#Marlène McKinnon
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regulus-lantsov · 8 months ago
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Marauders characters as actual F1 drivers because my two obsessions need to be together + McGonagall and a bit of a cheat for Mary.
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1 : Daniel Ricciardo and James Potter. Do I need to explain ? Daniel is a variant of James and I’ll die on top of that hill
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2 : Regulus Black and Pierre Gasly. I don’t know. I have this vibe. The ‘I can be a badass with a french accent but at the same time I care for my friends’ vibe. ( Plus my two favorites together )
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3 : Remus Lupin and Oscar Piastri. The calm vibe who dates the energetic one. You know you know they just fit so well ( I, now, decide that Oscar is my Remus Lupin fancast. ) 
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4 : Sirius Black and Lando Norris. Do I need to explain ?? My two baby girls who are sassy asf.
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5 : Peter Pettigrew and Kevin Magnussen. Don’t ask because I don’t know either. I just felt the vibe. 
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6 Dorcas Meadowes and Lewis Hamilton. The sass, the clothes, the fashion style, the sarcasm ?? They are variants of each other.
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7 : Evan Rosier and Max Verstappen. The care for others and who’s ready to destroy everyone's vibe that match so well.
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8 : Barty Crouch Jr and George Russell. They’re both icons who doesn’t give a fuck about the others’s thoughts on them and I live for that.
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9 : Lily Evans and Charles Leclerc. Yeah. Them. Why ? Because they have the hard work, loyalty but at the same time : I could enter my villain era if you bother me too much.
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10 : Pandora Rosier and Alexander Albon. They’re the same in another universe. Always putting the other before themselves…
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11 : Marlène McKinnon and Fernando Alonso. The ‘I don’t give a fuck’ vibe. The jokes about James’ mother that Fernando would make.
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12 : Mary McDonald and Nico Rosberg. I had to ! If Lewis was here I needed to add his ‘non-boyfriend’ who matches Mary’s vibe so well.
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+13 : Finally ! Finally ! Their saviors ! Minerva McGonagall and obviously Sebastian Vettel ! Do I need to explain ?? Father and mother figures of their franchises.
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marls-lesbian-mckinnon · 2 months ago
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Hey, my witch motherfuckers, My name is Marlène Mckinnon.
I'm 16 and I'm lesbian (of course)
I'm a Gryffindor
I'm a fucking girl who smokes and drinks.
I love my guitar, my lipstick, alcohol, my friends, parties, being free, and my lovely girlfriend.
I hate people who are not funny, homophobic people, studying too much
-♡-
@lilyevans60 is my adorable girl 🌺, my bestie, my heart sister ♡.
@moonsstarsandscars is the cutest and the most sexy werewolf I have ever seen (and the only one)
@siriusly-can-you-blame-me is my favorite gay guy in the world (can I borrow your lipstick ?) My boy bestie ♡
@deer-with-glasses you're just the cool one, but if you were more bad boy, you were the cooler ♡
@peterluvsrats sometimes you're a bit stuck, so let yourself go a little, you're cool!
@that-witch-bitch-dorcas my so handsome girlfriend is in the place ♡
@idkevrosier you're so nice when you want, but sure you're sweet
@the-smarter-black-brother One day, I'm gonna kidnapped you to dress you and makeup you (cause you're so beautiful, boy)
@barty-crouchiest At first you scared me but now I think you're badass and it's so cool!
@panda-ra you're so sweet, so calm and so cute, girl, you are the cutest ♡
@narcissadove ...Girl...I love you're style !!! Wow! 👌
-♡-
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fearlessuntamed · 2 years ago
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Dirty Blood Dynasties - Chapter 53 - Drinny & Theomione
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Ginny - Draco Vivienne - Pansy Hermione - Marlène McKinnon
LINKS: FF.NET - AO3 - Music Playlist
In french
AU. The British magical community has been profoundly shaped by Lord Voldemort and his obsession with blood purity. Since his death, thirteen families have ruled the country, preserving the traditions and values of a pure and conservative caste-based society.
Young commoner Ginny Weasley’s life is turned upside down when she crosses paths with Draco Malfoy, the heir of a sacred dynasty. Her values are shaken when their respective worlds collide, in a troubled political context.
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Le Manuscrit perdu
La famille Smith était tout ce qui y avait d’ordinaire dans cette année 2141. Mrs Smith était la chef de famille, une femme d’affaires proactive, toujours entourée de dizaines d’écrans flottant autour d’elle s’appliquant à assister à une dizaine de conférences en simultané, sans oublier de demander à son mari d’enlever ses pieds la table basse quand celui-ci s’y risquait en sa présence si elle était à la maison. Jane Smith était ce genre de femme : sa carrière passait avant tout car c’est Mrs Smith qui faisait vivre sa famille. C’est sa réussite de celle-ci qui donnait l’occasion à son mari de pouvoir faire ce qu’il voulait comme activité. Cela même si cela ne ravissait pas vraiment sa femme. Mr Smith était un musicien raté, souvent installer dans le canapé à faire les montages de ses clips pour les uploader sur « Mondor » - le plus gros réseau social à la mode - quand il n’était pas en train de gratter sa guitare dans le studio que sa femme lui avait gracieusement offert il y a quelques années de ça. Malheureusement pour lui, Charles Smith n’arrivait pas à percer dans la musique, et bien que Jane le soutînt tant qu’elle pouvait en serrant toutefois les dents, elle en voulait plus. Malgré l’amour qu’elle lui portait, Mrs Smith ne pouvait s’empêcher de souhaiter ne plus être la seule à subvenir au besoin de sa famille, elle espérait qu’un jour son mari se résigne enfin à abandonner et tente autre chose, quelque chose de plus productif et utile.
 S’il y avait deux personnes qui ne se souciaient pas des problèmes du couple Smith, c’était bien leur enfant. Jane Smith mis au monde deux fils, l’ainé qu’elle prénomma Leonard et le second Elliot. Ces deux enfants, bien qu’ils s’entendaient à merveille, étaient très différents. Elliot était un sportif, regardant toutes les rediffusions d’événements et pratiquant lui-même du foot, jujitsu et aussi gymnastique rythmique. Pour le dernier, c’était surtout son père qu’il avait insisté pour qu’il fasse au moins un sport avec de la musique. C’était une activité qu'Eliott cachait à ses amis à l’école, car même si de nos jours, c’était accepté dans la société que des garçons puissent pratiquer ce genre d’activité, les amis d’Elliot, du surement à leur éducation, étaient quand même du genre macho. Il leurs cachait donc ce petit secret, même si au fond, il aimait bien cette discipline. Elliot était un garçon social qui n’eut jamais de mal à se faire des amis, mais ce n’était pas le cas de son grand frère Leonard.
 Leonard était un garçon plutôt solitaire. Il aimait s’isoler pour lire pendant des heures des histoires fantastiques où parfois, il se met à la place du héros. Leo avait donc très peu d’amis. À l’école, il passait son temps avec exclusivement trois de ses camardes, qu’il appelait lui-même : « amis de circonstance ». Selon lui, ils n’étaient pas amis que parce qu'ils n’en avaient pas ou peu et c'était pour cela qu'ils s’étaient rassemblés, un peu comme un instinct de survie. Cela dit, il émettait quand même une exception pour son ami Marlène. Leo connaissait Marlène depuis leur enfance, c’était normal, après tout ils étaient voisins. La jeune fille n’est pas du genre farouche, c’était plutôt une jeune fille pétillante mettant en avant ses bizarreries et aimant faire des bêtises. Pour Leo, c’était juste une manière pour elle d’attirer l’attention, car, oui, Marlène aimait qu’on la regarde et se fichait pas mal que ce soit des regards de mépris, moqueries ou d’admirations. Tout ce qu’elle voulait, c’était avoir l’attention des autres. Elle était sa seule véritable amie pour lui, même si la majorité du temps son comportement le fatiguait grandement.
 Leonard aimait donc la solitude, cela lui permettait de faire son activité préférée : lire en toute tranquillité. S’il y avait bien une saga de livre qu’il relisait sans cesse, c’était bien celle du sorcier à la cicatrice, « Harry Potter ». Il avait tout lu, les livres et fanfiction, tout ce qui passait sous sa main. Marlène ne comprenait pas trop pourquoi il avait une fascination pour un « truc aussi vieux » et se moquait régulièrement de lui pour ça. Ce n’était pas grave pour Leo, c’est sa passion, son univers, et assumait volontiers les taquineries de son amie. Il avait reçu son premier tome de sa grand-mère quand il n’avait que huit ans. Leo aimait déjà lire à cette époque contrairement à beaucoup d’enfants de son âge. Il dévorait le premier tome en quelques jours seulement et supplia ses parents pour avoir la suite. Quand approcha le jour de son 11e anniversaire, il passait son temps à regarder par la fenêtre voir s’il n’y avait pas une chouette ou s’il n’y avait pas de courrier pour lui. Un jour, quelques jours après qu’il avait soufflé ses bougies, il vit une chouette se poser sur leur pelouse. Pensant naïvement qu’elle lui apportait enfin sa lettre, il fonça vers elle. Celle-ci prit peur et lui donna un coup de serre au-dessus de l’œil gauche avant de s’enfuir. Leo renta chez lui en pleurs, du sang coulant sur son visage. Heureusement pour lui, il n’en tira qu’une petite cicatrice. Ce ne fut pas sans conséquence : Depuis le jeune homme a peur des oiseaux.
 Nous étions aujourd’hui le 1er septembre, Leonard marchait dans le centre-ville de Cardiff dans l’objectif de faire ses courses de la rentrée, il avait un peu de retard car celle-ci avait lieu le lendemain. Comme à son habitude, il n’était pas vraiment emballé par cette tâche. Il était dans une école spécialisée dans l’industrie pour devenir ingénieur comme le souhaitais sa mère. Aujourd’hui, tout était automatisé, donc si on voulait avoir un métier qui payait un minimum, il fallait viser hauts. Enfin, c’est ce que Mrs Smith répétait sans cesse à ses fils. Avant de s’atteler à cette corvée, Leo décida se faire une halte à la seule boutique du coin qui éveillait son intérêt, une librairie. C’était celle que le jeune homme fréquentait depuis toujours, il connaissait bien la personne qui la gérait Miss Pince. La jeune femme avait une petite dizaine d’année de plus que lui, mais qui avait le même amour pour la littérature. Elle lui avait fait découvrir tellement de belles œuvres, même si aucune ne valait les aventures du sorcier à la cicatrice pour lui. Il pénétra donc dans la boutique avant de saluer Miss Pince. Celle-ci lui fit un signe de la main du fond de la bibliothèque avant de s’approcher de lui d’un air tout existé.
 _ Leo ! Je suis ravie de te voir » S’exclama la libraire, se rattrapant de justesse à son escarbot ayant perdue l’équilibre pendant quelques instants.
_ Vous allez vraiment finir par vous tuer un jour si vous continuez à être aussi discrète » Soupira le jeune homme en souriant légèrement. Il était habitué aux frasques de la jeune femme. Elle était très maladroite et avait une tendance à chuter à la moindre occasion. Leo ne comptait plus les fois où il retrouva une montagne de livre à terre avec juste une paire de lunettes à la branche rafistoler au scotch à côté. Inutile de préciser où se trouvait la propriétaire des lieux en ces moments-là.
_ Je sais je sais » Répondit Miss Pince, recolla le scotch qui s’enlevait de ses lunettes. « Mais je sais que mon sauveur viendra toujours me sauver donc je suis invisible ! » Rajouta t’elle en ricanant
_ Jusqu’aux jours où je vais vous laissez là et partir ! » Répliqua Leo en affichant un petit air narquois que la jeune femme lui connaissait bien.
_ Tu es vraiment un sale gosse ! » Siffla Miss Pince en gonflant les joues avant de se rappeler la raison de son enthousiasme de base. « J’oubliais, tu te souviens que je me plaignais d’aller vider le grenier d’une tante éloigné le week-end dernier ? »
_ Hum, vaguement… »
_ Et ben je n’y suis pas allé pour rien, j’ai un truc pour toi ! » La jeune femme se dirigea vers le comptoir de son magasin avant d’y sortir une boîte toute poussiéreuse en soufflant dessus envoyant les particules sur le visage de Leo qui lâcha un éternuement.
_ Fait gaffe ! »
_ Ah pardon, mais tu vas sauter au plafond ! C’est un manuscrit que j’ai trouvé, en bon état en plus ! Et devine qui est l’auteur ?
_ Jane Austen ? Tu es fan, je ne vois qu’elle.
_ Faux ! » Coupa la libraire en ouvrant la boîte pour montrer le nom écrit en manuscrit en bas de la boite. Le jeune homme pouvait clairement lire trois lettres s’apparentant à ses initiales J.K.R. Le sang du jeune homme ne fit qu’un tour.
_ C’est ce que je pense ! » Demanda-t-il d’une petite voix.
_ Non, je ne pense pas que ce soit le manuscrit de l’école des sorciers, regarde le titre. »
_ "Méfaits accomplis", je pensais qu’elle n’avait jamais écrit sur cette période de l’histoire ? »
_ Après c’est peut-être un faux, je pense que je vais l’authentifier, si ça se trouve ça vaut hyper cher !
_ C’est… Incroyable… est ce… avant que tu l’envoies … Est-ce que je peux le lire ? Je t’en supplie, si je sais qu’il existe, je ne vais pas pouvoir attendre qu’il soit publié officiellement ! »
_ Ok, mais ici, je ne veux pas que ça sorte d’ici. Tu n’as qu’à te mettre dans le fond de la boutique, je vais faire du rangement dans les étagères là-bas de toute façon. »
_ Je ne sais pas comme te remercier. »
_ Ne l’abîme pas, ça sera déjà bien ! »
_ Tu es folle ! Jamais de la vie, c’est un trésor ! »
 Suite à ses mots le jeune homme s’installait par terre contre le mur en face de la dernière étagère de la boutique. Il pouvait vaguement entendre Miss Pince monter sur son échelle l’autre côté de celle-ci. Pourtant, ce n’était pas ce qu’il l’intéressait. Il commença à toucher les premières pages minutieusement et de commencer à lire. Les premiers mots étaient assez bizarres pour un début de roman, c’était comme si le livre lui parlais « Bonjour à toi, je te donne l’occasion unique de réécrire l’histoire et de sauver de nombreuses vies, il n’avait pas vraiment besoin de l’élue, juste de faire les bons choix. » Après avoir lu cette phrase Leo crut entendre un craquement sourd, puis sentit un coup dans sa nuque avant de se faire envahir une immense chaleur traverser son corps le plongeant dans un sommeil profond.
 Durant son sommeil, il avait l’impression de trouver dans une sorte de bulle, il voyait les événements de sa vie passer devant ses yeux. Enfin pas tout à fait, sa maison était différente, plus piteuse, ses parents était bizarre, ils avaient l’air… plus proche et plus heureux Et son frère jouait… au Quidditch ? Il se voyait même recevoir sa lettre, cette fameuse lettre qu’il avait attendu longtemps sans que jamais elle n’arrive. Les événements continuaient à défiler devant lui à une vitesse folle, il y arriva quand même à y discerner quelques personnes, comme ses amis ou son petit frère, mais dans les lieux inconnus. Jusqu’à ce que tout disparaissant laissant devant lui une lumière jaune, comme s’il y avait une luciole devant lui. Cette lumière se transforma en une silhouette de femme. On aurait dit que celle-ci tenait un animal dans ces bras et qu’elle souriait. Leo n’en était pas sûr. Cette forme prit ensuite la parole pour lui dire qu’une phrase : « Toi, mon héritier. Je t’en prie retrouve les autres et arrête-le ! On peut éviter ce futur bain de sang, tu dois l’arrêter pour la fierté de notre maison ! » Suite à ces mots, elle disparut avant que Leo ne puisse lui répondre ou même poser ne serait-ce qu’une question. Il se retrouva seul dans le noir à marcher sans but pendant plusieurs minutes. Ce n’est que quand il entendit une voix familière qu’il vue au loin une porte se dessiner devant lui. La voix venait de là.
 _ Leo ! LEO ! » C’était la voix de Marlène, le jeune homme pouvait la reconnaître entre mille, il courut en sa direction avant de s’engouffrer dans la lumière se trouvant derrière la porte. Il rouvrit ensuite ses yeux, comme s’il venait de se réveiller d’un mauvais rêve. Il avait les lèvres et les paupières qui collaient. Il se redressa légèrement, passant sa main dans ses cheveux blonds. « Ah ben enfin, j’ai cru que tu n’allais jamais te réveiller ! »
_ Lâche moi Marlène, tu ne voyais que je dor… » Leo se coupa nette, se rendant compte qu’il ne se trouvait pas dans un endroit familier, il était… dans un compartiment de train. Il fixa quelques secondes Marlène, puis remarque aussi la présence de ses autres camarades, Alice et Edgar. Leonard était à la fois soulagé de voir des visages familiers, mais en même temps terrifié. Il ne savait pas ce qu’il se passait, est ce qu’il était encore en train de rêver. « On est où ? »
_ Tu as pris un coup sur la tête ou quoi Leo, On est dans le Poudlard Express ! » Répondit Edgar en dévisageant son ami qui ne semblait pas dans son état normal.
_ Depuis quand tu connais Poudlard, toi ? » Répondit directement Leo, se disant la seconde plus tard que ce n’était pas forcement la question la plus utile à poser.
_ Ben, ce serait dommage qu’il ne sache pas où on a fait nos cinq dernières années d’étude non ? » Rajouta Alice en ricanant un peu « Après c’est vrai, Edgar a tendance à tout oublier, au fait, tu as gardé ton rappel-tout avec toi ? »
_ Très drôle Alice, je suis mort de rire ! » Grommela Edgar en croisant les bras pour bouder.
_ Tu es sûr que ça va ? » Demanda Marlène en regardant Leo.
_ Euh… je ne sais pas… » Leo avait du mal à se concentrer, il pensait rêver, comment lui et ses amis pouvaient être en route pour Poudlard, c’était impossible. Il avait dû s’endormis en lisant le manuscrit et c’est pour ça qu’il rêvait de ça. Après quelques secondes de réflexion, il décida de se prendre au jeu. Il était dans un rêve après tout. « Ça va ! J’ai juste fait un rêve bizarre ! »
_ Ah tant mieux, je devais aller rejoindre Sirius à notre arrivée, je ne voulais pas devoir m’inquiéter pour toi alors que je suis avec mon copain. »
_Sirius ? Demanda le jeune homme se demandant si c’était celui qu’elle pensait. »
_ Ben Sirius Black ! Quelle question ! Ton cauchemar t’a vraiment retourné le cerveau, Eddy devrait te filer son rappel tout !
_ Hey ! Arrêtez de vous moquer de moi ! » Grommela à nouveau Edgar sortant l’objet en question en soupirant.
_ Bon on devrait mettre nos robes, on ne va pas tarder à arriver ! » Coupa Alice regardant ses camarades d’un air un peu sévère qu’à son habitude.
_ Ok, ok Miss Préfète » S’exclama Marlène en tirant la langue. « Ton nouveau titre te monte à la tête, d’un côté tout te réussit, l’année dernière, tu deviens la chef de notre équipe de Quidditch, maintenant Préfète. Avant la fin de l’année tu remplaceras Dumbledore, c’est moi qui vous le dis ! »
_ Tu serais peut-être à ma place si tu arrêtais de batifoler avec ce chien errant qu’est Black ! » Répliqua Alice, un peu agacé.
_ Et toi tu serais beaucoup moins coincé si tu te trouvais un mec, vraiment à ce rythme tu vas devenir une nonne ! » Railla Marlène.
 La dispute entre les deux amis fut coupée par le sifflement aigüe de la locomotive. Celle-ci était enfin arrivée à Pré-au-lard. Leo se contenta de prendre ses affaires, enfin, il supposait et se suivre ses amis en dehors du train. Il se mit à regarder tout autour de lui, tout était comme il l’avait imaginé, il était émerveillé par toutes les lumières qui était autour de lui, c’était de la magie… de la vraie. Leo remarqua également une grande silhouette imposante qui était en train d’accueillir ce qu’il supposait être les premières années. Il y était, il était à Poudlard ! Il ne voulait pas se réveiller de ce qui était toujours selon lui un rêve.
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~ Amélia Black (OC)
~ Sirius Balck
~ Marlène McKinnon
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leylou-hufflepuffy-blog · 7 years ago
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Dorlène (Dorcas X Marlène)
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marlmckitten · 7 years ago
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Do u write smut? If so, then can u do like one where Marlène snakes out to meet with Sirius and then they have sex
Of course I can~
Marlene was laying in bed with Lily going on and on and on and on about all the annoying things about James Fleamont Potter. On a good night it was annoying. On this particular night, the blonde wanted to walk over to her friends bed and strangle her with whatever was close by. After two hours of Marlene’s casual grunts in agreement, Lily finally lost her wind and so incredibly slowly, dozed off to sleep. When at last there was silent in the girls dormitory, she snuck out of her bed, wrapped her favourite leather jacket around her body and soundlessly opened the door to tiptoe downstairs and out the common room. It had been a few weeks now of her and Sirius Black secretly not hating each other. Every few nights he would pass her a note, or whisper a place and a time in her ear and she would follow his instructions to meet him in various spots around the castle. It always ended in mind-blowing sex so Marlene was more than happy to keep it a secret from her friends. Tonight he told her to meet him in a random hallway, and she was just hoping that he hadn’t grown tired of waiting and left. After a very long, frustrating day of her professors reminding her that her grades were slowly failing, and Lily ranting about Potter for the entire day when Marlene could SEE that she didn’t actually hate him very much anymore and that was what was really bothering her, the Gryffindor girl was looking forward to Sirius making her forget all that.
Lucky for her, he was there, leaning casually against a wall, as if he was just comfortably in one his favourite hang-out locations. “Ah, there you are McKinney,” he acted as though he hadn’t been waiting over an hour for her to show up. “What held you up? Group orgy in the girls dorm tonight?”
“Oh yes, and we all just so desperately wished you were there the whole time,” Marlene replied sarcastically. “So what’s with the hallway? Not even you’re brash enough to stick your dick in me right here.”
“Don’t tempt me, Marls,” he chuckled, before standing up and pacing awkwardly back and forth. The half-blood wanted to question what he was doing, but he seemed oddly concentrated When she finally gave up and opened her mouth to say something, a door magically appeared in front of them and her mouth was stuck slightly ajar. “Welcome to the room of requirements,” the young Black winked and opened the door for her.
Her initial amazement vanished when she walked into a small room with a bed in the middle and nothing else. “Oh…” She commented, “This is it?”
Closing the door behind him he wrapped his hands around her waist and whispered into her ear, “What more do you need, McKitten?” Before kissing her lightly down her jawline, across her neck and then on her shoulders. Shuddering at the lightness of his lips combined the tickle of his stubble, Marlene moaned softly and extended her neck for him to continue. It took some effort on Sirius’ end not to laugh, she always went weak the second he touched her neck. “You know, if you ever want to bring some of the girls with you…” He began to suggest, but at this, Marlene managed to convince herself to push him away, before sitting herself on the bed, arms crossed.
“See, this is why I never liked you much, you arrogant poodle head!”
“Did you come out here to call me names or let me shag you? Cause if you just want to insult me, we really don’t need a private room for that…”
Marlene huffed, slightly annoyed at his relaxed shrug towards her comments, usually he wouldn’t miss a beat to insult her right back, it was one of the joys of their relationship the past five and a half years. But how Sirius was looking her up and down, she could tell that their banter wasn’t the prominent thing on his mind. “Shut up and just kiss me, Black.”
The male was more than happy to oblige, he leaned down and caught her lips with his, pushing her body back on the bed as he crawled on top of her. And Merlin did Sirius’ lips always feel so perfect against hers. And so did his surprisingly strong hands against her body. He let his hand slide down her waist and back up, feeling every curve of her body and causing her back to arch up towards him. Marlene let out a whimper when his fingers pinched at her breasts, through her silk nightgown. “You were eager, weren’t you?” He teased, feeling the lack of a bra, his hands moved down again and up under her dress, “And no panties. What do you think you’re doing walking around the castle in nothing but this negligee and leather jacket?” He tsked her slightly, but pulled himself up to push her coat off and take a look at her body, laying down on the bed, waiting for him.
“A picture would last longer,” she commented, propping herself up onto her elbows so she could watch his eyes take in her body.
His lips curled into a smirk, “Trust me, McKinnon, if you would let me, I would take so many pictures of you.”
“I never said I wouldn’t,” she shrugged with a sigh, letting herself fall back onto the bed again, her golden hair sprawling out around her. Marlene pulled one of her legs properly onto the bed, bending it at the knee so that her dress fell around her hips, showing off her long legs.
Taking a mental picture of her laying like this, Sirius sat on the edge of the bed and slowly kissed his way up her leg, assuming that she threw her legs in his face just to tease him.
Giggling as he caressed the inside of her knee and his warm kisses made their way higher and higher, Marlene let her hand fall to her side, fingers getting lost in Sirius’ hair. When at last he reached her waist, his mouth bit gently down on the skin at her hips. The blonde yelped at the bite, but didn’t stop him, so he took her skin between his teeth again before continuing upwards. Marlene pouted that he missed where he was suppose to stop, but he ignored her, pulling her delicate negligee up as his mouth continued its journey. Moving more centred, his tongue flicked over her belly and kisses trailed up between her breasts, that heaved heavily with desire as his hands worked in small circles on her inner thighs. She was growing inpatient, but he had no intentions of speeding up his pace. He tugged the gown over her head and left her naked body in front of him, while he remained fully clothed. Making quick eye contact, she could see smug look on his face as his tongue reached towards her nipple, coating it in his saliva. He lost his eye contact with her, as he took as much of her breast as he could into his mouth and suckled at it. When his teeth closed around the nipple, Marlene gasped in pleasure. So he continued. Licking, then sucking, then biting, until the nub was dark and hardened pointing up at him. She whined as he switched over to the next one, doing the exact same thing, but this time moving his hand that was caressing her thighs to continue massaging her other breast.
Marlene moved her hips, the heat between her legs already growing so wet before he had even touched her there. With an attempt to grind her hips against his leg, he used his left hand to hold them in place, while his right palmed her tit and mouth continued teasing her other one. “Come on, Sirius,” she moaned, her body already shaking with weakness for him.
“You always think you’re so in control… for a second,” he joked, finally letting his mouth leave her chest and start nipping at her collar instead. Anywhere other than the bedroom, she would never loose her composure around him. And whenever they were done she would make a comment on how next time she wouldn’t turn into jelly, yet time after time this is how they ended up and Marlene wouldn’t trade it for anything.
“Shut up, Black,” she repeated, with less conviction than earlier, since the fingers holding her hips in place reached forwards teasingly at her lips. He leaned up to look at her, the rest of his body no longer pleasing her in any way, eyebrows raised as if he were daring her to tell him to sod off. She groaned as their eyes met and her hips convulsed towards his fingers, giving her away. “Don’t stop now,” she ordered him, but the look on his face told her that he wanted more. He wanted her to beg, and she wouldn’t. Not this time. As she remained still, he licked his lips and allowed his fingers to part her folds, touching her clit so lightly yet still managed to send a jolt of pleasure through her body. But the warmth from his fingers were enough to have her moan out loud. “Fuck,” she whined, but he kept his eyes on her. “Please, Sirius,” her voice shook at his triumphant grin flashed for a second before his lips crashed back onto hers and his fingers grazed her centre before diving inside of her.
“Always so wet for me,” he said into her lips as he let his two fingers begin pulsing inside of her, before pulling them out to add a third.
Her whole body shuddered with urgency when he guided his thumb to rub at her clit, his fingers still working inside of her. As her moans got louder and she felt her body tense up ready to reach her climax, he pulled his fingers out of her electing an angry “No,” from her. “Sirius,” she begged him, “don’t!” She needed more, she was so close.
But his own clothes were getting warm, and his erection was uncomfortable confided by them. She helped and it only took a second to rid him of all his clothing, leaving him naked in front of her. Her hands glided over the tattoos that littered his chest and arms, and her fingers moved down to start stroking his very hard cock. But he pushed her hands aside, already more than ready just from teasing her, and he positioned himself over her. The tip of his manhood teased at her cunt for only a second and then with a single thrust inside of her, she made a high pitched  “Yes.” Feeling the fullness inside of her. He let out a satisfying grunt, hungry with need of her, and she could feel it with the energy he was now fucking her with. She could feel his hips rock against hers, trying to find the perfect rhythm. His hands pinned hers to the bed, as he continued ramming into her eventually finding the spot that had Marlene practically screaming. “Yes, right there Sirius, don’t stop!” Her nails dug into his hands, pure pleasure racing through her veins. As he thrust in and out of her, each time a new jolt of bliss coursing through every inch of her body. Their lips met again for a heavy, passionate second, before they parted and she continued her high pitched panting. Before long she was curling her toes, her back so arched into him that she was barely touching the bed anymore. Marlene felt warmth travel through her whole body, her climax nearing, “Fuck Sirius, fuck!”
“Come on, baby,” he breathed into her ear, “You’re my good little whore, I want to hear you cum for me.”
And she was more than happy to. His cock pushed even deeper inside of her as his hips crashed aggressively over hers. “Fuck, Sirius, yes, I’m coming,” she cried letting herself, her walls tightened on his hardness and she went over the edge, repeating his name and taking him with her. He let himself spill into her, not possessing the restraint to pull out on time.
He stayed on top of her, prick still buried inside her wet pussy, when he let her hands go. The couple was still catching their breath when he laughed lightly in her ear. “This is why we needed a room, Mar, you’re kind of loud.”
Playfully pushing him off of her, she glared, “Only because I know you love it when I shout your name.”
“You couldn’t resist even if you wanted,” The pureblood continued laughing at her. “When are you just going to admit that I’m the best shag you’ll ever have and you can’t help that you completely loose control around me.”
“I do not,” Marlene huffed, pulling a blanket around only herself and facing away from him.
But for the first time since they had began their midnight adventures together, he turned on his side and wrapped his arms softly around her, not even trying to grope at her breasts or any other part of her. At first the blonde wasn’t sure how to react, but then he placed a gently kiss on her forehead. “Goodnight, Marlene,” he whispered to her, clear he had no intention to go back to their dorms tonight. She lay frozen for a while, before relaxing against him and falling asleep in his arms. A year later, she finally realized that it wasn’t from her noise that inspired him to find their own secret room, but so that he could cuddle with her afterwards and keep her tucked safety in his arms for the remainder of the night.
And for any more you can always check my masterlist here.But also my requests are always open so send them in!
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zardicar · 4 years ago
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Tempus Tenebris
Aujourd’hui je voulais vous parler de Tempus Tenebris, un forum RPG au temps des Maraudeurs, basé sur l’univers de Harry Potter. 
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“Septembre 1977. La page la plus sombre de l’Histoire de la Magie est en train de s’écrire. Celui qui fut autrefois appelé Tom Jedusor est désormais connu sous un autre nom. Un nom que personne n’ose prononcer tant il est annonciateur de malheurs. Le Seigneur des Ténèbres a déclaré la guerre, une guerre qui fait régner la Terreur aussi bien du côté magique que du côté moldu. Ses espions sont infiltrés jusqu’au ministère de la Magie, parfois de leur plein gré, parfois en subissant le sortilège de l’Imperium. Les sorciers sont devenus méfiants les uns envers les autres, craignant de trouver face à eux des espions du Seigneur des Ténèbres. Les ruelles commerçantes, autrefois animées et pleines de vie, sont presque désertes. Quant aux enlèvements ils sont si nombreux que la Gazette des Sorciers y consacre chaque jour une page entière. Il n'est d'ailleurs pas rare de voir la Marque des Ténèbres apparaître au-dessus d'une habitation, présage de malheur. C'est décidément une époque bien sombre et sans précédent dans le monde de la sorcellerie.”
J’incarne Willem E. Prewett, James Potter et Rabastan Lestrange.
Je recherche Bertram Prewett (au service des ténèbres et frère de Willem), Mary MacDonald, Marlène McKinnon, Bellatrix Lestrange et Rodolphus Lestrange.
J’espère à très vite <3
https://tempus-tenebris.forumactif.com/
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blog-melacque-role · 5 years ago
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Emmeline 𝚊𝚗𝚍 𝑺𝒊𝒓𝒊𝒖𝒔.
 [﹙  #ᴀʀᴇsᴛᴏᴍᴏᴍᴇɴᴛᴜᴍ ﹚]
                   ₂₀   ʟᴜɢʟɪᴏ   ₁₉₇₇                 ↷ #001 𝗏𝖺𝖼𝖺𝗇𝗓𝖾.   Con Marlène a farsi una nuotata nel lago scozzese del quale Sirius ignora tutto ciò che un comune babbano, armato di cartina, saprebbe snocciolare su due piedi, si sente finalmente libero di starsene rintanato in tenda a crogiolarsi nel dolore che, da giorni, si ostina non solo a reprimere ma anche a mettere a dura prova! Si è a malapena alzato per dare il buongiorno a tutto il gruppo, quella mattina, prima di correre nuovamente al riparo della sua confortevole branda. Debole e stanco, se non collassa nel mondo dei sogni è unicamente perché il pulsare delle contusioni lo tiene sveglio. Quello, e pensieri di varia natura ma con il medesimo, inconfondibile intento, di privarlo anche della salute mentale.
Unirsi ad un viaggio, in segreto, portandosi dietro, per di più, la sorella nevrotica della sua compagna di Grifondoro, non era stata una brillante idea. Specie perché quella pazzia gli era costata una notevole ricaduta. Per questo non poteva farne parola; le McKinnon lo avevano rimesso in sesto con fatica e lui buttava tutto all'aria per cocciutaggine. Perché saperla sola, con Lily, dispersa chissà dove... di quei tempi non era ammissibile.
Dev'essersi anche preso l'influenza, o qualcosa; perché non fa che tossire, sicché a star sdraiato non ce la fa più e si alza, scalzo, per andare nella zona comune a sonnecchiare seduto sul divano. Qui trova Emmeline a gironzolare nella zona della cucina. Si sono già visti prima per cui non la saluta e si butta solo sul divano sfatto tanto quanto lui: tra pantalone del pigiama arrotolato una gamba sì e l'altro no, maglietta sbrindellata e capelli arruffati, manca solo la riga del cuscino sul volto a renderlo perfetto come vittima di un lupo mannaro.   « Stai facendo il tè? » domanda ad occhi chiusi; testa abbandonata contro lo schienale.
Emmeline Emmeline, quando si è svegliata per la seconda volta quella mattina, ha realizzato contemporaneamente tre cose: è più tardi del solito, Remus (conoscenza) le ha lasciato un bigliettino in cui velocemente ci sono scritte le parole ‘cibo’, ‘pane’ e ‘alcool’ unite da verbi incomprensibili che forse vogliono comunicarle che è andato in paese con alcuni degli altri – non si sa chi, non si sa quando- per fare provviste. Emmeline ha ringraziato il cielo per il non essere stata svegliata quando, dopo colazione, si è riappisolata sul divano. Dorme così male, nell’ultimo mese e mezzo, da far sembrare ogni piccola pennichella rubata come vero e proprio oro. Senza contare che si è rintanata lì, con addosso una coperta, perché oggi le sembra particolarmente umido. Certo, nella tenda magica la temperatura è sempre stabilmente piacevole, ma quando aveva messo fuori il capo e vista la nebbiolina mattutina farsi più insistente del solito sul lago, ha recitato un ‘nope’ a mezza voce, tornando dentro e abbandonandosi al lusso dell’ozio. Si è svegliata perché ha sentito qualcosa. Non sa cosa, inizialmente. Si mette seduta, realizzando che oltre alla coperta, addosso ha anche un maglione di Remus, che si infila in tempo zero, prima di alzarsi, infilando le pantofole. Realizza solo a questo punto, mentre sta legando un crocchio di capelli sul capo come una vera casalinga disperata, da dove provenga la fonte del rumore. Qualcuno sta tossendo con l’intensità di un vero leone! E quel qualcuno lo sta facendo dalla zona dove dormono le ragazze. Ora, per quando Marlène e Petunia (conoscenza) siano incredibilmente forti e determinate agli occhi di Emmeline, dubita che sia una delle due giovani ad avere quella sorta di caverna catarrosa nel petto. Rimane quindi il loro inquilino occasionale, Sirius. In effetti, non lo ha visto molto bene quella stessa mattina. Pallido come un morto, con la bocca impastata e una magra colazione per gli standard di un adolescente medio di diciassette anni. Va da sé che Emmeline è anche a conoscenza del fatto che Sirius è sottotono dall’inizio di quella vacanza e per quanto lui possa fare il coglione (ruolo che se si impegna, calza con una maestria assolutamente innata, soprattutto con James e Remus come spalle), non è il solito Sirius. Forse psicologicamente, ma senza ombra di dubbio fisicamente. Delle ferite che ha riportato, Emmeline sa poco o niente. Non ha chiesto molto né a lui né a Marlene. Ha dato per scontato che sapesse gestire la guarigione, vista la sua partecipazione alle vacanze di gruppo, ma poi si ritrova a pensare che magari e solo /magari/, Sirius se ne è altamente sbattuto le scatole ed era partito lo stesso. Sospira e si alza, prendendo la bacchetta e rassettando coperta e tavolo, lasciato in modo un po’ disgraziato durante la colazione. Accende anche il fuoco sotto al pentolino dell’acqua, prendendo la sua borsa con le scorte per metter insieme un infuso che possa far passare quella brutta tosse al moro. Non ha nemmeno bisogno di portargliela a letto però. Il ragazzo arriva da solo e si spalma sul divano come del formaggio fuso su una fetta di pane. Sembra passato sotto un branco di ippogrifi impazziti. Emmeline gli si avvicina, appoggiando il miele di agave sul tavolo. «Sì, sto preparando qualcosa del genere », gli dice, sedendosi sopra al bracciolo del divano. Senza avvisare ne altro, fa scivolare la mano sotto ai capelli di Sirius, sulla fronte, così da sentire la sua temperatura. « Vediamo che tipo di morbo di sei preso. Peste? Sifilide? Tubercolosi?», dice scherzando, alleviando così il clima di morte che Sirius si trascina dietro.
Sirius Sirius, al contrario di Emmeline, dorme benissimo quei giorni. Dev’essere stato capace di farlo persino da in piedi. Perché, ad esempio, che ci sia un paese cui far rifornimento, lì nei pressi di dove sono accampati, lo ignora totalmente. E questo ha dell’incredibile, perché allora come crede che passino il tempo, gli altri? Alternando bagni nel lago a scampagnate nella foresta? Non è lecito sapere. Ha la mente tanto annichilita, che si limita a registrare ciò che vede e ad incasellarlo nel suo scaffale della memoria, dando così la parvenza, a se stesso, e a chi lo circonda, di essere connesso con la realtà. Parlare con la testa tirata indietro a quel modo, comunque, gli provoca una scarica incontenibile di tosse che lo piega in due; vittima di un cruciatus. Ciocche di capelli gli dondolano sul viso, e la mano stretta a pugno, che si intravede solo, da quella zazzera scura, pare compiere lo sforzo di comprimersi su se stessa, per far sì che cessino i lavori nella sua catarrosa caverna(-cit). Sirius irrazionalmente quasi ci spera; in tal modo, oltre a risolverebbe il suo problema - a cui comincia a far seguito un attufamento generale - si farebbe anche inventore di una nuova pratica di magia curativa. Fuori delle coperte, non essendosi preparato a quella manciata di gradi di scarto, i primi brividi risalgono lungo le sue braccia. Al che, udendo solo la Corvonero camminare, perché gli occhi sono ancora adombrati dalle palpebre calanti, decide di sistemarsi meglio il pigiama e, sopratutto, di sedersi a gambe incrociate, in modo da nascondere i piedi scalzi; scatenerebbero, ne è certo, una predica di quelle degne della Evans agli albori della sua carriera di prefetto. Sirius si è sempre ritenuto fortunato a non essere stato smistato in Corvonero; Emmeline dev’essere stata mille volte peggio. « Divertente » il tono suggerisce la pensi diversamente ma la verità, messa a nudo dalla conseguente difficoltà a contrastare un’ostruzione alle vie respiratorie, è che ha avuto un moto di riso. « Nessuna delle tre, è il freddo. » Risponde così perché quest’ultimo è divenuto, nel giro di qualche minuto, protagonista indiscusso dei suoi pensieri. La mano della ragazza, a contatto della sua fronte, gli era parsa fatta di ghiaccioli. Sente, analizzando meglio le sue condizioni, lo stesso alone di morte che a sua insaputa percepisce anche la giovane; ma dentro. Lo riconduce a quando, ad Hogwarts, si è fatto attraversare da una dozzina di fantasmi al galoppo.
Emmeline Emmeline non ha studiato mai un solo libro per diventare medimaga. Le è passato per la mente, a un certo punto della sua carriera scolastica, perché è dannatamente brava con le pozioni e le erbe medicinali. Però non potrebbe mai fare il medimago, perché le persone che stanno male, per osmosi, fanno stare male anche lei. Infatti Emmeline si accorge che la tosse di Sirius somiglia a quella da bronchite, tanto è profonda. Da vicino è quasi impressionante. Poi, nota il suo rabbrividire a contatto con la sua mano e sapendo che non si tratta di un brivido di piacere – Emmeline difficilmente crederà mai di essere essere stata guardata anche una sola volta di sbieco da Sirus Black e dal canto suo, ormai, le parrebbe quasi incesto – lo cataloga come freddo. Ha la bacchetta ancora nella mano, così appella una coperta con un incanto non verbale e la appoggia sulle spalle di Sirius. Non è la sola cosa che ha notato però. Si sporge verso di lui, a pochi millimetri dalla sua faccia, coprendogli un istante la bocca con la mano per studiare i suoi occhi. E ovviamente ignora quello che ha detto, non lo ha proprio sentito concentrata come è, ma lo cataloga come del potenziale sarcasmo ‘bitchy’ e prosegue. Le arriva solamente la seconda frase, così arrotola per bene quella coperta attorno a lui, manco volesse occultarne il cadavere. Poi lo guarda un attimo. « I tuoi occhi…. Ti si stanno rompendo i capillari, hai la tosse da troppo. Per quella basterà l’infuso che ti sto preparando ora. Per la febbre dovrei avere un decotto portentoso…» Emmeline, di base, è un po’ rompicoglioni. Ma non quando è preoccupata. In quel caso, non avendo mai avuto fratelli o sorelle ed essendo sempre stata la piccolina di casa, sviluppa una sorta di sindrome della mamma chioccia. Poi ammettiamolo, Sirius fa un po’ tenerezza. Tornando indietro nel tempo, a quando al terzo anno ha assistito per la prima volta a una performance del moro durante una partita, non dagli spalti ma come titolare nel ruolo di battitore, ricorda solamente i suoi capelli neri corvini risplendere sotto la luce del sole e quello sguardo fiero… Poi un bolide di ritorno l’ha centrata precisamente in mezzo agli occhi, con una precisione da cecchino babbano, interrompendo bruscamente la storia. « Lo avresti mai detto?» , gli chiede, prendendo la borsa e sedendosi accanto a lui. È piccola, ma si sente il tintinnare di centinai di provette e boccette lì dentro. « Io, te, una tenda e un po’ di tisi» , prosegue, mentre il tono vagamente malizioso va completamente a scemare nella stupida battuta che ne consegue. A stare con loro sta diventando ugualmente scema. Afferra una boccetta piena di un liquido intenso marroncino e la appoggia accanto a sé sul divano, guardando l’altra cosa che regge nella mancina. Sembra una scatolina, dentro contiene una crema un po’ spumosa. Un prodotto dal negozio di sua madre, niente che lei sappia fare. « Dimmi, signor Black… Quando tossisci ti fa male il petto perché magari hai qualche ferita, lì sopra?» La butta sulla leggera, non dando particolare importanza a quella frase. Perché non vuole che Sirius debba necessariamente mostrarsi vulnerabile di fronte a lei. Parlandone come parlerebbe del tempo minimizza il fatto che il ragazzo è quasi morto, un mese e qualche giorno prima. Ormai è successo, ricordarlo o rimproverarlo di essere lì, in quel momento, invece di curarsi della sua salute, non sarebbe produttivo. Hanno un’intera vita per recriminarsi le cose, non è il momento di colpire basso. Però, se ha qualche ematoma o qualche taglio, magari causa di una maledizione, deve fargli male e allora va curato. Non possono continuare a curarsi con il Whiskey Incendiario, dopotutto!
Sirius Con il senno del poi, è felice di non aver mai dato adito al suo 𝑖𝑜 vizioso di infettare, anche sotto l’aspetto carnale il rapporto con la Corvonero - già di sé non equilibrato, poiché a causa di Sirius si sono avvicinati con pretesti quali: corruzione e ricatto. Di allusioni in verità ne ha lanciate, in passato; più volte si è addirittura divertito ad invadere il suo spazio personale con l’intento di suscitarle imbarazzo. Ma non è mai andato oltre. Non fa una piega quando lei cela le sue labbra ed arriva a far sfiorare le punte dei loro nasi, solo per fissarlo intensamente, ed inquietantemente, crede lui, nei bulbi oculari. Di male non ci vede nulla. Ha solo paura di dover tossire e vuole evitare di farle avere un vis a vis anche con i suoi batteri. Si tira indietro, scuotendo il capo per togliersi i capelli dalla faccia, appena crede abbia avuto tempo a sufficienza per portare a termine la sua indagine. Ed ecco che Emmeline svela ciò che era andata cercando. « Con quella bocca baci il mio amico? » riesce a scherzare malgrado la spossatezza; l’immagine dei capillari rotti lo raccapriccia. « Febbre? Merlino » si lascia andare contro lo schienale portandosi dietro la coperta - non ha avuto scelta, infagottato come si ritrova. Spera vivamente che tutte le misture di cui la ragazza sta blaterando servino a qualcosa. Ci pensa su con un velo di disperazione, mentre la guarda affranto; combattendo preventivamente con il saporaccio, garantito, cui andrà incontro. Mette sul piatto della bilancia anche le visite al bagno, inevitabili, dopo quella dieta di liquidi. È quasi tentato di darsela a gambe. Probabilmente il vero obiettivo è quello di vendicarsi degli anni passati. Cosa a cui naturalmente il Grifondoro non crede neanche lontanamente, malgrado il pensiero venutosi a formulare in automatico nella sua mente, con ironia. Difatti le è silenziosamente grato di tutte quelle premure ricevute senza neppure l’ombra di un rimprovero. « Non l’avrei mai detto, no » cosa ci possa far mai, con tutte quelle fiale che sente muoversi all’interno della borsa, Sirius se lo chiede aggrottando la fronte, ma non proferisce parola. « Potrebbe darsi. » È vago, perché il contenuto brunastro adagiato da lei sul tavolo, in una piccola ma minacciosa boccetta, teme possa avere a che spartire con la domanda. Ad esimersi totalmente dal rispondere non riesce, però; Emmeline lo ha fatto sentire coccolato ed al sicuro portandogli alla memoria episodi risalenti alla sua infanzia. E non si sente un granché vulnerabile a confermare le sue ipotesi. L’orgoglio, la fierezza, non scalpitano con lei; e va bene così. « Ma ancora non ho visto la mia “tisi” » con la testa va ad inclinarsi di lato, così da finire quasi appoggiata alla spalla di lei che, seduta li accanto, guarda con fittizio fare pretenzioso arcuando le sopracciglia. Come se le due questioni fossero state legate e lei avesse finto di ignorarlo pur di saltare, di proposito, dalla fase numero uno a quella numero due. Sfortunatamente la febbre non c'entra nulla con il suo argomentare contorto.
Emmeline Col senno di poi si è tutti saggi. Se anni fa le avessero detto che sarebbe riuscita ad entrare così tanto nella vita di Sirius Black avrebbe quasi pianto di felicità, perché per lei il loro rapporto – almeno inizialmente- è stato causa di forti frustrazioni. Non lo capiva. Ci provava, ma non lo capiva. Il suo comportamento ambiguo la lasciavano sempre stupita. Poi aveva realizzato che tutte le mosse del corvino erano probabilmente finalizzate a farsi fare i compiti. Arrivati a dove sono arrivati, non ha più uno straccio di importanza. È contenta di essere sua amica molto di più di quanto lo sarebbe stata nell’essere una sua avventura. Sirius è maturato moltissimo, soprattutto nell’ultimo anno. Ha cominciato a capirlo e decisamente possono essere sono amici. Migliori amici, magari, ma niente di più. Soprattutto da quando ha iniziato a notare sempre di più Remus, Sirius ha perso un po’ di fascino ai suoi occhi. Ora che sta ‘larveggiando’ sul divano come se dovesse morire da un momento all’altro – che drammatici gli uomini, due linee di febbre e sono ko- poi, men che mai. Però fa tenerezza. « Non lo vuoi sapere cosa faccio con questa bocca», lo incalza, a sorpresa, con le labbra leggermente piegate in una curva maliziosa. Questa è probabilmente la battuta più sporca che abbia mai detto in vita sua a qualcuno che non sia Remus. Anche lei in fondo è cambiata. Avere una relazione l’ha fatta crescere e ha buttato in un angolo quella bambina imbarazzata per qualsiasi cosa. Poi sta parlando con Sirius Black, lo ripaga di anni e anni di allusioni. Certo, magari più velate, ciò che ha detto Emmeline non è interpretabile. « Nessuno avrebbe potuto dirlo. E io e te non siamo nemmeno così sconvolgenti come Lily e James nella stessa tenda senza esplosioni..» La vita è davvero imprevedibile. Emmeline è sempre stata convinta che sarebbero finiti assieme, quei due. perché la vita avvolte imiita i libri di narrativa, dove il ragazzo spregiudicato e che non segue le regole si innamora della giovane bacchettona e si raggiunge il compromesso, crescendo assieme. Invece sono cresciuti benissimo senza bisogno di stare assieme. Lily è molto meno rigida, visto il quantitativo di regole e restrizioni hanno infranto insieme e James è meno fuori di testa. Forse anche perché Sirius è diventato più maturo. O magari il contrario. O ancora, magari, sono loro due quelli che sono cresciuti assieme. Infondo sono sempre stati come fratelli. Versa il contenuto della boccetta in un bicchiere e lo allunga con dell’acqua di sorgente, prima di appoggiarlo sul tavolo, per lasciar respirare il decotto. Sirius lo potrà bere dopo, magari prima della tisana per la tosse. Però ovviamente ha un pessimo sapore. « Ah potrebbe, eh. Se hai delle ferite o dei lividi puoi dirmelo. Facciamo un patto infrangibile così non lo dirò a nessuno» , lo prende un poco in giro, sbuffando quindi divertita. Scuote piano il capo, Emmeline, mentre guarda questa gran canaglia che ora le si è appoggiata alla spalla come un cucciolo in cerca di coccole, ma con una faccia di bronzo niente male. Il braccio della bionda va a circondargli le spalle, mentre se lo sistema contro, sfregando piano il braccio da sopra alla coperta come se volesse scaldarlo. Emmeline è una via di mezzo fra una mamma e una sorella minore eccessivamente matura. E la cosa divertente è che è così minuta e bassa, da rendere bene l’idea di quanto Sirius debba sentirsi infreddolito. S’è fatto piccolo abbastanza per essere stretto. Appoggia la guancia alla sua fronte, sentendo decisamente meglio la temperatura e sì, è caldo, ma nemmeno poi così tanto. «Secondo me hai preso solo un po’ freddo » , sussurra pensierosa, continuando a passare la mano sul suo braccio, come se temesse di disturbarlo. « Con un giorno di riposo, ti riprenderai già. Ma non dovresti strafare…» Gli lascia un bacio sulla fronte, prima di appoggiare il capo al suo, guardando verso il tavolino. « Non pretendere troppo da te stesso, Sirius. Lo fai spesso, ma non dovresti. »
Sirius Ridacchia. Pensa sempre con nostalgia ai tempi in cui il migliore amico aveva occhi solo per la rossa. La sua amicizia - se così poteva definirsi - con Petunia, è nata grazie a questa ossessione. Non avrebbe mai spedito una lettere alla Evans, durante l’estate del primo, se James non avesse passato l'anno a sbavare dietro la ragazzina. Come sono passati dal farsi gli occhioni dolci, al non potersi più vedere, al riuscire a stare sotto lo stesso tetto senza uccidersi, per Sirius è un mistero che non va approfondito. Rimanere in superficie è alla base di una vita serena. Chi scende in profondità ha tempo da perdere, ed è vittima dell’ennesimo luogo comune che vede l’uomo, e la sua interiorità, al centro di un universo del quale è forse materia più insignificante. « Se » quasi la vede andare a spifferare tutto a Marlene. Non dubita della fedeltà della Corvonero. Le affiderebbe la sua stessa vita. Proprio per questo però, metterla al corrente circa le sue ferite, non equivarrebbe propriamente al passare quei giorni di vacanza in tranquillità. Anche mettendo caso stesse sbagliando, a dare per scontato che farebbe comunella con la McKinnon, lei gli darebbe comunque il tormento, da sola. Così come faceva l’altra, da che lui l’aveva raggiunti. Quindi Sirius si ritroverebbe a dar retta a due campane che suonano la stessa canzone. E no grazie. Con ogni filo che tira riesce a recargli giovamento. Lui, che schivava i baci dei parenti come schiantesimi, rimane a farsi cullare dalla Vance senza ritegno. Un po' di disagio lo prova ma è nulla confronto al sollievo. Sicché tutte le noie intangibili che solcano la sua zona t, neppure si spreca di contemplarle. Solo di una ne sfiora il peso: Marlene, pensa, dev'essere più comoda. Ad occhio e croce. « -questo non è mai successo. » « Mmmh » ci sente ovattato. Corresponsabili: la febbre; le carezze; il senso di protezione e la voce calma, rilassante, della ragazza. « Si colpa del freddo » asseconda. Ha la forza di fare solo questo; e poi, a svalutare i suoi malanni è bravo. Farebbe passare un emorragia per una piccola perdita di sangue. Gli occhi li ha chiusi “un attimo”, di non ricorda più quanti attimi fa; per parlare con l’amica non gli sarebbe servito tenerli aperti; tantomeno per ingurgitare questa o quell’altra pozione; erano tutte attività designate alla bocca - sudice tanto quanto quelle con cui si dilettava Emmeline delle quali, aveva ben suppost, Sirius non volesse saper nulla. Ed è stato letteralmente un lanciarsi tra le braccia di hypnos. Le dolci parole premurose di lei le recepisce; vanno a conciliare il suo sonno. Ma per rispondere è troppo tardi.
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regulus-lantsov · 1 year ago
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Karen Sirko
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Karen Sirko ? Ah yes ! You mean heterosexual Marlène Mckinnon in the maraudeur's band ?
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ao3feed-jily · 5 years ago
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Holding a Heart II
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by QueenNoMaraudeuse
Après l'assassinat de Marlène Mckinnon, Lily Evans décide de se retirer du monde magique alors que les Maraudeurs continuent d'oeuvrer pour l'Ordre. Les années qui ont suivis Poudlard... jusqu'à la fin. -fin alternative-
Words: 14831, Chapters: 8/?, Language: Français
Fandoms: Harry Potter - J. K. Rowling
Rating: Explicit
Warnings: Graphic Depictions Of Violence, Major Character Death, Rape/Non-Con
Categories: F/F, F/M, M/M, Multi
Characters: James Potter, Lily Evans Potter, Sirius Black, Remus Lupin, Peter Pettigrew, Marlene McKinnon, Severus Snape
Relationships: James Potter/Lily Evans Potter, Sirius Black/Remus Lupin, Sirius Black/Marlene McKinnon, Alice Longbottom/Frank Longbottom, Lucius Malfoy/Narcissa Black Malfoy, Arthur Weasley/Molly Weasley, Andromeda Black Tonks/Ted Tonks, Bellatrix Black Lestrange/Rodolphus Lestrange, Charlus Potter/Dorea Black Potter
Additional Tags: Angst and Fluff and Smut, Angst and Hurt/Comfort, Romance, Friendship, Enemies to Lovers, Friends to Lovers, Marauders Era (Harry Potter), jily, wolfstar, blackinnon
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ao3feed-snape · 5 years ago
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Après l'assassinat de Marlène Mckinnon, Lily Evans décide de se retirer du monde magique alors que les Maraudeurs continuent d'oeuvrer pour l'Ordre. Les années qui ont suivis Poudlard... jusqu'à la fin. -fin alternative-
Words: 5573, Chapters: 4/?, Language: Français
Fandoms: Harry Potter - J. K. Rowling
Rating: Explicit
Warnings: Graphic Depictions Of Violence, Major Character Death, Rape/Non-Con
Categories: F/F, F/M, M/M, Multi
Characters: James Potter, Lily Evans Potter, Sirius Black, Remus Lupin, Peter Pettigrew, Marlene McKinnon, Severus Snape
Relationships: James Potter/Lily Evans Potter, Sirius Black/Remus Lupin, Sirius Black/Marlene McKinnon, Alice Longbottom/Frank Longbottom, Lucius Malfoy/Narcissa Black Malfoy, Arthur Weasley/Molly Weasley, Andromeda Black Tonks/Ted Tonks, Bellatrix Black Lestrange/Rodolphus Lestrange, Charlus Potter/Dorea Black Potter
Additional Tags: Angst and Fluff and Smut, Angst and Hurt/Comfort, Romance, Friendship, Enemies to Lovers, Friends to Lovers, Marauders Era (Harry Potter), jily, wolfstar, blackinnon
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instapxtter-blog · 7 years ago
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— Personnages et pseudos — ******* [Lucius Malefoy / MalfoyPriiince] [Marlène McKinnon / McKinnonBlxndGiiirl] [Fabian et Gideon Prewett / PrewettTwiiins] [Emmeline Vance / VanceHufflcpuff] [Hestia Jones / JonesInThcWxrld] [Dorcas Meadowes / MeadowesLxves] [Regulus Black / BlackKiiing] [Evan Rosier / RosierPurcBlxxd] [Bellatrix Black / BlackWxrriiior] [Rodolphus et Rabastan Lestrange / Lestrange Fxmiiily] [Antonin Dolohov / Dolohov Slytcriiin] [Roxanne Malefoy / MalfoyBlxnd] [Benjy Fenwick / FenwickLxyxlty] [Sturgis Podmore / PodmoreSturgiiis] [John Dawlish / DawlishRxvcnclxw] 3/3
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salahsupremacy · 8 years ago
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➡ — Aesthetic Marlène McKinnon — ➡ — Fandom: Harry Potter — ➡ — Meilleure amie de Lily Evans — #marlenemckinnon #gryffindor #maraudersera #harrypotter
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blog-melacque-role · 5 years ago
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Marlène 𝚊𝚗𝚍 𝑺𝒊𝒓𝒊𝒖𝒔.
 [﹙  #ᴀʀᴇsᴛᴏᴍᴏᴍᴇɴᴛᴜᴍ ﹚]                        ₂₀ ɢ ɪ ᴜ ɢ ɴ ᴏ ₁₉₇₇                    ↷ #001 𝗏𝖺𝖼𝖺𝗇𝗓𝖾.
Lato destro del viso completamente affossato nel morbido cuscino, si svegliò con la bava alla bocca, andata a coronare la federa di una nuova macchiolina umidiccia. Aveva aperto gli occhi per il troppo dolore alla nuca. Quasi si meravigliò di essere sveglio, tanto fu involontaria quella ripresa di sensi. Per un primo momento non vide nulla infatti. Una smorfia deturpò il suoi lineamenti; ancora dolore; era tutto appannato. Cominciò a distinguere le forme poco a poco. La collina imponente del cuscino; le coperte a righe; piccole lampadine tonde affisse alle pareti (o almeno così poté dedurre; ne coglieva solo una); legno, tanto legno. Quel luogo non lo riconosceva.
Dei giorni che avevano preceduto il suo risveglio aveva ricordi indistinti. L'imboscata dei Mangiamorte. Immagini di James, Peter e Remus ridotti allo stremo. Marlene e Lily a combattere al suo fianco contro una mangiamorte. Lui che si lanciava contro il cugino celato dalla maschera. Lampi iridescenti a scaturire da ambo le bacchette, ferite un po' da tute le parti... e poi il nulla. Ricordava solo di essere stato accudito da mani gentili.
A fatica, si strofinò via il sonno dalla faccia - gli era cresciuta la barba, appurò contrariandosi. Quanto era stato a letto? Colto dall'impellenza di sapere tutto sullo stato delle persone a lui care, un'ansia crescente a chiudergli la bocca dello stomaco, provò a tirarsi su senza riuscita. Dunque, agitato, esalando, allungò una mano al comodino alla sua destra, dove a tentoni riuscì ad aprire il cassetto. Stava frugando al suo interno alla ricerca della sua bacchetta quando la porta della stanza si aprì.
« Mc- » dovette rischiararsi la gola. Deglutire, e muovere - neanche fosse un vecchietto - la lingua all'interno. Era tutto impastato. « McKinnon? »
Marlene Le mani di Marlene apparivano abili, tanto abituate ai movimenti ormai parte del suo quotidiano da richiedere il minimo sforzo per agire e afferrare ciò di cui aveva bisogno. Passavano dalle spesse bende bianche alle boccette di Essenza di Dittamo, afferrando e riponendo su di un vassoio l'occorrente per le medicazioni giornaliere. Sua madre le aveva ripetuto più volte che era questione di pazienza, che si sarebbe svegliato presto, ma le rassicurazioni materne avevano potuto poco contro l'angoscia che aveva avvelenato quel giugno. Le ore passavano, si sommavano diventando giorni e tutto sembrava restare fermo, sospeso, senza il minimo accenno di cambiamento. Gli occhi di Sirius continuavano a rimanere chiusi. Le ore passate in attesa, le notti lente e opprimenti dal poco sonno, i continui contatti con amici e compagni per ricevere e dare notizie sembravano avere senso soltanto in funzione della speranza di vederli di nuovo aperti, di sapere che non era stato tutto inutile. E col passare inesorabile del tempo mantenere viva quella speranza diventava sempre più difficile. La porta cigolò lievemente quando venne spinta dalla spalla della ragazza, che la oltrepassò a entrambi le mani occupate. Qualsiasi gesto meccanico e ben conosciuto dovesse seguire, quella mattina, venne interrotto dall'immagine che le si formò davanti agli occhi quando li sollevò verso il proprio letto. Sirius. Si era svegliato. Esitò per un istante, il tempo di un battito in cui si rese conto di essere stata colta del tutto di sorpresa. « Ehi -- » mormorò, la voce spezzata dal profondo sospiro di sollievo che accompagnò i suoi primi passi verso il letto. « Alla buon ora, bel addormentato. » Aggiunse, posando il vassoio sulla sedia accanto al letto e sedendosi sul bordo con cautela. E se la frase arguta poteva suonare come quella di un qualsiasi giorno tra i corridoi della scuola, il tono stanco e il sorriso sincero che la accompagnarono la fecero somigliare al più caloroso e intimo saluto che avesse mai rivolto al compagno. « Come ti senti? »
Sirius Rinnovò lo sforzo di tirarsi su, appena vide la ragazza. Questa volta, vuoi l’impellenza, vi riuscì. Saperla viva ed al sicuro lo rianimò di forza nuova. Adocchiando il vassoio sperò non dovesse mangiare né ingoiare nulla. Non aveva intenzione di rimanersene a letto un minuto di più. Checché ne dicessero i suoi muscoli urlanti e le sue costole scricchiolanti: si sarebbe alzato. E ci avrebbe creduto persino lui se non avesse sentito le lingue di fuoco dell’inferno lambire i suoi muscoli, quando Marlene, inaspettatamente, si sedé sul letto. « Meglio » menzogna molto più che spudorata, quella. Seguita da un mugugno buttato lì a certificare inutilmente l’affermazione. « Da quanto sono prigioniero nella tua soffitta? » Abbozzò un sorriso, riciclando l’inflessione sardonica e melodica scelta da lei nel dargli il ben svegliato. Quel senso di familiarità studiato a puntino, Sirius Black, l’aveva accolto con amara gratitudine quando gli era giunto all’orecchio. Vi sarebbe stata solo riconoscenza se solo avesse avuto dimestichezza con quel sentimento. Lui provava imbarazzo. Senso di inadeguatezza. Impotenza. Quella misera battuta, con intrinseca una delle domanda che più gli premeva porle, ovvero, quanto tempo era rimasto incosciente, non a caso fu tutto ciò che riuscì a snocciolare. Era assai probabile che quella non fosse neppure una soffitta; da sdraiato aveva preso nota di tutto meno che della forma del tetto. Partito con l’intenzione di domandarle subito dopo come stessero “gli altri”, volendo escludere già in partenza una specificità che sapeva l’avrebbe logorato nell’uno o null’altro caso, si riscoprì a preferire il silenzio. L’ignoto era più confortevole al momento. Il non sapere lasciava adito ad infinite alternative. Realizzato questo, il timore che fosse Marlene di sua iniziativa a metterlo al corrente, gli gelò il sangue. Ma rimase in attesa.
Marlene Quel "meglio" mugugnato suonò come la bugia più clamorosa che le avesse mai rivolto, pratica della quale tra battute sagaci, ipocrisie e furbi giochetti di certo Marlene non poteva considerarsi una novellina. Avrebbe alzato gli occhi al cielo, se non si fosse resa conto che da parte di Sirius non avrebbe potuto aspettarsi risposta diversa. Lei stessa aveva mentito a Lily allo stesso modo, sorvolando sul livido che le ornava la fronte e il taglio scarlatto che divideva la parte inferiore del labbro, e pure sulle numerose contusioni invisibili da sotto i vestiti. Decise di non smontare la facciata del ragazzo, né di stroncare i movimenti sconsiderati che gli vide fare. Si limitò a porre con premura alcune occhiate attente ai punti critici delle medicazioni, controllando che non si intravedessero macchie rossastre espandersi tra i filamenti bianchi delle bende. « Sei prigioniero / nella mia stanza / » iniziò a rispondere, ponendo un'enfasi leggera nello specificare la natura del luogo « da cinque giorni. Oggi è il venti. » Prima volta che esprimeva a voce alta il passare del tempo, si sorprese di quanto sembrasse breve rispetto all'impressione che ne aveva avuto lei. Non ne aveva affatto tenuto conto, si disse. Una volta che le sue parole si furono depositate nell'aria, nella stanza si prolungò un silenzio nel quale l'unico suono udibile era quello dei respiri dei due giovani e la lieve pioggia che aveva iniziato a cadere fuori. Nei giorni precedenti prendersi cura di Sirius aveva catalizzato ogni sua energia, non lasciandone alcuna al pensiero di come comportarsi una volta ritrovatasi faccia a faccia con il compagno dopo l'accaduto. Era come se fossero entrambi a modo loro sotto shock, in balìa di una situazione alla quale non erano preparati e contro la quale non sapevano bene come reagire. Comportarsi come se nulla fosse sembrava forse rassicurante ma anacronistico; rallegrarsi teatralmente commossi di essere ancora vivi esponendo i propri sentimenti, non da loro. Quindi cosa restava -- ?
Sirius Se alle sue ferite non aveva badato un granché, ed era, anzi, vittima della sua cocciutaggine, andato a stressare i tessuti ancor di più, a quelle di Marlene gli venne impossibile riservare il medesimo trattamento. Inizialmente il piacere di rivederla aveva fatto sì che non ci si soffermasse, per la verità, ma adesso che averla vicino cominciava a riacquisire il sapore della normalità - ed a proposito di sapore, il suo sistema operativo doveva essersi avviato del tutto, perché ora sentiva i morsi della fame far pressione sulla bocca dello stomaco - ciò che invece non lo era mai stato, come quei gonfiori sul volto, apparve più evidente; come fosse illuminato maggiormente dalle tenui luci aranciate e, ancor di più, dalla luce frizzante del mattino che si insinuava dalla finestra. « Cinque giorni » ripeté, lontano. Cinque giorni erano tanti; molti più di quel che aveva sperato, ma tanti quanto la barba gli aveva suggerito. Venne nuovamente pervaso da quel tetro sconforto. Il tempo; era il tempo il vero nemico di Sirius Black. Il maledetto tempo che pareva intenzionato a stringere il cappio intorno al già emaciato collo di cui si faceva portatrice la sua vita. A scuola non aveva mai tempo di studiare; alla stazione non aveva avuto il tempo di reagire; da bambino, dai Black, non aveva capito per tempo di dover fuggire, salvaguardando se stesso e suo fratello; ed ora, ora il tempo gli era stato rubato proprio sotto il naso. Non di uno, non di due, ma di cinque dannatissimi giorni. Giorni in cui avrebbe potuto salvare chiunque necessitasse d’essere salvato; in cui avrebbe potuto piangere gli amici perduti; brindare alla vita con quelli ritrovati… giorni in cui invece era stato a letto. Privo di sensi. Doveva alzarsi. « McKinnon la mia bacchetta? » Nel comodino non l’aveva trovata, in tutto quel rovistare. Gli serviva. Per andarsene di lì, far visita uno per uno ad i suoi amici, scoprendo “alla babbana”, in base al tempo che ci avrebbe impiegato a raggiungerli, quale sorte gli fosse toccata. Ecco l’unica funzione del tempo che apprezzava: quella di fornirgli il modo di prepararsi psicologicamente.
Marlene Se la preoccupazione del ragazzo era di aver sprecato troppo tempo, quella che attanagliava Marlene era invece quella di non averne sfruttato a sufficienza. Si era domandata tante volte, in quei giorni, se la mano che lo aveva smaterializzato via dalla stazione fosse arrivata per tempo, se gli sforzi fatti in tandem con la madre sarebbero stati sufficienti. Bisognava solo pazientare, le aveva detto, e Marlene infine si era quasi adagiata su quel pensiero — contrastato solo dal desiderio pressante di vederlo riprendere i sensi: li era al sicuro, lo erano entrambi. Avrebbe avuto tutto il tempo per potersi riprendere.
 E allora si che le cose sarebbero tornate al loro posto. Le sopracciglia chiare si alzarono scettiche una volta udita l'improvvisa domanda e lo fissarono sconcertata per alcuni istanti. Per un attimo pensò che le stesse chiedendo semplici informazioni sulla sua bacchetta, se si fosse danneggiata o perfino rotta durante la lotta, ma poi lo vide muoversi a disagio sotto le coperte, tirandosi più su come chi è in procinto di scuotersi da un torpore per balzare giù dal letto. Come aver accudito un cane randagio, pronto a fuggire non appena in grado di posare una zampa a terra. Le sfuggì un alito dalle labbra, un sarcastico "ah" misto ad una breve risata sbottata. Certo. Ci doveva solo provare. « La tu bacchetta è requisita fino a che non ti sarai ripreso del tutto il che, secondo la suprema autorità medica che regna in questa casa — ovvero mia madre — e la sua diretta seconda in carica — ovvero me — non accadrà così presto come pensi tu. » Sentenziò, premendo poi il palmo della mano contro il lato sano del petto del ragazzo, attenta a non fargli male ma con sufficiente forza perché l'affatto velato messaggio di non pensare neanche ad alzarsi o fare sforzi stupidi giungesse ben chiaro. La conclusione giunse poi più rigida, dal tono fermo di chi intima quasi un ordine. « Quindi, accuccia, Black. »
Sirius Tanto sciocco da credere che Marlene gli avrebbe consegnato la bacchetta senza far storie, non lo era stato. Quell’ironia però non gli piacque. La conosceva bene e significava solo una cosa: era irremovibile. Gli anni passati a condividere la medesima Sala Comune l’avevano preparato ad affrontare quel tipo di atteggiamento - più che altro, si era auto indottrinato; mettere alla prova i nervi della McKinnon, in particolare, e delle ragazze del suo stesso anno in generale, era stato il suo passatempo preferito sin dal primo giorno. Ma se ad Hogwarts si era dimostrato sovente incline a lasciar perdere, poiché incostante di natura e poco propenso ad andare fino infondo, persino nelle sue ragazzate, adesso era l’opposto. « McKinnon » con il tono di chi sta ripetendo un concetto per la millesima volta. Una mano andò a chiudersi sul polso di lei; il capo lo chinò per registrare rapidamente quanto avveniva all’altezza del suo petto e lo sollevò, a fissare le iridi nelle sue -vicinissime, poiché per controbilanciare la spinta leggera si aveva attinto stabilità dal suo braccio, attirandola a sé. « La mia bacchetta. » Minaccioso come può esserlo un tossicodipendente in astinenza, parlo tra i denti; respirando, bisogna dirlo, un delizioso aroma zuccherato provenire dai lunghi capelli biondi. Il gioco è bello quando dura poco. Questo era a malapena cominciato e il Grifondoro lo stava già portando all’esasperazione. « Il pigiama me lo togli dopo, accuccia tu. » Rude, con Marlene difficilmente lo era stato. Occasione peggiore di questa, in cui decidere di rammentarle la sua seconda faccia, proprio non poteva andarla a pescare. Il polso non aveva intenzione di liberarlo. Non poteva permetterselo. Sciolta quella catena, come la riacchiappava più, ridotto a pezzi com’era? Senza farle male, intensificò la stretta.
Marlene Tanto sciocca da credere che quell'unico divieto sarebbe bastato, Marlene non lo era stata. Nemmeno a lei, però piacque ciò che le giunse in risposta. Si ritrovò a rimpiangere la se stessa di solo pochi minuti prima, la cui massima preoccupazione era quella di cambiare le bende ad un Sirius inerme. Nella bolla in cui era vissuta nei giorni precedenti, con in mente l'unico desiderio di rivederlo sveglio, si era forse illusa che potesse effettivamente badare a quello che gli era successo e comportarsi come una qualsiasi persona normale che aveva rischiato la pelle e aveva appena ripreso i sensi. Forse era stato quello il suo errore. Suo malgrado colta di sorpresa, riacquistò presto il controllo reagendo alla forza che l'aveva sbilanciata in avanti con altrettanta forza, stringendo la mano a pugno per lo sforzo e tendendo i muscoli del braccio. All'intensificarsi della stretta rispose allo stesso modo, premendo ancora di più con il proprio peso. Senza parlare, restarono fermi per alcuni istanti; tesi, vicini, concentrati in un'improbabile partita di tiro alla fune. « Ti ridarò la tua bacchetta, » sussurrò infine, avvicinandosi con aria di sfida ancora di qualche centimetro. Il tono neanche alla lontana presagiva un reale cedimento, piuttosto lasciava intendere una ben precisa continuazione. « Se mi dici dove pensi di andare in queste condizioni, dopo esserti appena svegliato da cinque giorni di coma. » Alla durezza, Marlene sapeva rispondere con durezza. E fu proprio con quella che inchiodò lo sguardo sottile in quello del ragazzo. Scandì ogni parola con sempre più lentezza, senza scomporsi ma tanto da suonare quasi minacciosa.
Sirius Non pensava. Era questo il punto.La mente di Sirius forniva degli input, dopodiché, andando a seguire quelle che erano le sue sensazioni sul momento, lui ne portava a compimento uno; senza, tuttavia, che si sprecasse a buttar giù una bozza orientativa di quel che avrebbe fatto “dopo”. Un dopo che poteva significare tutto, come niente, ma che per le persone con un minimo di raziocinio era essenziale prendere in considerazione.Messo, pertanto, a fare i conti con suddetta realtà, che si proponeva di limitare le sue azioni, rabbuiato, non rispose. Cercò una mezza verità da rifilare alla McKinnon.
« Devo… » Temporeggiò, parlando lentamente. E con medesima inflessione, fece per avvicinare il volto al suo; rispondendo a quella sfida su due fronti.Volle ripristinare, almeno fisicamente, il suo ruolo dominante ma, constatando che sarebbero stati sufficienti pochi millimetri per colmare delle distanze rimaste invalicate per anni, si arrestò. Anche dal respirare. Rimanendo sospeso in un limbo di intenti in cui, fuori, per un attimo, dalla realtà, si concesse di soffiare un sorriso malizioso. Come a dire: e adesso?Lo sguardo oscillò dagli occhi di lei, alle sue labbra carnose. Le gote tinte di un paio di bicchierini di troppo.
« …andare a casa mia » proseguì, mantenendo la vicinanza e reggendo lo sguardo – non prima di aver deglutito aria.Una casa lui non ce l’aveva più, lo sapevano anche le mura, ad Hogwarts. Le voci lo scorso anno erano girate.Si corresse. Specificò, anzi; perché con casa aveva inteso quello. « Di mio zio. » La mano rimasta sul polso della ragazza, lo mosse, con fatica, verso il basso; di modo che finisse tra loro e non più sul suo petto affaticato. 
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ao3feed-jily · 6 years ago
Text
Younger Now ?
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by dumbledoreknitting
1980. Deux ans après Poudlard, Lily et James vivent ensemble, Lily est enceinte. Sirius sort avec Marlène McKinnon et il a l'air d'avoir oublié Remus. Mais lorsque ils sortent pour l'anniversaire de James, quelque chose se passe entre Remus et Sirius qui va peut-être bouleverser l'ordre des choses. Chaque chapitre sera lié à une chanson de l'album Younger Now de Miley Cyrus!
Words: 4834, Chapters: 1/?, Language: Français
Fandoms: Harry Potter - J. K. Rowling
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: F/M, M/M
Characters: Sirius Black, James Potter, Lily Evans Potter, Remus Lupin, Peter Pettigrew, Marlene McKinnon
Relationships: Sirius Black/Remus Lupin, Sirius Black/Marlene McKinnon, James Potter/Lily Evans Potter
Additional Tags: NaNoWriMo, NaNoWriMo 2018, wolfstar
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