans ce moment-ci, je suis sur le point de finir 50 personnages grandeur nature, avec paysage et ciel pour fond, sur une toile de 20 pieds de longueur sur 10 de hauteur. Il y a de quoi crever. Vous devez imaginer que je ne me suis pas endormi. »
La préparation de la toile
On trouve du blanc (de plomb) à grain épais qui donne une teinte d'ambre brûlé, devenue apparente lorsque les couches de peintures ont séché. Cette technique a assombri le tableau et a atténué les tons froids (les mains et les visages ont été réalisés au pinceau et soulignés au bistre (couleur brun-noirâtre préparée à partir de la suie) par des traits apparents.
Les zones indéterminées du premier plan (sol, terre) et de l'arrière-plan (ciel, falaise) ont probablement été réalisées au couteau.
L'omniprésence du noir et du blanc
Le noir ne forme pas une masse uniforme mais il présente au contraire des nuances charbonneuses ou bleutées. Les notes violentes de blanc s'y opposent : les draps des porteurs, les surplis du porte-croix, la chemise du fossoyeur, les bonnets et les mouchoirs des femmes ainsi que le chien blanc tacheté de noir au premier plan.
Le satin bleuté du drap mortuaire, qui n'est pas noir ou violet comme le veut la tradition, est une nuance particulière. Courbet a utilisé ce drap de satin blanc pour « rattraper » un déséquilibre majeur dans la toile entre les blancs minoritaires et les noirs qui dominaient.
La palette de couleur
Outre le noir et le blanc, des touches de couleurs vives ponctuent la toile. Le rouge vermillon des bedeaux et des enfants de chœur, Le jaune cuivré du vase du crucifix (le « vase » est la boule inférieure du support du crucifix), le vert olive de la blouse sur laquelle le fossoyeur est agenouillé, les bas bleus, la culotte verte, la redingote grise et le gilet brun du révolutionnaire forment une « phrase colorée » qui traverse la toile et contraste avec le triste évènement qu'est l'enterrement.
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SAMEDI 13 JANVIER 2024 (Billet 1 / 3)
UN CHALET A GSTAAD
Nous sommes allés voir cette pièce au Théâtre des Nouveautés (24, Bld Poissonnière dans le IXe) mercredi soir. C’était le cadeau de Noël de nos neveux Maïlys et Jérôme.
Elle a eu tellement de succès qu’ont été programmées 50 représentations supplémentaires. Nous ne vous donnons aucune autre précision, elles affichent toutes complet.
Nous étions au premier rang Corbeille, face à la scène, les meilleures places de ce petit théâtre que nous ne connaissions pas du tout.
Evidemment la salle était pliée en deux. Tout le monde a beaucoup ri. Dans le contexte actuel, ça peut faire beaucoup de bien !...
Les photos ci-dessous ont été envoyées à nos neveux dès le baisser de rideau, avec bien sûr tous nos remerciements.
NB Nous ne serions jamais sortis ce jour-là s’il n’y avait pas eu ces places réservées. Il faisait à Paris un froid de gueux (-2, ressenti -4 degrés !). Arrivés un peu en avance, nous avons pris un délicieux chocolat viennois, à 2 pas du théâtre, au « Brebant » (Métro : « Grands Boulevards ») Quand nous en aurons l’occasion, nous retournerons dans cette Brasserie dont la Carte et le décor nous ont plu. A noter que les serveurs sont habillés en tenue traditionnelle de serveur… on aime bien, cela fait tout de suite très « brasserie chic parisienne » !
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UN CHALET A GSTAAD
Une pièce écrite et mise en scène par Josiane Balasko. Avec Josiane Balasko, Armelle, Philippe Uchan, Stéphan Wojtowicz, Justine Le Pottier et George Aguilar. Décors Stéfanie Jarre
Le pitch
Quelques années après avoir enfilé les chaussures de ski de Nathalie Morin dans « Les Bronzés font du ski », Josiane Balasko reprend le chemin de la montagne avec sa nouvelle pièce hilarante « Un chalet à Gstaad » !
Françoise (Josiane Balasko) et Jean-Jacques Lombard, très riches exilés fiscaux dont la fortune repose sur les inventions du mari, s’apprêtent à recevoir un couple d’amis, Alicia et Grégoire Lagarde. Lui est un industriel fils à papa, Alicia est une aristocrate richissime et bête à manger du foin. Tout pourrait bien se passer, on est entre gens du monde (même si ce n’est pas forcément le même) si Alicia ne s’était entichée d’un coach spirituel, gourou sur les bords, qui les accompagne au dîner. Et forcément, le vernis va finir par craquer, surtout lorsque le gourou va leur annoncer le pire : leur fortune est menacée... et leur « pognon de dingue » pourrait bien partir en fumée.
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Tutetatouhoù, toi, toutou ?
La semaine dernière, je m'adonnais à un de mes grands plaisirs, aussi innocent que sans cesse renouvelé : m'attabler à une terrasse de café et regarder la foule qui va et vient. C'était le soir et, après les pluies de la journée, il faisait doux. L'air avait l'air d'avoir l'air, et le temps avait le temps d'avoir du temps : on sentait cette foule –touristes et autochtones mélangés-- heureuse d'être là, de se promener, de profiter d'un agréable moment d'insouciance et d'un joli crépuscule, dans les déluges actuels. Pourquoi ai-je soudain eu une impression que tout n'était pas exactement à sa place ?
Un petit coup d'introspection plus loin (on n'est pas né ''intello'' pour rien ! Cette démangeaison-là ne vous quitte jamais !), je prenais conscience d'une différence fondamentale entre les hommes et les femmes qui passaient devant moi (NDLR : vous me direz qu'il y a longtemps que cette différence est connue, multiple, incontournable et ''de définition'', et qu'il faut la bêtise insondable de progressistes marqués à gauche pour la remettre vainement en question et croire qu'on peut circuler sans graves conséquences d'un bord à l'autre…) : les femmes étaient joliment habillées, soignées, et élégantes (souvent)... alors que les hommes étaient, en gros, mal rasés, négligés, et dans un uniforme ''tee-shirt / jeans / baskets'' du plus mauvais goût.
Persistant dans ma quête, j'ai ensuite remarqué que ces derniers (les hommes) avaient procédé à une inversion des normes : ils se rasent la tête ''au double zéro'' et se laissent pousser des barbes denses, dans une inversion totale de la fonction capillaire traditionnelle. Voir passer un individu au visage rasé, avec sa toison vers le haut de la tête, au bon endroit et bien à sa place, se compare aux chances de gagner à la loterie nationale : la norme à la mode semble être d'arborer fièrement un crâne luisant et une barbe foisonnante (normalement revendiquée par des djihadistes fanatiques, ennemis de toute humanité !) . Bon, me suis-je dit dans un rare accès d'indulgence, ils font ça pour se singulariser : quand on n'a pas de personnalité, on essaye de s'en fabriquer une, fût elle à l'envers et moche !
Mais là où le bat devrait blesser ces pauvres gens, c'est que cette manière de se distinguer se confond avec ''être un clone de tous les autres''... ce qu'ils sont : au prétexte de ne pas vouloir être ''comme tout le monde'', ils se fondent dans un modèle unique (et assez laid, n'hésitons pas à le répéter !) qui les fait ressembler à l'affreux et très antipathique Philippe Etchebest –qui est peut-être Etché (= une ferme, en basque) mais sûrement pas ''best'' ! En fait de modèle esthétique, c'est un cauchemar : l'archétype du mec qui tient à ce qu'on le prenne pour un djihadiste en recherche de sale coup à perpétrer et un ennemi avéré de la civilisation occidentale ! Si j'osais... ''Etcheworst'' serait plus approprié !
Mais s'il n'y avait que ça ! A partir du moment où on se met à chercher, on trouve, à tous les coups. Et ce que j'ai trouvé –ou, plus exactement, dont j'ai pris conscience, car je le voyais sans le voir— c'est que la France s'est soudain convertie à une nouvelle religion : le tatouage ! C'est cher, c'est laid, ça ne correspond à aucun embellissement, au contraire (NDLR : vous verrez à quoi ressembleront ces horreurs lorsque, l'âge venant, les chairs vont se détendre, se plisser, et s'affaisser, inexorablement ! Je préfère ne pas y penser ! Pauvres gens !), mais il est obligatoire, nécessaire, incontournable de se faire tatouer. De la petite branche de cannabis sur une cheville jusqu'à des décors de théâtre qui remplacent la peau (ce qui est un vrai manque de... peau !), on voit passer des éléphants, des boas, un léopard de temps en temps, des pagodes souvent, des frondaisons... Je n'arrive pas à croire que les victimes décérébrées de cette exposition universelle de laideur et de vulgarité s'imaginent que ''ça fait branché'' ou, pire encore, que ça leur donne l'air intelligent ! Les pauvres !
Comme à chaque fois que la bêtise a pris le pas sur l'intelligence, toute mode absurde disparaît un jour et laisse ses ''fans''... fanés. Qui, par exemple, se souvient encore d'avoir sacrifié des mois et des années de son existence à fabriquer des ''scoubidous'' ? Or un jour viendra, à n'en pas douter (et plus vite qu'on ne le croit chez les tatoués), où ressembler à une forêt vierge ou être orné (?) de têtes de mort fera aux vivants de ce temps-là la même impression que ferait aujourd'hui l'uniforme ridicule (col interminable, pantalon pattes d'eph, et rouflaquettes) que nous considérions ''normal'' dans les années '70... sauf qu'il est plus facile de jeter un atroce pantalon ''pattes d'eph'' ou une chemise à col démesuré que de changer de peau : la mue, c'est un truc pour les serpents ! (NB : Macron, seul contre tous, a sauvé ses rouflaquettes. Comment ? Pourquoi ? Mystères !)
Ce n'est pas que je nourrisse quelque agressivité que ce soit contre les tatouages, les tatoueurs et les tatoués, et même les tatous ! En fait, je m'en fiche : chacun est libre de s'enlaidir sans limites et de se créer des problèmes insolubles pour plus tard. Mais ce qui pose problème, c'est qu'il est impossible à un humain classique d'aller où que ce soit sans être isolé dans un monde peuplé d'une nouvelle race qui n'a plus rien d'humain : l'homme, disait-on jadis, est ''à l'image de Dieu''. Et franchement, vous imaginez possible que Dieu se ballade avec un cocotier sur l'épaule droite, la reproduction d'un lupanar des années Toulouse-Lautrec sur le dos, une mousmé à gauche, et divers félidés un peu partout ? Mais ''la folie étant sortie des asiles'', tout le monde, ou peu s'en faut, est tatoué. Tatoué, l'agent de police, tatoués la caissière, la boulangère et le pharmacien. Et tatoués, souvent, le médecin, le notaire ou votre député, pour peu qu'il soit macronien ou de gauche (c'est tout un, sous deux déguisements !).
Une autre chose qui me dérange (un peu), c'est que toutes ces pauvres victimes de la bêtise du temps disent faire ça... ''pour être originales'' : dans ce temps où aucun mot n'a plus le moindre sens, ''être original'' ne semble plus vouloir dire que : ''faire comme tout le monde'', suivre les suivistes, bêler en même temps que le reste du troupeau qui, en plus, commence à comprendre que tous ces signes de décadence ne peuvent le mener qu'à l'abattoir...
''Je me souviens d'un temps'' chantait Aznavour. C'est sans doute ça qu'on appelle ''la vieillesse'' ! Ou ''la nostalgie'' ! Question éternelle : ''C'était mieux, avant ?'' --Je n'ose pas donner ma réponse : je vais encore me faire mal voir ! Mais ce qui est sûr, c'est que avant, on ''existait'', plus et mieux !
H-Cl
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Pour une lampée de vin langue
Chez la famille Chaume // Domaine Chaume-Arnaud // Vinsobres // Côte-du-Rhône
« Un point d’écart est-ce désaccord ? » J'ai pondu cette phrase pour Synapses en écho à la défaite de l’équipe bleue contre l’équipe verte en quart de finale de la coupe du monde de rugby. Elle me revient après que Valérie Chaume m’a fait remarquer qu’en traversant la rivière pour gagner le domaine Chaume-Arnaud j’ai changé de département, passant du Vaucluse à la Drôme, mais aussi de région (Provence-Alpes-Côte -d’Azur / Auvergne-Rhône-Alpes) et, surtout, que d’une rive à l’autre le cours d’eau a changé de nom : l’Aygues est devenu l’Eygues. « Une lettre d’écort est-ce désaccard ? »
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« Comprendre qu’il y a un espace infini entre chaque atome de langage » écrit Valère Novarina dans une langue inconnue un merveilleux petit livre dans lequel il réfléchit sur le patois savoyard, ses multiples variations d’un hameau à l’autre, d’une vallée à l’autre ; chatoiement dans lequel il voit « un lien mystérieux ressenti entre le renouvellement des plis du paysage et celui des mots, un sentiment du paysage parlé ». Non loin, se trouve la mosaïque des paysages bus : toutes ces topographies, ces géologies, tous ces écosystèmes, ces microbiotes, qui depuis mon départ, se sont exprimés en moi par le canal du vin. Comprendre que chaque vin est le signal d’une possibilité de langage.
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Avant la présentation de Rhapsode je propose aux vignerons qui m’accueillent de partager un verre avec l’assistance. C’est à partir de cet ancrage liquide que la performance va se dire et s’entendre, qu’elle va prendre sa teinte unique, se distinguer des précédentes, des prochaines. Il arrive cependant que les circonstances en décident autrement et qu’à la place d’une parcelle locale ce soit le coteau d’un ami ou la combe d’une consœur qui soit servie. Et j’apprécie aussi cette curiosité et ce goût pour la manière des autres — « et dans manière il y a main » note Valère —, la joie de s’échanger des bouteilles que je constate souvent dans le petit monde du vin nature. Ce soir c’est Philippe, mari de Valérie et père de leur trois fils Thibaud, Raphaël et Samuel, qui est à la manœuvre. Le premier verre est un taillis fleuri blanc du Mas de Libian, le deuxième un col oiselé rouge du domaine Gramenon. L’accostage à Chaume-Arnaud se fait au troisième verre dans une trouée violette en cœur de ripisylve. La performance peut commencer.
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Je bois donc une goulée de Vinsobres : Grenache, Syrah, Cinsault, Mourvèdre, Counoise. « Chaque langue s’ouvre comme un puits de mémoire » écrit le dramaturge suisse. Une généalogie se diffuse en moi, se mêlant à celle d’Orphée. Orphée devenant progressivement vigneron. Vigneron par son dire. Au loin, dans la nuit, on devine la silhouette tourmentée des Baronnies. La famille de Valérie est paysanne, protestante et communiste. Au départ c’est elle qui se lance, sans aucune aide de ses parents, à vendre des abricots au bord des routes puis, au sortir du Lycée agricole où elle a rencontré Philippe, se risque à la vigne, au bio, à la biodynamie. Son pari : produire des vins nature toujours « loyaux et marchands » tout en maintenant une production diversifiée de fruits et d’olives Nyons. Philippe, lui, est athée et rugbyman. Formé au "machinisme agricole cultures tropicales équatoriales et méditerranéennes", on lui propose de partir Outre-mer. Il reste, pour Valérie. Ils feront grandir le domaine ensemble, 60 hectares aujourd’hui « tout en fermage : la propriété ne m’intéresse pas » a précisé Valérie. Ils donneront naissance à trois enfants. Deux rugbymen professionnels revenus travailler au domaine, et un agronome, en partance pour la Côte d’Ivoire. Caractère et solidarité. Dans et au-delà l’humain. J’ai donc bu une goulée de Vinsobres.
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Puis j’ai mélangé les verres, les lettres et la ponctuation, j’ai joué de la métaphorminx et nous avons parlé ma « langue à un » selon l’expression de Valère. Puis, sans penser au lendemain, j’ai rebattu les verres, les lettres et la ponctuation.
#Valère Novarina#Domaine Chaume-Arnaud#Vinsobres#Rugby#Nyons#Biodynamie#Une langue inconnue#Mas de Libian#Domaine Gramenon
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Je me présente, Philippe, blanc au pelage doux mais pas trop non plus, je ne saurais pas dire pourquoi. J’aime bien faire ma toilette mais pas trop non plus comme les autres chats. J’aime traîner dehors mais pas trop non plus, je préfère dormir sur les genoux des humains qui me prêtent leur toit. Je porte fièrement le collier rouge que mon ancien maître m’a accroché autour du cou, mes nouveaux propriétaires me l’ont laissé au cas où je me perdrais car j’ai autant de sens d’orientation qu’une vache. Je ne sais pas d’où sort cette rumeur que les vaches ne sont pas capables de se repérer mais je n’ai jamais osé m’approcher de l’une d’entre elles du champ d’à côté pour demander si c’est la vérité vraie.
Tout est bien, j’ai à manger, une grande maison servant de terrain d’exploration même si j’ai compris qu’il ne faut pas que je me rends dans certaines pièces sinon je me fais gronder ou porter jusqu’à mon coussin. J’ai de nombreux endroits pour dormir, les genoux de l’humain le plus âgé et du plus jeune, les autres ne savent pas vraiment me supporter sans se gratter énormément les bras. Aussi on m’ouvre la porte lorsque j’ai une envie pressante ou une soudaine envie de me détendre le bout des pattes sur un arbre, je me sens comme un roi. Mais ce week-end quelle horreur ! J’ai entendu des cris stridents à m’en tordre les oreilles ! Il y avait des bruits de pas partout, je ne les avais pas vu au départ ces monstres. Ils sont plus petits que les humains de ma maison et à peine plus grands que moi. Ils se trémoussent, me miaulent dessus dans une langue incompréhensible et en veulent à mon pelage doux mais pas trop non plus. Ils me courent après lorsque je me trouve dans leur champ de vision, je ne peux plus venir manger tranquillement.
Même si les humains de mon toit leur ont appris à ne pas me courser ou à tirer mes précieux poils, je préfère plutôt rester dehors ou sur le bord de la fenêtre, j’y suis plus tranquille pour méditer et roupiller.
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Ligne "Libre"
Christian Dior Haute Couture Collection Spring/Summer 1957. Simone d'Aillencourt wears a navy blue woolen suit, blouse and wide-brimmed hat in a paler blue.
Christian Dior Collection Haute Couture Printemps/Été 1957. Simone d'Aillencourt porte un tailleur de lainage bleu marine, blouse et chapeau à larges bords d'un bleu plus pâle.
Photo Philippe Pottier
#haute couture#fashion 50s#1957#christian dior#spring/summer#printemps/été#simone d'aillencourt#philippe pottier#wool suit#tailleur en laine#ligne libre
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DVDvision - La Collection Épisode 6
L'histoire de DVDvision vol.1 continue ! Et voici l'épisode 6 de la série, quand un journaliste a chuté à travers une lucarne, et le magazine a failli complètement s'arrêter !
Numéro 6 - Septembre 2000 -
100 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, François Jamin, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez, Sandy Gillet, Nicolas Saada, Nicolas Rioult, Luc Vigoureux.
Sommaire : Spielberg en DVD, Le 13e guerrier version intégrale ?, Dario Argento, Laurent Bouzereau, Chapeau Melon et Bottes de Cuir.
DVD : Le court métrage Daena.
Notes : Droit dans le mur ! Ce numéro a bien failli être le dernier. Pendant sa conception nous perdons le maquettiste Philippe Lambert, qui craque et décide de partir faire de la presse ailleurs, mais au dernier moment, quand il n'est quasiment plus possible de le remplacer ! Alors que reprend le cercle infernal des candidats à la direction artistique, le temps passe, et passe, et passe encore... jusqu'à ce qu'il ne reste plus que 4 jours avant de rendre le produit fini, sous peine de rater la date de parution. Ce qui n'est pas envisageable, puisque le DVD, qui est un spécial Clint Eastwood, et qui comprend un court-métrage en 5.1, Daena, est déjà pressé !
La jaquette du DVD spécial Clint !
En l'absence de tout candidat sérieux à la maquette, nous décidons donc de nous adresser à une agence intérimaire, qui relève le défi de réaliser l'intégralité de la maquette en 3 jours, secrétariat de rédaction compris. Je vous laisse imaginer l'enfer et la pression...
Tout ça en est trop pour le pauvre Leonard Haddad, qui au cours d'une pause-cigarette, tombe par inadvertance à travers une lucarne en verre, et va s'écraser trois mètres plus bas, détruisant une partie du matériel informatique et mobilier de la société qui a accepté de nous aider ! Un accident qui déclenche la fureur du dirigeant, qui entretenait un espoir de travailler régulièrement sur le magazine, espoir qu'il voit réduit en autant de miettes que les débris de la vitre à travers Leonard est passé. Heureusement, l'aventureux et indestructible journaliste n'en tirera que quelques contusions et égratignures...
Cette série d'événements, et le stress qu'ils entrainent, (même si en y repensant des années après, c'est très drôle !), m'emmènent au bord du découragement. Il faut dire que l'année a été (trop) riche en rebondissements côté coulisses. L'éditorial parait arrogant, mais ce n'est que du flan. En dehors des ventes, plutôt bonnes, le manque de structure du magazine en fait une revue en perpétuel sursis, surtout sans personne de stable à la maquette, et ceci au bout d'un an d'existence !
Pourtant, à y regarder de près, le numéro n'a pas a rougir des précédents, bien au contraire : il marque le premier gros papier de Benjamin Rozovas qui, même s'il collaborait au magazine depuis le début, n'avait pas eu l'occasion de se faire la plume sur un dossier aussi intéressant que celui qu'il livre sur la version initiale du 13e Guerrier de John Mc Tiernan. Un dossier qui remportera l'adhésion des lecteurs, et justifiera son embauche à temps plein dans le journal plus tard. Rafik Djoumi s'éclate dans un dossier Spielberg en béton (Le Seigneur des anneaux n'était pas encore sorti). Stéphane Lacombe commence de son côté à vraiment poser les bases de la rubrique Zone Interdite, qui deviendra rapidement l'une des meilleures du magazine, avec un parti pris des cinématographies bis et cultes poussé à l'extrême.
News du site DVDfurax sur notre stand au Mondial 2000. On peut voir sur la photo derrière le stand à gauche Catherine Lucet, la monteuse du mag, et à droite, Christelle Gibout, la responsable éditoriale du DVD.
Suite au bouclage, vu les difficultés, je songe à tout arrêter, mais plusieurs événements vont me faire changer d'avis. Tout d'abord lors de notre séjour au Salon du Son et de l'Image 2000, en septembre, notre stand est littéralement assailli par une horde de fans déchainés, qui nous arrachent des rayons tous les anciens numéros, et nous demandent de continuer sans rien changer. Ensuite, une grande partie des rédacteurs des autres journaux ayant un stand au Salon, qui passent à un moment ou à un autre, (discrètement) nous demander si on embauche ! Et puis finalement la direction de Seven Sept, qui à l'heure du bilan, me convoque. Vu tout ce qui s'est passé, je m'attend à ce qu'ils m'annoncent qu'ils arrêtent tout. Mais ils vont me dire... non pas qu'ils ont décidé d'arrêter, mais au contraire, que nous allons quitter notre couloir avec trois bureaux, déménager d'un étage, pour des locaux à nous tous seuls, et embaucher de nouveaux collaborateurs !
Et enfin je ne le sait pas encore, mais j'ai déjà rencontré LA future directrice artistique du magazine, Sandra Abreu, qui m'a été présentée par Karine Poirier. Embauchée au départ pour travailler sur l'habillage graphique et les menus du DVD, elle va très rapidement se retrouver aux commandes de la section maquette du magazine, et jusqu'au bout de l'aventure. Mais ceci est une autre histoire, celle du prochain numéro...
La citation de ce numéro : "Je sais pas ce qui m'a pris, j'ai mis le pied sur la vitre, et je suis passé à travers" (Leonard Haddad - aout 2000)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
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Guide Ultime sur Genève
1. Genève : Une Ville Internationale
Genève, nichée entre le Lac Léman et les montagnes des Alpes et du Jura, est un véritable carrefour européen et mondial. Grâce à son statut de cité internationale, elle incarne à la fois l’excellence suisse, l’innovation et l’ouverture au monde.
Langues parlées : Français (officiel), anglais et allemand largement utilisés.
Population : Plus de 40% d'étrangers, témoignant de son multiculturalisme.
Économie florissante : Une place forte pour la finance, les organisations internationales et l’industrie horlogère.
Un fait marquant : Genève est souvent classée parmi les meilleures villes au monde pour la qualité de vie, avec un équilibre harmonieux entre urbanisme et nature.
2. Vie Sociale à Genève
A. Quartiers dynamiques
Chaque quartier de Genève a sa propre atmosphère :
La Vieille-Ville : Le cœur historique avec ses rues pavées, la Cathédrale Saint-Pierre et ses charmantes boutiques d'antiquaires.
Les Pâquis : Quartier cosmopolite, vibrant et multiculturel avec des restaurants du monde entier et les emblématiques Bains des Pâquis.
Carouge : Ambiance bohème avec ses ruelles pleines de charme, ses galeries d’art et ses marchés animés.
Eaux-Vives : Quartier chic au bord du lac, parfait pour des promenades et des moments de détente dans des parcs verdoyants.
Plainpalais : Lieu prisé par les jeunes, célèbre pour son marché aux puces, ses cafés étudiants et son skatepark.
B. Sorties et loisirs
Bains des Pâquis : Été comme hiver, c’est l’endroit idéal pour se baigner, déguster une fondue ou profiter du sauna.
Croisières sur le lac : Une activité incontournable pour admirer les paysages genevois depuis l’eau.
Vie nocturne : Clubs, bars à cocktails et lieux festifs comme :
La Gravière (musique alternative)
Les Brasseurs (brasserie artisanale)
Le Baroque Club (haut de gamme).
3. Vie Culturelle : Entre Histoire et Modernité
A. Musées et institutions culturelles
Musée d’Art et d’Histoire : Une vaste collection allant des objets archéologiques aux chefs-d’œuvre artistiques.
Musée International de la Croix-Rouge : Expositions interactives sur l’humanitaire et l’impact de Genève dans ce domaine.
CERN : Visites scientifiques pour découvrir le LHC, le plus grand accélérateur de particules au monde.
Musée Patek Philippe : Le savoir-faire de l’horlogerie suisse dans un cadre unique.
B. Festivals et événements
Fêtes de Genève : En août, la ville s’anime avec des feux d’artifice spectaculaires, des concerts et des activités pour toute la famille.
Fête de l’Escalade (décembre) : Tradition genevoise célébrant la défense de la ville en 1602, avec des défilés historiques.
Antigel Festival : En hiver, un festival multi-arts mêlant musique, danse et performances dans des lieux atypiques.
C. Architecture et histoire
La Vieille-Ville : Baladez-vous dans les ruelles chargées d’histoire et visitez la Cathédrale Saint-Pierre, célèbre pour son panorama depuis sa tour.
Le Mur des Réformateurs : Situé dans le Parc des Bastions, il rend hommage aux grandes figures de la Réforme.
L’Horloge Fleurie : Symbole de la tradition horlogère genevoise, cette horloge florale est incontournable au Jardin Anglais.
4. Vie Économique et Professionnelle
A. Centre financier mondial
Genève est reconnue comme un centre financier de premier ordre :
Banques privées : Un savoir-faire unique dans la gestion de fortune.
Place forte du trading de matières premières : Notamment pour le pétrole, les métaux et les produits agricoles.
Start-ups innovantes : Genève est aussi un pôle pour les technologies médicales, l’IA et les fintechs.
B. Organisations internationales
Genève accueille plus de 200 organisations internationales, notamment :
L’ONU : Siège européen avec le Palais des Nations.
La Croix-Rouge : Fondée à Genève en 1863.
L’OMS et OMC : Acteurs clés de la santé et du commerce mondiaux.
5. Activités de Plein Air
A. Lac Léman
Promenades en bateau : Départs réguliers pour découvrir les rives du lac.
Activités nautiques : Voile, paddle, aviron ou ski nautique.
Plages :
Plage des Eaux-Vives : Nouvelle plage urbaine.
Bains des Pâquis : Un lieu emblématique.
B. Randonnées et ski
Mont Salève : À seulement 15 minutes en téléphérique pour de magnifiques randonnées et vues panoramiques.
Accès rapide aux Alpes : En hiver, des stations comme Chamonix ou Verbier sont parfaites pour le ski et le snowboard.
C. Parcs et nature
Genève compte plus de 310 hectares de parcs, offrant un écrin de verdure en pleine ville :
Parc La Grange : Roseraie somptueuse et espaces de détente.
Jardin Botanique : Une richesse végétale exceptionnelle avec des milliers d’espèces.
Parc des Bastions : Idéal pour une balade au calme ou une partie d’échecs géants.
6. Gastronomie Genevoise
A. Spécialités culinaires
Fondue suisse : À base de fromages locaux comme le Gruyère et la Vacherin.
Filets de perche : Spécialité emblématique du Lac Léman.
Longeole : Saucisse à base de porc, typique de la région.
Chocolat : Genève est réputée pour ses chocolatiers artisanaux comme Auer et Teuscher.
B. Restaurants recommandés
Les Armures : Fondue dans un cadre historique.
Café du Centre : Fruits de mer et plats traditionnels.
Le Chat-Botté : Restaurant gastronomique étoilé au cœur du Beau-Rivage.
7. Hébergements : Du Luxe aux Solutions Accessibles
Hôtels 5 étoiles :
Hôtel des Bergues (Four Seasons) : Luxe, élégance et vue imprenable.
La Réserve Genève : Avec spa et villas privées.
Boutique hôtels : Des options plus intimistes avec un charme unique.
Locations Airbnb : Parfait pour un séjour en famille ou entre amis.
8. Mobilité : Se Déplacer à Genève
Transports publics : Tramways, bus et bateaux Mouettes facilitent les déplacements.
Vélo et mobilité douce : Les vélos en libre-service Genève Roule sont très populaires.
Aéroport International : À seulement 15 minutes du centre-ville, avec des connexions mondiales.
Train : Genève est reliée aux principales villes suisses et européennes par le réseau CFF.
9. Conclusion
Genève est une ville aux multiples visages, où se mêlent élégance, modernité et nature. Que ce soit pour ses événements culturels, son patrimoine historique, ses activités de plein air, ou son rôle économique majeur, Genève offre une expérience inégalée à ses visiteurs et résidents. C’est un lieu unique où chaque instant devient mémorable, que vous veniez pour affaires, pour le plaisir ou pour y vivre.
Genève : Là où l’Art de Vivre rencontre l’Excellence Suisse.
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