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Pablo Nouvelle - Vulnerability
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saga: Soumission & Domination 372
Noël 2015-2, l'annexe 1
24 au soir.
Nous sommes tous invités chez Emma. Pablo (frère d'Ernesto et son cuisinier) a demandé l'aide de Nathan. Comme ce dernier a commencé sa journée chez Julien afin d'honorer toutes les commandes de la boutique, il est un peu fatigué quand nous arrivons vers les 18h.
Pour faire plaisir à Emma nous sommes tous " habillés " c'est-à-dire costume cravate. Pour nos trois invités, j'ai tapé dans les placards de mes escorts pour trouver leurs tailles adéquates.
Duke est un peu troublé, pour lui c'est la première fois qu'il porte ce type de vêtement, plus habitué au style décontracté de la côte Ouest. Quand il s'aperçoit qu'il peut quand même bouger et que le tissu suit ses mouvements, ça va mieux.
Emma est ravie de parler Anglais. Mes amis s'étaient fait une tout autre idée de ma " mère " même si je leur avais dit qu'elle faisait encore très jeune !!
Diner délicieux bien sûr, Pablo et Nathan s'étant surpassés comme toujours. Nous aidons tous au service afin qu'ils ne passent pas tout leur temps en cuisine mais puissent être avec nous tous.
Au moment de partir, je reste avec Ernesto, PH et Ludovic sur place. Nathan rentre au Blockhaus fêter Noël avec ses deux amis
Nous passons les 3 heures qui suivent à faire l'amour à Emma. L'intensité est d'autant plus forte que notre séparation a été longue (je compte par notre passage rapide de mi-novembre). Nous investissons sa chambre avant de faire de même avec son corps. Elle est bouillante ! Nous n'avons pas fini de la déshabiller que ses tétons sont durs comme de la pierre. Le premier je pose ma main sur son sexe et je sens son clitoris dans le même état. J'arrache sa culotte en dentelle et plonge ma tête sous sa jupe. Mes trois comparses se charge de lui faire garder l'équilibre que l'aspiration dans ma bouche de ce petit appendice compromet.
Le sol se jonche de nos différents vêtements jusqu'à ce que, nus, nous nous pressions contre elle. Sa bouche, sa chatte et son oignon reçoivent la visite de nos sexes turgescents. Bien que glissant avec facilité dans ses trois trous, nos bites se trouvent bien serrées par ses muscles internes hypertoniques. Aux doubles pipes s'enchainent les prises de chatte par deux queues tout comme les doubles sodo. L'optimum est atteint alors que je la sodomise avec Ernesto (tous les deux couchés sur le dos, elle nous chevauche en se couchant dos sur mon torse pour dégager sa chatte. PH s'agenouille au-dessus du nombril d'Ernesto pour enfiler le vagin Emma. Il ne reste plus à Ludovic devenir se faire pomper pour que chacun trouve sa place.
Les mains sur les haches d'Emma je donne le tempo de cet enchevêtrement de corps. Ses cris de plaisir doivent traverser les murs. Les nôtres ne sont pas moins retenus. Heureusement que Pablo loge au-dessus des garages sinon il n'aurait pu tenir de nous entendre baiser pareillement.
Je suis le premier à venir. J'englue le gland d'Ernesto mais bientôt ses spermatozoïdes rejoignent les miens. Puis c'ets au tour d'Emma de partir en vrille. PH jouit de se faire serrer la queue par ses muscles vaginaux alors que Ludovic, à nous entendre tous, part à l'autre extrémité du corps supplicié de plaisir.
Désemboitage lent, nos queues encore excitées ne débandent pas rapidement. Sur le dos, deux de ses hommes de chaque côté, Emma nous remercie. C'est à ce moment-là que je remarque un nouvel aménagement : le plafond tapissé de glaces, réfléchissant son corps alanguis.
C'est Ernesto qui lui demande si esthétiquement notre dernière position sortait du lot des positions " classiques ". Réponse : " je n'ai pas vu grand-chose avec Ludovic qui me tenais la tête pour me défoncer la gorge ". Excuses de ce dernier, vite acceptées.
25 décembre :
Réveil difficile quelques heures plus tard. Douche glacée pour achever de retrouver nos esprits, petit déjeuner léger en prévision du repas de Noël au Blockhaus. On dévalise ma garde-robe locale puisque le dresscode est " casual ".
On arrive à la maison en même temps que Côme avec ses parents. C'est la première fois qu'ils viennent. Ils sont impressionnés par l'extérieur. Cette façade aveugle, juste percée d'étroites " meurtrières " verticales explique le surnom de la maison. Le fait qu'à droite mon acquisition reprenne le même type d'ouverture ainsi que le bâtiment de notre voisin de gauche (ce que je n'apprécie pas particulièrement même si elles sont disposées horizontalement !), renforce encore l'effet.
Nous entrons. J'explique l'usage des différents niveaux sans épiloguer sur celui de ma société. Ce n'est qu'en ouvrant la porte du monte-charge à l'étage de vie que je pense aux projections des " déjeuner sur l'herbe " joués par mes amis. Trop tard !
Alors qu'Enguerrand embrasse ses parents, je m'avance et m'aperçois que quelqu'un y avait pensé aussi et le mur ne reflète qu'une vue du golden gate de San Francisco depuis Télégraph Hill.
Il ne reste pas moins les deux cariatides aux hanches pudiquement recouvert de serviettes très étroites pour une fois. Heureusement la lumière en provenance de la piscine surplombant la cuisine attire leurs premiers regards.
Comme je m'étonne de ne pas voir de grande table, Samir exceptionnellement vêtus pour l'occasion (tout comme Ammed) m'explique que tout est installé sur la terrasse. Nous restons donc à ce niveau le temps que les derniers invités arrivent. Ils font connaissance avec les autres habitants de la maison. Côme leur avait déjà expliqué qu'ils n'y auraient qu'Emma et la mère de Max comme éléments féminin en sus de sa mère et, j'ai su plus tard, qu'il leur avait aussi demandé de ne pas trop poser de question sur qui était avec qui, ce qui leur éviterait de se faire des idées déplacées !
Les parents de Max arrivent enfin. Leur fils va les accueillir au rez-de-chaussée. Le père, qui était déjà venu pour suivre ma convalescence s'était chargé d'avertir sa femme. Malgré ça, je l'ai vue tourner la tête dans tous les sens dès sa sortie du monte-charge.
Les bouchons de champagne sautent et les verres se remplissent comme les petits fours arrivent. Les jeunes aident mes Hommes de service le tout dans une ambiance assez bruyante.
Pour les cadeaux nous sommes priés d'accéder à la terrasse, enfin !!
Pas de sapin décoré, ils m'ont bien eu ! Par contre je découvre que le mur mitoyen avec notre nouveau voisin a été abattu et que l'espace des deux cours a été redistribué. Le grand tatami et les agrès de gymnastique ont migré de l'autre côté, laissant de nouveau un espace plus conséquent à la végétation.
Là, mes amours (Marc, PH, Ludovic et même Ernesto) me souhaitent un joyeux Noël et m'expliquent qu'ils avaient fait l'acquisition du bâtiment voisin pour y installer un parking + au premier étage une salle d'art martial plus conséquente que le petit espace du Blockhaus et au second un appartement communautaire destiné à remplacer la colocation que je louais et permettre à plus de mes escorts d'y loger.
Les fous !!
Emma sort du sac qu'elle avait amené avec elle, 13 boites étroites recouverte d'un papier glacé noir. Pablo fait la distribution. Les américains sont ravis mais un peu gênés d'avoir le leur. On ouvre pour y trouver une grosse montre Suisse. Le même modèle pour tous juste gravé d'un " 2015 ". Elles rejoignent toutes les poignets et chacun d'admirer l'effet qu'elle fait sur le sien.
Moi je distribue aux deux couples (parents de Max et ceux de la fratrie) des enveloppes. Dedans j'ai mis un bon pour un séjour à San Francisco voyage compris évidement. Pour les autres, mes amours un nouveau jonc en or, gris cette fois qui rejoignent aussitôt ceux précédemment offerts à leur bras droit. Mes deux escorts de maison (Joao et Romain) reçoivent un I-phone 6 tout comme Pablo. Pour les invités d'outre atlantique, j'avais demandé à PH d'aller chercher chez mon joailler de Paris trois anneaux en or, plats gravé du 25-12-15. En plus pour Duke qui avait dit à la triplette combien il kiffait trop le fait que j'ose porter des bracelets en plus des différents anneaux, chevalière et pendant d'oreille, un beau saphir à accrocher à son percing d'oreille. Dane me dit que j'ai fait une folie et que son garnement de frère ne valait pas ça. Quand je le lui accroche, sa couleur rehausse celle de ses yeux. Il me saute au cou et me dit qu'il y avait pensé mais n'avait pas osé faire le pas.
Mes trois " petits frères " sont ravis de sa surprise vu qu'ils étaient à l'origine de ce cadeau. Ils l'entourent et Côme doit aller leur dire de mettre un peu de discrétion à leurs effusions rapports aux parents. Leurs bisous avec la langue ça finirait par choquer.
Emma reçois de ma part des boucles d'oreilles de chez Tiffany.
Je reçois des parents de Max et des 3 frères une caisse de 6 bouteilles de Romanée-Conti. Une folie pour eux ! Je les engueule gentiment.
Je prends un peu de temps avec eux, heureusement qu'Emma les avait " coachés " à leurs arrivées. Après m'avoir remercié une nouvelle fois, surtout quand je leur ai dit qu'à San Francisco ils auraient un véhicule pour se promener, ils admirent ce que nous avons fait de cet ensemble d'entrepôts industriels. Pour les sculptures d'Alban, ils sont moins fans mais trouvent amusant que j'ai repris l'utilisation de cariatides pour le soutien de la piscine à l'étage en dessous.
Le déjeuner est merveilleux et je suspecte Pablo d'y avoir mis son grain de sel. C'est confirmé par l'intéressé quelques minutes plus tard.
Dès le café avalé, avant la visite de mon " voisin ", j'ai juste le temps de sodomiser Enguerrand venu me retrouver alors que je faisais mes ablutions de sortie de table.
Ce petit obsédé m'avait collé aux basques et alors que je me lavais les mains, il m'a descendu pantalon et slip avant d'emboucher ma bite qui déjà se remplissait de sang. Raide en moins d'une minute, je le retourne et l'enfile coincé contre le lavabo. Il tend sa tête en arrière pour qu'on se roule un patin pendant l'action. Mes vas et vient sont rapide mais profond et il ne peut retenir, à chacun de mes coups de rein, un gémissement significatif. On va se faire griller si nous restons trop longtemps absents. J'accélère le rythme, ses gémissements suivent jusqu'à ne plus être entrecoupés de silence. Quand il jute dans le lavabo, sa rondelle me bloque et me fait éjaculer. Trop bon ce petit coup en douce !! Je pilonne encore deux trois fois son cul pour bien propulser mon sperme tout au fond et je ressors brutalement. Ça tire un dernier gémissement d'Enguerrand qui me dit que ça lui fait tout d'un coup froid. On se nettoie un brin, se réajuste l'un l'autre pour effacer les traces de nos turpitudes puis on rejoint le monde.
Je me fais direct grillé par PH et Ludovic qui voient dans mes yeux comme un reflet de satiété !! Tout bas ils me traitent d'obsédés et quand Enguerrand nous rejoint, ils savent qui en a bénéficié.
La nouvelle Annexe 2:
L'entrepôt fait 30m de façade sur 15 de profondeur. Le rez-de-chaussée est organisé en parking. Ici aussi le monte-charge existant a été rénové mais pas transformé en ascenseur comme au Blockhaus.
Le premier étage : un sas d'entrée pour isoler la salle de sport. Un seul plateau organisé en trois grands tatamis et au fond contre le mur mitoyen les sanitaires séparés de la grande salle par une paroi en verre juste sablée au niveau des hanches. On voit quand même 2 portes pleines cachant des WC et une série de douches (pommes zénithales) sans séparation couvrant le reste du mur soit pas loin de 11m avec devant un lavabo circulaire à 4 robinets.
Le mur côté rue est recouvert de glaces et celui de la cour est percé de grandes fenêtres du plafond à 50cm du sol, la partie basse servant de banc. Quelques barres d'assouplissement, sont réunies en faisceau à chacun des trois tatamis.
Le 2ème étage : on sort du monte-charge sur un palier occupé de grands placards pour mettre manteaux et chaussures. On entre directement dans un grand séjour avec cuisine ouverte sur la gauche. Toute équipée avec 3 blocs de cuisson et 4 frigos américains. La salle doit faire dans les 200m��. Elle est séparées en plusieurs coins salon/détente avec chacun leur grand écran plat (avec chacun 4 séries d'écouteurs) et une énorme table haute du côté de la cuisine pouvant accueillir une 15aine de convives.
Un sas contenant 4 WC sépare le côté jour du côté nuit. Puis viennent 8 chambres d'environ 25m² et au fond une salle d'eau commune sur le modèle de l'étage inférieur.
L'installation est encore vide, mes amours me laissant le choix des futurs " locataires/bénéficiaires ".
Alors que la triplette se verrait bien être les premiers occupants, levée de bouclier chez les parents. Déjà que quand ils sont chez eux (semaine chez Max et WE chez Enguerrand) ils se plaignent de ne pas les voir beaucoup, ici ils ne les verraient plus du tout.
Partie remise pour les jeunes !!
La cour, qui est couverte comme la nôtre, a récupérée toute la partie Gymnastique et les postes de musculations.
La soirée s'avance et c'est avec impatience que certains attendent le départ des invités (Emma et les parents).
Jardinier
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Tracklist:
Runaway • Conqueror • Running With The Wolves • Lucky • Winter Bird • I Went Too Far • Through The Eyes Of A Child • Warrior • Murder Song (5, 4, 3, 2, 1) • Home • Under The Water • Black Water Lilies • Half The World Away • Murder Song (5, 4, 3, 2, 1) (Acoustic) • Nature Boy (Acoustic) • Wisdom Cries • Running With The Wolves (Pablo Nouvelle Remix)
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#hyltta-polls#polls#artist: aurora#language: english#decade: 2010s#Art Pop#Alt-Pop#Synthpop#Ambient Pop#Chamber Pop
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En toi la terre
Petite
rose,
rose menue,
parfois,
minuscule et nue,
on dirait
que tu tiens
dans une seule de mes mains,
que je vais t’y emprisonner
et à ma bouche te porter,
mais
soudain
mes pieds touchent tes pieds et ma bouche tes lèvres,
tu as grandi,
tes épaules s’élèvent comme deux collines
et voici que tes seins se promènent sur ma poitrine,
mon bras parvient à peine à entourer la mince ligne,
le croissant de nouvelle lune de ta taille :
dans l’amour tu t’es déchaînée comme l’eau de la mer :
je mesure à peine les yeux les plus vastes du ciel
et je me penche sur ta bouche pour embrasser la terre
Pablo Neruda
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"Céramiques" de Pablo Picasso présentées parmi "La Collection" nouvel accrochage du parcours permanent du Musée Picasso, Le Marais, Paris, novembre 2024.
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"Jours de loups solitaires. De cœurs à la dérive, de soleils froids et de vents terrifiants. Jours d'obscurité, où les héros s'accrochent à la boue de la dévastation pour ne pas sombrer. Jours de fer, du matin au crépuscule, mais l'aube est à nous avec ses mystères. Jours de petites meutes, d'arbres brûlés par les cendres rouges des nouvelles batailles. Jour après jour, accrochés par les chevilles au sombre sentier de ce cycle final."
Juan Pablo Vitali
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In 1943 the artist Françoise Gilot, who has died aged 101, accompanied her teacher, the surrealist painter Endre Rozsda, to the Gare de l’Est in Paris. Rozsda was Jewish and Hungarian; the occupying Germans had begun rounding up foreign Jewish people, and he was leaving for the apparent safety of Budapest. As his train steamed out of the station, the 21-year-old Gilot wailed: “But what am I to do?” Her teacher, laughing, shouted: “Don’t worry! Who knows? Three months from now, you may meet Picasso!”
Seven decades later Gilot was to recall those words as both prophecy and curse. Two months after Rozsda’s departure she was having dinner at Le Catalan, a Paris restaurant patronised by Left Bank artists. Halfway through the meal a short, bull-necked man approached her table proffering a bowl of cherries: it was Pablo Picasso. Captivated by the fine-boned Gilot, Picasso, 40 years her senior, invited her to his studio in the Rue des Grands Augustins. By the end of the summer they were lovers.
The mismatched pair were to stay together for a decade, during which time Gilot bore him two children, Paloma and Claude. Picasso remained married to his first wife, Olga Khokhlova, throughout the relationship.
As Gilot was to recall in her bestselling book Life With Picasso (1964), he set out to undermine her from the start. “One day,” she wrote, “we were looking at dust dancing in sunlight … [Picasso] said, ‘Nobody has any real importance to me. As far as I’m concerned, people are like those little grains. It takes only a push of the broom and out they go.’” Later, angry at her lack of attention to him, he burned her cheek with a cigarette.
From the early 1950s, Gilot had begun to exhibit with members of the French réalités nouvelles school and when, finally, she was given a show of her own at Galerie Louise Leiris in Paris in 1952, Picasso refused to go to the opening. He had, he said, seen all the paintings already. “Pablo wanted me continually pregnant, because then I was weaker,” Gilot recalled. “After the second child, I said enough was enough. Picasso made this sculpture of a pregnant woman and when I told him I didn’t like it, he hacked her feet off.” By her own telling, Gilot retorted: “I can walk with my own feet,” and in September 1953, she did.
All this and a great deal more was revealed in Life With Picasso, ensuring the book’s huge and immediate success: it sold a million copies in the first year. Enraged, Picasso tried to prevent publication. When he failed to do that, he set about destroying his ex-partner’s career, refusing to show his work at any gallery that showed hers, and cutting contact with their children. Already, in 1955, following Gilot’s marriage to the artist Luc Simon, the Leiris gallery had quietly dropped her.
That, at least, was her story. Whether the gallery would have taken her on in the first place without Picasso’s cachet is a moot point. Although she would later insist that she had been attracted to the older man only because all the men of her own age were off at war, Gilot enjoyed the trappings of being the partner of Picasso.
It was through him that she met Georges Braque, Marc Chagall, Joan Miró, Gertrude Stein and Paul Éluard. Shortly before she decided to move in with Picasso, he had taken her to stay with Henri Matisse at the latter’s villa, Le Rêve. In 1990, with her ex-lover dead, Gilot published another book about him, Matisse and Picasso: A Friendship in Art. This, too, was a financially rewarding bestseller. “I was capable of understanding the whole problem of money,” Gilot said, blithely. “You might say that I am a little bit hard-boiled. I have to admit that I was never so much in love with anyone that I could not consider my own plan.”
After her separation from Picasso, Gilot kept their villa, La Galloise, using the profits from sales of her books to extend it. Summers in the early 60s were spent cruising the Greek islands with Paloma and Claude on a chartered yacht with a crew of three.
From these trips came what was to be perhaps Gilot’s most coherent body of artwork, the Labyrinth series. Untitled (Red and Yellow) (1963) is typical of this, being powerful if compositionally unresolved. Inevitably critics descried Picasso in its southern colours and anguished forms. This was unfair. Untitled (Red and Yellow) was, generically, a work of its time, neither more nor less Picasso-esque than many other French paintings of the day.
In return, some of Picasso’s best portraits had been of Gilot: his biographer, John Richardson, was of the view that: “Picasso took from her rather more than she took from him.” Nonetheless, Gilot remained dogged by his shadow, and not just as an artist.
She was divorced from Simon in 1962, and in 1969, in California, was introduced to the American virologist Jonas Salk, the developer of the polio vaccine. Salk was instantly taken by the elegant Frenchwoman. Pursuing her to Paris, he asked her to marry him. Gilot, by now wary of powerful men, replied that she would, provided they spend six months a year apart. Salk agreed.
For the 25 years of their marriage Gilot would divide half her time between Paris and Manhattan, spending the other half with her husband in La Jolla, California. This seemed to suit both well enough, although there were raised eyebrows among Salk’s friends and colleagues.
In its report of their wedding, the Philadelphia Inquirer described Gilot as “mistress of the late Pablo Picasso”, but she was, apparently, untouched by such barbs. Asked by an interviewer how she had managed to end up with two of the world’s most eminent men, Gilot replied baldly: “Lions mate with lions.”
She was born in Neuilly-sur-Seine, an exclusive suburb of Paris. Her father, Emile, a rich manufacturer, was an authoritarian figure, forcing his left-handed only child to write with her right hand and insisting that she study law rather than art. Françoise’s lessons with Rozsda were a secret between herself and her mother, Madeleine (nee Renoult), a keen amateur artist. Scandalised at his daughter’s mésalliance with Picasso, Emile cut all ties with her for a decade.
Free of her father, Gilot signed up to study at the Académie Julian, but if Emile had been autocratic, his tyranny paled beside that of Picasso. She was, though, unique among his women in having survived him: his first wife was deeply affected by his treatment of her, as was another lover, Dora Maar. The model Marie-Thérèse Walter hanged herself; his second wife, Jacqueline Roque, shot herself. Gilot lived on, painting every day, increasingly in her vast, barrel-vaulted flat in Manhattan’s Upper West Side and working on projects for the Guggenheim Museum in New York. In 2021, her 1965 portrait of her daughter, Paloma à la Guitare, sold for $1.3m, and a retrospective of her work was held at the Musée Estrine, Saint Remy de Provence.
She was made a member of the Légion d’Honneur in France in 1990, promoted to an officer of the order in 2009.
Afflicted by growing blindness, she was as unsentimental about herself as she was the world at large. In her mid 90s she said: “I’m done with life. When I was 86, I thought, this is the end, because this is the age my mother died. Eighty-nine seemed impossible, and 90 was really the last straw. I thought, ‘You are going to have to take your own life if you ever want to die.’” As to her critics, she remained philosophical: “You have to admit that most women who do something with their lives have been disliked by almost everyone.”
Salk died in 1995. Gilot is survived by Paloma, Claude and a daughter, Aurelia, from her marriage to Simon.
🔔 Françoise Gilot, artist and writer, born 26 November 1921; died 6 June 2023
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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Ordinary Day
WARNING! This show is for adults. We drink cocktails, have potty mouths and, at least, one of us was raised by wolves.
The Clockwork Cabaret is a production of Agony Aunt Studios. Featuring that darling DJ Duo, Lady Attercop and Emmett Davenport. Our theme music is made especially for us by Kyle O’Door.
This episode aired on Mad Wasp Radio, 12.17.23.
New episodes air on Mad Wasp Radio on Sundays @ 12pm GMT! Listen at www.madwaspradio.com or via TuneIn radio app!
Playlist:
M. Ward – Poor Boy, Minor Key
Jenny Lewis With The Watson Twins – Born Secular
Cat Power – Salty Dog
Fiona Apple – Extraordinary Machine
Rufus Wainwright – Cigarettes and Chocolate Milk
Regina Spektor – Old Jacket (Stariy Pedjak)
Black Pumas – Colors (Acoustic Version)
Ibeyi – Transmission / Michaelion (feat. Meshell Ndegeocello)
Laura Mvula – That’s Alright
Tom Waits – Big In Japan
The Creatures – Godzilla!
AURORA – Running with the Wolves (Pablo Nouvelle Remix)
The Cassettes – Intermission
Todrick Hall – Ordinary Day (feat. Nick Rashad Burroughs)
Michael McGrath, Todd Ellison, Tim Curry & Spamalot Ensemble – Always Look On the Bright Side of Life
Patti LuPone & Sweeney Todd 2005 Broadway Revival Cast – The Worst Pies in London
Rasputina – The Donner Party
Hannah Fury – The Last Piece of Cake
Hozier – Eat Your Young
American Murder Song – The Five Sisters
Kristin Chenoweth, Alan Cumming & The Cast of Schmicago – Good Enough to Eat
Charming Disaster – Disembodied Head
They Might Be Giants – By the Time You Get This
Kim Boekbinder – Sex, Drugs, & Nuclear Physics
Asylum Street Spankers – Hick Hop
Willie Nelson – I Gotta Get Drunk
A Band Called Horse – My Truck Belongs to Satan
Tally Hall – Mucka Blucka
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J'ai regardé Le Cercle des Neiges
Réalisé par Juan Antonio Bayona, ce film est l'adaptation du livre du même nom, écrit par le journaliste uruguayen Pablo Vierci. Le livre relate l'accident du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571, écrasé dans la Cordillère des Andes. Les surviants de ce crash, l'équipe du rugby du Old Christian Club de Montevideo ainsi que leur proches, ont raconté plus tard qu'ils auraient eu recours à l'anthropophagie pour rester en vie. Ce qui semble n'être qu'une rumeur finit par être confirmée lors d'une conférence de presse. Cette histoire fut déjà adaptée au cinéma, notamment en 1993, avec le film hollywoodien "Les Survivants", où l'on retrouve quand même un tout jeune Ethan Hawke. Le film est pas mal mais reste quand même très corny à la Hollywood Style. En 2023, sort donc une nouvelle adaptation de ce récit, une production hispano-américaine. Et que dire à part que c'est une tuerie !
Je ne m'attendais vraiment pas à être autant scotchée car je connaissais l'histoire et j'avais vu plusieurs fois Les Survivants. Mais cette nouvelle version m'a beaucoup plus convaincu. On a un vrai travail de réalisation, les plans sont parfois magnifiques. Bayonna a vraiment mis en valeur la Cordillère des Andes, elle en devient aussi belle qu'elle n'en est terrifiante. Autre chose qui participe à notre effroi, rien de la souffrance des survivants nous est épargné. Les maladies, les blessures qui s'infectent, la dégradation de la santé physique comme mentale, tout nous est montré. Tout ce qui les pousse à décider d'en venir au cannibalisme. Là où le dilemme est à mon sens très expédié dans la version de 1993, ici le débat revient tout du long et met les protagonistes dans une position délicate vis à vis de leur foi et de leurs valeurs.
La tension est palpable jusqu'au bout et on se sent vraiment près des personnages malgré leur nombre. On ne se concentre pas que sur un ou deux personnages. Fernando Parrado et Roberto Canessa sont certes mis en avant tout le long du film, afin de faire ressortir la beauté de leur acte héroïque mais on oublie pas que le groupe. On est . Le tout sans patos, ce qui était le gros point noir de la version de 1993. Et quand le miracle se produit, on est réellement soulagés.
Bref, le film est incroyable, il faut absolument le voir. Il est sur Netflix !
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"Le Pouvoir Transformateur de l'IA"
L'IA progresse à pas de géant, s'intégrant largement dans notre quotidien et offrant une multitude d'applications variées. Dans l'ère actuelle du numérique, une transformation discrète mais extrêmement significative se déroule : l'émergence des images générées par l'intelligence artificielle. Cet événement, alimenté par d'incroyables progrès dans le domaine de l'apprentissage profond, influence notre manière de voir le monde visuel, réinventant ainsi les normes artistiques et créatives. 1-L'Art de l'Imagination Artificielle : Les intelligences artificielles peuvent aujourd'hui produire des images d'une qualité exceptionnelle, reproduisant divers styles artistiques, des chefs-d'œuvre classiques aux créations modernes. Cette aptitude métamorphose l'IA en un artiste numérique, créant ainsi des compositions visuelles impressionnantes. 2-L'Explosion des Deepfakes : Les deepfakes, qui sont des vidéos et des images créées par l'IA pour ressembler à des enregistrements réels, ont soulevé des inquiétudes quant à leur utilisation néfaste.Néanmoins, elles mettent en évidence la capacité unique de l'IA à recréer la réalité de manière convaincante, montrant ainsi son potentiel créatif. Ces technologies peuvent être utilisées pour des projets créatifs, mais elles soulèvent des questions morales sur la fiabilité des images et vidéos que nous voyons. 3. La Personnalisation de Masse : chacun peut créer des choses uniques grâce à l'IA, comme des avatars spéciaux ou des œuvres d'art adaptées à ses goûts. Cela nous permet d'exprimer notre individualité et de communiquer de manière originale.
4. Préoccupations Éthiques : L'IA peut non seulement créer des images indiscernables de la réalité, mais aussi modifier les créations existantes pour en générer de nouvelles. Cependant, cela pose un dilemme éthique : lorsque les œuvres originales sont modifiées ou oubliées au profit des nouvelles créations, la question de l'éthique et de la paternité artistique se pose. La société doit élaborer des normes pour respecter l'intégrité des œuvres d'origine tout en encourageant l'innovation.
5. L'Avenir de la Créativité : Les designers travaillent avec l'IA pour avoir des idées nouvelles et étendre les possibilités du design. Cette collaboration entre humains et machines offre des opportunités dans l'architecture, les produits et la publicité. Cela signifie que cette collaboration innovante permet l'émergence d'idées et de designs nouveaux et passionnants. Exemple de cette collaboration entre humain et machine dans le domaine du design:.
•architecture:grâce à cette collaboration entre l'intelligence artificielle et le design, les architectes parviennent à créer des bâtiments respectueux de l'environnement tout en étant esthétiquement remarquables. L'IA analyse des données complexes pour proposer des solutions de conception, telles que l'utilisation intelligente de la lumière naturelle, la ventilation efficace et l'intégration de sources d'énergie renouvelable. •Design de Produits : Les designers utilisent l'IA pour créer des prototypes virtuels de produits •Publicité et Marketing : Les professionnels du marketing explorent l'IA pour personnaliser les campagnes publicitaires et prédire les préférences des consommateurs, améliorant ainsi l'efficacité des stratégies publicitaires. •Art Visuel : Les artistes utilisent des outils d'IA pour créer des œuvres d'art uniques. L'IA crée des images très réalistes, mais cela soulève des questions morales. Cependant, cela élargit notre créativité et change notre manière de voir l'art et l'imagination.
-Selfie le voyageur du temps- a utilisé la diffusion stable pour sembler voyager dans le temps, dans cette image on trouve un personnage avec l'artiste espagnol PABLO PICCASSO
-transformation de portrait ou de selfie en un dessin animé-
-imagination artificielle-
Kernou
Moulai Hacene
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US Vogue May 1964
Model/Model: Wilhelmina Cooper.
Make-up by Pablo, from Elizabeth Arden's Roman salon, who used the new Roma summer colors: apricot, orange, bronze, a touch of yellow. (Foundation is Sport Dark Pat-a-Creme by ELizabeth Arden, lipstick is Copper Bronze.)
Maquillage réalisé par Pablo, du salon romain d'Elizabeth Arden, qui a utilisé les nouvelles couleurs estivales roma : abricot, orange, bronze, une touche de jaune. (Le fond de teint est Sport Dark Pat-a-Creme d'ELizabeth Arden, le rouge à lèvres, Copper Bronze.)
Photo Irving Penn. US Vogue vogue archive
#us vogue#may 1964#beauty 60s#1964#spring/summer#printemps/été#elizabeth arden#pablo#wilhelmina cooper#irving penn#vogue cover#couverture de vogue
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La grève Je m’attends à recevoir le heaume, le bouclier et la lance. Je suis prêt à faire l’impasse sur la barde de croupe et le chanfrein, aucune écurie à l’horizon, je me prépare à défaut au combat à pied. Mais aucun son de marteau sur l’enclume, point de forgeron pour me remettre une épée, ou de devanture cachée sous l’atelier avec armurerie gravé sur l’enseigne. Je peux encore décider au dernier moment d’aller au front ou pas. Bientôt, je devrai remplir une feuille et déclarer mon intention de participer à la guerre, avec possibilité aussi de renoncer. Pour une épopée, stylo bille à la main sur le bois traité de la feuille, cela me semble manquer de ferveur. Perceval aurait-il accepté de compléter les cases vides pour sa quête du Graal ? Je me rassure tant bien que mal, il aurait laissé le scribe rédiger. Je ne refuserais pas d’avoir Excalibur en main, mais j’ai beau parcourir la forêt de Saint-Germain, aucun rocher ne fait office de fourreau. Les chevaliers se révoltent contre le châtelain et ce dernier ne comprend point, il est toujours prêt à discuter. Expert de l’écoute, somnifère de la parole, logorrhée en intra, son champ de bataille est la salle de réunion. Combattre sur ses terres, et plus particulièrement en cet endroit précis, exclusivement en cet endroit, relève en soi de l’épopée. Tenter de grimper le long des remparts constitués d’un lexique poreux, pour ne pas dire grumeleux, s’agripper aux mots glissants, lisses comme une photo retouchée pour faire baver ceux qui scrollent, semble chose impossible, aventure des plus vaines. L’anesthésie par la parole est un beau subterfuge qui peut user si nous laissons le châtelain maître du temps. Ce dernier, que j’imagine du haut de sa tour de briques au fond du couloir troisième porte à gauche, souhaite nous imposer de nouvelles règles et accepte de discuter sur la mise en forme. Les termes, à l’aspect juridique aussi flou qu’indécis, sont déjà tranchés, à nous de choisir la police et la taille. Il ne nous reste plus qu’un moyen d’être entendus, laisser la loc au dépôt, poser les outils, la clé BL et la clé Denys. Nous arrêtons le temps imposé. Je ne mesure pas alors que cette période demandera encore plus d’efforts que le travail, dans le corps et les pensées ; mais ce sont des efforts voulus, sucrés bien qu’avec une légère acidité, pimentés aussi, avec de la corne sur chaque lettre, une épaisseur qui n’empêche pas de saisir chaque information, car nos sens semblent alors s’aiguiser. Nous avançons de pair avec une sensibilité accrue, avec une perception qui s’expérimente au gré des enjeux. Il en est du moins ainsi pour Pablo, Ach et Gaël. Car ils se présentent chaque matin dans le poumon du mouvement, afflux d’air indispensable pour que nous puissions avancer, dans l’assemblée générale, l’AG. Je ne sais pas s’ils sont l’air ou la part constituante de l’organe. Probablement un peu des deux. Il existe des poumons de différentes tailles. À son commencement, le nôtre est grand. Il est composé de ceux qui transforment la tension pour la réduire au voltage de la gare, telles des alvéoles où se déroulent les échanges gazeux avec le sang ; de télécoms dont la salle contient des milliers de jarretières de toutes les couleurs, des nœuds impossibles, telles des bronchioles qui acheminent l’air ; tandis que les aiguilleurs régulent le diaphragme et la cage thoracique. Il me semble reconnaître la voix de l’un d’eux, celui qui décroche avec un PRS pourri j’écoute, le Paris trop mûr pour protester contre la moisissure des murs de leur poste d’aiguillage. J’aperçois celles qui établissent nos fiches de paie et avec qui vaut mieux pas se prendre la tête explique Jacques (pragmatique), venu nous soutenir : responsables de la trachée, je risquerais d’avoir l’air coupé et la carte bloquée. Les guichetiers gèrent les bronches, autant de branches d’arbre comme ces tuyaux à air propulsé dans lesquels ils envoient les cartouches contenant le cash. Je rencontre pour la première fois Miss Ink and Mister Gorgo. Ils sont chefs de bord, les plèvres entourant le poumon. Je découvre aussi des métiers qui, malgré toute la pédagogie, restent à jamais une énigme. Je dois me résigner à accepter mes lacunes en anatomie. La gare est immense dédale de bureaux de salles de couloirs et autres escaliers quart tournant colimaçon ou hélicoïdal l’intérieur s’apparente à celui du Louvre sans les œuvres Il en faut de l’espace pour y disposer un tel poumon le corps humain l’englobe dans la cage thoracique Autour de la marquise, de grandes salles spacieuses pourraient tous nous accueillir mais le maître des lieux n’est pas tenu de nous les prêter Tant bien que mal nous réussissons parfois à en obtenir une exiguë et mal insonorisée mais avec du chauffage et quand le poumon est trop gros nous n’avons d’autre choix que d’occuper un des couloirs extérieurs de la gare malgré le froid et la brise matinale le courant d’air traversant les allées Nous sommes des centaines sous le panneau d’affichage à palettes dont les lettres se meuvent telle une mitraillette mais à une fréquence basse car ceux qui font tourner les trains sont bras croisés Dans ce combat ni coup d’épée ni artère tranchée ça ferait pourtant un si beau film d’aventures Il y a de la tension et du pouls mais ce n’est pas cinématographique Un micro et une sono sont au centre des attentions chacun peut s’exprimer ça grésille ça larsen ça rebondit par ricochet contre les murs Un peu moins de réverb Charlie please Le poumon fait des bruits d’estomac affamé Geoffroy de la Salamandre grève dans son refuge il n’apprécie guère la foule et s’il tolère les heures de pointe c’est uniquement seul dans la cabine de conduite il ne vit malheureusement pas les nombreuses discussions qui se concentrent les raisonnements qui se construisent Le poumon crache des idées de cerveau décloisonné Jacques propose d’organiser les piquets rendez-vous dès quatre heures du mat’ pour occuper le dépôt convaincre ceux qui ne sont pas encore dans le mouvement Si faire grève c’est se lever toujours à trois heures honnêtement je vois pas l’intérêt observe Ach entre deux bâillements Et il est vrai que je préférerais qu’il en soit dispensé quand il me fixe après une extrême mat’ je crois qu’il me provoque en duel Je découvre à travers les piquets de grève un nouveau métier associant communication et exposés un métier d’encadrant mais non rémunéré Je dois convaincre ceux qui n’ont pas quitté leur poste du bien-fondé de notre mouvement ceux qui hésitent notamment dont j’aurais pu faire partie Je tombe aussi sur des sceptiques et découvre ceux qui nous évitent qui se faufilent discrètement dans la cabine mais que nous irons voir au pied de la machine Les premiers jours l’enthousiasme transporte les sceptiques il éloigne surtout pendant un temps le fatalisme cette sangsue qui paralyse les rêves Adama ne prend pas le micro il parle en petit comité mais présente bien les choses Nous devons gagner le plus vite possible car, insensibles au contexte, les factures s’empilent Mais en même temps se battre pour ses convictions ça n’a pas de prix Une interrogation s’infiltre dans la mécanique de ma pensée le numéro un continuerait-il à tenir sa position si, comme nous, il n’était plus payé ? Au petit matin sous les projos du dépôt les néons tremblotants des groupes se forment et se rendent au triage pour convaincre sous le regard de l’huissier ceux qui doivent dégarer Nous marchons sur le ballast et devant les portes des usines pour entraîner celles et ceux qui sont aussi attaqués le poumon se contracte comme un ischio-jambier proche de la ligne d’arrivée Yann entre deux bouchées d’orange conduisant la poussette où trône sa fille qu’il est obligé d’amener suggère de monter un comité de grève pour que nous choisissions nos propres représentants pour que les doléances viennent du poumon même C’est lui qui s’essouffle s’intoxique et se purifie il n’y a pas de raison qu’il ne prenne pas en main l’ensemble du corps Le poumon fait du deux cents battements par minute comme un cœur transi En entendant cette proposition j’ai des réminiscences du séminaire d’histoire prodigué au cours de ma formation par Gérard et Jacques sur le retour de Dijon et si le premier était mon moniteur le second avait Yann pour apprenti Tout en mâchant son agrume je le vois remettre sur les rails du présent un passé conté sur la ligne Willy observe l’huissier et l’essaim de cadres priés par plus haut de sortir de leur lit avant l’aube pour nous surveiller Il laisse échapper qu’à la première heure les grévistes iront bloquer les départs des garages d’Achères suffisamment fort pour que les bourdons l’entendent et se lèvent avant l’aube le lendemain Puis d’un air laconique mais très discrètement se tourne vers nous Je vous propose de faire une grasse mat’ demain Je le découvre machiavélique Je ne saisis alors pas tous les rouages les mots cachés sous les mots les faux amis des véritables ennemis la pression qui s’exerce sournoisement alors que nous usons toute notre énergie pour ce qui nous paraît de plus en plus évident je me sens comme l’air compressé dans le réservoir principal prêt à être propulsé dans la conduite pour servir ensuite à ouvrir et fermer les portes du train Je découvre en substance que le poumon est un organisme à part entière qui se transforme au gré de son expérience qui se contracte parfois mais dont la paroi se renforce Nous finissons par nous essouffler le poumon a lentement rétréci une forme de rancœur chez certains d’entre nous s’immisce comme un courant résiduel qui parcourt le corps des années plus tard elle perdure parfois jusqu’au prochain combat Peut-être ne prenons-nous pas pleinement la mesure de ce que recèle cet organisme ce micro-organisme, ce fœtus, cet être encore tout de nu vêtu dont les habits seront des cicatrices Les particules qui le constituent sont les exécutants de l’Entreprise nous n’intégrons pas la part décisionnaire nous n’avons pas accès au cerveau nous sommes pourtant tous les autres membres tous les autres organes et ce corps en gestation que nous formons devrait se saisir des commandes Chaque gréviste peut prendre le micro intervenir, témoigner, proposer certains ont le discours porté par l’émotion trouvent naturellement l’intonation d’autres comme Willy avancent à tâtons tentent d’élever la voix et la font dérailler J’observe ses progrès À force d’entraînement il trouve son style jongle avec les mots, rebondit sur les syllabes ses phrases purgées des disfluences verbales des débuts En retrait, j’admire Gaël ne prend pas la parole ce qui surprend tant Miss Ink que Mister Gorgo sans que je cherche à en comprendre la raison il reste dans cet ensemble qui écoute et vote la continuité de la grève ou la reprise du travail mais nous tombons sur sa bouille en couverture de La Vie du Rail sa posture regard déterminé et bras croisés est saisie et nous nous empressons d’acheter le numéro La Star ouais ! Gaël étincelle sans avoir besoin de monter sur scène Contrairement à Kamal Lors de la dernière manifestation, un gruppetto en queue du peloton a abordé le cortège des danseuses et machinistes de l’Opéra de Paris. Ils ont eu droit à une visite privée du monument de Garnier, jusqu’aux dessous du plateau présenté comme un bateau avec sa soute, où les machinos installent les rues et les fausses rues qui font apparaître un danseur ou un décor. Sur la scène, Kamal s’est mis à entonner l’air du Commendatore de Don Giovanni. Pablo rapporte au micro l’épopée, prétendant, un brin critique, qu’il manquait un peu de talent lyrique, mais que le public restait silencieux, subjugué, de la fosse jusqu’aux balcons, car en tout point absent. Costière, mât, cabestan et autres cintres permettant d’envoyer les voiles, leurs guides les ont abreuvés de mots d’une autre langue. Et Kamal leur a promis en retour qu’il les fera monter en cabine ; quand les trains rouleront de nouveau. J’aurais aimé les alerter sur cette proposition. Une voix que je crois familière glisse alors sous la caténaire. On lui tend le micro, elle refuse de la main aux phalanges infinies. Elle s’exprime pour la première fois et elle cherche parfois ses mots, non pas qu’elle ne les ait pas, nous sentons qu’elle tente de les remplacer, pour en atténuer la charge émotive, ou tout simplement pour nous protéger. Je plonge dans ses syllabes et son parler kalach, qui parfois coupe les mots ; elle ne s’éternise pas sur eux, elle rebondit, tranche et taille à la tronçonneuse. Elle est plus du genre freinage d’urgence que freinage modulé, bien plus BP Urge qu’électrique. Je pense enfin la reconnaître. La voix qui annonce parfois que le train d’isepteur’ quarant’ quat’ pour Mantes-la-Jolie partira d’la voie quinz’ ! Elle travaille au centre opérationnel escale dont la physionomie s’apparente au centre de contrôle mission d’une sonde spatiale explorant le système solaire. Je perçois cependant qu’il n’y a pas ce r roulé, qui traîne légèrement des pieds, comme une loc marchant au pas. Elle appuie chacun de ses mots par des gestes, je sens qu’elle tente de les retenir, ils sont comme castrés, inhibés dans leur expression, et s’ils étaient libérés je me demande si je n’assisterais pas à un tuto de boxe thaï. J’en fais part à Willy qui estime que je me trompe complètement, ce serait plutôt Dragon Ball après censure. Quant à Pablo, il n’a aucune opinion. Je ne demande même pas à Yann, tout concentré sur son quartier d’orange. Je ne sais s’il serait pertinent pour une mouche de virevolter autour. Suis-je influencé par ce regard noir prononcé dont les mouvements décrivent un mélange d’assurance et d’énergie éhontée, de persistance et de rage comprimée ? Je ne sais pas encore qu’elle se nomme Hidaya, ni qu’elle entamera plus tard une formation Mécano. Je sens simplement qu’elle pourrait me pousser à écrire un jour. Alors que l’usure et l’érosion d’une lutte semblent inévitablement nous aspirer, elle m’inspire. J’ignore encore que le seul fait de lutter est une victoire en soi reste un goût amer dans la bouche, un goût de défaite car désormais nous devrons tous trimer plus Putain, je suis rentré dans la boîte il me restait trente-deux ans désormais, il m’en reste trente-quatre Plus j’avance, plus ça recule constate Ach Malgré cela je découvre pas à pas que Le pire des combats, c’est celui qui n’a pas lieu ce que synthétise Adama à la feuille avant de me commander
Mattia Filice - Mécano
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saga: Soumission & Domination 377
Nouvel an 2016-4
Le soir du 1er
Je passe rapidement dans notre chambre imprimer l'avis de " Plan Réservé, NE PAS DERANGER" et le donne à Jona. Ils s'éclipsent aussitôt sans même faire honneur au buffet.
La soirée est différente. Les mégatouzes ont laissé place à des plans plus confidentiels. Enfin, façon de dire, puisqu'il n'y a jamais moins de 4 ou 5 mecs ensemble !! Mes Escorts se sont répartis dans les différents groupes et les font profiter de leurs expériences. Sportivement, ils sortent du lot ce qui leur permet d'adopter plus facilement des positions originales.
Notre quatuor de jeunes ne s'est pas éclaté et a trouvé avec les 2 gendarmes, Xavier et Pablo une équipe à la mesure de leur faim. Comme je m'étonne de les trouver tous les 4 passifs, ils me rassurent qu'ils ont prévu de finir leur soirée en actifs et qu'ils se sont réservés pour plus tard petit Théo, Jimmy, Jules et Baz.
J'aurais dû me douter qu'ils s'étaient fait des plans pour jouir de tous les côtés !! En attendant, c'est avec leurs trous qu'ils servent de support de jouissance à leurs ainés. De leur côté ils n'ont pas l'air d'en souffrir trop !
Ludovic me rejoint, on déambule donc bras dessus bras dessous ou plutôt son bras sur mes épaules et ma main sur et parfois entre ses fesses.
On trouve bientôt mes deux " russes ", Viktor et Nicolaï qui s'apprêtaient à engager les hostilités avec Stéphane (mon écraseur), Louis exceptionnellement délaissé par son Franck, Léo qui a laissé le trou de son Arnaud à un autre mâle actif et Manu (mon serveur d'été de La Palmyre). On se trouve un espace libre autour de la piscine de la serre. A 8 ça demande quelques m² pour pouvoir exprimer ses délires.
Le rebord du bassin à juste la bonne hauteur pour supporter les torses de ceux qu'on encule. Collés épaules contre épaules, Louis, Manu, Stéphane et Nicolaï subissent les saillies (on est des vraies bêtes en rut) de respectivement, Léo, Victor, Ludovic et moi-même.
Louis laisse échapper sans honte ses émotions. Il gémit sous les coups de butoir de Léo au caractère très dominant. Arnaud est, depuis son dépucelage par son oncle Bruno, une véritable petite " salope " qui aime se faire démonter la rondelle virilement et par son Léo en particulier.
Les autres enculés l'entendant ne se gênent plus pour exprimer aussi leurs plaisirs. Du coup les commentaires fusent. Les " petites salope " alternent avec les " grosse salope ", les " trou à bite " et autres " chienne " de notre part à nous.
......
Le 2 janvier
Réveils vers 11h. Je retrouve au petit déjeuner mes deux " espions " et Côme. Ils me remercient pour hier soir. Ils étaient trop contents de se retrouver. Côme me dit qu'avec eux c'est vraiment différent. Même quand ils " s'égarait " avec nous tous (cf. les touzes de l'été dernier chez ses parents avec la triplette et nous les occupants du blockhaus), c'était bon mais ça n'avait pas l'intensité qu'il atteint avec ces deux-là.
Je roule un patin aux trois, content que ça se passe comme ça entre eux.
Midi Jona se fait appeler sur son portable. Quand il coupe, il demande à me voir isolément avec François.
Là ils me racontent que le jeune mec qu'ils avaient exfiltré de Syrie s'était enfui de chez ses parents et était dans un avion vers Paris.
Je demande un peu plus de détails pour comprendre ! Jona m'explique qu'ils avaient été envoyés en Syrie, François et lui, pour sortir des griffes de Daech le fils d'un libanais (mais grand ami de la France) embrigadé depuis 3 ans et qui servait non pas de combattant mais de " repos du guerrier " comme la plupart des femmes qui rejoignent ce groupe terroriste. Le gamin avait réussi à appeler son père un an auparavant regrettant d'être parti au djihad.
Là, le père venait de l'informer que Jalil (le petit mec en question, 18 ans dont 3 ans de Daech) s'était enfui de la maison et il avait retrouvé sa trace dans un avion vers Paris.
Dans le même temps où il m'expliquait ça, François a appelé leur correspondant (militaire). Il en a reçu l'ordre d'aller le chercher à Roissy et de le prendre en charge. Comme ils avaient un vécu commun, cela serait surement plus rassurant pour le gamin. Petite explication de Jona sur où il était, avec qui et à quelle distance de Paris, réponse de sa hiérarchie, 2 motards sont en route pour l'escorter du Blockhaus (dixit l'officier traitant !!) et que pour être à l'heure à Roissy, il n'avait qu'à réquisitionner ma SLS.
J'apprends là que ma situation n'a pas de secret pour les services de renseignements de mon pays !! Va falloir faire avec !
Evidemment je suis d'accord. Le temps de lui donner mes clefs et à l'interphone l'escorte est déjà là. Je vois un motard devant la porte, l'autre est sur sa moto, les gyrophares tournent déjà. Je descends avec François. Il prend dans leur RCZ un gyrophare bleu (je ne savais pas qu'ils en avaient un) et l'installe dans ma SLS alors que Jona fait le point avec son escorte. François sort la voiture et la laisse à Jona avec pour toute recommandation " tu nous le ramènes fissa ".
La sonorisation de mon SLS permet à François d'accompagner Jona quasiment tout le temps du voyage.
Je prends des nouvelles de temps en temps. Il kiffe de rouler sans risque à plus de 200 sur l'autoroute derrière les deux motos, je le remercie de me décrasser ma caisse.
Au blockhaus, beaucoup de mouvements. Mes escorts passent chez leurs parents, Côme, Ludovic et Enguerrand font de même. Je les accompagne avec PH et Ernesto.
Echanges de voeux et je m'éclipse avec PH et Ernesto pour aller chez Emma, Ludovic est avec nous.
Idem chez ma mère, échanges de voeux, de façon un peu plus câline/sexe que dans ma " belle famille ". Ça me fait même un dérivatif à l'aléa qui m'occupe l'esprit.
Sans bâcler le " travail ", nous passons deux bonnes heures à faire l'amour à Emma. Nous la laissons un peu fatigué alors que nous rentrons.
Retour à la maison, c'est l'effervescence. Tous ne sont pas rentrés mais c'est surtout l'arrivée prochaine de Jona et Jalil qui est de toutes les conversations. D'autant plus que quand il sera là, pas question de lui faire ressentir la moindre pression.
François a brossé le portrait du gamin :
Prénom : Jalil
Langue : Arabe, Français et Anglais
Physique : 1.78m 55 Kg, peau ambrée, yeux et cheveux noirs, imberbe, typé encore ado, Tête d'ange.
Sexe : monté 22x6 mais passif avec une taille très fine et un bassin étroit
Parcours : pendant 3 ans a servi de vide-couilles à une " brigade " de Daech en mode viol, n'a pu se réintégré dans sa famille et son milieu de départ, même si ses parents sont libéraux. Il s'est enfui et nous le récupérons.
Conclusion de ma part : personne ne lui saute dessus, sans indifférence non plus mais pas trop de sollicitude et surtout pas de pitié.
Enguerrand confirme que pour lui c'est ce genre de comportement qui lui a été le plus bénéfique même s'il n'a pas subi le quart du dixième de ce que Jalil s'est pris.
Nous évitons d'être tous dans le séjour quand ils arrivent. Les autres sont soit en train de faire du sport (la majorité) soit occupé à baiser.
Mes amours sont présents ainsi que la triplette. François a pensé que de voir des jeunes de son âge le rassurerai aussi. C'est le cas.
Les 2 heures de route (moyenne à plus de 200Km/h) lui ont permis d'être briefé sur ce qui l'attendait. Quand il débarque, nous sommes un peu plus habillés, shorts et t-shirts ont recouvert les seuls boxers qui couvraient nos fesses (quand ils n'étaient pas bottomless de chez Addicted !!).
C'est effectivement un ange qui entre chez nous. A 18ans il en parait 16 et fragile. Son Français est excellant et sa politesse légèrement surannée. Quand il finit ses remerciements pour notre accueil, j'en fais la remarque à la triplette qui éclate de rire. Ils l'embarquent vers la cuisine en nous renvoyant à nos autres occupations.
François jette un oeil sur son protégé mais comme ce dernier suit les jeunes sans crainte, il le leur abandonne.
Récit d'Enguerrand : (sans corrections, juste quelques notes en italique)
Débarrassés des grands, nous pouvons mettre Jalil en confiance. Nous nous présentons tous les trois et lui indiquons que nous sommes amoureux tous ensemble. Nous parlons de nous, de nos études et lui disons que nous sommes contents qu'il soit venu en France.
Il nous dit avoir fréquenté le lycée Français de Beyrouth mais qu'il s'est arrêté en troisième.
Nathan lui annonce que c'est pas un souci, ils s'y connaissaient en remise à niveau. Et d'expliquer que le soutient de ses deux amours l'avait méchamment boosté et, me pointant du menton, lui dit que s'avait été un peu pareil pour moi avec Max.
J'acquiesce sans entrer dans les détails, ce sera pour plus tard nos confrontations de " misères ".
Nathan ajoute que quand même va y avoir du taf. Comme s'il était évident que Jalil allait rester chez nous. D'ailleurs c'est ce que ce dernier lui dit. Qu'il verrait avec Jona et François quel serait son avenir.
Déjà il se projette dans l'avenir, c'est beaucoup plus que ce que j'étais capable de faire quand Sasha m'a sauvé (ndlr : faudrait pas exagérer non plus !). Je m'avance peut être mais, connaissant nos ainés, je l'assure qu'il va rester dans le coin et qu'il va vite se remettre à niveau.
Ça me fait mal quand il me demande avec qui il doit coucher pour ça (moi aussi quand je le lis). Avant que j'ai eu le temps de lui dire que ça marche pas comme ça ici, Nathan ouvre sa grande gueule et lui annonce que " ce qui est bien ici c'est que t'es libre de coucher avec qui tu veux et seulement quand et si tu en as envie ".
Jalil craque ! On l'entoure et le serrons dans nos bras. Sa tête vient se poser sur mon épaule et ses larmes trempent mon t-shirt. Nous relâchons notre câlin quand il se calme. Pas de question, nous reprenons notre conversation là où elle s'est arrêtée 5 mn plus tôt.
Il nous dit être plutôt littéraire que scientifique mais surtout il craint de se retrouver avec 3 ans de plus que les autres s'il retourne à l'école. Il nous demande s'il ne pourrait pas trouver un petit travail pour pouvoir vivre en France.
Hurlements de mes deux amis et de moi aussi. Pas question qu'il laisse tomber ses études. Ok il aura 3 ans de retard mais sur une vie c'est rien !
Je lui dis qu'on va en parler avec Sasha et Jona mais hors de question qu'il reste analphabète. Ça le fait sourire, il nous dit qu'il n'est quand même pas à ce stade-là.
On part à la recherche de Sasha. Avant de le trouver en train de s'entrainer avec Jona et François, nous tombons sur quasiment tous les autres.
Jalil est impressionné. Pas par le fait qu'il n'y ait que des hommes, ni par le bâtiment mais par l'ambiance sereine qu'il y a partout. Quand on tombe sur des mecs en train de faire l'amour, (ça nous est arrivé 4 fois !) il note que le plaisir est partagé. On tombe sur Duke qui était très impatient de faire connaissance. Après nous avoir roulé un patin, il engage la conversation avec Jalil en Anglais, ce que l'autre maitrise bien aussi. Et c'est à 5 que nous arrivons aux tatamis de lutte de l'annexe.
Avec Max, je l'empêche de tomber quand il voit le combat. Probablement de mauvais souvenirs qui remontent de sa mémoire.
Jona nous voit et le combat est interrompu, Jalil trébuche mais cours dans ses bras.
Nous assistons à une séance de réconfort et d'explications à voix basse entre les deux.
Jardinier
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#so many wonderful feelings#feel the rush#take your shoes off#sand between my toes#live now#live your story#a gentle reminder#genuinely#a gentleman#Spotify
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"L'Acrobate" de Pablo Picasso (1930) dans "La Collection" nouvel accrochage du parcours permanent du Musée Picasso, Le Marais, Paris, novembre 2024.
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@skyforgesteel and @maurice-and-music tagged me to do the 10 songs 10 people game (thank you!) here are 10 songs i’ve been listening to a lot lately:
1. public radio — tw walsh
2. bean pháidín — lasairfhíona
3. mahk jchi (heartbeat drum song) — robbie robertson, the red road ensemble, ulali
4. point and kill — little simz, obongjayar
5. running with the wolves - pablo nouvelle remix — aurora
6. earth to heaven — esperanza spalding
7. joha — asake
8. i only drink when i’m drunk — bc camplight
9. mary — kings of leon
10. harder, better, faster, stronger — daft punk
tagging @gullbones @m4ryswagdalene @robotpussy @spiny-norman @onlysoftly and anyone else that wants to do it
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