#Michael Bross

[lesserknownhusbands]

[mxchineherald]

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[ask meme here.]

𝐁𝐀𝐓𝐓𝐋𝐄 𝐓𝐇𝐄𝐌𝐄: Fight For the Native Village - Michael Bross 𝐁𝐀𝐓𝐓𝐋𝐄 𝐈𝐍𝐓𝐑𝐎: ❛ So the Rose comes to the West. Interesting. ❜ 𝐕𝐈𝐂𝐓𝐎𝐑𝐘: ❛ My plans do not include your interference. ❜ 𝐃𝐄𝐅𝐄𝐀𝐓: ❛ My work? Who will continue my work...? ❜ 𝐀𝐒𝐒𝐈𝐒𝐓: ❛ Come to my side, then. We have Hell to fight for. ❜ 𝐓𝐀𝐔𝐍𝐓: ❛ All your tricks and schemes won't work on me. I am not as ignorant as the rest of this desolate wasteland. ❜ 𝐑𝐄𝐀𝐂𝐓𝐈𝐍𝐆 𝐓𝐎 𝐓𝐀𝐔𝐍𝐓: ❛ Don't you dare bring my craftsmanship into question! ❜ 𝐅𝐋𝐄𝐄: ❛ The world needs me more than I need this victory. ❜ 𝐑𝐄𝐀𝐂𝐓𝐈𝐍𝐆 𝐓𝐎 𝐅𝐋𝐄𝐄: ❛ Go on, run back to your coven. ❜ 𝐓𝐈𝐄: ❛ We are evenly matched, even in the savage west. ❜ 𝐏𝐄𝐑𝐅𝐄𝐂𝐓 𝐕𝐈𝐂𝐓𝐎𝐑𝐘: ❛ It would be a shame to let such a powerful soul go to waste. Perhaps a clockwork body will hold you. ❜ 𝐅𝐈𝐍𝐈𝐒𝐇 𝐌𝐎𝐕𝐄: ❛ Submit to my machinations, witch! ❜

[kwebtv]

Lace II  -  ABC  -   May 5–6, 1985

Drama / Miniseries (2 episodes)

Running Time:  Appx 240 minutes

Stars:

Deborah Raffin as Judy Hale 

Brooke Adams as Pagan Trelawney

Arielle Dombasle as Maxine Pascal

Phoebe Cates as "Lili", born Elizabeth Lace

Anthony Higgins as Prince Abdullah of Sydon

Christopher Cazenove as Raleigh

James Read as Daryl Webster

Patrick Ryecart as Werner Graff

Michael Fitzpatrick as Nicholas “Nick” Cliffe Jr. 

Walter Gotell as General Zedd

Paul Shelley as Christopher Swann

Ed Wiley as Tom Schwartz

Francois Guetary as Pierre 

Peter Jeffrey as Nicholas Cliffe Sr. 

James Faulkner as Charles Chazelle

Simon de La Brosse as Alexandre Chazelle

[alexlacquemanne]

Mai MMXXIV

Films

Les Trois Jours du Condor (Three Days of the Condor) (1975) de Sydney Pollack avec Robert Redford, Faye Dunaway, Cliff Robertson, Max von Sydow, John Houseman, Addison Powell, Walter McGinn et Tina Chen

La Loi du silence (I Confess) (1953) d'Alfred Hitchcock avec Montgomery Clift, Anne Baxter, Karl Malden, Brian Aherne, Roger Dann, Charles Andre, O.E. Hasse et Dolly Haas

Bon Voyage (2003) de Jean-Paul Rappeneau avec Isabelle Adjani, Virginie Ledoyen, Yvan Attal, Grégori Derangère, Gérard Depardieu, Peter Coyote, Jean-Marc Stehlé et Aurore Clément

Complot de famille (Family Plot) (1976) d'Alfred Hitchcock avec Bruce Dern, William Devane, Barbara Harris, Karen Black, Ed Lauter, Cathleen Nesbitt et Katherine Helmond

Elvis: That's the Way It Is (1970) de Denis Sanders avec Elvis Presley, Richard Davis, Sammy Davis, Jr, Joe Esposito, Felton Jarvis et Red West

Reivers (The Reivers) (1969) de Mark Rydell avec Steve McQueen, Sharon Farrell, Will Geer, Rupert Crosse, Mitch Vogel, Juano Hernández, Michael Constantine, Burgess Meredith et Diane Ladd

La Belle Espionne (Sea Devils) (1953) de Raoul Walsh avec Yvonne De Carlo, Rock Hudson, Maxwell Reed, Denis O'Dea, Michael Goodliffe, Bryan Forbes, Jacques Brunius et Gérard Oury

L'assassin habite au 21 (1942) de Henri-Georges Clouzot avec Pierre Fresnay, Suzy Delair, Jean Tissier, Pierre Larquey, Noël Roquevert, Odette Talazac, Marc Natol et Louis Florencie

Une aussi longue absence (1961) de Henri Colpi avec Alida Valli, Georges Wilson, Charles Blavette, Amédée, Jacques Harden, Paul Faivre, Catherine Fonteney et Diane Lepvrier

Le Procès Goldman (2023) de Cédric Kahn avec Arieh Worthalter, Arthur Harari, Stéphan Guérin-Tillié, Nicolas Briançon, René Garaud, Aurélien Chaussade, Christian Mazucchini, Jeremy Lewin, Jerzy Radziwiłowicz et Chloé Lecerf

La Vendetta (1962) de Jean Chérasse avec Louis de Funès, Francis Blanche, Marisa Merlini, Olivier Hussenot, Jean Lefebvre, Rosy Varte, Jean Houbé et Christian Mery

Messieurs les Ronds de Cuir (1978) de et avec Daniel Ceccaldi et Claude Dauphin, Raymond Pellegrin, Evelyne Buyle, Roger Carel, Roland Armontel, Bernard Le Coq, Jean-Marc Thibault et Michel Robin

Marcello mio (2024) de Christophe Honoré avec Chiara Mastroianni, Catherine Deneuve, Nicole Garcia, Fabrice Luchini, Benjamin Biolay et Melvil Poupaud

Opération Opium (Poppies Are Also Flowers) (1966) de Terence Young avec E. G. Marshall, Trevor Howard, Angie Dickinson, Gilbert Roland, Yul Brynner, Eli Wallach, Georges Géret, Marcello Mastroianni et Anthony Quayle

Viva Maria ! (1965) de Louis Malle avec Brigitte Bardot, Jeanne Moreau, Paulette Dubost, George Hamilton, Claudio Brook, Carlos López Moctezuma et Gregor von Rezzori

Séries

Kaamelott Livre V

Le Phare

Maguy Saison 4

Retour de France - Retour à l'occase départ - Rimes et châtiment - Fugue en elle mineure - Mise aux poings - Vote voltige - St Vincent de Pierre - Courant d'hertz - Un médium et une femme - Retrouvailles, que vaille ! - Parrain artificiel - Infarctus et coutumes - Soupçons et lumières - Dakar, pas Dakar - Impair Noël - Maguy Antoinette - Otages dans le potage - Piqûres de mystique - Nécropole et Virginie - Nitro, ni trop peu - Assassin-glinglin - Le nippon des soupirs - Pas de deux en mêlée - Main basse sur Bretteville - Ski m'aime me suive - Des plaies et des brosses - Polar ménager - Une faim de look - Le bronzage de Pierre - Transport-à porte - En chantier de vous connaître - La fête défaite - Câblé en herbe - L'enjeu de la vérité - Déformation permanente - En deux tanks, trois mouvements - Postes à galère - Prince-moi, je rêve - Science friction - Démission impossible - Lis tes ratures ! - L'infâme de lettres

Affaires sensibles

Apollo 13 : Les naufragés de l’espace - La vraie arrestation du faux Xavier Dupont de Ligonnès - L'assaut sur le Capitole - Trésor de Lava : embrouilles corses - Secte, clonage et soucoupes volantes : voyage aux frontières du Raël - Ils ont enlevé Fangio ! - Guerre du Golfe et fake news - "The Crown", une série royale ou la royauté selon Netflix - La catastrophe de Beaune - Concorde, la Lune et l'ovni - USA-URSS 1972, Guerre Froide sur parquet - Amityville : 28 jours avec le diable - L'affaire Athanor - Coupe du monde 1966, les Nord-Coréens sortent du vestiaire - La véritable histoire de Rabbi Jacob

Coffre à Catch

#155 : Les débuts historiques de Sheamus ! - Hors-série : WWE One Night Stand 2007 - #51 : Randy Orton ≥ Charles Ingalls - #50 : Tommy Dreamer, représentant Decathlon et Jean-Louis David - #52 : Lashley Récupère son Titre ! - #53 : RIP Vince McMahon - #54 : Qui a fait exploser la bagnole de Vince ? - #55 : JOHN CENA EST DANS LA CE-PLA ! - #56 : Le Poison du Catch vu par CM Punk & John Morrison - Hors-série : ECW December to Dismember - #166 : William Regal : un maître du micro !" - #167: Buckle up, Teddy: Chris Agius nous parle de Backlash 2024 ! - #168 : L'épisode des 1000 likes + Tony Atlas" - #169 : Tiffany est de retour et William Regal est fabuleux!

La croisière s'amuse Saison 5

Merci, je ne joue plus - Le Parfait Ex-amour - Enfin libre - L'amour n'est pas interdit - L'amour n'est pas la guerre - La Fête en bateau : première partie - La Fête en bateau : deuxième partie - Une expérience inoubliable : première partie - L'Amour de ses rêves - Les Victimes - Vive papa ! - L'Amour programmé - Ça, c'est une fête ! - Que dire de l'amour ?

The Hour Saison 1

Une heure, une équipe - Une heure de vérité - Une heure, une tentation - Une heure sous haute tension - L'heure de la révolte - Une heure qui change tout

Castle Saison 5, 6

Le Facteur humain - Jeu de dupes - Valkyrie - Secret défense - Pas de bol, y a école ! - Sa plus grande fan - L'avenir nous le dira - Tout un symbole - Tel père, telle fille - Le meurtre est éternel - L'Élève et le Maître - Le Bon, la Brute et le Bébé

Commissaire Moulin Saison 1

Choc en retour - L'Évadé - Marée basse

Totally Spies! Saison 5, 6, 7

Totally Mystère ! - Totalement Versailles : première partie - Totalement Versailles : deuxième partie - Pandapocalypse - Quand c'est trop, c'est Troll !

Meurtres au paradis Saison 13

Face à face - Le troisième passager

Doctor Who Season 1

Space Babies - The Devil's Chord - Boom - 73 Yards

Commissaire Dupin

Le trésor d'Ys

Spectacles

WWE Backlash France (2024) à la LDLC Arena de Lyon-Décines

Chocolat Show ! (2007) avec Olivia Ruiz

Les Faux British (2024) de Henry Lewis et Henry Shields avec Francis Huster, Cristiana Reali, Gwen Aduh, Aurélie de Cazanove, Renaud Castel, Lionel Laget, Jean-Marie Lecoq et Miren Pradier

Jamiroquai : Live in Verona (2002)

David Bowie : Glass Spider Tour (1987)

Livres

Détective Conan, tome 22 de Gôshô Aoyama

Dis-moi ton fantasme de Léa Celle qui aimait

Kaamelott, tome 5 : Le Serpent Géant du Lac de l'Ombre d'Alexandre Astier, Steven Dupré et Benoît Bekaert

Une enquête du commissaire Dupin : Péril en mer d'Iroise de Jean-Luc Bannalec

[blinkaholik1]

Reliquary Continued

Recent Acquisition As the foremost Italian cabinetmaker of the 18th century, Pietro Piffeti was in the service of the royal House of Savory for over 40 years. Piffetti’s works are remarkable for their technical skill; the intricate marquetry decoration on this prie-dieu is all the more impressive when one considers the difficulty of veneering curved surfaces. Thes prie-dieu-a kneeling bench used at home for personal devotion - was most likely made for the youngest son of Carl Emmanuel III, King of Sardinia, for use in the Palace of Venaria, the family’s hunting lodge outside Turin. A door in the center of the prie-dieu conceals a small cabinet for a rosary and prayer books, and the drawer at the base would have held a padded kneeler. The interiors of the cabinet retains its original pink paint; popular in the mid-18th century, the color pink did not yet have the feminine associations it does today. Door About 1750 Design attributed to Giovanni Domenico Tiepolo (Italian, 1727-1804) Venice Wood, gessoed and lacquered with polychrome decoration and gilding Bessie Bennett Endowment, 1953.461 Side Chair About 1740 Giles Grendey (English, 1693-1780) London Walnut and 18th-century, replaced upholstery Gift of the Antiquarian Society, through the Mrs. Edgar J. Uihlein Fund, 1983.718 Desk and Bookcase 1732 John Kirkhoffer (Irish, born Germany, active 1730s) Dublin Walnut, holly, mirror glaze, and brass Gift of Robert Allerton, 1957.200 When this walnut desk and bookcase was purchased by the Art Institute of Chicago in 1957, it was described by the dealer as “English, about 1710.” Only recently have the name of the maker and date, “John Kirkhoffer Facit [sic] 1732,” been found inscribed in pencil on the bottom of the lower right drawer. As the oldest known piece of signed and dated Irish furniture, it has become a Rosetta Stone for attributing other closely related examples of Dublin cabinetary, especially those notable for their use of similar marquetry inlay. Candelabra, 1700/20 England Glass Gift of Mr. and Mrs. John H. Bryan, 2012.866 Seated Buddist Cult Figure and Potpourri Vase, c. 1740 France Chantilly Porcelain Factory (founded c. 1725) Soft-paste porcelain Gift of Mrs. Hareold C. Smith and the Antiuarian Society, 1969.225 The Louis Smith Bross Gallery (206-234B) Coffer 1700/20 Attributed to Andres-Charles Boulle (French, 1642-1732) Paris Oak, tortoiseshell, brass, gilt copper, pewter, ebony, and gilt-bronze mounts Michael A. Bradshaw and Kenneth S. Harris, Eloise W. Martin, Richard T. Crane. Jr., Memorial, and European Decorative Arts Purchase funds; through prior acquisitions of Mrs. C. H. Boissevain in memory of Henry C. Dangler, Kate S. Buckingham Endowment, David Dangler, Harold T. Martin, and Katherine Field-Rodman, 2001.54 Looking Glass About 1700 Probably London Gessoedand gilt pine, verre eglomise (reverse-pained glass), gilding, and mirror glass Gift of Mr. and Mrs. L. W. Colburn, 1968.424

[raisab332012]

Answer to What is an image of one of the most recognized persons yet most have never heard of their name? by Michael Bross https://www.quora.com/What-is-an-image-of-one-of-the-most-recognized-persons-yet-most-have-never-heard-of-their-name/answer/Michael-Bross-3?ch=18&oid=1477743670185987&share=6d492ce4&srid=7KVRc&target_type=answer

[finishinglinepress]

FLP POETRY BOOK OF THE DAY: Vacationland by Michael Lee Bross

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Michael Lee Bross holds an MFA in Poetry from Drew University where he was the recipient of the Jane Coil Cole Poetry Scholarship, and the 2015 Arts by the People Chapbook Award. His debut poetry chapbook, Meditations on an Empty Stomach was published by Finishing Line Press (October 2019), and his poems have appeared Lifeboat, Mobius Poetry Magazine, Let’s Talk Philadelphia, Northeastern Pennsylvania Poetry Review, and ZPublishings’ Best Emerging Poets Anthology 2019. Michael also has poems set to appear in Trees in the Garden of Ash and Chaos Poetry Vortex later this year. Michael currently teaches English at the University of Scranton and East Stroudsburg University.

PRAISE FOR Vacationland by Michael Lee Bross

In his collection Vacationland, Michael Bross takes the audience on a tour that spans decades, recalling #memories such as his daughter mimicking animals or his father’s physical decline. After all, seated in a “beached boat at world’s end,” what else is there to do but look back? Bross demonstrates the importance of this reflection, even when—perhaps, especially when—it hurts like hell. Having seen this book in several iterations, I’m excited to soon see it out in the world!

–Michelle Greco, author of Field Guide to Fire

“So let’s pretend this all happened”. Let’s pretend our father had AIDS in Disneyland. Let’s pretend our Rush mixtape is playing in the 90s while our child “needed to touch everything” in Liberty Science Center and “my autopsy’s in the sand without witness”. And maybe we don’t need to pretend. Michael Bross brings us there, let’s us into his memory and his family and his fantasies not hiding the hurt or the fear. Vacationland is a powerful work that opens up over and over seeking a way or a place to be a family the right way.

–Fletch Fletcher, author of Existing Science

Michael Bross’s Vacationland collects memories of #family vacations and excavates how these trips, swept “clean into picture frames,” are evidence of vacated life. Vacationland maps mourning in multiple layers: mourning a father lost to #AIDS and then to death, mourning that “dying … is what we do / on vacation,” mourning how “answers murder the boundaries / of ourselves inch by inch into smaller universes,” mourning a boyhood lost to the apparent invulnerability of photographs. In some ways, Vacationland is an exploration of the lie of invulnerability and, by extension, the poison of toxic masculinity. But Bross also offers us a subtle counternarrative of hope, found in a deeply connected marriage to his spouse Adrienne, a profound and tender love for his daughter Ariadne, and a comfort, however hard won, that though “paradise is a race run in circles,” as he writes in the book’s opening poem, healing can be found in looking closely at the lies in our lives to find essential truths: even in snapshots, and definitely through poetry.

–Darla Himeles, author of Cleave

Please share/please repost #flpauthor #preorder #AwesomeCoverArt #poetry #read #poetrybook #poems #AIDS #family #life

[leblogdemarinaetjeanmarie]

SAMEDI 15 AVRIL 2023 (Billet 1 / 3)

« THE QUIET GIRL » (1h 36)

Nous commençons tout de suite notre « compte-rendu » sur ce film par l’avis d’un critique que nous aimons bien… et qui publie dans un journal dont nous partageons la plupart de leurs positions, tous domaines confondus.

Mais ne ratez pas le dernier petit paragraphe de ce Billet, beaucoup plus nuancé…

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Un (premier) film de Colm Bairéad, avec Catherine Clinch, Carrie Crowley, Andrew Bennett, Michael Patric, Kate Nic Chonaonaigh…

Elle a 11 ans, et elle ne laissera personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. Dans sa famille, elle n’existe pas. Il y a trop de frères et sœurs. En plus, sa mère attend encore un bébé. Cait (Catherine Clinch) se tait, baisse les yeux, croise les mains sur son ventre. Elle attend quelque chose qui n’arrivera peut-être jamais. Le père siffle des pintes au pub voisin. Il est brutal et colérique. La mère n’a de temps pour rien. Cette famille est un cauchemar. À l’école, ça n’est pas mieux.

Ses parents ne savent pas quoi faire de cette gamine taciturne. La solution consiste à l’expédier chez des cousins pour l’été. Son père la dépose dans cette ferme comme on se débarrasse d’un colis encombrant. Dans cette campagne du Waterford, les choses sont différentes. La femme l’accueille comme si elle constituait un miracle. Tout de suite, elle lui donne un bain chaud. À la façon dont Cait considère cet événement, on voit bien que cela ne lui est jamais arrivé auparavant. L’élégante Eibhlin la coiffe en comptant les coups de brosse. Sean, le mari, est plus sauvage, renfermé. Le couple n’a pas d’enfant. Il y a pourtant ces vêtements qui sont à la taille de leur visiteuse, cette chambre au papier peint orné de trains. « Il n’y a pas de secret dans cette maison », assure la femme. Elle lui parle, lui sourit, l’appelle « Chaton » ou « Trésor », admire ses cheveux qui lui descendent jusqu’au bas du dos.

Que se passe-t-il ? Elle n’existait pas. Nul ne la regardait. Là-bas, du côté de Dublin, tout le monde faisait comme si elle n’était pas là. Le changement est radical. On s’occupe d’elle, la considère. Elle n’a pas l’air d’être un poids. Même Sean se déride, lui montre comment nourrir les animaux. On chronomètre le temps qu’elle met pour aller chercher le courrier à la boîte aux lettres. Elle bat des records, respire enfin. L’étang est si clair qu’on peut boire son eau. Elle aurait des vertus pour la peau. On lui sert du lait frais. Sean dépose pour elle un cookie sur la table. Elle lit « Heidi » avant de s’endormir, prépare de la confiture de groseilles. Des voisins viennent jouer aux cartes dans la cuisine.

Évidemment, aucune nouvelle de ses parents. Cela vaut mieux. Cait s’épanouit, ne fait plus pipi au lit, cesse de cadenasser ses émotions. Tout lui paraît neuf. Tout lui semble inédit. On ne lui reproche pas ses silences. Elle découvre la chaleur, la tendresse. Ces denrées existaient donc ? Elle vivait dans la grisaille et l’indifférence. L’univers prend soudain d’autres couleurs. Les vacances auront une fin. Cait ne sera plus la même. Elle aura appris tellement de choses. Sa mémoire ne sera pas assez vaste pour se souvenir de tout.

Tiré d’une nouvelle de Claire Keegan, tourné en gaélique, « The Quiet Girl », le premier film de Colm Bairéad, est touché par la grâce. Ce drame muet flotte, aérien. Attention infinie aux détails, sobriété absolue, présence de la nature, beauté de tous les instants, il a déjà la patine d’un classique. On sait gré au réalisateur de cette modestie, de cette discrétion. Il ne triche pas, ne filme jamais pour rien. Pâle et fragile, pleine de douleur contenue, Catherine Clinch déroule toute une cohorte de sensations, avec la dignité blessée d’une grande personne qui en a vu d’autres. Elle est toute jeune. Elle a déjà trouvé le rôle de sa vie. Un ange est passé…

(Source : « Éric Neuhoff – critique au Figaro »)

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Nous y sommes allés hier après-midi, vendredi, et il y avait pas mal de monde dans la salle du Pathé Convention où ce film était projeté. Beaucoup de femmes.

Vous dire tout de suite que ce n’est pas du tout un film que nous recommanderions à tout le monde. Tout d’abord Marina ne l’a pas beaucoup aimé, elle l’a trouvé très lent, qu’il ne s’y passait pas grand-chose et n’a été émue que dans la toute dernière scène.

JM, au contraire, a tout de suite été séduit. Il s’était documenté avant, bien sûr ne s’attendait pas du tout à un énième épisode d’« Indiana Jones » et s’est concentré sur les cadrages, la mise en scène ; tous les non-dits et l’extrême pudeur du scénario, la direction des acteurs… et la présence incroyable de la très jeune actrice, quasiment de tous les plans. Se doutant de l’issue finale, il a tout de suite été en empathie totale avec elle et le couple qui l’a accueillie durant le temps d’un été.

Un film pour cinéphile, certes, mais de l’avis de JM, nettement moins ch…t que certains Bergman.

Marina lui a donné ❤️❤️,8 et JM, ❤️❤️❤️❤️ sur 5.

Un petit post scriptum pour finir : la langue irlandaise (le gaélique) n’a strictement rien à voir avec l’anglais. Nous n’avons reconnu aucun mot. D’ailleurs le film, dans le monde anglo-saxon, est sous-titré en anglais. Voir quelques exemples ci-dessous trouvés sur Wikipédia :

« Bonjour » se dit « Hello » en anglais et « Maidin mhaith » en gaélique

« Bienvenue » se dit « Welcome » en anglais et « Fáilte » en gaélique

« Au revoir » se dit « Bye » en anglais et « Slán » en gaélique

« Comment vas-tu ? » se dit « How are you ? » en anglais et « Conas atá tú ? » en gaélique

« Je vais bien » se dit « I’m fine » en anglais et « Tá mé go maith » en gaélique

« Je suis désolé » se dit « I’m sorry » en anglais et « Tá brón orm » en gaélique

[xxx-wounded-angel-xxx]

Got this beauty on EMP, they put a new collection for the Warner Bross Anniversary. They also have a really cool Michael one but my budget is limited lol

[yes-bernie-stuff]

Quel est l’état de votre “brosse à dents” ! 17/03/2023

“Ton fils vit. Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite.” Jn 4. 50

Dans son émission radio Dr. Michael Youssef a fait cette déclaration étonnante : “Nous devrions tous avoir “une foi de brosse à dents”! C’est-à-dire que chacun devrait avoir la sienne, propre à son utilisation personnelle et l’utiliser régulièrement ! Sérieusement, comment décririez-vous votre foi ? Michael Youssef nous énumère quatre types de foi ou plutôt quatre étapes de foi : 1- La foi de crise. Tout à fait acceptable mais elle ne doit pas en rester là ! 2- La foi confiante. 3- La foi confirmée. 4- La foi contagieuse ! On voit toutes ces étapes chez l’officier du roi qui sollicite l’aide de Jésus en Jean 4. Il vient, poussé par une crise émotionnelle chercher l’aide de la seule personne potentiellement capable de l’aider. “Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers Lui, et Le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir’’ (Jn 4. 47). Prenons exemple sur l’officier du roi ! Au début de sa démarche il y a de quoi le décourager : d’abord la distance à parcourir avant de trouver Jésus et puis quand il présente son problème à Jésus, Ce dernier commence par lui faire une remontrance ! “Jésus lui dit : Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point” (Jn 4. 48). Mais il persiste dans sa demande et reçoit une promesse de Jésus. Après avoir entendu Jésus dire : “ton fils vit”, il croit ! Il a découvert la foi confiante. Il s‘en va sans s’affoler, sans douter, sans se faire du souci et ses serviteurs ont le temps de venir à sa rencontre pour lui annoncer la bonne nouvelle de la guérison de son fils. Il leur demande à quelle heure il a été guéri et ils répondent : “Hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté. Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit: Ton fils vit” Sa foi a été confirmée pour ensuite devenir une foi contagieuse :” Et il crut, lui et toute sa maison” (Jn 4. 53). Les brosses à dents doivent être souvent renouvelées pour être efficaces. Dans quel état est votre foi ?

[charmed-redemption]

The magical world had begun to grow complacent as the charmed ones had done what few thought could be done in killing the source. Though that was something that the elders hoped would help the world when it happened set a series of events were far worse. The essence of the course was now free and south it's origional form which was hidden in the underworld. Two halves of a damned whole were becoming one as Azazel the first source was reborn and far too strong for the Halliwell line and the only one that could stand against him was the Michael sword and his dark half.

Weeks had passed since the source was killed which happened the same night as the great ascent. Ricardo De Medici was becoming an adult in the eyes of his family and the magical world. He had come into his full power now able to see what was yet to come and light the way. He had no idea that he was a threat to the source but others did making it so they took the chance to take him out before he was strong enough. Hellhounds raced around the area and his parents fought them off yet he was saved by a hunter that he did not know. The hunter had died in front of him and in the clean up the body burned.

The elders watched as the Medici and Warren families had no link to good magic priding themselves on being neutral. Yet with a faction attempting to get good with the source attacking their alliance was less likely to be able with evil. Rico had not died but walked the earth still leaving evil open to attacking which they did. Rico had no white lighter and was no longer under the direct protection of his parents leaving him open. The young man smiled as he walked toward his house his head ached as he got a vision. He was seeing an attack on an innocent. The screams echoed in his mind he could feel her fear as he attempted to shoot her with arrows. having heard of a dark lighter he was aware but he didn't know a spell to help. As he saw the man's face he realized that he was there before he was attacked.

" Born of darkness respecting only might. I end your light with a holy light!"

Rico had no idea if the spell would work but spoke based only on what he felt. The darkness within him was all that he could not feel and the counter was where he based his spell. The dark bow fell from his hand before his body caught fire. The attempt to orb away was countered as the creature screamed running like a mortal. Though Rico was strong he didn't vanquish the man which was a letdown but the innocent was safe. Walking closer he touched the bross bow planning to take it home when he felt a presence. At the moment the only thing that Rico could do was think of home and in his terror disappeared in blue flames back to the place he called home. Appearing on his pourchbhebbegan to focus on what had happened misunderstanding what his parents spoke of when they said his future was full of danger. The angel of destiny watches and knows that Rico would side with them and he had the perfect choice.

Charmed: Violent Knights

[nchlsdmn]

We at Ratchet Galaxy have interviewed Michael Bross, and can confirm that he is not the composer of Ratchet and Clank Rift Apart. This is what Bross had to say about his departure: 

"Working as the composer on the Ratchet & Clank series was such a wonderful experience. The Insomniac team was a pleasure to collaborate with, and writing for everything from gameplay to cutscenes to puzzles was undeniably fun."

"Even though Ratchet and Clank are imaginary characters, sometimes they felt lifelike to me as I and my team created the musical undercurrent to their adventures and tagged along with them on each journey. I'm forever grateful to have had the opportunity to craft music for this amazing series."

[miliantyna]

Song List 0198 - Ratchet & Clank - Groovitron Disco 2; 0199 - Sly 2: Band of Thieves - Nightclub; 0200 - Rayman 3: Hoodlum Havoc - FunkyBoard

There are lots of musical pieces on my Song List from games I either played myself or watched other people playing them, like my brother, my friend or others. Today’s post will be about funky disco numbers from them :)

For example, I played “Ratchet & Clank“ only once, last year, at my friend place (hardly heard about it before), but I looked up the soundtrack and a few tracks were funny, like this one used during attacks with dico ball :)

(Gif made from ProsafiaGaming‘s video, source here)

I also got to know Sly Cooper series around when I was 20 years old, also at my friend’s home:

(Gif made from CooperCurse’s video, source here)

Yet I think that Rayman series is more closer to my heart, being played much ealier with my brother:

(Gif made from Vera H’s video, source here)

I mean, so weird trips, only to meet three different doctors who miraculously end up in one place later.

(Gif made from SkylanderDudeFilms’s video, source here)

And it’s going to follow me for the rest of my life, isn’t it?

(Gif made from RACEUNITED’s video, source here)

See you next time!

INFORMATION POST Song List 0197 Song List 0201

[fancypantsrecords]

Micahel Bross - Oddworld: Stranger's Wrath Collector's Edition Volume 1 & 2 | Black Screen Records | 2017 | Yellow + Orange + Black

[magog-on-the-march]

I'm often asked which tracks of mine are my favorite on this soundtrack. It's like asking a parent who their favorite child is. This question really has no answer. There are certain tracks that hold the test of time for me, though. One of those particular tracks was used in the tunnels beneath the town of Buzzerton and is called "In the Dark Sewers". When I initially created it, it felt like something was missing. So, I began experimenting with different approaches. What proved interesting was when I took the original percussion and guitar tracks and digitally manipulated them by stretching them out to be twice as long as what they were. It suddenly gave it this slightly gritty vibe which felt right to me. I also did the same thing to the vocal element and that brought about this "not quite of this world" feel.

The full track can be heard below: