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Exercise Day 8 (6/17/24)
Forgot to update yesterday! I: Biked 3 miles in 18 minutes at a level 3 resistance Walked 1 mile in 14 minutes at a 1.5% incline
#personal#ndr#getfit2k24#once again the pool lanes were full#I think it's going to be tricky to get a swim lane when the weather is in the 90s
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Ask game : 5, 15, 22?
5. favourite song in your native language?
I've gotta admit I actually rarely listen to Czech songs, most of the ones I listen to are either English or German. But if I were to choose, I'll probably go with Lady Karneval. It's very much my parents' generation song, maybe even older, but it's such a classic.
15. a saying, joke, or hermetic meme that only people from your country will get?
My favourite one is probably saying "Kde udělali soudruzi z NDR chybu?" (roughly: "Where did the comrades from German Democratic Republic make a mistake?") whenever something goes wrong or does not work as it should.
It's a line from a cult Czech movie from the 90s. It's a comedy about life under the communist regime and about multi-generational family trauma. Us Czechs have a great time-honoured tradition of watching it every Christmas.
22. what makes you proud about your country? what makes you ashamed?
Proud... I guess some specific artists, like Kafka or Seifert. Some Czech inventions and discoveries are pretty cool, like the word 'robot', contact lenses or the laws of heredity.
If I go with historical events, then definitely the assassination of Reinhard Heydrich by the Czechoslovakian soldiers during the time when we were occupied by Nazi Germany. It has all of the themes of bravery and resistance and personal sacrifice that just kind of click. There's also a solid movie about it with Cillian Murphy.
Also any time I see the defenestration memes going around Tumblr, I have the urge to be reblog and be like 'Yeah. That was us!!'
Ashamed - definitely the fact that a lot of people here are quite racist and sexist and often weirdly proud of it as well. Also a lot of our politicians, though at least our new president is a step-up.
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BLITZKRIEG CLIMATIQUE
Offensive climatique : feux au Québec, en Europe, à Maui (Hawaï), sur la côte ouest canadienne, à Kelowna (Colombie britannique). Les médias présentent des »réfugiés« climatique un peu partout.
« Comme pour la Covid, tout ça a été annoncé. Les politiciens et les gens comme Bill Gates ont cette faculté incroyable d'avoir une boule de cristal; savoir tout ce qui s'en vient en terme de crise, sanitaire ou climatique, etc. quelques mois d'avance. Fauci avait annoncé en 2017 qu'il allait avoir une pandémie surprise. Là on est dans l'ère du bouillonnement climatique. C'est comme la Covid, c'est de l'hyper ventilation médiatique. On est dans une blitzkrieg climatique, terme allemand pour une guerre-éclair, stratégie utilisée en 1939 (2). » (Caroline Lessar, synthèse des propos d’Alexis Cossette-Trudel)
« Maui en 4 points:
1- Autorités locales ont COUPÉ L'EAU (L'eau qque chose de sacré qu'on utilise…).
2- Autorités locales n'ont pas activé les sirènes d'urgence (Le responsable ne regrette pas... 😮).
3- Compagnie d'électricité n'a pas coupé l'électricité.
4- Autorités ont empêché les automobilistes d'évacuer la ville (Deux témoins... l'un d'eux a roulant avec sa voiture sur les trottoirs pour évitant à la police alors que d'autres sont mort brûlés dans leur voiture.).
Réponse de la part des autorités totalement inexplicables exactement comme la covid, c'est criminel tout ça (2) ! » (Caroline Lessar, synthèse des propos d’Alexis Cossette-Trudel)
« En Suisse la chaîne météorologique a dû s'excuser. Imaginez FRAUDER les téléspectateurs en augmentant les températures par 6 degrés. C'est la température asymptomatique. Il fait frais mais vous avez tort parce qu'on a battu des records… Le climato-scepticisme en augmentation. Ben oui, c'est parce qu'on vous attrape en train de frauder. Pareil comme la Covid… (2) » (Caroline Lessar, synthèse des propos d’Alexis Cossette-Trudel)
« Ce qu'on est en train de vivre présentement c'est 100% artificielle, que ce soit autant la réalité climatique elle-même que la réponse médiatique. L'Agence spatiale européenne c'était fait prendre en flagrant délit de prendre sa température au niveau du sol au lieu de 2 mètres: on obtient 2 degrés de plus, c'est comme ça qu'on a battu des records. C'est quoi l'idée de modifier les outils de mesure du climat pour faire croire à une augmentation ? – 90% des capteurs de température aux États-Unis sont dans des zones non conformes (2). » (Caroline Lessar, synthèse des propos d’Alexis Cossette-Trudel)
[ndr – Comment bouter le feu et gérer des incendies pour gérer des terres. Un dispositif pyromane qui existe officiellement depuis 1987 (!). Une telle arme existe sans doute pour ne pas s'en servir. Penser le contraire, c'est être con plot tiss (1).]
« Un dispositif d'allumage laser pour le brûlage contrôlé des rémanents forestiers a été développé et testé avec succès. L'appareil, qui utilise un laser au dioxyde de carbone de classe kilowatt, fonctionne à des distances de 50 à 1 500 mètres. L'acquisition et le contrôle de la mise au point sont réalisés grâce à l'utilisation d'un télémètre laser et d'un télescope d'acquisition. Les utilisations supplémentaires de l'appareil incluent le rétro-combustion, l'élimination de sous-bois sélectionnés, l'inflammation en toute sécurité des déversements d'hydrocarbures et le dégivrage. Une version montée sur camion sera opérationnelle à l'automne 1987 et une version aéroportée à l'été 1988 (1). » (trad. via Google)
‣ Chaîne Gettr « RadioQuebec », « LA BLITZKRIEG CLIMATIQUE », pub. 20 août 2023, (sans espace) https :// gettr . Com / streaming / p2on0x32653 (cons. 29 août 2023)
‣ Chaîne Rumble « RadioQuebec », « LA BLITZKRIEG CLIMATIQUE », pub. 20 août 2023, (sans espace) https :// rumble . Com / v39rre8-la-blitzkrieg-climatique . html (cons. 29 août 2023).
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(1) Forest Service, U.S. Department of Agriculture, « Laser Ignition Device and Its Application to Forestry, Fire and Land Management », pub. 1987, https://www.fs.usda.gov/research/treesearch/28116 (cons. 29 août 2023).
(2) Canal Telegram « EXTRAITS RADIO-QUÉBEC » (Caroline Lessar), (sans espace) https :// t . me / extraitradioquebec, (sans espace) https :// twitter . Com / CarolineLessar8 / status / 1693660938677743903 ? s=20, (sans espace) https :// rumble . Com / v3a37gt-extrait-du-webjournal-de-radio-qubec-20-aot-2023-la-blitzkrieg-climatique-a . html, (sans espace) https :// crowdbunker.com / v / YZ8HwcWsqM (cons. 29 août 2023).
#incendies#maui#kelowna#quebec#canada#climat#ingénierie sociale#géo-ingénierie#délit d'initié#feux#hawaï#BLITZKRIEG#RQ#Radio Québec#Alexis Cossette-Trudel
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Hitler, Heidemann, Billy Idol, Madness
Ich finde die Dokuserie „Der Hitler-Fake: Geschichte einer Jahrhundertfälschung“ unbefriedigend. In dieser Rezension, die in epd Medien 18/23 erschienen ist, hebe ich vor allem auf die filmischen Schwächen ab. Weitere inhaltliche Kritik findet man bei Thomas Schuler (Übermedien).
Die Doku-Serie „Der Hitler-Fake“ ist der dritte ausführliche Beitrag der ARD anlässlich des 40. Jahrestages der Veröffentlichung von Teilen der „Hitler-Tagebücher“ in der Zeitschrift „Stern“. Im Februar hatten bereits die vom NDR fürs Erste produzierte Sendung „Reschke Fernsehen“ und die ebenfalls vom NDR verantwortete Online-Reihe „Strg_F“ das Thema wieder in den Blickpunkt gerückt.
Der NDR ist auch an „Der Hitler-Fake“ beteiligt, und insofern fällt es auf, dass sich die Serie nur auf seltsam verdruckste Weise auf die „Reschke Fernsehen“-Folge zu den „Hitler-Tagebüchern“ bezieht. Anja Reschkes Team hatte im Rahmen der Ausstrahlung damals im Netz sämtliche 60 Bände der gefälschten Tagebücher zugänglich gemacht, die der Verlag Gruner + Jahr bis dato weggesperrt hatte. In „Der Hitler-Fake“ heißt es nun nur, das Material sei „gegen den Willen“ des Verlags Gruner + Jahr „online veröffentlicht“ worden. Wem der Scoop gelang, wird nicht erwähnt.
Die drei Teile der Doku-Serie sind zwischen 30 bis 33 Minuten lang; am Starttag der Serie lief in der Reihe „ARD History“ auch eine 90-minütige Fassung, die in der Mediathek allerdings nur schwer auffindbar war und inzwischen schon nicht mehr online steht. Der Protagonist ist der frühere „Stern“-Reporter Gerd Heidemann, der die Tagebücher beschafft hat.
In seinem riesig wirkenden Kellerarchiv in Hamburg gibt sich Heidemann redselig. Autor Christian Bock hält ihn für eine nicht sonderlich glaubwürdige Person. Der Filmemacher wirft zum Beispiel die Frage auf, ob Heidemann bei alten Nazis antichambrierte, „um sich in braunen Netzwerken beliebt zu machen“ und Türöffner für seine Artikel zu finden, „oder ob er selbst dazu gehörte“. Heidemann beteuert, dass Ersteres zutreffe. Dass der frühere Waffen-SS-General Karl Wolff sein Trauzeuge war, spricht zumindest nicht gegen die zweite Option.
Dennoch delektiert sich Bock an der Schrulligkeit Heidemanns, die auch darin zum Ausdruck kommt, dass er in seinem Mega-Archiv Material zu seiner Ex-Freundin Edda Göring aufbewahrt. Die Tochter des NS-Verbrechers Hermann Göring sei ihm „auf die Nerven gegangen“, klagt der 91-Jährige. Er habe ihr „immer Komplimente machen“ sollen.
Angesichts dessen, dass die Tagebücher an einigen Stellen Hitler als relativ judenfreundlich darstellen („Wir müssen unbedingt einen Platz im Osten finden, wo sich diese Juden selbst ernähren können“) stellt die Serie auch die Frage in den Raum, ob es bei der Fälschung um „den Versuch“ gegangen sei, „Hitler rein zu waschen?“ Der britische Historiker Richard Overy sagt dazu, es sei „schwer herauszufinden“, ob Konrad Kujau Teil eines Nazi-Netzwerks war, das „ein Dokument erschaffen wollten, das Hitler in einem besseren Licht zeigt“. Das wirke zwar „in sich plausibel, aber wir werden sehr viel mehr Beweise brauchen, als wir sie tatsächlich im Moment haben.“ Das ist aber vielleicht gar nicht entscheidend, interessanter ist die Frage, wie die Führungskräfte des „Stern“ und im Verlag Gruner + Jahr seinerzeit auf das durch das Tagebuch vermittelte Hitler-Bild reagierten.
Ein tragendes Element der Doku-Serie sind Telefonate zwischen Heidemann und dem Tagebuch-Fälscher Konrad Kujau. Der einst renommierte Journalist hat sie alle aufgenommen und Serienautor Bock zur Verfügung gestellt. Diese Aufnahmen können überhaupt nicht richtig ihre Wirkung entfalten. Der Zuschauer wird ständig abgelenkt: Die Spielszenen, in denen nachgestellt wird, wie Heidemann telefonierte, sind im Prinzip noch hinnehmbar, nehmen aber zu viel Raum ein. Völlig verzichtbar sind die Animationen, in denen die Ausreden, die Kujau am anderen Ende der Leitung dafür erfindet, dass die Bücher noch nicht in Hamburg angekommen sind. Heidemann glaubte zu dem Zeitpunkt ja noch, dass es die Tagebücher wirklich gibt und es nur eine Frage der Zeit ist, bis Kujaus Kontaktleute liefern. Als einen der Gründe für die Verzögerung nannte der Fälscher zum Beispiel, dass in Polen die Gewerkschaft Solidarnosc mit ihren Protesten das Land lahm gelegt habe. In der Animation dazu sind dann hopsende Demonstrierende zu sehen.
Nicht nur bei den Animationen verliert sich die Serie in Abschweifungen, sondern auch in einer exzeptionell langweiligen Passage über Menschen, die NS-Artefakte sammeln (auch gefälschte) und danach in den Wäldern des Berchtesgadener Lands graben. Bock hat hier jedenfalls zu viel Zeit. Ein kompakter 45-Minüter, der das Wesentliche zusammenfasst und ein paar neue Einschätzungen einfließen lässt - das wäre bei diesem Stoff die bessere Option gewesen.
Ein Ärgernis ist auch die Musik in „Der Hitler-Fake“. Hits von Madness, OMD, Visage, Billy Idol, Blondie und noch vielen mehr werden hier eingestreut, als ob es sich um ein Jahrzehnt-Rückblicks-Format handelte. Einen Bezug zu den beschriebenen Ereignissen oder den dargestellten und interviewten Personen haben die kurz angespielten Songs allerdings nicht. Die Musik soll bloß nostalgische Affekte erzeugen, und das für eine politisch-historische Dokuserie dann doch ein bisschen billig.
Der Ton, den die Sprecherin Marion von Stengel anschlägt, erinnert ebenfalls eher an ein Jahrzehnt-Rückblicks-Format. Ihre Stimme strahlt eine tendenzielle Gutgelauntheit aus, die überhaupt nicht zu Passagen passt wie „der gute Hitler - von allen Fakes und Fälschungen die übelste“. So gibt es an mehreren Stellen eine Kluft zwischen dem Gesagten und der Art, wie es gesagt wird.
Nicht zuletzt fragt man sich, warum bei einer Produktion, in der mehrere Monat Arbeit stecken, nicht einmal ein paar Minuten darauf verwendet werden, spätestens bei der Endabnahme die gröbsten sprachlichen Plattheiten heraus zu redigieren. Zu der Zeit, als Gerd Heidemann beim „Stern“ anfing, heißt es in der ersten Folge zum Beispiel: „Der ‚Stern‘ macht heiße Storys und große Geschichten.“
Die zahlreichen Makel dieser Doku-Serie irritieren auch insofern, als hier mit Thomas Michel beim federführenden SWR sowie Rolf Bergmann (RBB) und Marc Brasse (NDR) drei Redakteure beteiligt waren, die oft genug bewiesen haben, dass sie wissen, wie man hochwertiges dokumentarisches Fernsehen produziert. Hier scheinen sie aber von vielen guten Geistern verlassen gewesen zu sein.
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Le materie prime sono tornate sotto i riflettori
L’oro e il rame raggiungono un primato storico accompagnati da quasi tutti gli altri metalli. In precedenza il cacao, con un’ascesa vertiginosa delle quotazioni seguita da una fase di estrema volatilità tuttora in corso. Le violente impennate del caffè, che si è spinto a livelli di prezzo mai raggiunti da quando esistono i futures. Ma anche il gas, rincarato di oltre il 20% sul mercato europeo dall’inizio della primavera, per tornare sui valori dello scorso dicembre, sopra 35 euro per Megawattora al Ttf. Per ultimo, in ordine cronologico, si è risvegliato il grano: martedì 28 scambiava ai massimi da dieci mesi a Chicago, dopo un picco da marzo 2023 toccato sulla piazza di Parigi. Le materie prime sono tornate sotto i riflettori, con rialzi in gran parte di chiara matrice speculativa sui mercati finanziari, che stanno diventando sempre più diffusi. Ad arginare il rischio di ripresa dell’inflazione resta il baluardo del petrolio, oggi piuttosto stabile anche a causa dell’orientamento dei fondi, che – a torto o a ragione – è molto cambiato rispetto a pochi mesi fa: sul greggio le posizioni lunghe (all’acquisto) degli hedge funds sono diventate «le più deboli da gennaio 2019», fa notare Ole Hansen di Saxo Bank commentando gli ultimi dati Cftc, riferiti alla settimana al 21 maggio. Gli speculatori si sono accaniti in particolare sul Brent, concentrandovi il maggior numero di posizioni corte (ribassiste) da novembre 2020 e accelerando così il ritorno dei prezzi intorno a 83 dollari al barile, dopo essersi avvicinati a 100 dollari nel settembre 2023 aver superato 90 dollari anchein aprile. Un copione completamente diverso sta invece andando in scena sui mercati dei metalli, dove si muovono i protagonisti assoluti dell’attuale rally delle materie prime. Le “scommesse” su ulteriori rialzi dell’oro – che pure ha già corso molto e molto a lungo – sono ai massimi da quattro anni: l’esposizione netta lunga al Comex è aumentata del 12% nella settimana al 21 maggio, a 194mila contratti. Situazione simile per il rame: i dati, sempre riferiti al mercato Usa, indicano posizioni nette lunghe ai massimi da tre anni, intorno a 37.700 contratti, per un valore di circa 17 miliardi di dollari (e ben 116 fondi speculativi coinvolti). Le quotazioni del metallo rosso – che per la prima volta nella storia si sono spinte sopra 11.100 dollari per tonnellata – sono probabilmente vulnerabili, quanto meno nel breve termine: stanno aumentando anche le “scommesse” ribassiste e cresce l’open interest (il numero complessivo di posizioni aperte), osserva Société Générale. Il quadro dei fondamentali del resto oggi non offre un forte sostegno. Lo spunto viene piuttosto dalle prospettive di medio lungo termine: un rischio di forti carenze di rame dovuto allo scarso sviluppo delle miniere e al boom di consumi alimentato da transizione energetica ed intelligenza artificiale. Pierre Andurand, celebre gestore di hedge funds focalizzati su materie prime, ha dichiarato di recente al Financial Times di essere convinto che il rame quadruplicherà di prezzo nel giro di quattro anni, raggiungendo 40mila dollari per tonnellata, man mano che le scorte si esauriranno. Intanto scommettere sul metallo rosso gli ha fruttato ottime performance: il suo fondo Commodities Discretionary Enhanced (da circa 1,3 miliardi di dollari) avrebbe guadagnato oltre l’80% quest’anno, dopo il -55% del 2023, un tonfo dovuto soprattutto a scommesse perdenti sul petrolio. Andurand ora non si fida più del barile: «Penso che tutti noi (i fondi, Ndr) abbiamo perso un sacco di soldi aspettandoci interruzioni dell’offerta che non si sono poi verificate», dice all’Ft, aggiungendo di non aspettarsi «grandi movimenti di prezzo» nel breve proprio perché su questo fronte è subentrata una cautela diffusa. I metalli invece – almeno per ora – hanno ripagato l’interesse degli speculatori. Da aprile in avanti le quotazioni del rame sono arrivate a guadagnare più del 30%, contagiando tutto il comparto: ci sono stati rincari a doppia cifra percentuale nello stesso periodo anche per alluminio, zinco, piombo e persino per il nickel, che era stato affossato da un enorme eccesso d’offerta. In parallelo è aumentata la posta in gioco. Jp Morgan stima che l’assalto dei fondi abbia spinto al record storico il valore delle posizioni aperte sui mercati dei metalli: 227 miliardi di dollari nel caso dei non ferrosi e 215 miliardi per i metalli preziosi. All’oro – che ha da poco aggiornato il record a 2.450 dollari l’oncia ma corre da mesi – si sono accodati di recente anche l’argento (salito ai massimi da 11 anni sopra 32,5 dollari l’oncia) e il platino.Entrambi hanno rilevanti impieghi industriali ed è forse per questo motivo che si sono risvegliati solo in seguito alla straordinaria ascesa del rame. Anche l’argento (usato ad esempio nei pannelli solari) e il platino (che serve per le marmitte catalitiche) beneficiano degli scenari favorevoli che sembrano delinearsi per l’economia, soprattutto negli Usa, dove molti fondi speculativi concentrano la propria attenzione: l’idea di base è che presto i tassi d’interesse scenderanno e la produzione industriale potrà accelerare il ritmo, protetta se necessario da generosi sussidi e barriere commerciali a difesa dalla concorrenza cinese. Questo almeno per quanto riguarda i metalli. Ma lo stesso ragionamento vale anche per chi investe in modo generalizzato nelle materie prime, attraverso indici. La tendenza sta di nuovo prendendo piede, con flussi raddoppiati in aprile per Morningstar (a 2,4 miliardi di dollari) e il 13% dei gestori di fondi che a maggio, secondo il sondaggio di Bank of America, sostiene di essere “overweight” sulle commodities, un record da circa un anno. Anche i rialzi del gas quotato in Europa , come quelli dei metalli, potrebbero in parte dipendere da “scommesse” sulla ripresa dei consumi industriali. Di recente ci sono anche state difficoltà in alcuni impianti di Gnl negli Usa e in Australia, in un periodo di recupero degli acquisti in Asia. C’è stato inoltre il timore di un blocco del gas russo diretto in Austria. Ma i trader “tradizionali”, che scambiano partite fisiche di combustibile, non riscontrano carenze d’offerta, né preoccupano il livello degli stoccaggi o il ritmo delle iniezioni. L’impressione è piuttosto che vi siano all’opera fondi che non conoscono bene il mercato europeo del gas: fondi Usa, nello specifico, che hanno “riscoperto” le materie prime e tendono a scambiare gas con logiche simili a quelle applicate con il petrolio, si legge in un’analisi di S&P Global Commodity Insights. Forse non a caso i forti movimenti di prezzo avvengono soprattutto nel pomeriggio europeo, quando Oltreoceano i trader si mettono al lavoro. Molti fondi, comunque sia, sono guidati da algoritmi. E tra i grandi hedge funds cresce anche il ricorso all’intelligenza artificiale generativa, il che complica anche l’interpretazione di quale sia l’innesco per nuovi acquisti (o viceversa per vendite). Lo stesso vale per i mercati agricoli. Materie prime come il cacao, il caffè e adesso il grano hanno cominciato ad impennarsi a causa di reali timori climatici o comunque relativi all’offerta. Ma quando il rally guadagna troppa forza a un certo punto inizia a vivere di vita propria, alimentandosi di segnali tecnici che inducono molti fondi a seguire il “momentum”. Read the full article
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Jazz und Blues - Fr, 10.05.2024, 19:30 Uhr
I GOTTA RIGHT TO SING THE BLUES - FABER/KUHN/BAZIJAN/GMELIN
Mitwirkende: Johannes Faber - Piano, Gesang, Trompete
Harald Kuhn - Trompete
Eugen Bazijan - Cello
Matthias Gmelin - Schlagzeug
Veranstalter: ars musica e.V.
Location: LUISE Kulturzentrum
Adresse: Ruppertstraße 5, 80337 München
Eintritt: € 20,- / erm. € 15,-
Tickets: https://www.ticketino.com/de/Event/Faber-Kuhn-Bazijan-Gmelin/190307
Beschreibung:
Der Blues ist die Urquelle des Jazz und der gesamten Popularmusik. Wir präsentieren mit unserem Programm ein Jazz-Kaleidoskop der unzähligen Schattierungen des Blues. "While the European tradition strives for regularity - of pitch, of time, of timbre and of vibrato - the African tradition strives precisley for the negation of these elements." (Ernest Borneman)
Der Blues ist die Begegnung von afrikanischer Pentatonik und europäischem Zwölftonsystem im Schmelztigel Amerika. Diese kraftvolle musikalische Synthese ist die Grundlage für den Jazz, Rock ́n Roll, Rock, Pop, Hip Hop, you name it.
Es gibt nur wenige Musiker in Europa, die den Blues in all seinen Höhen und Tiefen, seinen Spiel- und Leidensarten so erforscht haben, wie der Trompeter, Pianist, Sänger, Komponist und Arrangeur Johannes Faber.
Johannes Faber wurde 1952 in München geboren und studierte Trompete und Komposition in München, Graz und Boston. Er arbeitete in Erwin Lehns Südfunk-Tanzorchester Stuttgart(1980-90) und in der NDR-Bigband(1990-96), sowohl als Solotrompeter als auch als Komponist und Arrangeur. Johannes Faber komponierte die Filmmusik für „Rallye Paris-Dakar“ und gründete die Rockjazz-Formation CONSORTIUM mit Billy Cobham dr, Christof Lauer sax, Joerg Reiter p und Dave King b. Er hatte eine Professur an der Hochschule für Musik und Darstellende Kunst in Hamburg inne. Der Trompeter spielte u.a. mit Chaka Khan, Anthony Jackson, George Adams, Charlie Mariano, Dado Moroni, Konstantin Wecker, dem UNITED JAZZ & ROCK ENSEMBLE und Peter Herbolzheimer’s RHYTHM COMBINATION AND BRASS, komponierte für Michael Ende und wurde mit dem Jazz-Preis Baden-Württemberg ausgezeichnet(1985). Er war auf den großen Jazz-Festivals zu erleben, u.a. beim Jazzfest Berlin, in Montreux und beim Deutschen Jazz-Festival in Frankfurt.
1998 komponierte er die Musik für das Wilderer-Melodram HIAS und spielte die Hauptrolle in einer Produktion des Staatstheaters am Gärtnerplatz(München). Von 2000 – 2012 konzipiert und moderiert er die überaus erfolgreiche Reihe “Jazz im Gärtnerplatz”. Seit 2000 singt und spielt er den Sprecher (Staatstheater am Gärtrnerplatz) und den Sarastro (Opernfestspiele Gut Immling) in Mozarts Oper DIE ZAUBERFLÖTE. Er komponierte 2003 die Musik zu „4 – Ein Tanzevent“, das vom Balletttheater München und dem Orchester in der Choreographie von Philip Taylor mit Erfolg im Repertoire des Staatstheaters am Gärtnerplatz aufgeführt wird. 2006 unterrichtet er Jazzgeschichte am Conservatorio Nicolo Paganini in Genua.
2012 Professur am „Conservatorio Nicolò Paganini“.
Admin: Frank McLynn
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Marche: 13,2 milioni di euro per realizzare oltre 160mila prestazioni in più. Pronto il piano operativo regionale 2024 per abbattere le liste d'attesa
Marche: 13,2 milioni di euro per realizzare oltre 160mila prestazioni in più. Pronto il piano operativo regionale 2024 per abbattere le liste d'attesa. "Per il 2024 stanziamo 13.260.000 euro per il recupero e il miglioramento delle liste d'attesa: l'obiettivo è realizzare oltre 160 mila prestazioni in più". Lo ha comunicato il vicepresidente della giunta e assessore alla Sanità della Regione Marche, Filippo Saltamartini, nel corso di una conferenza stampa che si è svolta oggi in Regione, a Palazzo Raffaello, per presentare il Piano Operativo Regionale 2024 per abbattere le liste d'attesa. Presenti anche il sottosegretario alla presidenza della Giunta regionale, Aldo Salvi, il direttore del Dipartimento regionale Salute, Antonio Draisci, e il direttore dell'Agenzia sanitaria regionale (Ars) delle Marche, Flavia Carle, i quali hanno illustrato gli aspetti tecnici ed organizzativi del provvedimento. Si tratta dello 0,4% del finanziamento indistinto del fabbisogno sanitario nazionale standard cui concorre lo Stato per l'anno 2024, destinato a prestazioni ambulatoriali, ricoveri e screening. In questo contesto il Piano Operativo stabilito dalla Regione prevede 160.402 prestazioni ambulatoriali e 3.151 ricoveri per l'esattezza. Gli obiettivi sono: rispettare i tempi di erogazione in base alla priorità prescritta di tutte le prestazioni perviste dal Piano Nazionale per il Governo delle Liste di Attesa (PNGLA - 90% nei tempi) e recuperare le prestazioni non erogate per via dell'emergenza pandemica. 8,6 milioni serviranno ad effettuare prestazioni di specialistica ambulatoriale e diagnostiche, i restanti 4,6 milioni sono destinati agli interventi chirurgici. "Nel 2023 le risorse ammontavano a 9 milioni di euro – ha ricordato l'assessore - e sono state completamente spese: siamo riusciti a recuperare per l'ambulatoriale 128.374 prestazioni rispetto alle 58.991 previste nella Dgr del precedente Piano di Recupero; i ricoveri recuperati sono stati 2.768 e gli screening 12.016. Quest'anno con maggiori risorse a disposizione gli Enti, con il supporto del privato quando necessario, avranno l'opportunità di fare di più". L'Agenzia Regionale Sanitaria, oltre al monitoraggio semestrale richiesto dal Ministero, prevede un monitoraggio mensile per apportare eventuali azioni correttive. Per raggiungere gli obiettivi si svolgeranno incontri periodici con i referenti territoriali per le Liste di Attesa degli Enti del Servizio Sanitario Regionale (SSR) e con i Direttori Generali, una verifica della domanda, delle prenotazioni e delle prese in carico con cadenza giornaliera; un monitoraggio mensile delle prestazioni PNGLA ex-post (analisi sulle prestazioni erogate nei tempi) ed ex-ante (analisi delle prenotazioni avvenute nei tempi). Tra le attività di ottimizzazione previste c'è una riorganizzazione delle agende di prenotazione, il monitoraggio dell'appropriatezza prescrittiva con la ricostituzione e la convocazione dell'Organismo Regionale per l'Appropriatezza Prescrittiva (O.R.A), la ricognizione dei percorsi di presa in carico del paziente all'interno di Percorsi Assistenziali per patologie specifiche (neoplasie e patologie croniche) con l'obiettivo di ottimizzare il sistema di prenotazione direttamente da parte dello Specialista. Il vicepresidente, in un passaggio del suo intervento, ha tenuto a sottolineare che grazie al Piano Operativo Regionale 2024, i dati delle liste d'attesa d'ora in avanti "saranno disponibili ogni giorno" e che il sistema di monitoraggio introdotto permetterà di "misurare la performance in termini di volume e numero di prestazioni erogate". "Le prestazioni aumenteranno anche grazie alle nuove tecnologie - ha spiegato - proprio ieri (4 aprile, ndr) abbiamo inaugurato all'Ospedale di Fano un nuovo macchinario di risonanza magnetica: il PNRR sta dando i suoi frutti". Saltamartini ha ricordato infine l'accordo stretto con i medici di medicina generale, l'attivazione delle farmacie dei servizi e l'apertura dei Punti Salute, misure che puntano a ridurre la pressione sulle strutture ospedaliere e a rendere la sanità sempre più vicina ai cittadini, poi ha sottolineato l'impegno della Regione per superare la carenza di medici, spiegando che grazie al piano di formazione universitaria del personale sanitario "dal 2026 avremo più medici" rispetto al turnover legato ai pensionamenti.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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"Dinner for One": Alles zum Silvester-Klassiker heute beim NDR
Seit 60 Jahren feiert Miss Sophie ihren 90. Geburtstag zu Silvester im deutschen Fernsehen. Feiern Sie mit!
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15 dic 2023 11:34
MISTERI D’ITALIA - PARLA ANTONIO CAMPANILE, IL POLIZIOTTO CHE SPARÒ AI TERRORISTI PALESTINESI DURANTE L’ATTENTATO ALL’AEROPORTO DI FIUMICINO NEL 1973 IN CUI MORIRONO 32 PERSONE: “ALL'ARCHIVIO DI STATO NON HO TROVATO DOCUMENTI SUL MIO CONTO, È COME SE NON FOSSI MAI ESISTITO” - "QUEL GIORNO, DAL PORTELLONE DELL'AEREO, UN TERRORISTA HA INIZIATO A SPARARMI. HO RISPOSTO AL FUOCO E LUI È SCAPPATO” – DOPO UNA SETTIMANA IN CASERMA, CAMPANILE FU MANDATO IN LICENZA E POI... -
Estratto da www.lastampa.it
«Il 90% degli italiani non conosce l'attentato di Fiumicino del 1973. Si parla di tutte le stragi, mai di questa triste ricorrenza. Da qui nasce la mia indignazione e mi domando il perché di tutto questo: non si ricorda un evento del genere in cui sono morte 32 persone tra le quali il finanziere Antonio Zara».
Antonio Campanile si sfoga così, all'Adnkronos, e racconta come, all'epoca poliziotto in servizio allo scalo romano, si oppose ai fedayin sparando alcuni colpi d'arma da fuoco da un terrazzo. Un gesto, accusa, caduto nell'oblio e raccontato nel libro «Lo sparatore sono io - Prigioniero dello Stato per aver difeso lo Stato», di Antonio Campanile, Nuccio Ferraro e Francesco Di Bartolomei, che, proprio con l'avvicinarsi dei 50 anni dall'eccidio, il 15 dicembre alle ore 10 sarà presentato alla Fondazione Willy Brandt a Roma.?
Campanile ha ancora impressi negli occhi quei momenti: «Ero in servizio al controllo passaporti quando ho sentito alle spalle un forte boato: raffiche di mitra all'improvviso, gente che scappava, così sono andato all'ufficio dove stava il maresciallo, comandante pro tempore di quel giorno, e ho preso un'arma lunga con 3-4 caricatori e sono scappato sul terrazzo insieme ad altri poliziotti».
Dall'alto Campanile racconta di aver visto il finanziere Zara, «mio coetaneo, che veniva strattonato» dai terroristi e poi «dal portellone dell'aereo si è affacciato un fedayn che ha iniziato a sparare, mi ha visto sul terrazzo e ha iniziato a spararmi anche addosso. Ho visto Zara cadere (sotto i colpi sparati alle spalle ndr) e non ci ho visto più, ho sparato e il terrorista è scappato nell'aereo», continua.
«Quando sono sceso dal maresciallo gli dissi che avevo sparato e lui mi chiese di recuperare i bossoli - prosegue Campanile - Poi mi è stato chiesto chi mi aveva dato l'ordine di sparare. Io risposi che era stata una difesa personale, avevo addirittura proposto di bloccare l'aereo invece mi venne rifiutato».
Nei giorni successivi, si racconta nel libro, Campanile è stato trattenuto in caserma sulla base di un provvedimento relativo alla possibilità di fuga di informazioni compromettenti. «Il settimo giorno - sottolinea - mi mandarono a casa con una licenza breve, poi al rientro mi sono visto trasferire per tre mesi dall'aeroporto internazionale a quello nazionale, ma non ho mai capito il motivo».
[…] «Anni fa andai all'archivio di Stato e non ho trovato documenti sul mio conto, è come se non fossi mai esistito». […]».
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Oggi non sono più le conseguenze economiche a spaventare le cancellerie europee, o almeno non solo quelle, quanto il rischio che il Partito Comunista Cinese possa sfruttare i veicoli elettrici sfornati dalle proprie aziende – un discreto numero delle quali unite in joint venture con marchi occidentali – per spiare i cittadini stranieri. Il presente, dunque, ci porta in una nuova arena di discussione. Che, in tutta obiettività, dovrebbe riguardare ogni Ev e non solo quelli made in China.Il dibattito infuria sui media del Regno Unito. Alcuni parlamentari conservatori hanno fatto notare ai loro colleghi e alle agenzie competenti un fatto non da poco: “Nel 2022, l’88% di tutti i passeggeri della Gran Bretagna ha viaggiato in macchina. È difficile immaginare infrastrutture più critiche (delle auto ndr) per la vita quotidiana nel Regno Unito, e per questo è assolutamente sbagliato consentire che venga ceduto il controllo di un settore così importante alla Cina”. Dunque, considerando che quasi tutti si spostano utilizzando le automobili e che, da qui al 2030 (quando Londra dovrebbe vietare la vendita di auto con il motore endotermico), le vendite di Ev cinesi potrebbero raggiungere il 90%, il potenziale rischio paventato è facile da immaginare. Facendo leva sui mezzi sfornati dalle proprie aziende, il Dragone potrebbe raccogliere ingenti quantità di dati sensibili dalle vetture made in China – o da aziende cinesi – oltre che intervenire su di esse da remoto. È davvero possibile? Innanzitutto, è doveroso rimarcare che tali incertezze riguardano tutte le auto elettriche e non solo quelle connesse a Pechino. All'inizio di quest'anno, non a caso, sono circolate notizie angoscianti secondo cui gli ingegneri di Tesla avrebbero condiviso filmati di telecamere presi dalle auto personali di cittadini possessori dei modelli Tesla all'insaputa dei loro proprietari. Non c'è da stupirsi, quindi, che una simile prospettiva abbia pietrificato i servizi di sicurezza di gran parte dei Paesi occidentali.
In breve, la sorveglianza remota delle automobili è possibile grazie all’esistenza dei cosiddetti moduli cellulari, piccoli componenti presenti in un’ampia gamma di dispositivi moderni, dai computer agli elettrodomestici. Servono a stabilire connessioni internet e a trasmettere enormi quantità di dati relativi al funzionamento degli oggetti nei quali sono inseriti. Detto altrimenti, i suddetti moduli consentono la connettività machine to machine nell'ambito di varie reti di comunicazione. Sono, insomma, componenti chiave del sistema che controlla sensori, telecamere, audio, capacità di geolocalizzazione, motore e altro ancora. Nel caso specifico delle auto, connesso a Internet, proprio come il vostro cellulare, il modulo cellulare funge da gateway per le informazioni che entrano ed escono dal veicolo. Ma dove finiscono questi dati? I produttori li usano per migliorare il design e le prestazioni, nonché per migliorare e aggiornare il software. Si dà il caso che la Cina domini il mercato globale nella fornitura di moduli e componenti annessi. "Supponiamo che io compri un'auto con uno di questi moduli cinesi e che sia stato invitato a tenere un discorso presso un istituto della Difesa. Se l’auto avesse delle telecamere, qualcuno dall’esterno potrebbe usarli per accenderle e acquisire i dati", ha detto al Telegraph l’ex diplomatico Charles Parton, membro senior del Royal United Services Institute. [...] La presunta minaccia, in ogni caso, non proviene solo dai marchi cinesi o da aziende di proprietà cinese come Volvo e Mg. Semplicemente, qualsiasi automobile con un modulo cellulare prodotto da un produttore cinese, come Quectel o Fibocom, potrebbe vedere i suoi dati (anche quelli sensibili) risucchiati dal Dragone. Come se non bastasse, intervenendo da remoto sui moduli i veicoli possono essere resi inabili o manomessi. Qualcuno potrebbe anche pensare di fermare i trasporti nazionali di una nazione rivale in un momento di tensione. E la Cina? Il governo cinese, molto più attento di noi nel salvaguardare la sicurezza nazionale, ha già preso adeguate contromisure contro ipotetiche minacce straniere. Pechino ha bandito le auto Tesla dalle aree militari e sensibili della nazione, compresi i luoghi nei quali soggiorna o transita il leader Xi Jinping, come la città di Beidaihe, che ospita i ritiri estivi del Partito.
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Carlo Cavalli: arriva LOFI FRUITS BEATS, nuovo progetto collettivo
Abbiamo incontrato Carlo Cavalli, editore musicale che in questo momento sta lanciando con il suo team LOFI FRUITS BEATS, un progetto ad alto tasso di innovazione dedicato alla musica di qualità. "Svolgo l'attività di editore musicale da diversi anni ormai, dal 2001 per la precisione. Ho un trascorso in varie etichette discografiche e in questi vent'anni di attività ho collaborato con diverse major, fino a fondare diversi gruppi editoriali indipendenti", spiega a chi gli chiede qualcosa delle sue esperienze. Il sito di LOFI FRUITS BEATS, lofitruitsbeats.com è poi attivo dal 17/3/23.
Cos'è LOFI FRUITS BEATS? È giusto definirlo progetto artistico e musicale collettivo?
Assolutamente sì! LOFI FRUITS BEATS è un progetto artistico e musicale che racchiude sotto un unico nome lavori di diversi artisti, compositori e beatmakers.
Sappiamo che LOFI FRUITS BEATS si occupa di editoria, produzione, editoria e distribuzione musicale. Ha ancora senso, nel 2023, occuparsi di questo tipo di attività? Non basta, per un artista, pubblicare da solo la propria musica su Spotify?
Ha decisamente senso fare il nostro lavoro. Il settore musicale è in continua crescita ed applicabile a nuovi formati, ad esempio gli NFT). Il mercato è vasto ed attivo e cerchiamo di tenere sotto controllo l'intera filiera: procacciando i migliori contratti con i DSP (che sta per Digital Service Provider, ovvero soprattutto siti di streaming come Spotify, Youtube o Apple Music, NDR), occupandosi dei diritti editoriali, dei diritti connessi (i cosiddetti "Neighbouring rights"), del rilascio licenze per le sincronizzazioni audio/video. A mio avviso, un artista non può avere interesse a pubblicare da solo sulle piattaforme digitali. Affidarsi ad una società come la nostra, che vigila su tutta la filiera, può fornirgli il vero vantaggio. Ovvero, avere più figure professionali dedicate che curano ogni aspetto della sua musica, garantendo la tutela dei diritti e dei guadagni.
Che tipo di musica proporrete con LOFI FRUITS BEATS?
Proporremo per la maggior parte musica Chill-Beat, Hip-Hop e musica da sottofondo. Tuttavia, va detto che è difficile dare un'etichetta precisa alla musica Lofi, perché raccoglie influenze e beat da tutti i generi (Chillout, Lounge, Hip-Hop, Jazz e persino Metal), nata per essere compagna perfetta durante le giornate, ottima colonna sonora della vita di ciascuno e che può adattarsi ad ogni stato d'animo, ad ogni momento della vita quotidiana e ad ogni momento della giornata.
Avete già un catalogo discografico o partite da zero?
Non partiamo da zero, abbiamo già un catalogo discografico raccolto negli ultimi due anni. All'interno oltre mille titoli, che prossimamente verranno distribuiti sulle principali piattaforme.
Mettete a disposizione degli artisti che lavorano con voi uno studio di registrazione, con attrezzature all'avanguardia e la possibilità di masterizzare in Dolby ATMOS 7.1.2. Il futuro della musica è quindi la "spazializzazione del suono"?
Certo, credo sia proprio così. Lo dimostrano Apple Music e iTunes, che già supportano il formato, anche grazie alla tecnologia d'avanguardia dei dispositivi mobili.
Da che parte sta andando il mercato musicale? Quali generi sono secondo te in crescita?
Se consideriamo la qualità artistica, il mercato è in stallo al momento. Poca creatività e parecchia mancanza di idee originali, tant'è che ora si tende per lo più a riarrangiare e fare rifacimenti di pezzi anni '90. Generi in crescita: tutto il mondo Trap con influenze dance.
Come hai iniziato ad occuparti di editoria musicale?
Svolgo questa attività da diversi anni ormai, dal 2001 per la precisione. Ho un trascorso in varie etichette discografiche e in questi vent'anni di attività ho collaborato con diverse major, fino a fondare diversi gruppi editoriali indipendenti.
Ci sono spiragli per un vero e tangibile risveglio "artistico" dell'Italia dopo gli anni della pandemia?
Ci sono. O meglio, ci sarebbero se, come detto prima, si immettesse creatività nel mercato.
Cosa è migliorato e cosa invece è rimasto uguale nel settore musica dopo la pandemia?
E' bello che molti compositori ed artisti abbiano potuto proporsi al pubblico. Somo invece rimaste troppo uguali a se stesse le strutture discografiche. Somo sempre più chiuse nei loro network di collaborazione e poco attente all'ampliamento del parco artisti. Per questo gli artisti si propongono e si fanno strada da soli, perché l'offerta delle label peggiora anziché migliorare. Noi, invece, siamo una realtà del tutto Indie che scommette sugli artisti e fornisce loro tutto il necessario, comprese figure professionali dedicate alla loro musica che sono curare ogni particolare di ogni release nei minimi dettagli.
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Svegliarsi ammantati da insicurezze
17/12/2022 9:53
Sta mattina mi sono svegliato con un senso di fastidio nello stomaco, ho cercato di capire cosa fosse e praticamente è una piccola ansia per le persone "cattive", mi spiego meglio.
Ieri sera c'è stato un episodio a lavoro che mi ha dato fastidio, dopo 3 ore che stavamo cucinando ininterrottamente hamburger per fare i panini (lavoro ad un MC Donalds se non lo avessi già detto) uno degli store manager dice e quoto "Marco(nome di fantasia ndr) fai vedere a quei due come si lavora". Con me c'era un altro ragazzo e inizialmente noi due non stavamo capendo come mai il manager avesse chiesto a Marco una cosa del genere. Fatto sta che comunque dovevamo staccare e poi non si è più fatto niente, ma il manager poi ha incalzato mentre stavamo andando via dicendoci "Quello che intendevo dire è che lasciare le griglie così è vergognoso". Ora, io e quest'altro ragazzo che stava lì sappiamo benissimo che le griglie vanno pulite dopo un po', ma noi fisicamente non avevamo avuto il tempo di farlo. Lo so che può sembrare una cosa da poco, ma io sono abbastanza traumatizzato dalla mia precedente esperienza lavorativa, dove se ti chiamavano era perché avevi fatto qualcosa di sbagliato al 90%. Poi mettiamoci anche i segni che mia madre mi ha lasciato e abbiamo fatto la combo perfetta del fastidio.
Il punto poi non è neanche tanto il fatto di essere stato richiamato ma il modo, fare tutta quella scena mettendo in mezzo anche un'altra persona che non c'entrava niente solo per umiliarci l'ho trovato veramente di pessimo gusto. È semplicemente un comportamento da bullo.
E quindi sta mattina mi sono svegliato con l'ansia e sto cercando di rilassarmi anche scrivendo questo post di mattutino.
Vorrei solo un po' di tranquillità mentale, tutto qua e mi sembra di non riuscire a trovarla.
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Cybersicherheit: fehlende IT-Fachleute fordern mehr Prävention
Vorbeugung statt Überwachung – Deutsche Unternehmen suchen händeringend Sicherheitsexperten für ihre IT-Abteilungen, die sie aber nicht finden. Unternehmen setzen daher auf Prävention, der sie aber nicht voll vertrauen. Das ist das Ergebnis einer Umfrage unter 1.000 IT-Mitarbeitern. Wie begegnen Unternehmen den aktuellen Herausforderungen in Sachen Cybersicherheit und wo sehen sie ihre Defizite? Vectra AI, ein führender Anbieter von KI-gestützter Erkennung und Abwehr von Cyberbedrohungen für Hybrid- und Multi-Cloud-Unternehmen, hat 200 Unternehmen mit über 1.000 Mitarbeitern in Deutschland befragt. Die Auswertung der Studie ergibt es sehr gemischtes und stellenweise widersprüchliches Stimmungsbild bei den deutschen Unternehmen. Großer Druck bei IT-Sicherheitsteams „Die IT-Sicherheitsteams in deutsche Unternehmen stehen unter immensem Druck. Schon in den vergangenen Jahren haben sich Anzahl und Schwere von Angriffen stetig gesteigert, und in der aktuellen weltpolitischen Situation werden die Herausforderungen noch größer. Daher suchen die meisten noch ihr Heil in möglichst wirksamer Prävention, die jedoch nachweislich sehr häufig überwunden wird“, berichtet Andreas Riepen, Head Zentral- und Osteuropa bei Vectra AI. „Neben den technologischen Herausforderungen gibt es auch Handlungsbedarf was die Personaldecke betrifft. Nur eine Minderheit der deutschen Unternehmen verfügt nach eigenen Angaben über genügend Experten.“ Prävention hat meist noch Vorrang Vor die Entscheidung zwischen Vorbeugung und Erkennung bzw. Überwachung (Prevention vs. Detection) gestellt, entscheiden sich noch immer 68% der Befragten primär für Ansätze, bei denen die Abwehr von Eindringlingen im Mittelpunkt steht. Zugleich aber räumen 82% ein, dass die von ihnen aufgebauten Schutzmauern mindestens bereits ein Mal von Angreifern überwunden wurde. Fast jeder vierte gibt sogar an noch niemals eine Prevention-Lösung eingesetzt zu haben, die die Erwartungen erfüllt. Als Folge der unerfüllten Hoffnungen, die in Prävention gesetzt wurde, geben immerhin 42% der Unternehmen an, mittlerweile mehr in die Erkennung und Reaktion auf Attacken zu investieren als in Prevention-Tools. 31% investieren annährend gleiche Beträge und nur 28% investieren aktuell mehr in Prävention als in NDR (Network Detection & Response). 90% glauben die Attacke war schon erfolgreich Wie hoch die Verunsicherung ist zeigen die Zahlen: Ganze 90% der befragten Unternehmen halten es für möglich oder sogar wahrscheinlich, dass es Angreifern gelungen ist in ihre Netzwerke einzudringen, ohne dass dies bemerkt wurde. Nur 9% halten dies für unwahrscheinlich und lediglich 1% schließt dies kategorisch aus. Gleichzeitig aber glauben 96%, dass sie eine gute Übersicht über die Bedrohungslandschaft haben, mit der ihr Unternehmen konkret konfrontiert ist. Lediglich 3% räumen einige blinde Flecken ein und nur 1% ist der Meinung, dass komplette Sichtbarkeit der Bedrohungslage in den eigenen Infrastruktur unmöglich ist. Auf der anderen Seite jedoch sind 67% sehr zuversichtlich gut gegen moderne Attacken geschützt zu sein, und immerhin 30% sehen sich passabel aufgestellt. Nur 3% sehen deutliche Schwächen in der eigenen Cyberabwehr von modernen Angriffsmethoden. Expertenmangel in vielen Teams Neben den technischen Vorkehrungen spielt auch der Faktor Mensch noch immer eine große Rolle wenn es um die Cybersicherheit in Unternehmen geht. Weniger als die Hälfte der Befragten gab an über genügend Fachkräfte zu verfügen. Immerhin 28% geben an zusätzliche Mitarbeiter gut gebrauchen zu können und 23% sprechen von akutem Personalmangel. „Der Fachkräftemangel im Bereich Cybersicherheit trifft nicht nur Behörden und keine Unternehmen, sondern auch sehr viele Betriebe mit über 1.000 Mitarbeitern, wie die Untersuchung zeigt. Diese Lücke wird von Jahr zu Jahr größer und realistisch betrachtet wird sich dieser Trend auf absehbare Zeit nicht umkehren lassen“, meint Andreas Riepen. „Ziel der Unternehmen muss es daher sein, ihre Mitarbeiter mit der entsprechenden Technologie auszustatten, die es ihnen ermöglicht viele Aufgaben zu automatisieren und zu beschleunigen. Lösungen, die auf maschinelles Lernen und künstliche Intelligenz setzen, mit denen die Vorgänge in der Infrastruktur besser erfasst und kontrolliert werden können, sind ein vielversprechender Ansatz.“ Passende Artikel zum Thema Lesen Sie den ganzen Artikel
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