#Null Corp
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mileycyrusguatemala · 2 years ago
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Graffiti Records pide un vinilo de Ashley O
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Graffiti Records etiqueta a RCA Records y Null Corp pidiendo hacer posible un disco de vinilo de Ashley O, el alter ego de Miley Cyrus en la famosa serie de Netflix Black Mirror. Vallan al twit para aumentar la popularidad del mismo compartiendo y dando corazĂłn, quizĂĄs se haga verdad.
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cent-scratchnsniff · 5 months ago
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#lobotomy corporation#lobcorp#good heavens.... .#lobotomy corporation spoilers#SOMEHOW#lobotomy corp spoilers#carmen lobcorp#listen. i have an explanation okay. it doesnt make sense but it was funny in my head#adam has an earing. thought it would be funny if it was just from ayin . is it? not quite sure#text explanation carmen wanted to do diy piercings in the outskirts and ayin went 'nuh uh safety issues' before caving and#making her practice and do it first on him to make sure it goes well and taken care of correctly before she does it on herself#thus the one ear piecing is born. the alternative joke was that it was just clip on. am i going to question the clothing? nah#mind fuckery the facility is made outa thay too. could that also be for the earing and tatoo? yeah. is it more funny to me thos way? yeah#no idea how the hell adam speaks by the way we ball w that . tatoo is just a sharpie as well dont know why there would be any way to put ink#to skin in an efficient manner. besides mind fuckery which is also totally acceptable but null for the sake of shitty comedy#adam lobcorp#ayin lobcorp#thats it. yup. the only spoilers i have is ayins appearance and name actually. only thing i knew going in. so i suppose this will do#(im procrastinating day 49 i know i can do it but im in agony thinking abt it)#also thought it funny at the idea of an piercing made by carmen's hands ending up being used by the facet of A that is carrying out her will#even still even if it is in the most absurd and irrational way possible. wanting to give freedom and realization and the ability to not#have to just survive but be free to live inside the world with their desires and wants in the most 'purest' and 'strongest' form for all#even if it is a SHIT PLAN!!! established broken man whayever ill bully adam regardless
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7eonardo · 7 days ago
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pupsmailbox · 9 months ago
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GOTH ID PACK
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NAMES abby. ace. addam. alister. amelia. amoret. ange. angel. angelo. anubis. arch. archette. ash. aslan. aspen. astor. astoria. astrophel. atticus. axelle. azazel. azrael. bael. bat. batsy. bella. bellatrix. blade. blair. blanchette. brahms. branwen. cain. callan. calliope. cannibelle. caskeite. casketta. caskette. caspian. celeste. celestia. chaos. charlotte. cherry. chira. chiraelle. chiro. chiroptairre. chiroptelle. chiropteranne. choir. christian. cofette. coffin. coffine. constantine. corbin. corpse. crimson. crow. crowley. damian. damien. demonesse. divina. dorian. draven. edgar. elatha. elijah. elix. elwin, elwin. elwood. ember. emmaline. etienne. evan. evangeline. eve. faith. forest. forrest. frill. frille. frilleine. frilliette. frilly. genesis. ghost. gothita. gothitelle. gothitess. gothitesse. grey. gwen. gypsy. hades. hawthorne. hecate. hemlock. imortalle. imortella. iris. israel. jakob. jet. jett. johnas. josiah. judas. kain. kane. kedi. keir. lacey. laciene. laciette. lazarus. leo. lilith. lilithe. lolita. lucid. lucien. lucifer. lucius. luscious. lynx. maeve. malice. mana. martyr. max. melancholy. merle. micah. michael. misery. mordred. morris. mors. morte. mortis. mourge. mourgette. myrette. nightshade. noah. noctre. nocturne. noir. obsidian. oleander. omen. onyx. orion. orpheus. ozul. ozzy. prince. prophet. raven. ravenie. raveniette. rook. rowan. ruby. saber. saint. salem. samael. samuel. scarlet. secrette. seraph. serenity. shilo. shiloh. silas. silver. silvester. skelly. skulliene. skulliette. skully. sorrow. sylvester. syn. thorn. thorne. tobias. tommy. trix. umbriel. valkyrie. valo. vervain. vesper. victoria. ville. violetta. vito. vlad. woundie. zeon. zephyrine.
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PRONOUNS abby/abby. ae/aer. ash/ash. bat/bat. bleed/bleed. blood/blood. book/book. bug/bug. burn/burn. chain/chain. chap/chapel. chill/chill. claw/claw. cloud/cloud. cob/cobweb. cof/coffin. coffin/coffin. corps/corpse. creep/creep. cri/cross. cro/cros. cross/cross. cross/crosse. da/dark. dae/dae. dae/daem. dark/dark. decay/decay. dee/dark. des/despair. devout/devout. div/divine. dust/dust. echo/echo. edge/edgy. en/envie. fae/fang. fang/fang. fe/fear. fie/fiend. fog/fog. fri/frill. frill/frill. ghost/ghost. ghoul/ghoul. gore/gore. goth/goth. goth/gothic. gra/grave. grave/grave. ha/haunt. halo/halo. hie/hiem. ho/holy. holy/holy. horn/horn. hx/hxm. hy/hym. ink/ink. lace/lace. lae/lace. lost/lost. mist/mist. moon/moon. net/fishnet. ni/night. night/night. null/null. par/parasol. parasol/parasol. pray/pray. pray/prayer. proph/prophet. ro/rose. rose/rose. rot/rot. rust/rust. sac/sacrifice. saint/saint. scar/scar. shx/hxr. shy/hyr. si/sinister. sin/sin. sku/skull. skull/skull. snake/snake. spider/spider. spike/spike. sto/storm. stud/stud. thou/thorn. thron/thorn. thxy/thxm. vae/vaer. ve/ver. velvet/velvet. vo/void. whis/whisper. whisper/whisper. witch/witch. wood/wood. x/x. xae/xaer. × . ♠ . â™Łïž . ⚰ . ⛓ . 🌑 . 💀 . 🕯 . đŸ•· . 🕾 . đŸ–€ . đŸ„€ . 🩇 .
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ludivinevanckerwisky · 18 days ago
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"De leurs griffes Ă  tes bras"
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RĂ©sumĂ© : Alex, brisĂ©e par des relations abusives, tente de fuir aprĂšs une nuit avec Spencer. Il la retient, patient et aimant, tandis qu’elle affronte les souvenirs d’un passĂ© marquĂ© par la soumission et la douleur. Peu Ă  peu, il lui montre qu’elle mĂ©rite mieux.
Avertissements :ThÚmes de traumatismes passés, relations toxiques, consentement, et reconstruction émotionnelle.
--- La chambre était plongée dans une douce pénombre, seulement troublée par la lueur vacillante des bougies.
Alex se redressa lentement, laissant glisser ses jambes hors du lit. Elle tira le drap autour d’elle, son esprit en proie Ă  des pensĂ©es confuses.
Elle connaissait ce schĂ©ma par cƓur : la passion, suivie de la distance, puis le dĂ©part inĂ©vitable. Pourtant, cette fois, alors qu’elle s’apprĂȘtait Ă  quitter la piĂšce, une voix douce, empreinte de chaleur, l’arrĂȘta.
« Alex. » Elle se figea, ses Ă©paules se crispant lĂ©gĂšrement. Spencer Ă©tait Ă©veillĂ©, ses yeux reflĂ©tant une tendresse teintĂ©e d’inquiĂ©tude.
« Tu vas oĂč ? » demanda-t-il doucement en s’asseyant dans le lit, la couverture glissant sur ses hanches. Elle dĂ©tourna le regard, serrant un peu plus le drap autour d’elle.
« Je... Je pensais te laisser un peu de temps. » Spencer tendit une main vers elle, son ton calme mais insistant. « Du temps pour quoi ? »
Alex hésita.
« Pour partir », murmura-t-elle, Ă©vitant son regard. Il attrapa dĂ©licatement son poignet, l’attirant doucement vers lui. « Je ne vais nulle part, » souffla-t-il, ses yeux cherchant les siens.
Elle resta immobile un instant, tentĂ©e de reculer, de fuir comme elle l’avait toujours fait. Mais il ne la laissa pas s’échapper, l’entourant de ses bras d’une Ă©treinte rassurante.
Elle pouvait sentir la chaleur de son corps, la sincĂ©ritĂ© dans chacun de ses gestes. « Pourquoi es-tu encore là ? » murmura-t-elle, sa voix tremblante.
Spencer posa une main sur sa joue, son regard ne vacillant pas. « Parce qu’aprĂšs ce qu’on vient de vivre, je veux ĂȘtre lĂ . Pas seulement pour le plaisir, mais pour ce que nous sommes ensemble. »
Ces mots dĂ©clenchĂšrent en elle un flot d’émotions qu’elle ne pouvait plus contenir. Des souvenirs qu’elle avait si longtemps enfouis refirent surface.
--- **Flashback :**
Elle Ă©tait assise sur le siĂšge passager d’une voiture luxueuse, le cuir froid contre sa peau. L’homme Ă  cĂŽtĂ© d’elle lui adressait un sourire condescendant. « Tu es vraiment mignonne quand tu te tais, » avait-il dit en posant une main possessive sur sa cuisse. Elle avait voulu protester, mais les mots Ă©taient restĂ©s coincĂ©s dans sa gorge. « Tu veux me faire plaisir, n’est-ce pas ? » Le regard insistant, les attentes implicites, la peur de dĂ©cevoir... Elle s’était figĂ©e, obĂ©issant sans rĂ©flĂ©chir.
--- **Présent :**
« Je n’ai jamais eu de relations comme celle-ci, » murmura-t-elle, sa voix Ă  peine audible. Spencer fronça lĂ©gĂšrement les sourcils. « Qu’est-ce que tu veux dire ? »
Elle inspira profondĂ©ment. « Les hommes avec qui j’ai Ă©tĂ©... tout Ă©tait toujours Ă  leur maniĂšre, pour leur plaisir. Moi, je n’étais qu’un moyen pour eux. »
Spencer sentit une colùre sourde monter en lui, mais il la ravala, serrant doucement la main d’Alex dans la sienne.
« Tu n’étais pas un moyen, Alex. Tu es bien plus que ce qu’ils t’ont laissĂ© croire. » Elle baissa les yeux, submergĂ©e par un mĂ©lange de honte et de soulagement.
--- **Flashback :**
Une chambre d’hĂŽtel impersonnelle, la lumiĂšre tamisĂ©e. Elle Ă©tait allongĂ©e, fixant le plafond, son cƓur battant trop vite. L’homme au-dessus d’elle ne cherchait ni Ă  comprendre ni Ă  demander. « Ce sera vite fait, » avait-il murmurĂ© avant de se pencher sur elle. Elle avait fermĂ© les yeux, attendant que ça passe, s’efforçant d’effacer chaque sensation.
--- **Présent :**
Alex frissonna malgrĂ© la chaleur environnante. « Je pensais que c’était normal. Qu’on devait toujours dire oui. »
Spencer posa une main rassurante sur sa joue. « Ce n’est pas normal, et tu ne dois jamais te sentir obligĂ©e.
Tu comptes, toi, avant tout le reste. » Elle hocha la tĂȘte, les larmes perlant au coin de ses yeux. « Je sais
 mais les souvenirs restent lĂ . »
Spencer l’attira doucement contre lui. « Tu n’es plus seule. Et tu n’auras plus jamais Ă  affronter ça seule. »
--- **Flashback :**
Le claquement sec d’une ceinture qu’on retire. Le bruit du cuir tombant sur le sol. Elle, assise au bord du lit, incapable de bouger. ---
Un sanglot lui Ă©chappa, et Spencer l’enveloppa dans ses bras, murmurant des paroles apaisantes.
« C’est fini, tu es avec moi. Ici et maintenant. » Peu Ă  peu, ses tremblements s’apaisĂšrent, et elle releva lentement la tĂȘte vers lui.
« Pourquoi es-tu diffĂ©rent ? » demanda-t-elle, sa voix emplie de vulnĂ©rabilitĂ©. Spencer sourit doucement, caressant sa joue.
« Parce que je tiens Ă  toi, et je veux que tu comprennes que tu mĂ©rites le respect et l’amour. »
Il l’embrassa avec une douceur infinie, et elle sentit son cƓur s’ouvrir un peu plus Ă  la possibilitĂ© d’un avenir diffĂ©rent.
--- Plus tard, lorsqu’ils Ă©taient allongĂ©s dans le silence, Alex traça des cercles sur la peau de Spencer du bout des doigts.
« J’ai peur, » avoua-t-elle doucement. Il serra sa main.
« Je sais. Mais on prendra notre temps. Je suis là, et je ne vais nulle part. » Un léger sourire apparut sur ses lÚvres. « Merci... pour tout. »
Spencer l’embrassa sur le front, puis sur les lĂšvres, mais cette fois, il n’y avait ni prĂ©cipitation ni besoin d’aller plus loin.
Il y avait juste eux, et la promesse d’un lendemain sans ombres. Dans la chaleur de ses bras, Alex sentit que, peut-ĂȘtre, elle pourrait enfin se reconstruire.
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christian-dubuis-santini · 2 months ago
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Pourquoi faut-il continuer à souhaiter "Joyeux Noël" ?
L’anniversaire de la naissance de JĂ©sus est comme un caillou sous le pied des idĂ©ologues du progressisme transhumaniste, elle entrave leur tĂ©nĂ©breuse marche vers l’abĂźme.
Avant d'ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©e religieusement, commercialement et idĂ©ologiquement, l’ancienne fĂȘte Saturnale devenue cĂ©lĂ©bration de la naissance du Christ (NoĂ«l = Nouvelle Alliance) nous rappelle qu’avec le christianisme, la vieille idĂ©e d'un Dieu situĂ© par delĂ  le monde — quelque figure que prenne ce Dieu — un au-delĂ  inaccessible qui serait responsable de ce qui nous arrive, a fait son temps...
L'engagement total d'un Dieu dans l'histoire humaine culmine avec cette image du Christ comme un dieu souffrant et mourant dans le supplice, car ce qui meurt sur la croix, comme le note Hegel, ce n'est pas un "reprĂ©sentant" de Dieu, mais «le Dieu de l'au-delĂ  lui-mĂȘme».
Le christianisme Ă©tant la religion de l'athĂ©isme par excellence (Chesterton: «la seule religion oĂč le Dieu lui-mĂȘme devient athĂ©e»), il ne saurait plus y avoir un Dieu imaginaire qui depuis l’au-delĂ  tire les ficelles de notre destinĂ©e (Eli Eli lama sabachtani)

En transformant la formule de Nietzsche "Dieu est mort" par "Dieu est inconscient" Lacan nous fait entendre oĂč se situe dĂ©sormais la responsabilitĂ© qui nous incombe aprĂšs le retrait du Dieu: nulle part ailleurs que dans l'immanence radicale de notre Dire.
L’une des maniùres d’entendre la formule lacanienne selon laquelle le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu'un...
Aujourd’hui plus que jamais nous incombe-t-il de reconnaĂźtre le noyau Ă©mancipateur du christianisme historique, en tant qu’il y a un rapport des plus Ă©troits entre le Saint-Esprit et la pulsion de mort freudienne.
Si au cĂ©lĂšbre "Gott ist tot" Lacan substitue sa formulation "Dieu est inconscient", ce n'est pas pour modĂ©rer l'impact de la dĂ©claration nietzschĂ©enne, au contraire, c'est de la logique, la mort du Christ est strictement indissociable de son autre cĂŽtĂ©: l'immortalisation du corps ("Christ n'est pas mort") qui signale que "quelque chose" dans le corps humain est plus que le corps humain, un objet partiel, non-mort, obscĂšne... l’objet petit (a).
Quand Paul (Romains VII, 4) dit que les chrĂ©tiens meurent Ă  la loi (juive) Ă  travers le corps du Christ, il convient de s'arrĂȘter sur ce paradoxe: la loi a Ă©tĂ© surmontĂ©e par ce qui est Ă©troitement liĂ© au pĂ©chĂ© parmi les hommes, car le site de cette lutte - et son surmontement - n'est pas la loi mais bien ...le corps.
J’appelle christianisme le corps doctrinal qui considĂšre l’avĂšnement christique dans sa stricte perspective thĂ©ologale.
Si la résurrection est le point saillant du christianisme, cela ne veut pas dire que le Christ se soit réincarné dans un autre corps, c'est là précisément qu'intervient le troisiÚme terme, le terme médian, de la trinité chrétienne: la notion de Saint-Esprit.
Le Saint-Esprit, c'est un nom pour la vie au-delĂ  de la vie, par delĂ  le cycle biologique de la gĂ©nĂ©ration et de la corruption, le Saint-Esprit n'est rien d'autre que la permanence de l'ordre symbolique lui-mĂȘme, lĂ  oĂč nous sommes toujours, en tant que "parlĂȘtres", dĂ©jĂ  transubstantialisĂ©s en sujet.
Or le Saint-Esprit désigne aussi la "communauté des croyants", en d'autres termes le (nouveau) lien social (Noël) naissant de l'Autre (l'ordre symbolique) aprÚs l'avÚnement christique.
C'est ainsi qu'il faudrait entendre la rĂ©ponse du Christ lorsqu'on lui demande oĂč il sera aprĂšs sa mort: "Chaque fois qu'il y aura de l'amour entre deux d'entre vous, je serai lĂ ."
"LĂ " ce n'est nulle part ailleurs que dans ...la parole d'amour.
VoilĂ  pourquoi Lacan appelait le christianisme "la vraie religion", la religion de la rĂ©vĂ©lation, la seule religion jamais apparue sur Terre oĂč Dieu lui-mĂȘme devient athĂ©e, la rĂ©vĂ©lation du christianisme, c’est qu’il n’y a rien Ă  rĂ©vĂ©ler, tout est toujours "dĂ©jĂ  lĂ ", l’Autre est un schĂšme mort, impuissant, il n’y a rien Ă  attendre de "l’au-delĂ ", notre croyance dĂ©niĂ©e dans le PĂšre NoĂ«l n’y peut mais, la rĂ©vĂ©lation vraie et rĂ©elle c’est qu’il n’y a que nous (et seulement nous) qui puissions tirer au clair l’inconscient dont nous sommes sujet, autrement dit la logique du signifiant qui dĂ©termine notre destinĂ©e

Bon Natale !
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anotherhumaninthisworld · 3 months ago
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Louise de KĂ©ralio-Robert arguing women can’t play a role in politics while being a woman who plays a role in politics compilation
Women! Always women in everything that threatens France! [
] Wherever we have seen women in public matters in France, everywhere we have seen them in drunkenness! (dans l’ivresse) Mercure national, 22 August 1790, cited in ”Le corps petit, mais l’ñme grande”: Voicing a Woman’s Ambition in Louise de KĂ©ralio (2019) by Vicki Mistacco, page 87.
[I defend] the continuation of the Salic Law among a people too masculine to expose twenty-four million men to ever entrusting this executive power, which emanates from them alone, into the hands of a woman. Journal d’État et du citoyen, 1 October 1789, cited in ”Le corps petit, mais l’ñme grande”: Voicing a Woman’s Ambition in Louise de KĂ©ralio (2019) by Vicki Mistacco, page 83.
Mademoiselle de Keralio is very satisfied by what [Monsieur Brissot de Warville] said today about the influence of women. It is very much part of Melle de Keralio’s principles that women should not make a great spectacle of themselves. [
] A love of publicity is bad for modesty, from the loss of that comes a distaste for domestic work, and from idleness, principles are forgotten and from lack of morals arise all of public disorders. [
] She would like it if one was forced to seek women inside their homes, their presence should be hard to obtain, and rare, offered as a favour. It is one of the regenerations of France and especially of Paris [
], men will be busy from now on, and consequently less attentive to the frequent appearance of useless or frivolous objects. Women [
] will resort to the peaceful and useful occupations that nature assigns to them; education will change, and in the next generation, we will have fewer of these little amphibious beings whose appearance so cruelly bothered Mademoiselle de KĂ©ralio that she was often called a prude and a bigot (although she was neither one nor the other) [
] when she [
] sought in vain, the gentleness, the modesty, the pudeur, which she gothicly imagined which must be the share of a weak and timid sex. She is truly delighted that M. Brissot de Warvulle [sic] taught her a little lesson, and it will certainly not be her who makes it a crime. Letter dated October 10 1789 from de KĂ©ralio to Brissot, cited in ”Le corps petit, mais l’ñme grande”: Voicing a Woman’s Ambition in Louise de KĂ©ralio (2019), page page 87. Mistacco speculates that the ”little lesson” Brissot gave KĂ©ralio was him reprimanding her for having portrayed the women in the march to Versailles as ”heroines” in her journal a few days earlier.
I do not believe that women can ever have any active part in government, and I believe that the greatest good that the constitution can do to public morals is to keep them out of it forever. Women reign in despotic states, it is enough to say that they must be null in the administration of a free country. The more the austerity of republican mores will make them attentive inside their homes, the more it will render them incapable of knowing enough public men to direct a choice which must be the fruit of constant observation and consummate experience. I know in them the sagacity necessary to judge the best of things, but not the extent of genius which makes known the means of arriving there or the force of temperament which supports the necessary studies. I repeat it again, the more they will be what nature has made them, the less they will want to undertake something beyond their physical and moral strength. Content to teach their children the decrees of the assembly, they will aspire neither to make nor dictate them. Mercure national ou Journal d’État et du Citoyen, April 18 1790, in response to the pamphlet Le franc en vedette, ou, Le porte-voix de la vĂ©ritĂ©, sur le tocsin (1790) by Armand Joseph Guffroy, which briefly argued women should take part in administrative business. Cited in Louise de KĂ©ralio-Robert, pionniĂšre du rĂ©publicanisme sexiste (2006) by Annie Geffroy. According to Louise KĂ©ralio Robert, Feminism, Virtue and the Problem of Fanaticism (2021) by Karen Green (tysm! for sharing it with me @nigrit) this article is actually unsigned, and it would therefore be unfair to attribute its authorship to de KĂ©ralio.
Gentlemen of the Social Circle, take care of morals; instead of attracting this crowd of idle and curious women in your footsteps, teach them to shut themselves up in their homes, to make themselves useful and pleasant to their husbands, to their fathers, to their brothers, to provide for and to raise their children there, to take care of their fortune there. Mercure national ou Journal d’État et du Citoyen, April 18 1790, cited in Louise de KĂ©ralio-Robert, pionniĂšre du rĂ©publicanisme sexiste (2006) by Annie Geffroy.
That despotism, fanaticism, pride, avarice lavishing gold and promises, arm the hands of a multitude of men without confession, without family, without homeland, this we have often had examples of since the [beginning of] the revolution. But that a weak and timid sex, stripping away at the same time the two feelings which are most essential to its being: fear and pity, arms its feeble hands against its fellow citizens, its friends, its brothers, its defenders; that one see women assembled in a public square, calling men to fight, provoking some, inciting others, ordering murder and setting an example! [---] Once again, it is the corruption of morals which today produces the anti-civility of women, formerly noble. Well! how could they not fear to cross, at one point, the limits of their sex, they who have stripped all sense of modesty? How would they blush to add hypocrisy to so many even more shameful vices? Chaste women are timid, lost women are bold, daring, cruel. Adresse aux femmes de Monteauban par Mme Robert, ci-devant Melle de Kéralio (1790)
I thought that we could gain a considerable advantage from the addition of a few women to the inspectors appointed by the section. Their domestic duties, sacred duties, important to public order, prohibit them from all administrative functions, and I do not claim to take them out of their sphere because the best things out of place lose all their value. But the spirit of detail to which they are accustomed in their domestic care makes them suitable for the proposed inspection. What would escape the vast observations of a man, will strike them more quickly either in the visits, or in the examination of the details of the broth, and examining the meats; they will see the bakeries, the cellars, the farmyard, the gardening, the fruits, finally, they will go into those details to which they are accustomed at home, and which constitute the skill of a good housewife. Extrait des délibérations de la société fraternelle des deux sexes: séante aux jacobins du dimanche 4 décembre de l'an III par Louise Robert (1791) page 10.
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orageusealizarine · 8 months ago
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Je suis Ă  toi, par chaque soupir de mon corps et chaque suĂ©e de mes fiĂšvres. Comme dans ma nuit, caniculaire, oĂč je suis nue – donc absolue – oĂč mes mots suent, oĂč la chaleur nous exaspĂšre. Et je respire, quand tu espĂšres Ă  haute voix sentir en moi trembler les plaisirs et les rĂȘves. Troubler ce soir oĂč nos lĂšvres encore et en corps se rencontrĂšrent. Troubler l’esprit et la mĂ©moire, abolis, dans le noir. Penser tout bas, tout bas, Ă  ce qu’il y a, entre toi et moi. Et tu restes, dans mon corps, ce qui palpite le plus fort. Je suis Ă  toi, par chaque soupir

Tu es la chaleur qui assaille, qui ravit, l’accablement dans mon lit. Tu viens avec les brĂ»lures du ciel, les Ă©tĂ©s, tentaculaires, tu Ă©paissis mes mystĂšres et tu fais la nuit plus noire oĂč ne luisent que tes regards. Et moi je prends tes mains, je plie ton corps au mien, j’adoucis mes morsures
 – car, non, je ne hurle plus, comme une louve Ă  la lune sur mon ventre enfin descendue. Et les Ă©toiles aussi ont jonchĂ© sur mon plancher. Et sur ta peau, luisante, adorĂ©e, sous ma langue allumĂ©e. Tu es la chaleur qui assaille

Être nue, inconnue, dans la touffeur des soirs – ĂȘtre vue, visitĂ©e par tes envies avouĂ©es, tes sulfureux Ă©gards – faire l’amour noir, entĂ©nĂ©brĂ©, jubilatoire. C’est l’heure du loup, il est trop tard, et tout est feu. Et tout est fou, oh tout est fait, je suis Ă  bout, mais je veux tout, oui tout brĂ»ler, me consumer et t’enflammer et consommer – tous nos plaisirs, tous nos dĂ©sirs, tous nos sourires
 Nulle lumiĂšre et nulle horreur, plus de mort lente et plus d’attente, plus que nos incendies bruyants, plus que nos pores suants ; ĂŽ bonheur ! ĂŽ bonheur ! Être nue, inconnue

A tĂątons, reconnue. Tu fais la nuit plus noire et les rĂȘves plus vrais. Tu fais l’amour plus chaud, plus chaud, tu fais l’amour plus beau.
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au-jardin-de-mon-coeur · 4 months ago
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L'arrivée de l'amour dans une existence est comme la beauté. Comme la mort aussi. Elle ne se prévoit pas. On lÚve les yeux et l'amour est là, devant soi. Surgi de nulle part, il désencombre notre existence, efface les brouillards, empoigne l'ùme et le coeur, embrase le corps.
HĂ©lĂšne Dorion
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tournevole · 10 days ago
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« CouchĂ©e Ă  plat ventre sur la roche chaude, je laissais pendre mon bras sur le cĂŽtĂ©, caressant de la main les contours arrondis de la pierre bouillante sous le soleil, les ondulations lisses. Le rocher brĂ»lant offrait un tel confort, rude et chaud, qu’on aurait dit un corps humain. La chaleur intense me brĂ»lait Ă  travers le tissu de mon maillot de bain, et irradiait tout mon corps ; mes seins, contre la pierre dure et plate, me faisaient mal. Il soufflait un vent moite et salĂ© qui dĂ©trempait mes cheveux – ïżœïżœ travers leur masse brillante, j’apercevais le scintillement bleu de l’ocĂ©an. Le soleil s’infiltrait par chaque pore, comblait chacune des fibres douloureuses de mon corps, pour me plonger dans une quiĂ©tude dorĂ©e, rayonnante. Je m’étirais sur le rocher, corps tendu, puis relĂąchĂ©, sur cet autel ; j’avais l’impression d’ĂȘtre dĂ©licieusement violĂ©e par le soleil, remplie de chaleur intense par le dieu impersonnel et colossal de la nature. Sous moi, le corps de mon amant Ă©tait chaud et pervers, la sensation de sa chair sculptĂ©e Ă  nulle autre pareille ; ni douce ni mallĂ©able, ni trempĂ©e de sueur, mais sĂšche et dure, lisse, propre et pure. Et moi, noble, d’une blancheur d’ossements, j’avais Ă©tĂ© rejetĂ©e par l’ocĂ©an, une fois lavĂ©e, baptisĂ©e et lustrĂ©e, entiĂšrement assĂ©chĂ©e par le soleil. Le corps de mon amant Ă©tait comme les algues, tranchant, cassant, Ă  l’odeur puissante ; comme la pierre, il Ă©tait net et arrondi, incurvĂ©, ovale ; comme le vent, Ăącre et salĂ© – le corps de mon amant Ă©tait ainsi. C’était un sacrifice orgiaque sur un autel de pierre et de soleil, et je me suis relevĂ©e luisante de siĂšcles d’amour, purifiĂ©e et rassasiĂ©e par le feu dĂ©vorant de son dĂ©sir fortuit et intemporel
/  »
Journal extrait,
Sylvia Plath,
Swanpscott – EtĂ© 1951
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chickenkurage · 5 months ago
Note
06 might feel guilty for being so glad to have Alan here as a new friend because he very much does not want to be here. Unfortunately, there's nothing any of them could do about it.
Sure, Alan had a hard life after his father's death, living in financial struggle but 06 too had a rough life as well :((
I'm pretty sure he only had a lick of normal childhood and that happens when Null is around. But even that is limited since Null had to experiment on him too.
Imagine escaping from annex corp and one of the first joys you felt is having a new friend (to be sibling) in your new head. Then finding out that your friend didn't want to be here... That first happy memory you have outside the facility would surely turn to guilt. Ughh I didn't think that this au would be this angsty TOT. - JM
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jgthirlwell · 9 months ago
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playlist 05.30.24
Shellac To All Trains (Touch and Go) Kernis Symphony On Waves (Argo) Elysian Fields What The Thunder Said (Ojet) Giovanni Fusco La Guerre Est Finie OST (Bell) Georg Friedrich Haas In Vain (Kairos) Sebastian Tropic OST (Ed Banger) Vocoder V.O.C.O.D.E.R (Dur et Doux) Caleb Landry Jones Hey Gary, Hey Dawn (Sacred Bones) Joseph Franklin A Thousand Tiny Mutinies (Nice Music Label) Herdis Stensdottir Knock At The Cabin OST (Back Lot Music) Lu$tSickPuppy Carousel From Hell (Bandcamp) Big | Brave A Chaos of Flowers (Thrill Jockey) BBBBBBB singles and EPs (Bandcamp) Trent Reznor & Atticus Ross The Killer OST (The Null Corp) Chico Magnetic Band (Lizard / Disques Vogue)
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thebusylilbee · 7 months ago
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[...] Preuve qu’il n’a pas pour idĂ©e de se remettre en cause, le prĂ©sident de la RĂ©publique a invitĂ© ce jeudi 25 juillet Ă  l’ÉlysĂ©e pour dĂ©jeuner un parterre de grands patrons internationaux venus pour la cĂ©rĂ©monie d’ouverture des Jeux olympiques (JO) et paralympiques (JOP) afin de les rassurer sur ses intentions pro-business. Un signal politique clair de la part de celui qui est accusĂ©, bien au-delĂ  des rangs de la gauche, de faire sĂ©cession avec les plus riches. Étaient prĂ©sents Ă  l’ÉlysĂ©e Elon Musk, patron du groupe automobile Tesla et soutien de Donald Trump, James Quincey (Coca-Cola), Joseph Tsai (Alibaba), Brian Chesky (Airbnb), Shou Zi Chew (TikTok), Lee Jae-yong (Samsung) Aditya et Lakshmi Mittal (ArcelorMittal), ou encore Neal Mohan (YouTube). CĂŽtĂ© français, Bernard Arnault (LVMH), Nicolas Namias (BPCE), Alexandre Bompard (Carrefour) ou encore SĂ©bastien Bazin (Accor) Ă©taient Ă©galement conviĂ©s. [...] Pas de remise en cause  Selon une conseillĂšre Ă©lysĂ©enne qui a parlĂ© Ă  l’AFP, Emmanuel Macron a, lors du dĂ©jeuner, voulu « rassurer » tous les patrons inquiets aprĂšs des Ă©lections lĂ©gislatives dĂ©sastreuses pour son camp politique, en se portant garant que ses rĂ©formes structurelles (baisse de la fiscalitĂ© sur le capital et les plus riches, flexibilisation du marchĂ© du travail, chĂŽmage, retraites
) ne seraient pas remises en cause.  Une conseillĂšre de l’ÉlysĂ©e a prĂ©cisĂ© Ă  l’AFP qu’Emmanuel Macron avait « expliquĂ© les choix qui ont Ă©tĂ© les siens, avec notamment la dissolution » de l’AssemblĂ©e nationale, tout en les « invitant Ă  continuer Ă  investir dans notre pays ». Elle a aussi prĂ©cisĂ© qu’Emmanuel Macron leur avait donnĂ© « des gages » sur le fait qu’il a, lui, « l’attractivitĂ© chevillĂ©e au corps », et que cet Ă©lĂ©ment serait « non nĂ©gociable » lors des dĂ©bats parlementaires Ă  venir. [...] [C’est] cette idĂ©e « d’attractivité » qui gouverne la politique d’Emmanuel Macron et lui permet de justifier sa politique de l’offre, sans jamais questionner les plus de 160 milliards d’euros d’aides publiques distribuĂ©es chaque annĂ©e aux entreprises qui creusent le dĂ©ficit. Pacte lĂ©gislatif sans compromis  Autre preuve du dĂ©ni dĂ©mocratique en matiĂšre d’économie : ce mardi 30 juillet, Les Échos ont rĂ©vĂ©lĂ© les grandes lignes du « pacte d’action » prĂ©vu par le toujours premier ministre Gabriel Attal pour travailler avec d’autres forces politiques sur un « pacte lĂ©gislatif commun »... qui n’a de commun que le nom.  Le groupe macroniste, qui s’est renommĂ© Ensemble pour la RĂ©publique (EPR), propose certes d’amĂ©liorer le pouvoir d’achat, principale prĂ©occupation de la population. Mais nulle idĂ©e, pour ce faire, de rehausser le SmicĂ  1 600 euros net, comme le propose la gauche, ou de rĂ©investir dans les services publics. Il s’agit juste de poursuivre la politique dĂ©jĂ  engagĂ©e depuis 2017.   Le groupe EPR propose en effet, selon Les Échos, une revue des exonĂ©rations de cotisations sociales pour rapprocher le salaire net du salaire brut et inciter aux augmentations. Soit ce qui Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©vu depuis l’automne dernier, via la mission qui avait Ă©tĂ© confiĂ©e par Élisabeth Borne aux Ă©conomistes Antoine Bozio et Étienne Wasmer. Le parti prĂ©sidentiel planche aussi sur une mesure visant Ă  un meilleur « partage de la valeur » et Ă  une amĂ©lioration de la « prime d’activité », Ă©galement dans les tuyaux bien avant la dissolution de l’AssemblĂ©e nationale. Les Échos nous apprennent enfin que le groupe EPR promouvra la « continuitĂ© sur la politique Ă©conomique, avec une stratĂ©gie activitĂ©, emploi et croissance pour accĂ©lĂ©rer la rĂ©industrialisation et inciter Ă  la reprise d’emploi avec une rĂ©forme de l’assurance-chĂŽmage ». Bref, de compromis en Ă©conomie, il n’y aura pas du cĂŽtĂ© de la Macronie. 
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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Je t’aime, Je t’aime d’une maniùre inexplicable, De nature inavouable, De façon contradictoire.
Je t’aime
 Avec mes Ă©tats d’ñmes qui sont nombreux, Et mes changements d’humeurs continuels Pour ce que tu sais dĂ©jĂ . Le temps, la vie, la mort.
Je t’aime
 Avec ce monde que je ne comprends pas, Avec ces gens qui ne saisissent rien, Avec l’ambivalence de mon Ăąme, Avec l’incohĂ©rence de mes actes, Avec la fatalitĂ© du destin, Avec la conspiration du dĂ©sir, Avec l’ambiguĂŻtĂ© des faits. MĂȘme quand je dis que je ne t’aime pas, je t’aime. MĂȘme si je triche, je ne triche pas, Dans le fond, j’exĂ©cute un plan, Pour t’aimer encore mieux.
Je t’aime
 Sans rĂ©flĂ©chir, inconsciemment, DĂ©raisonnablement, spontanĂ©ment, Involontairement, instinctivement, Par impulsion, irrationnellement. En effet, je n’ai pas d’arguments logiques, MĂȘme improvisĂ©s
 Pour expliquer cet amour que je ressens pour toi, Qui a Ă©mergĂ© mystĂ©rieusement de nulle part, Qui magiquement n’a pas Ă©tĂ© rien, Et qui miraculeusement, d’un peu, avec peu et rien a amĂ©liorĂ© le pire qui Ă©tait en moi.
Je t’aime
 Je t’aime avec un corps qui ne pense pas, avec un cƓur qui ne raisonne pas, avec une tĂȘte qui ne coordonne pas.
Je t’aime incomprĂ©hensiblement, Sans m’étonner de pourquoi je t’aime, Sans m’importer de pourquoi je t’aime, Sans me questionner de pourquoi je t’aime.
Je t’aime, tout simplement parce que je t’aime, MĂȘme moi je ne sais pourquoi Je t’aime
!!!
Pablo Neruda 
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carraways-son · 3 months ago
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Jeudi
VoilĂ , c'est ça : "Le corps traversĂ© de fleuves et la tĂȘte venteuse..." ('Alina Reyes, La Chasse amoureuse). Je relis aussi : "Mais comment raconter la vie d'un homme autrement que par la confusion ? Comment mettre en ordre ce fleuve jailli de nulle part, pour citer une phrase de W.G. Sebald, ne se jetant nulle part et dont les eaux incessamment refluent en elles-mĂȘmes ? " (Philippe Romon, Parlez-moi de Carver). Enfin, serrĂ©e comme un caillou au creux du poing, cette promesse vainement rĂ©itĂ©rĂ©e : " Faire au moins une fois ce qu'on ne fait jamais. Suivre, ne serait-ce qu'un jour, une heure, un autre chemin que celui oĂč le caractĂšre nous a mis." (Christian Bobin, Autoportrait au radiateur). Et puis se dĂ©brouiller avec les mots qui volent, les sentiments qui se tordent, et tout ce qui s'Ă©chappe. Je n'ai pas aimĂ© octobre, je dĂ©teste novembre et n'attends rien de dĂ©cembre ou janvier. Pourtant, attendre est un luxe au-dessus de mes moyens. Alors je distrais mon impatience. Cet aprĂšs-midi, j'ai passĂ© un agrĂ©able moment sur les ondes courtes, oĂč j'ai contactĂ© facilement la Californie et l'Ăźle Maurice.
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e642 · 1 year ago
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D'un coup je me suis sentie trĂšs seule, trĂšs triste, trĂšs fatiguĂ©e. Voire mĂȘme trĂšs nulle. Je ne sais pas trop d'oĂč ça vient mais ça m'arrive souvent. C'est une panique sourde et organique. Il n'y a que moi qui sait. C'est l'acharnement du "pourquoi faire ?". Ces deux mots ont une facilitĂ© dĂ©concertante Ă  me faire m'arrĂȘter net dans mes mouvements. Puis, je passe des heures Ă  retrouver cet Ă©quilibre. L'Ă©quilibre qui consiste Ă  repousser tout ce que je pense loin dans mon cerveau pour avoir du rĂ©pit, jusqu'Ă  la prochaine cohue psychique. Personne ne me vient jamais en tĂȘte quand je pense au rĂ©confort, si ce n'est moi, mais des fois, j'ai envie de dĂ©lĂ©guer. L'esprit vide de prĂ©sence et le corps pourtant si entourĂ©e. EnfermĂ©e dans l'existence des autres. Je suis ancrĂ©e dans tellement de quotidien, nĂ©anmoins, aucune vie autour de moi ne trouve un rĂ©el intĂ©rĂȘt pour moi. Je me pose de moins en moins de questions pour maximiser mes chances de penser au frivole mais cette inconsistance m'a toujours angoissĂ©e. J'Ă©cris beaucoup moins parce que le fait de radoter me met en colĂšre. Me rappelle que je ne suis qu'un point de non retour. Je n'arrive pas Ă  me satisfaire de ce que j'ai et visiblement je n'ai pas prĂ©vu de faire autre chose que le constater une fois de plus avec des mots synonymes. Je me suis toujours inspirĂ©e la mĂ©diocritĂ© et ça non plus, ça n'a pas vocation Ă  changer.
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