#Marchand errant
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Lies of P
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Le Chant du compagnon errant
photo: Yonathan Kellerman
#ballet#danseur#etoile#Paris Opera Ballet#Le Chant du compagnon errant#audric bezard#mathieu ganio#hugo marchand#germain louvet
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PÉTRONE
ROMANCIER
Il naquit en des jours où des baladins vêtus de robes vertes faisaient passer de jeunes porcs dressés à travers des cercles de feu, où des portiers barbus, à tunique cerise, écossaient des pois dans un plat d’argent, devant les mosaïques galantes à l’entrée des villas, où les affranchis, pleins de sesterces, briguaient dans les villes de province les fonctions municipales, où des récitateurs chantaient au dessert des poèmes épiques, où le langage était tout farci de mots d’ergastule et de redondances enflées venues d’Asie.
Son enfance passa entre de telles élégances. Il ne remettait point deux fois une laine de Tyr. On faisait balayer l’argenterie tombée dans l’atrium avec les ordures. Les repas étaient composés de choses délicates et inattendues, et les cuisiniers variaient sans cesse l’architecture des victuailles. Il ne fallait point s’étonner, en ouvrant un œuf, d’y trouver un bec-figue, ni craindre de trancher une statuette imitée de Praxitèle et sculptée dans du foie gras. Le gypse qui scellait les amphores était diligemment doré. Des petites boîtes d’ivoire indien renfermaient des parfums ardents destinés aux convives. Les aiguières étaient percées de diverses façons et remplies d’eaux colorées qui surprenaient en jaillissant. Toutes les verreries figuraient des monstruosités irisées. En saisissant certaines urnes, les anses se rompaient sous les doigts et les flancs s’épanouissaient pour laisser tomber des fleurs artificiellement peintes. Des oiseaux d’Afrique aux joues écarlates caquetaient dans des cages d’or. Derrière des grillages incrustés, aux riches parois des murailles, hurlaient beaucoup de singes d’Egypte qui avaient des faces de chien. Dans des réceptacles précieux rampaient des bêtes minces qui avaient de souples écailles rutilantes et des yeux rayonnés d’azur.
Ainsi Pétrone vécut mollement, pensant que l’air même qu’il aspirait fût parfumé pour son usage. Quand il fut parvenu à l’adolescence, après avoir enfermé sa première barbe dans un coffret orné, il commença de regarder autour de lui. Un esclave du nom de Syrus, qui avait servi dans l’arène, lui montra les choses inconnues. Pétrone était petit, noir, et louchait d’un œil. Il n’était point de race noble. Il avait des mains d’artisan et un esprit cultivé. De là vint qu’il prit plaisir à façonner les paroles et à les inscrire. Elles ne ressemblèrent à rien de ce que les poètes anciens avaient imaginé. Car elles s’efforçaient d’imiter tout ce qui entourait Pétrone. Et ce ne fut que plus tard qu’il eut la fâcheuse ambition de composer des vers.
Il connut donc des gladiateurs barbares et des hâbleurs de carrefour, des hommes aux regards obliques qui semblent épier les légumes et décrochent les pièces de viande, des enfants frisés que promenaient des sénateurs, de vieux babillards qui discouraient des affaires de la cité aux coins des rues, des valets lascifs et des filles parvenues, des marchandes de fruits et des patrons d’auberges, des poètes minables et des servantes friponnes, des prêtresses interlopes et des soldats errants. Il tenait sur eux son œil louche et saisissait exactement leurs manières et leurs intrigues. Syrus le conduisit dans les bains d’esclaves, les cellules de prostituées et les réduits souterrains où les figurants de cirque s’exerçaient avec leurs épées de bois. Aux portes de la ville, entre les tombes, il lui raconta les histoires des hommes qui changent de peau, que les noirs, les Syriens, les taverniers et les soldats gardiens des croix de supplice se repassaient de bouche en bouche.
Vers la trentième année, Pétrone, avide de cette liberté diverse, commença d’écrire l’histoire d’esclaves errants et débauchés. Il reconnut leurs mœurs parmi les transformations du luxe ; il reconnut leurs idées et leur langage parmi les conversations polies des festins. Seul, devant son parchemin, appuyé sur une table odorante en bois de cèdre, il dessina à la pointe de son calame les aventures d’une populace ignorée. À la lumière de ses hautes fenêtres, sous les peintures des lambris, il s’imagina les torches fumeuses des hôtelleries, et de ridicules combats nocturnes, des moulinets de candélabres de bois, des serrures forcées à coups de hache par des esclaves de justice, des sangles grasses parcourues de punaises, et des objurgations de procurateurs d’îlot au milieu d’attroupements de pauvres gens vêtus de rideaux déchirés et de torchons sales.
On dit que lorsqu’il eut achevé les seize livres de son invention, il fit venir Syrus pour les lui lire, et que l’esclave riait et criait à haute voix en frappant dans ses mains. Dans ce moment, ils formèrent le projet de mettre à exécution les aventures composées par Pétrone. Tacite rapporte faussement qu’il fut arbitre des élégances à la cour de Néron, et que Tigellin, jaloux, lui fit envoyer l’ordre de mort. Pétrone ne s’évanouit pas délicatement dans une baignoire de marbre, en murmurant de petits vers lascifs. Il s’enfuit avec Syrus et termina sa vie en parcourant les routes.
L’apparence qu’il avait lui rendit son déguisement facile. Syrus et Pétrone portèrent tour à tour le petit sac de cuir qui contenait leurs hardes et leurs deniers. Ils couchèrent en plein air, près des tertres de croix. Ils virent luire tristement dans la nuit les petites lampes des monuments funèbres. Ils mangèrent du pain aigre et des olives amollies. On ne sait pas s’ils volèrent. Ils furent magiciens ambulants, charlatans de campagne, et compagnons de soldats vagabonds. Pétrone désapprit entièrement l’art d’écrire, sitôt qu’il vécut de la vie qu’il avait imaginée. Ils eurent de jeunes amis traîtres, qu’ils aimèrent, et qui les quittèrent aux portes des municipes en leur prenant jusqu’à leur dernier as. Ils firent toutes les débauches avec des gladiateurs évadés. Ils furent barbiers et garçons d’étuves. Pendant plusieurs mois, ils vécurent de pains funéraires qu’ils dérobaient dans les sépulcres. Pétrone terrifiait les voyageurs par son œil terne et sa noirceur qui paraissait malicieuse. Il disparut un soir. Syrus pensa le retrouver dans une cellule crasseuse où ils avaient connu une fille à chevelure emmêlée. Mais un grassateur ivre lui avait enfoncé une large lame dans le cou, tandis qu’ils gisaient ensemble, en rase campagne, sur les dalles d’un caveau abandonné.
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LES VAUDOIS
L’Église évangélique vaudoise (en italien Chiesa Evangelica Valdese) est la principale église de tradition réformée du protestantisme italien. Depuis 1975, elle intègre au sein d'une organisation commune L’Église évangélique vaudoise - Union des églises méthodistes et vaudoises (en Italien Chiesa evangelica valdese - unione delle chiese valdesi), les églises Italiennes de tradition Vaudoise.
L’Église évangélique vaudoise assume l'héritage de la prédication de Vaudès (aussi connu sous le nom de Pierre Valdo ou Pierre Valdès). On parle également de valdéisme ou de Mouvement vaudois. Plus ancienne , elle est présente principalement en Italie, dans les Vallées vaudoises du Piémont , avec des antennes en Amérique du Sud. Elle est adhérente de l'Alliance réformée mondiale et de la Conférence des Églises protestantes des pays latins d'Europe.
Le véritable nom des Églises vaudoises, celui qu'elles se donnent elles-mêmes en Piémont, est la Table vaudoise qui affirme désormais être apparue avec les disciples de Pierre Valdo, ou Vaudès, dans les années 1170 dans la paroisse Saint-Nizier de Lyon. Il a existé pendant plusieurs siècles une polémique sur l'origine de l'Église vaudoise, les sources vaudoises anciennes ayant toujours déclaré que cette Église était présente dans les vallées du Piémont bien avant la naissance de Pierre Valdo. Le prénom de ce dernier est incertain : un document atteste seulement l'initiale. Certains l'ont traduit par Petrus, c'est-à-dire Pierre. Aujourd'hui, il existe une rue portant son nom (rue Pierre-Valdo) dans le 5e arrondissement de Lyon. Le nom ne fait donc pas référence au canton de Vaud (Suisse), et l'Église évangélique vaudoise ne doit pas être confondue avec l'Église évangélique réformée du canton de Vaud.
Pierre Valdès était un riche marchand de la ville. Vers 1170, il écouta un passage de la vie de saint Alexis narrée par un troubadour. Ce récit lui fit éprouver le désir de vivre plus près du Christ, de suivre nu le Christ nu. Il légua ses biens à sa femme pour suivre l'idéal de pauvreté apostolique, c'est-à-dire imiter la vie des apôtres. Il plaça ses filles à l'abbaye de Fontevraud, fondée par Robert d'Arbrissel. Il se fit traduire des passages choisis de la Bible du latin en langue vulgaire et provinciale.
Il commença à prêcher dans les rues de Lyon, sans permission des autorités ecclésiastiques. Seuls les prêtres et les clercs, en effet, étaient autorisés à le faire. L'église catholique toléra dans un premier temps la présence de Valdès et de ses disciples, à condition qu'ils ne prêchassent plus. Mais, ayant bravé cet interdit, ces derniers furent chassés de Lyon par l'archevêque, Jean Belles-mains. Ils constituèrent dès lors les premiers vaudois, qui se nommaient eux-mêmes « pauvres de Lyon ».
Après avoir été chassés de Lyon, Valdès et ses disciples vécurent comme ouvriers agricoles, vivant de l'aumône et errant de village en village. Le « mouvement » vaudois fit rapidement des émules dans d'autres régions du sud de la France et en Italie du Nord puis, plus tard durant le Moyen Âge, en Bohême. Une partie des vaudois du Piémont italien émigrèrent à la fin du XVe siècle en Provence, où ils s'établirent en une communauté nommée vaudois du Luberon, dans une vingtaine de villages du Luberon.
Il semble que les premiers vaudois n'aient jamais vraiment voulu rompre avec l'Église, même si Rome les accusait d'hérésie par leur non-respect des consignes ecclésiastiques. Les vaudois considéraient qu'ils faisaient toujours partie de l'Église catholique mais qu'ils en étaient la pars benigna, et Rome la pars maligna rongée par les péchés. En 1184, le concile de Vérone excommunia les Pauvres de Lyon.
Pierre Valdès lui-même rejetait le catharisme (la croisade des Albigeois (1209-1229) date de cette époque). Il serait mort vers 1206 alors que lui et son mouvement étaient proches d'une réconciliation avec l’Église.
Les vaudois sont définitivement déclarés hérétiques par le quatrième concile du Latran en 1215.
L'idéal vaudois de pauvreté inspira en Italie du Nord bon nombre de mouvements radicaux déclarés hérétiques : à la fin du XIIIe siècle les Apostoliques de Gherardo Segarelli ; au XVIe siècle les spirituels radicaux de l'ordre des frères mineurs fraticelles et les dolciniens10.
Vers la même époque apparut l'ordre des frères mineurs, fondé en 1209 par saint François d'Assise, fils d'un riche marchand de cette ville d'Italie centrale, par réaction contre la puissance grandissante de l'argent dans la société ecclésiastique et laïque. À l'origine, les franciscains ne devaient pas posséder de biens ; ils vivaient de leur travail ou d'aumônes et prêchaient dans les villes. Contrairement aux vaudois, ils avaient obtenu l'autorisation de prêcher, puisque François et ses disciples se montrèrent toujours respectueux des consignes du clergé. Ce qui montre que le rejet des vaudois par l'Église ne venait pas à l'origine de l'idéal de pauvreté, mais bien du fait de prôner le sacerdoce universel (droit de prêcher pour tous y compris les femmes).
Persécutés en Italie du Nord, les vaudois furent poussés vers les vallées alpines d'Italie, de Suse à la Ligurie. Ils s'y sédentarisèrent, résistant à l'Inquisition par une pratique discrète de leur foi. Une partie d'entre eux fut cependant massacrée lors de la croisade contre les vaudois de 1488.
Entre 1460 et 1560, au moins 1 400 familles, soit environ 6 000 personnes venues des diocèses alpins de Turin et d'Embrun sont venues s'installer dans la région du Luberon, selon l'historien Gabriel Audisio. Les deux-tiers d'entre eux sont arrivés entre 1490 et 1520, ce qui permet de faire face à la chute de 60 % de la population à la fin de la guerre de Cent Ans, grâce à onze « contrats d'habitations » concernant treize villages du Luberon.
Vaudois du Luberon (1399), Massacre de Mérindol (1545, 3000 morts, 670 envoyés aux galères)
Gabriel Audisio estime que le mouvement vaudois prit fin en 1532 lorsqu'au synode de Chanforan, une partie des vaudois choisit d'adhérer à la Réforme protestante. Sous l'impulsion de Guillaume Farel, ils décidèrent de faire traduire la Bible en français. Ils choisirent comme traducteur un cousin de Jean Calvin, Pierre Robert Olivétan, et lui fournirent les fonds nécessaires à ce travail ; la Bible d'Olivétan fut publiée en 1535.
La période de répression la plus sanglante eut lieu lors des Pâques vaudoises de 1655, dans les vallées du Piémont italien, ce qui obligea plus de 300 femmes vaudoises à venir se réfugier de l'autre côté de la frontière, dans le Queyras français, à Molines.
En 1686, sous la pression du roi de France Louis XIV, le duc de Savoie persécuta les vaudois des vallées alpines, qui se réfugièrent d'abord à Genève, comme des milliers de huguenots, puis furent répartis en Suisse, dans les possessions de Berne, en Allemagne, plusieurs centaines partant aussi en Hollande, en Angleterre, en Afrique du Sud et dans le Nouveau-Monde.
Après la Glorieuse Révolution anglaise de 1688, menée par une armée anglo-hollandaise composée à 20 % de huguenots, les rapports de force militaire changent en Europe. Le duc de Savoie Victor-Amédée II leur accorda alors un édit de tolérance et les vaudois furent autorisés en 1689 à faire leur « Glorieuse Rentrée » jusqu'à leurs vallées par un périple de 200 kilomètres, plein sud, le long des crêtes montagneuses.
En 1848, le roi Charles-Albert octroya à ses sujets non-catholiques (juifs et protestants) une lettre patente par laquelle il leur donnait la permission de suivre des études supérieures et de pratiquer des professions libérales (médecin, avocat, etc.).
En 1853 est inauguré le temple vaudois de Turin, en 1861 le premier temple vaudois à Livourne, en 1881 le temple vaudois de Milan, en 1884 le temple vaudois de la via Quattro Novembre à Rome. En 1914 est inaugurée le temple vaudois de la piazza Cavour, à Rome, et sa faculté de théologie.
Dans la deuxième moitié du XXe siècle, sous l'impulsion du pasteur Tullio Vinay, deux œuvres importantes sont créées, qui viennent considérablement renouveler le témoignage et l’action sociale de l’Église vaudoise : le centre Agape à Prali, dans les vallées vaudoises, lieu de rencontres internationales ouvert à la réflexion sur des thèmes religieux, politiques et sociaux, et le Centre de service chrétien de Riesi en Sicile, centre communautaire destiné à améliorer les conditions sociales mais aussi à limiter l'influence de la Mafia dans cette ville.
La Table vaudoise compte en tout environ 30 000 fidèles, en France dans quelques vallées alpines et, principalement, dans le Nord de l'Italie, essentiellement dans le Piémont. La Table vaudoise compte également quelques communautés en Amérique latine (Uruguay, Argentine). Les vaudois comptent en totalité 45 000 fidèles en 2013.
À l'origine, il y avait surtout la volonté de maintenir la doctrine évangélique face aux dérives supposées de la papauté, en particulier la promotion de la « pauvreté évangélique » face au luxe du clergé. Par la suite, la doctrine des vaudois se précisa lors de colloques (Laus - 1526, Chanforan -1532) ; la base étant la connaissance de l'Évangile, de l'Ancien et du Nouveau Testament.
Les aspects principaux sont :
- L'Écriture est la seule règle de la foi et des cœurs.
- Il est bon que le culte soit fait en langue populaire et que chacun use de la Bible.
- La foi est un don de Dieu.
- La messe du culte romain ne vaut rien.
- Les indulgences ne valent rien. Le purgatoire est une fable.
- Tout ce que l'on fait pour le salut des morts est inutile.
- Jésus est le seul intercesseur. La vénération des saints est une idolâtrie.
- Le clergé romain ayant perverti la doctrine et les sacrements des apôtres, et n'imitant pas leur exemple, n'a aucune autorité.
- Le baptême n'est qu'un signe de régénération. Celle-ci n'aura réellement lieu que lorsque l'enfant aura une foi véritable. Les seuls sacrements reconnus sont le baptême et la sainte Cène.
La doctrine des vaudois est résumée dans un ancien poème en occitan : La Nòbla Leiçon (La Noble Leçon du XIIe siècle).
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Il y a les exclus. Celui qui a tué un homme. Celle qui a volé du pain. Celui qui a été maudit par son père. Il y a les errants. Le peintre qui parcourt le continent, cherchant l'inspiration. Le chevalier qui a perdu la tête à la mort de son dragon. Les caravaniers comme les parents de Jayge, qui vont commercer de Fort en Fort. Il y a Thella la rebelle, qui refuse le mari choisi par son frère et s'enfuit dans la montagne. Trop paresseux pour se creuser un Fort Trop orgueilleux pour jurer allégeance à un Seigneur ? En tout cas, ils vivent dans un monde vaste et beau et veulent en voir le plus possible. Mais quand reviennent les Fils, ils n'ont pas de murs pour les protéger. La colère gronde et Thella fonde la bande des renégats. Un idéal de violence et aussi, pour certains bannis, une espérance. Thella est audacieuse et destructrice. Un jour, elle s'en prend à la famille de Jayge, puis à Aramina, la fille qui entend les dragons. Et ça, c'est trop pour Jayge.
Nous découvrons une autre facette de Pern, celle des Sans-Fort. Le terme regroupe tous ceux qui vivent plus ou moins en marge de la société car ils n’appartiennent ni à un Fort, ni à un Weyr, ni à un Atelier.
L’histoire tourne autours de trois Sans-Forts : Thella, la sœur du seigneur de Telgar qui refuse qu’on la marie et veut être indépendante, Jayge Lilcamp, un marchand nomade et Toric, responsable de la plus grande communauté méridionale mais qui n’est pas encore reconnu comme Seigneur d’un Fort par ses pairs. Elle se situe après Le Dragon blanc et Les Tambours de Pern et reprend donc de nombreux éléments de l’intrigue principale et de l’intrigue des Harpistes. Il est quand même important d’en avoir un bon souvenir car des personnages des précédents tomes ont un rôle important et il est souvent fait référence aux événements qui s’y déroulent. De fait, ce tome est moins indépendant que d’autres de la saga.
L’intrigue est plutôt sympathique et il est intéressant de voir les personnages évoluer hors du cadre des Forts/Weyrs/Ateliers, de partager leur quotidien et d’en apprendre plus sur les dangers qu’ils rencontrent. J’ai particulièrement aimé la place particulière des marchands nomades, indispensables mais regardés avec une certaine méfiance.
Par contre, j’ai été déçue par Thella. C’est un personnage qui avait énormément de potentiel : c’est une noble qui refuse les attentes qui pèsent sur elle et veut vivre son propre destin. Elle monte une bande de brigands pour garantir sa survie et connaît une certaine prospérité, au point d’avoir quasiment monté son propre fort. Mais elle est réduite à un personnage vindicatif et cruel. Elle oublie ses buts premiers pour se consacrer à une vengeance futile, car l’affront qui lui a été fait est on ne peut plus mineur. Elle avait toutes les cartes en main et elle se laisse dominer par une colère qui est difficilement explicable…
Mis à part cette antagoniste qui m’a profondément agacée par son irrationalité, j’ai trouvé l’histoire agréable à lire. On se demande pendant un moment comment les différentes intrigues vont se recouper, on a envie de voir les personnages réussir, quelques petites questions se posent pendant la lecture, comme de savoir qui est l’espion à un moment donné…
Pas un coup de cœur mais malgré tout une lecture plaisante qui fait passer un bon moment.
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Rivalry Renewed, Quartet Of Goals By Charlies As Bruins Beat Habs 5-2
By Tom C
In what could be called the greatest rivalry in hockey, the bruins and the Montreal Canadiens would finally meet again tonight for the first time since February 12, 2020. In their last meeting, the bruins won the game 4-1. Boston was entering the night with a 7-5-0 record, Montreal, a record of 4-11-1. Jeremy Swayman (4-2-0) and Montreal’s Sam Montembeault (0-3-1) were the game’s starting goalies.
This would be a very physical game with lots of heavy hitting. The habs would get the first goal of the game when Joel Armia would wrist the puck past Swayman on a 2-on-1 at 8:09. The lone assist came from Artturi Lehkonen. It would be the only goal of the period.
In the second, David Pastrňák and Brad Marchand got a 2-on-0 breakaway but Montembeault shut the door on Marchand’s shot. The bruins finally tied it at 8:27 when Charlie McAvoy slammed home a rebound in front. Taylor Hall and Jakub Zbořil got the assists. Soon after, Swayman faced a flurry of shots but he stopped all of them. Late in the period though, Michael Pezzetta would give Montreal the lead back his 1st career NHL goal with assists from Adam Brooks and Josh Anderson. The goal came at 16:25.
Early in the third period, the bruins took advantage of a powerplay when Charlie McAvoy got his second of the game from Brad Marchand at 2:17. Jeremy Swayman then made a big glove save on Montreal’s Alexander Romanov to keep it tied. The bruins then took the lead at when an errant clearing attempt by the habs’ Jeff Petry deflected in off of Charlie Coyle at 5:58. Coyle would also then score his second goal of the game at 9:05 from Jake DeBrusk and Oskar Steen. In the final 3:00, Montreal pulled Montembeault for an extra skater but at 18:02, Taylor Hall would get the empty netter from David Pastrňák and Brandon Carlo. Boston would take the game by a final score of 5-2.
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C'est beau une ville, une vraie
Une ville devrait assurer une certaine permanence à nos représentations. Sinon qu'est-elle donc ?
Un lieu de passages ? Un mirage sous le soleil ? Un point de ralliement saisonnier ? Une somme d'artifices ?
Une ville, c'est le jour et la nuit, l'été, l'automne, l'hiver et le printemps. Du monde tout le temps. Au moins, une salle de cinéma, un théâtre, une usine ou un atelier, une librairie, une petite antenne de “Grande Distribution”, une boulangerie, une poissonnerie et une boucherie-charcuterie, deux bars, trois restaurants ouverts toute l'ann��e, un parc public paysagé et des enfants qui s'y amusent, un graffiti géant appliqué à la chaux ou de couleur noire, sur un mur, comme “On est amoureux, mais de qui ?” ou “L'intelligence au pouvoir !”, ou encore “Vivent les gens !”… Forcément une église mais pas plus, un chantier en cours, une école, une médiathèque, un chat errant, un vieux chien étique qui se traîne, un homme barbu en haillons nauséabonds faisant l’aumône, un bébé qui pleure, des adolescents qui chahutent, des amoureux qui oublient le monde autour d'eux, des trous mal réparés dans une chaussée, un service diligent de ramassage des ordures visibles…
C'est une population qui y vit, la fait vivre, l'emplit, y travaille et s'y repose comme elle peut, y fait son marché, ses emplettes, se balade, prend des verres, s'y donne rendez-vous, fait un peu de bruit, pollue, lutte contre la pollution, vote, célèbre tout, ses morts, les victoires sportives des équipes de ses cœurs, conteste, proteste, revendique, accomplit des actes de solidarité, commet des incivilités, fait preuve de sottise, de clairvoyance, divisée, faisant front, lâche, ignare, érudite…
Les cités balnéaires seraient-elles des fausses villes ? Pleines, de mai à octobre, leurs activités y sont surtout marchandes et les consommateurs estivaux qui déambulent y sont sans racines, dans un temps de parenthèses. Quand les touristes, les badauds, les étrangers, les pickpockets, les ont désertées, ses campings, ses hôtels se sont vidés, deviennent-elles alors des villes comme les autres ?
Il faudrait que leurs populations résiduelles et autochtones, se les réapproprient, ne plient pas bagages, ne ferment pas boutiques ni ne retournent alentour, dans les villages des origines Ni ne laissent ses immeubles vides, en indivision, se dégrader. Que les bateaux abandonnés des mois durant et même plus, dans le port appartiennent à de vrais marins de la pêche, du transport ou du sport et même de la balade et qu'ils ne jouent pas les ventouses de parking à l'instar des autos en panne des pauvres qui finissent en fumée (au fait, pourquoi les bateaux ne brûlent-ils pas comme elles ?).
Dans les vraies villes, les jeunes gens peuvent acheter leur logement à un prix raisonnable, dans les vraies villes, la nuit tombée, en hiver, les maisons, les immeubles sont éclairés. Par les fenêtres entr’ouvertes ou mal conçues, s'échappent des notes issues d'un piano, d'une guitare, d'une contrebasse, d'une radio, les bruits d'une télévision, les mots méchants, violents et imbéciles d’une dispute et les cris d’un enfant… Et si tout n'est pas bon à entendre, ressentir, voir, deviner, que la ville vive, vivifie.
Malgré tout, il faut aimer - un peu - ce dépouillement de basse saison qui dessille quand soleil et chaleur sont à marée basse, et dit, en négatif, ce qui fait de nous des citadins satisfaits ou les visiteurs bienveillants des villes authentiques. Le factice peut plaire quelques jours durant - pas davantage et en moyenne - : vie en plein air, spectacle et concerts de rues, mélanges des gens, dépaysement, désaccoutumances, insouciance, transgressions horaires, alimentaires, vestimentaires, parfois pour le meilleur (quand le pire est la règle).
Les fausses villes feraient aimer les vraies, les vraies, oublier les fausses ?
Les fausses, il n’y en a jamais eu, sauf en carton.
Les cités balnéaires sont seulement différentes, avec des respirations saisonnières.
Fabien Borgogne (novembre 2019)
Légende des photographies : une ville côtière en novembre 2019 après le passage de hordes de touristes
Lesia Peretti, reconnaissant la cité possiblement objet du texte, a souhaité faire un commentaire.
Le voilà :
“Ton texte ne m’a pas choqué particulièrement...il faut savoir cependant que la ville - vraie ou fausse - nous plaît beaucoup, nous les autochtones, et que bien souvent, pendant la haute saison, nous aspirons à ce moment privilégié de retraits qui nous permet d’être plus proche de la nature et loin du monde... mais, comme je te l’ai dit l’autre jour, il faut aussi le monde dans la ville, vraie ou fausse...”
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Chauffeur, si t’es champion
Jour de bus. Dépaysement Des trajets de bus, nous en aurons fait, des nocturnes, des tranquilles, des cahoteux et des épiques. L’estafette antédiluvienne qui nous emmène, en cette chaude journée du 4 septembre, de Mandalay à Bagan, tient le haut du panier. Seuls étrangers, nous avons pris place sur des sièges étroits, et le responsable distribue à chacun des sacs en plastiques. Une bien brillante initiative, car les Birmans supportent mal les trajets en bus, et pendant que certains de nos voisins rendent leur déjeuner, les autres mâchent et recrachent en continuent du bétel. La première heure, le bus s’arrête toutes les trois minutes et peu à peu, la travée du milieu se remplit de divers sacs et de ce qui semble être un frigo, dont l’emballage en polystyrène suinte et dégage une répugnante odeur de poisson. Nous embarquons et débarquons en continu des passagers, si bien que les derniers arrivés sont obligés de s’asseoir dans le peu d’espace qu’il reste entre les sièges, sur de ridicules tabourets en plastique pour enfants.
Bus de nuit. Confort Confortablement installée dans mon siège VIP du bus de nuit spécial touristes qui nous emmène de Bagan au lac Inle, je veille. Une image est ce qu’il reste du temps qui passe et j’aurai en tête celles, fugaces, de ces aires anonymes où les restaurants de routes côtoient les chiens errants et où les marchands, dans leurs vilaines petites échoppes de terre battue fuient, à grand renfort de café, le sommeil. C’est toujours une sensation étrange que de traverser des paysages rendus anonymes par la nuit et de ne sentir, quand rien n’est plus éclairé, que les seuls cahots de la route. Et c’est ainsi que les heures passent dans la torpeur, ballottés d’un kilomètre à l’autre, jusqu’à ce que le jour se lève.
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This Week in Caps: Week 15
Welcome to This Week in Caps, a weekly newsletter where I recap everything important that’s been going on in the world of the Washington Capitals this past week.
This Week’s Games
01/08/2019 vs Philadelphia Flyers, W 5-3
The season is past its halfway time, and it’s the first meeting of the year with the division rival Flyers. Pheonix Copley got the home start, and the Caps broke out their retro thirds. Also, no Nicklas Backstrom in this one, as he was out with illness.
Four minutes into the game, the Caps got the party started. Off a faceoff, Jakub Vrana used his speed and carried the puck all the way down the ice and pass the puck in front of the net for a crashing Tom Wilson, who sent it in for a 1-0 lead. Five minutes later, the Flyers picked off an errant pass and Jakub Voracek scored, tying the game 1-1.
The game stayed tied from then until about halfway through the second period, when the Caps got their scoring legs going. T.J. Oshie redirected a Lars Eller point shot for the 2-1 lead. Two minutes later, Vrana ripped off the puck from a Flyer in the Caps zone and turned on the jets, taking it in alone on a breakaway and scoring over the goalie’s shoulder to make it 3-1. Four minutes later, Vrana scored again, this time on the power play. He meant to pass the puck through the crease, but instead it hit the goalie’s pads and banked in, and the Caps were up 4-1.
Things started to get weird and wacky in the third. It started off with a fight, just two minutes in. Nic Dowd got hit hard by Radko Gudas, and Devante Smith-Pelly did not take kindly to the roughhousing of his linemate. He asked Gudas to tussel, Gudas complied, and the two of them had a heavyweight bought. Both were sent off for fighting, though Smith-Pelly got the extra roughing minor that had to be served by Andre Burakovsky. Things got really wacky in the last five minutes of the game. The Flyers pulled their goalie with three and a half minutes left, and Wayne Simmonds scored in front on a goal that slipped between Copley’s legs to make it 4-2. Chaos ensued when both sides could not stop committing penalties and the Caps could not score on the empty net; they kept trying to pass it to Vrana for the hat trick, but he just couldn’t bury it. Wilson looked to have an empty-netter, but it was called back on an offsides challenge. Eventually, the Flyers got one more goal on their ledger — during four-on-four play with just seven seconds left in the game, Claude Giroux ripped a one-timer to make it 4-3. But Oshie scored an empty-netter off the ensuing faceoff to send the Caps home with a 5-3 win.
The Caps were outshot 40-25 and got wrecked on faceoffs, only winning 29.7%. They were 1/4 on power play chances, while the Flyers went 0/5 on theirs. Copley saved 37/40 shots.
Jakub Vrana had possibly the best game of his life, tallying three points and almost getting the hat trick. The lack of power play effectiveness and the small amount of shots is a little concerning, and the last five minutes of the game felt a little Yakety Sax, but it was an entertaining game nonetheless.
01/10/2019 @ Boston Bruins, W 4-2
No team has had another team’s number over the past couple years like the Caps have had the Bruins’ — coming into the game, the Caps had won thirteen straight against Boston, and they hoped to keep the streak alive in this one.
Despite taking a penalty less than two minutes into the game, the Caps were the ones to score first. Six minutes in, T.J. Oshie sprung Jakub Vrana on a breakaway, and he scored to make it 1-0 Caps. But the Bruins kept it tight all throughout the first and most of the second, until they finally broke through. At the fourteen minute mark of the second, Ryan Donato ripped home a wrist shot from the circle to tie the game, 1-1. But the Caps would respond less than a minute later; Tom Wilson passed it to Alex Ovechkin from behind the net, and Ovechkin sent it home lightning-quick to restore the Caps’ lead and make it 2-1.
The Bruins kept coming, and four minutes into the third period, the Caps gave them the opportunity to get back into it score-wise. The Caps took a too many men penalty, and David Krejci scored on a slapshot on the ensuing power play to tie the game, 2-2. But again, the Caps responded within a minute. Nicklas Backstrom drove into the zone and fired home a wrist shot to give the Caps a 3-2 lead. The game was played tight the rest of the way, and Ovechkin eventually scored an empty-netter to secure the Caps’ 4-2 win.
The Caps were outshot 41-22 and were badly beaten on faceoffs, only winning 34.4%. They went 0/2 on power play chances, and the Bruins went 1/5 on theirs. Holtby saved 39/41 shots.
The Caps’ dominance of the Bruins continues, winning their 14th in a row. The game was a little chippy, as Lars Eller did try to fight Brad Marchand in retaliation to Marchand’s punching him on opening night, but Marchand wouldn’t take the fight. The Caps also had the territorial disadvantage, and that hopefully changes in the coming games.
01/12/2018 vs Columbus Blue Jackets, L 1-2 (OT)
It was a snowy night in DC, and time for another divisional matchup against the Blue Jackets. Get ready, because this was a frustrating and weird one.
The Blue Jackets got on the board first and early; just a minute into the game, Cam Atkinson scored on a breakaway and gave the Jackets a 1-0 lead. Later in the period, it was revealed that Alex Ovechkin was not on the bench and ended up missing about half of the period, though he did return for the second and had no problems for the rest of the game.
But just after one injury scare, there was a second, this one more serious. With about eleven minutes left in the second period, Atkinson high-sticked Braden Holtby through his mask in the eye, and Holtby looked to be in discomfort. He would have to leave the game, being replaced by Pheonix Copley; he did not return for the rest of the game.
The game passed by with some frustrating and chippy play; nothing much of note happened for a majority of the game. Each team got a penalty in the first period, and each team got a penalty in the second (which included about a minute of four-on-four), and nothing came of any of the power plays. In fact, it wasn’t until very late in the game that the Caps seemed to have any life at all. With the goalie pulled, they got to work, and with just over a minute left in the game, Evgeny Kuznetsov let loose a booming slapshot to tie the game 1-1.
This matchup would require overtime. Things were relatively even for most of the overtime session, until Nicklas Backstrom committed a slashing penalty to give the Jackets a power play. Artemi Panarin scored just twelve seconds later to give the Jackets a 2-1 overtime win.
The Caps outshot the Blue Jackets 33-22 and had the faceoff advantage at 52.6%. The Caps went 0/2 on the power play, and the Jackets went 1/3 on theirs. Holtby made 10/11 saves, and Copley made 10/11 saves in relief.
This game was a little bit of a mess, and the Caps never seemed 100% together; getting out with a point felt like more than they deserved. But the biggest concern is Holtby’s health; it’s not looking to be a huge injury, but we’ll know more in the coming days.
Current record: 27-12-5
What’s Going on in the World of the Caps
Injuries!
One of the defining features of the game against the Blue Jackets was the multitude of injuries. They weren’t serious, but definitely noteworthy. During the first period, Alex Ovechkin left the game due to apparent injury; it was originally reported as an equipment issue, but it was later cleared up that Ovechkin had a cut on his hand that needed to be sutured. But he returned for the second period and there is no lasting injury. On the other hand, Braden Holtby was high-sticked in the eye by Cam Atkinson about halfway through the second period, and he had to be replaced by Pheonix Copley, and he did not return to the game. Holtby did practice the next morning and said that his vision had greatly improved. The Caps do not believe they will need to call up another goalie. And in completely unrelated news, another minor bit of progress: Christian Djoos skated at practice on Sunday morning; a good sign, but there is still no timetable for his return.
Commercials Galore
This week was, apparently, the week for Caps commercials to come out. First, Alex Ovechkin starred in three commercials for Papa John’s Russia (pizza is here!). Then, Braden Holtby starred in a new Koons commercial where he stares at national monuments (he has actually done commercials for Koons before, seen in the link). And finally, Andre Burakovsky and Devante Smith-Pelly were the latest to be sucked into Paisanos, and they were the stars of the newest Paisano’s commercial. (Ovi, Holtby, Burky & DSP)
Connolly Tattoo
After getting enough retweets on Twitter, a Caps fan is getting a tattoo of Brett Connolly eating pizza and getting a tattoo. Connolly is aware of this, and Devante Smith-Pelly contributed to one of the retweets. In fact, DSP wants this to happen so badly that he said he’d be willing to be there and even pay for it to see it through. Connolly’s wife Katrina even commented on the situation, calling it a #ProudWife moment. (1, 2)
Other Miscellaneous Happenings
Copley does jumping jacks with kids from Hendley Elementary School
Oshie, Burakovsky, and Wilson bowl with fans (1, 2)
Time to cry over Jay Beagle again
Capitals invite youth hockey team to game for standing up to racism
Ovi checks Chara into the Caps bench
Ovi parties, makes DJ’s night
Orlov screams at BFF Bobrovsky
Vrana flosses
Pregame shenanigans
Upcoming Events
On January 14 against the St. Louis Blues, there will be a winter glove giveaway
On January 18, the Caps Better Halves Baskets go on sale
Player of the Week
Jakub Vrana had another very strong week, and his game against the Flyers was one of the best of his career. Over the three games this week, he tallied 4 points (2 G, 2 A), with three of them coming in the aforementioned game, and his speed was on constant display and made him a consistent scoring threat.
Social Media Post of the Week
Gina posted a really long and heartfelt message for John’s birthday, along with about a dozen photos, but I’m not going to copy and paste that here nor attach all the photos; you can follow the link and read it if you like. I’m just going to thank her for this incredibly embarrassing photo of John. (x)
Stars of the Night Season Leaderboard
Over the course of the season, I will be keeping track of the Caps stars of the night, translating them into points, and organizing them into a leaderboard.
1st star = 5 pts, 2nd star = 3 pts, 3rd star = 1 pt
1. Holtby — 42 2. Ovechkin — 39 3. Kuznetsov — 20 4. Backstrom — 19 5. Carlson — 17 6. Wilson — 13 T-7. Burakovsky — 11 T-7. Copley — 11 T-7. Kempny — 11 10. Vrana — 8 11. Oshie — 7 T-12. Connolly — 6 T-12. Orlov — 6 14. Lewington — 5 T-15. Niskanen — 3 T-15. Smith-Pelly — 3 T-17. Boyd — 2 T-17. Eller — 2 19. Stephenson — 1
Achieved and Upcoming Milestones
T.J. Oshie scored his 200th career NHL goal on 01/08/19 vs the Philadelphia Flyers
Nicklas Backstrom is 1 power play goal away from taking sole possession of 5th in Caps history in power play goals
John Carlson is 2 power play goals away from being tied for 7th in Caps history in power play goals among defensemen (25)
Brooks Orpik is 1 game away from 1000 career games played
Jonas Siegenthaler is searching for his first NHL goal
Next Week’s Upcoming Games
01/14/18 vs St. Louis Blues (7 PM) 01/15/18 @ Nashville Predators (8 PM) 01/18/18 vs New York Islanders (7:30 PM) 01/20/18 @ Chicago Blackhawks (12:30 PM)
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Osons parfois pleurer ! (2)
Osons parfois pleurer ! (2)
26/11/2022
”Tu comptes les pas de ma vie errante. Recueille mes larmes dans Ton outre : ne sont-elles pas inscrites dans Ton livre ?” Ps 56. 9
Le titre donné au psaume 56 est “Confiance dans la détresse”. Dans ce psaume David nous expose sa détresse due à la méchanceté des hommes qui cherchent à lui nuire ou à tirer profit de sa perte. Au verset 8 il demande que Dieu dans Sa colère précipite les peuples ! David ne demande pas à Dieu d’agir dans un accès d’humeur. Mais plutôt il invoque la justice de Dieu ; une colère juridique, qui résulte de la nature sainte de Dieu et de Son rejet de la méchanceté et de l’impiété. En fait au verset 9 David demande à Dieu de garder trace de ses souffrances afin qu’Il puisse finalement lui rendre justice. Dieu n’est pas indifférent à votre souffrance et Il nous a fait une promesse : “Il essuiera toute larme de leurs yeux” (Ap 21. 4). L’injustice que vous vivez ou les épreuves que vous traversez ne sont pas cachées aux yeux de Dieu. Oui, pleurez si vous en ressentez le besoin, mais ne restez pas prisonnier de vos émotions. Jésus Lui-même, après avoir pleuré sur Jérusalem, est entré dans cette ville, en a chassé les marchands du temple et s’est mis à enseigner les foules incrédules. Jésus n’est pas resté accablé de tristesse devant le tombeau de Lazare. Il a prié : “Père, Je Te remercie de ce que Tu M’as écouté” (Jn 11. 41). Puis Il a ressuscité Lazare ! Dans le Jardin de Géthsémané, Il n’a pas été paralysé de peur devant l’idée de Sa mort sur la croix mais Il s’est levé, a fait la volonté de Son Père et a remporté la victoire sur le péché ! David, après avoir invoqué la justice et l’intervention de Dieu, se souvient de la parole de Dieu (v. 11), il loue le Seigneur et exprime sa confiance en Dieu (v. 12-13) ! Et puis il continue sa marche avec Dieu : “je marche devant Toi, ô Dieu, à la lumière des vivants” (v. 14). Voilà la bonne attitude à adopter…
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Ilona Smet : son geste qui a ému et surpris Estelle Lefébure et Sylvie Vartan
Qui a dit qu’il fallait se dénuder pour forcément agiter la Toile ? Certainement pas Ilona Smet qui a littéralement cassé l’Internet avec son joli geste durant ses vacances. Comme chaque année malgré le divorce de ses parents David Hallyday et Estelle Lefébure survenu en 2001, la jeune femme n’oublie pas de passer les fêtes de fin d’année en famille. En effet, sa mère emmène toujours ses deux filles en Californie pour rendre régulièrement visite à leur grand-mère Sylvie Vartan.
Voulant profiter du beau soleil de Los Angeles, la sœur d’Emma Smet a décidé de prolonger son séjour pour passer un peu de bon temps en compagnie de son chéri Kamran Ahmed. Et s’ils pensaient faire une balade en amoureux ordinaire, ils se sont bien trompés. En croisant le chemin de plusieurs chiens errants, le mannequin a pris l’un d’entre eux sous son aile et a tenté de le faire adopter comme elle l’a déclaré sur Instagram où elle a écrit :
« Voici EMMA ! Elle ne...
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Le soldat désaccordé
Gilles Marchand nous revient avec un roman historique qui retrace l'enquête menée pour retrouver un soldat disparu dans la Grande Guerre. Ce faisant, il poursuit son exploration des cabossés de la vie avec toujours la même humanité.
En lice pour le Prix du roman Fnac 2022 En deux mots Enquêtant sur un soldat qui n’a plus donné de nouvelles à l’issue de la Grande Guerre, le narrateur va découvrir une histoire d’amour insensée. Celle d’une femme errant sur les champs de bataille pour être au plus près de son homme. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique L’ombre du champ de bataille Gilles Marchand nous revient avec un roman…
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#Amour#ancien combattant#apparition#champ de bataille#Disparition#Enquête#espoir#Famille#gueules cassées#héros#Humanité#infirmière#mission#Paris#Première Guerre mondiale#soldat#solidarité#témoignages#vie de couple
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Germain Louvet, Hugo Marchand
Le chant du compagnon errant
photo Agathe Poupeney
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Ivre, seul, nu, il rentre chez lui et lance un disque de Skullflower, la suite va vous étonner : les pigeons mort d’une nuit d’été, ne crois tu pas que je les ai sentis, parmi l’odeur sournoise des roses ? L’échappée, la belle dame. La Donna Gentille ils l’appellent de son beau nom, mais ce n’est qu’une enveloppe vide, un leurre posé là par les mauvais pour les esprits en proie au doute : le sang des porcs n’a que très peu d’importance dans les préoccupations ordinaire des sociétés, on voudrait qu’il ne soit jamais si important que lorsqu’il se déverse dans la mer, parmi les ordures qu’elle contient sans peine et les serpents qu’elle dissimule, ou pour faire du boudin : l’oeil du magicien voit tout, seule la juste configuration du cerveau auquel il est branché, et le monde qui se perd dans ce regard, l’empêchent de rendre l’extrême violence dont il est témoin à l’égard de ce en quoi il se confond : le meurtre n’est jamais loin. La mer, ici, ce serait la mauvaise conscience du temps; ou bien le mal. Le doute de notre espace-temps, si finement renfermé sur lui-même dans son ambiguïté, ce doute c’est celui de la notion même de temps ,car l’histoire tend à perde ce qui fait d’elle une réalité, la conscience : la volonté de l’espèce achève de se décomposer et de ses substrats surgissent son contraire. La mort s’est donnée le visage de l’Homme, par là elle se contredit en s’actualisant dans des formes à la consistance virtuelle : le réel est évacué du processus qui mène à sa production. Il s’agit d’un crime contre l’essence de l’homme dont le génocide - qui en présente les premières lueurs à la conscience sous la forme des déterminations impossibles mais non moins imaginables et imaginées dans les possibilités sexuelles - n’est que l’annonce funeste. Je m’explique : nous vivons l’âge noir d’éros, l’âge de la désillusion métaphysique sans rien ni personne pour la contester, dont l’avènement fut si souvent clamé par les pires hommes qui soient, ceux qui dotés du privilège de la lettre proclament la mort de la philosophie, ce qui n’est pas un mal en soi tant qu’on le fait, or plus personne n’ose le faire car il s’agit comprendre ce que c’est que d’être et de vivre comme l’expression de l’activité que la philosophie reproduit d’une manière privilégiée. Pourquoi est ce impossible? Parceque plus personne n’est en mesure de rendre compte de la désillusion métaphysique, par conséquent de sortir d’un monde purement intelligible, eu outre soumis invariablement au principe de la raison sous sa forme hétéronomique : la domination économique… Ne nous méprenons pas, le mode d’existence philosophique est menacé car les systèmes d’information sont devenus, non pas trop complexes, mais inintelligibles. Ce n’est l’effet que d’une seule cause : le rapprochement toujours plus précis des possibilités techniques, offertes par la science, de celles de l’esprit, qui tend au fond à l’irrationnel : la vérité de la science ne fait qu’ajouter, concrètement, la conscience des limites de ce qu’est une activité de conscience à la mauvaise conscience générale, elle accentue la ruine à laquelle s’identifie la conscience des mauvais, et le renoncement de la conscience des justes, on pourrait y déceler une autre forme de domination sociale, sournoise, calculatrice et froide comme la mort, sous des traits de chaleur et de grâce évidemment ! C’est que l’effet de la science sur la psychè humaine ne change pas seulement ce qu’il est capable de produire et de mettre sous ses yeux, ce sont les yeux même qui finissent pas se transformer et seul le magicien connait les secrets de cette sombre alchimie optique. L’astuce pour contribuer à l’entretien de ce rapport dialectique qui n’a pas lieu d’être à partir d’un rapport social (sans violence, et en dehors de circonscriptions religieuses) c’est le mensonge, la subversion de la science, et le fait de dire que “la philosophie ne fut, n’est ni ne sera jamais vivante”, car c’est bien aisé de la poser pour ce qu’elle ne saurais être et c’est bien cruel envers ceux qui en vivent les aspirations par innocence que d’affirmer sa réalité en renversant le sens de la contradiction qu’elle atteste - en somme c’est rendre coupable ceux qui ne le sont pas encore -. Une seule réponse dans le monde physique, la voie du sang et du glaive : le philosophe véritable ne vie pas de son intelligence, mais par son esprit, du moins il ne s’en contente pas dans la mesure ou il se doit d’en faire vivre les autres, au moins l’autre qu’il aime et pour lequel la vie est aussi chère que la sienne, ou aussi insignifiante en face de l’imminence de la mort (ce sentiment est universellement recouvert d’un mensonge que seuls les amants prennent le courage de se dévoiler l’un à l’autre, à la condition d’une subordination à l’intemporalité de leur communication) . Plus aucun secret ne se laisse deviner autrement que par son aveu, car l’intimité est la mort, pourquoi est-ce si simple de le dire ? Parce que la misère c’est le réel dans sa nudité : peut on vivre humainement quand on n’a plus le choix d'attester le manque, la marque du désir ? Comment faire quand tout le monde suppose que nos désirs sont satisfaits, alors que, socialement, l’on vit moins bien que le premier animal venu ? Les humains s’adaptent, ceux qui n’ont pas les moyens de mener le jeu se contentent d’imiter ceux qui semblent le faire, en proposant l’image tragique et contradictoire d’hommes qui prétendent posséder ce qui ne leur revient pas, jusqu’à ce que ceux à qui ne reviennent pas ce qu’ils prennent la liberté de posséder se trouvent dans le collimateur de la folie marchande et de celle de ceux qui n’ont plus rien à perdre. Seuls quelques chevaliers errants et quelques gargouilles transies d’horreurs osent encore mettre de l’honneur dans ce qu’ils désignent par leur salut. Combien de cadavres, de patients impatientés et de chairs lacérées faudra il pour que l’on considère correctement ce à quoi tient le privilège de l’intelligence sur la matière ? Ne nous méprenons pas, le privilège de l’intellect appartient à ceux dont le cerveau est suffisamment résistant, épais et noble dans le labeur; la bête de somme de l’esprit, le calculateur, celui qui choisit ses mots comme des formules répugnantes ainsi que l’ouvrier de la philosophie n’ont pas le droit à l’intelligence : l’esprit délétère trouvera rapidement ses limites sur le fil de la lame que la nature aura soigneusement placée entre ses mains, mais prêtez attention aux fines brisures de ses bras, la vérité peut n’être qu’un rayon de soleil sur sa peau. C’est une comédie à n’en plus finir, alimentée par le désir malsain de voyeurisme des uns, et la perversion désespérante des autres, l’œil du magicien voit tout, seule une partie de ce qu’il juge est traité avec la sévérité qui lui revient, la flèche est sur le fil, la coupe à la main et la fiole sur le feu. Combien de ruine, combien de gorges éclatées et de chairs ravagées par la putréfaction, combien de secrets désirs en attendant la blancheur des os du roi ? Que faudra il pour que l’on saisisse encore ce qui fait de l’homme quelque-chose d’aimable, quand la vérité se dépareillera de ce qui la dissimule ? Combien de mensonges ? Combien de vérités occultées ? Combien de jugements imprononcés ? Combien d’enfances ruinées ? C’est une chose que de tenir le glaive de la justice entre ses mains et le crane de ses ennemis sous le pied, c’en est une autre que de bander l’arc vers le cœur des damnés qui s’échappent de la nuit dont ils sont issus et qu’ils n’auraient jamais dû quitter : regardez ces yeux et dites-moi qu’ils ne donnent pas vie à la mort, osez donc avoir pitié de l’Homme que l’érotisme fascine ! “quel amour”, “quelle folie” me dites-vous, je vous répond que c’est celui auquel renonce le poète et l’homme de science dont le statut ne dissimule que la perversité et la volonté de domination, tout le reste de ce qu’elle semble dissimuler n’est que l’effet d’une ignorance distillée dans la société par un savant procédé d’acculturation qui ne peut s’empêcher, au fond, (par une forme sublime de culpabilité) de s’accuser : un jour vous ne serez plus les seuls auteurs des punitions que vous vous infligez, et vous ne serez plus les seuls à jouir des consolations secrètes que vous vous octroyez, car les esclaves finiront par rencontrer leurs maîtres sans les reconnaitre. L’esclavage est d’autant plus réel - qu’il ne le fut jamais - que la séparation entre le maître et l’esclave se dissolve dans la continuité culturelle donnée à certaines formes dominantes de l’irrationalités, elles-mêmes commandées par la négation des formes dominantes de la rationalité telles qu’elles se prolongent sur le plan de la structuration sociale : le jeu de la société donne une apparence de détermination à ce qui ne saurait être saisi sous une forme définitive sans que ne soit posées ultérieurement des règles nécessaires au bon fonctionnement de la partie que représente le réel. Le domaine de la métaphysique commence aujourd’hui là où le doute se pose quant aux parties que suppose le réel dont la partition est en soi impossible : à chaque instant la totalité se reconstitue sous un jour qui n’est l’objet de nos esprits que par l’examen que la conscience en fait incessamment selon l’état des mécanismes qui rendent possible l’activité dont elle est le compte-rendu, celle de la “pensée” dans son acceptation générale. Quelle force obscure donne encore à l’obsolète, à la science que domine la pensée de mort, sinon le pouvoir désiré par certains démons de se représenter sous un voile de mensonges ? Ou la lâcheté peu être. Quelle complicité malsaine, quelle économie ? Nous ne sommes pas des amas de chair, nous le sommes dans le sens d’une circulation de l’énergie à l’intérieur de l’univers vers l’extérieur de l’univers, c’est une honte que de se servir du rapprochement de la lettre et de la matière, c’est une honte que de jouir de ce rapprochement, c’est une joie que de l’ignorer au moment extatique, mais à qui revient le privilège de cette joie ? D’abord, chaque chose n’est pas en mesure de restituer cette joie à sa source, car au contraire c’est une propriété très rare de la matière que de se renouveler autour d’une forme dont chaque variété renvoie invariablement à l’éternité, ensuite, il s’agit de savoir si le bénéfice de cette configuration physique de l’énergie revient à ce qui se propose d’être la continuation ou bien l’initiation d’un mouvement de grâce : Eve ou Marie ? Cette question ne se pose que dans la perspective ou l’on puisse admettre l’existence d’une qualité latente de l’énergie à laquelle la joie réponde comme une onde à l’autre, l’intrication des forces les unes vis-à-vis des autres produit un phénomène de nature physique certes, mais seul la violence correspond à la réalité du fait dans la considération exclusive de ses implications matérielles, c’est à dire non selon le donné matériel qui suppose l’appréhension du fait (une connaissance de l’objet en soi), mais selon le rapport qu’il entretient avec d’autres objets. On ne parle pas des Hommes, de la “matière vivante humaine” dans cette acceptation sans les réduire à cette entité relative pour laquelle l’autre est un objet, alors même que seul un sujet est capable de tendre ce piège à l’esprit des innocents et des vulnérables qui ignorent leur propre liberté et le sens général de l’existence sur la surface de la terre. A la source de ceux qui, par misère, manquent du sens spirituel viennent s’abreuver les monstres et les blasphémateurs du sens de la terre. Un serpent ne peut pas vivre dans le nid des oiseaux sans représenter pour eux une menace, sans se subvertir et se faire passer pour une volaille : la mesure avec laquelle il se dénature ne renvoie qu’a celle de sa perversité, il en va de même pour la corruption intellectuelle. Il y a quelque-chose de criminel dans ce procédé, et se proposer d’en faire l’emphase ce serait prendre plaisir à être un bourreau, c’est nier tout ce qui est humain comme tout ce qui n’est pas actuel, au fond, c’est faire de soi une partie, sinon la totalité de ce qui obstrue le champ métaphysique d’un temps donné. Mesurez la haine et le renoncement du bourreau et vous aurez peu être pitié pour le bourreau, honte de la victime : une chemin tout tracé pour la lame qu’inquiète un homme discret et soucieux de métaphysique. Dans une ordonnance sociale qui prétend n’être pas structurée par une religion (alors même que la religiosité à commandé et commande l’édification du monde qui nous entoure et dans lequel ces mots sont prononcés) c’est la classe scientifique qui remplace le clergé, avec le privilège de profiter de la confusion et d’éviter d’évoquer la différence fictive (l’écriture comme activité naturelle y participe) qui règne entre la réalité physique et métaphysique : il suffit de mentir pendant longtemps à des enfants pour leur faire comprendre à l’envers ce que c’est que d’être corps et esprit, pour qu’en vendant l’un, celui à qui l’on s’adresse puisse croire qu’il achète l’autre.
21/06/18
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Sa Parole Pour Aujourd'hui du Samedi 26 Novembre 2022
Osons parfois pleurer ! (2)
”Tu comptes les pas de ma vie errante. Recueille mes larmes dans Ton outre : ne sont-elles pas inscrites dans Ton livre ?” Ps 56. 9
Le titre donné au psaume 56 est “Confiance dans la détresse”. Dans ce psaume David nous expose sa détresse due à la méchanceté des hommes qui cherchent à lui nuire ou à tirer profit de sa perte. Au verset 8 il demande que Dieu dans Sa colère précipite les peuples ! David ne demande pas à Dieu d’agir dans un accès d’humeur. Mais plutôt il invoque la justice de Dieu ; une colère juridique, qui résulte de la nature sainte de Dieu et de Son rejet de la méchanceté et de l’impiété. En fait au verset 9 David demande à Dieu de garder trace de ses souffrances afin qu’Il puisse finalement lui rendre justice.
Dieu n’est pas indifférent à votre souffrance et Il nous a fait une promesse : “Il essuiera toute larme de leurs yeux” (Ap 21. 4). L’injustice que vous vivez ou les épreuves que vous traversez ne sont pas cachées aux yeux de Dieu. Oui, pleurez si vous en ressentez le besoin, mais ne restez pas prisonnier de vos émotions. Jésus Lui-même, après avoir pleuré sur Jérusalem, est entré dans cette ville, en a chassé les marchands du temple et s’est mis à enseigner les foules incrédules. Jésus n’est pas resté accablé de tristesse devant le tombeau de Lazare. Il a prié : “Père, Je Te remercie de ce que Tu M’as écouté” (Jn 11. 41). Puis Il a ressuscité Lazare ! Dans le Jardin de Géthsémané, Il n’a pas été paralysé de peur devant l’idée de Sa mort sur la croix mais Il s’est levé, a fait la volonté de Son Père et a remporté la victoire sur le péché !
David, après avoir invoqué la justice et l’intervention de Dieu, se souvient de la parole de Dieu (v. 11), il loue le Seigneur et exprime sa confiance en Dieu (v. 12-13) ! Et puis il continue sa marche avec Dieu : “je marche devant Toi, ô Dieu, à la lumière des vivants” (v. 14). Voilà la bonne attitude à adopter…
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La chute, Camus (1956)
L’inaction et l’indifférence de Clamence face au suicide d'une jeune fille un soir de promenade le pousse à réfléchir aux raisons qui obligent les hommes à arpenter une vie sans en explorer le sens ou la vérité. Cette vérité est le résultat des jugements que l'on peut porter, sur les autres ou sur soi-même, lorsqu'on se rend compte de ses fautes. La vision de l’homme moderne décrite par Camus se remarque par le choix de la ville d’Amsterdam : Clamence, à l’image de l’homme moderne, ne peut être qu’un déraciné, « une créature solitaire, errant dans les grandes villes ». Cette ville portuaire du nord, noyée par la pluie et les brouillards, fait partie de cette Europe septentrionale qui, selon Camus, a égaré la clarté de la Grèce, devenue assombrie et dénaturée, qui vit le triomphe des arts, des techniques et de la barbarie scientifique. Enfin le titre même de l’œuvre est évocateur : il représente la chute de l’homme européen dans l’histoire. Camus pense que la civilisation moderne s’est fourvoyée, a égaré la lumière et a séparé l’homme des livres, de la culture. La civilisation marchande, technique et moderne se précipite dans la barbarie
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