#Mars aux musées
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artsandculture · 7 months ago
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Liberty Leading the People (1830) 🎨 Eugene Delacroix 🏛️ The Louvre 📍 Paris, France
Perhaps Delacroix’s most influential and most recognizable paintings, Liberty Leading the People was created to commemorate the July Revolution of 1830, which removed Charles X of France from power. Delacroix wrote in a letter to his brother that a bad mood that had been hold of him was lifting due to the painting on which he was embarking (the Liberty painting), and that if he could not fight for his country then at least he would paint for it. The French government bought the painting in 1831, with plans to hang it in the room of the new king Louis-Philippe, but it was soon taken down for its revolutionary content. Lady Liberty was eventually the model for the Statue of Liberty, which was given to the United States 50 years later, and has also been featured on the French banknote.
Peint de septembre à décembre 1830 dans l'atelier loué par Eugène Delacroix au 15 (actuel n°17 ?) quai Voltaire, à Paris ; envisagé pour la deuxième Exposition au profit des blessés de Juillet 1830, galerie de la Chambre des Pairs (palais du Luxembourg), Paris, janvier 1831 (n° 508 du livret sous le titre "Une Barricade"), en réalité non prêté ; admis par le jury le 13 avril 1831 et exposé au Salon de 1831 (ouvert du 1er mai au 15 août), Paris, Musée royal (Louvre), n° 511 du livret sous le titre "Le 28 juillet. La liberté guidant le peuple" (n° 1380 du registre d'entrée des ouvrages au Salon, sous le titre "La Liberté guidant le peuple au 29 juillet" [sic], aux dimensions de "293 x 358 cm" cadre compris) ; envisagé comme achat de la Liste civile du roi Louis-Philippe Ier, en juillet 1831, au prix de 2 000 francs, finalement acheté à l'artiste par le ministère du Commerce et des Travaux publics en août 1831, au prix de 3 000 francs (en remplacement de la commande à Delacroix, au même prix, d'un tableau d'histoire ayant pour sujet "Le roi Louis-Philippe Ier visitant la chaumière où il logea près de Valmy, le 8 juin 1831", annulée suite au désistement de Delacroix) ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, en 1832 et en 1833 (n° 160 du supplément au catalogue du musée) ; mis en réserve vers 1833-1834 ; confié à l'artiste vers 1839 qui le met en dépôt au domicile de sa tante, Félicité Riesener, et de son cousin Léon Riesener, à Frépillon (Val-d'Oise) ; réclamé à l'artiste par la direction des Musées nationaux (ministère de l'Intérieur) en mars 1848 (Delacroix demande à cette occasion une augmentation du prix de 7 000 francs, soit un total de 10 000 francs ; cette augmentation lui est refusée) ; prêté par Delacroix au peintre et entrepreneur lyonnais Alphonse Jame entre mai 1848 et mars 1849, en vue d'être exposé à Lyon, contre 1000 francs (payés en deux versements de 500 francs, le 11 septembre 1849 et le 8 mars 1850) ; rentré à Paris et restitué à l'administration en mars 1849 ; possiblement présenté au musée du Luxembourg, Paris, à partir de juin 1849 jusqu'en 1850 (mais absent du catalogue du musée) ; mis en réserve dans les magasins du musée du Louvre de 1850 à 1855 ; présenté à l'Exposition universelle, Palais de l'Industrie et des Beaux-arts, Paris, 1855, n° 2926 du livret ; mis en réserve dans les magasins des Musées impériaux de 1856 à 1863 ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, de 1863 à 1874 ; déplacé du musée du Luxembourg au musée du Louvre en novembre 1874 ; inventorié pour la première fois, sous le n° "R.F. 129", en 1875 et présenté à partir de cette date dans la salle des États au musée du Louvre ; mis en sécurité pendant la Première Guerre mondiale au couvent des Jacobins, à Toulouse (Haute-Garonne) de 1914 à 1918 ; restauré par Lucien Aubert (nettoyage et réintégration de la couche picturale) à Paris en 1920 ; mis en sécurité pendant la Seconde Guerre mondiale au château de Chambord (Loir-et-Cher) en 1939, puis déplacé au château de Sourches, Saint-Symphorien (Sarthe), le 29 septembre 1943 ; rentré du château de Sourches au musée du Louvre, Paris, le 16 juin 1945 ; restauré par Raymond Lepage et Paul Maridat (rentoilage) et par Georges Zezzos (allègement et réintégration de la couche picturale), au musée du Louvre durant l'été 1949 ; présenté au musée du Louvre dans la salle Mollien d'octobre 1949 à 1969, puis en salle Daru de juin 1969 à juin 1994, puis en salle Mollien depuis décembre 1995 ; restauré par David Cueco et Claire Bergeaud (remplacement du châssis, pose de bandes de tension sur les bords de la toile) au musée du Louvre en janvier-février 1999 ; restauré par Bénédicte Trémolières et Laurence Mugniot (nettoyage et réintégration de la couche picturale) au musée du Louvre, d'octobre 2023 à avril 2024.
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fashionbooksmilano · 3 months ago
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Stephen Jones Chapeaux d'artiste
Miren Arzalluz, Tim Blanks, Hamish Bowles, Marie-Laure Guttom, Tim Heron, Suzy Menkes, Chris Sullivan - Photographie Peter Ashworth
Paris Musées, Paris 2024, 176 pages, 23,5x31,5cm, ISBN 978-2-7596-0586-6
euro 58,00
email if you want to buy [email protected]
Publié aux éditions Paris Musées, ce catalogue accompagne l'exposition "Stephen Jones, chapeaux d'artiste" qui est présentée au Palais Galliera du 19 octobre 2024 au 16 mars 2025.
L'exposition Stephen Jones, chapeaux d'artiste au Palais Galliera présente l'oeuvre de ce créateur britannique, sans conteste l'un des plus grands modistes contemporains, de ses premières collections dans les années 1980 jusqu'aux plus récentes.
16/11/24
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loeilbavard · 22 days ago
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Combien de femmes artistes peintres pourriez vous nommer?
La réponse pour la plupart d'entre nous est PAS BEAUCOUP. Frida Kahlo c'est certain mais après? Avec mon amie Claire alors que nous faisions de la radio ensemble, je crois que nous en avions nommées 5 chacune tout au plus. Je suis allée voir l'exposition Elles au Musée Jean-Jacques Henner à Paris. À une époque où les femmes n'étaient pas admises aux Beaux Arts ce peintre avait fondé une école pour elles. Ces peintres tout aussi talentueuses que leur contemporains ne sont toujours pas connues. Ma préférée dans l'exposition est Juana Romani. C'est une de mes résolutions cette année. Connaître ces merveilleuses artistes qui encore aujourd'hui ne font pas l'objet d'autant de promotion que leur collègues masculins. À noter qu'il y aura en mars une exposition rétrospective de Artemisia Gentileschi au Musée Jacquemart-André (Paris, 9 mars-3 août). Elle est souvent considérée comme la première artiste peintre femme connue dans l'histoire de l'art. Une contemporaine de Caravage.
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Les élèves dans l'atelier de Jean-Jacques Henner.
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Une oeuvre de Juana Romani
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carbone14 · 2 years ago
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Liberty Ship SS Jeremiah O'Brien – Pier 45 – San-Francisco – Californie – Etats-Unis – 8 mars 2008
Photographe : Mike Hofmann
Les Liberty Ship sont des cargos produits en très grande série à partir d'éléments préfabriqués soudés à l'arc électrique et destinés à ravitailler les forces alliées. La technique de fabrication imaginée par l'industriel Henri Kaiser permit d'obtenir des cadences de production qui compensaient les pertes occasionnées par les sous-marins allemands dans l'Atlantique. La durée moyenne de fabrication était de 42 jours avec un record établi à 4 jours au lieu de 12 mois environ pour une fabrication classique. La rapidité de construction et le faible coût de production permirent d'en construire 2 710, ce qui fit de ce navire le modèle le plus construit dans le monde.
Seuls deux cargos sont encore en état de naviguer : ils ont été transformés en navires musées aux États-Unis dans les années 2000, le SS John W. Brown à Baltimore et le SS Jeremiah O'Brien à San Francisco.
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lesoreillesouvertes · 11 months ago
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Vendredi 8 mars : j’ai regardé avec joie les vidéos des manifs féministes en France, en réalisant au fur et à mesure que ça allait être moins la folie ici.
Et il m’a fallu un peu de motivation parce qu’il pleuvait des cordes à Chicago. J’ai foncé au musée de l’architecture histoire d’avoir quelques infos en plus sur cette ville. Maintenant que presque tout est bétonné, le projet est de mettre le plus de verdure partout. Et j’ai vu le projet de réhabilitation de la tour Montparnasse pour la verdire également !
J’ai pris le bus, avec la ficelle le long de la fenêtre sur toute la longueur du bus pour demander l’arrêt :-) pour aller au musée de l’histoire de Chicago.
Ça ne parlait pas des Irlandais mais plutôt des polonais arrivés à Chicago dans les années 1830, pendant la guerre avec la Russie (toujours les mêmes …). Même si certains sont repartis vivre en Pologne, d’autres sont arrivés à chaque nouveau conflit international. Tout ça ressemble à la population dans The Wire 🧐
J’ai rejoins un rassemblement contre une fausse clinique qui va bientôt ouvrir à Chicago. Le genre de clinique qui n’a aucune certification médical mais qui reçoit des femmes et donne son point de vue sur l’avortement par exemple, sans pouvoir prodiguer plus d’aide. Les panneaux sont un peu confus mais j’étais bien avec des pro-choix donc des gens qui soutiennent le droit à l’avortement, à l’accès aux soins pour toustes… Il y a une marche dimanche après midi, j’espère y trouver un peu de l’énergie que jamais vu dans les vidéos françaises !!!
Les vitrines des plombiers français n’ont qu’à bien se tenir ^^, c’était juste à côté de la pizzeria où j’ai dîné avec Kara, une couchsurfeuse. On est allé dans un bar a jeux d’arcades avant d’assister à un show de speed-théâtre-semi-impro-queer (je ne sais pas quoi dire d’autre) plutôt fun!
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transparentgentlemenmarker · 4 months ago
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La statue de Mars (Pyrrhus) aux musées du Capitole, datant du 2ème siècle après JC, est un chef-d'œuvre de la sculpture romaine.
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Cette œuvre d'art emblématique met en valeur les réalisations artistiques de la Rome antique, en particulier dans ses détails complexes, comme le « Calcei de Mars » les chaussures remarquables ornées de designs complexes. En tant que dieu romain de la guerre, la statue de Mars incarne les valeurs culturelles de l'époque.
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alessandro55 · 1 year ago
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Rachid Koraïchi 7 Variations autour de l'indigo
René Guitton, Danièle Giraudy
Photographies Jean Bernard, Rachid Koraïchi, Jean Pierre Linuésa
Éditions Alors Du Temple/Musées de Marseille, 2003, 48 pages, 21x27,5cm, ISBN 978291793248
euro 40,00
email if you want to buy : [email protected]
Exposition du 28 janvier au mars 2003 Galeries de la Vieille Charité, Musées de Marseille
Associant les techniques ancestrales des tampons de bois en usage à Alep (Syrie) et la couleur traditionnelle des indigotiers marseillais, R. Koraïchi a créé de nouvelles étoffes : aujourd'hui exposées sous forme de bannières ou de carrés, elles se déclinent autour du chiffre 7 et de sa mystique.   L'artiste méditait. Il était venu chercher l'inspiration dans cette cité vieille de plusieurs millénaires. Alep au nord de la Syrie. Comme les couleurs voyagent, il voulait retrouver des traces de bleu sur cette route de l'Inde d'où venait l'indigo. Car en Alep, au fil des siècles, cette teinture avait été l'objet de nombreuses études dont certains secrets furent peu à peu révélés: indigo mêlé d'écorce de grenade avec addition d'eau de dattes ou de suc de raisin noir broyé ou de figues piétinées. Ces macérations étranges conféraient à l'indigo d'Alep une haute réputation dans toute la Méditerranée, Rachid Koraïchi souhaitait aussi acquérir de la soie, chiner de ces tampons anciens que les imprimeurs de tissu utilisaient encore au début du XXe siècle. Il les mêlerait aux siens qu'il allait créer ici, inspiré, comme nulle part ailleurs, par les étoffes imprimées. L'ambassade de France, à Damas, et les responsables des services culturels, sensibles au projet à ce point prometteur lui accordèrent une aide chaleureuse et il fut hébergé en une demeure, vestige du Mandat français, toute proche de la citadelle. L'artiste allait y travailler en paix et remonter la mémoire de l'indigo et des routes de la soie.
23/09/23
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jogallice · 8 months ago
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Aujourd’hui, dimanche 02/06/24, Journée nationale du donut 🍩 4e Journée mondiale des Troubles des Conduites Alimentaires (TCA) 🙏 et Journée mondiale pour un tourisme responsable et respectueux 🤔⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠
Premier dimanche du mois de juin, l’entrée au Musée-Château d’Annecy (3 place du Château) et au Palais de l’Île (3 passage de l'Île) est gratuite 🏰 En voici les horaires : de 10h30 à 18h (horaires d'été depuis hier), bonne(s) visite(s) 🤩
Trois dictons du jour pour le prix d’un : « À la sainte Blandine, mange bien tes tartines. » 🍞 « Qui a bu à la sainte Rosine (le 11 mars), boira à la sainte Blandine. » 🫗 « Sainte Blandine, bonne pour l'eau, comme pour la farine. » 💧
Bon septième et dernier jour de la semaine à tous et à toutes 🌃
Bonne fête aux Blandine 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le samedi 01/06/24 📸
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stellaworks · 10 months ago
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Séance de croquis d'extérieur au musée Rodin, réalisé aux graphites sur format A3, mars 2024.
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abwwia · 11 months ago
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Artist Rosa Bonheur, born Marie-Rosalie Bonheur (16 Mar 1822 – 25 May 1899),
was a French artist, mostly a painter of animals (animalière) but also a sculptor, in a realist style.
Her best-known paintings are Ploughing in the Nivernais, first exhibited at the Paris Salon of 1848, and now at the Musée d'Orsay in Paris, and The Horse Fair (in French: Le marché aux chevaux), which was exhibited at the Salon of 1853 (finished in 1855) and is now in the Metropolitan Museum of Art, in New York City.
Bonheur was widely considered to be the most famous female painter of the nineteenth century.
Personal life and legacy
Women were often only reluctantly educated as artists in Bonheur's day, and by becoming such a successful artist she helped to open doors to the #womenartists that followed her.
Bonheur can be viewed as a " #NewWoman " of the 19th century; she was known for wearing men's clothing, but she attributed her choice of trousers to their practicality for working with animals (see Rational dress).
Photo: Rosa Bonheur, c. 1889
In her romantic life, she was fairly openly a #lesbian; she lived with her first partner, #NathalieMicas, for over 40 years until Micas' death,
Photo: Rosa Bonheur & Natalie Micas, Nice, 1882
and later began a relationship with the #Americanpainter #AnnaElizabethKlumpke.
Artwork: Portrait of Bonheur by Anna Elizabeth Klumpke.
At a time when #lesbiansex – particularly tribadism – was regarded as animalistic and deranged by most French officials, Bonheur's outspokenness about her personal life was groundbreaking.
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#RosaBonheur #MarieRosalieBonheur #Frenchartist #painterofanimals #animalière #sculptor #realiststyle #TheHorseFair #Lemarchéauxchevaux #MetropolitanMuseumofArt #MuséedOrsay #Bonheur #famousfemalepainter #nineteenthcentury #realism #womensart #artbywomen #PalianShow
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havaforever · 1 year ago
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ANTONY GORMLEY - Au Musée Rodin
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« Critical Mass », méditation sur la Chute, est la première exposition dédiée à Antony Gormley dans un musée national français. Ses sculptures, véritable « fabrique de l’étrange », dialoguent avec celles d’Auguste Rodin, dans et hors les murs de l’hôtel de Biron.
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C’est une des installations les plus emblématiques du sculpteur Antony Gormley (né à Londres en 1950) qui donne son nom à l’exposition présentée au musée Rodin à Paris juqu’au 3 mars 2024. Composée d’une soixantaine de corps moulés disposés au sol, suspendus ou en lévitation, Critical Mass (1995) constitue en effet le cœur du parcours conçu comme un véritable dialogue entre l’artiste britannique et l’auteur de la célèbre Porte de l’Enfer. Gormley investit non seulement la salle d’expositions temporaires, mais aussi les collections permanentes, la galerie des marbres, le cabinet d’arts graphiques et le jardin.
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Une enfilade de personnages accueille le visiteur dans la cour du musée Rodin : douze formes corporelles d’abord accroupies, puis recroquevillées au sol qui se redressent progressivement pour atteindre la station debout, figés, les bras serrés le long du corps. Ces personnages, ces hommes « unidimensionnels » comme dirait le philosophe Herbert Marcuse, écrasés par la société industrielle, forment une ligne qui part de la cour pavée de l’hôtel de Biron en direction de l’imposante Porte de l’enfer (1880-1917).
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Cette méditation sur la Chute se poursuit dans la salle d’exposition temporaire abritée dans la chapelle du musée. La salle principale est occupée par un empilement de corps. Certains sont allongés face contre terre ou sur le côté, ou face à un mur. D’autres plus loin, accrochés par des filins, pendent au-dessus du sol par les pieds, menaçant de s’écraser face contre terre. Cette œuvre est « la chose la plus sombre que j’aie jamais faite, […] Un anti monument aux victimes du XXe siècle », souligne l’artiste.
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Original, spectaculaire, ironique, parfois cynique mais surtout troublant. Un moment for d'interrogation, et de remise en question.
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fashionbooksmilano · 1 year ago
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Elsa Schiaparelli
Dylis E. Blum
Exposition Musée de la mode et du textile, Paris 17 mars-29 août 2004
UCAD, Paris 2004, 320 pages, 25x31,3cm, ISBN 2901422764
euro 120,00
La créatrice italienne Elsa Schiaparelli (1890-1973) est l'une des figures majeures de la mode des années 1930. Des débuts de sa carrière à ses collections d'après-guerre, ce livre explore la vie et l'oeuvre de cette personnalité hors du commun.
Cette parisienne d'adoption se fait connaître dans les années 1920 en inventant le «sportswear» et se singularise très tôt par l'utilisation de matériaux novateurs inédits pour les vêtements: matières plastiques, Rhodophane, fermetures Éclair colorées, etc. Les relations étroites qu'elle noue avec les acteurs des avant-gardes, en particulier les dadaïstes et les surréalistes - Man Ray, Jean Cocteau, Salvador Dalí -, donnent lieu à partir de 1935 à des collaborations fécondes.
Elsa Schiaparelli aborde son travail d'une façon instinctive plus que rationnelle, laissant une grande place à la surprise et à l'humour par l'emploi de motifs détournés et la création d'accessoires aux formes les plus fantaisistes. Elle a inauguré une mode où l'inconvenant devient possible et son répertoire demeure aujourd'hui une source d'inspiration inépuisée pour les créateurs.
Elsa Schiaparelli est sans doute la styliste qui incarne le mieux la collaboration entre l'art et la mode, et c'est l'une des originalités de cet ouvrage que de la mettre en valeur. Plus de 300 illustrations, dont beaucoup sont inédites, présentent les vêtements et accessoires qu'elle a créés, mais aussi de nombreux dessins, photographies d'époque, portraits réalisés par les plus grand photographes de mode, oeuvres d'art qui furent à la source de son inspiration et qu'elle influença à son tour... Une filmographie et une chronologie détaillées complètent le livre, véritable ouvrage de référence.
16/10/23
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carreimperial · 2 years ago
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Napoléon & Joséphine : Mariage arrangé
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Le dimanche 21 septembre 2014, lors d'une vente aux enchères à Rueil-Malmaison, le Musée des lettres et des manuscrits de Paris avait acquis pour 350000 euros (437500 euros, taxes comprises) le contrat de mariage liant le général Napoléon Bonaparte à Marie-Josèphe Rose Tascher dite Joséphine. Cet exemplaire est celui de l'Impératrice Joséphine. Les Archives nationales conservent celui de Napoléon. Le 24 mars 2013, la bague de fiançailles était adjugée à 896400 euros à la maison Osenat de Fontainebleau.
Date : 9 mars 1796
Lieu : mairie du 2e arrondissement de Paris, à l'hôtel Mandragon, rue d'Antin.
Début février 1796, le général Napoléon Bonaparte et Joséphine (Marie-Josèphe Rose Tascher) décidèrent de se marier - publication du 7 février, 17 ventôse an IV.
A l'époque, l'annonce de ce mariage surprit et dérangea l'entourage à cause de leurs différences : Joséphine, âgée de 32 ans, veuve du général Alexandre de Beauharnais, mère de deux enfants. Napoléon, âgé de 26 ans, sans enfant.
Bien que fort séduit, Napoléon comprit aussi tout l'avantage de s'unir avec l'amie de Paul Barras, l’homme fort du gouvernement de la Première République française. Le 9 mars, après 22h00, le mariage fut prononcé à la mairie du 2e arrondissement de Paris, à l'hôtel Mandragon, rue d'Antin. Le 18 mars, le contrat fut enregistré et les copies authentiques destinées aux époux furent envoyées.
Autorités présentes
Collin-Lacombe, commissaire ;
Maurice-Jean Raguideau de La Fosse, notaire ;
Étienne-Gabriel Jousset, notaire.
Témoins des mariés
Paul Barras, membre du directoire exécutif ;
Capitaine Jean Lemarois, aide-de-camp de Napoléon ;
Jean-Lambert Talien, membre du corps législatif ;
Étienne-Jacques-Jérôme Calmelet, homme de loi.
Toutes les modifications et étrangetés
Pour se conformer aux mœurs de l'époque, les âges des mariés ont été modifiés. Joséphine est rajeunie de quatre ans, soit 28 ans, et Napoléon est vieilli d'un an, soit 28 ans, né le 5 février 1768 au lieu du 15 aout 1769 (cette date est antérieure au 15 mai 1768, date du traité de Versailles attestant l'occupation et l'administration de la Corse par le Royaume de France).
L'adresse du domicile de Napoléon n'est pas rue d'Antin, mais rue Neuve des Capucines, aujourd'hui rue des Capucines.
Napoléon est désigné comme général en chef de l’armée de l’Intérieur, alors que le 2 mars, il fut nommé commandant en chef de l’armée d’Italie.
La minute du contrat fut signée le 8 mars devant les notaires Raguideau de La Fosse et Jousset et en présence du capitaine Lemarois.
Charles-Théodore-François Leclercq, officier public de l'état-civil du 2e arrondissement du canton de Paris, est désigné comme autorité du mariage, mais il partit avant et fut remplacé par le commissaire Collin-Lacombe.
L'article 1er du contrat indique que les époux ne seront nullement tenus des dettes et hypothèques l’un de l’autre, mais 3 ans plus tard, le 18 avril 1799, une apostille du tribunal civil de la Seine vint se joindre au contrat, attestant l’inscription d’un acte privé sur un registre public. En effet, pendant que Napoléon était en Orient, Joséphine demanda la séparation des biens avant son achat du château de Malmaison. Elle emprunta pour cela des sommes que son mari rembourserait personnellement à son retour.
Extrait original
Article 1er. Il n'y aura aucune communauté de biens entre les futurs époux… en conséquence les futurs époux ne seront nullement tenus des dettes et hypothèques l’un de l’autre.
"Par devant les notaires à Paris soussignés, furent presens Napolione Buonaparte, général en chef de l’armée de l’Intérieur, demeurant à Paris, rue d’Antin…, originaire d’Ajaccio en Corse, fils de défunt
Charles Buonaparte et de Letizien Ramolini, son épouse, actuellement sa veuve, stipulant pour lui et en son nom, d’une part, et Marie Josephe Rose Tascher, veuve d'Alexandre François Marie Beauharnois, duquel elle a deux enfans, Eugène et Hortense, demeurant à Paris, rue Chantereine…, la dite citoyenne née en l’isle Martinique du mariage de Gaspard Tascher, capitaine de Dragons et Rose Claire Des Vergers, son épouse, stipulant pour elle et en son nom, d’autre part, lesquelles parties, dans la vue du mariage proposé entre elles en ont arrêté les conditions civiles ainsi qu’il suit.
Article 3e. Chacun des futurs époux contribuera pour moitié aux charges du mariage.
Article 2e. Chacun des futurs époux jouira à part et divisément des biens, droits et actions tant meubles qu’immeubles lui appartenant et pouvant lui appartenir par la suite à quelque titre et à quelque cause que ce soit et en quoi qu’ils puissent consister… la future épouse ne restant tenue de recourir à l’autorisation de son mari que pour les actes qui emporteroient aliénation de ses capitaux. Le futur époux autorise d’ailleurs la future épouse à continuer les fonctions de la tutelle qui lui a été déférée des deux enfans mineurs issus de son premier mariage…
Article 4e. Le futur époux constitue à la future épouse un douaire de quinze cens livres de rente annuelle et viagère, valeur ancienne…
Article 6e. La future épouse déclare et le futur époux reconnois que les meubles, linges, l’argenterie, et généralement tous les biens meubles corporels dont la future épouse est maintenant en possession appartiennent à la communauté qui a subsisté entre elle et son premier mari et qui a continué avec ses enfans, faute par elle d’avoir fait faire inventaire dans le délai prescrit par la loi. Que la future épouse fait actuellement procéder à cet inventaire et qu’il est sur le point d’être mis à fin. Qu'elle, future épouse, ne peut déclarer maintenant le montant de sa fortune parce que tout dépend de la question de savoir si elle acceptera la communauté ou si elle y renoncera, ce à quoi elle ne peut se déterminer qu’après la confection dudit inventaire…"
Article 5e. Arrivant la dissolution du mariage, la future épouse et ses héritiers reprendront : 1° les habits, linge, hardes, dentelles, argenterie, bijoux et diamants à l’usage personnel de ladite future épouse, 2° tous les meubles et autres objets mobiliers et quelqu’espèce qu’ils soient que la future épouse ou ses héritiers justifieront avoir été acquis par elle ou autrement lui appartenir.
Apostille du tribunal civil de la Seine datée du 18 avril 1799 : "Insinué à Paris au bureau établi près le tribunal civil du département de la Seine le vingt neuf germinal an sept (18 avril 1799)… et transcrit
tout au long les articles premier et cinq au registre de forme dudit tribunal… à la réquisition du porteur qui a signé sur ledit registre et a été averti de la déclaration à faire dans les six mois du décès du prémourant et de réitérer l’insinuation de l’article premier relatif à la non communauté au greffe du tribunal civil…"
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designinthemoodforlife · 2 years ago
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Asad Raza, Plot, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Bolzano, 2023
« Avec « Plot » d'  Asad Raza (1974, Buffalo, États-Unis, vit à Berlin), Museion , le musée d'art moderne et contemporain de Bolzano, explore de nouveaux territoires pour les pratiques expérientielles et collaboratives de la conception d'expositions. C'est un projet qui construit un dialogue entre l'art visuel, la science, l'architecture, la danse et les acteurs locaux liés par une relation forte avec la terre, et qui s'appuie sur des savoirs localisés sur le territoire, tout en en générant de nouveaux en même temps », anticipe l'institution concernant l'exposition qui s'ouvre aujourd'hui 24 mars à 19 h 00. Le projet d'exposition «interdisciplinaire et procédurale» est organisé par Léonie Radine et voit la participation des architectes BB ( Fabrizio Ballabio ,Alessandro Bava ), de l'artiste Lydia Ourahmane et du chorégraphe Moriah Evans (jusqu'au 3 septembre 2023).
« Le titre Plot , qui peut indiquer un terrain, un plan ou le déroulement d'une intrigue narrative, fait allusion aux différentes dimensions conceptuelles de l'exposition. Telle l'intrigue d'un roman, l'exposition se déroule en différents chapitres, dont chacun crée des rencontres poétiques et sensuelles entre des entités naturelles, artificielles, vivantes et inanimées, et une sensation de porosité entre les corps, l'architecture et le paysage», a expliqué le musée.
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lesoreillesouvertes · 11 months ago
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Dimanche 17 mars, c'est enfin le jour de la St Patrick !
Bon, demain, on n'en parle plus. Mais aujourd'hui à Cincinnati, OH les gens sont habillés en vert, boivent des coups non stop et écoutent de la musique trop fort. Je traverse la foule verte pour ma destination : The Underground Railroad Museum qui par chance était gratuit ce jour.
A part le fait que Nantes soit à peine bien localisé sur la carte, le musée est immense et très intéressant avec aussi un galerie sur l'esclavage moderne et les différentes populations qui le subissent dans le monde. On a encore 23 millions d'esclaves dans le monde si le chiffre a bien été actualisé. Ca fait froid dans le dos. Les sujets sur lesquels je peux porter mon attention en France sont exacerbés ici : la fast fashion avec des travailleurs exploités à l'autre bout du monde pour chaque nouvelle fringue, la quantité de déchets qu'on produit et qui se retrouve à être trié par les plus pauvres, l'alimentation produite en quantité astronomique et par des gens exploités pour revenir peu cher (nourriture qui finira pour une partie à la poubelle)... Ici, c'est indécent et en voyageant, je vois plutôt les endroits et les gens qui font marcher ce système plutôt que ceux qui essaient de le changer. Peut être que le couchsurfing et donc les gens qui le pratiquent ici sont la seule alternative concrète que j'arrive à effleurer.
J'en ai appris plus sur les différents pays européens et comment ils ont profité du trafic d'esclaves. Et aussi, qu'1/3 des esclaves arrivés par bateaux d'Afrique a été emmené au Caraïbes, 1/3 au Brésil et l'autre 1/3 dans tout le reste des amériques. On parle beaucoup de l'esclavage aux USA mais c'est bien tous les peuples autochtones de toutes les Amériques qui ont été décimé et tous ces territoires qui ont été exploités par les européens avec des esclaves africains. Bonus, c'est le Brésil qui a aboli l'esclavage en dernier. J'ai encore beaucoup de sujets à creuser !
Je crois que Cincinnati est une ville sportive puisqu'il y avait 3 stades cote à cote. J'ai traversé l'Ohio River et je me suis retrouvée au Kentucky !!! Alors c'est le milieu du voyage, j'ai une chambre d'hotel pour 2 nuits. Autant vous dire que j'hiberne ! Le lit est tellement marque que seules mes mains dépassent quand je m'allonge dans la largeur et que je tend les bras au dessus de de ma tête ;-)
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loric2020 · 2 years ago
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18 mars au 20 mars 2023, Canberra, UTC+11h
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En ngunnawal, langue aborigène locale, Canberra signifie "lieu de rassemblement"
Nous arrivons à 6 heures à Canberra, après une nuit passée dans l'autocar, à dormir pour Lore et pour moi à guetter le chauffeur qui luttait pour ne pas s'endormir. Heureusement, il laissera le volant à un de des ses collègues à 1h30 du matin.
La ville est déserte à cette heure, il faut dire que c'est samedi. La ville a la particularité d'être majoritairement peuplée de fonctionnaires du gouvernement et des ambassades étrangères. Aucun lien de cause à effet avec ce qui est écrit précédemment bien sûr.
Nous n'avons rien planifié. C'est l'occasion de lever le pied après 3 semaines intenses. Nous visitons tranquillement le musée de la galerie nationale d'Australie. Les collections sont limitées car le musée est en partie en travaux. Aucune minute à perdre, nous nous rendons à un petit marché installé sur les bords du lac, suivi d'une petite sieste sur la pelouse de la Haute cour de Justice. Les passants nous adressent de sympathiques sourires. Le GPS n'est pas de trop pour nous aider à retrouver notre chemin dans cet espace urbain pensé comme une litanie de la géométrie spatiale par un couple d'architectes américains : Walter et Marion Griffin ... Non, allez, c'est plutôt réussi avec des espaces et beaucoup de végétation. C'est une ville qui respire la sérénité ! Et des hommages rendus à toutes les figures de la nation, la lutte des femmes pour le droit des femmes, la lutte des aborigènes pour le droit d'être considérés comme égaux aux européens envahisseurs. Il y a 375000 habitants ici à Canberra, nous avons dû en croiser plusieurs centaines, qui courent, qui mangent, qui prennent le bus, qui achètent le journal ...
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