#Palestiniens
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jloisse · 1 year ago
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Free Palestine đŸ‡”đŸ‡žđŸ‡”đŸ‡žđŸ‡”đŸ‡ž
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the-falling-star · 1 month ago
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Hopefully it will be a happy New Year for those who are suffering daily from situations we don't even realize.
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actu-alite · 3 months ago
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abridurif · 5 months ago
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À Beyrouth, en septembre 1982, des milices chrĂ©tiennes libanaises, massacrent avec la complicitĂ© de l’armĂ©e israĂ©lienne des centaines de femmes et d’enfants palestiniens dans les camps de rĂ©fugiĂ©s de Sabra et Chatila, au cours d’une prĂ©tendue chasse aux terroristes. Jean Genet, ĂągĂ© de 72 ans, est le premier Occidental Ă  pĂ©nĂ©trer dans le camp aprĂšs l’hĂ©catombe. Si son soutien Ă  la cause palestinienne Ă©tait fĂ©rocement ancrĂ© dans son cƓur depuis dĂ©jĂ  quinze ans, ce qu’il dĂ©couvre alors le convainc de publier un texte radical par lequel il sublime la passion qui le consuma toute sa vie durant : l’amour des damnĂ©s.
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primepaginequotidiani · 11 hours ago
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PRIMA PAGINA La Presse di Oggi lunedĂŹ, 03 febbraio 2025
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agentfascinateur · 5 months ago
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Bravo Dominique de Villepin 💜
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soulthom · 8 months ago
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Qu’est-ce que l’antisionnisme ? (*)
Finalement une tactique dont le but est de prĂ©venir que les juifs du monde entier puissent s’engager par rapport Ă  la situation palestinienne, donc une maniĂšre de les dĂ©s-humaniser, et exproprier de ce qui les concerne au premier chef (bien sĂ»r on mettra toujours en avant des juifs « d’exception » qui se rĂ©clament de l’antisionnisme pour contredire la rĂšgle
). On voit comment cela bĂ©nĂ©ficie au gouvernement israĂ©lien aujourd’hui, lui donnant une justification en or (s’appuyant sur un vague « complot international antisĂ©mite  »), et comment le but de l’ « antisionnisme » n’est nullement de rĂ©ellement modifier la situation en faveur des palestiniens (**), mais plutĂŽt d’utiliser cette cause pour dĂ©montrer que « c’est les juifs les mĂ©chants, on vous l’avait bien dit », sorte de revanche historique en plus de divisionnisme. La gauche n’existe plus du tout, elle a fait un mĂ©nage dĂ©finitif dans ses rangs sur de longues annĂ©es pour finir par se nourrir de tout ce qui la nie en l’affirmant, et s’est enfin dĂ©barrassĂ©e de tout ce qui pouvait entraver sa dĂ©magogie et le mensonge qu’elle reprĂ©sente.
De plus l’implicite de l’antisionnisme (mais qu’il ne faut jamais avouer, au point il faut toujours mĂȘler Ă  cette maniĂšre d’ĂȘtre anti-juif des partis, pensĂ©es « de gauche » dans la configuration actuelle. Pourquoi ? Parce que c’est possible, pardi !) est que sans cette situation nous vivrions dans un monde acceptable, « normalement anormal » ce qui est Ă©videmment risible.
(*) Nous acceptons en premier lieu que nous pointons là du doigt avant tout ceux qui organisent cette comédie, entraßnant dans cette aventure tout un tas de naïfs plus ou moins irréfléchis ou peu documentés dans leur sillage.
(**) Alors que seule l’activitĂ© mondiale multiforme des forces productives est Ă  mĂȘme d’avoir un impact positif sur bon nombre de conflits de types nationaux, les antisionnistes « de gauche » posent implicitement comme prĂ©alable Ă  un tel mouvement un « rĂšglement » de cette question, maniĂšre subtile de prĂ©venir une telle mobilisation et de distraire la classe ouvriĂšre.
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almanach-international · 9 months ago
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13 mai : IsraĂ«l compte ses morts et fĂȘte son indĂ©pendance en pleine crise existentielle
Chaque annĂ©e, le 5 lyar, soit cette annĂ©e le 14 mai, IsraĂ«l cĂ©lĂšbre sa fĂȘte nationale en souvenir de sa proclamation d’indĂ©pendance, le 14 mai 1948. Comme les jours du calendrier hĂ©breu commencent et se terminent au coucher du soleil, la cĂ©lĂ©bration du Jour de l’IndĂ©pendance d’IsraĂ«l commence la veille dans le calendrier civil, autrement dit, les festivitĂ©s dĂ©butent ce lundi 13 mai au soir.
Cependant, le Jour de l'IndĂ©pendance (Yom HaÊżatzmaout, Ś™Ś•Ś Ś”ŚąŚŠŚžŚŚ•ŚȘ) est toujours prĂ©cĂ©dĂ© du Jour du souvenir (Yom haZikaron, Ś™Ś•Ś Ś”Ś–Ś›ŚšŚ•ŚŸ), un jour de commĂ©moration solennel rendant hommage aux soldats tombĂ©s au combat et aux victimes civiles du terrorisme. Cette commĂ©moration a commencĂ© ce dimanche 12 mai au coucher du soleil.
À 19h, conformĂ©ment Ă  la loi de 1963 qui a formalisĂ© le rituel, les entreprises de tout le pays ferment. À 20h, une premiĂšre sirĂšne, d'une durĂ©e d'une minute, retentit dans tout IsraĂ«l et la cĂ©rĂ©monie nationale commence sur l’esplanade du Mur occidental (mur des lamentations) Ă  JĂ©rusalem, en prĂ©sence du prĂ©sident Isaac Herzog, du ministre de la DĂ©fense Yoav Gallant et du chef d'Ă©tat-major de Tsahal, le lieutenant-gĂ©nĂ©ral Herzi Halevi. À21h15, la Knesset organise un Ă©vĂ©nement spĂ©cial Ă  la mĂ©moire des morts, en prĂ©sence du Premier ministre Benjamin Netanyahou, du prĂ©sident de la Knesset, Amir Ohana, et du prĂ©sident par intĂ©rim de la Cour suprĂȘme, Uzi Vogelman. 
On rend hommage aux morts de l’annĂ©e 2023, selon les chiffres du ministĂšre de la DĂ©fense, 711 membres des forces de sĂ©curitĂ© sont tombĂ©s dans le cadre du conflit israĂ©lo-Palestinien et 822 civils (dont 37 enfants) ont Ă©tĂ© assassinĂ©s au cours de la mĂȘme pĂ©riode, principalement lors du massacre du 7 octobre. Soit le pire bilan depuis qu’IsraĂ«l existe.
Selon les donnĂ©es officielles, 25 039 membres des forces de sĂ©curitĂ© sont tombĂ©s et 5 100 civils ont Ă©tĂ© tuĂ©s dans des attaques terroristes depuis 1860. Curieusement, les statistiques israĂ©liennes, publiĂ©es et rĂ©visĂ©es chaque annĂ©e, remonte Ă  une Ă©poque bien antĂ©rieure Ă  la fondation d’IsraĂ«l. Malheureusement dans leur aveuglement, les IsraĂ©liens font bien peu de cas des quelque 100 000 Palestiniens tuĂ©s depuis le 14 mai 1948. Leur Ă©vocation serait pourtant totalement lĂ©gitime, sachant que plus de 20% des citoyens israĂ©liens sont des Palestiniens. Mais leur mĂ©moire n’a aucune place dans le discours officiel.
Une cĂ©rĂ©monie du Jour du souvenir israĂ©lo-palestinien est tout de mĂȘme organisĂ©e par Combattants pour la Paix et le Cercle des Parents-Forum Familles. Faute d’un soutien des autoritĂ©s, elle est retransmise en ligne depuis plusieurs sites Ă  travers le pays, notamment JĂ©rusalem, Tel Aviv, HaĂŻfa et Acre. La cĂ©rĂ©monie dĂ©bute Ă  20h30, elle est diffusĂ©e sur les pages Facebook des organisations.
Ce lundi 13 mai, Ă  8h30, les noms des soldats tombĂ©s au combat sont lus au mont Herzl Ă  JĂ©rusalem. À 11h, une seconde sirĂšne, d'une durĂ©e de deux minutes, retentit dans tout IsraĂ«l. AussitĂŽt aprĂšs, des avions de l'armĂ©e de l'air survolent le mont Herzl, donnant le coup d'envoi de la cĂ©rĂ©monie principale, en prĂ©sence notamment de Herzog, Netanyahou, Ohana et Vogelman. À 13h, une cĂ©rĂ©monie commĂ©morative pour les victimes du terrorisme se dĂ©roule au mont Herzl. Elle se clĂŽturera Ă  19h30.
Mardi 14 mai, sera fĂȘtĂ© l’anniversaire du 14 mai 1948 (ou 5 Iyar 5708). Ce jour-lĂ , huit heures avant l'expiration du mandat britannique sur la Palestine, le futur Premier ministre David Ben Gourion dĂ©clara la crĂ©ation de l'État d'IsraĂ«l. Le nouvel État fut rapidement reconnu par de nombreux pays, dont les États-Unis et l’Union soviĂ©tique. Cependant, les États arabes environnants, considĂ©rant cette implantation juive comme un vestige de la colonisation britannique, ne l’ont pas reconnu et ont aussitĂŽt attaquĂ© l’État juif nouvellement formĂ©. Ainsi, le 15 mai 1948, dĂ©butait la premiĂšre guerre israĂ©lo-arabe, connue en IsraĂ«l sous le nom de Guerre d’indĂ©pendance car elle se soldat par une victoire des IsraĂ©liens.
Traditionnellement, les familles israĂ©liennes cĂ©lĂšbrent Yom Ha'atzmaut avec des barbecues et des pique-niques. Les gens dĂ©corent leurs balcons avec des drapeaux israĂ©liens et attachent de petits drapeaux aux vitres des voitures. Certains drapeaux restent hissĂ©s jusqu'Ă  la JournĂ©e de JĂ©rusalem cĂ©lĂ©brĂ©e le 28 Iyar. Mais cette annĂ©e, six mois aprĂšs les massacres du 7 octobre, l’ambiance n’est pas du tout Ă  la fĂȘte. Ce jour-lĂ , IsraĂ«l s’était rĂ©veillĂ© en dĂ©couvrant l’horreur de la tuerie de plusieurs centaines de civils, apprenait la nouvelle d’une centaine d’otages, dĂ©couvrait la dĂ©faillance des services de renseignement (au courant de la prĂ©paration d’une attaque, mais en sous-estimant l’ampleur), dĂ©plorait la dĂ©sorganisation de l’armĂ©e (qui a mis des heures Ă  intervenir pour neutraliser les terroristes), devait admettre que les murs n’apportent en rien la sĂ©curitĂ©, s’affligeait l’incurie de son gouvernement d’extrĂȘme droite, lequel a eu l’idĂ©e folle de participer au financement du Hamas et de l’encourager secrĂštement afin de pousser les Palestiniens Ă  la faute. Pensant, en rĂ©action, anĂ©antir toute vellĂ©itĂ© de revendication de peuple sans droit. Le drame du 7 octobre, repose sur le sordide jeu d’apprenti sorcier d’un premier ministre Ă©laborant des stratĂ©gies pour se maintenir au pouvoir le plus longtemps possible afin d’échapper Ă  la prison pour corruption, quitte Ă  mener son pays vers l’abĂźme.
Car, en ce 75e anniversaire d’IsraĂ«l, c’est bien l’existence mĂȘme d’IsraĂ«l qui, pour la premiĂšre fois, est questionnĂ©e si une solution dĂ©finitive n’est pas trouvĂ©e Ă  la question palestinienne. Les 35 000 morts (dont 12 300 enfants), peut-ĂȘtre 50 000 quand on fera vraiment le compte des victimes des bombes, des blessĂ©s qui n’ont pas survĂ©cu, des morts de malnutritions ou de manque de soin. L’horreur des bombardement sur Gaza a depuis longtemps occultĂ© celle du du 7 Octobre. Netanyahou, dĂ©cidant de bombarder une ville de deux millions d’habitants pour tuer quelques milliers de terroristes, a entrainĂ© son pays dans le piĂšge fatal, tendu par le Hamas. Face Ă  un tel massacre, dont le bilan est bien pire que celui de la Nakba, la communautĂ© internationale ne pourra plus ignorer la colonisation galopante des territoires occupĂ©s depuis 1967. Faute d’accepter de les lĂącher en totalitĂ©, IsraĂ«l, risque de tout perdre et de ne jamais fĂȘter son centenaire.
En dĂ©pit d’une belle prestation Ă  l’Eurovision, Ă  laquelle les Palestiniens n’ont jamais Ă©tĂ© invitĂ©s Ă  participer, l’ambiance de la journĂ©e de Yom Ha'atzmaut n’est vraiment pas celle de la fĂȘte. MĂȘme si le pays va s’efforcer de faire comme si

Un article de l'Almanach international des Ă©ditions BiblioMonde, 13 mai 2024
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teritelnirbenothing · 1 year ago
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« Nous Soudions les Portes des Palestiniens , les PiĂ©geant Ă  l’intĂ©rieur...
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improvisateur777 · 2 years ago
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Le courageux jusqu'au-boutiste !
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La résilience désigne avant tout la capacité à résister par tous les moyens à l'adversité et à l'injustice, comme celles que fait subir l'état d'apartheid d'Israël à des millions de palestiniens, qui sont au quotidien assassinés, réprimés et humiliés, tout en étant emmurés dans leur propre pays. 
(crédit photo, Mahmoud Hams, AFP)
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jloisse · 1 year ago
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Free Palestine đŸ‡”đŸ‡žđŸ‡”đŸ‡žđŸ‡”đŸ‡ž
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thebusylilbee · 26 days ago
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Bernard Henry Lévy qui balance sur France Culture ce matin qu'il n'a pas de problÚme avec la maniÚre dont Benjamin Netanyahu mÚne la "guerre" à Gaza... les démons vivent parmi nous
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actu-alite · 1 year ago
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nununiverse · 1 year ago
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Jeune Bédouin palestinien portant un fez ottoman.
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primepaginequotidiani · 11 hours ago
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PRIMA PAGINA La Presse di Oggi lunedĂŹ, 03 febbraio 2025
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soulthom · 1 year ago
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Réalité du Spectacle
Ordinairement le spectacle se veut une mise en scĂšne d’histoires, de la vie : elle n’y est que reprĂ©sentĂ©e et normalement les gentils n’y gagnent qu’un beau rĂŽle, tout comme les morts ne finissent pas vraiment au cimetiĂšre.
Mais le spectacle de la rĂ©alitĂ© constitue en fait une inversion de ce procĂ©dĂ©, qu’illustre par exemple le conflit israĂ©lo-palestinien de la maniĂšre suivante : l’organisation du Hamas par sa violence effective extrĂȘme veut signifier un emportement extrĂȘme pour la cause palestinienne, alors que si c’était lĂ  sa vĂ©ritable visĂ©e il ne s’y prendrait jamais comme cela. Autrement dit l’extrĂȘme de la violence tous azimuts est contradictoire en fait, et se fait spectacle Ă  l’opposĂ© de ce que serait une action de dĂ©fense rĂ©ellement « extrĂȘme » en faveur des palestiniens, qui passerait forcĂ©ment par des tentatives d’alliances avec certains israĂ©liens. De plus on sait (mais on dit peu) que Netanyahou a en fait aidĂ© le Hamas Ă  Ă©merger comme force politique principale « pro-palestinienne »  finalement la diffĂ©rence essentielle entre « gauche » et droite est dans la maniĂšre de prendre le spectacle de la rĂ©alitĂ© : les premiers auront tendance Ă  dire que si la façon de s’y prendre est condamnable (A) elle est nĂ©anmoins comprĂ©hensible (B) (c’est juste inacceptable d’aller « si loin » et il serait bon que la force principale « pro-palestienne » adopte des mĂ©thodes plus « ciblĂ©es » pour mieux dĂ©fendre sa « cause » - en fait le fondamentalisme islamique - comme s’il pouvait ĂȘtre question de cela), les seconds auront seulement tendance Ă  inverser les termes (B mais A, donc la cause palestinienne n’est soutenable qu’à partir du moment oĂč ses « reprĂ©sentants extrĂ©mistes » seront liquidĂ©s, parce que c’est eux qui constituent l’obstacle Ă  toute nĂ©gociation, prĂ©alable Ă  toute « solution », comme si on souhaitait en trouver une). Les « camps opposĂ©s » soutiennent la mĂȘme vision en gros, mais ont une « tendance »  contraire.
Le gouvernement israélien et son « opposant radical » spectaculaire marchent en fait contre tous les peuples de la région.
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